Oups, je me suis aperçu que je n'avais pas copier/coller tout le texte que je devais mettre dans ce billet que j'avais publié le 24 Octobre, me semble-t-il.
En deux parties, la première provient de: "La catastrophe économique qui vient" datant du 30 Mai 2017, c'est elle qui était incomplète, de la seconde, en revanche, je n'en retrouve plus le document original et ne peux pas, dès lors, en vous donner la date.
Qu'importe, le principal étant que cela soit publié.
Personne ne peut dire (oui, je sais, je rabâche) quand le système va exploser, celui-ci ayant montré des capacités de résilience véritablement extraordinaire, mais il explosera, de cela, j'en suis sûr.
Si c'est à vous que j'adresse cette lettre c'est autant parce que j'apprécie votre travaille, la fougue que vous y portez , votre profond esprit démocratique que de votre intérêt à la chose publique, à la république, ce qui n'est plus grand cas pour bien du monde.
J'abonde dans votre sens au sujet des derniers écarts de Monsieur Mélenchon lors des perquisitions dans les locaux de la France-Insoumise (insoumise, le terme étant peut-être quelque peu excessif, il y eu, par le passé, des insoumissions plus catégorique et flamboyante que celle porté par les adhérents de son parti et par lui, ne trouvez-vous pas?), écart qui risqueraient forts de se renouveler, du-moins en fais-je le pari, j'y reviendrai.
Mais au-delà de ces louanges, dont je ne vous fait montre que d'un sommaire résumé, que vous pouvez, sans hésitation, partager avec vos amis du Fil-d'Actu, permettez que j'exprime ici un certain nombre de désaccord que je peux avoir tant avec vous qu'avec vos compagnons vidéophiles (néologisme préférable à youtubeur, faisant de la réclame pour une industrie n'en ayant aucunement besoin).
Mais aussi de vous apporter ma vision politique des derniers événements qui, décidément, n'ont que de cesse de nous porter à la réflexion, ce qui m'est d'un contentement intellectuel de tous les instants.
Une autre raison pour laquelle ce billet vous est adressé provient de ce qu'il est possible que, par vous, par votre pseudonyme tapé en recherche sur internet, je puisse prévenir votre fraternité de la vidéophilie de la situation pour le moins préoccupante de l'économie mondialisée.
Ceci ne pouvant que nous conduire à une crise économique, infiniment plus proche d'un effondrement désastreux que de l'une de ces récessions que nous vécûmes avec régularité depuis l'achèvement des années quatre-vingt.
Il est de fait que les réactions de Jean-Luc Mélenchon et de ses proches, lors de cette perquisition, furent à la limite de l'indécence démocratique et d'une brutalité qui, personnellement, me laissa pantois.
Était-ce parce que l'ampleur de la-dite perquisition fut considérée comme étant disproportionnée eu égard à ce que la justice lui reprochait ou était-ce pour une toute autre raison?
Partant de ce questionnement je ne peux que me demander ce que cache le premier secrétaire de la France Insoumise pour avoir eu une réaction de cette ampleur (de tous les flançais).
Je ne peux pas ne pas non plus me questionner sur les causes qui font que cette enquête judiciaire ait débuté maintenant, à quelque mois des élections européenne.
Pour cette seconde interrogation, la réponse vient d'elle-même: le R.E.M., le parti des radios-éléments du président Macron, étant à un tel point décrié, seule une désaffection, même limitée, des électeurs de F .I., mais aussi du Rassemblement National, pourrait permettre au parti majoritaire, lors de ces prochaines élections, d'avoir un résultat pas trop modique et même d'espérer d'y avoir des élus.
Cette affaire ne pourra que conduire progressivement la pseudo-gauche mélenchonniste à se scinder entre ceux qui s'en écarteront (ce qui pourrait se révéler profitable à l'U.P.R.) et ceux qui se radicaliseront.
J'avais expliqué dans "Retour à la politique" (en fin de page) que les raisons pour lesquelles un système politique triplement verrouillé comme l'est l'Union-Européenne, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, ne peut être réformé au risque, sinon de le détruire, ceci en en montrant les mécanismes.
Je pensais à l'époque, au mois d'Août, que ces trois forces destructrices: conservatrice (le R.E.M. et les partis classiques), critique et réformatrice (F.I. & R.N.) et subversive et dissolvante (l'U.P.R.) ne s'exprimaient surtout qu'au niveau des états de l'U.E. et que fort peu à l'échelle des nations.
Or, il est bien possible que ce que nous pourrions appeler dorénavant l'affaire Mélenchon soit le début du basculement de la France dedans un processus de cet ordre menant, à terme, à une destruction/disparition de l'union par un processus de provocations suivit de contre-provocations allant crescendo, ceci menant à une violence politique redoublée.
Sauf à ce que Monsieur Mélenchon et ses proches prennent peur au-devant de la justice et se voient contraints de se calmer.
De fait, que cela ait été le résultat d'une manipulation ou du simple processus judiciaire, tout ce beau monde aurait bien mieux fait de se montrer calme en faisant le dos rond, puis de répondre, en choisissant le bon moment, point par point autant dans les médiats que devant les juges, puisque ils affirment que la France-Insoumise n'a rien à se reprocher lors des dernières élections nationales.
Mais la question, quoi qu'il en soit, reste à poser: pourquoi cet affolement?
Au sujet de cette manipulation, il se fait dire qu'une officine interne à l'U.E. serait mise en place pour lutter contre les partis dits populistes, ou dits extrême (d'une extrémité toute relative s'entend).
