Cette charmante guêpe, Cerceris des Sables, Cerceris Arenaria, famille Sphecidae, Sphégides, fait parti de celles dites fouisseuses, solitaire, elle creuse un nid pour ses larves dans un sol sablonneux et pond son œuf sur l'une des proies accumulées.
Ici elle est posée sur une feuille de géranium vivace.
Ce coup-ci, je suis allé chercher le nom des bestioles Hyménoptères dans le bouquin de 1991, plus précis qu'internet, que j'avais donc acheté il y a longtemps: "Guide des abeilles, guêpes et Fourmis, les hyménoptères d'Europe", de Jiri Zahradnik, collection Hatier, adaptation française Ludovic Laporte.
Ce que je vais poursuivre, du-moins pour cette classe d'animaux.
Autre temps, autre mœurs...
Bonjour chers lecteurs,
Introduction:
Je suis allé, il y a peu, chercher je ne sais plus quoi sur mon blog et ai remonté ce petit bijou conceptuel personnel (ne serait-on, parfois, jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas?) qu'est celui de champ idéologique.
J'avais exposé cette idée il y a 5 ans, ceci d'une manière indirecte sans en avoir creusé la matière théorique.
( Recherche et matière qui porte, ici, en réalité sur une réflexion à l'endroit d'une ou de plusieurs hypothèses d'un sujet donné puisque n'y est pas assis, lors de cette recherche, les trois bases de référence théoriques, sa réfutabilité, sa prédictibilité et son aspect parcimonieux, soit sa simplicité conceptuelle au regard de toutes les informations perçues et, mieux encore, connues.
Il est à noter également qu'une approche philosophique ne peut être en rien scientifique et théorique, mais qu'en revanche elle pose, normalement, de tels socles conceptuels qui accompagnent et parfois précèdent les évolutions d'une ou de plusieurs sociétés, étant entendu que ladite philosophie est aussi l'outil essentiel pour, au présent, chacun d'entre nous, en un processus évolutif, organiser la pensé. )
Il faut dire qu'à l'époque je n'en étais pas capable, le stress qui était mien en était encore d'un niveau important, du-moins, l'ai-je remarqué, mon style commençait à s'asseoir.
C'est donc ce travail théorique que je vais effectuer en ce billet, venant peut-être parfois contredire ce que j'avais pu en exprimer par le passé.
Je me dois de souligner que je n'écarte en rien les difficultés que chacun d'entre-nous, sous une forme ou une autre, rencontre, toutefois il me paraît important d'effectuer cette tâche consistant à tenter de conceptualiser le pourquoi nous en sommes là, tout comme de ce que vers quoi, in fine, cela nous conduit.
Et je ne donne pas cinq ans pour que la France se rétablisse après que le système soit forclos.
Les débuts seront durs, complexe sera la suite, mais les forces vives et intelligentes qui le permettront sont dores et déjà présentes.
N'oubliez pas, Messieurs-Mesdames les anarchistes, que d'être de cette opinion là sans être profondément démocrate c'est d'être encore plus stupide que tous ceux que nous fustigeons jour après jour.
Ceci dit et avant que vous n'abordiez le reste de ce texte, je vous invite à voir cette vidéo de Tatiana Ventôse qui, en 40 minutes, aborde avec cohérence et brio la notion de ce qu'est que la nature de la politique.
Plus loin j'affirmerai connaître mes limites et, ce, sans prétention, ainsi je ne pourrais jamais accomplir le travail qu'elle a ainsi réalisé.
Chapeau bas, mam'selle.
Avant-propos:
Il devient d'évidence, pour le plus grand nombre de gens, qu'aux défaillances gouvernementales s'y rajoutent de ses choix décisionnels autant contradictoires, parfois irrationnels, souvent contre-productifs, aussi qu'aux portes de la tentation totalitaire néolibérale, sans l'avoir véritablement recherché (ainsi un conseillé de Mr. Macron fait-il la comparaison de la France d'avec le régime passé de Pinochet au Chili, comme étant surpris de sa propre politique: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes).
Il est observable tout autant que les partis politiques qui, censément, seraient d'opposition, font montre soit que d'une très légère rigueur à l'encontre de l'exécutif, soit même de prises de position totalement déconnectées de la réalité de tous les citoyens souffrants des difficultés actuelles dus auxdits choix, n'aidant, pour FI par exemple, que d'une infime minorité de ceux-là, soit les immigrés.
il est de fait aussi que les autres pays de l'union et d'Europe souffrent, pour la plupart, de maux semblables, bien que la France paraît en être la plus touchée.
