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  • Questionnement d'un béotien sur l'économie:

    Quelqu’un pourrait-il m’expliquer à quoi pourrait bien servir qu’il y n'y ait plus, ou presque, que du travail à bas salaire ou du chômage quand cela ne permet plus, à ces travailleurs, que de survivre et, dès lors, ne peuvent plus qu’acheter que le minimum vital?


    Est-ce cela qui fait fonctionner une économie?


    Quelqu’un peut-il me dire si poursuivre la course après le pouvoir d’achat ne serait pas une façon de courir après la déflation, de la faire enfler, puisque de ne parler que de cela ne veut dire que de conseiller d'acheter les mêmes choses moins cher et, dès lors, en fin de compte, ne peut qu'à terme faire baisser les salaires?


    Cela fait depuis combien de temps que l’on nous parle que de pouvoir d’achat mais jamais de salaire?


    Quelqu’un pourrait-il me dire qu’elle est la limite aux baisses de salaires et ce quelque soit la forme que ce salaire prend (salaire + sécurité sociale, assurance chômage, retraite…)?


    Ne pourrait-on pas trouver un pays où les émoluments sont plus bas que dans n’importe quel autre pays?

    Quelle est la limite des baisses de salaires?


    Quelqu’un pourrait-il me dire si il ne serait pas possible de trouver un pays pouvant fabriquer n’importe quoi, ou presque, à un coût plus bas que dans n’importe quel autre pays?


    Mais cette fabrique de ce n’importe quoi à un coût de plus en plus bas ailleurs ne génèrerait-il pas un nombre de plus en plus important de chômeurs et de baisses de salaires ici, dans les pays qui, à l’origine, fabriquaient ce même n’importe quoi?

    Et n'est-ce pas que dans ces seuls pays là, en occident, que sont vendu ce tas de n"importe quoi, de moins en moins cher, fabriqué ailleurs?

    En Chine, des entreprises ne ferment-elles pas parce que les salaires y sont déjà considérés comme trop importants?

    Trop importants pour qui?

    Ces chômeurs et salariés avec leurs rétributions en baisse, ici, peuvent-ils toujours acheter ce même tout et n’importe quoi ou ne peuvent-ils qu'acheter le nécessaire?


    Et puis, à quoi servent les frontières?


    Combien sont ceux, qui nous gouvernent ou nous médiatisent, pouvant répondre à ces questions, simples dans leurs énonciations, qui ne devraient pas être trop ardues dans leurs réponses?


    Être pour des frontières ne serait-il pas la réponse logique d’une réelle gauche démocrate-républicaine telle qu’elle existait à l’entrée du XX° siècle et qu’elle devrait se revivre?

    Ne devrions-nous pas redevenir, nous gens de gauche, démocrates -républicains et refermer les frontières?

    (Pourquoi dans les villes de France n'y a-t-il pas ou si peu de place, passage, rue, boulevard, avenue de la démocratie?

    République est-elle Démocratie?

    Démocratie est-il un mot tabou?)

    Dès lors, que se passe-t-il lorsque la logique d’un système met ce même système dans une situation de déséquilibre n’allant qu’en s’accentuant, sinon que ce système ne peut aller qu’à son auto-destruction?


    Pour qu’une entreprise fasse des bénéfices il faut qu’elle vende sa production.


    Logiquement il faudrait que les personnes travaillant dans les autres entreprises gagnent suffisamment pour pouvoir acheter ce que produis la-dite entreprise et réciproquement.


    Si il y a baisse des revenus ou disparition, par le chômage, d’un nombre de plus en plus important de personnes travaillant dans d’autres entreprises, l’entreprise sus-nommée ne pourra plus vendre ce qu’elle produit, me semble-t-il.


    Ou alors elle-même se débarrassera d’un certain nombre de ses employés ou fera de manière à ce que gagnent ses employés comme salaire baisse, quitte, pour cela, à ce que cette entreprise fabrique là ou les payes sont médiocres.


    Si, de plus, le taux de ce que cette entreprise doit rembourser du crédit qu’elle avait perçu par la bourse, par la banque, par les investisseurs augmente, elle sera doublement dans la nécessité de faire baisser les émoluments de ses employés ou de les mettre au chômage.


    Ce qui, naturellement, obligera les autres entreprises de faire de même puisque ces employés gagneront moins.


    Que cela soit fait à l’échelle nationale, régionale ou internationale.


    Mais alors, les questions que quasiment personne ne pose:


    -Qui achète en Occident et qui achète ailleurs???


    La deuxième question, liée à la première:


    Les investisseurs qui avaient prêté à ces entreprises, sous quelque forme que ce soit, ont aussi prêté aux particuliers qui sont les employés de moins en moins payés, grâce aux banques, et ont fait des crédits aux états pour qu'ils puissent combler le manque d'entrée d'impôts, dû à  l'augmentation des chômeurs et à la fermeture des entreprises (mais est-ce aux banques privées ou à la banque d'état de prêter aux états?).

