Cela fait depuis des décennies que c'est la fête à Neuneu.
Aujourd'hui il s'agit d'une bringue à tout va et tous les neuneus de France et de Navarre s'en donnent à cœur joie, ceci pour oublier les faiblesses grandissantes de l'Union-Européenne, de l'Allemagne et des États- Unis-d'Amérique, leur idéologie chérie.
Il faut sauvegarder le libre échangisme, la société de service, les banques, les bourses et tout le reste du pataquès..., pour sauver nos trois compères, même Charles Sannat est atteint de cette rêvasserie, même des chômeur et des travailleurs pauvres, même des bac plus, plus, plus y croient....., aussi....., encore....., un peu.
Et ce qui me le fait dire c'est que personne ô grand jamais ne fait mention des exigences de l'union, regardez donc les réaction gênées du journalistes de Radio-Sud quand François Asselineau remet en cause le bienfondé de l'UE, son angoisse qui l'étreint, ses tourments.
Parce qu'il leur faut des neuneus pour gouverner la France, que ce soit Macron ou Le Pen, de l'équipe de l'un ou de l'autre, les macro-lepénistes, c'est du pareil au même, ils veulent sauver ces trois coquins qui leur offrent si obligeamment des idées prêtes-à-porter qui ne leur donnent pas mal à la tête, neuneus qu'ils sont.
Et puis cela leur permettra de gagner de l'argent, tout travail de pleine obéissance mérite bien salaire, n'est-ce pas?
En fait, si vous voulez comprendre les raisons de leurs actions il faut conceptualiser leur psychologie simplement, il est inutile, à leur propos, de se questionner le manière alambiquée.
Par exemple, leur incompétence seule n'est pas la seule raison de notre confinement, ainsi, si l'état ne veut pas qu'un citoyen, une commune, un département ou une région achète et détienne des masques ou des tests c'est tout simplement pour que les gens restent cloîtrés le plus longtemps possible chez-eux, le gouvernement a désormais trop peur de la population et à n'importe quel prix la bande à croncron ne veut voir le peuple dans la rue.
Ayant également mis les avocats et les autres métiers de justice à dos qui, de plus, sont ulcérés par la manière particulièrement incompétente avec laquelle le gouvernement agit face à cette crise sanitaire, juste accompagné de justifications fallacieuses et verbeuses, les neuneus se retrouvent dès lors avec un monceau de plaintes de toutes sortes à leurs basques, ce qui ne peut qu'accroître leur panique et dès lors leur incompétence.
Leur seul façon de se sortir de ce cercle vicieux allant s'amplifiant, ce serait qu'ils démissionnent tous en même temps, le président compris, en nous demandant pardon de leurs erreurs et méfaits, ou bien qu'ils fuient et que nous n'entendons plus parler d'eux.
C'est pour tout ça qu'ils envoient Macron au charbon, le pauvre ne comprend pas ce qu'il se passe et est toujours sur son petit nuage, je me demande même si sa dépression ne serait pas entrain de s'aggraver.
Il dit ce qu'on lui dit de dire, fait ce qu'on lui dit de faire, pense ce qu'on lui dit de penser, sans plus.
Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".
Ce beau neuneu, peut-être le plus beau de tous, né en 1943, a donc 77 ans, s'il se trouve de trop sur terre, ma foi, il y a une foultitude de moyen à sa disposition pour régler ce problème.
Quand à l'opposition de la députation et sénatorial elle brille de mille feux de son absence silencieuse, elle aussi serre des fesses de leur craintes de ce que leurs donneur d'ordre unioniste, étasunien et germanique disparaissent, voire à ce qu'il s'éloignent d'une France devenue l'enfant malade de l'Union-européenne pouvant tous les entraîner par le fond.
( Un pervers narcissique, naturellement incompétent, naturellement un neuneu neuneuant, ne peut pas reconnaître ses erreurs, ni même la moindre de ses fautes, sinon cela déstabiliserait son narcissisme malade en un point tel qu'il peut en devenir fou, parce que, mis en face de ses faiblesses, c'est toute la masse de sa culpabilité qui y est liée qui remonte d'un coup, avec le souvenir du trauma originel.
