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Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • Petite vidéo d'un économiste, pour moi, inconnu.

    Je vous avoue ne pas tellement aimer faire ça, mais encore une fois je me laisse aller à vous renvoyer vers une adresse autre, bien que je vous laisse, d'abord, le résultat de mes propres réflexions.

    Ce sera la vidéo d'un économiste, Monsieur Holbecq, qui, de façon bien plus précise que je ne puis le faire, montre et démontre la fragilité du système économique en place et, surtout, de son prochain effondrement, l'un des thèmes prioritaire de ce blog.

    Je vais vous en proposer l'adresse à la fin de mon article.

    Pour ma part, je pense que ce processus est d'ores et déjà en route et que nous sommes dorénavant pris entre deux feux:

    -une monstrueuse surproduction monétaire internationale, les Q.E. et les crédits, faisant perdre aux monnaies toute valeur, avec, de plus, un effet secondaire et destructeur, lors de cet effondrement, pour celles liées, d'une manière ou d'une autre, au dollar, soit quasiment toutes: il les entrainera dans leur chute, même celles n'ayant pas pratiqué cette surproduction;

    -une désindustrialisation mondiale provenant de l'appauvrissement des trois classes-moyennes, basse, intermédiaire et haute, anciennes en Occident, nouvelle dans le reste du monde, seule classe sociale nombreuse à pouvoir véritablement acheter du superflu en quantité, ce socle économique indispensable pour la bonne marche économique d'une société ainsi que pour l'économie globalisée, désindustrialisation générant divers effets tous accélérant ce mécanisme de manière exponentielle:

       1) déflation compétitive concurrentielle des payes et des retraites de chaque nation pour pouvoir vendre ailleurs ce qu'elles produisent, puisque de moins en moins de personne ne peut acheter au sein de ses frontières en raison de cet appauvrissement (même les objets de luxe trouvent dorénavant difficilement preneur);

       2) expatriation, pour celles qui n'ont pas fermé définitivement, des usines et fabriques vers les pays en voie de développement aux salaires les plus bas, ceci pour la recherche du toujours moindre coût et donc appauvrissement et chômage des nouvelles classes-moyennes des pays émergeant;

       3) hausse logique du chômage, ici et partout ailleurs, comme quoi nos problèmes ne se résument pas à une seule question franco-française, ni même européenne;

       4) baisse progressive de qualité des productions, difficultés pour trouver des pièces de rechange;

      5) baisse des prix des matières premières touchant, là encore, certains pays occidentaux, ceux émergeant mais aussi ceux en voie de développement.

    Ces deux lourdes tendances sont inextricablement liées l'une à l'autre et génèrent, elles aussi, leur double effets pervers également accélérant qui sont:

    - Un inflation, en Occident au moins, due à ce que la surproduction monétaire, donc leur perte mécanique de valeur (puisque déconnecté de la richesse réelle des pays), est plus rapide que la désindustrialisation mondiale, elle-même naturellement déflationniste.

    Ce qui veut dire que notre argent, les monnaies, perd plus rapidement de sa valeur que ne baisse les prix à la production dans les usines et fabriques, en rajoutant à cela leur transport, d'où la réalité de cette inflation, d'où aussi l'accentuation des difficultés d'écouler les stocks produits.

    Cela non pas due à une monté des prix, qui désormais, en réalité, baissent, mais à l'effondrement ultra-rapide de la valeur des monnaies;

    - une remonté des taux directeurs de la banque centrale étasunienne, soit le taux auquel la F.E.D. prête aux banques U.S., de 0% à 0,25%, qui peut avoir trois raisons possibles, voire complémentaires, ce qui me semblerait plus logique:

      1) la crainte, pour son patron, Madame Yellen, de perdre la face puisqu'elle annonce régulièrement cette hausse depuis longtemps;

      2) le début d'une nouvelle guerre des monnaies, ceci pour attirer vers la F.E.D. les investisseurs en bons du trésor, vu que le dollar se trouve de plus en plus rejeté par les autres états et les investisseurs.

    Le danger étant qu'un grand nombre de banques centrales dans le monde ayant aussi leur taux directeurs à zéro, ce qui les pousserait à faire de même que la F.E.D. pour également attirer à eux ces mêmes investisseurs.

    Ainsi, nous risquerions de voir la monté des taux de crédit mondiaux par un effet de compétition, ce qui ne pourrait que mettre à mal tous les emprunteurs dont beaucoup se trouvent aux U.S.A. (pétrole de schiste, prêts aux étudiants, automobiles, ..., en un nouvel effet subprime, soit les crédits aux pauvres), mais aussi en Chine (bulle due à une gigantesque construction immobilière anarchique sans habitant), comme en France et en Union-Européenne, pour ces trois seuls exemples;

      3) la tentative de cacher à tous, et peut-être aussi à eux-même, en un aveuglement des décideurs politiques et économiques U.S., dont Madame Yellen, la réelle situation économique plus que déplorable des États-Unis-d'Amérique et celle mondiale.

    En tout état de cause et comme j'ai pu en parler auparavant, plus nous attendons la survenue de cet effondrement de l'économie globalisé, plus ses effets seront rapides, violents et destructeur.

    Et comme j'ai pu vous le conseiller dans des notes précédentes, faites des réserves, ayant moi-même compté:

    -quelques jours, voire deux semaines de menues monnaies, ne serait-ce que pour quelques courses, le pain, notamment, ceci étant dû au fait que les banques ayant fait faillite, il faudra du temps pour que le gouvernement réagisse ou ne soit renversé, pour qu'enfin celles-ci soient nationalisées (il en sera de même pour les assurances, il vous faudra être prudent);

    -si vous avez plus de 100 000 euro dans une même banque, répartissez dès aujourd'hui cette somme dans plusieurs autres, puisque dans un premier temps la différence vous sera confisqué en une tentative inutile et futile de les faire survivre;

    -trois mois de nourritures pouvant se conserver, pâtes, riz, plutôt complet, légumes voire fruits secs, farine, sucre, huile, beurre, ...,plus des conserves si vous en avez la place, du café aussi, le temps que les acheminements de vivres reprennent, l'agriculture française existant encore (pour combien de temps?);

    -faites un potager, vous pouvez dès maintenant acheter les outils, des graines au plus tôt, faites le bêchage d'automne tant que le sol n'est pas gelé, semez en pot en intérieur dès la fin des forts frimas, des tomates par exemple, pour avoir votre récolte au plus tôt;

    -ayez des poules pour les œufs puis la viande, pour vous et aussi pour du troc;

    -comptez un an de produit de première nécessité, pour le corps (savon, shampoing...) comme pour la maison (javel ou vinaigre blanc, lessive, P.Q....), songez à ce que quasiment plus rien n'est produit en France;

    -ayez de quoi faire du troc pour deux à trois ans de ce qui n'est plus produit sur notre sol, soit presque tout, tout pourra faire l'affaire, des cigarettes pour les non fumeurs (les autres les fumeront), du chocolat, du café (là encore il sera dur de ne pas résister), mais aussi du papier, du cirage, du savon en rab, de la peinture, du bois de chauffe, des piles, des lampes..., etc..., enfin,  de tout ce dont nous avons tous besoin au jour le jour et dont nous ne faisons que des réserves limités;

    -le vélo et/ou le vélomoteur (le plus économe en essence), surtout si vous habitez loin des gares, le train continuant sûrement de rouler, seront une valeur sûre, songez que l'arrêt des transports internationaux signera celui des produits pétroliers, votre voiture restera donc au garage et les bus et cars au dépôt, l'essence et le gasoil sera réservé aux véhicules prioritaires et aux armées;

    -commandez un, voire deux chéquiers, les paiements électroniques pouvant cesser à un moment ou à un autre, rapidement (?) le chèque pourrait devenir le seul moyen de paiement pour un temps indéterminé, dès que le gouvernement d'alors auront rouvert les banques;

    -conservez convenablement tous vos papiers, attendez-vous, aussi, au moins à un ralentissement internet, les administrations, les banques et les assurances, aussi, pouvant les égarer lors de cette catastrophe, voire perdre leurs informations informatiques;

    -dès que les signes les plus évidents et marquants, pour ne pas dire angoissants, seront là, allez voir votre maire pour lui expliquer ce qu'il se passe, parce qu'il y a de fortes chance qu'il n'y comprenne rien, ceci pour qu'il commence à organiser autant les pénuries que les risques de désordres et débordements.

    C'est, en effet, dans les débuts de cet effondrement, au local, que l'organisation sera, dans un premier temps, le plus efficace.

    Je vous encourage à agir au plus vite, ces événements pouvant survenir à n'importe quel instant, demain comme dans un mois, mais probablement moins d'échelle d'une année, bien que le système économique globalisé montre, depuis trois ans au moins, d'incroyables et dangereuses capacités de résiliences.

    Tous nous avons affaire à des proches, des amis, qui ne peuvent concevoir comme possible un tel effondrement, qui parfois, même, font preuve d’ironie et de moqueries, c'est leur problème, pas le vôtre, du-moins vous pouvez songer à eux lorsque vous ferez vos réserves, le moqueur d'aujourd'hui pourrait se révéler d'une aide précieuse demain, et puis, qui aime compte-t-il?

    Comme je l'ai déjà dit, cet effondrement pourrait se révéler extrêmement rapide, cette vidéo d'un professionnel de l'économie ne faisant que de me le confirmer, avec, de plus, l'impossibilité probable pour que, pour une période impossible à définir, la monnaie ne nous soit que peu ou pas disponible et les machines à billets à l'arrêt.

    En tout cela, je ne suis ni pessimiste, ni optimiste, mais je trouverais juste stupide, de ma part, de ne pas prendre en compte, de ne pas partager et mettre en garde d'autres, ni d'organiser ce que je considère comme inéluctable, soit un effondrement catastrophique de l'économie mondiale.

    Pour le reste, le visionnage de la vidéo de ce Monsieur vous l'expliquera de manière bien plus efficace que je ne saurais jamais le faire.

    Celle-ci dure 55mn. 57, en voici le lien:( watch?v=Z0T0zKFkAEI ).

    Soyez prudent et attentif!

     

     

    THEURIC

  • Le jardin; A ma belle inconnue.

    Le jardin

     

    Il est un jardin petit et sans manière,

    Large de si peu, long de quarante pas,

    D'où notre hôtesse nous invitait, hier,

    A nous y installer pour de délicieux repas.

     

    Le gazon s'y frayait un sinueux chemin

    Sous l'antique poirier d'où pendaient de durs fruits.

    Un beau potager en en faisait l'usufruit

    D'une riche verdure de légumes communs.

     

    Aux cotés de la table, sous la pergola,

    Grillaient des maquereaux bien frais

    Que nous mangions en cœur en festin de gala

    Au milieu de blagues et de rires, sans arrêt.

     

    Nous regrettons tous de ces années passées,

    Quand le vin nous grisait d'un alcool délicieux,

    Avec des amis, venant à s'effacé

    Les mauvais matins à l'esprit capricieux.

                                     -----------------------------------

     

    A l'amie peut-être inconnue

     

    Je connais tout d'elle, hormis de sa douceur.

    De sa douce peau, ne peut qu'imaginer:

    Mes rêves faisant voguer mes bras embrasseurs

    De son corps impatient de félicité.

     

    Je ne la connais que de ne s'être croisés

    D'un soir brumeux d'où je la vis s'effacer

    Au-devant d'une foule tant déambulant

    Et moi freiné d'un trouble si paralysant.

     

    Peut-être la reverrai-je, cette dame,

    En quelques endroit d'une belle destinée

    D'où nous deviserions au-devant d'un dîné.

    Dès lors, je béerai des courbes de cette femme.

                                  ------------------------------------

     

    Douces nuits

     

    L'exquise esquisse de sa grande beauté

    Menait mes sens en somptueuse volupté

    D'éclairer ses belles et rondes vigueurs

    En  ces tendres moments de nos nus bonheurs.

     

    La nuit gracieuse éclairait de ses ombres

    Nos caresses légères faites de milles grâces

    Libérant nos corps de nos nôtre pénombre

    Libérant nos vies des pauvres carapaces.

     

    Puis, le jour revenu, notre sommeil venant,

    Nos âmes repu d'un nouveau éclairant

    Vibrent d'aise d'un avenir avenant

    Effaçant ainsi nos passés flétris d'errants.

     

     

    THEURIC

  • Plus que sept mois!

     

    Tout ce qu'a pu dire nos néolibéraux et tous leurs semblables est d'une stupidité sans nom, totalement déconnecté de toute logique, bêtement culpabilisant, mais pire que tout, ils y croient.

    Payes, chômages, retraites, services publiques, disparition des entreprises, dette de l'état et le reste, tout le reste, tout le discours, tous ces discours que l'on nous rabâche, que l'on nous serine à longueur de temps, depuis au moins trente ans, à longueur de journaux, de télé, de radios est faux, tout cela est funestement faux.

    Ils nous ont ruiné, spolié, mis à crédit, et pour certains à la rue, ils ont détruit notre pays, l'Europe, l'Amérique, le Japon, et bientôt, très bientôt, ils se détruiront eux-mêmes.

    Ils ne comprennent rien, ne voient rien, ne perçoivent rien, et pourtant...

    Et pourtant nous ne sommes plus qu'à quelques mois de la ruine de l'économie monde qui les verra gémir de leurs pertes abyssales, pleurer dans le giron du chef de l'état, chouiner à qui veut bien l'entendre que ce n'était pas de leur faute.

    Des pleureuses !

    Parce que ce n'est jamais de leur faute, jamais, toujours de celle de l'autre, des pauvres, de la classe moyenne, des impôts, de l'état, des hommes politiques, de tout le monde, mais ce n'est jamais de leur faute, jamais !

    Mais comment les reconnaître ces discoureurs si ce n'est que de les écouter, sentencieux, exposer leurs théories, mais pressez-vous, bientôt ils retourneront tant vestes et casaques que nous ne saurons plus les discerner des autres commentateurs.

    Ainsi nous ne sommes plus qu'à sept mois d'une refonte totale de la politique européenne, mondiale qui les verra à jamais disparaître comme disparurent les dinosaures, mais leur ruine sera aussi la nôtre.

    Cela ne se fera que par cette contrainte d'évidence, nécessaire des futurs évènements mondiaux : l'effondrement, dans deux mois environ, du dollar, suivit, dans les trois mois suivants, de celui de leur suzerain, les États-Unis-d'Amérique et de leurs dogmes et joujoux, les bourses mondiales, l'économie des nations et les monnaies.

    Les deux mois d'après, la déstabilisation de l'Europe et de la zone euro sera telle que des mesures extraordinaires devront être prisent au risque, sinon, de sa possible disparition.

    Les discours, ces discours néolibéraux furent depuis si longtemps donnés que si une mutation de grande ampleur des propos et des actes de nos élites ne se fait pas rapidement nous aurons sûrement, ici, affaire à une insurrection majeur.

    Les peuples n'aiment pas que ce qu'on leur a dit, sommé, enjoint de révérer et adorer les exposent à des calamités, à des malheurs.

    Ils n'aiment pas être trompés !

    C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, de donner, ainsi, une mesure temporelle à une telle occurrence que peut être la disparition de ce qui a structuré toutes les sociétés humaines depuis trente ans au moins, les néolibéraux et leurs maîtres, les U.S.A., est présomptueux, je le conçois.

    J'en accepte l’aléa.

    Certes bel outil, internet ne permet tout de même pas d'être en mesure d'avoir en sa possession toutes les informations utiles pour suivre, en directe, les éventualités possibles et/ou probables des évènements futurs, la plupart des médias n'étant, en cela, d'aucune utilité, je prends tout de même le pari que le système actuel est à un tel point de déséquilibre, la crainte, voire l'assurance en son écroulement inspire un tel effroi, le dollar et les U.S.A. sont dans un tel état de déliquescence qu'il ne faut que peu de chose pour que ce basculement ne se produise.

    En revanche, la-dite disparition se partage, dès à présent, comme évidence, par un nombre de plus en plus croissant de personnes, et nous pouvons même nous demander combien de nos élites et responsables ont présentement compris, sans le dire, voire sans se l'avouer, qu'un tel ébranlement va sous peu se produire.

    Cette compréhension peut aussi générer une telle peur que des phénomènes de déni plus ou moins violents se font jour (la conversation que j'ai pu avoir avec des adhérents de lutte ouvrière est en ce sens caractéristique, leur ennemi, le capitalisme et la bourgeoisie, risquant de disparaître, de le leur affirmer génère, chez eux, non pas une joyeuse curiosité mais une dénégation presque agressive).

    C'est dès maintenant qu'une vision à long terme se doit d'être perçue, mais il est à craindre que le glacis néolibéral, sa vulgate d'économisme et l'obscurantisme qui y est intimement lié s'étant, depuis tant de temps, infiltré autant dans les esprits que dans les cœurs, que peu en Occident et au Japon sont capable de penser qu'il soit possible que le monde tel qu'il se vit aujourd'hui puisse disparaître.

    Tout le monde songe vulgairement économie quand il nous faudrait une réflexion politique !

    Il nous faut aussi qu'émerge de nouveaux paradigmes, nouvelles théories, nouvelles approches de nos savoirs et connaissances actuelles.

    Ce doit être maintenant que cela se doit de se faire.

    En fait, nous devrions tous ne plus être dupe de notre futur, celui-ci s’arrange toujours pour ne jamais être comme nous l'avions imaginé (avez-vous lu comment je me place dans l'inconfort du paradoxe?).

    Les pays qui pratiquent une retraite par capitalisation verront leurs anciens sans aucune ressources, ceux qui, pour des raisons comptables, se sont part trop allégés de leurs forces de l'ordre risquent fort d'être débordés par la violence sociale, partout la pénurie sévira et les quelques usines encore en place ne pourront que fournir qu'un maigre échantillon de l'électroménager, de l'électronique et de tout ce matériel que nous avons coutume d'acheter et d'utiliser continuellement...

    Pire, pendant un certain temps, voire un temps plus qu'incertain, les banques ayant faillies, nous ne pourrons plus, ou quasiment, sortir le moindre centime de leurs guichets (Frédéric Lordon), sauf si elles sont, dès lors, nationalisées.

    Le commerce, également, sera progressivement freiné en raison même de ce manque d'argent, ce qui ne pourra que prolonger cette banqueroute.

    Les deux géants asiatique, l'Inde et la Chine, déjà en bute à de très grands désordres autant pour des raisons économiques, sociales et politiques, ont affaire à un trop important déficit de femme dû, dans chacun de ces pays, à des causes différentes, tests de grossesse pour le premier, l'enfant unique pour le second, et aussi à des causes semblables, préférence du garçon à la fille, se retrouvent déjà tous deux dans un puissant processus de frustration masculine.

    En plus, ils doivent leur développement à l'exportation en Occident d'objets manufacturés chez ceux-là même qui les fabriquaient antérieurement (nous) et qui, dès lors au chômage ou aux payes réduites, ne peuvent plus, dès à présent, que leur acheter de moins en moins de biens à un prix de plus en plus bas (il est à noter que cela se passe aussi dans bon nombre d'autres pays).

    Quand cette bulle spéculative première explosera, leur gouvernement respectif devrons faire face à des troubles colossaux.

    Je crains qu'ils ne soient tous deux tentés par des aventures belliqueuses, d'autant qu'il est dit dans les anales que c'est la deuxième guerre mondiale qui permis les fameuses trente glorieuses, parce que les américains se devaient de déployer une économie de guerre et qu'ensuite européens et japonnais se devaient de tout reconstruire.

    Il est probable que cette trentaine d'années de croissances aient des fondements ô combien plus complexes que cela.

    Aujourd'hui, les États-Unis-d'Amériques sont dors et déjà ruinés, anéantis.

    Et l'armée, encore vaillante bien que blessée, nationaliste comme toute armée bien faite, ne pourra pas ne pas s'empêcher de renverser, sous une forme ou sous une autre, le gouvernement en place, ce sera une dernière et désespérée tentative pour sauver ce qui peut l'être encore.

    Délitement de ce pays ou guerre civile ?


    THEURIC

  • D'un eurêka.

    Il est des moments où l'idée survient comme un flash, en une soudaine irruption, et cela m'est venue en allant aux toilettes.

    Juste avant je m'étais aperçu qu'une très très vieille colère, dont j'avais depuis longtemps dénoué les substances, ce qui m'avait permis de ne plus être soumis au pervers  narcissique dont je vous a vais fait cas l'année dernière.

    De ce vieil ire, donc, dont j'avais compris les substrats les plus anciens et délié les fils des plus entremêlés, m'est revenu, en mâtin ce matin sans que je n'en comprenne les raisons.

    J'ai donc fais comme d'habitude en cette sorte de situation, je me mets à l'écoute de ce que mon corps a à me dire en sentant ce qu'expriment les tensions que je ressentais à ce moment là.

    Il m'a fallu près de trois décennies pour m'apprendre à faire ça, voire plus de P1030290.JPGtemps, pour débuter, pour ceux que cela intéresse, j'ai commencé par sentir chaque partie de mon corps, puis les tensions qui les traversent, dont au premier chef mes organes et mes doigts de pieds.

    Mais c'est à chacun de trouver sa voie pour ceux que cette conception peut animer et un conseil, allez-y doucement.

    Vu que chaque personnalité est différente, je ne me vois pas en droit de dire quoi faire, de faire çà puis çà, ou d'être seul ou en groupe, ou de tout autre mode de façon de faire, c'est à chacun de faire suivant sa manière de fonctionner.  )

    Ensuite, suivant un certain temps pendant lequel je m'essayais de saisir d'où cette colère provenais, j'ai compris:

    Ainsi, si elle s'était exprimée c'était parce que même si psychologiquement j'en avais saisi les fondements, mon corps avait en un tel point enregistré en réflexe l'émotion que, quand bien même mon esprit s'en était détaché grâce mon autoanalyse, mon corps en restait, lui, sujet.

    Ce qui fait qu'à soixante ans je sais que j'en resterais jusqu'à ma mort empreint, arrivé à un certain âge il faut faire attention, sauf lors de nécessités médicales ou s'il y a urgence mortelle ou handicapante, de ne pas trop remettre en cause nos structures corporelles, la seule chose qu'il me soit possible de faire quand cela se reproduira, ce sera de l'observer jusqu'à ce que cette colère se réduise et ne me gène plus.

    P1030095.JPG

    De cette découverte somme toute ne faisant que de me concerner, bien que ces réflexions puissent aider des personnes, et puis n'avais-je pas annoncé que je commencerais à vous parler tout doucement de métaphysique?

    L'autre sujet, donc, s'intéresse aux raisons des choix économiques du gouvernement français et de l'administration bruxelloise, et, comme dit plus haut, la réponse m'est venu en un jaillissement en allant aux toilettes, vous savez, ce lieu d'aisance où nous nous devons de passer chaque jour et où notre mental trottine de ci de là, quand nous ne lisons pas, le temps pour nous d'évacuer les rebuts de la digestion des repas de la veille.

    Ce fut une phrase que j'avais entendu, juste au moment où, il y a quelques jours, je zappais sur je ne sais plus quelle chaîne d'information, d'un personnage qui, doctement, disait: "...pour l'économie moderne, la sidérurgie d'aujourd'hui c'est la banque...".

    Tout haut soliloquant, dépité, je dis: "Ce sont des conneries!" puis je continuais d'errer dans ce milieu touffu et mièvre de la télévision du XXI° siècle, sans me rendre compte que j'avais de manière subliminal enregistré cette phrase absurde et, qu'ensuite, mon esprit s'était mis au travail.

    Et le résultat fut ce jaillissement soudain, dont je vous ai narré l'aventure de saP1020887.JPG soudaineté ci-dessus, et qui me fais comprendre la logique interne de la désindustrialisation de la France et de la tentative désespérée des gouvernements et des banques centrales de sauver l'entreprise bancaire:

    Puisque, pour ces hurluberlus, les banques privées sont les seules alternatives de la modernité économique, tout le reste ne leur est d'aucune importance, les mines, les manufactures, industries et autres fabriques, ainsi que l'agriculture ne sont, pour eux, d'aucune utilité et peuvent être jetés à la poubelle (de l'histoire?) sans l'ombre d'une hésitation ni de regret.

    C'est cela qui détruit à petit feu l'économie mondiale depuis très longtemps.

    Et qu'importe si cela fait monter le chômage et désertifier la province, puisque cela ne concerne que des gens qui ne sont rien, et puis, sont-il, pour eux, vraiment humain?

    Ceci d'autant plus que, dedans  leurs fantasmatiques rêverie, leur utopie dérisoire et dangereuse, ils imaginent que l'industrie bancaire et financière fera advenir, dans le  futur, le paradis sur Terre, le royaume des bienheureux d'où coulera éternellement le lait et le miel, et où chacun vivra dans la félicité jusqu'à la fin des temps, ceci sous la tendre et protectrice main paternelle des États-Unis-d'Amérique et de l'OTAN.

    Parce que, quant bien même ce soit Mr. Trump qui est président de l'empire US, ce renégat qui veut détruire l'Union-Européenne béatifiante, ce rêve perdure, et chacun de scruter à la loupe la moindre faiblesse de cet homme en espérant qu'il soit renversé et qu'enfin revienne un Obama, le crétin, ou un Clinton, le truand, salvateur.

    Seul hic, les banques, assurances et autres sociétés spéculatives sont au plus mal, à P1020778.JPGun point tel que la FED doit continuer de déverser des tombereaux de monnaies dans les banques pour qu'elles parviennent à tenir debout.

    Il est même fortement possible que les banques centrales des pays de l'Union-Européenne et la BCE fassent toutes de même sans rien nous en dire.

    C'est ce discours économique dogmatique mettant la financiarisation au centre de toutes réflexions qui, depuis des décennies, j'en compterais à vu de nez trois bonnes, qui, adopté par des économistes qui ne le sont que le nom, nous conduit maintenant à cet effondrement lent du tissu économique international et à la destruction des monnaies.

    C'est le même qui ruine industriellement ces pays européens qui furent dit de l'ouest et limite de toutes forces les salaires dans ceux anciennement de l'est, ceci par les fortes contraintes imposées par cette imbécile union où, à l'aveuglement et à la naïveté, s'y rajoute une méchanceté administrative qui, à bien des égards, ressemble quelque peu à celle qui prévalait au pire moment du stalinisme.

    A la seule différence que l'on envoie plus les gens au goulag mais on les laisse pourrir dans des campagnes désertées, déprimer dans un travail inutile avec des chefs pervers, faire faillite par des dettes trop importantes ou se suicider par stress intense...

    Nous en sommes venus à ce que le mensonge est devenu l'habitude pour les tenant de cette idéologie, administration de l'UE, la grande majorité des gouvernements des pays la composant, les classes-moyennes hautes à supérieurs européenne qui,P1030192.JPG jusqu'à présent, en détenaient tous les bénéfices et qui, en France, commencent à en douter,  ceci sous la double contrainte d'un système qui ne fonctionne pas et qui s'autodétruit, ce qu'ils observent et comprennent, et d'un dogme dit néolibéral, mettant les opération spéculatives au centre de toutes leurs réflexions, sur lequel ils sont dans l'incapacité d'en jauger de la pertinence.

    Tout cela ne peut que cesser de fonctionner un jour, j'en ai étudié un mécanisme possible, voire probable, dans mon billet précédent.

    Je vous ai, antérieurement, montré qu'il y en aura trois phases, l'instant de catastrophe d'une durée approximative de trois mois maximum, l'année de vache maigre qui s'en suivra et les dix ans environ de reconstruction, suivit de dix autres années où les risques de conflagration mondiale seront importants en raison des tensions sociales inouïes que tout ce fatras monétariste aura généré.

    Ensuite, je pense que la société d'alors ne sera plus celle que nous connaissons et que, probablement, la mamie pourra rendre visite à son petit fils travaillant au milieu  de la ceinture de Kuiper, époque où le voyage spatial deviendra enfin mature.

    Mais ce ne sera pas un paradis ni un enfer, ce sera juste la continuité d'une évolution humaine qui, sous le joug d'un empire vulgaire, absolu mais déclinant, s'était momentanément arrêtée, sans plus ni moins.

    P1030039.JPG

     

    THEURIC

  • Un livre, trois vidéos, un texte.

    Je ne peux être le seul à fureter deci delà dedans un internet proposant tout un ensemble de points de vu sur toutes sortes et sur tous sujets.

    Tout autant nombre de lecteurs doit, comme moi, tomber sur des livres passionnants que chacun voudrait partager tout autant de billets parfois captivants découverts dans tel ou tel blog.

    Je vais donc ici vous présenter un livre présentant l'histoire de façon succincte mais chronologique, puis proposer à vos réflexions ce que j'ai pu découvrir sur la toile au gré de mes pérégrinations, soient trois film puis un libellé.

     

    Je commencerais par vous révéler un petit ouvrage qui, je le pense, captivera des jeunes aux moins jeunes qui n'ont, de l'histoire, que de vagues notions, égarés qu'ils sont dans ce manque de chronologie que l'école offre en instruction aux enfants.

    Les quinze aux quarante-cinq ans ne pouvant qu'y trouver, voire à y découvrir l'ordre temporel qui leur manque si cruellement, les autres y plongeant dans ce délice de la révision rapide.P1010448.JPG

    "Toute l'histoire du monde, de la préhistoire à nos jours" de Jean-Claude Barreau & Guillaume Bigot, collection Livre de Poche, Fayard, publié en 2005.

