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Rechercher : brouillard conceptuel

  • Perversité narcissique et brouillard conceptuel.

    Voici un long mais important texte que j'avais écrit le 11 Octobre 2018, il y a donc onze mois.

    Je le remonte dans le présent pour que ceux découvrant mon site puissent le lire en tout confort.

     

    Avant d'aborder l'avant-propos de ce billet, je me dois de préciser en préambule qu'auparavant je n'avais pas saisi la dimension particulière que la perversité narcissique a pu prendre au sein de nos sociétés modernes.

    Cela ne retire en rien les idées que je dégage de mes textes précédents, tout au contraire, cela vient en compléter l'ouvrage et en préciser certaines de mes approches.

     

     

    Je reviens donc sur ce thème en montrant que nous sommes tous plongés dans cet ensemble nébuleux de croyances plus ou moins délirantes, de laquelle il est plus ou moins facile de montrer l'aspect débilitant.

    C'est certes une hypothèse et cela ne peut que rester ainsi tant que des études cliniques ne seront pas entreprises.

    Je l'ai bâtie d'après l'expérience de mon vécu, d'une suite d'intuitions et, en suivant, d'une profonde réflexion.

    Comme j'ai pu l'expliquer dans mon texte précédent du début Septembre (à lire si ce n'était fait avant de poursuivre cette lecture) traitant de ce sujet, j'émets doncP1020124.JPG l'idée qu'une part de nos oligarques monétaristes, ainsi que nombre de notre personnel politique de haut niveau, souffrent de perversion narcissique.

    Ceux n'étant pas atteint de ce mal sont soient de petits malins qui profitent de leurs faiblesses mentales pour leur propres comptes (les pervers narcissiques étant tous facilement manipulables), soient sont pris dans les rets de ce brouillard conceptuel leur faisant croire qu'ils agissent vraiment pour le bien commun, même si beaucoup d'entre-eux peuvent, plus ou moins inconsciemment, en douter du bienfondé.

    (   Si j'ai appelé "brouillard conceptuel" le phénomène d'être entrainé au-dedans du monde fantasmagorique du pervers narcissique, c'est parce que, même s'il nous est possible de rester pour partie conscient de ses incongruités et délires multiples, notre soumission à ce type de malade mental nous en fait accepter l'univers délirant, ne rendant pas compte d'une quelconque réalité.

    Il s'agit en effet, pour nous, d'un biais cognitif dont il nous faut, quoi qu'il en soit, du temps pour s'en défaire, sauf à ce que l'urgence du moment nous contraigne, pour nous y adapter, à nous confronter à un réel, certes tel qu'il se présente, mais notre perception nous en sera pour le moins momentanément tronqué, ce qui nous fera perdre un temps précieux.

    Ce délire [ N'oublions pas que le pervers narcissique souffre en réalité d'une schizophrénie latente que sa dépravation viendra compenser ] est propre à chacun de ces insensés, bien qu'en groupe ils puissent en générer un collectif sur lequel reposera, de plus, les divagations propre à chacun  d'entre-eux.

    Il leur faut en effet se retrouver au centre de leur monde pour pouvoir préserver P1020059.JPGleur narcissisme dévoyé et fragile.   )

    Je vous propose donc un complément de mes réflexions précédentes en m'essayant de vous montrer, amis lecteurs, combien nous pouvons être berner par cet ensemble hétéroclite de malades mentaux que nous appelons l'oligarchie.

    Sachant, part ailleurs, que ce qu'ils craignent avant tout, hormis de ce que leur monde ne s'efface, à ce qu'il leur soit montré et décrit leur complexion démentielle et, surtout, à ce que cela soit exposé à la face du monde.

    En plus de ne cesser de nous tromper, surtout de ce que peut être leur véritable nature, ils nous entrainent plus ou moins  dans leur monde irréel, parce que détaché de la réalité, ce brouillard conceptuel.

    Cela en nous faisant croire, comme le font tous pervers narcissiques, en leur toute puissance, leur savoir absolu et leur omniscience, eux qui ne sont, en vrai, de par la nature même de leur maladie, que des êtres incompétents et plutôt cornichons et incultes.

    C'est cela que je vais vous narrer ici en vous en montrant quelques exemples, quelques-uns seulement parce que le pire dans tout cela c'est que ce brouillard recouvre une immense étendue en un très grand nombre d'idées toutes faites et fausses.

    Deux choses importantes que je n'avait pas clairement noté dans mon billet précédent:

    -le pervers narcissique et le psychopathe ne peuvent pas se sentir responsable de la moindre de leur vilénie, sinon cela mettrait en danger leur narcissisme;

    -ils ont tendance à projeter sur l'autre le moindre de leurs aliénations, angoisses,P1020165.JPG abjections, bassesses et infamies et ceci pour les mêmes raisons, c'est en cela qu'ils sont pervers.

    Avant que je ne débute la seconde partie de ce billet, je vais effectuer un très bref résumé de la nature très particulière et discrète de cette grave maladie mentale, étant entendu que le psychopathe à une origine similaire à celui-ci et une structure mentale relativement semblable:

    1) refoulement des émotions conduisant à un surmoi quasiment inexistant;

    2) narcissisme instable que le sujet tente de sauver;

    3) état psychotique latent que seule la perversité du sujet parvient à maîtriser;

    4) culpabilité importante amenant une souffrance se muant en plaisir, d'où sa perversité envers son ou ses souffres-douleurs;

    5) un monde fictif, propre et différent pour chaque sujet, dedans lequel vit celui-ci, n'ayant qu'un lien lointain d'avec la réalité, ce que nous vivons sous la forme de ce brouillard conceptuel;

    6) une sclérose mentale importante se développant avec le temps, rendant les sujets stupides, due à ce que toute leur intelligence n'est tournée que dans le but de compenser leur schizophrénie latente, en vivant dans leur monde fantasmatique dont ils seraient le centre, ceci pour sauver leur narcissisme, et avec des victimes sur lesquelles reposeront leurs faiblesses, leur démence, leurs incohérences structurelles et leur méchanceté primaire (étant entendu que le psychopathe tue pour tenter de détruire en lui ces mêmes tourments quand le pervers narcissique peut, lui, tuer pour écarter le risque d'être découvert ou pour sauver son monde P1020041.JPGimaginaire).

    Cette mouvance oligarchique nationale, européenne et internationale est hiérarchiquement structurée.

    Ce qui, pour un pervers narcissique, ne peut qu'être qu'un terrible calvaire, d'autant plus que cela est le fait de ses semblables en démence, il faut donc pour chacun d'entre-eux entretenir un monde propre, à l'intérieur de celui collectif, dedans lequel il se retrouvera au centre, au risque sinon de ne plus pouvoir compenser leur état psychotique latent.

    Mais quoi qu'il en soit, cet univers fantasmatique collectif nous est déversé continuellement, dans les médiats notamment, au corps défendant de nombre de journalistes subalternes et/ou pigistes, envahissant d'autres sphères sociales, scientifique et artistique, par exemple, contraints, forcés et/ou manipulés par ces insensés.

    L'un des exemples les plus frappant est ce qu'il se dit au sujet de l'Union-Européenne, soit qu'elle ne serait en rien une colonie des États-Unis-d'Amérique.

    Or, pour en débusquer la réalité je vous propose une expérience simple mais éclairant les multiples occultations et/ou dissimulations, ô combien symptomatiques, que génère l'existence même de ce brouillard conceptuel.

    Voici plus bas la liste des 26 pays de l'union, et il n'y a pas grand monde pour déjà l'égrainer, moi-même pouvant difficilement en citer une dizaine.

    Je vous propose donc de nommer un artiste pays par pays, tous domaines, peintre, chanteur, écrivain... et époques confondus, même datant du moyen-âge, sachant que censément notre pays ferait parti d'une union, un petit peu comme il en est des U.S.A. et comme il en fut de l'U.R.S.S..

    Sachant qu'existe l'eurovision, j'en apporte cette précision que les chanteurs doivent être connus au sein de leur pays et ne pas chanter dans la langue impériale, j'ai-nommé l'anglo-américain:

    . Allemagne

    . Autriche

    . Belgique

    . Bulgarie

    . Chypre

    . Croatie

    . Danemark

    .Espagne

    . Estonie

    . Finlande

    . France

    . Grèce

    . Hongrie

    . Irlande

    .Italie

    . Lettonie

    . Lituanie

    . LuxembourgP1020178.JPG

    . Malte

    . Pays-Bas

    . Pologne

    .Portugal

    . Rép. Tchèque

    . Slovaquie

    . Slovénie

    . Suède

    Combien seraient-ils capables en l'Europe d'effectuer avec brio un tel exercice, dix, vingt personnes à tout casser, des historiens d'art peut-être?

    Maintenant, je vous propose de donner le nom de cinq artistes britanniques, puis de dix artistes étasuniens, pour ces derniers une trentaine de nom ne doit pas être impossible à trouver...

    Voilà, vous avez compris, la preuve est là, visible, éclatante: notre pays ne se trouve  pas au sein d'un union politique et marchande composé d'un ensemble de nations indépendantes, mais fait parti intégrante d'un agrégat de colonies étasuniennes regroupées, ceci pour qu'elles soient contrôlées plus facilement par une bureaucratie coloniale située à Bruxelles, elle même issue des pays composant l'union, en un même mécanisme qu'usait, dans le temps, le Royaume-Uni impérial en Inde.

    (   La désintégration de cette union provenant, pour l'essentiel, de ce que l'empire U.S. s'en désengageant, n'y jouant plus, dès lors, de rôle régulateur, les conflits P1020170.JPGlarvés qui y préexistaient s'expriment désormais en plein.    )

    Commencez-vous à percevoir comment fonctionne un brouillard conceptuel?

    En effet, c'est bien parce que nos oligarques européens doivent nier l'existence de cette domination, désormais passée mais dont la fable perdure, qu'ils traitent ceux qui osent en avancer l'idée de complotistes ou de tout autre expression aussi dérisoire qu'injurieuse.

    La raison en étant que, sinon, cela mettrait plus à mal leur narcissisme déjà gravement malade, puisque avouer cette domination montrerait leur asservissement, démontrerait, surtout, qu'aucun d'entre-eux n'est le nombril du monde.

    Tout en chantant les louange des Etasunis, contradiction perceptible par le déversement continuel d'un art outre-atlantique désormais en plein déclin ou d'une langue anglo-saxonne débilitante, comme il peut en être du reste des U.S.A. d'ailleurs.

    (   Il est ainsi symptomatique que les titres des films et feuilletons étasuniens ne soient même plus traduits en français, contrairement à ce qu'il se passe au Québec, ce qui montre également et surtout le profond dédain dans lequel nous tient l'oligarchie U.S..    )P1020478.JPG

    Ce paradoxe étant dû à ce que "le rêve américain" fait parti intégrante de ce monde fantasmatique collectif dedans lequel vivent tous ceux de ces malades qui, de près ou de loin, sont affiliés à l'oligarchie.

    C'est pour des raisons semblables que les informations et la météo qui nous sont présentées dans les mêmes médiats ne concernent que la France tout en chantant les louange de l'Union-Européenne, les mêmes voulant cacher ainsi qu'ils sont dominés par les oligarques européens au sein de ce système hautement hiérarchisé.

    Ce même rêve américain se retrouvant ici, dans l'esprit de l'oligarchie française, sous la forme d'une soit-disant construction européenne, c'est à dire de vouloir, dans leurs délires, transformer cette union en États-Unis-d'Amérique.

    Il est vrai que toutes ces petites cachotteries existent aussi pour éviter que la population comprenne d'où proviennent nos lois, soit des directives de l'Union-Européenne sous domination étasunienne et, maintenant germanique, mais vous en remarquerez avec moi leur incohérence, puisqu'il leur serait facile, ainsi, de dédouaner le gouvernement,  sous leur ordres, de ses décisions, ce qui, par le passé, se faisait en toute aisance (comme l'aurait dit Faust).

    (   Ce désengagement Étasuniens par l'équipe trumpienne de l'U.E. menant, bien P1020071.JPGentendu, nos oligarques à l'affolement puis à la panique.)

    C'est pourquoi elles sont là: pour ne principalement pas montrer à la face du monde qu'eux-mêmes sont, de fait, sous cette triple domination, U.E., U.S.A., allemande, ceci, encore une fois, pour sauvegarder leur narcissisme détraqué, eux qui se croient, en leurs délires, au centre de l'univers.

     

    Un autre exemple de l'existence de ce brouillard conceptuel: pourquoi donc déverser un tel tombereau d'injure à l'égard de Donald Trump?

    Si nous y réfléchissions bien, si l'Union-Européenne et donc la France étaient vraiment indépendantes, comme cela nous en est rabâché, les décision du président U.S. ne devraient nous concerner que si elles impliquaient directement l'union et/ou notre pays, non?

    Dès lors, en toute cohérence, la politique intérieur de cette nation ne devrait être suivie par les médiats que comme il devrait en être pour toute autre et il ne devrait pas y faire grand cas, en ce seul exemple, des catastrophes naturelles, comme il en est, encore une fois, de tous les autres pays mondiaux, ceux de l'union compris.

    Or, en ce qui concerne celles se trouvant à l'intérieur de l'U.E., nous en avons infiniment moins que de celles qui  nous sont transmises de l'empire et, ce, à l'inverse de toute logique d'avec ce qu'il nous en est conté.P1020251.JPG

    Monsieur Trump se devrait aussi d'avoir le même traitement médiatique que ses prédécesseurs, ce qui, là encore, est contraire  du récit qui nous est fait de ce que serait l'Union-Européenne.

    Or, il est donc parfaitement visible que nous sommes au-devant d'un nouveau paradoxe entre ce qu'il se dit de la construction  européenne, de notre relation d'avec les E.U.A. et les informations qui nous sont prodiguées sur ces deux sujets, mais pourquoi donc?

    Tout simplement parce que Mr. Trump ayant déclaré, lors de sa campagne électorale, que l'O.T.A.N. et l'U.E. devraient disparaître, cela met en danger leur monde fantasmatique, ce qui fait que nos oligarques européens s'affolent et déversent leur haine à son endroit dans les médiats (faisant dès lors remonter leurs émotions, ce qui les déstabilise d'autant).

    D'autant plus que, outre que ses actions mènent à un affaiblissement de l'Allemagne, de la France et de l'Italie et, dès lors, de l'U.E., en raison, entre-autre, de l'interdiction de commercer avec l'Iran, la lutte qu'il mène contre son oligarchie affaiblit celle-ci à un tel point que ce dernier président (peut-être vraiment le dernier) n'est pas loin de les vaincre, du-moins peut-il mener à peu près sa politique à sa guise.

    Or, l'oligarchie monétariste européenne n'existe que parce que celle des États-Unis-P1020443.JPGd'Amérique la mise en place, sans la seconde la première disparait.

    C'est pour cela que, dans l'affolement, pour que leur petit chéri Macron soit élu haut la main, que notre "élite économique" a détruit les partis politiques français lors des élections nationales de l'année dernière, aidé, il est vrai, en cela, par un François Hollande bien content de se venger de ses avanies en tant que président.

    Le surgissement de l'affaire Bennala fin juillet ne peut qu'être que la marque d'une semblable panique des mêmes, celle-ci provenant de ce que Monsieur Macron prenait son indépendance de ses commanditaires.

    Sûrement conseillés par des vieux de  la vieille de la politique qui sentaient venir une plus qu'exaspération de toute la population, due autant à l'insane brutalité économique du gouvernement  macronnien que de la médiocre vulgarité avec laquelle Monsieur Macron occupe son poste électif.

    ( Le délitement psychologique des pervers narcissiques et des psychopathes, à cause principalement de la disparition de leur monde, de leur perte de proie sur laquelle déverser leurs déséquilibres mentaux et/ou de l'exposition à la face du monde de leur aliénation, s'effectue en quatre temps:

    1) la fuite-en-avant: débutant dès qu'ils sentent perdre leur pouvoir et/ou voient leur fantasmagories se confronter à la réalité, consistant en une amplification de leurs agissements, allant jusqu'à une caricaturisation extrême  de ceux-ci...;P1010825.JPG

    2)

  • Essai de plan théorique de l'évolution d'un champ idéologique

    Un schéma, une vidéo:

     

    L'équipe du: "Le fil d'actu", lors de leur dernière vidéo, traitant du sujet du nouveau gouvernement italien, a fait là un excellent travail et, de  plus, voyant la masse de matériel qu'ils sont allés chercher pour se faire, bravo les artistes.

     

    Ils me prouvent, de plus, que ce qui n'étais, pour moi, qu'une hypothèse de travail, soit ce que je nomme un effondrement politico-idéologique que je centrait surtout en France, ne suivant que de loin ce qu'il se passe au-delà, devient, par cet exemple outre-alpin, une théorie clairement établie que nous pouvons facilement étendre à tout ou partie de l'Union-Européenne, voire au-delà.

     

    J'avais, il y a de cela quelques années, commencé à établir le tableau ci-dessus (qu'il vous faudra agrandir au maximum pour pouvoir le lire), à main levé sur un cahier, que j'avais retrouvé puis développé grâce au programme utilisé: j'avoue que de ces choses informatiques me sont quelque peu abscons, comme que ce qui se fait appelé "classeur".

     

    Je ne sais pas si ce plan dédié à l'apparition, à l'évolution puis la disparition d'un "champ idéologique" est complet, du-moins je vous le propose comme étant un outil de réflexion, chacun pouvant le reprendre, du-moins me serait-il agréable que vous notiez, par mon pseudo et l'adresse de mon blog, son origine.

     

    Le "brouillard-conceptuel", bien plus complexe que je ne le pensais, duquel je vous avais fait mention auparavant, étant l'un des signes, de fait, suivant cette approche, de la disparition prochaine dudit champ, tout comme il en est de celui dudit effondrement idéologique, qui ne peuvent qu'être avant-coureur d'une crise politique paroxysmique (il y a une faute d'orthographe sur ce mot dans le tableau, liée à ma dysorthographie structurelle) prochaine.

     

    Dedans ce brouillard conceptuel s'y trouve, entre-autre il est vrai, l'absurde réchauffement climatique anthropogénique dont j'avais montré l'inanité par le passé, mais aussi de ce qui se fait appeler la théorie du genre, odieusement criminel, remettant en cause nos connaissances biologique quand à la nature de la détermination sexuelle d'un être humain.

     

    Le billet précédent, dédié à la poésie, étant autant un hymne à la vie que de celui voué, pour l'homme que je suis, aux femmes que, de toujours, je ne peux pas ne pas considérer comme mon égal, de mes aphorismes dont je suis très content:

     

    "Nier les différences physiques entre l'homme et la femme est stupide, nier  les différences psychologiques entre l'homme et la femme, bien qu'à la mode, est aussi stupide (j'y rajouterais aujourd'hui: déterminer les différences sexuelles homme et femme par les seules contraintes sociétales est infiniment plus stupide), nier que l'intelligence est asexués est encore stupide, c'est là que se trouve le seul ferment pour une égalité homme-femme mais il est de taille."

     

     

     

    THEURIC

  • Un chien, une jeune femme et un virus.

    P1030109.JPGHier je suis allé à Paris en voiture et m'étais garé au parking souterrain de la gare de Lyon (heureusement que je ne fais pas ça tous les jours, ça coûte un fric de dingue, comme le dirait notre godelureau national, devinez qui).

    Après que j'aie effectué mes courses, je prenais l'ascenseur où s'y trouvait une demi-douzaine de personnes, entre-autre une dame avec son toutou, puis une jeune femme qui montrait des réticences en y entrant, en voyant l'animal.

    Ce que l'un des hommes présents remarqua et lui demanda si elle n'aurait pas peur des chiens, ce qu'elle répondit par l'affirmative, ajoutant ensuite qu'avec celui-ci, de petite taille, cette phobie était moins puissante.

    A ce moment là de la conversation je m'en mêlais en lui expliquant que le chien est le descendant du loup humanisé, puis que la peur activait toujours nos structures symboliques (bien entendu, je ne m'y exprimais pas ainsi en allant au plus court de mon expression), que si elle était ancienne et/ou inconsciente cette peur pouvait se déplacer vers un objet représentatif, ici le chien (ce qui est à l'origine des phobies), symbole qui est notre pré-câblage neuronal de notre psyché profonde.

    Enfin, je lui dit que dès qu'elle aura compris l'origine de cette peur cette phobie s'évanouira.

    La porte s'ouvrit et, sur ces mots, je sortis de l'ascenseur.

    P1020431.JPG

    Plus tard, dans ma voiture, en roulant, je fus surpris de cette idée que j'avais émise: la peur activait toujours nos structures symboliques.

    Or, ai-je soliloqué, nous pouvons percevoir une peur actuellement, collective, que les médiats n'ont que de cesse d'amplifier, celle au sujet de ce coronavirus qui agite autant le lanterneau médiatique que de celui politique.

    Ceci quand les épidémiologistes, professionnels de la chose, ne paraissent pas s'en affoler outre mesure.

    Dès lors, la question logique me venant à l'esprit ne pouvait qu'être: quelle peut être que cette peur qui, déplacée à l'endroit de cette maladie qui, sommes toutes, n'a, jusqu'à présent, fait que quelques centaines de morts et généré que quelques milliers à dizaines de milliers de malades dans le monde, ceci au regard des 7, 7 milliards d'habitants sur terre?

    Les épidémies et autres pandémies faisant parti de ces craintes universelles qui, tout au long de l'histoire, ont ravagé les peuples et les pays, et dont nous pouvons, tout à loisir, retrouver les représentations imagées, symbolique, sous une forme ou une autre, à l'exemple du quatrième cavalier de l'apocalypse dans la bible.

    Puis la réponse me vint: il s'agit de l'adanthropisme, ce néologisme, composé du P1030087.JPGpréfixe ad-, qui va vers, et Anthropos, l'Homme, que j'avais inventer pour rendre compte du plus que désir, de cette envie profonde, archétypal, des enfants de devenir adulte mais qui, je l'ai compris à ce moment là, se retrouve à être déstabilisé chez l'adulte quand surgit une perte d'identité par la perte de la détermination de Soi.

    Ceci chez tous ceux qui, européens, occidentaux, se disent européistes et internationalistes, ce qui génère une peur angoissée de ne pas ou plus savoir qui ils sont, menant à une culpabilité importante, l'un de ses autres effet en étant les violences policière à l'endroit des gilettistes, des grévistes et des manifestants contre le projet de loi sur les retraites, des juges par exemple.

    Qui eux ont, aussi, d'autres causes que j'ai pu étudier avec vous précédemment.

    Mais en quoi donc de ne savoir qui être peut-elle mener à cette peur irraisonnée en une pandémie qui, pour l'instant, n'en reste qu'un minuscule épiphénomène?

    Quelle pourrait en être la mécanique?

    Il faut, à mon sens, la rechercher dans l'activation d'un autre symbole, autre archétype puissant (le symbole étant l'image archétypale), celui de la punition divine, ce qui se met en écho d'un autre fantasme phobique, celui d'un réchauffement climatique anthropogénique qui, quand bien même surviendrait-il, serait en tous points infiniment plus bénéfique pour l'Être Humain qu'un P1030150.JPGrefroidissement.

    Sachant de plus que le CO², composant 0,04 % de l'atmosphère suivant ce site (les commentaires et non pas le texte originaire), ou 0,05 % suivant le livre "L'émancipation de la vie"  de Josef Reichholf, permet aux plantes de se développer et plus il y en a, mieux les plantes poussent et mieux l'agriculture s'épanouit.

    Sans CO², là, ce serait une réelle catastrophe, mais bon, revenons à nos moutons, bêêêê.

    D'où provient donc cette activation?

    De ne pas pouvoir se définir en tant que personne, tant en tant qu'individu que collectivement, ceci en raison de l'intense propagande idéologique médiatique, dont les tenant souffrent du même mal, remettant en cause autant la sexualisation biologique des gens que de leur appartenance à un peuple, une nation et dès lors à un pays, mène à une grande instabilité psychique et donc à une peur angoissée inconsciente des sujets puisque ils ne savent plus quelle est leur identité.

    Perdu dans ce vide, dans ce néant, ces gens, puisque ils ont le sentiment, en réalité faux, de ne rien être, par inversion, pour surmonter cette peur angoissante de ne pas pouvoir se dire Être Humain, en raison de leur tentative de compensation de cet état mental déplorable, peuvent se vouloir sentir d'être tout, de se considérer être tout, donc être Dieu lui-même.P1030360.JPG

    Mais puisque ils se savent ne pas être dieu, ils projettent sur les autres leurs propres tourments en les accusant inconsciemment d'être la cause de ce mal-être, mais pour des raisons fallacieuses, puisque ils ne sont pas dieu, en invertissant la réalité.

    D'où cette idée idiote de ce réchauffement climatique anthropogénique qui n'existe pas mais qui, s'il est pris au sérieux, ne peut que mener à une baisse de l'usage d'énergie conduisant ipso facto à la mort par famine d'une grande majorité de la population mondiale.

    Tout comme d'interdire à la population de sortir de chez-elle pour cause d'épidémie ne peut que conduire à cette faillite généralisée qui, quoi qu'il en soit, arrivera à un moment ou à un autre, et qui sera, elle aussi, meurtrière par la cessation de fonctionnement du commerce international et de l'effondrement de la grande majorité des monnaies.

    Se prenant donc pour dieu tout en sachant que c'est faux, les tenant de ces absurdités punissent donc les populations par des considérations fictives mais pour eux bien réelles qu'ils font tout pour les leurs faire croire, ceci en les plongeant dans leur monde imaginaire.

    P1030467.JPGCe processus provenant, me semble-t-il, d'une minorité agissante souffrant d'une grave perversion narcissique conduisant les peuples occidentaux, surtout, dans ledit monde imaginaire que j'appelle un brouillard conceptuel.

    Comprenez bien que dans le même temps ils croient à leurs fantasmes mais les utilisent aussi pour conduire et manipuler leurs sujets.

    Il est à relever que ce genre de malade mental, toujours foncièrement incompétent, ont le réflexe de vouloir punir ceux dont ils perdent le contrôle, et que leur violence est égal à cette perte, ce qui est une manière, pour eux, de garder un contacte et un moyen de pression sur leurs proies.

    Desquels nous ne devons surtout pas confondre  avec ceux constituant l'état profond étasunien qui eux manipulent les peuples pour tenter de perpétuer leur puissance maritime mondiale, en profitant de ces histoires à dormir debout.

    Ce sont eux qui les ont mis en place à la tête des gouvernements européens, de l'Union-Européenne et à la direction de l'OTAN, entre-autre, pour qu'ils puissent contrer la puissance russe, iranienne et chinoise montante (ceci dit sans porter de vrai jugement de valeur sur l'un ou l'autre camp).

    Ils peuvent facilement choisir de telles personnalités dérangées qui, si elles considèrent que les États-Unis-d'Amérique sont, de fait, au-dedans de leur brouillard conceptuel, feront tout pour perpétuer leur présence, quand bien même cela serait-il à leur propre désavantage.P1020515.JPG

    Il faut tout autant faire la part entre ceux, majoritaires, qui, sains d'esprits, sont encore contraints par ces multiples calembredaines mortifères auxquelles ils croient, de ceux qui, au mental dérangé, vivent celles-ci comme n'étant que d'une pure réalité.

    Si ces seconds, heureusement largement minoritaires, tendent à se contredire les uns les autres c'est que, comme j'ai pu l'expliquer auparavant, il faut absolument, pour chacun d'entre-eux, de se retrouver au centre de leur monde imaginaire, de ce fait, quand bien même peuvent-ils s'allier, ils sont toujours et restent ennemis de leurs semblables en souffrance, c'est en cela qu'il est possible de les jouer les uns contre les autres.

     

    De cette jeune femme phobique des chiens, j'en ai conclu qu'en raison de la masse propagandiste anti-masculinité, sans que jamais ne soit fait mention, dans les médiats, des hommes de bien respectueux de toutes choses, dont surtout des femmes et des enfants, ceci en écho de cette débile et grotesque théorie des genres, elle en est venue à craindre les hommes.

    Mais elle ne peut pas avoir les mêmes craintes envers son papa et de son amoureux, P1030240.JPGelle reporte dès lors cette peur sur les chiens puisque le loup est un symbole fort de virilité et que le chien en est son descendant humanisé, comme il peut en être pour l'ours au demeurant.

    Nous pouvons dès lors percevoir les implications directes de cette propagande sexuelle obtuse remettant en cause nos savoirs sur nos déterminations biologiques, mise à part, bien entendu, quelques cas rares mutagènes largement minoritaires.

     

    Enfin, en ce qui concerne la Chine la situation est différente.

    Pour le gouvernement de ce pays il lui fallait, en ces débuts, absolument interdire à sa population de se nourrir d'animaux sauvages en lui faisant peur de cette épidémie.

    Puis, quand l'OMS avait émis un avis de grave risque pandémique, ce qui peut nous faire supposer quels types de personnalités dirigent cette organisation aujourd'hui, puisque l'état chinois  n'avait pas réagi avec efficacité lors de l'apparition du SRAS, il se retrouvait dès lors contraint d'en surajouter en terme de prévention pour ne pas perdre la face à l'international.

    L'autre phénomène étant une fragilité de son système de santé, ce que les russes ont dû aussi comprendre, c'est pourquoi ils refermèrent si rapidement leurs frontières avec leur voisin de l'est.P1020639.JPG

    Il est à noter qu'en raison de notre appartenance à l'union, la France se retrouve aussi en une situation analogue, il est probable qu'il en soit de même aux USA et dans la très grande majorité des pays.

    Quasiment personne ne peut, en effet, gérer avec une réelle efficacité une pandémie majeur et mortelle.

     

    Là encore, j'ai voulu analyser notre situation sous un angle différent.

    Je peux faire erreur au sujet de cette épidémie au coronavirus, mais, du-moins, pour l'instant, nous n'avons pas vraiment beaucoup à en craindre.

    Notre gouvernement semble suivre les avis d'épidémiologistes, pour combien de temps, attendons donc d'y voir plus clair au vu des personnalités qui nous dirigent.

  • Chère Murielle Robin.

    Chère Madame,

    Vous fûtes prise à parti début juillet de cette année, je ne m'en aperçois que maintenant, pas bien méchamment d'après les vidéos qu'il m'ait été donné de voir, lors de votre manifestation contre ce que vous nommez les féminicides, ce néologisme quelque peu vaseux, fleurant bon les méandres propagandistes oligarchiques euro-atlantistes.

    Demandez-vous donc d'où provient ce terme qui, comme beaucoup d'autres, paraissent comme par magie et, souvent, disparaissent remplacés par d'autres, comme celui de "climatosceptique" par exemple.

    Sûrement, n'avez-vous pas compris le pourquoi de cette altercation, ceci d'autant plus que vous aviez eu très peur, vous qui défendiez l'année dernière ce mouvement des gilets jaunes, l'interprétant, avec une trop grande grande facilité, par un rejet de l'homosexualité, ce qui  est une erreur, du-moins pour la majorité des gilettistes qui s'y exprimaient.

    Quand, si vous y réfléchissiez bien, les raisons en sont d'évidence.

    Ce n'était pas contre vous que les personnes qui étaient là s'exprimaient, mais à l'encontre de ce que vous représentiez, et souffrez, Madame, si la charge de ce billetP1030121.JPG vous contrarie quelque peu.

    Il n'est, pour commencer, de constater qu'à bon droit les manifestants de jaune vêtu ne pouvaient que se demander si votre présence et celle de vos consœurs n'étaient pas une manière de contrecarrer leur propre défilé.

    Ce que je traduirais par une simple question: n'auriez-vous pas été instrumentalisée pour rendre invisible leur protestation?

    Que cela ce soit vraiment passé ainsi ou non, comprenez qu'en raison des diverses, nombreuses et ignominieuses manipulations médiatiques dont ils ont souffert, qu'ils réagissent ainsi me parais de bon aloi.

    C'eût été à vous, ayant, je l'imagine, suivi un cursus long et dotée d'une large imagination théâtrale, qui  auriez dû comprendre, dès l'avant, qu'une telle animosité se serait développée à votre endroit dès votre présence, en ayant pris les mesures adéquates pour éviter ces légères échauffourées.

    Vous remarquerez qu'en ses débuts l'absence de police, qui ne pouvait que savoir par avance que ces deux rassemblements seraient présents au même lieu en même temps, à croire que ce qui s'était passé fut recherché.

    Mais allons plus loin, voulez-vous.

    Il vous y fut reproché de détester les hommes, d'être misanthrope, je n'en sais rien, en revanche je sais que de tous temps les milieux artistiques, du spectacle, comme ceux du P1030213.JPGpouvoir, ont très souvent une approche de la sexualité bien plus relâchée que dans le reste de la population.

    Ce n'est pas sur cela que se porte ma raison, je n'ai que faire des choix et attirances de chacun du-moment que cela n'interfère en rien sur la vie de tout autre et que nul n'en est forcé.

    Ainsi, là encore, sans que vous puissiez le remarquer, il est vrai qu'une longue et violente propagande se fait pour affaiblir, voire détruire, le sentiment de sexualisation des gens et, ce, dès les plus bas âges, le but en étant de faire perdre, aux populations, leur identité nationale par celle sexuée, ceci pour s'assurer de leur domination.

    Si vous allez voir mes aphorismes, j'y ai écrit la chose suivante:

    Toutes dominations emploient trois subterfuges sous des formes parfois subtiles, parfois vulgaires:

    -La féminisation de l'homme;

    -L'infantilisation de l'homme et de la femme;

    -L'animalisation et ou la chosification de l'homme, de la femme et de l'enfant.

    Ceci sous la forme de cette niaiserie ayant de nom "Théorie du genre" autant anti-éthique qu'anti-scientifique et qui est d'une violence sociale inouïe, qui est socialement égale, qui est aussi destructrice qu'une guerre totale pour tout peuple.

    Vous pouvez également parcourir ce texte dédié à l'indétermination de l'Être, celui-ci étant le troisième sur ce  thème, et même celui-là sous le titre de: "Vous les croyez menteurs, Il sont délirants...".

    Vous y découvrirez que j'y produit un ensemble de réflexions sur ce sujet.

    Ainsi m'en voyez-vous fortement navré, mais je crains que vous ne fûtes, vous et vos compagnes, instrumentalisées, Madame, prises, comme nous le sommes tous, dans P1020488.JPGun puissant brouillard conceptuel.

    La preuve en étant que quasiment le même nombre de policiers, sûrement en raison du mauvais sentiment que leur procurèrent leurs exactions envers les gilettistes, mais aussi d'agriculteurs, ceci sans compter les chômeurs, se suicidèrent dans l'année, sans que vous ne vous en émouviez le moins du monde, puisque ce n'était pas cette cible là que l'on vous avait assigné, à l'insu de votre plein gré, cela va de soi.

    Je n'irais pas plus loin, Madame, au risque, sinon, de vous faire grand mal, encore serait-il bien que vous réfléchissiez, avec prudence et sans ces inutiles sentiments de culpabilité, sur certains de ces voyages télévisés que vous aviez accompli par le passé.

    Vous êtes une bonne personne, Madame, à l'image de beaucoup de ceux qui sont des mêmes classes sociales que vous, mais vous vivez, comme eux, dans ce monde fantasmatique, infantile et narcissique qui vous égare dans les dédales obscures de croyances vaines qui ne sont que les résurrections archétypales des sociétés primitives (sans jugement de valeur).

    Si vous en avez la curiosité, le courage et le temps, promenez-vous dans ce blog et vous comprendrez d'où proviennent vos angoisses dont je n'ai fait, ici, qu'en effleurer autant le sens que l'origine.

    P1020964.JPGBien à vous,

     

     

    THEURIC

  • Du mensonge, de nos élus et des médiats.

    Prologue:

    Ici je vais effectuer une critique de ceux qui nous gouvernent et de ceux qui leur font propagande, les journalistes officiels aux émoluments parait-il gracieux.

    Cette critique s'établit sur une mise en garde: il n'est pas possible de mentir à longueur de temps, tout en sachant que ce qui est raconté est faux, ou ad minima d'une réalité dévoyée, sans que les personnes qui agissent de la sorte ne deviennent mensonge eux-mêmes.

    Or, vue que de dire un mensonge, surtout si c'est sur ordre, rend soi-même mensonge, cela ne peut que générer le sentiment profond, donc inconscient, de sa non existence.

     

    Ne soyons pas puritain, le mensonge nous est consubstantiel à nous autres êtresP1030656.JPG humains, mais, du-moins, il n'est, le plus souvent, qu'employé que par instants brefs, que ce soit pour résoudre des affaires importantes ou non, pour éviter un choc émotionnel trop violent pour son vis-à-vis, pour ne pas se faire disputer, pour se montrer d'une plus grande valeur que de celle dont nous sommes dotés, face à un danger par exemple...

    Le mensonge est donc bien de notre nature.

    Mais vous remarquerez que nous ne l'utilisons, le plus souvent, que de manière fugace, transitoire et, qu'avec la temps, nous apprenons qu'il nous faut éviter de mentir continuellement, que de proférer un mensonge trop gros peut facilement être démasqué, soit parce que des faits en viennent à le contredire, soit parce que nous-même en arrivons, plus tard, à affirmer le contraire de ce que nous disions préalablement.

    Mais ce qui nous préoccupe aujourd'hui c'est cette spécificité de notre modernité faisant du mensonge pur une façon de gouverner les pays tout comme l'union et, ce, produit au sein d'une minorité sociale, politique et journalistique, sans qu'une puissante idéologie tautologique mais fragile, telles de celles qui traversèrent le XX° siècle, nécessitant qu'il faille à l'époque la préserver de l'idéologie contraire.

    P1030030.JPGCe fut la triple lutte entre le communisme, le capitalisme et la sociale-démocratie.

    Rien ne le nécessiterait donc maintenant, sauf que la seule qui reste actuellement est diablement plus fragile que ces trois  antérieures.

    Il ne s'agit donc pas ici de ce mensonge dont le but serait de protéger sa vie ou celle d'un proche, de cacher une faute quelconque, voire même de tenter de se justifier d'une action maladroite ou mauvaise, il ne s'agit de rien de tout cela.

    Ce besoin de mentir ne provient que de permettre à une infime minorité sociale, celle dite oligarchique, de s'enrichir toujours plus et de faire perdurer une union utopique, ultra & néolibérale, l'Union-européenne, leur tiroir-caisse, que tout le monde sait aux malfonctions majeures, aux portes de son démembrement et, oserais-je le dire sans risquer des problèmes, de structure totalement totalitaire.

    Certes, ceux qui déversent continuellement ainsi cette énorme masse informe de tromperies en profitent par les émoluments officiels et peut-être officieux, qu'ils peuvent percevoir, tout autant que d'avoir le sentiment d'une position sociale avantageuse (quel pouvoir a aujourd'hui l'Assemblée  Nationale et le sénat sinon aucun), mais ont-ils médité des dangers qu'ils font courir à leur mental?

    Si à longueur de temps quelqu'un d'une bonne santé psychologique en vient à proférer dans les médiats, sans réelle et aucune raison valables, continuellement, deP1030829.JPG ces hâbleries dont nous sommes abreuvés, en sachant fort et for bien que ceux-ci ne reflètent en rien la réalité, il est à craindre qu'à force il ne vienne à en développer des troubles psychiques gravissimes.

    Tous savent mais cachent en effet que la France est appauvrit toujours plus, jour après jour, à cause de l'UE€, il ne suffit pour cela que regarder l'historique de l'économie française.

    Tous savent mais cachent que les retraites à point, demandée expressément par l'Union-européenne, ne sont là que pour que des fonds spéculatifs, comme le Blackrock US, puisse accaparer une part des retraites des français.

    Tous savent mais cachent que la population a entièrement raison de faire grève sur ce sujet puisque tous les pays qui les ont mises au point voient les retraites de leurs vieux baisser.

