Il s'agit là d'une abeille mellifique, Apis Mellifera, que j'avais prise en photo je ne sais plus où ni quand.
Étrange et beau cliché où l'inflorescence semble être celle d'un Bergénia Cordifolia et le feuillage d'un Laurier Cerise, Prunus Laurocerasus.
Je suis content de constater que quelques noms de plante des jardins me restent de mes trois ans d'études dans l'école horticole de l'EDHM, M pour Montreuil.
Comme quoi choses bien apprises et comprises ne s'oublient jamais, cordifolia voulant dire en forme de cœur, Prunus Laurocerasus parce que ce laurier est de la même famille que le prunier (ce qui m'avais surpris à l'époque), deux bons moyens pour se souvenir de ces appellations.
Préambule:
Je me suis aperçu dernièrement, en vous en faisant rapidement cas antérieurement, que ma démarche, tout comme celle d'autres intervenants sur le WEB, consistait à tenter de contrer la vulgate manipulatrice provenant des discours officiels et médiatiques, ceci en amenant une parole inverse, en en faisant tout pour être au plus proche de la réalité.
Ce qui, je le souhaite, mène à un processus similaire de celui de rechercher d'éliminer un bruit désagréable et/ou puissant en en générant un autre contraire de même intensité.
Ici, en préambule, je vais faire l'essai de décrire ces adultes qui sont de fait restés toute leur vie que de grands enfants, ceci pour corriger une erreur mienne faite par le passé.
Il s'agit d'une névrose (qui, parmi nous-autres être humain, ne serait-il pas plus ou moins névrosé?) qui a de nom syndrome de Peter Pan, cet homme et cette femme vivant en leur monde au nom de Jamais-jamais, provenant d'une éducation défectueuse constituée de graves manques où les interdits du surmoi ne furent pas suffisamment élaborés et établis dès la plus petite enfance, si tant est qu'ils le fussent.
( Une éducation défectueuse composée pour partie d'interdits absurdes ne conduisant pas à un tel syndrome, pouvant aisément évoluer, ceci d'autant plus si l'instruction de la personne fut bien composée, ou, si c'est sous une forme légère, facilement guérissable. )
Doublé de ce que les sujets ne se furent que peu ou non confronté, dès l'arrivé à l'âge adulte, à la réalité de la dureté de la vie, les empêchant toute remise et question et en cause de leurs multiples faiblesses.
Contrairement à ce que j'ai pu concevoir par le passé, ces être sont non pas, à de rares exceptions près, pervers-narcissiques, puisqu'ils ne souffrent ni d'un état psychotique latent, ni furent victimes de graves sévices psychologiques et/ou physiques lors de leur tendre âge, ni n'ont refoulé leurs émotions pour cette raison, ni ne sont pervers pour tenter de sauver leur narcissisme gravement malade, ni ne se nourrissent de leur culpabilité due à leur perversité...
A mon sens, nous pourrions plutôt concevoir la dénomination de cet étrange mal comme étant du narcissisme pervers, puisque là il s'agit de mouflets ayant normalement largement dépassé l'âge des caprices, où, pour défendre leur monde imaginaire, seul point commun d'avec les précédents, dedans lequel ils se sentent en sécurité, ils vont agir et réagir de manière de continuer d'y vivre en évitant, s'ils le peuvent, leur confrontation d'avec la réalité, ou alors en en ayant un déni absolu, en écartant tout ce qui pourrait pour eux constituer une menace à l'encontre dudit monde.
Auquel cas une démarche pervers en en étant l'un de leur principal moyen pour se faire, leur culpabilité due à leur inconduite leur étant automatiquement refoulée, tout en conservant l'entièreté de leurs réactions émotionnelles et ne prenant de plaisir que ceux, naturellement, des plus infantiles.
Et si ces enfants gâtés, dans tous les sens de ce terme, apprécient d'avoir du pouvoir, ce n'est qu'en raison de perpétuer leur existence puéril en leur univers constitué d'affabulations constantes faites de bêtes naïvetés déconcertantes, mais, à terme, dangereuses pour toute l'existence de leur vie d'adulte.
N'étant pas structurés ni mentalement, ni moralement, devenus sots de fait, ne voulant jamais reconnaître leurs erreurs, ils feront tout pour en accuser l'un de ceux ou le groupe qui est sous leur gouverne, voire une population entière si ledit pouvoir est gouvernemental.
Et si ceux se retrouvant en face d'eux leur résisteraient, leur réactions peut être de l'ordre du caprice et/ou de la maltraitance.
Contrairement aux pervers-narcissiques, les narcissiques pervers peuvent, sans que cela ne leur pose le moindre problème, vivre, s'associer et partager la même sphère chimérique et fabuleuse avec leurs semblables, dans l'espoir de faire joujou jusqu'à la fin des temps, Peter Pan éternel dans le pays de Jamais-jamais.
