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  • Mutation d'élégance.

                    Sans hiver

                  Le printemps

    Ne serait que pauvre mirage

     

     

    L'hiver

     

    Bien que n'ayant que mauvaise réputation,

    L'hiver aussi, à l'instar des autres saisons,

    Offre ses plaisirs en ses justes raisons

    Que je vous propose à vos appréciations :

     

    Marcher dessous la neige lorsqu'elle tombe

    En ce si gracieux et cotonneux silence,

    Qu'aussi lourde sa chute, n'est point de trombe,

    La nuée des flocons se fait d'élégance :

    Virevoltantes infinies d'infimes colombes,

    Craque sous mes pas d'un sol cessant leur danse.

     

    Son froid, autant, s'il n'en vient pas d'exagérer,

    Peut être volupté en vêtures chaudes,

    Dehors, quand chacun traîne et baguenaude,

    Puis, en un chez soi chauffé, s'y revigorer.

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        Les ères se suivent

                Pas-à-pas

    Mais ne se ressemblent

     

     

    L'électrochoc

     

    D'aujourd'hui à demain le monde va muter,

    Et quand les convictions viennent s'y fracasser

    Il n'y a pas de besoin de s'en agacer,

    D'angoisser, de le nier et de s'y buter :

     

    De tout temps le présent se fera futur,

    Les lendemains deviendront aussi différents

    Que les passés à l'actuel, par nature.

     

    Lors, lorsque l'incongruité se fait référent,

    l'idée absurde, obtuse : conjoncture,

    Le réel importun et le vrai aberrant,

     

    Il faut prévoir quand revient la réalité,

    Se conjuguant d'avec novations, réformes,

    Découvertes, trouvailles en toutes formes,

    Ce soit l'électrochoc en mentale santé.

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    D'été, de printemps, d'hiver

                   D'automne

        Les femmes sont belles

               Et nous aiment

     

     

    Flagrance d'élégance

     

    Flagrance d'élégance de toutes femmes,

    Même les plus laides cache de leur charme,

    Parfois de peur que les hommes se pâment

    De beautés cachées voilant bien des larmes.

     

    Des éclats juvéniles font, d'âge doublé,

    Grâce et distinction, belle plénitude.

    Chacune en sa saison ne peut que troubler

    L'homme galant, courtois, marque de quiétude.

     

    Souriez, mesdames, nous vous aimons toutes,

    Comme vous, vous aimez de nos charmes virils,

    Parfois discrets, ou patents, présents sans doute,

    Sauf ceux, celles voyant en l'autre sexe péril.

     

    Nous sommes, mâles et femelles, auxiliaires,

    Différents en tout, sauf en intelligence,

    Ceux qui le nient, nièrent, d'un trait rayèrent

    Ce qui fit, d'humanité, notre évidence.

                                               -----------------------------------------

     

     

           Il est d'un temps

               où la bêtise

    Se gargarise de sa laideur

     

     

    Où s'est-elle mise là, Mila ?

     

    Toujours, quand idéologies et religions

    Se retrouvent, le temps passant, faibles, fragiles,

    Par l'amour des plaisirs puérils et du pognon,

    La violence sotte leur devient l'asile.

     

    Devenu puritain en mot et en acte

    Parce que leur croyance n'est plus d'époque,

    Mais aussi de trahir le vrai et l'exact

    De l'ensemble de que cette Foi évoque.

     

    C'est cette double mentalité mentale,

    Entre annonce morale et trahison ,

    Qui fait la fureur quasi viscérale

    Provenant de cette duale déraison :

     

    Si ce credo était servi fidèlement

    Nul besoin de vouloir briser les critiques :

    Le doute ne générerait de blessure

    Puisque pour le croyant n'est pas véridique.

     

    Quand craintes d'incertitudes, d'hésitations

    Se fait jour au cœur de bien des fidèles,

    Une sotte et si terrible exaltation

    Les mène à un feux comme seul modèle :

     

    La frénésie des mots comme des exactions

    En devient d'évidence pour ces âmes troublées

    De se refuser de ce devoir de question,

    Oubliant d'évoluer en œillères affublées.

     

    Mais de ce refus, il est là, toujours présent,

    Agissant dans l'ombre de toutes les pensées,

    Sans que ces personnes, aux dégoûts foisonnants,

    Ne sachent même ce qui peut les y pousser.

     

    Provoquant tous ces heurs, toutes malfaisances,

    Confondant sans fondement dogme et idée :

    Credo devenu termes d'insuffisance

    En un chaos fouillis aux vues invalidées.

     

    Du politique à la spiritualité,

    Quand l'idolâtrie remplace la ferveur,

    Les paroles posées se font d'ambiguïtés

    Menant l'une et l'autre aux défaveurs.

     

    Ce jeu trouble d'une gauche pseudo-gauche,

    D'une droite étant aussi pseudo-droite,

    D'un islamisme en violente débauche

    Et d'intellectuels d'idioties benoîtes

     

    Conduit une ado, exprimant ce qu'elle pense,

    A saper plus tous ces socle non solide,

    Aujourd'hui devenus réellement sans sens,

    Trompés par des porteurs rendus sordides.

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             C'est l'art qui

    Plus que toute autre chose

        Forge notre humanité

     

     

    L’œuvre d'art

     

    L’œuvre d'art est et sera de toujours

    Infiniment plus que de son créateur

    Et bien que le temps se passe nuit et jour,

    La création vraie se fait en son heure.

     

    Est-ce l'artiste qui façonne son œuvre

    Ou bien est-ce l’œuvre qui conduit l'artiste ?

