Parce que nos sociétés deviennent autant complexes que fragiles, étant entendu que complexité et fragilité sociale pourraient ne pas aller de paire, nous ne pouvons plus nous permettre d'élire des imbéciles à la tête de nos états.
Nous avons tous une responsabilité collective, de fait, en France, d'avoir élu ces équipes incompétentes qui, depuis des décennies, de GOPE en GOPE, par vile, obtuse et flemmarde obéissance à l'Union-européenne, ont ruiné notre pays, détruit nos infrastructures, déstabilisé gravement l'état, désindustrialise la nation, appauvrit la population, toute la population, et affadit ce qui fait la politique, la république, la chose publique.
Parce que nous sommes tous responsables d'avoir écouté sans cesse des médiats dogmatiques et aux ordres qui n'ont que de cesse que de nous plonger dans l'angoisse, la seule façon pour eux de conserver leur pouvoir sur nous, en désignant nos amis comme étant nos ennemis, la Russie, et nos ennemis comme étant nos amis, l'Allemagne et l'administration bruxelloise, Bruxelles prenant des relents de la Vichy d'antan.
Mais aussi en nous déversant de fausses informations créant inquiétude et tourment, à l'exemple de ce qu'il se raconte d'un réchauffement de l’atmosphère dû aux 0,5 % de CO2 dans l'air, je pense que nos descendants se foutront de nos gueules.
(Je vous conseillerais d'aller y voir cette vidéo de François Asselineau qui, bien que partisane, mais qui ne le serait pas au sujet de l'UE, n'en est pas moins informative, et je suis sûr que des professionnels des questions juridiques et monétaires, après quelques recherches, n'y trouverons rien à en redire, quel que soit leur approche politique.
Vous y comprendrez que l'annonce faite par Bruno Lemaire, notre censément ministre de l'économie, d'un déblocage de 500 milliards d'euros par l'UE, n'est que la poudre aux yeux (bien que j'y préfère le terme de miroir aux alouettes, vieille réminiscence de mes lectures de BD enfant: Zor et Mlouf contre 333, celui qui connait ça soit à plus de 60 ans et lisait Vaillant, l'ancêtre de Pif Gadget, soit est un rare vrai fana de BD).
il fallait que l'union ponde un truc qui ne recevrait pas un veto de l'Allemagne et de la Hollande, d'où cette mouture tarabiscotée qui ne fera que renforcer l'opinion publique, surtout italienne et de plus en plus française, que, définitivement, ladite union ne sert à rien qu'à ruiner les peuples européens et à empêcher les états de conduire leur propre politique.)
Prenons enfin les leçons de la chose: nous nous devons de nous éloigner définitivement d'une union débilitante qui, d'avoir été une créature impériale des États-Unis-d'Amérique, n'en devient pas moins celle d'une Germanie y prenant le pouvoir au fur et à mesure que la thalassocratie outre-atlantique s'affaiblie.
Cela fait des siècle qu'elle nous emmerde, l'Allemagne, disons-lui au-revoir et laissons là à ses rêves infantiles de toute puissance, qu'elle s'y épuise toute seule, comme une grande, et tournons nous résolument vers le monde, l'UE tendant à nous en isoler.
Quittons aussi l'OTAN qui, de guerre en guerre, mène nos troupes, aux effectifs de plus en plus réduits et aux armements vieillissant, dans des aventures dont nous n'avons que faire.
Et quelle catastrophe cela nous coûterait-il de retrouver notre indépendance au jour où nous nous apercevons, en Italie entre-autre, qu'aucune promesse tenue par les promoteurs unionistes ne sont valide?
Certes, les premiers temps seront compliqués, il nous faudra réindustrialiser notre nation, retendre un tissu agricole convenable, rouvrir des mines, refaire une monnaie, un nouveau franc, recomposer notre administration désorganisée par les olibrius aux commandes, réparer nos infrastructures...
Mais qu'est-il préférable, laisser ces crétins d'unioniste, ces demis-fascistes, tous partis confondus, désagréger la France jusqu'à ce que nous devenions un peuple en voie de développement, ou partir de ce machin inutile, destructeur et dangereux, retrousser nos manches, fermer nos frontières comme le font les suisses et ne plus jamais laisser quiconque nous dicter nos orientations politiques?
REM, PS, LR, EELV, PCF (c'est ça le pire)... ne seraient-ils pas tous d'un même combat: soutenir et obéir à l'Union-européenne en toutes choses, même aux pires, par idéologie pure, par opportunisme, par dogmatisme niais?
Sans jamais, au grand jamais oser faire la moindre référence à l'union et de nos obligations d'y obéir, parce que sans elle ils ne seraient plus rien qu'une ombre fantomatique, ne deviendraient plus que quelques mots dans les livres d'histoire, disparaîtraient pour toujours de la scène politique.
