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C'est parti mon Kiki!

C'est parti mon Kiki!

Allez, vas, le titre de ce billet n'a que de but de montrer que les instabilités tant politiques qu'économiques tendent à s'accentuer plus encore que part le passé.

Nous, français et européens, n'avons qu'un seul intérêt dans cette histoire: que se passe-t-il et qu'arrivera-t-il dans le futur, le reste ne nous concerne, pour le moment, que parce que c'est toute l'humanité, notre humanité d'Être Humain, qui est également concerné.

Dans combien de temps ces instabilités deviendront-elles telles (comme Guillaume, hi, hi, hi) que tout le système économique globalisé s'effondrera?

Je pense qu'il est impossible pour quiconque de le dire.

En revanche, de poser un certains nombre de suppositions en faisant de manière d'être au plus proche de la réalité des faits, mais aussi d'en prévoir l'évolution du  possible au probable est réalisable.

Certes, comme d'habitude il s'agit d'un survol, d'autant que, je l'avoue, je fais beaucoup d'extrapolations, ce qui, ma foi, a donné, dans l'ensemble, d'assez bons résultats.P1010499.JPG

Intuitivement je sens que nous arrivons à une bifurcation, quelque chose comme un long virage qui se resserre de plus en plus à certains moments, plutôt que d'une ligne droite avec un virage au bout, suivit d'une nouvelle ligne droite.

Phénomène accompagné d'une accélération.

Du-moins est-ce l'image que j'en ai.

Depuis son élection, Monsieur Trump, quoi que nous pensions de lui, de ses décisions dedans et hors de son pays, rebat les cartes, ce qui ne peut que mener à une redéfinition des situations qui prévalaient il y a un an seulement, que ce soit aux U.S.A., dans l'U.E., en France et à l'international.

Il est vrai que les gesticulation de notre petit, petit, petit, petit empereur national, j'ai nommé Emmanuel Macron, a également un peu perturbé son monde, il l'a surtout agacé.

Il a particulièrement engendré, de par ses décisions et tocades, un déséquilibre en France qui peut, désormais, dégénéré à n'importe quel moment et, ce, pour un événement important ou futile: la population en ayant plus qu'assez des dispositions de l'Union-Européenne et de l'oligarchie que lui et son équipe suivent et, parfois, anticipent, avec l'empressement digne d'obséquieux petits chefs de services.

Je me demande encore une fois s'il ne fut pas choisi en raison,  justement, de sa forte tendance naturelle à la médiocrité.

Bien qu'il soit tout autant possible de nous interroger sur la médiocrité constitutive de ceux qui l'ont choisi, le patron d'A.X.A., Madame Merkel, Monsieur Attali et le collectif Bilderberg, officine impériale où l'on forme nos croquemitaines nationaux, entre-autre.

La photo de notre Président de la République, que j'avais laissé en page de garde P1010587.JPGd'un billet de fin Avril, où nous le voyons conduit par le Président des États-Unis-d'Amérique tel un petit garçon par son papa, me laisse à penser que si le premier fut choisi pour son poste, ce fut pour,  justement, détruire l'Union-Européenne.

C'est pourquoi, partant de cette idée, j'en suis venu à penser que l'élection de Donald Trump ne fut en rien un hasard mais, tout au contraire, une décision collégiale murement réfléchie.

De mettre un trublion plutôt jobard à la tête de la deuxième puissance européenne dont le but est de perdre notre sainte union par ses erreurs, maladresses, inepties et autres bêtises.

D'ailleurs, il doit y avoir un mathématicien et un universitaire, et d'autres grands naïfs, qui doivent aujourd'hui s'en mordre les doigts.

Donc, cet avant-propos venant compléter le billet qui suit, ce qui est amusant, je vous propose d'en continuer la lecture.

J'y montre cet accroissement de l'instabilité nationale, unioniste et P1010609.JPGinternationale...

Les fleurs du mal qui, depuis 2008 pour certaines, bien plus anciennement pour d'autres, avaient fleuri, commencent aujourd'hui à donner de ces fruits que nous aurons bien des difficultés à digérer.

Mais pour comprendre ce qu'il se passe, il se faut de retourner notre vision les événements pour les percevoir dans leur juste proportion.

Ainsi, nous est-il affirmé, les États-Unis-d'Amérique trumpiens ont amorcé une guerre commerciale à l'encontre de l'Union-Européenne.

Et non, il ne s'agit pas pour eux d'une guerre commerciale mais d'une réindustrialisation de leur pays, ceci doublé de la poursuite de la déstabilisation de l'U.E..