    (De me poser la question en existentialiste,

    De la poésie j'en cherche la manœuvre :

     

    De versifier est une chose magique

    Où de rechercher les bons mots en leur sens

    S'allient syllabes en bonne algébrique

    Et les rimes croisées en belles cadences.)

     

    Les poésie, peinture, musique, danse,

    Littérature, sculpture, chant, opéra

    Et tant d'autres de toutes ces éloquences

    Font, de la beauté humaine, tout le substrat !

     

    Permettez que les frissons artistiques

    pénètrent d’extase en votre fond d'être,

    Qu'exulte en lui-même l'initiatique

    Chemin dont notre humanité est maître.

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    Quand la femme est malheureuse,

         Les enfants et petits-enfants

              En boiront toute la lie

     

    Viens dans mes bras

     

    Viens dans mes bras, ma chérie, ma douce adorée,

    Viens dans mes bras, ta vie ne te fut pas tendre,

    Viens, que je t'enlace, viens, contre moi, pleurer,

    Viens, cette tristesse ne sait plus t'attendre.

     

    Que je te câline autant te dorlote,

    Que passe cette vague de vrai grand chagrin,

    Que tes nuages noirs ne soient plus qu'anecdotes,

    Que de tout ton passé, à plus jamais, t'étreint.

     

    Viens geindre et laver de ces longues larmes

    Tout ce dure temps où tu n'as que souffert.

    Vient dans mes bras, qu'ils brisent l'infâme charme :

    Irrévocablement, allons le défaire.

     

    Avec moi, il est plus que de flagrance

    Que je suis là à t'aimer aussi te chérir,

    Alors t'as changé pour toujours d'existence :

    Faisons que de pleur t'en vienne à sourire.

     

    J'ai également vécu autant d'épreuve :

    Mes sanglots amers d'égales souffrances

    Me menèrent à voguer sur de furieux fleuves

    D'où je m'égarais en pleine déshérence.

     

    Alors, sèche tes joues, et puis embrassons-nous,

    Ton chagrin est passé comme passent les jours,

    Serrons-nous l'un à l'autre, faisons-nous calinous,

    Et puis allons manger, après faisons l'amour.

     

    Mettons les ignoble, les abjects et les fats,

    Mettons les bassesses, les infamies, la boue,

    A leur place juste, de ce qu'il t'en sera :

    Un antique destin, la trace d'un dégoût !

                                              ---------------------------------------

     

     

      Berce le temps,

    Berce la tendresse,

     Berce le berceau

     

     

    Berceuse

     

    Dort bébé, dors, dors mon amour adoré,

    Tu as tété le sein et tu as bien mangé.

    Le rot que tu as fait, bientôt vais te changer,

    Dort, bébé, dort, rêves joliment colorés.

     

    Papa est là et sourit, tant ému à ta vue,

    Il est papa ému de devenir papa,

    Après les neufs mois que nous t'avions attendu.

     

    Nous patientons, légers, de tes tous premiers pas,

    Premiers babillements, premiers rires venus.

    Tes yeux ronds me fixeront à ton prochain repas.

     

    Dors, bébé dors, fait dodo bébé bien repu.

    Papa, maman veillent sur toi, te dorlotent,

    Aiment de tes petits pieds à tes menottes,

    Dors, bébé dort, nous t'aimons d'un amour absolu.

                                                ------------------------------------

     

     

         Quand Jupiter

    veut perdre un homme,

       il lui ôte la raison

            (Quos vult

            Perdere

    Jupiter dementat)

    Proverbe romain

     

     

    Tyrannie de la bêtise

     

    Nous sommes corsetés, ma foi c'est d'évidence,

    Entre peur et colère vient la soumission,

    A ces tendances s'ajoute l'humiliation

    Conduisant les français à de pauvres errances.

     

    Tentant de sauver une mystique déchue :

    Néolibéralisme totalitaire,

    Ses tant adorateurs en ce vil dieu crochu

    Prient et supplient ce monstre imaginaire.

     

    Ils vouent foi en une étrange providence,

    Conduisant ce qu'ils croient à sa destruction,

    Menant le peuple aux misères et privations,

    Voulant force les conduire en même démence.

     

    Aussi, par le passé, des révolutionnaires

    Chassèrent les Capet, des rois furent déchus :

    Qu'ils craignent, nos aristocrates de l'ère,

    Qu'aussi, que leur pouvoir ne soit un jour fichu.

                                                  -----------------------------------

     

     

          L'amour

         est une fête

    De l'instant présent

     

    Étreintes langoureuses

     

    Nos bouches s'enflammaient, l'une l'autre unies.,

    Ma main effleurait ses rondes généreuses,

    Se promenant jusqu'à l'antre langoureuse

    D'où ma dextre s'y posa pour y faire son nid.

     

    Ma senestre suivit mes lèvres errantes

    Sur sa douce peau, la belle amoureuse,

    Et la sentait, à chaque baisé, vibrante.

     

    Ses caresses me suivirent, chaleureuses,

    Les sentant sur ma chair aussi débordantes :

    Plaisirs et désirs en fougues affectueuses.

     

    Nous partageâmes ainsi ces félicités.

    Puis nos étreintes devinrent plus fougueuses

    D'enlacements autrement tumultueuses 

    D'éruption lascive d'infinie unité.

                        ----------------------

     

     

    Le sol sec

    Sourit

    A la pluie

     

     

    La tempête

     

    Écoutez l'océan hurler de tous ses flots,

    D'admirer ses jets d'écumes fracassantes,

    Sur de fiers rochers, tant assourdissantes,

    Et au ciel, les oiseaux se riant de ces eaux.

