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  • Le couvre-feu: une autre possibilité.

    Une hirondelle de fenêtre (Bélichon Urdicum)

    L'image semble, pour l'instant, à la parution, ne pas vouloir venir.

    Avant-propos:

    Cette histoire de couvre-feu est d'importance, autant en ce qui concerne chacun de ceux qui le vivent, de ce qu'elle veut en dire en tant qu'événement que de ses effets sur les populations.

    Je reviens sur ce sujet en raison de deux commentaires, relevés il y a deux jours et plus anciens que cela me semble-t-il (de trois à quatre jours antérieurs), que j'ai lu après avoir visionné la dernière vidéo de l'équipe du "Le fil d'actu" (poil au.......dessus, ouaf, ne vous ai-pas eu, hein? Petits coquins).

    Je les avais conservés sur mon traitement de texte, sauf le pseudo de chacun, vous allez comprendre pourquoi ceux-ci sont le fil rouge de ce billet, soit la tentative deP1050223.JPG notre consentement obéissant par manipulation, entre-autre, sous forme de ce couvre-feu.

    Je me dois de préciser que, plus encore que la liste que je vous avais proposée antérieurement comme raison de cette tentative de domination que nous vivons, liste que je vais vous redonner, celle de vouloir nous rendre obéissant est de celle me semblant première, sans en exclure les autres à mon sens complémentaires.

    Ce premier rajout est ce copier-coller d'une partie d'un mien billet publié le 2 Octobre qui sera déterminé en mauve, le second, en marron:

    1) De croire que c'est la même politique néolibérale, menée pendant des décennies, qui nous a conduit à ce fiasco funeste, qui pourrait résoudre nos problèmes;

    2) De ne pas vouloir voir, en un déni pathétique, que ladite politique mène l'économie mondialisée vers son arrêt totale, à la faillite US ainsi qu'à l'effondrement monétaire généralisé, de nous empêcher de le leur dire, de le clamer (c'est pourquoi je parle d'actions inconscientes);

    3) De ne pas vouloir assumer leurs fautes multi-décennales en une P1040123.JPGfuite en avant névrotique;

    4) De vouloir résolument placer un vaccin ou un traitement cher à la place de celui de l'équipe du professeur Raoult ayant fait ses preuves et peu onéreux;

    5) D'empêcher la population de se révolter en la traumatisant;

    6) D'obéir aux puissances économique mondialisées en nous menant à la crise économique dans ce fantasme montré plus haut;

    7) Enfin, pour la bonne bouche, en montrant au peuple que, ce coup-ci, nos baltringues agissent maintenant de manière concrète pour le protéger d'une pandémie qui, au fil du temps qui passe en ce début d'Automne plutôt frais, ne se révèle qu'encore moins dangereux qu'auparavant.

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    "La ministre des sports a révélé mardi 27 sept sur Europe 1 à 8h18 :" les décisions que prend le gouvernement ne sont plus dictées par la circulation du virus mais dans le but d'habituer les français à une obéissance" Vous pouvez vérifier mes dire. Après ça si vous n'avez pas compris la forte dérive dictatoriale ! ils ne s'en cachent même plus."

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    "Salut A Léonard! Alors après recherche, je pense avoir trouvé l'extrait deP1050407.JPG l'émission dont tu parles.

    Celle-ci date du lundi 28 septembre, mais l'heure est exacte. Roxana Maracineanu dit : " Si il y a un cas avéré dans une salle de sport, tous ceux qui sont en salle de sport seront considérés comme cas contact, et cela les pénalisera aussi dans leur vie personnelle et professionnelle " [...réaction de la journaliste étonnée de la démesure de cette mesure :) ].

    Puis : " Les décisions aujourd'hui ne sont pas prises en fonction d'une réalité qui serait celle de la circulation du virus, PUISQU'ON NE SAIT PAS COMMENT LE VIRUS SE TRANSMET (!!!), clairement aujourd'hui, les décisions qui ont été prises, c'est pour dire, dans votre vie personnelle et de loisirs, il faut continuer à être disciplinés comme vous l'êtes ..." etc.