Ce qui pourrait ne sembler être qu'une simple nuance vaseuse mais qui, en réalité, se révèle être une représentation bien plus exacte de la réalité.

Il y aurait guerre commerciale entre ces deux unions si leurs relations n'étaient pas tant ambigües, que les États-Unis-d'Europe (ce à quoi rêvent nos croquemitaines P1010631.JPGeuropéistes), perle impériale U.S., n'étaient pas en voie de délitement, et si les U.S.A. ne se trouvaient pas dans une situation industrielle tellement désespérée que seul le rapatriement de leurs entreprises, et la création de nouvelles, pourrait leur laisser l'espoir de leur survie.

L'empire américain n'a désormais plus aucun autre choix que de détruire le peu de richesse industrielle européenne qui reste, ce qui ne peut que vouloir dire de détruire l'administration bruxelloise par l'ébranlement de ses pays qui comptent: France, Allemagne et Italie:

-France: après la série de grèves, qui reprendront sous une nouvelle forme, une association, Anticor (aux pieds?) porte plainte contre le secrétaire général de l’Élysée, soit le conseillé principal de Mr. Macron;

-Allemagne: dans le même temps, les concomitances font décidément bien l'affaire,  la Deutsch Bank voit sa note s'abaisser et se trouve attaqué sur les marchés actions (comme ils disent);

-Italie: cela alors même que deux partis anti-euro (ne remettant pas en question  l'Union-Européenne, en voulant le beurre, son argent et les rondes grâces de la crémière), 5 Étoiles et Ligue du Nord, achèvent leur conflit avec leur président de la république, que la situation économique du pays s'avère désastreuse et que les banques italiennes, si tant liées à celles françaises, montrent toujours plus leur pudique faillite.P1010577.JPG

Ceci pendant qu'un scandale commence à gicler sur le chef de ce cher Juncker, ce qui  risquerait fort de mouiller bien des têtes pensantes de l'U.E. ( enfin, tête pensante, l'expression n'est qu'un jeu d'esprit ).

Ces quatre petits et seuls exemples montrent l'ébranlement continuelle de notre inénarrable union.

Les tensions commerciales, en ce moment restreintes, n'en étant qu'un petit plus, utile pour la réindustrialisation de Tonton Sam.

Comme vous le voyez, si nous réexaminions les événements sous un angle différent, nous nous retrouvons à en avoir une autre lecture que de ce qu'il s'en dit habituellement.

Et si le titre de ce billet c'est: "C'est parti mon Kiki", c'est bien parce que, entre-autre, la déstabilisation de l'U.E. est dorénavant entrée dans une nouvelle phase, plus agressive.

( A ce sujet, les États-unis-d'Amérique et la Grande-Bretagne se trouvent tous deux au-dedans de mêmes difficultés.

Pour se réindustrialiser ils doivent tous deux faire baisser leur monnaie, dollar et P1010510.JPGlivre sterling, et, pour le premier, faire monter des taxes d'importation.

Or, dans un premier temps, cela fait mécaniquement monter les prix de ce qui est importé, dont celui des produits de bouche et du petit matériel, comme les appareils électroménager et les outils, sachant que, pire qu'ici en France, ils ne fabriquent quasiment plus rien chez-eux.

Ceci sans compter les contremesures à l'importation prises par les exportateurs comme la Chine ou l'Allemagne.

De ce fait, cela appauvrit les petites gens, bien que le travail industriel revient, mais si doucement, ce qui y détruit encore plus le commerce de détail, ce qui avait déjà commencé il y a longtemps, phénomène que nous vivons aussi chez-nous de façon moindre, ce à quoi je reviens de suite plus bas.

Là encore, de percevoir les circonstances sous un nouveau point de vue ne peut que nous permettre de les concevoir à une plus juste valeur. )

Mais il y a plus.

Le système économique globalisé, centré sur le monétarisme échevelé, montre lui-aussi des signes de détresse.

Thème déjà traité de multiples fois mais évoluant sans cesse.P1010696.JPG

Vous trouverez ici cette petite phrase: " 1 Les gros fonds spéculatifs sortent des marchés actions à un rythme que nous n’avions pas vu depuis la crise financière de 2008. ".

Quoi qu'il pouvais s'en dire, je vous avais annoncé, il y a un mois de cela, que l'augmentation du cours du pétrole depuis l'année dernière était le signe que les fonds spéculatifs sortaient des bourses et se reportaient sur les matières premières, de bouche, c'est pour nous le plus visible, mais aussi sur toutes les autres.

Ce que j'avais pressenti dès Octobre de l'année dernière pour le beurre, le sucre et le chocolat, puis, le doute se faisant j'en avais écarté l'idée.

