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  • Pause prudentielle et son substrat

    Je suis surpris de lire, dans mon ouvrage traitant des hyménoptères (à l'époque de son achat puis de sa lecture je n'avais pas l'esprit bien en place), qu'existent des bourdons parasites et celui-ci, qui me semble être Psithyrus (encore les russes) Rupestris me paraît en être, colonisant les nid des bourdons des pierres qui en viendront à nourrir leurs larves.

    Je suis content de cette photo où l'animal fut pris en plein vol, juste en dessous de cette belle inflorescence bicolore.

     

    Pause prudentielle:

     

    Divers éléments me suggèrent que je me dois d'être prudent dans mon expression ici même et que je me devrais ensuite, pour un temps que je ne saurais définir, cesser toute écriture.

     

    Je vous proposerais la lecture de cette réflexion des interarmées françaises, restant elle aussi prudente.

     

    Ce que je puis rajouter à ce court message tient en quelques formules que j'ai, pour certaines d'entre-elles, mainte fois répété:

     

    - Tout système politique triplement verrouillé, telle l'Union-Européenne, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, ne peut évoluer et, dès lors, ne peut que s'acheminer vers son démembrement dès que la nécessité de le réformer, quelles qu'en soient les raisons, s'y fait montre, ce que nous conte les tribulations de l'URSS de la nomination de Monsieur Gorbatchev jusqu'en 1991.

     

    - les dernières élections US démontrent que deux forces impériales, aux frontières floutées, s'y confrontent: l'état-profond d'essence politique (le trumpisme) contre l'oligarchie ploutocratique, dont les GAFAM (le bidenisme), d'essence économique monétariste, les fraudes électives qui y ont eu lieu de la part du second ne pouvant qu'y avoir fait perdre autant de sa crédibilité que de son sentiment de toute puissance, tant politique, monétaire que militaire.

     

    Aux vues de ces insanes malversations, l'état-profond n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie US pour tenter de rétablir, ne serait-ce qu'un peu, de sa légitimité impériale et de son crédit politique à l'international, ce pays n'en en ayant plus aucune économiquement.

     

    Quand bien même une guerre civile ne s'y produirait pas, celui-ci deviendra bientôt ingouvernable, si ce n'est pas déjà le cas.

     

    - Valeur d'une monnaie : la valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse industrielle, minière, agricole et marchande, présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.

     

    Ce qui ne veut qu'expliciter que plus une monnaie est surproduite pour une richesse donnée d'un pays, plus elle perd de sa valeur intrinsèque, ce qui se nomme de l'inflation.

     

    Il ne s'agit plus aujourd'hui d'un risque systémique bancaire, boursier ou d'endettement et de non remboursement (des particuliers, des industries, des acteurs spéculatifs, des banques, des états...) pesant sur les économies mondiales, comme il se le fait dire, mais plus sûrement de celui d'un arrêt, pour une période non déterminé, de la valorisation des monnaies les unes par rapport aux autres, donc, suivant, celui de tous les échanges marchands internationaux.

     

    - Depuis 2008 au moins, voire en 1999, a commencé une désindustrialisation mondiale (le nombre de gens pouvant acheter se réduisant) conduisant à une déflation, soit la perte de valeur des marchandises (baisse des coûts de production et donc des salaires plus mises au chômage, pour pouvoir les vendre), quelles qu'elles soient, compensée par l'inflation sus-montrée, elle aussi d'échelle internationale.

     

    Ce double phénomène s'accélérant continuellement, accélération accrue lors de la survenue du SRAS-COV2, c'est pourquoi nous fonçons vers une banqueroute  généralisée.

     

    - Le " Grand Reset" ne peut que nous démontrer l'inanité peine et entière de l'oligarchie ploutocratique mondialiste, surtout étasunienne, puisque l'industrie, les mines et l'agriculture, contrairement à la monnaie, étant la réalité économique des pays, ce qui n'est pas pris en compte par ces olibrius transatlantiques la composant, celle européenne ne comprenant pas qu'elle se fait spolier par elle.

     

    - De mes aphorismes: Lors d'une crise économique quand l'homme politique ou le journaliste incompétent en parle peu c'est que la situation n'est pas trop grave, quand il dit que la crise est derrière nous c'est que la situation est grave, quand il n'en fait pas mention c'est que la situation est très grave, mais si l'homme politique confirme l'existence de la crise c'est que la situation est désespérée.

     

    Je vous ai proposé-là un certain nombre de mes bases réflexives, vous en trouverez d'autres tout au long de mes billets, éparpillées tel un puzzle.

     

    Je ne peux connaître le choix de chacun, souvenez-vous, du-moins, que prendre un risque inutile est imbécile.

     

    Cela ne veut pas dire qu'il ne faudrait pas agir mais que toute action et son but se doivent d'être au mieux pensés et conçus en amont, individuellement et collectivement (je sais ce qui me manque...).

     

    Soyez et restez conscient de la nature des passions et des pulsions qui vous animent, que vos résolutions soient comprises dans leur nature.

     

    Ceci pour n'être pas les pions de puissances et de ces passions, quelles qu'elles puissent être, mais surtout de celles collectives, soyons des acteurs conscients de leurs actions et de leurs raisons d'être.

     

    Nous sommes devenus, si je puis le dire ainsi, les sujets, à l'insu de notre plein gré, d'un moment historique majeur pour notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, il nous faut en être conscients.

     

    Quelle que puisse en être ses freins actuels, notre développement anthropologique et notre réel allant vers le véritable progrès se fera quoi qu'il en soit, en une bifurcation sociétale de première importance.

