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  • La police.

    Pour le moins, les réactions policières face aux gilettistes relèvent de l'incongruité la plus totale: comment ceux-ci peuvent-ils imaginer que le système qu'ils protègent puisse perdurer ad vitam æternam?

    Ceci d'autant plus que leur manque criant de personnel les mène  à devoir faire des heures supplémentaires qui, tant que la France restera dedans l'Union-Européenne et que les partis politiques pro-UE, réformateurs ou pas, seront au pouvoir et dans les chambres délibératives, ne seront jamais payées.

    Payés des clous, sous équipés, avec peu de repos, ceci ruinant leur famille et leur santé, pour sauvegarder ce système néolibéral euro-atlantiste à l'agonie dont ses représentant n'ont pour eux aucun respect, les plus agressifs d'entre-eux ne se rendent même pas compte qu'ils risquent, en plus d'être haïs par la population, de se retrouver en prison dès que celui-ci se sera effondré et le pouvoir changé de main.

    Je comprends parfaitement ce qu'il se passe en eux, ayant été moi-même conducteurP1020193.JPG de bus à Paris, avec des horaires très irréguliers, des pressions continuelles pour que nous roulions de plus en plus vite, sachant que nous risquions d'être virés s'il y avait un grave accident, dans la peur qu'il y ait un mort en ce cas, et, pour ma part, d'avoir été manipulé par un pervers narcissique pendant trois décennies:

    Ainsi, ces policiers et gendarmes, totalement épuisés, ce qui diminue leurs capacités mentales, certains d'entre-eux devant même dormir à la moindre occasion, angoissés, soumis par des pressions continuelles de leur hiérarchie générant en même temps de la peur qu'ils ne se retrouvent au  chômage ou devant des juges, peur aussi de recevoir un mauvais coup, les menant à de l'immense colère d'être contraint d'agir de la sorte, à l'encontre de la morale et de la probité, qui, normalement, devrait se tourner à l'endroit de ceux qui donnent les ordres mais qui est en réalité refoulé par leur soumission.

    Cette soumission étant la complexe résultante de l'activation de ces deux émotions primaires, la colère et la peur.

    Avec de plus des délateurs au sein de leur groupes, qui, par intérêt et/ou par perversité, pour qui il leur est fait miroité un avancement hiérarchique rapide, ce à quoi seuls les naïfs peuvent croire, désignant ceux qui ne se montreraient pas suffisamment violent.

    Sans compter un discours rabâché par cette même hiérarchie les désignant comme P1030475.JPGétant l'élite de la nation (écoutez bien votre petite voix intérieure, amis policiers et gendarmes, elle vous dira que ce ne sont que des mensonges, cette hiérarchie n'a pour vous que du dédain!).

    Variant ainsi entre la carotte et le bâton, un barbecue de temps en temps aussi.

    ( Je n'y suis pas, certes, mais c'est tellement classique, sinon évident, qu'il ne suffit que de quelques réflexions pour le conceptualiser, bien que j'aie mis du temps pour cela.  )

    L'une des résultantes de tout cela étant le nombre de suicidé parmi les policiers et les gendarmes, sans compter tous ceux qui, empreints d'un stress intense, ne font plus rien quand il ne sont pas au travail, ne se rendant pas compte qu'ils ne sont pas loin d'une profonde dépression.

    Renforcée par ces discours hiérarchiques, c'est cette colère qui, en réalité, se porte à l'endroit de ceux qui les dirigent et discourent de la sorte que tous savent parfaitement incompétents, cette colère, ai-je dit, qui, alliée à la peur et à l'épuisement, conduit à leur soumission à leurs chefs.

    Colère qui est, comme toute émotion peut l'être, déplacé à l'endroit des gilettistes et de tous leurs alliés ou considérés comme tels, seule manière pour eux de conserver un semblant d'équilibre mental.

