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  • Pour qui je conseillerais de voter et DE ne pas voter?

    Il y a quatre partis politiques pour qui il ne faut surtout pas voter:

    -Le Parti Socialiste (c'est un crève cœur que de l'écrire);

    -L'union des Démocrates et Indépendants;

    -L'Union pour un Mouvement Populaire;

    -Le Front National.

    Sauf à considérer que l'Union-Européenne et la gouvernance actuelle  a une quelconque valeur, ce qui est le droit le plus strict de chacun.

    Mais n'oubliez pas que l'U.E. est, de jure et de fait, chapeauté par notre bien trop cher Oncle-Sam aux embrassades étouffantes et une Allemagne aux tendances bismarkiennes d'antan, le marteau et l'enclume quoi.

    Il y a trois partis politiques qui, chacun à sa façon, lutte contre l'Union-Européenne:

    -Le Parti de Gauche;

    -Debout la République;

    -L'Union Populaire Républicaine.

    Personnellement j'ai un certain attrait pour ce dernier mais je trouve que ces trois partis se complète bien.

    Il est à remarquer que les deux derniers sont d'essence gaulliste bien que le troisième soit, à mon sens, plus radical, plus bonapartiste dans le meilleurs des tendances.

    Chacun de ces trois partis ont leur blog nominatif:

    -Monsieur Jean-Luc Mélenchon;

    -Monsieur Nicolas Dupont-Aignan;

    -Monsieur François Asselineau.

    Je visite régulièrement chacun de ces trois blogs, ils sont tous fortement instructifs et, là encore, se complètent bien.

    Il est a remarquer que Monsieur Asselineau n'est pas présenté sur Wikipédia en français mais en anglais, en allemand, en espagnol et... devinez quoi... en espéranto.

    La censure serait passée par là mais chuuut, il n'y aurait pas de censure, nous serions en démocratie..., ce ne serait qu'un vaporeux fantôme, hou, hou.

    Je vous l'ai dit, l'U.P.R. est le plus radical et vous verrez qui se présente pour ce parti aux prochaines élections européennes, une surprise, et j'ai eu la même pour le D.R..

     

     

    THEURIC

  • Façon de réflexions sur les contrôles des flux internets.

    A n'en pas douter, de par les discours que je tiens, un œil informatique doit être jeté sur mes écrits, peut-être bien par les services d'écoute français, assurément par ceux des américains.

    Que les services français m'aient lu me paraît normal puisque, dans plusieurs de mes fictions, j'ai imaginé notre Président de la République dans des situations, il est vrai, plutôt avantageuses pour lui, moi qui aie, il y a peu de temps, écrit un texte à son attention.

    Je ne serais pas surpris, également, que les services américains me lisent, vu mes remises en causes continuelles de la domination de notre maître sur notre état, sur notre pays et sur nous, le peuple.

    Mais ce maître est bien malade et cette écoute forcenée des textes du monde le montre: un pouvoir puissant n'a que faire de tous les petits écrivaillons qui, de leur chambre, gesticulent et vocifèrent, surtout au vu du faible nombre de leurs lecteurs, de 10 à 1 500 par mois.

    De dire cela me met-il en danger sans savoir si il existe vraiment et de quelle sorte il pourrait être?

    Mais allons plus loin dans cette façon de réflexion sur ce service d'écoute et la faiblesse constitutive actuelle du pays qui l'abrite, les U.S.A..

    En vrai, j'ai grande pitié pour les américains, même pour leurs plus grandes fortunes, tous se retrouverons bientôt nus de tout bien en revivant un far-west et une guerre de sécession plus terrible encore que ceux d'il y a cent cinquante ans.

    Alors, imaginons ce que pense celui recueillant de mes textes, des vôtres et de tous ceux écrivant dessus chaque clavier, imaginons comment cela se passe là-bas.

    Écartons le rideau, écoutons et voyons...

     

    Ce moindre des employés contemple autour de lui la triste pauvreté de la pensée des chefs.

    Amély passe rapidement en emplissant son parfum de ce pur bonheur, sans un regard, craintive, aussi, ici tout le monde a peur, ces chefs sont bêtes mais méchants et se font plaisir de tourmenter l'employé.

    Pourquoi faut-il toujours que cette bêtise s'allie de méchanceté?

    Pourquoi faut-il que ce ne soient que des niais qui commandent ici.

    Voyant et comprenant comment se délite une société sous ses yeux, il comprend d'un coup ce qu'il se passe réellement chez lui.

    Lui n'a même plus le choix, comme là-bas en France, d'une attente de fin d'empire, il n'a plus juste que celui de s'armer ou de s'enfuir, il n'a même plus celui de la révolte.

    "Viens, traducteur, va en France, la cuisine y est bonne et les femmes jolies."

