Hier je suis allé à Paris en voiture et m'étais garé au parking souterrain de la gare de Lyon (heureusement que je ne fais pas ça tous les jours, ça coûte un fric de dingue, comme le dirait notre godelureau national, devinez qui).
Après que j'aie effectué mes courses, je prenais l'ascenseur où s'y trouvait une demi-douzaine de personnes, entre-autre une dame avec son toutou, puis une jeune femme qui montrait des réticences en y entrant, en voyant l'animal.
Ce que l'un des hommes présents remarqua et lui demanda si elle n'aurait pas peur des chiens, ce qu'elle répondit par l'affirmative, ajoutant ensuite qu'avec celui-ci, de petite taille, cette phobie était moins puissante.
A ce moment là de la conversation je m'en mêlais en lui expliquant que le chien est le descendant du loup humanisé, puis que la peur activait toujours nos structures symboliques (bien entendu, je ne m'y exprimais pas ainsi en allant au plus court de mon expression), que si elle était ancienne et/ou inconsciente cette peur pouvait se déplacer vers un objet représentatif, ici le chien (ce qui est à l'origine des phobies), symbole qui est notre pré-câblage neuronal de notre psyché profonde.
Enfin, je lui dit que dès qu'elle aura compris l'origine de cette peur cette phobie s'évanouira.
La porte s'ouvrit et, sur ces mots, je sortis de l'ascenseur.
Plus tard, dans ma voiture, en roulant, je fus surpris de cette idée que j'avais émise: la peur activait toujours nos structures symboliques.
Or, ai-je soliloqué, nous pouvons percevoir une peur actuellement, collective, que les médiats n'ont que de cesse d'amplifier, celle au sujet de ce coronavirus qui agite autant le lanterneau médiatique que de celui politique.
Ceci quand les épidémiologistes, professionnels de la chose, ne paraissent pas s'en affoler outre mesure.
Dès lors, la question logique me venant à l'esprit ne pouvait qu'être: quelle peut être que cette peur qui, déplacée à l'endroit de cette maladie qui, sommes toutes, n'a, jusqu'à présent, fait que quelques centaines de morts et généré que quelques milliers à dizaines de milliers de malades dans le monde, ceci au regard des 7, 7 milliards d'habitants sur terre?
Les épidémies et autres pandémies faisant parti de ces craintes universelles qui, tout au long de l'histoire, ont ravagé les peuples et les pays, et dont nous pouvons, tout à loisir, retrouver les représentations imagées, symbolique, sous une forme ou une autre, à l'exemple du quatrième cavalier de l'apocalypse dans la bible.
Puis la réponse me vint: il s'agit de l'adanthropisme, ce néologisme, composé du préfixe ad-, qui va vers, et Anthropos, l'Homme, que j'avais inventer pour rendre compte du plus que désir, de cette envie profonde, archétypal, des enfants de devenir adulte mais qui, je l'ai compris à ce moment là, se retrouve à être déstabilisé chez l'adulte quand surgit une perte d'identité par la perte de la détermination de Soi.
Ceci chez tous ceux qui, européens, occidentaux, se disent européistes et internationalistes, ce qui génère une peur angoissée de ne pas ou plus savoir qui ils sont, menant à une culpabilité importante, l'un de ses autres effet en étant les violences policière à l'endroit des gilettistes, des grévistes et des manifestants contre le projet de loi sur les retraites, des juges par exemple.
Qui eux ont, aussi, d'autres causes que j'ai pu étudier avec vous précédemment.
Mais en quoi donc de ne savoir qui être peut-elle mener à cette peur irraisonnée en une pandémie qui, pour l'instant, n'en reste qu'un minuscule épiphénomène?
Quelle pourrait en être la mécanique?
Il faut, à mon sens, la rechercher dans l'activation d'un autre symbole, autre archétype puissant (le symbole étant l'image archétypale), celui de la punition divine, ce qui se met en écho d'un autre fantasme phobique, celui d'un réchauffement climatique anthropogénique qui, quand bien même surviendrait-il, serait en tous points infiniment plus bénéfique pour l'Être Humain qu'un refroidissement.