    -Ces investisseurs pourront-ils être remboursés de ce qu’ils ont prêté du fait de cette baisse d’émolument dû aux réductions salariales et montés du chômage qui ont elles-mêmes généré cette baisse de capacité d’achat et d'entrée d'impôts?

    Étant donné que ces investisseurs en viennent à prêter aux autres investisseurs, cela en inter-réciprocité et que les bourses et les investisseurs eux-mêmes sont coté en bourse, chacun, de plus, faisant crédit à l'autre, tous sont donc créditeurs et débiteurs de tous les autres.

    Dès lors, voici la troisième question:

    -Que se passera-t-il lorsque un ou plusieurs ce ces investisseurs feront défaut et ne pourrons rembourser leur créditeurs, soit à leurs collègues investisseurs?


    Quatrième question:


    -Que se passera-t-il quand le plafond des crédits impayés est atteint, dépassé et maintenant largement crevé?

    Cinquième question:

    -Ne serions-nous pas, depuis longtemps, à l'échelle mondiale, dans une discrète mais réelle et forte déflation?

    De quelle façon doit-on considérer les économistes, hommes et femmes politiques et journalistes qui n'abordent jamais vraiment ces thèmes là ou, quand ils le font, ne les évoquent que sur l'air de l’ironie et du dédain?

    Doit-on avoir encore confiance en eux?

    Et que se passera-t-il lorsque notre pays et l'Europe, pour une raison ou une autre, ne recevront plus toutes les marchandises qui jusqu'à présent nous parviennent d'ailleurs?

    Pourquoi si peu de personne n'abordent ces sujets là???

     

     

    THEURIC

  • Ce que l'Ukraine nous montre.

    Il y a de cela longtemps, je l'avais déjà dit, l'Europe est peuplée de fous, les européens sont fous, tous.

    Mais qu'ils s'étaient, avec le temps, assagis.

    L'histoire de l'Europe n'est qu'un flot de sangs et de larmes et il n'est qu'il y a peu, quelques décennies, que la richesse et la paix, sous la main protectrice de la pax américana, de la pax russia, ces deux empires qui naguère se toisaient, que nous avons su apprendre enfin à ne plus nous haïr, à apprendre les douceurs de la paix, à éloigner nos passions.

    Mais j'avais dit aussi qu'il faut prendre garde à ne pas réveiller ce géant devenu débonnaire, devenu femmelette, devenu enfant, j'avais lancé ici une mise en garde, une supplique, une prière: "s'il vous plait, gens du reste du monde, s'il vous plait puissants, s'il vous plait dirigeants, tous les dirigeants, ne nous réveillez pas, laissez-nous dormir et rêver du doux sentiment de la paix découverte et surtout, laissez-nous nos richesses".

    Voilà, le pire fut commis, et par celui-là même qui nous avait fait l'aimer, cette paix, l'Amérique.

    Je l'avais dit, également, toute les erreur qu'il ne faudrait pas faire seront commise, toutes, sans une exception.

    Tout d'abord l'Europe en forme d'une union sous l'égide U.S., puis l'euro imbécile sans tact et sans logique aux crédits infinis vidant toutes les caisses, puis les dettes abyssales du sud et quand suivra le nord, l'Angleterre à genou d'avoir voulu être States, d'avoir voulu être empire par les bourses et le seul argent roi à la place de la Reine.

    Hier les chinois, de leur flamme olympique, qui firent de Paris une vaste mascarade de vouloir faire leurs lois, eux qui n'en avaient pas le droit.

    Les agitations, à nos portes, comme provocations, créés par le Qatar et l'Arabie Saoudite, dans la profonde Afrique ou au sein des cités, d'un Islam égaré par sa perte de sens.

    Et puis nos gouvernants désignés par nos maîtres U.S., ces chantres de l'immobile, en notre pays et pas mieux ailleurs, l'un gesticulant, l'autre s'endormant, et là-bas, dans cette commission d'Union-Européenne et sa banque centrale où s'entassent de pauvres pantins, pauvres comptables n'ayant d'yeux que pour leur dieu pognon, dieux fonds de pensions, dieux bancaires, leurs dieux marchés, leurs dettes, leurs crédits, leurs créances qui n'en ont pas la lettre, ceux-là ne sont jamais là quand la crise et le trouble déverse leur rancœur, responsables irresponsables, plein que de seules arrogances, seules vanités, seules suffisances.

    Les insultes également de ces maîtres U.S. d'une morgue sans frein, nous serions les fifilles de leur président que l'on peut enculer pour leurs simples contentements.

    Les vulgaires tripotages d'informations oiseuses au sujet de l'avion du Président Bolivien.

    Ensuite vient la Libye où de libération ne vient plus que la guerre et où les fous d’Allah ne font qu'asservissement.