    Lui murmure une petite voix du tréfonds de son âme.

    "Ou pars te réfugier dans des réserves indiennes, seuls lieux où encore la paix serait peut-être permise parce que là-bas ce ne sera pas le chacun pour soi et le sauve qui peut."

    Mais comprendra-t-il, ce cher traducteur, arrivera-t-il à s'arracher de cette peur tenace qui le fait partir au travail l'angoisse au ventre et le fait trembler chaque fois qu'un chef passe?

    Et pourtant il a tout compris, lui, cet amoureux de la langue française, de sa culture, de son histoire et se ruine de vins, de livres et de foies gras.

    Et puis, pourra-t-il s'éloigner de ses livres, ses chers livres, ses délectations, sa culture, sa vrai culture?

    Il a compris les terribles chemins de traverses, lui qui aime autant son pays, son Amérique, qu'il dévore le foie gras et ses chers et tendres livres, le bon pain français qu'il trouve si loin de sa maison, boit ce vin de fortuné et écoute la musique du temps ancien d'une Europe glorieuse.

    Il sait mais ne comprend pas pourquoi ce savoir vient à lui, il ne comprend pas et souffre de son intelligence et se cache.

    Alors il reste là et reste silencieux, se tait de crainte et de l'incompréhension des autres, sourit quand il faut, rit plus fort que les autres, mange quand on mange de ce n'importe quoi qui fait gras et fait gros et boit ce café qui n'a plus jamais de nom.

    Il se cache à tous en étant devant eux.

    Et traduit parce qu'il avait été choisi pour ça, qu'il aime ça et peut-être aussi parce que c'est son rôle, le seul qu'il lui ait été offert, un peu, un tout petit peu d'une reconnaissance, les miettes d'une renaissance.

    Mais au plus profond de lui il sait que ce n'est pas sa vie, une voix le lui a dit, cette même voix qui se rit de lui quand il fait ce n'importe quoi, une voix qui est lui en son plus profond de Soi, qui s'est assoupit et se réveille ainsi, qui lui dit qu'il est bien plus que ça.

    Lui, ne sachant pas vraiment qui il est, où est son Soi.

    Lui, paraissant si discret, évanescent, transparent, furtif, effacé, il lui est même attribué du bête le sobriquet de "bonhomme invisible".

    Si tous savaient mais le sait-il lui-même qui réellement il est?

    Il ne sait pas encore que de comprendre ouvre les portes et anime les chemins, que le seul futur se trouve au présent quand on en comprend la trame subtile du passé.

    Alors, il traduit encore et encore, des notes débiles, des manuscrits sublimes, des pages sans raison en de pure verbiage ou de délicats contenus aux sens lumineux.

    Mais de traduire ainsi il sait que son monde est fini à jamais, il l'a lu mainte fois, sa patrie est perdue pour toujours dans un jeu obscur qui enfonce peu à peu son pays dans le puits sans fond des erreurs cumulées...

    Alors il ne sait que faire et que dire, continue de traduire, et encore, et encore et de s'oublier ainsi, lui.

    Et peine à vaincre sa peur, de l'oublier aussi.

    Que faire?

    Va-t-il fuir ce prochain désastre comme le firent d'autres, ces cadres des banques déconfites aux semblances de vaillance?

    Ou rester là à traduite encore plus de ce que ces grandes oreilles et ces gros yeux globuleux gobent à longueur de temps d'en espionner le monde.

    Et d'attendre que ce monde gobe à son tour son pays ruiné de s'être voulu se croire enfin empire lorsque l'autre, le concurrent, était un jour redevenu Russie.

    Il remarqua la poussière, la moquette est sale, même la saleté ne craint plus l'Amérique.

    "A quoi je sers", se dit-il, "ici, à rien!".

     

    Quittons-le maintenant, laissons cette solitude, cette tristesse, cette brisure, refermons le rideau, partons à pas de loup...

     

     

     

    THEURIC

     

     

  • Essai de réflexion sur le néolibéralisme.

    Il ne s’agit plus de savoir si il faut ou non sortir du capitalisme, il s’agit de savoir si le capitalisme, ou plutôt son aspect pervers et grimaçant qu’est le néolibéralisme, va ou non exploser, et ce avec sa suite logique: la ruine universelle!

    Nous ne sommes plus en 1929, 2014 n’a absolument rien à voir avec cette période, elle est pire, infiniment pire.

    Plus encore, elle est autre.

    Ce qui est le plus remarquable de ce néolibéralisme, c'est le total manque de planification dont il est porteur, aucun de ses représentants n'a une quelconque idée de ce que peut être une projection dans le temps.

    Ainsi, la doxa néolibérale ignore totalement ce que pourrait être une stratégie, c'est à dire d'avoir une vision portée vers un but futur et la réflexion sur les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir.

