J'ai soixante ans et, à la suite de mes nombreux billets, il me semble qu'il soit temps pour moi de m'adresser tout spécialement à vous.
Nous vivons une période tout autant dangereuse, ne nous le cachons pas, spécifique à toute autre ère et pour le moins impénétrable.
Or c'est à vous que va se révéler la tâche de rendre intelligible ce qui ne l'est pas, inventif face à ce qui n'est, en ce moment, qu'un rabâchage ennuyeux, ruineux, imbécile et, surtout, obscurantiste.
Beaucoup d'entre-vous recherchent désespérément une raison d'action sociale dans ce chaos mortifère, en la trouvant dedans des problèmes écologistes désignés par ceux-là même qui génèrent cette confusion collective, soit les médiats officiels.
Comme je pus l'être à vos âges, vous êtes facilement manipulable.
De ce fameux réchauffement climatique anthropogénique qui en constitue la trame première, cachant là où se situent les réels enjeux, réchauffement qu'il y a beau jeu d'observer en toutes faces, sa vérité est ainsi: cette théorie scientifique, ou se voulant se dire tel, n'en est pas une.
Pour cela il n'est que de reprendre la science à sa base: Une théorie scientifique, en plus de n'avoir de valeur que par son caractère prédictif, se doit d'être réfutable, c'est à dire de pouvoir être remise en question.
Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une théorie, ni même d'une hypothèse qui, normalement, se doit de prendre en compte l'ensemble des éléments pour se formuler, mais tout juste une croyance ordinairement sans grande importance.
Vous remarquerez ainsi que nos journalistes et chroniqueurs bienséants ne présentent jamais quiconque, climatologue ou physicien (puisque les questions du climat relèvent surtout de la physique la plus pointue), venant critiquer cette nunucherie.
Sachant qu'il n'existe pas, en science, d'unanimité, cela n'existe pas et est le mensonge le plus grossier qu'il soit: oui nos journalistes et nos élus sont soient des imbéciles, soient des naïfs, soient des menteurs ( je vous revoie une fois encore vers ce site où tout cela est, au fil des billets, montré de toutes sortes de façons ).
Qu'est-ce qu'un Nagui, un philosophe lambda un intervenant quelconque ou un journaliste du 20 heure connaissent là-dessus, sûrement bien moins que moi qui n'en comprends juste que les bases.
Mais me penchant au-dessus de ses dimensions politiques, il me deviens évident que tout cela n'est que de la communication faite pour éviter que vous regardiez là où se trouve les réels sujets: la pire des vilénies de nos oligarques, de l'Union-Européenne dans son entier, de l'OTAN et du néolibéralisme économique.
Bien que cela fasse intervenir aussi l'un des nos archétypes les plus puissant, le mythe de la destruction du monde par Dieu suivit de son rétablissement, mais vous remarquerez que Dieu, ici, c'est nous, l'Être Humain, se prendraient-ils, nous prendrions-nous pour dieu lui-même?
Redescendons donc de ce piédestal stupide et angoissant ( même des enfants en feraient des cauchemars ) et demandons-nous donc pourquoi aucun débats avec des professionnels du pour et du contre de cette fadaise n'est jamais médiatiquement organisé.
Pourquoi des historiens n'y viennent-ils plus pour nous montrer qu'au moyen-âge et plus encore sous l'empire romain le climat était infiniment plus chaud qu'aujourd'hui, qu'aucun climatologue ne nous y montreraient-ils pas, de plus, en combien de temps cette chaleur d'antan prit corps ( l'une des réponses qui m'en fut rapporté en effet, au-devant de mon plus que scepticisme: que ce qui serait catastrophique ce serait la vitesse d'avènement de la-dite chaleur, ce qui reste part ailleurs à montrer )?
Tout juste sais-je que, de tout temps et toute ère, la monté du taux de CO² suivit et non pas précéda cette hausse des température, article trouvé sur Science-et-vie datant de trois décennies environ.
Ceci avant que, comme toutes les publications, ils n'en deviennent à être contraints de suivre, entre-autre, cette pauvre superstition au risque, sinon de se retrouver, pour ses gazetiers, au chômage, comme il failli arriver à ces deux journalistes météos, Messieurs Verdier et Cabrol, dont je vous avais déjà narré les mésaventures.
Mais pourquoi donc m'appesantirais-je encore une fois sur ce sujet que j'ai de maintes manières déjà abordé?
Pour vous montrer, chère jeunesse, que nous sommes en plein dans une période d'obscurantisme obtus et que c'est à vous, dorénavant, de reprendre le flambeau de la découverte intellectuelle en toutes les fonctions qui font sociétés.
Si vous pensez réellement qu'aucune place ne vous est accordée, détrompez-vous, vous avez en réalité celle la plus noble et remarquable de toutes: réamorcer la soif de la découverte, de l'inventivité, du désaccord et de la querelle théorique, de la recherche véritable, de la philosophie novatrice, des nouveaux concepts et conceptions, de l'étude des anciens, de leur critique et réexamen... .