    Suivie de la Syrie, suivie de l'Ukraine où tous avons vu que la puissance n'est plus là où nous l'avions cru être, l'Amérique n'est plus ce qu'elle a pu être, n'est plus ce que nous pouvions encore croire qu'elle est.

    Et là, tous, nous avons vu la serve obéissance de nos gouvernements, leurs génuflexions, leur silence aux insultes et injures.

    Tous, nous avons vu aussi la Russie agir avec le fin brio de celui qui pense la géopolitique, la géostratégie.

    Et puis la propagande, toujours, la propagande, encore, de nos médiats qui paraissent s'être passé le mot et disent la même chose, que plus personne n'y croit, que plus personne ne veut, qui nous prend pour des niais, pour des imbéciles, pour des crétins, pour de purs crétins.

    Tout cela est grave, très grave.

    On ne réveille jamais impunément un monstre endormi, on ne l'agasse pas, on ne l'offense pas, surtout on ne le tourmente pas!

    Le trio infernal s'éveille, l'Angleterre, la France, l'Allemagne et personne ne sait, personne ne peut savoir jusqu'où cela ira.

    Certains ont joué avec le feu, ont ranimé des braises encore et toujours fumantes, ont soufflé dessus, par jeu, par bêtise, par haine, ce que personne ne pourra plus jamais éteindre, ce que seuls les anglais, les français, les allemands pourraient faire... un jour, peut-être.

    Tu le sais bien, ami lecteur, sans même en avoir conscience, en juste le pressentant, tu le sens, tu le sais, tu comprends enfin ta colère, d'où elle vient, d'où elle nait.

    Ont été réveillées nos passions, prends en conscience!

     

    THEURIC

     

     

  • Penser demain.

    A plus de sept milliards d’êtres humains sur Terre, un début de carence d’un nombre de plus en plus important de matières premières et des énergies, un rêve partagé par les peuples de la richesse dont l’Occident est l’exemple, d’intérêts concurrents et divergents des états provenant, entre autre, de ce désir des peuples, place l’économie toujours plus au centre de la pensée des gouvernements.


    Le néolibéralisme n'étant là que la justification des relations de domination établies d'une minorité sur la majorité à l'échelle mondiale.


    Ce sont ces déséquilibres qui me font craindre le pire.


    Alors, quelle pourrait être la ou les solutions élégantes qu’à terme nous pourrions trouver.


    Liées, cinq questions centrales se montrent:


    1) Celle de la limite, autant de notre planète, de ce que nous pouvons en tirer et de ce qu’elle peut supporter sans que cela ne porte préjudice à notre existence, la vie, quand à elle, a son dynamisme se comptant en millions d’années et a connue bien d’autres calamités;


    2) Celui des déchets et de leurs natures;


    3) Celui du partage pour tous les êtres humains, harmonieux ou inharmonieux;


    4) Celle de la dynamique propre à notre espèce;


    5) Enfin, central, celle de la place réelle de l’économie au sein de la société humaine.


    Redonner la limite à des frontières ne pourrait être une fin en soit mais ne serait qu’une solution momentanée, le temps de résoudre l’immensité des problèmes auxquels nous seront bientôt confrontés, la refondation d’une économie n’en étant que le premier.


    Mais ou se trouverait, sans les frontières, le dedans et le dehors d’une société?


    Le manque de matières premières et même d’énergie pourrait peut-être être résolu par la découverte de nouvelles matières, alliages, procédés physiques, chimiques et biologiques…


    Le déchet (même du pot d’échappement) doit être pensé dans toutes les dimensions de sa nature, nous pourrions commencer par montrer que celui-ci est la perte de fonction de l’objet originel et est polluant lorsqu’il interfère de façon néfaste avec la nature et/ou avec les hommes.


    Pouvons-nous, dès lors, constituer des objets soit totalement recyclable, soit fait de matière n’interférant pas avec la nature et/ou avec les hommes ou, même, que ceux-ci n’aient qu’une interférence bénéfique?

    La question de l'énergie est la même: peut-il y avoir utilisation d'énergie sans que l'entropie qui l'accompagne soit nuisible?


    Le partage pose la question de la hiérarchisation des sociétés, y répondre est un projet immense.


    La dynamique d’Homo Sapiens Sapiens.


    J’émets le postulat qu’entre autre, toutes les espèces vivantes ne peuvent pas ne pas se confronter à la survie et, dès lors, à la catastrophe.


    De ce fait notre cerveau et notre corps sont conçus pour cette confrontation.


    Dans un système fermé, une planète avec sept milliards d'habitants, ne pas être confronté à sa survie pouvant, de ce fait, pour un être humain, générer un phénomène d’ennui.


    Et si, dans notre inconscient collectif, ce serait là l’une des causes profondes des dangers actuels provenant de la trop grande stabilité qui existait, au moins en occident, lors des trente glorieuses?


