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  • De la rétrogression historique à Macron: l'empereur sera-t-il bientôt déchu?

    A l'introduction qui vient, je le fais précéder de ce petit préambule de dernière minute qui me semble nécessaire.

    Ce fut hier, en effet, d'abord en regardant une vidéo de Monsieur Biberian que je ne retrouve pas, datant d'un mois (je vous conseille celle-ci pour celui qui ne connais pas grand chose aux atomes et de leur fusion et fission) traitant, lors d'une conférence, de la fusion froide, où il  y expliquait le conservatisme de ses paires face aux idées nouvelles.

    Puis c'est en songeant à l'accueil possible du billet que je vous propose aujourd'hui, que je me suis rendu compte que mon problème principal est que je sors doublement du cadre de référence conceptuel social de notre époque.

    Déjà en raison de mon statut auquel je ne fais que peu de cachotteries, j'ai le Certificat d’Étude Primaire en sa dernière année d'existence (allez-y voir, les jeunes, de quoi il en retourne), un C.A.P. horticole, été deux ans jardinier communal, pendant 25 ans conducteur de bus à la R.A.T.P. et entre les deux fait plein de petits boulots.

    DSC00065.JPGMais aussi du fait que je ne porte pas un regard habituel sur les événements et prend souvent des positions largement différentes de ce qu'il se dit sur tout un ensemble de sujets.

    Je sors donc doublement de ce cadre de référence et, en cela, je me retrouve à être provocateur sans que cela soit recherché de quelle que manière que ce soit.

    Si, ma seule provocation, si tant est que ça en soit une, est de montrer qu'il est possible de penser par soi-même quel que soit le niveau d'étude de chacun, le principal étant de s'instruire continuellement.

    Je conçois parfaitement que d'aborder des sujets comme il peut en être de l'évolution des ancêtres des singes ou de la présence des extraterrestres, que je nomme les E.I.N.T., les Être Intelligents Non Terrestres, peut surprendre, voire choquer.

    Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas écrire sur ces thèmes qui sont tout aussi sérieux que bien d'autres.

    Le cadre de référence conceptuel social étant l'horizon collectif de ce qui fait sens.P1000898.JPG

    Je ne vais pas m'appesantir la-dessus, vous laissant aux deux lectures suivantes.

     

    J'avais largement commencé à écrire ce texte avant de retrouver le précédent dans mes archives, puis de vous le proposer avant-hier.

    Or, il s'est révélé ces deux-ci sont intimement liés.

    Cette rétrogression historique (en  fin de page), dont je vous avais déjà fait part à plusieurs reprises, entre-autre en vous faisant remarquer le retour de la barbe et la ressemblance entre le burkini et les vêtements de bain que portaient les femmes françaises à la fin du XIX° siècle, pourrait, là encore, s'exprimer par la confrontation, aujourd'hui seulement économique et politique, entre un diablement dérisoire Macron se prenant désormais pour une sorte de Napoléon III dit, par Victor Hugo, le petit, et une Madame Merkel très loin de ce que fut Bismarck.

    Certes, il n'y a rien à voir entre la Prusse de l'époque qui, grâce à Otto Von Bismarck, sut recomposer, de 1862 à 1871, le Saint-Empire-Romain-Germanique défunt sous la forme de l'Allemagne, ainsi que Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier, aventurier qui tenta un coup d'état en 1840, fut élu Président de la II° République en 1848 et, en 1852, fut sacré empereur sous le nom de Napoléon P1010318.JPGIII, puis qui abdiqua lors de la guerre de 1870 après la défaite de Sedan.

    Et l'époque actuelle où, de Bismarck nous avons, en Allemagne, Madame Merkel, et en France, de Napoléon III nous en sommes revenu à ce pauvre Monsieur Macron, grandeur et décadence.

    Mais ce qui est remarquable c'est la singulière similitude qui semble prendre corps entre la fin de ce troisième quart du XIX° siècle et l'achèvement de la deuxième décennies du XXI°.

    Bon, bon, je sais, cette similitude paraît tirée par les cheveux, d'autant plus que rien pour l'instant n'est réellement en place, comme souvent je fais ici de la prédictivité en partant du principe que nous sommes entrés dans une phase de rétrogression historique avec, lié, une manière de répétitivité historique.

    Ce fut le refus du Gouvernement allemand de participer aux (petites) frappes en Syrie qui me fit me demander si, par hasard, la Germanie n'aurait pas saisi le repli stratégique qu'effectue l'empire étasunien (là encore, je n'en ai que des preuves peu assurées).

    Mais cela me paraît logique au vu de la situation économique catastrophique dedans laquelle se retrouve les États-Unis-d'Amérique et, comme le firent les romains en leur temps en Bretagne (la Grande-Bretagne d'aujourd'hui), les américains retirent discrètement leurs troupes de l'Europe, mais pas seulement de là.

