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Chers Monsieur FMI.

Préambule:

 

Certains de vous-autres, amis lecteurs, penseront sûrement que je fais le mariole en m'adressant ainsi aux gens composant une institution internationale de cette sorte.

 

Ma foi, que je sache, ils sont tous des Êtres Humains qui bouffent et s'empiffrent parfois, pètent, rotent, chient, pissent, baisent et ont la gueule-de-bois quand ils boivent un coup de trop comme tout le monde, excepté leur position sociale ils sont égaux en cela de nous-autre, n'est-ce pas?

 

Bien entendu qu'ils ne me liront pas, comment voulez-vous que ces types et ces nanas s'abaissent ainsi à aller voir les élucubrations d'un mec de 62 balais qui fut conducteur d'un bus à Paris aujourd'hui à la retraite, un presque, pour eux, va-nu-pied?

 

Mais n'aurions-nous pas, nous, citoyens, le droit de dire ce que nous pensons à leur sujet et de réagir à leur encontre si nous considérons qu'ils n'ont fait, eux et leurs prédécesseurs, que des conneries depuis plus de quarante ans à n'avoir fait qu'appauvrir peuples et pays, dont la Grèce en 2012, avec l'aide bienveillante de l'Union-Européenne, de la BCE et des gouvernements français et allemand?

 

Ne sont-ils pas, eux aussi, responsables de la situation dedans laquelle nous nous retrouvons?

 

N'aurais-je pas le droit de les engueuler même s'ils ne peuvent ni ne veulent l'entendre?

 

Ne serait-ce donc pas mon droit le plus strict de citoyen de la nation française de les questionner de leurs fadaises et de leurs réactions de vierges effarouchées parce que les peuples pestent et grondent avec raison et en raison, entre-autre, de leurs décisions et agissements?

 

Avant-propos:

 

Je reprends la plume, du-moins le clavier, pour vous poser une réflexion politique, là sous forme d'un essai où plane l'ironie, abandonnant momentanément, brièvement, la poésie.

 

Réagissant à ce texte, publié par Sputnik, résumé d'un rapport du FMI où y est fait cas de possibles probables révoltes, voire d'une révolution, de la population française, et non pas de guerre civile.

 

Ce à quoi je souscris au vu de l'équipe de branquignole qui nous gouverne, ainsi de la dernière fantasque outrecuidance de notre godelureau national, reprenant en copier/ coller ce court billet de Businessbourse:

 

"  Réponse d’Emmanuel Macron à une femme désespérée et à bout: « Je ne suis pas là pour passer vos humeurs, trouvez-vous quelqu’un d’autre !  " 

 

Ainsi que de son clone en loufoquerie, j'ai-nommé Jean Castex, (même origine) qui, au demeurant, ne casse pas grand-chose hormis les noix:

 

« Il faut que nous fassions collectivement l’effort de réduire nos contacts sociaux et familiaux »

 

Il est des moments où il faut bien mettre les points sur les "I" à des gens qui ne veulent absolument pas considérer leurs immenses responsabilités d'une grave situation, d'une crise majeur probable future, dont ils sont eux-mêmes grandement comptables.

 

En un mot comme en cent, qui se conduisent comme les meilleurs des faux-culs!

 

 

Chers  Messieurs-Dames du FMI: 

 

Dieu," se dit-il, "se rit de ceux qui  déplorent les effets dont ils chérissent les causes!"

 

Pouvons-nous en déduire que Dieu considérerait comme purs imbéciles tous ceux qui, par puritanisme idéologique, se rendraient compte que, comme il est de vous même, la situation risquerait de dégénérer, en France comme ailleurs, sans se remettre simplement en question?

 

Parce que observons d'évidence qu'hormis l'Allemagne, et encore, quasiment tous les gouvernements du monde serrent des fesses à l'idée même que les français renversent le pouvoir en place, c'est pourquoi les tensions entre les états de l'Union-Européenne s'accroissent: ils ont peur de leur peuple!

 

Et oui, chère amicale de l'incompétence économique qui nous ont conduit, vous comme tous ceux qui porte les mêmes croyances crétines, là où nous en sommes, tout comme en 2019 et le mouvement gilettiste, les peuples attendent que nous autres, gaulois réfractaires, chassent nos incapables pour faire de même.

 

C'est pourquoi notre paniquet premier ose nous proposer de restreindre nos contactes sociaux: cela ne se révèle que d'une vaine tentative pour que nous n'échangions pas entre-nous, que nous ne nous révélions pas les uns les autres les turpitudes sanitaires dont ceux du gouvernement, des médiats, des entreprises pharmaceutiques, des oligarques sont les vecteurs.

 

De qui vous moquez-vous, Messieurs-Mesdames, sinon, au-delà des populations, de vous-mêmes?

 

Car vous savez fort bien que, sauf si notre gouvernement n'est pas chassé avant d'une manière ou d'une autre, avec de nombreux scandales à la clef, dès que le couvercle de la cocotte-minute porté sur le pays sera ôté, voire même avant cela, la société française se révoltera, 1789, 1830, 1848, 1870 en sont les traces historique.

