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  • Crise à l'UPR: le choc des mondes.

    Nous vivons une époque étonnante à plus d'un titre.

    Je rencontre des jeunes, que je considère ainsi du haut de mes 61 ans, qui comprennent, à une vitesse qui me stupéfie, des notions psychologiques, politiques, économiques complexes que je mis des décennies à saisir véritablement, quand ceux de ma génération fuient de telles considérations lorsqu'elles  sortent de leur sens commun.

    Ils utilisent l'informatique de toutes tailles comme je peux le faire d'un marteau quand, vers mes quinze ans, l'un de mes frères avait travaillé dans une entreprise informatique de grosses machines qui utilisaient des bandes magnétique comme mémoire, puis à l'âge de trente environ j'avais vu le fonctionnement d'un micro-ordinateur (nom de l'époque des machines personnelles) où, sans sourie, il fallait une demie-heure pour y rentrer un programme d'horlogerie où seule l’aiguille des secondes apparut sur l'écran noire et blanc. P1010619.JPG

    Ainsi feue ma mère, me racontait-elle, n'a eu de l'eau coulant dans son évier que vers l'âge de la trentaine d'année, elle qui vécu jusque là à Paris pour s'installer, ensuite, avec toute sa famille à ma naissance, en banlieue, mon père étant chef de station dans le métro, métier qui n'existe plus.

    Cette période d'après guerres (celle d'Algérie ayant cessé en 1962) des années 60 à 70 n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui, l'un de nos voisins était moderne, il avait le téléphone et roulait en DS, il fallu à mes parents attendre des mois pour l'obtenir bien plus tard et leur première automobile fut une 2CV que mon père seul conduisait, il avait même, par la suite, acheté une 203 Peugeot en fin de vie, la voiture et non  pas mon père.

    J'avais même eu, en CE2, comme institutrice l'une des dernières représentantes des hussards noirs de la III° république.

    De fait, le monde a tourné autour de la France, autour de l'Europe, autour de l'Occident sans que vraiment ceux qui nous gouvernent et dirigent aient vu passer le temps, l'aient vu évoluer.

    Repliés dans leur quant-à-soi surtout parisien, eux et une partie de leur enfants et petits-enfants n'ont pas compris qu'il avait ainsi tellement changé, eux qui, en Europe de l'ouest, l'ont imaginé, l'ont fantasmé, ayant détruit, en ce qui nous concerne, la France sans l'avoir véritablement compris, en la désindustrialisant, en y détériorant gravement l'agriculture, en fermant les mines, se reconvertissant en une P1010727.JPGécologie et une économie monétariste contradictoires dont ils ne comprennent rien, à l'exemple caricatural de Mr. Hulot.

    Surpris dès la survenue du mouvement des gilettiste mais, surtout, que de ce que contrairement à ce que leur susurrait leur imaginaire, ce peuple révolté est intelligent.

    Et ce choc là leur a été majeur.

    La population française n'est plus cet être primaire dont ils se plaisaient tant à la concevoir et sa jeunesse, bien que naïve comme il en est de toutes jeunesses en tous temps, même si leur esprit n'a pas la tête bien pleine, n'en est pas moins, pour moi étonnamment, dotée d'une tête bien faite.

    Et même ceux qui, ayant vécu moult difficultés dans leur enfance dont il leur est ardu de se sortir, n'en saisissent pas moins des mécanismes mentaux délicat dès lors qu'ils leurs sont exposés dans l'évidence de leur simplicité.

    C'est cette confrontation d'avec des français jeunes et moins jeunes qu'il a découvert aux antipodes intellectuelles de ce qu'il concevait qui mena Monsieur Asselineau, de même génération que moi, aux excès qui sont décrits par Mathias Masclet dans cette vidéo.

    Ceci précédant et se surajoutant à son angoisse inconsciente, là également, de ce que l'UE€/USA puissent disparaître, comme j'ai pu l'expliquer dans mon billetP1020135.JPG précédent.

    Cet homme qui, contrairement à tous ses condisciples de la haute administration, avait remis en cause l'éternelle inaltérabilité de l'euro lors d'un rapport remis au président de l'époque, Mr. Sarkozy, se retrouvant dès lors dans un beau  placard.

    Puis qui créa un parti politique, l'UPR, parce que se rendant compte, après recherche des origines de l'union, que celle-ci fut créée par des officines secrètes US pour dominer l'Europe de l'ouest lors de la guerre froide, aidés en cela par d'anciens nazis reconvertis, puis de son ensemble européen dès 1991, pensait véritablement que les français, s'ils n'étaient pas des vaux, n'en étaient pas moins des sots ignares, se rendit ensuite compte qu'il n'en était rien.

    Ses conférences sur ce sujet n'en furent pas moins nécessaires, la constitution puis la contribution de l'UPR à faire connaître le France-quitte aussi, toutefois ce choc qu'il dut subir à se confronter à des personnalités dont l'intelligence le dépassait, lui qui se pensait au-dessus du lot parce que surplombant intellectuellement ses collègues, eux-mêmes se sentant comme le gratin intellectuel de la nation, ce qu'il recevait en confirmation en se confrontant aux journalistes cornichons et au personnel politique lambda, ne put que souffrir d'un trauma allant s'accroissant de sa relation au reste de la population.

    Ne comprenant pas que ses grandes capacités de mémorisation, sa culture, sa facilité P1010221.JPGà déchiffrer un rapport ainsi que d'en composer, est d'essence différente que d'aborder un problème complexe connu ou inconnu, d'en comprendre la nature et de s'y adapter au mieux suivant les circonstances, ceci en allant chercher les informations premières sans vraiment en creuser tous les enchevêtrements.

    Mais en les recomposant en un tout exploitable puis d'agir au mieux suivant les circonstances.

    Ceci différemment, bien sûr, suivant les approches de chacun, mais, ce qui est visible dans les vidéos, en osant la dispute de désaccords parfois irréductibles mais ce dont chacun convient avec autant de grasse que de mécontentement.

    C'est cela qui avait généré ce mouvement unifié, en ses débuts ce qui est normal, des gilets jaunes.

    De fait, sa confrontation d'avec un peuple qu'il ne connaissait pas, qui, sans le mépriser, le considérait très en-deçà de ce qu'il est en réalité, le conduisit à une rupture d'entendement dès lors qu'il se retrouva en sa présence, ceci d'autant plus que ceux auxquels il avait dès lors affaire étaient, pour la plupart, d'une classe-moyenne intermédiaire à haute cultivée au moins suffisamment pour savoir faire la part des choses et être en capacité d'une inventivité qui, là encore, le dépasse.

    Cette rupture d'entendement l'a progressivement déstabilisé, mais il aurait pu, le supputerais-je, s'y accorder avec le temps, sûrement avec difficulté il est vrai.

    Puis, peut-être plus avant qu'il y a deux à trois ans comme je le supposaisP1020279.JPG précédemment, aux alentours de 2012 et les événement grecs du gouvernement Tsipras voulant réformer l'euro, en but avec la troïka européiste, il avait compris que l'Union-Européenne s'autodétruisait, puis n'a pu que psychologiquement le refouler parce que, de ma même génération mais trop idéologiquement structuré, il ne pouvait pas imaginer l'échéance de sa disparition.

    Je conçois qu'il puisse être contradictoire de considérer Monsieur Asselineau comme ne pouvant pas accepter ce fait, or il s'agit là d'une confrontation entre une pensée consciente, la volonté de sortir le pays de l'UE, et un processus inconscient, celui de considérer l'union comme étant un projet glorieux dont l'existence ne peut être remise en question et encore moins en cause, ceci en une double contrainte.

