Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Mon intention.

    Je ne recherche, en soi, aucune gloire, tout juste  aimerais-je être reconnu pour la production de mes d'idées, mais, de cela, je le sais impossible.

    Cette solitude qui, peut-être à un moment ou à un autre de ma vie, cessera, ne peut qu'être que pesante, mais suis-je en droit de cesser de poser sur ces pages de ce que je comprends d'un futur qui sera pour nous en tous points difficile?

    De faire comprendre au mieux à mes semblables les durs temps qui viennent.

    De guerre lasse, je fus tenté hier de provoquer mes lecteurs en allant au plus profond du piège logique dedans lequel nombre d'européens et d'étasuniens sont plongés, et puis ce matin je me suis ravisé, ce serait contreproductif.

    En fait la propagande des États-Unis-d'Amérique repose, en Europe, sur quatre piliers distincts, qui furent toujours faux et/ou d'une grande perversité:

    1) La toute puissance de l'empire US liée à l'idéologie néolibérale monétariste;P1030021.JPG

    2) L'inéluctable nécessité de la construction européenne sur de mêmes bases idéologiques utopiques;

    3) le présupposé réchauffement climatique anthropogénique;

    4) la désexualisation des peuples européens et leur infantilisation.

    Ceci sous l'égide d'une domination impériale multidécennale, culturelle, médiatique, symbolique, artistique, politique, historique, géographique, sociologique, diplomatique, médiatique, scientifique, économique, électorale, scolaire, militaire d'une moindre façon, ceci par le biais d'officines de pression pour lesquelles sont autorisées toutes les subversions totalitaires et perverses, toutes les entorses à la moindre des moralités, mais discrètes, et dont l'Union-Européenne n'est que la pure créature, l’œuvre malfaisante et ultime.

    La France serait ainsi en droit de vouloir récupérer sa statue de la liberté que depuis des lustres notre cher Toton Sam n'a cessé de piétiner allègrement chez lui comme chez nous.

    Tout ceci générant un état de soumission doublé d'une sidération importante des peuples, dont des français, qu'il est ardu de réduire, parce que la peur que tout cela s'arrête d'un coup est plus importante que de la lente décrépitude de la société qui, P1030151.JPGquoi qu'il en soit, ne pourra qu'être plus importante en terme de destruction que de ce qu'il pourrait en être de ce brusque effondrement.

    Pour la simple et bonne raison que les instabilités sociétales de toutes sortes s'accroissent jour après jour.

    Dès lors, que l'un de ces quatre piliers en vienne à se rompre et ce serait tout l'édifice qui s'effondrerait définitivement.

    Mais en revanche, si tous périclitaient en même temps, nous devrions faire face à une réaction de type stress post-traumatique d'une portion non négligeable de la population.

    Et, suivant le fait que depuis des décennies ces-dites instabilités du système dans son ensemble, économique, certes, mais aussi politique, médiatique, philosophique, artistique, scientifique, etc... tendent à s'accroitre, il y a de forts risques pour que ce pire n'advienne.

    Tout mon travail ne consistant alors qu'à essayer de prévenir  au mieux des effets probables que cela génèrera.

    Le point névralgique, la terrible faiblesse de tout ce système de domination c'est l'économie, occidentale, certes, mais aussi mondiale, au centre duquel se trouve le dollar et un euro qui n'en est qu'une pâle et artificielle copie, le tout se trouvant dansP1030177.JPG une épouvantable situation.

    Il s'agit donc de s'y préparer au mieux, tant psychologiquement que matériellement, mais pour cela encore faut-il en être conscient.

    Mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est visible que sa simple évocation met en émoi les gens, crée une angoisse d'une grande violence puisque à ce monde connu et reconnu dedans lequel tous s'y reconnaissent, nous plongerons dès lors dans celui inconnu d'un socle conceptuel et perceptif naturellement énigmatique et incertain.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que la plupart de mes lecteurs découvrant mon site n'en lisent que deux à trois pages puis, ensuite, en viennent à en oublier tout autant l'intitulé que l'adresse.