    C'est pour cela que ce sont les forces spéciales françaises qui furent envoyées aiderP1010087.JPG les kurdes pro-américains à lutter contre l'armée turque, plutôt que celles étasuniennes.

    Donc, bientôt, la France et l'Allemagne vont se retrouver à se regarder en chien de faïence au sein de l'Union-Européenne.

    Allemagne qui semble vouloir quitter une Union-Européenne débutant sa débandade, ceci du fait de l'éloignement progressif de Tonton Sam, mais surtout de percevoir la faiblesse montante de l'empire.

    Elle ne peut donc, à mon sens, que de décider de reprendre sa souveraineté, d'autant plus que l'U.E. la met au-devant de risques économiques ne pouvant que s'aggraver avec le temps (Target 2).

    Mais son problème est que, même si une bonne part de sa population ne serait pas vraiment contre, son oligarchie, elle, ne peut que rester, au moins pour partie, résolument unioniste.

    De l'autre coté du Rhin nous avons le gouvernement Macron et son  président (allez jusqu'à la rose rose pour savoir comment je le perçois) qui de Zeus en fut devenu roi, puis de roi en est maintenant à prendre des allures impériales, décidant de tout, même des actions militaires.

    C'est pourquoi il en vient à être comparé à Napoléon III.

    Ce qui correspond à ce que j'affirme depuis quelques temps, nous entrons dans une P1010215.JPGphase de rétrogression historique, en voici, me semble-t-il, les mécanismes politique qui l'y accompagnent.

    Je laisse à d'autres, qui le font bien mieux que moi, ici, , et encore en cet endroit (portez attention après 3mn 07, le sujet est d'importance et j'y reviendrai plus loin), en cette petite liste non exhaustive, le soin de développer leur réflexion sur les dernières événements syriens.

    Quand à ce qu'il en est des miennes, de réflexion, je les porterai sur ces effets de retour sociétaux passé, cette moderne rétrogression historique, que ces affaires ridicules et contreproductives syriennes (tout dépend pour qui) ne peut qu'avoir accéléré en France.

    Et oui, c'est qu'à force d'agacer l'ours russe, à cause de l'empressement à l'obéissance de notre gouvernement, la population française en est venu à avoir une trouille bleue des zèles guerriers de notre cher président.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, combien d'entre-vous n'ont-ils pas craint qu'à cause  des gesticulations militaristes de notre tout petit empereur national, notre pays ne se retrouve à se confronter avec une Russie qui, lorsqu'elle est attaquée, sait montrer des ressources insoupçonnées?

    Dès lors, comme affirmé plus haut, si je reprends ma théorie de la rétrogression historique, Monsieur Macron ne peut pas ne pas être comparé à un Napoléon III proche (déjà) de son abdication  avec, comme cour, ses ministres et notre oligarchie décatie à laquelle il semble ne plus vouloir se soumettre: ses maîtres ont perdu le contrôle de leur créature .

    A la place, il suit, avec l'appétit d'un enfant devant un monceau de soldats de plomb, les directives intéressés de Madame May (au joli mois), je ne trouve pas la vidéo, mais je me souviens de l'avoir vu, aux informations télé, entouré de gens si sérieux, regarder la caméra avec ce sourire enfantin aux lèvres du gamin qui va jouer à la guerre.

    Je me demande donc si, en réalité, lui, le nain politique, ne serait pas devenu le dindon d'une farce dont le but serait d'accentuer la déstabilisation de la France.

    C'est que sa position politique s'est plus que fragilisé, à ce Napoléon le tout petit, petit, petit, petit.

    Comment, déjà, croyez-vous que va réagir le peuple après une telle frayeur, juste au moment ou les grèves commencent à embraser le pays et que deux à trois milliersP1010118.JPG de policiers n'arrivent pas à calmer une poignée de zadiste?

    Et surtout, comment doivent déjà réagir les radio-éléments du R.E.M. de l'Assemblée-Nationale, qui doivent avoir en main bien plus d'informations que nous-autres, pauvres manants, ne pourrions jamais obtenir?

    Il se dit que des missiles envoyés par la tripartie U.S., R.U. et France sur la Syrie, 68% pour les russes, 69% pour des militaires étasuniens, furent descendus par de vieux anti-missiles modernisés fournis aux syriens par les  russes, des antiquités améliorées, soit plus des trois-cinquièmes des bombinettes dézinguées, mazette...

    Certes, il y a, chez les élus du parti macronien offert gracieusement à notre généralissime, certains qui doivent, dur comme fer, considérer que notre impérial président dit et agit avec la grâce du génie et de la lumière divine.