    Du fait donc de ce double stress, UE et peuple français, il y a eu une opposition conflictuelle montante entre sa pensée logique et sa composition de sens, ce qui lui donne sens du monde en psychiquement le lui rendant compte, ce qui a généré en lui une anxiété allant grandissante, réduisant progressivement les mécanismes de ladite pensée et, du fait de cette mise en place automatique de sauvegarde de son cerveau, tout un ensemble d'action ne pouvant que conduire à la destruction de l'UPR qu'il considère, de fait, comme le pire ennemi, en France, de l'Union-européenne, puisque organisée.

    Mais aussi parce que c'est sa création et qu'il a une haute idée de lui-même et donc P1020242.JPGde son parti.

    Quand bien même cela le conduirait en  prison, pour le métabolisme de son encéphale il ne s'agit là que d'un seul but, sa propre sauvegarde en raison de cet immense stress que cela occasionne,  quels qu'en soient les effets à posteriori pour la personne, en un même mécanisme qui fait que nous risquons de nous endormir au volants d'avoir trop conduit puisque cela fragilise à la longue le fonctionnement des neurones.

    Vous remarquerez, par exemple, que sur le site de l'UPR n'est plus fait mention de l'union, des Amériques ou du reste de l'Europe et du monde où il y aurait beaucoup à en dire, mais seulement de Mr. Macron et du REM, ce qui est, pour son parti, absurde, ce serait comme si il fallait au plus vite faire changer de trajectoire à celui-ci avant le 28 Juin, jour de l'assemblée générale.

    Si ce que raconte Mr. Masclet est vrai et je ne vois pas quel serait son intérêt de raconter de ce qu'il a fait cas à l'UPR en tant qu'ancien membre du bureau national, ceci d'autant plus que lui et Mr. Baron n'ont à aucun moment exprimé un désaccord idéologique d'avec ledit parti;

    Alors je pense que les raison profondes qui font que Mr. Asselineau ait agit de la sorte sont celles dont j'ai fait état, sinon il y aurait trop de contradictions entre les décisions de le créer en 2008 avec tout ce que cela entend de difficultés de tous ordres que cela ne put que lui générer et ses actions présentes.P1000842.JPG

    Quand quelqu'un en chie pour constituer un parti politique à partir de rien, qu'il s'éloigne de fait avec son milieu pour cette raison même, il fait tout, normalement, pour qu'il se développe et pour parvenir à ses buts, et il ne le pourrit pas par des enfantillages, la vexation de ses cadres et des exactions stupides, ceci en le vidant de ses forces vives.

    Peut-être y aurait-il d'autres raisons que celles-ci, c'est possible, je suis ouvert à toutes autres possibilités, du-moins, je le répète, je ne me pose pas en juge et s'il doit passer devant un tribunal je ne serais en rien contre, mais m'essaie de donner du sens à ce qu'il paraît ici insensé.

    Quoi qu'il en soit, l'idée même d'un ou de plusieurs partis politiques France-quitte ne peut qu'être que la bonne, bien qu'une unification des volontés ne peut qu'être en tous points avantageuse.

    Mais il est possible maintenant que l'Union-Européenne se dissolve d'elle-même avec toutes les difficultés que cela entend, d'en préparer l'éventualité est tout autant souhaitable, ceci d'autant plus que nos élites zélées risqueraient fort, pour une majorité d'entre-elles, de décompenser plus gravement encore que ce qu'il en est pour le président de l'UPR.

    Imaginez alors le truc.

    Songez simplement à leurs très violentes réactions collectives à l'émergence des gilettistes, tant surprises de leur intelligence ont-elles elles-mêmes déclaré.

    Nous avons, d'une certaine manière, une double chance, Asselineau pète un câble et P1010616.JPGla pandémie au SRAS-COV-2 ne fut pas, pour la grande majorité de la population, si dangereuse que cela, bien qu'elle ait été extrêmement agressive pour la minorité qui en fut atteinte.

    Elle aurait pu être bien plus terrible que cela.

    Cette double leçon se doit d'être prise en compte.

    Et pour chacun d'entre-vous: faites vos réserves, l'économie aussi est en berne, comme le dirait un suisse.

     

     

    THEURIC

  • L'Union-européenne: l'angoisse de la séparation.

    Certains psychiatres pensent que l'inconscient n'existe pas.

    D'une certaine façon c'est vrai, mais d'une autre c'est faux.

    Nous donnons en effet des noms à des processus psychiques qui, de fait, sont globaux, et tous ceux qui ne sont pas conscients, c'est à dire qui ne franchissent pas la frontière de la pensée, comme étant inconscient.

    Mais en ce cas qu'est-ce que la conscience?

    Ne serait-ce donc pas ce qui détermine, en nous, notre présence en tant qu'Être par nous-mêmes de par nos pensées, c'est ainsi que j'ai compris cette avancée majeur de la philosophie: "Je pense donc je suis!".

    Mais cette pensée consciente, ce qu'elle est toujours, est comme la fine surface d'eau nous cachant les profondes abysses qu'est cet inconscient complexe, démesuré et de structure fractale.P1020168.JPG

    De fait, la pensée, qui  nous a permis de nous abstraire de la composante psychique archaïque de la préhistoire, séparant conscient et inconscient telle une fine membrane semi-poreuse entre l'un et l'autre, nous donne facilement l'illusion d'être à elle seule le réservoir de notre psyché, quand sa fonction ne consiste qu'à composer notre conscience en l'organisant et en l'harmonisant d'avec le reste des constituants de notre esprit qui, eux, sont majoritairement inconscient.

    Dont la résultante du travail ainsi réalisé, mémoriel compris, remonte à la surface, si je puis le dire ainsi, suivant les besoins momentanés de chacun, sauf à ce qu'ils ne soient refoulés, c'est à dire interdit, momentanément ou, parfois, définitivement, de rejoindre la conscience, de traverser ladite membrane semi-poreuse  qu'est la pensée, d'en remonter à son seuil.

    Là se trouve les origines  des névroses, voire de certaines psychoses telle que la perversité narcissique.

    Or, tout refoulement va conduire à une cascade de processus mnésiques conduisant à des biais cognitifs plus ou moins graves suivant leur importance, d'agir de façon dérisoire, puérile, néfaste et/ou perverse pour soi et/ou à l'endroit de tiers, menant à ce que le sujet n'en vient plus à expliquer ses démarches mais à les justifier puisque n'étant plus que le jouet somnambule de son inconscient.

    Etant entendu que d'être déjà conscient desdits refoulements, sans en comprendre lesquels, ne peut P1020446.JPGqu'en atténuer plus ou moins les effets.

    C'est en cela qu'il nous faut comprendre le pourquoi véritable de nos actes, actions et agissements, ainsi, souvent, ce n'est pas notre façon d'agir qui importe mais bien plutôt leurs raisons d'être.

    Nous pouvons observer en cela que notre pensée, qui est une avancée évolutive majeur pour notre espèce, n'en est pas moins, du fait de son jeune âge en terme d'évolution, d'une grande fragilité, ce que seule une éducation suivit d'une instruction harmonieuse peut aider à bâtir.

    Ce long préambule, présenté ici en préalable, est là pour vous faire mieux comprendre, amis lecteurs, les soucis que pose, en ce moment même, l'idée d'un France-quitte qui, parce que refoulé par, à mon sens, un très grand nombre de français, bien plus que majoritaire, mène la France à des difficultés jusqu'au sein même du parti politique qui le réclame: l'UPR.

    C'est, en vrai, la fragilité extrême de l'Union-Européenne et de l'euro, la réalité de leur inanité face à une quelconque crise, les coups de butoir de plus en plus violent qu'ils subissent, l'autodestruction de la monnaie commune par son hyper-production et les emprunts à taux négatifs par les états, qui, définissent leur fin prochaine désormais évidente.

