Un pholque Phalangique installé tranquillement à l'encoignure entre mur et plafond, chez-moi, dessus sa toile, attendant le casse-croûte.
Bonjour tout le monde.
Salut que j'avais oublié dans mon billet précédent.
D'une double observation:
Hier, dans l'après-midi, je me retrouvais à soliloquer en faisant les cents pas, tournant dans mon salon, imaginant, serait-ce de la parano amusée, que quelques micros cachés chez-moi permettraient à des curieux de comprendre comment je peux faire pour avoir de telles idées, me donnant au moins le sentiment que quelqu'un m'écoute?
(Serait-ce de l'imaginaire digne d'un grave problème psy ou du véritable ressenti dû à une intuition exacerbée? Seul l'avenir le dira.)
Dans l'après-midi, donc, je réfléchissais à haute voix ( ce qui me permet de mieux me concentrer, moi pour qui s'en fatigue rapidement ), des raisons qui font que les médiats français s'acharnent ainsi, lors de ces élections US, à l'encontre de Monsieur Trump détenant, pour eux, tous les défauts de la terre, alors que, de fait, cela fait montre d'une grande incohérence.
Sauf si nous sommes, de fait, une colonie étasunienne et que tous ceux qui détiennent un tant soit peu de pouvoir ici savent qu'ils le perdront dès lors que nous ne serons plus sous les Fourches Caudines ( y lire les dates "avant JC", dites également "avant l'ères commune" ) de notre cher oncle d'Amérique.
Soyons en effet logique, si nous étions un pays indépendant de toute domination, alors les seules choses qui devraient nous intéresser ce sont les approche politiques et géopolitiques de chacun, de leur psychologie ainsi que, rapidement, des équilibres entre républicains et démocrates au sein de leurs chambres délibératives, de leurs différences s'il y en a.
Du reste, des tricheries des démocrates ou de celles supposées républicaines, par exemple, ne devrait pas le moins du monde nous toucher, cela ne devrait que de ne seulement les concerner.
De plus, nous ne devrions pas, si notre patrie n'était pas dominée par l'empire thalassocratique US, être ainsi abreuvé du matin jusqu'au soir par ces élections, dont nos médiats nous parlent plus que de ceux nôtres nationaux passés.
Cette contradiction manifeste peut se lier à celle dérisoire mais angoissante du tombereau de messages terrifiants que nos médiats officiels déversent sans discontinuer à notre endroit au sujet d'une pandémie au SRAS-COV-2 qui, pour les professionnels de la santé non achetés par les entreprise pharmaceutiques ou par l'état, est grandement passé.
Nous laissant à croire qu'un cas, c'est à dire une personne qui a soit le virus sans être malade, soit en a juste quelques résidus épars dans son corps, est un malade, grâce à des tests imprécis, ne faut-il pas être un fichu pervers, ou le devenir, pour agir de la sorte?
Ceci pour justifier notre second confinement.
( Il est à concevoir que tous les parisiens et habitants des grandes métropoles les ayant fuis vont se retrouver à se confronter à la réalité du pays, ce qui ne pourra que les mener à un choc important. )
( je laisse à votre soin ces quelques adresses explicatives de mon approche: Alexandra Henrion-Caude, généticienne, Youlia Zvantsova, journaliste, article de France-Soir, Zérohedge, Businessbourse, AFP, businessbourse.
Pour ce dernier, je le rajoute avec toute la prudence requise. )
Là encore, la logique doit être appelée pour en déduire les ressors.
Ce qui ne restait pour moi, jusqu'à présent, qu''un simple ouï-dire, se montre dorénavant sous l'angle de la réalité, ainsi, cette vidéo du Docteur Fouché montre qu'en effet les hôpitaux ont reçu l'ordre de comptabiliser un grand nombre de décès, gens trépassés pour toutes autres raisons, comme étant la résultante du vilain virus ( non, je ne referais pas la même blague qu'au billet précédent ).
Or, là encore, notre gouvernement et notre haute administration font montre d'une incroyable sottise puisque, dès lors que la France se retrouve avec le plus grand nombre de mort dû au COVID, au-devant de tout autre nation, alors ils seront tous considérés comme étant gravement incompétents ( ce qui est vrai part ailleurs ).
Ils vont donc se retrouver, à un moment donné, à être considérés soit comme des menteurs de la pire espèce, soit comme des incompétents notoires.
Soit même à ce que, pour effrayer au maximum les citoyens, ce mensonge organisé pour accroître ce nombre accru de défunt dû, supposément, à cette maladie et que nos médiats diffusent avec gourmandise, et pouvant être si facilement découvert, puisque ce choix est parfois demandé à la famille et que les médecins en parlent, à ce que nos évaporés du bulbe soient dans le même temps accusés de mensonge, de tricherie, mais aussi de profonde bêtise.
Ce à quoi quelqu'un comme Charles Sannat se laisse avoir comme un gamin.
Je ne m'étendrai pas sur notre confinement, ni sur son sens véritable que j'ai déjà traité, ni sur l'amateurisme et l'impréparation de nos paraît-il élites qui, en toute bonne déduction, ne peut que tous nous mener à une ruine de grande ampleur d'échelle internationale.
Ces deux exemples, les plus représentatifs de cette saga de nos énergumènes, montrent qu'en effet quelque chose d'autre y est sous-jacent, c'est cela que j'avais découvert lors de ma promenade dans mon salon.
Du sens donné de ces paradoxes:
Cette idée, en fait, je la tiens depuis des années mais, m'en semble-t-il du-moins, je n'en avais pas, jusqu'à présent, vraiment fait cas ou de manière succincte.