    Tout en se surprenant ensuite de faire quelques réserves en nourriture et produit d'entretien.

    Le principal se trouvant là, bien sûr.

    Quand à ce qu'il pourrait en être de ce que j'y exprimerais oralement de ma perception de la chose, mon expérience me montre de la fuite, sous une forme ou une autre, à chaque fois de mon interlocuteur, que je ne peux y espérer une écoute meilleurs que de ce qu'il peut en être de l'écrit.

    P1030199.JPGSachant qu'aux deux extrêmes de la perception de cet achèvement de notre domination impériale euro-atlantiste, mais aussi oligarchique, et de cet effondrement économique inévitable, tous trois complémentaires, s'y trouvent largement majoritaire ceux qui en ont un déni plus ou moins important, tout comme ceux qui en sur-exagèrent les effets, ceux que l'on appelle les survivalistes.

    En une dernière tentative, pour ces derniers, de conserver un contact, même symbolique, d'avec la puissance impériale largement déclinante, parce qu'il est vrai qu'au-delà de l'océan Atlantique, ce sera là que cette crise inouïe sera la plus importante.

    Un effondrement n'est que ce qu'il est et ne peut se faire que sur les bases de ses vulnérabilités, détériorations et de ses faiblesses grandissantes: si un pont s'écroule, il est vrai que personne ne pourrait en définir la date par avance, en revanche il est possible de dire, au vu de son état de délabrement, où il serait le plus manifeste que la cassure se produise.

    Là, pour ce qui nous occupe, il n'en est pas différemment.

    Mais cette commotion de la population pourrait être évité si, auparavant, l'UPR prenait le pouvoir en devenant électoralement majoritaire dans le pays et que François Asselineau en devenait le nouveau président, conduisant le France-quitte de cette Union-européenne mortifère, comme, aujourd'hui, le fait la Grande-Bretagne de son brexit.

    Certes, les eurolâtres nous créeraient de nombreuses difficultés, les premiers tempsP1030038.JPG nous seraient compliqués, mais plus vite cela arriverait et mieux la nation s'en porterait.

    Et qu'ainsi rapidement se conduise une reconstruction industrielle et agricole dont tous nous avons infiniment besoin.

    Si ce n'étaient les journalistes cornichons qui, dans les médiats officiels, n'ont que de cesse de mentir  éhontément sur toutes sortes de  sujets et, entre-autre, sur ce parti politique, sur son président et sur ce projet logique et sain de sortir de cette union dont le but n'est que de détruire les pays pour en asservir les peuples à un empire U.S. dont le déclin n'est pas loin de son achèvement par sa disparition prochaine.

    Parce que de toute la chaîne de responsabilité de cette gabegie  absolue, ces journalistes cornichons se trouvent, de fait, en première ligne, et chacun d'entre-eux se devrait de se demander si, entre lui et ses donneurs d'ordre milliardaire ou ministre, lequel aura le plus à souffrir de la disparition de l' UE€ et de leurs maîtres étasuniens.

    Ce sont en effet le plus souvent les sous-fifres qui paient le plus les pots cassés.

     

    Lutter de toutes forces contre cette inertie populaire compréhensible serait, de ma part, absurde.

    Du-moins aurais-je tout fait pour en réduire la violence de ce choc avenir, la banqueroute généralisée et la disparition de notre cher oncle si tant et tellement incivile qui se plait de détruire là d'où il provient, l'Europe.

    Ce choc n'en serait qu'infiniment plus réduit si l'UPR devenait majoritaire.

    Après je sais que, hormis de rares cas, même mes lecteurs assidus, qui ne doivent P1030246.JPGpas être très nombreux, m'oublieront dans la tourmente du France-quitte ou, sinon, des effets de cette débâcle multifactorielle.

    Et moi je commencerai à produire mes œuvres poétiques.

     

     

    THEURIC

    PS: Je vais progressivement m’éloigner de la politique, non pas qu'elle ne m'intéresse plus mais que, plutôt, j'ai dis ce que j'avais à en dire.