Bien entendu, je vais un petit peu commenter les événements se passant en France, mais je vous propose aussi quelques idées, dont une ou deux, je le conçois, risque de surprendre.
Triple remarque sur les processus probables de l'inconscient individualiste:
Certes, l'individualisme c'est cette idéologie infantile considérant la jouissance égoïste infini comme étant d'importance primordiale pour tout Être Humain.
Nous pouvons aussi percevoir cette doctrine comme étant la résultante historique d'une "démocratisation des signes de pouvoir, de puissance et de richesse", soit que chacun d'entre-nous puisse agir de même sorte que l'imagerie ordinaire montre des seigneurs et rois d'antan, puis des bourgeois, se faisant servir par nombre de serviteurs, et luttant tous contre tous pour un peu plus de pouvoir, un peu plus de richesse.
Ce que nous pouvons encore voir lors des gesticulations des richissimes rachetant par ci, revendant par là, qui un morceau d'entreprise, qui des dettes d'état, dans ce besoin irrépressible de montrer à ses paires une fortune inutile mais bien plus grosse que le voisin.
La démocratisation des signes de pouvoir, de puissance et de richesse se montrant, ici, entre-autre, par le remplacement des serviteurs de ces seigneurs et bourgeois passés, par l'achat, la possession et l'usage de "biens de consommation" succédant, sensément, aux-dits serviteurs, sous forme de machines, robots, aspirateurs automates..., jusqu'aux automobiles qui prenaient, antérieurement, la place des carrosses et autres nobles voitures hippomobiles, mais qui, aujourd'hui, sont devenues totalement indispensables pour le déplacement de chacun.
Même lien que nous pouvons faire avec les produits stupéfiant, hier réservés aux classes aisées dominantes et maintenant pouvant être utilisés par n'importe qui, en voici donc une démocratisation stupéfiante.
Mais il me paraît important que nous portions aussi notre attention sur deux autres causes de cet individualisme actuel.
Le premier en étant nos habitats, que ce soit le pavillon refermé sur lui-même et ceinturé de murs ou l'appartement d'où personne ne connaît aucun voisin une fois la porte de palier fermée, habitats situés le plus souvent dans des villes d'importance, forçant chacun d'entre-nous à rester centré, solitaire, essentiellement sur notre moi-je, notre seul entourage proche, famille et amis, quand nous en avons.
Enfin, il y a la grave mais logique acculturation, provenant de ce que les sociétés humaines furent contraintes de s'expatrier dans des villes plus ou moins grandes, générant plus ou moins d'isolement, quand il y a peu encore, moins de cent ans en Europe et en Occident, moins de trois décennies ailleurs, nos ancêtres étaient pour une large majorité d'entre-eux, d'humbles paysans vivant dans de petits villages où chacun connaissait chacun, au moins de vue.
Acculturation provenant de cette rupture humaine d'avec ce passé proche, d'avec son ordre, ses habitus, ses us, ses fêtes, ses croyances, d'une révolution des sociétés des hommes sans que les esprits n'aient eu le temps de s'y adapter, à la recherche d'une modernité dont la seule qui fut servie fut celle propagée par des médiats souffrant souvent des mêmes maux, l'individualisme, mais en pire.
Réflexion sur des intelligences non terrestres, si elles nous rendent bien visite:
Je le conçois, faire sujet de ce thème peut paraître osé, mais si des militaires français en firent un rapport sérieux à bien des égards, c'est que de se pencher sur cette matière ce n'est pas faire preuve de loufoquerie, de chimère ou d'attrait pour le surnaturel (à ce propos, le terme même de surnaturel est idiot puisque ce qui existe est naturel par essence, même les productions humaines, ou n'existe tout simplement pas) mais bien avoir une approche réaliste de notre monde.
Pour qui suit de temps en temps des émissions ou articles là-dessus ou se promène sur internet, peut percevoir qu'il y a un nombre important de formes d'O.V.N.I. différentes, dans l'ensemble elles peuvent se catégoriser en trois, en un long tube, en une soucoupe, en un chevron ou un triangle.
D'autant plus que chacune de ces formes peuvent se conjuguer de différentes manières, eut égard tout de même, des canulars, illusions et autres erreurs de jugement.
Cela ne pouvant que vouloir dire que deux choses, soit il s'agit de peuples différents, peut-être nombreux, soit ces visiteurs sont d'une seule espèce, et se retrouveraient dans une phase de transition sociétale où une technologie est en train d'en remplacer une autre pour eux sur la voie de l'obsolescence.