    Mais les autres, tous les autres, ne commencent-ils pas à se poser de sérieuses questions?

    Au début, soit maintenant, ils doivent juste ronchonner dans leur coin, s'interroger de savoir si Monsieur Macron ne risquerait pas de nous mener à une guerre qui ne pourrait qu'être désastreuse pour notre pays, se dire que leur chef n'est pas à sa place, qu'il est dangereux de suivre les recommandations empressées des U.S.A. et des britanniques, que lui-même serait dangereux.

    P1010376.JPGPuis, petit à petit, bientôt, plus tard, bruisseront des chuchotis dans les allées de l'Assemblée-Nationale, de se demander si cet homme est vraiment un démocrate, si, en vrai, il ne les conduirait pas à leur débâcle, si se qu'il se dit serait vrai, qu'il aurait la trahison dans la peau, que ce ne serait qu'un pantin, puis un minus et enfin un raté et un traitre.

    C'est fou ce que la peur peut générer de réactions.

    Dans la population il ne peut qu'en être de même, mais en pire.

    Tout le monde à pu voir à la télé son niais sourire quand il était entouré de ses conseillés militaires, celui d'un gamin qui fait joujou avec tous ses pouvoirs.

    Je vous l'ai dit auparavant, il prend son pied.

    Il n'est pas besoin d'être grand clerc pour imaginer ce qu'une multitude de gens doit penser dorénavant de lui en nombre noms d'oiseaux.

    Les citoyens ont eu trop peur, trop d'angoisses, furent part trop effrayés, que ce soit consciemment ou inconsciemment, et, quoi qu'il se passe et se passera à partir de maintenant, ils considèreront que celui qui est la cause de cette peur, de cette angoisse, de cette frayeur, que la raison de cette terrible douleur psychique et de tout ce qui la représente doit disparaître.

    (Étant entendu que je décris là un mécanisme de survie instinctuelle, primitive et le plus souvent inconsciente, les français ne vont pas tous se ruer du jour au P1010040.JPGlendemain à l’Élisée, à l'Assemblée-Nationale ou chez Monsieur Attali les armes à la main, bien sûr que non.

    Mais que maintenant que le tocsin a sonné dans leur tête,  même s'il ne tinte désormais plus du haut des clochers des églises, même si cela n'est pas conscient, même si les explications qui en sont et seront données n'aurions rien à voir avec ces événements, leur haine pour tous ceux qui suivirent et surtout suivent encore ce capitaine de bateau ivre va devenir inextinguible.

    Les citoyens ont eu trop peur, parce que cela à réveillé en eux une mémoire profondément enfouie depuis deux, trois, quatre générations qui a resurgi d'un coup en les traumatisant sans même qu'ils ne s'en soient rendu compte.

    Et oui, l'inconscient sociale conserve en lui de très lointains souvenir, infiniment plus anciens encore.

    On ne réveille pas ainsi des monstres enfermés au plus profond de la mémoire des population sans effet.

    Malheur, se dit-il, par qui le scandale arrive.)

    Je me suis demandé, hier, si ce ne serait pas ces mécanismes mentaux collectifs qui auraient été recherché par un empire U.S. qui, désormais, joue autant sa survie impériale que de l'existence même de son pays.

    P1010204.JPGAinsi ai-je supposé, puisque n'en ayant que peu de preuves, que les U.S.A. rapatrient discrètement leurs soldats se trouvant dans les nombreuses casernes se situant hors de leur frontières (toutefois ce qu'a annoncé Monsieur Béchade dans la vidéo sus-avant aux 3mn.07, soit que les troupes américaines se désengage de la Syrie, me laisse entrevoir que je n'ai pas tort), la raison en serait une insécurité politique grandissante provenant de la population étasunienne, ce qui est compréhensible à près de  40% de chômage réel, mais aussi la recherche fébrile d'économie.

    De la même façon, j'ai présumé qu'ils chercheraient à se débarrasser d'une Union-Européenne qui, maintenant, tend à l'entrainer dans sa faillite, du-moins en ont-ils le sentiment (en fait, chacun entrainant l'autre dans sa banqueroute, mais ça c'est une autre histoire), et d'une Allemagne qui, comprenant les faiblesses impériales, elle qui déjà lui taille des croupières économiques, prend depuis déjà quelque temps le contrôle de l'union pour son propre compte.

    Allemagne qui, de par sa contexture sociologique plus stable, est moins facilement atteignable qu'une France naturellement instable.