    Tous savent mais cachent que la police s'est conduite envers la population provinciale des gilettistes d'une manière similaire à celle d'autres pays telle que la Chine à Hong Kong, qu'ils critiquent hypocritement en plus.

    Tous savent et cachent qu'ils trahissent allègrement, continuellement, leur mandat électif pour les uns, leur  éthique professionnelle principielle pour les autres.

    P1030481.JPGMais aucun ne vient à se demander si, par hasard, leur façon de se conduire ainsi n'aurait pas sur eux des effets psychologiques néfastes, hormis en ce qui concerne, bien sûr, les pervers narcissiques en place, déjà psychiquement détruits par leur maladie.

    Ceci d'autant plus qu'ils se savent parfaitement responsables de la situation actuelle: qui d'entre-eux a-t-il réagi quand Junker avait dit "qu'il ne pouvait y avoir de choix démocratique contre les traités européens"?

    Aucun.

    Certes, les élus du REM, les radioéléments, sont pour la plupart d'une naïveté affligeante, comme beaucoup de ceux des classes-moyennes hautes à supérieures dont ils sont issus, ils se disent, ils nous  disent s'ennuyer, de ne servir à rien dans l'hémicycle, sans comprendre qu'en effet ils sont inutiles puisque les décisions se prennent toutes, ou presque, à Bruxelles.

    Mais les autres, tous les autres, tout comme les journalistes dont nous pouvons admirer la trombine télévisuelle soir et matin depuis parfois des décennies, ainsi que ceux élus pour la majorité depuis longtemps, qui font tout pour ne surtout pas nous parler de l'union, sauf à en dire qu'il faudrait la réformer, ce qui est, je le redis, impossible, sont responsables en première instance de la situation déplorable deP1030354.JPG notre pays.

    Et il n'est pas possible, sauf à ce qu'ils soient des malades mentaux qui en jouissent, qu'ils n'en culpabilisent pas en leur fond intérieur.

    Plus encore, ils ne peuvent, dans leur vie du tous les jours, que de continuer de mentir éhontément pour un rien, par habitude, par réflexe conditionné, ce qui ne peut que rendre leur existence déplorable, personne n'ayant plus confiance en eux, même leur conjoint, quand bien même vivraient-ils dans l'entre-soi d'un certain confort, qui dans  ces couples malgracieux aurait confiance véritablement en l'autre?

    Qui, dans les rédactions ou dans les enceintes des assemblées délibératives à confiance en son voisin du même journal, même chaîne télé, même parti politique que lui?

    Qui, parmi eux, n'a pas développé une tendance paranoïde, voire carrément paranoïaque?

    Mais pire encore, par survie psychique ils ne peuvent qu'en venir à se mentir à eux-mêmes en refoulant la réalité, même, par extension, celle se présentant dans la vie quotidienne.

    PICT0264.JPGPhénomène d'autant plus dangereux qu'il est collectif.

    Là se trouve ce brouillard conceptuel dedans lequel je fus plongé également, je sais donc parfaitement de quoi je cause.

    Certains me lisent et vont donc comprendre dans quoi ils sont plongés, toutefois il faut du temps pour que de ce brouillard une brume moins dense ne le remplace, puis que la réalité pointe comme le soleil perce lentement, progressivement cette grisaille nébuleuse.

    Pour le peuple provincial aussi, au contraire de ce qu'il se passe pour beaucoup des classes sociales les plus hautes et de ceux sus-nommés, cette dure réalité paraît en raison du vide du porte-monnaie, et il n'est plus que le réchauffement climatique anthropogénique qui, encore un peu, leur voile, de moins en moins, la véracité de l'euro sous l'égide de l'Union-Européenne germano-étasunienne.

    Notre gouvernement, notre président et nos élus des chambres délibératives, les journalistes-chroniqueurs et autres experts de pacotille ne nous servant plus à rien qu'à mettre en place les petits caprices européistes sous les conseils malavisés, gonflés d'égoïsme, des oligarchies mondialistes.

    Il leur fut commandé de dire changement climatique à la place de réchauffement climatique, qu'à cela ne tienne, ils répètent tous changement climatique à la placeP1020644.JPG du mot réchauffement, ils ne savent pas pourquoi, ni ne comprennent d'où cela provient, mais qu'importe, s'il leur était demandé d'affirmer que le ciel est violet avec  des petites fleurs roses, ils diraient que nos cieux d'une belle couleur violettes sont joliment décoré.

    Certains en feraient même des poèmes et des chansons.

    Il est à remarquer que ce sont les écolos et les féministes extrémistes qui se retrouvent à avoir leur cervelle la plus rongée par ces tromperies et que, tout de même, les médiats papier font preuve d'un petit peu plus d'honnêteté que de ceux radios et télés.

    Ainsi, si s'accroit la proportion de gens qui ont retrouvé leur état normal par la contrainte de leur appauvrissement et ont recouvré leur identité en chassant de leur esprit, non encore totalement, les fantasmatiques histoires abracadabrantesques dedans lesquelles nous baignâmes pendant tant de décennies;

    Les propagandistes de ces foutaises du-moins, eux et ceux qui les écoutent encore, continuent de s'enfoncer dans ce monde imaginaire d'où leurs certitudes se font l'inverse de ce que peut être que la réalité.

    Ce monde imaginaire, digne de celui du pays du Jamais-Jamais d'un Peter Pan infantile, mêlant angoisses  archétypales et impression d'une éternelle perfection, étant conforté, de plus, par cette sensation inconsciente mais puissante de non existence qu'il vient remplacer.

    De ce vide mental, cosmique, qui en vient à accroitre P1030485.JPGautant le délitement de leur pensée structurée que de leur identité propre, puisque les informations qu'ils perçoivent montrant le réel est l'exacte inverse de ce qu'ils racontent eux-mêmes et, ce, sans qu'ils en aient de véritable intérêt, sauf d'être acheté d'un petit peu d'argent  autant que de pouvoir, ce qu'ils savent également.

    Leur faisant perdre, pour certain définitivement, leur intelligence naturelle, leur potentiel, c'est pourquoi il y eut des ministres qui montrèrent à la face du monde qu'ils ne connaissent même pas les mathématiques les plus basiques, la règle de trois.

    Désormais, depuis le début de la révolte des gilettistes, le nombre de gens qui croient en ce qu'ils racontent se réduit, tous médiats et partis politiques officiels confondus.

    Jusqu'aux dites classes-moyennes hautes à supérieures qui en viennent, elles aussi, à s'appauvrir, ainsi se réduit doucement le nombre de ceux qui se fient encore à ces foutaises conceptuelles.

    Ainsi, à un moment donné, peut-être pas si lointain, elles ne seront plus considérées historiquement que comme le reflet d'une époque.

    Et  nous ne sommes pas loin de ce jour où, de ces journalistes en vue grassement payé déblatérant n'importe quoi sur ordre et de nos  élus nous contant de belles mais fausses P1030245.JPGvérités, plus personne n'en écoutera les sornettes.

    Que de ce principe de plaisir dedans lequel ils s'enfoncent encore, viendra en remplacement le principe de réalité qui les réveillera violemment.

    Peut-être en se retrouvant à ce moment là à devoir faire face à la colère du peuple, de ce mot devoir dont ils ont oubliés le sens et, ce, jusqu'à la moindre lettre.

  • Diverses réflexions autour du vilain virus.

    Si j'ai retiré mon dernier billet c'est que j'avais oublié qu'il n'y a pas qu'une seule sorte de patriotisme quand, de fait, il est multiforme (ce qui sera peut-être la base d'une réflexion future), c'est pourquoi il pouvait être dangereux, non pas en ce qui me concerne, mais pour nombre de mes lecteurs qui considèrent mes libelles comme décrivant une évidence quand, en fait, ils font surtout preuve de ma sincérité réflexive.

    Ce qui pouvait psychologiquement les troubler: nous en sommes tous à rechercher du sens à ce qu'il se passe en ce moment, mais que celui-ci, s'il est présenté de manière abrupte, peut ne pas s'accorder à la personnalité et aux penchants de certains peut leur être préjudiciable.

    Étant donné que les événements sont, en raison de leurs complexités, de type chaotiques, soient sensibles aux conditions initiales, c'est-à-dire imprévisible dans le temps, tant en ce qui concerne les choix de chacun que de leurs effets, bien que nousP1030471.JPG verrons plus loin qu'il est possible d'en délimiter, pour parties plus ou moins importantes, leurs natures.

    Il serait possible de dégager un certain nombre de positions et de supputations de compréhension desdits événements.

    Par exemple, Bernard-Henri Levy, qui est à la philosophie ce que les jeux de construction pour enfant sont à la maçonnerie, a dit qu'un virus "c'est con, c'est bête, ça n'envoie pas de message".

    Dans le fond il a certes raison, toutefois s'il considère démocrates les néonazis ukrainiens qu'il était venu saluer après leur coup d'état dans leur pays, ceci à la vue de ses origines, je doute qu'il puisse saisir ce que veut dire la nature de la démocratie, de l'histoire tout comme de ce que peut être qu'un message.

    Une crise, ici sanitaire et pandémique, est un révélateur d'instabilités de toutes sortes, mais aussi peut faire apparaître un processus que Carl Gustav Jung et Wolfgang Pauli nommait synchronicité, c'est à dire, de la définition qu'ils en donnaient: "... est l'occurrence simultanée d'au moins deux événements qui ne présentent pas de lien de causalité, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit" (définition empruntée à Wikipédia).

    J'imagine que notre boite de mécano de la philosophie doit connaître cela tout en P1030138.JPGn'ayant pas les capacités de le percevoir ici.

    C'est ce processus que j'ai étendu à des populations entières en perte d'identité pour de nombreuses raisons et qu'elles redécouvrent lors de leur claustration, là se trouverait ce message qui,  en ce cas, provient purement du plus profond de notre psyché et non pas de ce virus qui n'en est que l'élément déclencheur.

    Ce n'est pas par lui que s'est généré ce message mais bien par notre inconscient collectif qui se serait mis en phase avec celui sociale.

    Un autre exemple, venant en écho du séisme de Maastricht le 14 Avril 1992, suivant la signature du traité du même nom le 7 Février de la même année, c'est celui qui advint en Italie du nord le 16 Avril 2020 qui, comme il en fut du précédent, fut ressenti en France, et qui annonce, à mon sens, une détermination nouvelle chez-nous comme pour nos voisins, ceci en un même phénomène de synchronicité.

    (J'écris ça,  mais je ne pense pas qu'il lise mes lignes, ça me fais tout de même plaisir de montrer les limitations de ce monsieur m'as-tu-vu, remplit à raz bord d'emphase, souvent va-t-en-guerre, aux notions démocratiques plus qu'étriquées et seulement verbeuses.)

    C'est fou ce qu'il peut se dire sur le WEB et, en cela, nous pouvons en apprendre plus sur la position de l'Allemagne et de la Hollande au sujet des coronabonds, surtout, en filigrane du visionnage de ces deux vidéos (et des bas) ici puis , nous faitP1030246.JPG comprendre autant leur réelle raison d'être et leur refus par ces deux pays, mais surtout ce que cela exprime.

    Ces coronabonds, donc, furent présentés, sur une idée italienne et française, par les européistes eurolâtres pour empêcher les nations composant l'Union-Européenne de la quitter en rendant impossible de déterminer qui détient les dettes de qui en UE.

    L'Allemagne, la Hollande et l'Autriche en refusent l'idée parce que, se dit-il, elles ne veulent pas prendre lesdites dettes à leur charge.

    Mais sachant que leur retraites sont par capitalisation (la nôtre est par répartition), et que les pays sud-européens sont ruinés, j'en déduit donc que la spéculation par leurs fonds de retraites (Blakrock et autres...) ne peut plus engranger suffisamment d'argent pour pouvoir payer leurs retraités, puisqu'ils nous ont pompé toutes, ou presque, de nos richesses, aux français, aux italiens, aux espagnoles, aux portugais et aux grecs.

    Ce qui pourrait aussi expliquer pourquoi l'union, aujourd'hui tenue par les allemands, n'a que très très peut agi tout au long de cette épidémie et que, de plus, elle appelle à ce que toutes ces dettes accumulées par le sud soient remboursées au plus vite:

    P1030652.JPGL'idée que j'y développe ici c'est que les trois états sus-nommés ne veulent pas que l'UE€ soit détruit par eux-même mais, voulant en sortir, font de manière à ce que ce soit ceux du sud qui l'anéantissent en s'en retirant, écœurées, la France et l'Italie suffisant pour cela.

    D'ailleurs nous pourrions nous demander pourquoi le gouvernement de ces deux derniers pays ne se sont-il pas préparés dès Novembre dernier à cette pandémie, puisque l'OTAN en avait été averti dès cette date par les forces US, ne serait-ce qu'en en prédisposant, dès avant, le terrain?

    Il est vrai que celui français gesticulait et n'avait d'objectif que de la réforme des retraites en ne voyant rien d'autre, puisqu'il n'était et n'est composé que de neuneus, tout comme peut l'être notre état profond, notre oligarchie strato-financière, comme les dénomme Emmanuel Todd.

    Comme je l'avais expliqué auparavant, ce sont les paradoxes relevés qui  peuvent nous montrer au mieux la réalité quand celle-ci nous est cachée.

    Ainsi revoyons-nous poindre Madame Buzyn au centre d'un nouveau scandale, cette dame, toujours autant visible, faisant perdre patience à ses confrères du REM (toujours des radioéléments) à force de montrer part trop les petites manigances ayant lieu au plus haut de l'état, disant, volubile, ce qu'il faudrait taire pour ne pasP1030636.JPG accentuer la colère populaire.

    Faut-il que ce soit un certain Philippe Murer, économiste de son état, qui, il n'y a pas, comme d'autres, ce fit avoir par les sons mélodieux de la sirène Le Pen et RN, qui, comme cette dame à la logique approximative, est contre l'euro mais pour l'union, ce qui est en soi contradictoire puisque il n'y a pas de processus pour se défaire du premier sans quitter le second (sachant qu'elle est avocate et que lui est économiste, ne pourrions-nous pas nous interroger d'une certains hypocrisie ou d'une toute bête naïveté? );

    Faut-il, dis-je, que ce soit ce monsieur qui nous informe que Madame Buzyn, comme d'autres médecins, soigne des gens à l'hydroxychloroquine en raison de leur célébrité quand, dans le même temps, ce traitement est, normalement, interdit pour le reste de la population?

    Mais bon, la question véritable n'est pas de savoir qui la présente et, de fait, qu'importe de qui provient cette information, le principale étant qu'elle nous parvienne et d'en percevoir les soubassements politiques (toutefois sans le Rassemblement National Macron n'aurait jamais été élu, la se trouve le macro-lepénisme).

    Pour en comprendre la trame il me faut faire un bref retour  à l'une de mes hypothèses qui, de plus en plus, apporte son lot de confirmations, la rétrogression historique.

    Nous vivons aujourd'hui une façon de coup d'état discret qui avait commencé sous Hollande au moins (ce qui montre que ce ne sont plus nos présidents ni les premiers P1010524.JPGministres qui dirigent la France, eux qui ne sont plus que des DRH), en effet, il n'est plus le moment de la troupe tirant sur les foules comme lors du coup d'état de 1851 par Louis-Napoléon Bonaparte, aujourd'hui Monsieur Macron et son équipe se contentent juste de rendre impossible tout mouvement de foule de type de celui des gilettistes par leur confinement ou, auparavant, en mutilant et gazant (tiens, tiens) des manifestants.

    D'où leurs freins à tout rompre de la fourniture de test et d'un traitement efficace pour toute la population.

    De laisser mourir les vieux dans les EHPAD n'étant qu'un moyen de faire des économies, sur une idée de Jacques Attali, comme je l'avais expliqué le 14 de ce mois dans mon billet précédent:

    Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".

    Mais de maintenir chez-eux les gens par ledit confinement mène à un arrêt drastique de l'économie, ce qui y génère de très gros dégâts, ceci d'autant plus queP1030325.JPG nos voisins, eux, ne vont pas tarder à déconfiner les leurs populations.

    D'où le projet de Mr. Macron, Emmanuel 1er, de débuter celui-ci dès le 11 Mai, ce qui est le lendemain  de la date anniversaire du début de l'attaque allemande de 1940, comme le fit remarquer François Asselineau.

    (Nous sommes entrés, au moins en Europe, dans une dynamique historique complexe où y interviennent divers processus dont voici à mon sens la liste que j'ai déjà étudié avec vous le long de ce blog:

    -à cette rétrogression historique dont je situe le début, donc, dorénavant, à la seconde moitié du XIX° siècle;

    -s'y rajoute la perte d'identité des populations multifactorielle et sa ré-émergence actuelle par l'apparition synchronique de cette pandémie au COVID-19 conduisant à notre confinement pour cela nécessaire;

    -la levée du brouillard conceptuel qui avait commencé à recouvrir le monde depuis la moitié de années 1980 environ;

    -la disparition progressive de l'économie-monde monétariste par la faillite des monnaies;

    -l'effondrement progressif de l'empire thalassocratique que sont les États-Unis-d'Amérique en un reflet inversée de ce que fut la disparition de l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques en 1991, vous remarquerez que cette dernière disparition fut accompagnée par l'apparition de ce brouillard;

    P1030641.JPG-et, c'est ce qui nous intéresse ici, l'achèvement en cours de la compulsion de répétitivité que je situe, là, de la fin de la guerre de 14/18 jusqu'au début de la guerre froide vers 1950 qui, plutôt que de conflit armé, sauf de faibles intensités dans différentes parties du monde, il s'agit le plus souvent de rapports de forces économiques.

  • Réflexions philosophiques : de l'accélération des conjonctures.

    Il ne suffit que de se pencher un tant soit peu sur les événements qu'il nous est possible d'appréhender pour percevoir que ceux-ci tendent à se suivre à une vitesse allant s'accélérant, les rendant difficilement compréhensibles.

    Ce processus n'est pas fortuit et ne peut qu'être la résultante des mécanismes sociétaux déstabilisateurs tel que celle d'une surpopulation, d'une modernité informatique et électronique incomprise, d'une baisse de natalité plus ou moins liée à une monté du vieillissement, le tout duquel aucunes sociétés humaines n'étaient préparées.

    Rien que cela mène déjà à ce que l'esprit de chacun soit embué, rendant la pensée difficile, ce à quoi se rajoute le brouillard conceptuel dont je vous ai déjà raconté la trame, ensemble qui tend à perturber nos fonctions mentales, dès lors ceux pour qui la fonction consiste à décider, en tant que banquier, ministre ou autre, agissent à la-vite, maladroitement, sans pouvoir prévoir les effets de leurs actions.P1020120.JPG

    ( Étant entendu que je ne porte pas ici de jugement de valeur ou de moral sur cet état de fait mais tente de démêler les causes internes, premières, qui, avec l'indépassable dogme néolibéral, génèrent tous les errements actuels à toutes les échelles hiérarchiques des nations.

    Il n'est que de lire mon billet précédent pour comprendre que je considère aussi les rêveries gravement réactionnaires, voire totalisantes, des Extinctions-Rébellions, d'une anti-modernité toute relative de plus, n'est que l'un de ces multi-signes de ces divagations collectives. )

    Ce qui accroit d'autant plus ce phénomène, c'est cette accélération des processus sociaux et politiques, se produisant dans le même temps qu'une tendance générique au blocage intellectuel menant à amplifier cet appauvrissement des capacité mentales d'une part non négligeable des populations et, ce, à  tous les niveaux des hiérarchies sociétales.

    Ce à quoi nous pouvons rajouter l'établissement multidécennal d'une perte de mémoire sociale et d'un déni, plus ou moins puissant, d'une part des classes-moyennes hautes à supérieurs, autant des conditions du pays, de celle de sa position géopolitique que de chacun d'entre-nous, tous tendant à se dégrader, c'est ce que j'observe en France.

    P1030231.JPGSi, de plus, nous y rajoutons ce double mouvement qu'est cette unilatéralité idéologique d'un bon nombre d'acteurs de hauts niveaux, lié à cet effondrement idéologique dont je vous avais déjà fait cas, et de cette tendance d'une partie d'entre-eux à oublier leur responsabilité, du sens comme du bien commun, dont en France le macronisme et son chef en est l'exemple caricatural, ceci pour leur seul profit de très courte vue.

    Cet ensemble formant un chaos rendant un grand nombre de circonstances ardues à comprendre.

    il est à relever que cette déchéance tend à s'amoindrir lentement, ce brouillard tendant à se lever, mais, et ceci non pas seulement en Union-Européenne ou en Occident, ceux étant aux manettes du pouvoir, ainsi que leurs serviables agents, en sont souvent atteints bien plus que pour le reste des peuples.

    La Russie et l'Islande en restant les principales exceptions.

    Mais quels seraient donc les liens entre cette accélération croissante des conjonctures, de la difficulté d'en saisir leur logique interne et la baisse qualitative et quantitative multifactorielle de l'intelligence des acteurs principaux, politiques et économiques pour l'essentiel, bien que ce phénomène, d'une moindre façon, se soit plus ou moins étendu à l'ensemble des sphères professionnelles?P1030302.JPG

    Quand la situation, en effet, tend à devenir complexe, chacun des décideurs, pour tenter d'en reprendre les commandes, font des choix qui, en raison même de  cette diminution de leurs capacités mentales, ne se révèlent que modérément efficaces, voire totalement inefficaces.

    Ceci d'autant plus que ces  choix sont intimement liés à leur idéologie pour eux inaliénable et que chacun y recherche ses propres prébendes et autres avantages.

    Ce qui en accroit d'autant les instabilités du système sur lequel ils agissent et dont l'origine se trouve au cœur même de la-dite idéologie néolibérale, le rendant d'autant plus impénétrable, accroissant également sa vitesse de dégradation.

    Il est vrai que d'autres de ces acteurs essaient dans l'ombre de corriger les-dits systèmes, en économie notamment où cela se révèle à peine visible, presque inaudible (mais je les sens pleinement agissants), ou en politique où Mr. Trump aux USA tente vaillamment tout autant que vainement de redonner à son pays sa puissance industrielle d'antan.

     

    Un exemple intéressant est cette sorte de mixe entre guerre et batailles que mènent les turques à l'endroit des kurdes syriens.

    Il est déjà de s'interroger du fait que ce Rojava est d’obédience communiste tout en étant autant allié aux États-Unis-d'Amérique qu'à l'Union-Européenne.

    P1030135.JPGComme quoi mon hypothèse d'un effondrement idéologique allant au-delà de la seule UE se confirme, mais aussi que c'est ce type même de phénomène qui nous rend les faits peu compréhensibles.

    Vous pourrez, amis lecteurs, en apprendre beaucoup dans le site : "Chronique du grand jeu" où, des six derniers billet d'Observatus Politicus (à lire absolument pour comprendre la suite, au moins des trois derniers) , vous pourrez en comprendre la substantifique moelle, mais aussi des réactions des commentateurs, dont certains à la pointe de la connaissance de leur sujet, la plupart du temps complémentaires du billet d'origine.

    Vous observerez également que ce qu'il s'y raconte est le plus souvent contraire que de ce que nos journaux oligarchiques du privé comme du public, peuvent nous en conter.

    Autre phénomène rendant, là encore, les événements pour nous incohérents.

    De ces libelles jusqu'aux nombreuses interventions des commentateurs, le sens de ces événements s'éclaircit sérieusement par la cohérence qui y est apporté.

    Mais vous remarquerez aussi la rapidité avec laquelle ces événements eurent lieu, ce qui explique en grande partie les raisons qui fondent de ce que nous ne comprenons plus vraiment ce qu'il se passe.

    C'est pourquoi justement nos journalistes et autres chroniqueurs-spécialistes perpétuent, quoi qu'il se passe, la légende de "l'Amérique sauvant la paix et lesP1030017.JPG kurdes luttant contre les islamistes", en oubliant au passage que les turques, nos alliés directes par OTAN interposée et ayant un pas au sein de l'UE, emploient ces mêmes islamistes qu'à une époque ces journalistes disaient modérés, de ceux qu'il est imaginable que certains soient instigateurs des attentats qui ensanglantèrent la France.

    C'est bien parce qu'ils nous mettent au milieu de leur incompétence, leurs silences et mensonges dus à leur idéologie et leur intelligence limitée qui nous mène à ne pas y comprendre grand chose, d'en avoir une idée vague et, avouons-le nous, de s'en foutre complètement.

    Or il y a eu des morts parmi les troupes d'élites françaises, nos forces spéciales, et je ne pense pas qu'ils aient apprécié les reculades de notre gouvernement, vous remarquerez que sur ce sujet Jean-Luc Mélenchon jette de l'huile sur le feu, tout en oubliant certains des détailles les plus importants que je vais résumer pour vous plus bas.

    Il est déjà à noter que cette alliance contre-nature des kurdes syriens d’obédience communiste avec l'empire US est à mettre en parallèle avec le fait que la France-Insoumise ne veut  sortir ni de l'Union-Européenne, ni de l'euro, ni de l'OTAN, en disant vouloir les réformer, ce qui est impossible, je l'ai montré maintes fois.

    Alors allons voir ce qu'il à pu en être de la suite des événements possibles, je remplis P1030481.JPGles vides d'information par imagination:

    -annonce de Mr. Trump du retrait de ses troupes de Syrie;

    -profitant de cette aubaine, tentative de Mr. Erdogan de reprendre de l'ascendance présidentielle en Turquie (il avait perdu ses dernières élections) par l'ouverture d'un conflit d'avec le Rojava kurde syrien, l'accusant d'être terroriste, ceci avec l'alliance, c'est un  comble, des milices musulmanes extrémistes, ce qui est important de le souligner;

    -blanc-seing donné par Donald Trump Coincoin aux turcs de se lancer dans cette folle aventure;

    -forces turques dépassant les capacités de résistance kurde, appels de détresse de ces derniers à l'endroit de la Syrie et de la Russie qui viennent à leur secours;

    -recul dès lors sur tous les fronts des turcs, Turquie qui est au centre stratégique de l'OTAN et qui a aussi sur son sol une quarantaine de bombes atomiques US, fait également d'importance;

    -affolement du président US qui craint que ce pays ne s'en voit gravement déstabilisé mais aussi que la Syrie ne se retrouve à recouvrer l'entièreté de son territoire;

    -peut-être aussi un appel au-secours d'Erdogan aux étasuniens;P1030195.JPG

    -bricolage vite fait d'un accord de cesser-le-feu de cinq jour entre les belligérants par le gouvernement US, sauvant par là, au moins momentanément, le président turc;

    -signé par ceux-ci, contre, il est possible de l'imaginer pour les dirigeants kurdes, quelques avantages juteux;

    -accord qui ne peut que permettre aux troupes d'Erdogan de se rééquiper et de se regrouper, c'est pourquoi, de la part des gouvernants kurdes, de l'avoir signé est tactiquement absurde;

    -tout ceci s'étant passé en neuf jours seulement.

    Là nous entrons dans le flou mais essayons de l'éclaircir.

    En effet ni les russes, ni les syriens,  ni même les troupes kurdes ne doivent apprécier ce revirement de dernière minute des dirigeants de ces derniers.

    De plus, il est facile d'imaginer que personne ne soit dupe de tout cela.

    Mais ce qui est le plus remarquable c'est la folle impréparation de chacun des acteurs, hormis, ceci est à souligner, les syriens et les russes qui surent réagir rapidement, signe sûrement que ces événements avaient été prévus par avance.

    P1020151.JPGSurtout, les forces russo-syriennes se retrouvent maintenant en position de force, ceci d'autant plus que les étasuniens, comme les français, ont terminé de retirer en catastrophe leurs militaires du Rojava pendant cette bataille, faisant quoi qu'il en soit pensé à une fuite en une preuve de faiblesse.

    Le président turc se retrouve coincé, s'il se retire de Syrie il perdra l'estime de sa population, s'il continue cette guerre il est sûr de la perdre et si ses troupes restent là où elles sont actuellement cela génèrera des pôles de tensions très importantes pouvant se propager jusqu'au Kurdistan turc.

    Le président Trump, lui aussi, est en mauvaise posture dans son propre pays où l'état profond se fait les gorges chaudes de son amateurisme.

    Les musulmans modérément modérés (comme les appelle Observatus) de la milice d'Erdogan que, peut-être, il aurait aimé voir, peut-être non pas de disparaître, mais d'être grandement affaiblie, n'ont pas dû voir leurs effectifs si affectées que cela en un temps si court, ce qui serait un troisième échec pour lui.

    Là, vous pouvez voir que tout s'éclaire et que nous pouvons en tirer des conclusions partielles:

    -les militaires français n'ont plus aucune confiance en notre gouvernement;P1020899.JPG

  • Sur les routes de l'incertain.

    Comme vous avez pu vous en apercevoir, je fais dorénavant des textes courts.

    Je peux vous en présenter deux dans une journée ou un tous les deux à trois jours, cela suivant les événements et mon inspiration.

    Quand je prendrai des vacances je mettrai mon site, bien entendu, en repos, il en a bien  besoin, je vous en avertirai, cela va de soi.

     

    Ne nous le cachons pas, nous sommes tous en pleine incertitude: de quoi demain sera-t-il fait?

    A la pauvreté qui s'accroit et qui a mis les gilettistes dans la rue;

    Une équipe gouvernementale incompétente où nombre de gens se demande si elle ne virerait pas en un fascisme monétariste sous obédience oligarchique et germanique;P1020108.JPG

    Une désorganisation du pays qui gagne tous les secteurs de la société;

    Les usines et les exploitations agricoles qui disparaissent les unes après les autres;

    Une Union-Européenne dont tout le monde a bien compris qu'elle est à l'origine de quasiment tous nos problèmes mais de laquelle la majorité d'entre-nous, de peur, n'ose même pas songer à en sortir bien que le voulant résolument (d'où ce vote Le Pen qui est la résultante de cette double contrainte);

    Les mouvements politiques qui se délitent et dont ne reste plus qu'un R.E.M. que presque tout le monde déteste, un R.N. pour qui les électeurs votent en se pinçant le nez, se demandant à chaque fois s'ils n'avaient pas fait une grosse sottise, et une F.I. dont plus personne ne comprend rien;

    Des tensions internationales, entre les U.S.A. et l'Iran notamment, dont on nous promet la guerre sans que n'en soit saisi vraiment les raisons et en soupçonnant qu'il n'en  sera rien;

    Un président U.S., Mr. Trump, qui nous est présenté comme le pire des renégats mais que chacun au fond de lui-même plébisciterait presque pour la France;

    P1020040.JPGUn Poutine dirigeant la Russie et qui serait un tyrannique va-t-en-guerre mais que les français aimeraient tant en tant que président;

    Un président de la République Française dont chaque concitoyen conçoit autant comme étant un mioche, un drogué, un pauvre type, un malade mental ou un total incompétent, sans savoir vraiment ce qu'il est réellement et en ayant pour lui un important dédain;

    Une Allemagne qui, une fois encore, a réussi à se faire haïr des populations européennes et où, en France, il n'est pas loin que les vieux termes injurieux à l'égard des allemands reviennent;

    Une situation où tout le monde sent bien  qu'elle est bloquée, qu'elle nous conduit vers toutes les calamités, que chacun souhaiterait que tout se casse pour tout reconstruire tout en craignant que cela se fasse, tout en voulant que, surtout, plus rien ne bouge, en étant conscient que cela est impossible et en désirant une révolution que personne ne veut.

    A une dame à Paris a qui j'avais donné quelques conseils pour prendre en photo un bâtiment, je racontais ensuite, et elle était chaque fois d'accord avec moi, que les immeubles modernes sont laids au regard de ce qu'il se faisait auparavant, puis que le pays se désindustrialisait, que nous nous retrouverons à un moment donné à faire face à une effondrement économique généralisé, que notre équipe gouvernementalP1020069.JPG est composé d'incompétents qui fuiront leurs responsabilités dès alors que l'Union-Européenne s'en délitera... 

    Puis je commença à lui expliquer les immenses difficultés que nous aurons à affronter dès que le système économique globalisé aura cessé de fonctionner, à ce moment là elle avait fuit en ne cessant de me répéter 4, 5, 10 fois peut-être: "Je ne veux pas savoir, je ne veux pas savoir, je ne veux pas savoir...".  )

     

    Messieurs-mesdames mes lecteurs, à mon sens aujourd'hui nous nous devons de faire simple, foin de toutes ces angoisses.

    Certes la période est brouillonne, confuse, nébuleuse, désordonnée, désorganisée, tumultueuse, embrouillée, violente, excessive et cruelle, de telle façon que plus grand monde n'y comprend grand chose, en en étant anxieux sans en comprendre pourquoi.

    De telle sorte qu'une truie y perdrait ses petits au milieu de sa bauge et que le meilleurs des latinistes y perdrait son latin.

    P1020886.JPGEt que tous nous en souffrons d'une manière ou d'une autre, que certains en ont même perdu un œil ou une main.

    Mais il est plus vrai encore qu'un jour, bientôt, il nous faudra reconstruire le pays, comme après une guerre de grande ampleur, et à ce moment là tout le monde aura besoin de tout le monde, chaque français de chaque français.

    Personne ne sera là pour nous y aider, les Amériques seront aux cents-dixièmes dessous, l'Allemagne, détestée, se délitera, la Grande-Bretagne sera dans la même panade que nous en moins pire, nos autres voisins auront les mêmes chats à fouetter que partout ailleurs et la Russie devra revoir ses alliances à l'est de l'Eurasie.

    Nous nous retrouverons dès lors au-devant d'un beau merdier....., la belle affaire, c'est aujourd'hui qu'il nous faut donc nous y préparer et non pas quand nous serons les deux pieds dedans.

    C'est ça, faire simple: voir l'essentiel de la situation et écarter ce qui est inutile dans nos réflexions.

    Ainsi, c'est le bordel en France, c'est vrai, nous ne pouvons pas y faire grand chose pour le moment, c'est vrai aussi, nous devrons reconstruire un tissu industriel et agricole en partant de quasiment rien, c'est vrai également, la structure économique du pays est bousillée, c'est tout autant vrai, les mouvements politiques anciens neP1020020.JPG seront plus, oui, c'est encore vrai.

    Mais là, le renouveau est déjà présent, l'U.P.R., le connaissez-vous? Même d'autres partis existent, bien que souvent encore en jachère.

    Les médiats nous racontent presque que des foutaises, notre langue, le français, est bafouée tous les jours, l'école perd de son savoir quand elle arrive à le transmettre, le mensonge est érigé comme une preuve de probité, la publicité est vulgaire, l'Union-Européenne est dirigée par des médiocres, elle est irréformable et destructrice, c'est vrai, cent fois vrai, mille fois vrai, et alors?

    Les médiats nous content des salades, nous mentent ou rabâchent les mêmes sornettes que ce que l'oligarchie euro-atlantiste leur enjoignent de dire, alors, controns-les, lisons entre les lignes comme le fait si bien Tatiana Ventôse et son équipe du "Fil d'actu", vous verrez c'est très instructif (demandez-vous et demandez autour de vous pourquoi il faut dire aujourd'hui "changement climatique" sans rien y rajouter et répétez la question puisque personne n'en connait la réponse, moi si, allez voir ce que je dis au sujet du brouillard conceptuel).

    ( N'oubliez pas ce que je me répète sans cesse quand je ne comprends pas un événement: toute action humaine est toujours le résultat d'une résolution, quand  bien même serait-elle insensé: tout fait et est sens chez l'Être Humain même si ce sens est extravagant, absurde, sot, excessif ou dément. )

    La langue française est outragée, réapproprions-nous la, bannissons-y les mots anglais inutiles, travaillons jour après jour à y retrouver son exactitude qui fit d'elle P1020090.JPGce langage si apprécié d'antan partout en Europe, jusqu'en Russie.

    Redonnons lui ce renouveau qu'elle nous réclame et montrons par l'exemple et par l'éducation aux enfants que savoir est gratifiant.

    Quand à l'Union-européenne, ma foi, plus ça va et plus il y a de monde qui veut sa peau, même les classes-moyennes les plus hautes commencent à se demander si, par hasard, ce bidule plutôt débile ne serait pas la cause des déboires de leurs progénitures.

     

    Alors résumons-nous en y posant une conclusion:

    La société française est actuellement un véritable capharnaüm où tout part à vau-l'eau et il ne peut qu'en être de même partout en Occident au moins.

    L'économie mondiale est très mal en point et va craquer à un moment ou à un autre.

    Mais il faut dès maintenant commencer à nous préparer à réparer cette double déconfiture actuelle.

    Seules les savoirs, les connaissances et une entraide généralisée peuvent nous le permettre et que cela se fasse avec la plus grande des promptitudes.

    Nous serons seuls et devrons faire avec ce que nous avons.P1010260.JPG

    C'est pourquoi c'est maintenant qu'il nous faut y songer.

    Quand aux complexes divagations de l'époque, elles ne sont complexes que parce qu'elles ne sont que de pures divagations, ni plus, ni moins!

     

     

    THEURIC

  • Des idées au gré des flots.

    Ce billet, publié le 11 Janvier 2020 à 15 h 36, nécessite un rajout au lendemain, le 12 Janvier au sujet des syndicats en une couleur similaire à celle-ci, rajout que vous retrouverez dans la partie traitant de ce sujet.   )

     

    Chers lecteurs, bonne année,

    J'avais annoncé, il y a de cela déjà quelques temps, que je ferais un texte tous les trois jours environ quand se révèle à moi qu'un tel délais m'est impossible.

    De ce fait, vous devriez plutôt vous attendre à ce que j'en publie un tous les cinq à sept jours, bien que, suivant mon inspiration, il soit possible que ce délais s'écourte.

     

    Nous vivons une période autant dangereuse que passionnante et il est intéressant de faire un tour rapide sur ce qu'il se passe en ce moment.

    Par exemple, qui, de nos élus des chambres délibératives, a compris qu'en fait l'administration de l'Union-européenne est composé, objectivement, de personnalités pusillanimes qui, si elles ne se cachaient pas comme les derniers desP1020478.JPG capons derrière les états et les élus des pays composant l'union, n'oseraient même pas décider du millième de ce qu'ils exhortent aux états de faire?

    Qui, parmi ceux desdits gouvernements a saisi que les seuls à payer les pots cassés dus aux GOPE ce sont eux et ceux des partis politiques officiels ainsi que leurs composants d'un reste d'adhérent devenant élus parce qu'il n'y a plus qu'eux, et, de plus, il n'est que de craindre qu'un jour la population, incommensurablement exaspérée, n'en vienne, en France, à vouloir forcer la porte d'autres sièges que de celui du REM ou de Black Rock.

    Que de cacher ainsi l'origine véritable de nos ennuis, soit de nos liens indéfectible d'avec l'union qui, avec l'OTAN, dirigent désormais tout chez-nous, en France, pourrait fort bien, au vu de la colère populaire qui ne s'en vient qu'à croître, les mettre en grand danger de toutes sortes.

    Ce n'est pas ce que je souhaite, loin de là, mais il est facile de considérer possible que, dès lors que les français seront en connaissance de la véritable puissance nuisible de l'UE, de son origine, de son idéologie, de son cynisme et qui la dirige réellement, cette colère populaire se portera, en premier lieu, à l'encontre de ceux de nos élus nationaux qui leur obéissent et se taisent.

    D'ailleurs certains l'ont bien entendu qui se replient, depuis des années, voire des P1030668.JPGdécennies, sur les communes et les départements.

    Cette impossibilité de pouvoir concevoir un risque futur dû aux actions présentes ayant été le thème de mon billet précédent.

    Certes, il est logique de penser que s'ils ne le font pas, c'est précisément parce que celui de ceux-là qui, devant les caméras de la télévision, en révélerait la réalité pourrait bien subir autant le rejet de son parti que de se retrouver isolé au sein de l'Assemblée Nationale ou du sénat, d'en subir les foudres.