    Leurs époux ou épouses percevant bien que ce qu'il se passe en ce moment les déstabilise mais comprennent bien qu'ils ne peuvent rien faire, hormis, de plus en plus, une fuite avec les bagages et les enfants, ce qui accroit d'autant plus pour les policiers et gendarmes leurs désarrois, du moins les femmes policières peuvent-elleP1020928.JPG tout faire pour être enceinte et s'éloigner de cet enfer, ce qui ne peut que soulager leur mari.

    Ce que je montre là n'est en rien fait pour excuser qui que ce soit mais pour montrer une mécanique de manipulation mentale menant policiers et gendarmes à agir de la sorte.

    C'est la seule explication que j'ai pu trouvé donnant du sens à leurs exactions, d'ailleurs s'ils me lisaient la plupart nieraient, dans un premier temps, ces faits, mais dans un premier temps seulement (si quelqu'un à quelque chose de mieux à me proposer pour décrire ce paradoxe que je viens d'énoncé, j'en serais ravi).

    Seule la conscience en effet de cette machinerie infernale peut permettre aux policiers et aux gendarmes de recouvrer leur libre-arbitre.

    Ce gouvernement et tous ceux qui les suivent ne sont en rien des démocrates et il leur faut à tout prix maintenir leur contrôle de la population qui, plus le temps passe, mieux comprend l'incohérence et la malfaisance des allégations déplorables et mensongères de tous ceux qui profitent de l'existence de l'Union-européenne, dont le nombre se rétrécit comme peau de chagrin.

    Union-européenne qui, part ailleurs, détruit les tissus sociaux, politiques et économique de la France.

    P1020917.JPGIl faudra ensuite, pour chacun d'eux au métier du maintien de l'ordre et gardien de la paix sociale, un long temps de repos, pouvant se compter en mois pour certains, pour qu'ils puissent récupérer de cette réelle folie.

    Or, cela ne pourra que survenir que quand le pays, d'une manière ou d'une autre, sera sorti de l'UE et qu'un changement de gouvernement se fasse.

    Si cela arrive en raison d'un effondrement de l'économie mondialisée monétariste, il est à craindre que beaucoup de ces policiers et gendarmes ne pourront pas être aptes, par épuisement tant mental, nerveux que physique, à faire leur travail, ce qui surajoutera grandement à nos difficultés d'alors.

    Ceci sachant qu'il nous faudra aussi remplacer cette hiérarchie décadente.

    Ce billet étant, vous l'aurez remarqué, d'essence pacifique.

     

     

    THEURIC

     

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  • D'un eurêka.

    Il est des moments où l'idée survient comme un flash, en une soudaine irruption, et cela m'est venue en allant aux toilettes.

    Juste avant je m'étais aperçu qu'une très très vieille colère, dont j'avais depuis longtemps dénoué les substances, ce qui m'avait permis de ne plus être soumis au pervers  narcissique dont je vous a vais fait cas l'année dernière.

    De ce vieil ire, donc, dont j'avais compris les substrats les plus anciens et délié les fils des plus entremêlés, m'est revenu, en mâtin ce matin sans que je n'en comprenne les raisons.

    J'ai donc fais comme d'habitude en cette sorte de situation, je me mets à l'écoute de ce que mon corps a à me dire en sentant ce qu'expriment les tensions que je ressentais à ce moment là.

    Il m'a fallu près de trois décennies pour m'apprendre à faire ça, voire plus de P1030290.JPGtemps, pour débuter, pour ceux que cela intéresse, j'ai commencé par sentir chaque partie de mon corps, puis les tensions qui les traversent, dont au premier chef mes organes et mes doigts de pieds.

    Mais c'est à chacun de trouver sa voie pour ceux que cette conception peut animer et un conseil, allez-y doucement.