    Sinon demain, du-moins dans un laps de temps relativement court, pouvant toutefois s'établir encore sur quelques années.

    C'est cette perception généralisée qui produit ainsi autant le déni de son existence pour un ensemble large du peuple, mais plus encore en la sphère médiatique, économique et politique, qui mène aussi aux troubles qui traversent en ce moment l'Union-Populaire-Républicaine.P1020133.JPG

    A un point telle que, moi-même, en ressens l'inquiétude à mesure que j'écris ces lignes.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, en ressentez-vous l’oppressante âpreté angoissante obscurcissant autant la raison que la cognition?

    Que ressentez-vous quand vous imaginez en vrai la France hors de l'Union-européenne et que, désormais, de ne plus parler de la puissance US que comme une vieille relique (ce qu'elle est déjà)? 

    Que vous sentiez en vous-même que l'Union-européenne ne soit plus, que les médiats ne parlent plus que des relations véritables entre les états européens, de devoir avoir votre passeport en poche pour franchir les frontières voisines et de faire, avant, un change monétaire?

    De ne plus à apprendre la langue anglaise devenue une comme toutes les autres.

    En sentez-vous la tension monté du ventre?

    Ce furent deux vidéos qui me conduisirent à cette réflexion, celle-ci de Fabien Sémat puis celle-là de Jean-Batiste Baron.

    De la première j'en avais fait une brève remarque le 13 Mai (en PS. en fin de texte) que je ne peux que corriger après avoir vu la seconde, découverte ensuite.

    De cette seconde je reste toutefois prudent, étant donné que son témoignage, indirecte, est de deuxième main, toutefois si ce qu'il raconte est faux il sait parfaitement qu'il pourrait très bien se retrouver devant la justice.

    Ces deux films montrent des personnes raisonnables et intègres qui racontent ce qu'ils savent de cette affaire en un double point de vu contradictoire mais, de ce qu'il me semble, complémentaire, en ce sens où, justement, les événements qu'ils décrivent montrent, à mon sens, un phénomène d'affolement mental collectif.

    Et la cause en serait cette angoisse quasiment généralisée, en France pour le moins, due à ce que l'Union-européenne, l'euro, mais aussi les Etats-Unis-d'Amérique, comme l'explique Charles Gave, se trouvent tous trois en grande situation de détresse., l'OTAN n'en étant que leur extension sans, ici, réelle importance.

    Au début, dès que j'appris ces événements, n'en ayant que l'avis d'une seule partie, je P1020266.JPGne pensais juste qu'il s'agissait d'une tentative classique en politique de renversement de Mr. Asselineau, bien que la présence de Mr. Brousseau au sein des conjurés me laissait perplexe, ayant soupesé la forte mais discrète personnalité du bonhomme.

    Puis, à la suite de l'intervention de Mr. Baron, considérant la manière absurde et perverse avec laquelle François Asselineau se serait conduit, si celui-là a bien relaté les faits tels qu'ils se sont produits, alors je ne peux pas ne pas considérer que, de fait, la même angoisse telle que décrite plus haut étreint le président de l'UPR.

    Possiblement en ce cas le but inconscient serait de défaire ce qu'il a lui-même construit en raison de ladite angoisse décrite auparavant. 

    Celle-ci le conduisant de plus à des erreurs politiques majeures, tel que de ne cesser de faire états des incohérences du Président de la République, bien réels il est vrai, sans pour cela viser au plus juste là où se trouve le nœud du problème électoral du pays, le Rassemblement National et son chef, Madame Le Pen, qui servent de repoussoir pour faire élire le prétendant oligarchique à la magistrature suprême, et pourquoi non plus de faire de même pour la France Insoumise.

    Ce qui, en outre, de taper continuellement dessus permettrait de se défaire définitivement de la sotte considération journalistique d'une impossible alliance desP1010743.JPG partis qui, pour ces deux-là, se diraient souverainistes, ce qui génère en moi autant d'agacement que de rigolade..

    En effet, éreinter le président du RN permettrait d'éviter que se poursuive la farce d'une extrême droite qui, si nous nous penchons de ce qu'elle a pu signifier par le passé, tant en acte, en destruction qu'en parole, n'en est plus, à l'image du PCF/FI d'aujourd'hui pour une gauche radicale, qu'une pâle copie de ce qu'elle fut d'antan, une ombre fantomatique en quelque sorte.

    De se défaire d'autre part de cette sérénade journalistique voulant que, suivant le médiat, l'UPR serait de mêmes eaux que le RN ou la FI.

    Ni l'un ni les autres ne voulant, en vérité, que la nation recouvre son indépendance pleine et entière, comme tous les autres partis siégeant dans les chambres délibératives, toujours à cause des mêmes mécanismes.

    Je ne pensais pas, en effet, que Mr. Asselineau put, tout autant que la majorité des français, souffrir ainsi inconsciemment de l'idée même de cette triple disparition qui, antérieurement fortement probable, n'en est pas moins devenue depuis lors certaines.

    Lorsque l'on sait que c'est lui qui avait mis en place ce mouvement de plus une décennie maintenant, il est incompréhensible de ce qu'il puisse agir de la sorte, sauf si des mécanismes irréfléchis et inconsidérés soient à l'oeuvre en une perte logique, en ce cas, de lucidité.

    Si l'on remonte dans le temps, je supposerais que leur commencement dateraient véritablement d'il y a deux à trois ans, quand l'euro tendit à perdre de sa valeur et P1020178.JPGque QE et emprunts à taux positifs commençaient à se mettre en place en UE.

    Sans compter d'une possible désorganisation de l'union encore discrète dont nous n'avons pas encore le compte-rendu mais dont les personnalités au fait de ce qu'il s'y passe connaissent et qui, pour la majorité d'entre-nous, est devenu visible dès le début de la crise sanitaire actuelle de part son inaction totale, d'où cette monté supérieure d'anxiété.

    Ainsi en ces choses de l'esprit nous ne devons surtout pas écarter ce qui pourrait sembler être des invraisemblances.

    Quand il est encombré de pulsions, de mémorisations, de structures, d'émotions, de tensions contradictoires indéfinies parce que refoulées, alors il faut envisager que les paradoxes actifs sont là parce que des mécanismes inconscients sont en jeu.

    Il en est, par exemple, d'hommes ou de femmes qui, aimant véritablement leur compagne ou leur compagnon, la ou le fuient d'une manière ou d'une autre dès lors que leur situation devient sérieuse, en refusant un mariage au dernier moment ou en ne voulant pas s'installer à demeure chez son amour au risque qu'elle ou il le ou la quitte...

    J'avais, il y a peu, envisagé que cette angoisse due à ladite triple disparition UE/€/USA, ad minima en tant qu'empire pour ce dernier, mènerait à des réactions excessives, contradictoires, de déni, hystériques ou pire..., plus ou moins enP1030063.JPG déconnexion d'avec la réalité.

    J'avais même suggéré que ce phénomène toucherait tout autant des adhérents de l'UPR, il est probable même que cela ait atteint les deux camps de ce conflit.

    Si cela se révélerait exact, alors cela voudrait dire que la proportion de français qui, d'une manière ou d'une autre, sont tourmentés par ce fait dudit triple affaiblissement présageant la disparition des deux unions et de cette monnaie, dès lors d'un France-quitte automatique, serait alors énorme et bien plus que majoritaire.

    Il est même, en ce cas, probable que la sixième république survienne, comme il en fut pour la troisième, plus par surprise que par un choix délibéré et lucide du peuple et d'une partie de ses élites, voire à ce que cela se fasse dans le bricolage le plus total, en une rétrogression que, jusqu'à présent, nous poursuivons avec une sorte de méticulosité logique collective nous faisant remonté au temps de la guerre de 1870 et de ses effets nombreux.

