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Presque une petite pose en politique en une réflexion de nos origines.

Bon, en ce moment je me sens en verve, trois billets quasiment à la suite, ça faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

Le sujet que je vais aborder aujourd'hui traitera autant de l'origine d'Homo Sapiens Sapiens que de celle du singe, des ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres, de nos ancêtres en quelque sorte.

Pour le reste, je vais ici donner ici un bref aperçu de ce qu'il se passe tant en politique qu'en économie (je vous renvoie à mes deux derniers textes pour ceux ne les ayant pas encore lus):

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Après que Monsieur Poutine ait donné le baisé de la mort à Madame Le Pen (l'avoir invité chez lui), la Russie se tourne vers le P.C.F. et Les Insoumis, ces derniers étant les plus réactifs.

Il est à penser que, comme le veut les principes de la politique, l'unilatéralité idéologique d'Emmanuel 1er et des macronistes mènera inéluctablement ces deux partis à la radicalité.

La police et l'armée, toutes deux épuisées, auront toutes les peines du monde pour réduire la violence sociale qui, de plus en plus, vient en réponse de la violence économique et politique de nos oligarques.

Il y aura des morts dans la rue.

Pendant ce temps là, l'U.P.R. qui, pour l'équipe philipparde, est en voie de marginalisation, se retrouvera devant un large boulevard puisque oublié par l'oligarchie et ces représentants (de commerce), ce qui lui permettra de se développer à l’abri de cette violence populaire et d'état qui vient, du-moins pour un temps.

Dans l'empire U.S., Monsieur Trump n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie de son pays, pour cela il lui faut faire exploser le dollar et Wall Street.

C'est pourquoi son armée ne cesse d'agacer la Chine et la Russie, ceci pour que ces nations en viennent à vendre en masse leurs bons du trésor U.S..

En Grande-Bretagne, après que Madame May ait écarté les eurolâtre du parlement britannique lors de leurs dernières élections législatives, propose déjà à sa nation un brexit dur à cause de l'inflexibilité de l'U.E., ce qui ne pourra que mener à une déstabilisation accrue de l'union.

Pendant ce temps là, la désindustrialisation internationale perdure et s'amplifie.

Le signe le plus évident se trouve dans le prix de l'essence qui n'arrête pas de descendre.

Il est à remarquer ce début de tendance, pour les grands-magasins, d'avoir des difficultés de réapprovisionnement.

Je ne le répèterais jamais assez, faites vos réserves.

Après six mois environ de tergiversations des russes et des étasuniens de savoir si oui ou non il fallait faire perdurer cet étrange expérience qu'est l'U.E., la décision de détruire l'U.E. paraît être définitivement prise.

Le plan consisterait, me semble-t-il, à ruiner les banques et les oligarques français par la cessation de paiement du pays en rendant insolvable les habitants (monté des impôts et des intérêts des découverts) et, dans le même temps, à instrumentaliser leur colère logique et normal, au travers des syndicats notamment.

D'où le cadeau que fit Monsieur Macron aux banques, sur les conseils de je ne sais qui travaillant pour je ne sais qui, en leur octroyant 5,75% d'intérêts en plus des 1% que le pays devrait normalement verser, faux cadeau qui, en réalité, est là pour générer la banqueroute des banques françaises trop grosses pour faire faillite, puisque les acheteurs potentiels disparaîtront.

Nous pouvons percevoir là la naïveté, pour dire le moindre, de Monsieur Macron et de son équipe, Mitterrand en dirait qu'on y voit déjà à travers.

Une fois l'une d'entre-elles faillit, c'est toute la chaîne des banques européennes qui suivra et, donc, en fin de course, la Deutsche-Bank, aussitôt et inéluctablement suivie des banques étasuniennes, un tel plan tordu ne pouvant être signé que par les anglais.

Il est à noter que la lutte sourde que se mènent Goldman-Sachs et Roltschild en Europe continue (Macron, Attali, Minc sont les émanations de cette dernière), la seconde ayant pris pied en France, l'Union-Européenne, créature de la première, par l'entremise du Luxembourg, tente de l'y déloger par une accusation de blanchiment d'argent sale, sûrement avec raison du reste.

Mais bon, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, non?

Une dernière chose:

La désintégration du Front-National mène à ce que les plus extrémistes de ce parti, jusqu'à présent maintenus fermement par Le Pen père puis fille, tendent désormais à prendre leur indépendance et à agir par la violence.

