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  • Le jardin; A ma belle inconnue.

    Le jardin

     

    Il est un jardin petit et sans manière,

    Large de si peu, long de quarante pas,

    D'où notre hôtesse nous invitait, hier,

    A nous y installer pour de délicieux repas.

     

    Le gazon s'y frayait un sinueux chemin

    Sous l'antique poirier d'où pendaient de durs fruits.

    Un beau potager en en faisait l'usufruit

    D'une riche verdure de légumes communs.

     

    Aux cotés de la table, sous la pergola,

    Grillaient des maquereaux bien frais

    Que nous mangions en cœur en festin de gala

    Au milieu de blagues et de rires, sans arrêt.

     

    Nous regrettons tous de ces années passées,

    Quand le vin nous grisait d'un alcool délicieux,

    Avec des amis, venant à s'effacé

    Les mauvais matins à l'esprit capricieux.

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    A l'amie peut-être inconnue

     

    Je connais tout d'elle, hormis de sa douceur.

    De sa douce peau, ne peut qu'imaginer:

    Mes rêves faisant voguer mes bras embrasseurs

    De son corps impatient de félicité.

     

    Je ne la connais que de ne s'être croisés

    D'un soir brumeux d'où je la vis s'effacer

    Au-devant d'une foule tant déambulant

    Et moi freiné d'un trouble si paralysant.

     

    Peut-être la reverrai-je, cette dame,

    En quelques endroit d'une belle destinée

    D'où nous deviserions au-devant d'un dîné.

    Dès lors, je béerai des courbes de cette femme.

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    Douces nuits

     

    L'exquise esquisse de sa grande beauté

    Menait mes sens en somptueuse volupté

    D'éclairer ses belles et rondes vigueurs

    En  ces tendres moments de nos nus bonheurs.

     

    La nuit gracieuse éclairait de ses ombres

    Nos caresses légères faites de milles grâces

    Libérant nos corps de nos nôtre pénombre

    Libérant nos vies des pauvres carapaces.

     

    Puis, le jour revenu, notre sommeil venant,

    Nos âmes repu d'un nouveau éclairant

    Vibrent d'aise d'un avenir avenant

    Effaçant ainsi nos passés flétris d'errants.

     

     

    THEURIC

  • Ô, les belles questions...!

    Quelles bières aiment les croques-morts?

     

    Des sœurs jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Un heurt de bonne heure est-il digne d'un doux heur?

     

    Un bienfait est-il, en soi, bien fait?

     

    Pourquoi le café frais est-il toujours chaud?

     

    L'athée aime-t-il le bon thé?

     

    Les roubignoles concernent-elles les pneus de la voiture du concierge?

     

    La concierge est-elle la bougie d'église au féminin?

     

    Sans thé le britannique est-il en pleine forme?

     

    La trompette est-elle une petite tromperie ou d'un éléphant qui éternue?

     

    Être content voudrait-il dire qu'il pleut?

     

    Les anneaux de Saturne tournent-ils?

     

    La tortue, certes, mais le tort tue-t-il?

     

    Cherche-t-on le tout de son cru?

     

    Le violoncelle se joue-t-il à cheval?

     

    De quelle année est l’amphithéâtre?

     

    L'hôte est-il celui qui invite ou l'invité, s'il ne serait pas le sac du Père-Noël?

     

    Lors de la lancée du  disque aux JO, lequel choisir entre le vinyle et le CD?

     

    L'éternité a-t-elle une fin et... qu'y aurait-il après?

     

    Le con d'une femme serait si stupide que cela?

     

    L'abricot concerne-t-il les arrêts de bus?

     

    En prendre plein sa poire est-il pour sa pomme?

     

    Avoir la banane signifie-t-il qu'on est au régime?

     

    Un trou de balle est-il mortel?

     

    Quand deux choses convergent, cela est-il sexuel (haaaaa l'amour)?

     

    Un message est-il le masculin d'une messe sage?

     

    Un mitron, d'accord, c'est la moitié d'un tronc, que serait-il alors du litaire?

     

    Cela dessert-il de recevoir une tarte?

     

    Le gobelet concerne-t-il la tétée du nouveau-né?

     

    Berne est-elle en Suisse ou la Suisse est-elle en Berne?

     

    Lorsque l'on dit bonjour, cela voudrait-il dire qu'il ferait beau temps?

     

    D'avoir du pain sur la planche voudrait-il dire que l'on aura du blé?

     

    Recevoir une paire de baffle fait-il mal?

     

    Un hibou est-il chouette quand la vapeur d'eau sort de la casserole?

     

    Peut aller loin à cheval sur ses principes? 

     

    Pourquoi les mésanges ne sont-elle pas toujours au ciel?

     

    Fait-on un four de rater un plat?

     

    Un aléa, et pourquoi ne pas dire un aller b, à quoi servirait donc l’alphabet, sinon?

     

    Qui donc monterait-il dans un car, sinon un tiers?

     

    Boit-on un demi avec sa moitié?

     

    Quand on est dans les nuages, s'envoie-t-on en l'air?

     

    Nous, français, avons la pub, les britannique ont le pub, du masculin au féminin, à chacun ses définitions, n'est-ce pas?

     

    Et après cela, voudriez-vous que je vous dise quoi?

     

     

    THEURIC

     

    PS : Quoi!