    Ce conflit au sein même de l'UPR  montre dès lors que notre position à tous sur l'existence de l'union et de ce qu'il s'en suit est complexe.

    J'émets l'ensemble de ces idées pour poser une opinion que je conçois comme étant P1020871.JPGoriginale en son double sens, étend entendu que ce que j'expose ici n'est ni un jugement, ni un réquisitoire, ni la défense de quiconque mais juste une réflexion sur une situation donnée.

    Je laisse à chacun ses choix et ses positions, de penser mon approche sensée ou insensée, j'y expose juste mon avis et sans plus, à vous de juger et jauger si, en cela, j'ai raison ou tort.

     

     

    THEURIC 

    PS.: Vous trouverez dans ce billet du site Jacquehenry les raisons pour lesquels nous fument claquemurés chez-nous, ce qui, par le détour, appuie mon hypothèse selon laquelle l'effondrement des USA et, dès lors, de l'UE€, suivent un processus en miroir, donc similaire inversé, de celui qui prévalu de l'URSS et du pacte de Varsovie.

    Je viens de comprendre qu'il s'agit là des notions politiques de droite et de gauche, ce qu'il va me falloir creuser.

  • Cher Charles Sannat, lequel de l'état ou de l'union serait-il notre vampire?

    Ce billet a de base un commentaire que j'avait déposé sur le site "Vu du droit" dont j'ai partiellement changé le sens originel ainsi que le développé.

     

    Suite à l'un de vos derniers billets relayé par Businessbourse, je vous propose que nous fassions de la politique voulez-vous, cher Charles Sannat, en analysions la situation de ce seul fait et, ici, je vais revenir sur ce sujet en résumant notre véritable situation que j'ai pu traiter  tout au long de mes pages.

    Je vous apprécie, cher Monsieur, oui, oui, je vous apprécie, vous qui, à mon sens, êtes de ceux qui, en dynamique sociale, la sent le mieux et, en économie, ne dit pas trop de sottise.

    Mais, comme aussi la majorité de tous ceux faisant votre métier, vous oubliez cette moindre petite chose qu'est l'existence d'un fatras fait d'une union, d'un euro, d'un empire thalassocratique US et d'une oligarchie française que Monsieur Todd ditP1020964.JPG strato (c'était une bévue) stato-financière.

    Pourquoi, plutôt que de critiquer un état et son administration asservis, facilement remplaçable pour le premier, ne le faites-vous pas au sujet de nos maîtres?

    Pourquoi ne rendez-vous pas compte des fortunes que doit verser la France à une union où chacun de ses acteurs se paie grassement ainsi sur notre dos, elle qui, de plus, montre une criarde inefficacité dès lors que la moindre crise survient.

    ( Je fais un copier d'une partie de texte écrit ici:

    Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en France au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur est Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels, soit de cette économie dite réelle, en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    P1010457.JPGAllemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne ou de la République Tchèque est la plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est la plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est la plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?P1030298.JPG

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Quels sont les pays véritablement ruinés? )

    Certes, nos impôts sont devenus des tonneaux des Danaïdes, mais, justement, pourquoi ne pas aller au cœur des problèmes et de ne pas en montrer les pourquoi véritables, autant de cette gabegie que de cette flemme d'une administration devenue, pour l'essentiel, que de celle coloniale de nos dominants, comme il en fut de celle indienne quand l'Inde était une colonie britannique.

    Ils ne font rien, certes, pour beaucoup d'entre-eux, mais c'est parce qu'aucun n'a à décider, ou en des marges si réduites, qu'ils ne songent plus qu'à leur carrière et à leur compte en banque plutôt que de leurs responsabilités devenues du néant.

    Ainsi, nous ne pouvons pas poursuivre une quelconque politique économique de la nation sans P1020910.JPGque notre souveraineté pleine et entière soit rétablie au sein de nos frontières, ce qui est loin d’être d’évidence pour tous, là s'en trouve le pire.

    L'est-ce pour vous-même?

    La libre circulation des biens, capitaux et personnes, en étroite corrélation d’avec les traités définissant l’Union-européenne, rien que cela, déjà, nous en empêche.

    Ceci accentué dans le même temps, en plus desdits traités, d'un ensemble idéologique ordo et néolibéral accepté par tous les partis politiques siégeant dans les assemblées délibératives, plus les GOPEs devenus obligatoires depuis quelques années au risque sinon d’amendes importantes pour les pays qui ne les respecteraient pas, sans compter un euro qui, du fait de son formalisme, accentue plus que de raison nos difficultés.

    D'évidence, parce qu’il faut l’accord de tous les chefs d’état et de gouvernement pour réformer l’union, celle-ci est, de facto, irréformable et, en raison même de ce fait, vouloir la réformer et en être dans la capacité ne peut que mener mécaniquement à son autodestruction en raison des désaccords tant politique, économiques, monétaires, géopolitique et géostratégique qui ne peuvent que survenir en ce cas entre les pays de l'union.

    C’est bien parce que Monsieur Gorbatchev avait voulu amender l’Union-Soviétique que l’URSS explosa en vol, ceci en raison d’un mécanisme purement automatique.P1030473.JPG

    Pour faire vite, trois forces apparaissent et se combattent, réformatrice, conservatrice et contestataire du système, ce dernier, en raison des tensions politiques s’accumulant provenant des deux autres, tendant à devenir extrêmes, prend de la puissance puis en vient à détruire ce système politique devenu fragile, si ce ne sont pas les deux belligérants qui en viennent à l'anéantir par leurs conflits.

    Mais faudrait-il encore reconnaître ce fait pour que nous nous en dégagions: nous sommes sous le joug de l'Union-Européenne et de ses formalisme abscons et stupides, dirigée en même temps par les Etats-Unis-d'Amérique ainsi que par l'Allemagne, qui se combattant tous deux en secret, et tous nos problèmes viennent de là!

    Dès lors, soit l’on veut que le pays reste dans l’UE, mais en ce cas les questions économiques, législatives, d'impôts et de tant d'autres ne se posent plus, sauf à ce que l’on reste dans la rêvasserie ou le mensonge, soit l’on veut vraiment régler toutes les questions qui se posent à nous, auquel cas il ne peut y avoir d’autre moyen que d’en sortir.

    Pour l’instant, toute autre prise de position sur ce sujet ne peut que se retrouver, en toute logique, caduque.

    Je me dois de préciser la chose suivante:

    P1030257.JPGA cause de l’unilatéralité idéologique de la classe politique officielle, soit celle siégeant à l’Assemblée Nationale et au Sénat, à quelques détailles près, cela va de soi, les notions de gauche et de droite, qui, historiquement, sont liées à la relation au pouvoir du temps, royauté, bourgeoisie, religions, militarisme, capitalisme et autres… n’ont plus cours tant que nous ne retrouvons pas notre souveraineté, puisque le pouvoir d'aujourd'hui c'est l'union.

    C'est pourquoi je dis depuis des années qu'en France au moins il s'est produit un effondrement idéologique et, dès lors, politique.

    Les droites étant définies dès le début comme appuyant ledit pouvoir, la gauche luttant contre, le centre étant la recherche d’équilibre entre ces deux perceptions sociétales, à l’image de la sociale-démocratie d’antan.

    Puisque considérant que, désormais, c’est l’Union-Européenne qui détient les pouvoirs sur la nation, à quelques détailles près là encore, et qu’elle est de fait irréformable, sauf à la détruire, que, de plus, ne siègent aux assemblées délibératives que des personnes ne remettant pas en cause l’union, puisque la remettre en question lui serait destructeur, ce que, de plus, chacun déclame, soit vouloir la réformer, sans jamais vraiment y joindre du geste à la parole, sachant que cela est, en vrai, irréaliste.