Eux et leurs agents propagandistes des médiats officiels, audio, télés et papiers, ne peuvent faire que mentir, comment pourraient-ils faire autrement pour se justifier de leurs manques, autant d'intelligence, de jugeote, de vertu que de caractère?
Nous n'avons plus que des êtres falots dans ces médiats, sur les bancs de l'Assemblée Nationale et au pouvoir exécutif, la preuve en est devenue flagrante depuis le début du mouvement des gilettistes, évidente depuis le début de la pandémie mondiale au coronavirus.
Parce qu'il faut être bête et méchant pour obéir à l'union, les autres de nos élus, les plus subtils et perspicaces, s'étant réfugié dans les communes, départements et régions.
Ces bêtas sont tous, ou presque, devenus des macro-lepennistes!
Il nous faut donc chasser cette caste éreintée, chasser notre état profond, l'oligarchie strato-financière, cette haute administration à la morale évanescente, dont Attali, leur chef en pensée, ce vieillard qui disait, il y a encore quelques années, qu'il serait bien que les sociétés éradiquent leurs vieillards, cet homme aux idées folles qui nous conduisit à toutes les perditions, n'est plus devenu, lui aussi, que l'ombre de lui-même.
La France est une gérontocratie, le gouvernement des vieillard, sinon du corps, du-moins d'esprit.
Personnellement, comme j'ai pu le raconter part ailleurs, je suis adhérent et vote, dès lors d'évidence, pour l'Union Populaire Républicaine, que les journalistes cornichons dit facho quand, rarement, ils parlent de lui, mais qu'importe.
Il y a de forte probabilité que l'union se délitera d'elle-même, d'un coup, en surprenant tout le monde, et tel il en fut de la troisième république en ses débuts, il y aura une recomposition politique qui se fera d'urgence, tout comme il en sera d'ailleurs de celle d'un tissu industriel, agricole et minier.
Ceci sans compter un nombre inconnu de gens qui, en raison même de cette disparition, pourrait fort bien souffrir d'un stress post-traumatique pour certains violent, ce qui est déjà visible de par des réactions excessives et injurieuses de quelques commentateurs et autres experts d'opérette.
Tout comme il est possible de l'observer de la part de membres de la bande à croncron.
Cela en réaction directe à l'objective et absolue faiblesse de l'union face au vilain virus, doublée des insuffisances tangibles du gouvernement étasunien au-devant des mêmes agressions virales.
Monsieur Trump ayant, sûrement avec raison, beaucoup plus peur de la crise économique qui arrive, pouvant se révéler bien plus meurtrière que de cette pandémie au coronavirus, ad minima aux USA (l'épidémie d'obésité qui y sévit pourrait bien aussi s'y révéler désastreuse et, ce, sur ces deux tableaux).
En ces temps de confinement et puisque personne ne peut véritablement dire comment tout cela peut évoluer en ce moment, je conseillerais, aux partis politiques sérieux, aux mairie si possible, ainsi qu'aux groupes de gens plus ou moins formels au sein d'associations ou de cercle de vidéophiles traitant des informations notamment, de réunir quatre équipes complémentaires échangeant continuellement:
-La première s'occupant de formaliser les différents scenarii du probable au possible qui pourraient avoir lieu;
-La seconde ayant pour tâche de rassembler le plus d'informations possible tant à l'échelle nationale qu'internationale quelle fournirait à la première;
-La troisième devant d'y apporter des réponses au plus juste de ce qu'il faudrait faire ainsi que de quelles décisions prendre au regard de ce qui sera rapporté des deux équipes précédentes;
-La quatrième, enfin, sera là pour explorer les éventualités les plus surprenantes, ceci affin de ce que personne ne puisse se retrouver déconcerté par quelque événement que ce soit, sachant qu'en cela une nouvelle circonstance, non envisagé, peut très bien survenir à tout moment.
Les deux points forts, en cela, de l'UPR, réside tout autant des qualités professionnelles multiforme que recèle ce parti politique que de l'esprit indépendant, de libre penseur de ceux qui le compose puisque, pour nombre d'entre-eux, ils doivent se confronter aux jugements de valeur de leurs proches et de leur milieu, voire parfois, ce que j'espère rarement, à un rejet, en raison de leur adhésion à icelui.
Songez simplement au fait que Monsieur Asselineau connaît parfaitement les rouage de l'administration française et que Monsieur Brousseau est l'un de ceux qui, au monde, comprend en la façon la plus fine la nature de la monnaie, ceci au moment où, de leur hyper-production, leur grande majorité perd de leur valeur au même rythme que de leur dite production.
Je ne saurait clore ce billet sans aborder le registre du développement décisionnel de l'équipe dirigeante de la France, dite la bande à croncron.
Ses acteurs à la petite tête tendent à s'installer dans un mécanisme rassurant d'une sorte de routine confortable où, à leur sens, il ne suffit, maintenant, que de poursuivre la marche à suivre pour réduire la pandémie de COVID-19, puis, ensuite, une fois que cette affaire sera résolue, de continuer la même politique qu'auparavant.