    C'est toute réelle approche stratégique qui manque, donc, aux néolibéraux avec ce que cela pourrait entendre de planification et de logistique et même si leurs représentants, qu'ils soient banquiers, politiques, gestionnaires de fonds, journalistes en vu et tous les autres acteurs peuvent laisser à penser une conduite planifiée, ce ne sont que des  calculs à courtes échéances et des tentatives pour corriger des excès qui, de ce fait, ne peuvent que cycliquement revenir.

    Jusqu'à ce que ces dérèglements ne conduisent à l'effondrement de l'économie-monde.

    Deux exemples symptomatiques en sont:

    -Le bricolage fait dans l'urgence lors de la quasi banqueroute mondiale en 2008 par ponction sur les impôts européens et étasuniens (je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres régions du monde) pour renflouer les banques.

    Ponctions et, dès lors, appauvrissement accru des peuples et des états, ce qui empêche de renouveler cette opération et conduira, par là même, à une catastrophe lors de la prochaine déroute économique;

    -La pantalonnade ukrainienne où les U.S.A. et l'U.E., dont la France, l'Allemagne et la Pologne, nous ont montré leur amateurisme, voire leur insuffisance en n'osant pas dire sottise, autant d'une pensée à long terme mais, surtout, d'une action dans le très court terme.

    Ce qui permettra à la Russie de Monsieur Poutine d'engranger, dans quelque temps, bons nombres d'avantages géostratégiques pour la Russie mais, surtout, géopolitiques, lui laissant, à terme, totalement libre le passage de la Mer Noire à la Méditerranée et le respect dû aux plus puissants de la part des anciens pays de l'est.

    Sur ce sujet, n'allez pas croire la désinformation, la propagande de nos médiats officiels, eux qui s'égarèrent, au début de cette crise, en invitant des gens sérieux qui comprenaient et nous montraient vraiment la situation, ces médiats qui maintenant n'invitent quasiment plus que des brèles ne répétant que de la bien pensance, ces chers médiats qui, encore maintenant, oublient de révéler la réelle nature du pouvoir ukrainien actuel: nazi.

    En observant cela, nous comprenons facilement cette rengaine médiatique, leur propagande effrénée pro-Front-National, de même puissance que celle menée pour nous faire croire le gouvernement provisoire de Kiev démocratique, lui qui est composé pour 1/3 de nazis, leur étrange haine viscérale pour la gouvernance russe, leurs cachotteries au sujets les délires et contradictoires égarements diplomatiques américano-européens.

    Allez voir, sur l'Ukraine, l’excellent blog de Monsieur Berruyer, vous y trouverez des informations des plus captivantes:

    http://www.les-crises.fr/

    Nous pouvons nous demander, encore une fois, si le Front-National est l'allié objectif des néolibéraux!

    Et Monsieur Poutine se devrait d'être un réel démocrate pour être haït à ce point!

    [Tous les homme et les femmes politique français qui ne disent rien sur ces sujets ne sont plus d'aucun intérêt pour notre nation, sauf ceux qui, dans le temps le plus proche, exprimeront les raisons de ces empêchements (une manipulation?), il en est de même pour les partis politiques P.S., U.D.I. et U.M.P. ainsi que leur supplétif F.N. .

    Cette faiblesse constitutive du néolibéralisme et de ses représentants, leur impossibilité de se projeter dans l'avenir en bâtissant une stratégie, montre une psychologie particulière, infantile, immature qui se doit d'être impérativement étudiée.]

    Étudions maintenant la tactique néolibérale.

    Une tactique, normalement, doit appuyer une stratégie en raison sa souplesse.

    C'est cette souplesse tactique qui permet à une stratégie de s'adapter à l'évolution des événements.

    Une tactique est donc l'action du moment en réaction à un événement présent, il s'agit donc d'un ajustement aux circonstances, qu'il soit ou non adapté.

    Une tactique est donc réactive à la conjoncture quand la stratégie est active puisque pensée en aval de cette conjoncture, voire bâtisseuse de cette conjoncture ou structurant et/ou simplifiant un ensemble complexe de conjectures.

    Mais lorsqu'il n'y a plus de stratégie, de cette projection de l'action pour un but futur, n'en restera-t-il donc que la seule tactique?

    En fait, la stratégie existe toujours mais, si elle n'est pas reconnue pour ce qu'elle est, elle devient inconsciente et, de ce fait, pulsionnelle.

    (Hormis pour de rares sages laissant à leur inconscient le soin de cette projection vers un but et ses actions afférentes en une confiance absolue en eux-mêmes.)

    C'est pourquoi il est dit qu'un menteur est sans mémoire, le menteur compulsif, sans stratégie d'action d'ensemble, l'est, menteur, pour contrebalancer ce manque de structure psychique et, dès lors, d'action.