Mais aussi pour concevoir de nouvelles technologies, nouveaux abords politiques, économiques, sociaux, professionnels, artistiques, nouvelles techniques de conceptions d'usines et de fabriques, de vision de l'état de droit, de la démocratie, des services sociaux et publics, de la médecine dans toutes ses dimensions...
Enfin bref, de tout ce qui fait la-dite société et qui, aujourd'hui, part à vau l'eau.
Et je puis vous affirmer que vous avez loin d'avoir toute une vie pour ce travail admirable, il n'est dès lors plus que temps, pour vous, de ne plus vous laisser entrainer dans les méandres malsains et pervers des mensonges qui vous sont déversé par multitude.
Alors instruisez-vous et je puis vous assurer que bien des textes jusqu'aux années 80, voire 90, se révèleront, pour vous, fort précieux.
En revanche c'est en cette époque que se développèrent les bases nauséabondes du délitement intellectuelle actuel, alors faites toutefois attention aux ouvrages que vous choisirez et montrez-vous analyste sensible aux contradictions internes des sujets abordés.
Soyez examinateurs passionnés mais scrupuleux des notions exposées par les penseurs anciens, ce n'est pas parce que c'est vieux que c'est bien, ce n'est pas parce que c'est moderne que c'est mauvais, à vous d'en peser et soupeser tout le pour et le contre, seules la raison, la logique et la cohérence vous le démontreront.
Pour ceux ayant eu le temps et le courage de parcourir une bonne partie de mon blog, ce seront aperçu que j'ai pu aborder certains sujets, dont celui de l'apparition de l'ancêtre du singe, de celle du premier du genre Homo, notre très lointain aïeul, de la nature de la pensée, ainsi que de tout un ensemble de thèmes différents.
Ce n'était pas dans le but de vous démontrer la faisabilité de remettre en question, voir parfois en cause, les hypothèse posées actuellement, mais tout simplement pour m'en exprimer, pour y exposer mes idées: comment voudriez-vous que, sinon, je puisse me faire entendre autrement du haut de mon faible cursus et classe sociale?
Combien longtemps ai-je été inconsciemment jalousé sans même que mon vis-à-vis et moi-même n'en percevions le trait, ce qui fonde aussi ma prudence.
Parce qu'il est terriblement douloureux de percevoir des biais sociaux là où ils se trouvent, de comprendre certaines choses et de ne pouvoir les partager avec quiconque, sachant que je remets en cause en cela bien des préceptes sociétaux non-dits.
Certes, depuis ces tant d'années j'ai pu faire des erreurs conceptuels, voire prévu des événements qui n'eurent pas lieu ou qui arriveront que bien plus tardivement, mais je n'ai eu que de cesse de corriger ces-dites erreurs et faire preuve de bien plus de prudence, de retenue et de mesure dans mes prévisions.
Il faut en effet être son pire objecteur pour pouvoir développer au mieux sa pensée.
Dans ce monde incompréhensible, ou du-moins aux sens discrets, il n'est pas facile d'y trouver sa place, phénomène renforcé par l'union-européenne et son ensemble idéologique ad oc mélangeant le pire au meilleurs, rendant la notion d'identité floue, nous faisant confondre loup, chèvre et chou nous faisant perdre toutes les notions du commun et nous égarant dans l'infinité de l'illimité, nous laissant, pantelant, dedans la béance de l'infantile infertilité.
Alors, pour s'échapper aux angoisses de ces égarements de ne plus se sentir déterminé, tant dans l'action que de son identité, diverses stratégies psychologiques s'y côtoient.
Il y a par exemple d'inscrire sur sa peau sa marque identitaire pour qu'en cela savoir par la douleur du piercing et/ou de celle du tatouage, de son souvenir, où se trouve la limite du corps, de part sa peau tracer une frontière entre le monde et Soi.
Il peut aussi y avoir les beaux habits et beaux maquillages, avoir la parole haute, de se muscler indéfiniment, de se filmer sur un ordiphone, divaguer sur des réseaux dits sociaux, de se montrer en réel ou en virtuel, pour dire: "J'existe!", de l'affirmer ou de tenter de le faire.
Ce sentiment de ne pas exister en raison de limites peu ou non formulées, du sentiment de se perdre dans un grand tout où chacun aurait le sentiment de n'être que poussière perdu dans l'univers, de celui de n'avoir qu'une identité de Soi comme de celle sociale confuse, nébuleuse, mène à une souffrance psychique à peine audible que seule la boule à la gorge permet de retenir et de percevoir.
Cette douleur mentale silencieuse conduisant à la recherche de l'oubli, de l'hébétude, de la folle frénésie dans toutes sortes d'intempérances enivrantes.
Des drogues, il y en a de trois sortes: celles menant à de l'ivresse, celles excitantes et les hallucinogènes.
L' alcool, le hachich, les opioïdes sont des premier, la cocaïne, les amphétamine et méthamphétamines sont des seconds, quant aux troisièmes ils se trouvent dans les alcaloïdes de certains champignons.
