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Le jardin; A ma belle inconnue.

Le jardin

 

Il est un jardin petit et sans manière,

Large de si peu, long de quarante pas,

D'où notre hôtesse nous invitait, hier,

A nous y installer pour de délicieux repas.

 

Le gazon s'y frayait un sinueux chemin

Sous l'antique poirier d'où pendaient de durs fruits.

Un beau potager en en faisait l'usufruit

D'une riche verdure de légumes communs.

 

Aux cotés de la table, sous la pergola,

Grillaient des maquereaux bien frais

Que nous mangions en cœur en festin de gala

Au milieu de blagues et de rires, sans arrêt.

 

Nous regrettons tous de ces années passées,

Quand le vin nous grisait d'un alcool délicieux,

Avec des amis, venant à s'effacé

Les mauvais matins à l'esprit capricieux.

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A l'amie peut-être inconnue

 

Je connais tout d'elle, hormis de sa douceur.

De sa douce peau, ne peut qu'imaginer:

Mes rêves faisant voguer mes bras embrasseurs

De son corps impatient de félicité.

 

Je ne la connais que de ne s'être croisés

D'un soir brumeux d'où je la vis s'effacer

Au-devant d'une foule tant déambulant

Et moi freiné d'un trouble si paralysant.

 

Peut-être la reverrai-je, cette dame,

En quelques endroit d'une belle destinée

D'où nous deviserions au-devant d'un dîné.

Dès lors, je béerai des courbes de cette femme.

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Douces nuits

 

L'exquise esquisse de sa grande beauté

Menait mes sens en somptueuse volupté

D'éclairer ses belles et rondes vigueurs

En  ces tendres moments de nos nus bonheurs.

 

La nuit gracieuse éclairait de ses ombres

Nos caresses légères faites de milles grâces

Libérant nos corps de nos nôtre pénombre

Libérant nos vies des pauvres carapaces.

 

Puis, le jour revenu, notre sommeil venant,

Nos âmes repu d'un nouveau éclairant

Vibrent d'aise d'un avenir avenant

Effaçant ainsi nos passés flétris d'errants.

 

 

THEURIC

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