    Vu que chaque personnalité est différente, je ne me vois pas en droit de dire quoi faire, de faire çà puis çà, ou d'être seul ou en groupe, ou de tout autre mode de façon de faire, c'est à chacun de faire suivant sa manière de fonctionner.  )

    Ensuite, suivant un certain temps pendant lequel je m'essayais de saisir d'où cette colère provenais, j'ai compris:

    Ainsi, si elle s'était exprimée c'était parce que même si psychologiquement j'en avais saisi les fondements, mon corps avait en un tel point enregistré en réflexe l'émotion que, quand bien même mon esprit s'en était détaché grâce mon autoanalyse, mon corps en restait, lui, sujet.

    Ce qui fait qu'à soixante ans je sais que j'en resterais jusqu'à ma mort empreint, arrivé à un certain âge il faut faire attention, sauf lors de nécessités médicales ou s'il y a urgence mortelle ou handicapante, de ne pas trop remettre en cause nos structures corporelles, la seule chose qu'il me soit possible de faire quand cela se reproduira, ce sera de l'observer jusqu'à ce que cette colère se réduise et ne me gène plus.

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    De cette découverte somme toute ne faisant que de me concerner, bien que ces réflexions puissent aider des personnes, et puis n'avais-je pas annoncé que je commencerais à vous parler tout doucement de métaphysique?

    L'autre sujet, donc, s'intéresse aux raisons des choix économiques du gouvernement français et de l'administration bruxelloise, et, comme dit plus haut, la réponse m'est venu en un jaillissement en allant aux toilettes, vous savez, ce lieu d'aisance où nous nous devons de passer chaque jour et où notre mental trottine de ci de là, quand nous ne lisons pas, le temps pour nous d'évacuer les rebuts de la digestion des repas de la veille.

    Ce fut une phrase que j'avais entendu, juste au moment où, il y a quelques jours, je zappais sur je ne sais plus quelle chaîne d'information, d'un personnage qui, doctement, disait: "...pour l'économie moderne, la sidérurgie d'aujourd'hui c'est la banque...".

    Tout haut soliloquant, dépité, je dis: "Ce sont des conneries!" puis je continuais d'errer dans ce milieu touffu et mièvre de la télévision du XXI° siècle, sans me rendre compte que j'avais de manière subliminal enregistré cette phrase absurde et, qu'ensuite, mon esprit s'était mis au travail.

    Et le résultat fut ce jaillissement soudain, dont je vous ai narré l'aventure de saP1020887.JPG soudaineté ci-dessus, et qui me fais comprendre la logique interne de la désindustrialisation de la France et de la tentative désespérée des gouvernements et des banques centrales de sauver l'entreprise bancaire:

    Puisque, pour ces hurluberlus, les banques privées sont les seules alternatives de la modernité économique, tout le reste ne leur est d'aucune importance, les mines, les manufactures, industries et autres fabriques, ainsi que l'agriculture ne sont, pour eux, d'aucune utilité et peuvent être jetés à la poubelle (de l'histoire?) sans l'ombre d'une hésitation ni de regret.

    C'est cela qui détruit à petit feu l'économie mondiale depuis très longtemps.

    Et qu'importe si cela fait monter le chômage et désertifier la province, puisque cela ne concerne que des gens qui ne sont rien, et puis, sont-il, pour eux, vraiment humain?

    Ceci d'autant plus que, dedans  leurs fantasmatiques rêverie, leur utopie dérisoire et dangereuse, ils imaginent que l'industrie bancaire et financière fera advenir, dans le  futur, le paradis sur Terre, le royaume des bienheureux d'où coulera éternellement le lait et le miel, et où chacun vivra dans la félicité jusqu'à la fin des temps, ceci sous la tendre et protectrice main paternelle des États-Unis-d'Amérique et de l'OTAN.

    Parce que, quant bien même ce soit Mr. Trump qui est président de l'empire US, ce renégat qui veut détruire l'Union-Européenne béatifiante, ce rêve perdure, et chacun de scruter à la loupe la moindre faiblesse de cet homme en espérant qu'il soit renversé et qu'enfin revienne un Obama, le crétin, ou un Clinton, le truand, salvateur.