( Le tabac est spécifique, peu ou non enivrant ni excitant, il a de fonction de faire baisser le taux d'agressivité, de réduire le sentiment d'ennui, de diminuer la timidité et de combler une béance affective, mais c'est l'une des drogues dont il est le plus ardu de se débarrasser. )
Toutes les drogues ont des effets néfastes autant sur l'organisme que sur le cerveau.
Il y a des drogues qui, d'une manière ou d'une autre, sont acceptées et contrôlées socialement en raison de la multitude des générations qui s'y sont confrontées,, le vin en France, en Allemagne la bière, les alcools en Occident donc, l'opium dans certaines régions orientales, le hachich réservé (normalement) à des situations et rites religieux ou spirituels, en Inde notamment.
En revanche toutes les drogues de synthèse, comme celles installées dans des pays hors de leur contextes anthropologiques, sont d'autant dangereuses de tous points de vu que les corps sociaux n'en ont construit aucune appropriation, ni cultuelle, ni culturelle, ni même de restriction formelle par un surmoi collectif conscient et inconscient.
Soyez au fait, donc, de ces causes qui font cet attrait, seul ou en commité, pour une ivresse dépassant largement le seul plaisir de se retrouver grisé au milieu des amis, en partageant le vin pendant le repas en devisant gaiment en bonne compagnie, de danser aussi, de chanter à tue-tête.
Je me suis moi-même diagnostiqué pseudo-asperger, qui est un mixe de haut-potentiel ou de sur-doué avec un état autistique plus ou moins léger.
Son origine, je le pense fortement, proviendrait de ce que ma mère, quand elle attendait encore ma naissance, aurait gardé une petite fille atteinte de la rubéole, maladie bénigne même pour un bébé mais qui peut, suivant le stade de développement du fœtus, affecter plus ou moins gravement son système nerveux, voire son développement physique.
Ma mère comme son amie craignirent qu'à ma naissance je ne sois aveugle ou débile, il n'en fut rien, toutefois je souffre, si je puis dire, de difficultés de mémorisation brute (apprendre un poème ou une chanson m'est difficile), de longue concentration, de ce que je nomme une distanciation émotionnelle, c'est à dire que souvent je sens une émotion sans savoir laquelle elle est, ainsi que des difficultés pour les gestes fins et des tremblements plus ou moins incoercibles, d'autant plus lors d'un désordre métabolique quelconque, ceci pour les plus visibles.
Je fais avec.
Si je vous raconte cela, bien entendu sa vaccination doit être effectuée surtout pour les jeunes femmes, mais aussi parce que je me suis demandé si votre confrontation avec des ondes radios de toutes sortes dès, pour certains d'entre-vous, votre conception, ne pourrait pas mener à des effets, sinon similaires, de même genre, de même type.
Il est bien, quand on se confronte à des difficulté de cette sorte, d'en comprendre autant les origines que d'en déterminer les exactes effets.
Vous êtes la continuité de la vie et c'est vous qui porterez la modernité de demain en transmettant vos acquis à vos enfants.
Sachez ce que (social) et qui (individuel) vous êtes, c'est, aujourd'hui, d'une importance capitale au moment où la mondialisation heureuse part en capilotade en se délitant constamment.
C'est cette identité trouvée ou retrouvée, comprise, qui ne peut que vous bâtir en tant qu'homme et femme de bien.
Instruisez-vous, cela aussi est d'importance, c'est en effet cette instruction qui vous permettra au mieux de comprendre le monde.
Tout comme il est important que vous vous réapproprier une langue française grandement meurtrie par l'obscurantisme béat de l'époque.
Sachez que c'est le langage que chacun de nous développe qui nous structure psychiquement, qui nous permet de saisir et de nous adapter en plein au monde.
C'est lui qui construit, organise, ordonnance véritablement ce que je nomme notre composition de sens, soit ce qui nous permet d'appréhender véritablement l'univers, d'y formuler autant notre sens commun que de celui de chacun d'entre-nous.
Mieux vous connaîtrez votre inconscient, mieux votre pensée sera solide et efficace, mieux votre conscience sera aiguisée, mieux cet inconscient sera de bon conseil parce que mieux il ne sera pas brouillé par des scléroses inutiles.
Mais en cela veillez à ne pas vous égarer dans des méandres vains et illusoires, la réalité seule doit être votre guide, mais n'oubliez pas que l'imagination et l'inventivité est d'importance primordiale.
Il ne peut y avoir de réalité virtuelle, c'est un oxymore, la réalité est ce qu'elle est, la virtualité n'existe pas encore si tant est qu'elle existerait un jour, faites donc le partage entre l'imaginaire et la-dite imagination.
Nous arrivons à l'aube d'une nouvelle ère et c'est vous qui en êtes les premiers porteurs, cette ère transformera notre espèce à un point que seuls les principes évolutifs peuvent mesurer, mais de ça, c'est pour les siècles et les millénaires à venir.
"Connais-toi toi-même!" Prônait Socrate, quel meilleurs conseil peut-on donner aux Êtres-Humains?
THEURIC