    En fait, ses bases militaires coûte un bras à Tonton Sam qui s'en passerait bien, et, sur ce site, découvert aujourd'hui même et que j'ai rapidement parcouru, j'y ai trouvé ces deux textes en tous points révélateurs (je suis content, mon intuition ne m'a pas trahi):

    " ... Jamais dans l’histoire de l’humanité on a vu une nation exercer un tel pouvoir sur le reste du globe ou en tirer d’énormes avantages économiques. Ces politiquesP1010129.JPG hégémoniques ne peuvent probablement pas être soutenues pendant encore longtemps, car elles sont extrêmement coûteuses et provoquent des défis politiques et militaires permanents ... ".

    Traduit de ce site par le précédent.

    Puis, du même endroit, plus loin:

    Le Pentagone a annoncé son intention de fermer 15 bases militaires en Europe dans un effort pour économiser environ 500 millions de dollars par an. Alors il y aura seulement une légère réduction des niveaux de forces globaux. Les critiques craignent que cette décision arrive exactement au mauvais moment où l’Europe est confrontée à la perspective d’une nouvelle agression russe en Ukraine " (la Russie à bon dos, ce qui est à la mode en ce moment).

    Ces deux extraits date de 2015, soit sous l'ère Obama, et quand bien même Monsieur Trump voudrait renouveler la puissance impériale Étasunienne, le fait est là, ce pays, en quasi banqueroute, ne survit plus que grâce à la nécessité de passer par le dollar et le pétrodollar pour tous échanges internationaux.

    Quand bien même la dédollarisation commencée par la Chine et la Russie en réduise l'hégémonie, la monnaie U.S. reste inévitable pour le commerce mondial.

    P1010143.JPGQuoi qu'il en soit, le gouvernement fédéral des États-Unis-d'Amérique cherche à tous prix de faire des économies et, à mon sens, se replie dorénavant sur ses bases arrière, soit sur les Amériques nord et sud.

    Le problème restant que les hyper-productions monétaires leur ont fait perdre à toutes leur valeur intrinsèque, dont le dollar qui ne vaut plus que peau de balle et balais de crin, que dalle, quoi, tout comme l'euro, le yen, la livre sterling, le yuan  et bien d'autres.

    Que les bourses de Wall Street tendent à s'évaporer par leur boursoufflures et records à la hausse ne provenant que de l'injection continuelle de ces masses de monnaies ne valant plus rien.

    Et que les états U.S. et l'état central sont tous endettés à un point tel que tout les prêteurs savent pertinemment qu'ils ne seront jamais remboursés, mais font semblant et ferment les yeux, personne ne sachant ce qu'il se passera dès que la banqueroute généralisée aura montré à tous sa terrible morsure.

    Le problème supplémentaire devant lequel les américains se retrouve maintenant c'est que les allemands ont compris que Monsieur Macron est, à son insu, le cheval de Troie impérial, que son élection n'a eu, de but, que de désorganiser suffisamment l'Union-Européenne par l'instabilité politique qu'il génère en France, pour que l'U.E. et l'euro éclate en mille morceaux en raison du France-quitte.P1010176.JPG

    Il est probable que l'Allemagne, quand à elle, comprenne qu'il lui est nécessaire que l'U.E. disparaisse, tout simplement parce que tous les richissimes des pays de l'union pauvres et endettés préfèrent mettre leur argent là où la situation économie est la meilleurs, dès lors dans les banques germaniques, ce qui met la Germanie dans une mouscaille incommensurable.

    Ceci parce que chaque fois que de l'euro sort d'une nation, en vrai ce n'est pas de l'euro mais plutôt de l'euro-franc, de l'euro-lire (italienne), de l'euro-peseta (espagnole) ou de l'euro-drachme (grecque)...., dès lors la banque centrale du pays d'où cet euro provient doit à l'Allemagne cette somme.

  • Marianne se sauve grâce à l'imbécilité de ses tortionnaires.

    ( Chère Tatiana Ventôse,

    Ce papier (ce qui est marrant face à un écran) vous est adressé.

    Je ne vous connais pas et ne réagirais pas à votre intervention youtubesque sur vos positions politiques par quelque vidéo que ce soi.

    La raison en est que je sais quelles réactions cela va générer chez tout un chacun: diverses formes de refus à ce que je puisse exprimer la moindre pensée valide, dire l'inverse que ce que je peux exprimer, négation net de sa logique..., pouvant mener à une agressivité à mon égard.

    Ce phénomène, que j'ai pu connaître aussi loin que je peux remonter dans mes souvenirs, m'est encore difficile à appréhender, trouvant sûrement sa source d'aujourd'hui en ce que je tiens un discourt discordant de ceux qui sont tenus habituellement, mettant bien sûr mes réflexions de ses origines hors du champ des échanges sociaux.

    Dedans ce qui s'appelle mon soi jardin secret.