Je reviens sur le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, bien que j'aie déjà abordé de nombreuses fois ce sujet.
Ce qui fut le thème de votre dernier Fil-d'Actu.
Je vous laisse, outre mes nombreux écrits et renvois sur cela tout au long de mon site, ceci étudié sous des angles divers, l'adresse de cette vidéo qui, il est vrai, fait de la contre-propagande bien que ceci soit factuel, j'y rajoute aussi l'adresse d'un certain Jacqueshenry d'une teneur infiniment plus scientifique, bien que je ne sois pas toujours d'accord avec lui, ne serait-ce qu'en ce qui concerne la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, situé sur une dangereuse faille sismique.
Ce que je peux toutefois rajouter pour en compléter ces réflexions, c'est que notre société a atteint son niveau actuel grâce à une énergie abondante, pas chère et d'usage facile, surtout pour ce qu'il en est des énergies chimiques donc carbonées, dès lors de ceux pétroliers.
Pensez-y, rien que nos retraites et le bon fonctionnement de l'état proviennent, normalement, de la plus-value dégagée par les extractions minières, les productions agricoles et industrielles, soit les diverses transformations progressives d'un produit brut extrait du sol en celui d'usage et, ce, grâce à cette même énergie.
Or, si la société française s'effondre en ce moment, c'est certes en raison de notre appartenance à l'Union-Européenne, de notre domination étasunienne et germanique, et de la pression de nos oligarques rapaces, dont Macron n'est qu'un quelconque employé, mais aussi à ce que les plus-values dégagées par le passée, dues aux mines, industries et agricultures, furent remplacées par des crédits de toutes sortes déversés autant aux particuliers, à l'état et aux sociétés spéculatives, dont aux banques, et aux hyper-productions monétaires, en franc d'abord de manière restreinte, en euro aujourd'hui au-delà de l'abondant.
( Pour faire vite, les usines et fabriques, ainsi que les mines, fermèrent en France et en Occident pour que la même chose soit extraite et/ou usiné et fabriquée ailleurs, là où les salaires sont plus bas, pour être revendu là où ces usines, fabriques et mines ont fermé, soit dans ce même Occident.
Phénomène débuté dès la fin des années 70, il y mena progressivement à une monté du chômage et baisse des émoluments, puis à un accroissement de la masse des crédits de toutes sortes, ceci fut grandement accéléré dès l'émergence de l'U.E., puis de l'euro.
Dans le même temps, les propriétaires d'usines cherchèrent les pays aux payes les plus basses, Afrique-du-Nord, puis Asie, maintenant les pays africains sub-sahariens, le bout du bout de la médiocrité salariale.
Comme vous pouvez le constater, cette déflation, puisque cela fait perdre aux produits vendus leur valeur intrinsèque, d'abord occidentale, touche aujourd'hui tous les pays mondiaux, sauf la Russie et ses proches alliés en raison des embargos U.S. les rendant autosuffisants.
Ce qui mène aujourd'hui à une désindustrialisation mondiale puisque de moins en moins de gens peuvent acheter ce qui est produit, ce dynamisme étant accru à cause de la transformation de l'économie réelle, productive, en l'économie monétariste néolibérale par le processus de : crédit ⇒ dette ⇒ remboursement des intérêts & du capital, ce qui appauvrit d'autant les gens, les états et les entreprises.
Ce qui nous conduit, ceci lié aux hyper-productions monétaires, directement à un effondrement catastrophique de l'économie-monde, thème que j'aborderai plus bas. )
Sachant qu'une monnaie perd une valeur égale à sa production dès que celle-ci dépasse sa représentativité relative de la richesse présente et potentiellement future du pays émetteur.
Phénomène limité longtemps à l'Occident s'étendant désormais à quasiment tous les pays.
Ceci sachant que depuis la fin des trente glorieuses, lors du premier choc pétrolier en 1973, la population mondiale avoisinait les 4 milliards d'habitants quand, aujourd'hui, en 45 ans, nous en sommes à 7,6 milliards environ.
Si vous réduisez la part de flux d'énergie, quelle qu'en soit la nature, et celle due au vent et au soleil est très largement réduite, 2% pour le premier, je vous renvoie à la vidéo et au site cité plus haut, vous pourrez dire adieu aux déplacement faciles par automobiles, cars, bus et camions, nous reviendrions au train, il est vrai, mais aussi au vélo, même à la campagne et en montagne, à la péniche à traction animale (pour remonter le courant) et à la diligence.
Si vous comptabilisez, en terme d'énergie électrique, le chauffage, les ordinateurs de toutes tailles, les téléphones de toutes sortes, les éclairages publics, les télévisions, les appareils électroménagers, les matériels médicaux et tutti quanti, si nous nous retrouvions à devoir, de plus, recharger les batteries automobiles, je ne pense pas que toutes nos centrales y suffiraient, il faudrait, dans ce cas, que nous fassions des choix plus que cornéliens.
Ceci d'autant plus que la fabrication des-dites batteries, mais aussi des éoliennes et des panneaux photovoltaïques, demandent, tout compris, une grande quantité d'énergie, mais aussi pour le retraitement des premiers, hautement polluants.
Déjà que ce problème se retrouvera amplifié quand il s'agira, pour nous, de réindustrialiser notre pays, je vous en expliquerai les raisons plus bas, tant que nous restons sur les mêmes bases scientifiques, en science fondamentale s'entend, datant, pour les moins anciennes, des années trente à cinquante (physique quantique, chimie du carbone, lois sur l'électromagnétisme et de la thermodynamique pour l'essentielle), nous devrons de considérer le charbon, le pétrole et le gaz comme nous étant toujours d'une nécessité absolue.
