Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • De l'agitation intellectuelle à la provocation.

    L'oligarchie française et européenne, terme que j'ai choisie en raison de l'écho auquel cela renvoie, soit l'époque Eltsine dans laquelle fut plongée la Russie d'alors, nous qui, à l'époque, en France, nous nous délections des mésaventures russes dues à la toute sotte puissance de ces nouveaux fortunés moscovites.

    IMGP0198.JPG

    Notre oligarchie, dis-je, qui nous confronte en usant et abusant de la formidable puissance de la propagande d'aujourd'hui, est, en réalité, bien que redoutable, d'une sottise sans nom.

    En cela ne croyez pas que celle-ci soit au-dessus de ce que peut être la moyenne de l'intelligence des français ( baisse-vertigineuse-qi-moyen-occident-etudes-tirent-sonnette-dalarme-nindiquent-dou-vient-cette-chute ), je me demande même, parfois, si elle se situerait pas en-dessous.

    Ce jugement, bien que sévère, doit être pesé et soupesé afin de se poser au plus proche de la réalité, que ce soit pour la population comme pour ceux qui la dirige réellement, soit la-dite oligarchie.

    D'ailleurs, ne nous y trompons pas, si Monsieur Macron, que, par ironie, je désigne  du sobriquet d'Emmanuel 1er, ainsi que ceux qui l'entourent, furent choisis par nos IMGP0088.JPGploutocrates, ce fut, entre-autre, en raison de leur peu de jugeote.

    Comprenez bien que si nous faisons référence de ce que fut l'ancien président Valérie Giscard-d’Estaing, lui-même lié à la banque Rothschild, tout comme il en est pour le président actuel, nous pouvons percevoir combien nos maîtres milliardaires, français, européens et étasuniens, ont perdu de leurs capacités intellectuelles.

    Du flonflon de l'accordéon que nous accordait ce maintenant vieillard il y a une quarantaine d'année, nous en sommes arrivés en notre temps à de la pauvre et sirupeuse macroniaiserie.

    En fait, ces deux comparses peuvent être comparés à un écho d'une époque, de ce que peut être l'esprit de ceux-là qui, hier, ne voulaient que contrôler les flux économiques des pays ouest-européen et qui, aujourd'hui, se pensent désormais les maîtres du monde.

    Descendants héritiers de personnages d'antan, certes sans vergogne, mais ayant encore de la sagacité, ils ne sont plus, à tout prendre, que leur pâle reflet, tout juste capable d'utiliser des outils de manipulation des peuples qui furent formalisés par le passé, par d'autres, scientifiques des sciences sociales et autres neurologues sans qui, en vrai, ils ne seraient rien.

    Ce n'est pas, donc, contre eux, contre la fatuité de cette aristocratie d'argent, ou, oserais-je le dire, contre çà, qu'il nous faut lutter prioritairement, mais contre cette inintelligence d'une part de la population provenant du rejet, plus ou moins exprimé, du plaisir et de l’appétence de comprendre le monde, de s'instruire de tout, de l'invention et de la découverte, ainsi que de l'apprentissage à la révélation duIMGP0202.JPG bien et du beau.

    Ce plaisir, bien que refoulé, est, en réalité, au plus profond de chacun d'entre-nous, blottit, parfois, au milieu de ce marasme de médiocrité qui nous est déversé à longueur de temps dans les médiats télévisuels et radiophoniques.

    Mais il est là et bien là parce que au cœur de ce qui fait de nous Homo Sapiens Sapiens et que j'appelle l'adanthropisme.

    (De ad-, qui va vers, et -Anthropos, l'Homme, que je définirais comme étant la tendance naturelle et inconsciente de chaque Être-Humain à être humain par, entre-autre, l'acquisition du savoir et des connaissances de ses pairs, des notables et de ses géniteurs, parents et anciens, par imitation et désir d'être l'égale à celui et ceux lui semblant éminents.

    C'est, ce me semble, ce plus que réflexe, cet archétype, peut-être le plus puissant qu'il soit, qui pousse l'enfant de bas âge à vouloir marcher, parler, savoir, comprendre, s'ériger en tant qu'homme ou femme futur, à devenir et être humain. )

    Pour redresser cet état de fait déplorable, il nous faut donc faire de l'agitation intellectuelle, faire preuve, chacun selon ses moyens, ses capacités et ses possibilités puisque nous aussi, à un degré moindre, sommes plongé dans ce marasme, d'imagination et d'humour, d'esprit et de raison, de curiosité et de sagacité et, surtout, de provoquer l'intelligence de celui qui est en P1000726.JPGface, ou lit, ou écoute, ou regarde et voit.

    Ce que Monsieur Asselineau nous montre à chacune de ses interventions.

    Le seul de la classe politique qui, de la provocation qu'il génère en notre intellect, de fait, ne nous prend pas pour des cons!

     

     

    THEURIC

  • Presque une petite pose en politique en une réflexion de nos origines.