    Cela s'appelle, paraît-il, le syndrome de Cassandre, je vais prendre la peine de l'analyser, je sens qu'une fois encore je vais m'amuser.

    C'est pourquoi c'est par ce blog (en raison aussi de ce que je ne veux fournir qu'au minimum mes informations personnelles sur ce net pas toujours bien net, hi, hi, hi) que je vous expliquerais, en première partie, les raisons pour lesquelles vous doutez de la profondeur du programme de l'U.P.R., ce que vous sentez P1020030.JPGconfusément sans réellement en saisir le pourquoi, là se trouve, à mon sens, vos approximations à ce sujet,  je vous exposerai après les raisons pour lesquelles j'ai moi-même adhéré à ce parti sans en être militant (vous en avez déjà une approche partielle par mes quelques lignes plus haut).

    Ensuite, en seconde partie, je montrerai que désormais la France est sortie d'affaire, certes, cela ne sera pas un petit chemin qui sent la noisette, mais mieux que bien d'autres, notre pays, contrairement à ce que certains voudraient nous le faire croire (les services britanniques?), va sous peu recouvrer ce dynamisme flamboyant et désordonné qui fait son charme et sa puissance.

    Ce que nos manipulateurs patentés et discrets ne comprennent pas, c'est que dès que la racine des croyances que ces opérateurs ont insinuées dans les esprits, quelle qu'en soit la technique, se sera écartée, que ces manipulateurs auront disparu, l'évidence de la réalité des faits deviendra éclatante pour la majorité de nos concitoyens.

    Et je puis vous assurer que j'en connais quelque chose.)

    La réponse critique la plus habituelle qui vous est faite au sujet de l'U.P.R., thème que vous avez abordé lors de cette vidéo au titre de: "Mes opinions politiques: je vous dis tout", est qu'il nous faut d'abord retrouver notre souveraineté avant que nous ne puissions espérer reprendre une vie politique et idéologique normale auP1020077.JPG sein d'une démocratie adulte.

    Que cela soit la nécessité première avant toute autre prise de position idéologique que ce soit, avant tout programme électoral débattu et disputé.

    A ceci est rajouté lé fait que, dans l'ensemble, ce programme U.P.R. offre une première mouture organisationnelle structurée.

    Ne nous le cachons pas, cette approche est logique et cohérente, sauf si nous nous retrouvions à nous confronter à un effondrement de l'économie globalisée menant, à sa suite, à celui politique de tout ce qui compose l'Union-Européenne, ce que je ne cesse de traiter ici même.

    Le choc psychologique que cela représentera pour tous ceux qui en ont adopté la doxa eurolâtre et américanolâtre sera telle qu'ils ne pourrons faire autrement, soit de décompenser gravement, ce que j'avais montré dans mon billet précédent, soit de se réfugier, comme une majorité de nos concitoyens, psychologiquement s'entend, au-dedans d'une idéologie passée, un patriotisme, une religiosité, un nationalisme échevelé, voire même, rarement, pour certain, à une forme ou une autre d'anarchisme, soit tout simplement de se défaire de toute pensée idéologique de quelle que nature que ce soi.

    Or, dans le même temps où un nombre important de ceux qui organisent la vie sociale, politique et structurent l'administration de la nation se retrouveront en débandade, nous nous devrons de gérer une calamité économique qui, à y regarder de près, rendra notre existence des plus compliquées.

    Pour résumer rapidement, nous manquerons de monnaie, de combustible, de nourriture et de matériels de première nécessité, en ces deux simples exemples, les P1020021.JPGréfrigérateur et ordinateur nous seront absents, sans compter les matières premières et les médicaments..., j'en ai évoqué les raisons dans des textes précédents.

    J'émets l'idée, mais peut-être, bien sûr, en aurais-je tort, que, confusément, vous pressentiriez que là se situerait les limites programmatique du parti de François Asselineau et que la désintégration de l'euro, ce que lui-même et son équipe ne cessent de souligner, signerait, à mon avis, celle du dollar, de l'U.E. puis, à leur suite, de la mondialisation monétariste, ce à quoi ils ne semblent pas songer.

    Les causes en sont faciles à définir: réformer, même à la marge, un système politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, comme l'est notre union et l'était l'U.R.S.S., ne peut que le détruire (il va falloir, un de ces quatre, que j'en explique le pourquoi), or l'euro en est inextricablement lié (tricher avec ces mêmes institutions ne lui étant en rien préjudiciable puisque c'est un phénomène différent, la triple composante sus-nommée de l'U.E. restant en l'état).

    De plus cette monnaie et les banques afférentes, européennes, si fragiles, sont, d'une manière ou d'une autre, enchaînées au dollar et aux banques de l'empire U.S., c'est pourquoi les entreprises européennes quitte l'Iran au plus vite.