J'y avais écrit ceci (en un coup de flemme, un copié-collé, pourquoi pas, et puis, que je ne cache pas ma satisfaction d'en avoir saisi les mécanismes, même si cela va nous conduire à la pire des mouscailles):

...cette hausse soudaine des prix et leur amoindrissement en quantité dans les rayons ne peut en être la cause directe, mais tout à plus un prétexte, avec, toutefois, une base de réalité: cette exportation ayant mené à une tension autant sur leur montant que sur les flux d'approvisionnement.

Tension n'ayant pu que débuter il y a pas mal de temps déjà, raison sûrement de ces choix.

C'est pourquoi je dis et affirme que cette hausse soudaine des prix et baisse en fourniture de ces articles signent le délaissement progressif de la spéculation P1010654.JPGboursière qui, désormais, se reporte sur les matières premières et de première nécessité.

Comme ce fut le cas déjà en 2008, peu avant que nous n'apprenions que le système bancaire était aux portes de l'implosion.  )

Cette tension sur les prix des matières premières ne peuvent qu'accélérer la désindustrialisation internationale et, dans le même temps, accentuer les Q.E., les hyper-productions monétaires des banques centrales.

Qui se retrouveront à racheter les actions dès lors vendues sur les marchés boursiers des entreprises de leur pays respectif, ceci pour éviter que les bourses ne s'effondrent, monnaie tombée dès lors dans les poches de ces fonds et qui, comme je l'expliquais l'année dernière, se déversera dans la spéculation sur ces-dites matières premières.

Ce qui mènera à une inflation internationale égale à la quantité de monnaie ainsi déversée, ce qui est dès maintenant devenu visible sur les pommes, le beurre, le chocolat, le pétrole.

Ce qui ne peut qu'accroitre la désindustrialisation mondiale générant une instabilité des prix grandissante par la déflation que cela génère.

Phénomène qui sera bientôt apparent pour un nombre toujours plus grand de produits.

Alors, je vous renouvelle mes conseils: faites vos réserves.

Parce que, là aussi, c'est parti mon Kiki, comme en l'an 40 2008, mais en pire, infiniment pire.

Là encore, si nous observons les occurrences sous une perspective convenable, il estP1000706.JPG possible de concevoir les effets de cette débâcle économique qui, maintenant, s'accroit démesurément.

Ceci ne pouvant se faire que dans les grandes lignes il est vrai, mais il ne peut en être autrement.

Et, suivant les cas, les pays et les régions, ces effets peuvent être plus ou moins violents et importants.

Or, le commerce international ne peut que souffrir d'une hausse du prix du pétrole, et pas qu'un peu.

Le maritime, certes, mais aussi l'aérien et le routier, ce dernier étant celui nous permettant les échanges européens, tous en souffrent et en souffriront de plus en plus.

Cela ne pourra que se traduire par un ralentissement de la circulation aérienne, maritime et routier, par un accroissement des prix du transport, ce qui, in fine, se répercutera sur notre porte-monnaie, puis mènera à des faillites de transporteurs et des compagnies.

Et c'est parti mon Kiki (qui est-ce Kiki?) pour une augmentation des prix dans les magasins, pour les pièces détachées automobiles, les carburants.....

Mais ce n'est pas tout, les états ne peuvent que remonter leurs taux (les U.S.A. ayant commencé les premiers), remonter les taux, c'est bien joli, mais les taux de quoi?

En fait, les banques centrales prêtent aux banques privées de la monnaie, monnaie qui sert à spéculer sur tout ce qui peut être spéculable (néologisme, j'avertis dès que j'en crée un).

Entre-autre aux états, qui émettent en échange des bons du trésor, qui ne sont que des reconnaissances de dette, ce qui est idiot, pourquoi donc ce ne seraient pas les P1010727.JPGbanques centrales qui prêteraient directement à ces états comme il se faisait d'antan, lors de cette période dite des trente glorieuses, puisque les premières sont l'émanation des seconds?

Ces bons du trésors pouvant aussi être délivré  de pays à pays lorsqu'il y a importation, contre des dollars ou des euros, par exemple, suivant le pays ou l'union importateurs.

La marchandise est en effet payé en dollars puis reconvertis en ces bons par le pays exportateur, là les U.S.A. [il est à relever que nombre d'échanges commerciaux se font en dollars, entre-autre ceux dédiés aux carburants, ça doit être tout un micmac pour passer d'une monnaie nationale au dollar et inversement, j'avoue que là, çà, ça m'échappe, si quelqu'un pouvait m'expliquer... ].