    Vous pouvez aussi trouver ce livre en P.D.F.. )

    Ils y montrent entre-autre que la défaite de 1940 ne fut que le fait de la bêtise et de l'incompétence des généraux, maréchaux et personnel politique qui ne voulurent jamais écouter le capitaine De Gaulle et qui restèrent ancrés dans une guerre 14/18 largement dépassée, dont au premier chef le maréchal Pétain.

    Cette phrase est  ô combien explicite en étant toujours totalement d'actualité, page 336, dernière ligne:

    "Le mépris du peuple est toujours la tentation et l'excuse des dirigeants défaillants."

     

    Voici ensuite un   film audio plutôt qu'une vidéo d'une vingtaine de minutes, où nous y entendons Monsieur Asselineau expliquer bien mieux que je ne saurais le faire la cause de cette désindustrialisation occidentale.

    Signé "Pascal P.", vous trouverez là l'ensemble de son travail.

    P1010789.JPG

     

    Ce second film est celui d'un policier, Alexandre Langlois, qui fut puni par sa hiérarchie pour avoir voulu informer le public des nombreuses et terribles dérives de la polices française sous la direction de Monsieur Castaner.

    Il y propose ici de débattre avec le ministre de l'intérieur qui ne lui répondra jamais.

    Une remarque au sujet de cette vidéo, il sera simple de savoir qui renvoyer de cette administration une fois que le système économique et l'Union-Européenne auront explosé, ce seront ceux qui auront reçu une médaille par ce ministre sans avoir su retourner leur veste avant (retourner sa veste à temps étant tout de même la preuve d'une certaine intelligence et d'une certaine indépendance d'esprit).

     

    Le troisième concerne le réchauffement climatique anthropogénique, sous forme d'une conférence d'une heure, en France, à l'invitation d'une association se nommant les Climato-réalistes, où un scientifique étasunien, dont voici la brève présentation: "... par John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires", y a présenté son travail.

    Il est à noter que cette conférence fut traduite pour ceux qui, comme moi, ne sontP1010824.JPG pas anglophone, ce qui montre le respect plein et entier de cette association pour la population, dont part ailleurs j'ignorais l'existence jusqu'à hier.

    Ce que j'apprécie surtout ce fut la pondération de ses réflexions où, par exemple, il y explique qu'en effet le CO² a bien mené un accroissement de température atmosphérique mais extrêmement réduit.

    Ce monsieur représente les U.S.A. inventifs et honnête que nous ne pouvons qu’apprécier et non pas de son coté obscure que nos élites adore tant.

     

    Enfin le texte se trouve sur le site de l'U.P.R., pour ceux qui le connaîtraient pas en voici l'adresse.

    Sous le titre: "LA « START-UP NATION » ? Ça marche si l’on respecte le génie français ! " ce billet de Paul Vallier, plein d’optimisme est vraiment rafraichissant mais, surtout, montre ce que je ne cesse d'écrire: notre situation est loin d'être catastrophique, même si nous aurons à traverser une période difficile.

    Et qu'en dix ans nous recomposerons un tissu industriel et agricole complet, mais ceci ne pourra s'effectuer qu'à partir du moment où nous aurons quitté cette satanée Union-européenne, soit de notre fait par l'élection de François Asselineau à la présidence de la république, soit en raison de la désagrégation de cette union mortifère.

    P1020167.JPGUn petit trait historique en passant, le terme bien français de "système D", D pour démerde, fut inventé par les poilus de la guerre de 14/18.

    Bon visionnage et bonne lecture à tous.

     

     

     

    THEURIC

  • De la crise: un pas en avant!

    Avant-propos:

     

    La bouffée délirante dont je me pensais m'être délivrée depuis six à sept mois c'est, depuis lors, allongée jusqu'à aujourd'hui.

     

    Je n'ai pu, pendant tout ce temps, me pencher au-dessus des événements, toutefois, depuis aujourd'hui, je ne peux que remarquer que le néolibéralisme montre des signes plus qu'inquiétant de graves perturbations, voire, plutôt, de leur relatif lent effondrement.

     

    C'est pourquoi je reprends et ne reprends qu'ici et maintenant mes réflexions de toutes sortes tout en poursuivant l'écriture de mes histoires extravagantes,  petites coquineries et autres gourmandises poétiques.

     

    Du reste, je vous en conterai l'histoire bien plus tard en vous en faisant le récit...

     

     

    Du pas en avant de la crise économique:

     

    De ladite crise économique qui, comme cela n'était qu'à prévoir et comme je vous en avais fait cas auparavant, ne peut que se révéler d'une toute première violence faisant passer celle de 1929 comme une toute petite promenade de santé, se trouve, dorénavant, juste au-devant de notre porte.

     

    De toute évidence, celle-ci ne peut qu'avoir d'épicentre formel que les Etats-Unis-d'Amérique.

     

    Je vais m'appuyer, pour ma démonstration, des publications de "Businessbourse", le seul site qui, à ma connaissance, dépeint au mieux, par le relevé de vidéos et textes de toutes sortes, parfois traduits, souvent de manière succincte, qui, proposés pêle-mêle, déterminent en même temps l'incorrigible aveuglement de notre oligarchie monétariste mondialisée tout autant que de la réalité déplorable de la situation économique mondiale.

     

    Ainsi, les USA se trouvent donc aux portes de leur dépos de bilan, ce que montre bien cette vidéo.

     

    Ce qui ne peut que vouloir dire que le dollar, bientôt, ne vaudra plus un clou, que dalle et ballot de crin, trois ronds, de la gnognotte, des queues de cerise, plus rien, quoi (poils aux doigts).

     

    Etant donné qu'il soit à supposer que, ici et là-bas, tel qu'il en est d'habitude dans le milieu politique et médiatique, les premières annonces véritables avertissant la population des difficultés et défis immenses desquelles elles auront à se confronter, attendent le dernier moment pour l'annoncer.

     

    Le reste des pays, hormis l'Island qui  sut, lors de la crise de 2008, mettre au pas son oligarchie par son emprisonnement et refusa, de toutes forces, de rembourser des dettes iniques, cesdits pays, donc, vont voire la valeur nominale de leur monnaie respective être subjectivement stable face aux autres, mais s'effondrer toutes au-devant des métaux précieux, ceux dédiés en tant que monnaie de réserve, soit l'or, l'argent et le platine.

     

    Donc, l'ensemble de la grande majorité desdites monnaies, Euro compris, sinon plongeraient déjà, du-moins le ferait sous peu quasiment en même temps (en raison d'une même hyperproduction dont je vous avais fait cas par le passé), face auxdits métaux précieux, c'est pourquoi elles paraissent encore et paraîtront toutes par le suite d'une valeur à peut près fixes par rapport aux autres.

     

    Or, pour nous, citoyens, cette question monétaire internationale, bien que ne nous paraissant que secondaire  (j'y reviendrai, poil à ma barbe), ce qui nous importerait et nous importe dès lors maintenant, ce serait de savoir ce qu'il va se passer dans les mois qui viennent, ce qui se révélera à nous d'être d'un intérêt majeur puisque cela concernera et concerne déjà le flux du commerce international,  dorénavant, de ce que mon intuition m'en susurre, en grand ralentissement.

     

    Pour l'instant, nous faisons face à une inflation en une fluctuation relativement importante, en hausse comme en baisse, qui pourrait être pire dans le futur, la raison en serait, à mon sens, en ce que la spéculation fait des va-et-vient continuels des bourses, quand elles montent, aux matières premières et produits de premières nécessitées, quand elles redescendent.

     

    A n'en pas douter, à un moment donné, nous nous retrouverons au-devant de rayons de magasins vides, en raison de l'arrêt du dit commerce international, ceci dans quelques mois tout au plus, sauf ceux qui sauront, desdits magasins, avant tous autres, se rapprocher des producteurs régionaux.

     

    Le pire étant, en effet, quand ledit commerce international cessera de fonctionner, je dirais pendant deux à quatre mois, mais cela n'en est que moins que rien de sûr (autant envisager le pire pour ne pas en être surpris. (Ceci parce que quand le pire n'est pas sûr, il n'est pas sûr que le sûr soit le pire, poêle à frire)).

     

    ( Comme le disait Monsieur Churchill:

     

    "L'Angleterre s'effondre dans l'ordre, la France, quand à elle, se rebâtit dans un désordre constructif et affirmatif de ses principaux ingrédients:

     

    L'ordre dans le désordre et le tendre acharnement à se débattre d'avec ses sentiments dérisoires de pensées constructivistes et légèrement hypocondriaques (c'est ainsi  que les britanniques (ta mer) considère notre esprit libertaire) et saltinbantesques (de saltimbanque, encore elles).

     

    Elle fait ce qu'elle sait faire, du vent quand tout va bien, de l'orage quand tout va mal, puis du désespoir quand tout va mieux et, enfin, du remue-ménage quand tout va pour le mieux.

     

    En un mot comme en cent: l'Angleterre se remue quand tout est au pire, la France se remue quand tout va vers le pire."

     

    Je dirais, quand à moi de ceci, d'avoir compris que, comme d'habitude, la Grande-Bretagne,  toujours en avance sur son temps et sur toutes les nations, est parti vers ces glauques nouvelles frontières du néolibéralisme (mais en quittant l'union et ce néolibéralisme avant tout le monde) quand, avant tous les autres pays de l'Union-Européenne, la France, elle, eut, de ces choses destructrices, ses dix à quinze ans habituels de retard sur sa voisine d'Outre-Manche.

     

    Mais aussi que notre si cher voisin, notre si tendre perfide Albion, qu'elle nous est tout aussi étrange et étrangère que nous-mêmes le sommes pour elle, comme deux vieux frères ennemis se rabibochant quand les heurs et les heures les plus sombres nous rapprochent. )

     

    Je réitère mes conseils en ces raisons, c'est- à dire de faire des réserves tant en nourriture qu'en produit de soin pour le corps et pour nettoyer son chez-soi, d'objets pour du troc, d'un potager aussi que des poules si cela est possible, ainsi que de faire le plein de son auto de manière régulière.

     

    Le principal restant de ne pas s'affoler et, tout au contraire, de se préparer à ce défi majeur, sachant que la nation aura et a désormais  l'absolu besoin de toutes les forces qui la compose, dont ceux des mieux formés, les plus dynamiques et les plus imaginatifs parmi-nous, ceci pour reconstituer autant notre tissu industriel, agricole, minier que commercial qui ont  tous gravement souffert des errances économiques de notre oligarchie nationale, européenne et mondiale.

     

    Il est probable, de plus, que ladite oligarchie ne puisse comprendre de la moindre des façons cette situation catastrophique telle que, de manière succincte, j' ai pu vous l'exprimer et vous en avertir par le passé ici-même, ceci avant que je ne compose mes petites facéties littéraires et  mes aimables poésies.

     

     

    THEURIC

     

    PS: Il se dit que la banque Crédit Agricole (celles régionales étant indépendante de celle parisienne) ne faisant pas de spéculation (poils au menton de la femme à barbe) et, donc, de l'investissement productif, agriculture, mine et industrie, ne dépouille pas les particuliers de leurs économies, je vous conseillerais donc de placer vos économies chez-elle.

     

    Bien entendu, cela ne pourra qu'accélérer l'effondrement en cours des autres banques.

  • Je lance un pari!

    Capture d’écran 2019-10-23 à 12.41.51.png

    Image dérobée au site de Jacqueshenry, en noir le taux de CO², en bleu la température moyenne.

    Vous y remarquerez que notre modernité est l'une des époque où le taux de CO² est l'un des plus bas toutes ères confondues  depuis 800petite erreur due au sans lunette, qu'est-ce que 200 millions d'années dans la vie d'un homme? ) 600 millions d'années.

    Je lance le pari qu'aucune chaîne télé de grande écoute ou dédiée à la culture, la une, deux, trois, cinq, sept, voire la treize ou la vingt-quatre, ne sera jamais suffisamment couillue pour organiser honnêtement un réel débat entre deux climatologues, l'un pour le réchauffement climatique, l'autre en en contredisant l'existence, soit totalement, ou comme n'ayant pas une importance atmosphérique vitale réelle.

    Aux heures de grandes écoutes et, ce, en en faisant une publicité longtemps à l'avance.

    Des intérêts de toutes sortes trop juteux, complexes au demeurant, sont en jeu.P1010498.JPG

    Et le GIEC sera ratatiné sur place, écrasé comme une punaise et les écolos de pacotille pétrifiés pour toujours, ces prophètes de malheur sans autre religion que leur nombril, ces pseudo-dissidents, ces séditieux d’opérette, ces factieux si obéissants, ces ignorants des sciences.

    D'ailleurs je me ferai une joie, un de ces quatre, d'écrire un sujet sur ce qu'est être écologiste et les vrais dangers devant lesquels nous sommes.

    Amis lecteurs, si vous voulez connaître le fin mot de cette histoire, réclamez un tel débat, et vous entendrez le silence assourdissant qui s'en dégagera vous démontrant que tout ça n'est que de la foutaise: pour ceux pensant que j'ai tort, alors prouvez-le moi en demandant, en réclamant ou en organisant un tel débat.

    Parce qu'en fin de compte, s'il n'a pas lieu ce ne peut que vouloir dire que ceux qui travaillent dans les médiats ou savent que c'est faux, ou sont totalement embrigadés par l'ensemble des dogmes euro-atlantistes faussement écologistes, ou s'en voit d'en être interdit d'en mettre un en place, voire même sachant que cela est impossible préfèrera éviter ce sujet.

    Sachez-le, il ne peut pas y avoir de total accord entre scientifique puisque toute théorie peut être remise en question, voire même parfois en cause, c'est cela le principe de réfutation, l'histoire des sciences le montre et le démontre.

    Sauf  pour des choses basiques comme il en est de la rotondité de la terre, la tectonique des plaques ou des processus de fusion au sein des étoiles par exemple.

    P1020011.JPGDès lors affirmer que tous les climatologues sont d'accord avec le GIEC  est une forfaiture, ceci sachant les immenses complexités des processus atmosphériques dues, entre tant d'autres, à la très grande inertie calorique des océans.

    Parce que si c'est aussi important, grave et dangereux que ça pour l'espèce humaine, qu'un climatologue vienne nous le prouver lors d'un débat avec un scientifique de même domaine que lui en désaccord formelle, chacun amenant ses propres graphiques, au temps de chacun décompté, et que l'animateur soit neutre, quelqu'un comme Monsieur Taddéi serait parfait pour l'organiser (je n'ai plus aucune confiance avec les employés journalistiques de la télé d'aujourd'hui).

    Demandez-vous donc combien de fois nous pouvons entendre dans les médiats, très rarement de la bouche de scientifique, hormis de temps en temps provenant de personnes ni climatologue, ni physiciens, les expressions telles que réchauffement climatique, changement climatique, il faut sauver la planète, la planète est en danger et toutes les autres fariboles  de mêmes eaux auxquelles je ne pense pas et dont on nous pourri les trompes d'Eustache à longueur de temps.

    Ainsi vous comprendrez comment la propagande moderne fonctionne.

    Je peux faire erreur, mais je ne pense pas que le moindre responsable télévisuel oserait ne serait-ce que penser en organiser un et, ce, avec raison: il risquerait d'être chassé manu militari de son poste, lui et tous ceux qui se risqueraient de le suivre.

    Il est vrai qu'ici je prends parti, alors justement, que l'on me prouve que je puisse me tromper et pour cela, pour départager ceux qui sont pour ou contre, qu'un tel débat ait lieu, ne le pensez-vous pas?

     

    Je vais m'absenter pour un temps, je pense que mon prochain texte arrivera d'ici P1030109.JPGune quinzaine à une vingtaine de jours.

     

     

    THEURIC

     

  • Croyance et dépendance: un champ idéologique.

    Cette charmante guêpe, Cerceris des Sables, Cerceris Arenaria, famille Sphecidae, Sphégides, fait parti de celles dites fouisseuses, solitaire, elle creuse un nid pour ses larves dans un sol sablonneux et pond son œuf sur l'une des proies accumulées.

    Ici elle est posée sur une feuille de géranium vivace.

    Ce coup-ci, je suis allé chercher le nom des bestioles Hyménoptères dans le bouquin de 1991, plus précis qu'internet, que j'avais donc acheté il y a longtemps: "Guide des abeilles, guêpes et Fourmis, les hyménoptères d'Europe", de Jiri Zahradnik, collection Hatier, adaptation française Ludovic Laporte.

    Ce que je vais poursuivre, du-moins pour cette classe d'animaux.

    Autre temps, autre mœurs...

     

    Bonjour chers lecteurs,P1010040.JPG

     

    Introduction:

    Je suis allé, il y a peu, chercher je ne sais plus quoi sur mon blog et ai remonté ce petit bijou conceptuel personnel (ne serait-on, parfois, jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas?) qu'est celui de champ idéologique.

    J'avais exposé cette idée il y a 5 ans, ceci d'une manière indirecte sans en avoir creusé la matière théorique.

    ( Recherche et matière qui porte, ici, en réalité sur une réflexion à l'endroit d'une ou de plusieurs hypothèses d'un sujet donné puisque n'y est pas assis, lors de cette recherche, les trois bases de référence théoriques, sa réfutabilité, sa prédictibilité et son aspect parcimonieux, soit sa simplicité conceptuelle au regard de toutes les informations perçues et, mieux encore, connues.

    Il est à noter également qu'une approche philosophique ne peut être en rien scientifique et théorique, mais qu'en revanche elle pose, normalement, de tels socles conceptuels qui accompagnent et parfois précèdent les évolutions d'une ou de plusieurs sociétés,  étant entendu que ladite philosophie est aussi l'outil essentiel P1050125.JPGpour, au présent, chacun d'entre nous, en un processus évolutif, organiser la pensé. )

    Il faut dire qu'à l'époque je n'en étais pas capable, le stress qui était mien en était encore d'un niveau important, du-moins, l'ai-je remarqué, mon style commençait à s'asseoir.

    C'est donc ce travail théorique que je vais effectuer en ce billet, venant peut-être parfois contredire ce que j'avais pu en exprimer par le passé.

    Je me dois de souligner que je n'écarte en rien les difficultés que chacun d'entre-nous, sous une forme ou une autre, rencontre, toutefois il me paraît important d'effectuer cette tâche consistant à tenter de conceptualiser le pourquoi nous en sommes là,  tout comme de ce que vers quoi, in fine, cela nous conduit.

    Et je ne donne pas cinq ans pour que la France se rétablisse après que le système soit forclos.

    Les débuts seront durs, complexe sera la suite, mais les forces vives et intelligentes qui le permettront sont dores et déjà présentes.

    N'oubliez pas, Messieurs-Mesdames les anarchistes, que d'être de cette opinion là sans être profondément démocrate c'est d'être encore plus stupide que tous ceux que nous fustigeons jour après jour.P1060408.JPG

    Ceci dit et avant que vous n'abordiez le reste de ce texte, je vous invite à voir cette vidéo de Tatiana Ventôse qui, en 40 minutes, aborde avec cohérence et brio la notion de ce qu'est que la nature de la politique.

    Plus loin j'affirmerai connaître mes limites et, ce, sans prétention, ainsi je ne pourrais jamais accomplir le travail qu'elle a ainsi réalisé.

    Chapeau bas, mam'selle.

     

    Avant-propos:

    Il devient d'évidence, pour le plus grand nombre de gens, qu'aux défaillances gouvernementales s'y rajoutent de ses choix décisionnels autant contradictoires, parfois irrationnels, souvent contre-productifs, aussi qu'aux portes de la tentation totalitaire néolibérale, sans l'avoir véritablement recherché (ainsi un conseillé de Mr. Macron fait-il la comparaison de la France d'avec le régime passé de Pinochet au Chili, comme étant surpris de sa propre politique: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes).

    P1060320.JPGIl est observable tout autant que les partis politiques qui, censément, seraient d'opposition, font montre soit que d'une très légère rigueur à l'encontre de l'exécutif, soit même de prises de position totalement déconnectées de la réalité de tous les citoyens souffrants  des difficultés actuelles dus auxdits choix, n'aidant, pour FI par exemple, que d'une infime minorité de ceux-là, soit les immigrés.

    il est de fait aussi que les autres pays de l'union et d'Europe souffrent, pour la plupart, de maux semblables, bien  que la France paraît en être la plus touchée.

    Lors de mes billets précédents, je vous avais montré une crainte partagée, au-delà de la mouvance purement eurolâtre & américanolâtre, de voir disparaître notre maître US, soit par guerre civile, soit par banqueroute, dès lors de ce que l'Union-Européenne et l'euro subissent  mécaniquement le même sort.

    Bien que l'inverse pourrait fort bien arriver, la faillite de la zone euro menant, à la suite, à celle du dollar.

    Ou alors que ce soit, non pas l'économie réelle en tant que telle qui, quoi qu'il en soit, en souffrira et en souffre déjà grandement, mais de ce que celle monétariste, spéculative internationale fasse faillite définitivement.

    Que cela mène donc ces personnes à souffrir dès maintenant de graves angoisses duP1050327.JPG fait de leur compréhension de ces éventualités, nonobstant de ce que l'une ou l'autre adviendra à un moment ou à un autre (faites vos réserves!).

    Que ce phénomène est, pour une large part, inconscient, ce qui conduit les pouvoir exécutifs, législatifs, mais aussi judiciaires et médiatiques, à projeter ladite angoisse à l'endroit de la majorité de la population, d'où, entre-autre, de notre enfermement confinement et port d'un masque, en tentant de nous culpabiliser de leurs propres errements et manques.

    Si, tout au long de ces pages je ne cesse de leur poser à tous d'importantes critiques sans que moi-même ne me décide à l'action, c'est que, connaissant mes limites, je me sais en ce cas totalement incompétent.

    Dès lors, le reproche le plus absolu que je leur porte est celui d'avoir bien voulu occuper le poste qui est le leur, sans ne s'être le moins du monde interrogés de savoir s'ils en avaient et en ont les compétences requises.

    Ce qui, de fait, est le cas pour le plus grand nombre d'entre-eux, sinon pour tous.

    Au-delà de ce très bref résumé de ce que j'ai pu écrire depuis six mois, le thème que j'aborde maintenant, celui du champ idéologique, ne peut que venir compléter cet ensemble.

    Je vais ne le poser que d'une manière purement démonstrative en juste appuyant P1050225.JPGmon propos de quelques exemples.

    Je parachèverai ce billet, avant sa conclusion, par une réflexion sur ce que je nomme une bifurcation historique, tel un virage pris de notre évolution transformant du tout au tout notre nature et, ce, depuis 20 000 ans environ.

     

    Le champ idéologique:

    Un champ idéologique est l'ensemble des conceptions qui en entoure son socle idéel, en une conception de base, pouvant être conscient et/ou inconscient, mais central dans la représentativité que chacun a de la société, ainsi que de son rôle dans celle-ci.

    Ce champ idéologique a deux composantes: sa "doctrine de fondement" , soit l'ensemble d'idée et de concepts composant le champ idéologique et son opposition qui est l'inverse de ce que représente ladite doctrine.

    Ainsi pour faire simple, le principe du capitalisme est celui de l'enrichissement du secteur privé et du pays par, normalement, l'industrialisation grâce au capitaux bancaire et boursiers, quand pour le communisme l'industrie se doit de se faire par l'état qui dispense ensuite cette valeur aux citoyens.P1050319.JPG

    ( La sociale-démocratie étant de faire la part entre ces deux tendances contraires sous le contrôle clair du politique, ce à quoi je pense être le meilleurs.

    Le néolibéralisme,  en une économie dévoyée, étant de retirer le plus de monnaie et de valeur possible par le biais des dettes contractées, des nations, des particuliers et des entreprises, d'où la ruine de tous à terme. )

    Ici il s'agit de l'économisme dogmatique, soit de percevoir la fonction économique comme étant central au regard de toutes les autres composantes sociale, du plus pur de l'institutionnel jusqu'à celui de l'interdit moral le plus formels (du-moins sa minorité agissante pour ce dernier).

    Si je la dis dogmatique, c'est que cette conception de la société, sous une approche centrée à de la seule économie, est dans le même temps d'une perception peu ou non lucide mais fondamentale pour tous les acteurs.

    Ceci au sein d'un champ psychologiquement attractif, indépassable et sous-jacent pour tout échange, non pas seulement marchand, ayant lieu et, ce, sous toutes ses formes (entre-autre l'individualisme).

    Ce fut le capitalisme industriel du XIX° siècle en Europe qui en fut le ferment, descendant de la bourgeoisie d'affaire passée, période pendant laquelle émergea, en l'accompagnant, ses contres-pouvoirs ( les socialismes révolutionnaire et libertarien, futurs communisme et anarchisme, ainsi que le républicanisme, la sociale P1040587.JPGdémocratie et le démocratisme ) qui se cristallisèrent à l'achèvement de ce siècle  et au début du suivant, le communisme se formalisant dès après la révolution bolchevique de 1917.

    En un exemple de champ idéologique: tout comme le communisme jusqu'à la fin des années 90, lui-même descendant du socialisme révolutionnaire du XIX° siècle, fut l'opposition au capitalisme sans frein, l'église catholique fut, en Europe, celle des princes et barons guerrier de la société féodale du moyen-âge.

    Vous remarquerez que ce fut relativement peu de temps après que des moines prirent l'épée lors des croisades, sous forme des templiers centrés en France et des chevaliers teutoniques en Germanie, que la Renaissance commençât à se développer, donnant corps au fil des siècles à la remise en question d'abord de la toute puissance du Pape et du catholicisme (le protestantisme), puis de l'existence même de l'aristocratie. (d'autres raisons, multiples, furent aussi en causes, telle que l'invention de l'imprimerie et du canon).

    Ceci parce que l'opposition passée de l'église face aux guerroyeurs que furent les seigneurs disparut de fait puis que tous deux devinrent progressivement alliés.

    La féodalité, sous cette optique, pouvant être considérée comme ayant été un champ idéologique qui disparu lors de l'apparition de la Renaissance.

    Cette hypothèse pose l'idée qu'au même titre que l'apparition des moines soldats annonçait l'achèvement de ladite féodalité, l'adoption du capitalisme par la ChineP1030102.JPG (dont il est ardu d'arriver à pied) tout comme la disparition de l'URSS, ces deux faits survenant à quelques années près, signaient la prochaine disparition dudit écono

  • Néolibéralisme, un champs idéologique tout puissant et moribond.

    Il se passe des choses bien étrange pour ceux pour qui l'évidence d'un effondrement de l'économie globalisée est déjà en cours.

    Après une hystérie collective (dont je fus) lors de la lutte impossible du gouvernement grec pour faire évoluer une Union-Européenne triplement bloquée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, après le soubresaut boursier de la fin Août, tout le monde est revenu à ses petites affaires doctrinales en niant toujours la réalité d'une ruine universelle pourtant déjà présente.

    Pour parcourir deux forums, celui de Monsieur Lordon ainsi que celui de Monsieur Berruyer, je me suis progressivement aperçu d'une totale impossibilité, autant pour ces deux messieurs que pour les commentateurs de ces blogues respectifs, de considérer qu'il ne serait-ce que possible que nous soyons parvenus au stade final de ce processus depuis longtemps en marche.

    Or, de nombreux signes alarmants, que de ma modeste position je ne puis que saisir qu'en d'infimes mais révélatrices bribes, se devraient d'alarmer nombre de penseurs, économistes et personnalités politiques, tels que Messieurs Asselineau et Mélenchon, qui font montre, à toute part égale, d'une liberté de pensée et de parole devenue rare, et qui, de par leur position, se devraient d'être plus à même de les repérer et répertorier et, surtout, de nous mettre en garde de la proche échéance d'une catastrophe monétaire sans égale mesure.

    Il en est de même des divers commentateurs avec qui j'ai pu échanger quelques idées et qui, de façons parfois agressives, rejetaient avec force cette toute proche perspective.

    De même, j'évite dorénavant d'aborder cette question lors de conversations, même avec des amis ou au sein de ma famille.

    Il en est de cette situation comme de beaucoup d'autre choses auxquelles nous nous confrontons, la meilleurs solution pour tenter d'y apporter une quelconque solution ne peut que consister à vouloir comprendre les soubassements du processus qui pose problème.

    Cela comprend, bien sûr, des thèmes que j'ai déjà abordé, dont celui central de la survie d'un champs idéologique néolibéral englobant tout autant ceux qui adhèrent à cette idéologie économico-politique, que ceux luttant contre.

    IMGP0004.JPGCe remarquable déni, même de ceux se situant dans un courant s'opposant à l'économie monétariste, nous montre l'incroyable puissance idéologique de celle-ci mais, surtout, de la crainte inconsciente partagée par une majorité, autant d'Européens, de français que d'une large part de la population mondiale, en sa disparition.

    Au-delà de cette opposition, le refus de percevoir consciemment le délitement en accélération constante de l'économie-monde ne peut que démontrer l'unité de ce que nous pouvons percevoir comme étant une croyance.

    Plus, même, les différents mouvements qui s'affirment, d'une façon ou d'une autre, combattre ce néolibéralisme occidental, comme il peut en être, par exemple, et ils sont nombreux, des participants aux actions menées contre un présupposé réchauffement climatique anthropogénique, se révèle être toujours de la même source idéologique.

    Observation que je conçois comme étant extrêmement subversif, voire provocateur, mais qui révèle, à mon sens, encore plus l'aspect unitaire de l'ensemble de ces tendances, plus ou moins violentes, plus ou moins pacifiées, plus ou moins officielles, en une fantastique complexité se révélant ainsi d'un même processus mental.