(Pourquoi Poutine tirent des kilomètre de gazoducs partout en Europe à votre avis?)
Donc, en toute logique et quel que soit l'angle avec lequel il est possible d'aborder cette question, ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique se révèle être, au mieux la pire des foutaises ou une manipulation impériale de grande envergure, au pire la résultante symbolique des graves désordres psychologique des oligarques de tous poils et de tous lieux.
En revanche, il y a des scientifiques, ils sont peu ce qui est navrant, qui travaillent en ce moment même sur une production d'électricité qui génèrerait, aux premières sources, qu'une moindre pollution, voire pas de pollution du tout: la fusion-froide.
En France, c'est Jean-Paul Bibérian, aujourd'hui à la retraite, qui travaille sur ce sujet, je vous laisse un certain nombre d'adresses de sites traitant de cela: ici, là, là-bas, ailleurs, pourquoi pas à cet endroit et plus si affinité.
Il ne s'agit pas de croyance, bien que la question bien entendu se pose: cela fonctionnerait-il ou ne fonctionnerait-il pas, je vous laisse le soin de vous y pencher, bien que personnellement je considère l’honnêteté intellectuelle de ce monsieur de bon aloi.
Il faut, se dit-il en science, 80 années pour qu'une idée nouvelle soit accepté par la majorité des savants, or nous n'avons pas 60 ans devant nous et, hormis le charbon, les autres énergies chimiques, gaz et pétrole, tendent à s'amenuiser (les histoire de réchauffement climatique anthropogénique c'est de l'abrutissement propagandiste, de la pleine crétinerie et de la frivole ânerie).
Sans compter que la filière nucléaire actuelle, à l'uranium, nous pose d'immenses difficultés et, potentiellement, des dangers véritables.
Au risque de me répéter, nous ne pouvons pas nous passer, dans l'immédiat, des sources énergétiques classiques, sauf à ce que nous subissions une très importante morbidité de la population mondiale, et ce ne sont pas les éoliennes tueuses d'oiseaux et les cellules photovoltaïques, largement inefficace, qui y changeront quoi que ce soit (ainsi devant chez moi vois-je une magnifique brume d'hiver).
Quand à la prof braquée, je vous avoue avoir eu des difficultés à regarder jusqu'au bout le bref film que vous avez passé en début de votre vidéo, j'en souffre moi-même rien que de la voir.
Là, çà, c'est encore plus sérieux que les thèmes précédents déjà extrêmement graves.
Ce qui me fascine le plus c'est l'incapacité de ces jeunes de percevoir a porté de leur acte, ce qui signe cet effondrement moral, intellectuel, dès lors de la raison, qui n'est pas en soi une des causes de nos problèmes mais l'un de ces multiples effets qu'il nous faudra bien règler à un moment ou à un autre.
Bon an mal an, voici le retour des apaches, ici aussi, cette jeunesse désœuvrée et/ou pauvre de la fin du XIX° siècle jusqu'en 1918 à Paris, aujourd'hui reléguée dans les banlieues des grandes villes.
Je suis allé rapidement voir ce qu'il se disait des écoles sur internet: c'est effrayant, je suis heureux de ne pas être jeune aujourd'hui.
En fait, cette situation n'a rien de surprenant si nous tenons compte du fait qu'elle est l'une des résultantes des économies drastiques faites par l'état depuis des décennies à la demande de l'Union-Européenne et de la ploutocratie, entre-autre dans l'éducation nationale (qu'il serait mieux avisé de nommer instruction nationale, on éduque un chien, on ne l'instruit en rien), mais aussi la perte de respect pour les institutions ainsi et surtout que de celle, tout bonnement, de la raison, de la part de ceux qui devraient censément les incarner, surtout au plus haut du pouvoir exécutif.
Cette perte de moyen des écoles provenant, donc, des fameuses G.O.P.E., génère, bien entendu des effets délétères, ceci d'autant plus que le chômage de masse mène à ce que nombre de jeunes ne comprennent plus pourquoi ils devraient s'échiner à s'instruire...
Mais si ces effets en venaient à être connus de la population, cela remettrait en cause l'existence même de l'U.E., c'est pourquoi il fut demandé aux recteurs de n'en rien en dire, il est même possible que ceux qui auraient fait mine d'en parler auraient été sanctionnés, voire même auraient pu être chassé de leur poste.
Ne restant plus que des personnalités incompétentes dont le seul rôle consiste à à ne surtout "pas faire de vague", dont serait issu notre actuel ministre, Monsieur Blanquer.
Il est prévisible que ce phénomène touche, de plus, une bonne part du haut de la hiérarchie de l'administration française.
C'est ce que j'appelle "l'effet Peter absolu", ce qui fut, à mon sens, l'une des raisons principales pour lesquelles l'U.R.S.S. ne pouvait que disparaître.
Ce phénomène, si nous en poursuivons le déroulement logique, ne peut que conduire à ce que le gouvernement n'ait quasiment plus d'information réelle sur l'état de la nation, chacun des fonctionnaires ayant une quelconque autorité ne pouvant que tronquer les réalités du terrain.
Ce qui, de déformation en déformation, au fur et à mesure que les informations suivent en se brouillant l'échelle d'encadrement, emmène à une totale distorsion entre cette réalité du terrain et ce qui en est perçu du pouvoir exécutif.
