Bon ben, j'ai un petit peu de temps devant moi, enfin, je le prends, pour vous proposer un dernier texte avant mon départ en vacances.
Je vais y revenir sur l'affaire benalla auquel j'avais fait cas il y a une petite semaine de cela.
J'y avais exploré un ensemble d'hypothèses en en ayant privilégiée une: celle d'un fractionnement des puissances économiques nationales entre ceux que je dénomme les industriels bataillant contre l'ensemble de la sphère monétariste, en une sourde lutte s'exprimant lors de ce scandale.
Ceci doublée de la confrontation, centrée sur la France, entre une Union-Européenne en voie de délitement devenue germanique et un empire U.S. en plein déclin (Allemagne qui, comme j'ai pu l'écrire, se retrouve piégée au-dedans de l'Union-Européenne, ne sachant plus quoi faire ni quelle position prendre pour la France).
Je ne dis pas que ce phénomène n'existe pas, mais plutôt que ceci pourrait ne pas être à coup sûr à l'origine des tensions politiques auxquelles nous assistons et qui bientôt sera oublié par les médiats aux ordres, ou du moins, n'en serait pas la cause première.
C'est en fait un deuxième scenario que j'explore avec vous, bien qu'il soit possible que les deux scenarii, celui du 21 et celui d'aujourd'hui, soient peu ou prou mêlés.
Je vais donc m'essayer ici de comprendre ce qu'il se passe à l'aune de deux idées fortes: la médiocrité de l'époque au plus haut de la hiérarchie française, économique et politique, et, dès lors, de son corolaire logique, soit de leur incompétence la plus absolue.
En l'espèce, ce n'est pas tant cette affaire qui suscite cet ensemble de réflexions mais d'en comprendre les soubassements, soit la position de ses acteurs en tant que groupes plus ou moins constitués.
Le problème de Macron et de sa femme c'est qu'il ont l'impression d'être seuls, et que ce qu'il vient de se passer ne pourra que faire monter en eux un sentiment d'inconfort, ne pouvant que mener à de la paranoïa si d'autres affaires de ce genre paraissaient, ce qui est fort probable.
Cette impression de solitude a, pour origine, la trahison des patrons du journal Le Monde qui, comme je l'avais montré précédemment, ne put être acheté par ces deux milliardaires que grâce aux agissements pas très vertueux d'un Macron déjà fantasque, qui avait trahi, à cette époque, les journalistes de ce quotidien.
Les services U.S., quand à eux, sont soit à l'origine de tout cela, soit furent, plus sûrement, agréablement surpris de la tournure que prennent les événements.
Notre oligarchie nationale doit être dans tous ses états, son plan de reprendre l'ascendant sur le macronisme a raté, ce que je montre plus bas, ce qui ne peut que mener à une discorde accentuée entre les deux clans dont je vous avais entretenu auparavant, les industriels et les monétaristes.
Il est même possible que ce scandale ait remonté à la surface en raison d'une sorte d'accord momentané entre eux pour tenter d'éviter que cette fracture dans la synarchie ne s'élargisse, son but ayant été de reprendre la maîtrise de ce président imprévisible, devenu potentiellement dangereux.
Ceci en se séparant de ce qu'il pourrait sembler être, pour eux, l'un de leurs agents essentiels, voire même le plus important au cœur de l’Élisée, Mr. Benalla, en une sorte de gambit de la reine en quelque sorte.
Cet échec met à mal toute une stratégie dont notre président est le pion central, pion ayant pris son indépendance, sûrement sous les conseils de sa mère femme.
Cette affaire nous a montré que la garde macronienne rapprochée ment à n'en plus pouvoir, or ce mensonge continue mène à une instabilité psychologique importante pouvant conduire, pour les plus fragiles, à un état psychotique qui, bien que léger, n'en sera que plus déstabilisant pour ce groupe.
A ceci, il faut rajouter le fait qu'ils sont tous adeptes du néolibéralisme dont la base doctrinale est l'individualisme forcené, ce qui fait que pris individuellement et mis en face d'un danger patent, ce ne pourra qu'être un chacun pour soi, un sauve-qui-peut grandissant.