    Je tenais juste à être exact, pour la forme ; ) Je met le lien de l'émission à suivre et l'intervention se fait à partir de 59:40 environ. https://www.europe1.fr/emissions/le-6-9/matthieu-belliard-avec-roxana-maracineanu-et-novak-djokovic-3994803."

     

    De qui cela provient-il? :

    Je ne pense pas le gouvernement capable d'un plan pareil, ni même d'avoir l'idée d'aller chercher l'entreprise, l'équipe capable d'une telle manipulation, c'est P1050919.JPGpourquoi je me suis demandé qui a ainsi ordonné aux autorités françaises d'agir tel, qui serait, de plus, dans la capacité technique de le mettre en place.

    Cette puissance ne peut provenir que de deux pays, l'Allemagne ou les Etats-Unis-d'Amérique, j'élimine la première puisque celle-ci détruit également son économie par des décisions analogues.

    Il est vrai que l'Union-européenne puisse également en être l'agent, mais quand bien même montrerait-elle une volonté de prendre son indépendance des états la composant, elle est constituée de personnalités trop timorées pour que cela devienne réaliste, je l'écarte donc tout autant (poils aux dents, ce qui arrive d'avoir fait minouchette à la dame de votre cœur).

    Ne reste donc plus que l'empire thalassocratique US.

    En sont sein deux forces s'affrontent (un petit peu similaires à une France dont les élites voudraient ressembler aux étasuniens): l'oligarchie bancaire et des GAFAM représentée par les démocrates, l'état-profond des services secrets et de l'armée représenté par les républicains.

    Si nous y rajoutons le fait que la BCE, la banque centrale unioniste, annonce l'arrivé de la monnaie purement électronique, soit la disparition de la monnaie papier, alors je pense que tout ce mic-mac est le fait des premiers, soit l'Amérique démocrate (et non pas démocratique).

    Si ce que je montre ici se révèle être exact, alors ceux-ci ont, tout naturellement faitP1050327.JPG appel aux services d'une entreprise de leur pays, sûrement spécialisée dans le psychosocial.

     

    De l'échec prévisible: l'histoire:

    Or, il est de fait que les structures anthropologiques des USA ne peut pas être les mêmes que celles, infiniment plus complexes, peut-être les plus complexes au monde, des européens et, plus encore, des français.

    Notre mémoire historique, alors même qu'elle n'est plus correctement instruite en France, n'en restant pas moins puissante parce que, justement, enfouie dans l'inconscient de part ce manque, est fortement présente en chacun de nous.

    Du-fait que les américains ne peuvent pas concevoir que les autres peuples puissent fonctionner autrement que ce qu'il peut en être pour eux, psychosociologues compris, les conseils que ces derniers donnent à nos pantins gouvernementaux ne peuvent que se révéler plus que contre-productifs.

    La raison en est simple à comprendre: le terme même de couvre-feu renvoie automatiquement à la seconde guerre mondiale, des français sous les bottes des nazis, et, pour les plus savants ou âgés, à la toute fin de la guerre d'Algérie lors de la monté en force de l'OAS.

    Or, qui dit guerre de 39/45, dit résistance, même si, surtout si, comme je viens de l'écrire, cela est devenu peu ou non conscient.

    P1050653.JPGTous ces crétins venant de réveiller brutalement ce qui, lors du début de cette pandémie, y avait été endormi, l'esprit de révolte des français sous forme, à l'époque, des gilettistes.

    Ce couvre-feu, de plus, touche désormais l'élite intellectuelle des grandes villes, même celle qui n'est pas astreinte à cette contrainte mais qui craint de s'y confronter, celle-là même qui fut le soutient du macronisme, ce qui génère en elle de la frustration la menant à rechercher les raisons pour lesquelles cela survient.

    Ne pouvant que la conduire à saisir, de proche en proche, l'origine de notre domination par l'imperium.

    Cela ne pouvant que la réveiller, c'est-à-dire de faire en sorte que la réalité commence à y être appréhendée, puis, le comprenant, de s'en indigner puis, pour certains, d'en faire naître un esprit de faction.