Tous étant dans l'incapacité de pouvoir conceptualiser les événements futurs, comme j'ai pu l'expliquer en des billets précédents.
Qu'il arrive n'importe quoi, quoi que ce soit de nouveau et ils seront pris à contre-pied et, là, leur panique sera plus intense encore que précédemment.
Or, cette affaire laissera d'importantes traces de toutes sortes et, comme il se dit dans les médiats, pour une fois avec raison, le monde, la France s'en sortira différente de ce qu'elle fut avant, nécessairement.
Comment leur faire confiance quand, de l'hypocrisie se croise la pauvre sottise, Madame Ndiaye réussissant, à l'image de son chef, l’exploit de les réunir, ce qui, pour ses confrères, doit être considéré comme une qualité.
De cette vive incapacité foncière qu'ils nous démontrèrent dès le début de cette crise sanitaire, ce qu'ils remplacèrent par un infini déversement verbeux n'ayant de sens que d'essayer de se justifier de leur incompétence outrancière, nous ne pouvons qu'être de bon droit de considérer qu'il leur sera de plus, dans l'impossibilité la plus entière de pouvoir en gérer une autre, de crise, celle-là économique et financière.
Que nous en soyons conscient dès maintenant nous permettant de nous en prémunir un minimum en nous y préparant par quelques réserves de vivres, produit d'entretien et soin du corps, quelques argents plus de quoi faire un peu de troc.
Enfin, en achèvement de ce billet, je vous propose deux sujets plus psychologiques, voire pour le premier, métaphysique, dont la trame centrale est une forme d'ennui inconscient provenant du tréfonds de notre âme.
J'émets l'hypothèse, qui ne pourra qu'être controversé, que j'avais déjà déposé dans mon blog, que notre espèce, qui est la résultante de l'évolution de la vie datant de milliards d'années sur terre, c'étant vu se confronter, depuis les origine des premières bactéries, à des catastrophes récurrentes de toutes sortes, la dernière étant celle glacière ayant momentanément pris fin il n'y a que douze à quinze milles ans environ.
Parce que inscrite plus profondément encore que dans notre cerveau mais dans notre corps, notre espèce, donc, Homo Sapiens Sapiens, se trouve donc, suivant cette idée, déstabilisé dès lors qu'aucune de ces catastrophes, quelles soient naturelles ou non, ne vienne l'assaillir.
Et si cela ne se produit pendant un certain temps, alors un ensemble de mécanismes mentaux, inconscients, se mettent en place pour que, progressivement, nous nous conduisions inéluctablement vers quelques tribulations, malheurs et calamité qui, sinon, ne seraient jamais survenus.
En notre époque moderne, nos capacités destructrices, atomiques et bactériennes, sont telles qu'un conflit armé généralisé devient de fait impossible et, ce, depuis le début de la guerre froide, dès la fin des années 40.
Déclenché par ce manque, tout un ensemble de processus mentaux collectifs, dont le subconscient serait le soubassement, se sont mis en place pour qu'advienne un nouveau désastre centré, celui-là, autour de l'économie.
Un autre mécanisme mental pourrait aussi s'extrapoler, celui-là, ayant une origine provenant non pas de notre inconscient le plus profond, corporel, mais bien plutôt établi sur une base inconsciente plus sociale: nous avons besoin d'aventure.
En voilà l'affaire, tout autant spéculative que la précédente, mais toutefois détenant, à mon sens, une certaine logique.
Ceux de ma génération, j'ai 61 ans, tout comme la suivante et celle d'après a écouté les histoires fabuleuses et remplies d'effroi de nos aïeux contant leur guerre, celle de 14/18 pour mes aînés (j'étais très jeune au décès de mes arrières-grands-parents), celle de 39/45 (pour ceux qui vivent encore) pour nos contemporains.
Or, cela fait des décennies que de telles aventures ne sont pas survenues.
Certes, le cinéma, la télévision, les jeux électroniques peuvent nous mener à des frissons semblables, mais ils ne sont que virtuels et ne sont donc pas vécus en plein.
J'émets donc cette seconde hypothèse que, puisque le conflit armé ne peut, là encore, se produire, et vu que nous avons pu entendre et, disons le tout bas, rêver également de tribulations similaires, nous nous conduisons, non pas là seulement en Europe il est vrai, mais pour nous au travers de cette union débilitante, vers un cataclysme économique.
Ne serait-ce pour pouvoir raconter à nos enfants et petits-enfants, et/ou que nos enfants et petits enfants puissent raconter une crise sanitaire suivie de celle économique, mais aussi politique, que nous subissons actuellement, qu'ils écouteront avec avidité, en voyageant au loin, partis à l'aventure, dans leur vaisseau spatial dont nous n'avons pas encore idée.
Ce que viens de vous exposer ne retirant en rien de ce qui peut en être de réflexions plus classiques, cela va de soi.
THEURIC