     

    La jetée s'essuie des vagues déferlantes,

    Le vent chante en soufflant comme mille tubas,

    Portant en chemin sa bruine harcelante.

     

    Toutes nuées fuient la furie du contrebas,

    Se suivant l'une après l'autre, défilantes,

    Craignant tremper dans cette criarde nouba.

     

    Passé les plages meurtries, l'orage tempêtant

    Se calme en abordant les sols asséchés.

    Terres assoiffés guettant la pluie lâchée

    Par ces nuages si bienvenue maintenant.

                                      --------------------------------

     

     

    THEURIC

  • Bagatelles et gravités

         Un violon d’Ingres

    N'est ni travail, ni marotte,

           Mais un plaisir

     

    Je m'exerce

     

    Je m'exerce ici pour affiner mes vers,

    M'entraînant ainsi à rimer vers un mieux,

    De sentir les mots, qu'ils soient juste radieux,

    Qu'ils chantent de les dire, d'un refrain, d'un air.

     

    Je me veux travailler à l'élaboration

    De beautés exquises séduisant le lecteur :

    De faire de ce projet ma destination.

     

    Souhaite, de la grâce, saisir la lueur,

    Que le raffinement en soit la distinction :

    De vous offrir ainsi agrément et bonheur.

     

    Parce que m'apercevant, d'en m'être éloigné,

    Ai moins ce saisissement du verbe vibrant,

    De cette mélodie en un son enivrant,

    Pour parvenir enfin à un art soigné.

                                          -------------------------------------

     

     

    Quand les jeunes frissonnent

           De leur désirs futurs,

             Alors tout va bien

     

    famille naissante

     

    Les murs suintent de maints chuchotis envolés,

    La lune pleine veille la nuit au-dehors,

    Perçant de ses rayons les volets ajourés

    Offrant en chambre une faible aurore.

     

    Le fin drap les couvre de la fraîche chaleur.

    Quatre yeux s'envisagent, deux bouches rapprochées,

    Bras et jambes enroulent leur corps somnoleurs

    Comme les protégeant de leurs jeunes années.

     

    Ils s'aiment d'absolu candeur juvénile,

    S'étonnant tous deux de leurs flammes naissantes,

    Là, en oublient tout, n'est plus de moindre péril :

    Les menées au-loin leur sont insignifiantes.

     

    Les baisés prolongés les plongent de bonheur,

    Ces jeunes amants se veulent papa maman,

    Dès que possible le leur sort sera meilleurs,

    Bien que la leur famille soit fondée maintenant.

                                                  --------------------------------------

     

     

    Les infâmes manigances

          Doivent se payer

                Un jour

     

    Le petit comité

     

    Un petit comité, dont il y paraîtrait,

    Aurait d'apprêts les sciences médicales,

    D'aucun ignorant si intérêts bancales

    S'en ferait le secret d'un très sombre portrait.

     

    Icelui, occulte, serait le conseillé

    D'un gouvernement ne sachant pas gouverner,

    Pratiquant ses oukases, au peuple, relayés.

     

    Tous ces fats menant à un monde décharné,

    En desséchant de fait le moindre des foyers

    Par des actes furieux sans doute d'aliénées.

     

    Entraînant en d'infâmes extravagances

    Tant de ces gens transis de ces lâches tourments,

    Écoutant médiats aux avis autant déments,

    Qui, par réaction, s'en viennent à faire violence.

                                    -------------------------

     

     

    S'amuser de se jouer

     Des sens des mots,

         C'est rigolo

     

    La chatte de ma copine

     

    Si belle est la chatte de ma copine,

    Quand je la caresse, en de ronrons vibrant,

    Je la sens se presser, tellement coquine,

    Contre moi, si douce, de mes doigts l'enfleurant.

     

    Ses poils sont soyeux, de mes lèvres un bisou,

    Ma main légère tripote sa nature,

    La câline si bien de ce qu'aime minou :

    Mes cajoleries, mamours sur sa fourrure.

     

    La chatte de ma copine, de mes douceurs,

    Se pâme, si heureuse d'être patouillée,

    L'entendant bourdonner en son fond intérieur :

    Là où elle aime ça, je l'ai tant choyée.

     

    La chatte de ma copine est amoureuse,

    Vient m'accueillir en une grande volupté

    Quand j'entre, la comble, elle, si chaleureuse,

    Lors, c'est sur son invite que j'ai pénétré.

                                  ---------------------------

     

     

    Il arrive que de peu

    On ne s'affole

    Pour rien

     

    Le quiproquo

     

     Ma belle m'aimes-tu 

     Quand moi je t'adore ?

     Vois, ne suis qu'un fétu

     Même quand tu dors.

     

     Mon amour pour toi

     Ne peut être matois,

     Reste sous mon toit.

     

     Ma chérie,

     Mon amie,

     Te suis autant épris

     Que de te perdre m'en ravagerait ma vie.

     

     J'ai peur que tu ne partes,

     D'être abandonné,

     Que le sort t'écarte

     De moi, dépassionnée.

     

     Mon amour pour toi

     Ne peut être matois

     Reste sous mon toit.

     

     Mon cœur,

     Mon ardeur,

     Voit comme je pleure,

     Craignant que, de ton départ, sonne l'heure.

     

     Ta valise je vois,

     Voudrais-tu me quitter ?

     J'en perds de la voix,

     Je me sens délaissé.

     

     Mon amour pour toi

     Ne peut être matois,

     Reste sous mon toit.