    En ce qui concerne ce réchauffement climatique anthropogénique, il se révèle contradictoire puisque étant, dans le même temps, le creuset inévitable de nombre d'hommes, et de femmes d'états pour se justifier, consciemment ou inconsciemment, de leur probité idéologique et de se laver de leurs péchés néolibéraux auprès de leur peuple.

    Et il est aussi le réceptacle, la convergence obligatoire, pour toute opposition sérieuse au néolibéralisme, par lequel doivent passer tous les horizons des gauches d'aujourd'hui, descendant affaiblis et affadis des marxismes et sociales-démocraties d'hier.

    C'est cela, plus que toute autre chose, qui me démontra l'unité de fait de l'ensemble de ces mouvements dû aux angoisses existentielles d'un monde bientôt disparu, celui d'une puissance d'argent ayant, depuis deux à trois siècles, progressivement remplacée une aristocratie d'épée et un clergé qui, sous une forme ou une autre, suivant les traditions des nations et des peuples, gouvernait un monde d'essence féodale.

    (Pour ceux que cela intéresse, voici le site d'un climatologue présentant un ensemble de travaux de ses collègues qui soit doutent, soit nient ce fameux réchauffement climatique ( http://www.pensee-unique.fr/ ).)

    Ce refus, partagé par un si grand nombre de gens, de considérer la disparition d'un modèle économique pour tous destructeur, même pour les plus fortunés, ne peut que cacher autre chose, plus puissant encore que la doctrine néolibérale elle-même dans sa dualité du pour ou contre.P1000166.JPG

    L'interprétation que j'en pose serait celle-ci: le néolibéralisme étant le descendant légitime d'un capitalisme lui-même provenant de la bourgeoisie, la puissance marchande, ayant pris la place de l'aristocratie d'épée passée, ainsi que des divers clergés étendus de par le monde, une ruine mondiale apocalyptique naturellement accompagnée de la disparition de la doctrine ad oc, le néolibéralisme, voudrait donc dire la disparition du dernier représentant d'un système social ancien à la structure hiérarchique stricte que pu être les sociétés féodales historiques, quelle que soit la forme qu'ait pu prendre ce type d'organisation politique suivant les pays et les peuples.

    Je me dois de noter que ces affaiblissements continuels de l'économie-monde et de l'empire U.S. conduisent naturellement nombre de nations, depuis quelque temps déjà pour certains d'entre eux, à voir monter leur désir d'indépendance, que ce soit le fait des peuples et/ou des états, et cela, parfois, contre leur gré, comme en Europe, notamment.

    Aussi bien en Amérique-du-Sud où ce processus est largement en cours, qu'en Europe, qui expliquerait le piège tendu au gouvernement et à la population grec, ainsi qu'un petit peu partout dans le monde, ce processus conduit divers gouvernements à prendre,  parfois contre leur volonté, des décisions à la limite du-dehors, voire réellement en-dehors, des présupposés idéologiques que je viens d'exposer, la position anglaise, belge, hongroise d'un référendum d'une sortie de l'U.E., les décisions géostratégiques françaises, même si elles semblent refléter les désidératas étasuniens, et les jeux complexes des pays moyen-orientaux puissants, Turquie, Iran, Arabie-Séoudite, sont de ceux-là.IMGP0430.JPG

    La Russie, quand à elle, ayant totalement brisé les deux liens, économique et politique, de cette double domination, U.S. et néolibérale, lors de la prise de pouvoir de Monsieur Poutine, d'où la détestation pleine et entière, de notre oligarchie pour ce pays et cet homme, pouvant aller jusqu'au délire, agit dorénavant pour ses seuls intérêts bien compris.

    Personnellement, mon admiration, reposante, pour Monsieur Poutine n'est que de celle du réel homme politique qu'il est quand, en Union-Européenne, nous n'avons, généralement, qu'affaire qu'à de simple comptables et boutiquiers (je n'ai rien contre les boutiquiers, les vrais).

    Les entreprises monétaristes, quand à elles, tentent, maintenant, aux portes de leur disparition, de faire la même chose que ce qu'elles firent pendant des décennies, mais aujourd'hui devenu caricaturale, soit d'absorber le plus des richesses mondiales possibles en les transformant en crédits et en dettes, ceci doublé de la délocalisation maximum de la moindre entreprise et fabrique occidentale aux lieux où les émoluments sont les plus bas, ce qui a vidé l'ensemble de l'Occident, de l'Europe et de la France de leur tissu industriel, là ou les paies étaient, à l'origine, les plus élevées.

    Il est à remarquer que, dorénavant, cela se passe également en Chine, et je la soupçonne de vouloir faire tomber définitivement l'empire U.S. en inondant le monde de ses divers bons du trésors américain.

    C'est tout cet équilibre devenu instable dès 2008 qui est en train de s'effondrer sous nos yeux, c'est cela qu'une majorité des populations, de tous niveaux hiérarchiques, ne veut pas voir ni comprendre, et, pourtant, si elles en saisissaient l'infinie dangerosité, elles pourraient agir au mieux pour s'y préparer, ceci en pleine connaissance des causes.

    Mais peut-être est-ce aussi l'angoisse due à l'intuition inconsciente de l'effrayant danger devant lequel l'humanité se trouve qui fait qu'énormément de personnes n'osent considérer cet avènement comme étant de l'ordre du possible?

     

     

    THEURIC

  • D'un COVID à une élection.

    Un pholque Phalangique installé tranquillement à l'encoignure entre mur et plafond,  chez-moi, dessus sa toile, attendant le casse-croûte.

     

    Bonjour tout le monde.

    Salut que j'avais oublié dans mon billet précédent.

     

    D'une double observation:

    Hier, dans l'après-midi, je me retrouvais à soliloquer en faisant les cents pas,P1000758.JPG tournant dans mon salon, imaginant, serait-ce de la parano amusée, que quelques micros cachés chez-moi permettraient à des curieux de comprendre comment je peux faire pour avoir de telles idées, me donnant au moins le sentiment que quelqu'un m'écoute?

    (Serait-ce de l'imaginaire digne d'un grave problème psy ou du véritable ressenti dû à une intuition exacerbée? Seul l'avenir le dira.)

    Dans l'après-midi, donc, je réfléchissais à haute voix ( ce qui me permet de mieux me concentrer, moi pour qui s'en fatigue rapidement  ), des raisons qui font que les médiats français s'acharnent ainsi, lors de ces élections US, à l'encontre de Monsieur Trump détenant, pour eux, tous les défauts de la terre, alors que, de fait, cela fait montre d'une grande incohérence.

    Sauf si nous sommes, de fait, une colonie étasunienne et que tous ceux qui détiennent un tant soit peu de pouvoir ici savent qu'ils le perdront dès lors que nous ne serons plus sous les Fourches Caudines ( y lire les dates "avant JC", dites également "avant l'ères commune" ) de notre cher oncle d'Amérique.

    Soyons en effet logique, si nous étions un pays indépendant de toute domination, alors les seules choses qui devraient nous intéresser ce sont les approche politiques et géopolitiques de chacun, de leur psychologie ainsi que, rapidement, des équilibres P1050137.JPGentre républicains et démocrates au sein de leurs chambres délibératives, de leurs différences s'il y en a.

    Du reste, des tricheries des démocrates ou de celles supposées républicaines, par exemple, ne devrait pas le moins du monde  nous toucher, cela ne devrait que de ne seulement les concerner.

    De plus, nous ne devrions pas, si notre patrie n'était pas dominée par l'empire thalassocratique US, être ainsi abreuvé du matin jusqu'au soir par ces élections, dont nos médiats nous parlent plus que de ceux nôtres nationaux passés.

    Cette contradiction manifeste peut se lier à celle dérisoire mais angoissante du tombereau de messages terrifiants que nos médiats officiels déversent sans discontinuer à notre endroit au sujet d'une pandémie au SRAS-COV-2 qui, pour les professionnels de la santé non achetés par les entreprise pharmaceutiques ou par l'état, est grandement passé.

    Nous laissant à croire qu'un cas, c'est à dire une personne qui a soit le virus sans être malade, soit en a juste quelques résidus épars dans son corps, est un malade, grâce à des tests imprécis, ne faut-il pas être un fichu pervers, ou le devenir, pour agir de la sorte?

    Ceci pour justifier notre second confinement.

    ( Il est à concevoir que tous les parisiens et habitants des grandes métropoles les ayant fuis vont se retrouver à se confronter à la réalité du pays, ce qui ne pourra que les mener à un choc important. )P1060064.JPG

    ( je laisse à votre soin ces quelques adresses explicatives de mon approche: Alexandra Henrion-Caude, généticienne, Youlia Zvantsova, journaliste, article de France-Soir, Zérohedge, Businessbourse, AFP, businessbourse.

    Pour ce dernier, je le rajoute avec toute la prudence requise. )

    Là encore, la logique doit être appelée pour en déduire les ressors.

    Ce qui ne restait pour moi, jusqu'à présent, qu''un simple ouï-dire, se montre dorénavant sous l'angle de la réalité, ainsi, cette vidéo du Docteur Fouché montre qu'en effet les hôpitaux ont reçu l'ordre de comptabiliser un grand nombre de décès, gens trépassés pour toutes autres raisons, comme étant la résultante du vilain virus ( non, je ne referais pas la même blague qu'au billet précédent ).

    Or, là encore, notre gouvernement et notre haute administration font montre d'une incroyable sottise puisque, dès lors que la France se retrouve avec le plus grand nombre de mort dû au COVID, au-devant de tout autre nation, alors ils seront tous considérés comme étant gravement incompétents ( ce qui est vrai part ailleurs ).

    Ils vont donc se retrouver, à un moment donné, à être considérés soit comme des menteurs de la pire espèce, soit comme des incompétents notoires.

    Soit même à ce que, pour effrayer au maximum les citoyens, ce mensonge organisé pour accroître ce nombre accru de défunt dû, supposément, à cette maladie et que nos médiats diffusent avec gourmandise, et pouvant être si facilement découvert, puisque ce choix est parfois demandé à la famille et que les médecins en parlent, à ce que nos évaporés du  bulbe soient dans le P1060260.JPGmême temps accusés de mensonge, de tricherie, mais aussi de profonde bêtise.

    Ce à quoi quelqu'un comme Charles Sannat se laisse avoir comme un gamin.

    Je ne m'étendrai pas sur notre confinement, ni sur son sens véritable que j'ai déjà traité, ni sur l'amateurisme et l'impréparation de nos paraît-il élites qui, en toute bonne déduction, ne peut que tous nous mener à une ruine de grande ampleur d'échelle internationale.

    Ces deux exemples, les plus représentatifs de cette saga de nos énergumènes, montrent qu'en effet quelque chose d'autre y est sous-jacent, c'est cela que j'avais découvert lors de ma promenade dans mon salon.

     

    Du sens donné de ces paradoxes:

    Cette idée, en fait, je la tiens depuis des années mais, m'en semble-t-il du-moins, je n'en avais pas, jusqu'à présent, vraiment fait cas ou de manière succincte.

    ( Il est évident que certains des mots que je renvoie vers leurs synonymes sont connus par nombre de mes lecteurs, toutefois je me suis aperçu que leur connaissance fut quelque peu égaré par nombre de concitoyen, d'où ledit renvoi, enP1050215.JPG en profitant pour en vérifier le sens puisque moi-même ne les emploie plus vraiment et n'en ai que des réminiscences passées. )

    Je pose ainsi l'hypothèse que, dans certaines situations, un système sociale, politique, économique, scientifique ou autre, une organisation donc, peut prendre, si je peux le dire ainsi, son indépendance de ses propres acteurs.

    Ceci parce que cette organisation se retrouve perturbée et instable de manière importante, se corrompe, se décompose, se mettant en situation de désagencement, tel le gouvernement et l'état profond français, ou est sur la voie de son délitement comme il peut en être de l'Union-Européenne et des Etats-Unis-d'Amérique.

    Lesdits acteurs se retrouvant de fait de ne plus agir de leur propre chef, avec réflexion et méthode ( même si c'est à l'encontre de la population ), mais de ne plus faire que de réagir pour tenter de faire survivre cette structure, en en faisant, de plus, qu'accentuer ses déséquilibres et en accroissant sa désagrégation.

    Ainsi cette hystérie collective au sujet d'une élection US qui ne devrait pas émouvoir à ce point la classe médiatique, aux ordres de l'oligarchie, de la haute administration et/ou des pouvoirs exécutifs et législatifs;

    Ainsi que de la façon avec laquelle les mêmes nous plongent dans les méandres mortifères des peurs épidémiques, des pestes antiques, me montre, plus que toute P1060062.JPGautre chose, l'extrême faiblesse de ce pouvoir français.

    Il serait de concevoir qu'il en est de même en ce qui concerne l'Union-Européenne.

    La cause principale en étant que les Etats-Unis-d'Amérique s'éloignent, certes à petits pas, de l'union, mais aussi de l'OTAN, les républicains l'ayant annoncé, d'où cette haine frénétique pour Monsieur Trump qui l'avait clamé et cet amour insensé pour Monsieur Biden dont la probité ne semble pas être la vertus cardinal ( il se dirait même qu'il serait souffrant d'une maladie neuro-dégénérative ).

    Peut-être se reconnaissent-ils tous simplement entre-eux?

    Ne se pensent-ils pas américains eux-mêmes en une altération de leur identité, en un phénomène morbide, leur faisant perdre toute détermination, j'avais, sur ce sujet, écrit ceci le 11 Mars 2018:

    De fait, le mot détermination renvoie autant à ce qui dicte notre condition d'Être Humain (ça c'est de moi), notre volonté dans l'action et celle de la compréhension du monde ainsi que la précision de notre verbe (dans le sens ancien du terme, celui de savoir s'exprimer à l'oral comme à l'écrit).

    Certes, pour Spinoza, "toute détermination est une négation", mais ne faut-il pas nier ce que nous ne sommes pas pour pouvoir affirmer notre identité?

    Parce que c'est bien cela qui fait le thème de ce billet: montrer commentP1060063.JPG l'indétermination de notre identité, autant individuelle que collective et, ce, sous toutes ses formes, mène inéluctablement à de l'anxiété, de l'acculturation, de la sauvagerie par la perte culturelle que cela induit, d'où, entre-autre, la faiblesse actuelle de l'orthographie, du sens des mots et des idées.

    Ainsi, les inverses du substantif détermination, ses antonymies, dont celui le plus évident d'indétermination, montre, s'il en était besoin, l'inquiétude angoissée que génère cette perte de repère moderne.

    J'aurais pu choisir les mots d'indéterminisme, d'incertitude, de confusion, d'indécision par exemple.

    Mais celui d'indétermination montre bien ce à quoi nous nous confrontons aujourd'hui, soit autant les effets psychologiques que cela induit, de l'anxiété, de l'angoisse dû à notre sentiment plus ou moins flou et inconscient de non existence.

    Que de nos difficultés d'agir, de réagir réellement et sainement, de réfléchir par nous-mêmes, de considérer le vrai du faux, en un mot comme en cent, de pouvoir être en plein de notre détention de notre libre arbitre tant dans nos P1050062.JPGréflexi

  • D'un bateau ivre en forte tempête.

    Connaîtriez-vous l'indice Baltic Dry?

    Sûrement n'avez-vous jamais été présenté, ce qui est dommage, cet indice détermine la bonne ou mauvaise santé du transport de fret maritime des matières sèches.

    Or, celui-ci a baissé de 70% en cinq mois, ce qui, ma foi, doit représenter un grave ralentissement du commerce mondial.

    Et pendant ce temps, pendant que l'économie-monde s'enrhume et éternue, notre gouvernement, celui d'un pays, la France, qui, quand bien même ne serait plus le quatrième en terme de puissance économique, n'en reste du-moins, se dit-il, le sept ou huitième, ce gouvernement, dis-je, effectue provocations sur provocation.

    Ceci à l'heur où deux ministres sont pris en flagrant délit de mensonge, honneur aux dames, Mme Pénicaud au sujet du SMIC et Mr. Blanquer (qui devrait avoir honte d'être à ce poste) sur celui des aides sociales, mensonges qui deviennent habituelP1030124.JPG dans le monde de la macronie.

    A ceci rajoutons cette toquade macronniaiseuse,  dernière marotte, dernière extravagance, provenant du sieur Castaner, ministre de l'intérieur de son état, consistant en ce que 96% de communes ne verront pas les résultats politiques être officialisés lors des prochaines élections municipales, ce qui représente, d'après ce reportage de la 2, plus de la moitié des votants.

    Cette décision n'a qu'un but: faire croire à ceux, devenant rares, qui votent pour les radioéléments du REM qu'il y a encore une relative représentativité de son parti.

    Mais cela ne peut que nous prouver que leur nombre se trouve infiniment plus amoindrit que ce qu'il peut s'en dire officiellement et que, dès lors, ils sont aux abois.

     

    Le nihilisme du gouvernement et, cela va de soi, du président de la République, est constitutif de leur appréciation du monde, souvenez-vous que je vous avais parlé de la projection continuelle de certaines personnalités, se déchargeant sur d'autres personnes de leurs propres déficiences, ce que j'avais étudié entre-autre ici et .

    Il est encore toutefois des gens qui les soutiennent, ce qui est un phénomène P1030226.JPGhistoriquement normal, il est remarquable que dans cette vidéo ce soit une femme de la génération de Mai 68 ou proche de celle-ci qui nous fait montre ainsi une telle puérilité narcissique.

    Jouissance de l'instant, empathie grandement réduite, même pour ses descendants, si elle en a, esprit collectif évanescent, sensibilité pour les souffrances des autres inexistante ou presque, impossibilité de se projeter dans le temps puisqu'elle n'envisage pas que de nouvelle décisions gouvernementales ne viennent à l'appauvrir elle aussi.

    Vous trouverez les explications de Mr. Delamarche montrant que ceux qui ont de l'épargne, comme il doit en être pour elle, en pensant en jouir, se feront raser gratis si les banques se retrouvent insolvable, il lui sera bien temps à ce moment là pour s'en morfondre.

    De fait, les économies des petits et moyens épargnants sont, de beaucoup, nécessaires pour le fonctionnement de l'économie que ceux qui, d'une fortune imposante, sont dans la plus absolue incapacité de dépenser leur argent, même pour ce qui concerne leurs arrières petits enfants.

    Sauf à ce qu'ils ne se retrouve possiblement ruinés un jour.

    Encore une fois, ces incorrigible idéologues unionistes néolibéraux ne peuvent pas comprendre qu'en voulant sauver un euro déjà en lui-même ruineux à cause des TARGET 2, si, lors de la prochaine crise qui est déjà là, ou de l'effondrement  présent (si c'est cette crise qui vient, ledit effondrement pourrait bien survenir 4 ansP1030510.JPG après), de confisquer ainsi les épargnes des français, de ceux  qui en ont, ne pourra que détruire encore plus l'économie réelle, soit celle des usines, fabriques, mines et exploitation agricole.

    Sans compter que, pour le coup, ce sera l'ensemble de la population, sauf les oligarques, qu'ils auront contre eux.

    Qu'elle se demande donc si la BCE y serait pour quelque chose, elle qui doit tant adoré son veau d'or, l'Union-Européenne.

    En fait, je la plains de n'avoir des capacités mentales que si réduites.

     

    Il est aisé de considérer que, désormais, les chancelleries de l'Union-Européennes chancellent (hi, hi, hi) et que tous les autres de ces gouvernements doivent s’effrayer de voir ce qu'il se passe aux quatre coins de l'hexagone (ha, ha, ha), autant de crainte que cela ne fasse tâche d'huile et que leur population se révolte de même, aussi que cela ne conduise notre nation à son France-quitte, précédé par le renversement du gouvernement présent (peut-on encore parler de pouvoir à son sujet?).

    Voire même à ce que les instabilités politique de notre patrie ne génèrent une cessation de fonctionnement de l'économie internationale, ce qui, quoi qu'il en soit, ne peut qu'arriver à un moment ou à un autre.

    Je ne sais pas qui est ce Le Hill dont Sputnik résuma un article sous le titre de: " Les P1030163.JPGUSA et l'UE s'éloigneront dans les années 2020... ", ce qui est logique et sensible par certains discours et articles parus.

    C'est pourquoi l'Allemagne se tourne vers la Russie en envoyant notre godelureau national, Mr. Macron, rendre visite à Mr. Poutine, le seul état qui, aux yeux de Mme. Merkel, serait dans la capacité de remplacer les USA comme pays dominant l'UE hors de l'Europe.

    Certes, cette dame vivait en RDA ou DDR, République-Démocratique-d'Allemagne ou Deutsche Demokratische Republik, d'ailleurs je me demande toujours quel y fut son rôle, mais bon, croit-elle vraiment, elle et son équipe, que les russes vont, après les difficultés et le coût dispendieux que représentèrent pour eux le contrôle du pacte de Varsovie, se mettre sur le dos une  Union-européenne aux portes de l'explosion?

     

    Mais revenons-en, voulez-vous, à la France.

    Il est des événements qui pourraient sembler marginaux, insignifiants, mais qui se révéleraient très bien, plus tard, d'une importance capitale pour la situation avenir.

    Ainsi, je continue de considérer que la gay pride que le couple Macron organisa P1030257.JPGle 21 juin 2018 amorçait dès-alors son rejet populaire, même s'il fallut pour cela un an et demi six mois pour que cela devienne effectif, l'hiver de la même année.

    Si j'ai choisi un site qui fait mention en titre le mot de décadence c'est que, quand bien même nombre de gens en ignoraient l'existence, le dédain conscient ou inconscient que cela avait suscité ne pouvait que se répandre progressivement dans l'ensemble de la société.

    Ils avaient sali l’Élysée, la République.

    C'est, à mon sens, ce phénomène naturellement lent qui conduisit à l'explosion que représente le mouvement des gilettistes dès Décembre 2018, mouvement qui aurait eu lieu quoi qu'il en soit, mais qui n'aurait pas eu, je le suppute (bonjours madame), un tel retentissement tant dans sa vitesse de diffusion et d'action que du nombre de ses participants.

    Il s'agit donc là d'un effet politique majeur mais retardé et il me semble que l'affaire du théâtre des bouffes du Nord ou le couple princier Macron y assistait à une représentation théâtrale le 17 Janvier puisse être de la même enseigne.

    Ses effets ne se feront pas montre au sein du peuple mais bien plutôt au-dedans du pouvoir exécutif en s'épandant plus ou moins doucement dans l'ensemble du dispositif gouvernemental puis parlementaire, le tout de ses effets, évidemment nombreux, différents et contradictoires parfois, dépendant du choc que ressentirent l'un et l'autre de ce duo à ce moment là.

    P1030559.JPGCeci d'autant plus que nous pouvons facilement percevoir un mécanisme extrême de fuite-en-avant de tous ceux-là, me démontrant que d'un affolement croissant, ils en sont parvenus à une panique autodestructrice où, à des mesures impopulaires, de nouvelles y sont rajoutées mettant en feu l'ensemble de la société.

    Cette affaire ne peut qu'avoir des effets généraux importants à terme parce que ce fut au couple présidentiel que cela advint, Mme. Macron, sûrement montrant une réelle impassibilité quand elle et son mari furent exfiltré de ce lieu de spectacle, ne peut qu'en avoir été gravement affectée inconsciemment, puis d'en devenir d'autant plus tyrannique envers son époux en privé, bien qu'elle restera charmante avec tous.

    Mais lui ne pourra pas agir autrement que de faire rejaillir cette agressivité sur tout le monde, ayant trop peur de sa femme.

    Cela peut aussi conduire à ce que de nouvelles mesures et autres projets de lois liberticides et appauvrissants soient surajoutés à ceux déjà en place, en un début de processus de leur décompensation psychique menant à un souhait de vengeance.

    Dorénavant, certes les chancelleries européennes suivent les événements français avec autant d'attention que de crainte, mais il est aussi logique de penser que, désormais, ce soit également à l'échelle internationale que cette surveillanceP1030519.JPG s'effectue et, ce, avec la question subsidiaire: "Cela risquerait-il de s'exporter chez moi?".

    La police, devenue désormais le dernier rempart du gouvernement face à la population, est en réalité très malade et le travail qu'il faudra effectuer pour la soigner sera dantesque.

    Or une police fragilisée ne pourra pas remplir ne serait-ce que cette mission de protection, là encore la macronie ne comprend pas qu'elle se met, elle aussi, en danger, dans son incapacité de pouvoir extrapoler les effets de ses décisions.

     

    De ces décisions du REM, justement, et de celles des deux législatures précédentes en obéissance au GOPE de l'UE, il était facile de deviner que les premiers incidents adviennent, puis que, dès que les infrastructures des services publics en réseaux deviendront réellement défectueux, que des accidents graves se produisent, bien que, déjà, le mauvais entretien des lacis gazeux ait entraîné quelques belles explosions faisant des morts.

    Quand bien même en soient accusés la mairie de Paris et je ne sais quel spécialiste, boucs émissaires nécessaires pour occulter, éviter que l'on ne fasse mention des P1030166.JPGoligarques et des conséquences de

  • Du désert en un cri, un cri de ce qu'il se pourrait d'être.

     

    Du désert en un cri des pires lendemains !

     

     

    Toujours je suis de ceux, cheminant à tâtons,

    Pour lequel le sérieux fait maintes traverses,

    Encore à tâtonner du bout de mon bâton,

    A fuir, à me cacher à la moindre adverse.

     

    Lors :

     

    Pourquoi donc ma quête, ténébreuses vertus,

    Me rend si bien conçu les suites secrètes ?

     

    Serais-je de l'action qui transcende le temps,

    Homme de création aux arts lumineux,

    Personne de pouvoir dans un gouvernement,

    Un sage aux savoirs autant vertigineux ?

     

    Mais :

     

    Non, je suis simple passant, obscur et réservé,

    Menant sur le clavier les mots s'y déversant.

     

    J'en suis sûr et c'est ça le comble de l'inouï :

    Les faits qu'ainsi traçât l'idée le long des lignes,

    Tout ce que ce que je notais, en vrai, m'a ébahi

    Et parfois me paraît quasiment maligne.

     

    Et :

     

    Et les pense faux, je ne peux les croire,

    Aussi ne rien valoir en tord ou en défauts.

     

    Or je sais que ces textes décrivent du réel,

    Suivent le contexte, la marche, le progrès,

    De ce moment présent en sa suite mortelle :

    Voici, de l'accident, je converse des rets !

     

    Où :

     

    Nous nous menons au-devant de tribulations,

    Avenir en tension et demain hésitant !

     

    Le futur me susurre des heures assurées

    Parce que je suis sûr que toutes idioties

    Sauront, des dirigeants, nous faire endurer,

    En gestes diligents, de nue autocratie.

     

    Or :

     

    Non seulement cela, de mes affirmations,

    Mais leurs applications nous le certifiera :

     

    Les lois qui gouvernent les liens entre nations

    Ces règles internes, externes des marches

    De l'entier des pays, fondent les relations

    Dont tout droit je pense la possible démarche.

     

    Donc :

     

    Et quand ne sera plus notre cher Oncle Sam

    Tombera l'infâme des lois en absolu.

     

    La ruine s'éloignera, en Europe, après

    Les financiers dégâts, troublantes intrigues

    Du déclin éconduit : l'effacement des prêts

    Des bailleurs détruits par pertes prodigues.

     

    En sorte :

     

    D'hostiles querelles accapareront le monde

    Quand faillite fondre sur les fols cartels !

     

    Je voudrais prévenir de ces destins douteux,

    Ces âges à venir aux venins néfastes,

    Je voudrais, des passions, montrer combien coûteux

    Serait d’aliénation ! S'oublier enthousiaste !

     

    Aussi :

     

    Que dire et à qui, qui écoute et lit ?

    Ce verbe là délie-t-il de n'être acquis ?

     

    Lors, ce grand silence en réponse à mes mots,

    Cette nonchalance au-devant de tous cris,

    Cette dénégation que n'advenir des maux

    Ne font renonciation de mes traits et écrits :

     

    Ainsi :

     

    Ainsi las et si gourd puis-je que constater

    Du destin plausible... en Cassandre recourt ?

     

    De la ruine de tous au feu que tout embrase,

    D'une décade va, de ce tout, s'allumer

    Des troubles, dissensions, comme des métastases

    Où des armes dantesques irons tout consumer.

     

    Alors :

     

    L'humanité perdue dedans cette folie,

    Croira l'autre que lie, ce lointain inconnu :

     

    Il en est à l'est si près et si lointain,

    Deux géants différents, tant autant semblables,

    Se toisant sans cesse aux abords tibétains

    Qui, de mèche, enflammeraient-il de cet effroyable?

     

    Puis :

     

    Que puis-je présager de si tant terrifiant?

    Serait-il si pétrifiant d'en être messager ?

     

    La-demi des humains sera-il trépassée?

    Tous seront-ils meurtris de ce cri de l'histoire?

    Des pays, patries, nations seront-ils foudroyés

    Et d'éteindre ce tout d'énergie combien va-il falloir.

     

    Après :

     

    Ni en mal ni en bien l'Homme en suite vivra

    Si de ce pauvre substrat naîtrait l'autre destin.

     

    Ou vivrions-nous reclus de nos angoisses vaines

    De peur d'un lendemain différent d'aujourd'hui?

    Après, au loin, lointain, quoi qu'il advienne,

    Le cosmos nous sera, du destin, l'infini.