    Cette censure majeur signant, à mon sens, une ère d'un court moyen-âge fanatique que d'autres aussi comprennent, ce texte de Jacqueshenry et le commentaire qui en suivit d'un certain claude Brasseur le démontre.

    Ce dernier fait allusion à la dernière marotte débilitante à la mode en ce moment: la Terre serait plate.

    De ce niveau d'intransigeance et d'ignorance, nous ne pouvons plus parler de fanatisme mais de porter notre réflexion bien au-delà, dessus une folie des hommes multifactorielle contemporaine, ce que je m'était tenté, entre-autre, de définir en Juillet de l'année dernière ici.

    Il est vrai que ce n'est pas notre planète qui est plate mais bien leur cerveau.P1030020.JPG

    Cela pourrait vous surprendre, amis lecteurs, que je puisse faire un parallèle entre le silence de nos élus au sujet de l'UE et cette aliénation conceptuelle d'une présupposée Terre plate, qui, cela est visible sur le site vers lequel je vous renvoie, est elle aussi mise en corrélation avec cette histoire loufoque de réchauffement climatique anthropogénique censément catastrophique.

    Je pourrais tout autant y rajouter ce fumeux préjugé dit théorie du genre qui ferait l'imaginaire que ce serait la société qui déterminerait la sexualisation des personnes, et non pas la simple et pure biologie.

    Je vous renvoie là-dessus à cette vidéo de Tatiana Ventôse démontrant, surtout à mes yeux, que ce ne sont pas seulement nos élus des chambres délibératives et une part du peuple français qui souffrent d'une telle dérisoire démence, l'Espagne et sûrement d'autres peuples ainsi que de gouvernements et d'assemblées en souffrent tout autant.

    Oui, là se trouve la folie de nos élites, au même endroit de celle qui agite une partie, petite heureusement, de la population.

    Quand sa grande part n'est elle que plongé dans ce brouillard conceptuel dont je vous avais déjà fait écho précédemment.

     

    P1030038.JPGS'il y a, à mes yeux, un sujet géopolitique important, ce ne sont pas tant les événements se passant entre les USA, l'Iran et l'Irak qui, quand bien même un général iranien central dans la politique du moyen-Orient fut assassiné par Tonton Sam, ce qui ne peut qu'être considéré que comme un acte de guerre, une agression caractérisé contre un état souverain.

    Bien que cela soit gravissime et générera ses effets dans le futur, le fait majeur serait plutôt que dorénavant, les syriens comme les irakiens se révèlent être grandement patriotes, démocrates, avide de l'état de droit, au-delà de la confession religieuse de chacun.

    Du reste, de l'erreur de jugement d'une ou des deux parties impliquées, d'une provocation probable des faucons US à l'endroit de l'Iran, profitant des faiblesses d'un vieil homme, Donald Trump, ou d'une cabale ou d'un accord tacite que j'avais imaginé d'un: "Tu me tue Qassem Soleimani qui me gène, je t’éradique de tes mercenaires que tu m'envoie!", cette affaire se calmera, vous remarquerez que les iranien parle de 80 morts US lors de leur attaque aux missile quand le gouvernement étasunien, lui, affirme qu'il y en a eu aucun.

    Toujours est-il que cette affaire à assagit les rues iraniennes et irakiennes qui demandaient un changement de gouvernement, accalmie qui ne peut qu'arranger les leur respectif.

    Et que, le président US contraint et forcé d'envoyer des troupes au Moyen-Orient, se trouve donc en position de faiblesse lors des prochaines élections étasuniennes, lui qui avait promis, lors de la campagne électorale précédente, de toutes les rapatrier.

    Si d'ailleurs l'empire US ne réplique pas et ne s'engage pas dans un conflit contre lesP1020956.JPG perses après leur attaque contre deux bases c'est que, tout simplement il n'a plus aucun moyen de commencer une guerre de moyenne ampleur.

    C'est pourquoi ce fut plus qu'une faute, une gravissime erreur US, un abus de bêtise.

    Toujours est-il que cela ne peut que montrer les faiblesses grandissantes de l'empire US, ce qui ne peut que mettre les euro-béats en une panique ne pouvant que s’accroître, ce qui les poussera à accélérer encore plus leur politique néolibérale et de tenter de désintégrer les états-nations composant l'Union-Européenne.

    Voire même en ce que certains décompense gravement en montrant des signes de crise psychotiques, ou d'un usage immodéré de psychotropes.

    (Information de dernière minute: l'Iran reconnait sa responsabilité dans le crash de l’avion d’Ukrainian Airlines, ce qui éloigne définitivement tout risque de guerre avec les USA, tout en fragilisant ce pays de l'intérieur, mais aussi de sa position en Irak.)

     

    Il est possible que la grève de transports contre la réforme réactionnaire des retraites se révèle être un échec, que, faute d'argent, les agents de la RATP et de la SNCF reprennent le travail, ce ne serait, en ce cas, autant pour le REM des radioéléments, pour macron et son gouvernement, pour l'administration unioniste comme pour l'oligarchie ploutocratique euro-atlantiste qu'une victoire à la Pyrrhus.

    En effet, autant économiquement que politiquement cette grève à, pour beaucoup, contribué à affaiblir la ploutocratie française et le pouvoir en place,  rendant même l'Union-Européenne et ladite ploutocratie étasuniennes perceptible, voire manifeste, ceci tout en accroissant la colère populaire, ce qui peut mener à un début de P1030056.JPGsabotage des infrastructures ferroviaire, notamment.

    Mais il est de fait aussi, en percevant l'épuisement économique des cheminots, de ceux travaillant dans les dépôts de carburant et des conducteurs de bus et de métro, que d'autres fonctions sociales entrent dans la lutte, tel que les avocats dont la cessation de travailler ne peut qu'être que des plus visibles, sans toutefois que l'on ne nous soit fait mention dans les médiats d'autres professions moins apparents mais tous autant nécessaires pour le bon fonctionnement de la société.

    De surcroît et dans le même temps, ce même gouvernement vient de décider de suivre toujours les mêmes sommations recommandations expresses de l'UE, c'est à dire de remettre en cause le statut des fonctionnaires, ceci au moment même, je viens de l'apprendre dans l'instant, où les employés des banques se mettent en grève eux aussi.

    La question à se poser dès lors: serait-il possible que le pays ne soit en situation de blocage progressif, serions-nous en plein en une situation insurrectionnelle?

    Comme j'avais pu l'écrire précédemment, le macronisme, quoi qu'il fasse, se retrouverait au-devant d'une double contrainte difficilement surmontable: soit il cède, recule et retire ses projets de loi, auquel cas il se fera taper sur les doigts par l'union et par ses employeurs oligarchiques, soit il persiste ce qui détruira économiquement l'Union-européenne, sachant que la France est la deuxième économie de l'union.

    Il faut bien comprendre que, dorénavant, les français n'ont plus rien à perdre et je P1030218.JPG ne pense pas que les syndicats réussiront à faire rentrer le gréviste dans sa boite maintenant qu'il en est sorti.

    Vous remarquerez que nombre de postes importants de l'union est, dorénavant, occupé par des femmes, si, comme je le conçois, l'intelligence est asexuée, alors son manque ne peut que l'être tout autant.

     

    Une chose, peut-être la plus importante de toutes.

    Pour beaucoup de gens, ce qu'il se passe en ce moment est angoissant, la raison en étant que les événements actuels ne semblent pas avoir de sens.

    Pourquoi aujourd'hui se met-il en place autant de projets de loi néfaste pour la population sans aucune raison valide?

    Un réchauffement catastrophique se développerait-il, serions-nous en face d'un effondrement économique international, pourquoi les journalistes  des médiats officiels montrent-ils une telle morgue, un tel mépris, une telle haine envers le peuple?

    Certes des fonds vautours tournent autour du pays en attendant de se déchirer les lambeaux de richesse que la casse du système français apportera.

    Mais pourquoi donc le président de la République, son gouvernement et son parti P1030065.JPGpolitique, le REM, la classe politique officielle, bien que FI gigote un peu, RN faisant le mort, soit assassine le pays, soit ne montrent pas un acharnement quelconque pour le prémunir, pour le protéger?

  • Aphorismes!

    Je vous renvoie, pour ceux qui ne les ont pas lu, mes quatre séries d'aphorismes auxquels je n'ai apporté aucune modification hormis cet avant-propos.

    La situation politique actuelle semble évoluer à grande vitesse, je n'en ferais état que quand celle-ci se sera déterminé d'une manière ou d'une autre.

    Mon seul but ici est juste de faire comprendre à mes lecteurs que la ronde du monde n'est pas telle que nous pourrions croire, quand bien même ferais-je parfois erreur, ce que j'ai déjà exprimé part ailleurs.

    Les temps qui viennent peuvent nous entraîner vers les passions collectives, seule la conscience que nous en avons peut nous permettre d'agir en toute clarté du choix.

    L'esprit humain moderne est ainsi fait que la partie de nous-même la plus profonde est si tant oubliée qu'elle peut nous conduire à l'action et à la réflexion, sans même que nous nous en rendions compte, ne faisant dès lors que de justifier ce que nous faisons et pensons, sans même que nous puissions saisir les raisons desdites actions et réflexions.

    Le texte qui suit, enfin normalement, traitera du fait que, adultes, nous ne sommes pas des enfants vivant dans le pays de Jamais-Jamais de Peter Pan, Pan étant la divinité archaïque des grecs anciens dont la flûte est la représentation instrumentale la plus ancienne qu'il soit, retrouvé par des archéologues en os.

    En attendant ce nouveau texte,P1010825.JPG je vous représente mes aphorismes publiés en 2014, puis en Septembre 2018, le dernier en date, le quatrième, ayant été produit en 2019.

     

     


    L'obscurantisme, "état d'esprit réfractaire à la raison et au progrès" comme la défini Monsieur Grou, est le plus grand danger que nous nous devons de vaincre, le plus grand parce qu'il se loge au fin fond de tous les esprits, il s'y est incrusté et, ce, dans toutes les strates de l'échelle sociale, c'est lui qui peut nous mener à tous les cataclysmes (la cause en est ce brouillard conceptuel provenant des pervers narcissique qui nous dirigent).

    L'histoire ne donne que rarement des leçons, quand elle le fait personne n'écoute, ensuite tout le monde a oublié.

    Un mensonge répété fini toujours par être cru par le menteur lui-même, c’est le piège du mensonge d’état.

    Le contrôle des citoyens coûte cher quelque soit les moyens employés, c’est pourquoi toutes dictatures finissent toujours par s’effondrer, ruinées.

    Il y a un pas entre une idéologie et son suivit dogmatique, le principe de réalité rappelle toujours à l’ordre le dirigeant ou le renverse.P1020603.JPG

    Les magistrales avancées technologiques actuelles font oublier que tous systèmes trop complexes (et parfois simples) deviennent sensibles aux conditions initiales, c’est à dire chaotiques, du chaos déterministe, vouloir faire contrôle de la population grâce à l’informatique, quelque soit la puissance de calcul, rendra ce contrôle impuissant: un facteur crucial sera toujours oublié, ou ignoré.

    L'illusion totalitaire c'est de croire pouvoir tout contrôler, cela ne dure qu'un temps, contrôler tout le temps épuise et, progressivement, des espaces d'éventualités se libèrent, puis de possibilités, de faisabilités, enfin le peuple s'émancipe et chasse cette caste éreintée.

    Ne pas confondre technologie, science appliquée, science de la recherche (on peut ne rien trouver) et science fondamentale, c’est cette dernière qui nous manque parce que c’est essentiellement elle qui répond aux paradoxes, et les paradoxes font légions aujourd’hui, surtout en science.

    La réflexion en science politique est le fait de philosophes, qu'en est-il de la philosophie et de la science?

    Croire que nous sommes arrivés à la limite ultime de nos capacités de découvertes c’est être sûr qu’aujourd’hui plus rien ne peut évoluer, or tout, naturellement, P1020045.JPGévolue, même nos croyances, beau paradoxe, non?

    Un paradoxe est une vérité en devenir.

    Une société dominée par les femmes est de même nature qu’une société dominée par les hommes, violente, quand cette domination féminine ne se fait que pour la base de la société et non pas pour son élite c'est un mensonge et une manipulation, dès lors celle-ci ne peut que revenir en arrière parce que ce n’était qu’un moyen de contrôle.

    Nier les différences physiques entre l'homme et la femme est stupide, nier  les différences psychologiques entre l'homme et la femme, bien qu'à la mode, est aussi stupide, nier que l'intelligence est asexués est encore stupide, c'est là que se trouve le seul ferment pour une égalité homme-femme mais il est de taille.

    La domination de l'homme sur la femme ou la domination de la femme sur l'homme rend toute société instable et violente en raison de la frustration que cela induit chez la femme ou l'homme, mais l'égalité homme-femme générera, avec le temps, une spécialisation sexuée des métiers.

    Toute hiérarchisation est comme une échelle quasiment infinie, il y a toujours des barreaux au-dessus et des barreaux en-dessous, l'égalité des droits c'est bien, cela empêche, par la loi, que le malfaisant n'écrase le plus faible, quand le droit ne remplit plus cette fonction c'est l'un des signes des dysfonctionnements sociaux et de l'affaiblissement de la puissance publique, la crise en signera son rétablissement ou l’éclatement du pouvoir en place.P1020193.JPG

    Toutes dominations emploient trois subterfuges sous des formes parfois subtiles, parfois vulgaires:

    -La féminisation de l'homme;

    -L'infantilisation de l'homme et de la femme;

    -L'animalisation et ou la chosification de l'homme, de la femme et de l'enfant.

    Quand on y songe, la publicité infantilise souvent et les extrêmes droites animalisent, seuls les enfants croient en la dualité du bien et du mal, les adultes, non.

    Une morale trop rigide rend pervers parce qu’il n’est pas possible d’obéir à tous les préceptes puisque ne pas s’y plier est un péché et s’y plier part trop empêche l’esprit de s’élever, le frustre, ça s’appelle une double contrainte, là inconsciente.

    La recherche d’harmonie des contraires et l’inter-contrôle, ne serait-ce donc pas là la solution plutôt que de croire en la toute puissance d’une main invisible, invisible ou irréelle?

    Prendre un outil, l’informatique en exemple, pour plus qu’il n'est, n’est-ce pas être animiste?

    En politique, tout manipulateur l'est parce qu'il est manipulable, tout manipulateur P1020088.JPGse devrait de se demandé par qui il est manipulé et, s'il le sait, si celui qui le manipule n'est pas manipulé lui-même et par qui, parce que quand la situation aura changé, ce sera toujours ceux de ces manipulateurs qui sont au bas de l'échelle qui subiront les foudres de leurs anciennes victimes, ce ne sont que des fusibles facilement remplaçables.

    Un pouvoir est comme un fruit, il ne tombe que quand il est mûr.

    Tout pouvoir s'adosse aux savoirs, lorsque le pouvoir est ignorant ou s'est part trop contenté de la spécialité de l'air du temps il sera remplacé quand l'époque le nécessitera.

    Quand un pouvoir politique n'a plus de moyen de décision et d'action alors, pour exister, il fait n'importe quoi, comme une poule, il pond, quel est le pire des tourments que d'avoir le sentiment de ne servir à rien?

    Tout extrémiste oublie souvent, mais pas toujours, qu'il y aura éternellement plus extrémiste que lui et que cet extrémiste sera à jamais son seul et véritable ennemi, c'est pourquoi l'histoire est ponctué de petits meurtres entre amis de mêmes familles.

    C'est par amour de son humanité que l'extrémiste tue, du-moins le dit-il.

    Des médiats, ce n'est jamais ce qu'il s'y dit qui importe mais ce qui ne s'y dit pas, ou si peu, là est la réelle information.

    Les maffias ne font jamais que ce que font bien d'autres, de l'argent, avec, peut-être, un petit peu plus de violence.

    Un accord entre des états ne vaut que ce qu'il vaut, celui de l'intérêt des états,P1020038.JPG lorsque cet intérêt n'y est plus, même pour un seul de ces états, alors l'accord n'a plus de raison d'être, même pour un seul de ces états.

    Pour assoir sa domination il est toujours possible pour un pouvoir de désigner un bouc émissaire, le montrer ou même le faire venir, mais cela signe tragiquement sa faiblesse.

    Pour lutter contre une opposition puissante, un pouvoir affaibli peut avoir la tentation d'aider au développement d'une autre opposition, minoritaire mais plus immodérée, jusqu'à ce que cette nouvelle opposition devienne plus dangereuse que la précédente ou prenne le pouvoir.

    Une idéologie est comme une chemise, quand elle est vieillissante il ne sert à rien de la rapiécer, sauf à vivre en haillons il faut la remplacer, mais cela coûte.

    Il est sagesse, pour un pouvoir politique, de se plier aux désidératas d'une autre puissance plus puissante que lui et d'oublier le peuple, mais lorsque cette puissance s'atténue, il est folie de se plier encore à ses exigences parce que, à ce moment là, le peuple aura le dernier mot.

    Un pays est comme un navire, plus il est petit, plus rapide pourra se faire un P1020176.JPGchangement de cap.

    La violence d'un pouvoir montre toujours sa faiblesse, quelle que puisse être cette violence, quel que puisse être ce pouvoir.

    Il est dit que: "quand le sage montre la Lune l'imbécile regarde le doigt"; j'y rajoute: "quand le manipulateur montre la Lune il est bon de se demander pourquoi".

    Il est normal que dans les hautes fonctions politiques il y ait des silences et des mensonges, en revanche lorsque ces hautes fonctions politiques se mettent à se justifier, alors l'heure est grave.

    Un pouvoir n'a de limite que celle que le peuple lui confère, quel que soit ce pouvoir, mais encore faut-il lui donner à temps ses limites.

    Un pouvoir sans limitation est toujours voué à sa disparition en entrainant à sa suite tout ce qui est sous sa domination.

    Un pouvoir est toujours collectif, n'est que relatif et en vrai limité, il ne concerne pas seulement que la politique, loin de là, bien qu'elle soit la plus puissante, ainsi il est de ces pouvoirs qui sont ignorés par ceux-là même qui les détiennent.

    Pouvoir veut dire pouvoir, pas nécessairement intelligence, la sottise fit plus pour la disparition des empires que tout autre chose.

    Il n'existe plus, pour l'instant, de parti de gauche, ni de droite d'ailleurs.

    La gauche d'aujourd'hui est simplement républicain-démocrate mais il faut P1020430.JPGmaintenant définir ce que c'est.

    En temps de crise il y a deux choix, soit s'obstiner dans ce qui fut sa cause, le plus facile, soit oser l'inconnu de la nouveauté, le plus difficile, notre condition humaine nous contraint souvent à la paresse, elle n'est jamais une solution mais elle paraît tellement l'être.

    Une crise est toujours le résultat d'un aveuglement, les petits arrangement avec les principes rendent aveugle et les petits arrangements s'additionnent aux petits arrangements, infiniment.

    Ce n'est pas tant le moment de la survenue d'une crise qui est grave mais sa suite.

    Ô ces braves gens déclarant n'avoir pas vu survenir la crise de 2008, pourtant ils furent prévenus, parfois par des savants renommés, mais ils n'écoutèrent, hormis eux-mêmes, que les sirènes leur contant que les récits délicieux de la suave béatitude de leurs géniales décisions, ceux qui disaient que tout allait mal gênaient cette transcendance.

    C'est étrange, ce seraient les mêmes, imbéciles, qui conduisent leurs propres économies, et les nôtres, à la ruine et seraient, dans le même temps, des génies fomentant des plans réussis de manipulations complexes, seraient-ce des crétins géniaux ou de géniaux crétins?

    Nos élus détestent les crises mais font tout pour nous y conduire.

    Lors d'une crise quand l'homme politique en parle peu c'est que la situation n'est pas trop grave, quand il dit que la crise est derrière nous c'est que la situation est grave, quand il n'en fait pas mention c'est que la situation est très grave, mais si P1020246.JPGl'homme politique confirme l'existence de la crise c'est que la situation est désespérée.

    L'ennui des crises ce n'est pas tant les problèmes qu'elles posent que la difficulté d'y trouver des réponses efficaces.

    Considérer l'argent comme un bien, quelle drôle d'affaire, non, il est la représentation d'un bien potentiel, nuance.

    La gouvernance européenne fait toutes les erreurs possibles et imaginables, à croire qu'elle n'aime pas l'Union-Européenne.

  • Second exercice de style.

    Comme il en fut précédemment fin Juillet, pris par le temps, ici après avoir débuté un long texte qui, comme de nombreux autres, se retrouvera à la poubelle, je vais rapidement traiter de divers sujets en ne faisant que changer de couleur conjointement au nouveau thème.

    Ceux-ci porteront sur la violence à l'école, la conduite suicidaire de notre gouvernement, de la situation déplorable de l'Union-Européenne, de la disparition prochaine de l'oligarchie mondialisée et, pour finir, je reviendrai sur les pervers narcissiques.

    Je finirai en vous proposant quelques poèmes que j'avais, il y a longtemps, déjà publié ici et que je fais remonter du tréfonds de ce site.P1010654.JPG

     

     

    Les violences dans les écoles autant que celles, générales, des jeunes montrent, à qui veut bien y regarder, deux choses complémentaires, la perte de repère de cette jeunesse provenant de leur acculturation importante, mais aussi le refus des classes dirigeantes de percevoir les résultantes de leurs décisions multidécennales.

    De fait et à mon sens, ils sont la résultante de sept décennies de domination étasunienne sur la France, les uns par l'abaissement continuel de leur niveau culturel, de l'abrutissement incessant de ces jeunes par tout un ensemble de processus propagandistes remettant en cause leur identité, jusqu'à celle sexuée.

    Pour les autres, ce fut d'avoir choisi, pour pouvoir dominer la France, des plus sots aux plus corrompus de nos dirigeants tout en leur laissant à croire qu'ils sont les véritables élites du pays, parce qu'ils furent choisis par l'empire, ceux qui se font appeler les youngs leaders.

    Quand bien même seraient-ils gonflés d’orgueil, c'est en vrai autant pour leur obéissance servile que pour leur immense bêtise que le choix se fut porté sur eux (des êtres intelligents, doués de raison, hormis ceux souffrant d'une soumission pathologique, en viennent à se révolter dès lors que des décisions se révèlent par trop absurdes), ceux-là même qui, de plus, se retrouve aussi à diriger l'économie du pays en raison de la porosité substantielle qui existe entre le monde public et privé, il n'est qu'à voir ce que fut la vie professionnelle de Macron.

    C'est dès lors parce qu'ils craignent que ne soient découverts les effets désastreux de leurs décisions, ou plutôt de leur manque de volonté puisqu'ils ne font tous qu'obéir, mais aussi et peut-être surtout parce qu'ils ont peurs que si la population P1020059.JPGcomprenait ce qu'il se passe réellement elle ne se révoltât, que notre pseudo-élite cache ainsi la situation désastreuse dedans laquelle se retrouve le pays.

    Il en est ainsi de la violence multiforme de cette jeunesse égarée que du nombre réel de chômeurs, de la vrai situation économique de la nation que de l'état déplorable de nos forces armées, des pompiers et de la police, aussi que de tout un ensemble d'autres facteurs tous autant déplorables les uns que les autres.

    Que savons-nous donc de ce qu'il se passe dans les campagnes sinon pas grand chose?

    Ces gens n'ayant d'horizon que des banlieues.

     

    Je suis fasciné par l'espèce de conduite suicidaire de notre gouvernement.

    Depuis Juillet et le développement de l'affaire Bennala, le Président de la République et son gouvernement se retrouvent à tel point affaibli que deux ministres, et non des moindres, ont démissionné, Messieurs Hulot et Collomb, les rats quittant ce navire sur la voie du naufrage ( d'autres en sont sortis bien avant, comprenant rapidement que tout cela ne pouvait que les mener à la débâcle ).

    Or et comme de si rien n'était, le président, les ministres restants, les masochistes et les naïfs, ainsi que les élus du R.E.M. toujours en poste à l'Assemblée Nationale, ditsP1020008.JPG les radios-éléments puisque toujours devant les médiats, continuent tous leur politique comme si de rien n'était.

    Il y a ce quelque chose d'inconséquent dans cette façon de faire où, plutôt que d'attendre, même quelques mois, que la population s'apaise, ils continuent donc de force de perpétuer leur politique de démembrement du pays.

    En fait ils ont, pour l'instant, cette chance folle que la majorité du peuple soit infiniment plus démocrate qu'eux-mêmes.

    Là, le 17 Novembre, un Samedi, les automobilistes vont manifester en raison de la monté des taxes des carburants, ceci en bloquant les routes, ce qui ne servira à rien, nos olibrius gouvernementaux n'en auront rien à foutre.

    Ce qui est de fait une belle erreur.

    En effet, les contrepouvoirs français étant largement viciés et donc décriés puisque subventionnés par l'Union-Européenne, comme il en est des syndicats français faisant parti de celui européen, la C.E.S. (et vu aussi que les plus remuant des premiers secrétaires sont chassés par leur bons "camarades", comme il en fut à F.O. dernièrement), ces contrepouvoirs ne sont plus là pour tenir les gens, ce qui fait que, dorénavant, plus rien n'empêche la population à la révolte.

    Le 17 Novembre prochain personne ne peut dire comment cela va se finir, peut-être chacun rentrera chez lui en ayant le sentiment d'avoir essayé de se faire entendre de P1010829.JPGce pouvoir sourd, aveugle et muet, sauf pour dire des âneries.

    Mais il est aussi possible que cela ne se transforme en un état insurrectionnel que quiconque ne pourra faire cesser.

    Dans tous les cas la macronnie finira mal, très mal.

     

    L'Union-Européenne est au-dedans d'une situation déplorable.

    Les raisons en sont simples : l'empire U.S. avait bâti cette union avec l'aide d'une Allemagne qui en était l'encadrement principal.

    Et puis progressivement, la puissance impériale diminuant, la Germanie se retrouva à la diriger seule, sans les ordres provenant des ricains, sauf quelques fonds vautours qui trouvent toujours de veules gouvernements pour leur vendre les bijoux de familles de leur pays, comme Alstom en France, ou d'autre pour acheter des avions de chasse mal conçus, comme le F.35 par la Belgique.

    Du fait de l'éloignement des U.S.A. des affaires européennes, ne contrôlant plus dès lors les gouvernements, chaque pays de l'union tire dorénavant à hue et à dia pour les intérêt bien compris de leur propre pays, n'étant que la phobie de ceux du nord-ouest pour la Russie qui permet, un petit peu, d'aménager les susceptibilités de chacun d'entre-eux, et encore.

    Cela mène à ce que l'Allemagne redécouvre son très vieux fantasme d'une domination de l'Europe, d'une administration de l'Union-Européenne poursuivant,P1020056.JPG tambour battant, son programme originel, c'est à dire le démembrement des états-nations, l'Italie ayant débuté sa tentative réformatrice de l'U.E. par ses dernières provocations, à ce qu'en France la révolte gronde.

    Ce qui est le plus risible dans cette histoire c'est que dans nombre de pays il y  ait à la tête de ces états des pouvoirs qui, paraît-il, serait extrémistes et populistes, qui se diraient d'extrême droite, quand nous savons que, de fait, les pays de l'union sont très proches du gouvernement ukrainien s'affirmant néonazi, mis en place par ce qui se fait appeler l'état-profond U.S., leurs oligarques, quoi.

    Aucun ne remettant en cause l'existence de l'U.E. nous pouvons en conclure de ce que peut être la nature de cette union tout comme de ce qu'il peut en être les oligarchies euro-atlantistes, étasunienne comme européenne.

     

    Les oligarchies mondialisées se meurent.

    Ce ne sont pas tant les violentes baisses boursières qui les ruinent que de la désindustrialisation généralisée, qui en est la véritable première des causes.

    La preuve en est là: la baisse du prix des métaux industriels.

    Bien sûr qu'il y a la hausse du prix des carburants, la raison en étant que la P1020030.JPGspéculation se retire des bourses pour fondre sur les matières premières.

    D'ailleurs les moins sots achètent de l'or et les banques centrale, en cela, ne sont pas en reste, sauf en ce qu'il en est de nos guignoles qui nous gouvernent.

    En fait, c'est tout le système qui commence à s'écrouler et nombre de facteurs aggravant, comme la hausse des taux de la F.E.D. et des attaques contre l'euro, ne font qu'en accélérer le processus.

    Vous trouverez, bien sûr, un ensemble de réflexions là-dessus dans mon billet précédent.

    J'avoue que de vivre cela ne me lasse pas de m'intriguer.

    Né en 1958,  j'ai connu la fin des trente glorieuses et leur lente agonie, mais ce que je découvre au  fil des jours depuis une demi-douzaine d'années environ ne me lasse pas de me troubler.

    Qu'il m'ait fallu déterminer par moi-même la nature de la monnaie quand, dans le même temps, nombre d'économistes n'ont pas l'air d'en saisir la moindre trame m'est singulier.

    C'est pourquoi je ne cesse de m'essayer de comprendre la nature de ce délire collectif, ici même, dans ce blog.

    De tenter de saisir le pourquoi de ces gens qui détiennent tant de pouvoir et de tellesP1010746.JPG fortunes, censément sensés, enfin, semblent s'en donner l'air, prennent des décisions qui, à terme, ne peuvent que les mener à leur propre banqueroute.

    Certes, les causes à cela peuvent être évoquées facilement : surpopulation, explosion scientifique et technologique débutée il n'y a que seulement deux cent cinquante années d'âge environ, domination, pendant dix ans à peu près, de 1991 à 2001, par l'empire ultime que sont les États-Unis-d'Amérique de quasiment tous les pays, traumatismes multiples des peuples en raison de colonisations, de crises économiques et de guerres de grandes envergures tout au long du XX° siècle, transformations radicales de toutes les sociétés... pour les plus essentielles.

    Mais quoi qu'il en soit, cette perte de raison à toutes les strates sociales reste singulière et, à mon sens plus que de toutes autres choses, doit être impérativement étudiée.

     

    Vous trouverez ici la meilleurs vidéo sur la nature de la perversité narcissique que j'ai pu trouver jusqu'à présent.

    D'avoir été pote avec un pendant 35 ans j'ai pu l'étudier de visu et ai remarqué qu'il suffit de tendre l'oreille pour percevoir qu'il dit, au fil du temps, tout sur lui, tout simplement parce qu'il ne cesse de projeter sur les autres sa propre aliénation.

    Il est donc possible de percevoir quel a été l'élément déclencheur de sa maladie mentale et où se situe ses délires hallucinatoires, puisque toutes ses proies y P1020143.JPGbaignent sous la forme d'un brouillard conceptuel.

    Il faut toutefois faire attention puisque, en même temps, ce monde imaginaire dedans lequel il vit n'est, en aucun cas, le reflet de son vécu concret et réel, mais représente les réaménagements de ses malversations et de ses difficultés passées pour se donner bon visage, ceci pour être le centre de son monde, pour sauver son narcissisme grandement dégradé.

    Ce sont donc aux projections auxquelles il faut porter attention, soit tout ce qu'il dit de tous les autres, du moindre passant aux gens de sa famille, même et surtout ce qu'il exprime envers sa ou ses victimes, et non pas à ses récits romancés qu'il porte en Moi-Je.

  • L'excentricité comme mode de pensée.

    Le préfixe "ex-" renvoie ici au fait de porter "au-dehors", de mettre hors-de...", exprime donc, dans le mot "excentricité, de se placer hors du centre du cercle, d'en sortir.

    Excentrer sa pensée ne consiste pas à sortir du cercle, mais plutôt à s'éloigner de son centre, voire même d'en agrandir la circonférence.

    Sortir du cercle est, me paraît-il, de l'ordre de la folie, de la schizophrénie, du délire imaginaire...ou tout simplement, plus sainement, du résultat de l’œuvre artistique.  )

    Il s'agit, je le concède, d'un exercice périlleux en ce sens où cela peut facilement générer une relative asocialité si l'époque ne se prête pas aux concepts novateurs et/ou aux idées inédites.

    En revanche, cela permet de percevoir le monde et sa dynamique sous un angle nouveau, d'en rendre mieux compte de sa réalité.

    Je ne saurais pas en apporter de recette constitutive, je ne saurais pas dire comment faire pour avoir une pensée excentrique, le faisant naturellement sans en rechercher l'effet.

    Mais ce qui est remarquable c'est de constater combien ce centre s'est racorni autour d'un noyau dur composé de présupposés qui, pour nombre d'entre-eux, sont totalement insensés.

    Je vais donc montrer ici la nécessité de cette excentricité pouvant permettre un développement d'idées autrement impossible, ceci par deux exemples.P1010791.JPG

    Pour le moins, ceux qui se font appeler les gilets jaunes sont admirables.

    Et il n'y a pas que le gouvernement français que cela affole, les gouvernements des pays de l'Union-Européenne, l'administration non élue de l'union aussi ne peuvent que craindre que cela ne s'étende comme il pourrait en être, de leur avis, d'une pandémie.

    Déjà la Belgique et la Bulgarie en sont atteints et il se dirait même que l'Allemagne aurait aussi les leurs.

    Dans le monde également nombre d'états doivent craindre que la même révolte des gueux, des sans-dents, des gens de rien ne s'établisse chez-eux.

    Cette jacquerie, cette pas tout-à-fait sédition est donc admirable sur bien des points et la retenue de ses acteurs y est au premier chef, eux qui sont tant emprunt de colère et de désespoir montrent, à un macronisme ayant perdu la moindre légitimité, élu aux forceps d'une propagande éhontée, en ayant détruit, dans le même temps, tous les corps intermédiaires, des partis politiques aux syndicats, montrent dis-je à la face du monde l'esprit républicain d'un peuple qui, lentement, reprend sa légitimité.

    Mais au-delà de cela, ce qu'il faut retenir d'abord de ce mouvement c'est que, du bas de l'échelle sociale, les français se reconnaissent en tant que peuple un et indivisible, c'est pourquoi la Marseillaise fut tant entonnée, il n'est, que de le constater, que d'observer une carte des blocages s'étendant partout en France.

    Ce qui est dommageable, voire à terme dangereux, c'est le peu de représentants de l'immigration.

    Mais allons plus loin voulez-vous et réfléchissons aux raisons qui font que les macronniaiseux se voient ainsi contraints d'augmenter les taxes sur l'essence et tentent, très maladroitement, de vendre des automobiles censément moins polluantes (ce qui reste à prouver), à moteur électrique ou hybride, en interdisant la circulation des voitures anciennes, ceci lié à la hausse du prix de la nourriture.

    Tout cela étant inextricablement lié, la seule question de l'automobile se résumant P1010723.JPGau simple fait qu'il s'en vend de moins en moins puisque la population s'appauvrit.

    L'origine de cette monté du prix des carburants vient des U.S.A. (et oui, de si loin) et de la remonté des taux de prêt du dollar par la F.E.D. et de la cessation des Q.E., du-moins ceux officiels, vous trouverez, là-dessus, mes réflexions dans mon billet précédent au niveau des œillets.

    Ce phénomène, débuté avant les élections de Donald Trump, a diminué la quantité de monnaie mondialement disponible.

    En effet, à chaque fois qu'il y a une baisse boursière, une perte dans une opération spéculative ou de tout autre chose de ce genre, l'argent ainsi disparue l'est pour de bon, il n'existe plus au sens stricte du mot, il est reparti dans le néant dont il fut extirpé par la banque centrale U.S..

    Or, le système ne peut dorénavant exister que si et seulement si ces pertes sont compensées par un apport de nouvelles monnaies, les fameux Q.E., sinon c'est l'effondrement de l'économie-monde à terme.

    La raison en étant sa quasi-faillite puisque les banques et fonds d'investissement  ne survivent plus que grâce à ces opérations spéculatives hautement risquées, à des jeux d'écriture comptable cachant cette misère et à des prêts faits à des particuliers, des entreprises et des états pouvant de moins en moins les rembourser.

    Vu que le dollar ne remplit que peu ou plus du tout cet office, bien entendu cette monnaie doit se trouver ailleurs et l'euro se trouve tout désigné pour le remplacer.

    Il faut en effet savoir une chose, les bourses étasuniennes et européennes au moins se trouvent, en ce moment, dans une situation extrêmement préoccupante etP1010804.JPG peut-être même critique, ne cessant pas de faire du yoyo entre brusques descentes suivies de remontés.

    Ce qui signe le fait que les acteurs boursiers s'en dégagent pour se reporter sur les matières premières, la baisse boursière, puis que les banques centrales ne font que boucher les trous causés par cette fuite (dans les deux sens du terme), la remonté boursière.

    Mais étant donné la désindustrialisation mondiale n'allant qu'en s'accroissant, les matières premières industrielles, énergétiques comprises, ne sont plus intéressantes puisque leur prix ne fait que baisser en raison de cette destruction des usines et fabriques.

    Ne reste plus, dès lors, que les produits de bouche sur lesquels reporter cette spéculation monétariste, ce qui génère, pour nous, de l'inflation ne pouvant elle aussi que s'accroitre, ce qui diminue d'autant nos capacités d'achat.   )

    Pour revenir sur cet accumulation et hausse des taxes de tous genres, disparitions des aides d'état à la population, des impôts sur les grandes fortunes, privatisation de nos services publique, monté du prix de l'essence et du gasoil et tutti quanti..., la cause en est simple à comprendre:

    Il s'agit dorénavant, pour nos employés bancaires gouvernementaux, ces zélotes zélés de la globalisation joyeuse en fin de partie, sous ordre de l'oligarchie monétariste, de l'U.E. et de la Germanie merkélienne, de compenser les pertes monétaires de la spéculation par l'argent frais provenant de nos impôts, amendes et autres ponctions, ceci sous couvert de remboursement des dettes ineptes, lutte P1010783.JPGcontre un réchauffement climatique fantasmatique, réductions hasardeux de l'action de l'état dans les processus économiques, ..., cet ensemble de justifications oiseuses que nos croquemitaines ridicules nous déblatèrent à ravir.

    Il faut dire que la situation des banques européennes trop grosses pour être nationalisées faire faillite est réellement calamiteuse.

    Quand à ce qu'il peut en être de la réduction des impôts locaux à laquelle nous eûmes droit au début de législature de Monsieur Macron, ce ne fut que la tentative malheureuse et poussive de faire remonter un P.I.B. national mal-en-point, idée idiote provenant sûrement d'un Jacques Attali ou d'un Alain Minc qui, ni l'un ni l'autre, n'ont jamais rien compris à l'économie, hormis le fric qu'ils se foutent dans leur fouille.

    En fait, il faudrait refermer les frontières et se débarrasser de notre chère union pour que cela fonctionne, comme le font les britanniques en ce moment, mais ça, c'est une autre histoire.

    Pour en revenir aux gilets jaunes, l'autre chose à en dire est que la propagande euro-atlantiste et germanique ne prend presque plus et les déclarations tonitruantes de nos chroniqueurs (qu'aiment les alsaciennes) ne donnent plus les résultats escomptés.

    D'après ceux-ci, 77% de la population approuve toujours l'actions des gilétistes, connaissant le peu de probité des instituts de sondage, les 80 à 85% ne devraient pas être loin.P1020489.JPG

    Comme de logique, le gouvernement et les partis politiques officiels (passant dans les médiats) commence à paniquer, en voulant éteindre l’incendie pour les uns, en voulant récupérer le mouvement pour les autres, ils ne cessent de jeter allègrement une huile bien chaude sur un feu commençant à ronfler joliment (un feu ronflant ce n'est pas un feu qui dort, tout au contraire) tout en continuant à se décrédibiliser à tour de bras.

