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  • La règle de trois: du gâteau!

    Je m'étais déjà essayé de vous raconter ce qu'est que la règle-de-trois et, ce me semble, je m'en étais complètement emberlificoté les ripatons, je vais donc, une nouvelle fois, vous l'en conter par le menu d'un exemple: une bonne pâtisserie.

     

    Elle n'est plus enseigné depuis longtemps, ce qui est bien dommage mais, surtout, dommageable.

     

    Or, ce petit mécanisme mathématique sert pour tout et tous, tout autant pour les scientifiques, les ingénieurs de toutes sortes, les agriculteurs, les charpentiers, les commerçants, les mathématiciens et j'en passe des métiers qui en font l'appel...

     

    Elle fut remplacée par les fractions qui ne sont, si on y regarde de près, que des mécanismes de division quand, là, il s'agit d'une multiplication doublée d'une division, et puis,  allez donc les diviser ou les multiplier lesdites fractions, c'est un véritable casse-tête-chinois.

     

    Voici comment cela se présente:

     

    La fraction:

     

                          A

                          _   =  C

                          B

     

    Vous remarquerez qu'il ne s'agit que, comme écrit plus haut, d'une division.

     

    La règle-de-trois, quand à elle, se note ainsi:       

     

                          A x B

                      ______   =  D

                             C

     

    Vous pouvez même en faire des constructions de cette sorte, par exemple:

     

                                              A x B

                                           ______   

                                                 C                   

                                       __________     x E  =  F

                                                 

     

     Bon, maintenant, allons voir de ce qu'il pourrait en être pour un gâteau, un cake aux fruit pour illustrer cette affaire (je m'en suis fait de ces régalades que je vous n'en dise que cela).

     

    J'ai, quand à moi-même, ma recette pour 6 personnes composée de: 200 gramme de farine, 70 gramme de sucre ou de miel, 125 gramme de beurre, 4 œufs (les blancs montés en neige et les jaunes blanchis au sucre ou au miel), deux cuillères à soupe d'un alcool parfumé (du rhume blanc antillais sans mouchoir ni de foin par exemple), 1/2 sachet de levure (de 15 g / 2 = 7,5 g) et des fruits à sa convenance ainsi qu'à l'humeur du moment.             

     

    Et puis, et puis, crac boum hue (comme le joujou extra), c'est l’anniversaire de quelqu'un et, plutôt que six il y aura 15 invités à cette fête, alors, comment faire?

     

    Il suffira juste d'utiliser ladite règle de trois pour cela (poils aux doigts..........de pieds, poils au nez):

     

    Farine:                     200 x 15

                                      ______  =  500 g

                                            6

     

    Sucre:                        70 x 15

                                      ______  = 175 g

                                           6

     

    Beurre:                      125 x 15

                                       ______ = 312,5 g

                                           6

     

    Oeufs:                            4 x 15

                                       ______  = 10 œufs 

                                             6

     

    Levure:                      7,5 x 15                       

                                      ______ = 18, 75 g

                                             6

     

    Les fruits, tant en leur quantité qu'en leur sorte, ce sera suivant, hein, j'aime particulièrement quand il y en a beaucoup autant qu'en mélange, mais ça, c'est un choix personnel.

     

    Bon, pour le four, 180 degrés pendant une trentaine de minute environ,  piquez le avec un couteau pointu pour savoir s'il est cuit, ricuicuit, ou attendez dix minutes de plus.

     

    Voilà donc la règle-de-trois par l'exemple.

     

    Je dois aussi vous prévenir de la chose suivant:

     

    Vous ne devez surtout pas la confondre, cette règle, avec la ville éponyme du Péloponnèse dont la guerre du même nom fit d’Ulysse le héro et le cheval de Troie l'une des premières ruse de guerre, ni de celle, de ville, Troyes, se trouvant dans le département de l'Yonne.

     

    A ce sujet, le bilboquet qui est un jeu entièrement français se joue à trois, un, deux et trois, le premier prend la lance et la boule, le second prend la boule et la lance, que fait le troisième?

     

    Je ne sais pas pourquoi mais il me semble que cela n'a rien à voir.