    Quelle est la place, certes, de l’économie, mais aussi celle de la politique, du militaire, du judiciaire, des religions, des sciences, des arts, de la technologie et de l’ingénierie et de toutes les autres dimensions humaines?


    La seule réponse que j’ai pu trouver à toutes ces questions ne se trouve que dans le voyage inter-stellaire.


    Sauf que la physique n’a encore pu répondre à d’importantes questions concernant autant l’univers que les particules.


    Je fais le pari que ces réponses apportées nous diront si oui ou non nous pourrons voyager plus loin que de notre seule banlieue terrestre.

    Au-delà des délires néolibéraux, la vertigineuse accélération de l’évolution humaine, qu’elle soit appréciée ou déplorée, mène à des contradictions majeures entre un passé encore présent et un futur encore en ébauche.


    Nous ne pouvons plus revenir en arrière mais il nous manque certains éléments, tant sociétaux que matériels, qui nous permettraient de pouvoir aller réellement de l’avant.


    C’est, en réalité, le véritable diagnostique que j’ai porté sur la situation actuelle de notre humanité, le reste n’étant que de l’agacement.


    Ce stress universel, en vrai, m’effraie et je ne vois que l’Europe pour en limiter les dégâts.

     

    THEURIC

  • Ce que nous cache la crise.

    La croyance en la toute puissance d'une pensée économique de gauche à droite sensée, en des utopies édéniques, résoudre tous les affres que l'humanité a cru transcender tous les problèmes, toutes les traverses, nous a ébloui tant de temps que nous en avons tous perdu l'habitude de nous interroger sur sa valeur.

    Elle ne fut que celle du rêve, de celui qui fait l'histoire.

    Aujourd'hui, en dernier rejeton, le néolibéralisme, en sa fin prochaine, nous montre l'achèvement de cette époque qui, en près de deux cents ans, a rythmé le monde.


    Sachez, lecteur, que plus personne ou presque ne croit en ce néolibéralisme et le communisme, quand il n'est pas oublié, ne fait plus que fantasmer.

    Ici, en sa gouvernance, l'Union-Européenne n'a plus que des comédiens ne faisant que semblant et de rares et derniers acteurs, derniers à encore agir, pour le bien de tous croient-ils, pauvre d'eux lorsque leur univers explosera.

    L'Amérique, elle, se noie et dans son effroi de sa mort prochaine, appuie la tête sous l'eau de tous ceux voulant l'aider, jusqu'à ses diplomates et son présidents ne pouvant retenir les mots de dédain et d'injure à l'endroit de l'Europe, de la France, de l'Angleterre.

    Ailleurs, partout dans le reste du monde, les fils d'épées s'aiguisent, les ententes futures se nouent, le jeu complexe des forces débute, la politique, si longtemps refroidie, se rallume et vite s'échauffe à l'approche de la fin du dernier des géants, du dernier empire, de l'empire ultime et finissant: l'U.S..


    Ensuite, déjà, la première ronde du temps va bientôt se refermer sur notre espèce encore enfant, ce qui a commencé il y a deux cent mille ans s'achèvera en quelque décennies, lisez Pierre Grou ("les arbres de l'évolution" P.grou, J. Chaline, L. Nottale), vous comprendrez, un monde nouveau s'ouvre.

    Ou nous ne serons plus.


    D'ici peu ces puissantes forces de la politique vont reprendre leurs danses, bénéfiques et macabres.

    Avant que n'émerge, en nous, une moderne humanité de laquelle nous ne savons encore rien, les folles passions retentirons du plus profond des gorges d'Homo Sapiens Sapiens.

    L'Europe, la France, bien qu'aujourd'hui reniflant le fondement de ses dominateurs en sa crainte d'elle-même, de sa fureur meurtrière, de ses passés délires sanglants, l'Europe, bientôt plus, bientôt désagrégée (nul ne peut diriger une nation hors l'assentiment du peuple sans un jour disparaître) peut seule, de son Paris central, endiguer ces passions.

    Mais pour cela il lui faudra puissance et probité.

    Ainsi, dans peu de temps, il nous faudra, il faudra que chacun d'entre nous participe au relèvement de notre pays, de l'Europe mais au-delà nous allons devoir réinvestir et reprendre les chantiers que nos anciens avaient laissés en plan dans leurs lubies de la pure économie: la connaissance, le savoir, la conquête du doute et, surtout, la pratique, la mise en pratique, l'application de la probité.


    Certes nombreux sont ceux croyant que nous avons atteint le summum de notre intelligence, que toute découverte ne peut qu'être close, que notre monde est fini, compris, découvert.

    Or, même si la question du comment fut si bien reconnu, celle du pourquoi n'a pas toujours sa réponse et c'est le pourquoi qui dit de la cause à l'effet, du causal à l'effet:

    Idée n° 10) Essai de réflexion sur la causalité.