Encore peu structurés politiquement, ils représenteront, sous peu, avec, à l'autre extrême, la minorité des anarchistes, violents ceux-là (la majorité de ces derniers vivant en quasi autarcie), un danger supplémentaire pour le gouvernement.

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Bon, tout ceci dit, je vous présente, comme promis, en seconde partie de ce libelle, une réflexion sur nos origine en posant deux simples questions: pourquoi les hominidés, dont nous sommes avec les chimpanzés, n'ont pas de queue et pourquoi l'existence des ongles et quels en furent leurs effets:

Il est des sujets aussi sérieux et passionnant que la politique et l'économie où il est possible de se montrer tout autant provocateur, comme il peut en être de l'origine et de l'évolution de l'espèce humaine.

P1000787.JPGEn fait, non, je ne suis pas vraiment provocateur en ce sens où je ne recherche pas la provocation, sinon j'aurais abordé ce thème et bien d'autres depuis fort longtemps.

Ce qui est donc provocateur dans les idées que je peux exprimer est essentiellement le fait que je remets en question la structure doctrinale de notre époque.

En cela je ne suis pas le seul, loin de là, que ce soit Madame Deloison, de son livre: "Préhistoire du piéton: les origines de l'homme basées sur l'anatomie comparée des hominoïdes." ( la-prehistoire-du-pieton.php ) ou de celui de Madame Morgan: "Les cicatrices de l'évolution" ( 2910030113 ), le questionnement de cette structure doctrinale, sur ce simple sujet de notre évolution au fil est ères, n'est donc pas de mon simple fait.

En revanche, que cela puisse venir de quelqu'un qui, comme moi, est simple employé (conducteur de bus, mais chuuut, faut pas le dire) à la retraite, ne peut que plus encore déstabiliser, de cela j'en suis parfaitement conscient.

C'est pourquoi j'ai tant attendu avant d'exposer cet ensemble d'hypothèses.

Or donc, voici ce premier sujet, peut-être moins polémique: pourquoi les hominidés que nous sommes, nous les Êtres Humains, avec les gorilles, les chimpanzés, les orangs-outans et les feus australopithèques, n'avons-nous pas de queue?

La réponse m'en fut donné lorsque je vis un reportage sur les singes magots vivantP1000702.JPG dans les montagnes d'Algérie et du Maroc, ainsi que sur le rocher de Gibraltar, comme le dit Wikipédia ( Macaque_de_Barbarie ), en fait, là-bas il peut y faire très froid et donc les queues risquent de se congeler, ce qui, vous en conviendrez, ferait mauvais genre.

Mais il y en a un autre, de macaque, qui préfère lui aussi ne se geler que les miches et non pas un long appendice caudal pouvant se glacer qui, dès lors, a disparu, c'est celui vivant au japon ( Macaque_japonais ).

Cela voudrait-il dire que les hominidés actuels que nous sommes auraient d'ancêtre un singe qui aurait vécu dans une région suffisamment froide pour que sa queue ait disparu, il y aurait de cela quelques dizaines de millions d'années?

Ma foi, j'y répondrais par l'affirmative, mais où donc, alors là, je serais bien en peine de vous le dire.

Une autre question me turlupine, celle de l'existence de nos ongles.

Bon, c'est vrai, pour nous les Hommes, avoir des ongles plutôt que des griffes, ben, ça a tout de même quelques avantages, ne serait-ce pour mettre nos chaussures ou mettre le doigt dans l'oreille, mais pour les singes, tous les singes, des petits comme des grands, quelles poisse de ne pas en avoir, de griffe.

Vous imaginez-vous les trésors d'inventivité qu'il a fallu à l'évolution pour palier à P1000850.JPGce manque pour grimper aux arbres, voire même tout simplement pour courir?

Queue préhensible pour ceux vivant dans les Amériques, système de blocage de la main pour les chimpanzés et les gorilles pour se tenir aux branches, ce qui les oblige à s'appuyer sur leurs phalanges lorsqu'il se déplacent à quatre pattes, j'en passe et des meilleurs, enfin, la vie évolutive ne leur fut pas bien rose, non?

Et puis, avoir des papattes bien griffues pour courir vite sur la terre ferme, ça ne serait pas si mal que ça, parce que la griffe, elle, elle aide à la course, permet de bien se tenir au sol pour fuir le vilain prédateur, ou être soi-même chasseur, s'accroche aussi au tronc d'arbre pour y grimper.

