Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

appel à une nouvelle renaissance

  • Je vais publier sur papier.

    Messieurs-mesdames et chers lecteurs,

     

    Je vous prie de ne pas vous en attrister mais, et ce depuis longtemps, ce blog était bien trop de repos en raison d'empêchement, pour le moins ridicules, que je vous conterai peut-être plus tard ici-même.

     

    Pour l'instant je me penche au-dessus de ma poésie et de mes petites blagues que je songe d'ardemment publier sur papier, ceci en en changeant de pseudonyme.

     

    Je vous remercie chers lecteurs de vos lectures, même si je n'en connais aucun, ne serait-ce en commentaire, et vous souhaite de la plus meilleurs des nouvelles années, 2023, quand bien même bien des tracas ne peuvent que s'abattre dessus de nos pauvres têtes.

     

    Ceci n'est pas un adieu mais bien un au-revoir.

     

    Salut à tous et, me le demandant, quand le canadien prend-il son élan?

     

     

    THEURIC

    PS: J'aime les oiseaux, j'adore le poulet!

     

  • Des mathématiques d'usage:

    Et voilà, vois là !

     

     

    THEURIC

  • florilège 8

    Pour les clarinettistes et les pianistes:

    Les seuls à avoir des bajoues sont les hamsters et les trompettistes (jaloux!).

     

    Aux éloquents:

    Il parle, en effet, du sujet duquel de ce quoi, s'en exprimant, il en discute en en énonçant les faits, tel qu'il expose les pendants des points et contrepoints qu'il détaille en en révélant les traits passés qu'il montre ainsi présentés présentement présents, tout en un signifiant signifié significativement de circonstances d'une condition qu'il rapporte, conté de manière circonstanciée, dans la volonté d'affirmation pleine et entière de cet ensemble événementiel, entre-autre, en son sens premier.

     

    Avez-vous tout compris?

     

    Et bien;

     

    Moi non-plus!

     

    Pour les linguiste distingués:

    A ne pas confondre loi et l'oie: vous remarquerez que le premier mot ne se termine pas par un E.

     

    Pour les astrophysiciens tennismans:

    Le parsec: s'il est appelé ainsi c'est que, en l'espace, il n'y pleut pas, du-moins, peut-être, s'y joue-t-il au golf, comme au Morbihan.

     

    Pour les amateurs de courses automobiles:

    A ne pas confondre: le scooter et le scout erre (bof).

     

    Aux amateurs de proverbe:

    Ne mangeons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué!

    Moi non-plus!

     

    Pour les étudiants:

    Quel est l'âge du capitaine?

     

    Pour les promeneurs du dimanche:

    Ne confondons pas il est en plein milieu du chemin, il est en plein milieu, Duchemin.

     

    Aux belles de jour autant que de nuit:

    Une belle plante: qui fait quoi?

     

    A nos chers élus:

    Ils s'avançaient, le front haut de leur noblesse élective, légers de la sentence  électorale, de cet auguste et si lent pas que seule leur grave distinction du cénacle sénatoriale leur conférait.

    Tout bruissait, tout briait en eux de la majestueuse solennité de cette grande et infinie sagesse en leur mesure et raison ainsi manifeste que seul leur noble âge détient, quand, tout à coup, ils furent doublés par une vrombissante tortue!

     

    (vroum, vroum!)

     

    En science, une expérience qui échoue ne peut que vouloir dire que le résultat n'est pas celui escompté mais est autre.

     

    Pour les gourmets:

    Quand on a de l'appétit, est-ce le début de la faim?

     

    Pour les pâtissiers:

    Avec le curry on rigole (bon ben bof!)!

     

    Pour les musiciens:

    Un concert---,

     

    Tout dépend comment on l'entend!

     

    Pour les femmes:

    Tout ce que je dis vient de Clairette (Cela vous éclaire-t-il?)!

     

    A l'endroit de l'homme au chapeau mou, en l'honneur de son auteur:

    Quand le pire n'est pas sûr, il n'est pas sûr que le sûr soit le pire!

     

    Pour les restaurateurs:

    Être chambrière, c'est très bien, mais qu'en sera-t-il demain?

     

    A l'endroit des chimistes:

    Le bismuth, c'est pourquoi il passe au ter!

     

    De Socrate: Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement.

     

    Pour les golfes au matin clair:

    Le golf, si j'ai bien compris, ce n'est pas compliqué:

    On a une cane avec laquelle on tape dans une balle pour la mettre dans un petit trou comme on  le fait quand on joue aux billes, sauf que là il n'y en a qu'une, non pas de bille (logique).

    Au départ on part d'une part à part par un par et un tee, ou un thé, c'est au choix.

    C'est la même chose qu'au foot, sauf que ce n'est pas, là, un trou vertical mais horizontal et que ledit trou est un petit plus petit et que le terrain est légèrement plus grand.

    Il est à remarquer qu'à ce sujet on ne peut pas saisir mais surtout envoyer la balle ni par les mains, ni par les pieds, c'est pourquoi il faut bien faire la distinction entre ces deux sports!

    Il me faut de préciser qu'au golf il y a beaucoup de trou, ne sachant si chacun peut choisir le trou de son cru (c'est à chacun de préciser cela).

     

    Il est à remarquer également que le tennis est similaire au golf mais que, en plus qu'il n'y a pas de trou mais trois filets, le terrain de jeu se trouve être encore plus petit que le terrain de foot, avec, toutefois, quelques similarités, comme l'existence de filets, deux pour le foot, trois donc pour le tennis.

     

    Comme j'ai pu l'exprimer plus haut, le tennis ressemble au golf, sauf, donc, qu'à la place de trous, un grand filet sépare le terrain de jeu en deux parts égales, comme, vous le remarquerez au foot où, là, les filets du footisme (autrement dit le jemen) se trouvent à chaque extrémité du terrain de jeu (poils aux yeux).

    Ce sport se joue à 2 + 11.

    Deux joueurs ont, comme au golf, une cane chacun au bout de laquelle se trouve un petit filet sur lequel rebondit la balle.

    Le but dudit jeu consiste à ce que ces petits filets renvoient ladite balle en évitant que le grand filet n'attrape cette dernière pour la manger.

    Il y a un joueur assis sur une très grande chaise en hauteur et non pas en largeur (sans qu'il n'y ai de table) et regarde la balle faire des allers-retours.

    Huit joueurs, quand à eux, vérifient bien que les lignes qui font le tour du terrain ne bougent pas, on ne sait jamais.

    Enfin, les deux derniers joueurs se trouvent de chaque coté du grand filets et attendent qu'elle tombe pour la ramasser avant que cette balle soit attrapée par celui-ci, ils la garde pour la mettre ensuite coupée en deux dans leur poche, tout en câlinant ledit filet sur ses cotés pour qu'il reste calme et ne court pas après la balle.

     

    Il y a donc également le football, à ne pas confondre avec les petits trous du golf, ceux de ce sport se trouvent donc, comme dit plus-avant, en plus d'être plus grand et verticaux, aux extrémités d'un terrain un petit peu plus grand que celui du tennis, mais plus petit, si peu, que de celui dudit golf (qu'il soit clair ou non).

    Ce jeu se joue à 22+5 joueurs.

    Les vingt premiers courent après la balle qui s'appelle un ballon et tapent dedans avec les pieds, les genoux, le torse, les fesses la tête, alouette, alouette, haaaaaa.

    Deux se trouvent de chaque coté du terrain et attrapent ledit ballon quand il arrive près d'eux pour le renvoyer aux autres joueurs.

    Un des joueurs, le 23ème, n'a pas le droit de toucher au ballon et, dès lors frustré, suit celui-ci où qu'il aille, à remarquer qu'il est muni d'un sifflet avec lequel il s'amuse de temps en temps, ainsi que de petites cartes de couleur qu'il aime faire admirer de temps à autre.

    Deux autre de ces participant courent le long des lignes blanches, sûrement en faisant un concourt de celui que fera le plus grand nombre d'allers-retours (eux-aussi,  ne sachant pas pourquoi eux-aussi).

    Enfin, les deux derniers sont assis sur un banc de chaque coté du terrain et, de manière régulière, se lèvent, crient, se rassoient, se lèvent, crient, se rassoient, se lèvent, crient, se rassoient et, ce, d'un nombre incalculable de fois.

     

    Pour ceux qui, de mes amis lecteurs, ne les connaissaient pas, j'espère que ces explications, toutes en cohérences logiques, vous permettront d'avoir en main l'ensemble de cette connaissance en ces sports que j'ai  pu accumuler avec le temps et, qu'en humble serviteur du savoir, j'ai pu vous offrir ici.

    A remarquer que la différence entre un port et des sports se perçoit au nombre de S.

     

    Pour les éclairagistes:

    Combien doit-on avoir d'ampoules aux pieds pour avoir l'esprit clair?

     

    Pour les cruciverbistes:

    Avez-vous remarqué l'acronyme de papier-toilette?

     

    Pour les militaires (et vive les mineurs de fond):

    Le militaire qui grogne le plus c'est le caporal.

     

    Pour les magasiniers:

    C'est bien la forêt, il y a des toilettes partout!

    La prochaine fois, c'est là que je ferai mes courses!

     

    Pour les torréfacteurs:

    Être une chocolatière, c'est très bien, mais qu'en sera-t-il à deux mains?

     

    Pour les musiciens de jazzband (ce qui plait aux dames):

    Le jazz fait jaser et jazzer (ici, j'ai choisi la plus nulle, ça me repose, mais bon, ouf et bof).

     

    Pour les maghrébin:

    Il ne faut pas confondre mon rock et Maroc (je continue de me reposer...).

     

    Pour toute échelle graduée ascendante et descendante:

    Il y a des autistes et des baptistes!

     

    ( Là, il n'y a quasiment plus rien à écrire, tout y est dit, ou presque, il n'y manquerait juste que de tous petits riens,  que du très sérieux, donc, comme je sais y faire et dont donc dondaine et dondon je vous propose cette délicieuse prose. )

     

    Le meilleurs chemin est le sien, celui que l'on suit par et pour Soi-même!

     

    Offert grâcieusement:

    Quelle heure sera-t-il après cette heure?

    Laquelle?

     

    Pour les EINT :

    Nous, terriens, ne sommes pas des extraterrestres mais des terrestres extras (je me repose encore un peu).

     

     

    THEURIC

  • Florilège 7

    Pour les géomètres:

    J'ai l'impression d'exprimer dans mes petites blagues l'endroit de l'envers dans tous leurs sens et réciproquement de l'inverse du contraire en antithèse opposé de son dissymétrique...

     

    Pour les bateliers:

    De ne pas comprendre, il faut faire gaffe quand on rame.

     

    Pour les bipolaires:

    Il y a des bicéphales et des bijoutiers.

     

    Pour les catholiques médiévistes:

    Une nef est un anciens navire à voile se trouvant au fond d'une église.

     

    Pour les déistes:

    Quel est le dieu le plus mou?

    Dionysos, mais en cela un rien ne peut être que vin!

     

    Pour les argentins:

    Avez-vous remarqué avec quelle gourmandise les britannique (enfin messieurs, ils font, comme nous tous, ce qu'ils peuvent) disent le mot splendide?

     

    Pour les sud-américains:

    L'argent tint quand de l'art ou du lard j'en teins (bon, ben, bof )!

     

    La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité.

     

    Pour les mammouths:

    Si l'éléphant fait erreur c'est qu'il se trompe (à remarquer qu'en quoi que se fasse en cette défense, quand on se trompe ça prend ce cher Eustache d'à coup faines (bon, je me souviens du pourquoi faines)).

     

    Pour les amateurs de fruit à pépin (mais là je ne souviens plus du pourquoi le pépin):

    La défense d'un avocat parfois aussi se trompe!

     

    Pour les vacanciers:

    J'aime les temps ensoleillés, surtout la nuit!

     

    Pour les amateurs du S:

    Je sens Sens dans tous les sens à sensation censément sensés et concentré, me le dis-je résolu en me le susurrant d'une manière réitérée mais avec la pressée résolution resplendissante de sensibilité, mes sens aux aguets de la beauté de cette précieuse ville (ah la sinuosité du S et non pas d'US).

     

    Pour les amateurs de bonne cuisine:

    Pour un rendez-vous galant, si vous avez mangé de l'ail avant, un conseil, faites lui-en manger aussi (il est dommage que ce type de bonbon n'existe pas, le goût de l'ail sucré doit-être d'une admirable panacée beurck !).

     

    Pour les services de renseignement:

    Serait-ce les RG qui auraient créé Tintin et Milou?

     

    Pour les pires aux mannes:

    Où trouve-t-on les pompiers ayant une meilleurs vue?

    A Bonneuil.

     

    Pour les cavaliers:

    Quand ça craint je monte sur mes grands chevaux ( aux plus jeunes, ceux-ci sont deux expressions accolées qui ne font rirent personne  ).

     

    La différence entre les Homo Sapiens Sapiens blancs, noirs et jaunes?

    La mélanine!

     

    Pour les amoureux des spirales:

    Avez-vous déjà vu des escargots se faire la guerre?

    Ben non, ils ont signé la paix des baves.

     

    Pour les italiens:

    La RAI suit son train-train quotidien ( quatrième blague pitoyable mais, ne vous en faites pas, je vais tenter de faire pire en un petit chemin de faire ).

     

    Pour les alpinistes:

    L'on dit le Népal, mais à l'évidence ses habitants ont l’appendice nasal plutôt foncé, toutefois ils se disent tous nés pas laids (et non pas lait).

     

    Pour les râleurs saisonniers:

    Pendant l'été, sous la chaleur, nous nous disons: "Vivement l'hiver qu'il fasse froid!" Puis.......................................... les frimas venus.....

     

    Pour les zoologues:

    Combien faut-il de bois à Renne (re-bof et locomotive, comme quoi les locaux motivent et mènent à tout...)?

     

    Pour les gourmands:

    Ce que j'adore: Manger des amandes dénoyautés sans excès de vitesse.

     

    Pour les neuropsychiatres:

    Quand on est en effroi, quelle est la température de notre appendice nasale (que disais-je).

     

    En  hommage de Gotlib:

    L’hypertrophie de lapereau se tâte.

     

    Pour ceux qui aiment les trucs débiles et bien écœurants:

    Il faut savoir voir le mou choir du nez quand l'éternuement surprend lorsqu'il n'y a nul mouchoir à soi (beurck et bœuf!)!

     

    Pour je ne sais pas qui:

    Orage, ô désespoir, ô quand la pluie me tombe dessus, ô merde alors!

     

    Pour les paléoanthropologues:

    Homo Sapiens Heidelbergensis: nos lointains ancêtres auraient-ils pu se choisir un nom un petit peu plus facile à prononcer, n'est-ce pas?

     

    Pour le pain portant sa boulangère:

    Il faudrait faire du pain en conserve.

     

    Pour les logiciens:

    Quand le plus devient le moins et le moins le plus, alors cela au moins détermine que, tout au plus, ce fait se fait au moins bien qu'au plus mais, tout du moins, ceci au plus, lorsque de ce plus se fait en un moins, alors, à ce plus s'y rajoute du moins et, ceci, plus ou moins, du-moins à de ce que plus il ne s'en fallait d'au-moins qu'une pour que s'en rajoute un petit peu plus à ce moins (enfin, bref, j'espère que pour vous tous, tout ceci est bien clair, vous m'expliquerez çà plus tard, tout du moins pour que chacun d'entre-vous tous vous le fassiez tout au plus au minimum au moins...).

     

    C'est beau la philosophie.

     

    Avis aux boxeurs:

    Si vous ne voulez pas prendre de coup, ceci est compréhensible puisque ça fait mal, alors, un bon conseil, sortez du ring (gag lamentable mais je ferais pire un jour, vous verrez......).

     

    Pour nous, les hommes (aidé grâcieusement):

    Par certains moments de vie, les toilettes nous semblent bien étroits (16).

     

    Pour les lorrains:

    Le loir et la Loire: ils devraient se marier ces deux là!

     

    Pour nulle personne (soyons généreux):

    Io est représentée par une vache, dès-lors pourquoi ne le serait-elle pas par un poisson, rouge par exemple: l'ide.

     

    Pour les climatologues horlogers:

    La joie ineffable, transcendante et profonde de comprendre la nue âge du nuage...(que disais-je)!

     

    Pour les nutritionnistes:

    Agresser: serait-ce pour retirer un trop plein adipeux (pire encore)?

     

    Pour les métronomes:

    Avant de s'y mettre il se devrait de bien mesurer la chose!

     

    Pour les policiers:

    Combien utilisent-ils de cire épilatoire?

     

    Pour les dames pipi:

    Aux toilettes il y a quatre écoles:

    -Ceux qui se lavent les mains avant;

    -Ceux qui se lavent les mains après;

    -Ceux qui se lavent les mains avant et après;

    -Et puis les autres... .

     

    Pour les mathématiciens:

    Quel est le plus petit nombre?

    Le 16!

     

    Pour les oiseaux:

    A ne pas confondre: 2 nids et Albert!

     

    13 et 3

     

    Pour les physiciens:

    L’électrolyte et l'électronique: ce sont deux verbes différents!