Lors de mes billets précédents, je vous avais montré une crainte partagée, au-delà de la mouvance purement eurolâtre & américanolâtre, de voir disparaître notre maître US, soit par guerre civile, soit par banqueroute, dès lors de ce que l'Union-Européenne et l'euro subissent mécaniquement le même sort.
Bien que l'inverse pourrait fort bien arriver, la faillite de la zone euro menant, à la suite, à celle du dollar.
Ou alors que ce soit, non pas l'économie réelle en tant que telle qui, quoi qu'il en soit, en souffrira et en souffre déjà grandement, mais de ce que celle monétariste, spéculative internationale fasse faillite définitivement.
Que cela mène donc ces personnes à souffrir dès maintenant de graves angoisses du fait de leur compréhension de ces éventualités, nonobstant de ce que l'une ou l'autre adviendra à un moment ou à un autre (faites vos réserves!).
Que ce phénomène est, pour une large part, inconscient, ce qui conduit les pouvoir exécutifs, législatifs, mais aussi judiciaires et médiatiques, à projeter ladite angoisse à l'endroit de la majorité de la population, d'où, entre-autre, de notre enfermement confinement et port d'un masque, en tentant de nous culpabiliser de leurs propres errements et manques.
Si, tout au long de ces pages je ne cesse de leur poser à tous d'importantes critiques sans que moi-même ne me décide à l'action, c'est que, connaissant mes limites, je me sais en ce cas totalement incompétent.
Dès lors, le reproche le plus absolu que je leur porte est celui d'avoir bien voulu occuper le poste qui est le leur, sans ne s'être le moins du monde interrogés de savoir s'ils en avaient et en ont les compétences requises.
Ce qui, de fait, est le cas pour le plus grand nombre d'entre-eux, sinon pour tous.
Au-delà de ce très bref résumé de ce que j'ai pu écrire depuis six mois, le thème que j'aborde maintenant, celui du champ idéologique, ne peut que venir compléter cet ensemble.
Je vais ne le poser que d'une manière purement démonstrative en juste appuyant mon propos de quelques exemples.
Je parachèverai ce billet, avant sa conclusion, par une réflexion sur ce que je nomme une bifurcation historique, tel un virage pris de notre évolution transformant du tout au tout notre nature et, ce, depuis 20 000 ans environ.
Le champ idéologique:
Un champ idéologique est l'ensemble des conceptions qui en entoure son socle idéel, en une conception de base, pouvant être conscient et/ou inconscient, mais central dans la représentativité que chacun a de la société, ainsi que de son rôle dans celle-ci.
Ce champ idéologique a deux composantes: sa "doctrine de fondement" , soit l'ensemble d'idée et de concepts composant le champ idéologique et son opposition qui est l'inverse de ce que représente ladite doctrine.
Ainsi pour faire simple, le principe du capitalisme est celui de l'enrichissement du secteur privé et du pays par, normalement, l'industrialisation grâce au capitaux bancaire et boursiers, quand pour le communisme l'industrie se doit de se faire par l'état qui dispense ensuite cette valeur aux citoyens.
( La sociale-démocratie étant de faire la part entre ces deux tendances contraires sous le contrôle clair du politique, ce à quoi je pense être le meilleurs.
Le néolibéralisme, en une économie dévoyée, étant de retirer le plus de monnaie et de valeur possible par le biais des dettes contractées, des nations, des particuliers et des entreprises, d'où la ruine de tous à terme. )
Ici il s'agit de l'économisme dogmatique, soit de percevoir la fonction économique comme étant central au regard de toutes les autres composantes sociale, du plus pur de l'institutionnel jusqu'à celui de l'interdit moral le plus formels (du-moins sa minorité agissante pour ce dernier).
Si je la dis dogmatique, c'est que cette conception de la société, sous une approche centrée à de la seule économie, est dans le même temps d'une perception peu ou non lucide mais fondamentale pour tous les acteurs.
Ceci au sein d'un champ psychologiquement attractif, indépassable et sous-jacent pour tout échange, non pas seulement marchand, ayant lieu et, ce, sous toutes ses formes (entre-autre l'individualisme).