    Ceci au moment où la gendarmerie commence à en saisir la nature.

    Il est à noter que:

    -Tous les pays européens où sévis une situation analogue et qui, lors de la même période de la seconde guerre mondiale, voire de la guerre froide, souffrirent et souffrent de pareils maux, ne peuvent qu'avoir une réaction semblable à celle des français et, ce, pour les mêmes raisons;P1050026.JPG

    -De tous temps, même les pires régimes politiques ont toujours reçu le soutien d'une partie plus ou moins importante de la population.

     

    Deuxième échec: penser que ce serait la monnaie qui ferait l'économie:

    Si, comme je le conçois, le but recherché par les instigateurs de cette cruelle manipulation des peuples est de mettre en place une monnaie purement électronique, cela ne pourra qu'y conduire ses promoteurs vers leur ruine.

    Certes, ils éviteront, ces chers banquiers, une panique bancaire qu'ils craignent dès lors que le système économique mondialisé explosera, ceci par la grâce de ladite monnaie électronique, bien qu'il soit visible que nous ne pouvons plus que nous munir de billets de banque provenant des seuls distributeurs.

    Et il est possible d'en diminuer informatiquement la portion disponible pour chacun, ce qui est déjà le cas aujourd'hui.

    Qu'ils veuillent, nos chers olibrius, concocter une monnaie mondiale, elle aussi électronique, est tout autant fantasmatique et, ce, pour une raison fort simple que je ne cesse d'écrire ici: la monnaie n'est pas et ne sera jamais l'économie (je fus moins catégorique juste avant, à tort) mais juste le moyen avec lequel celle-ci se construit et se développe.

    P1040694.JPGC'est ce que nombre d'économistes nomment l'économie réelle, l'industrie, les fabriques, l'agriculture et les exploitation minières, liée à l'usage d'énergie et aux échanges marchands, ceci au sein d'état-nation aux frontières semi-poreuses, qui  forme et forge une économie, la monnaie, quelle que soit sa constitution, papier, métal, coquillage, graine de cacaotier, électronique ou n'importe quoi d'autre, sinon, ne représenterait que du rien.

    Ces plans, mis en place en Occident par ces chers grands argentiers de tonton Sam, ne faisant que creuser la plus que crise que nous vivons, ne peut que conduire à notre appauvrissement en tant que peuples consommateurs, ne pouvant qu'amener à ce que les pays producteurs voient leurs créations de richesse ne plus se vendre et dès lors être aussi ruinés, eux dont les travailleurs ont des payes si basses qu'ils ne peuvent acheter qu'une masse réduite de ce qu'ils produisent.

    Et ils auront beau, nos chers débiteurs d'âneries, vouloir à toute fin contrôler une bonne part de l'économie mondiale par l'électronisation de la monnaie que cela ne changera rien à l'affaire: si l'économie réelle s'effondre, ce qui arrive vers nous au grand galop et est déjà présent outre-atlantique, eux aussi seront ruinés.

    Ceci d'autant plus que le fait même qu'il songent mettre ça en place, cela veut dire qu'ils ne comprennent rien à ces mécanismes pourtant évidents.

    ( Vouloir remplacer ladite économie réelle par celle dédiée au tourisme dans un pays est tout autant stupide, ceci pour une simple raison, les usines, fabriques, terrains agricoles et mines restent en place tant qu'ils ne sont pas fermé et apportent à la population ce dont elle a besoin.

    En revanche, à la moindre anicroche quelconque, attentat, crise économique,P1050345.JPG catastrophe naturelle, grave problème politique..., la première chose qui saute c'est, justement, le tourisme.

    Ne faut-il pas être pourvu d'une connerie sans borne pour penser le contraire? )

    Quand à l'or, lui, ne se mange pas!

     

    Conclusion et compulsion de répétition:

    Il est étonnant de constater que mon hypothèse d'une compulsion de répétition tournant autour de l'achèvement de la guerre de 14/18 jusque vers la fin des années 40, soit le tout début de la guerre froide, semble tenir la route. 