     

    Pour les sociologues:

    Que faisiez-vous, vous,  hommes et femmes à Beziers?

     

    Pour les psychanalyste:

    Quand j'étais enfant j'avais huit ans de moins que ma sœur!

     

    Toutes choses restant égales, les créations artistiques sont autant absolument nécessaires qu'inutiles.

     

    Pour les natalistes:

    Gifs-sur-Ivette: et ils eurent beaucoup d'enfants.

     

    Pour les pécheurs:

    Qui n'aimerait pas des truites construites?

     

    Offert grâcieusement:

    Si l'on veut que la nuit dure il faut un lit mou, comme pour Clairette.

     

    Pour les amoureux de la chanson:

    Quel est le chanteur arabe le plus connu en France?

    J. Hallyday!

     

    Pour les poètes:

    En poésie, s'il n'y a qu'un seul vers, c'est un vers solitaire.

     

    Pour les ornithologues:

    Pour se prendre un bain, les oiseaux ne se mettent jamais à poil (ils sont prudes)!

     

    Pour les électeurs:

    Quels sont les seuls animaux politisés?

    Les morpions!

    Ils adhèrent aux partis!

     

    Pour un petit peu tout le monde et les marins:

    Comme expliqué précédemment, si le parachute évite la chute, le parapluie la pluie, le parasol, le sol (surtout pour les musiciens), la parade le de, alors le paranormal, le normal, le paradigme, le digme, le paratonnerre, le tonnerre, ce qui paralyse, lyse, et, enfin, le paradoxal, la doxale.

     

    Pour les accidentologues:

    Connaissez-vous l'histoire de Paf le chien?

    C'est un chien qui traverse la route et..................paf............. le chien!

     

    Pour les européens:

    Pourquoi ne serait-il pas le premier port d'Europe?

    Le Portugal.

     

    La tarte des demoiselles Tatin:

     

    Il faut pour cela des pommes, du sucre, du beurre, de la vanille et une pâte brisée.

    Mettre au fond du plat une feuille de papier sulfurisé.

    Puis y répandre du beurre légèrement fondu mélangé à du sucre vanillé.

    Bien recouvrir le tout de lamelles de pomme placées debout puis sucrer en une fine couche.

    Bien recouvrir de la pâte à tarte placée par-dessus.

    Enfourner à 200° 25 mn.

    A manger plutôt tiède avec une boule de glace à la vanille.

    Puis, par la suite, asseyez-vous par-terre, tapez-vous le derrière sur le sol en criant: "Vive l'empereur...!"

                                                              ...............................................

    Pour les aficionados de l'erreur béate:

    Quand quelqu'un joue au con il ne peut-être sûr que d'une chose: Il gagnera!

     

    Pour les londoniennes:

    En Tamise j'y vois le reflet des belles femmes.

     

    Pour Monsieur Dupont-Aignan:

    Comment va Yerres aujourd'hui et ira-t-elle demain?

     

    Pour les ornithologues:

    Qui a-t-il déjà vu une tortue volante?

    Et oui, et bien non!

    Nous n'en voyons pas.

    Comment cela se fait-il?

    Pourquoi donc?

    Parce qu'elles sont très discrètes!

     

    Pour les italiens:

    Milan: ils ont tout le temps!

     

    Au sujet des sud-américains:

    Chacun d'entre-eux serait-ils un cas?

     

    Ce n'est pas le jugement de valeur qui peut permettre une réflexion profonde sur un sujet donné.

     

    Pour les professionnels des magasins d'alimentation:

    Il faut bien que des conserves (moi, je n'ai rien dit...)!

     

    Pour les marins:

    L'azimut: c'est pourquoi elle se modernise!

     

    Pour les informaticiens:

    Dans l'ordinateur, que fait l'électron (ici non-plus)?

     

    Pour les bacheliers:

    Concourir, ce verbe concernerait-il ce que certaines déplore comme étant d'une trop grande rapidité (cela ne s'appellerait-il pas d'avoir l'esprit mal placé)?

     

    Pour les hôtes:

    Il faut bien que des convives (que disais-je)!

     

    Pour les académiciens à roulette:

    Ce qu'elle dit vient de Clairette.

     

    Pour les ambassadeurs:

    ONU: Objectif nichons ultrasonique!

     

    Pour les nutritionnistes:

    Lorsque nous avons de l'appétit, commençons par la faim!

     

    Pour les océanographes:

    Quand cela sèche cela veut-il dire qu'il n'y a plus d'eau humide?

     

    C'est beau la logique!

     

    Blague à part, cela allant de soi, il n'y a pas à dire, retrouvons notre quand-à-soi jusqu'à la prochaine.

     

     

    THEURIC

    Ps: Et la soie rit, hi, hi, hi...

  • Florilège 6

    Les jeux de mots déjouent les jeux de maux.

     

    Genêt

     

    Pour les garagistes:

    Chacun sait que les roues sont, par une évidence première, fragiles, car les roues pètent (ha, ha, ha, ah, aaah...).

     

    Pour les indiens et les russes:

    Si l'on veut prendre le train? il n'y a pas intérêt de leur demander leur nom, le train risque de partir avant.

     

    Pour les fées (et la fée raille):

    Il y a le loup garou et le chamane.

     

    Pour les métallurgistes (pourquoi eux et pourquoi pas que non du contraire?):

    Il ne faut pas confondre: le dollar, de l'art, du lard, des laarrhes et un avion à réaction!

     

    Pour les mérous:

    En y réfléchissant bien, un bateau à moteur est aussi une automobile sans roue.

     

    Jeunet

     

    Ne comprenant pas ce que veulent dire les acronymes des partis politiques, pour vous, amis lecteurs, je vais, de ce pas, vous expliquer de ce qu'il en est réellement:

    PS: polissons sérieux;

    PCF: petits coquins fripons;

    LR: libertins rugissants;

    UDI: Ultra-dévergondés impatients;

    ELV: élégants licencieux viveurs.

    En espérant que cela vous serve pour les prochaines élections!

     

    Pour les nonnes:

    Qui n'aime pas les religieuses (enfin, moi, ce que j'en dis...)?

     

    Envers les neurologues zoologues:

    L'on dit: "dormir comme un loir", mais qu'en est-il du dodo?

     

    La ronde du foulard: 

    C'est un jeu collectif pour les jeunes enfants qui se joue avec un adulte.

    Une vingtaine de gamins serait au minimum nécessaire.

    Faire une ronde puis asseoir les enfants là où ils sont, sauf l'un d'entre-eux.

    Celui-ci tient le foulard dans la main en tournant autour de la ronde puis discrètement lâche ledit foulard derrière l'un des marmots en continuant de marcher.

    Ce dernier, dès qu'il s'en aperçoit, prend le tissu, se lève et lui court après, ainsi tous-deux se poursuivent en courant.

    S'il est rattrapé, le premier reprend le foulard puis recommence de tourner en marchant,  sinon celui qui fut choisi reprend sa place assise.

                                             ........................................... 

     

    Pour les géographes:

    A Cuba il y a-t-il des hauteurs?

     

    Jeu n’ai

     

    Pour les vietnamiens:

    La Grèce: cela ne m'étonne pas qu'y pousse tant d'olivier.

     

    Pour les grecs:

    Au Vietnam, qui nem pas çà, tant-pis pour lui.

     

    Pour les versaillais:

    Jouïe-en-Josace, qui est-elle?

     

    Pour les météologues:

    Quel est le chiffre du beau temps?

    Le 6!

    Il faut en effet attendre que le temps s'éclaircisse.

     

    Pour les amateurs du J:

    Il joue à un gentil jeu joyeux de jouissance assis sur un cageot: le banjo (enfin, ce que j'en dis: au dé il fait ce qu'il peut).

     

    Jeûne n'est

     

    Pour les italiens:

    Ils ne peuvent avoir de manque de Pô.

     

    A l'endroit des officiers de justice:

    Il y a le cri qui tue: tut; et le cri qui pue: proute. 

     

    Pour les dentistes radiologistes:

    Un micro est la moitié d'une dent.

     

    Pour les géographes:

    Science PO, n'étudier qu'un seul fleuve... .

     

    Pour les pêcheurs au-long-cour:

    Il ne faut pas jouer les thons nés (il est vrai que certaines de mes blagues sont nulles mais, là, la nullité atteint un niveau artistique rarement égalé, là se trouve toute ma fierté).

     

    Jeune haie

     

    Pour les amateurs du K:

    Le képi en kit du gendarme en kilt, buvant un bock de bière, kiffe bigrement.

     

    Pour les mineurs de fond formés par les militaires de carrière:

    Mine de rien??? Ne serait-ce là juste qu'un trou?

     

    Pour les amateurs de douche:

    L’inconvénient avec la pluie c'est que ça mouille, dès-lors, préférons-y les grêlons (ma fierté s'accroît).

     

    Pour les historiens:

    Les allemands sont-ils nos cousins germains (bof, que dis-je)?

     

    Pour les amoureux du dictionnaire (oui ça existe, il s'agit de cas rares comme le dirait un bijoutier):

    Le K est rare contrairement au Q!

     

    Je nais

     

    Pour nous les hommes:

    Par certains moments de la vie, les toilettes nous paraissent bien étroits!

     

    Aux impudiques:

    Ce n'est pas seulement en raison de quelques questions de cultures ni même de culte que l'on parle de Q, vous n'êtes vraiment que des dévergondés!

     

    Pour les amateurs de mes blaguounettes nullissimes et de vins fins:

    Il est tout à fait normal que celui qui est rond un soir ait la tête au carré le lendemain: c'est le carré de l'hypoténuse divisé par π/vache.

     

    Je n'hais

     

    La danse du tapis:

     

       Çà, c'est une danse de fête familiale ou entre amis.

       Une musique entraînante pour une ronde que vous formez,  une personne seule, homme ou femme, garçon ou fille, étant au milieu, tenant un rectangle de tissus qu'elle ou il dépose au-devant de la personne de son choix.

       Celle-ci sort du cercle qui, à ce moment arrête de tourner un instant, puis tous deux s'agenouille l'un en face de l'autre et se font quatre bises (quand aux gourmands...).

       Enfin la personne sortie de cette ronde prend le tapis et celle qui le détenait prend sa place, et la ronde recommence à tourner.

                                              .................................................

    Avis aux africains ainsi qu'à ceux qui en sont d'origine:

    Saint-Affrique est une ville.

     

    Pour les lexicographes:

    Devant autant qu'autant on ne prononce pas le T se trouvant derrière!

     

    Pour les tourneurs-fraiseurs:

    Avec une fraise des bois, de combien serait-il possible de faire un trou?

     

    Pour les météorologues:

    La canicule..., que fait la canne?

     

    Pour être sérieux il faudrait parfois savoir en manquer.

     

    Jeune n'est.

     

    Pour les yougoslaves:

    Les peuples slaves doivent être ceux des plus propres.

     

    Aux restaurateurs:

    C'est bien parce qu'on a faim qu'un plat a toujours un petit creux.

     

    Pour les  juges d'instruction:

    Un suspect a-t-il mauvaise halène?

     

    Pour les boulangers:

    Je me fais des casses-croûtes de pain, ce qui me nécessite trois tranches.

     

    Pour les tricoteuses:

    Si l'on fait un tricot pour une pieuvre l'on pourra l'appeler Dimanche.

     

    Pour les zoologues:

    Quand un lion baille il se devrait mettre sa main devant la bouche!

     

    Pour les arboriculteurs:

    Les arbres de bord d'eau, c'est étrange, je pensais qu'il n'y y a que des vignes.

     

    Jeu n'ai

     

    Offert grâcieusement:

    Cicéron n'est pas carré, certes, mais si c'est carré alors pourquoi ne serait-ce pas rond, sauf si ce rond est tracé au carré.

     

    A nous les messieurs:

    Si un jour vous êtes amenés à dire: "Je fut beaucoup aidé!" Faites attention à la liaison, elle risque de prêter à confusion...

     

    Pour les anciens que je commence à être:

    1969 année beat neeck.

     

    Pour les maîtres-nageurs:

    Pourquoi le noyer ne pousse-t-il pas dans une mangrove?

     

    En toutes choses l'on trouve toujours plus puissant que soi!

     

    Pour les anglais:

    Le Sussex, et dire que l'on considère les français grivois...

     

    Jeûne n'ai

     

    Pour les militaires:

    La tactique est le féminin du tic-tac............................c'est beau la logique!

     

    Pour les cuisiniers:

    Quand je mets du curry ça gaze.

     

    Pour les antillais du nord:

    Martinique??? Qui est Marti?

     

    Pour les antillais du sud:

    Guadeloupe??? Qui est Gouade? Pourquoi une loupe?

     

    Pour les antillais du grand sud:

    Il ne faut pas confondre Sainte-Lucie et seins de Lucie!

     

    Pour les antillais du grand nord:

    A Cuba il y aurait-il des hauteurs?

     

    Jeu n'est

     

    Pour les antillais du Pacifique:

    La Réunion??? Qui siégerait là?

     

    Pour les historiens:

    Il y aurait-il un lien entre le pépin, le parapluie, le pépin de fruit et Pépin le Bref?

     

    Pour les zèbres amateurs du Z, écoutez ce qu'ils dises:

    A zut, dit Zizi à Zézette, le zozo zinzin du zoo a zappé le zébu qui zozote et dit: " Quand z'ai bu z'ai plus soif!"

     

    Pour les fins gourmets:

    Quand je m'assois sur mon canapé, je me demande quel goût il a.

     

    Pour les cinéphiles:

    Sachant que le cinéma fut créé par les frères Lumière, ainsi tout s'éclaire.

     

    Pour les fromagers aristocratiques:

    Il faut conter le conte du compte du compte du comté du comté du comte....................sans en faire un fromage!

     

    Pour le maire du douzième arrondissement:

    Il est intéressant de noter, avec précision, résolution et rigueur, qu'à Paris la rue de Malassis longe le cimetière du Père Lachaise, cela change des rues des allongés!

     

    Pour les géomètres:

    Avant de s'y mettre il faut bien mesurer la chose!

     

     

    THEURIC

  • Florilège 5

    Pour moi:   

    Il est des moments où, quand je blague, la boutade me monte au nez ( c'est pour tout dire et ne rien dire en même temps et......................... réciproquement ).

     

    Pour les historiens:

    Il se disait d'antan qu'un sir concis était un roi à la rare parole ( et dire qu'il y en a qui ne me croit pas, snif  ).

     

    Pour les astronomes et autres astrophysiciens:

    Lorsque je regarde les étoiles, je ne peux pas ne pas considérer, avec ce bonheur ineffable, infini et transcendant du philosophe pantelant,  que je vis dans le plus bel univers du monde ( la preuve en est, j'y suis né ).

     

    Les emmerdes, disait le Président Chirac, volent en espadrille escadrille, cela ne peut que vouloir dire qu'il arrive souvent qu'à un problème, une difficulté rencontrée, en surviennent d'autres quasiment en même temps qui, potentiellement, seraient liées les unes, les autres, voire à ce qu'ils l'y soient intrinsèquement.

     

    Pour les météorologues:

    Quand il ne cesse de pleuvoir au mi-temps de l'année, tout le monde, en le déplorant, parle d'un été pourri, or, en y réfléchissant bien, entre deux longues averses, il y a toujours un tout petit peu de soleil.

     

    Pour les restaurateurs:

    Dans certains restaurants c'est une femme qui devient maître-queue, où va la vie...

     

    Pour les amoureux du théâtre de Shakespeare:

    Toubib or note toubib, zate ine ze kéchtionne ( quand le Shakespeare n'est pas sûr il n'est pas sûr que le sûr soit Shakespeare ).

     

    ( Ça fait plaisir, hein, l'absurde, alors continuons...

     

    Pour nous, les hommes:

    Moi, en tant qu'homme, quand je me sens bien, je me sens mâle ( ben oui, bof ).

     

    Avis pour les sportifs:

    Faire des pompes ce n'est pas  marrant et c'est fatiguant, alors, un bon et solide conseil, faites-les couché sur le dos ( en même temps vous pourrez ainsi admirer les étoiles... ).

     

    L'apparence n'est que l'ombre de la réalité.

     

    Petite expérience pour les enfants: la loupe et l’albédo :

     

    L’albédo est la mesure de réflexion de la lumière, plus ladite réflexion est forte, plus il y a d’albédo, ne connaissant pas comment cela se mesure exactement par les scientifiques.

     

    Il faut, pour cette expérience, une paire de lunettes de soleil pour se protéger les yeux, une loupe, une ou plusieurs feuilles de papier blanc, un crayon à papier, s'il y a, des feutres de différentes couleurs, voire des marqueurs, et un chronomètre (du téléphone par exemple), une planche de bois, un verre d'eau pour éteindre une flamme qui pourrait survenir et du soleil ( plus il est proche du 21 Juin, les jours les plus longs, plus il est fort ).

     

    Toujours poser la feuille de papier sur la planche avant de faire cette expérience, ceci  pour ne rien esquinter.