C'est pourquoi il se justifie, il ment, il altère et modifie la réalité ou la tait, se donnant, quoi qu'il se passe, le beau rôle puisqu'il se doit de se placer au centre de son monde imaginaire et fantasmatique dont il est le héro.
S'ils se retrouvent dans un groupe fait, ne serait-ce qu'en partie, de leurs semblables, partageant de plus une idéologie similaire, se définira rapidement deux mouvements opposés:
-Une reconnaissance pleine et entière de la similarité de leur maladie mentale, qu'ils ne reconnaîtront jamais comme telle, en considérant ceux n'en souffrant pas comme étant des sous-hommes (là, çà, ce n'est pas de moi).
Et en même temps une concurrence acharnée entre-eux puisque chacun a un besoin vital de se retrouver au centre de son monde fantasmatique qu'il doit, dans ce cas, de partager, ce qui place chacun d'entre-eux dans une position de double contrainte, celle de rester dans ce monde imaginaire partagé avec ses semblables, en même temps que de tout faire pour s'en placer en son milieu (çà c'est de moi).
Dès lors que ledit monde tend à se fissuré, le sujet commence à décompenser en quatre stades au fur et à mesure que celui-ci s'effondre:
1) La fuite en avant: qui le mène à accentuer son discours devenant de plus en plus incohérent;
2) L'affolement: où cette incohérence devient tellement évidente que ses proies en viennent à se poser des questions;
3) La panique: où à cette incohérence s'y rajoute une violence qui, suivant l'individu, peut être langagière et/ou physique et qui met sa proie en état de soumission (qui est la résultante de la relation complexe de ces deux émotions primaire que sont la colère et la peur);
4) Enfin la décompensation: ou de cette violence s'accentuant faisant fuir sa proie, de laquelle il tente de se venger puisque elle redevient elle-même et n'est plus lui, il lui faut donc la détruire pour tenter de retrouver son état initial, pour ensuite, quoi qu'il se passe, son état psychotique latent remonte à la surface de son mental menant à des crises de folie plus ou moins prononcée suivant le cas. )
Alors prenez plaisir, chers et amis lecteurs, que je vous confie encore une fois ici quelques considérations qui mettront à bas nombre de ces fantaisie absurdes qui nous mènent, en ces temps obscures, aux pires des situations.
Certes, et en cela je ne suis en rien naïf, je devine comment sont reçus mes petits billets, dans le même temps nombre d'entre-vous se sentent agacés de les lire mais ne peuvent s'empêcher d'y plonger avec délectation à chaque parution, là se trouve toute la complexité de notre condition si humaine.
Certains journalistes, à la majorité des plus jeunes, viennent même y lire en un esprit de revanche des masses inimaginables de mensonges qu'ils sont contraints de vociférer ou d'écrire.
Alors, quelles sont ces pensées que je vous propose en ce jour?
Je ne reviens que peu sur l'hydroxychloroquine (coquine, hi, hi, hi), vous trouverez dans cette vidéo (et vit des bas comme le dirait une dame pauvre aux jambes délicieusement galbées les admirant) une exposition succincte de l'énième trahison de nos élites neuneus au sujet du SARS-COV-2.
Il sera un moment où la justice se devra d'aller un petit peu fouiller dans les méandre de la neuneuïtude multiforme, mais aussi qu'elle aille farfouiller en elle-même des graves et neuneus manquements qu'elle ne cessa de faire pour plaire à notre gouvernement neuneuïte, dans la relation violente, manifestante et gilettiste entre la police et la population.
Le plus amusant dans tout cela ce fut qu'il y a sûrement eu un nombre égal de policier et de gilets jaunes qui votèrent pour le Rassemblement National, ils va falloir qu'ils nous expliquent qui est avec et contre qui dans cette histoire de corne-cul dont Marine Le Pen ne parle pas.
Quand dans le même temps des gens aux hautes et longues études votaient pour le sieur Macron, confondant allègrement la colombe de la paix d'avec le pigeon, sûrement d'un sentiment écologiste, ils en oublièrent le classement des espèces.
En parlant de sentiment, j'ai l'impression que les français, considérant que, justement, ce gouvernement étant.... composé de neuneus, prennent les choses en main, pour cela ils ont raison, que peut-on en effet attendre de nos ministres sinon de la parole et du vent, du bassement d'air en quelque sorte et rien de plus.