    Or ce n'est là que le fruit de l'apparence qui s'habille toujours du parfum de vérité pour nous cacher ces bribes de réalité que nous nous devons, nous, êtres humains, nous, Homo Sapiens Sapiens, découvrir pas à pas: de comprendre que répondre au comment n'est pas de même que de répondre au pourquoi.

    Nous cherchons souvent les chemins des certitudes en ceux des apparences en nous égarant au-dedans des labyrinthes de nos dogmes, certitude et apparence sont frères.


    Ainsi sommes-nous.


    Et le paradoxe nous en montre le chemin, lui qui n'est, en vrai, qu'une vérité en devenir.


    Si le contraire d'une vérité profonde est une autre vérité profonde, chaque vérité n'est que l'étape transitoire vers la compréhension d'une nouvelle vérité, toujours plus proche du réel.

    Parce que ce qui compte c'est le réel, et plus nous nous approchons de lui, plus il nous abreuve de questions, toujours plus ardues, toujours plus complexes, c'est cela la vie d'un être humain: l'aventure de soi avec les autres êtres humains de rendre intelligible le monde.


    Cela n'est pas l'individualisme, l'individualisme est l'état transitoire de notre humanité pour lui permettre de grandir, une adolescence, une ébauche de reconnaissance de soi, par soi et par les autres.


    Cela, c'est l'individualité qui est la volonté inextinguible de vouloir apprendre à vivre le savoir vivre.

    Et "croire - ne pas croire" ne seraient-ils pas de même essence, de même matière, chacun disant oui ou non sans savoir vraiment de quoi il s'agit, si vraiment cela existe, si ce que nous percevons est une cause ou un effet?

    Ou si cela existe vraiment, ou si c'est autre chose que ce que nos sens discernent, découvrent, éprouvent, si cela était d'un sens autre?

    Croire ou savoir, il faut choisir, si nous savons, nous savons, si nous croyons, nous croyons mais nous pouvons savoir que nous ignorons, là nous ne croyons plus, du-moins éloignons-nous de la croyance.


    Parce que, en cela, un cerveau humain peut-il vivre sans croire?


    Je suis athée, d'aucune religion, d'aucune philosophie, je ne crois en rien si ce n'est de croire que je ne crois en rien, en mien paradoxe, et je souffre de savoir le bientôt malheur de l'homme.


    Je sais aussi que notre esprit est bâti pour la catastrophe, la vie elle-même s'est bâtie le long des catastrophes, elles, elles sont l'un des piliers, l'un des moteurs incontournable de l'évolution et rien ni personne ne peut y interférer, même les plus grands saints, même les plus grands sages.

    Mais il est possible d'en limiter les ravages, autant que faire se peut, en ne voulant que ce que l'on peut.


    Ce bouleversement en marche nous atteint déjà tous et l'ignorance est une façon dérisoire de s'en protéger et pire que tout, de vouloir ignorer que nous sommes ignorants, je suis un ignorant qui s'ignore, nous sommes tous des ignorants qui s'ignorent.


    Comme nos sens ne perçoivent qu'un fin filet du cours impétueux et irrésistible des informations qui nous traversent, la compréhension que nous en avons en est presque autant limitée..., presque, voilà le mot, c'est ce presque qui fait le sage et le fou.


    Alors, faites ce que vous avez à faire mais faites le bien, personne ne vous jugera sauf vous-même, mais ce juge est le plus terrible qu'il soit, surtout si il se tait, surtout si il est inconscient.


    Connais-toi toi même disait Socrate, rien ne peut être la cause de lui-même disait Bouddha, aime ton prochain comme toi-même disait Jésus, voilà le temps qui passe et ces leçons commencent à être comprises, sont enfin comprises.


    Vous ne vous rendez pas compte que l'époque n'est plus celle d'hier mais elle vous a changé, m'en suis-je vraiment rendu compte moi-même, elle nous change tous, sinon écrirais-je cela?.


    Nous sommes à l'aube du temps, à l'aube de l'histoire, hier encore c'était la préhistoire, notre devenir est entre nos mains à tous, notre responsabilité est grande, ne la gâchons pas.

    L'époque est incertaine, commençons par le commencement, comprenons la!

     

    THEURIC

  • Dire non!

    Vous savez quoi?

    Je vais vous faire un aveux: je ne sais pas dire non, du-moins est-ce pour moi une immense difficulté d'exprimer un refus lorsqu'il m'est demandé de rendre un service.

    Pourtant, parfois, je rends ce service avec mauvaise grâce, je sais que la personne se sert de moi, que ses yeux implorants sont du chiqué, du mensonge, et pire, que l'on me prend pour un imbécile.

    Je me soigne mais c'est dure, je dis non du bout des lèvres, avec maintes circonvolutions, avec des détours idiots, des hésitations, des bégaiements, des justifications inutiles, mais je me soigne.