     

     

    THEURIC

     

    Ps : la réponse en cette question épineuse au sujet du bilboquet se trouve au-dedans de la question-réponse qui suit:

     

    Pourquoi casquette de chauffeur de taxi? Parce que rame de métro!

  • Pour les enfants grands et petits: les toutous:

    Savez-vous pourquoi les chiens, quand ils se rencontrent, se sentent le derrière?

     

    Et bien en voici l'histoire (pour de rire ha, ha, ha):

     

    Il était une fois, il y a très, très, très longtemps de cela, les chiens, tous les chiens se faisaient la guerre.

     

    Et cela durait, durait depuis tant de temps qu'à un moment ils en eurent assez de se battre continuellement.

     

    Alors, ils décidèrent de se réunir tous pour signer un traité de paix.

     

    Pour se faire et comme ils ne savait pas construire de maison, ben oui, c'est bien connu, les chiens ne savent pas construire de maison.

     

    En plus, comme ils sont extrêmement  nombreux, il leur aurait fallu en construire une immense de maison, une maison de la paix, comme celle de l'ONU, Organisation des Nations Unies, située aux Etats-Unis-d'Amérique, or, cela, comme nous l'avons vu, leur était impossible puisqu'ils n'ont pas de main.

     

    Dès lors et pour se faire, ai-je dit, ils décidèrent de rechercher une grotte suffisamment grande pour accueillir tout ce monde canin, ceci d'autant plus qu'ils étaient de toutes les tailles (et le sont toujours aujourd'hui), des petits, des grands, des gros, des maigres, des longs et courts sur pattes...

     

    Alors, ils allèrent tous rechercher une grotte qui pourrait contenir l'ensemble de ces animaux, soit à la montagne, dans l’Himalaya, dans les Alpes, dans les Vosges, partout, partout, partout.

     

    Il fallut beaucoup de temps pour en trouver une de taille respectable, de grotte, c'est qu'elles sont rares et, souvent, ont des entrées secrète, en effet, les grottes n'aiment pas du tout être dérangées, surtout en raison des mauvaises odeurs des trous-du-cul.

     

    C'est dans les Pyrénées qu'une belle fut découverte, elle était grande, spacieuse, exactement ce que les cabots recherchaient.

     

    Son seul défaut était que son ouverture était étroite et, donc, les mauvaises odeurs dus à leur derrière ne pouvaient que s'accumuler et la grotte n'aurait pas été contente, mais alors, pas du tout, parce que ça aurait pué et alors la grotte aurait fait: "beurk, ça pue".

     

    Tous, par conséquent, laissèrent leur trou-du-cul dehors, à l'entrée de la caverne, avant d'entrer pour commencer leurs palabres affin qu'après ils signent leur  armistice de paix.

     

    Et ça durait, ça durait des jours et des jours, heureusement qu'ils avait fait des sandwichs parce que sinon ils auraient très faim.

     

    C'est vrai, les chiens de cette époque savaient confectionner des sandwichs (mais ça ce n'est pas vrai, hein, il faudrait d'abord qu'il puissent couper le pain avec leurs pattes en tenant un couteau, eux, ils ne le coupe pas, le pain, ils le croque d'un coup de dent en faisant "raoune" et, après s'être pourléché leurs babines, houa, houa, houa).

     

    Pendant ce temps là, dehors, il y eut, tout à coup, un fort coup de vent qui mélangea tous les trous-du-cul, ceci juste avant que, cet armistice signé, l'ensemble des chiens sortissent.

     

    Chacun, en partant, ne put pas retrouver son propre arrière-train, il prit donc n'importe lequel, très très embêtés parce que ce n'était pas le sien.

     

    Depuis lors, quand deux chiens se rencontrent, se demandant si ce ne serait pas l'autre qui aurait son trou-du-cul, ils disent, en leur langage: 

     

    "Salut mon vieux , comment vas-tu, sent mon cul, est-ce le tien?

     

    -Non, il pue trop, et toi, ça va, sent le mien, t'appartient-il?

     

    -Non plus, il ne pue pas assez."

     

     

    THEURIC