Parce que c'est seulement cela qu'il savent faire.
En fait ce ne sont que des commerciaux, les mêmes qui, dans l'entreprise Boeing, firent sortir un avion, le 737 MAX, qui ne peut voler et qui donc en a ruiné l'entreprise.
Monsieur Macron n'est juste qu'un petit commis voyageur dépressif qui, plutôt que de vendre des cravates ou des aspirateur au porte-à-porte, nous vend, sous les ordres de je ne sais qui, en plus d'une Union-Européenne en perte de vitesse, une médication non encore produite mais potentiellement cher plutôt que le traitement proposé par l'équipe de Didier Raoult qui ne coûte rien, ainsi que des masques qui n'existent pas, ou au mieux existeront un jour.
Il nous avait déjà fait le même coup avec la vente des fleurons nationaux et, auparavant, en tant que ministre de l'économie (interdit de rire) de François Hollande, un autre neuneu, d'un aéroport qu'il vendit à des truands.
Comme quoi la fête à Neuneu avait commencé bien avant 2017, ainsi Nicolas Sarkozy s'était, en tant que leur semblable, déjà entouré d'un même type d'une bande intellectuellement évanescente.
D'ailleurs il en reçu nombre de ses petits picotins.
Là où la neuneucherie se déverse encore avec faconde en un jet toutefois en ce moment réduit, la pandémie étant, pour le journalisme cornichon, moyen de ne pas parler de ce qui fâche, soit l'économie, et de ce que l'immensité de l'inaction gouvernementale génère de fragilité, en cela, de toutes sortes.
Or et je le dis avec assurance, deux thèmes économiques ne sont que peu ou pas du tout évoqués, ou de manière absurde: la plus value et la valeur ajoutée.
Vous allez voir, amis lecteurs, c'est un truc simple comme chou à comprendre si, encore une fois, on ne l'entoure pas d'un fatras de considérations inutiles pour les béotiens que nous sommes, mais que nous devons aborder dès maintenant puisque cette crise s'achèvera bien à un moment ou à un autre et qu'il nous faudra reconstruire notre pays.
C'est un truc que j'ai compris aujourd'hui même et qui remet totalement en cause tout ce qu'il se raconte en ce moment en économie et met à terre tous nos savants neuneus sur ce sujet.
Voici l'histoire:
Connaissez-vous la bauxite, ce minerait qui, après traitement puis électrolyse, donne de l'aluminium?
Personnellement j'en avais appris l'existence à l'école primaire, enfin, passons.
Cette roche en tant que tel n'a pas vraiment d'importance, tout juste un collectionneur de caillou peut-il en acheter un spécimen pour quelques euros pour compléter sa collection, qu'il mettra derrière une vitrine ou dans une boite.
Ensuite des entrepreneurs l'extrait de mines pour le vendre à des usines de raffinage, vu que cette roche sera transformée, elle commence à avoir une valeur déduite du prix de son extraction et de son intérêt futur, son extraction dégage donc une certaine valeur ajoutée menant à une plus value qui, une fois que toutes les traites sont payées, dont celles, entre-autre, des paies aux employés et des impôts à l'état, conduit naturellement à un bénéfice la vente faite.
Cette bauxite est ensuite raffinée et transformée en aluminium qui, tant qu'il ne reste qu'une masse sous une forme ou une autre, tringle, barre, lingot, qu'en sais-je, n'a pas encore une utilité autre que celle d'un autre collectionneur, là de métaux de tous genres, qui le mettra aussi derrière une vitrine, ou de le vendre à une autre usine qui, elle, s'en servira pour produire des objets utiles, là encore la valeur ajouté générée par cette transformation mène à de la plus-value qui, in fine, conduit au bénéfice de l'entreprise de raffinage, à acheter le lot suivant de bauxite, de rembourser les dettes dues aux emprunts aux banques ou aux bourses, les impôts à l'état et aux payes des ouvriers, employés et cadres entre-autres.