    Seul hic, les banques, assurances et autres sociétés spéculatives sont au plus mal, à P1020778.JPGun point tel que la FED doit continuer de déverser des tombereaux de monnaies dans les banques pour qu'elles parviennent à tenir debout.

    Il est même fortement possible que les banques centrales des pays de l'Union-Européenne et la BCE fassent toutes de même sans rien nous en dire.

    C'est ce discours économique dogmatique mettant la financiarisation au centre de toutes réflexions qui, depuis des décennies, j'en compterais à vu de nez trois bonnes, qui, adopté par des économistes qui ne le sont que le nom, nous conduit maintenant à cet effondrement lent du tissu économique international et à la destruction des monnaies.

    C'est le même qui ruine industriellement ces pays européens qui furent dit de l'ouest et limite de toutes forces les salaires dans ceux anciennement de l'est, ceci par les fortes contraintes imposées par cette imbécile union où, à l'aveuglement et à la naïveté, s'y rajoute une méchanceté administrative qui, à bien des égards, ressemble quelque peu à celle qui prévalait au pire moment du stalinisme.

    A la seule différence que l'on envoie plus les gens au goulag mais on les laisse pourrir dans des campagnes désertées, déprimer dans un travail inutile avec des chefs pervers, faire faillite par des dettes trop importantes ou se suicider par stress intense...

    Nous en sommes venus à ce que le mensonge est devenu l'habitude pour les tenant de cette idéologie, administration de l'UE, la grande majorité des gouvernements des pays la composant, les classes-moyennes hautes à supérieurs européenne qui,P1030192.JPG jusqu'à présent, en détenaient tous les bénéfices et qui, en France, commencent à en douter,  ceci sous la double contrainte d'un système qui ne fonctionne pas et qui s'autodétruit, ce qu'ils observent et comprennent, et d'un dogme dit néolibéral, mettant les opération spéculatives au centre de toutes leurs réflexions, sur lequel ils sont dans l'incapacité d'en jauger de la pertinence.

    Tout cela ne peut que cesser de fonctionner un jour, j'en ai étudié un mécanisme possible, voire probable, dans mon billet précédent.

    Je vous ai, antérieurement, montré qu'il y en aura trois phases, l'instant de catastrophe d'une durée approximative de trois mois maximum, l'année de vache maigre qui s'en suivra et les dix ans environ de reconstruction, suivit de dix autres années où les risques de conflagration mondiale seront importants en raison des tensions sociales inouïes que tout ce fatras monétariste aura généré.

    Ensuite, je pense que la société d'alors ne sera plus celle que nous connaissons et que, probablement, la mamie pourra rendre visite à son petit fils travaillant au milieu  de la ceinture de Kuiper, époque où le voyage spatial deviendra enfin mature.

    Mais ce ne sera pas un paradis ni un enfer, ce sera juste la continuité d'une évolution humaine qui, sous le joug d'un empire vulgaire, absolu mais déclinant, s'était momentanément arrêtée, sans plus ni moins.

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    THEURIC

  • Je reste intrigué!

    Oui, je suis et reste intrigué par notre époque.

    Certes, je me suis essayé de comprendre pourquoi sévit un tel aveuglement, un tel déni de ce vers quoi nous nous conduisons.

    De ce fatras idéologique et d'événement, j'en ai cherché des principes internes pour tenter d'en rendre compte, pour le comprendre, ceci tout en en faisant ressortir des lois évolutives des sociétés humaines.

    Tout en sachant que ma toute petite voix ne peut pas porter bien haut.

    Il est visible, pourtant, que le système économico-politique néolibéral est entré dans une phase de panique, la présence absurde de la gamine Gréta Thunberg au-dedans d'instances nationales et mondiales le montre plus que tout autre chose.

    Les jours précédents la FED, la banque centrale US, a injecté des centaines de milliards de dollar (entre 250 à plus de 300) dans les banques pour les soutenir,P1030098.JPG après que les houthis du Yémen aient mené une attaque de drone sur les installations pétrolières d'Arabie-Séoudite.