Ce fut le capitalisme industriel du XIX° siècle en Europe qui en fut le ferment, descendant de la bourgeoisie d'affaire passée, période pendant laquelle émergea, en l'accompagnant, ses contres-pouvoirs ( les socialismes révolutionnaire et libertarien, futurs communisme et anarchisme, ainsi que le républicanisme, la sociale démocratie et le démocratisme ) qui se cristallisèrent à l'achèvement de ce siècle et au début du suivant, le communisme se formalisant dès après la révolution bolchevique de 1917.
En un exemple de champ idéologique: tout comme le communisme jusqu'à la fin des années 90, lui-même descendant du socialisme révolutionnaire du XIX° siècle, fut l'opposition au capitalisme sans frein, l'église catholique fut, en Europe, celle des princes et barons guerrier de la société féodale du moyen-âge.
Vous remarquerez que ce fut relativement peu de temps après que des moines prirent l'épée lors des croisades, sous forme des templiers centrés en France et des chevaliers teutoniques en Germanie, que la Renaissance commençât à se développer, donnant corps au fil des siècles à la remise en question d'abord de la toute puissance du Pape et du catholicisme (le protestantisme), puis de l'existence même de l'aristocratie. (d'autres raisons, multiples, furent aussi en causes, telle que l'invention de l'imprimerie et du canon).
Ceci parce que l'opposition passée de l'église face aux guerroyeurs que furent les seigneurs disparut de fait puis que tous deux devinrent progressivement alliés.
La féodalité, sous cette optique, pouvant être considérée comme ayant été un champ idéologique qui disparu lors de l'apparition de la Renaissance.
Cette hypothèse pose l'idée qu'au même titre que l'apparition des moines soldats annonçait l'achèvement de ladite féodalité, l'adoption du capitalisme par la Chine (dont il est ardu d'arriver à pied) tout comme la disparition de l'URSS, ces deux faits survenant à quelques années près, signaient la prochaine disparition dudit économisme dogmatique, ce à quoi nous assistons.
Etant entendu que notre modernité conduit à une accélération événementielle et que des siècles s'écoulant à l'époque pour toute mutation sociale, des décennies peuvent ici être appliquées.
J'émets donc l'hypothèse qu'un champ idéologique a de nécessité pour exister véritablement de voir se générer une opposition forte, puis que sa disparition progressive est liée au fait que ladite opposition se joint de manière de plus en plus formelle à ce qui a contribué à l'apparition dudit champ idéologique, soit sa doctrine de fondement
Pour en revenir à la Chine, vous remarquerez qu'en ayant un pouvoir qui se dit communiste, elle a de fait adopté un capitalisme privé sans avoir opté pour une démocratie représentative, tout comme aux USA les triches, lors de ses dernières élections, montrèrent que le libéralisme économique et la démocratie vraie sont deux notions sociales totalement différentes et parfois concurrentes.
Mais qu'ils se développèrent tous deux en une même période, c'est pourquoi nombre de commentateurs considèrent que l'un et l'autre sont liés de manière formelle: il ne pourraient exister l'un sans l'autre.
Ce qui est à mon sens d'une grande fausseté.
Ainsi l'Empire du Milieu put, en toute aisance, passer de son communisme maoïste au libéralisme industriel sans que cela ne pose que peu de question puisque tous deux composaient jusqu'alors cet économisme dogmatique.
Il en est de même de la forte tentation totalitaire en France et en Europe où, là encore, que ce soit pour la majorité des gouvernements, de leur oligarques et de l'administration bureaucratique de l'Union-Européenne, démocratie représentative vrai et libéralisme économique nous montrent fondamentalement que cette double conception de la politique de ces états-nations sont de natures dissemblables.
Oubliant par là même que le nazisme aussi était capitaliste.
( La démocratie représentative vraie est, au-delà des ébauches antiques grecque et romaines, une mutation sociétale et donc politique majeur, voire anthropologique, des sociétés humaines, parce que étant le système le plus harmonieux et dynamique pour notre contemporanéité complexe, au regard de tous les autres.
Ainsi le choix de Monsieur poutine de rester président jusqu'en 2035 risque d'avoir déséquilibré la société russe.
L'économisme dogmatique étant, en tant que champ idéologique, une étape transitoire achevant la disparition de l'aristocratie amorcée dès le XVIII° siècle, sous forme de la bourgeoisie puis de l'oligarchie, encore une fois en Europe, puis celles existantes dans le reste du monde sous une forme ou une autre. )
Toutefois la sociale-démocratie put, pour un temps, concilier les contradictions grâce aux contres-pouvoirs de ce qui était, en Occident, la gauche communiste/socialiste et la droite sociale d'antan, ce qui en France était le gaullisme.