Cette secte n'est donc pas bien solide, entre ceux qui pourraient très bien montrer des signes de désordres psychologiques et d'autres pouvant facilement se désolidariser d'un pouvoir qui, pour moi, est d'un naturel extrêmement fragile.
C'est pourquoi Monsieur Macron dû sortir pour haranguer ses troupes et leur montrer que tout cela n'était "qu'une tempête dans un verre d'eau".
Parce qu'en effet, ce que craint le plus le couple présidentiel ce serait de voir s'évaporer le R.E.M., pour le reste il se croit à l'abri.
Maintenant, ce que je vais expliquer c'est, entre-autre, en quoi, à mon sens, cet échec de l'oligarchie proviendrait de ce que ce plan a, et de beaucoup, trop bien fonctionné.
Il est de fait que le scandale Benalla est, en pleines vacances d'été, arrivé dans nos médiats comme un cheveux dans une soupe servie dans un restaurant de grande classe.
A bien y regarder la date de sa survenue, il ne peut que nous être légitime de considérer que tout fut fait pour en amoindrir l'impact: le mercredi 18 Juillet, au plus fort du pic de départ en villégiature, juste après le mondial de foot, date qui, jusqu'il y a quelques années encore, vidait les moyennes et grandes villes de leurs habitants.
Ce qui, maintenant, n'est plus vraiment à l'ordre du jour, moi-même à Paris hier, la ville la plus riche du pays, y a vu une circulation qui, bien que fluide, n'en était pas moins concentrée, contrairement à ce qu'il put en être ne serait-ce qu'à la décennie antérieure, et ne parlons pas d'il y a quarante ans où les rues s'en étaient largement désertées.
Ceci ne voulant dire une chose, comme j'en avais fait trait dedans mon texte du 21 du mois: les gens n'ont plus assez de sou pour partir en vacance ou s'ils le font, ce sera dans leur famille.
Or, là se trouve la première question cohérente: pourquoi faire remonter un scandale en une période où la population pense plutôt à vivre, le plus souvent ailleurs que chez soi, un repos bien mérité après onze mois de dure labeur, en ayant un contact largement atténué d'avec l'actualité?
Sauf à rechercher à ce que son effet en soit largement amoindri, faire remonter une affaire de cette dimension à ce moment là ce serait faire preuve d'une totale crétinerie, ce que nos oligarques ne sont pas, crétins, même s'ils ne sont, pour la majorité d'entre-eux, qu'une vulgaire bande de médiocres.
La réponse en est là extrêmement simple, il ne s'agissait juste que de faire pression sur Monsieur Macron pour qu'il calme un peu ses ardeurs "réformatrices".
C'est que nos oligarques, dont le journal Le Monde, corporatiste en diable, est le toujours vecteur, à l'inverse de ce que j'ai pu croire auparavant, ne peuvent qu'avoir en main les résultats véritables des sondages sur l'appréciation des français de l'action gouvernementale, qu'ils juge exécrable à près de 75 % en une valeur officielle.
Ce que nous pouvons faire remonter en une fourchette située entre 85 à 95 %.
Or, c'est là que ça devient marrant, notre oligarchie avait cru benoitement qu'il y aurait peu de téléspectateur en cette période, en oubliant un peu vite que d'avoir appauvri la population, avec l'aide dogmatique de l'Union-Européenne et d'une Allemagne reprise par ses démons d'antan, celle-ci en est réduite à rester chez-elle à regarder la télé.
C'est pourquoi la ploutocratie commence à freiner des quatre fers pour tenter d'éteindre un incendie qu'elle a elle-mêmes allumé.
Mais quel en était sa raison d'être?
Comme les oligarques nationaux se sont aperçus, un petit peu trop tardivement, que leur créature macronienne, comme le golem se retournant contre son créateur, leur est devenu incontrôlable, ils ont mis en place cette pression importante à l'endroit du président en faisant remonter les abus et turpitudes de Mr. Benalla.
Le but en étant d'en reprendre le contrôle, ce qui s'est avéré destructeur de toute l'équipe gouvernementale et, surtout, du R.E.M. et de ses élus de l'Assemblée Nationale, au centre du dispositif politique, ensemble qu'il faut bien considérer comme étant d'essence sectaire.