Si, de plus, en tant que ministre de l'éducation national, nous nous retrouvons avec quelqu'un issu de cette échelle hiérarchique pervertie, nous pouvons, sans hésitation, en conclure que, d'une certaine façon, l'affaire est bouclée:
Nous pouvons dès lors considérer, en raison même de la désignation de ce ministre, que l'administration de l'Union-Européenne n'a aucune information fiable de la situation réelle de la France, le gouvernement français ayant sûrement également caviardé le peut de données fiables qui aurait pu lui être fournies.
C'est pourquoi, également, il ne serait pas surprenant que même les sondages diligentés par ce même gouvernement, voire même par l'un des médiats détenu par nos oligarques ou ceux du service public, ne relèveraient en rien d'analyses fiables établis sur des critères de qualités, mais seraient, d'une manière ou d'une autre, constitués de façon à ce que ceux-ci plaisent à nos dirigeants.
Donc, quand il est annoncé dans ces même médiats une quelconque perte de popularité de Monsieur Macron, je lui retire facilement dix points sur ce sondage, ainsi de ce 29% annoncé dans Ouest-France, 19% serait pour moi une valeur plus proche de la réalité.
Enfin, venons-en à ce qui me paraît être de la plus grande des gravités futures, le parachèvement de l'effondrement en cours de l'économie-monde, débuté il y a de cela quelques bonnes années, mais surtout des effets que celui-ci induira dès lors que le système aura cessé de fonctionner.
Nous avons vu plus haut que depuis quatre décennies environ l'Occident a vécu une terrible désindustrialisation (Monsieur Trump, quoi que nous en pensions part ailleurs, en tant que réformateur impérial, tente logiquement de réindustrialiser les U.S.A., à notre propre dépend il est vrai, mais, à mon sens, il arrive trop tard), désindustrialisation s'étendant dorénavant à l'international.
Voici la définition toute personnelle de la valeur d'une monnaie:
La valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.
Cette définition montre une chose: plus une monnaie est produite pour une richesse donnée d'un pays émetteur, moins celle-ci aura mécaniquement de valeur.
C'est la raison des processus d'hyperinflation: ce qui est vendu conservant sa valeur propre, la masse monétaire s'amplifiant, il faudra donc logiquement plus d'argent pour acheter la même chose.
( Une économie efficace et pérenne générant, elle, une inflation naturelle de 4 à 7%, étant entendu que la-dite inflation est la résultante, est l'un des effets normale de cette économie efficace et constructive, inflation largement compensée, pour la population, par l'efficacité économique ainsi générée. )
Ce qui, jusqu'à présent, a surtout concerné ce vers où cette monnaie surnuméraire fut déversée, soient les jeux spéculatifs, bourses, matières premières, crédits etc..., d'où ces records boursiers depuis des années.
Pour le citoyen lambda, ce que nous sommes, la déflation due à cette désindustrialisation est venue plus ou moins compenser le petit peu d'inflation qui suinte jusqu'à nous, provenant de ces Q.E. officiels et officieux répandus dans les entreprises spéculatives.
Depuis quelque temps déjà, la F.E.D., la banque centrale U..S. remonte ses taux, ici ceux à trois mois concernant directement les particuliers.
En fait ce truc veut dire que, comme toute banque centrale, elle prête la monnaie qu'elle vient de créer, aux banques, aux états ou à n'importe qui d'autre, avec un certain intérê, ce prêt peut se faire sur quelques mois, sur des années ou sur une à plusieurs décennies.
Donc, la F.E.D. remonte ses taux et les prêts aux particuliers sont variables aux U.S.A., ce qui veut dire qu'ils montent et descendent suivant, justement, les taux de prêt de la F.E.D..
Or, les étasuniens sont perclus de dettes de toutes sortes, pire qu'en 2008, automobile, étudiant, immobilier, de consommation et j'en passe et des meilleurs..., et ils ne peuvent donc que tous voir leurs dettes s'accroitre au même rythme que les taux montent, ce sera, c'est sûrement déjà du subprime mais en pire, tout simplement parce qu'il y a eu infiniment plus de dollars et de dettes de produits qu'il y a dix ans.
Là où ces crédits sont à taux fixes, comme en France, le problème ne se pose pas, sauf à ce que l'emprunteur se retrouve au chômage, par exemple, bien que des assurances viennent amoindrir ce risque.
En Union-Européenne, les banques ont d'autres problèmes, tout aussi stupide d'ailleurs: pour essayer d'éponger leurs trous de trésorerie, pour tenter de se refaire, comme un joueur de casino, quoi, il faut dire que leurs coffres sont encore remplis des crédits subprimes titrisés datant de 2008, elles mènent des opérations financières à grande échelle très dangereuses, bien qu'en cela elles ne soient pas les seules.
( ...Pendre de temps en temps un banquier est une excellente idée..., Charles Gave à 18mn. 14s., je n'aurais pas osé..., même si je ne suis d'accord ni avec l'un, ni avec l'autre. )
Je ne ferai pas la liste des banques européennes en difficulté, ce serait fastidieux, il me faudrait aller les chercher sur le W.E.B., si tant est que je les trouve, mais, bon an mal an, il y a la Deutsche-Bank, les banques françaises trop grosses pour faire faillite et tout un tas d'autres italiennes, qui toutes, de plus, ont prêté à tout va à la Turquie qui se retrouve en ce moment dedans d'immenses problèmes économiques, à tel point que le Qatar leur a prêté de l'argent pour qu'elle puisse terminer ses fins de mois.