    Bon, en ce moment je me sens en verve, trois billets quasiment à la suite, ça faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

    Le sujet que je vais aborder aujourd'hui traitera autant de l'origine d'Homo Sapiens Sapiens que de celle du singe, des ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres, de nos ancêtres en quelque sorte.

    Pour le reste, je vais ici donner ici un bref aperçu de ce qu'il se passe tant en politique qu'en économie (je vous renvoie à mes deux derniers textes pour ceux ne les ayant pas encore lus):

    P1000696.JPG

    Après que Monsieur Poutine ait donné le baisé de la mort à Madame Le Pen (l'avoir invité chez lui), la Russie se tourne vers le P.C.F. et Les Insoumis, ces derniers étant les plus réactifs.

    Il est à penser que, comme le veut les principes de la politique, l'unilatéralité idéologique d'Emmanuel 1er et des macronistes mènera inéluctablement ces deux partis à la radicalité.

    La police et l'armée, toutes deux épuisées, auront toutes les peines du monde pour réduire la violence sociale qui, de plus en plus, vient en réponse de la violence économique et politique de nos oligarques.

    Il y aura des morts dans la rue.

    Pendant ce temps là, l'U.P.R. qui, pour l'équipe philipparde, est en voie de marginalisation, se retrouvera devant un large boulevard puisque oublié par l'oligarchie et ces représentants (de commerce), ce qui lui permettra de se développer à l’abri de cette violence populaire et d'état qui vient, du-moins pour un temps.

    Dans l'empire U.S., Monsieur Trump n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie de son pays, pour cela il lui faut faire exploser le dollar et Wall Street.

    C'est pourquoi son armée ne cesse d'agacer la Chine et la Russie, ceci pour que ces nations en viennent à vendre en masse leurs bons du trésor U.S..

    En Grande-Bretagne, après que Madame May ait écarté les eurolâtre du parlement britannique lors de leurs dernières élections législatives, propose déjà à sa nation un brexit dur à cause de l'inflexibilité de l'U.E., ce qui ne pourra que mener à une déstabilisation accrue de l'union.

    Pendant ce temps là, la désindustrialisation internationale perdure et s'amplifie.

    Le signe le plus évident se trouve dans le prix de l'essence qui n'arrête pas de descendre.

    Il est à remarquer ce début de tendance, pour les grands-magasins, d'avoir des difficultés de réapprovisionnement.

    Je ne le répèterais jamais assez, faites vos réserves.

    Après six mois environ de tergiversations des russes et des étasuniens de savoir si oui ou non il fallait faire perdurer cet étrange expérience qu'est l'U.E., la décision de détruire l'U.E. paraît être définitivement prise.

    Le plan consisterait, me semble-t-il, à ruiner les banques et les oligarques français par la cessation de paiement du pays en rendant insolvable les habitants (monté des impôts et des intérêts des découverts) et, dans le même temps, à instrumentaliser leur colère logique et normal, au travers des syndicats notamment.

    D'où le cadeau que fit Monsieur Macron aux banques, sur les conseils de je ne sais qui travaillant pour je ne sais qui, en leur octroyant 5,75% d'intérêts en plus des 1% que le pays devrait normalement verser, faux cadeau qui, en réalité, est là pour générer la banqueroute des banques françaises trop grosses pour faire faillite, puisque les acheteurs potentiels disparaîtront.

    Nous pouvons percevoir là la naïveté, pour dire le moindre, de Monsieur Macron et de son équipe, Mitterrand en dirait qu'on y voit déjà à travers.

    Une fois l'une d'entre-elles faillit, c'est toute la chaîne des banques européennes qui suivra et, donc, en fin de course, la Deutsche-Bank, aussitôt et inéluctablement suivie des banques étasuniennes, un tel plan tordu ne pouvant être signé que par les anglais.

    Il est à noter que la lutte sourde que se mènent Goldman-Sachs et Roltschild en Europe continue (Macron, Attali, Minc sont les émanations de cette dernière), la seconde ayant pris pied en France, l'Union-Européenne, créature de la première, par l'entremise du Luxembourg, tente de l'y déloger par une accusation de blanchiment d'argent sale, sûrement avec raison du reste.

    Mais bon, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, non?

    Une dernière chose:

    La désintégration du Front-National mène à ce que les plus extrémistes de ce parti, jusqu'à présent maintenus fermement par Le Pen père puis fille, tendent désormais à prendre leur indépendance et à agir par la violence.

    Encore peu structurés politiquement, ils représenteront, sous peu, avec, à l'autre extrême, la minorité des anarchistes, violents ceux-là (la majorité de ces derniers vivant en quasi autarcie), un danger supplémentaire pour le gouvernement.

    PICT0295.JPG

    Bon, tout ceci dit, je vous présente, comme promis, en seconde partie de ce libelle, une réflexion sur nos origine en posant deux simples questions: pourquoi les hominidés, dont nous sommes avec les chimpanzés, n'ont pas de queue et pourquoi l'existence des ongles et quels en furent leurs effets:

    Lire la suite