Pour fouir et creuser un bon et profond terrier bien douillet elle en est même, la griffe, indispensable, qui a déjà vu un singe se la jouer terrassier, personne, ainsi la griffe est-elle ô combien utile, alors pourquoi s'en débarrasser?

Demandez donc ce qu'ils préfèreraient de l'ongle ou de la griffe, à l'écureuil de la forêt d'à coté, au suricate des prairies africaines, au chat de la voisine et à votre Médor adoré, vous verrez ce qu'ils vous répondront.

D'ailleurs, peut-être est-ce cette bizarrerie ongulesque du simiesque commun d'antan qui fit que notre pied a, aujourd'hui, cette forme si commune et que notre main aurait conservé sa forme primitive des pattes des paléo-mammaliens?P1000803.JPG

De la perpétuation du déplacement à quatre pattes (jusqu'à nos ancêtres, ben oui), le premier, le pied, se serait allongé et élargi pour offrir une meilleurs base d'appui ainsi qu'une meilleurs adhérence à la course et la seconde, la main, pour les mêmes raisons, aurait gardé cette forme étoilée aux cinq doigts, si je puis dire, que l'on retrouve chez les aïeux les plus lointains des mammifères, avec la paume et les doigts souples pour un bon et puissant développé (et puis compter sur les doigts, mais çà, ça se fera plus tard).

Alors, pourquoi l'ongle plutôt que la griffe?

J'aurais bien une réponse, une hypothèse, mais alors là, c'est vachement osé, plutôt gonflé, même.

Ç’aurait été pour éviter de griffer et blesser le dinosaure lorsque le paléo des paléo-singes aurait épouillé ces énormes grosses bêbêtes qui devaient être recouvert d'un tas de bestioles et de végétaux sur leur immense corps, ce qui, ma foi, devait offrir le gite et le couvert à peu de frais à ce futur singe.

Et oui, nous pourrions très bien imaginer que leur peau, à ces monstrueux ancêtres des oiseaux, réagissaient par des mouvements ondulatoires assez violents si quoi que ce soit se mettrait à les chatouiller d'un peu de trop, comme un coup de griffe, par exemple.

P1000191.JPGCette habitude de l'épouillage, nombre de singes l'ont conservé, mais elle a changé de fonction et d'utilité, comme il en est de coutume dans les processus évolutifs, n'est-ce pas?

(D'où aussi, pour les Hommes que nous sommes, le symbole du dragon ou du serpent à plume, qui s'exprime différemment suivant les régions du monde, puissance en Asie, saint-Georges et Saint-Michel tuant le dragon pour les chrétiens, Quetzalcoat en Amérique du Sud précolombienne..., comme quoi, la mémoire peut prendre bien des formes, ici celles des symboles humains.).

Ce serait aussi pourquoi nous serions toujours omnivore, nous autres, homo Sapiens Sapiens, même les bonobos le sont, c'est pour tout dire (et pour la bagatelle, mazette).

Çà me fait penser à ces petits poissons qui, dans les océans, viennent débarrasser de leurs vermines et leur déchets des repas précédents de gros poissons comme les mérous et autres requins du coin (coin coin, ça, c'est le canard).

Et puis, après que la météorite d'il y a 65 millions d'années ait exterminé ces énormes bestioles à la peau garde-manger, d'une grosse papatte d'un brontosaure à un arbre, y grimper aurait comme de la ressemblance, non?

P1000660.JPGMême si certains choisirent plutôt le plancher des vaches, il est vrai que les arbres mirent du temps pour ensuite repousser.

Et puis plouf et glouglou, quelques dizaines de millions d'années plus tard, nos ancêtres à nous seraient allé à la baille, auraient perdu leur poils , se serait redressé, pour marcher dans la mangrove et nager, aurait perdu son os pénien, ce qui n'empêche en rien monsieur de redresser la riquette devant madame, suerait tout leur eau et leur sel par chaud soleil...etc...etc...etc..., pour le reste, je vous renvoie aux livres des auteP1000480.JPGures sus-nommés.

Enfin, bref, tous ces petits accommodements dus à notre redressement sur deux pieds, qui nous amusent tant et fait dire que celui qui, après cinquante ans, n'a pas mal quelque part en se réveillant et se levant bon matin, c'est qu'il est mort (et que dire du mal de dos, mal du siècle, non, de l'espèce!).

Allez, encore une supposition, pour la route.