Il n'y a pas que les banques européenne à être dans le rouge, des fonds spéculatifs le sont aussi, dont, paraît-il, le plus gros, BlackRock, aurait de gros ennuis.
Deux autres phénomènes importent également, la désindustrialisation mondiale, pour les raisons indiquées au-dessus, et les hyper-productions monétaires qui, en réalité, concernent quasiment tous les pays, sauf la Russie et quelques rares autres, enfin, de ce que j'en comprends.
Ainsi les U.S.A. continuent de produire des dollars à tout va, mais cela ne se fait plus au vu et au su de tous mais en pleine discrétion.
Comment croyez-vous que la F.E.D. a fait pour regonfler Wall-Street après sa brusque baisse de ces jours derniers?
Alors le système va se casser la figure, quand, personne ne le sait, quel en sera l'élément déclencheur, tout le monde l'ignore, même si certains s'essaient de le pronostiquer.
Les scenarii potentiels sont nombreux: guerre civile aux U.S.A., révolte de grande ampleur en France, BlackRock, Deutsche-Bank ou B.N.P.Paris-Bas en faillite, blocage de tout le système productif et/ou commercial international..., en tout cas ça ne viendra pas des bourses qui, quoi qu'il se passe, seront remontées au cric à coup de planches à billet si besoin est.
Par contre, ce qu'il est possible de prévoir, même d'une façon grossière, ce seront ses effets et, çà, ça sera calamiteux.
Songez-y, en raison des monnaies ayant perdu leur valeur nominale, le commerce international aérien, routier et maritime cessera de fonctionner puisque les monnaies ne pourront plus être évaluées les unes par rapport aux autres, enfin, vous voyez le truc quoi.
Bon, ce texte est long je vais donc agiter ma flemmardise et faire deux copier-coller que je corrigerai des coquilles passées si besoin est.
Le premier concernera de ces effets les plus graves de cet effondrement, le second seront les conseils minimum que je peux donner.
Vu que nous ne sommes pas aux États-Unis-d'Amérique où la situation est pire, il n'est nul besoin de jouer au survivaliste.
Ceci d'autant plus que la France est un pays infiniment plus petit doté d'un pouvoir centralisé.
Il faudra juste décompter le temps pour que le gouvernement actuel explose, ce qui peut être très rapide, de plus, tout dépendra de l'époque de l'année où cet effondrement surviendra, le pire serait au printemps, le mieux en fin d'été ou au début d'automne, époque des moissons.
Voici donc ces réutilisations de parties de textes précédents en couleurs différentes.
De ces problèmes, cinq me semblent les plus centraux en raison des privations dangereuses pour la population qu'ils produiront ainsi que des forts risques de déstabilisations sociales que cela pourrait générer.
Ce seront les carburants, les médicaments, la monnaie, les communications: internet et le commerce national & international, aérien, routier et maritime, et enfin (si je puis dire) la nourriture, du reste nous pouvons tous nous en passer, du moins momentanément.
-La monnaie: quelle soit papier, métal et électronique, nous n'en serons plus pourvu et cela pour deux raison:
-des deux premiers par le manque des matériaux nécessaires pour leur production, comme l'encre, le papier, les métaux..., puis par les difficultés d'approvisionnement des particuliers, les banques ayant fait faillite, les distributeurs automatiques et les virements automatiques ne fonctionnant plus, il faudra acheminer ces monnaies par transporteurs, à l'ancienne, jusqu'aux plus petites communes, or, sévira le manque de carburant;
-du second par la pane d'internet à cause de la banqueroute des États-Unis-Amérique (j'y reviendrai), c'est pourquoi les virements automatiques ne se feront plus et les machines distributrices de billets ne fonctionneront plus (à la faillite des banques, leur nationalisation y répondra logiquement, tout dépendra ensuite du temps de réponse des autorités pour que celle-ci se produise);
Cela engendrera autant une désorganisation sociale par le retour au troc, une déstabilisation politique puisque la majorité de nos élus sont d'une idéologique monétariste, sous une forme ou une autre, la difficulté, pour les chefs d'entreprise, de payer leurs employés, sans compter que l'euro ne pourra que disparaître rapidement, mettant fin à l'existence de l'Union-Européenne.
Les communications et les transports:
La faillite généralisée mènera logiquement à l'arrêt des transports nationaux et internationaux, maritimes, routiers et aériens;
Mais plus encore, vu que ce sera aux États-Unis-d'Amérique que les effets de cette faillite risquerait fort d'être les plus violents et que ce pays est, de fait, celui qui accueille la majorité des outils permettant le bon fonctionnement d'internet, la toile pourrait bien, au mieux très fortement ralentir, au pire ne plus fonctionner du tout;
Si je les ai regroupé sous la même rubrique, c'est que ce sont les deux noyaux durs de la mondialisation, ceux sans qui les échanges internationaux ne peuvent se faire;
Comme pour ce qui concerne les monnaies et leur flux, dont celle circulant en France aujourd'hui, l'euro, les communication et les transports sont les vecteurs premier du bon fonctionnement de la globalisation;
Or, l'effondrement des monnaies, dû à l'explosion de la multitude des bulles spéculatives, des plus énormes aux plus insignifiantes, et la désorganisation d'échelle mondiale qui s'en suivra rapidement, conduira vitement à la cessation de fonctionnement du commerce et des voyages internationaux;
Pour le net, son ralentissement ou son arrêt pourrait bien être plus lent, bien qu'en ces choses je n'ai pas les connaissances nécessaires pour prévoir quels seront les dégâts qu'occasionneraient, aux U.S.A., la disparition de la globalisation économique;
Toutefois et au vu du peu que je sais de la situation politique et économique des Etasunis, sachant, de plus, que se trouvent là-bas la majorité des machines permettant le bon fonctionnement du web, internet devrait considérablement souffrir du délitement des États-Unis-d'Amérique;
Autant les effets de la cessation d'activité des transports sont faciles à imaginer, ce sont ceux des plus nuisible que j'examinerai avec vous, amis lecteurs, ci-dessous, autant ceux dus au ralentissement, voire à l'arrêt d'internet se perçoivent comme bien moins lisibles;
La raison en est l'intrication entre l'informatique et des autres outils de communication, du téléphone à la télévision, du courrier/courriel à la radio, de la police à l'administration, des commerces à l'agriculture...etc...etc..., les exemples sont très nombreux où il y a des liens plus ou moins lâches, plus où moins forts entre les flux du web et le reste de la société, en fait, où donc il y en a-t-il pas?