     

     Quoi, aussi,

     Que voici,

     Ma valise est sortie,

     Partirais-je avec toi, ailleurs d'ici ?

     

     Me serais-je trompé ?

     Mon an de plus..., ma fête...,

     Mon cadeau..., attraper...

     Le train..., Je m'apprête... ?

     

     Mon amour pour toi

     Est plus fort qu'autrefois,

     Tu reste avec moi.

     

     Youpiiiiii

                            --------------------

     

     

    Qu'y a-t-il de plus beau

         Que de sourire

              A la vie ?

     

    Petite friponnerie

     

    Elle aime mes faveurs comme moi les siennes,

    Nos étreintes excitantes autant qu'osés,

    En capiteux délices, en gerbes païennes :

    Nos corps s'épanouissent des grâces déposés.

     

    Nos souffles se rejoignent de plaisirs chéris,

    Nos douceurs varies, alternent et se donnent

    En caresses, batifolages, gâteries.

     

    Nos peaux s'illuminent autant qu'elles s'adonnent,

    Au sein de nos cinq des sens ainsi renchéris,

    Lors, l'embrasement voluptueux détonne :

     

    Le volcan sybarite fuse et éblouit

    D'une liesse infinie, jouissance heureuse

    Vers des nues sensuelles, licencieuses,

    D'où le temps s'arrête tout frémissant du lit.

                                    ----------------------------------

     

     

    Que vive la République,

    Vive la Démocratie,

    Vive la Nation !

     

     

    La méprisable Union-Européenne

     

    Il est de bonne vie que soif de justesse

    Et de n'avoir de devoir que conscience et raison

    Quand se cache l'amour au sein de la détresse,

    Quand se cache le vrai dedans les déraisons.

     

    Découvrir le réel des folles obscurités

    Quand survient le néant de vaines intrigues,

    En dénouer les ferments, déjouer les fatuités

    Des être de fiel qui, du mal, prodiguent :

     

    Tous ceux qui trompent, mentent, blessent et morfondent,

    Fiers de leur superbe, fats d'être orgueilleux,

    Déversant sans compter leur morgue profonde

    En se montrant méchants, cruels, nuisibles, odieux,

     

    Envers ceux de peines, sueurs, larmes et sangs

    Restant debout qu'il se passe, qu'il se vive

    Le malheur, la misère, le chaos incident

    Heurtant l'existence d'affligeantes dérives.

     

    De ces scélérats plein de dédain, de mépris,

    Comptables d'agissements, causant tous ces chagrins,

    J'en veux désigner ceux qui en tromperie

    Tiennent l'Europe comme de sombres parrains :

     

    Voulant d'éternité sauver les banques faillies,

    Sauver une pauvre union sans cause et sans joie,

    Perdu dans le fouillis d'un horizon terni

    Des brouilles de pays que son étau rudoie.

     

    C'est de débroussailler ce vil purin et lisier,

    Nauséabonde tare avachissant l'humain,

    Que de saisir en plein sa nature viciée,

    Son esprit défraîchi, son caractère vain.

     

    Ainsi de ces états composant cette ligue

    Ne peuvent décider de leurs normes, leur droit,

    Seul de Bruxelles, en ses transes, prodigue

    Ses rudes injonctions audits états sans voix.

     

    Les parlements ne sont plus là qu'impuissance,

    Enregistrant silencieux l'évangile

    Du magistère hautain et sans décence

    D'une commission aux décrets tant débiles.

     

    Tous ces gouvernements ne gouvernant plus rien,

    Obéissent aux séides, campant dans des bureaux,

    Qui déversent les oukases sur des citoyens

    Croyant que leurs élus sont leurs hideux bourreaux.

     

    Ces fous fanatiques décident sur tout et rien :

    Des impôts, dotations des villes, des régions,

    De la cuisson des frittes aussi celle du pain,

    Enchaînant les patrie, les peuples, leurs nations

     

    Dans un sourd tourbillon d'où s'échappent les râles

    Des gueux, des petits, des faibles, des sans grades

    Dont ils n'ont cure en délire libéral

    Se pensant l'avenir, pauvres escouades.

     

    Or ceux-là d'un néant mortifère, déterminent

    Sans sens, sans honte, sans vertu, sans vergogne,

    Cette niaise politique qui perd et mine

    Une union éperdue où les peuples grognent,

     

    En nous entraînant dans cette ruine, cette fin :

    D'un euro tant produit au-delà d'infini,

    D'oligarques gras qui ne sont que vauriens,

    Des partis douteux aux plans indéfinis.

     

    Pour nous, peuple, sortir de cette tombe,

    Il nous faut à l'instant, tous, la montrer du doigt,

    Faut, de cette engeance, que vérité plombe

    En l'exposant séant, faire ce qu'il se doit !

     

    De notre Souveraineté, de notre Foi

    En notre Nation acclamée des anciens,

    Qu'à l'instant, la démocratie et à la fois

    La République, pour chacun, reviennent sien.

     

    Nous sommes français et notre devoir à tous

    C'est de constater ce fait inaliénable :

    Parce que c'est là que se conçoit l'atout

    Pour délaisser l'abject geôle méprisable.

     

     

    THEURIC

  • Versifier en bagatelle..., mais aussi en politique.

    Légère préface

     

    Voici, je recommence à vous présenter mes vers

    Et pour les présenter ce tout petit quatrain

    Que je laisse en à-propos, pour vous, ouvert

    Aux délices des mots à lire avec entrain.

