Avant-propos:
J'ai, tel il m'en fut pour vous-autres, amis lecteurs, suivit et poursuivit cette trame étrange qui, pendant plusieurs mois nous mirent en émoi, c'est pourquoi je ne pus poursuivre ici mon oeuvre.
Je pense savoir de quoi il s'agissais mais, pour l'instant, je me dois d'attendre que l’astrophysicien Jean-Pierre Petit en relate ladite trame pour en vérifier une réalité qui, si j'ai raison, se révélerait scientifiquement révolutionnaire.
Je ne connais en rien les mathématiques et, en cela, en ai juste déduit cette réalité par de pures réflexions philosophiques intuitives, toutefois et, ce, par recoupement de ce que j'ai pu en voir, je pense que la ville de Sens 89 100, France, en fut le point névralgique, sans que je ne puisse en déterminer les raisons.
En attendant que nous EN ayons plus d'information, je vous propose une nouvelle série de mes tendre petites poésies.
L'âme matoise se dupe
De ne se vouloir rechercher
Qu'une image profitable.
L'origine du monde
Appréhendez-vous « L'origine du monde » ?
Le tableau de ce peintre, Gustave Courbet,
D'où, de l'époque, la bassesse abonde
De bourgeois avares à l'âme au rabais.
Ce clan pudibond, qui fleurait l'hypocrisie,
Mettait l'interdit à ses femmes de jouir
Tout en cherchant au lupanar l'ambroisie
Du plaisir sexuel de putes sans plaisir.
Or, ce tableau honore ces femmes de rien
En fêtant la vie de toutes autres dames,
Qui portent ensemble les enfants en leur sein
Pour donner l'existence jusqu'à chaque âme.
Cette belle œuvre nous rappelle ainsi
Que la sensualité n'est pas obscénité :
La féminité n'est pas du pain moisi
Mais de la force de vie de toute éternité.
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Jeu de main
Jeu de vilain,
Jeu de mot
Jeu d'idiot.
La femme presbyte
Une femme presbyte a un mari volage
Que s'en serait presque du marivaudage :
Le moindre des fessiers, charme d'une belle,
Il vient faire la cour à ces demoiselles.
Madame n'est pas contente, veut se venger,
Découvrant d'être gourmande de ces messieurs,
Collectionnant de fait les vits peu vidangés.
De bouche en bouche, donnant plaisir précieux
Aux hommes abandonnés de femmes rangées
De ces plaisirs charnels leur semblant vicieux.
De talions en talions de corps généreux,
Ils errèrent, tous deux, loin de leurs amours ;
Se cherchant, lors, en cabotages glamours,
Puis se retrouvèrent enfin si aimant et heureux.
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Nos comptines d'enfant
Sont nos tendres souvenirs
Des sourires passés.
Violon, camion, avion
Trois violons dans un camion
Voudraient être dans un avion
Mais si l'avion ne volent pas
Les violons jouent et font hourra :
Deux, quatre, huit,
Nous mangeons des huîtres !
Beurk...
Trois, neuf, dix-huit,
Il ne faut pas que ça s'ébruite,
Nous aimons manger des frites,
Et YOUPIII...
Cinq, vingt-cinq et cent vingt-cinq
C'est un drôle d'ornithorynque !
Un deux trois ce sera toi
Qui n'le sera pas,
Deux, trois, quatre, ça fait des fuites,
Ce sera toi qui fera la suite !
Et deux, et quatre, et six, et
HOURRA !
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Faire outrage aux enfants
C'est leur faire l'affront
De leur déchéance.
Les amours plaisent aux cieux
L'intelligence a de ce besoin d'amour
D'où le corps et l'esprit viennent se transcender :
Sa finesse et la libido sont soudés
L'un à l'autre, entièrement, en tout entour.
Flétrir l'un en une ignoble bassesse
Est l'injure vrai à toute l'humanité :
Pour hommes et femmes il n'est que détresse !
Quand l'enfant est meurtri, violé, flétri, heurté,
Que son sexe, son mental sans caresse
Sont offensés d'outrages tant exécutés :
Cette vilenie impie corrompt l'affection
Qu'il se devrait de posséder en bien précieux :
Une psyché profonde de toute perfection
Et d'une joie du corps plaisant à tous les cieux.
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De nos doigts audacieux,
De notre corps, nos lèvres,
Et notre sexe délicieux.
Elle se pâme !
Ses seins chaviraient sous mes douces caresses,
Ses tétons vibraient de mes humides lèvres.
Mes mains descendaient, en fine hardiesse,
Jusqu'à ses hanches tremblant de tant de fièvre.
Mes mains s'y glissèrent, du ventre aux nombril,
S'y arrêtant, de mes tendres cajoleries,
Puis frôlèrent ses babines volubiles
D'allées-retours en maintes harcéleries.
Mon doigt pénétra son antre délicieux,
Courtisant sa divine turgescence
En assauts tout autant vaillants qu'audacieux
Qu'en joie, la belle, en sublima ses sens.
THEURIC