Notons également que l'économisme dogmatique se décompose en prenant cette forme intellectuellement gravement appauvrie du capitalisme qu'est le monétarisme, c'est à dire de ne concevoir l'économie que sous sa forme des flux monétaires, entre-autre boursières, spéculatives, d’entêtement..., sans ne véritablement prendre en compte la réalité industrielle, minière et agricole des pays.
Ce sont donc lesdits seuls flux monétaires qui font, pour ces détenteurs de fortune, soit les oligarques, aussi que les penseurs et acteurs de la chose économique, l'alpha et oméga du bon fonctionnement d'une société.
Calculé sous la forme du PIB (produit intérieur brut), quand anciennement ladite réalité était décomptée par le PNB (produit national brut) où, à la production nationale et flux monétaires, s'y rajoutait, dans ces anciens décomptes, les équilibres entre importations et exportations au sein des frontières de chaque pays, dont aussi la puissance industrielle, minière, agricole et échanges commerciaux de chacun.
Il est de fait que s'il est observé aujourd'hui les disparités de production et de vente entre les pays purement exportateurs aux petites payes, et ceux importateurs, anciennement au grosses payes, ceci avec leurs béances frontalières, destructeurs des économies des nation importatrices puis exportatrices, il fallait transformer le PNB en PIB, puis n'être qu'obnubilé que par le second sans même que lesdits économistes se souviennent de l'existence du premier.
Là se trouve la puissance inconsciente d'un champ idéologique en fin d'existence: tout le monde se retrouve à penser la même chose sans que chacun ne s'en rende compte, en faisant émerger des paradoxes indépassables pour tous.
Les élucubrations, délirants désires et choix sociaux aberrants des écologistes entrant en contradiction directe avec leurs discours anti-néolibéraux, tout en maintenant des liens avec le néolibéralisme, mais en restant intègre, en étant, de plus, récupérés, non pas dans de seules paroles mais dans les actes, par le gouvernement et l'Union-européenne, tous deux foncièrement monétariste d'essence transfrontalière, montrent une ahurissante dichotomie psychosociologique d'une partie de la population, preuve, à mon sens, du prochain écroulement de ce champ idéologique (j'y reviendrai).
Grand-jeu, économisme dogmatique et guerre froide:
Les liens qui se sont établis entre l'économisme dogmatique et le grand jeu géopolitique dès le début de la guerre froide, entre l'URSS d'alors et les USA, fit qu'un lien radical s'immisça puis s'établit dés le début (aux alentours de la fin des années 40) entre communisme/capitalisme d'une part, puissance terrestre/puissance maritime d'autre part.
L'affaiblissement dès les années 80 suivit de la disparition en 1991 de la première ne pouvant que conduire à une grave déstabilisation de la seconde (ce sont toutes deux des unions).
Certes, le grand-jeu se poursuit, mais nous ne pouvons que relever que la ré-émergence de la Russie, devenue de fait capitaliste, n'a pu qu'ébranler en profondeur les Etats-Unis-d'Amérique et ses colonies, dont la France au sein de l'union, au travers de cet économisme dogmatique, sa doctrine de fondement voyant disparaître son pôle opposant.
Ébranlement qui, en réalité, préexistait à la disparition de l'union-Soviétique mais qui restait, jusqu'à l'orée du XXI° siècle, relativement discret.
Une bifurcation historique:
L'humanité dans son ensemble vit une mutation première sous la forme d'une bifurcation historique qui, en réalité, est l'achèvement de celle qui s'était amorcé dès les tous débuts du néolithique.
Elle est double:
-La première est celle qui nous a fait entrer dans ce monde moderne, depuis un peu plus de deux cents ans, fait d'un usage d'une énergie tellement puissante qu'elle en a bouleversé les sociétés humaines et, ce, de tous les plans.
-La seconde constitue ce long cheminement de notre sortie, en tant qu'espèce, du monde sauvage du chasseur-cueilleur à celui de cultivateur-éleveur, pour ensuite nous permettre de parvenir à cette modernité d'aujourd'hui.
Comme un long virage évolutif venant se resserrer de plus en plus de la toute fin du paléolithique jusqu'à maintenant, en une complexité croissant, du-moins est-ce l'image mental que j'en ai.
Il ne peut qu'être que normal que cela génère des angoisses existentielles, ceci d'autant plus que du monde rural quasiment généralisé d'il n'y a encore que peu de temps, nous en sommes actuellement à vivre majoritairement en agglomération.