    Sinon nous nous précipitions dans l'implosion de la multitude de bulles spéculatives qui, quoi qu'il en soit, imploserons toutes un jour ou l'autre, mais surtout qui, plus le temps passe, s'accroissent tant en nombre qu'en taille.

    Et cela parce que, d'après Mr. Béchade, toutes ont joué le prix du pétrole à la baisse et qu'après cet attentat ses prix ont naturellement monté, les-dites banques se sont donc retrouvé sans liquidité, ce qui veut dire sans argent, et ne pouvaient et/ou ne voulaient plus s'en prêter des unes aux autres.

    Mais pourquoi donc le prix du pétrole baisse-t-il?

    Il se dit que ce serait à cause d'une récession mondiale, un beau joli mot qui veut dire en langage plus cru mais plus exact: une désindustrialisation internationale, mais qui est moins compréhensible pour la population, et ça fait depuis longtemps que je vous en parle, amis lecteurs.

    Nous ne devons pas savoir, en effet, que tous ces banquiers sont entrain de ruiner le monde.

    P1030121.JPG(Et pendant ce temps là on nous parle d'un prétendu réchauffement climatique cataclysmique, le cataclysme ne se trouve pas là.

    Que je vous dise, dans peu de temps, quand ce système sera forclos et que tout le monde aura faim, de ce réchauffement ils pourront se le mettre........ailleurs.)

    La seule chose qui empêche la mondialisation heureuse de faire faillite c'est la monstrueuse production de monnaie des banques centrales, déversement qui accroit les instabilités de l'économie réelle tout en faisant tenir debout l'économie bancaire et, donc, monétariste.

    A la déflation provenant de cette désindustrialisation détruisant les entreprises, vient s'y greffer une inflation due à ce déversement de monnaie, et si nous avons affaire à de l'inflation, ce qui est visible par la diminution de la quantité de marchandise achetée pour un même prix, c'est bien que ce déversement monétaire est plus rapide encore que la-dite désindustrialisation.

    Processus qui conduit à ce que nous achetons moins de chose et que, donc, la déflation s'enfle, les banques, prises à la gorge par cette baisse de capacité d'achat populaire, cette inflation, diminuant d'autant l'usage du crédit, ou ne pouvant plus rembourser leurs dettes, et par les taux d'emprunts négatifs des états (elles payent pour prêter), ne peuvent qu'être contraintes d'aggraver leurs opérations spéculatives pour tenter de survivre, ce qui accélère d'autant cette désindustrialisation et leurs risques pris...

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    Et la boucle est bouclée.

    Ainsi, l'économie mondiale, plutôt que de tourner rond, tourne en rond, ou plutôt en spirale vers son néant.

    Et je suis intrigué du fait que rares sont ceux des classes-moyennes supérieurs qui en comprennent les dangers.

    Mais il n'y a pas que l'économie qui montre d'inquiétantes fragilités, la politique, française, britannique, unioniste, étasunienne, entre tant d'autres nations, se trouvent dans un même état de délabrement.

    Plus que partout ailleurs, au pays où les armes sont rois, les États-unis-d'Amérique,  depuis longtemps en un conflit ouvert restant encore politique, idéologique et institutionnel, peuvent, en raison même de la tentative de l'oligarchie US de renverser Mr. Trump, de basculer dans une guerre civile.

    Là encore, il n'est nullement besoin d'avoir suivit de longues études pour le comprendre: le désespoir populaire y est immense, aussi grand que son ressentiment envers cette classe dirigeante.

    Dans ce pays, les trois forces dont je vous avais fait cas dans mon billet précédent, les deux qui s'affrontent sont celles des pro-Trump, classes-moyennes basses à intermédiaires et des pro-oligarchie, les classes-moyennes hautes à supérieures, ceci sans compter ceux qui ne font que survivre au jour le jour et qui n'ont pas la possibilité d'y penser.