Enfin cet aluminium est conduit dans de nouvelles usines qui, pour chacune d'entre-elles, l'utiliseront à dessein pour créer des objets de toutes sortes, prenons l'exemple d'une fabrique de charpentes de véranda, chaque charpente bâtie dégageant, là encore, de la valeur ajouté donc une plus-value qui sera, encore une fois, partagé par tous les acteurs.
Il faut souligner que le dégagement de plus-value généralisée dans un pays quelconque génère une inflation naturelle généralisée de 5 à 7 % pour la monnaie du pays qui en est émetteur, où, toujours dans cet exemple, que ce soit dans la totalité de ces trois opérations ou pour l'une ou l'autre d'entre-elles, extraction, purification et/ou confection du produit de base, ici l'aluminium, puis fabrication des objets, du moment qu'au moins l'une de ces trois opérations se fasse dans la même patrie, inflation qui sera compensée par la revalorisation des salaires égales à ladite inflation, ainsi que de celui des bénéfices retirés par la ou les entreprises.
De fait, tout ce qui est fabrication dégage de la plus-value, l'origine véritable de la richesse des nations, donc l'agriculture, l'industrie manufacturière et minière, seul çà peut faire fonctionner correctement la France par la création de richesses puis de leur vente.
Ainsi, le poseur de véranda ou le vendeur en kit dégagent-ils, eux, de la plus-value?
Ben non, ou à la marge, son bénéfice se trouve, en ce qui le concerne, dans les salaires de ceux qui l'achètent, des ouvriers, cadres ou autre agents administratifs des usines qui, de proche en proche, en arrive à l'objet finalisé puis l'acquièrent, mais les vendeur et poseurs ne dégagent pas de valeur ajoutée réelle puisqu'ils ne créent rien.
Les banques dégagent-elles de la plus-value?
Non plus, elles sont, tout comme il en est des sociétés d'assurance, spéculatives ou boursières, des administrations privées en ce sens où elles ne produisent aucune valeur ajouté.
La première prêtant, normalement, aux usines pour fonctionner, inventer, se développer, la seconde permet à celle-ci de faire repartir la fabrication après une catastrophe quelconque, les troisièmes, toujours théoriquement, se devraient juste d'avoir de but d'avancer des fonds par la vente avant-production de ce qui est établi comme prévision productive.
Etant entendu qu'il devrait en être de même pour l'agriculture.
Tout autre fonctionnement de ces trois entités sociales ne pouvant qu'être anti-éthique dans le sens où elles entrent dès lors dans un processus d'autodestruction par le gonflement de bulles spéculatives, comme elles aussi ne créent rien.
Les services publics dégagent-ils de la plus-value?
Encore une fois non, leur rôle essentiel étant de faire fonctionner au mieux la société où les usines, fabriques, agriculture et/ou mines sont en oeuvre.
Hormis les centres de recherche, ils ne créent pas.
(Toutefois la science, tout comme les philosophies, ont elles de rôle, encore théoriquement, d'explorer de nouvelle approches et découvertes augmentant la masse de savoir et donc d'action des sociétés, pour la ou plutôt les sciences par ces échelons: de découverte fondamentale et/ou théorique, puis de science de la recherche qui développe ce qui a été découvert, puis enfin science de développement permettant de faire le lien entre le chercheur, l'ingénieur et l'entrepreneur.)
En tant que réseaux, ils assurent le flux de communication (chemin-de-fer, route, téléphone, WEB, transport en commun et routier, l'aviation étant spécifique), celui de l'énergie par tuyauterie (électricité et gaz), de l'approvisionnement, l'évacuation et le traitement de l'eau, médical en assurant la bonne santé de tous les concitoyens, du généraliste aux hôpitaux en passant par les spécialistes.
Il en est de même de l'instruction publique, mais aussi privée, de tous niveaux, dont la raison d'être est, justement, d'instruire de ce qui est connu et, normalement, d'apprendre à penser par soi-même affin que le plus grand nombre soit dans la capacité d'invention et, ce, à toutes échelles sociales.
En réduire la qualité, comme il se passe actuellement, marque la neuneuserie d'une part importante de la haute hiérarchie française, est plus qu'une faute, c'est pourquoi il faut au plus vite en rétablir l'essence progressiste, ce qui nécessite une prise de conscience généralisée de la population, ce qui est en cours actuellement.