Toujours est-il que ces visites doivent être, pour eux, d'importance, pour nous étudier, évidemment, mais cette étude pourrait s'effectuer par un nombre restreint d'engins, or il semble ne rien en être.
D'autant plus que, pour toute société technologique, plus encore que le matériel, le coût en énergie est d'une importance fondamentale, c'est ce quoi fait et forge une économie, et quand bien même ces êtres auraient une science inconnue pour nous et seraient capable de voyager à une vitesse bien au-delà de celle de la lumière (300 000 KM./S, tout de même), l'énergie dépensée devrait être considérable et les questions d'infrastructure et d'intendance complexes (même à cette vitesse, il faut tout de même du temps pour aller d'un point à un autre).
Selon l'un des principes de la vie, du-moins telle que nous la percevons sur Terre, rien ne se fait sans intérêt, je ne pense pas qu'il en soit différemment sur d'autres planètes aux formes de vies divers et autres, même intelligentes, surtout intelligentes, les intérêts devenant de fait plus nombreuses et complexes.
J'émets même l'idée que les intérêts d'une espèce, tant en nombre qu'en complexité, sont directement proportionnelle avec son degrés d'intelligence.
Alors, me semble-t-il, les questions fondamentales que nous devrions nous poser à leur propos devrait être: quel est leur intérêt à ainsi se montrer régulièrement à nous, par incident, par volonté, par ruse ou pour toutes autres raisons?
Et également: combien d'êtres différents est-il possible de décompter?
Cela ne pouvant se faire qu'en relevant l'ensemble des observations sérieuses de par le monde, la forme des engins, leur moyens de propulsions visibles ou inconnus...etc...
Ce qui me surprend le plus c'est que les seuls êtres répertoriés auraient deux bras, deux jambes, une tête, deux yeux, qu'ils aient de formes très "humaines", donc, humanomorphe, cela ne correspondant en rien de ce que nous savons des processus évolutifs, beaucoup plus imaginatifs que cela.
C'est ça, plus que tout autre choses, qui me fait dire que, si ils existent et nous rendent visite, et il y a de très forte chance que ce soit le cas, ceux de ces êtres qui ainsi se baladent au-dessus de nos têtes ne peuvent qu'être multiples aux formes différentes, à la biologie et la structure mentale tout autant, alors, les a-t-on envoyé comme éclaireurs, ces humanomorphes, pour ne pas nous effrayer?
Mais je suis certains qu'il ne peut qu'y avoir des invariants chez toutes ces races intelligente non humaines, la capacité d'agir sur son milieu (comme pour nous les mains) et celle de pouvoir communiquer et échanger avec ses semblables (nos langages) seraient, à mes yeux, les plus important parce que le ferment de toute société constituées.
De plus, peuvent-ils échapper aux relations de pouvoir, aux rapports de force, aux questions d'organisations et d'intendances, aux conflits et à leur résolutions, aux processus décisionnels, aux problèmes des échanges à l'intérieur des sociétés de chacune de ces races et entre inter-espèces?
En fait, peuvent-ils faire l'économie de la politique, de la guerre et de l'économie?
Petite approche d'une stratégie spatial:
Au vu des rapides évolutions qui déterminèrent nos sociétés depuis deux à trois siècles, et les guerres de grande ampleur en furent, quoi que nous en disons, d'incroyables accélérateurs, la prochaine qui se profile déjà, même si nous ne pouvons pas savoir exactement quelle forme elle prendra ni quels en seront, précisément, les belligérants, l'espace sera, à n'en pas douter, la quatrième arme qui apparaîtra inéluctablement, après celles de terre, mer et air.
Suis-je belliciste?
Non, tout au contraire, ne faisant que considérer le stress social intense d'échelle planétaire provenant de l'explosion technologique, de l'acculturation puissante des sociétés, de l'incroyable surpopulation actuelle (7 300 000 000 d'Êtres Humains sur Terre, environ), des nombreuses empreintes anthropiques dont les pollutions ne sont pas les moindres et de cette faillite universelle dont je ne cesse de vous mettre en garde, tout cela ne pouvant que conduire à une conflagration qui se pourrait bien se révéler être d'échelle mondiale.
Or, les deux guerres mondiales montrèrent qu'une confrontation de très grande ampleur (de tous les français) entre des forces équivalentes, accélérerait de manière quasiment exponentielle les avancées scientifiques et, surtout, technologiques.
Déjà la surveillance satellitaire d'une flopée d'engins spatiaux automatiques est devenue d'une importance géostratégique centrale, voire vitale, dès que tout pays a acquis une certaine puissance internationale.