     

    Voici :

     

    Voici de quoi je conte de ce que je pressens,

    De ce que je ressens n'est pas fait tout en bronze :

     

    Le futur n'est pas vrai tant qu'il n'est pas présent,

    Encore faudrait-il que la conscience veille,

    De lâcher ce néant terriblement pesant

    De s'éveiller affin de se tenir conseille.

     

    Nous,

     

    Sommes tous détenteurs de nos droits politiques

    Et à sa pratique soyons nos professeurs :

     

    Néanmoins,

     

    Mon utopie niaise de vouloir que ce monde

    Comprenne les tourments qui nous peuvent s'abattre:

    Cet espoir amaigri voudrait qu'il se confronte

    A nos vices les plus viles qui deviendraient de marbre.

     

    Mais peut-être faudrait-il que nous les traversions

    Ces méfaits terrifiants pour que, du vivre, nous les poursuivions ?

     

    Dès lors,

     

    Faudrait-il que nos malheurs explorent les ensembles des rets

    Pour qu'enfin nous puissions nous contempler sereins

    D'une sagesse vaste d'autant que de nos faits

    Que de nos vouloirs savoir en humbles pèlerins ?

     

    Faudrait-il que nous naviguions dans un tel purin

    Pour qu'enfin nous sachions qui nous sommes enfin?

     

     

    THEURIC

  • France: des feux s'allument depuis un an.

    Monsieur Macron, notre cher et vulnérable vénérable président, a dit, dans l'esprit, que l'OTAN se trouve être en un état de mort cérébrale, c'est fort bien, mais il eut pu, pour plus de sincérité, mais surtout en faisant preuve de plus de clairvoyance, dire de même de l'Union-Européenne tout comme du gouvernement français jusqu'à sa présidence, tous moribonds.

    Mon intuition m'a susurré que ce nouveau, cet énième projet de loi sur les retraites, est un piège tendu au gouvernement français, germanique et unioniste, je fais confiance à mon instinct parce que je sais que mon esprit prend des informations dont je ne suis aucunement conscient, les conjugue entre-elles et en tire des conclusions franchissant ensuite ma pensée, ce que je vous confie dans ces lignes.

    Du-moins commencerais-je à poser ces idées en questionnement.

    Ainsi, serait-il possible que quelqu'un ait pu soufflé à cet obscure fonctionnaire de P1030295.JPGl'UE (serait-ce le plus sot?) de demander à la France, par l'entremise des GOPE, de mettre rapidement en application l'uniformisation des retraites ainsi que de la mise en place de celles à points?

    Pourquoi un obscure conseiller de l’Élysée aurait-il glissé à notre cher bien aimé président de dire ce bon mot au sujet de l'OTAN?

    Quelqu'un aurait-il, de la même façon, conseillé à ce même conseiller de souffler ainsi ceci à notre godelureau national?

    Nous pourrions tout autant envisager qu'à un autre conseiller, ministériel sûrement, il fut conseillé, de je ne sais quelle puissance, de pondre ainsi un projet de loi traitant des retraites, sûrement fort bien  ficelé, probablement applaudi par ses pairs, les ministres, les oligarques, mais qui ne pouvait que mettre la population en grève et dans la rue, l'enflammer.

    Et qui donc aurait-il pu conseiller cela à ce conseiller?

    Qui donc autorisa les syndicats français, qui sont tous, sauf SUD, au sein de la Confédération-Européenne-des-Syndicats qui les paie, qui fait donc la pluie et le beau temps revendicatif de chaque pays, en France significativement, dont le rôle, maintenant, de nos contrepouvoirs syndicaux, n'est plus que celui de leur maintien de l'ordre collectif des peuples de l'UE, des français, de les tenir en laisse, au même titre que nos polices transformées (pour un bref temps?) en milice d'état?

    Qui donc, me demandais-je, autorisa les syndicats français, hormis la CFDT toujours suiviste, a entamer une grève générale dont personne ne sait jusqu'où elle P1030612.JPGpeut mener?

    Leur aurait-on promis de les aider financièrement si la CES leur faisait des ennuis?

    Tout cela quand le mouvement gilettiste, bien qu'affaibli, perdure, et où, de l'incompréhension, de la peur et de la résignation, la colère vient et s'accroit en remplacement.

    Tout cela quatre mois avant les élections municipales.

    Tout cela générant une grande panique au gouvernement.

    D'autant plus que les routiers aussi appellent à la grève, et qui d'autre bientôt, la police ou l'armée en compléteront-ils les rangs?

    Le Rassemblement-National, rassemblant de moins en moins de monde, demandant un référendum sur les retraites, sachant très bien déjà les immenses difficultés pour obtenir les 4, 7 millions de signature pour mettre en place celui dédié à la vente des aéroports de Paris, c'est se moquer du monde.

    La France-Insoumise, à l'insoumission bien légère, demande le retrait de son projet, c'est ce qu'il s'appelle faire un travail d'insoumission en son stricte minimum, ça ne mange pas de pain, ne nécessite pas trop d'énergie ni de prise de risque, tous oublieront cet appel si ce projet passe et ce parti aura beau jeu, ensuite, s'il est retiré, de déclarer que c'est grâce à lui que cela est arrivé.

    Quand aux autres partis politiques, hors du REM, les radioéléments, et de LR (ne sachant pas où elle erre, serait-ce de la France ou de l'union?) se disputant les mêmes électeurs, les dits-autres ne sachant plus ni quoi dire, ni quoi faire, chacun serrant des fesses en priant pour que tout cela  n'aille pas trop loin.P1020964.JPG

    Comprenez bien que je ne dis en rien que je suis contre les grèves et les manifestations, tout au contraire (moi-même en 1996...), mais il me paraît important que chacun d'entre-vous, amis lecteurs, compreniez que nous puissions être aussi sujets de manipulations de grande envergure.

    Quand bien même serait-ce pour la bonne cause.

    J'écris cela pour que vous soyez des acteurs plutôt que des pantins de cire ou de son agités en tous sens.

    Pour que vous vous posiez la question.

    Et tant mieux si cela se fait à l'avantage de tous, sauf à celui des macroniaiseux, cela va de soi.

    Mais qui, dans ce vaste monde, aurait intérêt à allumer un tel incendie en France qui, s'il perdure, pourrait mettre à bas, à terme, l'Union-européenne?

    J'en vois quatre acteurs qui, pour des raisons différentes, aimeraient voir cette union disparaître:

    -La Grande-Bretagne qui, en plus d'avoir besoin que son voisin, son cousin historique, son égal, la France, puisse, libérée de son carcan unioniste, s'allier avec elle, ne supporte pas de plus, en un vieux réflexe datant de sa  victoire sur l'invincible armada en 1588, qu'en Europe un pays domine tous les autres, ce qui est le cas aujourd'hui de l'Allemagne;

    P1020168.JPG-Les États-Unis-d'Amérique trumpiens voudraient bien se débarrasser de l'Union-européenne devenue ingérable, d'un euro qui tire l'économie mondiale vers le bas et d'une OTAN entrant dans une schizophrénie frénétique, la Turquie en étant le caricatural exemple, le tout lui coûtant un fric de dingue;

    -La famille Rothschild, pour qui la signature du traité d'Aix-La-Chapelle, qui fut l'offrande gratuite de la force nucléaire et du siège permanent français à l'ONU de Macron à sa dulcinée Merkel, fut pour cette famille une angoisse (un membre de sa famille avait péri dans les camps de concentration), une colère indicible, un désir de revanche sur l'histoire (elle qui avait aidé Hitler au début de sa prise de pouvoir...) et l'envie de préserver de la ruine le pays qui fut à l'origine de sa richesse, de sa puissance et de sa gloire, France où, par ailleurs, le plus de juifs, en pourcentage, furent sauvés de toutes les nations conquises par l'Allemagne nazi.

    Elle qui considère avoir réchauffé un serpent en son sein, d'avoir le fort sentiment d'avoir été trahi par Monsieur Macron;

    (Et puis y chasser Glodman Sachs, son meilleurs ennemi de toujours, du pays ne serait pas pour lui déplaire, une sorte de cerise sur le gâteau en quelque sorte.)

    -Israël, enfin, pour qui ce même traité ne peut qu'être qu'une cause d'hostilité froide P1030846.JPGmais réelle, elle pour qui la terrible histoire proche fut à l'origine de son existence n'en oublie pas une miette, même si elle s'égare souvent pour tout le reste jusqu'à faire autant de grosses bêtises, de vilénies que d'erreurs.

    La Russie, quant à elle, reste juste observatrice, attendant patiemment que la France prenne son indépendance pour s'allier avec elle et qu'elle l'aide à s'approcher du Royaume-Uni.

    Voilà, aujourd'hui c'est le peuple dans son entier qui se manifeste en manifestant et ne reste plus que les plus obtus pour ne pas comprendre qu'eux aussi se verront ruinés un jour ou l'autre si a même politique se poursuit.

    Pour l'instant l'Union-Européenne reste caché par l'équipe gouvernemental, mais son affaiblissement continuelle ne pourra que la rendre progressivement visible.

    Déjà certaines chaînes de télévision montre une lente tendance au retournement de veste, ce qui veut dire que des oligarques sentent le vent tourner.

    Comme dit plus haut, le gouvernement s'affole et ne doit pas être loin de la panique, ce qui ne peut que les mener à prendre des décisions qui seront pour lui contreproductif, ce qui amplifiera la colère populaire, ceci d'autant plus que rares sont devenus ceux qui croient encore en ce que disent ses ministres, conseillés, journalistes officiels et autres aficionados du REM.

    P1030585.JPGEt  la parole présidentielle en n'est devenue en cela qu'un vague spectre inaudible.

    Il est à remarquer que la chancelière allemande, chancelante déjà dans son  pays, a demandé à son amoureux, Emmanuel Macron, de tenir bon face aux grèves et manifestations, montrant pas là qui porte la culotte dans ce couple informel et qui en est le petit toutou, la France-Allemagne, non, Macron-Merkel plutôt.

    Mais elle montre aussi ainsi qui dirige véritablement et l'union, et la France, il n'est pas étonnant dès lors que notre cher président ait une telle adoration pour le maréchal Pétain.

    Même si l'administration bruxelloise exprime de fortes velléités d'une prise de pouvoir absolue de l'UE.

    Ça doit être une pétaudière, un immense capharnaüm en cette union que certains prétendent sinon de promettre d'être éternelle, où chacun doit tirer à hue et à dia, il en est toujours comme cela quand un système politique est triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, et qu'autour le monde évolue sans que celui-ci ne puisse s'y adapter.

    J'imagine quelqu'un comme Cédric Thomas, alias Jean Quatremer, sûrement un nom d'artiste de vaudeville, réagir à certaines nominations au bureau exécutif de l'UE de personnalités à la probité toute relative, entre l'ire et l’écœurement, en P1030038.JPGavalant cet énorme boa constrictor tout cru, goulument et d'une bouchée (je fais dans le reptile aujourd'hui, d'ici à ce que je commence à parler de pomme il n'y a pas des kilomètres, pom, pom, pom, pom, comme aurait dit Beethoven...).

    Je vous ai exposé ici un ensemble d'hypothèses qui, toutefois, vient en appuyer d'autres que j'avais émises précédemment dès que j'appris la signature du traité d'Aix-La-chapelle.

    Ce fut la révolte des gilettistes qui accéléra, si j'ai raison dans ce que je subodore, la mise en place de ce plan menant à cette grève qui se généralise progressivement.

    Suivant la logique politique qui veut que les ennemis de nos ennemis sont nos amis, ne gâchons pas notre joie si vraiment ces trois pays et cette famille richissime nous manœuvre, mais ne nous laissons pas entrainés au-delà de nos intérêts, d'où ce libelle.

    Mais restez conscient qu'aucune, je dis bien aucune politique sensée ne pourra être menée en France tant que le pays, l'état, la nation resteront inféodés à une Union-européenne désagrégeant et détruisant notre économie et celle de l'Europe au même rythme qu'elle-même se dissout ("...et dix sous, c'est pas cher.")

    (Je me sens d'humeur badineP1030756.JPG aujourd'hui.)

     

     

    THEURIC

  • Il dansent, dansent, nos eurocrates, oui, sur un volcan.

    Élections verrouillées, médiats verrouillés, gouvernement verrouillé, assemblées législatives verrouillées, lois verrouillées, justice verrouillée, voilà ce qu'est la situation institutionnelle de la France.

    Et oui, je crains qu'une puissante fraude ait eu lieu lors de ces élections, les doublons de cartes d'électeurs et les très nombreuses radiations sans même que les gens n'en aient été prévenu n'ayant été créé que pour faire diversion.

    C'est pourquoi j'ai envoyé ce petit laïus ( citoyens-electeurs-comptons-nous-5936325.html ) là ou je le pouvais, en encourageant ceux le lisant de le divulguer au maximum.

    Il est même possible que Monsieur Asselineau ait été gentiment prévenu que s'il en disait quoi que ce soit, de gros problèmes de santé et morts soudaines pourraient survenir à quelques personne de sa famille.

    Mais bon, moi, en pervers, je voterais Macron, juste parce que chaque décision qu'il prendra ne pourra qu'accélérer l'effondrement de l'économie-monde.

    De fait et en réalité, ce duopole électif du 2ème tour, Macron/Le Pen, est, pour le président de l'U.P.R. une bénédiction, ceci parce que la France-quitte ne pouvait que conduire à cet effondrement définitif de l'économie par le délitement de l'Union-Européenne, quoi qu'il en soit inéluctable.

    Ce que, bien sûr, tout le monde lui aurait reproché.

    Maintenant il n'a plus que deux choses à faire, préparer les élections législatives puis, ensuite, attendre et voir en préparant la suite en sous-main.

    Mais ce texte n'a pas le but de m'épancher la-dessus, non pas que cela ne soit pas d'importance mais juste que ce deuxième tour, voire même les législatives n'ont, en soit, pas grand intérêt, les jeux sont quasiment faits, en revanche, leurs suites, elles, ne peuvent que nous interpeler, ainsi que quelques considérations géopolitiques inextricablement liés.

    Ce sont donc ces derniers sujets que je me propose d'aborder ici.

    FullSizeRender.jpg

    Dorénavant, avec ces élections, les loups sont sortis du bois.

    Avec l'invitation de Marine Le Pen à venir chez Monsieur Poutine et à la Douma, l'assemblée législative russe, nous pouvons nous demander à juste titre ce que cela veut dire.

    P1000646.JPGEn France, la Russie est passé de l'aide "amicale" à Waldeck Rochet, premier secrétaire du P.C.F. de 1964 à 1969, sous l'U.R.S.S., à celle offert à Madame Le Pen aujourd'hui, étrange pas idéologique de ce pays en 70 ans, ne trouvez-vous pas?

    Mais là où ça devient franchement délirant c'est que nous avons, de l'autre coté de ce laid paysage politique français, un Monsieur Macron dont le maître est l'oligarchie monétariste européiste, dès lors d'essence de l'empire étasunien.

    Serait-ce donc à l'image de cette nouvelle guerre froide dont on ne cesse de nous servir?

    Il faut noter que celui-ci fut employé par la banque Rothschild, je vous avais bien dit que celle-ci cherchait à prendre pied en Europe par ce jeune godelureau, voilà qui est fait.

    Passons rapidement sur l'effondrement politique de la France, des P.C.F./P.S./L.R., ce reste décati du gaullisme, tous désormais décédés, seront rapidement suivit, en toute bonne logique, des deux extrêmes qui n'en ont plus que le nom, les L.O. et M.P.A., à gauche et le F.N. à droite (c'est pourquoi je parle depuis si longtemps d'un effondrement idéologique, bien vu l'aveugle).

    Quand à ce qu'il en est d'En Marche, ce bidule que Monsieur Attali a aidé à créer, avec quelques milliardaires, pour que leur poulain prenne les rênes du pouvoir, n'est là que de manière provisoire et explosera lorsque le pays se révèlera totalement ingouvernable, ce qu'il est dès maintenant, dès même le 23 Avril 2017 (retenez cette date).

    Ne resteront plus que le P.G. de Monsieur Mélenchon,  qui eut raison de ne pasP1000740.JPG appeler à voter Macron, et l'U.P.R. de Monsieur Asselineau, tout le reste disparaitra peu ou prou.

    Mais revenons à l'ingouvernabilité de la France de maintenant.

    La fraude électorale peut largement se supputer et cela même si des écrans de fumées furent mis en place, comme je l'ai dit plus haut, pour en cacher les mécanismes, et même si tout est fait pour en dissimuler ces mêmes écrans.

    En commerce et en politique, en effet, rien n'est plus puissant que le bouche à oreille, certes plus lent à se développer, mais aussi plus robuste et vigoureux à terme.

    Nombre de gens feront n'importe quoi, je crains, par exemple, que les routes ne deviennent dangereuses.

    Mais surtout, tout ce qui est lié, de près ou de loin, à cette mascarade d'élection, tel que les journalistes et les chroniqueurs officiels des médiats, les élus des partis politiques anciens, du P.S.  au F.N. (vous allez voir ce qu'il se passera bientôt, je ne sais quoi mais ça se passera), les habitants des quartiers où logent les fortunés et les personnalités P1000897.JPGles plus proches du système, ont à craindre de ne plus pouvoir circuler en toute quiétude dans notre beau pays.

    Il en sera de même de tous les fonctionnaires travaillant dans l'Union-Européenne.

    Ce n'est pas que j'en fasse l'appel ou que je le souhaite, mais j'explique là la simple logique qu'implique cette élection inique.

    Ensuite, ben ensuite, il deviendra de plus en plus difficile de mettre des gens au chômage et de fermer des usines sans que des heurs violents, pouvant mener jusqu'à des blessés et des morts, ne surviennent.

    Enfin, bref, le pays deviendra totalement ingouvernable, dans un état insurrectionnel larvé, sans que les médiats, bien sûr, n'en fasse mention, ce qui, évidemment, ne fera qu'empirer les choses.

    Si ce n'est un signal à une grève insurrectionnelle qui peut, dans un proche avenir, survenir à n'importe quel instant et par n'importe qui.

    D'où le titre de ce libellé: Ils dansent, dansent, nos eurocrates, oui, sur un volcan, parce que comprenez bien que toute excitation, trouble, agitation, soulèvement de la nation se répercutera mécaniquement aux pays voisins puis, de proche en proche, à l'ensemble de l'U.E..

    Ce que précisément vise Monsieur Trump, allons voir pourquoi.

     

    P1000758.JPG

    Pour cela, voyons d'abord ce que nous pouvons déduire de l'aide que Monsieur Poutine apporta à Marine Le Pen.

    J'avais cru un moment, naïf, que la raison en était que la Russie désirait se récupérer l'Union-Européenne puis, après mûres réflexions, il me semble logique que ç'ait été plutôt le résultat d'un échange entre Monsieur Trump et Monsieur Poutine, ne sachant ce que ce dernier ait pu en retirer d'avantage en échange.

    Saisissez bien le but de ce stratagème: les États-Unis-d'Amérique ont un absolu besoin de se délester de l'U.E., de l'euro et de l'O.T.A.N., le dernier parce qu'il leur coûte un bras, les deux premiers pour détruire l'Allemagne qui lui taille des croupières économiques, sans U.E. la Germanie est détruite.

    Comme dit plus haut, Monsieur Macron va conduire le pays à la révolte, voire pire ou mieux suivant comment nous voyons la chose, à une révolution, ce qui ne pourraP1000900.JPG que conduire à l'éclatement de l'union, et plus d'union, plus d'Allemagne.

    Or, le sbire du sieur Attali et de ses acolytes ne peut pas être élu sans que Madame Le Pen puisse se présenter au second tour des élections présidentielles face à lui.

    Comme cette dernière et son parti, lors des manifestations au sujet de la loi dite travail, prirent fait et cause pour le gouvernement P.S. sur ce sujet (les beaux hypocrites), ad minima par leur assourdissant silence, mais aussi par des paroles il est vrai discrètes (les médiats n'en parlèrent guère), il fallait remonter le F.N. au cric poutinien, ce qui fut fait.

    A ce sujet, enfin, hors sujet, l'approche du porte-avion étasunien des cotes coréennes a pour but, à mon sens, à ce que les chinois vendent sur le marché leurs masses de bons du trésor U.S., ceci pour que Trump casse les reins de ses oligarques néocons en détruisant le dollar et Wall Street par perte de valeur de cette monnaie.

    Ceci ne retirant rien à ce que j'avais préalablement écrit, soit que Personne, de Trump, Poutine, Attali et j'en passe, ne comprennent que le système économique globalisé est en phase d'autodestruction, étant tous dans un processus de déni manifeste.

    Quand à Macron le niaiseux, qu'en dire de plus, que dire du néant?

     

    P1000856.JPG

    Voilà, je vous laisse là de mes petites réflexions du moment.

    Prenez garde à vous, l'époque risque d'être chaude à dangereuse.

    Faites vos réserves ( suite-au-texte-precedent-je-renouvelle-mes-conseils-5936403.html ), dorénavant les déséquilibres économiques s'accentuent de jour en  jour en tendant à l'exponentiel.

    Il ne suffit que de voir le prix du pétrole jouer du yoyo entre 48 et 55 $ le baril, entre PICT0111.JPGdésindustrialisation faisant baisser ces prix et baisse de production qui les fait monter.

    Sans compter la monté continuelle du chômage au-dedans et hors d'Occident.

    Ce que ces crétins, tous ces crétins qui se jouent de nous sont dans la plus complète impossibilité de percevoir.

     

     

    THEURIC

  • Questionnement d'un béotien sur l'économie:

    Quelqu’un pourrait-il m’expliquer à quoi pourrait bien servir qu’il y n'y ait plus, ou presque, que du travail à bas salaire ou du chômage quand cela ne permet plus, à ces travailleurs, que de survivre et, dès lors, ne peuvent plus qu’acheter que le minimum vital?


    Est-ce cela qui fait fonctionner une économie?


    Quelqu’un peut-il me dire si poursuivre la course après le pouvoir d’achat ne serait pas une façon de courir après la déflation, de la faire enfler, puisque de ne parler que de cela ne veut dire que de conseiller d'acheter les mêmes choses moins cher et, dès lors, en fin de compte, ne peut qu'à terme faire baisser les salaires?


    Cela fait depuis combien de temps que l’on nous parle que de pouvoir d’achat mais jamais de salaire?


    Quelqu’un pourrait-il me dire qu’elle est la limite aux baisses de salaires et ce quelque soit la forme que ce salaire prend (salaire + sécurité sociale, assurance chômage, retraite…)?


    Ne pourrait-on pas trouver un pays où les émoluments sont plus bas que dans n’importe quel autre pays?

    Quelle est la limite des baisses de salaires?


    Quelqu’un pourrait-il me dire si il ne serait pas possible de trouver un pays pouvant fabriquer n’importe quoi, ou presque, à un coût plus bas que dans n’importe quel autre pays?


    Mais cette fabrique de ce n’importe quoi à un coût de plus en plus bas ailleurs ne génèrerait-il pas un nombre de plus en plus important de chômeurs et de baisses de salaires ici, dans les pays qui, à l’origine, fabriquaient ce même n’importe quoi?

    Et n'est-ce pas que dans ces seuls pays là, en occident, que sont vendu ce tas de n"importe quoi, de moins en moins cher, fabriqué ailleurs?

    En Chine, des entreprises ne ferment-elles pas parce que les salaires y sont déjà considérés comme trop importants?

    Trop importants pour qui?

    Ces chômeurs et salariés avec leurs rétributions en baisse, ici, peuvent-ils toujours acheter ce même tout et n’importe quoi ou ne peuvent-ils qu'acheter le nécessaire?


    Et puis, à quoi servent les frontières?


    Combien sont ceux, qui nous gouvernent ou nous médiatisent, pouvant répondre à ces questions, simples dans leurs énonciations, qui ne devraient pas être trop ardues dans leurs réponses?


    Être pour des frontières ne serait-il pas la réponse logique d’une réelle gauche démocrate-républicaine telle qu’elle existait à l’entrée du XX° siècle et qu’elle devrait se revivre?

    Ne devrions-nous pas redevenir, nous gens de gauche, démocrates -républicains et refermer les frontières?

    (Pourquoi dans les villes de France n'y a-t-il pas ou si peu de place, passage, rue, boulevard, avenue de la démocratie?

    République est-elle Démocratie?

    Démocratie est-il un mot tabou?)

    Dès lors, que se passe-t-il lorsque la logique d’un système met ce même système dans une situation de déséquilibre n’allant qu’en s’accentuant, sinon que ce système ne peut aller qu’à son auto-destruction?


    Pour qu’une entreprise fasse des bénéfices il faut qu’elle vende sa production.


    Logiquement il faudrait que les personnes travaillant dans les autres entreprises gagnent suffisamment pour pouvoir acheter ce que produis la-dite entreprise et réciproquement.


    Si il y a baisse des revenus ou disparition, par le chômage, d’un nombre de plus en plus important de personnes travaillant dans d’autres entreprises, l’entreprise sus-nommée ne pourra plus vendre ce qu’elle produit, me semble-t-il.


    Ou alors elle-même se débarrassera d’un certain nombre de ses employés ou fera de manière à ce que gagnent ses employés comme salaire baisse, quitte, pour cela, à ce que cette entreprise fabrique là ou les payes sont médiocres.


    Si, de plus, le taux de ce que cette entreprise doit rembourser du crédit qu’elle avait perçu par la bourse, par la banque, par les investisseurs augmente, elle sera doublement dans la nécessité de faire baisser les émoluments de ses employés ou de les mettre au chômage.


    Ce qui, naturellement, obligera les autres entreprises de faire de même puisque ces employés gagneront moins.


    Que cela soit fait à l’échelle nationale, régionale ou internationale.


    Mais alors, les questions que quasiment personne ne pose:


    -Qui achète en Occident et qui achète ailleurs???


    La deuxième question, liée à la première:


    Les investisseurs qui avaient prêté à ces entreprises, sous quelque forme que ce soit, ont aussi prêté aux particuliers qui sont les employés de moins en moins payés, grâce aux banques, et ont fait des crédits aux états pour qu'ils puissent combler le manque d'entrée d'impôts, dû à  l'augmentation des chômeurs et à la fermeture des entreprises (mais est-ce aux banques privées ou à la banque d'état de prêter aux états?).

    -Ces investisseurs pourront-ils être remboursés de ce qu’ils ont prêté du fait de cette baisse d’émolument dû aux réductions salariales et montés du chômage qui ont elles-mêmes généré cette baisse de capacité d’achat et d'entrée d'impôts?

    Étant donné que ces investisseurs en viennent à prêter aux autres investisseurs, cela en inter-réciprocité et que les bourses et les investisseurs eux-mêmes sont coté en bourse, chacun, de plus, faisant crédit à l'autre, tous sont donc créditeurs et débiteurs de tous les autres.

    Dès lors, voici la troisième question:

    -Que se passera-t-il lorsque un ou plusieurs ce ces investisseurs feront défaut et ne pourrons rembourser leur créditeurs, soit à leurs collègues investisseurs?


    Quatrième question:


    -Que se passera-t-il quand le plafond des crédits impayés est atteint, dépassé et maintenant largement crevé?

    Cinquième question:

    -Ne serions-nous pas, depuis longtemps, à l'échelle mondiale, dans une discrète mais réelle et forte déflation?

    De quelle façon doit-on considérer les économistes, hommes et femmes politiques et journalistes qui n'abordent jamais vraiment ces thèmes là ou, quand ils le font, ne les évoquent que sur l'air de l’ironie et du dédain?

    Doit-on avoir encore confiance en eux?

    Et que se passera-t-il lorsque notre pays et l'Europe, pour une raison ou une autre, ne recevront plus toutes les marchandises qui jusqu'à présent nous parviennent d'ailleurs?

    Pourquoi si peu de personne n'abordent ces sujets là???

     

     

    THEURIC

  • Un virus, un médicament, un gouvernement et une union délirante.

    Il pourrait s'agir d'une histoire raconté le soir pour faire peur aux enfants commençant par: Il était une fois...

    Il pourrait s'agir d'un film catastrophe où le médecin et son équipe, appelons-le Mr. Raoult, seul contre tous, lutte, pour soigner une pandémie mortelle au coronavirus,  à ce que le gouvernement veuille bien condescendre à autoriser le seul traitement efficace nommé l'hydroxychloroquine.

    Il pourrait s'agir d'un film plus intimiste où un couple s'entre-déchire de rester trop longuement et inutilement confinés chez-eux, allant jusqu'au meurtre de l'un par l'autre.

    Il pourrait tout autant s'agir d'un récit, raconté dans un roman, d'un gouvernement composé de gens médiocres absolument incompétents, sous l'égide d'un président,  au nom de Macron pourquoi pas, placé à la tête d'un état, la France par exemple, et qui ne désirent qu'une seule chose: faire survivre une union, pourquoi pas une Union-P1030280.JPGeuropéenne, en un choix fait par hasard, celui-ci en plein délitement et, ce, quel que soit le nombre de personnes décédés en raison d'une pandémie, que nous nommerions le COVID-19, et, ce, pour quelques petits intérêts particuliers.

    Il pourrait s'agir d'une monographie d'un psychiatre détaillant un cas clinique collectif d'une psychopathie grave au sein d'un gouvernement semblable et pourquoi pas du même, prenant plaisir à voir les peuples souffrir.