Sachant de plus que le CO², composant 0,04 % de l'atmosphère suivant ce site (les commentaires et non pas le texte originaire), ou 0,05 % suivant le livre "L'émancipation de la vie" de Josef Reichholf, permet aux plantes de se développer et plus il y en a, mieux les plantes poussent et mieux l'agriculture s'épanouit.
Sans CO², là, ce serait une réelle catastrophe, mais bon, revenons à nos moutons, bêêêê.
D'où provient donc cette activation?
De ne pas pouvoir se définir en tant que personne, tant en tant qu'individu que collectivement, ceci en raison de l'intense propagande idéologique médiatique, dont les tenant souffrent du même mal, remettant en cause autant la sexualisation biologique des gens que de leur appartenance à un peuple, une nation et dès lors à un pays, mène à une grande instabilité psychique et donc à une peur angoissée inconsciente des sujets puisque ils ne savent plus quelle est leur identité.
Perdu dans ce vide, dans ce néant, ces gens, puisque ils ont le sentiment, en réalité faux, de ne rien être, par inversion, pour surmonter cette peur angoissante de ne pas pouvoir se dire Être Humain, en raison de leur tentative de compensation de cet état mental déplorable, peuvent se vouloir sentir d'être tout, de se considérer être tout, donc être Dieu lui-même.
Mais puisque ils se savent ne pas être dieu, ils projettent sur les autres leurs propres tourments en les accusant inconsciemment d'être la cause de ce mal-être, mais pour des raisons fallacieuses, puisque ils ne sont pas dieu, en invertissant la réalité.
D'où cette idée idiote de ce réchauffement climatique anthropogénique qui n'existe pas mais qui, s'il est pris au sérieux, ne peut que mener à une baisse de l'usage d'énergie conduisant ipso facto à la mort par famine d'une grande majorité de la population mondiale.
Tout comme d'interdire à la population de sortir de chez-elle pour cause d'épidémie ne peut que conduire à cette faillite généralisée qui, quoi qu'il en soit, arrivera à un moment ou à un autre, et qui sera, elle aussi, meurtrière par la cessation de fonctionnement du commerce international et de l'effondrement de la grande majorité des monnaies.
Se prenant donc pour dieu tout en sachant que c'est faux, les tenant de ces absurdités punissent donc les populations par des considérations fictives mais pour eux bien réelles qu'ils font tout pour les leurs faire croire, ceci en les plongeant dans leur monde imaginaire.
Ce processus provenant, me semble-t-il, d'une minorité agissante souffrant d'une grave perversion narcissique conduisant les peuples occidentaux, surtout, dans ledit monde imaginaire que j'appelle un brouillard conceptuel.
Comprenez bien que dans le même temps ils croient à leurs fantasmes mais les utilisent aussi pour conduire et manipuler leurs sujets.
Il est à relever que ce genre de malade mental, toujours foncièrement incompétent, ont le réflexe de vouloir punir ceux dont ils perdent le contrôle, et que leur violence est égal à cette perte, ce qui est une manière, pour eux, de garder un contacte et un moyen de pression sur leurs proies.
Desquels nous ne devons surtout pas confondre avec ceux constituant l'état profond étasunien qui eux manipulent les peuples pour tenter de perpétuer leur puissance maritime mondiale, en profitant de ces histoires à dormir debout.
Ce sont eux qui les ont mis en place à la tête des gouvernements européens, de l'Union-Européenne et à la direction de l'OTAN, entre-autre, pour qu'ils puissent contrer la puissance russe, iranienne et chinoise montante (ceci dit sans porter de vrai jugement de valeur sur l'un ou l'autre camp).
Ils peuvent facilement choisir de telles personnalités dérangées qui, si elles considèrent que les États-Unis-d'Amérique sont, de fait, au-dedans de leur brouillard conceptuel, feront tout pour perpétuer leur présence, quand bien même cela serait-il à leur propre désavantage.