Mais, de plus, il ne peut qu'être d'évidence, du-moins en ce qui me concerne, que ce que vers quoi nous allons ne peut qu'être que le voyage spatial au long cours dans l'immensité du cosmos.
Comme il peut en être en ce cas et du fait que nous nous en rapprochons, les trois types de forces sociales naturelles, politiques entre-autre, apparaissent: progressistes, conservatrices et réactionnaires.
-La première, de laquelle je suis, a le penchant de vouloir que lesdits voyages puissent se développer au mieux, étant en ce sens l'une des réponses à nos problèmes actuels par la dynamique qu'elle offre;
-La seconde, majoritaire, considère soit qu'il nous faudrait commencer par résoudre nos difficultés avant toute chose, soit de ce qu'il est impossible de créer une propulsion plus puissante que le moteur fusée, ceci parce que l'Être Humain serait arrivé au bout du bout de ses découvertes des lois de la nature;
-La dernière désirerait que nous retournions en arrière, à l'époque non pas si lointaine où nos aïeux vivaient de ce qu'ils cultivaient, voyageaient à pied ou en char à bœufs au rythme lent des saisons, en une sorte de béatitude écologique.
Conclusion:
J'émets ainsi des idées affin de tenter de donner du sens à tout ce fatras informe d'événements, angoissant parce que incompréhensible.
Il ne m'est que très peu d'aller au-delà de ces courtes démonstrations, n'en ayant ni la formation appropriée, ni même les capacités, du-moins suis-je pourvu de cette imagination me permettant de les concevoir et m'est-il possible de vous les présenter au mieux.
Les contradictions formelles politiques autant qu'économique étant l'un des fils que je suis me permettant de conceptualiser certaines de mes approches.
Le plus bel exemple en restant EELV des écologistes.
Il s'affirment anticapitalistes tout en prônant, comme tout le reste se faisant appeler la gauche, notre appartenance à une Union-Européenne proprement néolibérale, qu'ils disent vouloir réformer sans vouloir voir que cela est impossible, s'affirmant opposition d'un gouvernement qui suit leur politique, sont pour des éoliennes plus polluantes et infiniment moins efficaces que toutes les autres productions énergétique, tout comme les voitures toute électricité...
En un second nous y rencontrons les mêmes contradictions au sein de RN où, suivant l'intervenant de ce partis ainsi que de l'époque, les électeurs à qui ils s'adressent et les événements, y est exprimé une chose puis son inverse, pour ensuite y conter encore des idées différentes.
Ce qui ne peut que vouloir dire que soit sa cheftaine ne tient pas ses cadres, soit que ledit parti n'a pas d'idéologie claire, soit qu'il n'est composé de personnalités qui n'ont d'intérêt que de leur porte-feuille en profitant, en cela, de l'Union-Européenne, mais en tous les cas ni patriote, ni voulant la souveraineté du peuple.
Et il n'est pas la peine de faire la liste des incongruités de notre gouvernement et du REM des radioéléments, il ne peut qu'être ardu pour l'homme et la femme curieux de les décompter tellement elle peut être longue.
Quoi qu'il en soit de ces trois extrêmes, il importe de comprendre que, bon an mal an, ce sont tous les mouvements politiques qui se confrontent, aujourd'hui, à cette perte doctrinale due à l'effondrement de ce champ idéologique qu'est l'économisme dogmatique.
Seuls ceux qui resteront en place, sans fuir, dès lors que la situation en France leur sera devenue ingérable qui pourront montrer à nous tous leur sérieux et leur éloignement même limité de cette croyance sus-nommée.
Etant à prévoir que cette fuite possible risquerait fort de se produire également dans d'autres pays de l'Union-Européenne.
Nous vivons un basculement, non pas d'un monde à l'autre comme le supposeraient avec gourmandise les tenants du grand reset, attendons d'abord que les étasuniens gèrent leur crise autant économique, politique, sociale... signant plus un effondrement qu'autre chose, bien que mon intuition me susurre que le dollar tiendra jusqu'à l'année prochaine.
Mais les sentiments du futur ne sont que les impressions d'avènements potentiels, qui ne peuvent être jamais être clairement établis tant qu'ils n'ont pas eu lieu.
Alors, soyons prêt à tout, quoi qu'il se passe, et préparons la réparation d'un pays, la France, qui, ma foi, de toutes ces errances, en a bien besoin.
THEURIC