    Voire s'agir d'une étude géopolitique montrant comment une union triplement verrouillée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, ainsi que la majorité des états la composant, se retrouvant en face d'une grave crise, ici pandémique, en vient à s'autodétruire par des choix contraires aux intérêts des populations, des nations, des patries, mais surtout de cette même union, en en laissant mourir une grande quantité des gens, ceci pour tenter de conserver le contrôle sur ses pays et pour aider certaines entreprise pharmaceutique à se faire de l'agent.

    Il n'y a que peu de temps encore, de tels histoires aurait été considérées que comme de la pure fiction, et de telles études comme n'étant que purement hypothétique, voire rhétorique.

    Or, je crains fort que c'est ce à quoi nous assistons aujourd'hui en France et en UE.

    Je me demande même si certains d'entre-eux officiant au sein de ce gouvernement, P1020259.JPGvoire tous, agiraient de la sorte affin d'être renversés puis condamnés et emprisonnés, si ce n'est fusillés, pour haute trahison.

    Les pervers narcissiques tendant, je ne l'ai compris que récemment, à décompenser en un processus d'autodestruction en une suite de conduites suicidaires.

     

    Je vous propose 5 lectures et de visionnages de vidéo les plus essentielles :

    Ici le silence de l'état macronien à la proposition d'industriels de fabriquer des respirateurs.

    Là, la France macroniène avait envoyé 17 tonnes de matériel médical à la Chine le 19 Février 2020 au moment où la pandémie ici prenait de l'ampleur.

    Et ensuite, montrant à mon sens l'aspect désaxé et morbide des personnes composant ce gouvernement, le fait que les hôpitaux et cliniques privés ordonnent quasiment à celui-ci qu'il les réquisitionnent.

    Enfin, pour la bonne bouche si je puis dire, l'interview de Monsieur Raoult par le journal Le Parisien, puis une vidéo du même journal où y est mis subtilement en doute ce qu'affirme ce professeur, ce qui ne peut qu'amener des doutes sur la probité de certains scientifiques du CNRS.

    Vilenie également récurante dans les médiats.P1030199.JPG

    De quoi ou de qui les journalistes et leurs patrons ont-ils peur?

    Je ne reviens pas sur les exactions policières, sur ordre du même, envers tous manifestants depuis la révolte des gilettistes fin 2018, mais cela entre dans un même système de pensée.

    Que je puisse considérer que le gouvernement français, tout autant que d'autres, tel que celui de l'Allemagne, mais aussi l'administration unioniste, ne soit composé, pour l'essentiel, que de gens à l'esprit gravement perturbé, peut-être bien sur une base psychotique, n'étant en rien un professionnel des maladies mentales, pourrait être considéré comme de la pure forfanterie, de l’affabulation et, pour le coup, la preuve que je pâtis d'un délire paranoïaque quelconque.

    Mais comment donc expliquer autrement ces plus qu'errements gouvernementaux qui, s'ils perdurent, ne peuvent que détruire, en raison de cette pandémie, et l'union, et l'économie monétariste mondialisée, ainsi que celle réelle, ce qui est leur raison d'être à tous.

    De ce qu'il en est des allemands, ils nous ont appris tout au long des siècle que la folie les traversent de temps en temps les menant à tous les désastres.

    Quand aux français, la même longue période nous montre que, de temps en temps, les plus médiocres, voire les plus insanes, prennent le pouvoir, ne pouvant plus, dès P1030193.JPGlors, être chassés que par la force, qu'elle provienne de dedans ou de hors du pays.

    N'oublions que les pervers narcissiques n'ont pas à aller en asile psychiatrique mais en prison. 

    Mr. Macron n'est pas un tel malade mais son entourage l'en a rendu semblable depuis des décennies.

    Je pense qu'au vu de son regard, il débute une importante décompensation psychologique.

    PS: je regrette que seuls des élus de Les Républicains réagissent et luttent contre toutes ces forfaitures gouvernementales, bien que triste de son départ, je suis heureux en revanche que le décès de ma mère, en tant que vieille communiste, soit advenu avant que deviennent évidents tous les errements de ce qui se fait appeler la gauche, de surtout ceux du PCF et de FI, au-moins ne verra-t-elle pas de son vivant quelle insigne et indigne bassesse de ce qui se fait dire gauche a atteint!

    En ayant de plus que le plus absolu dédain pour l'infinie lâcheté collective des journalistes officiels...

     

     

    THEURICP1020170.JPG

  • Un chien, une jeune femme et un virus.

    P1030109.JPGHier je suis allé à Paris en voiture et m'étais garé au parking souterrain de la gare de Lyon (heureusement que je ne fais pas ça tous les jours, ça coûte un fric de dingue, comme le dirait notre godelureau national, devinez qui).

    Après que j'aie effectué mes courses, je prenais l'ascenseur où s'y trouvait une demi-douzaine de personnes, entre-autre une dame avec son toutou, puis une jeune femme qui montrait des réticences en y entrant, en voyant l'animal.

    Ce que l'un des hommes présents remarqua et lui demanda si elle n'aurait pas peur des chiens, ce qu'elle répondit par l'affirmative, ajoutant ensuite qu'avec celui-ci, de petite taille, cette phobie était moins puissante.

    A ce moment là de la conversation je m'en mêlais en lui expliquant que le chien est le descendant du loup humanisé, puis que la peur activait toujours nos structures symboliques (bien entendu, je ne m'y exprimais pas ainsi en allant au plus court de mon expression), que si elle était ancienne et/ou inconsciente cette peur pouvait se déplacer vers un objet représentatif, ici le chien (ce qui est à l'origine des phobies), symbole qui est notre pré-câblage neuronal de notre psyché profonde.

    Enfin, je lui dit que dès qu'elle aura compris l'origine de cette peur cette phobie s'évanouira.

    La porte s'ouvrit et, sur ces mots, je sortis de l'ascenseur.

    P1020431.JPG

    Plus tard, dans ma voiture, en roulant, je fus surpris de cette idée que j'avais émise: la peur activait toujours nos structures symboliques.

    Or, ai-je soliloqué, nous pouvons percevoir une peur actuellement, collective, que les médiats n'ont que de cesse d'amplifier, celle au sujet de ce coronavirus qui agite autant le lanterneau médiatique que de celui politique.

    Ceci quand les épidémiologistes, professionnels de la chose, ne paraissent pas s'en affoler outre mesure.

    Dès lors, la question logique me venant à l'esprit ne pouvait qu'être: quelle peut être que cette peur qui, déplacée à l'endroit de cette maladie qui, sommes toutes, n'a, jusqu'à présent, fait que quelques centaines de morts et généré que quelques milliers à dizaines de milliers de malades dans le monde, ceci au regard des 7, 7 milliards d'habitants sur terre?

    Les épidémies et autres pandémies faisant parti de ces craintes universelles qui, tout au long de l'histoire, ont ravagé les peuples et les pays, et dont nous pouvons, tout à loisir, retrouver les représentations imagées, symbolique, sous une forme ou une autre, à l'exemple du quatrième cavalier de l'apocalypse dans la bible.

    Puis la réponse me vint: il s'agit de l'adanthropisme, ce néologisme, composé du P1030087.JPGpréfixe ad-, qui va vers, et Anthropos, l'Homme, que j'avais inventer pour rendre compte du plus que désir, de cette envie profonde, archétypal, des enfants de devenir adulte mais qui, je l'ai compris à ce moment là, se retrouve à être déstabilisé chez l'adulte quand surgit une perte d'identité par la perte de la détermination de Soi.

    Ceci chez tous ceux qui, européens, occidentaux, se disent européistes et internationalistes, ce qui génère une peur angoissée de ne pas ou plus savoir qui ils sont, menant à une culpabilité importante, l'un de ses autres effet en étant les violences policière à l'endroit des gilettistes, des grévistes et des manifestants contre le projet de loi sur les retraites, des juges par exemple.

    Qui eux ont, aussi, d'autres causes que j'ai pu étudier avec vous précédemment.

    Mais en quoi donc de ne savoir qui être peut-elle mener à cette peur irraisonnée en une pandémie qui, pour l'instant, n'en reste qu'un minuscule épiphénomène?

    Quelle pourrait en être la mécanique?

    Il faut, à mon sens, la rechercher dans l'activation d'un autre symbole, autre archétype puissant (le symbole étant l'image archétypale), celui de la punition divine, ce qui se met en écho d'un autre fantasme phobique, celui d'un réchauffement climatique anthropogénique qui, quand bien même surviendrait-il, serait en tous points infiniment plus bénéfique pour l'Être Humain qu'un P1030150.JPGrefroidissement.

    Sachant de plus que le CO², composant 0,04 % de l'atmosphère suivant ce site (les commentaires et non pas le texte originaire), ou 0,05 % suivant le livre "L'émancipation de la vie"  de Josef Reichholf, permet aux plantes de se développer et plus il y en a, mieux les plantes poussent et mieux l'agriculture s'épanouit.

    Sans CO², là, ce serait une réelle catastrophe, mais bon, revenons à nos moutons, bêêêê.

    D'où provient donc cette activation?

    De ne pas pouvoir se définir en tant que personne, tant en tant qu'individu que collectivement, ceci en raison de l'intense propagande idéologique médiatique, dont les tenant souffrent du même mal, remettant en cause autant la sexualisation biologique des gens que de leur appartenance à un peuple, une nation et dès lors à un pays, mène à une grande instabilité psychique et donc à une peur angoissée inconsciente des sujets puisque ils ne savent plus quelle est leur identité.

    Perdu dans ce vide, dans ce néant, ces gens, puisque ils ont le sentiment, en réalité faux, de ne rien être, par inversion, pour surmonter cette peur angoissante de ne pas pouvoir se dire Être Humain, en raison de leur tentative de compensation de cet état mental déplorable, peuvent se vouloir sentir d'être tout, de se considérer être tout, donc être Dieu lui-même.P1030360.JPG

    Mais puisque ils se savent ne pas être dieu, ils projettent sur les autres leurs propres tourments en les accusant inconsciemment d'être la cause de ce mal-être, mais pour des raisons fallacieuses, puisque ils ne sont pas dieu, en invertissant la réalité.

    D'où cette idée idiote de ce réchauffement climatique anthropogénique qui n'existe pas mais qui, s'il est pris au sérieux, ne peut que mener à une baisse de l'usage d'énergie conduisant ipso facto à la mort par famine d'une grande majorité de la population mondiale.

    Tout comme d'interdire à la population de sortir de chez-elle pour cause d'épidémie ne peut que conduire à cette faillite généralisée qui, quoi qu'il en soit, arrivera à un moment ou à un autre, et qui sera, elle aussi, meurtrière par la cessation de fonctionnement du commerce international et de l'effondrement de la grande majorité des monnaies.

    Se prenant donc pour dieu tout en sachant que c'est faux, les tenant de ces absurdités punissent donc les populations par des considérations fictives mais pour eux bien réelles qu'ils font tout pour les leurs faire croire, ceci en les plongeant dans leur monde imaginaire.

    P1030467.JPGCe processus provenant, me semble-t-il, d'une minorité agissante souffrant d'une grave perversion narcissique conduisant les peuples occidentaux, surtout, dans ledit monde imaginaire que j'appelle un brouillard conceptuel.

    Comprenez bien que dans le même temps ils croient à leurs fantasmes mais les utilisent aussi pour conduire et manipuler leurs sujets.

    Il est à relever que ce genre de malade mental, toujours foncièrement incompétent, ont le réflexe de vouloir punir ceux dont ils perdent le contrôle, et que leur violence est égal à cette perte, ce qui est une manière, pour eux, de garder un contacte et un moyen de pression sur leurs proies.

    Desquels nous ne devons surtout pas confondre  avec ceux constituant l'état profond étasunien qui eux manipulent les peuples pour tenter de perpétuer leur puissance maritime mondiale, en profitant de ces histoires à dormir debout.

    Ce sont eux qui les ont mis en place à la tête des gouvernements européens, de l'Union-Européenne et à la direction de l'OTAN, entre-autre, pour qu'ils puissent contrer la puissance russe, iranienne et chinoise montante (ceci dit sans porter de vrai jugement de valeur sur l'un ou l'autre camp).

    Ils peuvent facilement choisir de telles personnalités dérangées qui, si elles considèrent que les États-Unis-d'Amérique sont, de fait, au-dedans de leur brouillard conceptuel, feront tout pour perpétuer leur présence, quand bien même cela serait-il à leur propre désavantage.P1020515.JPG

    Il faut tout autant faire la part entre ceux, majoritaires, qui, sains d'esprits, sont encore contraints par ces multiples calembredaines mortifères auxquelles ils croient, de ceux qui, au mental dérangé, vivent celles-ci comme n'étant que d'une pure réalité.

    Si ces seconds, heureusement largement minoritaires, tendent à se contredire les uns les autres c'est que, comme j'ai pu l'expliquer auparavant, il faut absolument, pour chacun d'entre-eux, de se retrouver au centre de leur monde imaginaire, de ce fait, quand bien même peuvent-ils s'allier, ils sont toujours et restent ennemis de leurs semblables en souffrance, c'est en cela qu'il est possible de les jouer les uns contre les autres.

     

    De cette jeune femme phobique des chiens, j'en ai conclu qu'en raison de la masse propagandiste anti-masculinité, sans que jamais ne soit fait mention, dans les médiats, des hommes de bien respectueux de toutes choses, dont surtout des femmes et des enfants, ceci en écho de cette débile et grotesque théorie des genres, elle en est venue à craindre les hommes.

    Mais elle ne peut pas avoir les mêmes craintes envers son papa et de son amoureux, P1030240.JPGelle reporte dès lors cette peur sur les chiens puisque le loup est un symbole fort de virilité et que le chien en est son descendant humanisé, comme il peut en être pour l'ours au demeurant.

    Nous pouvons dès lors percevoir les implications directes de cette propagande sexuelle obtuse remettant en cause nos savoirs sur nos déterminations biologiques, mise à part, bien entendu, quelques cas rares mutagènes largement minoritaires.

     

    Enfin, en ce qui concerne la Chine la situation est différente.

    Pour le gouvernement de ce pays il lui fallait, en ces débuts, absolument interdire à sa population de se nourrir d'animaux sauvages en lui faisant peur de cette épidémie.

    Puis, quand l'OMS avait émis un avis de grave risque pandémique, ce qui peut nous faire supposer quels types de personnalités dirigent cette organisation aujourd'hui, puisque l'état chinois  n'avait pas réagi avec efficacité lors de l'apparition du SRAS, il se retrouvait dès lors contraint d'en surajouter en terme de prévention pour ne pas perdre la face à l'international.

    L'autre phénomène étant une fragilité de son système de santé, ce que les russes ont dû aussi comprendre, c'est pourquoi ils refermèrent si rapidement leurs frontières avec leur voisin de l'est.P1020639.JPG

    Il est à noter qu'en raison de notre appartenance à l'union, la France se retrouve aussi en une situation analogue, il est probable qu'il en soit de même aux USA et dans la très grande majorité des pays.

    Quasiment personne ne peut, en effet, gérer avec une réelle efficacité une pandémie majeur et mortelle.

     

    Là encore, j'ai voulu analyser notre situation sous un angle différent.

    Je peux faire erreur au sujet de cette épidémie au coronavirus, mais, du-moins, pour l'instant, nous n'avons pas vraiment beaucoup à en craindre.

    Notre gouvernement semble suivre les avis d'épidémiologistes, pour combien de temps, attendons donc d'y voir plus clair au vu des personnalités qui nous dirigent.

  • L'étrange sentiment de vivre la fin d'un empire.

    C'est, en effet, un étrange sentiment qui m’étreint que de contempler la désagrégation de l'empire étasunien.

    Certes, lors de celui de l'U.R.S.S. j'avais déjà, depuis quelque temps, l'âge où la raison commence à tracer le chemin d'existence, mais à cette époque je ne contemplais ces événements que comme simple spectateur en ne comprenant pas vraiment ce qu'il se passait, sauf à entrapercevoir que ce n'était que le monde qui changeait.

    Ce n'est que plus tard, bien plus tard, que je commençais à saisir que quelque chose n'allait pas.

    Mais quoi?

    Je ne percevais pas combien la propagande néolibérale était grande, l'intoxication profonde et moi faible d'un métier qui m'usait.

    Seule, en moi, la certitude qu'un immense danger planait au-dessus de chaque têtes d'Homo Sapiens Sapiens, que notre espèce courrait après sa disparition possible.

    Ce ne fut que lentement, très lentement que s’élaborait en moi la lucidité suffisante pour repérer le bouillonnement qui agitait le monde, son impulsion, ses pulsions, ses passions, son processus inexorable.

    Étrange affaire, en vérité, qui fait qu'un empire, le dernier, l'ultime, l'américain est aujourd'hui bien moins que ce qu'il se pense être, bien moins que ce que tous les peuples du monde pense qu'il peut être.

    Lui qui a construit, pas à pas, sa domination en même temps que celui, soviétique, bâtissait la sienne, ces deux jumeaux luttant face à face par des bras interposés, comme Remus et Romulus, se toisant à l'envie en enfants de Mars, Dieu de la guerre, l'un a vaincu, l'autre a disparu.

    Lui, triomphant, qui s'était cru de sa toute puissance, superpuissance, suprême puissance n'avait pas compris, alors qu'il était l'unique vainqueur de la guerre froide, que tant il s'accroitrait, tant il s'approcherait au même rythme de sa tombe.

    Il n'avait pas compris que la disparition de son frère ennemi soviétique signerait sa fin prochaine, ignorant les signes annonciateurs de sa folie, de son hybris, de sa mégalomanie, de sa vanité, de sa morgue.

    Aujourd'hui il se noie dans ce torrent de monnaie que sa banque crache, corne d'abondance d'où ne sort que néant, se noie aussi dans maintes affaires louches qui, jours après jours, agissements après agissements, violent, trahissent et détruisent tout ce que ses vieilles gouvernances et pères fondateurs eurent tant de mal à bâtir.

    Aveugle et sourd, ce géant court vers l'abîme qu'il a lui-même creusé.

    Ici, chez-nous, en Europe, en France, moult va-nu-pieds suivent ce guide atteint de cécité, l'écoute en extase, suivent ses  ukases, obtempèrent en tous points, servent, s'inféodent, sacrifient tout en serviles laquais et nous font nous purger de toutes nos richesses, nous vident de nos biens, ne nous voient qu'en vains gueux, en moindre de faquins.

    Il se croient gouverneurs mais ne sont que vassaux.

    Nous les contemplons et entendons à chaque heure ces pauvres hères, croyant toucher du doigt un Dieu sans vertus et sans âme, aux billets verts comme seul sainteté, une maison blanche en pauvre cathédrale, de la bourse le seul sacerdoce et la loi du marché en principe divin.

    Hormis peut-être l'Allemagne, elle qui exècre autant l'Amérique qu'elle respecte la Russie, voit les restes fumants de l'Europe en se désolant du sud qu'elle a tant ruiné, elle qui se débarrasserait bien de ce poids devenu pour elle tellement inutile.

    Elle qui punit la France de cinquante milliards d'économies ruineuses pour avoir bien trop suivit l'imbécile geste guerrière d'union des Amériques expirantes, de lui avoir fait perdre de si juteux marchés.

    Elle qui attend, ne pouvant que suivre la misérable fable des intrigues d'Ukraine, comédie dépassant des acteurs médiocres, fable tragique pour comédiens fourbus s'alliant, comme ici, en France, à ces nazis ukrainiens, dérisoires ombres des diables d'antan, en se disant de gauche en sociaux-démocrates.

    Quelle pleine dérision!

    Tout cela, peut-être, pour que ce vieux et moribond empire d'Amérique engrange encore un peu de l'or que cet ancêtre des russes avait au fond des coffres et peut-être aussi pour que son ancien frère ennemi vende à quelque prix mais sans grand scandale des fonds du trésor U.S. n'ayant plus de valeur.

    Ou russes, peut-être aussi, qui ne cherchaient que la ruine achevée de ce rival ancien en l'obligeant à des gesticulations de guerre trop cher pour ce pays ruiné.

    Pendant ce temps là les banques et les investisseurs sentent l'affolement monter de se nourrir de vide, ils le taisent et se montrent superbes et impudents, tous les milliardaires du monde se voudraient tels qu'eux sans comprendre que tous ne sont déjà plus rempli que de ce même vide.

    "Ce n'est jamais une crise qui est grave mais essentiellement ses suites" écrivais-je auparavant, tout est là:

    Ô non, ce ne sera pas la dernière des crises qui traversera le monde, mais ce sera la plus forte, la plus destructrice, la plus dévastatrice que des questions d'économie pourra jamais créer et, surtout, elle pourrait être le germe de grandes calamités avant qu'enfin le monde trouve un peu de calme.

    Tant de pays voudrait être Amérique, au centre de l'humanité, détenteur ultime de la toute puissance, être l'empire dominant les peuples de la Terre.

    La frustration de se vouloir riche en rêve occidental et de voir s'envoler ce songe, posé en creux de main, en nuées vaporeuses.

    Et la colère monter, enfant de frustration, dedans de vieilles nations aux passé si glorieux, violentés hier par un occident barbare.

    Ainsi que demain une Europe réveillé par les délires funestes de ses élites futiles et aussi pitoyables qui n'ont eu que de cesse de briser une délicatesse d'âme dont elle était enfin pourvue.

    Pauvreté d'argent du peuple provenant de cette pauvreté d'esprit des clercs de notre ploutocratie, indigence du corps répondant à l'indigence de l'intellect dans un semblant de démocratie où la triche et le mensonge est le jeu le plus courant qu'il soit.

    Ruses pitoyable d'une gouvernance d'U.E. et de ses affidés nationaux pour garder vaille que vaille l'Europe aux mains des Amériques, U.E. qui, de plus en plus, entre dans la besace des élites d'Allemagne en un euro € en semblance de dollar $ mais copié d'un deutschemark qui nous ronge et nous gâte.

    Ces futiles pitoyables ont donc réveillé en nous de cette folle vaillance qui traversa le temps en comblant les cimetières, nous, tout juste assagis, si peu calmés, ayant encore en tête cet héritage d'aïeux aux milles destructions, aux gorges aux cris de guerres poussés en hécatombes, aux larmes, aux pleurs, aux désirs de carnages.

    C'est ça que ces sots se  sont pris d'éveiller, pas par malveillance et c'est bien ça le pire, par simples crétineries, d'adoration sotte d'un empire en déclin et de sa monnaie fantoche, de la peur et angoisse de dettes imbéciles qui n'auraient jamais dû la moindre exigence, existence, d'une tragédie de banque qui, plutôt que de faillirent, nous ruine de leur impéritie, de vendre de nos biens collectifs à leurs petits copains, à leur maître adorés ou à tous ceux présentant ces dollars chéris.

    Ou même aux allemands qui s'en régalent déjà.

    Voilà où nous en sommes de la fin de l'empire de l'autre pas de l'océan, bientôt n'en restera plus qu'un très vague souvenir, pas celui d'hier qui faisait chanter Jacques Brel "que Madeleine, elle est mon Amérique à moi".

    Cette Amérique n'est plus depuis longtemps, qu'en reste de misérables scories bientôt évanescentes et cette disparition fera bien du malheur.

    Mais peut-être ne pouvait-il pas en être autrement?

    D'en être conscient ne nous permettrait-il pas d'amenuiser, autant que faire ce peut, ce risque de chocs titanesque?

     

     

    THEURIC

  • L'impression d'une énigme, un graphique, une idée en s'endormant et la surfusion.

    Hier soir j'ai découvert le blog de Monsieur Michel Santi (http://www.gestionsuisse.com/) qui y exposait ce graphique sous le simple titre de: "Quelle reprise économique?" et seulement deux phrases:

    "Celle qui ne concerne que ceux qui sont investis en bourse?
    Constatez par vous-même la déconnexion entre P.I.B. mondial et bourses mondiales"

    Bien sûr, rouge pour le P.I.B., bleu pour la bourse.

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    Pourquoi donc la bourse, avec un tel déséquilibre ne s'effondre-t-elle pas quand il  nous suffit de constater de telles instabilités?

    C'est peu après m'être couché que je me suis remémoré l'histoire des chevaux russe qui, en 1942, lors de la bataille de Leningrad, et suite à l’incendie de forêt dû aux bombardements, se sont réfugiés dans les eaux du lac Lagoda.

    Or, un fort gel s'était installé depuis peu de temps dans cette région mais ce lac n'avait pas encore gelé parce que ses eaux étaient en état de surfusion, c'est à dire que bien qu'elles furent de beaucoup en-dessous de zéro degré, elles n'en restaient pas moins liquide.

    Pour plus de précision je vous invite à aller voir, sur internet, à "surfusion", la question est des plus passionnante et vous y trouverez des site vous expliquant cela bien mieux que je ne le ferais.

    Ces eaux, lors de la tentative de ces animaux apeuré de fuir le bombardement et l'incendie en en traversant le lac, se sont gelées d'un bloc lorsque ces bêtes se sont mis à y nager ne laissant plus à voir, ensuite, que les têtes glacées des équidés morts, c'est ce gel soudain qui fait la particularité de ce rare état de l'eau encore liquide par grand froid, provenant de la baisse rapide de la température et de l'absence d'impureté ou de remous.

    Cela s'appelle un état métastable.

    Cela pour vous dire que je me suis demandé si les bourses et l'ensemble des bulles spéculatives mondiales n'étaient pas dans une situation similaire de surfusion où la vitesse de développement des bulles spéculatives y jouerait le rôle du refroidissement, l'économie mondiale celui de l'eau et le krach futur celui de la glaciation.

    Cela voudrait dire, si j'ai raison en cette supposition, que ce krach, lorsqu'il surviendra, sera extrêmement rapide, autant dans ses effets que dans son expansion, ce que je situerais environ de l'ordre du mois.

    Cela voudrait dire aussi qu'il est improbable de définir une date pour cet effondrement puisque, plus le temps passe, plus l'insignifiance d'un évènement quelconque suffira à ce que cet effondrement se produise, plus le temps passe et plus insignifiance sera cet évènement qui fera cet effondrement.

    Je sais que cette idée puisse générer de la peur et de l'angoisse mais si je vous la confie c'est pour que vous, amis lecteurs, au moins, ne soyez pas paralysés par la stupeur lorsque cela surviendra, parce que ce sera cette stupeur qui nous sera le plus dangereux, stupeur qui a en synonyme interdit.

    Ainsi, la moindre des plumes d'oiseau suffira au désordre du monde.


    THEURIC


     

  • Essai de plan théorique de l'évolution d'un champ idéologique

    Un schéma, une vidéo:

     

    L'équipe du: "Le fil d'actu", lors de leur dernière vidéo, traitant du sujet du nouveau gouvernement italien, a fait là un excellent travail et, de  plus, voyant la masse de matériel qu'ils sont allés chercher pour se faire, bravo les artistes.

     

    Ils me prouvent, de plus, que ce qui n'étais, pour moi, qu'une hypothèse de travail, soit ce que je nomme un effondrement politico-idéologique que je centrait surtout en France, ne suivant que de loin ce qu'il se passe au-delà, devient, par cet exemple outre-alpin, une théorie clairement établie que nous pouvons facilement étendre à tout ou partie de l'Union-Européenne, voire au-delà.

     

    J'avais, il y a de cela quelques années, commencé à établir le tableau ci-dessus (qu'il vous faudra agrandir au maximum pour pouvoir le lire), à main levé sur un cahier, que j'avais retrouvé puis développé grâce au programme utilisé: j'avoue que de ces choses informatiques me sont quelque peu abscons, comme que ce qui se fait appelé "classeur".

     

    Je ne sais pas si ce plan dédié à l'apparition, à l'évolution puis la disparition d'un "champ idéologique" est complet, du-moins je vous le propose comme étant un outil de réflexion, chacun pouvant le reprendre, du-moins me serait-il agréable que vous notiez, par mon pseudo et l'adresse de mon blog, son origine.

     

    Le "brouillard-conceptuel", bien plus complexe que je ne le pensais, duquel je vous avais fait mention auparavant, étant l'un des signes, de fait, suivant cette approche, de la disparition prochaine dudit champ, tout comme il en est de celui dudit effondrement idéologique, qui ne peuvent qu'être avant-coureur d'une crise politique paroxysmique (il y a une faute d'orthographe sur ce mot dans le tableau, liée à ma dysorthographie structurelle) prochaine.

     

    Dedans ce brouillard conceptuel s'y trouve, entre-autre il est vrai, l'absurde réchauffement climatique anthropogénique dont j'avais montré l'inanité par le passé, mais aussi de ce qui se fait appeler la théorie du genre, odieusement criminel, remettant en cause nos connaissances biologique quand à la nature de la détermination sexuelle d'un être humain.

     

    Le billet précédent, dédié à la poésie, étant autant un hymne à la vie que de celui voué, pour l'homme que je suis, aux femmes que, de toujours, je ne peux pas ne pas considérer comme mon égal, de mes aphorismes dont je suis très content:

     

    "Nier les différences physiques entre l'homme et la femme est stupide, nier  les différences psychologiques entre l'homme et la femme, bien qu'à la mode, est aussi stupide (j'y rajouterais aujourd'hui: déterminer les différences sexuelles homme et femme par les seules contraintes sociétales est infiniment plus stupide), nier que l'intelligence est asexués est encore stupide, c'est là que se trouve le seul ferment pour une égalité homme-femme mais il est de taille."

     

     

     

    THEURIC

  • Réflexions multiples sur la géopolitique et réfutation d'un risque de complôt ainsi que de la théorie du complôt.