     C'est cette inconsciente stratégie qui fait le danger de l'époque actuelle et, surtout, m'assure du prochain effondrement économique mondial.

    Nous devons également tenir compte d'un deuxième facteur, le même qui a définitivement et irrémédiablement détruit l'U.R.S.S. que j'ai appelé le "Principe de Peter Ultime" et que j'ai défini ainsi:« Dans une hiérarchie où, au plus haut niveau, l'incompétence domine, ce sont tous les échelons hiérarchiques qui se trouvent progressivement être accaparés par des incompétents ».

    Réflexions multiples sur la géopolitique et réfutation d'un risque de complôt ainsi que de la théorie du complôt.

    Comment voulez-vous que des incompétents aient une stratégie quelconque?

    Comment voulez-vous que des personnalités, parfois intelligente, ayant laissées à leur seul inconscient le soin de la stratégie sans être pourvues de la sagesse suffisante, puissent avoir la moindre des stratégies et donc la moindre vision d'avenir?

    Les incohérences et égarements destructeurs et quasiment suicidaires de nos décideurs deviennent ainsi compréhensible et même logiques.

    L'aspect enfantin, capricieux des réactions des élites économiques aussi.

    Ainsi, nous pouvons nous demander si le seul but des américains n'aurait pas été "d'emprunter" l'or ukrainien avec un jeu qui les aurait dépassé.

    Si les cinquante milliards d'économie ne seraient pas qu'une vue réduite de ce que peut être une économie et une société et si cela ne risquerait pas de renverser le régime actuel.

    Si l'aide des médiats pour le Front-National et ce qui ressemble à une alliance de ce parti avec l'Union-Européenne ne montrerait qu'un même fonctionnement mental de leurs élites: néolibéraux.

    Si nos deux derniers Présidents de la République n'auraient pas été adoubés par les "investisseurs" pour n'être que rejetés ensuite, comme un enfant jette son jouet de lassitude et par caprice (Monsieur Sarkozy a tout de même reçu quelque subsides de Goldman Sash après une allocution).

    Si la "constitution européenne" n'avait pas été conçu pour empêcher, par avance, toute réforme du fonctionnement de l'U.E. sans percevoir que cela ne pourra que générer des frictions entre les gouvernants et les gouvernés et, surtout, ne risquerait pas la disparition pure et simple de l'U.E..

    Si toutes les privatisations, dans notre pays, n'avaient été, là encore, que de vagues caprices de nos argentiers relayé par nos politiques aux ordres.

    Si les revendications ahurissantes et délirantes du M.E.D.E.F. ainsi que de ses semblables n'étaient pas que des enfantillages d'enfant gâtés et capricieux de personnes ne connaissant plus aucune limite.

    Si plus personne, de nos responsables politiques des partis dit de gouvernement plus F.N., ne croient plus en une quelconque idéologie, hormis celle de la seule comptabilité, en disant et faisant n'importe quoi sans vraiment se soucier des résultats calamiteux de leurs paroles et de leurs actes.

    Si les jeux extrêmement dangereux joués dans les bourses internationales ne serait pas, là encore, l'impossibilité totale des investisseurs pour comprendre qu'il puisse y avoir des conséquences de leurs actes, cela leur est totalement impossible comme cela peut l'être pour un jeune enfant.

    Il en est de même des salaire que les P.D.G. de banques, de grands groupes industriels et de fonds-d'investissement qui sont inversement proportionnels aux résultats de leurs entreprises sans qu'aucune personnalité politique d'envergure ne réagisse, seraient-ils complices?.

    Les exemples peuvent se poursuivre à l'infini et chacun d'entre vous peut en trouver de nombreux marquant cette impossibilité intrinsèque qui est leur de comprendre la finalité de leurs actes et toutes les petites mains qui gravitent autour d'eux, tels que les commerciaux, sont structurés et éduqués de la même façon.

    De plus, ils sont absolument déconnecté de tout esprit de culpabilité puisqu'ils se jugent de leur bon droit, eux qui trahissent et leurs fonctions, et les personnes ayant leur confiance.

    Ces gens immatures auxquels nous avons donné  tout pouvoir, et là se trouve notre responsabilité à tous, sont hors de toute pensée adulte mais font preuve, paradoxalement, d'une forme de sincérité de part leur fonctionnement infantile.

    Et comme des enfants, ils ne comprendront rien lorsque leur jouet, l'économie mondiale, disparaîtra.

    Ils poursuivrons leurs actions amorales et anti-éthiques tant que nous ne serons pas parvenus à la ruine universelle.

    Ensuite, ce sera à nous de tout reconstruire et de les mettre en prison.

    Mais peut-être serait-ce cela qu'ils recherchent?

     

     

    THEURIC