     

    (Y'a intérêt sinon je râle, poil au râble)

                                                  -----------------------------------------

     

         En odes et stances

          Conter l'existence

    De la recherche de beauté

     

     

    L'amour des vers et des quatrains

     

    De fait, là, que je ne le vous cache en rien,

    Écrire en poésie m'est, plus qu'autre chose,

    Ce plaisir intense qui ne peut qu'être bien,

    Même s'il m'est plaisant de poser la prose.

     

    Les rimes me viennent comme ondes charnelles,

    Sublimant les mots en verbe me bondissant

    A l'esprit telles des sylphes passionnelles

    Me parcourant séant en forts flux scintillants.

     

    Ainsi, pour moi, il ne m'est point de fatigue

    Quand je rythme en quatrain le beau vocable.

    Reproduisant d'envie de ce don prodigue

    A tous ceux pour qui cela est agréable.

     

    Comme de tout art je versifie pour l'autre,

    De l'inconnu badin en découvrant ce chant

    A m'amour absolu pour qui çà devient nôtre,

    Jusqu'à des fervent en mes vers aguichants.

     

    Sa graphie surannée, mesures de douze pieds,

    Oubliée de modernes, tant obscurantistes

    De l'expression, en devinrent si estropiés

    Qu'ils ânonnent péniblement en casuistes.

     

    Oserais-je l'avouer, il m'est d'aussi de joie

    D'asticoter ces innocents d'alexandrins,

    De cet air charmant se faisant autrefois

    Et que je reprends, ici, avec grand entrain.

     

    Se peut d'autres peut-être, d'autres assurément,

    Font aussi strophe de syllabes en compte,

    De mêmes déclamations, d'hymnes d'agrément,

    Faire mélodie de ce que l'âme conte.

     

    Alors, chacun, je les salue, ces compagnons,

    Ignorés confrères en odes et stances,

    Nous sachant ardu quand en beauté nous guignons :

    Nourrir le langage, raconter l'existence.

                                                      -----------------------------------------

     

     

    L'existence nous sourit

                De naître

                  A la vie

     

     

    Naissance

     

    En un jour comme un autre, combien semblable

    A tant d'autres jours, pourtant remarquable

    Pour cet enfant naissant et une mère, enfin,

    Des neufs mois attendus du futur couffin.

     

    De vie en devenir, entrée en existence,

    Ses trois kilo cinq cents passés juste à téter...

    Et ses deux parents l'aimant en bienveillance.

     

    Le chérubin, nu, bien nourri à satiété,

    Sur les seins de maman pleine de confiance

    Dort, fatigué d'être né, sur ce flanc ouaté.

     

    Sa mère repose de tout ce temps passées

    En cette délivrance du poupon défroissé.

    Ce couple géniteur de ce beau nourrisson

    Se savent ainsi essentiel pour l'enfançon.

                                            --------------------------------------

     

     

        Agir en noblesse

     C'est faire l'élégance

    En simples réflexions

     

     

    Vers politiques

     

    La politique, tout autant, peut se versifier,

    Hugo, en son époque, put nous le prouver :

    Il n'est, en l'histoire, pour nous de certifier

    Qu'en l'hémicycle bruissaient ses vers éprouvés.

     

    Politique prurit faites l'élégance :

    De rimes en rythmes qu'en viennent flagrance

    Des enjeux malheureux ou de malveillance

    Qui, aujourd'hui, submerge jusqu'à la France.

     

    Du banal, exception, l'exception fait règle.

    Sont honnis des gens se révélant intègres.

    Le faux fait croire vrai d'une pensée aigre

    De ceux-là parlant comme pisse-vinaigre.

     

    Un vent lourd de bêtise souffle sur le pays,

    Ne faudrait-il pas autant qu'il ne s'allège ?

    Qu'à ces faibles fictions devenues fouillis

    Soient balayés tout ce pauvre florilège.

     

    Faisons œuvre en parlant de ces actes

    De belle manière en vidant tout à trac

    L'abject purin emplissant l'havresac

    Des hideux cocos n'étant que des réacs.

     

    Mais quoi que nous fassions, menons en distinction,

    Habilité, finesse toutes nos décisions :

    Conduisons-nous donc, en nos envisageables actions,

    Tel qu'il se doit en notre civilisation.

                                            ----------------------------------

     

     

                     Légère bagatelle,

                        Belle frivolité,

    Grandeur voluptueuse et sensuelle

     

     

    Charnel

     

    Être coquin en diable, ma foi, je l'assume

    Et d'aimer les femmes ne peut être funeste,

    Pour l'homme bien né l'est que manifeste :

    Faire œuvre libertine de sa plume :

     

    Ses pétales dorés déposaient en mes lèvres

    Son pistil vibrant en grande langueur

    Qui offraient à son corps de forts sauts de fièvre

    En un puissant vibrato d'une vigueur

    Me menant à parfaire, tel un orfèvre,

    L'œuvre fugace de l'humble fignoleur.

     

    Cette plume oisive un temps, légère,

    Telle l'abeille entrant dans la corolle,

    De l'oriflamme devenu banderole,

    Fit lueur, éclats, braises, feux, flashs, éclairs.

                                           ---------------------------------------

     

     

    Petite promenade

            D'un mot

              Oublié

     

     

    Le mot

     

    Un mot se promenant dans quelque catacombe,

    Oublié qu'il est, par la foule fascinée

    D'un verbe si vulgaire que sa vacuité plombe

    De leurs idées, s'exprimant, lors, baragouinés.

     

    Ce mot tant solitaire, est-ce un miracle ?

    Se comprenant sous terre, émergea soudain

    Dans une lumière claire d'un pinacle

    De ce très haut duquel il put se dire enfin.