    Le pire dans tout cela c'est que je sais qu'un "non" déterminé, clair, net n'admet, de la part du requérant, aucun sermon ni dispute, pas même de rejet, tout au contraire, cela générera du respect, je me suis respecté par mon refus, dès lors le requérant me respecte.

    Parce que, tout compte fait, ne pas savoir et pouvoir dire non à un autre, c'est ne pas savoir et pouvoir  dire oui à soi et l'implorant n'est pas le quémandeur, le requérant, le véritable implorant est bien celui qui se refuse, qui est dans l'impossibilité de refuser quoi qu'il lui soit demandé, qui dit, sans le dire: "Vois, j'existe puisque je te rends service, j'existe puisque je t'obéis!".

    Et puis, surtout, la personne qui ne sait pas dire non peut se mettre en danger ou faire les pires des abjections, sait-on jamais ce qui lui sera, un jour, demandé?

    Et ce réflexe d'anticiper les demandes de l'autre, de les devancer, trait dont je me suis, tout de même, avec difficulté, débarrassé, n'est-il pas l'optimum de cette pauvreté d'esprit, d'un implorant pleur de vouloir être enfin reconnu, une dérisoire erreur de se croire respecté par celui qui le prend pour un faible, un moins que rien, une obscénité?

    Tout de même, ce qui me rassure c'est qu'à la tête des pays européens et, par delà, de la gouvernance européenne, les gouvernements sont dans l'incapacité de dire non à notre mentor américain, aux allemands affaiblis de leurs vieillesses, aux groupes de pressions économiques des banques et des fonds de pensions, aux entrepreneurs internationaux qui n'entreprennent même plus dans leur propre pays, au Qatar, au F.M.I. et à d'autres, tellement d'autres.

    Chez nous, en France, la situation est la même, voire pire.

    Notre gouvernement plie devant le M.D.E.F., Obama, les banques, les assurances, l'Union-Européenne, les allemands, les fonds de pensions et devant tout un tas de trucs et de machins qui, en réalité, représentent de moins en moins un quelconque péril.

    Au contraire, à force de se mettre à dos toutes les strates de la population en raison de cette obéissance servile aux représentants éreintés de ces ex-puissances, nos gouvernants risquent de plus en plus un renversement qui, quoi qu'il se passera et qui que soit celui qui prendrait le pouvoir, ne pourra pas ne pas se faire sans violence.

    Et pourtant, pourtant, les États-Unis-d'Amérique représentent-ils toujours la nuisance qu'ils furent par le passé?

    Peuvent-ils toujours, comme naguère, faire pression sur notre pays ou sur un autre de l'U.E. en agissant sur les cours boursiers, sur l'euro, sur les dettes ou sur tout autre agent économique sans, pour cela, se mettre en position de banqueroute, de ruine, de faillite?

    N'est-ce pas cela qu'ont compris les russes?

    Ne serait-ce donc pas plutôt les européens qui, de détenir des dollars, seraient en mesure de leur dicter leurs lois en faisant simplement planer la possibilité de les revendre, ou bien celui de ne pas vouloir rembourser les dettes?

    Qui, de l'Allemagne, du Qatar ou de la France a plus à craindre de l'effondrement des banques, des fonds de pension, des assurances et surtout de la disparition du dollar?

    En France nous n'avons plus rien à perdre, il ne suffirait que d'expliquer au peuple la réalité de la situation et des nécessités devant lesquelles nous devrons passer puis d'agir, et ces nécessités, quoi qu'il en soit, devrons être traverser, à un moment ou à un autre.

    Qui, du gouvernement, des banques, des assurances, des fonds de pensions à le plus à craindre d'une faillite universelle?

    Qui, en réalité, est dans une position de force sinon notre gouvernement?

    Alors quid?

    Qui voulez-vous que des dirigeants du P.S, de l'U.D.I., de l'U.M.P. ou du F.N. puisse se déjuger (souvenez-vous de la visite de madame Le Pen à un représentant du parti républicain américain, un texan qui se présentait contre Barack Obama et voulait dépénaliser les drogues dures, Monsieur Ron Paul, se voulait-elle être héroïne et être reconnue en tant que la meilleurs représentante de l'Oncle Sam)?

    Comment voulez-vous que tous ceux-là qui furent adoubés par cette puissance d'argent et les Amériques puissent refuser d'accéder à leurs désidératas?

    De quelle manière pourraient-ils s'opposer aux petits désirs de cette même puissance d'argent, à la gouvernance européenne et aux agents américains, eux qui ne savent même plus ce que peut être que gouverner?

    Peuvent-ils dire non?

    Mais sont-ils les seuls à vénérer ainsi les préceptes et désirs de la libre entreprise, des Amériques, du dieu dollar et de l'Union-Européenne?