Qui peut dire ce qu'il se passera dans les administrations, dans les entreprises, chez le particulier, dans les banques, enfin celles nationalisées, si le téléphone, portable et fixe, la radio, la télévision fonctionneront toujours, si les assurances conservent tous leurs contrats sous forme papier...etc...?
Enfin bref, qui peut dire à présent quelle sera la résultante d'un arrêt, même partiel, d'internet? Pas grand monde, je le crains;
Un point toutefois est que les échanges spéculatifs tendant à ne se faire qu'au travers de la toile, par un flux monétaire, contractuel et informatif d'essence purement électronique, tout ce qui ressemble à de la dette, à de la bourse et aux autres échanges monétaire pourraient fort bien disparaître corps et bien;
D'une certaine façon et en cela, ce sera le monde, les pays, les états et les peuples qui devront repartir de zéro ou pas loin de là;
Ce sera la seule chose positive que cet effondrement génèrera, du-moins dans un premier temps;
Les thèmes abordé ensuite dans ce libellé sont, justement, les effets les plus néfastes que ces trois arrêts génèreront, ceux de la transaction monétaire, des transports et d'internet.
-Les carburants: L'arrêt du commerce international signera l'arrêt de notre fourniture de gaz, d'essence et de gasoil;
Et si les, comment le dire poliment, les olibrius qui nous gouvernent mettent en vente, au début de cette banqueroute, une partie des réserves stratégiques de l'état (si elles existent encore), pour tenter de réduire la colère populaire, ce sera ça de moins pour que fonctionne au mieux les services de sécurité, pompier, police, armée, de santé, ambulance, médecine, pharmacie, de transport national fluvial et routier, de nourriture, de monnaie, de médicament (s'il y en a) et aussi l'agriculture...;
(Étant entendu que le chemin de fer, dont le T.G.V., électrifié, permettra d'acheminer rapidement, d'un lieu à un autre, les produits de première nécessité, mais bien des voies furent supprimées au profit des routes, c'est pourquoi le transport routier restera obligatoire pour atteindre le moindre des hameaux.)
Pour le gaz, également, le problème se posera, là il s'agira du chauffage et de la cuisson des aliments, tout dépendra, comme pour la nourriture, de l'époque où cette faillite de l'économie-monde se produira, bien que, quoi qu'il en soit, il faudra du temps pour qu'un minimum du commerce international se rétablisse;
Si l'hiver est très froid et les printemps, automne sont très humides, alors nous devrons compter avec un taux de décès accentué du au manque d'aliment et de médicaments (voir les sujets suivant).
-La nourriture: plus encore de ce qu'il en sera pour le chauffage au gaz, tout dépendra à quelle période de l'année, en quelle saison cette banqueroute généralisée surviendra;
Le pire serait au printemps, époque où les cultures commenceront leur croissance et où les réserves seront au plus bas (songez, là encore, que le commerce international sera à l'arrêt, donc nous n'en serons plus fournis des antipodes);
Le mieux qu'il pourrait nous arriver, sous nos latitudes, s'entend, c'est que cela survienne vers la fin de l'été, lorsque les moissons et les cueillettes sont prêtes à se faire;
De ce fait, que cela arrive en automne, d'autant plus en son début, ne serait pas une si mauvaise chose;
En revanche, en hiver la situation, pour ne pas être pire qu'en fin de printemps, serait toutefois problématique;
Ce sera le manque de nourriture qui provoquera les pires des désordres et ce sera dans les grandes agglomérations que le niveau de violence sera le plus grand;
La faim, en effet, se fera sentir là où l'acheminement, mais surtout la production de denrées sera la plus faible;
Or, les grandes villes et grandes métropoles, hors des champs pavillonnaires de certaines banlieues et leur jardin, seront, de fait, là où sévira le plus la disette alimentaire (tautologie);
Au premier chef la région parisienne, bien sûr, mais aussi les quatre à cinq plus grandes métropoles de France: l'Ile-de-France, évidemment, mais aussi Marseille, Lyon, Toulouse et Nice et leur proche voisinage auront à craindre des émeutes de la faim;
La production et la distribution de nourriture seront les deux défis primordiaux auxquels sera confronté le gouvernement d'alors, là se situera sa légitimité.