 

Quand bien même le XXème siècle fut, en cela, plutôt calme, ce ne fut que deux guerres mondiales et une guerre froide qui en avaient amoindri les ardeurs populaires, bien avant ces deux siècles beaucoup de rois furent déjà grandement chahutés par les foules en colère.

 

( Si tant est que l'économie mondialisée ne cesse tout fonctionnement avant. )

 

Alors, l'équipe de pieds-nickelé qui sont aujourd'hui au pouvoir, que voulez-vous qu'ils fassent, eux qui n'ont eu que de cesse de balancer sottises sur sottises, incapacités après incapacité?

 

Vous écrivez par ailleurs ceci: «La progression de la maladie avive les tensions de classes, les riches reprochant aux pauvres de propager la maladie et les pauvres pensant qu’on les empoisonne. Bientôt, l’animosité et la colère se portent sur la figure du roi, déjà impopulaire.»

 

Ce que j'ai remarqué c'est ce petit bout de phrase: "...Les pauvre pensant qu'on les empoisonne.", de qui parliez-vous?

 

Il faut douze ans pour faire un vaccin valide et sûr, en un an ce fut la ruée mondiale des entreprises pharmaceutique pour en fabriquer un, Russie comprise, je les mets toutes dans le même sac, croyez-vous vraiment qu'une personne sensée pourrait avoir confiance en l'un d'entre-eux?

 

Ceci sachant qu'existe des traitements efficaces sans passer par la vaccination pour guérir d'une maladie dite SRAS-COV3, 4, 5, 6,... ne sachant déjà plus jusqu'à quel nombre nous devrions compter (plus on cherche, plus on trouve, n'est-ce pas?) et à la morbidité réduite, réservé aux plus anciens d'entre-nous souffrant de co-morbidité, comme le dirait (ou le pense en raison de la censure vaccinale des GAFAM ) le professeur Raoult: "Ceci n'est pas raisonnable!"

 

Vous, Messieurs-Mesdames du FMI, n'êtes non plus raisonnables, ceci parce que vous avez très  bien compris:

 

1)- Que ces gesticulations vaccinales sont grotesques, inutiles et, cerise sur le gâteau, potentiellement dangereux;

 

2)- Que cela accélère gravement la monumentale déconfiture de l'économie internationale en raison de l'arrêt partiel à total de celle de quasiment tous les pays et, ce, depuis un an (d'où la Chine testant sa population  par le trou-du-cul, processus offensant de contrôle de celle-ci par la honte que cela procure, son état craignant dès lors de sa révolte suivant l'achèvement de sa faillite accompagnant celle mondiale);

 

3)- Que le " grand réset " est une pure bouffonnerie de l'oligarchie décatie US, croyant que ce qui fait l'économie ce ne peut qu'être que la monnaie, preuve, tout de même, que vous commencez à revoir un petit peu vos propres approches dogmatique en ce domaine;

 

4)- Mais que vous ne pouvez pas déplaire frontalement à la main qui vous nourrit, la même dite oligarchie US;

 

5)- Que vous saisissez pleinement que si l'euro, et dès lors l'union, s'évaporent, vous ne donnez pas le trimestre suivant pour que le dollar subisse le même sort et, donc, accompagné de toutes les autres devises;

 

6)- Que, désormais, après que la Germanie et les Etats-Unis-d'Amérique furent le centre de tous les enjeux, la France en est redevenue centrale, sans que personne ou presque n'y puisse grand chose: si ici ça bouge, à la moindre décision déplorable gouvernemental, unioniste ou autre, ce sera l'éruption telle que vous la craignez quelle se produise avec raison, c'est tout le reste qui explosera à sa suite;

 

7)- Et enfin, qu'il est d'évidence que pour en réduire les effets il ne peut y avoir qu'une et une seule solution raisonnable: avancer cette crise paroxysmique de manière d'en limiter, autant que faire se peut, des dégâts qui, quoi qu'il en soit, ne pourront être que majeurs.

 

Mais de cela vous ne pouvez que d'en nier l'éventualité, pour la simple raison que, dès  lors que ladite crise surviendra, ce qui ne peut que survenir d'une manière ou d'une autre, l'existence même de votre institution se retrouvera mise, voire remise en cause.

 

Si tant est que l'une des personnes composant le Fond Monétaire International lise ce  billet ainsi que ce tous ceux traitant de ce que je conçois de ce que peut être que l'économie tout au long de mon blog;

 

Veuillez recevoir les sentiments de forte irritation de celui, le plébéien, le moins-que-rien que je suis, qui déplore l'immense gabegie économique qui, depuis quatre décennies au moins, nous conduit là où nous en sommes: aux portes de la plus fantastique banqueroute de tous les temps.

 

Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

 

Salutation,

 

 

THEURIC

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