    Quand nous savons que dans certaines universités et entreprises internationales (qui n'emploient quasiment plus personne ici) obligent leurs professeurs pour les uns (suivant une loi votée il y a peu qui l'autorise) et leurs employés pour les autres à n'échanger qu'en anglo-américain sans que cela ne choque personne.

    Quand tous les médiats s'emploient, maintenant, à ne nous informer sur la situation en Ukraine que de la seule optique américaine (eux qui se sont fourvoyés, au début, en invitant des personnalités expliquant la réelle situation géopolitique) sans que cela ne choque personne.

    Quand l'Union-Européenne soutient des partis nazi en Ukraine sans que cela ne choque personne.

    Quand personne ne parle plus de Guantánamo sans que cela ne choque personne.

    Quand nous contemplons la ruine de  notre industrie sur l'autel faisandé de toujours les mêmes délires ploutocratiques sans que cela ne choque que ceux qui sont concernés: les chômeurs.

    Quand nous entendons le langage tronqué, bafoué, meurtri par une pauvre neuvlangue de pacotille ou s'y mélange, dans une piètre bouffonnerie, un sabir fait de bas anglais et de raccourcis langagiers sans que cela ne choque personne.

    Quand plus la moitié de nos magasin de vêtements ne sont même pas capable d'afficher un nom français sur leur devanture sans que cela ne choque personne.

    Quand quasiment plus un habit, un produit d'entretien, un savon, un shampoing, un appareil électro-ménager..., n'est fabriqué ni en France, ni en Europe sans que cela ne choque personne.

    Quand des ouvriers est-européens viennent travailler sur notre sol avec un salaire de misère sans que cela ne choque presque personne.

    Quand les puissances économiques, les ploutocrates américains et internationaux veulent devenir les seigneurs du monde et d'abord d'Occident par la signature d'un accord de libre échange entre les État-Unis, l'Europe et le Canada, ce dont nous n'entendons pas parler, sans que cela ne choque personne.

    Quand le Qatar achète une équipe de foot parisienne de renommée mondiale sans que cela ne choque personne.

    Quand notre Président de la République se fait injurier sur la place publique et manipulé par les américains sans que cela ne choque personne.

    Quand de plus en plus de nos chanteurs chantent en anglais sans que cela ne choque personne.

    Quand, à longueur de temps ne sont plus passés, à la télévision, que des feuilletons américains sans que cela ne choque personne.

    Quand nous sommes considérés comme des crétins par les publicitaires qui font vendre leurs camelote dans des films débiles sans que cela ne choque personne.

    Quand nous sommes baladés par des hommes et femmes politique à la langue de bois chargée, ah, là, ça choque tout de même.

    Quand les manifestations en Europe du sud ne sont jamais retransmis sur la myriade de chaines de la télévision française sans que cela ne choque personne.

    Quand nos banques ne prêtent plus qu'à notre état les euro reçu par la B.C.E. mais ne prêtent plus ni aux particuliers, ni aux entreprises parce que ça rapporte plus sans que cela ne choque personne.

    Quand dans les magasins sont affichés des prix de type 9 euro 99 centimes pour faire croire que ce prix n'est pas de dix euro sans que cela ne choque personne.

    Quand les Amériques espionnent tout le monde, sans  honte, sans vergogne sans que cela ne choque personne.

    Quand sur certains sites le blogueur ne prend même pas la peine de traduire un texte en anglais quand cela empêche le lecteur de comprendre quoi que ce soit sans que cela ne choque personne.

    Quand la mode est à l'américano-magnia, partout, toujours et,  pire, par ceux qui honnissent, disent-ils, cette même Amérique sans que cela ne choque personne.

    Quand ceux-ci deviennent antijuifs parce qu'ils ne veulent pas s'avouer que leurs malheurs viennent d'une pensée américaine qu'ils chérissent tant en faisant un amalgame imbécile entre Israël et les États-Unis-d'Amérique, que ceux-là font un pataquès d'une vulgaire quenelle et qu'ailleurs n'est pas compris que ce sont les comportements israéliens dont viennent ces délires, alors moi, je me sens proche surtout des papous indonésiens par mon histoire d'hier et par la leur d'aujourd'hui!

    Et ce délire ne choque personne!

    Alors nous pouvons en conclure que, en plus d'être les vassaux de l'Amérique, nous ne sommes, tous, que les serviteurs serviles d'une ploutocratie qui, sous des couvert de toute puissance, en est aux portes de sa propre ruine.

    Quand,  quand, quand, c'est bien beau de décrier le gouvernement, mais c'est aussi autour de nous, dans notre vie quotidienne, dans notre propre langage, dans nos petites habitudes, nos petits aveuglements, dans les simples gestes du tout les jours que sont pollués les moindre interstices de notre existence et moi, de cette pseudo modernité qui n'est que notre mise sous tutelle technologique et culturelle des américain et des ploutocrates, j'y dis NON!