     Pardonnez moi pour mes difficultés à apprivoiser des traitements de textes parfois désinvoltes.

    C'est le texte le plus osé que je vous présente là, osé parce que j'y avance un certain nombre de prédictions qu'en vrai personne ne pourrait être dans la capacité d'en vérifier la véracité, hormis le temps et les événements qui le jalonnent et ponctuent.

          C'est, en effet, sur de la pure prédictivité qu'il s'appuie, ceci sur l'idée, toutefois, que lors de l'effondrement de l'économie-monde et la disparition, sous une forme ou une autre, de notre mentor et maître, les États-Unis-d'Amérique, quatre mouvements contradictoires se feront montre :

        1)Un mouvement centrifuge de rejet de l'Union-Européenne situé surtout dans le sud européen ainsi qu'en Angleterre et dans une moindre mesure en France ;

       2)Un mouvement centripète de continuation de l'intégration européenne situé dans ce qui fut, autrefois, les empires centraux d'Allemagne et d'Autriche-Hongrie ;

          3) Une crainte, voire une haine de la Russie toujours persistant dans les pays restés plus de quarante ans sous le joug de l'U.R.S.S. ;

        4) Les réalités géographiques et politiques qu'aucun acteur ne peut oublier sauf à se retrouver dans des situations ingérables, ce qui est largement possible étant donné la perte d'habitude que peuvent avoir les hommes et femmes politiques d'Europe pour tout ce qui concerne ces réalités, accoutumés qu'ils sont d'obéir et suivre les recommandations et injonction de notre seigneur et maître états-unien.

    Je vais donc penser la rupture que peut représenter la faillite universelle, rupture de ce que qu'il s'en dit, ou ne s'en dit pas, dans les médiats officiels ou non.

    Je part du postulat que ce seront surtout les élites européenne qui seront le plus affectés par cet effondrement mondial, élites économiques, médiatiques et politiques surtout et cet effroi les poussera à prendre des mesures hasardeuses contraires à leurs réels intérêts quand elles en prendrons, surtout la ruine des banques et de l'euro créera une situation possiblement explosive dans certaines nations qui contraindra leur gouvernement, sans réelle capacité de maintient de l'ordre, à prendre des mesures en divergence d'avec l'Union-Européenne, Union elle-même risquant fort d'écarter ces pays leur semblant dangereux.

    Je ne pense pas que la fin de l'économie-monde sera le fait de complotistes géniaux, américains, européens, saoudiens, israéliens, chinois ou autres, la situation est, à mon sens, bien pire puisque je considère et m'est logique que plus personne ne maîtrise la conjoncture, croire en l'existence de manipulateurs qui seraient responsables de ce qu'il se passe et se passera ne peut, pour moi, représenter la réalité, tout au plus y a-t-il des tentatives, souvent réussie de manœuvres simples, simplistes, de subordinations des élites, de politiques de canonnière économique, de présences de groupes de pressions..., mais de réels manipulateurs de grande envergure, non.

    J'écarte ainsi les questions de complots ainsi que, liée, l'idée imbécile de théorie du complot (il y a eu des complots mais rarement de hautes factures et même le plus souvent imbéciles, voir les événements de la constitution européenne, ils n'ont marché que parce nous sommes dans une période obscurantiste), tous deux sont aussi fantasmatiques l'un que l'autre, le premier pour trois raisons:

    -La première étant ce que j'appelle le « principe de Peter ultime », le principe de Peter étant : « dans une hiérarchie, tout employé aura tendance à s'élever à son niveau d'incompétence (wikipédia) », le principe de Peter ultime pouvant se définir ainsi : « dans une hiérarchie où, au plus haut niveau, l'incompétence domine, ce sont tous les échelons hiérarchiques qui se trouvent progressivement être accaparés par des incompétents », parce que l'incompétent sachant pertinemment qu'il n'est pas à sa place, dans sa crainte réelle ou imaginaire d'être remplacé par plus compétent que lui, fera tout pour chasser tous ceux, au sein de l'échelle inférieur, qui montreraient quelque efficacité que ce soit.

    Croyez-vous vraiment que de telles échelles d'incompétences seraient capables d'un complotisme subtile ?

    -La seconde pourrait se définir ainsi : « Lorsque une transmutation collective inévitable et naturelle est sur le point de se produire, le premier réflexe est d'en nier son existence, sous une forme ou une autre », cela voulant dire que redouter que cet effondrement économique ne soit le fait que de ruses et de plans froidement calculés et subtiles n'est qu'une manière de nier inconsciemment que nul ne commande le dit effondrement, cela ne voulant pas dire qu'il n'y a pas du tout de complots, il peut en survenir de multiples, mais médiocres, ces manœuvres ne pourront pas aboutir à de quelconque résultat, au contraire, elles risqueraient bien d'en aggraver les conditions, surtout pour ces complotistes.

    -La troisième est moins apparente et concerne le « conatus », concept inventé par Spinoza que me fit connaître Frédéric Lordon lors de l'écoute de l'une de ses interventions sur le net et qui dit que « toute chose qui existe effectivement fait l'effort de persévérer dans son être » et une organisation, une union, une idéologie, une société, un état sont de ces choses existantes effectivement.

    Une union d'états telle que l'Union-Européenne est toujours sous-tendue par une idéologie, là le néolibéralisme et la libre concurrence, d'autant plus que l'U.E. n'a pu se développer que grâce au patronage empressé de notre cher Oncle Sam.

    Lorsque l'économie-monde flanchera et que les États-Unis-d'Amérique ne sera plus empire ou même plus rien du tout, se posera la question, pour la gouvernance européenne, si elle veut survivre et faire survivre l'U.E. dans son actuelle conformité, de deux impossibles choix cornéliens, contradictoires et irréalisables :

    A) Soit de faire un coup d'état légaliste (elles en est habituée) ou armé pour préserver son hégémonie mais elle n'en a pas les moyens : le coût de ce type de manœuvres est élevé  surtout dans plusieurs pays à la fois, l'Europe manque de forces armées et il faudrait contrôler les citoyens surtout sud-européens, or les banque européennes et l'euro seront, à ce moment là, très très mal en point si se n'est faillis, l'Europe ayant une politique de comptable, le coût exorbitant que représente un coup de force le lui rendrait odieux ;

           B) Soit d'abandonner l'idéologie qui soutenait cette union puisque les U.S.A. et le dollar n'existeront plus, au moins en tant que quelconque puissance, cela voudrait dire de se débarrasser de l'ensemble des textes pseudo-constitutionnels qui structurent l'Union-Européenne, donc de faire disparaître de fait l'U.E. elle-même, ce qui ne pourrait être, pour la gouvernance européenne, qu'une décision "non-conatus" et dès lors impossible.

    C'est pourquoi, placée devant cette double impossibilité, un coup d'état sans puissance réelle et onéreux ou renier tout le dogmatisme qui en fait son ossature, la gouvernance européenne se montrera inactive et seuls les gouvernements de chaque pays déciderons.

    C'est pourquoi, aussi, je pense que pas grande décision ne sera prise, encore moins le moindre complot, peut-être de vaines tentatives, des techniques publicitaires seront utilisées, les médiats rabâcheront leurs formules pro-européennes, tous les moyens médiatiques seront mis à contribution (nous connaissons leur efficacité depuis le référendum sur la constitution européenne de 2005) mais, quoi qu'il en soit, tous ces décideurs, à de rares exceptions près, seront pris de stupeur, ne sachant plus quoi faire et les événements se suivrons sans que grand monde ne décide de quoi que ce soit.

    C'est pourquoi également je pense que ce seront les circonstances qui se chargeront de mener la barque, le courant du fleuve du temps, plutôt que des décisions mûrement réfléchies, pesées et soupesées, la seule chose que les hommes et femmes politiques les plus subtiles se devront de faire, parce que ne pouvant pas faire autrement, ce sera d'épouser le déroulement de ces circonstances puis, si ils en ont l'intelligence, d'en infléchir tout doucement le cours.

    C'est pourquoi, enfin, je pense qu'il y aura scission de l'Union-Européenne, scission dont nous voyons les prémisses un peu partout en U.E..

    Et ne croyez pas que des complotistes se cachent en Amérique, les américains auront déjà fort à faire avec leur propre pays et peuple, quand aux banquiers, ceux qui n'aurons pas fuit avant, et ils sont déjà nombreux à l'avoir fait, seront dans l'incapacité d'agir de quelque manière que ce soit, si ils ne se retrouvent pas emprisonnés avant.

    Quand à la théorie du complot, elle part du principe que les américains et tout ceux qui les représentes ne sont que de pures anges bien incapables de susciter la moindre malveillance et manipulation ce qui ne peut être que pure foutaise, surtout si nous comprenons les U.S.A. comme étant un empire conscient, depuis vingt ans, d'être aux abois de sa mort prochaine et si nous saisissons de ce que peuvent être les jeux et enjeux politiques.



    Voici donc ce que je pense de la question complotiste, cela pour vous expliquer que la disparition de l'Union-Européenne peut être fortement envisagée, je n'imagine pas que cette équipe de bras-cassés non-élus puisse nous mitonner quelque plans machiavéliques qui lui permettraient sa survie, imagineriez-vous, vous, un Barroso capable de cela ?

    Je le dis et le répète, en ces choses personne ne peut être sûr de rien, nous pourrions imaginer, par exemple, une Union-Européenne se délitant tout doucement jusqu'à ressembler à quelque chose comme le Saint-Empire-Romain-Germanique finissant du XVIII° siècle mais là encore je n'y crois guère... .

    Voyons maintenant quelle forme peut prendre cette disparition mais entre temps je vais vous entretenir de la Russie, du Proche-Orient et des U.S.A. :

     

    D'ici très peu de temps, dans une période où, dans le même temps, vont se cristalliser, dans le monde, toutes sortes de relations inter-étatiques déjà en situations d'ébauches , nous verrons naître de nouvelles configurations européennes et mondiales auxquelles nous ne sommes que peu habitués.

    La fin de l'économie-monde et, peut-être totalement du néolibéralisme qui en sous tend le simpliste dogme, ce sophisme; la disparition de la comptabilité politique qui ne montre, de réalité, que celle des seuls chiffres en omettant les réelles lois de la politique; l'effondrement économique états-unien et anglais qui, ironie de l'histoire, nous libérera d'une Allemagne, paraissant toute-puissance de sa doxa d'un euro fort, par la chute de ses banques dans le même temps que celles anglo-saxonnes en une étrange compulsion de répétitivité: les anglais nous sauveront de la définitive ruine en se sauvant eux-même par leur faillite et en nous sauvant de l'emprise psychologique de l'Allemagne par cette déconfiture; l'éclatement, enfin, de la zone euro et sûrement de l'Union-Européenne en raison de la trop grande révérence des gouvernances européennes autant aux États-Unis-d'Amérique qu'aux dogmatismes béats d'une libre concurrence de tous contre tous devenue délirante et débilitante feront, en Europe, les causes de transformations fulgurantes des relations que les divers pays de cette région entretiennent les uns, les autres, ce sera le retour aux complexités réelles qu'est la politique autant dans ses principes que dans son formalisme.

    Sous quelle forme?

    Il est pour le moins ardu de définir précisément par avance quelles seront ces transformations mais, pour autant, il nous est possible d’entrapercevoir les mouvements naturels qui traversent dores et déjà les relations entre les pays de l'U.E..

    L'histoire, la géographie, la politique nous en éclaire en effet la trame et les lignes de fractures, pas toujours si anciennes que cela, nous en délimitent les tracés.

    Ces failles sont au nombre de quatre mais avant de les énumérer je voudrais faire une longue aparté:

    N'oublions que l'Europe n'est pas seule (je sais, c'est une évidence), au nord la Russie, au sud méditerranéen, le Maghreb et au-delà l'Afrique-Subsaharienne, à l'est, le Proche-Orient ainsi que les immenses portions de l'est eurasiatique dont l'Europe n'est que l'infime occident et enfin, au large de l'Océan Atlantique, les États-Unis-d'Amérique, le Canada et les pays d'Amérique du Sud, toutes ces régions sont, à des degrés divers, pas toujours pour des raisons de proximité, nos voisins.

    Ainsi:

    La Russie, par exemple, a absolument besoin d'un grand bassin méditerranéen relativement apaisé, des Balkans à l'Angleterre, autant pour des questions militaires que pour le négoce, d'autant plus que le canal de Suez, le détroit de Gibraltar et le passage de la Mer Noir à la Mer méditerranée par la Turquie vont, dans peu de temps (et peut-être déjà, voir les événements Syriens), représenter un enjeu géostratégique de première importance, les climatologues de ce pays ayant pronostiqué un refroidissement climatique au moins pour les cinquante ans à venir, les ports des mers nordiques seront pour eux, le pensent-ils et moi aussi, probablement, ad minima, pour partie bloqués par les glaces et pas seulement en hiver, la reprise en main de l'Ukraine par les russes répond à ces deux impératifs: offrir un allié objectif en Mer Noir ainsi qu'un ou plusieurs ports (?), et conserver ce "grenier à grain" qu'est ce pays en prévision des intempéries futures.

    La Turquie également a amorcé une refondation de sa stratégie d'ensemble avec, central, les tensions préexistante avec l'Iran (qui peuvent d’apaiser et nous pourrions même voir des accords d'échange entre ces deux nations) et leur frontière communes avec l'Irak, c'est pourquoi la Russie aura besoin de s'allier avec des pays balkaniques, slaves ou pas, plus ou moins vassalisés, en tant qu'états tampons d'avec la Turquie pour franchir sans trop de risque l'étroit passage du détroit du Bosphore entre les mers Noir et méditerranéenne, en ces choses, toujours prévoir à l'avance les déconvenues éventuelles.

    Dès à présent un jeu géopolitique compliqué et enche

  • Idée n°) 14: Le retour à un tournant historique inachevé: réflexions sur la relation entre l'Europe et l'Afrique (et lég

    Dans mon texte précédent j'analysais les dynamismes en œuvre dans les relations établies entre différents pays ou régions du monde en montrant qu'il était possible, même de façon limitée, de percevoir les évolutions plausible, possibles, voire probables des relations géostratégique entre ces dits pays et régions en y recherchant des similitudes avec des situations passées similaires.

    Auparavant, c'est le processus de rétrogression que j'avais soumis à votre appréciation en y faisant une relative erreur, l'aphorisme; "l'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social" n'y était que peu justifié.

    Je propose, dans ce texte, d'explorer un autre mécanisme historique qui, là, rendra cette maxime pleinement effective, "le retour à un tournant historique inachevé".

    Semblable à la rétrogression, c'est là encore un processus de "retour en arrière" collectif, mais autant la rétrogression sociale mettait en avant des mécanismes internes à un pays, une nation, une société donnée (c'est pourquoi je pense possible, voire probable une scission au moins momentanée des États-Unis-d'Amérique, que cela passe par une nouvelle guerre sécessionniste ou bien de façon plus paisible), autant le retour à un tournant historique inachevé se penche, ici, sur des relations de subordinations ou de conflits préalablement établis entre divers peuples, pays, états et/ou région du monde, relations qui, pour des raisons variées, n'ont pas pu se conduire jusqu'à leur terme, ce qui conduit à une frustration, un inassouvissement inconscient des peuples.

    Un bel exemple passé en est les deux guerres mondiales en Europe.

    L'achèvement du premier conflit mondial, à l'est comme à l'ouest, d'une certaine façon, tourna court: certes, l'Allemagne fut vaincu mais, à l'est, la révolution bolchevik empêcha l'Allemagne/Autriche-Hongrie ou la Russie de se déterminer en tant que vainqueurs ou défaits et à l'ouest, que ce soit sur le front français ou italien, l'Allemagne/Autriche-Hongrie, bien que battues, n'ont jamais eu leur territoire envahi, ce n'est qu'après leur défaite que de manière limité l'Allemagne eut à subir une occupation (située dans la Ruhr, soit un bon tiers ouest de l'Allemagne), comme en effet cette défaite allemande et austro-hongroise ne fut dû qu'à leur épuisement, la frustration ressentie par les vaincus fut intense parce qu'ils ne se sentaient pas réellement vaincus et encore moins vainqueurs.

    Ce tournant historique inachevé aurait pu se régler par d'autres biais, économique par exemple, mais 1929 sonna le glas de cette possibilité et l'avènement d'Hitler en détermina la suite, la guerre qui s'en suivit, la deuxième mondiale, avait en partie pour cause cette frustration plus ou moins inconsciente, surtout de la part de l'Allemagne, d'avoir été vaincu sans en avoir le sentiment véritable de l'avoir été, d'où l'impression d'injustice que ressentaient les allemands de cette période.

    Cette même théorie me fait présagé que les pays qui, jusqu'en 1918, composaient ce qui était alors l'empire Austro-hongrois ne "profitent" de la construction européenne et du risque de son prochain démantèlement pour se réunifier de nouveau, sous une forme, bien sûr, différente, sous l'égide d'un pays germanique, l'Allemagne, en remplacement de l'Autriche, c'est pourquoi je ne serais pas étonné d'une partition entre l'Europe de l'ouest et celle de l'est, partition qui ne serait pas sans rappeler celle de la guerre froide.

    La guerre d'Indochine puis celle menée par les américains au Vietnam est du même ordre, la défaite française fut surtout politique, la bataille de Dien Bien Phu n'était pas en soit une défaite française déterminante et je postule qu'inconsciemment, pour les vietnamiens, obtenir leur indépendance après toutes ces décennies de domination coloniale française après un si (relatif) petit succès généra, également une frustration, tout le monde connait la suite, guerre du Vietnam, envoi massif des troupes américaines, progressives dégradations de la situation de l'Oncle Sam, évacuation de leurs troupes puis, pour finir, victoire du nord Vietnam sur le sud, dès lors achèvement de ce processus historique.

    Venons en au titre de ce texte.

    La décolonisation de l'Afrique Subsaharienne n'est pas survenu grâce à la détermination des africains ou des européens, France, Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, (le Portugal, l'Angola et le Mozambique sont à part puisque ces deux derniers pays se sont libérés après de longues luttes)  (encore une fois je ne porte pas de jugement de valeur, je ne suis pas quelqu'un pour qui la colonisation fut un bienfait, ni un méfait d'ailleurs, c'est le trait de l'histoire d'un empire, ici européen, qui s'est fait sur le dos de plus faibles, cela se rajoutant à un racisme à l'encontre les noirs parce qu'ils représentent, pour les peuples non noirs, le rejet inconscient de leurs pulsions, lié au sentiment de saleté, un complexe d'infériorité dû à ces pulsions auto-destructrices, surmonté par un complexe de supériorité, représenté par l'archétypal sentiment donné par une couleur de peau paraissant originel, celle de la préhistoire la plus ancienne, le racisme est donc la projection, sur un autre différent, de sa propre détestation d'une partie de soi, celle la plus sauvage, l'anti-judaïsme est de même ordre, mais en son inverse en ce sens où le juif représente la modernité, la culture et la pulsion réprimée puisque c'est la culture et la modernité qui réprime la pulsion, quand un noir est cultivé la situation est pire encore puisqu'elle conjugue dans le même temps les processus de rejet du noir et du juif.

    C'est donc, dans tout processus de racisme, la haine de ses propres pulsions qui génère la pulsion de haine projeté sur l'autre mais comme est reconnu dans cet  autre soi-même, le soi-même dans le Noirs et le juifs ainsi que tous ceux qui sont différents, renvoient aussi la crainte de perdre son identité par la peur contradictoire qu'ils représentent d'un retour à des temps archaïques, redevenir sauvage par les pulsions haineuses et destructrice que leur contactes génèrent en raison de ce complexe d'infériorité.

    Mais n'oublions pas, noirs, juifs et autres peuvent aussi être raciste, et oserais-je le dire, ont le droit d'être racistes, parce que considérer les noirs, juifs et autres comme naturellement non racistes c'est déjà du racisme: nous sommes tous fait de la même pâte!

    Quand cette pulsion de haine devient destructrice elle devient obligatoirement et logiquement autodestructrice: tout projet de destruction provient de la fascination qu'exerce sa propre annihilation).

    Pourquoi j'affirme cela au sujet de la décolonisation?

    (hou, comme le sujet est difficile, soyons diplomate sinon je serais traité de raciste, sauf que peu de gens comprennent que le racisme et, parfois, son contraire, l'anti-racisme, peuvent être de même nature, si je hais cette partie de moi mais que mon surmoi me l'interdit, une manière élégante de se tirer de ce mauvais pas c'est de lutter contre le racisme, haïr le raciste permet de haïr cette même partie de moi mais à bon compte.

    Le non-raciste lui, comme ce mot l'indique, n'est pas raciste et est majoritaire chez les anti-racistes, la différence se trouve dans le discourt, de dire quelqu'un raciste parce qu'il décrit le fonctionnement social d'un peuple autre que le sien, comme le fait monsieur Emmanuel Todd au sujet des allemands, est imbécile, affirmer en revanche l'infériorité d'un peuple par rapport au sien ou comparer une femme avec un singe c'est du racisme, ainsi pouvons-nous être un parfait crétin mais cultivé.

    Au sujet des musulmans et aussi des arabes, des turques ou de tout autre gens aux origines divers le problème reste semblable hormis le fait que cette crainte fantasmé en un retour  à des temps passés se base sur des périodes moins anciennes, ce n'est pas le retour à des temps préhistoriques mais moyenâgeux et la détestation que certains musulmans ont pour l'Occident provient de la crainte qui est leur de perdre leur âme dans la modernité.

    Ce discourt dédouane-t-il ceux qui se pense supérieur à ceux qui sont autres qu'eux, racistes, donc?

    En fait, le racisme est la réaction la plus primaire qu'il soit, et c'est la réaction de gens primaire que de rejeter toutes ses fautes et son mal-être sur un autre surtout si il est faible ou donne ce sentiment.

    En revanche, ce n'est pas du racisme de considérer que dans un pays à la situation économique critique comme l'est la France, l'immigration doit être étroitement encadrée et réservée exclusivement aux réfugiés politiques et interdite aux réfugiés économiques.

    Parce que tout le monde sait très bien au plus profond de son inconscient que nous sommes tous égaux de fait, mais un ensemble de contraintes sociétales nous assujettissent, telle que celle qui est d'évaluer le poids hiérarchique de son vis à vis, surtout des inconnus, mais pas seulement, et cet assujettissement fait de tel sorte, parce qu'ils ne sont pas compris, que nous ne pouvons pas faire autrement que de projeter sur l'autre ses propres angoisses.

    Quand au F.N. et à sa présidente, ils sont entrés dans un processus autodestructeur pour les raisons que j'ai évoqué plus haut par des mécanismes que j'ai étudié précédemment.

    Ceci dit, je reviens à notre conversation d'origine.)

    Je disais donc que la décolonisation n'était pas survenue en raison de la détermination des pays d'Afrique Subsaharienne mais grâce à la guerre froide et de l'obligation faite aux européens par les U.S.A. et l'U.R.S.S. de se défaire de leurs colonies.

    Là, la frustration fut dantesque puisque ces pays ne se sont pas libérés en raison de leur puissance (comme le Vietnam) mais  parce que les européens en ont été obligés par plus puissants qu'eux, ces peuples, déjà considérés comme immatures par leurs colonisateurs, furent doublement infantilisés par les américains et les russes puisque ne leur a été reconnu ni leurs capacités de négociateur, ni leurs capacités de combattant.

    L'Europe aussi fut frustrée parce que leurs colonies ne se sont pas battus contre eux ni même n'ont négocié avec eux ce qui pourrait sembler un paradoxe, mais se battre contre des colonisés ou négocier avec eux veut dire se retrouver dans une situation d'égalité dans les relations ainsi établies ce qui permet de calmer, un tant soit peu, les angoisses, même si ces relations furent celles du sang, relations d'égalités qui commencèrent à se forger peu de temps avant cette décolonisation et qui n'aboutirent à rien pour les raisons montrées plus haut.

    Ainsi comprenons-nous mieux autant les conflits perpétuels en Afrique venant d'un déplacement de cette agressivité en auto-agressivité provenant de cette frustration, du retour du racisme en Europe, les roms prenant là la place des noirs, là où il y en a peu, pour les mêmes raisons, en France l'équipe de Sarkozy n'ayant fait qu'appuyer sur le bouton roms/noir.

    Nous comprenons mieux, aussi, c'est là où je voulais en venir, ce retour de l'armée française en Afrique Subsaharienne qui n'en est, je le pense, qu'à ses débuts et nous verrons bientôt d'autres pays européens se joindre à ces troupes.

    Ce retour à un tournant historique inachevé met ainsi le doigt sur les mécanismes en cours en Europe comme en Afrique qui ne purent se mettre en place qu'une fois l'effondrement des soviétiques et celui, bientôt, des États-Unis fut patent, que cela soit conscient ou pas.

    C'est la même théorie qui me fait dire un risque important de conflits en Amérique du Sud si les divers guerres qui ont traversées ce continent au siècle dernier se révèlent, également, d'ordre de l'inachevé en raison des interventions continuelles de leur puissant voisin.

    Nous pouvons dater le début de faiblesse irréversible des U.S.A. en regardant à quelle décennie les premiers pays d'Amérique du Sud ont pris leur destin en main et désigné leurs dirigeant à l'encontre des désidératas des américains, 1983 pour l'Argentine, à mettre en parallèle de l'arrivé au pouvoir de monsieur Mikhail Gorbatchev en Union-Soviétique, 1985.


    THEURIC

  • U.R.S.S. / U.S.A., d'un empire à l'autre.

    Avant que je ne développe le thème du titre de ce billet, je ne peux pas faire autrement que de porter, sur cette première page, mes observations au sujet du dernier scandale élyséen: l'affaire Benalla.

    L'un et l'autre de ces thèmes ont un lien, celui portant sur le fait que je montre qu'il est possible d'avoir un regard sur un avenir qui, naturellement, ne peut qu'être que grandement incertain (bien que pour le second je ne fasse pas de prédiction).

    Or, bien que de toute prévision future nous ne pouvons en établir les détails, il est possible de saisir ce qui fait la dynamique historique du moment, en politique et en économie notamment, puis d'en extrapoler, il est vrai grossièrement, une suite logique et cohérente.

    Ceci tant que cette dynamique ne se retrouve pas dans un processus de rupture événementiel menant à une situation chaotique toujours momentané.

    Ce que je vous expose repose donc sur un ensemble d'hypothèses conceptuelles que je vous décris en même temps que de vous en proposer le résultat de ces réflexions.

    P1000719.JPGAussi que sur une compréhension intuitive de la politique et de la psychologie humaine (dont nous sommes tous possesseurs) qui ne peuvent qu'être qu'intimement liées.

    Ce sont ces trois socles qui composent cet ensemble réflexif, l'écrire me permettant de le développer.

    Le syndrome de Cassandre ne provenant que du fait qu'un certain nombre de personnalités, dotées d'une intelligence souvent particulière (et non pas plus importante, juste différente bien que plus ouverte), dites à hauts-potentiels en raison du fait qu'elles n'ont pas, au contraire de la majorité des Êtres-Humains, que quelques centres d'intérêts, mais sont animé d'une curiosité multiforme, perçoivent et déduisent, plus ou moins inconsciemment, les liens qui s'établissent entre des circonstances passées, présentes et dès lors, pour elles,  futures;

    Il y a syndrome de Cassandre, donc, parce que ces personnes ne pouvant pas se faire entendre, souffrent souvent de cette frustration.

    Je vous propose donc cette première partie:

    En ce début de grandes vacances scolaires, les événements se suivent à bonne allure et, contrairement à ce qu'il pouvait se passer il y a ne serait-ce que cinq ans, la population part infiniment moins hors de chez-elle ou ne va pas plus loin que de rendre visite à sa famille, les scandales d'été en ayant dès lors un écho autrement plus important qu'antérieurement puisque les gens regardent plus la télévision qu'avant.

    Il est symptomatique que l'affaire Benalla, (un autre compère, un certain VincentP1010481 - Copie.JPG Crase, plus ou moins officier de la gendarmerie, ce ne serait pas clair, ferait aussi parti de cette violente mascarade) un conseiller du président de la République qui aurait tabassé un homme et rudoyé une femme le 1er Mai de cette année, ait été révélé par le journal Le Monde, jusqu'à présent le chantre du macronisme-philippard, étant d'une eurolâtrie américanolâtre, d'une pensée néolibérale, ainsi que d'une miso-Russie (de miso-, qui hait) jusqu'à présent irréductible (Le Parisien menant sa propre enquête, journal bien moins macroniste que le précédent).

    D'autant plus quand nous savons que c'est grâce, entre autre, aux Manœuvres de Monsieur Macron, avec l'aide l'Alain Minc, que ses propriétaires actuels ont pu l'acquérir.

    Mais que faisait donc ces deux gugusses  auprès de la police?

    A mon sens ils jouaient au gendarme et au voleur comme Macron a joué aux soldats de plomb lors de sa rencontre avec les hauts gradés militaires.

    Le Président ayant ainsi fait un petit cadeau à deux de ses protégés.

    Ce Monsieur Benalla commençant à être considéré comme étant le mignon d'Emmanuel macron, ce qui pourrait être possible vu que la femme de ce dernier avait organisé quelque chose comme une gay pride à l’Élysée le 21 Juin dernier lors de la fête de la musique, ce n'est pas tant que cela puisse exister qui me pose problème mais plutôt qu'un tel événement, tout de même d'une éminente vulgarité, ait pu se produire dans le palais de l’Élysée.