    Ce mouvement des gilets jaunes peut péricliter tout doucement ou continuer, d'ailleurs en suivant mon hypothèse de la rétrogression historique (en fin de page), celui-ci ressemble drôlement en un mixe de ce que fut le printemps des peuples en 1848 et de la commune de Paris, cela en un tout tout doux, tout comme Monsieur Macron a un petit air de Louis-Napoléon Bonaparte, dit Napoléon le petit par Victor Hugo, pas piqué des hannetons (je vous laisse à la joie de découvrir tout cela sur le net).

    Je sens que la VI° république n'est pas loin, le plus amusant en cela c'est qu'il risque fort que ce soit Monsieur Asselineau et son parti l'U.P.R. qui pourraient bien en être les fondateurs.

    Qui d'autre, en effet, sera encore présent lorsque le système économique monétariste mondialisé aura explosé?

    Ah, autre chose là-dessus, messieurs-dames certains des immigrés vivant dans les banlieues, surtout noir et/ou musulmans, que le personnel politique avait mis en P1020198.JPGplace depuis plusieurs décennies dans ces ghettos (appelons un chat, un chat) pour se cacher à eux-mêmes l'existence de tant de blancs provinciaux ruraux pauvres ( sachant que les arabes sont des blancs, cela va de soi ), je vous conseillerais de cesser de vivre comme si vous passiez votre existence dans un état dans l'état.

    Francisez-vous.

    L'histoire à montré qu'en France il peut y avoir un long laissé-aller puis que, d'un coup, après un changement de régime, le nouveau pouvoir veuille reprendre les choses en mains, avec brutalité s'il le faut.

    Or, vous faites parti de la société française, quelle que soit la façon dont vous êtes considérés, quoi qu'il s'en dise ou se laisse paraître, quoi que vous en pensiez, quoi que vous puissiez en supputer de sa véracité, que cela vous dérange, vous agace ou vous remplisse de joie, vous êtes français, ni plus, ni moins.

    Alors, sachez que l'effondrement de l'économie-monde génèrera la nécessité de reconstruire la nation, ses usines, ses fabriques, son agriculture, et que tous les bras, toutes les intelligences seront dès lors requises parce que nécessaires.

    Sans compter que ce pouvoir futur rejettera avec force ce misérabilisme hypocrite, ce racisme discret, ce vulgaire doudouisme, cette avilissante infantilisation dont vous êtes autant victime que vous en profitez, vous mettant alors dans une situation de port-à-faux si vous vouliez faire perdurer cette bassesse, ceci d'autant plus que votre religiosité de réaction n'aura plus de raison-d'être.P1020010.JPG

    Il vous faudra donc, dès lors, vous adapter à une société, dans ce pays dont vous êtes, que parfois vous ne connaissez pas ou peu, mais dont vous faites parti, et, suivant les régions (lisez ou visionnez les vidéos d'Emmanuel Todd pour comprendre ça), à vous confronter à un racisme pouvant se révéler violent.

    Pour finir sur ce sujet des gilets jaunes,  ce que craint le plus l'oligarchie ce serait la cristallisation de cette colère dans la population dans son entier, jusqu'aux classes-moyennes les plus hautes, d'où ses multiples tentatives pour discréditer ce mouvement.

    Ce que marque justement celui-ci c'est que maintenant la soumission populaire aux désidératas oligarchiques euro-atlantiste a disparu, cette seule colère étant la marque de la disparition de la peur, puisque une soumission s'établit sur ces-dites émotions primaires, colère et peur.

    Ce phénomène n'est que le début du processus de sauvegarde de la population, ensuite viendra le moment où s'établira une réflexion collective sur la nature de cette domination oligarchique, en un phénomène d'éloignement du brouillard conceptuel qu'elle avait généré et dedans lequel nous étions tous empêtrés.

    Par nature, cela ne peut que prendre du temps: on ne se débarrasse pas ainsi d'une manipulation multidécennale, toutefois le fait même que de plus en plus de gens en viennent à commencer à en comprendre l'essence montre que l'Union-européenne n'en a plus pour longtemps.

    P1020149.JPG 

    Comme vous pouvez l'observer, en s'éloignant du centre de l'entendement collectif du monde, il est possible de percevoir un peu mieux la constitution des événements, leurs intrications dyn

  • De la nature d'une provocation.

    Hier au soir je me suis aperçu que quelque chose n'allait pas dans les explication données des dernières manifestations et, surtout, des réactions   gouvernementales et chroniqueuses (ô la coquine).

    Comme je me le dis sans cesse dans ce cas, quelque chose ne colle pas.

    Ceci d'autant plus que, pendant plusieurs jours, les sujets que je voulais aborder n'arrivaient pas à s'écrire, signe que ce n'était pas les bons.

    Après une longue réflexion j'en suis venu aux conclusions que je vous propose en seconde partie.

    Bien entendu cela reste une hypothèse qui, je le pense, regroupe l'ensemble des événements ayant eu lieu ces derniers mois.

    P1010616.JPGD'autres phénomènes sont peut-être en jeu, ce en quoi je doute fortement.

    Il est de fait que quand le sens donné à un événement ou à un fait ne se révèle pas pouvoir englober tous les éléments constituant ce fait ou cet événement, c'est que l'explication qui en est apporté ne peut pas en être empreint de justesse.

    Ou dit autrement, c'est qu'il est, au-moins partiellement, faux.

    En cela les multiples et de toutes sortes provocations gouvernementales qui, se dit-on, n'auraient de seuls buts que de conduire à une exaspération populaire, menant à une augmentation de l'agressivité du mouvement des gilets jaunes, ceci affin que cela conduise à la monté en force d'une dictature macroniaiseuse, me paraît limité.

    Non  pas que cela ne puisse pas être pensé, l'instabilité psychologique de ceux qui nous gouvernent pouvant facilement les conduire à ce genre de calcul idiot et inefficace.

    Mais plutôt à ce que cela me semble limité et ce qui me fait dire cela c'est la démission de conseillés gouvernementaux dont un au plus proche du Président de la république.

    ( A propos de l'action de la police lors des manifestations, je vous conseillerais de visionner cette vidéo du journal "Le Média" lors d'un entretien avec Monsieur Dufresne, vous y comprendrez le pourquoi des violences policières.

    Souvenez-vous qu'un incompétent nommera toujours, en tant que subalterne hiérarchique, au moins aussi incompétent que lui, voire plus, et cela date depuis l'époque Sarkozy.P1010805.JPG

    Souvenez-vous aussi qu'un C.A.P. horticole nécessitait trois ans d'apprentissage il y a 45 ans de cela quand, aujourd'hui, les policiers ne sont formés que dans le tout petit délai de dix pauvres mois.

    Étant entendu que je m'adresse ici autant aux gilets jaunes, aux policiers, aux gendarmes qu'au citoyen lambda, dont ceux de la classe-moyenne la plus haute et de leurs sots suiveurs qui peuvent eux aussi, un jour ou l'autre, être confrontés à une situation difficile face aux représentants de la loi.

    A l'ensemble de la population française donc!  )

    Je vous propose donc mon hypothèse.

    Une oligarchie n'est pas une association de personnes dont tous les buts seraient tous convergeant mais bien plutôt le ralliement de personnalités détenant le pouvoir du moment, aujourd'hui c'est l'argent, ce sont les ploutocrates, hier c'était celui des armes, c'était les aristocrates.

    Ce ralliement se fait sur des intérêts collectifs bien compris, bien qu'il puise y avoir des conflits entre-eux, qui, en l'instant, consiste à ne pas perdre d'argent (ce qui adviendra tôt ou tard par la faillite de la globalisation), même si cet argent ne leur sert strictement à rien, une richesse, au-delà d'une certaine somme, ne pouvant pas être dépenser.

    P1010593.JPGJusqu'à présent, cette oligarchie s'était scindé en deux composantes, la monétariste eurolâtre, dont la fortune provient pour l'essentielle de jeux spéculatifs monétaires de toutes sortes et de la confiscation de nos services publics, tels que les patrons de Vinci, et l'industrielle qui, me semble-il intuitivement, tend à devenir patriote par pure logique d'efficacité manufacturière.

    Or les derniers événement me laissent à penser qu'au sein de cette première composante, essentiellement ploutocratique, s'expriment une dissension entre ceux qui sont germanophiles et ceux qui sont américanophiles & anglophiles auxquels appartiendraient ceux des conseillés gouvernementaux qui ont démissionné de leur fonction.

    "Bon", allez-vous me demander, "que cela peut-il faire qu'ils soient pour l'Allemagne ou pour le monde anglo-saxon, que cela va-t-il changer?"

    Il faut déjà savoir que l'on ne se met pas la perfide Albion à dos sans en subir les terribles foudres et il n'est que la Russie pour savoir comment faire pour en éviter les coups tordus.

    Mais au-delà de cela, ce qui, à mon sens, il faut comprendre, c'est que l'autisme suicidaire et provocateur du gouvernement provient de ce que la Deutsche-Bank se trouve désormais au bord de sa banqueroute.

    Il faut bien comprendre la différence de situation entre la France et l’Allemagne.P1010498.JPG

    Autant notre pays a, en Europe, le plus grand nombre de banques trop grosse pour être nationalisées faire faillite, la Germanie, elle, n'en détient qu'une seule, mais celle dont la faillite potentielle est la plus colossale, peut-être de toutes les autres tous pays confondu, et, se dit-il entre les lignes, même nationalisée elle ne pourra que mener le pays de Madame Merkel à la cessation de paiement.

    Si la Deutsche-Bank coule elle entraine tout le pays dans sa chute, les banques mondiales, les monnaies, l'Union-européenne et bloque, in fine, tout le système économique international.

    De plus, autant la proverbiale efficacité germanique mène ce pays à un solide dynamisme, autant sa tendance à l’unilatéralité idéologique le tend à poursuivre son mouvement jusqu'à l'absurde, et ici son dogme c'est l'ordolibéralisme, un néolibéralisme germanique au nom duquel toutes les nations de l'Union-Européenne sont mises sous sa férule ruineuse dans une longue et douloureuse faillite des peuples.

    L'Allemagne ne nationalisera jamais ses banques parce que cela contrevient à l’orthodoxie ordolibérale.

    Quand en France, à l'inverse, en cas de banqueroute généralisée (qui, quoi qu'il en soit, surviendra un jour ou l'autre), une conversion économique à l'Islandaise ne peut que survenir, accompagnée des nationalisations bancaires et de la mise en prison des personnalités les plus mafieuses et traitres à la patrie.

    Revenons maintenant aux oligarques germanophiles et américanophiles.

    Il est facilement imaginable de concevoir qu'aucun gouvernement ne voudrait que P1010577.JPGl'histoire désigne son pays comme étant celui qui aurait déclenché la banqueroute internationale, sauf bien entendu celui français qui, plus le temps avance, moins comprend quoi que ce soit de quoi que ce soit.

    Il serait même possible qu'il en soit de même de nos oligarques germanophiles.

    Ceci pour les raisons que j'avais pu indiquer ici et .

    Or, les épouvantables trous de trésorerie qu'ont la majorité des grandes banques mondiales, ceci sans compter les jeux spéculatifs dangereux auxquels se livrent nombre d'acteurs richissimes dans le monde, que ce soit de ces mêmes banques, de personnalités, de familles ou par le biais de fonds d'investissement, mènent à une instabilité financière grandissante, dont les pertes ne sont plus, pas ou peu compensée par un afflux de monnaie des banques centrales désormais quasiment tari.

    Dès lors les états n'ont plus d'autre choix que de passer la patate chaude de la banqueroute future à l'état voisin, ceci en en retardant l'échéance puisque personne n'y est prêt, surtout les U.S.A. de Trump et la Grande-Bretagne du joli mois de May.

    La première parce qu'elle doit réindustrialiser son pays véritablement exsangue, à toujours 102 millions de chômeurs réels il est visible que cette réindustrialisation ne se fait que très lentement, ce qui est normal, faire revenir sa masse industrielle perdue sur son sol ne peut que prendre du temps, ceci d'autant plus que son pétrole et gaz de schiste n'en a plus pour très longtemps (c'est pourquoi elle fait tout pour seP1010605.JPG récupérer les pays d'Amérique du sud producteur comme le Vénézuéla).

    La seconde pour des raisons similaire, soit sa réindustrialisation, qui, bien que plus rapide grâce à la dévaluation de la livre sterling, n'en prend pas moins un long moment, ceci d'autant plus qu'il lui faut attendre le réajustement salarial entre les produits importés plus chers à cause de cette dévaluation et la baisse du chômage ainsi que de la hausse des salaires.

    En revanche l'Allemagne, quand à elle, fait tout pour sauver sa chère, sa grosse, sa si fragile Deutsche-Bank, parce que si elle disparaissait quand elle disparaîtra, c'est l'Allemagne en tant que pays qui pourrait bien exploser avec elle par une scission de ses länder d'avec le pouvoir central.

    Ce dont nos oligarques germanophiles ont fort bien compris (il faut bien qu'ils comprennent quelque chose une fois de temps en temps, non?)

    Il leur faut donc aider la Germanie à remplir ce tonneau des Danaïdes qu'est la Deutsche-Bank par le truchement de notre gouvernement macronniaiseux en pompant les richesses restantes de la population.

    Oui mais voilà, cela mène à une double bronca (olé), celle du peuple via les gilets jaunes, mais aussi de l'oligarchie américanophile pour qui la survie des États-Unis-d'Amérique compte plus que tout.

    Et la paupérisation de la population française et européenne, ainsi que de la plus que révolte populaire gilettiste, met à mal l'économie mondiale, donc celle du dollar P1020036.JPGet, dès lors, celle des Etasunis qui, je le répète, ne sont pas prêts, très loin de là.

    N'oublions pas que la faillite de la Grèce menée par l'Allemagne, l'Union-Européenne et le F.M.I. accéléra grandement la désindustrialisation mondiale à l'époque, en 2011 me semble-t-il.

    Il y a donc un désaccord absolu entre l'oligarchie germanophile et celle américanophile sur la conduite à tenir en ce qui concerne la population française (si rien n'est fait même la classe-moyenne la plus haute sera bientôt touchée par leur paupérisation, ce qui semble être déjà le cas).

    Les premiers, pour tenter de ressouder le ralliement oligarchique entre ces deux composantes susnommées, poussent à bout les gens par une série de provocations, ce qui, bien sûr, réanime la flamme revendicative politique et économique des manifestants, et, pour certains, de leur agressivité, ceci dans le calcul que, par solidarité de classe, les seconds les rejoindront.

    Ces seconds, eux, ne souffrant que du seul brouillard conceptuel et au regard des délires gouvernementaux, s'éloignent des premiers et, faisant suite à l'exhortation de Trump envers Macron de faire sortir la France de l'union, pourraient fort bien adopter la bannière du France-quitte, voire même, pour certains, des gilettistes, ceci, pour l'instant, en toute discrétion médiatique, cela se passant dans le milieu feutré de ce monde.

    C'est là la seconde raison pour laquelle des conseillés et des ministres, ainsi que des P1010461.JPGparlementaires, démissionnent de leur poste, la première en étant que, par prudence, ils préfèrent s'éloigner de ce navire prenant l'eau de toute part.

    Je pense que, de plus, c'est Angela Merkel qui donne ses ordres à Emmanuel Macron et que celui-ci n'écoute plus d'autre personne.

    Si j'ai raison, alors nous devrions bientôt voir un renversement complet des discours tenus au-dedans de tel ou tel média suivant qui détient lequel.

    Mais surtout, surtout, surtout et en toute cohérence, cela voudrait dire que la Deutsche-Bank détiendrait une très grande part des dettes française, mais aussi celles de l'Union-Européennes, voire même celles de tous les autres pays européens.

    Sachant que le gouvernement allemand à placé des hommes à lui partout dans l'administration de l'union.

    Puis ce pays fera son germanoxit une fois que sa grosse banbanque sera sorti d'affaire, peut-être le 30 Février 20 019, à la saint-glinglin, quoi...

     

     

  • Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille.

    Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille.

    Je fais parti de ceux qui veulent montrer que la réalité se trouve au-delà des apparences, que ce dans quoi nous nageons n'est pas tel qu'il s'en dit habituellement.

    Écoutez Monsieur Asselineau, lors de ses conférences, c'est ce qu'il nous conte.

    La réalité n'est pas une maîtresse affable, elle ne raconte pas ce que nous voudrions entendre, mais elle montre ce qui est, sans fard, sans mensonge, sans façade, parfois tellement discrètement qu'il en est ardue de la comprendre, parfois d'une telle évidence que cela en éclaire la nuit la plus sombre.

    Il n'est point de la vouloir croire mais juste d'en saisir la vérité complexe au-delà de toute rêverie.

    Et en ces temps où l'ingénue se laisse porté par les cauchemardesques trilles des hérauts d'oligarques évanescents, il n'est plus que temps d'aller rencontrer cetteP1020008.JPG éternelle maîtresse d'école de la vie.

    Dépeint-elle l'enfer ou la paradis, ni l'un ni l'autre, juste la vie, notre vie, et l'existence du monde, de son cours, de ses joies et de ses tourments, de l'infinité de l'être.

    Nous vivons un trouble et nous ne voyons plus rien, or la réalité nous appelle, elle nous requière toujours à elle, en son principe, alors, écoutons là, elle a tellement de choses à nous dire.

    Parce que si nous lui restons sourds elle nous rappellera à  l'ordre sans ménagement.

    C'est ainsi.

    Combien ai-je de lecteurs?

    Un, ce jeune dont le pseudonyme est Hadès, dix, cent, mille, dix-mille ou plus, qu'en sais-je, je suis bien incapable de le dire, n'ayant pas trouvé moyen d'en avoir le chiffre, de comprendre comment fonctionne ce truc, d'autant plus que Hautetfort ne fait plus ce décompte, que voulez-vous, je suis de la génération de la télévision et du téléphone à cadran.

    Bien que cela me soit un tout petit peu frustrant, ce n'est pas pour cela qu'il faudrait me laisser un commentaire rien que pour me faire plaisir, en cela qu'importe, mon travail se poursuit.

    Mais quel est-il?

    P1010840.JPGD'expliquer que l'univers dedans lequel nous vivons est infiniment plus complexe que le sens que nous en donnons, que notre "entendement collectif du monde" est, en raison même de notre nature, limité et que le brouillard conceptuel qui nous englobe en pervertit le sens.

    Bien entendu que je fais des erreurs de perception et de conception, j'en ai fait, j'en fais et j'en ferai de nombreuses, mais c'est bien parce que je m'essaie de percevoir au-delà de ce qu'il se dit que, souvent, quand je parle, nombre de gens tendent à me fuir d'une manière ou d'une autre.

    Sauf si ce que je dis tend à répondre à des interrogations présentes et formelles et sans révéler mon identité sociale hiérarchique, soit mon cursus et mes emplois passés.

    C'est pourquoi également, même si j'ai de nombreux lecteurs, très rares sont les réactions et commentaires, ce en quoi je ne porte pas ombrage, c'est un fait, c'est tout.

    Dès lors, je ne m'en désole que très peu, pour la raison même que j'en comprends le sens.

    Comprenez bien que je ne me glorifie de quoi que ce soit ni ne pense avoir raison sur tout contre tous, je montre juste un phénomène que j'ai pu observer depuis bien longtemps.

    La raison en est simple à définir : je sors de la grille de lecture, sociale habituelle certes, mais aussi des certitudes communes.

    Lorsque, par exemple, je pose des réflexions sur des thèmes aussi différents que peuvent l'être la nature de la pensée, l'évolution d'Homo Sapiens Sapiens, explique les raisons mécaniques pour lesquelles il est impossible de privatiser un serviceP1010609.JPG publique, sinon de gravement l'affecter, ou celles qui fait qu'il est chimérique de vouloir réformer un système politique triplement verrouillé, comme l'est l'U.E., sauf à irrémédiablement le détruire, tout en donnant une définition de la monnaie...., ceci, de plus, en tant qu'employé d'une société de transport en commun à la retraite, conducteur de bus, et en abordant tellement de thèmes différents, je remets, non pas seulement en question, mais bien en cause notre structure sociale.

    En fait, la plupart du temps la lecture de la politique m'est plutôt simple, il en est ainsi du dernier petit billet de Donald Trump à son sortir de l'avion présidentiel, un touite de ce qu'il se dit, est facilement compréhensible.

    Il y disait en substance que, pour lui, il était insultant que Monsieur Macron puisse proposer la constitution d'une armée européenne, ce dernier lui ayant répondu que c'était ses conseillés qui avaient mal compris ce que le président français voulait exprimer.

    Ce qui pourrait ressembler à une réponse manquant singulièrement de courage, pas très maline ni subtile, mais bon, passons, la question n'est pas là.

    Il faut comprendre que les États-Unis-d'Amérique sont agités de deux émotions envers l'Europe, la jalousie et la peur.

    Sans elle, sans la France et l'Espagne ils ne seraient rien qu'une vague colonie britannique, comme le sont encore un peu, sinon dans les faits, du-moins dans l'esprit, le Canada et l'Australie.

    Leur statue de la liberté dont ils s’enorgueillissent, rien qu'elle, fut conçue et construite en France, sans compter que la fusée, la bombe atomique, l'automobile, P1010824.JPGla machine à vapeur et bien d'autres choses encore furent, elles aussi, conçues et mises au point en Europe.

    Sans les allemands qui, en masse, se sont émigrés aux U.S.A. son peuplement n'aurait jamais atteint celui d'aujourd'hui.

    Leur science, leur technologie, leur art étant, à la base, européenne, même le jazz et le blues, le meilleurs de leur musique, est la résultante du croisement des musiques classiques et traditionnelles européennes et africaines.

    En réalité, l'existence même des pays européens remet en cause l'exceptionnalisme messianique, plus ou moins teinté de religiosité, des U.S.A., qui n'est que la tentative collective de se persuader de leur propre existence en tant que peuple, là se trouve la raison essentielle, bien qu'inconsciente, de la construction de l'Union-Européenne sous égide impériale, leur volonté de notre destruction, dont l'origine provient de cette jalousie haineuse inconsciente de l'empire à notre égard.

    Parce que du fait de notre existence, de notre simple présence, ils ont le sentiment de n'être rien, du vide, du vent, du néant.

    A cette jalousie s'y rajoute la peur, et oui les étasuniens nous craignent au-delà de tout.

    Il se fait que leur armée n'est pas vraiment performante, il se disait même, au temps de la guerre froide, que l'Allemagne de l'ouest n'en avait pas confiance, leur préférant mille fois ses propres troupes et celles françaises et britanniques.P1020050.JPG

    Ainsi, quand on m'affirma que si les américains n'avaient pas débarqué en Normandie en 1944 nous parlerions allemand, je répondit que non, nous parlerions russe, la guerre n'aurait pas alors cessé en 1945 mais plus probablement en 1947, 48.

    Ce ne fut qu'en raison de la résistance anglaise lors du blitz de 1940, ce qui détruisit une bonne part de l'aviation germanique, puis des défaites allemandes en Afrique-du-Nord par les britanniques (quand les étasuniens y arrivèrent ce leur fut catastrophique), en Russie, lors des batailles de Moscou, Stalingrad puis du chaudron de Koursk, qui permit ces deux débarquements, Normandie puis Provence, mené, pour le second, par les troupes françaises, raison pour laquelle on n'en entend que peu parler, leur narcissisme flamboyant, leur nombrilisme, centripète, aussi, montre et démontre leurs immenses faiblesses.

    Sinon les forces anglo-saxonnes auraient été rejetées à la mer dès leur tentative normande.

    Il n'est qu'à voir ce que fut, pour eux, la guerre du Vietnam, la pire des avanie, la puissance de leur armée au regard de ce qu'était celle du Nord-Vietnam nous en montre tout.

    Et s'ils purent battre les japonais à la même période ce fut grâce à leur puissance industrielle et au nombre d'hommes à leur disposition, bien qu'il soit vrai que P1020102.JPGquelques bons stratèges de leur camp n'y furent pas non plus pour rien.

    Sans compter leurs déboires en Irak et en Afghanistan.

    C'est pourquoi les étasuniens, dès que la guerre froide s'achevât, n'eurent de cesse que de détruire les armées européennes, de les corseter au-dedans l'O.T.A.N., du fait de cette angoisse délirante et fantasmatique d'être envahi.

    C'est pourquoi, bizarrement, Monsieur Trump fit état de son drôle de sentiment d'être injurié par le président français, quand celui-ci ne fait que poursuivre, vaille que vaille, son étrange programme: continuer une construction européenne, dont les U.S.A. furent, ce qui est cocasse, à l'origine, que rares en Europe sont ceux voulant aujourd'hui conduire à son terme, hormis les esprits chagrins eurolâtres de plus en plus minoritaires.

    D'où cette sotte proposition d'une armée européenne et cette réponse cinglante, bien que surprenante, du président U.S. (notre pauvre Macron qui ne fait que répéter ce qu'il entend et qui, à chaque fois, se prend une baffe monumentale, d'ailleurs je me demande si certains ne s'en amuseraient pas, voire même en feraient des paris).

    Il est à remarquer que la Grande-Bretagne quitte certes l'Union-Européenne tout en restant dans l'O.T.A.N., la raison en étant encore une fois multifactorielle, toutefois ce pays considère que rester proche des U.S.A. est plus prudent, cela restant à voir.

    En réalité, je me demande si ma façon de fonctionner ne proviendrait pas du faitP1020065.JPG que mon système de croyance ne serait que peu développé, une façon d'infirmité sociale en quelque sorte.

    Il m'a fallu, avec le temps, apprendre toutes les lois non-dites de la société, d'ailleurs je n'hésite pas à sourire dans la rue, ce qui, je l'ai compris, n'est pas toujours bien vu.

    En revanche la nature humaine m'est infiniment plus facile, même si, pour la comprendre, il me faille me concentrer, mon problème venant de ce que, bien que ressentant mes émotions, je ne sais pas toujours laquelle s'anime, et cette compréhension de l'autre ne provient pas de saisir les évidences des expressions faciales et physiques, mais des sensations ressentis au plus profond de moi, parfois à me tordre de douleur.

    Ce qui fait que je ne sais pas toujours si ce sont mes émotions propres ou celles de mes vis-à-vis, c'est en cela que je suis une éponge à émotivité, enfin, avec l'âge cela s'est relativement radouci.

    Tout ça fait que je n'ai jamais vécu cette évidence sociale que vit la majorité des gens, ce que sont les croyances partagées.

    Sinon, mon enfance a été une masse d'incompréhensions rêveuses, mon adolescence fut un enfer, d'une solitude entière et mes gaffes magistrales.

    Bon, d'avoir été manipulé par un pseudo-pote pervers-narcissique pendant plus de trois décennies n'a pas été pour arranger les choses, il a d'ailleurs de la chance, je P1010531.JPGsuis dans la plus totale incapacité de lui en vouloir, c'est constitutif à ma structure mentale, si je lui ai envoyé une lettre déstabilisante c'est juste pour qu'il me foute la paix et, surtout, qu'il ne fasse plus de mal à quiconque, dans deux mois environ il craquera et libèrera celui ou ceux qui sont toujours sous son emprise.

    Le plus amusant c'est qu'il doit lire ces lignes et je ne pense pas qu'il y comprenne grand-chose, sauf inconsciemment; il pourrait guérir, même de son état psychotique de moins en moins latent, mais pour cela il lui faudrait, même à son âge, partir au loin, en Australie par exemple, pour rompre avec les rites qu'il doit dorénavant mettre en place pour tenter de sauver son mental défaillant, le choc civilisationnel le sauverait, mais je ne l'en pense pas capable.

    Enfin, c'est son affaire, par le mien, j'ai de la compassion pour lui, de la pitié, aucune.

    (La pitié est agissante, on souffre pour l'autre alors le devoir, la passion est d'agir pour l'amoindrir, la compassion, elle, n'est que la souffrance accompagnante, sans jugement mais aussi sans action pour en diminuer les effets.)

    Quoi qu'il en soit, depuis que j'ai un ordinateur je fais ce que j'ai toujours voulu faire: écrire pour déverser mes pensées qui, sinon, encombreraient ma cervelle.

    Et vous, amis lecteurs, vous devez vous demander, au-delà de cet épanchement, le pourquoi du titre de ce billet: "Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille".P1010746.JPG

    C'est que le poisson ne sait pas que l'eau existe puisqu'il vit dedans, tout comme l'Être-Humain dut attendre Lavoisier pour comprendre qu'il vit dans une atmosphère faite majoritairement d'oxygène, d'azote, d'eau sous forme gazeuse (sauf quand il pleut), de gaz carbonique et de méthane, plus quelques bidules qui trainent çà et là.

    Et notre problème du moment c'est que nous sommes comme le poisson dans l'eau, nous ne comprenons pas ou peu le monde dans lequel nous vivons, nous en avons la sensation, nous sentons bien qu'il y a une multitude de choses qui clochent, mais nous n'en saisissons pas bien la nature, parce que nous barbotons dedans.

    Alors on imagine...

    Or la réalité est là, au-devant des immenses et très nombreuses difficultés de toutes sortes qui s'amoncellent en face de nous, ardues à percevoi

  • De la prédictivité.

    Préambule:

    Je me dois, tout d'abord, m'expliquer des raisons pour lesquelles je n'ai pas écrit depuis près d'un mois et demi.

    Au décès de ma mère  en Mars et de la réorganisation de ma vie qui ne peut qu'accompagner mon deuil, je devais tout autant me débarrasser définitivement de ce pseudo-pote qu'est le pervers narcissique dont je vous avais fait état en Septembre et Octobre de l' année dernière.

    Il avais laissé chez-moi une multitude de choses, derniers liens qui subsistait de cette fausse amitié, ce qui, je m'en rend compte aujourd'hui, embrouillait d'un bon peu mon esprit, il est venu les récupérer il y a de cela un peu plus d'une semaine, c'est pourquoi, maintenant, je peux de nouveau m'épancher ici de mes conceptionsP1010793.JPG iconoclastes.

    De plus, de ce deuil de ma mère qui n'est jamais vraiment une chose simple, je dois réaménager mon emploi du temps puisque, depuis 8 ans environ, je faisais la navette de chez moi à chez elle, d'une heure et demi de route, pour lui tenir compagnie une semaine sur deux.

    Cette triple contrainte une fois disparue laissait en moi un compréhensible sentiment de vide qui s'acheva lorsque le malade mental qui me manipulait me libéra définitivement de son empreinte en emportant ses encombrants.

    C'est pourquoi j'ai pu écrire trois longs textes desquels je n'ai pu aboutir ni publier, n'ayant pas pu, pour se faire, retrouvé une stabilité suffisante.

    Bon, vu votre long temps d'attente je vous laisse un billet aux mensurations respectables, vous y aurez de quoi lire en vous y laissant en profonde réflexion.

     

    Prologue:

    Tant que l’on tiendra pour des demi-dieux omniscient et que tous voudront ressembler à ces êtres cupides, stupides, primitifs et ignares que l’on appelle les oligarques, ceci pour la seule raison de leur richesse monétaire, ainsi que de lorgner avec envie de l’autre coté de l’Atlantique, en direction de l’ultime empire en P1010827.JPGpleine décadence, les États-Unis-d'Amérique, en voulant faire de l'Europe un même empire, en pire, ou de n'avoir comme désir que de se vouloir devenir cet allemand toujours souffrant de son antédiluvien hybris, ceci dans la détestation de soi en tant que français, nous ne serons pas capable d’une efficacité quelconque.
    Le problème des personnes et des peuples intelligents provient de quand ils se pensent plus sots que des crétins desquels ils sont en relation ou quand ils désirent suivre la folie des autres.
    La bêtise et la passion sont comme des pandémies, elle se propagent et se partagent, de çà, c'est mon expérience qui me le susurre.

     

    Avant-propos:

    Ceci dit, venons-en au titre de ce billet, soit la prédictivité.

    J'ai inventé ce néologisme pour désigner notre capacité, plus ou moins efficace, de prévoir certains événements futurs, majoritairement dans les grandes lignes, que ce soit par intuition et/ou réflexion.

    Je n'y écarte pas les phénomène de voyance qui, à mon sens, appartiennent de la même dimension que la synchronicité, je ne vais ici que frôler ces deux sujets, ne lesinflorescence de mahonia ayant pas encore vraiment conceptualisé, mais, contrairement à ce qu'il s'en dit, l’a-causalité y est impossible, ce n'est pas en effet la causalité qui y est en jeu mais la nature du temps qui, de ce fait, n'est pas tel qu'il est perçu.

    Il n'y a pas, il n'existe pas de paradoxe temporel mais une inconnaissance de ce que peut être que le temps.

    Mais de conceptualiser cela va me nécessité de longues réflexions et j'en ferai peut-être cas un jour.

    J'y préfère pour l'instant de ne me pencher que sur les processus de causes et d'effets, si je puis dire mécaniques, en montrant que, déjà, de percevoir les règles et lois qui président aux situations peut permettre, dans les grandes lignes, de concevoir la dynamique historique du moment et, dès lors, d'en extrapoler un avenir d'un plausible au probable.

    Je vais donc tenter de dégager quelques outils qui vous permettront de mieux comprendre ce vers quoi nous allons.

    J'ai décidé d'être plus rude dans mes écrits, la raison en étant que nous nous rapprochons de la dernière phase de désintégration de la société néolibérale internationale à la forte tendance haute-moyenâgeuse, il me faut donc secouer mes lecteurs bien plus qu'à présent.

    Je centre toujours mes réflexions sur la France, autant parce que c'est mon pays, que j'y connais plus de faits, que parce qu'il est de nature de se retrouver au centre de toutes les attentions internationales, ceci d'autant plus depuis l'advenue du P1010336.JPGtraité d'Aix-La-Chapelle et du mouvement des gilettistes (J'abandonne définitivement le terme gilet  jaune qui, en réalité, est infantile et infantilisant.).

     

    Les ferments de nos divagations:

    Pour pouvoir comprendre le fond originel des folies de notre époque, l'ouvrage d'un anthropologue étasunien publié en anglais en 1966 et traduit en français en 1971, Edward T.Hall, "La dimension cachée", est d'une grande importance (lecture que je vous recommande vivement) où il y écrit ceci à la page 130 à la dixième ligne :

    (...si l'homme continue d'ignorer les faits observés au niveau infrastructurel concernant les conséquences du surpeuplement, il risque de provoquer un équivalent du comportement cloacal, si ce n'est pas déjà fait. L'aventure des cerfs de l'île James évoque l'image macabre de la peste qui anéantit les deux tiers de la population de l'Europe au milieux du XIV° siècle, bien que cette mortalité massive ait été causé par le bacillus pestis, la virulence de ce dernier fut incontestablement accrue par l'état de moindre résistance qu'avait entraîné pour leurs habitants le surpeuplement des villes médiévales et l'état de stress qui en résultait.)

    ( Dans cet ouvrage, il y montrait que dans l'île britannique de James, aux dimensions limitées, des cerfs y vivaient sans prédateur (je ne sais pas de ce qu'il en est aujourd'hui) mais mourraient en grand nombre de façon cyclique, du fait du seul stress dû à leur surpopulation, puisque il y avait encore suffisamment de végétaux pour alimenter tous ces animaux.P1010730.JPG

    Il est aussi à remarquer que la fameuse grippe espagnole,  de 1917/18 à 1919, qui fut plus meurtrière que la guerre elle-même, fait suite au stress intense due à la première guerre mondiale, vous constaterez aussi, sur ce texte de Wikipédia que le nombre par siècle de pandémie de cette maladie s'accroit au même rythme que s'amplifie la population mondiale, ce que vous trouverez également sur le même site, c'est la vaccination et les antibiotiques qui ont permis de réduire l'extension et les effets des maladies.

    Bien que vous pouvez noter, là encore, le délaissement de cette vaccination par une part notable de la population, phénomène notoirement autodestructeur et l'une des multiples conséquences de cette importante instabilité sociale.  )

    Ce n'est pas tant que cette surpopulation humaine soit en soi néfaste, mais qu'aucune société n'était prête à s'y confronter.

    Tout comme dans la profondeur de l'âme nous sommes toujours les chasseurs-cueilleurs que nous fûmes des centaines de millier d'années,  notre esprit, lui, reste forgé par les sociétés agropastorales qui durèrent dix à vingt siècles,  passant, parfois, pour certaines d'entre-elles, de la préhistoire à l'histoire moderne en quelques générations seulement, certaines société n'y entrèrent en effet qu'au milieu du XX° siècle à peine.

    DSC00103.JPGEt oui, notre modernité ne débuta qu'avec la renaissance européenne il n'y a que cinq cents ans tout au plus, lente en ses début, le siècle qui passe vit une accélération croissante des avancées philosophiques, artistiques, scientifiques, technologiques et de bien d'autres spécialités.

    A la fin du XX° siècle, elles furent, pour certaines d'entre-elles, foudroyantes, sans que cette évolution rapide n'ai engendré de nouvelles approches fondamentales depuis les 70 dernières années.

    Vous en remarquerez la contradiction.

    Et depuis le tout début de ce siècle il apparaît qu'un arrêt s'est produit en ces domaines fondamentaux, tout au plus pouvons-nous assister à quelques améliorations de détails, preuve que ce stress social atteint, aujourd'hui, son point culminant.

    Cette surpopulation est le facteur premier d'un choc civilisationnel d'une violence extrême que même l'européen peine à contextualiser, l'Union-Européenne tendant de plus à leur embrouiller une raison déjà défaillante.

    C'est le nombre qui rend fou par l'incompatibilité qu'il crée entre les us anciens, le sens donné au vécu, la compréhension de la vie et de la mort bâtie pendant de longsP1010447.JPG lustres, et une confrontation entre des vieux toujours plus vieux et une marée humaine qui se bouscule toujours plus.

    Et plus les villes sont grandes et peuplées, plus grande est cette folie.

    ( Commencez-vous à comprendre le phénomène du R.E.M. et du délirant attrait pour une union autant débile que débilitante, ruineuse de toutes les facultés et richesses des hommes autant que des femmes, auquel s'y rajoute les pressions déculturantes constantes d'un empire U.S. entré en déclin dès l'assassinat de J. F. Kennedy en 1963 et du retour actuel de l'hybris germanique autodestructeur.

    Mais ce n'est pas seulement l'ouest eurasiatique qui souffre de ces maux d'inadaptation, loin de là, mais bien quasiment toutes les sociétés d'homo Sapiens Sapiens. )

    L'informatique y venant rajouter sa fulgurance de communication, plus encore que la radio, la télévision, l'automobile, l'avions..., blessant parfois gravement les relations aux autres, des proches comme des lointains, en sa fausse évidence d'une connaissance encyclopédique tout autant virtuelle que partielle et de pauvres relations humaines par de seules images d'écrans.

    De dire cette évolution trop rapide est stupide, elle est ce qu'elle est et nous nous P1010482.JPGdevons de faire avec.

    Il n'est dès lors, pour chacun d'entre-nous, de sauve conduite que de prendre une conscience pleine et entière de ce phénomène, d'en dégager le substrat fait de délires nombreux et composites, puis d'aller puiser à l'essentiel l'entendement de ce qui nous anime, de comprendre puis de réduire en nous les effets de ce que nous croyons être la réalité mais qui n'est que la résultante d'un formidable stress collectif qui traverse autant les pays que les nations et qui nous conduit vers une abyssale divagation.

    Il faudra un choc violent pour que nous nous réveillions puis du temps avant que les populations comprennent ce qui leur est arrivé, mais avant cela nous devrons traverser bien des calamités, nous sommes allés trop loin sans que nous ne l'ayons recherché, il nous faudra faire un retour en arrière, revenir à un avant où nous ne nous décomptions pas encore en 7, 6 milliards d'Être Humains sur Terre.

    Encore une fois, je ne promets ni le pire, ni le meilleurs, je vous confie juste de ce qu'il me semble être notre proche devenir en analysant de ma position une  situation présente qui, si nous l'observons de près, recèle une multitude de contradictions dont il faut bien comprendre le sens, je vous soumets ici le résultat de mes méditations sur ce sujet primordial.