Et si le fait que nous ayons un langage articulé provenait, justement, du fait que nos très, très très anciens ancêtres, plus anciens que ça, même, dont nous n'avons gardé aucune photo, vivaient dans une dense mangrove et nageaient sous l'eau.

Nous pourrions nous demander, dès lors, si les langues à clics, dite khoïsan ( Langues_kho%C3%AFsan ), n'auraient pas, d'origine, ce fait que, sous l'eau, ce serait des sons qui s'entendraient fort bien, puis des clics aux consonnes il n'y aurait qu'un pas, si je puis dire, comme les voyelles, d'ailleurs, faites l'expérience en piscine, vous verrez, c'est amusant.

Et puis écoutez les dauphins, les voyelles et les clics, ils les connaissent très bien.

 

Donc, en reprenant plus sérieusement ces hypothèses, l'origine des ongles P1000791.JPGproviendrait de ce que, il y a bien plus que 65 millions d'années, bien avant que la fameuse météorite pulvérise 70% de la vie terrestre, un mammifère, ressemblant peut-être aux suricates en plus archaïques, serait venu se nourrir des animaux et plantes parasites et saprophytes recouvrant le corps des plus gros des dinosaures.

A l'exemple des poissons et crevettes mutualistes qui, dans les océans, font de même aujourd'hui.

Pour éviter de blesser leurs hôtes ou tout simplement leurs réactions réflexes d'ondulation de leur peau, les griffes de nos ancêtres de nos ancêtres se seraient, progressivement, transformées en ongles.

Pour prendre place sur le dos de ces géants, il leur fallait soit de grimper d'abord sur un arbre, soit monter sur leur énormes pattes, ce qui leur nécessitait une bonne agilité.

Du fait que l'ongle offre un point d'ancrage sur le sol nul, contrairement au sabot ou à la griffe, pour courir notamment, le pied se devait de s'allonger, comme aujourd'hui celui du babouin ( http://www.photodenature.fr/babouin/photo-babouin-9/ ) et du mandrill ( ?p=68161 ), et la main conserver sa forme archaïque avec ses cinq doigts en étoile offrant une bonne stabilité.

Ceci explique tout un ensemble de fait remarquable que nous ne retrouvons queP1000855.JPG chez les singes, il n'existe pas, par exemple, de singe fouisseur, soient ils grimpent aux arbres, soient sont d'excellents coursiers, avec des capacités de préhension manuelles bien plus efficace que quasiment tous les autres genres.

Ceci expliquant également l'épouillage qui serait, à mon sens, des restes de réflexes instinctifs antédiluviens.

Ensuite le manque de queue chez les hominidés, autre énigme, s'expliquerait, comme écrit plus haut, par le fait que le paléo-hominidé vivait dans une région, sinon froide, plutôt tempérée, avec des hivers suffisamment vigoureux pour que l’appendice caudal en vienne à disparaître.

Enfin, les capacités humaines d'émettre des sons articulés et complexes proviendraient de ce que, avant même que le genre Homo n'apparaisse, un descendant de ces paléo-hominidés se soient retrouvés à vivre dans une mangrove et, avec le temps, à devoir échanger avec ses congénère sous l'eau, pour chasser le poisson, ramasser les fruits de mer ou pour fuir un prédateur, par exemple.

Pour plus d'explications sur l'origine de la bipédie humaine et la théorie du primate aquatique, je vous renvoie aux deux ouvrages suscités.

Toutefois, la forme spécifique du pied des primates quadrupèdes tels que le babouin et le mandrill expliquent, me semble-t-il, l'érection humaine vers sa position P1000849.JPGdebout, du fait de pattes arrières larges et allongées: le pied.

Encore faut-il que cette évolution se fasse dans une suite de situations spécifiques.

Pour finir là-dessus, nous pourrions nous poser deux questions au sujet d'Homo Sapiens Néandertalensis:

-Ne serait-il pas logique de le représenter hirsute, soit recouvert de poil sur tout le corps, puisqu'il a évolué et vivait en pleine ère glacière et eu une existence bien plus longue qu'Homo Sapiens Sapiens lui ayant permi cette évolution, à l'exemple du mammouth et du rhinocéros de la même époque et du même lieu?

N'oublions pas que nous conservons toujours un système pileux fourni, bien que nos poils soient courts, combien de temps faudrait-il pour que nos descendants, placés dans une situation particulière, recouvre une toison suffisamment protectrice?

-Pour les mêmes raisons, ne serait-il pas logique de le représenter bond plutôt que brun, comme l'est l'ours polaire?

 

 

THEURIC

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