    Dollar lui-même, en situation de non-valeur réelle à cause des Q.E., qui se retrouve à être la monnaie de réserve à l'international, ceci doublé de l'immensité desP1020025.JPG créations monétaires quasiment généralisées, mène à ce que si l'euro explose, ce sera donc l'Union-Européenne qui le suivra, puis logiquement par le dollar, ensuite les U.S.A. et enfin l'économie mondiale.

    (  C'est l'un des multiples scenarii possibles de l'explosion de l'économie-monde, bien d'autres sont envisageables, la faillite d'une banque ou d'une assurance trop grosse pour être faillie, le début d'une guerre civile aux U.S.A., l'effondrement d'une place boursière, en Europe ou en Chine par exemple, voire même un événement insignifiant mais significatif des instabilités économiques internationales......  )

    Nous plongeant dès lors dans ce chaos économique semblable à celui dû à une guerre de grande ampleur (de tous les flançais) qu'il me semble que vous entraperceviez, pouvant même nous conduire au retour général à la disette et aux tickets de rationnement, c'est pourquoi je ne cesse de donner ce conseil: faites vos réserves.

    Dès lors, je ne vois pas qui, lorsque surviendra cette faillite de l'économie-monde, des hommes et des femmes politiques actuelles, pourrait géré une telle situation, sinon un personnage tel que Monsieur Asselineau détenant, en lui, l'ensemble des outils institutionnels, administratifs et politiques pour en avoir une vision d'ensemble.

    C'est le motif principal pour lequel j'ai adhéré à son parti (n'allez pas croire que je P1010825.JPGvoudrais que vous fassiez de même, là n'est pas la question, je ne fais pas du prosélytisme pour l'U.P.R., et, en aucun, cas je ne vous ferais cette sotte injure, je respecte part trop votre intelligence pour agir ainsi).

    Or, et c'est cela qui me fait dire que le-dit programme ne pourra pas être en plein suivit,  ce sera à cause des très nombreuses urgences auxquelles le gouvernement d'alors se devra de faire face au devant de cette crise première, que seules les mesures les plus symboliques et utilitaires seront prise.

    Il en sera ainsi de la renationalisation des services publics, ce qui sera aisé puisque leurs possesseurs actuels seront tous ruinés et, pour une large part, disparus, du retour au franc, du déblayage des lois, constitutionnelles ou pas, liées à  une U.E. vidée, elle aussi, de son substrat et détruite, et aux oligarques néolibéraux eurolâtres et américanolâtres ruinés, puis à la votation rapide de nouvelles règles comme peut l'être le référendum d'essence populaire.

    (  Étant entendu que, bien sûr, il faudrait qu'à ce moment là François Asselineau et l'U.P.R. prennent le pouvoir.

    Il serait à penser que quand le système de globalisation heureuse ne sera plus, la majorité des élus du R.E.M., idéologiquement fragiles, fuiront et que leP1020011.JPG gouvernement de la France se sera vidé se sa substance, hormis quelques personnalités aujourd'hui des plus discrètes.

    Quand à notre président, je crains qu'il subisse un choc psychologique violent dû à la surprise, lui qui, en cela, est d'une grande fragilité, d'autant plus que nous pouvons facilement supputer (bonjour madame) qu'en raison de ce que j'appelle un effet Peter généralisé, il ne doit recevoir que des informations tronquées, voire fausses.

    Suivra donc un moment de chaos ou ne subsisteront qu'une partie des députés, là nous pourrons percevoir qui est sérieux à l'Assemblée Nationale, le sénat, par contre, restant, dans sa grande majorité, présente.

    Suivant la loi, si le Président de la République disparait de son poste avant la fin de son mandat, c'est le président du sénat qui se retrouve à gérer les affaires courantes, le temps d'organiser de nouvelles élections.

    Des partis politiques restant à peu près valides, Je n'en vois que peu: l'U.D.I., la F.I. et l'U.P.R., tous les autres auront explosé en vol, Monsieur Mélenchon, quand à lui, pouvant gravement décompenser.

    Les effets de cette banqueroute généralisée seront gravissimes, en un premier jet  j'en avais conceptualisé ceux me semblant les plus destructeurs ici.

    Le mieux serait, dès lors que ce chaos total se sera installé, chaos largement incompris par une bonne part de la population, à ce que de nouvelles élections présidentielles et législatives s'effectuent.

    P1020045.JPGMais l'état, à ce moment là, en aura-t-il les capacités ou le président du sénat devra-t-il  nommer un gouvernement provisoire de quelques mois le temps que la situation  commence à se rétablir?