D'autres questions pourraient, là encore, rester en suspend s'il n'est pas pris en compte la sottise des plans de ces médiocres (les moins sots s'éloignant naturellement de ces fâcheux), n'ayant pu choisir, par exemple, que quelqu'un leur étant semblable pour prendre place à la tête de l'état français, ne comprenant pas, bien sûr, la situation de délabrement intellectuel dedans lequel ils se trouvent pour leur part.
Je ne sais pas si monseigneur Benalla a pu faire grimper au mur Monsieur ou Madame, ou si ce fut sur ordre de la ploutocratie, toujours est-il que les pleins pouvoirs qui lui furent conférés menèrent ce gros plein de muscle à tous les débordement.
Mais depuis que ce scandale nous est servi comme sur un plateau, les bêtises s'égrainèrent telles les perles d'un très long chapelet.
Il en est ainsi de cette grasse erreur de notre si cher président de la République d'avoir claironné, lors de cette déclaration faite au milieu de ses sous-fifres, deux choses: "...je suis le seul responsable...", puis, "...qu'ils viennent me chercher...".
( Remarquez à ce sujet l'angle de prise de vue lors d'une allocution où, paraît-il d'après les médiats, s'y trouverait l'ensemble des députés du R.E.M., de ses conseillés et de ses ministres.
Personnellement j'ai comptabilisé 18 personnes présentes, avec sûrement quelques autres n'entrant pas dans l'angle de vu de la caméra, ceci étant dû à ce que si celles-ci avaient été dans son champ, nous nous serions aperçu qu'il y avait infiniment moins de monde qu'annoncé.
Voici la preuve que, dorénavant, se lève un rejet de Macron et de son gouvernement émanant de ses propres députés. )
La première veut dire qu'il protège, de part son statut de président, tous ses proches et, ce, quoi qu'ils fassent et, donc, qu'il pense qu'il a sous son contrôle tous ceux qui l'entourent en raison même de cette protection.
Dès lors qu'il se croit inatteignable et donc tout puissant (moi qui le pensais en plein effondrement psychologique le perçois maintenant comme étant plus solide que je ne l'imaginais, possiblement grâce aux conseils et aux cajoleries de sa femme qui la rassuré, il se trouve maintenant en phase de fuite en avant, signe que sa structure psychique commence tout de même à souffrir ).
( En fait, cette affaire le fragilise comme jamais président ne fut fragilisé, étant donné que, dorénavant, c'est toute la population qui se retourne contre lui.)
La seconde phrase est infiniment plus ambigüe et, à mon sens, est lié au fait qu'il ait, lors de ce court discours, dit aussi que Monsieur Banalla l'avait trahi, ce à quoi je reviendrai.
"...qu'ils viennent me chercher..." de fait montre toute une dangereuse ambigüité parce que personne ne sait à qui cela s'adressait et çà c'est explosif (il est possible que ce message était destiné d'abord à ses patrons d'oligarques, comme il pourrait bien en être d'une bonne partie de son laïus).
Tout simplement en raison de ce que tout le monde peut le prendre pour lui-même et donc au mot, que ce soit l'oligarchie, la population, les forces armées, les députés et sénateurs, le pouvoir judiciaire, dont la police, et tutti quanti, voire d'autres forces se situant hors de France.
Cette bravade infantile (ou ce message discret, ce qui a le même effet) met, lui et ses proches, au-devant d'un grand danger pouvant prendre infiniment de formes différentes, des plus constitutionnelles aux plus violentes.
Preuve supplémentaire de cette médiocrité morbide.
A ce sujet, nous sommes aussi en droit aussi de nous demander pourquoi les députés censément d'opposition se sont retirés de la commission d'enquête parlementaire.
Proprement, pour la députation hors du R.E.M. cette affaire était, en son début, du pain béni, ils allaient tous pouvoir se venger de ce godelureau qui, d'une manière ou d'une autre, les avait tous détruit, ceci en écartant le fait qu'il n'était à l'époque que le chargé d'affaire des banques et autres fonds spéculatifs nationaux, européens et internationaux, dont ceux U.S., cela va de soi.