    Ladite hypothèse suppose que, depuis dix à vingt ans, nous nous retrouvions à revivre, sous des formes différentes et sans ordre chronologique, ce que nos anciens ont eux-mêmes traversé en cette quarantaine d'années passée.

    Ceci pour réparer nombre d'erreurs que nos aïeux puis nous-mêmes avions (à réaction) commises.

    Ce phénomène répond à une sorte de demande collective inconsciente.

    Sa raison d'être, à mon sens, vient de ce que nous nous retrouvons bloqués sur tous les plans dans notre évolution et que ce processus avait débuté dès cette période.

    Rien qu'en science, il est à remarquer que la croyance c'est, pour une multitude de sujets, substituée à l'analyse et à la confrontation des idées (poils au nez).

    P1050282.JPGUne théorie, de plus en plus souvent confondue avec une hypothèse, n'étant plus si souvent que cela considérée comme pouvant être réfutable, donc pouvant être relise en question, suivre le principe de parcimonie, c'est-à-dire être la plus simple possible en prenant en compte le plus grand nombre, voire plutôt toutes les observations faites sur le sujet étudié, et de prouver sa valeur par son caractère prédictif (poil au pif).

    Si, en économie, je me permet de remettre en cause la vulgate habituellement discuté et mise en pratique, c'est que, tout simplement, j'en vois les effets délétères autour de moi et dans ma vie propre en en ayant cherché les raisons déjà expliquées, mais aussi que je me souvient du peu de ce que j'en avais appris des théories appliquées lors des trente glorieuses, qui était, en tout point, inverse de ce qui peut en être proféré aujourd'hui.

    Ces deux petits et rapides exemples montrant combien cette régression est importante.

    Certes et je n'en disconviens pas, la pollution pose problème, mais le discourt qui en est tenu est pour le moins mal-à-propos, le gaz carbonique n'est pas un poison ni la cause d'un réchauffement climatique qui est un phénomène plus complexe que les abrutis d'écolos gnangnan peuvent en dire.

    Croire qu'un réchauffement de la surface des océans puissent descendre à plus de 2P1020509.JPG 000 mètres de profondeur ce n'est plus de l'ignorance ni de la bêtise (rien que dans nos demeures l'air chaud monte et froid descend, il en est de même de l'eau) mais bien plus d'une croyance primitive.

    Quant à la politique, nous pouvons observer ces apprentis sorciers gesticuler en criant démocratie, démocratie, tout en nous montrant, jour après jour, leurs lourdes tendances totalitaires, ceci en terrorisant les gens.

    Et je plains les journalistes qui, lucides de tout cela, se retrouvent contraints par la nécessité de raconter les fariboles obligées au risque, sinon, du chômage.

     

    Donc:

    Je fais le travail que je me suis assigné et que je suis capable d'effectuer: j'explique ce qu'il me semble être la réalité telle que je la perçois, je fais ma part.

    A vous la vôtre, quelle qu'elle soit.

     

     

    THEURIC

    P1050842.JPGPS.: Vous qui, au nom de l'Islam, veulent agir de manière violente en écoutant ceux qui vous exhortent à le faire sans jamais qu'ils ne fassent la moindre action, en restant discrets tout en se cachant derrière l'écran de leur ordinateur et en n'assumant jamais leurs discours, leurs actes et prises de positions, croyez-vous vraiment que ce soient de véritables croyant ou ne seraient-ils pas plutôt des agents turcs, qataris ou US vous manipulant?

    Pour quelques petits profits, peut-être...

    Et puis, si de vivre dans la France laïc vous dérange, pourquoi ne déménageriez-vous pas, en Turquie, au Qatar, aux USA ou ailleurs?

  • Billet d'une heure: un couvre feu...

    Une abeille au turbin.

     

    Bonjour amis et inconnus lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Nous allons de surprise en surprise et l'imagination cocasse et insensé de notre gouvernement, en en accompagnant bien d'autres, ne peut que nous laisser pantois.