     

    Ce mot bicha d'ainsi faire encore sens

    Et tout guilleret se révéla à foison

    Comme marquant son besoin, sa présence,

    Aux discours, aux propos, aux déclinaisons.

     

    Un mot n'est un être mais nous rend la pensée

    Bien plus éclairante en sa raison.

    L'oublier ternit l'esprit voulant s'énoncer,

    Affadissant dès lors notre imagination.

                                                ---------------------------------------

     

     

    Le fripon des jupons

     Admire, des dames,

          Leur chignon

     

     

    L’honnête sacripant

     

    Ah Mesdames, j'aime vous voir déambuler,

    Vos exquises rondeurs doucement onduler

    Au gré de votre marche en un doux balancement :

    J'admire chaque jour ces beaux déhanchements.

     

    Ne vous suis que des yeux, impavide lecteur,

    Secrètement soucieux de ne pas vous gêner,

    N'en restant pas moins, de vos charmes, laudateur.

     

    Ce ballet chatoyant me laisse m'entraîner

    A ces si fripons sentiments adulateurs,

    Tenue naturel du mâle s'allant flâner.

     

    Mesdames, il n'est là nulle humiliation

    De vous conter séant que je vous admire,

    Mais de faire gloire de mon admiration :

    De quand vous vagabondez, ravi, vous mire.

     

     

    THEURIC

  • Chers Monsieur FMI.

    Préambule:

     

    Certains de vous-autres, amis lecteurs, penseront sûrement que je fais le mariole en m'adressant ainsi aux gens composant une institution internationale de cette sorte.

     

    Ma foi, que je sache, ils sont tous des Êtres Humains qui bouffent et s'empiffrent parfois, pètent, rotent, chient, pissent, baisent et ont la gueule-de-bois quand ils boivent un coup de trop comme tout le monde, excepté leur position sociale ils sont égaux en cela de nous-autre, n'est-ce pas?

     

    Bien entendu qu'ils ne me liront pas, comment voulez-vous que ces types et ces nanas s'abaissent ainsi à aller voir les élucubrations d'un mec de 62 balais qui fut conducteur d'un bus à Paris aujourd'hui à la retraite, un presque, pour eux, va-nu-pied?

     

    Mais n'aurions-nous pas, nous, citoyens, le droit de dire ce que nous pensons à leur sujet et de réagir à leur encontre si nous considérons qu'ils n'ont fait, eux et leurs prédécesseurs, que des conneries depuis plus de quarante ans à n'avoir fait qu'appauvrir peuples et pays, dont la Grèce en 2012, avec l'aide bienveillante de l'Union-Européenne, de la BCE et des gouvernements français et allemand?

     

    Ne sont-ils pas, eux aussi, responsables de la situation dedans laquelle nous nous retrouvons?

     

    N'aurais-je pas le droit de les engueuler même s'ils ne peuvent ni ne veulent l'entendre?

     

    Ne serait-ce donc pas mon droit le plus strict de citoyen de la nation française de les questionner de leurs fadaises et de leurs réactions de vierges effarouchées parce que les peuples pestent et grondent avec raison et en raison, entre-autre, de leurs décisions et agissements?

     

    Avant-propos:

     

    Je reprends la plume, du-moins le clavier, pour vous poser une réflexion politique, là sous forme d'un essai où plane l'ironie, abandonnant momentanément, brièvement, la poésie.

     

    Réagissant à ce texte, publié par Sputnik, résumé d'un rapport du FMI où y est fait cas de possibles probables révoltes, voire d'une révolution, de la population française, et non pas de guerre civile.

     

    Ce à quoi je souscris au vu de l'équipe de branquignole qui nous gouverne, ainsi de la dernière fantasque outrecuidance de notre godelureau national, reprenant en copier/ coller ce court billet de Businessbourse:

     

    "  Réponse d’Emmanuel Macron à une femme désespérée et à bout: « Je ne suis pas là pour passer vos humeurs, trouvez-vous quelqu’un d’autre !  " 

     

    Ainsi que de son clone en loufoquerie, j'ai-nommé Jean Castex, (même origine) qui, au demeurant, ne casse pas grand-chose hormis les noix:

     

    « Il faut que nous fassions collectivement l’effort de réduire nos contacts sociaux et familiaux »

     

    Il est des moments où il faut bien mettre les points sur les "I" à des gens qui ne veulent absolument pas considérer leurs immenses responsabilités d'une grave situation, d'une crise majeur probable future, dont ils sont eux-mêmes grandement comptables.

     

    En un mot comme en cent, qui se conduisent comme les meilleurs des faux-culs!

     

     

    Chers  Messieurs-Dames du FMI: 

     

    Dieu," se dit-il, "se rit de ceux qui  déplorent les effets dont ils chérissent les causes!"

     

    Pouvons-nous en déduire que Dieu considérerait comme purs imbéciles tous ceux qui, par puritanisme idéologique, se rendraient compte que, comme il est de vous même, la situation risquerait de dégénérer, en France comme ailleurs, sans se remettre simplement en question?

     

    Parce que observons d'évidence qu'hormis l'Allemagne, et encore, quasiment tous les gouvernements du monde serrent des fesses à l'idée même que les français renversent le pouvoir en place, c'est pourquoi les tensions entre les états de l'Union-Européenne s'accroissent: ils ont peur de leur peuple!

     

    Et oui, chère amicale de l'incompétence économique qui nous ont conduit, vous comme tous ceux qui porte les mêmes croyances crétines, là où nous en sommes, tout comme en 2019 et le mouvement gilettiste, les peuples attendent que nous autres, gaulois réfractaires, chassent nos incapables pour faire de même.