    ( Le pouvoir grec actuelle, celui de Mr. Tsipras, en étant l'exemple le plus frappant depuis 2012, lui qui cru pourvoir, justement, réformer l'UE s'y est cassé les dents avec logique: cette organisation savait très bien que si cela survenait elle se déliterait inéluctablement. )

    Ainsi et du fait de cette impossibilité de sa régénération, mais aussi du déni de son existence par l'élite de la nation, qui suit dans le même temps les ordres de l'UE viaP1030098.JPG les GOPEs (ce qui montre chez-eux un collectif grave biais cognitif) nous ne pouvons donc en conclure que tous ces partis politiques que nous pouvons dire officiels sont de droite (ce qui a une certaine saveur), ceci d’autant plus de leur unilatéralité doctrinale les rende tous soumis, soit, du RN au PCF en passant par FI le PS, EELV, l’UDI, LR et bien sûr le REM des radioéléments.

    Tout les autres partis politiques voulant que le pays sorte de l’union, avec ou sans l’activation de l’article 50, sont dès lors de gauche, avec, modérés, sans, radicaux.

    Il ne saurait y avoir de centre en notre situation.

    De plus, étant donné qu’aucun article n'est prévu pour la sortie de l'euro, ne sachant si, comme pour l’UE, il faut l’accord de tous les états membres pour le réformer, alors, de fait, vouloir sortir de la monnaie commune ne peut que se faire que par celle de l’union.

    Il est à considérer aussi que ladite monnaie est devenue étroitement liée à l’Union-européenne, ne sachant jusqu'à quel point.

    Le reste n’étant, à mon sens, que pipi de colibri.

    Ainsi dites-vous, Monsieur Sannat, qu'il nous faut être prêts à toutes les éventualités P1020886.JPGet, en ceci, je vous l'accorde grandement, vous avez raison, toutefois la disparition de l'Union-Européenne se devrait aussi d'être pensée, tout comme il peut en être de concevoir celle de la thalassocratie US qui nous montre, chaque jour, ses faiblesses de toutes sortes allant s'accroissant.

    Que nous, les français, en sortions, qu'elle se délite d'elle même, que l'Allemagne en sorte la première (après les britanniques) en emportant avec elle ses satellites, telle que la République Tchèque et la l'Autriche (à l'hôte riche) entre-autre, ou qu'elle se désagrège par je ne sais quel artifice impérial, comme le fit l'URSS des pays du pacte de Varsovie entre 1987/1989, en cela, peu nous importe, mais ça pourrait se produire à n'importe quel moment.

    Dès lors de ces considérations, je trouve grandement dommageable que vous détourniez ainsi le regard de vos lecteurs en ne les préparant pas, ou si peu, à une disparition qui, sans préparation intellectuelle préalable (une préparation  est toujours préalable, hi, hi, hi) pourrait générer, pour certains d'entre-eux, un choc pouvant se révéler de l'ordre du trauma.

    Ceci d'autant plus que vous savez très bien que c'est de détenir la grille de lecture la plus précise possible qui permet à chacun d'entre-nous de percevoir au mieux les évolutions du probable au possible de notre situation.

    A ceci de rajouter que j'ai une absolu confiance dans les capacités de notreP1030199.JPG pays de rebâtir un tissu industriel, agricole et minier efficace et pérenne en un laps de temps relativement court, encore faudrait-il, d'abord, que nous nous sortions de ce piège stupide et mortifère qui a de nom l'Union-Européenne et l'euro.

    Mais pour cela d'en parler, encore et encore, ne peut qu'en être, pour l'instant, que de notre seule nécessité présente, puisque, pour d'autres actions, nous nous retrouvons corseté par ces traités et ce quintuple pouvoir français, exécutif, législatif, judiciaire (de manière moindre), médiatique et oligarchique tendant à une façon de totalitarisme mou et vasouillard.

    Mais quant bien même ce billet ci-dessus y montre ce désaccord de fond que je ne peux qu'avoir avec vous, je ne suis en rien du droit de vous exhorter de parler de ce en quoi vous ne souscririez pas, du-moins y ai-je exprimé là où se situe notre divergence.

     

     

    THEURIC

  • Les choses de l'esprit: le faux sentiment de facilité, l'enfantillage.

    Il se dit que la différence entre le XVIII° siècle et aujourd'hui c'est qu'à l'époque avec des moyens dérisoires nos anciens avaient des buts grandioses quand aujourd'hui avec des moyens grandioses nous n'avons plus que des buts dérisoires.

    Ce qui est le plus fascinant en notre période c'est qu'il nous est possible de nous instruire d'une foultitude de sujets du passé comme du présent, de suivre, voire de prendre parti lors de disputes entre professionnels, mais de s'apercevoir qu'au plus haut de notre société ce fait ne semble pas être la norme.

    En effet, pour pouvoir faire des choix, décider, organiser, ordonner en période de crise, comme il en est de celle sanitaire en voie de résolution, certes, faudrait-il d'abord avoir le bagage de connaissance nécessaire pour pouvoir absorber et comprendre le nombre d'information survenant à grande vitesse, d'être dans la capacité d'en prévoir les implications probables, puis de décider au plus vite.

    Mieux encore, de prévoir en avance sa survenue puis d'agir, là encore, enP1020881.JPG conséquence.

    De ne pas, de plus, écarter les gens capables, ceci parce que l'incompétence craint toujours les plus compétents qu'eux.

    Puis que, pris dans la panique de l'indécision et de son incompétence devenu de ce fait notoire, de ne faire que répéter, en supplique à son mysticisme dogmatique, en le caricaturant, les mêmes actions mais accentuées qui conduisirent à la situation déplorable passée, conduisant à celle pire qui est nôtre maintenant.

    Mieux même, de ne pas faire comme notre gouvernement, de ne pas savoir se remettre en question, de ne pas percevoir, pour chacun, le très bas niveau de ses capacités véritables.

    Tout en tablant sur le fait que, d'avoir été pourvu, comme il en fut d'avant 1789 d'une bonne lignée généalogique, d'un cursus prestigieux, acquis quelques diplômes de haute facture, d'avoir été élus de longue date, ne  pouvait que déterminer ces acteurs politique de l'état d'avoir l'efficacité la plus totale.

    Puis de se rendre compte, lorsque survient la catastrophe, que leur parfaite incompétence, rendue momentanément invisible le mois suivant les élections nationales par le simple fait qu'ils n'avaient, jusque-là, que d'obéir aux injonctions des GOPEs provenant de l'Union-Européenne, mènerait la France au bord de sa banqueroute et de la guerre civile dès lors que la situation les mèneraient à devoir véritablement choisir et agir.

    Sauf à ce qu'il faille un Quotient Intellectuel important pour ainsi faire une telle remise en question de ses choix et de ses décisions, ce à quoi je ne souscris pas, je conçois que chacun d'entre-nous, sauf ceux souffrant  d'un crétinisme profond ou d'une psychose (telle que la perversité narcissique), est dans la capacité, au moins P1030521.JPGpartiellement, de cette remise en question qui, je le sais, ne peut qu'être que douloureuse.

    Ceci d'autant plus que le leurs dits acquis intellectuels se devraient de les mener à cette réflexion approfondie qui, en amont de toute prise de fonction, se devrait d'être la première de leur responsabilité: "Suis-je apte ou non à la fonction que l'on m'offre, et si non, suis-je en capacité de me développer, de m'améliorer pour avoir l'aptitude de l'assumer?"

    C'est pour cette raison même que moi-même ne ferais jamais de politique agissante, même en tant que simple militant de base.