Or, ils se rendent compte aujourd'hui que tout cela pourrait très bien se retourner contre eux, en conduisant au renversement du gouvernement et, suivant, à ce que l'Assemblée Nationale soit dissout pour qu'ait lieu de nouvelles élections nationales.
Mais surtout à ce que ça n'entraine soit à une révolte populaire de grande ampleur, soit à une insurrection nationale dont personne ne peut dire vers quoi cela pourrait bien mener.
D'autant plus que les partis composant cette opposition ne paraissent pas être blanc-bleu en ce qui concerne leurs comptes de campagnes électorales et qu'ils ne voudraient pas que la justice y plonge un nez parfois si chatouilleux.
Un journal comme Le Monde pouvant aussi s'en faire ses choux gras, le leur laisser à penser étant une bonne manière pour en calmer leur ardeur.
C'est pourquoi ils se sont retirés ensemble de cette commission d'enquête en tentant de se justifier en posant une ridicule motion de censure au gouvernement, eux qui firent preuve d'une bonne efficacité pour faire pression sur le R.E.M. afin qu'elle fut mise en place, font montre maintenant en cela d'une timidité de saintes Nitouche.
Il n'est pas sûr que les sénateurs les suivent sur ce chemin et qu'ils poursuivent leurs propres enquêtes, seul le temps nous le dira.
Mais ce revirement leur fait perdre tout le bénéfice populaire qu'ils en tiraient et pourrait même réduire encore plus une cote de popularité déjà largement amoindrie.
On ne change pas de stratégie au milieu d'une bataille, c'est à la tactique, en ce cas, qui se doit de prendre le relai, mais cette opposition pouvait-elle faire autrement?
Je ne le pense pas.
Venons en ensuite au sieur Banalla qui a fait une intervention au journal Le Monde le 26 Juillet.
Ce qui a surtout retenu mon attention, hormis le fait qu'il tente de se justifier et qu'il puisse ainsi s'étendre dans les médiats, ce qui est un comble, c'est déjà le journal où il s'est exprimé, le langage qui y est employé, bien loin de ce que nous pourrions attendre d'un tel personnage, mais surtout de ce qu'il a dit d'Emmanuel Macron qui, rappelons-le, avait affirmé que son acolyte l'avait trahi.
Or, l'accusé y a affirmé deux choses, qu'on avait cherché à le tuer, ce qui est un mot fort puisqu'il expose qu'il y aurait eu la tentation d'une tentative d’assassinat d'on ne sait qui à son encontre (oui, oui, je sais, il parlait d'un meurtre symbolique, essentiellement politique, mais est-ce aussi sûr?), en accusant en cela des politiques ou des policiers, en oubliant de la sorte d'où provenait les premiers articles sur ce sujet, soit le Journal le Monde, dont les propriétaires sont Messieurs Pigasse et Niel, deux beaux oligarques qui aidèrent Macron à prendre son poste.
Puis qu'il comprenait que Macron puisse dire qu'il l'avait trahi, ce qui, dans la bouche d'un tel énergumène, ce demi-sel, ce gros bras tas de muscle, ne peut que sonner étrangement: normalement, pour lui, ce devrait être Macron qui l'a trahi en le lâchant face à la justice.
Mais que tout cela veut-il dire?
1) Il nous affirme indirectement, en raison même du médiat utilisé, le journal le Monde, qu'il est employé de l'oligarchie et non pas de Macron qui, au mieux, n'est que son chef de bureau, et dès lors qu'ils sont tous deux employés par les mêmes, de vagues grattes-papiers en quelque sorte, des mercenaires à la solde du mieux payant;
2) Que cette oligarchie cesse les hostilités par peur des instabilités que cela génère au sein du pays, autant populaire (le politique), que de la police et de la justice;
3) Il prend sur lui toutes les conséquences judiciaire de cette affaire;
4) Ce long article provient sûrement d'une entreprise de communication;
5) Que les oligarques s'adressaient à Macron par la plume, si c'est bien la sienne, de Benalla;
6) Que ce dernier se retrouve de fait au chômage et recherche un emploi.