Ces reconnaissances de dettes se retrouvant alors dans les coffres des banques centrales comme [ fausses ] monnaie de réserve, c'est pourquoi des pays comme la Chine ou la Russie les revendent pour acheter, en échange, de l'or.   )

Donc, les banques, assurances et fonds spéculatifs prêtent aux états pour un temps déterminé, quelques mois, une ou plusieurs années, voire des décennies, avec un taux d'intérêt décidé par le-dit état.

Ces prêts sont le jeu de spéculation, donc il s'achètent et se vendent sur le marché spéculatif.

Il n'y a pas longtemps, ils étaient à un taux négatif, ce qui veut dire que le prêteur donnait de l'argent pour pouvoir prêter, une sorte de jeu de con, quoi.

Si les états remontent leurs taux, les spéculateurs vont, bien entendu, revendre les anciennes reconnaissances de dette étatique à leurs confrères pour en racheter de nouveaux, plus juteux.P1010789.JPG

Mais ces reconnaissances de dettes revendues vont baisser de valeur et un tas de spéculateurs vont se retrouver avec un tas de ces reconnaissances de dettes d'états invendables qui ne vaudront plus rien, soit parce qu'ils ne pouvaient pas faire autrement (les assureurs détenant les assurances-vie des particuliers), soit parce qu'ils sont trop sots ou lents à la réaction, ce qui est la même chose.

C'est pourquoi les gens sérieux conseillent de se débarrasser au plus vite des assurances-vie.

Quand aux économies, ben, si vous en avez, soit vous le transformez en du concret, sac de riz, lingots d'aciers (vous verrez, ça se revendra bien  d'ici quelque temps), or, vélocipèdes, terrains agricoles et que sais-je encore, ou vous le répartissez entre différentes banques, si l'une coule, l'autre pourra être nationalisée, bien  qu'elles puissent toutes l'être, sait-on jamais.

Enfin, vous voyez la méga bulle qui nous pend au nez.

Mais elle n'est pas la seule.

Vous savez, la titrisation, ce truc de dingue et d'escroc qui avait failli déjà ruiner toutes les banques en 2008, et bien elle a repris de plus belle, et je me suis laissé dire que l'Union-Européenne aussi en a autorisé l'astuce depuis des P1010754.JPGannées.

Parce que, comme je ne cesse de le répéter, tout le monde dans le monde est endetté, les états, certes, mais aussi la particuliers, les entreprises, les banques, ces fameux fonds spéculatifs prêteurs tout autant qu'emprunteurs.....

Cet ensemble gigantesque de bulles spéculatives de toutes sortes et de toutes tailles explosera à un moment ou à un autre, ceci d'autant plus que les banques s'apercevront qu'elles se retrouvent avec, dans leurs coffres, des tas de truc titrisés dont elles ne sauront pas ce qu'ils contiennent, mais aussi que leurs copines sont dans la même situation, ce qui fait qu'elles n'aurons plus confiance les unes des autres.

Comme en 2008, mais puissance mille.

Et comme il faut qu'elles se prêtent de l'agent pour fonctionner convenablement, elles arrêteront tout net de s'entraider, or, les états ne peuvent plus leur déverser de la monnaie pour faire redémarrer la machine bancaire en panne: trop de monnaies furent répandue dans le monde.

Enfin si, ils le peuvent, mais ça ne servira à rien: la machinerie monétaire étant cassée!

Enfin quoi, là ce n'est pas encore parti mon Kiki, mais quand cela se fera, çà, ça fera mal, très mal.

Maintenant plus personne ne veut des reconnaissances de dettes des États-Unis-d'Amérique, dites bons du trésor [  c'est le sieur Perrin qui en a fait un billet, publié sur businessbourse, même si je trouve ses idées idiotes, du-moins a-t-il  des informations intéressantes et il les diffuse    ].

L'empire U.S. n'a donc plus que trois choix: soit revendre ses bons à sa population, de gré d'abord, de force ensuite, soit faire un super-Q.E. pour les racheter contre un dollar qui ne vaut plus rien, soit pomper les richesses boursières de sa colonie qu'est l'U.E. [  les pigeons, comptez-vous  ], il lui est aussi possible de varier les plaisir en faisant revente, Q.E. et pompage.

Quoi qu'il en soit, cette affaire sent le roussi...  )P1010781.JPG

Pour finir cet état des lieux plutôt pesant (mieux vaut être informé du pire et s'y préparer plutôt que de dormir benoitement et se réveiller en plein milieux du chaos, non? ), voyons où en est est notre maître impérial étasunien.

