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  • Idée n° 10) Essai de réflexion sur la causalité.

    Principe 0): La magie n'existe pas, c'est à dire qu'aucun effet ne peut être sa propre cause, rien ne peut se créer de et par lui-même (Bouddha), que cette cause soit connue ou inconnue, que les lois de la nature qui sous-tendent la cause et ses effets soit connues ou inconnues sinon ce serait remettre en cause l'entropie, les moteurs à explosion et l'existence de la vie elle-même...

    1) J'appelle un « causal » l'ensemble des relations entre les causes et leurs effets, c'est l'unité de causalité.

    2) Les causals sont simples.


    3) Leurs effets sont complexes.


    4) Les effets cachent, avec le temps, les causals et leurs causes.


    5) On ne peut véritablement comprendre un effet qu'en en comprenant son causal.


    6 )Un causal génère toujours des effets multiples.


    7) Un causal est une singularité évènementielle venant toujours de la conjonction de causes venant d'effets divers provenant de causals dissemblables.


    8) La durée d'un causal est directement liée au temps moyen d'existence des principales causes venant d'effets divers initiateurs de ce causal.

    9) Le sentiment que nous avons de la durée d'un causal est directement relative à l'éloignement temporel et/ou spatial que l'observateur a de ce causal.


    10) Un effet ne peut provenir de causals multiples.


    11) Il ne peut y avoir de rétroaction d'un effet vers son causal (sauf à remettre en cause le principe entropique).


    12) Un effet peut générer une cause secondaire, un pseudo-causal, ressemblant au causal originelle (un écho).


    13) Le nombre de causals est directement proportionnel à la complexité du milieu dans lequel ils se produisent.


    14) Les causals obéissent obligatoirement aux lois et principes de la nature, qu'ils soient connus ou inconnus.


    15) Les lois et principes de la nature connus et inconnus ne sont pas toujours les effets initiateurs principaux de causals.


    16) J'appelle substrat causal les lois et principes de la nature connus et inconnus en relation avec un causal.


    17) Tous les lois et principes de la nature n'interviennent jamais ensemble dans un causal.


    18) Il y a une hiérarchisation causal suivant la dimension du causal se produisant ( la chute d'une petite météorite ou d'un lourd météore produirons des effets différents).


    19) Un causal doit sûrement se structurer suivant des loi mathématiques.


    THEURIC

  • Petit délire 1): Observation ornithologique

    J'ai vu passé un gauchiste, hier, de son beau vol planant.
    C'était un beau "Gauchistis Hallucinatens" cherchant un courant ascendant en tournant en rond.
    Il y a subi, tout à coup, l'attaque d'un "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata", oiseau sans grande envergure mais très agressif (on le dit assez stupide) et je vis, aussi, un "Partisus Socialinonsis imbécilicum" (ces deux derniers sont de la même espèce des pseudocapitalisidées) qui lui, comme tous les représentants de son espèce, tournoyait sans but quand, tout à coup, il perçu un "Mélenchononsis gauchitus" et lui fonça dessus.
    Le "Gauchistis Hallucinatens" disparu tout à coup en ne laissant que de minuscules traces à peine visible, je me demande même si il a existé (son existence est contreversée) et, juste à ce moment là, venant de je ne sais où, sûrement d'un lointain passé (il est considéré comme un fossile vivant), paru un magnifique "Lepenis Déliriotum Nazigotoïs" femelle et je fus surpris de voir le "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata" chercher à copuler avec elle.
    Entre temps le "Mélenchononsis gauchitus" répondit à l'attaque du "Partisus Socialinonsis imbécilicum" avec l'agressivité que tout le monde lui connait et le fit fuir puis se retourna contre les "Lepenis Déliriotum Nazigotoïs" et "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata" qui copulaient en vol avec forces petits cris de jouissances (hii, hii, hii qu'ils faisaient tous les deux, peut-être est-ce pour cela que les Lepenis tendent à disparaître?) et les fit partir.
    Ce fut la plus belle observation ornithologique qu'il m'ait été donné de voir depuis longtemps.


    THEURIC

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  • Idée n° 9) appel à de nouveaux concepts

     

    Il nous faut commencer à penser que nos concepts sont dépassés, donc remettre en question ceux-ci, et non pas les remettre en cause ce qui est absurde .

    Cela est le plus ardu parce qu'il est toujours déstabilisant de comprendre que ce sur quoi s'appuie notre représentation mentale du monde est biaisé et, de ce fait, inopérant.

    J'ai pour rendre compte de cela inventé deux concepts, celui de "composition de sens" et de "structure de socialité", le premier représentant l'ensemble des acquis culturels aussi bien sociales (l'inconscient social étudié par les sociologues) que familiales (liés au premier) ainsi que ceux venant de notre confrontation au monde depuis notre plus tendre enfance, la "composition de sens" étant, comme son nom l'indique, ce qui nous permet de donner sens à ce que nous percevons, le discourt que nous nous en donnons, la compréhension que nous en avons, c'est pourquoi, au sein d'une population, il y a une unité générale de pensées communes mais aussi des différences, parfois importantes, de pensées entre les individus;

    La "structure de socialité", elle, vient compléter la première en ce qu'elle concerne les discours partagés par un groupe et donc les actes de chacun de ses participants, qu'il soit professionnel, confessionnel, militaire, politique, associatif (nous pouvons en avoir plusieurs) ou autre, c'est au cœur de la souplesse de notre esprit qui fait notre adaptation et notre désir d'appartenir à un groupe que se trouve son ferment (il était dit, lorsque je faisais mon service militaire que "penser c'est déjà désobéir").

    Cette deuxième notion nous fait comprendre pourquoi beaucoup de personnes ont tendance à adopter le discourt, les agissements, jusque la gestuelle et l'accent du groupe dans lequel ils sont, auquel, à ce moment là, ils appartiennent (c'est appartenir à un groupe qui produit ce processus).

    Une troisième notion se montre par un aphorisme: "qui observe transforme!", étant entendu que c'est aussi bien le sujet ou l'objet observé que l'observateur lui-même qui se trouvent transformés par l'action d'observation de celui-ci, ceci partant du principe que l'on ne peut observer quoi que ce soit sans exercer une quelconque activité sur le sujet / objet ou sur les traces que celui-ci a laissé avec le temps, et que l'observateur lui-même sera transformé en raison de la compréhension qu'il aura du sujet / objet ainsi observé.

    Ce sont trois des outils que je me forge pour que je puisse comprendre le monde qui m'entoure bien qu'il m'arrive parfois de m'apercevoir que ce que j'avais découvert le fut auparavant par quelqu'un d'autre.

    IL en est ainsi de "l'idée force", découvert bien avant moi par des universitaires américain sous un nom que j'ignore et qui dit que si une idée est répétée suffisamment de fois par des personnes ayant une certaine autorité, elle deviendra, avec le temps, une conception que tout le monde adoptera, que celle-ci soit logique ou pas.

    Bon, je vous laisse cogiter là-dessus, étant entendu que toute idée ne peut être adopté par quiconque que si chacun, en son fort intérieur, en jauge et juge de sa validité.