     

    C'est pourquoi notre paniquet premier ose nous proposer de restreindre nos contactes sociaux: cela ne se révèle que d'une vaine tentative pour que nous n'échangions pas entre-nous, que nous ne nous révélions pas les uns les autres les turpitudes sanitaires dont ceux du gouvernement, des médiats, des entreprises pharmaceutiques, des oligarques sont les vecteurs.

     

    De qui vous moquez-vous, Messieurs-Mesdames, sinon, au-delà des populations, de vous-mêmes?

     

    Car vous savez fort bien que, sauf si notre gouvernement n'est pas chassé avant d'une manière ou d'une autre, avec de nombreux scandales à la clef, dès que le couvercle de la cocotte-minute porté sur le pays sera ôté, voire même avant cela, la société française se révoltera, 1789, 1830, 1848, 1870 en sont les traces historique.

     

    Quand bien même le XXème siècle fut, en cela, plutôt calme, ce ne fut que deux guerres mondiales et une guerre froide qui en avaient amoindri les ardeurs populaires, bien avant ces deux siècles beaucoup de rois furent déjà grandement chahutés par les foules en colère.

     

    ( Si tant est que l'économie mondialisée ne cesse tout fonctionnement avant. )

     

    Alors, l'équipe de pieds-nickelé qui sont aujourd'hui au pouvoir, que voulez-vous qu'ils fassent, eux qui n'ont eu que de cesse de balancer sottises sur sottises, incapacités après incapacité?

     

    Vous écrivez par ailleurs ceci: «La progression de la maladie avive les tensions de classes, les riches reprochant aux pauvres de propager la maladie et les pauvres pensant qu’on les empoisonne. Bientôt, l’animosité et la colère se portent sur la figure du roi, déjà impopulaire.»

     

    Ce que j'ai remarqué c'est ce petit bout de phrase: "...Les pauvre pensant qu'on les empoisonne.", de qui parliez-vous?

     

    Il faut douze ans pour faire un vaccin valide et sûr, en un an ce fut la ruée mondiale des entreprises pharmaceutique pour en fabriquer un, Russie comprise, je les mets toutes dans le même sac, croyez-vous vraiment qu'une personne sensée pourrait avoir confiance en l'un d'entre-eux?

     

    Ceci sachant qu'existe des traitements efficaces sans passer par la vaccination pour guérir d'une maladie dite SRAS-COV3, 4, 5, 6,... ne sachant déjà plus jusqu'à quel nombre nous devrions compter (plus on cherche, plus on trouve, n'est-ce pas?) et à la morbidité réduite, réservé aux plus anciens d'entre-nous souffrant de co-morbidité, comme le dirait (ou le pense en raison de la censure vaccinale des GAFAM ) le professeur Raoult: "Ceci n'est pas raisonnable!"

     

    Vous, Messieurs-Mesdames du FMI, n'êtes non plus raisonnables, ceci parce que vous avez très  bien compris:

     

    1)- Que ces gesticulations vaccinales sont grotesques, inutiles et, cerise sur le gâteau, potentiellement dangereux;

     

    2)- Que cela accélère gravement la monumentale déconfiture de l'économie internationale en raison de l'arrêt partiel à total de celle de quasiment tous les pays et, ce, depuis un an (d'où la Chine testant sa population  par le trou-du-cul, processus offensant de contrôle de celle-ci par la honte que cela procure, son état craignant dès lors de sa révolte suivant l'achèvement de sa faillite accompagnant celle mondiale);

     

    3)- Que le " grand réset " est une pure bouffonnerie de l'oligarchie décatie US, croyant que ce qui fait l'économie ce ne peut qu'être que la monnaie, preuve, tout de même, que vous commencez à revoir un petit peu vos propres approches dogmatique en ce domaine;

     

    4)- Mais que vous ne pouvez pas déplaire frontalement à la main qui vous nourrit, la même dite oligarchie US;

     

    5)- Que vous saisissez pleinement que si l'euro, et dès lors l'union, s'évaporent, vous ne donnez pas le trimestre suivant pour que le dollar subisse le même sort et, donc, accompagné de toutes les autres devises;

     

    6)- Que, désormais, après que la Germanie et les Etats-Unis-d'Amérique furent le centre de tous les enjeux, la France en est redevenue centrale, sans que personne ou presque n'y puisse grand chose: si ici ça bouge, à la moindre décision déplorable gouvernemental, unioniste ou autre, ce sera l'éruption telle que vous la craignez quelle se produise avec raison, c'est tout le reste qui explosera à sa suite;

     

    7)- Et enfin, qu'il est d'évidence que pour en réduire les effets il ne peut y avoir qu'une et une seule solution raisonnable: avancer cette crise paroxysmique de manière d'en limiter, autant que faire se peut, des dégâts qui, quoi qu'il en soit, ne pourront être que majeurs.

     

    Mais de cela vous ne pouvez que d'en nier l'éventualité, pour la simple raison que, dès  lors que ladite crise surviendra, ce qui ne peut que survenir d'une manière ou d'une autre, l'existence même de votre institution se retrouvera mise, voire remise en cause.

     

    Si tant est que l'une des personnes composant le Fond Monétaire International lise ce  billet ainsi que ce tous ceux traitant de ce que je conçois de ce que peut être que l'économie tout au long de mon blog;

     

    Veuillez recevoir les sentiments de forte irritation de celui, le plébéien, le moins-que-rien que je suis, qui déplore l'immense gabegie économique qui, depuis quatre décennies au moins, nous conduit là où nous en sommes: aux portes de la plus fantastique banqueroute de tous les temps.

