Savez-vous pourquoi les chiens, quand ils se rencontrent, se sentent le derrière?
Et bien en voici l'histoire (pour de rire ha, ha, ha):
Il était une fois, il y a très, très, très longtemps de cela, les chiens, tous les chiens se faisaient la guerre.
Et cela durait, durait depuis tant de temps qu'à un moment ils en eurent assez de se battre continuellement.
Alors, ils décidèrent de se réunir tous pour signer un traité de paix.
Pour se faire et comme ils ne savait pas construire de maison, ben oui, c'est bien connu, les chiens ne savent pas construire de maison.
En plus, comme ils sont extrêmement nombreux, il leur aurait fallu en construire une immense de maison, une maison de la paix, comme celle de l'ONU, Organisation des Nations Unies, située aux Etats-Unis-d'Amérique, or, cela, comme nous l'avons vu, leur était impossible puisqu'ils n'ont pas de main.
Dès lors et pour se faire, ai-je dit, ils décidèrent de rechercher une grotte suffisamment grande pour accueillir tout ce monde canin, ceci d'autant plus qu'ils étaient de toutes les tailles (et le sont toujours aujourd'hui), des petits, des grands, des gros, des maigres, des longs et courts sur pattes...
Alors, ils allèrent tous rechercher une grotte qui pourrait contenir l'ensemble de ces animaux, soit à la montagne, dans l’Himalaya, dans les Alpes, dans les Vosges, partout, partout, partout.
Il fallut beaucoup de temps pour en trouver une de taille respectable, de grotte, c'est qu'elles sont rares et, souvent, ont des entrées secrète, en effet, les grottes n'aiment pas du tout être dérangées, surtout en raison des mauvaises odeurs des trous-du-cul.
C'est dans les Pyrénées qu'une belle fut découverte, elle était grande, spacieuse, exactement ce que les cabots recherchaient.
Son seul défaut était que son ouverture était étroite et, donc, les mauvaises odeurs dus à leur derrière ne pouvaient que s'accumuler et la grotte n'aurait pas été contente, mais alors, pas du tout, parce que ça aurait pué et alors la grotte aurait fait: "beurk, ça pue".
Tous, par conséquent, laissèrent leur trou-du-cul dehors, à l'entrée de la caverne, avant d'entrer pour commencer leurs palabres affin qu'après ils signent leur armistice de paix.
Et ça durait, ça durait des jours et des jours, heureusement qu'ils avait fait des sandwichs parce que sinon ils auraient très faim.
C'est vrai, les chiens de cette époque savaient confectionner des sandwichs (mais ça ce n'est pas vrai, hein, il faudrait d'abord qu'il puissent couper le pain avec leurs pattes en tenant un couteau, eux, ils ne le coupe pas, le pain, ils le croque d'un coup de dent en faisant "raoune" et, après s'être pourléché leurs babines, houa, houa, houa).
Pendant ce temps là, dehors, il y eut, tout à coup, un fort coup de vent qui mélangea tous les trous-du-cul, ceci juste avant que, cet armistice signé, l'ensemble des chiens sortissent.
Chacun, en partant, ne put pas retrouver son propre arrière-train, il prit donc n'importe lequel, très très embêtés parce que ce n'était pas le sien.
Depuis lors, quand deux chiens se rencontrent, se demandant si ce ne serait pas l'autre qui aurait son trou-du-cul, ils disent, en leur langage:
"Salut mon vieux , comment vas-tu, sent mon cul, est-ce le tien?
-Non, il pue trop, et toi, ça va, sent le mien, t'appartient-il?
-Non plus, il ne pue pas assez."
THEURIC