    Mais au-delà de cette chiche ironie me permettant d'évacuer mon agacement, ceci en raison de la vaporeuse extravagance de nos ribouldingues s'étant attribués cette vêture ministérielle qui leur est si tant et tellement grande qu'ils en viennent à se prendre les deux pieds et deux mains dans leurs pans.

    A s'en choir continuellement.

    Mais en sont-ils les seuls?P1060385.JPG

    Que nenni, chers lecteurs, l'Occident, de toutes ses forces d'avoir voulu suivre ce jeune vieillard cacochyme que sont devenus les Etats-Unis-d'Amérique, a, dans son ensemble, accouché de ses même vides têtes pensantes qui, tout comme les nôtres, nous démontre ardemment leur vide sidéral d'intellectualisation.

    Et il en est de même de leurs chambres délibératives d'où il est à penser qu'hormis ceux qui, s'apercevant de la geste légère de ces dirigeants dirigés par leurs dirigeants autant vaporeux que sirupeux, les fuient et se cachent en comprenant la vacuité dérisoire d'une gouvernance aux abois ne gouvernant plus que par oukases sans grand sens;

    Et il en est de même, dis-je, de ceux-là qui, s’asseyant séant toujours présent en leur poste électif, droite/centre/gauche en une unanimité catatonique, et nous font montre de disputes d'importances futiles, comme d'antan se discutaient les religieux byzantins au sujet du sexe des anges quand les turcs étaient déjà au pied des murailles de la ville.

     

     

    Couvre-feu:

    Ainsi a-t-il jailli dans je ne sais quel cerveau brumeux l'idée de mettre les grandes P1040944.JPGvilles française sous l'ordre d'un couvre-feu qui, cela est à noter, ne parait qu'à la suite d'une défaite militaire suivit de l'occupation par les troupes étrangères victorieuses, tel le Paris de 1940 à 1944, quand un coup d'état militaire se produit, comme il en fut dans la capitale du Chili, Santiago, en 1973, lorsque ledit coup d'état échoue ou à la suite d'émeutes incontrôlable et armées, aux Etats-Unis notamment, récurant.

    Nos olibrius français se sont donc permis d'installer un couvre-feu dans la capitale ainsi que dans les plus grandes villes et, ce, à l'occasion d'une pandémie aisément guérissable à peu de frais et n'ayant pas un caractère si dangereux que cela, à la morbidité moindre encore aujourd'hui qu'hier.

    A croire qu'ils voudraient, mais veulent-ils vraiment quelque chose, à ce que la ville lumière s'éteigne comme à l'époque où elle se trouvait sous les bottes de l'Allemagne hitlérienne.

    Ceci au moment même où ils s'aperçoivent, ces pauvres bichoumoumous, que leurs gesticulations ne menaient qu'à la ruine du pays, appelant, invitant, encourageant, convaincant, exhortant les gens à prendre des vacances pour que l'hôtellerie survive.

    Nous plongeant de fait dans une double contrainte, à laquelle nos ribouldouilles sont incapables autant de la concocter que d'y songer, en une façon d'injonction paradoxale:P1050314.JPG

    "Si la pandémie revient bien et que je pars en vacance en en étant atteint je risque de contaminer d'autres personnes, sauf si cette pandémie n'était pas si grave que cela et que je peux partir, quiet, mais alors pourquoi me signifier ces deux messages si contradictoires?

    Cela ne cacherait-il pas quelques plans nauséeux, quelques complots machiavéliques cachés?"

    Voilà ce que se dit chacun en lui-même inconsciemment.

    En fin de compte non, il n'y a pas de Machiavel chez nos nounouilles, tout juste il n'y a plus de commandant à bord, Castex est un premier ministre qui ne ministre plus rien, si tant est qu'il ait un jour ministré quelque chose, quand notre président cire ses propres pompes en se contemplant dans son miroir magique:

    "Médiat, mon beau médiat, suis-je le plus beau et le plus apprécié de tous les présidents?

    -Non," répondit celui-ci, "Trump et Poutine, eux, sont adoré par les foules!

    -Comment," s'insurgea notre démiurge tout puissant, notre génie des alpages, "que l'on fasse appelle à tous les journalistes aux ordres, qu'ils déversent sur eux mon courroux olympien en leur crachant dessus tous mes défauts que je ne veut voir...!"