Monsieur Benalla se dit avoir un master en droit, c'est bien possible, c'est souvent la formation que préfère les personnes ayant des tendances d'extrême droite.
Conclusion:
Toute cette affaire échappe des mains de ceux qui y participent, autant en raison de leurs multiples erreurs de jugements psychologiques et sociologiques que par l'hybris terrifiant qui traverse l'ensemble de ces acteurs.
Deux des effets principaux d'un état de délabrement intellectuel et moral collectif et individuel et dont l'origine provient de cette médiocrité qui leur est constituante.
Peut-être pourront-ils faire cesser un mécanisme qui, maintenant, est en quasi roue libre, mais chacun ne peut qu'en sortir grandement affecté et affaibli:
- vainqueur de cette crise politique, Macron échappe désormais de tout contrôle et se pense hors d'atteinte de quiconque, c'est pourquoi il a pu dire: "Venez me chercher!", cela va le mener à toutes les folies qui, à un moment ou à un autre, se retournera contre lui;
- une partie des députés du R.E.M. se posent de sérieuses questions et, pour l'avenir, il sera difficile pour le pouvoir exécutif d'y remplacer Benalla, se sera au sein de ce parti que les dissensions seront les plus grandes;
- l'oligarchie se retrouve aujourd'hui face à un double choix impossible: soit accentuer les pressions sur le président, ce qui le détruira en les mettant en danger, soit le laisser agir à sa guise, ce qui peut le mener à tous les délires.
Ainsi, de par leur propre incompétence, ils se retrouve avec un type plutôt bancal du coté cérébral aux commandes du pays qui pourrait les trahir à n'importe quel moment;
- les oppositions au R.E.M. se sont retrouvés à ne faire que gesticuler, R.N./L.R./P.S./F.I./P.C.F., tous ont perdu en crédibilité en ayant abandonné si tôt la commission d'enquête parlementaire;
- les sénateurs ne peuvent que continuer leurs enquêtes mais les médiats n'y feront pas grands cas;
- Qu'a donc trouvé la police au domicile de Monsieur Benalla, là se situe le centre du silence qui ré-entoure cette affaire et sa suite possible;
- toute la population française rejette dorénavant le R.E.M. et Monsieur Macron, hormis quelques irréductibles de moins en moins nombreux, ce parti politique va bientôt ressembler à un train fantôme.
Nous pouvons aussi nous poser de nouvelles question telles que celle-ci:
-Que pensent de Macron les autres chefs de l'état de l'Union-Européenne?
-L'empire U.S. en plein repli ne sera-t-il pas tenté d'accentuer l'instabilité d'une société française déjà au bord de la crise de nerfs?
-L'opposition de l'Assemblée Nationale au R.EM., dits les radios-éléments, n'aurait-elle fait que de passer le bébé aux sénateurs?
-Macron ne risquerait-il pas que ne s'exprime quelques révoltes au sein de son propre parti?
-Se pourrait-il que nous apprenions l'existence d'autres scandales pires encore que celui dit Benalla?
-Sont-ils tant sûr que cela l'achèvement de l'affaire Benalla?
-La population est-elle, oui ou non, à attendre des réponses que cette affaire ne peut pas ne pas soulever?
-Est-elle en colère et si oui, jusqu'à quel point?
-Macron et Benalla navigueraient-ils à voile et à vapeur?
-Ferais-je erreur et serait-ce donc ma première interprétation de ces événements le 21 Juillet qui serait celle au plus proche de la réalité, soit que tout cela serait la résultante d'une manipulation d'une officine étasunienne agissant dans l'ombre au nom de Trump?
Quoi qu'il en soit, je ne sais pas comment se terminera le quinquennat de notre actuel président de la République, mais tout cela ne pourra que mal se finir, très mal même.
Tout simplement parce que cet homme triche avec son mandat, mais pire que tout, avec lui-même, ceci en tant que menteur pathologique, en tant qu'être insignifiant à un poste qui le dépasse, ce vieil enfant sans structure mentale véritable..., ce que comprirent mais un petit peu trop tard nos oligarques.
Monsieur Macron, lui qui fut choisi par l'agence Bilderberg et découvert par le patron d'A.X.A. ..., pour tout dire.
THEURIC