L'oligarchie française et européenne, terme que j'ai choisie en raison de l'écho auquel cela renvoie, soit l'époque Eltsine dans laquelle fut plongée la Russie d'alors, nous qui, à l'époque, en France, nous nous délections des mésaventures russes dues à la toute sotte puissance de ces nouveaux fortunés moscovites.
Notre oligarchie, dis-je, qui nous confronte en usant et abusant de la formidable puissance de la propagande d'aujourd'hui, est, en réalité, bien que redoutable, d'une sottise sans nom.
En cela ne croyez pas que celle-ci soit au-dessus de ce que peut être la moyenne de l'intelligence des français ( baisse-vertigineuse-qi-moyen-occident-etudes-tirent-sonnette-dalarme-nindiquent-dou-vient-cette-chute ), je me demande même, parfois, si elle se situerait pas en-dessous.
Ce jugement, bien que sévère, doit être pesé et soupesé afin de se poser au plus proche de la réalité, que ce soit pour la population comme pour ceux qui la dirige réellement, soit la-dite oligarchie.
D'ailleurs, ne nous y trompons pas, si Monsieur Macron, que, par ironie, je désigne du sobriquet d'Emmanuel 1er, ainsi que ceux qui l'entourent, furent choisis par nos ploutocrates, ce fut, entre-autre, en raison de leur peu de jugeote.
Comprenez bien que si nous faisons référence de ce que fut l'ancien président Valérie Giscard-d’Estaing, lui-même lié à la banque Rothschild, tout comme il en est pour le président actuel, nous pouvons percevoir combien nos maîtres milliardaires, français, européens et étasuniens, ont perdu de leurs capacités intellectuelles.
Du flonflon de l'accordéon que nous accordait ce maintenant vieillard il y a une quarantaine d'année, nous en sommes arrivés en notre temps à de la pauvre et sirupeuse macroniaiserie.
En fait, ces deux comparses peuvent être comparés à un écho d'une époque, de ce que peut être l'esprit de ceux-là qui, hier, ne voulaient que contrôler les flux économiques des pays ouest-européen et qui, aujourd'hui, se pensent désormais les maîtres du monde.
Descendants héritiers de personnages d'antan, certes sans vergogne, mais ayant encore de la sagacité, ils ne sont plus, à tout prendre, que leur pâle reflet, tout juste capable d'utiliser des outils de manipulation des peuples qui furent formalisés par le passé, par d'autres, scientifiques des sciences sociales et autres neurologues sans qui, en vrai, ils ne seraient rien.
Ce n'est pas, donc, contre eux, contre la fatuité de cette aristocratie d'argent, ou, oserais-je le dire, contre çà, qu'il nous faut lutter prioritairement, mais contre cette inintelligence d'une part de la population provenant du rejet, plus ou moins exprimé, du plaisir et de l’appétence de comprendre le monde, de s'instruire de tout, de l'invention et de la découverte, ainsi que de l'apprentissage à la révélation du bien et du beau.
Ce plaisir, bien que refoulé, est, en réalité, au plus profond de chacun d'entre-nous, blottit, parfois, au milieu de ce marasme de médiocrité qui nous est déversé à longueur de temps dans les médiats télévisuels et radiophoniques.
Mais il est là et bien là parce que au cœur de ce qui fait de nous Homo Sapiens Sapiens et que j'appelle l'adanthropisme.
(De ad-, qui va vers, et -Anthropos, l'Homme, que je définirais comme étant la tendance naturelle et inconsciente de chaque Être-Humain à être humain par, entre-autre, l'acquisition du savoir et des connaissances de ses pairs, des notables et de ses géniteurs, parents et anciens, par imitation et désir d'être l'égale à celui et ceux lui semblant éminents.
C'est, ce me semble, ce plus que réflexe, cet archétype, peut-être le plus puissant qu'il soit, qui pousse l'enfant de bas âge à vouloir marcher, parler, savoir, comprendre, s'ériger en tant qu'homme ou femme futur, à devenir et être humain. )
Pour redresser cet état de fait déplorable, il nous faut donc faire de l'agitation intellectuelle, faire preuve, chacun selon ses moyens, ses capacités et ses possibilités puisque nous aussi, à un degré moindre, sommes plongé dans ce marasme, d'imagination et d'humour, d'esprit et de raison, de curiosité et de sagacité et, surtout, de provoquer l'intelligence de celui qui est en face, ou lit, ou écoute, ou regarde et voit.
Ce que Monsieur Asselineau nous montre à chacune de ses interventions.
Le seul de la classe politique qui, de la provocation qu'il génère en notre intellect, de fait, ne nous prend pas pour des cons!
THEURIC