     

    Pour commencer, brûler une petite partie de la feuille de papier grâce à la loupe ( il faut que le point lumineux soit le plus petit possible ) sans que rien ne soit griffonné dessus, donc parfaitement blanche, vous vous apercevrez que cela prend du temps, voire beaucoup de temps pour cela.

     

    Ensuite, mettez du crayonnage à un endroit sur la feuille et vous verrez que le papier brûle beaucoup plus rapidement.

     

    Enfin, si vous avez des feutres et marqueurs de diverses couleurs, il est probable, n'ayant fait cette expérience moi-même puisque quand j'était enfant il n'y avait que peu de feutre, que le jaune brûle plus lentement que le bleu.

     

    De plus, si un nuage passe devant le soleil, vous le verrez à l'envers sur la feuille de papier.

     

    N'oubliez pas de remettre le soleil dans votre poche, il pourra resservir.

                                                            ............................................

     

    Pour nous, les français :

    L'armée dont les citoyens ne peuvent qu'avoir une confiance absolue c'est l'armée militaire ( et le militant alors? ).

     

    Pour les belges:

    Comment dire oui en Suisse?

    Oui;

    Ya;

    Si;

    Saka;

    Il existe donc bien une union-européenne: la confédération helvétique en quelque sorte!

     

    Pour les ingénieurs:

    L'on parle de chaîne stéréo, bien, mais où se trouve les maillons?

    Où alors il s'agit d'une tronçonneuse, mais alors, dans ce cas, cela devrait s'écrire et se dire "chaîne à stère hé-ho" ( c'est maintenant qu'il faut rire )!

     

    Pour les cascadeurs:

    Si un parapluie est là pour éviter la pluie ( bien sûr quand il pleut... ), alors un parachute est là pour éviter les chutes ( non pas de pluie ), un parasol pour éviter le sol ( surtout pour les cosmonautes ) et, dès lors, une parade pour éviter le de.

     

    Comme je suis, je ne suis pas.

     

    Pour les ophtalmologistes:

    Des jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Pour les entomologistes:

    Ce qui m'ennuie chez les insectes c'est qu'ils ne prennent pas de repos le Dimanche ( ils devraient faire grève ).

     

    Le lapin chasseur:

    ( Pan )

    Pour ce plat il faut d'ingrédients:

    -Un lapin découpé en morceau;

    -Du lard;

    -Du vin;

    -Des champignons;

    -Des aromates dont 2 clous de girofle, sel, poivre, bouquet garni, du curry ( hi, hi, qu'il fait );

    -Des pommes-de-terre;

    -Une ou deux tomates;

     

    Faire rapidement revenir les viandes dans la cocote-minute ou la marmite, y rajouter ensuite les champignons et la ou les tomates, y mettre une bonne poignée de farine et bien mélanger le tout, bien recouvrir de vin, y rajouter les aromates.

     

    Dès le pchit-pchit ou l'ébullition, comptez 1 h pour le premier et le double, soit environ 2 h, pour le second, à feu doux, on oublie, quoi, sauf que les patates doivent y être rajoutées à mi-cuisson, alors si la durée de cette cuisson est approximative, celle des pommes-de-terre la sera aussi (cui-cui).

     

    Mais ce n'est pas grave, ça se mangera avec gloutonnerie, avec un bon petit vin et un bon petit pain, le petit dessert et la petite entrée qui suit, ce sera super et non pas ficiel.

                                                  ..........................................

     

    Pour les ornithologues:

    Quand je vois les oiseaux voler je me demande toujours où se trouve la tour de contrôle (cui-cui).

     

    ( Je fais une pose méditative! )

     

    ...Quelque temps plus tard...

     

    ( Ah la légèreté de l'Être! )

     

    Pour les philosophes:

    Il n'y a rien de plus sérieux que le rire, sauf quand on ne rit pas!

     

    Pour les politiques:

    Quand une situation tire vers sa fin, la question de quand se rallongeait son début du commencement se pose, et vice et versa.

     

    Pour les ingénieurs, encore eux:

    Les moulins à vent ont-il une marche arrière?

     

    Pour les suisses:

    Il se dit communément que pour avoir la frite il faut être belge ( je vous ai bien eu, hein ).

     

    L'oeuvre d'art ne transige que pour lui-même mais de comprendre l'artiste permet d'en tout saisir.

     

    Pour les nord-américains;

    Le Québec, en voilà un drôle d'oiseau ( cui-cui )!

     

    Réclamation à l'endroit du Président des Etats-Unis-d'Amérique:

    Chaque hiver les américains nous volent et le froid, et la neige (gla-gla).

     

    Pour les occidentaux:

    Ceux qui aiment les américains sont-ils des pros-State?

     

    Question-réponse au Président de la Fédération-de-Russie: 

    Où les russes boivent-ils leur café?

    A l'agence TASS, bien sûr!

     

    Pour les Ibériques, olé:

    Quand les espagnoles doivent prendre le taureau par les cornes boivent-ils du café au lait ( jeu de mot nul et approximatif relatif à ce que dans leur pays ils ont, eux-aussi, l'arène, comme quoi les britanniques, les français et les italiens ne sont pas les seuls ).

     

    Pour les hollandais ou les bataves (je n'en ferais pas une salade):

    Il est toujours intéressant de se rendre aux Pays-Bas pour aller à l'endroit de l'Anvers, et inversement.

     

    Pour les troufions (sans grivoiserie aucune):

    Un militaire doit se marier pour avoir sa moitié ( et que chacun boive son demi ).

     

    Pour les prêtres:

    Il semblerait qu'il y aurait des animaux religieux: les chats moines.

     

    Un jeu pour les enfants, grands et petits: 1, 2, 3, soleil.

     

    Voici l'un des jeux de plein-air qui ne nécessite aucun ustensile, ni ballon, ni jouet de quelque sorte que ce soit.

     

    L'un des enfants se cache le visage contre un mur, les autres se mettent à une vingtaine de mètres à l'arrière de lui.

     

    Celui-là tape sur le mur en disant bien fort et (plus ou moins) lentement: "Un, deux, trois, so-leil"; puis se retourne.

     

    Pendant ce temps de décompte, les autres avancent le plus vite possible et doivent ne plus bouger dès-lors que l'enfant au mur s'est retourné.

     

    Tous ceux qui bougent doivent, sur ordre de celui qui est contre le mur, retourner à la base de départ.

     

    Celui qui gagne est celui qui, le premier, touche le mur.

     

    Pour savoir qui se placera contre le mur, le mieux consiste à mettre le prénom de chaque enfant sur un petit bout de papier, les mélanger dans un récipient quelconque, puis l'un d'entre-eux en tire un au hasard ( poil aux  lézards )...

     

    Et hue cocote!

                                                   .......................................

     

    Apprendre l'histoire de son pays par sa chronologie consiste à comprendre facilement celle de l'histoire mondiale.

     

    Pour les éclairagistes historiens:

    Un lustre c'est cinq ans lumineux joliment peint qui se pend au plafond.

     

    Pour les policiers:

    La voleuse dérobe, bien, je comprends alors pourquoi elle fut si facilement repérée par la police: à se mettre toute nue...

     

    ( Bon, pour l'instant çà va, je vous en propose donc deux ou trois blagues d'une grande nullicimitée pour que vous ne vous ennuyez pas. )

     

    Pour les ingénieurs des travaux publiques et les ornithologues:

    Il est des moments où les buses abusent (que disais-je).

     

     

    Pour les tourneurs-fraiseurs:

    La questions reste entière: que tournent-ils:

    Leur visage, le fruit, le foret ou le bonnet de cuisinier (çà c'est du nul, n'est-ce pas?)?

     

    Pour ces italiens qui sont de bonnes pâtes et j'en saisi la balle au bond:

    Pour eux le football leur botte: y voir la Sicile... (eh oui, çà aussi)!

     

    Pour les ébénistes:

    Le bois de senteur, est-ce un nombre ou une temporalité (et là, n'en parlons même pas)?

     

    ( Bien, maintenant revenons aux choses sérieuses après cet intermède!

     

    Pour les fleuristes:

    Pourquoi les roses ne le sont que rarement?

     

    Pour les cavaliers vétérinaires amateurs de maxime:

    Hennit soit qui mal y panse!

     

    Pour les pêcheurs:

    Quel est le poisson dont on peut tondre le poil?

    Le mérou..., car la peau de mérou se tond!

    Mais il faut faire attention, c'est fragile.

    Ceci parce que la peau de mérou pète.

    ( Après le fleuriste, il me semblait logique de parler de ces pauvres poissons. )

     

    Pour les médecins musiciens:

    Le cor est un instrument de musique qui peut faire mal au pied.

     

    Pour les grands-bretons:

    Pourquoi les britanniques n'aiment pas le brouillard?

    Parce que, sinon, il pleut.

     

    Nous ne pourrons à jamais savoir ce que les lendemains seront!

     

    Pour les sexologues, leur femme ou leur mari, mais aussi les amateurs d'opéra:

    Quand Mozart écrivit "La flûte enchantée" il me semble que cela le concernait nettement lui-même.

     

    Pour les britanniques et les japonais:

    La Grande-Bretagne est pour l'Europe ce que le Japon est pour l'Asie, la preuve en est: dans ces deux pays on y roule à gauche!

     

    Pour les catastrophologistes:

    Quand le pire n'est pas sûr, il n'est pas sûr que le sûr soit le pire!

     

    La pensée s'éblouie

    Quand la grâce passe

    En plein jour de midi.

     

    Aux robes d'été. 

     

    Il est de ces matins jusqu'au soir devenu,

    Quand le très chaud prend grâce de robe vêtue

    D'habit des dames aux allures légères:

    En beauté, sans bijou, d'âme joaillière.

     

    Cette sincérité du corps nous font émoi

    A nous-autres les hommes de les regarder

    D'aller-venir, de passer devant nous, parfois.

     

    Qu'elle sont belles ces femmes si accordées

    De mises délicates que mon quand-à-moi

    Se plairait, timide, les  vouloir aborder.

     

    Ces agréables habillements, engageant,

    Offrent le doux désir à mes yeux indigent

    De découvrir, ému, ces peaux bien voilées

    De ces joyeux arrondis naguère entoilées.

     

     

    THEURIC

  • Possible explication du temps présent.

    Chers amis

    (Il est à remarquer qu'à la vue du nombre, hommes et femmes, filles et garçons, ici de lecteurs, l'expression se fait par le neutre, neutre qui, en français, se dit et s'écrit au masculin, le seul dans notre langue se trouve en conjugaison, à la troisième personne du singulier, par le sujet « on »).



    Ceci dit :

     

    Nous nous retrouverions à faire face à plusieurs crises que je m'en vais tenter de résumer, pour vous, au mieux et au plus court :

    (ceci sachant que, depuis une année, je n'ai pu discuter de vive voix de tout cela avec quiconque, d'où ma prudence.)



    -Présentement trois crises politiques ne peuvent que se supputer :

        1. En France le pouvoir central, celui du gouvernement et des chambres délibératives, se retrouveraient évidé de toutes personnes suite un embrouillamini présidentiel et législatif ;

        2. Tel que j'ai pu l'exprimé dans mon blog, il est fortement possible que ceux des pays de l'Union-Européenne qui se disaient antérieurement de l'Est, aient décidé de refermer leurs frontières et, c'est, en ce cas là, à supposer, de commercer entre-eux ;

        3. Comme j'avais pu l'imaginer par le passé sur mon blog, les Etats-Unis-d'Amérique pourraient bien se refermer sur eux-même et de vouloir se débarrasser de leur imperium, de leur place impériale mondialisée.



    -Nous ferions face à une crise économique de très grande ampleur (de tous les flançais), ce serait pourquoi nous pouvons remarquer le peu d'avions qui nous survolent, voire à ce qu'une diminution importante de navires de transport de marchandise se montrerait au jour.

     

    Ce que nous vivons actuellement ne peut qu'être qu'angoissant pour beaucoup et, ces lignes ont de but de rassurer autant que faire se peu, si le besoin s'en ressent, ceux qui, de mes lecteurs, chers amis, en souffriraient de quelques gène que ce soit.



    Les emmerdes, disait le présidant Chirac, volent en (espadrille) escadrille, cela ne pouvant que vouloir dire qu'il arrive, souvent, qu'à un problème rencontré en surviennent d'autres qui, potentiellement, y seraient liés (poils au nez).



    Songez seulement que, quand bien même ces événements eurent et/ou ont bien lieu, nous vivons peut-être l'une des périodes la plus intéressante de notre histoire, voire à ce qu'elle en soit la plus passionnante.





    THEURIC



    PS : Quand le pire n'est pas sûr, il n'est pas sûr que le sûr soit le pire, n'est-ce pas ?



  • Rencontre du troisième type sympa

    J'étais tranquillement installé dans mon canapé quand, soudain, j'entendis :

    « Psst, hep, psst ! »

    Surpris de cet appel, moi qui vis seul, je me retournais et répondis :

    « Ah ! À qui ai-je l'honneur, serait-ce toi, Évelyne ? Tu rentre bien tard ! »

    -Mais non, c'est moi, Moi, bien sûr.

    -Comment-ça, qui ça moi ?»

    Répondis-je.

    « Ben Moi, un Unvoyageurdelaudelàdelà, un extraterrestre, donc, car je suis le Unvoyageurdelaudelàdelà Moi et non pas toi qui est un Terrien quinevapaspourlinstantaudelàdechezlui.

    -Donc toi ce n'est pas moi mais c'est Moi.

    -C'est ça, Je suis moi Moi et je ne suis pas toi.

    -Bon, d'accord, mais alors, que me vaut que toi, Moi, tu m'appelle ?

    -Pour cela, ce sera Toi qui va t'en parler tout de suite.

    -Comment ça, moi ?

    -Non pas toi mais moi Toi qui te parle maintenant, parce que moi c'est Toi et toi t'est toi.

    -Ha, j'ai compris, moi c'est moi et toi t'est Toi.

    -C'est pourquoi, moi Toi, vais te parler.

    -Et lui, Moi, pourquoi ne me dit-il rien de cela ?

    -Ben en raison du fait que lui Moi n'est pas moi Toi, mais, si tu le veux, je peux demander à elle Lui si elle veux bien t'instruire de ce que moi, Toi, a à te dire.

    -Donc vous êtes à trois ! », dis-je.

    -Non, nous sommes pas à Troyes mais dans l'espace, et elle, Trois, non, elle ne le peut pas, elle mange.

    -Seriez-vous quatre alors ?

    -Bien sûr que non, nous sommes plus nombreux, mais Quatre est restée à la maison, elle un amant, vois-tu.

    -Alors toi Toi, qu'a-tu à me dire.

    -Nous avons une mission pour toi.

    -Pour moi, Toi, me dis-tu, j'aurais une mission, de laquelle s'agit-il ?

    -Il te faudra sauver l'univers.

    -Que dois-je faire pour cela ?

    -Rien ! Parce que tout cela n'existe pas, coucou, c'est moi, Évelyne...

     

     

    THEURIC

  • Le mur de Pierre et autres galéjades.

    Il me semble, chers lecteurs, que ces poème vous nécessiteront un travail de décryptage, le sujet traitant du mur qu'il est toujours possible de contourner ou gravir d'une manière ou d'une autre.

    Écrits il y a de cela d'années passées, je les republie maintenant, accompagné d'un nouveau, ceci sentant le vent tourner.

     

    Bonne lecture, amis lecteurs.

     

    Disposer de l'âme d'autrui par machinerie

    C'est de s'indisposer

    L'esprit.

     

    Aux superbes d'importance

     

    Voici que par trois fois mon  âme sensible

    Perçut, en bel instinct, le risque d'aléas

    D'algorithmes voyeurs m'en faisant la cible,

    De quelconque guêpier, peut-être lauréat.

     

    Ces triples recensions séant, ma foi, le requiers: 

    D'opprobre de ceux-là dont je conte la course

    De leur saugrenuité au fiel ordinaire 

    Minant tous les péquins, flétrir leurs ressources.

     

    Le doigt de l'index, là, sur toutes proses posé

    Nous mène qu'à gauchir cette Anastasie,

    De tâcher bien faire net en traits déposés

    Pour pourvoir en plis ce risque d'aphasie.

     

    L'automate se perd en ces mots si retords,

    Le cuistre s'égare de son impéritie:

    Ce dédale ci façonne pléthore

    De termes abscons en très larges glacis.

     

    Du bon mot, contrepet et autres à-peu-près,

    Boutades, galéjades ainsi qu'évocations 

    Ne peuvent que vaquer, de trames aux apprêts,

    A clamer, manifeste, humeur, rescisions.

     

    Je rime en quatrain, une geste malicieuse,

    Ce verbe si désuet pour empaumer le fat,

    Sentir ce baragouin est action malgracieuse, 

    D'entortiller ces buses, mais quelle nouba!

     

    PS: Sans être un sonnet en est alexandrins.

           Vous est recommandé le dictionnaire en main.

                                                 ...................................................

     

     Quand on a plus que patates

           Pour toute votation,

    Il n'y a plus que cornichons

     

     

     

    Le vote des légumes

     

    Dans le potager d'une humble chaumière,

    Une élection s'y fait affin d'élire

    Quelle plante parmi celle à choisir

    Serait la plus belle, serait première.