    Qu'il en soit de la politique comme de toute autre fonction sociale, mais surtout politique, journalistique et économique, il est visible que cette faiblesse consistant à ne pouvoir utiliser ses connaissances et son expérience pour pourvoir à la résolution d'une crise d'une quelconque importance traverse, d'une manière plus ou moins grave, les plus élevées des hiérarchies des sociétés ouest occidentales où, au discernement, s'est substitué le dogmatisme le plus obtus.

    Qui, dans notre gouvernement  et sur les bancs de l'assemblée nationale et au sénat se serait posé cette simple question: "Suis-je à même d'avoir les capacités d'être désigné en tant que ministre ou éligible en tant que député ou sénateur de la nation?"

    Pays nordiques, anthropologiquement spécifiques, Suisse, hors de l'Union-P1030021.JPGEuropéenne, Allemagne, dirigée par des anciens de la RDA, Hollande, qui n'a d'intérêt pour l'union que de ses propres avantages, et Portugal, se situant à l'extrémité sud-ouest de l'union, tous ceux-là y compris mais de manière moindre, la pandémie au coronavirus SRAS-COV-2 démontre, par le nombre de morts, les manques criant d'intelligence réactive des pouvoir exécutifs et législatifs de ceux qui furent les pays de l'ouest, France, Espagne, Italie, Grande-Bretagne, Irlande, Grèce, tous ces pays qui se retrouvent, à cause même de l'UE, gravement désindustrialisés et, disons le, en ruine.

    Suivant en cela le même chemin que leur mentor, les Etats unis, se retrouvant dans une situation pire encore que la nôtre.

    S'il fallait en définir simplement au mieux les raisons, je dirais pour ma part que son origine se trouve dans la puérilité desdites élites de ces pays qui, bien qu'ayant sûrement accumulé une masse de connaissance importante, n'en sont pas moins dans l'incapacité d'en  faire un usage éclairant et utile.

    ( Le gouvernement de la Grande-Bretagne, lui, est dans l'état particulier d'un entre-deux de sa refondation en raison de son brexit, la France, quant à elle, n'est pas encore, toujours dans l'UE, d'être dans la capacité de pouvoir l'amorcer, mais auquel l'Italie semble s'ancrer, ensuite l'intendance intellectuelle suivra pour tous trois.)

    Ce simple exemple que raconte le docteur Violaine Guérin en est symptomatique.

    P1030089.JPGCes élites obéissent, elles ne savent que faire cela, d'ailleurs, hormis Boris Johnson et son équipe qui dut batailler ferme face aux universitaires pour pouvoir faire sortir sa nation de l'union et celles italiennes qui surent faire appel à des puissances hors Europe en raison de la pandémie, les autres suivent les désires des uns et des autres sans autre idée de comment faire gouvernement.

    Ce ne sont que des enfants qui suivent les directives sans vraiment en comprendre le traître mot.

    Bien entendu, il s'agit maintenant de définir en quoi ce sont des enfants ou, pour rares d'entre-eux, des pervers narcissiques.

    Il s'agit de faire la distinction entre l'adulte qui, l'âge venant, apprend de la vie en utilisant pour cela toutes lesdites connaissances et l'expérience accumulées, de la grande personne qui ne peut être dans la capacité d'ainsi évoluer au fil du temps et qui, quoi qu'il se passe dans sa vie et apprend, reste immobilisée par sa structure infantile passée, quelle qu'en soit les raisons.

    Il s'agit donc de personnalités immatures que nous pourrions dire seulement obnubilées par les seuls principes de plaisir, c'est à dire que par de la seule jouissance.

    Tel que l'oligarque contemplant avec plaisir le chiffre de son compte en banque bienP1030145.JPG rempli d'un argent qu'il ne dépensera jamais.

    D'un PDG d'une entreprise pharmaceutique qui, d'un ego démesuré, veut absolument mettre en vente un vaccin à un prix important pour une maladie pandémique que des médicaments peu chers peuvent guérir, entre appât du gain et perversité.

    D'un ministre qui ne reçoit que des réponses simples à des problèmes qu'il ne peut pas comprendre et qui s'en angoisse et auquel on dicte ce qu'il doit dire et faire, mais ravi du poste qu'il occupe, qui s'en délecte.

    D'un journaliste content de ne faire, écrire et dire que ce qu'il lui est intimer, parce qu'il lui est impossible de faire autre chose, abusant, là encore, du mensonge et de la perversité, mais jouissant de ce que son nom, sa voix et son  visage soient connu.

    D'autres exemples peuvent ainsi être déclinés où, au-delà de tout ce que j'ai pu démontrer, la base de nos difficultés se trouve être à ce que, à la direction de notre nation, ne se trouve le plus généralement que des gens qui n'ont de mode de pensée que celle de leur enfance.

    C'est ainsi que 50% des professeurs émérites votèrent pour Monsieur Macron au premier tour, ceci parce qu'ils reconnurent en lui leur semblable: un enfant incompétent et jouisseur d'une manière primaire mais déconnecté de toute réalité, d'esprit de responsabilité, de raison et de vertu.

    P1030571.JPGCe qui est le cas de tous ceux qui votèrent pour lui, sauf des vieilles dames qu'il faisait fantasmer.

    Vous trouverez dans mon texte précédent les raisons d'être de cet état de fait.

    Toutefois j'y rajouterais ceci: les outils informatiques donnent l'impression qu'ils offrent toutes les réponses aux questions que nous nous posons.

    Or, ledit outil ne fait que quatre choses, nous divertir, nous donner des informations, les déterminer plus justement en contrecarrant la propagande et la censure et nous aider à nous exprimer et à communiquer.

    Mais le jour où il nous répondra directement aux question que nous nous poserons il ne sera plus utile, simplement parce que devenu trop complexe, il fera des erreurs.

    L'informatique n'est qu'un outil et sans plus, un succédané d'une intelligence qu'il ne peut détenir mais qui peut nous aider à développer la nôtre propre.

    Mais c'est  bien parce qu'il nous semble détenir toutes les vertus que nous croyons qu'il contient toutes les réponses, ce qui mène à de la flemme intellectuelle.

    Ce serait comme si nous ne tenions pas le clou avant de l'enfoncer dans le mur parce que le marteau cloue n'importe quelle pointe.

    Le livre nous permet d'acquérir une grande culture, l'informatique, au travers duP1020050.JPG WEB,  qui en est son extension, nous permet, quand à elle, de découvrir ce qui, sinon, nous serait ignoré, mais aussi, je l'ai dit, de nous y exprimer tant par le son que par l'écrit, connaîtrais-je sinon la Chanteuse Marguerite?

    Alors, amis lecteurs, si le mot culture recouvre autant celui du sol nourrissant le corps que celui du savoir nourrissant l'esprit ce n'est pas pour rien, et autant l'informatique nous permet de découvrir ce que nous ignorions, autant l'ouvrage, lui, nous permet de profondément comprendre de quoi il s'agit.

    Alors, sinon que de devenir sages, commençons d'abord par devenir savants.

    Et pour notre nation, songeons à comment nous allons faire pour remplacer tous ces enfants qui nous gouvernent et qui, à la moindre anicroche, paniquent ne sachant que faire en écoutant le moindre gourou qu'ils décrètent conseillé-expert.

    Et le reste du temps s'admirent devant leur miroir déformant en obéissant qui à DC la folle US, qui à ceux leur étant supérieurs en France ou supposés tel ou munis de belles paroles, qui à des agents bruxellois, qui, tous,  pareillement infantiles, suivent les consignes de leur dogmes obtus sans même vraiment comprendre de quoi il s'agit, n'en en étant totalement incapables.

    Songez que cette crise sanitaire n'est pas la cause de celle économique qui arrive et il P1030600.JPGest à prévoir qu'à la vue de la manière avec laquelle notre équipe de branquignol à pu gérer celle d'aujourd'hui, celle qui s'approche les mènera à tous les travers possibles et imaginables, pire que précédemment et pour nous à des difficultés gravement redoublées.