    Si notre président se veut d'être vulgaire, et bien soit, il nous l'a déjà montré mainte fois par le passé, mais auquel cas qu'il aille faire ça ailleurs et non pas au centre même du lieu symbolisant le pays, la nation et l'état et là où se décide l'avenir des français..

    Ce qui est notable c'est que l'oligarchie nationale et européenne n'ait pu que ne P1010448.JPGnous présenter que çà comme président en 2017, ceci après moult manipulations, soit quelqu'un purement à leur image: le ci-devant Macron.

    Non pas une personne médiocre comme le sont Messieurs Sarkozy et Hollande, bien qu'ils soient tous deux pourvu d'une certaine intelligence.

    Mais plutôt une personnalité sans grande personnalité, psychologiquement instable, ayant un âge mental réduit, aux pulsions et jouissances infantiles, facilement manipulable, n'ayant de la politique qu'une vision superficielle et fantasmatique et, surtout, au grand surtout, ne se rendant pas compte de la porté de ses actes, peut-être bien comme il peut en être de sa femme d'ailleurs.

    C'est pourquoi je suppute plus loin un profond désaccord au sein même de cette oligarchie, certains s'éloignant, rejetant(?) ce groupe informel, et, dès lors, a lieu une scission ne pouvant qu'être suivit d'une sourde lutte interne dont nous pourrions en percevoir les commencements aujourd'hui, cette fête électro antérieure n'en ayant été que l'élément déclencheur.

    Quand bien même je prends grand soin à analyser plus bas toutes les possibilités des raisons de la remonté de ce scandale.  )

    J'avais annoncé il y a quelques temps, en Septembre 2017, que les oppositions deP1010450.JPG (la pseudo)gauche et de (la pseudo)droite n'attendait que le bon moment pour commencer à déchiqueter les députés du R.E.M., le gouvernement  et ses radios-éléments à pleines dents,  n'ayant su dire, naturellement, quelle serait la cause du déclenchement de cet hallali, peut-être en serions-nous là.

    Mais au-delà de ce satisfécit personnel, quand bien même en attendrais-je les preuves formelles (ne sommes-nous pas mieux servis que par nous-mêmes?), il est remarquable de constater le possible magnifique changement d'opinion de ce journal et, donc, de ses propriétaires, Messieurs Pigasse et Niel.

    Si c'est bien cela qu'il se passe, alors nous pourrions prévoir d'autres scandales qui surgiraient de manière impromptue en un crescendo continu, et il faudrait, en ce cas, relever de quel médiat cela proviendrait, ceux qui en amplifieraient l'impact, mais aussi ceux qui tenteraient d'en amoindrir les effets, pour savoir qui est avec qui.

    C'est cela qui est le fait le plus important d'une histoire qui aurait pu, sinon, se diluer dans l'indifférence générale, ce qui semblait être le cas jusqu'à présent.

    Cependant, que cette révélation ait été publiée peu de temps après le 14 Juillet, le 18 du mois, époque où un grand nombre de vacanciers part vers d'autres cieux, incident qui, c'est à noter, avait eu lieu deux mois et demi auparavant, pourrait très bien vouloir dire qu'il ne s'agirait que d'une manière, pour certains P1010665 - Copie.JPGoligarques, de faire pression sur le président, sans prendre en compte la forte diminution des départs en vacance.

    Toujours est-il que cet événement marque, à n'en pas douter, deux choses:

    -la première est qu'il y aurait possiblement des dissensions entre le gouvernement et l'oligarchie nationale, voire, plus sûrement, au sein même de l'oligarchie: toucher et fragiliser le pilier véritable de leur puissance, le pouvoir politique, marque à n'en  pas douter  un puissant mouvement interne de notre ploutocratie;

    -la deuxième phénomène, là encore remarquable, est la prise de distance des ministres d'avec leur président, vu lors d'une question à l'une d'entre eux par un journaliste de B.F.M.télé, signe de l'affaiblissement considérable de la présidence.

    Je ne serais pas surpris que ce neutre éloignement ait été décidé collégialement avec le premier d'entre-eux, Monsieur Philippe, bien qu'il soit possible, aussi, que commence, au-dedans de chaque ministère, une façon ou une autre de sauve-qui-peut bien plus anarchique.

    Quoi qu'il soit de l'une ou l'autre de toutes ces possibilités, nous pouvons percevoir dès à présent que le délitement du R.E.M. et ce qui y est lié, est dorénavant avancé, ce qui ne peut que vouloir dire que celui-ci préexistait depuis quelques temps déjà, tout ceci advenant tout de même un tout petit peu plus d'un an après les élections législatives de Juin 2017, ce qui est peu, très peu même.

    Preuve s'il en est d'une profonde fragilité originelle et multifactorielle de la P1010748.JPGRépublique En Marche, ne tenant son pouvoir véritable, jusqu'à présent, que grâce à une sphère médiatique à son service qui, pour une partie d'entre-elle, semble se liguer désormais contre ce parti (écoutez et regardez comment en parle Dominique Rizet, lui qui fut si longtemps l'avocat convaincu du macronisme: là c'est un flingage absolu).

    Comme de naturel, les oppositions ne peuvent que profiter d'une telle faiblesse d'un  pouvoir en place, d'autant plus si, collectivement, les-dites oppositions ont une terrible aversion pour celui-ci, ce qui ne peut que le conduire progressivement à la panique, le menant ensuite à des erreurs répétées, sujets à de nouveaux scandales.

    Quand, dans le même temps, si ce processus perdure, ne peut que générer un éloignement des députés et des ministres du R.E.M. de leur poste, voire, pour les plus sérieux d'entre-eux, à une révolte telle que cela ne pourra qu'être relayé par les médiats.

    Tout ceci ne pouvant que mettre toutes les composantes de l'Union-Européenne dans un grand embarra, jusqu'à ce que, à un moment donné, elles en viennent à craindre, avec raison, une instabilité politique totale de la France dont elles ne pourraient rien et qui pourrait bien dissoudre l'union comme dans un bain d'acide.

    P1010538.JPGDe fait et pour finir là-dessus, a été lancé un mécanisme qui, s'il perdure trop longtemps, ne pourra pas être arrêté, puisque celui-ci s'est infiltré au sein d'une tension sociale déjà importante, ce qui, peut-être, est le but recherché.

    Je ne sais pas comment l'affaire Benalla se terminera, cela peut s'achever dans un flop discret ou à ce que s'accroisse ces tensions populaires jusqu'à ce que le gouvernement d'aujourd'hui se démette, voire à se que le président démissionne.

    Comme vous le voyez, ce n'est pas tant le manque d'information qui est ici problématique, mais à ce que nous devons attendre des éléments suivant pour nous faire une idée exacte de ce qu'il se passe à l'intérieur de l'oligarchie, de ses déchirements et scissions internes et, ce, de par ce qu'il se dira dans les médiats et ce qu'il se passera dans le gouvernement et à l'Assemblée Nationale.

    Toutefois j'émets une hypothèse: tout comme il en est en Grande-Bretagne et dans les États-Unis-d'A

    Il y a 27 ans disparaissait l'U.R.S.S..

    Ce fut l'un des faits majeurs de cette époque.

    Il est toutefois à remarquer une chose: il se passe aux U.S.A. des événements ressemblant bougrement à ceux qui avaient précédé cet effondrement de 1991 en Russie.

    Comme j'ai pu l'exprimer déjà sur ce blog, Monsieur Trump est, dans le même temps, le réformateur impérial comme il y en a eu de nombreux dans la Rome antique, avec Roosevelt, c'est le second que je connaisse de l'empire U.S., mais aussi le reflet inversé de Monsieur Gorbatchev, le dernier dirigeant de l'U.R.S.S. de 1985 à 1991.

    Ce reflet inversé (comme tout reflet) s'exprime de différentes façons, ici, politiquement, cela se perçoit dans la personnalité de ces deux personnage.

    Par exemple Monsieur Gorbatchev avait et a toujours (il n'est pas mort) une certaine distinction et élégance, avec un respect scrupuleux des convenances internationales..

    Donald Trump, quand à lui, fait preuve d'une superbe ostentatoire, est plutôt vulgaire et se moque comme de sa première chemise d'une quelconque bienséance, ainsi a-t-il fait attendre la reine du Royaume-Uni lors de sa dernière visite protocolaire et avait rudement rudoyé ses partenaires lors de la dernière réunion du G.7.

    Mais tous deux font preuve de la même subtile intelligence.P1010527.JPG

    Comme en politique, l'économie de ces deux pays font montre de ce reflet inversé à trois décennies intervalles.

    Tout comme il en fut de la Russie soviétique de cette époque, les Etasunis se trouvent dans une situation économiquement déplorable.

    Mais autant dans le premier chacun travaillait et gagnait son salaire, avait de quoi se loger, mais ne trouvait sur les étals des magasins que très peu pour pouvoir subvenir à ses besoins quotidiens (chacun se bricolait son potager), ou alors à un prix exorbitant (il se racontait, par exemple, que les boutiques de chaussure de tout un chacun ne recevaient des souliers que d'un seul pied, gauche ou droite, c'était selon, ou d'une seule pointure).

    Autant dans les États-Unis-d'Amérique les magasins ferment les uns après les autres et les sans-abris, donc sans logement, fleurissent sur les trottoirs.

    Nous pouvons percevoir ici une même pénurie mais leurs causes et leurs effets sont, là encore, inverses.

    En U.R.S.S. il y avait une désorganisation de la société et si des chaussures étaient commandées par un magasin, peu importait qu'elles soient toutes de même pointure ou d'un seul pied, la seule chose qui importait c'est qu'il en soit livré le bon nombre, et encore, mais celles-ci  étaient fabriquées dans le pays même.

    Aux U.S.A. l'immense majorité des chaussures sont fabriquées hors du pays, comme quasiment tout les biens manufacturiers, ce qui fait qu'il n'y en a quasiment plus P1010461.JPGd'usinées sur son propre sol (s'il y en a), dès lors les anciens ouvriers qui les fabriquaient sont de fait, pour la plupart, au chômage, les autre faisant de petits boulots mal payés, et dès lors tout le monde se retrouve à la rue ou habite des lieux insalubres (près de 40 % de chômeurs U.S.).

    Tous deux se sont embourbés en Afghanistan, le premier s'en est retiré, le second remplace son armée de métier par ses mercenaires nationaux.

    Tous deux ont un président tentant de réformer leur pays, provenant de leur oligarchie, politique pour le premier, économique pour le second.

    Tous deux se retirent de l'Europe (bien que la Russie en fasse parti), le pacte de Varsovie fut délité par les populations, l'Union-Européenne se décompose par un désordre économique grandissant, avec des banques en voie de banqueroute, et un ensemble de désordres politiques (Ce qu'il se passe en France en étant caricatural).

    ( Bien que sur ce sujet vous remarquerez que l'Allemagne en soit toujours au centre, mais encore une fois d'une manière différente. )

    A chacune de ces époques, les présidents soviétique et U.S. d'abord, Messieurs Gorbatchev et Reagan, puis russe et étasunien ensuite, Messieurs Poutine et Trump ensuite, se rencontrent en générant à chaque fois interrogations et reproches (non pas comme je l'avais sottement suggéré en une façon de nouveaux Yalta, mais plutôt, à mon sens, pour discuter du retrait des U.S.A. de ses possessions, comme il en fut à la fin des années 80 pour l'U.R.S.S.).

    Il est à remarquer que comme il en fut de certaines régions anciennement soviétiques, telles que la Biélorussie et l'Ukraine, qui prirent leur indépendance dès que se fût évanoui l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques, des états U.S. ont aussi des velléités d'indépendance, comme il en est pour le Texas par exemple.

    Notons également que comme il se trouvait des pays neutre entre le glacis Europe de l'est / Europe de l'ouest pendant la guerre froide, mais penchant plutôt vers laP1010498.JPG première qu'à l'endroit de la seconde, à l'image de l'Autriche et de ce qui fut la Yougoslavie, la Suisse, du coté ouest, reste d'une relative neutralité face à une Union-Européenne qui, désormais, se retrouvant sans maître véritable, en vient, comme je l'ai dit, à se déliter.

    Observons enfin que comme la Russie et la Chine d'aujourd'hui se sont reconverties à un capitalisme exacerbé, le socialisme américain, proche en vérité de ce que fut le communisme européen, est en train de prendre une densité populaire importante, au moment même où les U.S.A. ne sont pas loin de leur annihilation.

    Ce qui est intéressant dans tout cela c'est de comprendre pourquoi nous nous retrouvons à faire face à ce reflet inversé qui, que nous le voulions ou non, traverse toujours tout autant la France et l'Europe, mais aussi quasiment toutes les régions du monde.

    Pour en comprendre les mécanismes, je me suis souvenu de ce que Carl Gustave Jung disait dans le livre :"Un Mythe Moderne": il y avait, et il y a encore, un lien symbolique existant entre la survenue d'O.V.N.I. aux formes rondes (les soucoupes volantes, le cercle étant le symbole de totalité), que ce phénomène ne soit qu'une hallucination ou qu'il soit réel, au même moment que la guerre froide a généré un phénomène de scission névrotique des Êtres Humains en cette époque, en raison de ce double système politique, collectiviste, communiste, représenté par le bloc de l'est, et un autre individualiste, capitaliste, représenté par le bloc de l'ouest.

    Deux des fondements importants de notre détermination d'Être, j'écrivais antérieurement ceci sur ce sujet: " Notre détermination d'existence en tant qu'Être Humain se construisant pas à pas à deux niveaux intimement liés: individuelle (le qui je suis) et collective (le ce que je suis) et, ce, dès notre naissance.   " .

    Chaque partie s'arcboutant sur son dogme, parfois devenu intransigeant, ne tournant qu'autour d'un même présupposé, celui voulant que l'économie ne peut qu'être que centrale à toute autre pensée et organisation politique, en intériorisant ce qui, en soi, était, suivant la doctrine adoptée, bon et mauvais.

    Mais en fait aucun Être-Humain ne peut vivre l'un sans l'autre, sans individualité ou sans communautisme (néologisme nécessaire pour rendre compte de cette notion), chacun a son existence propre au titre que nous sommes tous différents les uns des P1010042.JPGautres avec une conscience aigüe de notre particularité d'être, tout comme nous vivons tous au sein d'un ensemble social, devenu il est vrai complexe, dans sa patrie, dans sa famille, au travail, dans ses loisirs, plongé dedans une composition de codes qui fait notre existence sociétale dans lequel nous nous reconnaissons.

    Si l'un de ces deux composants indispensables au bon fonctionnement de notre psyché en vient à être diminué, individuellement ou collectivement, quelles qu'en soient les raisons, cela génère une indétermination de la personne ou de la société lui faisant perdre tout ou partie de son identité et donc de son intelligence.

    Là se trouve l'origine de la monté en puissance d'une sottise collective, provenant de la médiocrité de l'époque, s'exprimant de diverses manières et dont Monsieur Macron est l'un des effets des plus caricaturaux en un exemple parmi tant d'autres.

    Étant donné que certains pays et donc leur population sont allés dans un sens ou dans un autre, il ne peuvent, pour tenter de retrouver leur stabilité psychosociologique, que d'adopter l'idéologie inverse dès que l'intransigeance doctrinale de leur crédo aura conduit leur société à la faillite.

    La particularité des pays européens c'est que les populations, d'une manière ou d'une autre suivant qu'ils se trouvèrent dans le bloc de l'est ou de l'ouest, se sont confrontées à ces deux doctrines contraires et en ont vécu, parfois dans leur chair, les limites intrinsèques et leur aspect débilitant, d'où cet effondrement idéologique en cours.

    A ces effets mécaniques, si je puis dire, notre séparation d'avec les images symboliques due à leur utilitarisme et surexploitation propagandiste, politique et économique, publicitaire, d'un coté comme de l'autre, ainsi que de l'émergence de la recherche d'une pensée cohérente quand à nos origines et celle de l'univers, encore largement incomplète, mirent de coté les mythes et récits de la création en mettantP1010499.JPG dans un tout et rejetant nos symboles qui sont, en réalité, l'expression de notre structure mentale la plus profonde.

    Celle qui fonde la première constitution de la contexture de notre esprit et, ce, dès notre naissance et qui, tout au long de notre vie, en protège le fonctionnement par un ensemble d'expressions imagées, les-dits symboles, en une compensation continuelle des nombreuses instabilités que chacun d'entre-nous ne peut que vivre tout au long de son existence.

    Ainsi que des tensions que génère en nous, depuis longtemps, une forme ou une autre de société, en contradiction plus ou moins importante d'avec notre fonctionnement originel d'Homo Sapiens, Sapiens.

    Tensions qui s’adoucissent et se consolent, par le corps ou par l'esprit, lors d'un rite religieux, après un rêve lorsqu'en est saisi le sens, une méditation, une promenade en un lieu nous renouant à nos lointains ancêtres, en racontant une histoire, par la parole ou l'écrit, imaginée ou vécue, en la lisant ou l'écoutant, etc..., et où ces symboles se déversent et nous relient à notre profondeur instinctuelle.

    C'est bien parce que nous avons écarté, pour les raisons évoquées, ces constitutions archétypales que sont les symboles, ceci lié à cette scission névrotique montrée plus haut, que nous nous retrouvons perdus dans un univers devenu incompréhensible, en ayant gravement affaibli notre conscience et dès lors notre pensée.

    Ce phénomène étant particulièrement puissant au plus haut de la hiérarchie des nations occidentales.

    C'est pourquoi quelqu'un comme Emmanuel Macron fut élu, grâce à un ensemble de subterfuges et de techniques manipulatrices, ne pouvant qu'être que la représentation de ce que sont ceux qui firent tout pour le mettre en place à la magistrature suprême.

    P1010577.JPGC'est pourquoi également ceux des oligarques qui, comme les patrons du Monde, ont su commencer à s'éloigner tout doucement de cette masse de croyances informes qui constitue ce que, faute de mieux, nous appelons le néolibéralisme, ne pourront que se sentir, au fur et à mesure qu'ils comprendront enfin les fondements de ce qui les animent, un apaisement égale à cette compréhension.

    En tous cas, c'est le bien que je leur souhaite, à eux et à tout Être-Humain, surtout aux occidentaux et, bien sûr, ainsi qu'aux français, cela va de soi.

     

     

    THEURICP1010537.JPG

  • La fin d'un haut moyen-âge.

    Il ne s'agit pas là d'une réflexion historique sur une période révolue mais bien de porter notre réflexion sur notre modernité qui, en Europe et dès lors en France, se révèle d'une morbide sottise.

    Certes, cette morbidité ne génère aucun mort, du-moins peu pour l'instant, mais n'en reste-t-elle pas moins destructrice autant de la société que de chaque citoyen.

    Que nous reste-t-il de notre esprit de raison?

    Se devrait d'être la pensée de chacun.

    Ce n'est pas tant que nos anciens étaient des parangons de vertus, ne faisons pas, que diable, d'anachronisme imbécile, mais bien plutôt de ce que cet esprit, quand bien même certains en feraient-ils mention, est continuellement piétiné, bafoué, parfois par les mêmes, sans que cela ne soit, la majorité du temps, compris.

    La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité!P1030021.JPG

    Voilà une maxime qui ne se devrait de justifier aucun consensus, aucune relativisation, se devrait même devenir le credo de tous, amis lecteurs, l’imbécillité ne se devrait définitivement plus faire sa loi!

    Nous vivons donc la fin d'une époque, celle d'un nouveau haut moyen-âge qui, comme il en fut d'antan lors de l'achèvement des grandes invasions, quand l'empire romain d'occident disparu peu de temps  après qu'Ætius eût repoussé Attila en 451, il fallut que nos aïeux traversèrent ces longs siècle avant qu'une époque médiévale n'annonce le renouveau d'une renaissance.

    C'est à cela que j'appelle de mes vœux depuis si longtemps.

    Et les barbares n'étaient pas là d'attendre à nos frontières de déferler sur la Gaule, ne sont pas les descendants des mêmes ayant pris un pouvoir à la force de l'épée, ne sont pas de ceux gouvernant la Francie Occidentale parce que du peuple franc.

    Mais bien aux seins de nos institutions nationales et unionistes, de ceux qui, au nom de croyances obtuses, d’âpreté aux gains, d'un narcissisme dévoyé de se pavaner devant des caméras télés, d'obéissance vaine à des puissances d'argent, de se croire tout puissant parce que détenant un pouvoir, se croient l'alpha et l'oméga du savoir et de la décision quand la réalité montre crûment qu'ils ne sont que l'ombre de ce qu'ils ont l'impression d'être.

    P1020136.JPGLes barbares se trouvent aussi de l'autre coté de l'Atlantique, alors cessons de les copier comme telles des singeries stupides, d’ânonner leur langage en oubliant la richesse du nôtre, de s'en référer, de s'en glorifier, d'en rêver, eux qui n'ont eu que de cesse de nous mettre dans la pire des mouises en voulant de toutes forces à ce que nous perdions notre identité à l'intérieur de l'Union-européenne et nous bassine d'un art aussi dérisoire que médiocre.

    Voulez-vous vraiment crever de pauvreté, sots, les armes à la main, comme il en est du peuple étasunien?

    Alors, en ces temps obscures s'achevant, c'est à nous, le peuple, de relever la tête, de nous instruire, de nous construire, d'apprendre à penser par nous-même, et qu'importe si nous faisons erreur ici ou là du moment où, cette erreur comprise, nous fassions évoluer nos points de vu, que nous en changions si le besoin s'en révèle...

    De développer notre intelligence, d'avoir des avis construits de ce que nous nous sommes instruit, que nous développions les controverses, que les désaccords s'animent, que nous saisissions la nature des contradictions et des paradoxes, que nous apprenions à nous comprendre et savoir ce qui nous anime.

    D'avoir confiance en nous, en nos capacités qui sont immenses, affin d'avoir confiance en l'autre, en notre semblable.P1030264.JPG

    Le temps se termine où la crétinerie faisait sa loi, redevenons-nous même, fiers d'être ce que nous sommes et qu'importe d'où nous, nos anciens ou nos ancêtre viennent, nous ne sommes pas le 51ème état américain, nous sommes européens, certes, mais d'abord et avant tout français!

    Décidons qu'enfin la sottise soit illégitime.

    Retrouvons-nous, comme le coq nous ne chantons jamais mieux que quand nous avons les deux pieds dans la merde.

     

     

    THEURIC

  • Billet d'une heure: un couvre feu...

    Une abeille au turbin.

     

    Bonjour amis et inconnus lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Nous allons de surprise en surprise et l'imagination cocasse et insensé de notre gouvernement, en en accompagnant bien d'autres, ne peut que nous laisser pantois.

    Mais au-delà de cette chiche ironie me permettant d'évacuer mon agacement, ceci en raison de la vaporeuse extravagance de nos ribouldingues s'étant attribués cette vêture ministérielle qui leur est si tant et tellement grande qu'ils en viennent à se prendre les deux pieds et deux mains dans leurs pans.

    A s'en choir continuellement.

    Mais en sont-ils les seuls?P1060385.JPG

    Que nenni, chers lecteurs, l'Occident, de toutes ses forces d'avoir voulu suivre ce jeune vieillard cacochyme que sont devenus les Etats-Unis-d'Amérique, a, dans son ensemble, accouché de ses même vides têtes pensantes qui, tout comme les nôtres, nous démontre ardemment leur vide sidéral d'intellectualisation.

    Et il en est de même de leurs chambres délibératives d'où il est à penser qu'hormis ceux qui, s'apercevant de la geste légère de ces dirigeants dirigés par leurs dirigeants autant vaporeux que sirupeux, les fuient et se cachent en comprenant la vacuité dérisoire d'une gouvernance aux abois ne gouvernant plus que par oukases sans grand sens;

    Et il en est de même, dis-je, de ceux-là qui, s’asseyant séant toujours présent en leur poste électif, droite/centre/gauche en une unanimité catatonique, et nous font montre de disputes d'importances futiles, comme d'antan se discutaient les religieux byzantins au sujet du sexe des anges quand les turcs étaient déjà au pied des murailles de la ville.

     

     

    Couvre-feu:

    Ainsi a-t-il jailli dans je ne sais quel cerveau brumeux l'idée de mettre les grandes P1040944.JPGvilles française sous l'ordre d'un couvre-feu qui, cela est à noter, ne parait qu'à la suite d'une défaite militaire suivit de l'occupation par les troupes étrangères victorieuses, tel le Paris de 1940 à 1944, quand un coup d'état militaire se produit, comme il en fut dans la capitale du Chili, Santiago, en 1973, lorsque ledit coup d'état échoue ou à la suite d'émeutes incontrôlable et armées, aux Etats-Unis notamment, récurant.

    Nos olibrius français se sont donc permis d'installer un couvre-feu dans la capitale ainsi que dans les plus grandes villes et, ce, à l'occasion d'une pandémie aisément guérissable à peu de frais et n'ayant pas un caractère si dangereux que cela, à la morbidité moindre encore aujourd'hui qu'hier.

    A croire qu'ils voudraient, mais veulent-ils vraiment quelque chose, à ce que la ville lumière s'éteigne comme à l'époque où elle se trouvait sous les bottes de l'Allemagne hitlérienne.

    Ceci au moment même où ils s'aperçoivent, ces pauvres bichoumoumous, que leurs gesticulations ne menaient qu'à la ruine du pays, appelant, invitant, encourageant, convaincant, exhortant les gens à prendre des vacances pour que l'hôtellerie survive.

    Nous plongeant de fait dans une double contrainte, à laquelle nos ribouldouilles sont incapables autant de la concocter que d'y songer, en une façon d'injonction paradoxale:P1050314.JPG

    "Si la pandémie revient bien et que je pars en vacance en en étant atteint je risque de contaminer d'autres personnes, sauf si cette pandémie n'était pas si grave que cela et que je peux partir, quiet, mais alors pourquoi me signifier ces deux messages si contradictoires?

    Cela ne cacherait-il pas quelques plans nauséeux, quelques complots machiavéliques cachés?"

    Voilà ce que se dit chacun en lui-même inconsciemment.

    En fin de compte non, il n'y a pas de Machiavel chez nos nounouilles, tout juste il n'y a plus de commandant à bord, Castex est un premier ministre qui ne ministre plus rien, si tant est qu'il ait un jour ministré quelque chose, quand notre président cire ses propres pompes en se contemplant dans son miroir magique:

    "Médiat, mon beau médiat, suis-je le plus beau et le plus apprécié de tous les présidents?

    -Non," répondit celui-ci, "Trump et Poutine, eux, sont adoré par les foules!

    -Comment," s'insurgea notre démiurge tout puissant, notre génie des alpages, "que l'on fasse appelle à tous les journalistes aux ordres, qu'ils déversent sur eux mon courroux olympien en leur crachant dessus tous mes défauts que je ne veut voir...!"

    Et pendant ce temps là, le navire vogue dans les flots tempétueux d'une économie s'effilochant au gré des élucubrations pandémistes qui se font dire génies géniaux.

    Tout juste il y a-t-il, de temps en temps, une petite voix ministérielle moins sotte que P1050567.JPGles autres qui dit, qui implore: "Euh, je crois que le bateau coule, partez en vacance, peuple adoré, je vous en supplie, je vous en conjure."

     

    Le monde entier rétréci:

    L'un de nos pauvres saltimbanques télévisuels du verbe journalistique empli de fausseté, ouï naguère en une soirée tranquille par votre serviteur, faisait état de ce que le monde entier, lui aussi, luttait contre ce vilain virus aux forces amoindries et, de ce que j'ai pu en saisir, en faisait une liste exhaustive que voici: l'Allemagne, la Belgique, la Hollande, l'Italie, l'Espagne, la Grande-Bretagne, l'Australie, la Suisse, le Canada, le Brésil (en oublierais-je un ou deux?).

    Triste monde rétréci à si peu de pays et à ces moindres continents où même les Etats-Unis-d'Amérique en furent oubliés.

    Puis d'énumérer, presque par gourmandise, comme étant de pure normalité, quelques interdits malfaisants antidémocratiques auxquels les peuples se doivent de se plier, interdiction, chez-soi, de réunion familiale ou amicale de tant de personne, nouvelles réclusions, regroupement dans les rues tout aussi prohibé, fermetures de débit de boisson et de restaurant, obligation du masque sous peine de prison, et j'en omets...P1050230.JPG

    A croire que tous veulent assurément cacher à leur population le fait que, dorénavant et en raison des coupes budgétaires drastiques dans leur système de santé, il n'y a encore que moins de place de réanimation dans leurs et nos centres hospitaliers qu'au printemps dernier.

     

    Zeus commence par rendre fou ceux qu'il veut perdre:

    La folie, c'en est mon hypothèse de travail, s'est emparé de tout ce clergé américanolâtre néolibéral monétariste en diable.

    Dieu Amérique en dollar en en ayant choisi les plus insensés pour leur sacerdoce, se retrouve dorénavant à se coltiner une bande d'énergumènes dont personne ne peut dire la nouvelle bonne et ruineuse idée que chacun prendra.

    Là-bas, outre-Atlantique déclinant, les ânes démocrates et les éléphants républicains s'y disputent, bientôt peut-être bien les armes à la main, de savoir qui gouvernera le pays.

    Chacun mettant toutes ses forces dans la balance, il n'y reste plus personne pour se pencher sur les décisions malséantes des gouvernements de leurs colonies les plus proches d'eux, ceux sus-nommés.