     

    Toutes en sont à extrapoler en son mieux

    Celle qui, de ces fruits, aurait le plus beau bleu,

    Celle qui, lors, serait d'un bleuir si radieux.

     

    Elles furent deux premières, morbleu,

    Ni persil, ni radis, ni chou, si chatouilleux,

    Ne surent arbitrer ces produits fabuleux.

     

    Ce fut le bel azur d'un cucurbitacée,

    Un beau pied de courge qui en reçut ce prix

    Et un framboisier d'un cyan qui surprit.

    L'humus qu'ils obtinrent fut leur panacée.

                                                          ------------------------------------

     

    D'une raillerie facétieuse

    J'en fis cette fable

    Narquoise et affable

     

    Le paysan et les grandes oreilles

     

    Jamais de machine ne doit faire sa loi,

    Nul humain ne doit lui obéir:

    Voilà qu'une affaire ayant beaucoup fait rire

    Montra, de sa raison, le vrai de son éclat.

     

    En province lointaine du monde parisien,

    Là où vit encore le fermier ancien,

    Un rural habitant, humble cultivateur,

    Voyant frimas venir, s'amener la fraîcheur,

    Voulu faire un stock de bois de chauffage.

    En allant rechercher ses quelques outillages,

    Il prévint sa femme vers où il cheminait,

    De son bigophone, il lui téléphonait:

    "Voici, mon adorée, je me rends en scierie."

    Aussitôt raccrocha et chemin poursuivit,

    Ne pensant pas à mal, de cette courte phrase,

    En échanges communs des rives ardéchoises.

    Lors, dans quelques coins aux obscures secrets,

    Un computer vaste, juste un grand objet,

    Machine sans esprit et sans intelligence,

    Servant à écouter malandrins et engeances,

    Assassins, criminels et autres scélérats,

    Mais parfois, tout autant, ceux qui gène l'état,

    Confondit, sans âme, le nom de l'établi

    Avec l'autre, lointain, celui de ce pays

    D'où se réclamaient les auteurs de tueries

    Et d'une religion trahie par ces sicaires:

    Syrie ou bien scierie, le son est similaire...

    Et voici que le robot alarma tout à trac,

    Sans que nul ne saisisse cet absurde couac,

    Le ban et l'arrière ban de la maréchaussée,

    Aussi les pandores et autres policiers.

    L'homme désigné des foudres automates

    Se retrouva séant en sombres casemates

    Par des gendarmes honteux demandant l'indulgence

    A celui qui, des heures, vécu cette démence.

    Si peu d'écho se fit de cette rigolade:

    Les agents remisèrent leur panier à salade

    Et leur hiérarchie furent d'infinies pudeurs,

    Jurant, je l'escompte, d'être seuls commandeurs

    Du simple instrument de télédétection,

    D'espionnage et autres intoxications.

     

    Une machinerie, quelque-en soit sa puissance,

    N'a pas de jugeote et aucune vaillance:

    De la vouloir humaine est là faute bien grave,

    La vouloir plus qu'humaine c'est s'en faire l'esclave!

                                       --------------------------------

     

    Le renouveau est chansons

    De l'aube au couchant

    Éternellement

     

    Le printemps

     

    Voilà, le soleil montre son visage,

    Haussant son zénith en son suave réveil,

    Délaissant les frimas en vagues usages

    Il échauffe le temps, la terre, la fleur et l'abeille.

     

    Dedans de chez moi j'entends bruire gentes ailées,

    Pépiant à qui mieux-mieux en un joyeux regain.

    Qui construit son nid, qui cherche l'arbre percé,

    Briguant leur possession en ces si beaux refrains.

     

    Les ventres gros des bourgeons laissent deviner,

    Des arborescences aux moindres arbustes,

    Les feuillages futurs, les fleurs bientôt nées,

    Plein de promesses d'une vie robuste.

     

    Au ciel se perçoit chanter les oies qui rentre

    De leur lointain voyage tout au loin au sud,

    Elles volent et chantent comme d'enjoués chantres

    Heureuses de rallier l'aire d'habitude.

     

    Hommes et femmes délaissent leur lourds manteaux,

    Les belles dévoilent leurs ronde sublimes

    Aux messieurs extasiés de tant de douces peaux

    Que peignent ces habits que leur pas animent.

     

    Les amoureux s'émeuvent de leurs chauds baisés,

    Main dans la main cheminent de même foulée,

    Ont corps léger des éteintes apaisées

    D'une nuit secrète de passion étoilées.

     

    L'hiver s'est absenté le printemps revenu,

    La vitalité revient de l'esprit au destin.

    Le temps n'en peut plus de ces froides révolues

    Qui pèsent à l'âme en ses chaque matins.

                                         ---------------------------------

     

    Voir plus loin qu'à la marge,

    Montre qu'au-delà des brumes vaporeuses

    Ce que content les nuages

     

    Le moment

     

    Le moment s'escompte suivant ce qu'il se fait:

    D'attente bien pesée ou bien de mouvement,

    D'en saisir l'apprêt aussi qu'accordement

    Conduit au remuement ou à l'arrêt bien-fait.

     

    Choisir est d'en penser toutes circonstances

    Ceci quand se presse en pages tourmentées

    Les âpres tirages, les aigres inconstances.

     

    Déterminer au mieux la chicane fienté,

    Entendre en raison les piètres instances

    Fait là en bien le bon choix en volonté!

     

    Attendre et voir ou au temps s'activer

    Suivant ce bon moment compris de son état,

    Au-delà  des abîmes des actes bêtas,

    Trouve là l'instant de décision motivée.

     

     

    THEURIC

     

  • Florilège 4

    Pour moi:

    La sensibilité aux vannes ouvre l'esprit!

     

    Pour les tireurs d'élitre ( de hanneton ): 

    Quel est le dieu des armes à feu?

     

    .....................................................................................................................Pan!

     

    Pour les informaticiens et les biologistes:

    Quel est la différence entre la radio et l'idiot (poil au dos)?

    Le premier concerne un  rongeur quand le second fait sujet de l'informatique ( bon, cette blague est véritablement nullissime, mais j'ai fait et ferai encore pire, ce qui est rassurant ).

     

    Pour les indiens:

    Le farci se farcit-il? ( la preuve en est, n'est-ce pas? )

     

    Pour les militaires:

    Attention, l'eau bue éclate ( à la mémoire de mon père, à chaque famille ses traditions, poil au menton ).

     

    Pour les psychanalystes:

    Pour éloigner les idées noire il faut avoir le corps beau ( bon ).

     

    Pour les anglo-saxons:

    Un ice cream est un crime anglo-saxon qui me laisse de glace ( vous verrez, je peux encore faire pire ).

     

    Pour les ambassadeurs:

    Les britanniques en ont une (les hommes, quoi qu'il en soit, deux aussi), nous, français, également : l'arène de Nîmes! Quand aux italiens...

     

    Les choses sont toujours plus simples qu'on ne le pense et plus complexes qu'on ne le conçoit !

     

    Pour les vétérinaires:

    Pourquoi, parfois, des canards font-ils coi-coi?

    Parce qu'ils sont enrhumés!

     

    Pour les forestiers:

    Hêtre ou ne pas hêtre, l'arbre est la question!

     

    Pour les oto-rhino-laryngologistes  ( ils avaient essayé de faire plus long, mais bon, vous savez ce que c'est, ben moi non plus ):

    Parait-il que le Cid était sourd, c'est pourquoi il se faisait appeler le Cid bouché: c'était une bonne pomme ( il y-a du mieux, enfin, ici, presque ).

     

    Pour les pilotes de ligne:

    Quand ce n'est pas lié il faut palier par palier ( çà, ça ne veut rien dire, mais il y a pire plus haut ).

     

    Les plaisirs des yeux

    Au chaud soleil

    M'émerveille.

     

    Le bikini

     

    Ah, une femme en bikini, c'est si beau

    Que c'en est d'une grande volupté de l’œil

    De la contempler cheminant sans écueil:

    Ses pieds se détrempant d'un si doux sable chaud.

     

    Les corps féminins se libèrent de vêtures

    Nous offrant, à nous autres les hommes, raisons

    De béer de vous voir en réelle nature.

     

    La musique des vagues, en cette saison,

    Guide la marche aux belles désinvoltures

    Fières et satisfaites de leur effloraison.

     

    Peu recouvertes de si minces coutûres

    Montrant leurs belles sphéroïdes formes,

    D'un, triangle, et l'autre, mamelliforme,

    Nous contant mieux qu'un nu vos riantes matures.

                                              ........................................................

     

    Pour les modistes:

    Comme le dirait l'ancêtre du soutien-gorge: "Le corps sait!" ( et que fait le corps, y dort )

     

    Pour les musiciens:

    Que cela donnerait-il de jouer d'un instrument à vent par l'arrière ( c'est cul-cul la praline, n'est-ce pas? ).

     

    Pour les juges familial:

    La meilleurs raison de ne pas divorcer consiste à ne pas se marier.

     

    Pour les barbiers:

    Pour certains, de raser les murs devient rasoir ( comme quoi mes nulles blagues s'égrainent avec passion ).

     

    Pour les exobiologistes:

    Comment comprendre les extraterrestres?

    Il ne suffit que de faire vivre un français au Japon et un Japonnais en France!

     

    Pour les paléontologue:

    Un Vélociraptor avait combien de roues?

     

    Pour les entomologistes:

    Les coléoptères ? A chacun de se coller là où il le peut, non ( il n'y a pas à dire, la nulle passion me tient! ) ?

     

    Un jeu pour les enfants petits et grands: la balle aux prisonniers:

     

    Se joue à deux équipes de trois minimum et, ce, de même nombre, plus un ballon. 

     

    Faire un grand rectangle comme terrain de jeu, celui-ci étant séparé en quatre parties dans sa longueur, les deux du centre en parties égales des deux/tiers, les deux des extrémités du reste en part égales également.

     

    Au tout début, les équipes  se placent en droite et gauche du centre du jeu, sans en sortir sauf pour aller rechercher le ballon si celui-ci est sorti du terrain, et, donc, se lance le ballon à tour de rôle (l'un après l'autre) en visant les joueurs opposés.

     

    Les joueurs qui reçoivent la balle ont deux choix: soit l'éviter, soit l'attraper, si, en revanche, l'un des joueurs est touché par elle sans la saisir, auquel cas il se déplace du coté adverse dans la seconde partie du terrain, à son extrémité, il est donc prisonnier.

     

    Celui ou ceux se trouvant à cet emplacement ayant le droit, eux aussi, de lancer la balle contre ledit camps adverse et s'il touche l'un de ces joueurs, il retourne à sa place et le joueur touché se retrouve à l'extrémité de l'autre coté de cette extrémité.

     

    La partie prend fin  quand l'une des équipe se retrouve prisonnière où quand, la faim prenant, tout le monde se décide d'aller manger.

                                                      .............................................

     

    Pour les charpentiers:

    Je t’oie, toi, qui toise mon toit ! ( pensez-vous que je puisse faire pire? )

     

    Pour les informaticiens:

    Quel ordinateur pourrait avoir le rot beau? (oui, la preuve )

     

    Pour les sexologues:

    Messieurs-dames, il est de la plus impérative importance que vous fassiez attention de bien préparer votre charge énergétique pour qu'entre-vous soit efficient  votre sexe-à-pile sex apeal!

     

    Pour les anthropologues et les éthologues:

    Pourquoi y a-t-il des personnes habillées de noir et d'autres de blanc, aussi que les éléphants sont gris?

    ..........................................................................................Pour ne pas être confondues avec les fraises des bois!  ( c'est nul, çà fait rire et ça fait plaisir parce que c'est nul et que ça fait rire. )

     

    En l'honneur de Raimond Devos:

    Il y a-t-il une différence entre aller à Troyes à sept et aller à Sète à trois?

     

    Pour les historiens:

    Il y a-t-il une égalité entre Cléopâtre et la clef des champs ( chercher la clef des champs est la même chose que de partir à la chasse au dahu, ah ce que la jeune génération peut ignorer de délicieuses tradition, si vous saviez... )?

     

    Chacun a les faiblesse de ses forces et les forces de ses faiblesses!

     

    Pour les théologistes:

    Tzeus  serait-il né de la cuisse de Jupiter ( ha, celle-là je l'aime bien! ) ?

     

    Pour les musicologues:

    Avez-vous remarqué qu'un beau Lihde n'est pas plus rapide que cela?

     

    Pour les géographes:

    Il aurait été logique que l'Yonne coule à Lyon!

     

    Pour les anthropologues:

    Le système D est le couteau suisse des français.

     

    Petite expérience scientifique pour les enfants qu'ils pourront raconter à leur instituteur:

     

    Prendre un bol, y verser de l'eau froide presque jusqu'au bord.

     

    Prendre une épingle qui a une petite tête ( la demander à sa maman ) et une fourchette.

     

    Poser l'épingle bien droite sur le bord de la fourchette puis la plonger tout doucement et lentement à horizontal dans l'eau puis d'écarter tout aussi lentement et doucement la fourchette de l'épingle.

     

    Si c'est bien fait, alors l'épingle flotte, si elle coule, bien l'essuyer, elle et la fourchette, puis recommencer.

     

    Le pourquoi imprécis proposé par le non physicien que je suis:

     

    A la surface de l'eau il y a une très fine pellicule plus épaisse d'eau qui permet autant à l'aiguille de flotter qu'à des insectes de faire de même sur de petits cours-d'eau sans beaucoup de courant.

     

    Mais dès que l'épingle est mouillée, même un petit peu, elle coule, parce qu'elle n'a pas de bouée de sauvetage.

                                                       ...........................................

     

    Pour les médecins:

    Il n'est pas que la pluie qui est diurétique, les toilettes le sont tout-autant: ainsi, plus nous nous en rapprochons, plus notre envie d'uriner s'accroît.

     

    Pour les lettrés:

    Blaize Sandard était-il un grand fumeur? ( Ce n'est pas marrant mais ça fait rire les pères-grands et les mères-grandes  )

     

    Pour les éclairagistes:

    C'est clair: il y en a qui ne sont pas des lumière! ( ils s'éclairent à la bougie mais savent-ils ce que les bougies valent? )

     

    Pour les physiciens:

    Neutron, électron, dire que tout ça n'a pas de feuille, peut-être sont-ils tron... sonnés? ( dring, dring... )

     

    Pour les astronomes:

    Quand je regarde les étoiles je ne peux m'empêcher de penser que je vis dans le plus bel univers du monde!

     

    Quand les songes d'ennui

    Guident la vie

    Les soupirs s'appellent à soi.

     

    Elle s'ennuie

     

    Personne ne vit tant et si belle qu'elle,

    Rêvant d'intrigue en vol d'hirondelle.

    Dedans le grand dérangement d'un long ennui

    Elle chemine en esprit de désirs en envies.

     

    Ceux qu'elle aime d'une tendresse absolue:

    Ses enfants, son mari, tout autant ses amies,

    Les dîners de copains et tant de bons vécus.

     

    Cela proviendrait-il de la monogamie?

    Serait-ce la vie dont elle aurait voulu

    Faite d'aventure ou bien de bonhomie?

     

    Sa morosité de ménage aux repas

    S'enfouit de maints baisés offerts à tous les siens:

    A l'époux, ses marmousets et puis ses anciens,

    Enfouissant ses regrets en ses présents tracas.

                                          .................................................          

     

    Pour les fabuliste et en l'honneur des fables de Lafontaine:

    Le renard a-t-il le corps beau ( Celui-là je l'aime bien, ma foi )?

     

    Pour les barbiers:

    La mousse tâche ( bof, que dire de plus de ce jeu de mot idiot? )!

     

    Pour les anthropologues:

    Comment un blanc peut-il avoir des idées noires, restons objectif sans être négatif dirait un photographe ( là, j'en fais de trop, comme une marotte je me prélasse à rechercher la tirade rigolote et ne fais que blablater pour ne rien dire et dire que vous allez lire tout ça sans comprendre pourquoi je l'écris, parce que j'écris tout çà allez savoir pourquoi, ceci parce qu'il y a un petit peu de soleil qui brille et que ça me donne envie d'un petit peu d'écriture automatique qui n'est pas si automatique que cela poil aux doigts dont j'en ai dix et pourquoi dit-on dice quand on devrait dire dixe parce que il y a un X à la fin de ce mot c'est vrai quoi et quoi qu'il s'en dise comme l'aurait dit le duc qui n'existe plus parce qu'il avait été assassiné il y a de cela longtemps et le temps long c'est long et je sais plus quoi écrire alors j'arrête là plutôt qu'ailleurs parce que ailleurs ce n'est pas là, poil aux doigts qui en vérité sont vingt avec mes pieds ce qui est vain et vlan passe moi l'éponge! ouf, c'est fini. )

     

    Pour les linguistes:

    Restons sérieux, il faudrait m'expliquer : le foie prend un "E", la foi n'en prend pas, quand à "il était une fois", il se trouve que ce mot est en même temps féminin et d'usage, ici, au singulier...