    Je ne saurais le dire.  )

    C'est donc, à mon sens, cela que, confusément, vous pressentez, sans que vous ne l'ayez clairement conceptualisé, ce serait dès lors pourquoi vous avez considéré comme limité l'ensemble programmatique de l'U.P.R..

    Ce que je vous propose, si tant est que vous lisiez ces lignes, c'est  que, vous et de vos amis qui comprendraient la difficile situation future dedans laquelle nous nous retrouverons tantôt, vous réfléchissiez de votre coté aux considérables implications que mènera cette banqueroute généralisée (ce qui est bien c'est qu'il est possible de le dire de diverses façons).

    Parce que, voyez-vous, de ne faire que penser seul à cela ne peut que restreindre ma perception de la chose.

    Maintenant allons voir ce qui me fais dire que, dorénavant, la France est sauvée des multiples et destructeurs effets de l'imbécile néolibéralisme sous égide finissant de l'empire U.S., des oligarques nationaux et internationaux, de sa perle coloniale racornie qu'est l'Union-Européenne et

    Il est des choses étranges dans la vie, ainsi, parfois, notre pire ennemi peut nous sauver et notre meilleurs ami nous perdre.

    Tel en est le macronisme-philippard et les radios-élément du R.E.M., héritiers des deux dernières législatures qui en avaient préalablement déblayé le terrain, aussi et surtout d'une pensée politique qui se révèle en réalité gravement archaïque et n'en est qu'à n'en exprimer que les mêmes ânonnements de ceux-là qui, le temps passant, en sont devenus vieillards: Attali, Cohn-Bendit, B.H. Levy, Gattaz, Le Pen, même combat!

    Et oui, Monsieur Macron comme tous ceux qui l'entourent, comme l'a très bien dit Emmanuel Todd, ont une pensée de vieillard et ne sont en rien dans la modernité.

    Mais bon, il n'est plus le moment de penser un présent qui peut rapidement passer au passé, est venu celui où nous devons réfléchir à un effondrement économique qui, reculé depuis 2008, a accentué tellement les déséquilibres de toutes sortes que ses effets en seront terribles.

    Or, la France est prête autant qu'elle pourrait l'être si nous songeons aux décisions absurdes que l'équipe de pieds nickelés nous servant de gouvernement prend.

    Mais pourquoi donc considérerions-nous pouvoir gérer au mieux une telle catastrophe future, dont il est impossible de déterminer la date, le processus et ses effets réels?

    Parce que nos oligarques et leurs séides nous servent sur un plateau la peur, chez les classes-moyennes intermédiaires à hautes, qu'engendre l'action gouvernementaleP1020077.JPG directement lié aux G.O.P.E. de l'U.E., peur, angoisses même de déclassement en raison de ce néolibéralisme forcené de ceux-ci.

    Classes-moyennes intermédiaires à hautes qui sont le socle sur lequel repose leur puissance et qui s'évanouit au même rythme que les élus du R.E.M. fuient à grand pas les bancs de l'Assemblée-Nationale.

    Classes-moyennes qui même si elles furent abruties par la masse propagandiste à laquelle elles furent exposées, n'en restent pas moins la nouvelle et future élite du pays, ce qu'elle avait inconsciemment compris lors de la manifestation suivant l'attentat du Bataclan et de Charly Hebdo.

    La peur leur devenant ainsi bonne conseillère, elles en viennent déjà à douter du bienfondé de ce qui se fait appelé la construction européenne, en ne se laissant plus bercer par les petites historiettes qui leur sont contées à ravir par des médiats télés et radios en venant à être, comme les journaux, de plus en plus déconsidérés.

    Et oui, nos bonimenteurs patentés en sont devenus à se caricaturer eux-mêmes, devenus sourds et aveugles aux soubresauts économiques et politiques, ne faisant que débattre de thèmes à mille lieues des nécessités de la population, de toute la population, ainsi que de la terrible épreuve qui se profile à l'horizon.

    Ils rêvent, pour les raisons indiquées aux textes précédents, et ne peuvent parler de l'Union-Européenne sans que leur idolâtrie ne les trahisse.

    Mais ce n'est pas seulement ce réveil des classes-moyennes qui me fait dire que la France est dorénavant sauvée, bien que cela soit d'un premier point d'importance dans l'idée que j'exprime ici: la France n'est pas morte.

    P1020109.JPGD'une certaine façon, la vente internationale à vil prix de notre savoir-faire et de nos usines nous met dans une autre nécessité, celle de devoir réinventer l'industrie.

    Deuxième point également centrale dans ces réflexions.

    En fait, notre désindustrialisation ne peut qu'être pour nous une chance, la même que pour la Russie d'aujourd'hui, pays dont nous sommes très proche.