    P1060040.JPGNe jetant qu'un œil rapide sur ce qu'il peut se passer dans ses possessions sans prendre le temps de leur donner quelle qu'ordre que ce soit.

    Sans plus de gouvernail, ces dernières partent à vau-l'eau, se laissant bercer par ces forces mystérieuses de la fadaise la plus crue les menant vers tous les outrages.

    Ailleurs, partout, l'on regarde mi goguenard, mi consterné, cette fuite éperdue de ces gouvernement semblant devenir fou.

    Il n'est que la France, quand nous aurons enfin retrouvé notre destin, quand nous serons enfin sevrés des étouffantes embrassades constrictors de Tonton Sam, quand enfin nous seront libérés du carcan manifeste d'une Union-Européenne sous les fourches Claudine d'une Germanie cachant la même ruine que nous-autres, quand enfin nous en seront à notre indépendance nationale;

    Oui, alors, il ne sera que la France pour calmer ces jeux absurdes et sans sens dedans lequel nous sommes tous, parce qu'une fois encore, ce sont nous, les français, que les peuples attendent pour qu'enfin la réelle modernité puisse émerger.

    Pour qu'enfin le réel progressisme vienne à nous.

     

     

    THEURICP1060185.JPG

  • Réponse à une vidéo de Charles Sannat en un petit agacement.

    Bon ben, pour l'instant, mes photos d'entrée de billet ne semblent pas être publiées, ici il s'agit d'un criquet, pour le reste, je chercherai son petit nom plus tard, si j'y pense.

    Avant-propos:

    Voici le commentaire que j'ai fait sur la site de Charles Sannat après avoir visionné sa dernière (?) vidéo, ce que je vous conseillerais d'aller voir avant la lecture de ce billet

    Je vous le présente telle quelle (sauf corrigé de ses fautes et de ses imprécisions s'il y en a avec les rajouts nécessaires), étant donné qu'il ne laisse jamais de réponse de ses visiteurs à ses interventions.

    Il est des gens qu'il ne faut pas hésiter à secouer pour les réveiller et son grenier, maP1060350.JPG foi, lui laisse une large place pour ses songes de monnaies éternelles, dont du dollar.

    Que lui reprocherais-je?

    De ne vouloir pas prendre parti.

     

    Voici le texte que je lui ai laissé:

     

    Cher Monsieur Sannat,

    Il y a deux mouvements contraires qu'il est aisé d'extrapoler:

    -Un mouvement vers la mise en place d'une telle monnaie électronique que vous venez de nous montrer;

    -Ses impossibilités foncières à son installation, très nombreuses:

    1) il y a une dimension noire de toute économie pérenne, le prêt de cinquante euros pour que son pote fasse le plein de sa voiture ou la garde de son bambin par la petite voisine contre un peu de sou, sauf à ce que les enfant aient leur tirelire dans une banque;

    2) la monnaie électronique n'est pas adaptée à la psychologie humaine, son fonctionnement psychique fait qu'il ne peut pas, majoritairement, la décompter, lui qui, quoi qu'il en soit, reste un chasseur-cueilleur dans l'âme, 15 000 ans de néolithique et les quarante ans d'informatique n'est rien au regard de l'évolution de P1050260.JPGnotre cerveau;

    3) quoi qu'il en soit, cette monnaie ne peut qu'user et abuser de l'énergie, il n'est qu'à penser au nombre de transactions nécessaires en billets et piécettes en quelques secondes en France, ceci au moment même où la crise pétrolière, dissimulée plus ou moins, fait surface, quand bien même les problèmes économiques mondiaux se posent très gravement qui en réduit l'usage;

    4) si vous allez voir le site "Chronique du grand jeu", vous comprendrez que la guerre froide entre les USA et ses possessions, dont nous sommes, d'un coté, la Russie, la Chine, l'Iran et d'autres, de l'autre, or, cette cryptomonnaie est d'essence US par l'intermédiaire de ses instances internationales, croyez-vous vraiment que leur ennemis seraient d'accord pour sa mise en place?

    5) Enfin, il ne peut y avoir de gouvernance mondiale que si et seulement si une partie de la population humaine s'installait hors de la Terre ou si nous rencontrions des peuples intelligents non humain, ce qui est loin d'être le cas, nous avons besoin d'un dehors et d'un dedans des frontières pour évoluer, d'où l'échec du néolibéralisme.

    Les masques inutiles et le couvre-feu dignes d'un coup d'état montre qu'il y a une tentative de corseter les pays occidentaux, même la suède suis les ordres de l'oligarchie US, elle qui n'avait pas confiné sa population jusqu'à présent.

    Penseriez-vous que ce serait pour son installation, le souhaiteriez-vous (rajout de dernière minute)?P1050354.JPG

    Voyez-vous, cher Monsieur, je vous pense sincère et intelligent mais vous êtes comme ce cycliste qui regarde son guidon en oubliant la route.

    En effet, si les présupposés au départ d'une démonstration sont faux, alors ladite démonstration le sera tout autant, il en est de la pandémie comme de l'économie.

    Et la monnaie n'a jamais été, n'est pas et ne sera jamais l'économie, de celle réelle comme nombre de vos collègues la nomme et qui est à contrario de celle monétaire, financière et spéculative.

    Si vous avez l'effondrement de cette économie réelle, ce qui est le cas, vous aurez beau créer toutes les sortes de monnaies que vous voudrez, cela ne changera rien à l'affaire: votre monnaie, à un moment donné, ne vaudra plus rien.

    Si, de plus, vous ne prenez pas en compte les réalités politiques, géopolitiques et géostratégiques du moment, ainsi que des forces et fragilités des puissances de l'époque, vous ne pourrez pas avoir une idée suffisamment claire de la dynamique historique en cours.

    Vous m'avez égaré lors du début de cette pandémie, j'aurais dû en être plus vigilant, là se trouve ma part de responsabilité, mais vous, de par l'écoute de votre site, vous en avez tout autant la vôtre.

    P1040742.JPGPlutôt que de suivre ainsi les élucubration d'imbéciles qui nous ont et se sont mis dans cette mouise économique, commencez-donc à réfléchir à comment faire pour rebâtir l'économie d'un pays, la France, qui se retrouve en une telle décrépitude par nos mamamouchis français et unionistes!

    Le reste n'étant plus que de l'inutile à l'heure ou notre bon maître, les Etats-Uns-d'Amérique, agonisent.

     

    THEURIC
    PS: Ce commentaire sera mis sur mon blog avec l'adresse de cette vidéo.

  • L'Allemagne fomenterait-elle une guerre civile en France?

    Voilà une question que nous nous devrions tous nous poser et que, quoi qu'il en soit, je soumets à vos réflexions, chers amis lecteurs.

    A mon sens et hormis le gouvernement français et les journalistes officiels composés de personnalités naïves sans grande aucune envergure, n'ayant juste que de but d'obéir à Frau Merkel, le petit  Hitler en jupon, et de profiter des ors de la république, tous les gouvernements qui comptent à l'échelle mondiale le savent et aucun ne le veut.

    D'ailleurs ce sont ces laudateurs de la Germanie qui, si une guerre civile éclate en France, auront le plus à y perdre, ad minima de leur fortune, de leur pouvoir et position sociale ils les perdront quoi qu'il en soit, mais ils peuvent aussi en perdre la vie et mettre leurs proches en grand danger de mort.

    Je n'ai pas écrit que tous ces états le devinent mais qu'ils le savent, tout simplement parce que l'idéologie néolibérale, ordolibérale pour les allemands ce qui est la même chose, vendre ou se vendre c'est du pareil au même, et chacun dans le gouvernement germanique, tout comme dans celui français, doit, contre monnaie sonnante et trébuchante, tout raconter à des agents provenant de tous les pays qui peuvent se les acheter.

    Mais quel serait-ce l'élément qui m'en aurait alerté?P1010799.JPG

    Ce sont les réactions des deux derniers intervenants lors d'une conférence qui réunissait R. Détente, économiste, vidéophile de Grand Angle, O. Delamarche & P. Béchade, économistes membres des éconoclastes, F. Boulo, avocat des gilettistes, P. Pascot, ancien élu et entrepreneur artistique, plus une dame dont j'ignore tout et dont je ne trouve pas la vidéo de son intervention, sûrement la présentatrice de cette réunion.

    Mr. Boulo, nom prédestiné, expliquait lors de son intervention, que ceux qui nous dirigent sont des imbéciles, le principal étant de vous organiser, ce qui est d'une logique incontournable.

    Le dernier, lui, Mr. Pascot, que j'ai toujours pris pour un guignolo avec son chapeau à la maffioso et son écharpe blanche pour se donner l'air artiste, duquel je n'ai jamais eu confiance, disait, en haranguant  la foule: "Il faut que vous alliez à un million de gilettistes dans Paris une fois par mois sinon c'est foutu pour nous (nous?)!", ce qui, vous en conviendrez, est impossible, et pourquoi ce nous(?).

    Et pourquoi agiter ainsi les émotions populaires quand tous les autres participants font œuvre de pédagogie en faisant appel à l'intelligence des français?

    Vous remarquerez qu'à un moment donné, assez rapidement, Mr. Boulo partit et qu'en même temps les économistes le regardait intrigués, voire ébahi quand   Mr. Pascot parlait, ayant l'air de se demander qui était ce gugusse.

    Sur le moment je n'y avais pas porté d'attention, ensuite je me suis dit que Mr. Boulo avait raison de quitter ainsi l'assemblée, P1010824.JPGce Pascot n'est pas clair, lui qui passe si souvent dans les médiats, ce qui est mauvais signe,  aucun des autres intervenant n'y étant plus invité, il agirait sûrement comme un provocateur, je le soupçonne de ne pas être tel qu'il se dit (serait-il agent double?).

    Je suis allé voir ce qu'il s'en disait sur Wikipédia, et il y est fort élogieusement traité, oh, oh, là encore, ça ne sent pas bon.

    Dès lors je me suis demandé ce qui était  recherché ainsi et je crois avoir trouvé: Une guerre civile en France, vous savez, cette mésaventure  dont le bruit court sur les réseaux sociaux et venant d'on ne sait où, fleurant bon la manipulation européiste mais en réalité germanique, et lui serait là pour enflammer les foules, pour mettre la zizanie, pour foutre sa merde.

    Oui mais, qui, quel pays y aurait intérêt et aurait un gouvernement composé de personnes assez abruties pour en concevoir le plan?

    Je n'en ai trouvé qu'un et un seul, l'Allemagne.

    Çà fait plus d'un millénaire que la Germanie hait et jalouse la France, pour eux nous sommes toujours le royaume franc, Frankreich comme ils nous appellent, quand eux ne furent que le Saint-Empire-Romain-Germanique.

    Ça Fait plus de mille ans que ce pays a tout fait pour nous envahir, pour recomposerP1020071.JPG l'empire carolingien.

    Il est vrai, ce n'est pas un processus vraiment conscient mais plus du  domaine de la pulsion, de l'antédiluvien réflexe de rejouer le barbare germanique des grandes invasions de la fin de l'ère romaine, et, de façon cyclique, que le dirigeant d'alors veuille rebâtir l'empire de Charlemagne.

    A quel pays songea Otto Von Bismarck pour lui faire la guerre en 1870 afin d'achever d'agréger l'Allemagne nouvelle?

    A la France, ce fut même au  château de Versailles que l'Allemagne, Deutschland, fut défini comme tel.

    Quel est le pays qui paya le plus lourd tribut et qui eut le plus de destruction dans la guerre de 14/18?

    La France encore une fois.

    Quel pays militairement important Hitler voulait envahir en premier lors de la seconde guerre mondiale?

    Toujours la France.

    Cet automatisme germanique, cette étrange marotte lorsque surgit un stress social P1020147.JPGimportant, la mène aujourd'hui à cette tentative absurde puisque si la France se retrouve déstabilisé c'est l'Union-Européenne qui s'effondre et l'Allemagne ne peut plus survivre sans cette union, c'est la raison qui fait que je dis que son gouvernement est bourré d'abrutis.

    Et c'est pourquoi il y eut la signature du traité d'Aix-La-Chapelle dans cette ville même, qui était la capitale de Charlemagne., traité qui a de but à ce que le même pays récupère la force nucléaire et le siège permanent de l'O.N.U. de la France avant que notre nation entre en lutte fratricide à l'instigation de ce voisin tellement encombrant et dangereux.

    C'est pourquoi aussi les gilettistes furent si bien accueillis dans les médiats au début du mouvement et qu'ensuite il y eut une quasi opération militaire à leur encontre, et non pas de police de simple maintien de l'ordre, nos oligarques et gouvernement en avaient reçu l'ordre formel de mamie Merkel, j'en suis convaincu.

    Mr. Pascot et d'autres   sbires germaniques doivent foutre le bordel en France en raison de hybris germanique, ce n'est qu'en cette seule raison là: la déraison teutonne!

    Que je sois traité de complotiste, ma foi, cela m'en remuerait l'une sans faire bouger l'autre, comme l'aurait dit ce paillard de Jacques Chirac qui aimait tant les gauloiseries.

    Certes, je ne pose là qu'une hypothèse, mais il serait à mon sens vital de prendre celle-ci en considération, parce que quoi qu'il en soit, il y a tout de même des signesP1020243.JPG assez  fort pour prendre cela au sérieux.

     

     

    THEURIC

    P.S.: Écoutons bien ce que dit Madame Le Pen et les autres en son genre, nous pourrions avoir de grosses surprises, eux aussi pourraient fort bien adorer le Grossdeutschland et un quatrième reich ne serait pas pour leur déplaisir, du moment qu'ils paient bien.

  • idée n°3: l'improvisation

     

          L'improvisation n'est pas seulement l'apanage de la musique, mais, comme pour la musique, improviser, en toutes matières, ne se fait pas n'importe comment au risque des fausses notes.

    Que ce soit la philosophie, la politique, les sciences et techniques, les arts et toutes ces sortes de sujets faisant commun de l'homme, ils ont besoin, pour se développer, qu'en soient connus le savoir-faire pour pouvoir le dépasser, surtout quand la nécessité fait loi.

    Faut-il, aussi, réussir à faire taire nos interdits, ce sur-moi profitable à une socialisation harmonieuse mais pouvant paralyser l'esprit de création.

    Seule l'écoute de soi, sans tromperie ni dissimulation, avec hardiesse et prudence, permet de trier le bon grain de l'ivraie de ces prohibitions.

    Parce que notre espèce est face à une situation inédite, voire inconcevable il n'y a que peu de temps, périlleuse, peut-être funeste à terme; parce que, également, guère de découvertes traversent les débats, alimentent la réflexion, génèrent des réponses à la mesure des défis, nous nous devons à l'innovation quitte à dénoter.

    Mais rien ne se fera si s'instruire en toutes choses, de ce qui fait la mesure du temps présent comme celui du passé n'est pas placé au centre de notre humanité.

    Il y a, effectivement, plus qu'un sentiment, une vogue d'affirmer l'achèvement de nos connaissances.

    Il est vrai que le téléphone cellulaire, par exemple, semble être d'un grand modernisme mais, à y regarder de plus près, cet outil n'apporte, en vérité, pas de nouveauté technique fondamentale. Il n'est que la fusion du téléphone (Graham Bell 1847-1922), de l'ordinateur (l'ENIAC en 1943), du baladeur (Andreas Pavel en 1977), de l'appareil photo (Nicéphore niépce 1765-1833), de la radio (Guglielmo Marconi 1874-1937) en un tout miniaturisé.

    L'astronome recherchant l'immense part de la matière et de l'énergie du cosmos sans pouvoir les distinguer, le physicien ne comprenant pas pourquoi la physique quantique fonctionne, le peintre, le musicien ne faisant qu'imiter ses ainés, le philosophe, le théologien rabâchant les anciens, l'économiste ne se fiant qu'à ses vielles théories flétrie, l'homme politique n'arrivant plus à appliquer les doctrines de jadis, tous ceux-là et bien d'autres, quand ils restent dans l'immobilisme du concervatisme, montrent la difficulté de l'improvisation.

    Il est, aujourd'hui, plus que temps de réveiller notre imagination.

    THEURIC

  • Mécanismes de revouveaux, optimisation de pré-rupture.

    Il en est pour chacun de nous, en cette époque pas encore réellement inquiétante mais déjà tant chaotiques, de ne pas percevoir, pour des raisons ou d'autres, la singulière, troublante et réelle marche du monde.

    Ainsi m'en est-il de ma perception que peut avoir le personnel politique français et économique, de la position délétère de notre pays au sein de l'Union-Européenne.

    Je ne serais pas surpris que dans les pays anciennement de l'ouest, une approche similaire  soit en marche

    Ainsi, je n'avais pas compris que frémissait, chez ces élites et élus, depuis peu de temps, l'idée qu'il puisse survenir la disparition de cette union ainsi que de l'euro, que cela commençais, même inconsciemment, à devenir envisageable pour nombre d'entre eux, en accroissement continue.

    Je ne sait pas de ce qu'il pourrait en être du monde journalistique.

    Toutefois, nous ne sommes pas encore parvenu pleinement, loin s'en faut, aux compréhensions, acceptations, orientations, choix et actions nous démontrant la pleine et entière conscience de la majorité de ces élites et élus de la fin prochaine de l'U.E. et de l'€.

    Ce n'est pas seulement de la gauche dont je fait référence, du Parti-Socialiste, du Président de la République Française, Monsieur François Hollande ainsi que de son gouvernement.

    A droite comme à gauche, chez les radicaux comme chez les conservateurs, cette compréhension frissonne, tremblotte, bruisse à peine mais bruisse quand même.

    Comme je l'avais montré dans : "Essai de réflexions théoriques sur les égarements de nos élites nationaux et internationaux.", un certain nombre de ces élites et élus sont dores et déjà dans un processus de deuil, à savoir déni, colère, marchandage, dépression, acceptation, tel que la définit Madame Elizabeth Kübler-Ross.

    Or, il me semble, et ce après avoir écouté l’interview de Monsieur Michel Rocard, premier ministre en 1988 sous le septennat de Monsieur François Mitterrand, y exposant hier son assurance quand à la disparition de l'U.E. et de l'euro, idée qui le désolait, que ce deuil est bien plus avancé que ce que j'en pensais au sein des représentants des partis politiques dits de gouvernement et d'économiste néolibéraux, être sûr de la fin de l'U.E. et de s'en désoler n'est-il pas une façon de marchandage?

    L'U.P.R. a ainsi accueillit, en son sein, Monsieur Brousseau, économiste ayant, il y a peu, démissionné de la B.C.E., la banque centrale européenne, U.P.R., parti politique militant pour la sortie de l'U.E..

    Il en est de même du peuple ainsi que de chacun de nous le composant qui, en un processus inconscient, vivons ces cinq étapes du deuil de devoir quitter un mode de penser qui s'était progressivement élaboré depuis plus de deux cents ans, ce que je nomme l'économisme dogmatique: "idée n° 7): Les dualités complexes: l'économisme dogmatique.".

    Il en est toujours ainsi lorsque vacille un dogme, s'effondre un empire, s'achève une période, les plus intelligents et les plus malins quittent le navire, les premiers d'avoir enfin compris qu'ils s'étaient fourvoyés, les seconds de sentir qu'il sera bientôt dangereux de rester avec les derniers représentants du système moribond.

    Il y a donc une pré-création d'un mécanisme de renouveau avant même que le système ne disparaisse.

    Nous entrons dans ce processus de basculement intimement lié à l'achèvement de toute période, où nous voyons un certain nombre de ceux qui participaient précédemment à ce système ancien évanescent s'en détourner, pour rejoindre ceux qui, préalablement marginaux, représentent les débuts d'une future rénovation sur de nouvelles (parfois anciennes) bases.

    Ainsi, lorsqu'il y a rupture des bases anciennes, lorsque, pour des raisons internes au développement d'une structure, d'une organisation, d'un organisme, il se produit une rupture interne à celles-ci en raison même des contradictions provenant de leurs développements et évolutions antérieurs, il se produit, peu de temps auparavant, l'apparition d'un début de réponse adaptée à la dite rupture, sinon il ne pourra que survenir la disparition des ces anciennes structures, organisations, organismes.

    Il en est ainsi des nations.

    Je conçois facilement d'être considérer comme traitre à la pensée anti-néolibérale que de montrer qu'au delà de la prochaine disparition de l'Union-Européenne, de la ruine de l'économie-monde et de l'annihilation de la puissance, voire du pays que sont les États-Unis-d'Amérique, nous nous devrions de nous demander quels seront ceux qui, de nos décideurs, auront rapidement, à cet instant, compris la réelle situation et agiront en conséquence.

    Parce que nous n'aurons, à ce moment là,  que peu de temps pour  nous retourner et conserver même une partie réduite de ceux qui nous gouvernent en France nous fera gagner, pour dire le moins, de bien précieux mois.

    Je conçois aussi de pouvoir être considérer comme traite en raison de ce qui, pour moi, importe principalement: la rapidité de réaction des édiles.

    Cela dit, je ne voterais pas pour les partis politiques dit de gouvernement, P.S., U.D.I., U.M.P., et, surtout pas, pour leurs petites mains du Front-National, ces quatre partis représentant, quoi qu'il en soit, la semblance d'une gouvernance actuelle et leurs divers soumissions.

    Il en est un autre de ces signes annonciateur de cette rupture prochaine mais ce ne sont pas les vitupérations culpabilisantes de personnalités telles que messieurs Giesbert ou Attali, du seul ordre du désespoir dû à la prochaine disparition du monde qui les avait construit et leur avait offert la place sociale qui est leur en une sorte de reconnaissance du ventre.

    Non, il s'agit d'un processus d'un autre ordre que je n'ai découvert qu'il n'y a que très peu de temps et que je nomme : "optimisation de pré-rupture".

    Ce processus, à comprendre, est plutôt logique.

    Cette rupture d'un système social survient lorsque les contradictions internes à ce système sont maximales, ce que nous vivons actuellement.

    Or, ce sont ces contradictions internes qui déstabilisent le-dit système et plus ces contradictions s'expriment, plus ce système est déstabilisé.

    Dès lors, plus le temps passe, plus cette relation destructrice entre les contradictions et les déstabilisations induites s'accentuent:

    Ce système génère, en interne, ses propres contradictions entrant en conflit avec la logique de son organisation, contradictions provenant de cette organisation.

    Organisation et contradictions sont consubstantielles de ce système, nous pouvons percevoir combien cela est vrai lorsque nous considérons le développement de la pensée bourgeoise jusqu'au néolibéralisme moderne.

    C'est parce que l'organisation de ce système agit sur son milieu de telle façon que le milieu, à son tour, agit sur l'organisation de ce système en un processus en boucle continue, comme il n'y a pas de réel moyen d'en contrôler la dynamique, cette boucle continue génère progressivement des contradictions déstabilisantes, les crises.

    Ces contradictions créent des perturbations qui, de façon récurrente et régulière, engendre des blocages évolutifs (le crash de 1929) où l'on voit ce système ne plus être adapté à lui-même, fonctionnant, dès lors, de façon ineffective (la grave crise des années trente).

    Il y a crise le temps que prend ce système à se réadapter à lui-même en se re-configurisant, dans le même temps, il détruit, par un ensemble de mécanismes qu'il induit, une partie matérielle et/ou symbolique de ce qui avait été préalablement bâtit, par des guerres, des ruines économiques, des renversements de pouvoir..., tout en conservant l'essentiel de son intégrité sous la forme de son organisation et de ses contradictions potentielles qui lui sont liées.

    Il est donc à noter le retour en arrière nécessaire créé par ces destructions pour permettre la mise en place de ces nouvelles configurations (les destructions dû à la deuxième guerre mondiale).

    Ce système doit donc inventer de nouvelles configurations internes lui permettant de poursuivre son développement en complément des formes internes anciennes qui étaient et restent la cause de ces contradictions (l'ensemble des décisions nationales et internationales prisent à la sortie de la 2ème. guerre mondiale puis remisent en cause dans les années soixante-dix en réponse, déjà, d'une crise interne).

    Il s'agit donc là de crises adaptatives récurrentes et naturelles qui, bien qu'elles aient détruit à chaque fois une partie de ce qui avait été préalablement bâti, n'en conserve pas moins une part substantielle de cette transformation du milieu que ce système avait fait s'ériger dans cette relation de ce milieu avec ce système.

    De crise adaptative en crise adaptative, les déstabilisations se font plus rapides et, dans le même temps, en une apparence de paradoxe, le système parvient à son fonctionnement optimum puisque, à chaque fois, ce système adopte de nouvelles configuration lui permettant un fonctionnement plus efficace dans un milieu qu'il a lui-même façonné.

    Il arrive un moment où les contradictions internes deviennent si puissantes avec ce fonctionnement tant efficace et les déstabilisations se font si importantes en une temporalité à chaque fois plus courte que plus aucune nouvelle configuration ne peut permettre à ce système de se perpétuer.

    Ce système s'effondre alors par lui-même puisqu'il se trouve dans l'impossibilité de trouver, d'une quelconque façon, de nouvelles configurations qui lui serviraient à perdurer.

    L'époque actuelle nous en fournit un bel exemple où nous voyons les crédits se faire, en Europe, logiquement pour la levée de fond des sociétés économiques et pour les achats de biens des particuliers, mais maintenant, également, pour le simple fonctionnement des états.

    Nous voyons aussi les investissements ne plus s'effectuer quasiment essentiellement que pour les seuls investisseurs.

    Nous pouvons dire qu'il y a optimisation des crédits et de l'investissement puisque les intérêts sont ponctionnés pour permettre aux investisseurs d'investir, pour l'essentiel, sur les autres investisseurs par l'intermédiaire des fonts spéculatifs et des banques.

    C'est ce que j'appelle l'optimisation de pré-rupture ou: "Ce qui est parfais disparaît!".

    L'accélération en extension que nous vivons est dû à un ensemble de facteurs dont les plus importants sont l'explosion démographique depuis près de deux siècles, tous les moyens de communication et de déplacement qui se développe tant en nombre qu'en vitesse, l'accroissement vertigineux des découvertes qui génèreront, bientôt, des découvertes fantastiques et, parfois, dangereuses..., tout cela intimement lié aux effets du développement de ce système bourgeois, capitaliste et, maintenant néolibéral, dont nous sortirons sous peu en inventant un nouveau système qui se révèlera, lui aussi, avoir des composants contradictoires créant des déstabilisations récurrentes.

    Réservons cela à nos lointains descendants et penchons nous, dès à présent, sur cette plus que crise que nous traverserons bientôt et dont, en France et chez nos proches voisins, nous sortirons sans trop de difficultés si nous sommes nombreux à comprendre ce à quoi nous nous confronterons.

    C'est pourquoi ce que nous devons saisir c'est ce que nous allons prochainement vivre ne sera en rien une crise mais ressemblera plus à quelque chose de l'ordre d'une mutation rapide et chaotique.

    C'est pourquoi il est essentiel de nous y préparer.

     

     

    THEURIC

     

  • Idée n° 10) Essai de réflexion sur la causalité.

    Principe 0): La magie n'existe pas, c'est à dire qu'aucun effet ne peut être sa propre cause, rien ne peut se créer de et par lui-même (Bouddha), que cette cause soit connue ou inconnue, que les lois de la nature qui sous-tendent la cause et ses effets soit connues ou inconnues sinon ce serait remettre en cause l'entropie, les moteurs à explosion et l'existence de la vie elle-même...

    1) J'appelle un « causal » l'ensemble des relations entre les causes et leurs effets, c'est l'unité de causalité.

    2) Les causals sont simples.


    3) Leurs effets sont complexes.


    4) Les effets cachent, avec le temps, les causals et leurs causes.


    5) On ne peut véritablement comprendre un effet qu'en en comprenant son causal.


    6 )Un causal génère toujours des effets multiples.


    7) Un causal est une singularité évènementielle venant toujours de la conjonction de causes venant d'effets divers provenant de causals dissemblables.


    8) La durée d'un causal est directement liée au temps moyen d'existence des principales causes venant d'effets divers initiateurs de ce causal.

    9) Le sentiment que nous avons de la durée d'un causal est directement relative à l'éloignement temporel et/ou spatial que l'observateur a de ce causal.


    10) Un effet ne peut provenir de causals multiples.


    11) Il ne peut y avoir de rétroaction d'un effet vers son causal (sauf à remettre en cause le principe entropique).


    12) Un effet peut générer une cause secondaire, un pseudo-causal, ressemblant au causal originelle (un écho).


    13) Le nombre de causals est directement proportionnel à la complexité du milieu dans lequel ils se produisent.


    14) Les causals obéissent obligatoirement aux lois et principes de la nature, qu'ils soient connus ou inconnus.


    15) Les lois et principes de la nature connus et inconnus ne sont pas toujours les effets initiateurs principaux de causals.


    16) J'appelle substrat causal les lois et principes de la nature connus et inconnus en relation avec un causal.


    17) Tous les lois et principes de la nature n'interviennent jamais ensemble dans un causal.


    18) Il y a une hiérarchisation causal suivant la dimension du causal se produisant ( la chute d'une petite météorite ou d'un lourd météore produirons des effets différents).


    19) Un causal doit sûrement se structurer suivant des loi mathématiques.


    THEURIC

Nous avons tous la responsabilité d'être, avec nos faiblesses et nos forces, mais nous devons, dès maintenant, lutter contre cet obscurantisme béat qui nous enserre et nous étouffe. Seul le questionnement de notre monde, de ses vérités, nous le permet.