Tous les services publics se révèlent économiquement lourds autant à bâtir qu'à entretenir et moderniser, c'est pourquoi toute privatisation et/ou mise en concurrence ne peut que les fragiliser, comme j'avais pu l'expliquer le 24 Mai 2018 et à terme les détruire.
L'armée, la police et la justice dégagent-elles de la plus-value?
Encore et toujours non, à elles s'enjoint la fonction de réduire les instabilités intérieures et extérieures de la nation, d'en écarter et réduire le mieux possible les dangers interne et externes.
La première s'emploie, normalement, à la défense de la patrie ainsi que de ses intérêts quand les fonctions politiques s'en trouvent dans la plus entière impossibilité, ce dernier cas, du fait de notre modernité potentiellement hautement destructrice, n'existant quasiment plus sauf entre pays économiquement et institutionnellement fragiles et pauvres.
La Russie nous montrant qu'en Syrie une action militaire n'est tout de même pas entièrement dépassée, ainsi que de sa prudence, en raison des forces US présentes étant en cause première de cette guerre syrienne et de la Turquie en lien avec ces derniers au travers de l'OTAN, avec laquelle ladite action se doit de s'effectuer.
Son utilisation pour des buts étrangers, au sein de ladite OTAN pour la France, pouvant être considérer de l'ordre de la trahison d'état.
Les deux derniers se doivent de contrer, écarter, contenir toute déviance face à la loi ainsi que de protéger les citoyens, leur usage inapproprié, lors des rassemblements des gilettistes, ne pouvant qu'être considéré que comme celui d'un ordre fascisant, ce vers quoi tourne le pouvoir français sous domination unioniste dont c'est la nature première.
Le pouvoir politique et son administration dégagent-ils de la plus-value?
L'évidence est que non, le premier, dans ses deux dimensions exécutives et législatives, devant être le garant évolutif, dynamique et décisionnel de la société tant dans le présent que de la perception du futur et, ce, à toutes ses dimensions, du communal au national, mais aussi de gérer les catastrophes qui surviennent au mieux, ce qui n'est pas le cas actuellement.
Au second étant dévolu le rôle d'organisation sociale, de répartir les richesses, les services publics, de prévoir les catastrophes potentiels, de contrôler la bonne marche de la société entre les différentes parties du territoire sans, pour cela, mettre à mal aucune de ses composantes, de référer des observations faites aux pouvoirs exécutif et législatifs pour qu'ils puissent effectuer des choix idoines, contrairement à ce qu'il se passe aujourd'hui.
L'art dégage-t-il de la plus-value?
Oui, tous les arts sont par nature créateurs et, dès lors, sont contributeurs de la richesse d'une nation de part la valeur ajouté qu'il y déverse, tant en terme symbolique, intellectuelle que marchand.
Notre époque porte à ce que ceux-ci s'affadissent en grand nombre, de qui est en même temps dommageable et mauvais mais signe, tel qu'il en est de l'école, d'une baisse de niveau intellectuelle de toute les échelles sociales, certes, mais entraînées par, encore une fois, celle la plus haute.
Les services à la personnes dégagent-ils de la plus-value?
Tout dépend desquels.
Le coiffeur, l’esthéticienne, les livraisons de toutes sortes, un fête foraine ou les repas portés aux personnes âgés n'en dégagent pas puisqu'il n'y a pas de création de bien manufacturés ni agricoles.
Le tourisme à l'intérieur du pays non plus, en revanche, celui provenant hors des frontières amène cette plus-value étrangère dans le pays.
Le restaurateur en dégage comme il y a la transformation des aliments.
La création monétaire dégage-t-elle de la plus-value?
Non.
La monnaie a un statut à part, elle devrait être le reflet de la richesse réelle, bien que relative, du pays émetteur, qui permet l'échange de biens et de services à l'intérieur et extérieur d'icelui.
J'ai des difficultés à concevoir la logique qui fait que l'état ne peut s'endetter qu'auprès des banques privées plutôt que centrale, publique donc, si cet endettement permet de développer le pays et est remboursé dès lors que le plan est installé, arrivé à maturité, le programme achevé et génère des profits.
Tout comme de la nécessité de créer de la monnaie pour soutenir des banques faillies, plutôt que de les nationaliser.