    P1010789.JPG

    De la cause à ses effets:

    Il est possible également de faire la liste non exhaustive des effets et contraintes sous-jacentes et inconscientes qui en découlent qui, dès lors, nous animent, ce sont ces bases sur lesquelles je m'appuie pour mes réflexions, les voici:

    -la compulsion de répétitivité centrée sur l'Europe, Russie comprise, et les États-Unis-d'Amérique, menant  à un ensemble d'événements semblables à ce qu'il s'était passé lors de la seconde guerre mondiale sous une forme surtout économique, le tout se centrant sur l'Allemagne.

    (Je suis tout de même stupéfait, quoi que je puisse en dire et puisse faire mon cake, de ce qu'il se passe actuellement où, en Grande-Bretagne, une Theresa May remplace formidablement un Neville Chamberlain, tout autant que Boris Johnson remplace à la perfection Wiston Churchill.

    Plus encore, Mme. Merkel fut prise par deux fois d'un fort tremblement, ce  qui ne faire me fait penser à ceux dont souffrait Hitler, parkinsonien, vers la fin de sa vie.

    A suivre...)

    -tout début de la réappropriation populaire du passé et des traditions du pays par P1010741.JPGcet "Étrange Attraction des Peuples pour leur Inconscient Social"  que je n'ai encore pas vraiment développé mais dont j'avais proposé la définition suivante:

    Tendance naturelle d'un peuple, d'une population, d'une nation, de revivre les périodes passées favorables et/ou critiques lorsque le-dit peuple, population, nation en est venu à oublier son histoire et, ce, quelles qu'en soient les raisons.

    Étrange parce que tous ces petits morceaux inconscients du passé du pays dans lequel nous sommes nés et avons vécu, et dont nous avons chacun conservé une partie en nous, parfois en de seules reliques, se recompose en un tout collectif, puis remonte à la surface et socialement ré-existe, visible sous des formes parfois semblables, parfois étonnamment voisines;

    -Effondrement du champ idéologique de notre époque en raison de la disparition de ce qui le composait, soit l'économisme dogmatique et, dès lors, de tous les mouvements politiques ayant eu cours au XX° siècle, plus que visible lors des dernières élections et dont je trace le portrait depuis des années;

    -brouillard conceptuel qui, en raison des délires  émis par les détenteurs de la parole politique, économique, médiatique et, pour parti, scientifique et philosophique, rend illisible la réalité, ce que j'avais conceptualisé précédemment pour rendre compte du monde imaginaire dedans lequel vivent les pervers narcissique, monde de du même type de celui à l'intérieur duquel nous baignons;P1020793.JPG

    -indétermination psychologique et psychosociologique d'une partie représentative des plus hautes classes sociales, les trois quart environ, leur faisant perdre leur identité et leurs capacités mentales, thème que j'avais abordé lors du billet précédent;

    -usage de très nombreuses drogues absolument pas anthropologiquement contrôlées comme peut l'être d'antan encore l'alcool en Europe et l'opium au moyen-orient (j'émets l'idée que le taux d'usage de drogue, toutes sortes confondues, ainsi que toutes formes de dépendances technologique ou de loteries, est corrélé  au niveau d'instabilité social qu'une société donnée a atteint);

    -commencement d'une "nouvelle renaissance", ce phénomène étant loin d'être anecdotique, il est celui qui, dans l'avenir, deviendra d'une importance capitale pour comprendre le dynamisme futur des nations, d'où le nom de ce blog;

    -désagrégation de ce qui fut le bloc de l'ouest, soit l'Occident sous l'égide de l'empire U.S., en un reflet inversé de ce que fut la désintégration du bloc de l'est, intégré à l'ouest-européen devenu depuis lors l'Union-Européenne, par l'absorption des pays anciennement du pacte de Varsovie par l'empire U.S., en les faisant entrer au sein de P1010584.JPGl'U.E.€.O.T.A.N., thème étudié dans: U.R.S.S./U.S.A., d'un empire à l'autre;

    -L'inéluctable disparition prochaine des États-Unis-

  • Réflexions philosophiques: la rupture d'entendement.

    Tout ce qui existe est à l'image d'un diamant en ce sens que, comme celui-ci a de nombreuses facettes, il nous est possible, en  chaque chose, d'en déterminer de nombreux angles d'observation différents, sachant que certains nous seraient, au moins momentanément, voire pour toujours, inaccessible (je suis infoutu de comprendre les mathématiques, même dans leurs formulations en un langage habituel, au-delà des quatre opérations de base et de la règle de trois).

    Voire même de considérer que, sur tel ou tel sujet, il ne serait pas possible d'en dire tout ce qui le concerne, même en réunissant l'ensemble de ce qui en a été découvert et su de part le monde.

    A ceci s'y rajoute de ce que, collectivement, soit pour une part de la population, les connaissances que nous pourrions avoir de certaines matières sont, au moins pour partie, fausses, ou pour le moins faussées, que ce soit par une forte propagande ou de l'adoption d'hypothèses fallacieuses, comme il pourrait en être de celle de laP1030112.JPG Terre plate.

    Sans compter qu'en ce moment un double mouvement c'est fait jour de négation des réalités des faits, souvent par leur mauvaise interprétation ou en en conceptualisant l'inverse de ce que les professionnels en saisissent (le réchauffement climatique anthropogénique).

    Ce qui est lié à une série d'effondrements conceptuels, tant intellectuels, artistiques, politiques, économiques, scientifique pour partie, sociétaux pour les plus importants.

    Cela prend doucement fin, heureusement pour nous.

    Quoi qu'il en soit, nous devons être conscient des limites de nos savoirs, que ces limites soient individuelles comme collectives.

    Mais, surtout, d'être dans la volonté de comprendre les raisons qui font que, à une époque donnée, nous nous retrouvons, comme aujourd'hui, à faire face à une dynamique d'appauvrissement de nos perceptions et compréhensions du monde.

    Quand bien même quelques personnalités, vaille que vaille, transgressent cet état de fait en perpétuant une telle recherche de la connaissance.

    La connaissance ne peut qu'être que de tout azimut et la recherche de la P1030268.JPGcompréhension de la réalité se doit de se faire en une objectivité et une honnêteté qui, théoriquement, se devrait de se montrer absolue et chaque découverte et dispute entre chercheurs se devrait d'être enseigné au plus grand nombre.

    Tout comme chacun se devrait de comprendre que les limites de nos savoirs ne devrait en rien nous empêcher de saisir que ce n'est pas parce que nous méconnaissons quoi que ce soit que cela n'a pas d'existence.

    Bien que de cela nous devons faire attention autant à l'interprétation trop rapide et inexacte de ce qui est vu, ou mieux encore, scruté, ou, parfois, par méprise, d'en interpréter les données ainsi perçues à l'aune de ce nous connaissons déjà, tout en considérant de ce fait que ça n'a pas de sens puisque cela en égare notre perception.

    Sa raison d'être bien simple: pour que nous tous nous nous adaptions au mieux à toutes évolutions et mutation de notre monde sans qu'il ne s'y produise de souffrance inutiles.

    De fait, pour nos lointains ancêtre l'univers était facile à considérer: ce qui échappait à leur entendement ne pouvait que faire partie de la sphère des Dieux.

    En revanche, l'Homme moderne a perdu cette souplesse adaptative au profit d'un acquis conceptuel sans commune mesure avec celui de  nos lointains anciens.P1030292.JPG

    C'est pourquoi nous nous devrions, grâce à la philosophie, de compenser cette nécessaire perte par une appropriation plus souple de nos connaissances en y adjoignant cette nouvelle considération à nos entendements:

    Ce que j'observe et ne comprend pas ici et maintenant a son existence et dès lors son sens propre dont je vais commencer, dès l'instant, à en détailler autant que faire se peut et la forme et le fond pour comprendre ad minima que je ne le comprends pas.

    Et s'il s'agit d'un être vivant et pensant (un Être-Intelligent-Non-Terrestre, un extraterrestre, en un cas extrême), s'il semble relever d'une quelconque agressivité, de s'en protéger au plus proche de ce que cette agressivité suggère, sans attaque tant qu'aucun acte violent ne soit patent provenant de notre vis-à-vis inconnu.

    Parce que puisque nous savons (de Marseille) que nous avons le choix et que nos décisions et les événements ne sont plus décidés par Dieu, même pour la majorité des croyants, que le hasard donc, existe et fait parti de la vie, nous nous devons de nous préserver de tout choc psychologique violent lorsque survient une éventualité qui dépassent en tous points nos conceptions du monde.

    Ce que je nomme notre composition de sens.

    Ainsi fut-il raconté qu'un britannique fut soudain pris d'une crise psychotique en raison du futur brexit et dut être envoyé dans un hôpital psychiatrique, phénomène P1030332.JPGque j'avais prévu par ailleurs.

    Et là, il s'agit d'une péripétie s'étendant sur un temps long entre le référendum qui eut lieu le 23 juin 2016 et aujourd'hui, soit de trois ans et demi.

    Que le même phénomène survienne en quelques semaines, voire en quelques jours, il est à penser qu'un bien plus grand nombre de gens pourraient souffrir de maux similaires, même pour quelques-uns qui, adhérents à l'UPR par exemple en France, pourraient avoir la volonté de ce que le pays sorte de l'Union-Européenne, si cette union disparaissait aussi rapidement, ou plus encore que de ce qu'il en fut du pacte de Varsovie.

    De ces incidents ou accidents pouvant submerger notre entendement, notre composition de sens, en générant sa rupture, peuvent se révéler nombreux, anodins pour certains, d'importants à graves pour d'autres, pouvant nous faire perdre pied si ceux-ci nous surprennent parce que allant à l'encontre de nos conceptions du monde.

    Ils peuvent être nombreux, différents le plus souvent pour chacun d'entre-nous en une liste plutôt longue.

    Ainsi de savoir, par nature, que nous pourrions ne pas avoir la connaissance de telle ou telle chose et/ou de ne pas le concevoir, de reconnaître nos limites, serait, je le pense, la solution la meilleurs pour que nous puissions, au mieux, nous adapter à une situation nouvelle et, ce, quelle qu'elle soit.

     

    P1020785.JPG

    THEURIC

     

  • Croyance et dépendance: un champ idéologique.

    Cette charmante guêpe, Cerceris des Sables, Cerceris Arenaria, famille Sphecidae, Sphégides, fait parti de celles dites fouisseuses, solitaire, elle creuse un nid pour ses larves dans un sol sablonneux et pond son œuf sur l'une des proies accumulées.

    Ici elle est posée sur une feuille de géranium vivace.

    Ce coup-ci, je suis allé chercher le nom des bestioles Hyménoptères dans le bouquin de 1991, plus précis qu'internet, que j'avais donc acheté il y a longtemps: "Guide des abeilles, guêpes et Fourmis, les hyménoptères d'Europe", de Jiri Zahradnik, collection Hatier, adaptation française Ludovic Laporte.

    Ce que je vais poursuivre, du-moins pour cette classe d'animaux.

    Autre temps, autre mœurs...

     

    Bonjour chers lecteurs,P1010040.JPG

     

    Introduction:

    Je suis allé, il y a peu, chercher je ne sais plus quoi sur mon blog et ai remonté ce petit bijou conceptuel personnel (ne serait-on, parfois, jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas?) qu'est celui de champ idéologique.

    J'avais exposé cette idée il y a 5 ans, ceci d'une manière indirecte sans en avoir creusé la matière théorique.

    ( Recherche et matière qui porte, ici, en réalité sur une réflexion à l'endroit d'une ou de plusieurs hypothèses d'un sujet donné puisque n'y est pas assis, lors de cette recherche, les trois bases de référence théoriques, sa réfutabilité, sa prédictibilité et son aspect parcimonieux, soit sa simplicité conceptuelle au regard de toutes les informations perçues et, mieux encore, connues.

    Il est à noter également qu'une approche philosophique ne peut être en rien scientifique et théorique, mais qu'en revanche elle pose, normalement, de tels socles conceptuels qui accompagnent et parfois précèdent les évolutions d'une ou de plusieurs sociétés,  étant entendu que ladite philosophie est aussi l'outil essentiel P1050125.JPGpour, au présent, chacun d'entre nous, en un processus évolutif, organiser la pensé. )

    Il faut dire qu'à l'époque je n'en étais pas capable, le stress qui était mien en était encore d'un niveau important, du-moins, l'ai-je remarqué, mon style commençait à s'asseoir.

    C'est donc ce travail théorique que je vais effectuer en ce billet, venant peut-être parfois contredire ce que j'avais pu en exprimer par le passé.

    Je me dois de souligner que je n'écarte en rien les difficultés que chacun d'entre-nous, sous une forme ou une autre, rencontre, toutefois il me paraît important d'effectuer cette tâche consistant à tenter de conceptualiser le pourquoi nous en sommes là,  tout comme de ce que vers quoi, in fine, cela nous conduit.

    Et je ne donne pas cinq ans pour que la France se rétablisse après que le système soit forclos.

    Les débuts seront durs, complexe sera la suite, mais les forces vives et intelligentes qui le permettront sont dores et déjà présentes.

    N'oubliez pas, Messieurs-Mesdames les anarchistes, que d'être de cette opinion là sans être profondément démocrate c'est d'être encore plus stupide que tous ceux que nous fustigeons jour après jour.P1060408.JPG

    Ceci dit et avant que vous n'abordiez le reste de ce texte, je vous invite à voir cette vidéo de Tatiana Ventôse qui, en 40 minutes, aborde avec cohérence et brio la notion de ce qu'est que la nature de la politique.

    Plus loin j'affirmerai connaître mes limites et, ce, sans prétention, ainsi je ne pourrais jamais accomplir le travail qu'elle a ainsi réalisé.

    Chapeau bas, mam'selle.

     

    Avant-propos:

    Il devient d'évidence, pour le plus grand nombre de gens, qu'aux défaillances gouvernementales s'y rajoutent de ses choix décisionnels autant contradictoires, parfois irrationnels, souvent contre-productifs, aussi qu'aux portes de la tentation totalitaire néolibérale, sans l'avoir véritablement recherché (ainsi un conseillé de Mr. Macron fait-il la comparaison de la France d'avec le régime passé de Pinochet au Chili, comme étant surpris de sa propre politique: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes).

    P1060320.JPGIl est observable tout autant que les partis politiques qui, censément, seraient d'opposition, font montre soit que d'une très légère rigueur à l'encontre de l'exécutif, soit même de prises de position totalement déconnectées de la réalité de tous les citoyens souffrants  des difficultés actuelles dus auxdits choix, n'aidant, pour FI par exemple, que d'une infime minorité de ceux-là, soit les immigrés.

    il est de fait aussi que les autres pays de l'union et d'Europe souffrent, pour la plupart, de maux semblables, bien  que la France paraît en être la plus touchée.

    Lors de mes billets précédents, je vous avais montré une crainte partagée, au-delà de la mouvance purement eurolâtre & américanolâtre, de voir disparaître notre maître US, soit par guerre civile, soit par banqueroute, dès lors de ce que l'Union-Européenne et l'euro subissent  mécaniquement le même sort.

    Bien que l'inverse pourrait fort bien arriver, la faillite de la zone euro menant, à la suite, à celle du dollar.

    Ou alors que ce soit, non pas l'économie réelle en tant que telle qui, quoi qu'il en soit, en souffrira et en souffre déjà grandement, mais de ce que celle monétariste, spéculative internationale fasse faillite définitivement.

    Que cela mène donc ces personnes à souffrir dès maintenant de graves angoisses duP1050327.JPG fait de leur compréhension de ces éventualités, nonobstant de ce que l'une ou l'autre adviendra à un moment ou à un autre (faites vos réserves!).

    Que ce phénomène est, pour une large part, inconscient, ce qui conduit les pouvoir exécutifs, législatifs, mais aussi judiciaires et médiatiques, à projeter ladite angoisse à l'endroit de la majorité de la population, d'où, entre-autre, de notre enfermement confinement et port d'un masque, en tentant de nous culpabiliser de leurs propres errements et manques.

    Si, tout au long de ces pages je ne cesse de leur poser à tous d'importantes critiques sans que moi-même ne me décide à l'action, c'est que, connaissant mes limites, je me sais en ce cas totalement incompétent.

    Dès lors, le reproche le plus absolu que je leur porte est celui d'avoir bien voulu occuper le poste qui est le leur, sans ne s'être le moins du monde interrogés de savoir s'ils en avaient et en ont les compétences requises.

    Ce qui, de fait, est le cas pour le plus grand nombre d'entre-eux, sinon pour tous.

    Au-delà de ce très bref résumé de ce que j'ai pu écrire depuis six mois, le thème que j'aborde maintenant, celui du champ idéologique, ne peut que venir compléter cet ensemble.

    Je vais ne le poser que d'une manière purement démonstrative en juste appuyant P1050225.JPGmon propos de quelques exemples.

    Je parachèverai ce billet, avant sa conclusion, par une réflexion sur ce que je nomme une bifurcation historique, tel un virage pris de notre évolution transformant du tout au tout notre nature et, ce, depuis 20 000 ans environ.

     

    Le champ idéologique:

    Un champ idéologique est l'ensemble des conceptions qui en entoure son socle idéel, en une conception de base, pouvant être conscient et/ou inconscient, mais central dans la représentativité que chacun a de la société, ainsi que de son rôle dans celle-ci.

    Ce champ idéologique a deux composantes: sa "doctrine de fondement" , soit l'ensemble d'idée et de concepts composant le champ idéologique et son opposition qui est l'inverse de ce que représente ladite doctrine.

    Ainsi pour faire simple, le principe du capitalisme est celui de l'enrichissement du secteur privé et du pays par, normalement, l'industrialisation grâce au capitaux bancaire et boursiers, quand pour le communisme l'industrie se doit de se faire par l'état qui dispense ensuite cette valeur aux citoyens.P1050319.JPG

    ( La sociale-démocratie étant de faire la part entre ces deux tendances contraires sous le contrôle clair du politique, ce à quoi je pense être le meilleurs.

    Le néolibéralisme,  en une économie dévoyée, étant de retirer le plus de monnaie et de valeur possible par le biais des dettes contractées, des nations, des particuliers et des entreprises, d'où la ruine de tous à terme. )

    Ici il s'agit de l'économisme dogmatique, soit de percevoir la fonction économique comme étant central au regard de toutes les autres composantes sociale, du plus pur de l'institutionnel jusqu'à celui de l'interdit moral le plus formels (du-moins sa minorité agissante pour ce dernier).

    Si je la dis dogmatique, c'est que cette conception de la société, sous une approche centrée à de la seule économie, est dans le même temps d'une perception peu ou non lucide mais fondamentale pour tous les acteurs.

    Ceci au sein d'un champ psychologiquement attractif, indépassable et sous-jacent pour tout échange, non pas seulement marchand, ayant lieu et, ce, sous toutes ses formes (entre-autre l'individualisme).

    Ce fut le capitalisme industriel du XIX° siècle en Europe qui en fut le ferment, descendant de la bourgeoisie d'affaire passée, période pendant laquelle émergea, en l'accompagnant, ses contres-pouvoirs ( les socialismes révolutionnaire et libertarien, futurs communisme et anarchisme, ainsi que le républicanisme, la sociale P1040587.JPGdémocratie et le démocratisme ) qui se cristallisèrent à l'achèvement de ce siècle  et au début du suivant, le communisme se formalisant dès après la révolution bolchevique de 1917.

    En un exemple de champ idéologique: tout comme le communisme jusqu'à la fin des années 90, lui-même descendant du socialisme révolutionnaire du XIX° siècle, fut l'opposition au capitalisme sans frein, l'église catholique fut, en Europe, celle des princes et barons guerrier de la société féodale du moyen-âge.

    Vous remarquerez que ce fut relativement peu de temps après que des moines prirent l'épée lors des croisades, sous forme des templiers centrés en France et des chevaliers teutoniques en Germanie, que la Renaissance commençât à se développer, donnant corps au fil des siècles à la remise en question d'abord de la toute puissance du Pape et du catholicisme (le protestantisme), puis de l'existence même de l'aristocratie. (d'autres raisons, multiples, furent aussi en causes, telle que l'invention de l'imprimerie et du canon).

    Ceci parce que l'opposition passée de l'église face aux guerroyeurs que furent les seigneurs disparut de fait puis que tous deux devinrent progressivement alliés.

    La féodalité, sous cette optique, pouvant être considérée comme ayant été un champ idéologique qui disparu lors de l'apparition de la Renaissance.

    Cette hypothèse pose l'idée qu'au même titre que l'apparition des moines soldats annonçait l'achèvement de ladite féodalité, l'adoption du capitalisme par la ChineP1030102.JPG (dont il est ardu d'arriver à pied) tout comme la disparition de l'URSS, ces deux faits survenant à quelques années près, signaient la prochaine disparition dudit écono

  • idée n° 8: Essai de début de réflexion sur le temps présent et notre proche avenir.

    Nous sommes face à ce qui nous semble être, politiquement, une impasse, or je suis convaincu que cela n'est pas et que cette impasse ne vient que de ce que nous n'avons pas, au-devant de nous, les outils conceptuels nous permettant d'envisager d'autres horizons que ceux auxquels nous fûmes antérieurement confrontés.

    Or, depuis déjà plusieurs décennies, toutes les sociétés ont évolués et évoluent toujours à un rythme accéléré et elles se transforment sous nos yeux à une vitesse prodigieuse sans que nous n'en ayons pleinement conscience.

    De plus, ceci s'est accompagné d'une théorie politico-économique dite néo-libérale, autrement appelée marchéiste qui, mettant la pensée politique au second plan, nous empêche la formulation de nouveaux concepts.

    Cette théorie n'est pas d'une grande nouveauté, ses deux siècles d'existance la place, au contraire, dans le prolongement de réflexions pûrement économiques dont les fondements s'ébauchèrent à une époque ou vivaient sur Terre moins d'un milliard d'habitants et, aujourd'hui, avec une population mondiale multipliée par plus de sept, nous sommes au seuil de son achèvement.

    Mais il est à remarquer que ce qui fut des trois ordres anciens: le religieux, le guerrier et le marchand, les deux premiers se retrouvent dans les pays européens, sous une forme ou sous une autre, sous le contrôle étatique: l'anglicanisme de Grande-Bretagne sous la férule de la reine, laïcité française, l'impôt religieux allemand,..., pour ce qui est des religions (avec des exceptions telles que la Grèce); les forces armées, quand à elles, sont assujéties, de par leurs fonctions régaliennes, à l'état montrent la nécessité des gouvernements de maîtriser ces vieux ordres.

    Cela se fit, dans l'histoire avec beaucoup de difficultés, des avancées et des reculs

    Il n'est, donc, que les puissances financières qui échapent encore à la régulation des nations.

    C'est, je le pense, la cause majeur des difficultés devant lesquelles nous sommes: n'avoir pour seule horizon d'une pensée politique et de la chose publique que des considérations de l'ordre de l'économisme et du monétarisme arc-bouté sur une philosophie sociale purement individualiste (pensée archaïque totalement différente et opposée de ce que peut être l'individualité) en mésestimant ce que peut-être l'organisation et la régulation, les équilibres des pouvoirs, la recherche de la justesse des prises de décisions, les avis contraires, le symbolisme, l'histoire et la géographie,..., toutes ces dimensions pénétrant les sociétés, d'autant plus quand leur complexité atteint, comme en Occident (Japon compris) ou dans les pays émergeants un certain seuil nécessitant une démocratie représentative.

    Ce pouvoir, dit néo-libéral ou marchéiste, d'essence oligarchique de type ploutocratique et de genre ubuesque semi-totalitaire perd progressivement de ce qui fait la force et la durée de tout pouvoir, son intelligence et son esprit de création: soit par le rejet de ses éléments les plus contradicteurs donc ceux qui sont  intellectuellement les plus vigoureux, indépendants et inventifs, soit par l'éloignement décidé et délibéré de ceux-ci pour divers raisons.

    Nous sommes dans ce moment où ces forces gangréneuses ne sont plus dans la capacité de leur propre survie, mais entre temps elles aurons destabilisé l'ensemble des sociétés et, tant qu'elles tiennent encore, et la survivance du dollar en est l'étalon, nous pouvons considérer deux choses: la première est une déstabilisation accrue des sociétés, la seconde que  nous ne sommes pas encore dedant l'immense cataclysme accompagnant cet effondrement, la question n'étant pas de savoir si il aura lieu mais quand.

    Or, quand cela aura lieu, l'ensemble des vieilles forces inconscientes, parce que misent sous le boisseau, rejailliront au grand jour chez tous les peuples et, parce que le politique reprendra ses droits, les jeux de force à l'intérieur des pays et entre les états, la géopolitique, l'inconscient des peuples, les contradictions entre traditions, conservatismes et la modernité, les frustrations... pourrons facilement se muter en agressivité, parfois la plus extrême.

    N'oublions jamais cet étrange attraction des peuples pour leur inconscient social. Étrange parce que les peuples sont attirés, aspirés par cet inconscient en en ayant véritablement ni le désir, ni l'envie et sans même que cet inconscient s'exprimât jamais d'une semblable manière.

    Tout compte fait, le véritable danger, de tout temps, fut et reste la passion des hommes, elle peut-être constructive et bâtisseuse en un éros fabuleux, flamboyant ou, quand elle s'est tournée vers le sombre regard des pulsions destructrices, peut devenir un thanatos grimassant.

    Il est, à mon sens, totalement inutile de considérer la perversité du néo-libéralisme ni même son effondrement, tout simplement parce que ce n'est que s'encombrer l'esprit d'évidence puisque cet évènement aura lieu, quelque soit la façon que cela se fera. En revanche il est d'une extraordinaire urgence de songer l'instant de cet effondrement et de sa suite dans le court terme, de s'y préparer, non pas en individualiste, avatar désuet et morbide du marchéisme, ni en un réflexe purement collectif, réaction primitive et dangereuse qui ne viendrait qu'en réaction de la tentative d'effacement de la notion même de peuple mais dans une action dont le socle serait l'individualité, c'est-à-dire la compréhension conscience de sa propre existence et de celle de l'autre, de la conscience en son inconscient mise en corrélation avec l'existence propre et distinct de chaque autre être humain, de son respect, ainsi que de la compréhension et du respect de la vie en société (compréhension et respect voulant dire, aussi, souplesse et égratignement des dits respects de l'autre et la vie en société). Cela ne retire en rien la nécessité absolue que chacun d'entre nous, ainsi que les sociétés ont de se défendre.

    Des questions telles que qu'est-ce que la démocratie, qu'est-ce que notre modernité, qu'est-ce que la propriété, à qui appartient véritablement une usine, une liasse de billets, un sol, le ciel, une molécule, une idée, une oeuvre, un homme, une femme, un enfant, un chien, une touffe de cheveux, quel taux de perméabilité pour les frontières, quel est le minimum de savoir que doit avoir acquis chaque enfant, quelle est la place du citoyen dans la société, la place du religieux, la place du bandit, du gendarme, du politique, la place du savant, de l'ignorant, du différent, du géni et du crétin,...,etc,...? Toutes ces questions et une myriade d'autres, tant d'autres, ne doivent plus être dans l'obscurité de notre peur du savoir et du comprendre, de son rejet, mais jaillir, rejaillir au grand jour en une force irrésistible.

    Parce que, en fin de compte, le néo-libéraliste, l'individualisme sont, pour l'essentiel, que pures pensées obscurantistes, que purs obscurantismes d'où ego et narcissisme, ces deux frères jumeaux, puisent leurs puissances.

    C'est la raison pour laquelle j'appelle à une nouvelle renaissance!


    THEURIC

  • Transition!

    En ce moment nous vivons un processus de transition, ce nous entendant l'espèce humaine dans son entier.

    P1000753 - Copie.JPGUne transition est l'instant de rupture entre la forme que pouvait prendre un système évolutif passé (telle que celle d'une espèce animale ou végétale) et celui futur.

    De fait, cette transition avait débuté, pour Homo Sapiens Sapiens, dès le tout début du néolithique, soit il y a, suivant les chercheurs, de dix à quinze milles ans et, aujourd'hui,  nous parvenons à l'achèvement de ce processus.

    Il est vrai que ce qui nous occupe et préoccupe actuellement c'est bien ce que nous vivons, soit l'achèvement de ce mouvement naturel qui se trouve en une phase d'accroissement de son accélération.

    Ainsi, même les plus jeunes ne peuvent pas ne pas remarquer la-dite accélération constante de l'évolution sociale que nous subissons, que nous l'aimions, l'acceptions ou la rejetions.

    Certes, le progrès technologique en est la marque la plus visible et, ce, au travers de l'informatique sous toutes les formes que ce soient.

    Mais plus encore, si cette évolution technologique est présente c'est bien parce qu'une autre évolution la soutient, celle de notre représentation du monde, de nos conceptions, de nos concepts, voire même de nos capacités mentales et de notre inconscient collectif, mais cette évolution est loin d'être achevée, infiniment loin de là.

    Il est vrai que, collectivement, nous avons subi et subissons toujours une perteP1000831.JPG des-dites capacités, perceptible lors de tests de quotient intellectuel en Europe, de quelques points de ce qu'il en est paru.

    Là encore nous pouvons facilement suggérer que cette diminution fait, elle aussi, parti de cette période de transition, puisque nous sommes en train de transformer nos représentations passées, en vrai elles se transforment d'elles-mêmes, sans que celles nouvelles n'aient encore pleinement émergé, voire même n'en seraient qu'en leur ébauche.

    D'une certaine façon, l'humanité serait dans la situation de ce crabe en pleine mue, fragile de s'être débarrassé de sa carapace antérieur sans ne l'avoir encore pas remplacé par la suivante.

    C'est donc autant nos antédiluviens réflexes de chasseur-cueilleur que de ceux de l'agriculteur-éleveur qui sont en train de disparaître en nous sans que nous n'ayons encore acquis et bâti cette modernité mentale que nous lèguerons ensuite à notre descendance.

    Nous essuyons les plâtres de l'évolution, en quelques sortes.

    D'où nos difficultés actuelles qui ne pourrons aller qu'en s'amplifiant tant que cette mutation ne se sera pas achevée, ce qui ne pourra que naturellement prendre du temps.

    P1000873.JPGIl est remarquable que la-dite mutation prenne la forme, en Occident, surtout en Europe, aux États-Unis-d'Amérique et au Japon, d'un mécanisme de répétitivité (mécanisme et non pas compulsion) d'essence purement économique, d'avec la période s'étendant de 1929 à 1991, soit le crash de Wall Street jusqu'à la toute fin de la guerre froide.

    Quand bien même ces événements semblables à ceux passés surviennent éparpillés, si nous faisons la sommes de ceux-ci ressemblant à ceux antérieurs, nous pouvons percevoir leur cohérence intérieure, en quelques exemples:

    -Ruine de la Grèce par l'Allemagne et par les anglo-saxons, par les armes avant, par la faillite généralisé ici;

    -Domination de l'Allemagne sur le reste de l'Europe (depuis l'affaiblissement U.S. d'aujourd'hui), avec une seule monnaie et la France ayant un gouvernement inféodé à icelui (je mets de coté la réalité de la domination coloniale étasunienne sur l'U.E., en voie de disparition depuis l'élection de Trump);

    -Libération progressive de la France par les actions  anglo-saxonnes, brexit britannique et élection de Trump actuels, débarquement de Normandie hier;

    -Destruction du Japon, par bombardements passés, par perte de valeur du yenP1000667.JPG maintenant;

    -Monté d'un pouvoir autocratique en Italie, Espagne, Portugal (Mussolini, Franco, Salazar), puis renversement politique de cette première.

    -Crise économique d'échelle mondiale dont 1929 est le critère de correspondance, avec un mécanisme similaire aux deux périodes, même si les effets actuels sont bien pire qu'auparavant......

    Cherchez  bien et vous trouverez nombre d'exemples similaires.

    Cela étant dû, à mon sens, à l'intense traumatisme que furent les deux guerres mondiales, mais bien plus étendu et violente lors de la seconde.

    "Il faut trois générations pour faire un schizophrène", disent les psychiatres, or, si c'est aujourd'hui que ce mécanisme de répétitivité sociale survient, c'est bien parce que les générations étant passées, le temps est venu d'un renouveau politique et social.

    Ces deux processus, la transition évolutive et le mécanisme de répétitivité, sont tous deux intimement liés et s'achèveront en même temps dans quelques décennies.

    Le second risque fort de se déplacer d'un ensemble de régions, l'Occident, vers un P1000903.JPGautre ensemble, l'Orient.

    C'est pourquoi je crains un embrasement futur entre l'Inde et la chine pouvant fort bien se muer en un, international.

    De plus, la mutation progressive de notre inconscient collectif précédent, vieux tout de même de plusieurs centaine de milliers d'années, voire de millions d'années, depuis au moins l'avènement du genre Homo, et qui avait évolué à son rythme pendant tout ce temps long, ne peut se faire sans soubresauts violents, ceci n'est pas possible autrement.

    Notre mutation mentale est trop rapide pour que cela se fasse différemment.

    Cela ne pouvant que nous entrainer vers l'émergence de passions inconscientes sociales et collectives d'une puissance inouïe qui pourraient nous entrainer tous vers les pires des conflagrations généralisées.

    C'est pourquoi je vous exhorte, amis lecteurs, de conserver en vous votre pleine conscience en restant lucide des inimaginables forces communes pouvant se déverser et se partager en chacun de nos esprits.

    Pour l'instant encore relativement restreintes, elles prendront bientôt une ampleur incommensurable, et ce sera l'ensemble du genre humain qui sera entrainé par elle.P1000880.JPG

    Cette transition, en un processus naturel, ne sera pas la traversée d'un jardin d'enfant mais l'une des pires expériences que notre espèce aura à vivre.

    Un dure chemin initiatique collectif que nous devrons tous sillonner et que nous ne pouvons ni ne pourrons éviter.

    Cette expérience sera tout autant magnifique, terrible que dangereuse.

    C'est ce processus, qui a déjà débuté, qui nous entraine depuis des années dans des chemins conceptuels multiples, nous menant continuellement dans un sens ou dans un autre sans que nous en sentions de direction précise, sans que nous en pressentions la logique interne,sans même que nous le percevions, justement parce que le sens de toute choses en vient, en nous, à s'évanouir.

    C'est pourquoi, également, nous nous retrouvons à vivre cette rétrogression historique dont je vous ai entretenu auparavant (voyez les barbes fleurir comme à la belle époque de la III° république).

    Ce socle passé vers lequel nous nous dirigeons étant devenu la matrice inconsciente rassurante, le socle solide sur laquelle il nous sera possible de reposer notre esprit sociétal tant tourneboulé.

    Observez cela, amis lecteurs, parce que c'est cette seule observation, sans colère, P1000883.JPGreproche, dégoût ni irritation, qui permettra à chacun de conserver un tant soit peu de cette indépendance d'esprit qui fonde et forge notre liberté de penser  et notre indépendance d'être.

    Seule source du choix possible en face de cette vie tumultueuse future.

     

     

    THEURIC

  • De la PMA à une prise de conscience.

    Chère Agnès Thill,

    Je viens de regarder la vidéo ou vous fûtes interrogée à TV Liberté (je la fais débuter après la présentation d'une, future, de Jean-Marie Le Pen qui m'insupporte, le plus amusant c'est que sûrement va-t-il affaiblir discrètement le RN, mais ceci est une autre histoire).

    De la loi entrain d'être votée sur la PMA, je n'en aurais que peu à dire de plus que vous, hormis le fait qu'elle promet des lendemain qui chante autant aux parents qui vont élever cet enfant que pour l'enfant lui-même.

    C'est simple à comprendre, acheter une personne pour son seul désir, dut-elle être nouveau-né, c'est la considérer comme étant, au mieux un esclave, au pire un objet.

    Et même si cela est tu, voire même surtout si cela est tu, cela va générer une angoisse existentielle de la personne ainsi vendue puisque achetée, que même la recherche de sa filiation de sa mère-porteuse ne pourra résoudre puisqueP1030126.JPG inconsciemment elle se considèrera comme une chose et non pas être un Être Pensant.

    Quoi que puisse en penser et en dire part ailleurs Boris Cyrulnik, que je trouve quelque peu léger sur ce sujet: il sert à quoi de générer des angoisses et des névroses à quelqu'un même pas encore né.

    Tout cela pour assouvir les petits caprices de personnalités qui, dans leur sentiment profond de ne pas être normaux (je ne porte pas ici de jugement de valeur de choix sexuels quelconques, je décris un mécanisme psychique inconscient), veulent à toute fin montrer à la face du monde une normalité qui, de ce fait même d'avoir eu un enfant de cette façon, leur montrera à leur propres yeux leurs ambiguïtés, ce qui accroitra les instabilités psychologiques de tous.

    Et comment se débrouilleront ces femmes qui, en raison d'un trauma d'une relation forcée avec un homme, soit avant l'âge adulte, soit par violence, en est venue à n'avoir de relation qu'avec des femmes dans sa peur et dégoût des hommes, devra élever un garçon?

    Ce sera à l'adolescence que l'explosion d'angoisse sera, pour le-dit enfant, déterminant, et les conduites suicidaires y seront grandement possibles, et sinon ce sera à la troisième génération que cette explosion se fera.

    N'y a-t-il pas déjà suffisamment comme ça de gens au psychisme instable en France pour en rajouter inutilement, mais il est vrai qu'à l'heure de la marchandisation du tout et du n'importe quoi, considérer un Être Humain comme étant un bibelot comme un autre n'est que de la mode du temps, il est bien fait mention, pour quelqu'un cherchant un emploi, qu'il doit savoir se vendre.

    Être un vendu c'est dans l'air du temps.

     

    Mais en fait, Chère Madame Thill, ce billet n'a pas de but de disserter sur cela, ma P1020035.JPGfoi, de cette PMA qui désigne aussi, et ceci est délicieux (c'est un copié/collé) : " Pays les moins développés socio-économiquement (parmi les pays en voie de développement) " (tapez PMA sur votre moteur de recherche et vous trouverez çà).

    En fait ce petit texte n'a de but que de vous montrer, sans ironie aucune, la fantastique naïveté dont vous aviez fait preuve quand vous aviez décidé de vous présenter à la députation au sein du REM, dit des radioéléments, ainsi que d'avoir suivi le sieur Macron, le beau parleur, et pardonnez-moi de cette once de vulgarité, mais vous vous étiez faite empapaouter de première, et profond de plus.

    Du fromage du corbeau de la fable, Madame, les renards vous l'ont volé.

    Vous trouverez plus loin, dans ce blog, une infinité de mes réflexions qui  vous montreront que ceux que vous aviez aidés & accompagnés ne sont pas ce qu'ils disaient être, pourquoi ils furent justement choisis et par qui, mais aussi pourquoi nombre de ceux avec qui vous siégiez sont loin d'avoir cette stabilité mentale menant à ce minimum de probité que réclame une telle fonction.

    Surtout les raisons qui font que ceux qui se révèlent n'être que de vils malandrins ne sont en aucun cas chassés de leur charges électives.

    Peut-être y comprendrez-vous également en quoi vous, comme Monsieur Villani, fûtes utiles à cette coterie qui se cache derrière ce mouvement que vous avez quitté.

    Le puzzle conceptuel qu'est mon blog, j'avoue que les idées s'y développent au fur et à mesure qu'elles me viennent à l'esprit, vous permettra, quoi qu'il en soit, de saisirP1020956.JPG la nature de ceux qui vous ont manipulée, comme nombre de ceux des classes-moyennes hautes à supérieur que je ne cesse, pour cette raison, de vilipender.

    Ceci en en montrant les raisons.

    Mais surtout vous fera saisir les réels enjeux d'aujourd'hui, ce qui pose cette ridicule loi sur la PMA que comme n'étant que les derniers instants d'un monde politico-économique bientôt forclos et devenu, de ce fait, complètement fou.