( Je pense dès lors définitivement que le pervers-narcissique ne peut qu'être un solitaire ne supportant pas ses semblables, contrairement à ce que j'ai pu en concevoir par le passé. )
L'un et l'autre se devant de ne pas être confondu avec l'homme ou la femme souffrant, quand à eux, d'un trauma profond, resurgissant par moment sous formes diverses, parfois violentes, à cause d'un événement pouvant être anodin pour tous, mais qui, pour leur inconscient, leur est grandement significatif.
Avant-propos:
Un empire, au-delà de tous les outrages qu'il peut accomplir, n'a d'existence, à la suite de sa constitution, que tant que persiste quatre déterminants, quand bien même que de bonnes représentations impériales ne sont plus que de l'ordre d'un vestige dû à sa décadence, se sont souvent les dirigeants de ses possessions qui s'y raccroche le plus longuement.
En étant de même, d'ailleurs, pour un gouvernement, voire d'un pouvoir de quelconque autre facture.
Ces trois déterminant sont:
1) La puissance sous toutes ses formes;
2) La probité;
3) Cette forme de sagesse qu'est la raison;
4) La cohérence, quelle soit économique, politique, militaire..., toujours décisionnelle...
Qui suscitent tous quatre la confiance nécessaire pour que perdure cette domination impériale envers desdites colonies, ad minima pour le pouvoir installé par l'imperium, mais aussi celle du peuple à l'endroit du gouvernement d'alors ou de l'ensemble du système politique en place.
Dés lors qu'entre en déclin ledit pouvoir, quel qu'il soit,, il y a une désagrégation progressive de ces quatre caractéristiques centrales de l'autorité, apparaissant progressivement leur contraire:
1) La faiblesse;
2) La prévarication;
3) Le ridicule;
4) La confusion, l'inconséquence et le désordre.
Le pire poison pour une légitimation impériale, d'une prépotence ou gouvernementale, c'est ce ridicule, dont le film éponyme, peut-être prédictif de ce qui survient aujourd'hui (l'oeuvre est toujours plus, voire au-delà, que son créateur, là se place l'art, le reste n'ayant que l'importance du snobisme), a su en donner sa dimension tragique, histoire se passant à la veille de la révolution française.
Ne pouvant que s'y rajouter une faiblesse grandissante et une tendance de ses acteurs au trafic d’influence tout autant potentiellement qu'à la violence.
Ce à quoi nous ne pouvons que d'y adjoindre en notre époque une baisse gravissime de leur capacités intellectuelles.
Le déclin de l'empire thalassocratique US:
Les Etats-Unis-d'Amériques nous montrent désormais leurs os en faisant rire le monde entier.
La lutte véritablement à mort que les deux partis de pouvoir, les démocrates et les républicains, représentant clairement deux forces dorénavant divergentes au sein des USA, l'oligarchie ploutocratique et les GAFAM pour les premiers, l'état-profond impériale et les industriels pour les seconds, même si le camp de chacun ne semble pas aussi bien établi.
Cette lutte à mort lors de leurs élections nationales, conduisant les dits démocrates à faire montre d'un amateurisme invraisemblable lors de leurs multiples triches ( ici, là, ailleurs et autre-part ), ce qui déjà fait réagir certain de nos compatriotes stupéfaits, le site de businessbourse en venant à en traduire un autre, étasunien, ne devant pas être le seul en ce cas.
Charles Sannat nous mettant en garde contre ce qu'il y nomme un signe noir, soit la survenue de moments difficiles dues à une période, au mieux d'une immenses tension dans le pays de Tonton Sam, au pire d'une guerre civile qu'il n'ose clairement signaler.
Charles Gave nous en en relatant les péripéties sur Radio Sud.
C'est cette histoire de cornecul, ce ridicule ne pouvant que conduite à la raillerie et au mépris à l'endroit du, paraît-il, pays le plus démocratique au monde, qui, plus que toute autre chose, fait que l'imperium a définitivement perdu tout prestige, quand bien même en Europe le rêve américain reste grandement présent.
C'est pourquoi les médiats n'en parlent plus que très succinctement.
Tout autant que de cette perte de représentation du sérieux d'un imperium déclinant, celui de sa puissance ne peut dorénavant que faire débat, voire à ce que ledit débat en soit désormais dépassé, passant à celui de l'évidence pour tous, sauf si, évidemment, le fort déni de certains quant à sa situation réelle n'en fasse censure.
Lors, quand bien même en France notre conjoncture se retrouve à être en tous points détestable, que la disette mène de plus en plus de familles à demander de l'aide aux associations caritatives, les Etats-Unis sont eux en une position de pauvreté bien pire.
En cela une raison fort simple: en tant qu'étant notre maître impérial sa désindustrialisation avait débuté bien avant que ce qu'il en fut de la nôtre, alors même que la double création de l'union-européenne et de l'euro en accéléra grandement le processus, l'état déplorable de ce pays ne pouvait pas se rattraper.
Il n'est que de lire quelques traductions d'auteurs US, d'y percevoir leur stupeur impuissante, leur consternation, leur accablement, pour comprendre à quel point l'état des choses y est gravissime ( ici les enfants ont faim, là Thanksgiving, leur fête national, est au désespoir