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  • Nos maître étasuniens.

    Pourquoi en voudrais-je à nos maître d'être ce qu'ils sont?

    N'est-ce pas le fait de tout empire d'être dominateur?

    Si nous avions voulu être indépendant, nous le serions et le Général De Gaulle nous en avait montré la voie.

    Mais nous avions voté pour ces traites à la cause gaulliste que sont Messieurs Pompidou, Chirac et Sarkozy.

    Monsieur Giscard-d’Estaing, lui, était atlantiste et ne l'a jamais caché.

    Monsieur Mitterrand avait fait avec ce qu'il avait en main, le seul reproche qu'il serait possible de lui faire, rétrospectivement, c'est de ne pas avoir osé rompre d'avec la situation d'alors, mais aurait-il été compris, aurait-il été suivi?

    Les communistes de l'époque étaient encore bien trop liés avec l'U.R.S.S. puis se sont égarés dans des considérations oiseuses d'accord avec le P.S. et aujourd'hui le Parti de Gauche n'a pas encore saisi pleinement cette domination étasunienne.

    Voilà, rapidement résumé, notre passé, discutons du présent pour, ensuite, aborder notre futur.

    Nous sommes, de fait et de jure, une colonie américaine, tout comme le sont tous les pays de l'Union-Européenne, le nier c'est faire preuve d'une crasse bêtise ou d'une naïveté affligeante.

    Culturellement, institutionnellement, voire constitutionnellement (au travers des lois de l'U.E.), militairement, économiquement, politiquement, où que nous nous tournions nous pouvons percevoir la domination U.S. mais je l'ai dit, tout cela est normal si nous posons le point de vu américain.

    Non, ceux qui considère, comme moi, que cela n'a que trop duré et nous met dans d'incommensurables dangers doivent commencer par le commencement, c'est à dire s'extraire totalement du poids et de la démesure culturel anglo-américaine.

    Je propose donc, pour faire ce nettoyage, pour débuter, de ne conserver de ces anciens maîtres que ce qui constitue la réelle puissance culturelle américaine, soit, à quelque exceptions près comme peut l'être un grand tel que Mickael Jackson, peut être le dernier grand américain, de ne conserver, donc, que l'art américain jusqu'aux années 80, le reste, poubelle.

    (Bon, c'est vrai, j'exagère peut-être un peu, disons que la qualité des créations américaines est directement proportionnelle à notre éloignement dans le temps, mais pour la France c'est bien pire encore, et quand j'écoute ces godelureaux chantant en anglais, en plus de me demander que sont les Amériques devenus, qu'est-il donc, aussi, de la France devenue.)

    Ensuite, il nous faut nous défaire de tous ces anglicismes idiots qui envahissent autant nos bouches que nos oreilles, vulgarités crétinisantes dont nombre de nos présentateurs d'émissions débiles ou de journalistes télévisuels ponctuent avec cette gourmandise béate la moindre de leurs phrases, comme une avidité et une crânerie professionnelle en nous démontrant leur vide abyssal de cette vulgaire vanité.

    N'employons plus la langue anglaise que comme langue internationale ou scientifique en sachant que cette langue, dénaturée par les étasuniens au grand dam des anglais, est déjà dépréciée et concurrencée par la langue française aux États-Unis-d'Amérique même, comme hier cela se fit du latin au profit du grecque ancien.

    Revenons au Français, dans sa complexité, dans sa subtilité, abreuvons-nous de ce que nous sommes et nos erreurs, chaque erreur sera un petit pas vers notre indépendance.

    Parce que pour lutter contre une colonisation nous devons avant tout culturellement lutter!

    Ensuite, ne considérons plus les étasuniens comme Dieu le Maître et le Père parce qu'ils sont devenus fous, fous à lier, complètement délirant, déjantés, insensés en nous entrainant dans leurs aventures rocambolesques et dangereuses, en Ukraine et en Syrie, entre autre...

    Débarrassons-nous de cette pensée néolibérale grotesque et ruineuse qui a envahi tant d'esprit et faisons rentrer les banquier dans les rangs comme on rentre un chien dans sa niche!

    Non le français n'est pas qu'un commercial ou un responsable des ressources humaines, non il n'est pas un chômeur ou un employé mal payé, non nous n'avons pas à rembourser des dettes injustifiées, parce que provenant de notre désindustrialisation, à des margoulins de la haute finance dont beaucoup sont ressortissant de notre pays, eux qui payent si peu d'impôt, eux qui viennent ensuite pleurer à la télévision ou dans les bras de notre Président de la République, eux qui sont les premiers responsables de cette déroute économique.