     

    Pour les éleveurs:

    Les moutons sont des animaux à poil laineux! A poil laineux, à poil laineux, à poil... ( vieille rengaine quelque peu coquine à chanter en cœur après avoir bu un petit peu plus que de raison ).

     

    Pour les astrologues:

    Il ne peut qu'être sûr que Blaize Sandard n'est pas scorpion ( possiblement, comme l'avait dit Pierre Dac, fox terrier à poil dur )!

     

    Petit problème pour les instituteurs:

    Un tiers monte dans un bus, combien de personnes cela ferait-il s'il y en a neuf ( ils viennent d'être fabriqués )?

     

    Pour la marine nationale:

    Le marin: "Capitaine, sommes-nous dans un croiseur ou un soumarin?"

    Le capitaine: "Mais voyons matelot, nous sommes dans un croiseur!"

    Le marin: "Ha, alors nous coulons!" ( poil au menton, n'osant pas en désigner un autre  )

     

    Pour les éthologues et les acousticiens:

    Quand un âne mange rapidement, peut-on parler de la vitesse du son ( ceci est une magnifique nullissime blague à deux balles )? 

     

    Quand tout le monde devient anticonformiste, alors l'anticonformisme devient du conformisme.

     

    Pour les enfants et pour ceux qui en ont conservé l'âme:

    C'est un petit nuage qui va vers un grand nuage et qui lui dit: "Maman, j'ai envie de faire pluie-pluie."

     

    Enfin, voulez-vous que je vous dise quoi?

     

     

    THEURIC

    PS: Non, je ne vous le dirais pas!

  • Avertissement:

    Faites vos réserves, il n'est que plus que temps!

     

     

    THEURIC

  • Ce qu'il se passe, entre-autre, en France et ailleurs

    Ceci est juste le début d'explication de ce qu'il pourrait bien se passer sans que, je n'en aie de véritables preuves, toutefois cela me semble logique, je poursuivrai cette réflexion au plus loin lorsque je pourrai le faire plus tard, quand des informations me le permettrons.

     

    Veuillez noter les idées suivantes, bien que, en tant que penseur brut, je ne puis, donc, présager de la réalité intrinsèque de celles-ci :



    Les pays qui, lors de la guerre froide, étaient dits de l'Est et qui, suivant, font maintenant parti de l'Union-Européenne, savent, de fait, quatre faits que je peux que considérer comme logiques :



        1. Depuis la sortie de la Grande-Bretagne de l'union, chacun sait que tous pays qui en sortent doivent rembourser les dettes dues aux pays y restant quand ces derniers n'ont, part ailleurs, à ne rien rembourser auxdits pays qui en sortent ;



        1. De plus, lesdits pays de l'Est savent, depuis 1989 et leur sortie du pact de Varsovie, qu'il n'est nul besoin de signer quoi que ce soit pour quitter un traité d'union, il suffit juste d'attendre que cette union périclite, quitte à la déstabiliser ;



        1. Ils furent industrialisés par nous-mêmes à peu de frais en raison de la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux édictées par les traités de l'UE ;



        1. l'argent que les pays de l'Ouest leur ont prêté, qui leur a permis de moderniser leurs infrastructures, ne seront remboursés que si l'Union-Européenne se désagrège d'elle-même.

           

          Veuillez également noter la chose suivante :



    Je subodore ceci :



    Se livre une guerre économique à outrance entre familles oligarchiques, dans les nations qui se trouvent sous le couvert des Etats-Unis-d'Amérique, mais aussi au sein de l'empire étasunien.



    Or, ceci à n'en pas douter, ceux qui, desdites familles, détiennent les ordinateurs les plus puissants, ce sont ces derniers des USA .



    Vu que ce sont des machines à très hautes vélocités, ceux-ci ne peuvent qu'accroître les structures chaotiques naturelles des opérations spéculatives en raison de la profusion, toujours plus nombreuse et rapide, des échanges, tant en vente qu'à l'achat.



    Dès lors, Plus lentes sont cesdites machines, plus les pertes monétaires seront grandes, voire funestes, ceci d'autant qu'à ces pertes pour les ordinateurs les plus lents, pourrait bien se surrajouter les fait que ceux des plus rapides prennent les valeurs monétaires des précédents.



    N'oublions pas ceci :



    Bons du trésor veut dire reconnaissance de dette des états.



    L'or papier ressemble à s'y méprendre aux bons sur l'or sous la régence de Louis XV qui se termina par une crise économique de grande ampleur (de tous les Flançais).



    A n'en pas douter, si les subprimes ont perduré depuis 2008, alors nous nous retrouverions dans une situation analogue à cette époque.



    THEURIC

  • Hypothèse des prix faisant des hauts et des bas.

    Avant-propos:

     

    Bien que je ne sois plus emprunt de cette bouffée délirante qui m'avait perturbé quelque peu, j'en ai été pour le moins fatigué, d'où mon peu d'écrit jusqu'ici.

     

    Mais m'est revenu, ce soir même, l'étonnement de ce que, en une semaine et pour des courses similaire, le prix d'iceux s'étaient révélés du simple au triple.

     

    Je vous propose, donc, dans ce rapide billet (j'ai une faim de lououououp), une hypothèse des raisons qui font que ce fait ne peut que paraître étrange à tout-un-chacun.

     

    En voici l'hypothèse:

     

    Comme il ne peut qu'en être logique de le penser, quand  bien même parlerions-nous d'oligarchie monétariste en général (de brigade), il ne peut qu'en exister des plus riches et des plus pauvres.

     

    Leurs fortunes devant s'établir entre les dizaines de millions et les centaines de milliards.

     

    Or, aux vus des difficultés des oligarques en raison de cette crise économique que je ne ai eu que de cesse de vous avertir par le passé et qui pourrait être entrain actuellement, amis lecteurs, il est probable (n'ayant pas eu la force d'aller véritablement voir ce qu'il s'en dit sur Businessbourse) que les plus gros desdits oligarques auraient décidé de ponctionner les richesses des plus petits.

     

    Cela se passerait au niveau des bourses où, à la suite de leur monté vertigineuse, s'amorcerait une baisse plus ou moins rapide.

     

    Ceci serait décidée par les gros richissimes au détriment des plus petits, par la revente de leurs actions qu'ils auraient fait ainsi gonflé d'une manière démesurés et, ce, de multiples fois (il est à craindre, en ce cas, que de ces montés et baisses des prix à la consommation se répéteraient de nombreuses fois, ce qui me prouverait que mon hypothèse serait juste).

     

    (Les baisses boursières importantes conduiraient les spéculateurs à se reporter sur les produits de bouche, de premières nécessités et sur les matières premières (ce qui ralentit, part ailleurs, l'industrie internationale), d'où, si cela est juste, la monté si rapide des prix à la consommation)

     

    Mais, dès lors, un problème se poserait provenant de deux lois votées en France, ceci à la suite d'une injonction de l'Union-Européenne:

     

    La première permettant aux banques de l'union ayant des difficultés de trésorerie de prendre l'argent placé dans les comptes épargnes quand ceux-ci dépassent les 100 000 euro mais, plus encore, pour la seconde, de prendre toutes les épargnes des particuliers (poils aux nez)

     

    Cette après-midi, en allant faire mes courses, j'ai rencontré et discuté avec une dame (aux belles élégances) disant travailler au Crédit-Agricole-du Sénonais (sur internet c'est celui de Champagne-Bourgogne, poils à ma trogne) et qui m'expliquait sa fierté d'y travailler puisque celle-ci ne fait pas de spéculation mais, tout au contraire, investit, à l'ancienne, dans l'industrie, l'agriculture et les mines (j'y suis, j'y reste).

     

    Comme ce sont les affaires spéculatives qui, des sociétés ad oc ainsi que des banques, poseraient ainsi problèmes, cette dame m'a donc conseillé de placer mess économies dans ladite banque du Crédit-Agricole-du -Sénonais, voire même, ne sachant comment tout cela pourrait se dérouler, me dit-elle, d'y mettre également mon compte chèque.

     

    Ce que j'avais fait quand je m'étais installé à Sens il y a une dizaine d'année, par simple souci de proximité, lui avais-je répondu.

     

    Cette charmante dame m'expliquant que son patron aurait mis en place, pour les gents vivant loin de la ville de Sens, un numéro de téléphone qu'il serait possible, m'avait-elle dit, de trouver sur internet, ceci pour que, suivant ce qu'elle me racontait, chacun puisse faire son changement de compte où qu'il se trouve et vit.

     

    Je ne sais pas ce qu'il se passe exactement à ce sujet, mais ces hausses et baisses des prix à la consommation me laisse suggérer que cela risque de se produire assez rapidement si, bien entendu, l'hypothèse que je vous propose ici se révèle exacte.

     

    Mais quoi qu'il en soit désormais et puisque c'est, justement, les processus  spéculatifs qui sont les raisons de nos immenses difficultés, si de telles hausses et baisses des prix de la nourriture, des menus achats et des services se répètent, il deviendra évident que les phénomènes spéculatifs en seront au centre.

     

     

     

     

    THEURIC

     

  • Florilège 3

    Avant propos:  

     

    Ceci étant précisé à l'endroit de ceux que j'imaginerais pouvoir croire que ce que j'exprimerais ici recèlerait quelque code abscons!

     

    Je me dois ainsi, par prudence, de noter que je n'envoie aucun message sibyllin et secret d'aucune sorte mais ne fais que poser ici autant de petites blagues, de rapides réflexions philosophiques, poésies, recettes de cuisines... et, ce, suivant l'esprit que je peux en avoir sur le moment.

     

    J'avais, part ailleurs, déjà exposé, auparavant, comment faire, pour ceux que cela intéresseraient, de déjouer toute censure.

     

    Je ne vois personne depuis ma dernière rencontre avec l'un de mes frères, hormis ceux et celles que je pourrais croiser pendant mes promenades, de plus,  je n'ai aucun contact téléphonique, courriel et courrier d'aucune sorte, hormis ceux que je peux avoir avec ma famille!

     

     

    Il ne faut pas confondre: Six et trois neuf...

     

    De jour ou nuit,

    Quand l'orage déguerpit

    Le ciel s'en apaise.

     

    Somme et pluie 

     

    Les ondées de minuit, quand mon couché se fait,

    Bercent mon sommeil de ses vents rugissants.

    M'endormir ainsi me berce, tant satisfait,

    D'ouïr folies d’Éole, d'Orage mugissant.

     

    La rincée versait son flot sur le sol asséché.

    S'entendant de toutes part, ce déluge

    M'y laissait, en mon lit, un si doux refuge.

    Rêvant les nuages comme de maints archers,

    Plantant en ses sons forts, en pleine terre,

    Ses eaux et grêles, sans vouloir se faire taire,

    Comme si, d''un coup, tout devait de se lâcher.

     

    La foudre éclaire, de sa voix tonnante, 

    La marche des très hauts cumulonimbus

    En leurs grandes marées tourbillonnantes,

    Sonnant l'éloignement de ces cumulus.

                                         ............................................

     

    ... Et Suisse et Troyes neufs.

     

    Le kiwi est un fruit plein de plume.

     

    Je ne dis pas mort aux cons parce que je ne sais pas, en ce qui me concerne, ce qu'il pourrait m'en être.

     

    3, 1416 est égal à π / vache.

     

    Samson était-il sourd ne serait-ce qu'à un cheveux près?

     

    Demandez-vous comment les oiseaux s'envoient en l'air!

     

    La bêtise se montre et se comprend à l'aune de l'intelligence.

     

    Un nouveau-né a-t-il un nouveau nez?

     

    Sortir des toilettes me donne le même sentiment que de quitter son psychanalyste: de s'être débarrasser d'un poids mort.

     

    A ne pas confondre couche du moche et mouche du coche.

     

    Petite réflexion du temps présent: Il a bu le thym!

     

    5ème loi de la thermodynamique: tout changement d'état de la matière demande plus d'énergie que ledit changement d'état le nécessiterait.

     

    Le britannique naît sir et fils!

     

    Les militaires de carrière forment-ils ces jeunes que sont les mineurs de fond?

     

    La cale en bourg bon laque son cale humé (çà ne veut rien dire mais moi, au moins, je le sais).

     

    C'est bien là chose exigeante et ardue que celle de saisir comment s'observer et de se comprendre soi-même.

     

    Comment nomme-t-on les jambes des étudiants?

     

    Quand on se soulage aux toilettes, rajeunit-on?

     

    Des pattes à potache.

     

    Toutes choses, tous événements, toutes décisions et actions humaines ont toujours leurs logiques internes.

     

    Avez-vous remarqué que l'eau est diurétique?

    La preuve en  est, quand il pleut on a envie de pisser!

     

    Un postier est-il timbré?

     

    J'accepte ce que je suis, ainsi que les événements de mon existence, et je fais tout pour que, de jour en jour, cela s'améliore.

     

    Quand elle pirate la pie rate!

     

    Un sot prend un seau dedans lequel se trouve un sceau, tout à coup tous trois tombent, comment l'écrire précisément?

     

    Le grand Bay naît fils.

     

    L'or papier est comme un petit lac dans un zoo: une Phi ( Φ ) loutrie, ceci quand le nombre dort.

     

    La soierie rit quand le Soi rit.

     

    A la question : "L'es-tu?", je n'en ferai pas une salade!

     

    La somme de mon somme me somme le réveil.

     

     

    THEURIC

  • florilège 2

    Quand on pâlit, pallie-t-on? Et inversement...!

     

    Pourquoi les ballons de football sont-ils remplis d'air puisque se jouant hors de l'eau, quand ceux du water-polo n'en sont pas rempli, justement, d'eau?

     

    Quand on parle de date, s'agit-il du fruit ou d'une époque? Il faudrait savoir!

     

    Quand je sort des toilettes, je ne peux m'empêcher de méditer longuement sur la légèreté de l'être (  il est, par ailleurs, pour moi temps de la méditation  ).

     

    Comprendre permet de mettre en perspective ce qui fut appris et, donc, de faire de même que les anciens, c'est-à-dire d'en considérer les limitations à l'aune de ses propres exigences intellectuelles et, dès lors, de faire des liaisons logiques entre nos différents connaissances, voire à même à en considérer les restrictions, quelque-en-soit leurs étendues, pour en développer ses congruences.

     

    Parait-il que chez certaines femmes la pipe fait un tabac!

     

    Un cumulonimbus serait-il un grand nombre de voyageurs imaginaires dans un véhicule de transport en commun?

     

    Un cumulus concernerait-il une maladie du postérieur?

     

    Avec des SI on mettrait Paris en bouteille, oui, mais le quart à font.

     

    Petit dessert aux fruits:

     

    Voici un petit dessert que les enfants peuvent faire:

    Prendre, suivant le nombre de convive, un ou plusieurs fruits au choix (j'adore avec de la framboise), les découper en morceaux,  des fruits secs, noix, amandes, noisettes et/ou autres, du yaourts et/ou du fromage blanc, un poil peu de crème fraîche, du miel, des morceaux, non pas trop petits, de chocolat (poil à mes sourcils), de la vanille ou de la cannelle, mélangez le tout, un petit biscuit ou plusieurs (oh les gourmands) et régalez-vous (c'est un ordre, ah mais!) !

     

    Comploter, ma foi, offrir du plaisir aux dames ne peut que m'être d'une exquise jouissance.

     

    Une bonne poire se coupe-t-elle en deux pour les autres?

     

    Il faut toujours faire attention au linge qui sèche (le cancre) car le séchoir sait choir.

     

    Si l'on veut ouvrir une porte, le mieux consiste à faire attention de ce que celle-ci soit avant-tout fermée.

     

    Un car serait-il  les deux huitième d'un  bus?

     

    " le réflexe de réitération" individuelle et/ou collective (ou fuite en avant) (c'est une réflexion collective) : dans une situation de panique et/ou d'angoisse, réitération non adaptative lors de l'évolution du milieu d'existence, dans l'action ou dans la manière d'une pratique de vie et/ou de ce qui fut appris.

     

    Arrive-t-il que le choix choit?

     

    C'est étrange, d'un triangle-rectangle l'on parle du carré, certes de l’hypoténuse.

     

    Dire que j'ai gardé les deux chattes de ma copine, il existe des particularités anatomique qui m'étonne.

     

    Une femme canon est-elle un boulet?

     

    C'est l'histoire d'un monsieur se nommant Briolet qui, ayant une voiture décapotable, est en cela un cas, sans être sud-américain, cela va de soi.

     

    Ceux qui aiment les petits-suisses sont-ils pédophiles?

     

    Compote pomme orange facile à faire:

     

    Éplucher et découper en petits morceaux le nombre de pomme suivant la quantité de compote que l'on veut faire.

    Recouvrir très largement de jus d'orange pressée, voire de clémentine, de mandarine ou de mélange (je laisse le soin à tous, amis lecteurs, de se la concocter suivant le goût de chacun).

    J'y rajoute un petit soupçon de poivre, ainsi que de la cannelle, du gingembre et de la muscade moulues.

    Le tout en casserole à feux le plus doux possible sans couvrir jusqu'à ce que les pommes soient bien cuites et le jus bien épaissi.