    Ne nous le cachons pas, reconstruire un tissu industriel dynamique ne sera pas une mince affaire, et s'il n'y avait seulement que l'industrie, ça irait encore, mais les chantiers qu'il faudra ouvrir seront nombreux et divers, dont celui d'un renouvellement du journalisme dont vous et vos amis, mam'zelle Tatiana, participez, comme d'autres, à la reconstitution.

    La simple existence de personnes comme vous montre, justement, que les germes de cette reconstruction sont déjà présentes, ce qui rend évident ce second point positif sur le sujet qui nous intéresse ici.

    Le troisième point est que, dorénavant une recomposition politique, qui ne peut qu'être que provisoire, se met en place, avec des débats, il est vrai, essentiellement centré sur la nature et les instabilités de l'Union-Européenne.

    En cela il y a cinq pôles:

    1) L'U.E. est indépassable telle qu'elle existe, position de l'équipe macronienne, des partis politiques, journalistes et autres experts officiels;

    2) L'U.E. est mal construite et doit être réformée et si cela ne peut pas se faire, il faut, au bout du bout, en sortir, ce qui est la position de F.I.;P1020105.JPG

    3) l'U.E. est une mauvaise chose en soi et le pays doit en sortir au plus vite par l'activation de l'article 50 du traité de l'union, ce qui est la position de l'U.P.R.;

    4) Il existe aussi, partant de ce principe, ceux qui préfèreraient une sortie sèche de l'union, à la hussarde si je puis dire;

    5) Il y a ceux qui, comme moi, pronostique un effondrement catastrophique de l'économie globalisée qui ne pourra qu'emporter cette union dans sa tombe.

    La dernière position n'ayant quasiment pas d'écho, ce qui est logique.

    Déjà que toutes les autres positions se pensent dans un monde inchangé, imaginer qu'il serait possible qu'il disparaisse d'un coup est, pour une majorité de gens, très, très, très dérangeant, j'en ai encore fait l'expérience juste hier.

    Je n'ai lu de texte de ce type que d'une seule personne, un certain Dimitri Orlov, un américain né en Russie soviétique expliquant les processus d'effondrement, traduit par le site Dedefensa, où j'y trouve trois confirmations de ce que j'affirme depuis quelques temps:

    -Les U.S.A. se replient sur leurs bases antérieures d'avant 1945;

    -Ils craignent une guerre civile;

    -Ils veulent détruire l'Union-Européenne.

    Le fait que ce pays puisse devenir communiste, même sous une forme atténuée, je l'avais suggéré dans plusieurs de mes textes, il y a longtemps et je ne me souviens plus où.

    P1020029.JPGMonsieur Orlov ne parlant, pour l'essentiel, que de la Russie et des Etasunis, en comparant la situation passée du premier à celle présentement du second.

    Quoi qu'il en soit, je n'ai pas, pour l'instant, trouvé nul part de site qui, comme je le fais, en analyserait les effets en France, dont celui de la destruction consécutive de l'U.E. après, voire avant celle de la globalisation monétariste joyeuse.

    Bref, ces débats laissent à prévoir une reformulation politique que Marianne ne peut qu'approuver.

    Artistiquement, il y a un frémissement, je le sens encore largement en jachère, mais ça frémit, et ça c'est un quatrième point d'une grande importance.

    Bien que gravement affaiblis, la police, l'hôpital, l'armée, l'université, la science et, pour partie, l'administration, tiennent encore, parfois avec des bouts de ficelles mais ils tiennent, c'est le cinquième point qui importe aussi.

    En sixième point, le maillage communal des mairie et aussi des départements n'est pas encore détruit par l'Union-européenne, parce que lors de cet effondrement, ce sera là que se situera les premières adaptations à la nouvelle situation: le maire d'abord, le préfet en prenant la suite.

    Septième point et toujours autant d'importance, le retour au patriotisme, et n'allez pas croire que celui-ci ne se résumera aux seuls français de souche, loin de là.

    Ce retour je l'ai senti lors de vos interventions vidéos et il est logique et naturel.

    Enfin voilà, nous pouvons considérer Marianne sauvée, la France se reconstruira, avec moult difficultés, il est vrai, mais elle n'a pas disparue, elle n'est pas défunte, et, sous peu, elle réémergera de nouveau, différente que par le passé, c'est évident.

    Contrairement à ce que les fâcheux voudraient nous faire croire.

    Mais cela ne veut pas dire que nous ne devrions pas faire nos réserves, tout auP1020107.JPG contraire...

     

     

    THEURIC

Nous avons tous la responsabilité d'être, avec nos faiblesses et nos forces, mais nous devons, dès maintenant, lutter contre cet obscurantisme béat qui nous enserre et nous étouffe. Seul le questionnement de notre monde, de ses vérités, nous le permet.