... Et s'il n'agit pas avec célérité et efficacité dès le début de cet totale banqueroute, il sera inéluctablement renversé;
(Deux remarques:
-la première est que ce sera à l'équipe communale d'agir au tout début de cette crise puisque ce sera au niveau des petites et moyennes agglomérations qu'il sera plus aisé de bâtir un réseau d'organisations efficientes, le second niveau étant celui départemental et dès lors de la préfecture;
-la seconde est que le rétablissement rapide de la monnaie devrait être la deuxième priorité du gouvernement d'alors.).
Les médicaments:
Le fait que nombre de molécules médicamenteuses, voire bon nombre de médicaments, ne sont plus fabriqués sur notre sol ou sur celui de nos proches voisins, fera porté de graves risques sanitaires sur la population lorsque la fourniture des-dits médicaments ne sera plus convoyés jusqu'à nous;
Nous risquons en effet une monté rapide de la mortalité chez les gens les plus fragiles, les personnes âgées, les greffés, les malades chroniques...etc...;
Nous pourrions nous retrouver ,en effet, à faire face à une situation semblable à une pandémie de grande échelle telle que fut celle de la grippe dite espagnole qui avait sévi entre 1918 et 1919;
Ce qui entrainera une morbidité de la nation explosive et, là encore, les mairies se retrouveront en premières lignes pour gérer la situation;
Des mesures rapides et contingentes d'échelle nationale devront aussi être prises pour que cela se passe sans trop de difficultés, mais je doute, encore une fois, en la capacité de notre équipe gouvernemental pour gérer ces crises polymorphes.
Je me dois également d'aborder les questions politiques puisque une telle catastrophe ne pourra que générer, en cela, un bouleversement d'une ampleur incommensurable.
Comme j'ai pu l'écrire plus haut, ce sera les capacités de réactions de l'équipe gouvernementale de la France qui déterminera autant le degré de désorganisation du pays que de la sauvegarde du gouvernement.
Contrairement à la France et à la Grande-Bretagne, l'Allemagne ainsi que la majorité des pays de l'Union-Européenne vivent, depuis des décennies, une baisse importante de leur natalité.
Or, lorsque les médicaments ne nous parviendront plus, ils verront une diminution très importante de leur population par la même augmentation de la morbidité des anciens et des malades chronique.
Ce phénomène mènera à une déstabilisation importante de l'ensemble des pays de l'Union-Européenne par une véritable implosion démographique due à la disparition d'une bonne proportion des générations les plus anciennes, des plus riches comme des plus pauvres, en Europe, certes, mais aussi partout dans le monde où ce déséquilibre générationnel est patent, en Chine, aux U.S.A. et au Japon notamment.
Devant ce cataclysme, tous les pays de l'union, de gré ou de force, se retrouveront donc dans l'obligation d'un recentrage national, soit par décision gouvernemental, soit parce que la population, n'en pouvant plus, renversera le gouvernement d'alors.
De plus, ce seront toutes les nations du monde qui devront faire face aux mêmes défis de carence et de pénurie, ainsi, dans l'ensemble, les même problèmes se poseront pour tous.
Toutefois là où l'agriculture vivrière est toujours pérenne, le choc sera bien moindre, la famine sera moins rude qu'ailleurs.
Donc, dans tous les pays occidentaux, Japon compris, où la natalité est réduite, soit sans réel renouvellement générationnel, ce choc sera cataclysmique, puisque la population se verra diminuer drastiquement.
En France et au Royaume-Uni, avec leur petit babyboum datant du début du XXI° siècle, soit avec une jeunesse atteignant les 17 à 18 ans d'âge pour les plus anciens, cette situation sera difficile mais pas aussi catastrophique que partout ailleurs.
Ce qui fera perdre un temps appréciable aux français, ce sera que ce gouvernement, dit macronnien, peuplé d'olibrius sans grande jugeote, ceux pour qui aucune idée ne peut leur parvenir hors de celles des oligarques ploutocratiques de type Minc et Attali (voyez leur âge), leurs maitres à penser, qui ne seront plus là pour leur dicter leur conduite
En U.E., l'administration européenne dirigé par l'homme à la dive bouteille, Monsieur Junker, le gouvernement allemand, russe et étasunien auront tous d'autres chats à fouetter que de leur donner leurs ordres de marche (il y a fort à parier qu'en Union-Européenne, cette administration ne vienne à se dissoudre par elle-même, se retrouvant sans possibilité de communication efficace, sans argent, sans nourriture également et, pour certains des plus vieux, sans médicament bien sûr).
Habitués qu'ils sont à la seule obéissance, ceux qui nous dirigent, politiquement et économiquement, s'affoleront et agiront de manière incohérente et désordonnée.
Pour résumer et à de rares exceptions près, les milliardaires auront disparu, ruinés et/ou mort pour les plus anciens, l'Allemagne sera dans une situation véritablement catastrophique, ainsi que les Etasunis, le Japon, la Chine, la Russie sera au plus mal mais ce sera le pays qui s'en sortira le mieux et le plus vite, l'U.E. se délitera rapidement et les banques ainsi que les société internationalisées seront en plein dans leur faillite.
En un mot comme en cent, ce sera la faillite et l'affolement général.
Ceci proviendra de la rapidité avec laquelle l'économie-monde aura cessé de fonctionner ou, plutôt, de la sensation de sa rapidité, du fait qu'a force de cacher, aux population, par moult mensonges et tromperies, la situation économique internationale réelle, ceux-ci en sont venu à croire à leurs propres inventions (pour les raisons indiquées au tout début de ce texte).