    Et pendant ce temps là, le navire vogue dans les flots tempétueux d'une économie s'effilochant au gré des élucubrations pandémistes qui se font dire génies géniaux.

    Tout juste il y a-t-il, de temps en temps, une petite voix ministérielle moins sotte que P1050567.JPGles autres qui dit, qui implore: "Euh, je crois que le bateau coule, partez en vacance, peuple adoré, je vous en supplie, je vous en conjure."

     

    Le monde entier rétréci:

    L'un de nos pauvres saltimbanques télévisuels du verbe journalistique empli de fausseté, ouï naguère en une soirée tranquille par votre serviteur, faisait état de ce que le monde entier, lui aussi, luttait contre ce vilain virus aux forces amoindries et, de ce que j'ai pu en saisir, en faisait une liste exhaustive que voici: l'Allemagne, la Belgique, la Hollande, l'Italie, l'Espagne, la Grande-Bretagne, l'Australie, la Suisse, le Canada, le Brésil (en oublierais-je un ou deux?).

    Triste monde rétréci à si peu de pays et à ces moindres continents où même les Etats-Unis-d'Amérique en furent oubliés.

    Puis d'énumérer, presque par gourmandise, comme étant de pure normalité, quelques interdits malfaisants antidémocratiques auxquels les peuples se doivent de se plier, interdiction, chez-soi, de réunion familiale ou amicale de tant de personne, nouvelles réclusions, regroupement dans les rues tout aussi prohibé, fermetures de débit de boisson et de restaurant, obligation du masque sous peine de prison, et j'en omets...P1050230.JPG

    A croire que tous veulent assurément cacher à leur population le fait que, dorénavant et en raison des coupes budgétaires drastiques dans leur système de santé, il n'y a encore que moins de place de réanimation dans leurs et nos centres hospitaliers qu'au printemps dernier.

     

    Zeus commence par rendre fou ceux qu'il veut perdre:

    La folie, c'en est mon hypothèse de travail, s'est emparé de tout ce clergé américanolâtre néolibéral monétariste en diable.

    Dieu Amérique en dollar en en ayant choisi les plus insensés pour leur sacerdoce, se retrouve dorénavant à se coltiner une bande d'énergumènes dont personne ne peut dire la nouvelle bonne et ruineuse idée que chacun prendra.

    Là-bas, outre-Atlantique déclinant, les ânes démocrates et les éléphants républicains s'y disputent, bientôt peut-être bien les armes à la main, de savoir qui gouvernera le pays.

    Chacun mettant toutes ses forces dans la balance, il n'y reste plus personne pour se pencher sur les décisions malséantes des gouvernements de leurs colonies les plus proches d'eux, ceux sus-nommés.

    P1060040.JPGNe jetant qu'un œil rapide sur ce qu'il peut se passer dans ses possessions sans prendre le temps de leur donner quelle qu'ordre que ce soit.

    Sans plus de gouvernail, ces dernières partent à vau-l'eau, se laissant bercer par ces forces mystérieuses de la fadaise la plus crue les menant vers tous les outrages.

    Ailleurs, partout, l'on regarde mi goguenard, mi consterné, cette fuite éperdue de ces gouvernement semblant devenir fou.

    Il n'est que la France, quand nous aurons enfin retrouvé notre destin, quand nous serons enfin sevrés des étouffantes embrassades constrictors de Tonton Sam, quand enfin nous seront libérés du carcan manifeste d'une Union-Européenne sous les fourches Claudine d'une Germanie cachant la même ruine que nous-autres, quand enfin nous en seront à notre indépendance nationale;

    Oui, alors, il ne sera que la France pour calmer ces jeux absurdes et sans sens dedans lequel nous sommes tous, parce qu'une fois encore, ce sont nous, les français, que les peuples attendent pour qu'enfin la réelle modernité puisse émerger.

    Pour qu'enfin le réel progressisme vienne à nous.

     

     

    THEURICP1060185.JPG