Ceci d'autant plus les allers et venus de la haute administration des banques à... l'administration, ce qui devrait être formellement interdit, comme le fit le sieur Macron, la encore la justice ferait bien d'y fourrer son nez pour savoir s'il y a eu ou non concussion.
Quoi qu'il en soit, une monnaie trop produite perd de sa valeur égale à sa quantité générée, avec l'enfermement des populations chez elles et le grand affaiblissement de l'économie réelle, nous fonçons droit sur une période des plus compliquée.
La monnaie n'est pas un bien ni une valeur, elle est représentative d'un bien potentiel tant qu'il n'est pas acquis et d'une valeur relative à la richesse du pays émetteur et, normalement, les banques privées ne devraient faire de prêt que grâce aux fonds que les particuliers leur versent, les intérêts versés par les emprunteurs ne devant être, de ce que j'en comprends, que la seule origine des bénéfices qu'elle obtiennent.
Voilà où nous emmène d'appartenir en plein à l'Union-Européenne, à l'OTAN, aux étasuniens et aux allemands: nous, peuple français, ne sommes devenus que des ressources humaines dont les composants de notre gouvernement et des chambres d'enregistrement de délibération ne sont plus que les responsables plus ou moins habiles, filous, obtus et/ou idolâtres.
Ceux de maintenant ne sont plus que des neuneus parce que tous les autres ont préféré fuir que de subir une foudre populaire qu'ils sentent venir.
Si, comme le pérore journalistes, élus, ministres et autre président, nous devrions rapatrier nos fabrications de matériels médicaux, alors cela voudrait dire que toute la chaîne de production se devrait de se faire sur notre sol, puisque sinon nous risquerions une pénurie de matière première, comme il en est des tests ou des masques efficaces en ce moment.
Or, cela est strictement interdit par les traité de l'Union-Européenne et de l'euro.
Alors il ne s'agirait juste que d'une mascarade qui n'aurait de but que de calmer la populace que nous sommes, un mensonge en somme.
Nous n'avons plus donc que deux choix, soit y rester et à la crise suivante nous mettra encore plus dans une panade pire que maintenant, soit les quitter, union et monnaie, et qu'ils aillent se faire voir ailleurs.
Nous serons peut-être bien dans la merde, certes, mais nous pourrons tout du moins avoir notre mot à dire et choisir une équipe gouvernementale un petit peu plus sérieuse, ce qui n'est pas si difficile à la vue de celle actuelle.
Si en effet vous avez envie, amis lecteurs, que notre patrie retrouve son agriculture qui, pendant de très long siècles, fut les mamelles de la France, labourage et pâturage, comme le disait Maximilien De Sully au XVII° siècle, ce proche d'Henri IV, ainsi que son industrie se recompose et de réparer nos infrastructures en piteux état, alors nous n'avons pas de véritable choix, envoyons au diable l'union et ses prétendues chimères.
Et qui, des partis, des élus siégeant à l'Assemblée Nationale et au Sénat a proposé une telle sortie, en vrai, sans se dédire ensuite?
Aucun!
Alors, ne trouvez-vous pas qu'il serait temps de nous remuer les méninges, ceci d'autant plus que nous en avons, du temps.
Tout problème a sa solution, le principal pour le résoudre s'agit de concevoir soigneusement la situation.
Ne prenez pas en cela ce que j'écrit pour argent comptant, je peux faire des erreurs d'appréciation, mais essayez de comprendre au mieux la situation exacte dedans laquelle nous sommes, puis déterminez, individuellement et/ou collectivement, la meilleurs façon d'agir.
Mais surtout, organisez-vous.
Aujourd'hui le paysage politique est quasiment blanc, tout y est à recomposer, personnellement j'ai choisi l'UPR, c'est mon choix, à vous de faire le vôtre.
Mais rien ne pourra se faire tant que nous restons au sein de l'union qui ne peut, je le redis, être réformée, quoi que nous désirerions, même de constituer sa propre entreprise, cultiver son propre terrain agricole ou de développer ses propres idées, les empêchements se trouvent dans les salons feutrés de Bruxelles.
Alors, camarade, du courage, fuyons ce truc débile et passons enfin à autre chose...
THEURIC