    Il est possible de la mettre en pot mais je préfère, même si lesdits pots sont fermés hermétiquement, les conserver au frais.

     

    Un général français de la seconde guerre mondiale s'appelait Monsieur Leclerc de Haute-Clocque, il dut être bienheureux d'avoir une famille fortement nombreuse, n'est-ce pas?

     

    Je marche vers le futur, ébloui par sa promesse d'aventure.

     

    Quand l'on dit: "Je vais faire des courses!" il est à remarquer que ce n'est que très rarement à marche forcée.

     

    Boire du lait, est-ce beau?

     

    A ne pas confondre: jus de fruit et j'eu deux fruits...

     

    (Offert gracieusement) Qu'y a-t-il de plus amusant qu'un drôle drôle?

     

    J'aime les saints sains seins des femmes!

     

    Freud disait que  tous les enfants sont des pervers polymorphes, j'y rajouterais qu'au-delà de la petite enfance cela ne peut qu'être que s'ils ont reçu une mauvaise éducation.

     

    Moi, à chaque fois que l'on me dit blanc, je me remarque plutôt être de la couleur d'un rhino, c'est rose, sans être rosse, assurément.

     

    L'on dit que les filles naissent dans les roses et les garçons dans les choux, cela voudrait-il dire qu'à Bruxelles il n'y a que des familles nombreuses de garçons, sauf près des jardins d'agrément, bien sûr.

     

    Enfin, voulez-vous que je vous dise ce que sera la suite?

     

     

    THEURIC

     

    PS: Non, je ne la connais pas.

     

  • La règle de trois: du gâteau!

    Je m'étais déjà essayé de vous raconter ce qu'est que la règle-de-trois et, ce me semble, je m'en étais complètement emberlificoté les ripatons, je vais donc, une nouvelle fois, vous l'en conter par le menu d'un exemple: une bonne pâtisserie.

     

    Elle n'est plus enseigné depuis longtemps, ce qui est bien dommage mais, surtout, dommageable.

     

    Or, ce petit mécanisme mathématique sert pour tout et tous, tout autant pour les scientifiques, les ingénieurs de toutes sortes, les agriculteurs, les charpentiers, les commerçants, les mathématiciens et j'en passe des métiers qui en font l'appel...

     

    Elle fut remplacée par les fractions qui ne sont, si on y regarde de près, que des mécanismes de division quand, là, il s'agit d'une multiplication doublée d'une division, et puis,  allez donc les diviser ou les multiplier lesdites fractions, c'est un véritable casse-tête-chinois.

     

    Voici comment cela se présente:

     

    La fraction:

     

                          A

                          _   =  C

                          B

     

    Vous remarquerez qu'il ne s'agit que, comme écrit plus haut, d'une division.

     

    La règle-de-trois, quand à elle, se note ainsi:       

     

                          A x B

                      ______   =  D

                             C

     

    Vous pouvez même en faire des constructions de cette sorte, par exemple:

     

                                              A x B

                                           ______   

                                                 C                   

                                       __________     x E  =  F

                                                 

     

     Bon, maintenant, allons voir de ce qu'il pourrait en être pour un gâteau, un cake aux fruit pour illustrer cette affaire (je m'en suis fait de ces régalades que je vous n'en dise que cela).

     

    J'ai, quand à moi-même, ma recette pour 6 personnes composée de: 200 gramme de farine, 70 gramme de sucre ou de miel, 125 gramme de beurre, 4 œufs (les blancs montés en neige et les jaunes blanchis au sucre ou au miel), deux cuillères à soupe d'un alcool parfumé (du rhume blanc antillais sans mouchoir ni de foin par exemple), 1/2 sachet de levure (de 15 g / 2 = 7,5 g) et des fruits à sa convenance ainsi qu'à l'humeur du moment.             

     

    Et puis, et puis, crac boum hue (comme le joujou extra), c'est l’anniversaire de quelqu'un et, plutôt que six il y aura 15 invités à cette fête, alors, comment faire?

     

    Il suffira juste d'utiliser ladite règle de trois pour cela (poils aux doigts..........de pieds, poils au nez):

     

    Farine:                     200 x 15

                                      ______  =  500 g

                                            6

     

    Sucre:                        70 x 15

                                      ______  = 175 g

                                           6

     

    Beurre:                      125 x 15

                                       ______ = 312,5 g

                                           6

     

    Oeufs:                            4 x 15

                                       ______  = 10 œufs 

                                             6

     

    Levure:                      7,5 x 15                       

                                      ______ = 18, 75 g

                                             6

     

    Les fruits, tant en leur quantité qu'en leur sorte, ce sera suivant, hein, j'aime particulièrement quand il y en a beaucoup autant qu'en mélange, mais ça, c'est un choix personnel.

     

    Bon, pour le four, 180 degrés pendant une trentaine de minute environ,  piquez le avec un couteau pointu pour savoir s'il est cuit, ricuicuit, ou attendez dix minutes de plus.

     

    Voilà donc la règle-de-trois par l'exemple.

     

    Je dois aussi vous prévenir de la chose suivant:

     

    Vous ne devez surtout pas la confondre, cette règle, avec la ville éponyme du Péloponnèse dont la guerre du même nom fit d’Ulysse le héro et le cheval de Troie l'une des premières ruse de guerre, ni de celle, de ville, Troyes, se trouvant dans le département de l'Yonne.

     

    A ce sujet, le bilboquet qui est un jeu entièrement français se joue à trois, un, deux et trois, le premier prend la lance et la boule, le second prend la boule et la lance, que fait le troisième?

     

    Je ne sais pas pourquoi mais il me semble que cela n'a rien à voir.

     

     

    THEURIC

     

    Ps : la réponse en cette question épineuse au sujet du bilboquet se trouve au-dedans de la question-réponse qui suit:

     

    Pourquoi casquette de chauffeur de taxi? Parce que rame de métro!

  • Pour les enfants grands et petits: les toutous:

    Savez-vous pourquoi les chiens, quand ils se rencontrent, se sentent le derrière?

     

    Et bien en voici l'histoire (pour de rire ha, ha, ha):

     

    Il était une fois, il y a très, très, très longtemps de cela, les chiens, tous les chiens se faisaient la guerre.

     

    Et cela durait, durait depuis tant de temps qu'à un moment ils en eurent assez de se battre continuellement.

     

    Alors, ils décidèrent de se réunir tous pour signer un traité de paix.

     

    Pour se faire et comme ils ne savait pas construire de maison, ben oui, c'est bien connu, les chiens ne savent pas construire de maison.

     

    En plus, comme ils sont extrêmement  nombreux, il leur aurait fallu en construire une immense de maison, une maison de la paix, comme celle de l'ONU, Organisation des Nations Unies, située aux Etats-Unis-d'Amérique, or, cela, comme nous l'avons vu, leur était impossible puisqu'ils n'ont pas de main.

     

    Dès lors et pour se faire, ai-je dit, ils décidèrent de rechercher une grotte suffisamment grande pour accueillir tout ce monde canin, ceci d'autant plus qu'ils étaient de toutes les tailles (et le sont toujours aujourd'hui), des petits, des grands, des gros, des maigres, des longs et courts sur pattes...

     

    Alors, ils allèrent tous rechercher une grotte qui pourrait contenir l'ensemble de ces animaux, soit à la montagne, dans l’Himalaya, dans les Alpes, dans les Vosges, partout, partout, partout.

     

    Il fallut beaucoup de temps pour en trouver une de taille respectable, de grotte, c'est qu'elles sont rares et, souvent, ont des entrées secrète, en effet, les grottes n'aiment pas du tout être dérangées, surtout en raison des mauvaises odeurs des trous-du-cul.

     

    C'est dans les Pyrénées qu'une belle fut découverte, elle était grande, spacieuse, exactement ce que les cabots recherchaient.

     

    Son seul défaut était que son ouverture était étroite et, donc, les mauvaises odeurs dus à leur derrière ne pouvaient que s'accumuler et la grotte n'aurait pas été contente, mais alors, pas du tout, parce que ça aurait pué et alors la grotte aurait fait: "beurk, ça pue".

     

    Tous, par conséquent, laissèrent leur trou-du-cul dehors, à l'entrée de la caverne, avant d'entrer pour commencer leurs palabres affin qu'après ils signent leur  armistice de paix.

     

    Et ça durait, ça durait des jours et des jours, heureusement qu'ils avait fait des sandwichs parce que sinon ils auraient très faim.

     

    C'est vrai, les chiens de cette époque savaient confectionner des sandwichs (mais ça ce n'est pas vrai, hein, il faudrait d'abord qu'il puissent couper le pain avec leurs pattes en tenant un couteau, eux, ils ne le coupe pas, le pain, ils le croque d'un coup de dent en faisant "raoune" et, après s'être pourléché leurs babines, houa, houa, houa).

     

    Pendant ce temps là, dehors, il y eut, tout à coup, un fort coup de vent qui mélangea tous les trous-du-cul, ceci juste avant que, cet armistice signé, l'ensemble des chiens sortissent.

     

    Chacun, en partant, ne put pas retrouver son propre arrière-train, il prit donc n'importe lequel, très très embêtés parce que ce n'était pas le sien.

     

    Depuis lors, quand deux chiens se rencontrent, se demandant si ce ne serait pas l'autre qui aurait son trou-du-cul, ils disent, en leur langage: 

     

    "Salut mon vieux , comment vas-tu, sent mon cul, est-ce le tien?

     

    -Non, il pue trop, et toi, ça va, sent le mien, t'appartient-il?

     

    -Non plus, il ne pue pas assez."

     

     

    THEURIC

  • Florilège...

    Le bonheur est comme un cheval: il n'est nul besoin de lui courir après, il viendra vers chacun d'entre-nous dès lorsque nous voudrions bien l'accueillir.

     

    Un stress post-traumatique a deux raisons d'être complémentaires:

    -Le choc psychologique et/ou corporel violent;

    -Venant à se confronter à l'incompréhension des raisons et causes audit choc.

     

    Boire mon thé voudrait-il dire que, plus tard, il me faudrait descendre?

     

    Et, dès lors, qu'avait dit Jeanne-d'Arc sur son bûcher?

    ...........Je veux descendre, je veux descendre!!!!!!!!!!

     

    Si l'on veut comprendre la réalité, il faut aller la rechercher au-delà de l'apparence de toutes choses, ce qui est, dans l'absolu, naturellement inatteignable.

     

    De Hernesto Pagliano, offert obligeamment par une amie: "Le concept est toujours moins que la réalité!"

     

    Peut-on en même temps monter des cendres?

     

    Pour trouver du bien-être dans la vie, il faut : se sourire à Soi-même, parfois devant un miroir, rire de bon cœur, de clowns, de bons mots, de blagues et d'autres ( sans rire des malheurs des gens ), savoir bien manger sans excès, faire de l'exercice ni trop, ni trop peu, et aimer l'amour des femmes pour les hommes et l'amour des hommes pour les femmes.

     

    Ce qui importe en ce que l'on apprend c'est de comprendre cet apprentissage quel qu'il soit et de le rendre, de ce fait, utile.

     

    Faut-il être aviateur pour s'envoyer en l'air?

     

    Lois de la thermodynamique:

     

    1) Le chaud monte, le froid descend;

    Le chaud va vers le froid, jamais l'inverse.

     

    2) Tous effets de mouvements énergétiques ne peuvent revenir en arrière, ce qui démontre la flèche temporelle.

     

    3) Toutes création ne peuvent se faire que grâce à de l'énergie, cela mène naturellement à une perte d'énergie sous forme d'entropie (  le moteur de la voiture chauffe quand on roule, cela est dû aux frottement dans celui-ci, cette entropie là se fait sous forme de chaleur, ce qui est la majorité des cas   ).

     

    4) Dans un milieu hermétiquement fermé à toute énergie pouvant provenir de l'extérieur, l'énergie se trouvant à l'intérieur dudit milieu y tend à partout s'égaliser.

     

    J'y rajouterai, quand à moi, la chose suivante:

     

    Un tuba est un instrument de musique que l'on joue sous l'eau ( hi, hi, hi, ha, ha, ha, ho, ho, ho )

     

    La femme est semblable à l'homme en son inverse complémentaire..., et réciproquement.

     

    Quand l'écrivain écrit, il s'exprime toujours de Soi: soit de ce qu'il en sait, soit de ce qu'il se pense être, soit de ce qu'il suppose de ce que l'Autre pense de lui, soit de qui il se conçoit, soit de ce qu'il est, soit de qui il est, soit de tous cet ensemble.

     

    Pour un astrophysicien un trou-noir est-il troublant?

     

     

    THEURIC

  • Petit conte pour adulte d'antan.

    Nous devisions sagement tous deux de sa chatière, quand je la sentis nous désirer entrer en son boudoir en suite plaisante de lui avoir fait présent d'un beau présent:

     

    "Mais, comment cela se fait-ce de cette belle offrande? serait-ce ma fête? En cela, eut-il fallu que je le susse!"

     

    Dit-elle en ouvrant le paquet délicieusement ouvragé que je venais de lui dédier:

     

    "Que vous le sussiez, Madame," lui répondis -je", il n'en est point de date qui en fasse loi, et du plaisir que j'en  ai eu de vous le confier ainsi ne peut que m'en être que de l'égal du  vôtre; ainsi de cette geste cadeauté que je fallusse que je vous le fisse pour qu'il vous soit porté avec grâce au-dessus de votre giron.

     

    -Oh! Oh! Oh! Monsieur, ce grand gland caché au sein de son écrin m'en est d'une haute magnificence, contemplez comment, comme le veut l'us, que je le lèche avec délectation, il est si doux et dure au touché que ça ne peut que m'en être qu'un ravissement.

     

    -Ci-fait, Madame, ma joie de vous contempler en cela est telle que cela me comble d'aise et, que je vous l'avoue dans l'instant, j'ai belle volupté que de vous le voir câliner de telle façon..., mais, que vois-je, votre si beau minou me paraît, me permettriez-vous que je le cajole?

     

    -Certes Monsieur, certes, ma chatte adore ça, si vous saviez combien  elle vous aime en n'attendant que cela en vous suivant bien volontiers en mon chez-moi pour que la combliez de vos sensualités et, voyez, nos plaisirs radieux nous suivent, vous de ma chatte si soyeuse et vous de ce gland dont vous me fîtes présent et que, de ma langue, je caresse."

     

    C'est ainsi que cette longue journée de marivaudage nous fut d'un si agréable moment.

     

     

    THEURIC

  • Le jardin; A ma belle inconnue.

    Le jardin

     

    Il est un jardin petit et sans manière,

    Large de si peu, long de quarante pas,

    D'où notre hôtesse nous invitait, hier,

    A nous y installer pour de délicieux repas.

     

    Le gazon s'y frayait un sinueux chemin

    Sous l'antique poirier d'où pendaient de durs fruits.

    Un beau potager en en faisait l'usufruit

    D'une riche verdure de légumes communs.

     

    Aux cotés de la table, sous la pergola,

    Grillaient des maquereaux bien frais

    Que nous mangions en cœur en festin de gala

    Au milieu de blagues et de rires, sans arrêt.

     

    Nous regrettons tous de ces années passées,

    Quand le vin nous grisait d'un alcool délicieux,

    Avec des amis, venant à s'effacé

    Les mauvais matins à l'esprit capricieux.

                                     -----------------------------------

     

    A l'amie peut-être inconnue

     

    Je connais tout d'elle, hormis de sa douceur.

    De sa douce peau, ne peut qu'imaginer:

    Mes rêves faisant voguer mes bras embrasseurs

    De son corps impatient de félicité.

     

    Je ne la connais que de ne s'être croisés

    D'un soir brumeux d'où je la vis s'effacer

    Au-devant d'une foule tant déambulant

    Et moi freiné d'un trouble si paralysant.

     

    Peut-être la reverrai-je, cette dame,

    En quelques endroit d'une belle destinée

    D'où nous deviserions au-devant d'un dîné.

    Dès lors, je béerai des courbes de cette femme.

                                  ------------------------------------

     

    Douces nuits

     

    L'exquise esquisse de sa grande beauté

    Menait mes sens en somptueuse volupté

    D'éclairer ses belles et rondes vigueurs

    En  ces tendres moments de nos nus bonheurs.

     

    La nuit gracieuse éclairait de ses ombres

    Nos caresses légères faites de milles grâces

    Libérant nos corps de nos nôtre pénombre

    Libérant nos vies des pauvres carapaces.

     

    Puis, le jour revenu, notre sommeil venant,

    Nos âmes repu d'un nouveau éclairant

    Vibrent d'aise d'un avenir avenant

    Effaçant ainsi nos passés flétris d'errants.

     

     

    THEURIC

  • Ô, les belles questions...!

    Quelles bières aiment les croques-morts?

     

    Des sœurs jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Un heurt de bonne heure est-il digne d'un doux heur?

     

    Un bienfait est-il, en soi, bien fait?

     

    Pourquoi le café frais est-il toujours chaud?

     

    L'athée aime-t-il le bon thé?

     

    Les roubignoles concernent-elles les pneus de la voiture du concierge?