    Alors, faites vos réserves...

     

     

    THEURIC

  • Les choses de l'esprit: de la sottise en héritage.

    Il est bien de rechercher les causes premières antérieures aux difficultés que nous pouvons rencontrer.

    Ainsi, la sottise tant de nos élites politiques, économiques qu'intellectuelles et artistiques, bien que n'étant pas totale, loin de là, n'en est pas moins majoritaire, ceci d'autant plus que c'est cette majorité qui détient la direction politique,  économique, intellectuelle et artistique de la France.

    De plus, ce processus ne concerne pas seulement notre petit hexagone mais quasiment toute l'Europe mais de manière moindre, sauf à quelques exceptions près la Russie, la Suisse, plus un ou deux pays nordiques et quelques-uns des anciens de l'est qui réagirent avec infiniment plus d'efficacité.

    Et c'est bien l'ouest européen qui en est le plus atteint, d'autant plus, d'une façon caricaturale, la France.

    Mais d'où se tirerait donc l'origine de cet abêtissement d'une partie non restreinte deP1030018.JPG ce qui devrait être la fine fleur de la nation?

    D'une question existentielle qu'il se posait dès la sortie de la seconde guerre mondiale et qui, ne recevant de réponse concrète jusqu'à aujourd'hui, réponse formulée maintenant par Emmanuel Todd*, en est venu à pervertir l'intelligence des plus hautes classes sociales: "Comment se fait-il que l'un des peuples le plus civilisé au monde (l'Allemagne) en ait pu en arriver à de telles atrocité (les exterminations massives)?"

    *( La réponde de Mr. Todd  étant qu'il y a un moment de rupture culturelle pouvant s'exprimer violemment dès lors que la religiosité d'un peuple descend en-dessous d'un certain seuil, ce qui était le cas pour les français de la grande région parisienne au XVIII° siècle et pour la Germanie du début du XX°. )

    De cette sottise collégiale, que, jusqu'à présent, je ne faisais qu'intuitivement supposer, je peux, dorénavant, la démontrer au sujet de notre oligarchie strato-financière et de notre gouvernement.

    Etant entendu qu'une démonstration ne peut en rien être une preuve directe, toutefois celle-ci permet-elle d'avancer des pistes de recherche, ici historique, en psychologie des groupes et anthropologique.

    Alors, quelle est cette réflexion me permettant de faire une telle démonstration?

    Elle m'est venue cette nuit où, me réveillant, m'est venu cette idée: nos oligarques n'avaient et n'ont aucun intérêt à empêcher le traitement, d'hydroxychloroquine doublé de l'azithromycine proposé par de Professeur Raoult pour lutter contre le P1030256.JPGSRAS-COV-2 et de soutenir mordicus sa dangerosité, ce qui est le mensonge d'état le plus  incroyable de notre modernité, tout cela via le gouvernement, les médiats et les institutions de recherche médicale, empêchant les médecins d'effectuer tant des tests de la population que ce traitement pour la soigner.

    Ceci en l'attente de l'évaluation de l'efficacité du remdésivir du laboratoire étasunien Gilead qui se révélera totalement déficient.

    Dont personne ou presque en France n'aurait pu tirer, quoi qu'il en soit, de quelconque bénéfice, là se trouve la folie de cette histoire et ma base réflexive.

    Tout cela en une forfaiture de première importance qui n'a servi que de faire monter une incroyable colère populaire.

    Or, hormis quelques-uns d'entre-eux qui auraient eu un petit peu d'actions dudit laboratoire, pourquoi donc leur faut-il refuser par tout les moyens, tant du fait du gouvernement aux ordres oligarchiques que de celui des médiats, que les français soient soignés de cette façon?

    Il n'y en a aucune raison probante.

    Qu'ils se retrouvent dès lors contraints de nous cloîtrer chez-nous, menant alors le pays à d'ahurissantes complications économique pouvant mener à une crise d'une telle violence que cela pourrait bien nous conduire, effectivement, à la disparition de l'euro, détruisant de là même l'Union-européenne (ce dont même Georges Sorros s’inquiète), tout autant que de leur fortune d'ailleurs.

    Nous menant de plus à une crise économique d'une telle violence que nous risquerions de nous retrouver à faire face à cette disette et famine que nous ne connaissions plus depuis près de deux siècles.P1030166.JPG

    Claustration déstabilisant jusqu'à l'Allemagne.

    Dès lors que nous prenons en compte cette question évoquée plus haut, toutes les affirmations dérisoires, les empêchements scientifiques, intellectuels, philosophiques, les errances politiques, économiques, artistiques deviennent compréhensible par ce simple fait qu'en réponse à celle-ci, fut formulé inconsciemment ce qui suit:

    " Puisque d'être détenteur d'une haute culture, d'un tel degrés de civilisation, mène aux atrocités de l'Allemagne nazi (ce qui, nous l'avons vu, est faux), alors pour être civilisé il faut ne pas être cultivé et donc de devenir de parfais imbéciles en redevenant des sauvages."

    Dès lors que ce paradoxe conceptuel s'est mis progressivement en place, gravement accentué par notre imprégnation de la basse culture de l'empire US, notre colonisateur, alors tout le reste  des imbécillités de notre époque, dont je n'ai eu de cesse que d'en donner des exemples, en découle.

    La perte d'identité des classes sociales les plus hautes venant accentuer d'autant cette situation déjà calamiteuse, peut-être même l'une se déduisant de l'autre.

    Là où la pandémie actuelle est révélatrice, bien plus qu'il pourrait en être de toutes autres billevesées et autres sornettes hypothétiques si nombreuses qui sont exprimées, ce révélateur, donc, se comptabiliserait, donc, au taux de mort qui, dans chaque pays du monde, mais surtout dans ceux occidentaux, s'égrainent en raison P1020047.JPGde cette maladie au vilain virus, c'est le niveau de perte civilisationnelle, culturelle, d'humanisme, d'intelligence, donc, des élites de chacun d'entre-eux que cela révélerait.

    Ce manque d'humanité que démontre le docteur Gérard Delépine lors de son intervention dans le site vidéo Putsch Live: "Le confinement répond à un désir d'humilier la population".

    En cela, cette avanie collective est, à mon sens, le marqueur le plus fiable de l'affaiblissement tant de la pensée, de la raison, des connaissances, de la perception temporelle, tant historique que du futur, et, dès lors, d'intelligence, d'humanité, de leur identité et de leur détermination d'Être de cette majorité des élites des nations où le plus de décès dû au COVID-19 est à déploré.

    Bien qu'il se doit toutefois de relativiser cette vision, puisque certains de nos voisins, le gouvernement italien surtout, surent réagir avec cette humanité et cette vigueur, sans fausse honte, contrairement à ce qu'il peut en être de notre gouvernement, en appelant à l'aide tous les états en capacité d'aider le peuple, Chine, Russie, Cuba, Egypte..., contrairement de ce qu'il en fut pour ceux de l'Union-Européenne dont les italiens ne reçurent nulle réponse à leurs SOS, quand bien même au début de cette crise sanitaire celui-ci commença par de mêmes erreurs que nos macronistes-philippards de tous poils.

    Reconnaître ses erreurs, ainsi que le fit le gouvernement britannique qui, après s'être rendu compte que son service médical ne pouvait absorber le choc du nombre de malades, se retrouva devant confiner, lui aussi, sa population, mais en le lui annonçant sans lui mentir des raisons, sans prendre les britanniques pour desP1030447.JPG enfants, est, pour moi, l'une des preuves, sinon la preuve la plus éblouissante, que cet esprit de raison que nous a légué nos anciens n'est en rien laissé lettre morte.

