Avant-propos:
Bien que je ne sois plus emprunt de cette bouffée délirante qui m'avait perturbé quelque peu, j'en ai été pour le moins fatigué, d'où mon peu d'écrit jusqu'ici.
Mais m'est revenu, ce soir même, l'étonnement de ce que, en une semaine et pour des courses similaire, le prix d'iceux s'étaient révélés du simple au triple.
Je vous propose, donc, dans ce rapide billet (j'ai une faim de lououououp), une hypothèse des raisons qui font que ce fait ne peut que paraître étrange à tout-un-chacun.
En voici l'hypothèse:
Comme il ne peut qu'en être logique de le penser, quand bien même parlerions-nous d'oligarchie monétariste en général (de brigade), il ne peut qu'en exister des plus riches et des plus pauvres.
Leurs fortunes devant s'établir entre les dizaines de millions et les centaines de milliards.
Or, aux vus des difficultés des oligarques en raison de cette crise économique que je ne ai eu que de cesse de vous avertir par le passé et qui pourrait être entrain actuellement, amis lecteurs, il est probable (n'ayant pas eu la force d'aller véritablement voir ce qu'il s'en dit sur Businessbourse) que les plus gros desdits oligarques auraient décidé de ponctionner les richesses des plus petits.
Cela se passerait au niveau des bourses où, à la suite de leur monté vertigineuse, s'amorcerait une baisse plus ou moins rapide.
Ceci serait décidée par les gros richissimes au détriment des plus petits, par la revente de leurs actions qu'ils auraient fait ainsi gonflé d'une manière démesurés et, ce, de multiples fois (il est à craindre, en ce cas, que de ces montés et baisses des prix à la consommation se répéteraient de nombreuses fois, ce qui me prouverait que mon hypothèse serait juste).
(Les baisses boursières importantes conduiraient les spéculateurs à se reporter sur les produits de bouche, de premières nécessités et sur les matières premières (ce qui ralentit, part ailleurs, l'industrie internationale), d'où, si cela est juste, la monté si rapide des prix à la consommation)
Mais, dès lors, un problème se poserait provenant de deux lois votées en France, ceci à la suite d'une injonction de l'Union-Européenne:
La première permettant aux banques de l'union ayant des difficultés de trésorerie de prendre l'argent placé dans les comptes épargnes quand ceux-ci dépassent les 100 000 euro mais, plus encore, pour la seconde, de prendre toutes les épargnes des particuliers (poils aux nez).
Cette après-midi, en allant faire mes courses, j'ai rencontré et discuté avec une dame (aux belles élégances) disant travailler au Crédit-Agricole-du Sénonais (sur internet c'est celui de Champagne-Bourgogne, poils à ma trogne) et qui m'expliquait sa fierté d'y travailler puisque celle-ci ne fait pas de spéculation mais, tout au contraire, investit, à l'ancienne, dans l'industrie, l'agriculture et les mines (j'y suis, j'y reste).
Comme ce sont les affaires spéculatives qui, des sociétés ad oc ainsi que des banques, poseraient ainsi problèmes, cette dame m'a donc conseillé de placer mess économies dans ladite banque du Crédit-Agricole-du -Sénonais, voire même, ne sachant comment tout cela pourrait se dérouler, me dit-elle, d'y mettre également mon compte chèque.
Ce que j'avais fait quand je m'étais installé à Sens il y a une dizaine d'année, par simple souci de proximité, lui avais-je répondu.
Cette charmante dame m'expliquant que son patron aurait mis en place, pour les gents vivant loin de la ville de Sens, un numéro de téléphone qu'il serait possible, m'avait-elle dit, de trouver sur internet, ceci pour que, suivant ce qu'elle me racontait, chacun puisse faire son changement de compte où qu'il se trouve et vit.
Je ne sais pas ce qu'il se passe exactement à ce sujet, mais ces hausses et baisses des prix à la consommation me laisse suggérer que cela risque de se produire assez rapidement si, bien entendu, l'hypothèse que je vous propose ici se révèle exacte.
Mais quoi qu'il en soit désormais et puisque c'est, justement, les processus spéculatifs qui sont les raisons de nos immenses difficultés, si de telles hausses et baisses des prix de la nourriture, des menus achats et des services se répètent, il deviendra évident que les phénomènes spéculatifs en seront au centre.
THEURIC