Avertissement:
Je tiens à prévenir quiconque osant et voulant me dérober mes poèmes que j'expose ici aux lecteurs que je porterai plainte en justice pour plagia et, ce, qui qu'il soit, qui deviendra ainsi aussi la risée de ses pairs (sauf s'il s'agit d'en lire en vidéo en précisant mon pseudo, l'adresse de mon blog et sa date de parution).
Si ce voleur putatif n'est pas capable de versifier, qu'il fasse autre chose, les rues de nos villes et villages sont suffisamment sales pour que le métier de balayeur ait encore de l'avenir!
J'ai des témoins de leurs écritures et la date de leur publication ici même en fera foi.
Etant entendu que le reste de mes textes et idées peuvent m'être empruntés sans que je n'en perçoivent l'once d'une rapinerie.
A bon entendeur, salut!
Le chat est ce compagnon
soignant
Les douleurs de l'âme
Le chat
Juvénile, ce chat jouant après la plume,
Aimable ce ronron du matou enroulé
Ici, sur vous, beaucoup plus que de coutume,
Massé par lui, vous, le caressant, consolé.
Énigme du félin ami de tout homme,
De toute femme perdu d'une détresse
Où vagues aux âmes en sombre minimum :
Nocif aux chagrins, minou met maux en pièce.
Noir ou blanc, tigré ou roux, l'animal est beau.
Élégant de ses yeux d'amande implorant,
Riant de nos interdits et parfois cabot,
Agréable à l'amitié, si attirant.
Un matou est tout autant un acrobate,
Xylographe, qualifié de l'équilibre,
Facilement sur un arbre, sur branche étroite,
Est et reste pour toujours un être libre.
Mange sa gamelle avec distinction,
Mastique doucement comme un fin gourmet,
Ergote sur sa pitance, sa libation,
Sûr de sa faim, se nourrit, juste, de ses mets.
Babine sensible, moustaches superbe,
A la queue dressée droite comme un jalon,
Image d'élégance, oreilles dressées,
Souplesse du corps dominant tout surplomb.
Être mistigri c'est de dormir tout le jour
Sans de ne s'éveiller que pour le pissou,
Et la nuit venue de son chez-soi faire le tour,
Ne rentrant de sa balade que plein son soûl.
Le petit mignon de déchirer les tissus
Et ses courtes griffes labourant l'épaule,
Ultra joueur de ces mouvements aperçus,
Rattrapant la balle comme meilleur goal.
Sacré personnage en un dieu égyptien,
Issu des premiers temps quand l'agriculteur
Tablait sur lui, en ces millénaires anciens,
A croquer les rats voleurs des grains nourrisseurs.
Nabab des salons aujourd'hui devenu,
Toutefois, parfois, tombé en vie sauvage,
Seigneur patte-pelu s'y est très bien tenu
Entre sa chasse, la chair et breuvage.
Ce roi de la maison, prince des cuisines,
Revient chez lui, au printemps, s'il est un mâle
Entier, sentant, puant, exhalant fort l'urine,
Triomphant de son rivale sans grand mal.
Encore pourrais-je dire qu'également
J'apprécie les mistigris sans en adopter.
Oui ils sont gentils, tout doux, aussi câlinant,
Un jour, peut-être, vais-je, d'un, le coopter.
Enfin de ce poème je ne peut inverser
Tant un vers qu'un quatrain, or,
Tel une énigme, pour vous, à percer,
En un ton fripon, mais en délicat abord.
THEURIC