    Cette colonisation est d'abord le fait de nos élites, élus ou non, et de partis politiques, sous ce joug accepté, il y en a quatre:

    -Le P.S.;

    -L'U.D.I.;

    -L'U.M.P;

    -Le F.N..

    Voyons ensemble, maintenant, notre futur possible.

    En vrai, il ne s'agit là que de deux seules mais forte remarques dû à deux tendances possibles lors de l'effondrement de l'économie-monde et donc des étasuniens, de la disparition de leur puissance, voire de leur pays:

    -La première consistera à vouloir à toute fin, pour notre nation, de devenir le maître qui a disparu, de devenir une Amérique qui ne sera plus, sous des formes divers, culturelles, politiques, (toujours) idéologiques, militaires ou autre et il nous sera difficile de nous y retrouver entre ce qui sera nous et sera ce eux fantasmé;

    -La seconde serait la tendance collective ou de nos seules élites de rechercher de nouvelles dominances, de nouveaux maîtres, allemands, russes, chinois ou autres dans cette peur maladive, cette angoisse, cette détresse de devoir décider et agir seul, de notre propre chef, de part notre propre intelligence, notre liberté, notre indépendance, notre émancipation.

    Ce seront les deux pièges dans lesquels nous risquerons de nous enfoncer!

     

     

    THEURIC

     

  • Réflexion sur les crashs économiques.

    Après chaque crash, des systèmes de compensations et de corrections se mettent en place, c’est pourquoi aucun ne ressemble à ses précédents, je dirais même qu’il ne serait pas étonnant que pour pouvoir repérer le prochain, il faut écarter de l’esprit les processus annonciateurs des précédents.


    C’est pourquoi chaque crash est spécifique dans son développement, l’un est lent, le suivant rapide, l’un a son épicentre en Asie, l’autre en Amérique, l’un est centré sur la haute technologie, un autre sur des prêts hypothécaires… .


    En revanche, rien ne peut se faire sur les causes premières de ces crashs parce que ce serait remettre en cause, plus que des mécanismes économiques, une idéologie, un dogme, le néolibéralisme, largement partagé par les élites politiques, économique, journalistiques et populaire, pas seulement occidentales, ce dogme étant une structure psychique collective mondialisée.

    Ce sont ces structures psychiques collectives qui sont l’origines premières des bulles spéculatives, ensuite viennent divers formalisme d’actions qui y sont intimement liés qui, à la longue, produiront les crashs.


    Il est toutefois à relever que plus le temps avance, plus les crises deviennent importantes, s'enflent, et, comme toute crise, ce sont les suites qui deviennent de plus en plus désastreuses.

    C'est en raison de ces effets destructeurs que, par réaction, sont mises en place des tentatives de compensation par l’organisation de corrections de ce qui avait semblé être la ou les causes de cette dernière crise.

    Causes apparentes parce que, en réalité, effets de la cause susnommée, l'effet ayant été confondu avec sa cause.


    Or, comme tout processus de compensation, cette tentative se révèle toujours veine, puisque du fait de l’origine même de ces crises, de leur cause première, il serait nécessaire, pour qu’elles soient réglée, de remettre en cause l’idéologie qui les sous-tend.


    De plus, ces compensations tendent à accentuer, ensuite, encore plus, les déséquilibres économiques créateurs de ces bulles spéculatives générant ces crashs, d'où l'amplification, au fil du temps, des crises, conséquences de cet accentuation de ces déséquilibres.


    De plus, l’une des particularité de notre époque, en plus d’un nombre en augmentation des personnes se détournant, d’une manière formelle ou informelle, de ce dogme, du moins de ce que j'en sais en France, j'ignore de ce qu’il en est pour les autres pays européens ou non, l’une de ses particularité, donc, c’est le nombre effarant de bulles spéculatives s’étant développées depuis six à sept ans, et ce un peu partout dans le monde.


    Je suis sûr n'être au courant que d’une toute infime partie de celles existantes étant donné que le déséquilibre entre richesse et pauvreté ne peut que créer des bulles spéculatives, divergence entre richesse et pauvreté en accroissement constant.


    Nous avons donc là quatre versants que nous devons prendre en compte pour comprendre ce phénomène de crashs suivi de crises et leurs répercutions chaque fois démultipliées: l’inéluctabilité des crashs, leur amplification au cours du temps, leurs aspect destructeur des économies et, surtout, leurs caractères évolutifs et, dès lors, imprévisibles, du-moins pour leur date de survenue.


    Nous devons prendre aussi en compte un dernier fait:


    A la direction des grands groupes financiers, de quelque type que ce soit, ce que j'ai montré peut être facilement perçu étant donné le nombre important d’informations qui y transitent et la formation, souvent universitaire qu’ont pu recevoir ces dirigeants.