Chacun d'entre-nous fut aussi informé des divers tentatives pour détruire de ces satellites espions, de la part de nations ayant en main une expérience dans la propulsion d'engins au-delà de la stratosphère.
Tenant cet ensemble en une cohérence réflexive, la détention de capacités de s'extraire au moindre coût de l'attraction de notre planète pour y envoyer des hommes remplacer des machines facilement destructibles, ne pourra qu'être qu'envisagé, dès le moment d'une confrontation armée mondialisée se fera jour, si, bien sûr, une telle éventualité survient.
Logiquement, dans un premier temps, ces machines habitées n'occuperont que l'orbite basse, puis, progressivement, elles s'éloigneront jusqu'à ce que les premières stations s'installent sur la Lune et que des véhicules spatiaux occupent divers positions géostationnaires.
En fait, tout dépendra du coût humain, énergétique et industriel pour les belligérants, ainsi que de la vitesse de déplacement de ces véhicules, ainsi que des découvertes qui se feront dès l'instant où ces lignes sont écrites.
Brèves méditations sur les manifestations dues au rejet populaire de la loi du travail dite El Khomri:
J'ai une profonde commisération pour Madame El Khomri, la même que je pourrais avoir pour tout lampiste.
Cette petite dame a-t-elle bien conscience qu'elle fut choisie plus pour la consonance de son nom que pour ses qualités?
Quoi qu'il en soit, personne ne peut dire jusqu'où les grèves et manifestations actuelles peuvent mener.
Et ces événements, quels que soient leur aboutissement, ne pourrons que gravement fragiliser l'Union-Européenne.
Il est tout de même surprenant que l'Union-Européenne s'échine ainsi à proposer aux pays sous sa coupe la même politique qui ruina le Royaume-Uni, les allemands et bientôt l'Allemagne.
Cette tendance autodestructrice d'une fédération européenne sous l'égide germanique (vieux rêve hitlérien, déjà) et la domination étasunienne, fait qu'elle part en vrille et rien ni personne ne peut arrêter sa chute.
Pour l'instant, tout semble simple et clair pour le gouvernement, les grèves et manifestations sont entravés de divers façons, d'ailleurs, je me demande si il n'y a pas des mouches aux Q.G. des syndicats, mais ceux-ci font montre d'une stratégie d'ensemble jamais vu jusqu'à présent.
A croire que le syndicalisme a évolué depuis celui de grand-papa.
En fait, dorénavant, c'est l'Allemagne qui pâtit de tout affaiblissement de l'U.E..
Avec sa Deutschbank au bord de la crise cardiaque, sa perte de production industrielle, logique si on songe qu'elle a ruiné tous ses clients européens, son intransigeance anthropologique et délires ontologiques habituelles, sa totale mainmise sur une Union-Européenne perdue de voir son maître États-Unis-d'Amérique péricliter et disparaître devant ses yeux, la Germanie mène son fantasme enfin aboutie d'un empire de Charlemagne réuni..., à l'éclatement généralisé.
En vrai, se révolter contre notre gouvernement de ces lois imbéciles est inutile, ce serait comme s'indigner d'un valet ne faisant qu'obéir à son seigneur, certes, celui-ci obéit, mais le premier responsable est bien le donneur d'ordre, c'est à lui qu'il faut s'adresser et, au-delà du bureau européen, celle qui tient les gouvernes c'est Madame Merkel et, sous couvert, les banques allemandes et françaises, puis anglo-saxonnes.
Ces banques anglo-saxonne qui, sous la protection de Tonton Sam, n'ont plus qu'une idée en tête, pomper, avaler, absorber, se goinfrer, ingurgiter le plus de richesses possibles des pays de l'union dans leur tentatives illusoires de survivre à leurs délirantes avides turpitudes.
Enfin, ce qui est le plus rigollot, c'est que toutes ces décisions inutiles et absurdes ne pourront qu'accélérer cette désindustrialisation mondiale, ce qui ne pourra que ruiner toutes ces banques et mettre l'ensemble de ces énergumènes au chômage.
Chacun son tour, non?
Pour finir cette petite réflexion, ne trouvez-vous pas étrange que Monsieur Mélenchon passe si souvent dans les médiats?
D'ici à ce que l'eurogroupe, ce machin qui n'a aucune existence définie et aucun pouvoir légal (mais qu'est-ce que la légalité pour les thuriféraires de l'Union-Européenne), l'eurogroupe, donc, ne veuille rejouer les mêmes épreuves de forces avec le père Mélenchon qu'il avait réussi avec monsieur Tsipras, il n'y a pas des kilomètres.
THEURIC