Or, préparer par avance un événement de cet ordre, ad minima intellectuellement, se devrait d'être la moindre des choses de personnes ayant de telles responsabilités, au moins pour en amoindrir les effets.
Ce qui, vous en conviendrez, est loin d'être le cas.
En fait, si le gouvernement reste plus de trois mois au pouvoir, là ce sera, pour nous, une réelle catastrophe, mais je ne pense pas qu'il puisse tenir au-delà de ce trimestre.
Et à mon sens, seul Monsieur Asselineau a de cette dimension de chef d'état pouvant au mieux et au plus vite rétablir notre pays, la France, dans une juste concordance politique et économique, qu'il soit au mieux connu, ce serait bien, que son parti politique, l'U.P.R., ait le plus le plus grand nombre de députés, ce serait mieux, que lui-même se tienne prêt à cette échéance, il ne saurait y avoir meilleurs des choses.
Mais pour le reste, nous souffrirons, quoi qu'il en soit, de cette banqueroute généralisée, c'est pourquoi, une fois encore, je vous conseillerais de faire vos réserves et, pour ceux qui le peuvent, votre potager, avec quelques poules, pourquoi pas.
Trois mois de vivres, un an de produits d'entretien et soin pour le corps, trois ans pour le troc et les petites ventes sont le minimum vital.
Faites donc des réserves, ayant moi-même compté au minimum:
-quelques jours, voire deux semaines de menues monnaies, ne serait-ce que pour quelques courses, le pain, notamment, ceci étant dû au fait que les banques ayant fait faillite, il faudra du temps pour que le gouvernement réagisse ou ne soit renversé, pour qu'enfin celles-ci soient nationalisées (il en sera de même pour les assurances, il vous faudra être prudent);
-si vous avez des économies dans une même banque, répartissez dès aujourd'hui cette somme dans plusieurs autres, l'une peu disparaître mais pas l'autre;
-si vous achetez de l'or, de l'argent et/ou du platine, plutôt en petites pièces, conservez-les chez-vous, bien cachés, dans un trou au fond du jardin par exemple, mais sachez que cette monnaie ne vous servira que dès que le système économique du pays repartira et pas avant;
-si vous avez beaucoup d'argent, même hors des frontières, transformez-le en matières premières et entreposez-les discrètement près de chez-vous, ou achetez des terres agricoles, des concessions minières dans votre propre pays, de petits objets d'art que vous mettrez dans votre maison, enfin, tout ce qui peut permettre à un pays de se refaire une industrie et à vous de ne pas trop perdre d'argent (de toute façon, vous en perdrez et beaucoup);
-trois mois minimum de nourritures pouvant se conserver, pâtes, riz, plutôt complet, légumes voire fruits secs, farine, sucre, huile, beurre, ...,plus des conserves si vous en avez la place, du café aussi, le temps que les acheminements de vivres reprennent, l'agriculture française existant encore (pour combien de temps?);
-faites un potager, vous pouvez dès maintenant acheter les outils, des graines au plus tôt, faites le bêchage d'automne, vous sèmerez tomates, courgettes et autre en intérieur tôt sur la saison pour mettre en place dès la fin des frimas, par exemple, pour avoir votre récolte au plus tôt;
-si c'est possible, ayez des poules pour les œufs puis la viande, pour vous et aussi pour du troc;
-comptez un an de produit de première nécessité, pour le corps (savon, shampoing...) comme pour la maison (javel ou vinaigre blanc, lessive, P.Q....), songez à ce que quasiment plus rien n'est produit en France;
-ayez de quoi faire du troc pour deux à trois ans de ce qui n'est plus produit sur notre sol, soit presque tout, tout pourra faire l'affaire, des cigarettes pour les non fumeurs (les autres les fumeront), du chocolat, du café (là encore il sera dur de ne pas résister), mais aussi du papier, du cirage, du savon en rab, de la peinture, du bois de chauffe, des piles, des lampes..., etc..., enfin, de tout ce dont nous avons tous besoin au jour le jour et dont nous ne faisons que des réserves limités;
-le vélo et/ou le vélomoteur (le plus économe en essence), surtout si vous habitez loin des gares, le train continuant sûrement de rouler, seront une valeur sûre, songez que l'arrêt des transports internationaux signera celui des produits pétroliers, votre voiture restera donc au garage et les bus et cars au dépôt, l'essence et le gasoil sera réservé aux véhicules prioritaires et aux armées;
-commandez un, voire deux chéquiers, les paiements électroniques pouvant cesser à un moment ou à un autre, rapidement (?) le chèque pourrait devenir le seul moyen de paiement pour un temps indéterminé, dès que le gouvernement d'alors auront rouvert les banques;
-conservez convenablement tous vos papiers, attendez-vous, aussi, au moins à un ralentissement d'internet, les administrations, les banques et les assurances, aussi, pouvant les égarer lors de cette catastrophe, voire perdre leurs informations informatiques;
-dès que les signes les plus évidents et marquants, pour ne pas dire angoissants, seront là, allez voir votre maire ou laissez-lui un courrier pour lui expliquer ce qu'il se passe, parce qu'il y a de fortes chance qu'il n'y comprenne rien, ceci pour qu'il commence à organiser autant les pénuries que les risques de désordres et débordements.
C'est, en effet, dans les débuts de cet effondrement, au local, que l'organisation sera, dans un premier temps, le plus efficace.
C'est aussi, voire surtout, pour cela que je vote et voterais pour l'U.P.R. et Monsieur Asselineau.
Vous aussi, prenez soin de vous et faites vos réserves.
THEURIC