    Les plus conscients ou les moins joueurs ont très bien compris que nous étions entré dans une phase extrêmement dangereuse, c’est pourquoi un certain nombre d’entre eux ont démissionné et sont partis ailleurs.


    Ne restent plus, dès lors, que les plus inconscients (les plus fous?) à la direction de ces grands groupes avec tous les dangers que cela représente.

     

     

    THEURIC

  • Questions à Monsieur François Hollande, Président de la République Française.

    Monsieur,

     

    Pourquoi, vous, homme sensément de gauche, vous alliez-vous et vous aliénez-nous, en Ukraine, à des groupuscules néonazis, composants du tiers du gouvernement provisoire ukrainien?

    En cela, certes, vous n'êtes pas le seul en Europe.

    Devons-nous, en tant qu'électeurs, en tenir compte et en quoi?

    Est-il normal qu'un pays, le nôtre, une union, paraît-il démocratique, aide un régime nazi, que cela cache-t-il?

    Êtes-vous sûr de la probité de l'action américaine dans cette région?

    Que veulent les américains, l'ont-ils obtenu?

    Est-ce vrai qu'ils ont emporté l'or de la banque centrale ukrainienne?

    Quel y est notre intérêt propre?

    Pourquoi obéissez-vous aux américains?

    Qu'y font nos avions de combat en Pologne?

    Pourquoi sont-ce des socialistes et, dès lors, vous-même, qui entérinent le contrôle internet des flux d'informations par l'armée, serions-nous en état de guerre?

    Et si oui, contre qui?

    Les russes ont-ils oui ou non vendu leurs bons du trésor américain et si oui, quel pourrait en être les conséquences?

    Êtes-vous sûr de vos présupposés théoriques en économie, présupposés déjà largement exploités depuis des décennies avec des résultats plutôt destructeurs, voire calamiteux?

    Votre pack de responsabilité ne consisterait-il pas d'exacerber la même politique économique qui, depuis des décennies, nous a montré sa patente inefficacité?

    Pourquoi ne pouvez-vous pas vous extraire d'un champ dogmatique, dit néolibéral qui, plus le temps passe, plus nous montre son caractère autodestructeur?

    Pourquoi vous êtes-vous laissé, sans  rien dire, injurié par Monsieur Obama, injures qui, au-delà de vous-même, nous a tous atteint et profondément sali?

    Pourquoi suivre des États-Unis-d'Amérique qui ne savent plus, comme seule politique, que faire des coups foireux et ne donner que de l'injure, du parjure et du mensonge?

    La France n'est-elle, pour vous, plus que cela?

    Pourquoi laissez-vous, vous homme de gauche, les médiats officiels adouber et aider le Front-National et censurer des partis politiques qui, bien qu'encore d'une faible écoute, sont, tout du moins, de réels partis démocratiques?

    Quel est le lien entre le Front-National et les journalistes en vu?

    Quel est le lien entre le Front-National et l'Union-Européenne?

    Quel est le lien entre les puissances d'argent et les banques et le Front-National?

    Quel est le lien entre les U.S.A. et le Front-national, connaissant ce qu'il s'était passé au Chili?

    Ces liens sont-ils de votre gré ou non?

    Croyez-vous vraiment qu'il y ait une différence entre les présupposées économiques du P.S., de l'U.D.I., de l'U.M.P. et du F.N.?

    Pourquoi voulez-vous faire survire l'euro, quitte à tous nous ruiner, vous avec?

    Êtes-vous sûr que l'Union-Européenne survivra aux années qui viennent à l'année qui vient?

    N'êtes-vous pas dans une position d'où il est possible de s'extraire des pensées de groupe?

    Ne devrions-nous pas définitivement quitter l'Union-Européenne et l'euro?

    Ceux nous annonçant, en ce cas, le pire des désastres sont-ils bien sûr de ce qu'ils disent vu que cette situation ne s'est jamais présentée dans l'histoire?

    Ne sont-ils pas les mêmes qui, par leurs nombreux conseils et actions, nous ont conduit au bord de la plus terrible défaite économique de la longue histoire de notre pays, peut-être, dores et déjà, de sa ruine?

    Ne craignez-vous pas de vous retrouver dans une situation analogue, et non pas similaire, au roi Charles X en 1830, 27, 28, 29 juillet de cette année là, dites des trois glorieuses (je n'ose penser Louis XVI)?

    Ne devrions-nous pas revenir à une république réellement démocratique plus proche de la III° république que de la V°?

    Êtes-vous homme de gauche?

    Bien à vous,

     

     

    THEURIC