     

    La concierge est-elle la bougie d'église au féminin?

     

    Sans thé le britannique est-il en pleine forme?

     

    La trompette est-elle une petite tromperie ou d'un éléphant qui éternue?

     

    Être content voudrait-il dire qu'il pleut?

     

    Les anneaux de Saturne tournent-ils?

     

    La tortue, certes, mais le tort tue-t-il?

     

    Cherche-t-on le tout de son cru?

     

    Le violoncelle se joue-t-il à cheval?

     

    De quelle année est l’amphithéâtre?

     

    L'hôte est-il celui qui invite ou l'invité, s'il ne serait pas le sac du Père-Noël?

     

    Lors de la lancée du  disque aux JO, lequel choisir entre le vinyle et le CD?

     

    L'éternité a-t-elle une fin et... qu'y aurait-il après?

     

    Le con d'une femme serait si stupide que cela?

     

    L'abricot concerne-t-il les arrêts de bus?

     

    En prendre plein sa poire est-il pour sa pomme?

     

    Avoir la banane signifie-t-il qu'on est au régime?

     

    Un trou de balle est-il mortel?

     

    Quand deux choses convergent, cela est-il sexuel (haaaaa l'amour)?

     

    Un message est-il le masculin d'une messe sage?

     

    Un mitron, d'accord, c'est la moitié d'un tronc, que serait-il alors du litaire?

     

    Cela dessert-il de recevoir une tarte?

     

    Le gobelet concerne-t-il la tétée du nouveau-né?

     

    Berne est-elle en Suisse ou la Suisse est-elle en Berne?

     

    Lorsque l'on dit bonjour, cela voudrait-il dire qu'il ferait beau temps?

     

    D'avoir du pain sur la planche voudrait-il dire que l'on aura du blé?

     

    Recevoir une paire de baffle fait-il mal?

     

    Un hibou est-il chouette quand la vapeur d'eau sort de la casserole?

     

    Peut aller loin à cheval sur ses principes? 

     

    Pourquoi les mésanges ne sont-elle pas toujours au ciel?

     

    Fait-on un four de rater un plat?

     

    Un aléa, et pourquoi ne pas dire un aller b, à quoi servirait donc l’alphabet, sinon?

     

    Qui donc monterait-il dans un car, sinon un tiers?

     

    Boit-on un demi avec sa moitié?

     

    Quand on est dans les nuages, s'envoie-t-on en l'air?

     

    Nous, français, avons la pub, les britannique ont le pub, du masculin au féminin, à chacun ses définitions, n'est-ce pas?

     

    Et après cela, voudriez-vous que je vous dise quoi?

     

     

    THEURIC

     

    PS : Quoi!

  • Papa, le pont peint pend !

    Il est des chansons charmantes dépeignant fort bien les moments présents.

     

    "Sur le pont de Nantes", en connaissez-vous la teneur?

     

    Les paroles, les derniers couplets, à partir du 9ème, sont à méditer, et Guy Béard la chante fort bien.

     

    Chirac ne disait-il pas: "Les emmerdes volent toujours en espadrille escadrille"?

     

     

    THEURIC

  • De la crise: un pas en avant!

    Avant-propos:

     

    La bouffée délirante dont je me pensais m'être délivrée depuis six à sept mois c'est, depuis lors, allongée jusqu'à aujourd'hui.

     

    Je n'ai pu, pendant tout ce temps, me pencher au-dessus des événements, toutefois, depuis aujourd'hui, je ne peux que remarquer que le néolibéralisme montre des signes plus qu'inquiétant de graves perturbations, voire, plutôt, de leur relatif lent effondrement.

     

    C'est pourquoi je reprends et ne reprends qu'ici et maintenant mes réflexions de toutes sortes tout en poursuivant l'écriture de mes histoires extravagantes,  petites coquineries et autres gourmandises poétiques.

     

    Du reste, je vous en conterai l'histoire bien plus tard en vous en faisant le récit...

     

     

    Du pas en avant de la crise économique:

     

    De ladite crise économique qui, comme cela n'était qu'à prévoir et comme je vous en avais fait cas auparavant, ne peut que se révéler d'une toute première violence faisant passer celle de 1929 comme une toute petite promenade de santé, se trouve, dorénavant, juste au-devant de notre porte.

     

    De toute évidence, celle-ci ne peut qu'avoir d'épicentre formel que les Etats-Unis-d'Amérique.

     

    Je vais m'appuyer, pour ma démonstration, des publications de "Businessbourse", le seul site qui, à ma connaissance, dépeint au mieux, par le relevé de vidéos et textes de toutes sortes, parfois traduits, souvent de manière succincte, qui, proposés pêle-mêle, déterminent en même temps l'incorrigible aveuglement de notre oligarchie monétariste mondialisée tout autant que de la réalité déplorable de la situation économique mondiale.

     

    Ainsi, les USA se trouvent donc aux portes de leur dépos de bilan, ce que montre bien cette vidéo.

     

    Ce qui ne peut que vouloir dire que le dollar, bientôt, ne vaudra plus un clou, que dalle et ballot de crin, trois ronds, de la gnognotte, des queues de cerise, plus rien, quoi (poils aux doigts).

     

    Etant donné qu'il soit à supposer que, ici et là-bas, tel qu'il en est d'habitude dans le milieu politique et médiatique, les premières annonces véritables avertissant la population des difficultés et défis immenses desquelles elles auront à se confronter, attendent le dernier moment pour l'annoncer.

     

    Le reste des pays, hormis l'Island qui  sut, lors de la crise de 2008, mettre au pas son oligarchie par son emprisonnement et refusa, de toutes forces, de rembourser des dettes iniques, cesdits pays, donc, vont voire la valeur nominale de leur monnaie respective être subjectivement stable face aux autres, mais s'effondrer toutes au-devant des métaux précieux, ceux dédiés en tant que monnaie de réserve, soit l'or, l'argent et le platine.

     

    Donc, l'ensemble de la grande majorité desdites monnaies, Euro compris, sinon plongeraient déjà, du-moins le ferait sous peu quasiment en même temps (en raison d'une même hyperproduction dont je vous avais fait cas par le passé), face auxdits métaux précieux, c'est pourquoi elles paraissent encore et paraîtront toutes par le suite d'une valeur à peut près fixes par rapport aux autres.

     

    Or, pour nous, citoyens, cette question monétaire internationale, bien que ne nous paraissant que secondaire  (j'y reviendrai, poil à ma barbe), ce qui nous importerait et nous importe dès lors maintenant, ce serait de savoir ce qu'il va se passer dans les mois qui viennent, ce qui se révélera à nous d'être d'un intérêt majeur puisque cela concernera et concerne déjà le flux du commerce international,  dorénavant, de ce que mon intuition m'en susurre, en grand ralentissement.

     

    Pour l'instant, nous faisons face à une inflation en une fluctuation relativement importante, en hausse comme en baisse, qui pourrait être pire dans le futur, la raison en serait, à mon sens, en ce que la spéculation fait des va-et-vient continuels des bourses, quand elles montent, aux matières premières et produits de premières nécessitées, quand elles redescendent.

     

    A n'en pas douter, à un moment donné, nous nous retrouverons au-devant de rayons de magasins vides, en raison de l'arrêt du dit commerce international, ceci dans quelques mois tout au plus, sauf ceux qui sauront, desdits magasins, avant tous autres, se rapprocher des producteurs régionaux.

     

    Le pire étant, en effet, quand ledit commerce international cessera de fonctionner, je dirais pendant deux à quatre mois, mais cela n'en est que moins que rien de sûr (autant envisager le pire pour ne pas en être surpris. (Ceci parce que quand le pire n'est pas sûr, il n'est pas sûr que le sûr soit le pire, poêle à frire)).

     

    ( Comme le disait Monsieur Churchill:

     

    "L'Angleterre s'effondre dans l'ordre, la France, quand à elle, se rebâtit dans un désordre constructif et affirmatif de ses principaux ingrédients:

     

    L'ordre dans le désordre et le tendre acharnement à se débattre d'avec ses sentiments dérisoires de pensées constructivistes et légèrement hypocondriaques (c'est ainsi  que les britanniques (ta mer) considère notre esprit libertaire) et saltinbantesques (de saltimbanque, encore elles).

     

    Elle fait ce qu'elle sait faire, du vent quand tout va bien, de l'orage quand tout va mal, puis du désespoir quand tout va mieux et, enfin, du remue-ménage quand tout va pour le mieux.

     

    En un mot comme en cent: l'Angleterre se remue quand tout est au pire, la France se remue quand tout va vers le pire."

     

    Je dirais, quand à moi de ceci, d'avoir compris que, comme d'habitude, la Grande-Bretagne,  toujours en avance sur son temps et sur toutes les nations, est parti vers ces glauques nouvelles frontières du néolibéralisme (mais en quittant l'union et ce néolibéralisme avant tout le monde) quand, avant tous les autres pays de l'Union-Européenne, la France, elle, eut, de ces choses destructrices, ses dix à quinze ans habituels de retard sur sa voisine d'Outre-Manche.

     

    Mais aussi que notre si cher voisin, notre si tendre perfide Albion, qu'elle nous est tout aussi étrange et étrangère que nous-mêmes le sommes pour elle, comme deux vieux frères ennemis se rabibochant quand les heurs et les heures les plus sombres nous rapprochent. )

     

    Je réitère mes conseils en ces raisons, c'est- à dire de faire des réserves tant en nourriture qu'en produit de soin pour le corps et pour nettoyer son chez-soi, d'objets pour du troc, d'un potager aussi que des poules si cela est possible, ainsi que de faire le plein de son auto de manière régulière.

     

    Le principal restant de ne pas s'affoler et, tout au contraire, de se préparer à ce défi majeur, sachant que la nation aura et a désormais  l'absolu besoin de toutes les forces qui la compose, dont ceux des mieux formés, les plus dynamiques et les plus imaginatifs parmi-nous, ceci pour reconstituer autant notre tissu industriel, agricole, minier que commercial qui ont  tous gravement souffert des errances économiques de notre oligarchie nationale, européenne et mondiale.

     

    Il est probable, de plus, que ladite oligarchie ne puisse comprendre de la moindre des façons cette situation catastrophique telle que, de manière succincte, j' ai pu vous l'exprimer et vous en avertir par le passé ici-même, ceci avant que je ne compose mes petites facéties littéraires et  mes aimables poésies.

     

     

    THEURIC

     

    PS: Il se dit que la banque Crédit Agricole (celles régionales étant indépendante de celle parisienne) ne faisant pas de spéculation (poils au menton de la femme à barbe) et, donc, de l'investissement productif, agriculture, mine et industrie, ne dépouille pas les particuliers de leurs économies, je vous conseillerais donc de placer vos économies chez-elle.

     

    Bien entendu, cela ne pourra qu'accélérer l'effondrement en cours des autres banques.

  • L'entre-deux.

    Avant-propos:

     

    Je nomme l'entre-deux, soit les conjectures d'une conjoncture multiple et complexe, une situation où (poils du genou au cou), au-devant d'une conjoncture donnée, quelle qu'elle soit, il devient ardu, voire extrêmement difficile, de pouvoir en déterminer le sens, d'en avoir une explication claire et facilement compréhensible, que ce soit de sa ou ses raisons d'être et/ou de sa ou de ses développements, et, ce, d'autant plus si ses causes et/ou ses effets sont de nature multiple.

     

    Je vous propose, donc, à votre réflexion, une façon personnelle d'en gérer la crise psychologique autant qu'intellectuelle que cela ne peut qu'occasionner pour chacun d'entre-nous.

     

    Ceci d'autant plus que ce type d'événement peut survenir à chaque étape de  notre existence, que ce soit au sein de la famille, au travail comme en tout autre lieu, événement, fonction, métier, condition, circonstance de toutes sortes...

     

    Etant entendu que cela ne peut être une règle ultime en cela, que ce ne reste que du seul domaine du conseil et ne peut être en rien une solution suprême en cesdites situations ardues à définir, puisque c'est, à mon sens, à chacun de déterminer la préférable façon pour s'y adapter, comme nous sommes, sommes toutes, tous différents (poils aux dents, ce qui est singulier).

     

     

    L'entre-deux:

     

     

           Quand il est impossible de déterminer, de concevoir, la nature de la réalité de ce qui peut être perçu, quand il s'agit d'un nombre important d'inconnus potentiellement néfastes et/ou traumatique, alors le meilleurs, à mon sens propre, consiste à conceptualiser au mieux les différentes possibilités et, dans le même temps, de s'y placer en leur centre réflexif et observationnel tout le temps nécessaire pour en discerner, à leur plus juste valeur, leur relativité liée au principe de parcimonie (soit d'y poser les hypothèses les plus simple en considérant l'ensemble des informations découvertes, poils à la splendide féminine vaginnette) de ladite nature de la chose perçue.

     

           Etant entendu qu'il peut être possible de ne pas pouvoir percevoir, au plus précis, ladite nature, auquel cas la deux seules solutions (ceci toujours en ce qui me concerne puisque ce n'est qu'une proposition de conseil provenant de mon expérience) consiste soit à rester en ce centre réflexif et observationnel, soit à choisir provisoirement et, ce, puisque ne détenant pas les informations convenable, l'hypothèse la plus simple au regard de tout ce qui est découvert et ainsi connu (poil au-dessus).

     

    Etant entendu, également, que ce qui peut être perçu (que de poils avons-nous) peut se révéler comme n'étant que soit partiellement vrai, soit, au pire, comme entièrement faux (poils au dos, que disais-je...).

     

     

    THEURIC (poils à la trique d'Astérix)

  • Là, en soir d’Été.

     

    Au soir de l'Eté

     

    Les femmes sont belles en ces soirs d’Été

    Quand l'Automne montre ses jaunes feuillages.

    Tel qu'au chaud soleil suit les froides étoilées,

    Ces dames, bras nus, couvrent, là, leur bel âge.

     

    J'aime ces sources parfumées comme autant ces fraîcheurs

    Des tôt matins emmitouflés en vêtures élégantes

    De ces brumes se levant à mesure des heures.

     

    Femmes, les contemple cheminer, fringantes,

    De leurs pas comptés au rythme de leurs heurs

    Et quoi qu'elles vivent, souvent, pétillantes.

     

    Les femmes sont belles la fin d’Été venue,

    Des riches formes aux graciles si menues,

    J'admire autant leur charme et beauté,

    Songeant, suivant, leur si douce abricotée.

     

                                               ----------------------------------------------

     

     

    Assis confortablement,

    Je fume ma clope,

    Chez-moi,

    Là,

    Dans le salon de mon appartement,

    Dans ce petit bâtiment sis Perreux-sur-Marne,

    En banlieue parisienne,

    A l'est de Paris,

    Je fume ma clope,

    Et je suis,

    Là,

    En France,

    A l'ouest,

    Tout à l'ouest de L' Eurasie,

    Je suis assis,

    Là,

    Et je fume ma clope,

    Tout proche de ce petit affluent de la Seine,

    La Marne, en France,

    Sur Terre,

    Je suis là,

    Et je Fume ma clope,

    Tranquille,

    Tranquille, omme la Terre qui tourne,

    Tourne autour du Soleil,

    Qui tourne,

    Si tranquille,

    Et moi, là, tranquille, je fume ma clope,

    La Terre qui tourne autour du soleil,

    Tranquille,

    Comme ces huit autres planètes,

    Ses sœurs, qui tournent,

    Tournent autour du soleil,

    Qui tourne comme tourne le Soleil,

    Sans cesse,

    Au médium de la Voie-Lactée,

    Notre Galaxie,

    Notre galaxie où j'habite

    Où je suis, là,

    Et où je fume ma clope,

    Dans la nôtre de galaxie,

    Dans notre galaxie où je suis,

    Cette galaxie qui rejoint certaines de ses semblables

    A grande vitesse,

    Vers le petit tas de galaxies,

    Cet amas local qui fonce vers d'autres,

    Et d'où je suis,

    Moi,

    Là,

    Confortablement assis,

    Et je fume ma clope

    Dans l'univers inflationniste … … …

    Et après ?

    Au-delà ?

    Je ne sais … … …

    Mais moi, je fume ma clope

    Et je suis,

    Là !

     

     

    THEURIC

  • Du désert en un cri, un cri de ce qu'il se pourrait d'être.

     

    Du désert en un cri des pires lendemains !

     

     

    Toujours je suis de ceux, cheminant à tâtons,

    Pour lequel le sérieux fait maintes traverses,

    Encore à tâtonner du bout de mon bâton,

    A fuir, à me cacher à la moindre adverse.

     

    Lors :

     

    Pourquoi donc ma quête, ténébreuses vertus,

    Me rend si bien conçu les suites secrètes ?

     

    Serais-je de l'action qui transcende le temps,

    Homme de création aux arts lumineux,

    Personne de pouvoir dans un gouvernement,

    Un sage aux savoirs autant vertigineux ?

     

    Mais :

     

    Non, je suis simple passant, obscur et réservé,

    Menant sur le clavier les mots s'y déversant.