    P1030344.JPGCelles plus ou moins communistes tendant à renvoyer ces deux camps dos-à-dos.

    En Grande-Bretagne, les forces unionistes font tout, elles aussi, pour renverser Boris Johnson et empêcher que le peuple et le pays s'échappe de l'emprise de l'Union-Européenne, mais, là encore, l'autisme collectif, d'une même sorte que de cette maladie mentale, ce totalitarisme mou et hypocrite, ce  fascisme non assumé, cette haine rageuse envers les plus pauvres qu'eux, ce double fantasme de toute puissance  et d'omniscience des mêmes classes-moyennes supérieures  est flagrant.

    Et sachant la colère du peuple britannique, personne ne peut dire comment cela se finira.

    En Allemagne tout tourne à la farce et au comique troupier où, par exemple, il s'y fait construire des centrales à charbon pour faire fonctionner ses éoliennes, elles mêmes présentes pour remplacer ses centrales nucléaire, ce qui lui coûte un fric de dingue, ceci pour faire plaisir aux mêmes classes-moyennes théoriquement éminentes d'esprit.

    Quand au bilant carbone, que je considère comme une pure crétinerie mais que les écolos ignares adorent comptabilisé, il y est de fait déplorable.

    C'est en France où, peut-être, celles-ci pourraient bien se montrer dorénavant plus raisonnables et posées, plus réfléchies surtout, tout simplement à cause de la présence de la petite linotte Thunberg à l'assemblé-national, de par la question qui ne peut que se poser dès lors (en un langage bien moins châtié):

    "Mais diantre, que fait donc cette petite donzelle en cet endroit si sérieux parler deP1010743.JPG réchauffement climatique, là où des questions urgente engageant (normalement) notre devenir s'y débattent, et pourquoi donc nos représentants applaudissent-ils de la sorte une gamine à peine pubère n'ayant pas l'air d'avoir grand chose dans le crâne?

    Cela m'intrigue et m’ébaubis, il y aurait-il quelque malfonction politique en notre beau pays?

    Et pourquoi  nos élus ont-ils voté en même temps leur approbation pour le traité de libre échange entre le Canada et l'Union-Européenne qui, en terme d'écologie, est néfaste?

    Pourquoi ensuite a-t-elle déblatéré de même à l'ONU?

    Quelle-est cette mascarade?

    Bigre, serais-je donc le sujet de quelques manipulations?"

    Ce questionnement ne peut qu'être souvent qu'inconscient mais il ne peut pas ne pas se poser au pays de Descartes.

    Mais il faudra du temps entre le moment où cette interrogation plus ou moins subliminale se fait et l'instant où la réalité, dans son principe, émergera à la conscience.

    Et ce temps là aussi m'intrigue.

    Ce qui m'inquiète le plus c'est que personne ne semble concevoir les effets que cet P1030108.JPGeffondrement économique génèrera, hormis les survivalistes qui, eux, les exagèrent.

    Du fait de la déferlante monétaire des banques centrales dès que les banques privées ont des difficultés et que, vaille que vaille, l'industrie tourne toujours tout en ralentissant de plus en plus vite, je pose l'idée, inverse de ce que j'ai pu raconter par le passé, que ce ne sera pas l'économie qui en sera la cause mais bien la politique.

    Et ce seront les Etasunis qui en seront l'épicentre.

    En y faisant l'hypothèse que cela débutera en un lieu  quelconque, peut-être retiré des centres urbains, en un désaccord agressif entre des pro et anti Trump qui, de cris en invectives, des coups jusqu'aux armes sortantes, en un phénomène de diffusion de proche en proche, un embrasement guerrier s'y fasse.

    Puis qu'à un moment donné l'empire US en vienne à sortir du jeu international parce qu'il  ne sera plus, peut-être seulement en tant qu'empire, peut-être en tant que pays.

    Et de ça aussi je ne le comprends pas: pourquoi cela n'est-il pas envisagé?

    Cela m'intrigue.

     

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    THEURIC