    Toutefois, que vous souteniez encore un peu Monsieur Macron est tout à fait normal et j'en comprends d'autant plus les mécanismes que moi-même aie vécu quelque chose d'analogue, ce que vous découvrirez à la suite.

    Il est vrai que si vous voulez vous faire votre idée de l'ensemble, le temps long ne peut qu'être que nécessaire, mais vous y trouverez aussi quelques poésies ainsi que des aphorismes de mon cru dont, pour certains, je suis particulièrement content,  qui vous permettrons de vous égayer en un ailleurs momentané.

    Vous êtes loin d'être la seule personne à enfin ouvrir les yeux et de commencer à poser un regard conséquent sur notre réalité, il serait bien en revanche que vous ne vous égariez pas une fois encore au sein d'un autre de ces partis politiques que je dis officiels P1020147.JPGpuisque passant dans les médiats.

    En ce moment, ainsi, le réel aspect contestataire d'un parti est inversement proportionnel au temps que passe ses représentants dans ces-dits médiats.

    Vous y trouverez, aussi, une définition précise de la nature de la gauche et de la droite, ceci considéré de sa base historique.

    Que je vous en prévienne, mes développements sont en plein iconoclastes et risquent de questionner quelque-peu nombre de vos conceptions les plus assurées, et si vous n'êtes pas en accord avec des de mes idées, ce serais pour moi du plus pur du naturel.

    Bien à vous,

     

     

    THEURIC

  • De la rétrogression historique à Macron: l'empereur sera-t-il bientôt déchu?

    A l'introduction qui vient, je le fais précéder de ce petit préambule de dernière minute qui me semble nécessaire.

    Ce fut hier, en effet, d'abord en regardant une vidéo de Monsieur Biberian que je ne retrouve pas, datant d'un mois (je vous conseille celle-ci pour celui qui ne connais pas grand chose aux atomes et de leur fusion et fission) traitant, lors d'une conférence, de la fusion froide, où il  y expliquait le conservatisme de ses paires face aux idées nouvelles.

    Puis c'est en songeant à l'accueil possible du billet que je vous propose aujourd'hui, que je me suis rendu compte que mon problème principal est que je sors doublement du cadre de référence conceptuel social de notre époque.

    Déjà en raison de mon statut auquel je ne fais que peu de cachotteries, j'ai le Certificat d’Étude Primaire en sa dernière année d'existence (allez-y voir, les jeunes, de quoi il en retourne), un C.A.P. horticole, été deux ans jardinier communal, pendant 25 ans conducteur de bus à la R.A.T.P. et entre les deux fait plein de petits boulots.

    DSC00065.JPGMais aussi du fait que je ne porte pas un regard habituel sur les événements et prend souvent des positions largement différentes de ce qu'il se dit sur tout un ensemble de sujets.

    Je sors donc doublement de ce cadre de référence et, en cela, je me retrouve à être provocateur sans que cela soit recherché de quelle que manière que ce soit.

    Si, ma seule provocation, si tant est que ça en soit une, est de montrer qu'il est possible de penser par soi-même quel que soit le niveau d'étude de chacun, le principal étant de s'instruire continuellement.

    Je conçois parfaitement que d'aborder des sujets comme il peut en être de l'évolution des ancêtres des singes ou de la présence des extraterrestres, que je nomme les E.I.N.T., les Être Intelligents Non Terrestres, peut surprendre, voire choquer.

    Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas écrire sur ces thèmes qui sont tout aussi sérieux que bien d'autres.

    Le cadre de référence conceptuel social étant l'horizon collectif de ce qui fait sens.P1000898.JPG

    Je ne vais pas m'appesantir la-dessus, vous laissant aux deux lectures suivantes.

     

    J'avais largement commencé à écrire ce texte avant de retrouver le précédent dans mes archives, puis de vous le proposer avant-hier.

    Or, il s'est révélé ces deux-ci sont intimement liés.

    Cette rétrogression historique (en  fin de page), dont je vous avais déjà fait part à plusieurs reprises, entre-autre en vous faisant remarquer le retour de la barbe et la ressemblance entre le burkini et les vêtements de bain que portaient les femmes françaises à la fin du XIX° siècle, pourrait, là encore, s'exprimer par la confrontation, aujourd'hui seulement économique et politique, entre un diablement dérisoire Macron se prenant désormais pour une sorte de Napoléon III dit, par Victor Hugo, le petit, et une Madame Merkel très loin de ce que fut Bismarck.

    Certes, il n'y a rien à voir entre la Prusse de l'époque qui, grâce à Otto Von Bismarck, sut recomposer, de 1862 à 1871, le Saint-Empire-Romain-Germanique défunt sous la forme de l'Allemagne, ainsi que Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier, aventurier qui tenta un coup d'état en 1840, fut élu Président de la II° République en 1848 et, en 1852, fut sacré empereur sous le nom de Napoléon P1010318.JPGIII, puis qui abdiqua lors de la guerre de 1870 après la défaite de Sedan.

    Et l'époque actuelle où, de Bismarck nous avons, en Allemagne, Madame Merkel, et en France, de Napoléon III nous en sommes revenu à ce pauvre Monsieur Macron, grandeur et décadence.

    Mais ce qui est remarquable c'est la singulière similitude qui semble prendre corps entre la fin de ce troisième quart du XIX° siècle et l'achèvement de la deuxième décennies du XXI°.

    Bon, bon, je sais, cette similitude paraît tirée par les cheveux, d'autant plus que rien pour l'instant n'est réellement en place, comme souvent je fais ici de la prédictivité en partant du principe que nous sommes entrés dans une phase de rétrogression historique avec, lié, une manière de répétitivité historique.

    Ce fut le refus du Gouvernement allemand de participer aux (petites) frappes en Syrie qui me fit me demander si, par hasard, la Germanie n'aurait pas saisi le repli stratégique qu'effectue l'empire étasunien (là encore, je n'en ai que des preuves peu assurées).

    Mais cela me paraît logique au vu de la situation économique catastrophique dedans laquelle se retrouve les États-Unis-d'Amérique et, comme le firent les romains en leur temps en Bretagne (la Grande-Bretagne d'aujourd'hui), les américains retirent discrètement leurs troupes de l'Europe, mais pas seulement de là.

    C'est pour cela que ce sont les forces spéciales françaises qui furent envoyées aiderP1010087.JPG les kurdes pro-américains à lutter contre l'armée turque, plutôt que celles étasuniennes.

    Donc, bientôt, la France et l'Allemagne vont se retrouver à se regarder en chien de faïence au sein de l'Union-Européenne.

    Allemagne qui semble vouloir quitter une Union-Européenne débutant sa débandade, ceci du fait de l'éloignement progressif de Tonton Sam, mais surtout de percevoir la faiblesse montante de l'empire.

    Elle ne peut donc, à mon sens, que de décider de reprendre sa souveraineté, d'autant plus que l'U.E. la met au-devant de risques économiques ne pouvant que s'aggraver avec le temps (Target 2).

    Mais son problème est que, même si une bonne part de sa population ne serait pas vraiment contre, son oligarchie, elle, ne peut que rester, au moins pour partie, résolument unioniste.

    De l'autre coté du Rhin nous avons le gouvernement Macron et son  président (allez jusqu'à la rose rose pour savoir comment je le perçois) qui de Zeus en fut devenu roi, puis de roi en est maintenant à prendre des allures impériales, décidant de tout, même des actions militaires.

    C'est pourquoi il en vient à être comparé à Napoléon III.

    Ce qui correspond à ce que j'affirme depuis quelques temps, nous entrons dans une P1010215.JPGphase de rétrogression historique, en voici, me semble-t-il, les mécanismes politique qui l'y accompagnent.

    Je laisse à d'autres, qui le font bien mieux que moi, ici, , et encore en cet endroit (portez attention après 3mn 07, le sujet est d'importance et j'y reviendrai plus loin), en cette petite liste non exhaustive, le soin de développer leur réflexion sur les dernières événements syriens.

    Quand à ce qu'il en est des miennes, de réflexion, je les porterai sur ces effets de retour sociétaux passé, cette moderne rétrogression historique, que ces affaires ridicules et contreproductives syriennes (tout dépend pour qui) ne peut qu'avoir accéléré en France.

    Et oui, c'est qu'à force d'agacer l'ours russe, à cause de l'empressement à l'obéissance de notre gouvernement, la population française en est venu à avoir une trouille bleue des zèles guerriers de notre cher président.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, combien d'entre-vous n'ont-ils pas craint qu'à cause  des gesticulations militaristes de notre tout petit empereur national, notre pays ne se retrouve à se confronter avec une Russie qui, lorsqu'elle est attaquée, sait montrer des ressources insoupçonnées?

    Dès lors, comme affirmé plus haut, si je reprends ma théorie de la rétrogression historique, Monsieur Macron ne peut pas ne pas être comparé à un Napoléon III proche (déjà) de son abdication  avec, comme cour, ses ministres et notre oligarchie décatie à laquelle il semble ne plus vouloir se soumettre: ses maîtres ont perdu le contrôle de leur créature .

    A la place, il suit, avec l'appétit d'un enfant devant un monceau de soldats de plomb, les directives intéressés de Madame May (au joli mois), je ne trouve pas la vidéo, mais je me souviens de l'avoir vu, aux informations télé, entouré de gens si sérieux, regarder la caméra avec ce sourire enfantin aux lèvres du gamin qui va jouer à la guerre.

    Je me demande donc si, en réalité, lui, le nain politique, ne serait pas devenu le dindon d'une farce dont le but serait d'accentuer la déstabilisation de la France.

    C'est que sa position politique s'est plus que fragilisé, à ce Napoléon le tout petit, petit, petit, petit.

    Comment, déjà, croyez-vous que va réagir le peuple après une telle frayeur, juste au moment ou les grèves commencent à embraser le pays et que deux à trois milliersP1010118.JPG de policiers n'arrivent pas à calmer une poignée de zadiste?

    Et surtout, comment doivent déjà réagir les radio-éléments du R.E.M. de l'Assemblée-Nationale, qui doivent avoir en main bien plus d'informations que nous-autres, pauvres manants, ne pourrions jamais obtenir?

    Il se dit que des missiles envoyés par la tripartie U.S., R.U. et France sur la Syrie, 68% pour les russes, 69% pour des militaires étasuniens, furent descendus par de vieux anti-missiles modernisés fournis aux syriens par les  russes, des antiquités améliorées, soit plus des trois-cinquièmes des bombinettes dézinguées, mazette...

    Certes, il y a, chez les élus du parti macronien offert gracieusement à notre généralissime, certains qui doivent, dur comme fer, considérer que notre impérial président dit et agit avec la grâce du génie et de la lumière divine.

    Mais les autres, tous les autres, ne commencent-ils pas à se poser de sérieuses questions?

    Au début, soit maintenant, ils doivent juste ronchonner dans leur coin, s'interroger de savoir si Monsieur Macron ne risquerait pas de nous mener à une guerre qui ne pourrait qu'être désastreuse pour notre pays, se dire que leur chef n'est pas à sa place, qu'il est dangereux de suivre les recommandations empressées des U.S.A. et des britanniques, que lui-même serait dangereux.

    P1010376.JPGPuis, petit à petit, bientôt, plus tard, bruisseront des chuchotis dans les allées de l'Assemblée-Nationale, de se demander si cet homme est vraiment un démocrate, si, en vrai, il ne les conduirait pas à leur débâcle, si se qu'il se dit serait vrai, qu'il aurait la trahison dans la peau, que ce ne serait qu'un pantin, puis un minus et enfin un raté et un traitre.

    C'est fou ce que la peur peut générer de réactions.

    Dans la population il ne peut qu'en être de même, mais en pire.

    Tout le monde à pu voir à la télé son niais sourire quand il était entouré de ses conseillés militaires, celui d'un gamin qui fait joujou avec tous ses pouvoirs.

    Je vous l'ai dit auparavant, il prend son pied.

    Il n'est pas besoin d'être grand clerc pour imaginer ce qu'une multitude de gens doit penser dorénavant de lui en nombre noms d'oiseaux.

    Les citoyens ont eu trop peur, trop d'angoisses, furent part trop effrayés, que ce soit consciemment ou inconsciemment, et, quoi qu'il se passe et se passera à partir de maintenant, ils considèreront que celui qui est la cause de cette peur, de cette angoisse, de cette frayeur, que la raison de cette terrible douleur psychique et de tout ce qui la représente doit disparaître.

    (Étant entendu que je décris là un mécanisme de survie instinctuelle, primitive et le plus souvent inconsciente, les français ne vont pas tous se ruer du jour au P1010040.JPGlendemain à l’Élisée, à l'Assemblée-Nationale ou chez Monsieur Attali les armes à la main, bien sûr que non.

    Mais que maintenant que le tocsin a sonné dans leur tête,  même s'il ne tinte désormais plus du haut des clochers des églises, même si cela n'est pas conscient, même si les explications qui en sont et seront données n'aurions rien à voir avec ces événements, leur haine pour tous ceux qui suivirent et surtout suivent encore ce capitaine de bateau ivre va devenir inextinguible.

    Les citoyens ont eu trop peur, parce que cela à réveillé en eux une mémoire profondément enfouie depuis deux, trois, quatre générations qui a resurgi d'un coup en les traumatisant sans même qu'ils ne s'en soient rendu compte.

    Et oui, l'inconscient sociale conserve en lui de très lointains souvenir, infiniment plus anciens encore.

    On ne réveille pas ainsi des monstres enfermés au plus profond de la mémoire des population sans effet.

    Malheur, se dit-il, par qui le scandale arrive.)

    Je me suis demandé, hier, si ce ne serait pas ces mécanismes mentaux collectifs qui auraient été recherché par un empire U.S. qui, désormais, joue autant sa survie impériale que de l'existence même de son pays.

    P1010204.JPGAinsi ai-je supposé, puisque n'en ayant que peu de preuves, que les U.S.A. rapatrient discrètement leurs soldats se trouvant dans les nombreuses casernes se situant hors de leur frontières (toutefois ce qu'a annoncé Monsieur Béchade dans la vidéo sus-avant aux 3mn.07, soit que les troupes américaines se désengage de la Syrie, me laisse entrevoir que je n'ai pas tort), la raison en serait une insécurité politique grandissante provenant de la population étasunienne, ce qui est compréhensible à près de  40% de chômage réel, mais aussi la recherche fébrile d'économie.

    De la même façon, j'ai présumé qu'ils chercheraient à se débarrasser d'une Union-Européenne qui, maintenant, tend à l'entrainer dans sa faillite, du-moins en ont-ils le sentiment (en fait, chacun entrainant l'autre dans sa banqueroute, mais ça c'est une autre histoire), et d'une Allemagne qui, comprenant les faiblesses impériales, elle qui déjà lui taille des croupières économiques, prend depuis déjà quelque temps le contrôle de l'union pour son propre compte.

    Allemagne qui, de par sa contexture sociologique plus stable, est moins facilement atteignable qu'une France naturellement instable.

    En fait, ses bases militaires coûte un bras à Tonton Sam qui s'en passerait bien, et, sur ce site, découvert aujourd'hui même et que j'ai rapidement parcouru, j'y ai trouvé ces deux textes en tous points révélateurs (je suis content, mon intuition ne m'a pas trahi):

    " ... Jamais dans l’histoire de l’humanité on a vu une nation exercer un tel pouvoir sur le reste du globe ou en tirer d’énormes avantages économiques. Ces politiquesP1010129.JPG hégémoniques ne peuvent probablement pas être soutenues pendant encore longtemps, car elles sont extrêmement coûteuses et provoquent des défis politiques et militaires permanents ... ".

    Traduit de ce site par le précédent.

    Puis, du même endroit, plus loin:

    Le Pentagone a annoncé son intention de fermer 15 bases militaires en Europe dans un effort pour économiser environ 500 millions de dollars par an. Alors il y aura seulement une légère réduction des niveaux de forces globaux. Les critiques craignent que cette décision arrive exactement au mauvais moment où l’Europe est confrontée à la perspective d’une nouvelle agression russe en Ukraine " (la Russie à bon dos, ce qui est à la mode en ce moment).

    Ces deux extraits date de 2015, soit sous l'ère Obama, et quand bien même Monsieur Trump voudrait renouveler la puissance impériale Étasunienne, le fait est là, ce pays, en quasi banqueroute, ne survit plus que grâce à la nécessité de passer par le dollar et le pétrodollar pour tous échanges internationaux.

    Quand bien même la dédollarisation commencée par la Chine et la Russie en réduise l'hégémonie, la monnaie U.S. reste inévitable pour le commerce mondial.

    P1010143.JPGQuoi qu'il en soit, le gouvernement fédéral des États-Unis-d'Amérique cherche à tous prix de faire des économies et, à mon sens, se replie dorénavant sur ses bases arrière, soit sur les Amériques nord et sud.

    Le problème restant que les hyper-productions monétaires leur ont fait perdre à toutes leur valeur intrinsèque, dont le dollar qui ne vaut plus que peau de balle et balais de crin, que dalle, quoi, tout comme l'euro, le yen, la livre sterling, le yuan  et bien d'autres.

    Que les bourses de Wall Street tendent à s'évaporer par leur boursoufflures et records à la hausse ne provenant que de l'injection continuelle de ces masses de monnaies ne valant plus rien.

    Et que les états U.S. et l'état central sont tous endettés à un point tel que tout les prêteurs savent pertinemment qu'ils ne seront jamais remboursés, mais font semblant et ferment les yeux, personne ne sachant ce qu'il se passera dès que la banqueroute généralisée aura montré à tous sa terrible morsure.

    Le problème supplémentaire devant lequel les américains se retrouve maintenant c'est que les allemands ont compris que Monsieur Macron est, à son insu, le cheval de Troie impérial, que son élection n'a eu, de but, que de désorganiser suffisamment l'Union-Européenne par l'instabilité politique qu'il génère en France, pour que l'U.E. et l'euro éclate en mille morceaux en raison du France-quitte.P1010176.JPG

    Il est probable que l'Allemagne, quand à elle, comprenne qu'il lui est nécessaire que l'U.E. disparaisse, tout simplement parce que tous les richissimes des pays de l'union pauvres et endettés préfèrent mettre leur argent là où la situation économie est la meilleurs, dès lors dans les banques germaniques, ce qui met la Germanie dans une mouscaille incommensurable.

    Ceci parce que chaque fois que de l'euro sort d'une nation, en vrai ce n'est pas de l'euro mais plutôt de l'euro-franc, de l'euro-lire (italienne), de l'euro-peseta (espagnole) ou de l'euro-drachme (grecque)...., dès lors la banque centrale du pays d'où cet euro provient doit à l'Allemagne cette somme.

  • Le néolibéralisme n'est plus!

    "Mais non," diraient certains, "l'économie se porte parfaitement bien, il ne serait qu'à contempler", rajouteraient-ils, " la magnificence de la bourse!"

    Baliverne, nous sommes aux portes de la plus terrible faillite que le monde humain n'ait jamais connu.

    La France, notre pays, ainsi que de tous les pays d'où francophones et francophiles me lisent, doivent s'attendre à une déflagration implosive de toute cette économie mondialisée qui sera, sous peu, rendue à moins que rien.

    Ce seront l'ensemble des monnaies qui seront touchées en raison du nombre incalculable de bulles spéculatives qui ont enflé, centrées majoritairement sur des banques qui furent laissées libres de leurs décisions et de paradis bancaires et fiscaux que tous les décideurs décrient mais qu'aucun ne veut réduire.

    Alors, comment feront ces monnaies pour s'évaluer les unes, les autres?

    Certes, il y a des pays tels que la Chine ou l'Inde qui ont accumulé une importante masse d'or (quand notre ancien Président de la République, Monsieur Nicolas Sarkozy, dit l'américain, à vendu une partie du nôtre contre des dollars qui ne valaient déjà plus rien), mais même de remplir les coffres des banques centrales de métaux précieux empêchera-t-il le chaos monétaire?

    L'or lui-même aura-t-il une valeur d'échange lors de cet effondrement?

    C'est pourquoi il me paraît évident que le commerce international sera largement immobilisé pour une période ne pouvant être conjecturée: les banques disparues ou nationalisées par des états en grandes faiblesses, les bourses revenues à des valeurs du plus d'un siècle passée et toutes les monnaies sans valeur relatives aux autres monnaies, pas grand chose pourra soutenir un transport maritime et aérien n'ayant plus que très peu de clients.

    Les notions d'inflation et de déflation pourraient même n'être que de peu d'intérêt.

    Les seules valeurs auxquelles pourraient prétendre chaque nation seront celles de leurs patrimoines agricoles, industriels et intellectuels.

    Je vous conseillerais, ainsi, cher lecteur, de ne partir, pour les prochaines vacances, que dans des pays pas trop éloignés du vôtre, voire même, par prudence, de ne pas trop vous éloigner de votre habitation.

    Parce que cette interruption des transports pourrait générer une paralysie de nos importations en carburant.

    Et que cette faillite universelle peut survenir n'importe quand, le système économique mondial pouvant, toutefois, tenir quelques mois encore.

    Nous devrons faire face à d'autres difficultés et il en est une qui, bien que discrète, n'en est pas moins redoutable.

    Que ce soit chez nos décideurs et gouvernants ou dans l'ensemble de la population, un déficit de maturité psychologique, ainsi que culturel et conceptuel grave, multifactoriel, s'est mis progressivement en place depuis bon nombre de décennies.

    Tout ce qui, de près ou de loin, peut ressembler à des concepts et idées un tant soit peu complexes sont rejetés, parfois avec violence, d'autres fois silence.

    Lorsque surviennent des époques telle que celle que nous vivrons sous peu, c'est l'adaptabilité de chacun et, dès lors, celle de l'ensemble de la population qui compte.

    Or, nous nous retrouverons devant des difficultés telles et elles seront à ce point inédites que ce sera à chacun d'entre-nous de faire preuve de cette adaptabilité nécessaire.

    Mais cette faiblesse, cette médiocrité de notre époque tend à réduire les capacités d’abstraction de chacun et c'est l'aristocratie d'argent ainsi que ceux les accompagnant au sein de cette doxa minimaliste, personnel politique et journalistes en vu, qui paraissent être les plus atteint de cette indolence doctrinale.

    Les commentateurs télévisuels et radiophoniques nous en fournissent tous les jours le triste exemple où, à une grande ignorance, se conjugue l'arrogance et l'outrecuidance lorsqu'ils se retrouvent au-devant d'une personnalité dont la pensée dépasse, si facilement, leurs capacités d'abstractions.

    Il est vrai que la télévision désorganise, avec le temps, le narcissisme de la personne la plus raisonnable (celle-ci sait la caméra être un miroir dont elle ne reçoit aucun reflet mais qui se divulgue sur une myriade de lucarnes en autant de fragments d'images invisibles, ne prenant vie que devant des téléspectateurs eux-mêmes ignorés).

    Cette déculturation, doublée d'une culpabilité toujours présente, héritage  dû aux deux guerres mondiales, ceci amplifiée par une manipulation culturelle étasunienne continue datant des années cinquante a provoqué une ankylose de l'envie du savoir et de la connaissance.

    L'Europe de l'ouest et l'Amérique du nord en sont les plus touchées parce qu'ils ont régressé quand  tous les autres ont progressé.

    C'est pourquoi je crains qu'il ne nous faille quelque temps, avant que des personnels qualifiés puissent prendre la relève d'un pouvoir qui sera parti à vau l'eau.

    C'est pourquoi je crains aussi et surtout des réactions violentes là où cette déculturation est la plus importante.

    C'est pourquoi, amis lecteurs, je vous ai également donné ces quelques conseils que vous pouvez trouver dans le texte précédent.

    Ceux qui, par désinvolture et dédain, sont appelés les bobos et qui, aujourd'hui, s'approprient ce terme dans ce processus naturel de reconnaissance et de différentiation  d'un mot d'abord empreint du mépris du réactionnaire et/ou raciste pour ensuite être adopté par ceux-là même pour qui c'était une injure (comme il en est pour celui de Kanak), ce seront ces bobos, donc, la nouvelle élite montante, à qui reviendra la difficile tâche de prendre et d'apprendre une gouvernance dont l'état, à ce moment là, pourrait se trouver entre une déliquescence avancée et une efficacité toute relative (toujours possible).

    Quoi qu'il en soit, cet ensemble informel fait d'individualités divers a de trait marquant et partagé cette nécessité, ce besoin de culture et de savoir qui manque cruellement ailleurs.

    Parce que se confrontant aujourd'hui à des contradictions sociales importantes ("La république bobo" de Laure Watrin & Thomas Legrand), de nature inventive, cette unité d'affinités collective, venant d'origines professionnelles, culturelles et d'échelles sociales variées est, surtout en France (Emmanuel Todd), la seule réelle puissance pouvant remplacer nos élites du temps en fin de course et gérer cet immense chantier que sera la refondation d'une société pérenne sur des bases démocratiques convenables.

    N'oublions pas le paradoxe qu'est l'économie qui est qu'elle ne se développe véritablement qu'une fois que l'ensemble les organisations, sociétés d'état et infrastructures nécessaires sont mises en place, que l'efficacité économique est donc la résultante de décisions politiques prises en amont, d'abord et avant toute chose pour que se mette en place le bon fonctionnement de la société.

    Cette bonne économie est donc une nécessité absolue pour toute société mais se doit d'être pensée comme faisant parti d'un ensemble dont la société est le centre, c'est là son paradoxe et la difficulté de sa mise en place: elle doit être pensée comme étant le résultat d'une bonne politique et, en même temps, être l'outil nécessaire pour mener toute bonne politique, cela comme œuf et poule confondus.

    C'est à la puissance publique, dès lors, de conserver l'entière maîtrise des puissances économiques et il en est de même des forces armées, militaires et policières, les trois pôles régaliens.

    Il est à noter l'affaiblissement déconcertant que ces dernières ont subit au moment même où, à l'intérieur comme à l'extérieur de nos frontières, surgissent déjà d'intenses tensions (les événements ukrainiens n'étant là que des peccadilles).

    L'accroissement des voles avec arme et/ou violence dans de petites boutiques de quartier montrent, ainsi, autant la pauvreté de jugeote de nos bandits de grands chemins que la monté de la sotte et dangereuse agressivité d'une population pauvre de raison et d'argent, ce n'est pas dans les petits commerces que se trouve la moindre valeur.

    Les conflits maliens et centrafricains nous montrent également, de par la totale indigence de notre armée et en raison de la nécessité absolue, pour l'armée française, la première d'Europe, rappelons-le (qu'en est-il pour nos voisins?), d'agir pour protéger nos intérêts méditerranéens, combien furent, pour le moins, inconséquents nos dirigeants des dix années passés.

    L'affaiblissement de la science et de l'université européenne et, dès lors, française, est tout autant débilitant pour notre pays.

    Surtout, c'est l'amoindrissement collective des connaissances et instructions qui pose la plus claire des questions.

    Toutefois, la question reste entière de savoir si il faut choisir entre un peuple instruit découvrant sa pleine liberté de conscience et son indépendance d'esprit, toujours complexe à gouverner, ou un peuple ignorant facile à manœuvré mais toujours prompt à adopter une idéologie simpliste pouvant se révéler d'une immense dangerosité.

    En ce choix, ne serait-ce pas dans la solution la plus complexe qui, à terme, ne se révèlerait pas la plus facile à vivre et qui, aujourd'hui, nous aurait permis d'éviter nos infinies difficultés économiques?

    La situation déplorable de l'économie globalisée ne viendrait-elle pas, justement, de la sottise de nos élites globalisées?

     

     

    THEURIC

  • A l'adresse des ingénieurs.

    Chers ingénieurs,

    Il n'est pas la peine de vous cacher derrière votre petit doigt, vous faites parti des élites du pays, d'ailleurs qui se souvient du nom du président de la république de l'époque où la tour Eiffel fut bâtie?

    D'autant plus avez-vous, de formation de base, une similaire d'avec les scientifiques, en mathématique notamment, la différence fondamentale étant, entre eux et vous, qu'eux-même cherchent à comprendre comment fonctionne l'univers et que vous, vous vous échinez soit de mettre au point une nouvelle machinerie, une nouvelle idée ou une nouvelle création, soit de résoudre à toutes fins un problème industrielle se présentant.

    En ne pouvant faire autrement que d'en trouver la solution dans l'obligation de sa meilleurs résolution.P1030534.JPG

    Que ce soit pour une novation ou pour comprendre et résoudre une panne, il vous faut saisir les différentes forces physiques en présence, de savoir le fonctionnement de la machinerie en place ou de la créer en en conceptualisant le but poursuivi.

    Or, vous remarquerez que la France, dans son ensemble, se retrouve à faire face à une multiplicité de difficultés sociaux, politiques, économiques..., en un double processus d'un arrêt évolutif de la société et d'une désorganisation d'icelle allant s'amplifiant.

    Thème que j'ai déjà abordé par ailleurs sur ce blog de multiples façons.

    Il ne suffit, pour le percevoir, que de faire un bref rebours historique de quelques dizaine d'années.

    Vous remarquerez, en ces deux simples exemples, que notre pays ne sait même plus faire les soudures nécessaires pour le bon fonctionnement d'une centrale nucléaire en construction et que nos ponts, allant s'effondrant comme en Italie, se retrouvent à n'être que peu ou pas entretenus.

    Et vous savez très bien, en raison du poste de responsabilité qui vous incombe, que P1030202.JPGla cause première d'une telle situation provient, le plus souvent, du plus haut de la pyramide hiérarchique.

    Mais aussi qu'une malfonction quelconque a une origine et que de vouloir la réparer nécessite d'aller voir où s'en trouve ses fondements, quitte, ensuite, à en transformer l'ensemble pour qu'il fonctionne au mieux.

    Or, vous observerez que la France est en cet état qui lui demanderait une série de réparation d'urgence suivit d'une reconstruction structurée.

    Le tout s'agissant d'en découvrir ce qui fait cette panne dantesque de notre nation pour en extirper les pièces défectueuses et de les remplacer.

    Certes, il serait aisé de voir en Monsieur Macron et de son équipe de bras cassés la base de nos-dites actuelles difficultés, mais vous remarquerez  que cela n'avait pas commencé il y deux à trois ans mais date largement de plusieurs décennies., soit depuis même avant le gouvernement de Jacques Chirac en ses commencements.

    Le point d'accélération ce fut lors de l'apparition de l'euro en 2001 (à cette époque je disais, par ironie, qu'il n'y avait pas eu d'inflation due à cette monnaie puisque la baguette de pain de 1 franc était revenu rapidement à 1 euro, 1 €, 00 = 6 FF, 56, soit 656% d'inflation), suivi du référendum sur la pseudo-constitution sur l'Union-P1030483.JPGEuropéenne en 2005 ou la majorité des votants avait voté non, ensuite venant le traité de Lisbonne, en tous points semblable au précédent, signé, lui, par la grande part des parlementaires en 2007 sous la présidence de Sarkozy.

    Preuve s'il en est que l'effondrement idéologique et politique était, dès cette époque, déjà pleinement présent.

    La concomitance des dates devrait, me paraît-il, faire réfléchir les ingénieurs que vous êtes, du-moins, si mon approche s'avère, pour vous, illogique, pourrions-nous en discuter ici même.

    Permettez-moi, tout de même, de prolonger mon point de vu.

    De la France vendue à la découpe, comme hier il en fut d’abord de notre tissu industriel, trois forces se conjuguent pour que cela advienne:

    - Le formalisme du-dit traité de Lisbonne laissant toute liberté de circulation des personnes, des monnaies et des biens autant entre les pays de l'union que hors de celle-ci, avec tout ce que cela entend d'effets de toutes sortes;

    - Une oligarchie nationale, en une alliance plus ou moins importante avec celle du reste de l'UE, sous domination des Amériques, détenant quasiment  l'ensemble de P1030458.JPGnos médiats et de notre monnaie;

    - Un gouvernement et une présidence hautement dogmatique, néolibéral, et composé d'incompétents formels, à la flemme conceptuelle visible puisque ne faisant qu'obéir aux injonctions de l'Union-Européenne sous sa forme des traités et des GOPE, qui fut mis en place grâce aux deux précédents, preuve en étant du nombre de page de journaux et de temps d'antenne radio et télé dont ils ont bénéficié pendant les campagnes électorales des présidentielles et législatives (dont ils bénéficient toujours), ceci au regard de celui de toutes les autres composantes politiques du pays.

    (Vous remarquerez que toutes les tentatives gouvernementales pour réformer l'Union-européenne ne furent, pour chacun d'entre-eux, qu'une succession d'échecs cuisants, du gouvernement Jospin à celui d'aujourd'hui, ceci parce que l'union est triplement verrouillé, institutionnellement, idéologiquement et politiquement.

    De plus, lorsque les intitulés des traités ne furent pas respectés ce ne fut pas pour sauver tel ou tel pays de la ruine mais bien pour sauver et l'union, et l'euro, à l'exemple de ce qu'il se passa en Grèce, notamment.)

    Pensant de plus, comme il se conçoit dans de nombreuses quelconques écoles de commerces (à fuir comme de la peste), que leur verbe, qu'il est aisé de définirP1030833.JPG comme verbeux, suffit pour qu'ils prouvent le bienfondé de leurs suivismes décisions.

    En effet, ce qui fait actualité aujourd'hui, la transformation réactionnaire des retraites, et non pas leur réforme, n'est que la résultante des-dits GOPE, vous remarquerez, sur ce sujet, qu'il s'agit des "recommandations des orientations de politiques économiques", verbiage dilatoire, pour ne pas dire faux, puisque ces censées recommandations sont obligatoires au risque sinon de sanctions pécuniaires.

    Il est dit que l'une des composantes premières des système politiques totalitaires c'est de toujours utiliser des mots et des expressions dénués de sens ou à  contrario de leur lexicographie, tel que celui du: "Il faut sauver la planète!" ou du"pragmatisme politique de notre gouvernement".

    Vous l'aurez compris, ce billet n'a de but que de vous montrer ce qui me paraît être l'origine de nos problèmes: l'Union-Européenne, sous l'empire US, et tout ce qui satellite autour, pour l'essentiel l'oligarchie nationale et européenne et les classes-moyennes hautes à supérieures dont vous êtes.

    Ce sont ces premiers, et non pas vous, qui profitent de nos béances frontalières en vendant à l’encan pour leur propre profit provisoire tout ce qui peut avoir de la valeur dans notre pays en échange de pure monnaie (ce qui est économiquement suicidaire), générant une ruée des acheteurs provenant de partout dans le monde, P1030558.JPGentre-autre des chinois et des étasuniens.

    (Quand bien même quitteriez-vous votre pays pour un autre où vous gagneriez mieux votre vie ou ne serez pas au chômage, ne serait-il pas mieux que notre France, pays de notre enfance, recouvre sa douceur?)

    Là, vous pouvez percevoir la masse mensongère, propagandiste, qui est déversé par nos médiats puisque y est affirmé que l'union nous permettrait de contenir la puissance chinoise et américaine, ce qui à l'évidence est faux.

    Je vous laisse maintenant, après vous avoir donné mon avis des raisons qui font que notre pays est formellement en panne à tous les niveaux, en vous demandant que vous utilisiez vos outils conceptuels pour que vous déterminiez par vous-mêmes les causes première de cette panne multifactorielle et des solutions qui vous paraîtraient idoines pour le réparer.

    Bien que personnellement je pense que l'UPR soit la solution politique à ce problème vital en une solution légaliste: l'activation de l'article 50 du traité de Lisbonne pour que la France quitte l'union, je vous laisse donc à vos choix réflexifs.

    A mon sens, tout comme il peut en être d'une machine, n'hésitez pas à aller au-delà des apparences dans vos analyses, ce que, par expérience, vous savez fort bien faire.

    Songez toutefois que c'est d'appauvrir constamment les classes-moyennes de tousP1030315.JPG les niveaux, de les mettre au chômage, qui vous appauvrira, vous et vos enfants, à votre tour à un moment ou à un autre, mais aussi à ce que ceci ne peut que conduire inexorablement ce système économique mondialisée à cesser de fonctionner, sachant que désormais la France n'est plus en capacité de nourrir sa population...

    Parce que, à mon sens, c'est bien l'Union-Européenne qui entraine le monde entier dans sa perdition!

     

     

    THEURIC

  • Mon intention.

    Je ne recherche, en soi, aucune gloire, tout juste  aimerais-je être reconnu pour la production de mes d'idées, mais, de cela, je le sais impossible.

    Cette solitude qui, peut-être à un moment ou à un autre de ma vie, cessera, ne peut qu'être que pesante, mais suis-je en droit de cesser de poser sur ces pages de ce que je comprends d'un futur qui sera pour nous en tous points difficile?

    De faire comprendre au mieux à mes semblables les durs temps qui viennent.

    De guerre lasse, je fus tenté hier de provoquer mes lecteurs en allant au plus profond du piège logique dedans lequel nombre d'européens et d'étasuniens sont plongés, et puis ce matin je me suis ravisé, ce serait contreproductif.

    En fait la propagande des États-Unis-d'Amérique repose, en Europe, sur quatre piliers distincts, qui furent toujours faux et/ou d'une grande perversité:

    1) La toute puissance de l'empire US liée à l'idéologie néolibérale monétariste;P1030021.JPG

    2) L'inéluctable nécessité de la construction européenne sur de mêmes bases idéologiques utopiques;

    3) le présupposé réchauffement climatique anthropogénique;

    4) la désexualisation des peuples européens et leur infantilisation.

    Ceci sous l'égide d'une domination impériale multidécennale, culturelle, médiatique, symbolique, artistique, politique, historique, géographique, sociologique, diplomatique, médiatique, scientifique, économique, électorale, scolaire, militaire d'une moindre façon, ceci par le biais d'officines de pression pour lesquelles sont autorisées toutes les subversions totalitaires et perverses, toutes les entorses à la moindre des moralités, mais discrètes, et dont l'Union-Européenne n'est que la pure créature, l’œuvre malfaisante et ultime.

    La France serait ainsi en droit de vouloir récupérer sa statue de la liberté que depuis des lustres notre cher Toton Sam n'a cessé de piétiner allègrement chez lui comme chez nous.

    Tout ceci générant un état de soumission doublé d'une sidération importante des peuples, dont des français, qu'il est ardu de réduire, parce que la peur que tout cela s'arrête d'un coup est plus importante que de la lente décrépitude de la société qui, P1030151.JPGquoi qu'il en soit, ne pourra qu'être plus importante en terme de destruction que de ce qu'il pourrait en être de ce brusque effondrement.

    Pour la simple et bonne raison que les instabilités sociétales de toutes sortes s'accroissent jour après jour.

    Dès lors, que l'un de ces quatre piliers en vienne à se rompre et ce serait tout l'édifice qui s'effondrerait définitivement.

    Mais en revanche, si tous périclitaient en même temps, nous devrions faire face à une réaction de type stress post-traumatique d'une portion non négligeable de la population.

    Et, suivant le fait que depuis des décennies ces-dites instabilités du système dans son ensemble, économique, certes, mais aussi politique, médiatique, philosophique, artistique, scientifique, etc... tendent à s'accroitre, il y a de forts risques pour que ce pire n'advienne.

    Tout mon travail ne consistant alors qu'à essayer de prévenir  au mieux des effets probables que cela génèrera.

    Le point névralgique, la terrible faiblesse de tout ce système de domination c'est l'économie, occidentale, certes, mais aussi mondiale, au centre duquel se trouve le dollar et un euro qui n'en est qu'une pâle et artificielle copie, le tout se trouvant dansP1030177.JPG une épouvantable situation.

    Il s'agit donc de s'y préparer au mieux, tant psychologiquement que matériellement, mais pour cela encore faut-il en être conscient.

    Mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est visible que sa simple évocation met en émoi les gens, crée une angoisse d'une grande violence puisque à ce monde connu et reconnu dedans lequel tous s'y reconnaissent, nous plongerons dès lors dans celui inconnu d'un socle conceptuel et perceptif naturellement énigmatique et incertain.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que la plupart de mes lecteurs découvrant mon site n'en lisent que deux à trois pages puis, ensuite, en viennent à en oublier tout autant l'intitulé que l'adresse.

    Tout en se surprenant ensuite de faire quelques réserves en nourriture et produit d'entretien.

    Le principal se trouvant là, bien sûr.

    Quand à ce qu'il pourrait en être de ce que j'y exprimerais oralement de ma perception de la chose, mon expérience me montre de la fuite, sous une forme ou une autre, à chaque fois de mon interlocuteur, que je ne peux y espérer une écoute meilleurs que de ce qu'il peut en être de l'écrit.

    P1030199.JPGSachant qu'aux deux extrêmes de la perception de cet achèvement de notre domination impériale euro-atlantiste, mais aussi oligarchique, et de cet effondrement économique inévitable, tous trois complémentaires, s'y trouvent largement majoritaire ceux qui en ont un déni plus ou moins important, tout comme ceux qui en sur-exagèrent les effets, ceux que l'on appelle les survivalistes.

    En une dernière tentative, pour ces derniers, de conserver un contact, même symbolique, d'avec la puissance impériale largement déclinante, parce qu'il est vrai qu'au-delà de l'océan Atlantique, ce sera là que cette crise inouïe sera la plus importante.

    Un effondrement n'est que ce qu'il est et ne peut se faire que sur les bases de ses vulnérabilités, détériorations et de ses faiblesses grandissantes: si un pont s'écroule, il est vrai que personne ne pourrait en définir la date par avance, en revanche il est possible de dire, au vu de son état de délabrement, où il serait le plus manifeste que la cassure se produise.

    Là, pour ce qui nous occupe, il n'en est pas différemment.

    Mais cette commotion de la population pourrait être évité si, auparavant, l'UPR prenait le pouvoir en devenant électoralement majoritaire dans le pays et que François Asselineau en devenait le nouveau président, conduisant le France-quitte de cette Union-européenne mortifère, comme, aujourd'hui, le fait la Grande-Bretagne de son brexit.

    Certes, les eurolâtres nous créeraient de nombreuses difficultés, les premiers tempsP1030038.JPG nous seraient compliqués, mais plus vite cela arriverait et mieux la nation s'en porterait.

    Et qu'ainsi rapidement se conduise une reconstruction industrielle et agricole dont tous nous avons infiniment besoin.

    Si ce n'étaient les journalistes cornichons qui, dans les médiats officiels, n'ont que de cesse de mentir  éhontément sur toutes sortes de  sujets et, entre-autre, sur ce parti politique, sur son président et sur ce projet logique et sain de sortir de cette union dont le but n'est que de détruire les pays pour en asservir les peuples à un empire U.S. dont le déclin n'est pas loin de son achèvement par sa disparition prochaine.

    Parce que de toute la chaîne de responsabilité de cette gabegie  absolue, ces journalistes cornichons se trouvent, de fait, en première ligne, et chacun d'entre-eux se devrait de se demander si, entre lui et ses donneurs d'ordre milliardaire ou ministre, lequel aura le plus à souffrir de la disparition de l' UE€ et de leurs maîtres étasuniens.

    Ce sont en effet le plus souvent les sous-fifres qui paient le plus les pots cassés.

     

    Lutter de toutes forces contre cette inertie populaire compréhensible serait, de ma part, absurde.

    Du-moins aurais-je tout fait pour en réduire la violence de ce choc avenir, la banqueroute généralisée et la disparition de notre cher oncle si tant et tellement incivile qui se plait de détruire là d'où il provient, l'Europe.

    Ce choc n'en serait qu'infiniment plus réduit si l'UPR devenait majoritaire.

    Après je sais que, hormis de rares cas, même mes lecteurs assidus, qui ne doivent P1030246.JPGpas être très nombreux, m'oublieront dans la tourmente du France-quitte ou, sinon, des effets de cette débâcle multifactorielle.

    Et moi je commencerai à produire mes œuvres poétiques.

     

     

    THEURIC

    PS: Je vais progressivement m’éloigner de la politique, non pas qu'elle ne m'intéresse plus mais que, plutôt, j'ai dis ce que j'avais à en dire.

  • De petites idées en goguette...

    Bon ben, je suis allé voir le graphique de l'évolution des prix des matières premières produit par l'I.N.S.E.E. et, comme je l'avais supputé précédemment, ils recommencent à descendre ( theme.asp?id=18 ).

    Ce qui veut dire que la désindustrialisation reprend son cours après la brève accalmie du printemps et du début d'été.

    Ceci dit, ne m’appesantissant pas réellement directement sur des questions économique désormais inéluctables, soit l'effondrement de la globalisation économique, thème que j'ai déjà mainte fois traités, mais je vais ici m'essayer de préciser ma pensée sur des sujets parallèles, ceci pour  affiner notre perception de cet effondrement de l'économie-monde.

    Je vous propose aussi que nous allions rapidement nous balader sur les chemins sinueux de la géostratégie, puis d'aller faire une promenade, toujours aussi rapide, au sein de l'empire U.S. et de sa colonie principale, l'U.E., ensuite, nous verrons bien les thèmes qui émergeront, pour l'instant, je n'en sais pas, en cela, plus que vous...

    P1000840.JPG

    Les composants de la ruine universelle:

     

    C'est hier au soir, en allant me coucher, que je me suis demandé si je ne devais pas, pour comprendre ce processus de ruine universelle et tenter d'en percevoir l'évolution, commencer par décomposer ce système en ses composants les plus importants.

    J'en ai décompté huit: les états et unions, les banques centrales, les hypers-productions monétaire, la désindustrialisation internationale, les banques et fonds spéculatifs et de pensions, les crédits, les bourses et actions spéculatives, et enfin, les bulles spéculatives.

    En fait, je ne me soucie plus des acteurs puisque ceux-ci n'agissent plus mais ne font que réagir aux événements, quand bien même certains tenteraient une quelconque action pour tenter de redresser la situation déplorable dans laquelle se trouve le système économique globalisé, ils ne feraient qu'en accélérer l'échéance funeste.

    1) Les états et unions: pour pouvoir rembourser leurs dettes, ils font naturellement monter les impôts et baisser leurs dépensent, ce qui accélère la désindustrialisation.

    Dans le même temps ils emprunte en négatif, ce qui veut dire que ceux leur prêtant de l'argent doivent en plus leur en donner, ce qui pose d'énormes soucis aux assurances-vies et autres fonds de pensions qui auparavant versaient les intérêts de leurs fonds grâce à ceux des prêts faits aux états, comme ceux des retraités, merci à notre retraite par répartition (voir aussi à quelle date apparue en France les assurances-vies et les retraites complémentaires par capitalisation, il me semble qu'une partie de nos dettes d'états se trouvent dans nos poches).

    De plus, pour sauver leurs banques, ils ont  autorisé celles-ci à IMGP0447.JPGponctionner les comptes des particuliers si elles se trouvaient en mauvaise posture, ce qui ne  saurait tarder, ce qui a fait que nombre de gens ont utilisé leurs économies pendant le printemps et, de façon moindre, en ce moment pour les vacances, d'où le renouveau de la baisse des prix des matières première après leur légère remonté printanier.

    Ils ont aussi créé de toute pièce des banques poubelles pour y jeter toutes les crasses qu'ont accumulé les établissements bancaires tels que des crédits, créances titres titrisés et autres joyeusetés dans l'espoir illusoire que seules ces banques poubelles feront faillite.

    2) Les banques centrales: elles inondent le monde de monnaies, autant pour tenter de renflouer les banques que pour acheter les actions qui se cassent la figure (ce qui est une nationalisation larvée) et, cerise  sur le gâteau, elles vont distribuer de ces monnaies hyper-produites aux populations.

    Tout cela étant naturellement hyper-inflationniste là où cette monnaie parvient, puisque la valeur d'une monnaie est directement proportionnelle à la masse monétaire en regard de la richesse du pays ou de l'union qui l'émet, P.N.B. et non pas P.I.B. bien sûr.

    C'est pourquoi,  si il y a un hélicoptère monétaire, comme il se ditP1000668.JPG sottement dans ce milieu, soit la distribution pour tous de cet argent gratuit, dépensez tout le plus rapidement possible parce que rapidement il ne vaudra plus rien, comme vos paies, retraites et autres émoluments et aides.

    De plus elles prêtent cet argent aux banques à 0% d'intérêt, ce qui montre bien qu'il n'a plus de valeur.

    3) Les hyper-productions monétaire: en faisant perdre aux monnaies leur valeur intrinsèque, cela génère une inflation égale à leur production là où elles sont utilisées.

    De plus, cela encourage certaines entreprises spéculatives de racheter des entreprises avec cette monnaie de singe pour en pomper leurs richesses, ce qui accélère la désindustrialisation mondiale.

    4) La désindustrialisation internationale: sujet abordé maintes fois ici, débuté lors du rapport de force entre l'U.E. et la Grèce qui a amené à l'appauvrissement de cette dernière, ce qui a largement  suffit à littéralement vider les entreprises de leurs clients.

    En fait, ce processus n'attendait, si je puis dire, qu'un événement relativement mineur survienne pour débuter, même si, pour les grecs, leur ruine n'est pas un événement mineur, cela va de soit.

    P1000896.JPGSon origine est à rechercher  dans le déclassement et l'appauvrissement des ouvriers et classes-moyennes dû à la fermeture et/ou exportation des entreprises dès la fin des années 70.

    5) Les banques, fonds spéculatifs et de pensions: Tous sont ruinés, officieusement mais pas encore officiellement, tout le monde le sait, du-moins ceux se trouvant aux manettes politiques et économiques des pays.

    Sinon les Q.E. n'auraient jamais existé.

    Nous pouvons les voir s'agiter en tous sens pour tenter de sauver leur existence, jusqu'à, il y a peu de temps, une proposition de crédit à la consommation, de je ne sais plus laquelle, à 0,5% d'intérêt.

    6) Les crédits: en fait, ce qui est rigolo dans cette  histoire c'est que tout le monde a des dettes, du particulier aux états, des banques aux assurances, des fonds machin chose aux industries..., enfin, tout le monde, quoi.

    7) Les bourses et autres actions spéculatives: plus rien ne vaut quoi que ce soit, gangréné par les surproductions monétaires, les planches àP1000812.JPG billets, puisque plus personne ne connait la valeur réelle des actions achetées grâce aux hyper-productions monétaires sus-cités, ceci dues, à l'origine, à ce que, en 2008, il fallait bien les sauver, leurs directoires desquelles ayant pleurés dans le giron des gouvernements et de leur chef pour que ceux-ci sauve leur cul.

    Ce sont ces mêmes banquiers, qui avaient conduit leur banque et le monde à la banqueroute et qui  avaient fait l’aumône aux états, qui, aujourd'hui, accusent les  banques centrales de ruiner le monde de leurs hyper-productions monétaires.

    Ces hypocrites, parfaitement incompétents pour la plupart, paieront un jour leur forfaitures de leur ruine..., mais aussi de la nôtre.

    Enfin, là encore, le fait amusant est que le rachat par les banques centrales des actions génère une nationalisation qui ne dit pas son nom, même si c'est grâce à la planche à billet.

    8) Les bulles spéculatives: la plus belle est celle industrielle, mais celle-là n'a rien à voir avec celles qui ont traversé ce début de XXI° siècle, en fait, je devrais plutôt parler de bulle des baisses salariales.

    Parce que, en fin de compte, ce sont les salaires des gens, les bénéfice des P.M.E./P.M.I. et des grandes entreprises qui font fonctionner l'économie et non pas les énooormes fortunes qui, elles, les détruisent.

    P1000130.JPGLes autres bulles, gigantesques, imploseront/exploseront lorsque la désindustrialisation mondiale sera arrivé à un point tel que cela stoppera totalement toutes les activités économiques, régionales, nationales et mondiales.

    Ensuite la reprise se fera d'abord régionalement, puis nationalement et enfin à l'échelle internationale, il est à craindre que la remilitarisation du monde en deviendra l'un des ferments les plus puissants.

     

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    Champ idéologique et économisme dogmatique:

     

    Un champ idéologique est un système doctrinal complexe composé d'une doctrine de base, de son inverse et d'un ensemble de nombreux composants gravitant autour de ses deux fondements en des positions subtiles, contradictoires et complémentaires.

    Il est difficile de s'abstraire de celui-ci et ceux qui le font, par nature ou par réflexion, seront irrémédiablement chassés de la sphère des conversations et des  questionnements collectifs, non pas par méchanceté mais plus sûrement par incompréhension.

    Un champs idéologique, et non pas un mème, bien plus restrictif, est donc, dans leP1000771 - Copie.JPG même temps, un phénomène individuel et collectif puisque c'est autour de quoi va se structurer la pensée commune mais aussi la position politique, religieuse, économique, scientifique, artistique...etc... de chacun.

    Nous pouvons donc spéculer du fait qu'un champ idéologique est fait de la somme des croyances d'une époque et d'un lieu donné en un tout dual et composite en une dualité contradictoire et complexe, dont la remise en question ne peut que se révéler difficilement envisageable.

    De plus, s'y intègre, lorsqu'il atteint sa toutes puissance, l'ensemble des connaissances et savoirs sociétaux, ce qui fait  que c'est le-dit champ qui définira pour tous la réalité de ce qui est compris et su.

    C'est cette complexité du champ idéologique, toujours largement majoritaire, qui le rend difficilement discernable pour celui le vivant en son lieu et son époque, ne serait-ce du fait qu'il soit quasiment impossible de le questionner publiquement, même lors de discussion informelle entre amis.

    Un champ idéologique, tout comme un mème qui n'est, après tout, que le nom donné aux composantes de celui-ci en tant que croyance constitutif au-dit champ, a une  existence propre en ceci qu'il nait, évolue puis s'intègre, avec le temps, à l'inconscient social ou disparaît totalement.

    Celui dont nous causons ici nous concerne directement puisque c'est sous son emprise que nous vivons et  que je nomme l'économisme dogmatique.

    P1000825.JPG

    L'économisme dogmatique est le champ idéologique faisant considérer l'économie comme étant la composante essentielle de toute société moderne et démocratique (ce que nous pouvons voir comme étant faux, démocratie et économie de marché étant deux choses tout à fait différents) au-delà de tout autre domaine et composante de la vie sociale.

    Nous pouvons remarquer que celui-ci s'exprime de manière différente suivant les lieux, les milieux, les thèmes abordés mais que diverses mèmes le composant seront niés ou affirmés suivant la personne avec qui nous pouvons échanger.

    Mais, au total de l'ensemble de ces  discours paraissant contradictoires se révèle,  en fond complémentaire, de même schème.

    La particularité de notre époque, et ceci en raison de l'effondrement idéologique ne se produisant pas seulement en France mais  bien partout dans le monde, est que le champ idéologique existant, l'économisme dogmatique, tend à réduire son  ensemble conceptuel en y intégrant les traits les plus représentatifs des structures d'états du XX° siècle, à l'exemple du fonctionnement institutionnel de l'Union-Européenne ressemblant à s'y méprendre à celui de l'Union-des-Républiques-Socialiste-Soviétique, de cette alliance de l'U.E., des U.S.A. et de l'O.T.A.N. avec les nazis ukrainiens ou du rejet de 70% de la jeunesse étasunienne de la société de marché, centre  doctrinal, depuis ses origines, du fonctionnement des Etasunis...

    Ce sont ces signes, avec d'autres, qui me permettent de conjecturer cet 100_1633.JPGeffondrement idéologique actuel, et son inintelligibilité quasiment total rend son processus invisible.

    C'est bien d'être parvenu à la fin de son dynamisme évolutif qui génère son effondrement de part son autodestruction, tant doctrinal qu'effectif, c'est pourquoi considérer, comme je le fais, l'économie monde comme étant en plein dans un mécanisme de délitement ne pouvant que conduire, d'abord à son arrêt total dans un laps de temps proche, puis, par  phases successives et au  fil des années et de  quelques décennies, à l'anéantissement définitif de ce-dit champ idéologique et des bribes d'économie globalisées subsistant encore, ne me peut que me paraître de la plus pure des logiques.

     

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    Rapide visite en terre géostratégique:

     

    Je soupçonne, comme j'ai pu déjà l'écrire, l'empire U.S. de vouloir démembrer l'Union-Européenne, ce qui a déjà commencé lors du référendum britannique (et qui rend compréhensible les étranges erreurs de Monsieur Obama consistant à s'en mêler en en intervenant au pire moment pour les eurolâtres anglais).

    L'attente annoncée du gouvernement de sa très gracieuse majesté de déposer sa demande de sortie de l'U.E. par l'article 50 de sa pseudo-constitution serait, à mon sens, un moyen de désorganiser l'union en laissant sa direction dans l'expectative.

    Si en cela  j'ai raison, alors cette demande sera déposée à un moment où personne ne s'y attend.

    De plus, cela ne pourra pas ne pas s'accompagner d'un début de IMGP0335.JPGdéstabilisation des partis de gouvernements français, P.S./U.D.I./L.R./F.N., ceci a fin de rendre éligibles les courants anti-U.E. lors des élections présidentielles, ce qui, en ce cas, ne devrait pas tarder à survenir.

    Les raisons pour lesquelles les Etasunis

  • Les choses de l'esprit: de la sottise en héritage.

    Il est bien de rechercher les causes premières antérieures aux difficultés que nous pouvons rencontrer.

    Ainsi, la sottise tant de nos élites politiques, économiques qu'intellectuelles et artistiques, bien que n'étant pas totale, loin de là, n'en est pas moins majoritaire, ceci d'autant plus que c'est cette majorité qui détient la direction politique,  économique, intellectuelle et artistique de la France.

    De plus, ce processus ne concerne pas seulement notre petit hexagone mais quasiment toute l'Europe mais de manière moindre, sauf à quelques exceptions près la Russie, la Suisse, plus un ou deux pays nordiques et quelques-uns des anciens de l'est qui réagirent avec infiniment plus d'efficacité.

    Et c'est bien l'ouest européen qui en est le plus atteint, d'autant plus, d'une façon caricaturale, la France.

    Mais d'où se tirerait donc l'origine de cet abêtissement d'une partie non restreinte deP1030018.JPG ce qui devrait être la fine fleur de la nation?

    D'une question existentielle qu'il se posait dès la sortie de la seconde guerre mondiale et qui, ne recevant de réponse concrète jusqu'à aujourd'hui, réponse formulée maintenant par Emmanuel Todd*, en est venu à pervertir l'intelligence des plus hautes classes sociales: "Comment se fait-il que l'un des peuples le plus civilisé au monde (l'Allemagne) en ait pu en arriver à de telles atrocité (les exterminations massives)?"

    *( La réponde de Mr. Todd  étant qu'il y a un moment de rupture culturelle pouvant s'exprimer violemment dès lors que la religiosité d'un peuple descend en-dessous d'un certain seuil, ce qui était le cas pour les français de la grande région parisienne au XVIII° siècle et pour la Germanie du début du XX°. )

    De cette sottise collégiale, que, jusqu'à présent, je ne faisais qu'intuitivement supposer, je peux, dorénavant, la démontrer au sujet de notre oligarchie strato-financière et de notre gouvernement.

    Etant entendu qu'une démonstration ne peut en rien être une preuve directe, toutefois celle-ci permet-elle d'avancer des pistes de recherche, ici historique, en psychologie des groupes et anthropologique.

    Alors, quelle est cette réflexion me permettant de faire une telle démonstration?

    Elle m'est venue cette nuit où, me réveillant, m'est venu cette idée: nos oligarques n'avaient et n'ont aucun intérêt à empêcher le traitement, d'hydroxychloroquine doublé de l'azithromycine proposé par de Professeur Raoult pour lutter contre le P1030256.JPGSRAS-COV-2 et de soutenir mordicus sa dangerosité, ce qui est le mensonge d'état le plus  incroyable de notre modernité, tout cela via le gouvernement, les médiats et les institutions de recherche médicale, empêchant les médecins d'effectuer tant des tests de la population que ce traitement pour la soigner.

    Ceci en l'attente de l'évaluation de l'efficacité du remdésivir du laboratoire étasunien Gilead qui se révélera totalement déficient.

    Dont personne ou presque en France n'aurait pu tirer, quoi qu'il en soit, de quelconque bénéfice, là se trouve la folie de cette histoire et ma base réflexive.

    Tout cela en une forfaiture de première importance qui n'a servi que de faire monter une incroyable colère populaire.

    Or, hormis quelques-uns d'entre-eux qui auraient eu un petit peu d'actions dudit laboratoire, pourquoi donc leur faut-il refuser par tout les moyens, tant du fait du gouvernement aux ordres oligarchiques que de celui des médiats, que les français soient soignés de cette façon?

    Il n'y en a aucune raison probante.

    Qu'ils se retrouvent dès lors contraints de nous cloîtrer chez-nous, menant alors le pays à d'ahurissantes complications économique pouvant mener à une crise d'une telle violence que cela pourrait bien nous conduire, effectivement, à la disparition de l'euro, détruisant de là même l'Union-européenne (ce dont même Georges Sorros s’inquiète), tout autant que de leur fortune d'ailleurs.

    Nous menant de plus à une crise économique d'une telle violence que nous risquerions de nous retrouver à faire face à cette disette et famine que nous ne connaissions plus depuis près de deux siècles.P1030166.JPG

    Claustration déstabilisant jusqu'à l'Allemagne.

    Dès lors que nous prenons en compte cette question évoquée plus haut, toutes les affirmations dérisoires, les empêchements scientifiques, intellectuels, philosophiques, les errances politiques, économiques, artistiques deviennent compréhensible par ce simple fait qu'en réponse à celle-ci, fut formulé inconsciemment ce qui suit:

    " Puisque d'être détenteur d'une haute culture, d'un tel degrés de civilisation, mène aux atrocités de l'Allemagne nazi (ce qui, nous l'avons vu, est faux), alors pour être civilisé il faut ne pas être cultivé et donc de devenir de parfais imbéciles en redevenant des sauvages."

    Dès lors que ce paradoxe conceptuel s'est mis progressivement en place, gravement accentué par notre imprégnation de la basse culture de l'empire US, notre colonisateur, alors tout le reste  des imbécillités de notre époque, dont je n'ai eu de cesse que d'en donner des exemples, en découle.

    La perte d'identité des classes sociales les plus hautes venant accentuer d'autant cette situation déjà calamiteuse, peut-être même l'une se déduisant de l'autre.

    Là où la pandémie actuelle est révélatrice, bien plus qu'il pourrait en être de toutes autres billevesées et autres sornettes hypothétiques si nombreuses qui sont exprimées, ce révélateur, donc, se comptabiliserait, donc, au taux de mort qui, dans chaque pays du monde, mais surtout dans ceux occidentaux, s'égrainent en raison P1020047.JPGde cette maladie au vilain virus, c'est le niveau de perte civilisationnelle, culturelle, d'humanisme, d'intelligence, donc, des élites de chacun d'entre-eux que cela révélerait.

    Ce manque d'humanité que démontre le docteur Gérard Delépine lors de son intervention dans le site vidéo Putsch Live: "Le confinement répond à un désir d'humilier la population".

    En cela, cette avanie collective est, à mon sens, le marqueur le plus fiable de l'affaiblissement tant de la pensée, de la raison, des connaissances, de la perception temporelle, tant historique que du futur, et, dès lors, d'intelligence, d'humanité, de leur identité et de leur détermination d'Être de cette majorité des élites des nations où le plus de décès dû au COVID-19 est à déploré.

    Bien qu'il se doit toutefois de relativiser cette vision, puisque certains de nos voisins, le gouvernement italien surtout, surent réagir avec cette humanité et cette vigueur, sans fausse honte, contrairement à ce qu'il peut en être de notre gouvernement, en appelant à l'aide tous les états en capacité d'aider le peuple, Chine, Russie, Cuba, Egypte..., contrairement de ce qu'il en fut pour ceux de l'Union-Européenne dont les italiens ne reçurent nulle réponse à leurs SOS, quand bien même au début de cette crise sanitaire celui-ci commença par de mêmes erreurs que nos macronistes-philippards de tous poils.

    Reconnaître ses erreurs, ainsi que le fit le gouvernement britannique qui, après s'être rendu compte que son service médical ne pouvait absorber le choc du nombre de malades, se retrouva devant confiner, lui aussi, sa population, mais en le lui annonçant sans lui mentir des raisons, sans prendre les britanniques pour desP1030447.JPG enfants, est, pour moi, l'une des preuves, sinon la preuve la plus éblouissante, que cet esprit de raison que nous a légué nos anciens n'est en rien laissé lettre morte.

    C'est pourquoi je dis et affirme résolument que là où sévit le plus important abrutissement au plus haut de la hiérarchie sociale c'est aux Etats-Unis-d'Amérique, en France et peut-être même en Espagne.

    Aux USA, justement, où il est loisir d'y observer, via les vidéos, des événements plus que curieux, le particulier prenant sa voiture, parfois de bonne facture, pour aller chercher de quoi se nourrir..., montrant la situation désespérante de ce pays (je conseillerais à ceux de nos compatriotes qui y sont expatriés de revenir en France au plus vite si possible).

    C'est à nous, gens du commun, désormais, aidés en cela par ceux qui, du plus haut de cette hiérarchie sociale, ne souffrent que de peu ou pas de cet abêtissement, qu'il nous revient de recouvrer cette flamme faite d'humanité et du plaisir de la curiosité, de la découverte et du savoir qui manque tant à la tête de notre état.

     

     

    THEURIC       

    P1010503 - Copie.JPGPS: Une ridicule tentative de putsch  eut lieu à l'UPR en l'essai de renverser François Asselineau.

    Je m'attendais à quelque chose de cette sorte mais ne m'en avais pas exprimé, pensant que son président en avait pris les devants.

    De fait, en une façon de leçon salvatrice, il vaut mieux que cela survienne maintenant plutôt que dès lors que ce parti politique atteigne un niveau de popularité plus important qui lui permettra de prendre le pouvoir.

    Cette tentative fleure bon le pervers narcissique, tant de son culot, de la stupidité de sa mise en oeuvre, de la manière avec laquelle certains cadres de ce parti furent manipulés que de sa non prise en compte de la force de caractère de son président.

    Il est à considérer, comme me confortant dans cette appréciation, que les accusations proférées par le fomenteur de ce complot soient à l'image de sa propre conduite, ceci conté par Fabien Sémat, qui en est cadre, justement, en ces deux mêmes vidéos, la plus courte, la plus longue.

     

    PS2: Une odeur de souffre fut sentie à Paris et sa banlieue le 10 Mai, soit à la date anniversaire du début de déclenchement de l'offensive allemande sur la France en 1940, qui conduisit, après cette défaite française, à ce que le gouvernement de Pétain fut mis en place à Vichy, inféodé à l'Allemagne hitlérienne.

    Qui survint la veille aussi du début du commencement du déconfinement de laP1030280.JPG population.

    Le souffre représentant le diable dans l'iconographie de l'époque médiévale, également que l'expression "sentir le souffre" renvoie autant à une situation semblant prendre mauvaise tournure que d'une personne dont on ne peut pas avoir confiance.

    De part cette triple symbolique, ce phénomène ne peut pas être anodin et ne peut qu'exprimer, à mon sens, soit une mise en garde d'une catastrophe quelconque, soit l'annonce de difficultés avenir pour des franciliens, soit un événement important survenant en Île-de-France, soit un chamboulement rapide, pourquoi pas politique, soit un mixe complexe de ces quatre éventualités.

  • A vous les jeunes!

    J'ai soixante ans et, à la suite de mes nombreux billets, il me semble qu'il soit temps pour moi de m'adresser tout spécialement à vous.

    Nous vivons une période tout autant dangereuse, ne nous le cachons pas, spécifique à toute autre ère et pour le moins impénétrable.

    Or c'est à vous que va se révéler la tâche de rendre intelligible ce qui ne l'est pas, inventif face à ce qui n'est, en ce moment, qu'un rabâchage ennuyeux, ruineux, imbécile et, surtout, obscurantiste.

    Beaucoup d'entre-vous recherchent désespérément une raison d'action sociale dans ce chaos mortifère, en la trouvant dedans des problèmes écologistes désignés par ceux-là même qui génèrent cette confusion collective, soit les médiats officiels.

    Comme je pus l'être à vos âges, vous êtes facilement manipulable.

    De ce fameux réchauffement climatique anthropogénique qui en constitue la trameP1030162.JPG première, cachant là où se situent les réels enjeux, réchauffement qu'il y a beau jeu d'observer en toutes faces, sa vérité est ainsi: cette théorie scientifique, ou se voulant se dire tel, n'en est pas une.

    Pour cela il n'est que de reprendre la science à sa base: Une théorie scientifique, en plus de n'avoir de valeur que par son caractère prédictif, se doit d'être réfutable, c'est à dire de pouvoir être remise en question.

    Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une théorie, ni même d'une hypothèse qui, normalement, se doit de prendre en compte l'ensemble des éléments pour se formuler, mais tout juste une croyance ordinairement sans grande importance.

    Vous remarquerez ainsi que nos journalistes et chroniqueurs bienséants ne présentent jamais quiconque, climatologue ou physicien (puisque les questions du climat relèvent surtout de la physique la plus pointue), venant critiquer cette nunucherie.

    Sachant qu'il n'existe pas, en science, d'unanimité, cela n'existe pas et est le mensonge le plus grossier qu'il soit: oui nos journalistes et nos élus sont soient des imbéciles, soient des naïfs, soient des menteurs ( je vous revoie une fois encore vers ce site où tout cela est, au fil des billets, montré de toutes sortes de façons ).

    P1030306.JPGQu'est-ce qu'un Nagui, un philosophe lambda un intervenant quelconque ou un journaliste du 20 heure connaissent là-dessus, sûrement bien moins que moi  qui n'en comprends juste que les bases.

    Mais me penchant au-dessus de ses dimensions politiques, il me deviens évident que tout cela n'est que de la communication faite pour éviter que vous regardiez là où se trouve les réels sujets: la pire des vilénies de nos oligarques, de l'Union-Européenne dans son entier, de l'OTAN et du néolibéralisme économique.

    Bien que cela fasse intervenir aussi l'un des nos archétypes les plus puissant, le mythe  de la destruction du monde par Dieu suivit de son rétablissement, mais vous remarquerez que Dieu, ici, c'est nous, l'Être Humain, se prendraient-ils, nous prendrions-nous pour dieu lui-même?

    Redescendons donc de ce piédestal stupide et angoissant ( même des enfants en feraient des cauchemars ) et demandons-nous donc pourquoi aucun débats avec des professionnels du pour et du contre de cette fadaise n'est jamais médiatiquement organisé.

    Pourquoi des historiens n'y viennent-ils plus pour nous montrer qu'au moyen-âge et plus encore sous l'empire romain le climat était infiniment plus chaud qu'aujourd'hui, qu'aucun climatologue ne nous y montreraient-ils pas, de plus, enP1030789.JPG combien de temps cette chaleur d'antan prit corps ( l'une des réponses qui m'en fut rapporté en effet, au-devant de mon plus que scepticisme: que ce qui serait catastrophique ce serait la vitesse d'avènement de la-dite chaleur, ce qui reste part ailleurs à montrer )?

    Tout juste sais-je que, de tout temps et toute ère, la monté du taux de CO² suivit et non  pas précéda cette hausse des température, article trouvé sur Science-et-vie datant de trois décennies environ.

    Ceci avant que, comme toutes les publications, ils n'en deviennent à être contraints de suivre, entre-autre, cette pauvre superstition au risque, sinon de se retrouver, pour ses gazetiers, au chômage, comme il failli arriver à ces deux journalistes météos, Messieurs Verdier et Cabrol, dont je vous avais déjà narré les mésaventures.

    Mais pourquoi donc m'appesantirais-je encore une fois sur ce sujet que j'ai de maintes manières déjà abordé?

    Pour vous montrer, chère jeunesse, que nous sommes en plein dans une période d'obscurantisme obtus et que c'est à vous, dorénavant, de reprendre le flambeau de la découverte intellectuelle en toutes les fonctions qui font sociétés.

    Si vous pensez réellement qu'aucune place ne vous est accordée, détrompez-vous, vous avez en réalité celle la plus noble et remarquable de toutes: réamorcer la soif de P1030616.JPGla découverte, de l'inventivité, du désaccord et de la querelle théorique, de la recherche véritable, de la philosophie novatrice, des nouveaux concepts et conceptions, de l'étude des anciens, de leur critique et réexamen... .

    Mais aussi pour  concevoir de nouvelles technologies, nouveaux abords politiques, économiques, sociaux, professionnels, artistiques, nouvelles techniques de conceptions d'usines et de fabriques, de vision de l'état de droit, de la démocratie, des services  sociaux et publics, de la médecine dans toutes ses dimensions...

    Enfin bref, de tout ce qui fait la-dite société et qui, aujourd'hui, part à vau l'eau.

    Et je puis vous affirmer que vous avez loin d'avoir toute une vie pour ce travail admirable, il n'est dès lors plus que temps, pour vous, de ne plus vous laisser entrainer dans les méandres malsains et pervers des mensonges qui vous sont déversé par multitude.

    Alors instruisez-vous et je puis vous assurer que bien des textes jusqu'aux années 80, voire 90, se révèleront, pour vous, fort précieux.

    En revanche c'est en cette époque que se développèrent les bases nauséabondes du délitement intellectuelle actuel, alors faites toutefois attention aux ouvrages queP1030365.JPG vous choisirez et montrez-vous analyste sensible aux contradictions internes des sujets abordés.

    Soyez examinateurs passionnés mais scrupuleux des notions exposées par les penseurs anciens, ce n'est pas parce que c'est vieux que c'est bien, ce n'est pas parce que c'est moderne que c'est mauvais, à vous d'en peser et soupeser tout le pour et le contre, seules la raison, la logique et la cohérence vous le démontreront.

     

    Pour ceux ayant eu le temps et le courage de parcourir une bonne partie de mon blog, ce seront aperçu que j'ai pu aborder certains sujets, dont celui de l'apparition de l'ancêtre du singe, de celle du premier du genre Homo, notre très lointain aïeul, de la nature de la pensée, ainsi que de tout un ensemble de thèmes différents.

    Ce n'était pas dans le but de vous démontrer la faisabilité de remettre en question, voir parfois en cause, les hypothèse posées actuellement, mais tout simplement pour m'en exprimer, pour y exposer mes idées: comment voudriez-vous que, sinon, je puisse me faire entendre autrement du haut de mon faible cursus et classe sociale?

    Combien longtemps ai-je été inconsciemment jalousé sans même que mon vis-à-vis et moi-même n'en percevions le trait, ce qui  fonde aussi ma prudence.

    Parce qu'il est terriblement douloureux de percevoir des biais sociaux là où ils se trouvent, de comprendre certaines choses et de ne pouvoir les partager avec P1030271.JPGquiconque, sachant que je remets en cause en cela bien des préceptes sociétaux non-dits.

    Certes, depuis ces tant d'années j'ai pu faire des erreurs conceptuels, voire prévu des événements qui n'eurent pas lieu ou qui arriveront que bien plus tardivement, mais je n'ai eu que de cesse de corriger ces-dites erreurs et faire preuve de bien plus de prudence, de retenue et de mesure dans mes prévisions.

    Il faut en effet être son pire objecteur pour pouvoir développer au mieux sa pensée.

     

    Dans ce monde incompréhensible, ou du-moins aux sens discrets, il n'est pas facile d'y trouver sa place, phénomène renforcé par l'union-européenne et son ensemble idéologique ad oc mélangeant le pire au meilleurs, rendant la notion d'identité floue, nous faisant confondre loup, chèvre et chou nous faisant perdre toutes les notions du commun et nous égarant dans l'infinité de l'illimité, nous laissant, pantelant, dedans la béance de l'infantile infertilité.

    Alors,  pour s'échapper aux angoisses de ces égarements de ne plus se sentir déterminé, tant dans l'action que de son identité, diverses stratégies psychologiques s'y côtoient.

    Il y a par exemple d'inscrire sur sa peau sa marque identitaire pour qu'en cela savoirP1030550.JPG par la douleur du piercing et/ou de celle du tatouage, de son souvenir, où se trouve la limite du corps, de part sa peau tracer une frontière entre le monde et Soi.

    Il peut aussi y avoir les beaux habits et beaux maquillages, avoir la parole haute, de se muscler indéfiniment, de se filmer sur un ordiphone, divaguer sur des réseaux dits sociaux, de se montrer en réel ou en virtuel, pour dire: "J'existe!", de l'affirmer ou de tenter de le faire.

    Ce sentiment de ne pas exister en raison de limites peu ou non formulées, du sentiment de se perdre dans un grand tout où chacun aurait le sentiment de n'être que poussière perdu dans l'univers, de celui de n'avoir qu'une identité de Soi comme de celle sociale confuse, nébuleuse, mène à une souffrance psychique à peine audible que seule la boule à la gorge permet de retenir et de percevoir.

    Cette douleur mentale silencieuse conduisant à la recherche de l'oubli, de l'hébétude, de la folle frénésie dans toutes sortes d'intempérances enivrantes.

    Des drogues, il y en a de trois sortes: celles menant à de l'ivresse, celles excitantes et les hallucinogènes.

    L' alcool, le hachich, les opioïdes sont des premier, la cocaïne, les amphétamine et P1030165.JPGméthamphétamines sont des seconds, quant aux troisièmes ils se trouvent dans les alcaloïdes de certains champignons.

    ( Le tabac est spécifique, peu ou non enivrant ni  excitant, il a de fonction de faire baisser le taux d'agressivité, de réduire le sentiment d'ennui, de diminuer la timidité et de combler une béance affective, mais c'est l'une des drogues dont il est le plus ardu de se débarrasser. )

    Toutes les drogues ont des effets néfastes autant sur l'organisme que sur le cerveau.

    Il y a des drogues qui, d'une manière ou d'une autre, sont acceptées et contrôlées socialement en raison de la multitude des générations qui s'y sont confrontées,, le vin en France, en Allemagne la bière, les alcools en Occident donc, l'opium dans certaines régions orientales, le hachich réservé (normalement) à des situations et rites  religieux ou spirituels, en Inde notamment.

    En revanche toutes les drogues de synthèse, comme celles installées dans des pays hors de leur contextes anthropologiques, sont d'autant dangereuses de tous points de vu que les corps sociaux n'en ont construit aucune appropriation, ni cultuelle, ni culturelle, ni même de restriction formelle par un surmoi collectif conscient et inconscient.

    Soyez  au fait, donc, de ces causes qui font cet attrait, seul ou en commité, pour une ivresse dépassant largement le seul plaisir de se retrouver grisé au milieu des amis,P1030104.JPG en partageant le vin pendant le repas en devisant gaiment en bonne compagnie, de danser aussi, de chanter à tue-tête.

     

    Je me suis moi-même diagnostiqué pseudo-asperger, qui est un mixe de haut-potentiel ou de sur-doué avec un état autistique plus ou moins léger.

    Son origine, je le pense fortement

  • A la recherche du sens perdu.