     

    J'en suis sûr et c'est ça le comble de l'inouï :

    Les faits qu'ainsi traçât l'idée le long des lignes,

    Tout ce que ce que je notais, en vrai, m'a ébahi

    Et parfois me paraît quasiment maligne.

     

    Et :

     

    Et les pense faux, je ne peux les croire,

    Aussi ne rien valoir en tord ou en défauts.

     

    Or je sais que ces textes décrivent du réel,

    Suivent le contexte, la marche, le progrès,

    De ce moment présent en sa suite mortelle :

    Voici, de l'accident, je converse des rets !

     

    Où :

     

    Nous nous menons au-devant de tribulations,

    Avenir en tension et demain hésitant !

     

    Le futur me susurre des heures assurées

    Parce que je suis sûr que toutes idioties

    Sauront, des dirigeants, nous faire endurer,

    En gestes diligents, de nue autocratie.

     

    Or :

     

    Non seulement cela, de mes affirmations,

    Mais leurs applications nous le certifiera :

     

    Les lois qui gouvernent les liens entre nations

    Ces règles internes, externes des marches

    De l'entier des pays, fondent les relations

    Dont tout droit je pense la possible démarche.

     

    Donc :

     

    Et quand ne sera plus notre cher Oncle Sam

    Tombera l'infâme des lois en absolu.

     

    La ruine s'éloignera, en Europe, après

    Les financiers dégâts, troublantes intrigues

    Du déclin éconduit : l'effacement des prêts

    Des bailleurs détruits par pertes prodigues.

     

    En sorte :

     

    D'hostiles querelles accapareront le monde

    Quand faillite fondre sur les fols cartels !

     

    Je voudrais prévenir de ces destins douteux,

    Ces âges à venir aux venins néfastes,

    Je voudrais, des passions, montrer combien coûteux

    Serait d’aliénation ! S'oublier enthousiaste !

     

    Aussi :

     

    Que dire et à qui, qui écoute et lit ?

    Ce verbe là délie-t-il de n'être acquis ?

     

    Lors, ce grand silence en réponse à mes mots,

    Cette nonchalance au-devant de tous cris,

    Cette dénégation que n'advenir des maux

    Ne font renonciation de mes traits et écrits :

     

    Ainsi :

     

    Ainsi las et si gourd puis-je que constater

    Du destin plausible... en Cassandre recourt ?

     

    De la ruine de tous au feu que tout embrase,

    D'une décade va, de ce tout, s'allumer

    Des troubles, dissensions, comme des métastases

    Où des armes dantesques irons tout consumer.

     

    Alors :

     

    L'humanité perdue dedans cette folie,

    Croira l'autre que lie, ce lointain inconnu :

     

    Il en est à l'est si près et si lointain,

    Deux géants différents, tant autant semblables,

    Se toisant sans cesse aux abords tibétains

    Qui, de mèche, enflammeraient-il de cet effroyable?

     

    Puis :

     

    Que puis-je présager de si tant terrifiant?

    Serait-il si pétrifiant d'en être messager ?

     

    La-demi des humains sera-il trépassée?

    Tous seront-ils meurtris de ce cri de l'histoire?

    Des pays, patries, nations seront-ils foudroyés

    Et d'éteindre ce tout d'énergie combien va-il falloir.

     

    Après :

     

    Ni en mal ni en bien l'Homme en suite vivra

    Si de ce pauvre substrat naîtrait l'autre destin.

     

    Ou vivrions-nous reclus de nos angoisses vaines

    De peur d'un lendemain différent d'aujourd'hui?

    Après, au loin, lointain, quoi qu'il advienne,

    Le cosmos nous sera, du destin, l'infini.

     

    Voici :

     

    Voici de quoi je conte de ce que je pressens,

    De ce que je ressens n'est pas fait tout en bronze :

     

    Le futur n'est pas vrai tant qu'il n'est pas présent,

    Encore faudrait-il que la conscience veille,

    De lâcher ce néant terriblement pesant

    De s'éveiller affin de se tenir conseille.

     

    Nous,

     

    Sommes tous détenteurs de nos droits politiques

    Et à sa pratique soyons nos professeurs :

     

    Néanmoins,

     

    Mon utopie niaise de vouloir que ce monde

    Comprenne les tourments qui nous peuvent s'abattre:

    Cet espoir amaigri voudrait qu'il se confronte

    A nos vices les plus viles qui deviendraient de marbre.

     

    Mais peut-être faudrait-il que nous les traversions

    Ces méfaits terrifiants pour que, du vivre, nous les poursuivions ?

     

    Dès lors,

     

    Faudrait-il que nos malheurs explorent les ensembles des rets

    Pour qu'enfin nous puissions nous contempler sereins

    D'une sagesse vaste d'autant que de nos faits

    Que de nos vouloirs savoir en humbles pèlerins ?

     

    Faudrait-il que nous naviguions dans un tel purin

    Pour qu'enfin nous sachions qui nous sommes enfin?

     

     

    THEURIC

  • A ma dame de coeur

     

    Les clairs obscurs éclairent

    Les sombres sorgues manifestes

    Des volubiles étoiles.

     

    A ma chère Dame

     

     

    Madame, je ne peux vouloir de requête

    Éprendre en dépôts mes rimes replètes

    Pour que vous me pourchassiez ainsi

    D'autres accointances en maintes poésies.

     

    Je n'ai de, pour vous, que pleins d'amour des mots

    Qui, je l'avoue, se veulent raver les maux

    D'outres croix d'afflictions des âmes

    Que les Dieux pleurent en tant de larme.

     

    Voilà que ce sujet qui vaguent à l'envie

    Les choses reflétant l'encre de votre vie

    Que de vouloir marcher en ses multiples saints

    Marque vos vouloir en femme de destin.

     

    Ce sésame mystérieux qui coule en vos veines,

    En ces faux rythme soyeux de ces intrigues vaines,

    Font là ce manifeste qui, de tes vastes horizons,

    Éclaire majestueux les désolations.

     

     

    THEURIC

  • L'or dinateur.

    Un ordinateur

    Qui n'avait plus d'heure

    Se promenait sur la place du marché (poils au nez).

    Il n'avait plus l'heur

    De connaître l'heure

    Qui était un leurre

    D'une pauvre lueur

    Qui embrouillait les pleures

    Des quidams en fleure

    Qui fleuraient bon le chez-Soi bon marché.

    Et l'ordinateur

    Qui ne savait plus l'heure

    Rentra enfin chez-lui 

    En disant au-revoir à la place du marché (poil aux pieds).

    Cela fit que les frites,

    Le poulet bien cuit,

    Les légumes et les fruits

    Sentaient tout bon dans la place du marché.

    Et tout le monde dansèrent

    Sur une chanson légère

    Comme une bergère

    Au bras d'un ouvrier

    Qui se marièrent 

    En âme primesautière

    Près d'une pissotière

    A la mairie du quartier.

    Ils eurent beaucoup d'enfants (poils aux dents)

    S'aimèrent tendrement

    Tout près d'un marché

    Qui a ses plaisirs dinateurs (poils à ma sœur).

     

     

    THEURIC

  • Du monde et son origine.

    Avant-propos:

     

    J'ai, tel il m'en fut pour vous-autres, amis lecteurs, suivit et poursuivit cette trame étrange qui, pendant plusieurs mois nous mirent en émoi, c'est pourquoi je ne pus poursuivre ici mon oeuvre.

     

    Je pense savoir de quoi il s'agissais mais, pour l'instant, je me dois d'attendre  que l’astrophysicien Jean-Pierre Petit en relate ladite trame pour en vérifier une réalité qui, si j'ai raison, se révélerait scientifiquement révolutionnaire.

     

    Je ne connais en rien les mathématiques et, en cela, en ai juste déduit cette réalité par de pures réflexions philosophiques intuitives, toutefois et, ce, par recoupement de ce que j'ai pu en voir, je pense que la ville de Sens 89 100, France, en fut le point névralgique, sans que je ne puisse en déterminer les raisons.

     

    En attendant que nous EN ayons plus d'information, je vous propose une nouvelle série de mes tendre petites poésies.

     

     

     

        L'âme matoise se dupe

    De ne se vouloir rechercher

      Qu'une image profitable.

     

     

    L'origine du monde

     

    Appréhendez-vous « L'origine du monde » ?

    Le tableau de ce peintre, Gustave Courbet,

    D'où, de l'époque, la bassesse abonde

    De bourgeois avares à l'âme au rabais.

     

    Ce clan pudibond, qui fleurait l'hypocrisie,

    Mettait l'interdit à ses femmes de jouir

    Tout en cherchant au lupanar l'ambroisie

    Du plaisir sexuel de putes sans plaisir.

     

    Or, ce tableau honore ces femmes de rien

    En fêtant la vie de toutes autres dames,

    Qui portent ensemble les enfants en leur sein

    Pour donner l'existence jusqu'à chaque âme.

     

    Cette belle œuvre nous rappelle ainsi

    Que la sensualité n'est pas obscénité :

    La féminité n'est pas du pain moisi

    Mais de la force de vie de toute éternité.

                                 --------------------------------

     

     

    Jeu de main

    Jeu de vilain,

    Jeu de mot

    Jeu d'idiot.

     

    La femme presbyte

     

    Une femme presbyte a un mari volage

    Que s'en serait presque du marivaudage :

    Le moindre des fessiers, charme d'une belle,

    Il vient faire la cour à ces demoiselles.

     

    Madame n'est pas contente, veut se venger,

    Découvrant d'être gourmande de ces messieurs,

    Collectionnant de fait les vits peu vidangés.

     

    De bouche en bouche, donnant plaisir précieux

    Aux hommes abandonnés de femmes rangées

    De ces plaisirs charnels leur semblant vicieux.

     

    De talions en talions de corps généreux,

    Ils errèrent, tous deux, loin de leurs amours ;

    Se cherchant, lors, en cabotages glamours,

    Puis se retrouvèrent enfin si aimant et heureux.

                                     -------------------------------

     

     

      Nos comptines d'enfant

    Sont nos tendres souvenirs

         Des sourires passés.

     

    Violon, camion, avion

     

    Trois violons dans un camion

    Voudraient être dans un avion

    Mais si l'avion ne volent pas

    Les violons jouent et font hourra :

     

    Deux, quatre, huit,

    Nous mangeons des huîtres !

    Beurk...

     

    Trois, neuf, dix-huit,

    Il ne faut pas que ça s'ébruite,

    Nous aimons manger des frites,

    Et YOUPIII...

     

    Cinq, vingt-cinq et cent vingt-cinq

    C'est un drôle d'ornithorynque !

     

    Un deux trois ce sera toi

    Qui n'le sera pas,

    Deux, trois, quatre, ça fait des fuites,

    Ce sera toi qui fera la suite !

     

    Et deux, et quatre, et six, et

    HOURRA !

                        ------------------

     

    Faire outrage aux enfants

     C'est leur faire l'affront

        De leur déchéance.

     

    Les amours plaisent aux cieux

     

    L'intelligence a de ce besoin d'amour

    D'où le corps et l'esprit viennent se transcender :

    Sa finesse et la libido sont soudés

    L'un à l'autre, entièrement, en tout entour.

     

    Flétrir l'un en une ignoble bassesse

    Est l'injure vrai à toute l'humanité :

    Pour hommes et femmes il n'est que détresse !

     

    Quand l'enfant est meurtri, violé, flétri, heurté,

    Que son sexe, son mental sans caresse

    Sont offensés d'outrages tant exécutés :

     

    Cette vilenie impie corrompt l'affection

    Qu'il se devrait de posséder en bien précieux :

    Une psyché profonde de toute perfection

    Et d'une joie du corps plaisant à tous les cieux.

                                   -----------------------------

     

     

    De nos doigts audacieux,

    De notre corps, nos lèvres,

    Et notre sexe délicieux.

     

    Elle se pâme !

     

    Ses seins chaviraient sous mes douces caresses,

    Ses tétons vibraient de mes humides lèvres.

    Mes mains descendaient, en fine hardiesse,

    Jusqu'à ses hanches tremblant de tant de fièvre.

     

    Mes mains s'y glissèrent, du ventre aux nombril,

    S'y arrêtant, de mes tendres cajoleries,

    Puis frôlèrent ses babines volubiles

    D'allées-retours en maintes harcéleries.

     

    Mon doigt pénétra son antre délicieux,

    Courtisant sa divine turgescence

    En assauts tout autant vaillants qu'audacieux

    Qu'en joie, la belle, en sublima ses sens.

     

     

    THEURIC

  • Petit conte pour grands enfants.

    Il était une fois, il y a très très longtemps de cela, une toute petite sourie qui fuyait un gros chat et, de cette folle cavalcade, elle entra dans une tente se trouvant au milieu du bois et se réfugia dans une redingote bleu ciel dont elle se fit un sac de couchage. 

     

    C'était une redingote magique et dès qu'elle entra dedans, elle lui fit un beau manteau avec plein de décorations de fleurs, de soleils et de lunes de toutes les couleurs, composées par des micro-barre, cela se passait dans le Missouri, aux Etats-Unis-d'Amérique.

     

    Et tout à coup, la petite sourie disparue et se retrouva assise sur une minuscule chaise, au très longs pieds, posée sur une table et, devant elle, il y avait un jeu d'échec, de taille normal bien sûr, et un homme était là et lui dit:

     

    "Bonjour mademoiselle, vous avez les pions blancs, c'est à vous de jouer, ce n'est pas compliqué, vous n'avez qu'à penser celui que vous voulez bouger et où il doit aller et, vous verrez, il se mettra tout seul en place."

     

    Alors la petite sourie pensa au pion devant la reine qui avança tout seul, reine qui, par ailleurs, ressemblait à Mistinguett, qui avait de belle gambettes, c'est vrai.

     

    C'était une belle entreprise, pour la petite sourie, qui demanda au monsieur tout en jouant:

     

    "A votre avis, quel est le plus petit nombre?

     

    -Le un", répondit le monsieur.

     

    "Non, c'est le seize, parce que treize et trois!

     

    _ Oh, quel beau calembour bon digne d'un whisky, voici votre verre."

     

    Et apparu une petite table et le petit verre plein à coté de la petite sourie et dessus la petite table y était écrit : " Pour le volontaire involontaire et de toutes ces sortes de joyeusetés, mais un morceau pas trop épicé aussi loin que je suis concerné, quoi!"

     

    "Mais," dit la petite sourie, "ça ne veut rien dire ce qui est écrit sur ma table.

     

    _ C'est normal," répondit le monsieur, "Vous venez des USA et, là-bas, plus rien ne veut dire quelque chose, mais vous avez gagné, votre cadeau est le bonnet phrygien des révolutionnaires français qui, parait-il, sont de retour.

     

    - Oui," dit la Sourie, "j'ai une martingale pour tous les jeux et je gagne tout le temps, votre bonnet me sied à ravir et je serait comme un caméléon au milieu de ces nouveaux révolutionnaires.

     

    _ En voilà un mystère, je réclame que vous me là confiez, cette martingale.

     

    _ Je le peux pas, déjà parce que c'est plutôt emberlificotée, et puis c'est un système magnifique que nous nous confions de petite sourie à petite sourie de parent à enfant depuis des générations."

     

    Comme elle disait ces mots, surgit de nul part une belle femme et sa chatte et, derrière elle, une oie la suivait qui portait dans son bec un gros sac d'os.

     

    "Elle a un splendide minou, "dit l'homme, "elle devrait l'exposer plus souvent.

     

    _ Mais où va-t-elle?" Demanda la petite sourie.

     

    "Près de l'érable magique, " répondit l’homme, "avec ces os de mammouth elle va en rétablir le canevas pour faire revivre l'animal à l'aide de sa baguette magique.

     

    _ Y arrive-t-elle?" Questionna la petite sourie.

     

    _ Jamais," répondit l'homme "ce qui est autant risible que prévisible, mais tous les jours elle recherche des os de mammouth en oubliant que ceux-ci viennent de bêtes différentes.

     

    _ Bon," dit la petite sourie," je crois que le chat qui me poursuivait s'est éloigné de la tente où je m'était réfugié...

     

    _ Ben oui, bien sûr," réagit l'homme, songeur, "c'était la chatte de la belle dame, je me demande par ailleurs pourquoi elle ne montre pas plus souvent son si joli minou.

     

    _ Peut-être cela provient-il de l'un de ces interdit absurde, n'est-ce pas," poursuivit la petite sourie,  "quand à moi je vais retourner dans la tente où je m'était réfugié, rendre la redingote magique puis, quand j'en sortirais, de cette tente, j'en tirerai le rideau, puis je deviendrai une grosse sourie qui adorera les chattes des belles dames.

     

    _ Au-revoir monsieur, je ne jouerai plus aux échecs, mais vous non-plus, d'ailleurs, tout ceci fut un rêve avec pleins de sens, les dames ont une belle chatte et les monsieur une grosse sourie, mais ces chatte là ne mangent pas les souries, elles les accueillent, n'est-ce pas, d'ailleurs, ne serais-je pas la petite sourie du petit garçon que vous étiez?"

     

    " Ci-fait, ci-fait," répondit l'homme," D'ailleurs, voyez, vous commencez à grandir..."

     

     

    THEURIC