Il n'est que pire méchanceté
Que de celle du fat
Se croyant de la sainteté
Bêtes et méchants
Il n'est nulle différence de violence
Entre des ados et hautes classes sociales
Qui montrent, d'empathie, la même carence,
En manque tant d'instruction que de morale !
Journalistes hypocrites se dédouanant,
Accusant en cela les fredaines du net,
Sans vouloir voir les flashs permanents
Si tant angoissant qu'ils, toujours, émettent.
En larmes de crocodile, pleurent l'enfant
Tabassé par ses pairs, qui blessé, qui tué,
Mais s'aveuglant séant de leurs plis étouffant,
Comme faire croire ce virus tous nous faucher.
Bête immonde des tromperies éludés,
Cuistres s'épanchant de basses inhabiletés
En un sérieux mortel sapant des esprits
Prenant argent comptant leurs pauvres récits.
Discourant comme héro l'être malfaisant.
Voulant pour toujours enfermer les français
Affin qu'un vaccin d'un prix autant opulent
Qui, de plus, pourrait mener nombre de décès.
Sachant, ineptes : des traitements existent
Peu chers, aux oligarque ne ferait leurs affaires
Puisque ne coûtant rien, mais ne sont altruistes :
La pharmacie, pour eux, c'est de l'argent, se faire.
Cette besogne n'est pas que de tous ces niais :
La classe politique est aussi coupable
Qui, tous, à l'unanimité, ont mêmes biais :
D'être patriotes, en sont incapables.
Tous aiment tant l'union qu'en fin la détruisent,
Ruinant l'ensemble de ce qu'ils peuvent toucher :
A chaque décision qu'ils prennent épuise
Nous autres citoyens, nous voulant voir couchés.
De ceux-là, le journalisme aux ordres
Fait pire, voulant, du réel, le tordre,
Faire, de la vérité, que du mensonge,
Que la réalité ne serait que songe.
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Foin des puritains
Appelons une chatte
Une chatte
Doux emports
Je lèche ton vagin et ton clitoris,
Tu me suce autant le pénis que mon gland,
Ton con m'excite, ma douce fellatrice,
Ta bouche, tes lèvres sont douces et en allant.
Ma langue caressent en délicate vigueur
Ton bouton délicieux, tes tendres babines,
Visitant l'un et l'autre au gré des humeurs
De ton corps vibrant, belle gourmandine.
Tu happe mon phallus en merveilleux suçoir,
Ta lavette rappeuse m'avive le bout,
De tes doigts frôle dessous mon étendard
Mes couilles ravies d'un attouchement si doux.
Puis je pénètre de mon sexe bien bandé
Ta vulve humide et si accueillante.
Mes hanches se meuvent d'un rythme bien scandé,
Puis jouissons de ma semence extasiante.
THEURIC