    Avant-propos:

    Je n'émets pas de théorie ni n'effectue de travail théorique, je fais de la philosophie en tant que penseur brut, ce qui est tout à fait différent mais qui, aux horizons de la bêtise ambiante, sont tous trois confondus, nous ne devons absolument pas, de plus, les confondre d'avec la technologie qui est, elle aussi, différente de cet ensemble:

    -Une théorie est la résultante d'un travail scientifique en amont, parfois durant des décennies, faite de recherches par divers moyens suivant la science dont il est sujet et lui étant explicatif de sa nature, recherches effectuées suivant la situation, l'urgence ou non, les capacités du moment, elle n'est jamais absolue parce que réfutable, mais, de par le principe de parcimonie, elle se doit d'être la plus simple au regard de toutes les information disponible sur ledit sujet donné et, enfin, se doit de déterminer réellement sa valeur par son caractère prédictif;

    -Un travail théorique est de définir une série d'hypothèses sur un sujet donné, or,P1040601.JPG l'hypothèse se devrait de rester juste un premier jet réflexif sur ledit sujet, que cela soit le fait de scientifique ou non, et se devrait de rester tel et d'être affirmé ainsi tant qu'aucune preuve tangible telle que définie plus haut n'y est apporté qui, sinon, d'hypothèse, la ferait porté au niveau de la théorie;

    -Une réflexion philosophique est elle proche de la métaphysique en ce sens où elle est la résultante d'observations, de recherche, de compréhension et de méditations tant de soi que du milieu dedans lequel la personne, philosophe de métier ou non, vit, sa finalité se devrait d'être d'organiser la pensée de chacun et, dès lors, de développer sa propre conscience de la réalité de Soi comme du Monde, elle ne saurait être absolue puisque elle se bâtie au sein d'une société donné et, de ce fait même, ne peut qu'être composé d'un ensemble de vérités relatives à elles-mêmes, de la personne singulière comme de ladite société donnée, quand bien même a-t-elle deux buts communs d'avec la théorie scientifique, celle d'être dans la quête ainsi que de définir au mieux cette nature de la réalité.

     

    Nous avions rangé notre intelligence à la cave, du-moins ceci était le fait de nos aïeux qui, toutefois, nous avaient montré l'endroit où ils l'y avaient remisée, et, maintenant, nous commençons tout juste à nous apercevoir, une fois que nous l'avons ressorti de sa malle déposée dans la cave, qu'elle est sale, poussiéreuse et mitée de mythes vaporeux.

    P1040463.JPGCe phénomène est déterminé, à mon sens, par deux processus historique aux origines passées s'activant en ce moment même, ceci simultanément d'une troisième, moins ancienne, tous trois s'activent, donc, depuis quelques décennies déjà.

    Ensemble dont je vais tenter de faire la démonstration.

    Démonstration qui, je le répète, bien que donnant du sens aux événements et/ou aux fait produits, n'en apporte en rien une preuve absolue, mais est juste le développement au plus juste d'un ensemble de considérations explicatives tentant de rendre compte au plus près à ce qui semble incohérent, sans en avoir de preuve concrète mais conformes aux présomptions perceptibles.

    Du moins cela permettrait-il d'amorcer des recherches, pour celui ou ceux qui en auraient l'attrait, desquels je n'ai aucun outil conceptuel me permettant de les effectuer, étant donné que mon cursus ne fut que peut développé, ni en ayant les capacités d'ailleurs de montrer en quoi je pourrais en avoir tort ou raison.

    Alors même que je suis sûr de leur réalité.

    Voici donc ces trois processus, aux portes de la métaphysique, que j'ai conçu de manière purement intuitive et dont je vous avais déjà fait cas auparavant et qui, je le conçois, pourraient être considérés, pour toutes ces raisons même, comme relevant de l'ordre de la magie puisque ne semblant pas corrélés par des mécanismes deP1040447.JPG causalité tels que je les avais exploré avec vous dans mes troisièmes aphorismes en fin de page, bien que j'en pense le contraire:

    1-une rétrogression historique nous faisant remonter anthropologiquement aux alentours de la deuxième moitié au troisième tiers du XIX° siècle jusqu'au début du XX°;

    2-une compulsion de répétition nous conduisant à une période s'étendant de 1917 et la révolution d'Octobre menant à la création de l'URSS, jusqu'au tout début de la guerre froide, soit à la toute fin de la seconde guerre mondiale, ceci maintenant sous une forme économique et non plus militaire;

    3-un effondrement impérial de la thalassocratie US, similaire, mais en un effet miroir gauche/droite-droite/gauche, de celui qui survint pour la Russie en 1991 qui vit la fin de l'Union-Soviétique, ceci accompagné d'un autre effondrement, celui-ci idéologique, accompagné naturellement de celui politique, phénomènes quasiment d'échelle internationale.

    Tous trois sont intimement liés et, telles des poupées gigognes, s'emboîtent temporellement l'un dans l'autre, c'est pourquoi, donc, nous ne pouvons pas comprendre ce qu'il se passe aujourd'hui sans que nous ne prenions en compte ces trois mécanismes.

    P1040704.JPGEnfin, je dois préciser que j'avais déjà écrit sur ces trois thèmes dans mon blog sans jamais ne les avoir rapprochés.

     

    I-) La rétrogression historique:

    Vu que je fais remonter nos difficultés actuelles à la prise de pouvoir de Louis-Napoléon Bonaparte en 1848 en tant que président de la II° République, suivit de son coup d'état de 1850 menant  au second empire sous l'égide de Napoléon III de 1852 qui s'acheva par la défaite de la France face à la puissance prussienne en 1870 (qui deviendra l'Allemagne pour cette occasion à Versailles, décision prussienne hautement symbolique).

    Parce que la première guerre mondiale est indéfectiblement liée à celle de 1870, qu'elle détermina tout ce qu'il se passa par la suite jusqu'à maintenant, je considère dès lors que c'est cette période qui est constituante de l'histoire mondiale dès le moment de ladite défaite jusqu'à aujourd'hui, c'est cela qui mène à ce que nous vivons une rétrogression historique.

    Les raisons originelles en sont de deux mensonges et deux trahisons qui, parce qu'ils permirent, pour les premières, aux acteurs de l'époque d’asseoir leur politique avec efficacité, et aux secondes que l'idéologie valait mieux que la valeur humaine, qui mena, du fait de cette misanthropie constitutive, à un désenchantement du monde conduisant à une façon de crétinisation des hautes hiérarchies sociales qui, parP1040529.JPG ruissellement, détermina celle d'une part de la population.

    (Il y eut depuis longtemps, sinon de tous temps, des mensonges et des trahisons tout au long de l'histoire, la particularité de ceux-là vient de ce qu'ils déterminèrent tous le XX° siècle et ce début de XXI° et c'est cela qui, pour nous, nous importe.)

    A) Ce premier mensonge fut du fait que Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III,qui  fut présenté à la population comme étant un génie du même ordre que son oncle, Napoléon 1er, lui qui en réalité était considéré par les gouvernements européens, à peu de chose près, d'une manière similaire à notre Macron au sein de l'Europe et au-delà: un niais.

    Ainsi, pour Otto Von Bismarck, le chancelier prussien : « L’empereur est une grande incapacité méconnue. »

    Quand Victor Hugo disait de lui : « Louis Bonaparte est un homme de moyenne taille, froid, pâle, lent, qui a l’air de n’être pas tout à fait réveillé […] Les chefs de la droite disaient volontiers de Louis Bonaparte : C’est un idiot. Ils se trompaient. C’est un livre où il y a des pages arrachées. À tout moment quelque chose manque. Louis Bonaparte a une idée fixe, mais une idée fixe n’est pas l’idiotisme. »

    Tout ceci ne vous ferait-il pas penser quelques-uns d'un certain gouvernement, voire même d'une union?

    B) Le second mensonge, lié au premier, fut la "dépêche d'Ems", faux diplomatique que le même premier ministre prussien avait créé pour que, la France déclarant la P1040560.JPGguerre, il puisse achever l'unification de ce qui deviendra l'Allemagne de par le conflit que cela générerait entre ces deux pays et de la victoire germanique quasiment assuré dès son début.

    La double trahison est de la même époque.

    A) Ce fut Louis-Napoléon Bonaparte qui fomenta un coup d'état en tant que président élu en reversant la deuxième république, trahissant par là même ceux qui l’élurent à ce poste, quand bien ce fut par un plébiscite qu'il en avait reçu l'approbation du peuple en 1851, ce fut de fait une trahison, puis en 1852 il devint l'empereur de tous les français sous le nom de Napoléon III à la suite d'intenses tricheries de toutes sortes, son régime s'appelant donc le second empire.

    B) Ce fut la trahison du peuple parisien par la troisième république naissante dès lors qu'à la suite de la capture de l'empereur Napoléon III ladite république fut proclamée en 1871 par Adolphe (déjà) Thiers qui conduisit à la Commune de Paris.

    Après l'armistice signé par le nouveau gouvernement élu de la troisième république, dans la crainte de la grande bourgeoisie, toujours royaliste, en la population parisienne républicaine qui, à la suite de la multitude de leurs trahisons ( des ancêtres de nos oligarques stato-financiers, sinon de sang, du-moins d'esprit ) aidant hypocritement les armées prussiennes durant cette guerre, qui, après les deux mois de famine des parisiens due au siège de Paris par les troupes germaniques du 20 Septembre 1870 jusqu'au 28 Janvier 1871,  fut tenté de confisquer les canons que,P1040491.JPG pour parti, les parisiens avaient eux-même acheté par souscription, qui dès lors se révoltèrent.

    Ce fut ladite Commune de Paris qui dura du 18 Mars au 28 Mai 1871 mené par les socialiste révolutionnaires, dont Louise Michel est l'une des figures les plus connues.

    Ce sont donc ces événements qui, dans le même temps, déterminèrent, à mon sens, le XX° siècle et ce début du XXI° et qui mène aujourd'hui à cet étonnant retour anthropologique en arrière qu'est notre rétrogression historique.

    En effet, ce furent les trucages de cette période que furent ces mensonges et trahisons, qui, de Paris, de la France, menèrent aux événements mondiaux jusqu'à aujourd'hui: les Etats-Unis seraient-ils devenus empire thalassocratique, maintenant en déclin,  si les deux guerres mondiales n'avaient pas eu lieu?

    La Russie soviétique serait-elle apparue si la première guerre mondiale n'était pas advenue.

    Et celle-ci se serait-elle produite si l'Alsace et la Lorraine n'avait pas été confisqué à la France par l'Allemagne devenu alors?

    N'y avait-il pas un esprit de revanche en France après que les prussiens se soient P1040609.JPGinstallés si longuement au  château de Versailles?

    Lesdits trucages s 'étaient révélé efficaces et, dès lors, bien plus que par le passé, mensonge et trahison, dont l'empire US furent et sont toujours les champions, devinrent l'habitude, certes dans les populations, mais de manière bien moindre que dans la haute hiérarchie des pays (c'est l'un des gestes majeurs de Monsieur Poutine d'en renverser la tendance).

    Cette façon de faire menant à ce que les peuples en viennent à ne plus croire en des dirigeants politiques qui, de mensonge en trahison, en sont venu, de génération en génération, à refouler le fait même qu'ils puissent mentir et trahir éhontément, n'en étant même plus conscient.

  • Vous les croyez menteurs, ils sont délirants...

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui, droit dans les yeux vous mente ou celui qui, quel que soit le délire qu'il puisse proférer, y croit dure comme fer?

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui professe la pire absurdité en étant sûr de ce qu'il déblatère, même si c'est en contradiction d'avec la simple réalité, ou celui qui, contraint et forcé ou dans la crainte et la peur, doit raconter cette absurdité, même s'il sait que c'est faux?

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui, quoi qu'il puisse se passer, prend des décisions allant à l'encontre des intérêts de tous, même des siennes propres, en ne prenant pas en compte la simple réalité des faits parce qu'il en est incapable, ou celui qui a les capacités de percevoir, par une objective observation empirique, ceci en  raison même de son long cursus, cette même réalité, mais qui n'en veut ou n'en peut aucunement percevoir le moindre trait à cause d'un dogmatisme bien trop obtus?

    P1020908.JPGPoser la question c'est déjà y répondre.

    Certes nos chers oligarques nous haïssent, nous, le bas peuple, d'une haine farouche, totale, absolue, mais ils ne seraient rien si tant de gens dans la classe-moyenne la plus supérieure n'en étaient pas venu à penser à l'encontre de leurs propres intérêts futurs et également présents.

    Si ceux-ci n'étaient pas tant épris de cette idéologie néolibérale européiste qu'ils en oublient de simplement regarder ce qu'il s'était passé dans le monde anglo-saxon, aux U.S.A. surtout, et de voir l'abyssale pauvreté vers quoi cela conduit.

    Si, d'avoir oublié ce que peut être l'esprit de logique une fois quitté les bancs de l'école, dut-elle être haute, par paresse intellectuelle ou de se délecter du semblant de pouvoir que leur confère leur longues années d'étude, ne les avait pas abruti à un point tel qu'ils en ont perdu leur capacité d’abstraction.

    Que de se croire supérieur aux gens du commun que nous sommes ne leur avait pas faire perdre ce minimum de réflexion qui fait comprendre, aux gilets jaunes entre-autre, que de vider le pays de ses entreprises et de mettre tout le monde au chômage, conduira inéluctablement vers la faillite de tous.

    Et les conduira eux aussi, ainsi que leurs enfant, à se retrouver également sans emploi.

    A la limite, que l'oligarchie soit stupide ou puisse souffrir de maux mentaux, soit, c'est un phénomène qui a ponctué l'histoire depuis des temps immémoriaux, maisP1020915.JPG que la classe sociale se trouvant juste en-dessous d'elle, surtout celle intellectuelle, nous montre tout-autant un même abrutissement ne peut que désespérer l'Homme de bien.

    Mais le pire du pire c'est lorsqu'ils se justifient en déclarant que leurs propres insuffisances ne sont jamais de leur fait, mais de celui de ceux qui, dans les provinces et dans les banlieues des grandes villes, souffrent de leur aveuglement.

    Alors, permettez, messieurs-mesdames au si long cursus, que le penseur brut que je suis vous montre en quoi un si grand nombre de vos présupposés sont d'une parfaite fausseté et que leur raison d'être vient de ce que vous avez perdu tout contacte à la réalité.

    Qu'un seul d'entre-vous puisse encore voter pour l'un de ces nombreux partis politiques qui, d'une manière ou d'une autre, veulent que la France reste au sein de l'Union-Européenne est, déjà en soi, d'une pauvre conception de ce qui fait société et démontre votre incapacité, j'espère provisoire, à concevoir ce que peut être la politique.

    Je ne pense pas que beaucoup d'entre-vous se soit penché autant au-dessus de vers quoi mène notre appartenance à cette union débile, du peu de cas que l'oligarchie peut avoir pour vous, de la malveillance à terme de notre gouvernement à votre P1020963.JPGégard et des forces prodigieuses qui, désormais, s'accumulent pour détruire ces trois socles constitutifs de la politique et de l'économie d'aujourd'hui de notre patrie et, surtout, de l'U.E..

    Et pourtant, il ne suffit que d'examiner, très légèrement examiner, les proches événements passés pour comprendre ce vers quoi nous allons, je n'en prendrai qu'un seul exemple.

    Écoutez ce que monsieur Porcher raconte juste quelques mois avant la survenue des gilettistes, c'est très bien, sauf qu'il oublie une petite chose, c'est que le problème, logique, de l'Union-Européenne, qui est dorénavant à la base de quasiment toutes les décision politiques et économiques du pays, est aisée à définir: puisque triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement et idéologiquement,  si vous voulez la réformer vous la détruirez irrémédiablement, ceci d'autant plus qu'il faut l'accord de tous les états pour ça, et, de cela, tous ceux y travaillent et en vivent le savent, surtout les allemands.

    Parce que, sachez le, sans elle l'Allemagne disparaîtrait immanquablement.

    Comme vous ne semblez pas en comprendre les raisons, je vais vous l'expliquer, vous allez voir, c'est simple et ça se passe à deux niveaux, j'avais abordé le sujet de l'un d'entre-eux dans un texte précédent ayant pour titre: "Retour à la politique" et dont voici le copier/coller ( en vert dans le billet vers lequel je vous renvoie).

    Les raisons en sont qu'à ce moment là trois forces fortement antagonistes apparaissent:P1010824.JPG

    -la première critique et réformatrice;

    -la seconde conservatrice;

    -la troisième subversive et dissolvante.

    Ceci accompagné d'une grave perturbation du fonctionnement de ce système politique.

    Cette troisième est, au début, relativement discrète, probablement ne se reconnaissant pas comme telle et est même plutôt faible, se trouvant fortement décalée du centre du pouvoir.

    Les luttes internes des deux autres forces tendent à désorganiser le fonctionnement du-dit système, les affaiblissent l'une et l'autre et, surtout, en rendent visibles les incohérences structurelles aux populations et, dès lors, en en accroissant le rejet.

    [C'est pourquoi en France nous n'avons que peu d'information sur ce qu'il se passe dans les autres pays de l'union et de  son administration, et quand nous en avons elles sont tronquées, caviardées, transformées, voire carrément fausses.]

    Tout cela mène à une instabilité organisationnelle de ce système politique qui s'affaiblit mécaniquement.

    Ceci accompagné de la monté en puissance de la force subversive qui, en raison même de cette instabilité, toujours génératrice d'une forme ou d'une autre de violence, se radicalise puis prend le pouvoir, soit en achevant la destruction de ce P1010832.JPGsystème, soit après que celui-ci se soit autodétruit.

    C'est, je le pense, ce processus là qui avait permis à Eltsine de prendre le pouvoir, peut-être bien aidé en cela par quelques officines étasuniennes (dans le désordre):

    -cette troisième force, dissolvante, ayant été en U.R.S.S. l'oligarchie russe représentée par Eltsine;

    -la première, réformiste, Mr. Gorbatchev et ses proches;

    -la seconde, conservatrice, l'administration du pays.

    En Union-européenne ces trois forces sont représentées par:

    -la première ceux qui veulent réformer l'U.E. en sortant de l'euro, du peu que nous en savons (de Marseille) sont les seuls gouvernements allemand et italien, qui sont, ne l'oublions pas, les puissances économiques 1 et 3 de l'union;

    -la seconde sont représentés par  l'oligarchie euro-atlantiste, les pays où l'euro leur sont d'un grand bénéfice et l'administration de l'U.E.;

    -la troisième par les forces réellement patriotiques en chaque nation, en France l'U.P.R. (avec raison Mr. Asselineau considère ni vouloir dissoudre l'U.E., ni la détruire, simplement la quitter, mais ce simple fait, la France, 2ème économie de l'U.E., quittant ce rafiot unioniste, le détruira inéluctablement) plus quelques partis très peu visibles, d'autres devant exister çà et là dans un certain nombre de nations de l'union (il est à noter le Party brexit de Nigel Farage qui,  plus encore que l'U.P.R., en vient à dominer la vie politique de Grande-Bretagne).P1010532.JPG

    Notre situation à l'intérieur de l'U.E. n'est pas, bien entendu, similaire à celle qui prévalait en Russie-Soviétique, les deux pouvoirs centraux sont différents, l'économie y est inverse, la vision qu'en ont les populations en est distincte, mais la recherche, par ces deux gouvernement, germanique et italien, de se débarrasser de l'euro conduirait à une situation  analogue telle que décrite plus haut.

    Il n'est à voir la désaffection du peuple français pour les partis pro-U.E., ceux passant dans les médiats, c'est à cela qu'on les reconnait, bien que F.I. et R.N. puissent être un petit peu classés comme faisant parti de la première catégorie en tant que réformateurs à la Tsipras, mais ceux-ci ne servent que de repoussoirs pour faire élire les candidats les plus oligarchiques, à l'exemple de Macron qui ne put devenir Président de la République que grâce à la présence de Madame Le Pen au second tour.

    Il ne s'agit donc pas d'une déstabilisation provenant du cœur du système, comme il en était en U.R.S.S., mais plutôt de celle provenant de différents pays, chacun choisissant son camp, en France le gouvernement étant d'un pro-U.E.€.O.T.A.N. absolu.

    L'autre différence d'avec l'U.R..S.S. est que nous pourrions très bien, avant que l'U..E. ne se soit décomposé à tel point qu'elle se dissolve, nous confronter à ce fameux effondrement économique généralisé, ce qui ne pourrait que l'emporter dans cette tourmente.

    Ce qui est frappant en cela c'est que nous n'avons que deux exemples historiques de ce type de système politique, l'U.E. et, auparavant, l'U.R.S.S., cela étant sûrement dû à notre modernité, en revanche leurs P1010839.JPGmécanismes politiques et institutionnelles internes similaires rendent, je le pense, opérante la réflexion que je viens d'y porter.

    Toutefois dans l'empire U.S., quelque chose de semblable semble s'être mis en place puisque nous avons les conservateurs, ceux appelés l'état profond, nous avons les réformateurs, l'équipe trumpienne, mais aussi les subversifs et les dissolvants, une mouvance pas vraiment structurée entre un socialisme et un communisme qui serait, pour nous, de grand-papa.

     

    Ce deuxième niveau, tout aussi logique, est là encore facile à comprendre:

    Réformer les institutions de l'U.E. veut dire faire évoluer la fameuse et fumeuse constitution pour laquelle les français et les hollandais avaient voté contre lors d'un référendum.

    Si cette idée devenait, dans l'union, une idée à débattre dans un nombre représentatif de gouvernements, ce qui est loin d'être le cas, toutes les insatisfactions de chacun des pays remonteraient à la surface et commenceraient à être discutées.

    Progressivement les désaccords, exprimés au début avec calme et tact, génèreraient des inimitiés, puis dégénéreraient en disputes pouvant conduire à des conflits, ceci parce que les institutions de l'U.E. sont verrouillées, jusqu'au moment où chacun reprendrait son indépendance, avec ou sans l'article 50 dont Monsieur Asselineau a, de maintes fois, fait cas.P1020930.JPG

    C'est pourquoi plusieurs fois l'oligarchie unioniste fit tout pour renverser tout gouvernement européen montrant des velléités d'indépendance, en Italie et en Pologne notamment, montrant son total déni de démocratie, seriez-vous, vous aussi, de cette idéologie là?

    C'est pourquoi aussi Juncker put dire: "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens!", ceci pour affirmer la domination de l'Union-Européenne sur les états-nations et les mettre en garde des sanctions qui pleuvront sur tout pays ayant des velléités d'en sortir.

    Donc, tous ceux qui, de gauche à droite et de haut en bas, en viennent à proposer une autre Europe sont soient des imbéciles naïfs soient des menteurs, de quel que parti politique qu'ils soient, en cela nous pouvons déclarer: Mélenchon, Le Pen même combat.

     

    Comme vous pouvez ici le percevoir, messieurs-mesdames, penser qu'il puisse être possible d'imaginer le moindre instant une réforme quelconque des institutions et dès lors de la constitution de l'Union-Européenne c'est, pour dire le moins, faire preuve d'une naïveté incroyable.

    P1020964.JPGQue de ne pas pouvoir ou vouloir percevoir l'aspect dissolvant et destructeur, au sens propre du terme, de la politique tout azimut de l'Union-Européenne, et que, de plus, cela soit le fait, entre-autre, de scientifiques et d'intellectuels de hauts niveaux, comme il en est de ce mathématicien, Cédric Villani, embrigadé, de plus, chez les macronniaiseux, ne peut que me paraître ahurissant.

    Eux qui, de plus, ont en main tous les outils conceptuels pour appréhender les fragilités structurelles, politiques, économiques, idéologiques de cette union montre à nous tous, gens du commun, que la haute spécialisation n'empêche en rien de ne pas pouvoir comprendre d'autre logique que de la sienne propre, celle de son groupe constitué.

    D'ailleurs, il est vraisemblable qu'il lui ait été confié, à ce monsieur le mathématicien qui ne fut que la caution intellectuelle et scientifique d'un parti politique, le R.E.M. à qui manque bougrement de l'un comme de l'autre, de faire un rapport pour l'écarter du travail de l'Assemblée Nationale devenu depuis des décennies qu'une simple chambre d'enregistrement de l'Union-Européenne, à l'exemple de ce qu'était une Douma régionale à l'époque soviétique, et oui, cet homme s’aperçut, mais, un peu tard, qu'il fut pris pour un crétin de gogo, lui qui rêvassait, son réveil n'en fut que plus dur et il devait commencer à ruer dans les brancards pour être écarté de la sorte en lui donnant une sucette à la sortie.

    Mais ce qui me surprend le plus dans le monde de la science et de la philosophie ce sont les sujets tabous, repérables à ce que les idées novatrices, plus encore que de les critiquer et les réfuter, ce qui serait tout de même honorable, sont tout simplement ignorés, mis sous le boisseau, c'est bien  simple, surtout il ne faut pas y penser etP1020956.JPG encore moins en parler.

  • Essai de réflexion sur la pensée globale.

    Ce qui est symptomatique de notre époque est la parcellisation de la pensée.

    Il est en effet remarquable d'observer combien la réflexion sur un sujet donné n'est pas intégré dans un ensemble cohérent, à l'heure où les sociétés humaines se sont rapidement grandement complexifiées.

    Les domaines sont nombreux où cette complexité n'est que peu abordée et,  j'en pose l'axiome, serait la source première des difficultés économiques, sociales et politiques auxquelles nous nous confrontons au jour le jour.

    Ainsi Monsieur Macron, le royal serviteur de l'oligarchie qui nous gouverne, le génie des Carpates, a, par les lois, ordonnances et autres décrets qu'il a, lui et son gouvernement, promulgué, haussé nombre de taxes et, surtout, la C.S.G. pour tenter de faire survivre encore un peu un système économique international et européen en effondrement industriel et monétaire lent.

    P1000880.JPGCe qui bien sûr pâtit aux faibles salaires et aux retraites, ce qui ne peut que réduire d'autant le pouvoir d'achat de tous ( pouvoir d'achat qui, en réalité, n'est qu'une immense fumisterie présente pour cacher la fermeture des usines et entreprises agricoles, envoyant les gens au chômage).

    Pour le remonter, ce pouvoir d'achat, la taxe d'habitation va être progressivement supprimée, ce qui appauvrit les communes.

    (Reconnaissons que, dans l'esprit de notre Président de la République, ce serait une tentative, vaine il est vrai, de faire repartir une machinerie industrielle française grandement en souffrance en redonnant du "pouvoir d'achat" aux ménages, sans penser une seule seconde que ce ne seront pas les industries nationales qui en profiteront mais celles d'Allemagne de Chine et d'ailleurs.)

    Pour que les communes ne s'appauvrissent pas de trop, pour que les maires ne se révoltent que modérément (déjà que les regroupements de communes indignent les édiles communales...), mais surtout pour que les petites gens puissent continuer d'acheter, l'échange marchand étant le nerf de la guerre du libéralisme économique, qu'il soit néo ou pas, les municipalités, donc, je le conjecture, auront bientôt le droit de décider par elles-mêmes du taux de la taxe foncière (ce en quoi je peux faire erreur, une autre mesure, de même type, pourrait être prise, voireP1010080.JPG même aucune décision de ce genre être décidée, mais cette décision serait dans la logique de la pratique gouvernementale actuelle).

    Ce qui, bien sûr, mènera à son augmentation, ce qui pénalisera les propriétaires qui risquent de mettre en vente le foncier qu'ils louent, ceci pouvant générer un crash immobilier pouvant entrainer l'économie mondiale à sa faillite.

    Pour éviter ce phénomène pervers, cela conduira inéluctablement le gouvernement à libéraliser les prix des loyers.

    Ce qui pénalisera, devinez qui, les plus pauvres, chômeurs, retraités et travailleurs pauvres.

    Et la boucle sera bouclée, boucle de rétroaction s'entend.

    Bon, ne leur demandons pas grand  chose, aux macronnistes-philippards, même ceux sortant des universités ne saisissent rien à la politique, ni à l'économie, d'ailleurs.

    Mais vous pouvez, amis lecteurs, observer cette parcellisation de leur pensée les conduisant à cette ahurissante et illogique tentative de rééquilibrage d'une instabilité économique qu'ils ont eux-mêmes créé, montrant de manière P1010151.JPGcaricaturale leur impossibilité totale d'avoir une vision globale de la situation.

    Les conduisant, de plus, à accroitre le ressentiment populaire à leur égard.

    Je vous avoue ne pas avoir vraiment conceptualisé ce que peut être une pensée globale, cette idée ne me restant, pour l'essentiel, que purement intuitive puisqu'elle m'est quasiment naturelle, toutefois j'y jetterais, au-dedans de ce billet, les premières bases réflexives.

    Je vais surtout donner ici un exemple basé sur un ensemble d'informations présentes et prendre grand soin de montrer que cet outil conceptuel ne peut être en rien une panacée, celui-ci pouvant se révéler faux en nous forçant de mettre dans un même ensemble des événements qui, en réalité, n'ont pas de réels liens entre-eux.

    Mais même si cet outil ne peut être d'une sûreté absolu, il n'en reste pas moins d'une grande utilité conceptuelle.P1010026.JPG

    Quand bien même en avant-propos j'ai pu mettre en garde de ce qu'une trop grande généralisation de l'emploi d'une pensée globale pouvait égarer une réflexion sur un sujet donné, les actuelles et éparses péripéties politiques et sociales, en France et ailleurs, peuvent laisser à penser que les mouvements de déstabilisation de l'état français ont désormais commencé.

    Bien que les informations qu'il nous soient possibles de percevoir sont dispersées de telles sortes qu'elles paraissent n'avoir aucune relation entre-elles, sauf à poser le postulat qu'en effet l'existence même de l'Union-européenne est remise en cause par son créateur: l'empire des États-Unis-d'Amérique.

    Thème que j'avais déjà abordé par avant en Septembre de l'année dernière, (en fin de texte) où j'y montrais, déjà, que nombre de pays qui comptent, les U.S.A., certes, mais aussi la Russie, le Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, la Chine et l'Iran, sont dans la volonté de détruire l'U.E. par la déstabilisation de la France.

    Mais avant que je ne vous propose de vous confier mon opinion sur des événements ne semblant pas avoir des liens entre-eux, permettez-moi de commencer par définir au mieux ce que j'entends par la "Pensée Globale".

    P1010088.JPGJ'appelle donc "pensée globale" une façon de donner sens à une situation ou un événement complexe, constitué de plusieurs composants, ne semblant pas, pour certains d'entre-eux, liés aux autres, mais dont ces liens s'expliquent par des paradoxes émergents s'ils ne sont pas compris dans l'ensemble ainsi constitué.

    Ces multiples composants, dont la réunion pourrait s'appeler "Sujet d'ensemble" pouvant avoir des liens temporels et de lieux divers.

    Cette situation ou événement ne pouvant être saisi en plein que du moment où cet ensemble de composants est donc réuni en un tout cohérent, le rendant ainsi intelligible.

    Il est à noter qu'il n'est pas toujours besoin d'aller rechercher les constituants les plus complexes de ces différentes composantes, et que cela peu même parfois égarer la réflexion sur ce  sujet d'ensemble.

    Je tiens, une fois encore, a mettre en garde de ne pas se précipiter à réunir des informations éparses qui ne se révèleraient pas liés les uns aux autres, seule l'attente et l'observation des événements passés, présents et futurs peuvent permettre d'en saisir la dynamique complexe et d'en écarter, si besoin est, les informations non pertinentes.

    Le hasard, l'incident, la péripétie peuvent provenir de circonstances autres que ce qui nous occupe sur le moment, voire à ce qu'une conjoncture soit indépendant de toute autre et n'ai de sens que par elle-même en un développement linéaire et P1000753.JPGunique, même si cette conjoncture est d'essence complexe.

    Ceci dit, revenons à ces événements politiques et sociaux présents.

    Commençons par les paradoxes et les contradictions, ensuite j'aborderais les concomitances.

    Le principale concerne les syndicats.

    Jusqu'à présent ceux-ci perdaient, depuis trois bonnes décennies, progressivement leur rôle de contrepouvoir et, ce, pour diverses raisons.

    La plus importante et la plus proche de nous étant que tous, ou quasiment (C.F.D.T., C.F.T.C., C.G.T., F.O. et U.N.S.A.), adhérèrent à la confédération européennes des syndicats (le C.E.S.), étaient donc subventionnés par l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi tous ne montraient que peu d'empressement à défendre les salariés face aux G.O.P.E., en niaient l'existence et même souvent n'agissaient que pour rendre les revendications inaudibles et les mouvements revendicatifs inefficaces.

    Or, il n'est que de constater qu'à présent ils se montrent tous d'une vigueur et d'une efficience plutôt remarquable (même si cela ne peut que gêner nombre de particuliers, dans les transports notamment).

    L'empoisonnement de Monsieur Skripal et de sa fille dans une petite ville du sud de la Grande-Bretagne fait également parti de ces incongruités qui ne peuvent que nous laisser nous interroger.

    Je ne vois pas vraiment qui pourrait avoir l'intérêt d'attenter à la vie d'un P1000866.JPGpersonnage, plutôt médiocre dans le milieu des services secrets, qui, si j'ai bien compris, était désormais sous une forme de retraite.

    En tout cas personne n'a fait mention que cette personne ait eu un rôle, si petit soit-il, au sein de l'administration britannique.

    Il est toujours possible que ç'ait été sa fille qui ait été visée, elle qui venait de Russie, et de brouiller les pistes en faisant de manière à ce que cela se passe au Royaume-Uni, mouai..., ou, comme il se dit, serait-ce un message (à l'adresse de qui?) provenant de la maffia russe, bof... .

    Pourquoi attendre que la fifille se rapproche de son père pour tenter de la tuer et pourquoi cette réaction si rapide du gouvernement anglais, deviendraient dès lors les questions logiques à se poser.

    Comme vous le voyez, il s'agit ici de deux incohérences qui, de plus, surviennent en un laps de temps plutôt court.

    Et si nous faisons la liste des concomitances politiques, là, les questions ne peuvent que se poser.

    Le 13 Mars, Monsieur Trump remplace Rex Tillerson, ancien P.D.G. d'Exxonmobil (dès lors pouvant être considéré comme faisant parti des oligarques de l'empire U.S.) , par  Mike Pompeo, l'ancien directeur de la C.I.A., au poste de secrétaire d'état, le ministre des affaire extérieur U.S..

    Auparavant, en France, fin Février, le gouvernement veut légiférer par ordonnanceP1000878.JPG le changement de statut de la S.N.C.F., sachant la majorité écrasante du R.E.M., les radios-éléments, à l'Assemblée Nationale, pourquoi donc cette soudaine frénésie, cette précipitation, qui ne pouvait que mettre le feu aux poudres?

    Que dire ainsi de l'annonce faite, à la même période, de ce fond spéculatif, les plus important au monde paraît-il, Bridgewater , qui a posé sur la table 22 milliards de dollars pour jouer contre l'Union-européenne et l'euro.

    Questionnons-nous de cette visite de l'ex-conseillé de Monsieur Trump, Steve Banon, rendue à Madame Le Pen lors du congrès du Front-National du 11 Mars, qui changea de nom pour le "Rassemblement National".

    Marine Le Pen qui, peut de temps après, appela à voter pour le candidat de Les Républicains, Elad Chakrina, lors des législatives partielles de Mayotte du 18 Mars, ce qui met à mal le fameux U.M.P.S. que les caciques du feue F.N. ne cessaient de déverser sur les ondes.

    (Le F.N., pardon, le R.N., champion de France du retournement de veste, sous les ordres de l'empire américain, pourrions-nous ajouter: gaaaarde-à-vous, fixe!)

    Pourquoi les syndicats ont-ils choisi le 22 Mars pour leur manifestation, cinquantième anniversaire de Mai 68 qui vit des avancées sociales sans équivalence depuis?

    Pourquoi cette réaction syndicale survient-elle très peu de temps après que Madame Merkel ait retrouvé son poste de chancelière (premier ministre) d'Allemagne (sachant que c'est ce pays qui domine l'Union-Européenne et est, pour cela, en P1010067.JPGconfrontation larvée d'avec les U.S.A., U.E. qui se trouve de fait avec une direction quasiment tricéphale si nous y comptons son administration, chacun de ces trois acteurs ayant leurs intérêts propres, dès lors contradictoires et donc conflictuels)?

    Nous ne pouvons donc éviter de nous demander si cela a à voir avec un article du journal allemand Die Welt, traitant d'une réflexion d'économistes germaniques des effets pour leur pays de la disparition de l'euro.

    Et, comme c'est bizarre, de ce terroriste se réclamant de ce D.A.E.S.H. dont il se dit téléguidé par l'empire U.S. via la C.I.A. et l'Arabie-Séoudite, qui a semé la mort à Carcassonne et Trèbes, terminant sa route meurtrière dans le super U de cette dernière ville.

    Enfin, cerise sur le gâteau, les manifestations et grèves en France se produisent très peu de temps après que Monsieur Poutine ait été réélu président de la Confédération de Russie.

    Alors, que dire de cette liste d'événements?

    Certes, il est tout à fait possible de considérer que ceux-ci n'ont pas de liens entre-eux et ne sont que la résultante de l'instabilité grandissante de l'Union-Européenne et de la France, le reste n'étant que le produit du seul destin.P1010107.JPG

    Mais souvenez-vous qu'auparavant j'avais expliqué qu'à mon sens l'Union-européenne se retrouvait être un boulet pour le reste du monde, U.S.A. compris, eux qui ont besoin, de plus, de mettre leurs oligarques aux pas, comme le fit Monsieur Poutine en son temps, et que, même à l'intérieur de l'U.E., de nombreuses forces centrifuges s'y exerçaient.

    Que, de plus, à une Allemagne bien que dominatrice dans l'union mais plus difficile à déstabiliser, la France, de caractère plus instable, serait infiniment plus facile à être le vecteur d'une dissolution de l'U.E..

    Nous ne pouvons pas ne pas nous demander si, partant de cette idée d'une opération de déstabilisation de la France, cet ensemble de faits ne représenteraient pas la forte présomption que la-dite opération aurait commencé depuis un bon mois déjà.

    Ainsi ces événements prendraient une cohérence en une unité explicative.

    Reprenons une à une ces informations suivant ce postulat en un ordre relativement temporel:

    P1000903.JPG1) Le gouvernement veut légiférer par ordonnance au sujet du changement de statut de la S.N.C.F., ôtant ainsi toute possibilité de dialogue syndical, ce qui ne peut que représenter une provocation pour ses agents, la question étant: qui a proposé cela et à qui, pour qui cette personne travaille-t-elle?

    2) De quelles informations l'agence Bridgewater détient-elle pour avoir mis une telle somme en jeu, 22 milliards de dollars, ce n'est pas rien, en pariant d'un effondrement prochain de l'Union-Européenne et de l'euro.

    Est-ce la recherche d'un effet d'annonce en une prophétie autoréalisatrice, sur la demande d'une officine U.S. plus ou moins officielle ou secrète ou tout simplement parce qu'elle aurait obtenu des informations sur ce qu'il se tramerait en Europe?

    3) Est-ce sur ordre de Monsieur Banon, qui rendit visite à Madame Le Pen lors du congrès du F.N. qui vit en changer le nom de ce parti, que cette dernière appela au soutien du candidat de Les Républicains lors des législatives partielles à Mayotte (on eut voulu briser ce nouveau Rassemblement National et Les Républicains qu'on ne s'en serait pas pris autrement, auquel cas, que fut-il promis à Madame Le Pen?)?

    4) Quel est cette nouvelle fougue syndicale d'aujourd'hui, quasi unitaire, eux qui surent si bien pourrir les manifestations contre la fameuse loi travail, dite El Khomri, qui se terminèrent par tourner en rond autour du bassin de l’Arsenal à Paris le 23 Juin 2016, ce à quoi ils acceptèrent de bonne grâce?P1000850.JPG

    Pourquoi d'autres appels à la grève et aux manifestations unitaires, dont à Air France et dans les hôpitaux, furent-ils lancés en même temps?

    Pourquoi ces syndicats n'ont-ils plus peur de perdre leurs subsides provenant de l'Union-Européenne?

    5) Il-y-a-t'il un lien entre ces événements qui se passent en France et la décision de Monsieur Trump d'engager le patron de la C.I.A. en tant que ministre des affaires extérieures et la réélection de Monsieur Poutine à la présidence de la Confédération de Russie?

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