     

    La vie n'est en rien un long fleuve tranquille, qu'il s'agisse de notre existence individuelle, de celle du groupe formé de nos proche, de notre pays, comme pour tout le genre humain: les tribulations nous suivent tout au long de notre existence.

     

    Ne soyons dupe de rien ni de personne, et surtout, non pas de soi-même, ce qui veut dire que, comme l'affirmais Socrate: "Connais-toi toi-même et tu connaîtra l'univers et les Dieux", j'y rajouterais en notre époque moderne, dans leur nature réelle.

     

    Nous avons tous nos bons et mauvais cotés, nos forces et nos faiblesses, il en est pour qui la balance se porte plus d'un coté que de l'autre...

     

    Soyez prudent et déterminés en votre nature...

     

     

     

     

    THEURIC

     

    PS.: Quand je reprendrai ici l'écriture, cela voudra sûrement dire que cette bifurcation anthropologique sera en ses tous débuts.

  • Je vous souhaite, amis lecteurs, une bonne année.

     

     

     

    Pour toute résolution, soyons conscient:

     

    Je suis revenu, naguère, sur la notion de détermination, en montrant qu'être déterminé en tant qu'Être Humain voulait dire de l'être autant en tant que conscient de ce que et qui nous sommes, de notre volonté, de notre compréhension au mieux de ce qui nous anime et anime le monde, déjà de celui qui nous entoure puis de celui bien au-delà.

     

    Mais, surtout, qui nous aide à bâtir une pensée puissante qui est ce qui conditionne notre raison, mot en son sens le plus noble et le plus ancien.

     

    Cela pour vous dire qu'il est temps maintenant de nous prendre en main, en attendant que se rétablisse une cohérence solide en notre beau pays, quelle que soit la façon avec laquelle cela surviendra.

     

    Que chacun, comme le colibri de la fable, fasse sa part.

     

    Mais pour cela il est nécessaire d'avoir un avis avisé de la situation, et non pas de rechercher n'importe quelle hypothèse alambiquée qui, bien que donnant du sens à ce qui advient, n'en reste pas moins hors de propos.

     

    Tout comme il peut en être de toute théorie scientifique réaliste, cette conception se doit d'obéir  à trois considérations simples et complexes à la fois:

     

    -1) La réfutabilité: c'est à dire qu'il est possible de la remettre en question, voire en cause;

     

    -2) La parcimonie: c'est à dire qu'il faut qu'elle soit celle la plus simple au regard de toutes les informations perçues;

     

    -3) La prédictibilité: c'est à dire qu'elle doit pouvoir amener une prédiction future des événements à la vue de la situation passée puis présente.

     

    Que ceux qui, des classes-moyennes intermédiaires, hautes à supérieures, furent fort bien formés aux sciences, ingénieries, techniciens et autres, puis se retrouvèrent à faire un métier absurde, dans la finance notamment, puis qui fuirent Paris ou les grandes agglomérations en se retrouvant en province;

     

    Qu'ils ôtent leur tristes accoutrement de cette boboïtude vulgaire et désuète leur faisant croire qu'ils appartiennent à une élite qui n'a que dédain pour eux (ce que vous savez très bien mais n'osez vous l'avouer);

     

    Commencez dès maintenant à enfin utiliser ce que vous aviez appris en son juste nécessaire, à concevoir et réaliser, de bric et de broc s'il le faut, le redémarrage de notre Pays qui, en réalité, n'attend que cela.

     

    N'oubliez pas que le peuple, dont vous êtes de manière intrinsèque, s'impatiente de cela: où se trouve donc nos véritables élites?

     

    L'heure est au réveil.

     

    N'oubliez-pas que de prendre un risque inutile est imbécile, tout se doit d'être pesé et mûrement réfléchi.

     

    Faites, pour ceux qui le peuvent, vos réserves, pour vous, vos proches et même vos voisins.

     

    Prenez soin de votre santé tant physique que mental.

     

    De l'indexe généralisé:

     

    D'une mienne astuce, verbe délicat,

    En Septembre vous en avais conté le cas:

    Sans être un sonnet, est de fait en quatrains,

    Vous est recommandé le dictionnaire en main:

     

    Voici que par trois fois mon  âme sensible

    Perçut, en bel instinct, le risque d'aléas

    D'algorithmes voyeurs m'en feraient-ils cible?

    De quelconque guêpier, peut-être lauréat.

     

    Ces triples recensions séant, ma foi, requiers: 

    D'opprobre de ceux-là dont je conte la course

    De leur saugrenuité au fiel ordinaire 

    Minant tous les péquins, flétrir leurs ressources.

     

    Le doigt de l'index, là, sur toutes proses posé

    Nous mène qu'à gauchir cette Anastasie,

    De tâcher bien faire net en traits déposés

    Pour pourvoir en plis ce risque d'aphasie.

     

    L'automate se perd en ces mots si retords,

    Le cuistre s'égare de son impéritie:

    Ce dédale ci façonne pléthore

    De termes abscons en très larges glacis.

     

    Du bon mot, contrepet et autres à-peu-près,

    Boutades, galéjades ainsi qu'évocations 

    Ne peuvent que vaquer, de trames aux apprêts,

    A clamer, manifeste, humeur, rescisions.

     

    Je rime en quatrain, une geste malicieuse,

    Ce verbe si désuet pour empaumer le fat,

    Sentir ce baragouin l'est action malgracieuse:

    D'entortiller ces buses en délicieux noubas!

     

     

     

    THEURIC