Il faut tout autant faire la part entre ceux, majoritaires, qui, sains d'esprits, sont encore contraints par ces multiples calembredaines mortifères auxquelles ils croient, de ceux qui, au mental dérangé, vivent celles-ci comme n'étant que d'une pure réalité.
Si ces seconds, heureusement largement minoritaires, tendent à se contredire les uns les autres c'est que, comme j'ai pu l'expliquer auparavant, il faut absolument, pour chacun d'entre-eux, de se retrouver au centre de leur monde imaginaire, de ce fait, quand bien même peuvent-ils s'allier, ils sont toujours et restent ennemis de leurs semblables en souffrance, c'est en cela qu'il est possible de les jouer les uns contre les autres.
De cette jeune femme phobique des chiens, j'en ai conclu qu'en raison de la masse propagandiste anti-masculinité, sans que jamais ne soit fait mention, dans les médiats, des hommes de bien respectueux de toutes choses, dont surtout des femmes et des enfants, ceci en écho de cette débile et grotesque théorie des genres, elle en est venue à craindre les hommes.
Mais elle ne peut pas avoir les mêmes craintes envers son papa et de son amoureux, elle reporte dès lors cette peur sur les chiens puisque le loup est un symbole fort de virilité et que le chien en est son descendant humanisé, comme il peut en être pour l'ours au demeurant.
Nous pouvons dès lors percevoir les implications directes de cette propagande sexuelle obtuse remettant en cause nos savoirs sur nos déterminations biologiques, mise à part, bien entendu, quelques cas rares mutagènes largement minoritaires.
Enfin, en ce qui concerne la Chine la situation est différente.
Pour le gouvernement de ce pays il lui fallait, en ces débuts, absolument interdire à sa population de se nourrir d'animaux sauvages en lui faisant peur de cette épidémie.
Puis, quand l'OMS avait émis un avis de grave risque pandémique, ce qui peut nous faire supposer quels types de personnalités dirigent cette organisation aujourd'hui, puisque l'état chinois n'avait pas réagi avec efficacité lors de l'apparition du SRAS, il se retrouvait dès lors contraint d'en surajouter en terme de prévention pour ne pas perdre la face à l'international.
L'autre phénomène étant une fragilité de son système de santé, ce que les russes ont dû aussi comprendre, c'est pourquoi ils refermèrent si rapidement leurs frontières avec leur voisin de l'est.
Il est à noter qu'en raison de notre appartenance à l'union, la France se retrouve aussi en une situation analogue, il est probable qu'il en soit de même aux USA et dans la très grande majorité des pays.
Quasiment personne ne peut, en effet, gérer avec une réelle efficacité une pandémie majeur et mortelle.
Là encore, j'ai voulu analyser notre situation sous un angle différent.
Je peux faire erreur au sujet de cette épidémie au coronavirus, mais, du-moins, pour l'instant, nous n'avons pas vraiment beaucoup à en craindre.
Notre gouvernement semble suivre les avis d'épidémiologistes, pour combien de temps, attendons donc d'y voir plus clair au vu des personnalités qui nous dirigent.
Tout du-moins, si tous les effets de cette épidémie perdure, ça pourrait nous conduire à cet effondrement économique mondialisé dont je vous mets en garde depuis longtemps en vous conseillant de faire vos réserves de nourriture, de produits d'entretiens pour la maison, de soin pour le corps, de menue-monnaie pour de dernières couses et d'avoir de quoi faire du troc.
Surtout qu'il est possible que nous puissions aussi nous retrouver bloqués chez-nous comme cela se passe en ce moment en Italie.
Il va dès lors nous falloir suivre les événements pour nous y adapter au mieux.
Il est probable que si le gouvernement chinois se rend compte que cette épidémie s'atténue, il rende sa liberté à sa population et fasse repartir sa machinerie économique, ceci parce que, quand bien même saurait-il, ce que je pense, que ce système économique globalisé est à bout de souffle et ne va pas tarder à flancher, du-moins son pays n'est pas prêt à en affronter les dégâts qui, pour nous tous, ne pourront qu'être majeur, ad minima en ses premières années.
THEURIC