     

    Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

     

    Salutation,

     

     

    THEURIC

  • Sonnets en entrain.

      Chantez les mots

    En vos sons glorieux

     D'un verbe éprouvé

     

     

    Le sonnet

     

    Le sonnet est un art ô combien passionnant.

    Deux quatrains, deux tercets en fondent le secret :

    En quatorze vers l'ensemble s'en dirait

    De l'âme obscure du poète flânant.

     

    En dire énormément en de très peu de mots

    Est là exercice d'esprit fort exaltant,

    Aussi souffletant, des cœurs, de tous leurs maux.

     

    Il est vrai y est pratique ardue, autant

    Qu'il clame à notre ouïe fortissimo,

    Tels de très courts chants, des hymnes éclatants.

     

    Il est de la rigueur en en faisant beauté,

    De sa brièveté faisant sonner les sons

    Dont l'oreille perçois comme bonne façon

    Le fond de son être, sa sensibilité.

                                                 ---------------------------------------------

     

     

    Quelle qu'en soit la raison,

    De n'oublier la délicatesse

            Est vertu et grâce

     

     

    La malveillance

     

    Parfois homme ou femme, bien au-delà de tout âge,

    Entre humeur et folie, surgit de l'indécence,

    Des maux des mot, gestes brutaux, violence,

    Vilenies d'un sort s'affirmant fol orage.

     

    Autant que la femme doit respect à l'homme,

    Autant que l'homme doit respect à la femme :

    Montrez de l'élégance en tout optimum !

     

    D'un très grand jamais ne se montrer infâme :

    De l'un de l'autre, être bon au maximum,

    Que l'on soit marié ou alors misogame.

     

    Et puis homme et femme parfois volages,

    Aimant en tous point les plaisirs des sens

    Ont tous droit de vivre leur concupiscence

    Sans qu'il n'y ait, surtout, précieux, moindre rage.

                                                ------------------------------------

     

     

     

     Que n'en comprenais-je

    D'ouïr de belles musiques

      En leurs débuts abscons?

     

     

    De l'apprentissage de la beauté

     

    La beauté peut être de grande violence

    Quant l'esprit l'ignore d'en être séparé.

    Il veut ne pas la voir ou la contrecarrer,

    De la dénier, la gloser en virulence.

     

    Le beau est souvent de grande complexité

    Et parfois d'un trait se fait l'œuvre géniale.,

    Mais toujours l'art sublime l'intemporalité.

     

    Or, s'y confronter quand, rompu au trivial,

    Le vulgaire commun se vit à satiété,

    Le cœur ne sais plus, grogne, tempête, râle.

     

    Il faut du temps pour nous y familiariser,

    Être tenaces, persévérants, acharnés,

    Que cette chose étrange vienne s'incarner :

    Plaisirs d'avant, d'après puissent se composer.

                                                       --------------------------------------

     

     

     

       Savoir être qui je suis

    Plus que de toutes choses

    Est magnificence de l'âme

     

     

    Vive la Nation

     

    Cette vidéo où se conte la nations

    M'a tant plu et ému jusqu'aux larmes perlées

    Que j'en sonne ce sonnet en mots corrélés :

    Français nous sommes, y est la confirmation !

     

    Blanc, jaune, noir ou violet nous sommes de patrie

    Qui est celle qui choisi de vivre commun

    La souveraineté en égale fratrie.

     

    La France affirme le peuple suzerain,

    La loi, bien public en anthropométrie,

    La constitution nous en est le parchemin.

     

    Des félons nous volent ces nôtres facultés,

    Sans vertu ni raison, tyrans dérisoires.

    Il n'est que de si peu que ce fait occulté

    Trouve noblesse : la Nation, s'en prévaloir !

                                   ---------------------------

     

     

     

    Quiétude et constance suivent,

             En un profond soleil

             Les ondes vermeilles

     

     

    La patience

     

    La patience est la denrée admirable,

    Soufflant de ce doux vent du temps respectable

    Qui habille la geste de l'humain de bien

    Se voyant se bâtir les horizons lointains.

     

    Lentement se fondent les ordonnancements

    D'une existence perdue de tous ses buts

    Retrouvant son chemin au sein de maints tourments.

     

    Après s'être égaré dans tous les azimuts,

    Doucement se viennent les ères élégants :

    Ô douceur de vivre suivant d'âpres luttes.

     

    Je suis au temps suivant ces lancinant chagrins

    Qu'une douleur pétrie ne me laissait de paix

    S'évanouissant en lenteur en ses moindres aspects,

    Puis me vivre serein en croissant mon entrain.

                                           -----------------------------------------------

     

     

     

    Messieurs chantons la femme,

               Chantons l'amour,

               Chantons en cœur!

     

     

    Aux femmes d'été

     

    Que les femmes sont belles à l'été venu,

    Plus belles encore qu'au printemps naissant.

    Je croise ces beautés, m'en pâme, retenu

    De ne vouloir froisser ces dames en passant.

     

    Les bras se dénudent et les jambes aussi,

    Les sourires embrasent leur beau visage,

    Et des fois, je l'avoue, rient de mes facéties :

     

    De mes galanteries en babillages,

    De mes plaisanteries, idées, esprit, récit,

    Entre légèreté et beaux badinages.

     

    Je rime pour toutes ces dames qui, croisées,

    M'ont ému, de l'âgée assise sur un banc,

    La jeune contant mes achats, déjà blasée...,

    Toutes m'émeuvent et, ce, éternellement.

     

     

    THEURIC