Moi, Mr. Trump, je l'aime bien.

Bon, le personnage est vulgaire, je l'ai déjà dit, mais il arrive à ses fins: réindustrialiser son pays.

Son problème et non des moindres: il fut élu quatre ans trop tard, du-moins pour les U.S.A., pour nous, ça n'aurait pas changé grand-chose.

Mais il lui en a fallu du temps pour se préparer, lui et son équipe.

Quelle est-elle?

Je n'en sais fichtrement rien, mais derrière lui il y a de l’entregent, il ne serait en être autrement, sinon il n'aurait pas pu se maintenir longtemps à son poste (  Si Mr. Trump se fait assassiné vous pourrez être sûr d'une chose: cela détruira définitivement les États-Unis-d'Amérique, Trump est le dernier atout des Etasunis   ).

C'est que son pays est dans une situation pitoyable, ses près de 40% de chômeurs, tout compris, ses services d'état qui, sous l'ère Obama, prenaient leur indépendance du pouvoir central et doivent, aujourd'hui, n'être qu'en conflit larvé entre eux si, sait-on jamais, le président U.S. a réussi à y mettre bon ordre, des bases extraterritoriales qui ne servent à rien en coûtant une fortune à ce pays.

Ses banques, ah les banques U.S., il n'y a que la Deutsch Bank et celles chinoises P1010805.JPGpour se retrouver dans une situation aussi désespérée, et encore, ce n'est pas sûr.

Sans compter des dettes multiformes abyssales, une population pauvre qui, quoi qu'il fasse, ne peut qu'augmenter pour l'instant, une oligarchie délirante et dangereuse, un dollar dorénavant rejeté à l'international, une perte de crédibilité mondiale, même en Union-européenne, mais les eurolâtres étant également américanolâtres, ils obéiront.

Sauf qu'avec Frau Merkel à la direction de l'Allemagne, il lui faut la détruire, cette union, d'ailleurs ce n'est pas plus mal pour le trumpisme ( néologisme, vous l'auriez compris ), l'U.E. aussi lui coûte les yeux de la tête, avec la Pologne et les pays baltes qui pleurent que les U.S.A. leur envoient plus de troupes, paranos qu'ils sont, les allemands qui râlent à cause des droits de douanes qui viennent de monter, les français parce que le C.O.P. 21, ce bidule ridicule sur le climat, a été abandonné par Tonton Sam et les pays ouest européens parce qu'ils n'ont plus le droit de commercer avec l'Iran.

Il faudrait savoir, l'Union-Européenne est-elle, oui ou non, une créature de l'empire américain, si oui, qu'ils la ferment et obéissent, ou alors qu'ils la bazardent et les Etasunis feront des affaires avec chaque pays.

Non mais, pour qui se prennent-ils, ces esclaves!

Dernier point délicat que Trump doit gérer, c'est le rapatriement discret de sesP1010715.JPG troupes.

Le point positif c'est que ses mercenaires se retrouvent hors de son pays, en Afrique et en Afghanistan de ce que j'en sais, qu'ils foutent la pagaille ailleurs, doit-il se dire.

Certaines bases peuvent être sans trop de problème désertés, ça ne se verra pas de trop, et puis ça s'arrange avec la Chine et la Corée-du-Nord, les sud-coréens et japonais seront ravis de voir se vider les camps U.S. se trouvant chez-eux.

Mais il y a ce fichu O.T.A.N. qui colle à leur basque, aux ricains, et dont ils ne savent pas comment se dépatouiller, avec la Turquie que ne fait que ce qu'elle veut, les nazis en Ukraine soutenus par ces fous d'européens otaniens, et la charge économique énorme que représente cette organisation qui ne sert plus à rien, sans compter une Union-Européenne exsangue qui n'a plus, d'armée, que des confettis...

Donc, pour l'empire, il faut désagréger l'O.T.A.N., mais pour cela il faut détruire l'Union-européenne, il n'a pas d'autre choix pour faire des économies.

Sauf que, sauf que, ce programme aurait été parfait il y a quatre ans, aujourd'hui le jeu n'est plus là mais de savoir combien de temps encore l'économie globalisée tiendra et ça, personne ne le sait.

Alors, est-ce simplement pour faire des économies que les U.S.A. ferment leurs P1010580.JPGbases extraterritoriales, ou est-ce de se préparer au mieux de cet avènement qui, pour eux, sera cataclysmique.

Je ne le sais pas, mais si j'aurais un conseil à vous donner, prenez-le, il est gratuit: faites vos réserves!

Parce que c'est parti mon Kiki!

 

 

THEURIC

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