( Il est évident que certains des mots que je renvoie vers leurs synonymes sont connus par nombre de mes lecteurs, toutefois je me suis aperçu que leur connaissance fut quelque peu égaré par nombre de concitoyen, d'où ledit renvoi, en en profitant pour en vérifier le sens puisque moi-même ne les emploie plus vraiment et n'en ai que des réminiscences passées. )
Je pose ainsi l'hypothèse que, dans certaines situations, un système sociale, politique, économique, scientifique ou autre, une organisation donc, peut prendre, si je peux le dire ainsi, son indépendance de ses propres acteurs.
Ceci parce que cette organisation se retrouve perturbée et instable de manière importante, se corrompe, se décompose, se mettant en situation de désagencement, tel le gouvernement et l'état profond français, ou est sur la voie de son délitement comme il peut en être de l'Union-Européenne et des Etats-Unis-d'Amérique.
Lesdits acteurs se retrouvant de fait de ne plus agir de leur propre chef, avec réflexion et méthode ( même si c'est à l'encontre de la population ), mais de ne plus faire que de réagir pour tenter de faire survivre cette structure, en en faisant, de plus, qu'accentuer ses déséquilibres et en accroissant sa désagrégation.
Ainsi cette hystérie collective au sujet d'une élection US qui ne devrait pas émouvoir à ce point la classe médiatique, aux ordres de l'oligarchie, de la haute administration et/ou des pouvoirs exécutifs et législatifs;
Ainsi que de la façon avec laquelle les mêmes nous plongent dans les méandres mortifères des peurs épidémiques, des pestes antiques, me montre, plus que toute autre chose, l'extrême faiblesse de ce pouvoir français.
Il serait de concevoir qu'il en est de même en ce qui concerne l'Union-Européenne.
La cause principale en étant que les Etats-Unis-d'Amérique s'éloignent, certes à petits pas, de l'union, mais aussi de l'OTAN, les républicains l'ayant annoncé, d'où cette haine frénétique pour Monsieur Trump qui l'avait clamé et cet amour insensé pour Monsieur Biden dont la probité ne semble pas être la vertus cardinal ( il se dirait même qu'il serait souffrant d'une maladie neuro-dégénérative ).
Peut-être se reconnaissent-ils tous simplement entre-eux?
Ne se pensent-ils pas américains eux-mêmes en une altération de leur identité, en un phénomène morbide, leur faisant perdre toute détermination, j'avais, sur ce sujet, écrit ceci le 11 Mars 2018:
De fait, le mot détermination renvoie autant à ce qui dicte notre condition d'Être Humain (ça c'est de moi), notre volonté dans l'action et celle de la compréhension du monde ainsi que la précision de notre verbe (dans le sens ancien du terme, celui de savoir s'exprimer à l'oral comme à l'écrit).
Certes, pour Spinoza, "toute détermination est une négation", mais ne faut-il pas nier ce que nous ne sommes pas pour pouvoir affirmer notre identité?
Parce que c'est bien cela qui fait le thème de ce billet: montrer comment l'indétermination de notre identité, autant individuelle que collective et, ce, sous toutes ses formes, mène inéluctablement à de l'anxiété, de l'acculturation, de la sauvagerie par la perte culturelle que cela induit, d'où, entre-autre, la faiblesse actuelle de l'orthographie, du sens des mots et des idées.
Ainsi, les inverses du substantif détermination, ses antonymies, dont celui le plus évident d'indétermination, montre, s'il en était besoin, l'inquiétude angoissée que génère cette perte de repère moderne.
J'aurais pu choisir les mots d'indéterminisme, d'incertitude, de confusion, d'indécision par exemple.
Mais celui d'indétermination montre bien ce à quoi nous nous confrontons aujourd'hui, soit autant les effets psychologiques que cela induit, de l'anxiété, de l'angoisse dû à notre sentiment plus ou moins flou et inconscient de non existence.
Que de nos difficultés d'agir, de réagir réellement et sainement, de réfléchir par nous-mêmes, de considérer le vrai du faux, en un mot comme en cent, de pouvoir être en plein de notre détention de notre libre arbitre tant dans nos réflexions que lors de nos actions, de notre esprit de responsabilité, mais aussi et surtout de l'ordonnancement et de la structure de notre pensée et dès lors de notre raison.
C'est pourquoi tant de gens vivent de la seule représentation, faisant de l'apparence le nec-plus-ultra de la vie sociale, ne se souciant que de l'image qu'ils produisent, masque cachant ce vide de sens de l'existence en un simulacre de bonheur.
Notre indétermination mène donc à un affaiblissement, une désorganisation, une déstructuration, voire à une destruction de la structure de notre psychisme, parce que nous ne savons plus qui nous sommes., nous n'avons pas ou plus d'identité ou, ad minima, nous n'avons plus qu'une identité incertaine et confuse.
Pouvons-nous être déterminés dans nos pensées et nos actes si nous sommes indéterminés dans notre identité?
Et, ce, de toutes ses acceptions.
Conclusion:
Ces élections ne sont pas nos affaires et, personnellement, je vous avoue m'en moquer résolument.
Toutefois, elles signent de manière magistrale, lié à ce mensonge au sujet des décès dus au COVID, que ceux qui nous dirigent et leurs agents ne se trouvent plus dans un état normal, leur rendant impossible de percevoir les incohérences de leurs paroles et décisions pouvant les mettre eux-même en grandes difficultés futures.
Et qui, quoi qu'il se passe, ne se révéleront que des échecs cuisants, accélérant de plus la destruction de leur monde, inextricablement lié aux UE€/OTAN/USA.
THEURIC