    Je n'ai rien à faire de la langue anglaise qui est parlée par ceux qui ne sont pas anglais, américain, australien!

    Et même, je considère cette mode comme la plus dérisoire, infantile, vulgaire qu'il soit et ceux qui s'y soumettent comme  du pas grand chose, du presque rien.

    Nous sommes tous responsables de nos actes, quand je ne dis pas non lorsqu'il le faudrait, je suis l'unique responsable de cette décision et, au jour le jour, je me corrige, c'est long, fastidieux, difficile mais j'y travaille.

    Alors, messieurs-mesdames, si vous voulez lutter contre cette ploutocratie débilitante, faites de l'agitation intellectuelle, parce que c'est là que se trouve leur véritable danger, l'intelligence.

    En cela, au moins, je sais dire non.

     

    THEURIC

  • Voici venir l'ère terrible!

    Les jours terribles commencent et l’Ukraine n’en est qu’une pâle illustration.


    Les cartes le montrent, la Russie a absolument besoin du port de Sébastopol, quelle erreur stratégique, de l’Europe-Amérique, que d’avoir agité le sentiment des russes d’être privés de leur débouché en Mer Noire, et dès lors en Méditerranée plutôt que de laisser le statuquo.


    Surtout, l’Europe-Amérique nous montre sa faiblesse (Europe-Amérique et non plus Amérique-Europe): plus de sou.


    Surtout que la Russie est un allié essentiel de l’Europe, cette dernière, bientôt éclatée, souvent vieillissante, bientôt vacillante et déjà blessée.


    Seuls les pays, les états, les nations pourront sauvegarder ce qu’ils pourront de ce machin informe aux deux voyelles et douze étoiles brandies en pauvre oriflamme.


    Mais tant que l’économie-monde continue son lent effondrement en donnant l’insouciant sentiment d’une forme et force suffisante, l’Ukraine ou le Centre-Afrique ne paraîtront que des épiphénomènes, eux qui ne sont, en réalité, que les résumés annonciateurs du futur de l’humanité.


    Le champ idéologique mettant l’économie sur un pied d’estale, sous toutes ses formes, disparaîtra dans peu de temps des esprits et des cœurs et ce sera la politique qui viendra au-devant de la scène.


    La politique ce n’est pas l’économie, l’économie n’est que l’une des nombreuses matières de la politique pour laquelle il n’en est aucune d’ultime, pas même pour elle-même, la politique, qui est et ne peut être que multiple et infiniment plus complexe que la seule économie.


    L’explosion des faillites qui, sous peu, traversera, en champ de ruine, le rêve illusoire de l’enrichissement éternel d’un Éden improbable, fracassera les utopies alanguies de leurs deux siècles de règne.

    Hormis, peut-être, de l’anarchie politique, toutes les autres s’annihileront sous le poids défaillant de leurs paradoxes abyssaux: ainsi en fut-il du communisme et de la sociale-démocratie transformée en social-libéralisme, son contraire, ainsi en sera-t-il du néolibéralisme et de toutes ces autres tentatives, théories éphémères, de rendre acceptable, sous une manière présentable, un champ idéologique aujourd’hui exsangue.


    La politique c’est la vision de l’histoire, de la géographie et, surtout et avant tout, de tout ce qui de près ou de loin ressemble à de l’entraide et aux rapports de forces et, dès lors, à l’organisation.


    Parce que chaque Être Humain fait de la politique, est politique, depuis toujours, depuis avant Homo Sapiens Sapiens.


    Nous sommes tous d’un peu de gauche, d’un peu de droite et parfois la gauche est de droite et la droite de gauche, quand la politique est bien faite.

     

    Cette ruine advenant rendra l’Homme malade, parce qu’il avait cru en rêve impossible, parce qu’il a crû trop vite en nombre incommensurable, parce que son monde n’est plus et que son monde n’est pas encore.


    Les enjeux, bientôt, des plus dérisoires feront signe de discordes, le voisin rejettera le voisin, de vieilles querelles renflammeront au risque des périls…


    La Chine en sera la fin et le commencement et l’Europe en sera le centre.


    La puissance et la richesse ne sont pas là où il est habituel de les croire, l’Europe l’a vécu mais a voulu oublier, non pas de leçon, l’histoire fait rejouer l’amnésique jamais d’un même mode mais de même façon.


    Soyons conscient des enjeux, infiniment majeurs, des vrais promesses, des faux espoirs, l’Europe, non pas en union mais en réelle confédération, se fera d’elle même contrainte et forcée, ou l’Europe des nations ou ne sera pas, ou ne sera plus!


    Nous entrons dans une ère où la légèreté fera un grand péril, l’Eurasie de l’est, l’Eurasie de l’ouest, tout se jouera là, à ces deux pôles, et nul part ailleurs.

     

    THEURIC