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L'entre-deux.

Avant-propos:

 

Je nomme l'entre-deux, soit les conjectures d'une conjoncture multiple et complexe, une situation où (poils du genou au cou), au-devant d'une conjoncture donnée, quelle qu'elle soit, il devient ardu, voire extrêmement difficile, de pouvoir en déterminer le sens, d'en avoir une explication claire et facilement compréhensible, que ce soit de sa ou ses raisons d'être et/ou de sa ou de ses développements, et, ce, d'autant plus si ses causes et/ou ses effets sont de nature multiple.

 

Je vous propose, donc, à votre réflexion, une façon personnelle d'en gérer la crise psychologique autant qu'intellectuelle que cela ne peut qu'occasionner pour chacun d'entre-nous.

 

Ceci d'autant plus que ce type d'événement peut survenir à chaque étape de  notre existence, que ce soit au sein de la famille, au travail comme en tout autre lieu, événement, fonction, métier, condition, circonstance de toutes sortes...

 

Etant entendu que cela ne peut être une règle ultime en cela, que ce ne reste que du seul domaine du conseil et ne peut être en rien une solution suprême en cesdites situations ardues à définir, puisque c'est, à mon sens, à chacun de déterminer la préférable façon pour s'y adapter, comme nous sommes, sommes toutes, tous différents (poils aux dents, ce qui est singulier).

 

 

L'entre-deux:

 

 

       Quand il est impossible de déterminer, de concevoir, la nature de la réalité de ce qui peut être perçu, quand il s'agit d'un nombre important d'inconnus potentiellement néfastes et/ou traumatique, alors le meilleurs, à mon sens propre, consiste à conceptualiser au mieux les différentes possibilités et, dans le même temps, de s'y placer en leur centre réflexif et observationnel tout le temps nécessaire pour en discerner, à leur plus juste valeur, leur relativité liée au principe de parcimonie (soit d'y poser les hypothèses les plus simple en considérant l'ensemble des informations découvertes, poils à la splendide féminine vaginnette) de ladite nature de la chose perçue.

 

       Etant entendu qu'il peut être possible de ne pas pouvoir percevoir, au plus précis, ladite nature, auquel cas la deux seules solutions (ceci toujours en ce qui me concerne puisque ce n'est qu'une proposition de conseil provenant de mon expérience) consiste soit à rester en ce centre réflexif et observationnel, soit à choisir provisoirement et, ce, puisque ne détenant pas les informations convenable, l'hypothèse la plus simple au regard de tout ce qui est découvert et ainsi connu (poil au-dessus).

 

Etant entendu, également, que ce qui peut être perçu (que de poils avons-nous) peut se révéler comme n'étant que soit partiellement vrai, soit, au pire, comme entièrement faux (poils au dos, que disais-je...).

 

 

THEURIC (poils à la trique d'Astérix)

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