    C'est pourquoi je dis et affirme résolument que là où sévit le plus important abrutissement au plus haut de la hiérarchie sociale c'est aux Etats-Unis-d'Amérique, en France et peut-être même en Espagne.

    Aux USA, justement, où il est loisir d'y observer, via les vidéos, des événements plus que curieux, le particulier prenant sa voiture, parfois de bonne facture, pour aller chercher de quoi se nourrir..., montrant la situation désespérante de ce pays (je conseillerais à ceux de nos compatriotes qui y sont expatriés de revenir en France au plus vite si possible).

    C'est à nous, gens du commun, désormais, aidés en cela par ceux qui, du plus haut de cette hiérarchie sociale, ne souffrent que de peu ou pas de cet abêtissement, qu'il nous revient de recouvrer cette flamme faite d'humanité et du plaisir de la curiosité, de la découverte et du savoir qui manque tant à la tête de notre état.

     

     

    THEURIC       

    P1010503 - Copie.JPGPS: Une ridicule tentative de putsch  eut lieu à l'UPR en l'essai de renverser François Asselineau.

    Je m'attendais à quelque chose de cette sorte mais ne m'en avais pas exprimé, pensant que son président en avait pris les devants.

    De fait, en une façon de leçon salvatrice, il vaut mieux que cela survienne maintenant plutôt que dès lors que ce parti politique atteigne un niveau de popularité plus important qui lui permettra de prendre le pouvoir.

    Cette tentative fleure bon le pervers narcissique, tant de son culot, de la stupidité de sa mise en oeuvre, de la manière avec laquelle certains cadres de ce parti furent manipulés que de sa non prise en compte de la force de caractère de son président.

    Il est à considérer, comme me confortant dans cette appréciation, que les accusations proférées par le fomenteur de ce complot soient à l'image de sa propre conduite, ceci conté par Fabien Sémat, qui en est cadre, justement, en ces deux mêmes vidéos, la plus courte, la plus longue.

     

    PS2: Une odeur de souffre fut sentie à Paris et sa banlieue le 10 Mai, soit à la date anniversaire du début de déclenchement de l'offensive allemande sur la France en 1940, qui conduisit, après cette défaite française, à ce que le gouvernement de Pétain fut mis en place à Vichy, inféodé à l'Allemagne hitlérienne.

    Qui survint la veille aussi du début du commencement du déconfinement de laP1030280.JPG population.

    Le souffre représentant le diable dans l'iconographie de l'époque médiévale, également que l'expression "sentir le souffre" renvoie autant à une situation semblant prendre mauvaise tournure que d'une personne dont on ne peut pas avoir confiance.

    De part cette triple symbolique, ce phénomène ne peut pas être anodin et ne peut qu'exprimer, à mon sens, soit une mise en garde d'une catastrophe quelconque, soit l'annonce de difficultés avenir pour des franciliens, soit un événement important survenant en Île-de-France, soit un chamboulement rapide, pourquoi pas politique, soit un mixe complexe de ces quatre éventualités.

  • Les choses de l'esprit: l'agoraphobie.

    Si je traite de ce sujet maintenant c'est en raison de mon sentiment d'urgence que vous comprendrez, que de sortir de chez-vous puisse vous causer quelques douleur ou non.

    Ayant remis le texte que je vous promettais à plus tard.

     

    Tel que j'avais pu vous l'exposer  le 27 Avril au sujet de notre déconfinement, nous sommes, plus ou moins, naturellement envahis par des angoisses à l'idée de retourner dehors après environ deux mois d'être resté chez-soi.

    Hier matin je suis allé marcher au marché et, quelques temps auparavant, j'ai senti une tension, une inquiétude due au fait que, justement, j'allais sortir de chez-moi.

    Puis, lors de cette réflexion me posant, si je puis dire, ce diagnostique, j'ai pressenti que je ne devais pas être le seul dans ce cas, loin de là.P1030007.JPG

    Ce phénomène, je l'ai dit, est naturel, ceci d'autant plus d'une pandémie que l'on nous dit, dans les médiats, sûrement récidivante, ce que nombre de professionnels contestent, en un seul exemple où vous y comprendrez l'historique de notre confinement;

    Nous nous retrouvons, de fait, tout autant à percevoir plus ou moins intuitivement que notre monde dedans lequel nous vivions il y a encore peu de temps en vient à vaciller gravement, nous qui le sentions déjà en phase de délitement avant même l'advenue du SRAS-COV-2, que bien que nous ne connaissons que celui-là nous en venions à le détester, ressentant qu'il ne pourra pas perdurer encore longtemps, sans que nous sachions de quoi notre futur sera fait réellement.

    Or, d'une certaine manière, quittant ce mode honni mais reconnu, de nous retrouver confiné, nous nous sentions ainsi en sécurité cloîtrés chez-nous de ne pas voir ainsi notre univers se chambouler, en une sécurité illusoire, j'en conviens, mais rassurante.

    Cela étant accru par lesdits médiats et, au travers d'eux, l'oligarchie strato-financière qui les détient, ainsi que du gouvernement, qui n'eurent que de cesse d'accroître notre frayeur pour que la majorité d'entre-nous reste le plus longtemps possible chez-eux.

    La raison en est simple à comprendre: du fait de leur immense impéritie lors de cette crise sanitaire, de ce que la plupart des français a plus que du ressentiment à son égard, ce qu'Emmanuel Todd a compris, faire de manière à ce que son plus grand nombre de gens ne sorte pas de son habitation,  tout en tentant de faire P1030281.JPGrepartir la machinerie économique, leur est devenu leur enjeu majeur du moment.

    Ceci en prolongeant l'effroi populaire en cette épidémie.

    Souvenez-vous de ce que je vous avais exposé par le passé, toute soumission est la résultante de la double activation complexe de ces deux émotions primaires que sont la colère et la peur se retrouvant en relation confrontante de blocage et dès lors d'obéissance, ce qui fait que ladite soumission tombe quand ces alarmes ne sont plus en relation de conflictualité paralysante ou que l'une ou l'autre disparaît.

    Mais au-delà de cette tentative de manipulation dans le but chimérique de nous asservir dans leur crainte que nous nous révoltions, reste toutefois la question de nos craintes légitimes en un bouleversement sociétal d'importance.

    il est à envisager qu'infiniment plus encore que les exactions policières envers le mouvement populaire des gilettistes et des divers manifestants, soignants venant en réaction à l'appauvrissement du système de santé, dont des hôpitaux, ainsi que du projet de réforme des retraites, de la tendance totalitaire du gouvernement français et de l'oligarchie, l'ensemble des ministères européens ne purent qu'être horrifiée par l'incompétent amateurisme dont notre gouvernement fit preuve lors de cette crise sanitaire.

    Il est même possible que tous, d'une manière ou d'une autre, envisagent de seP1020775.JPG défaire de l'union, voyant que la France tend, désormais, à les attirer vers le fond de la faillite généralisée en raison de l'incompétence grandissante, foncière, de son gouvernement et de son président.

    Qui sait quelle bévue feront-ils encore?

    Telle est la question ne pouvant que se poser un  petit peu partout dans le monde mais, surtout, en UE.

    Je me demande même si, ayant fait une relative erreur dans mes considérations, même l'Allemagne n'aurait pas décidé, possiblement avant le début de cette crise, de se retirer de l'UE.

    L'idée de la double disparition de l'Union-Européenne/euro et des Etats-Unis-d'Amérique est, par essence, angoissante, parce que cela représente un chamboulement sociétal de première importance, c'est pourquoi tant de monde dans ces mêmes médiats, mais aussi sur le WEB, n'évoque jamais l'existence même de l'union.

    Les effets des décisions du pouvoir exécutif, mais aussi législatif français, que chacun soit pour ou contre celle-ci, ne pouvant que conduire de fait, à terme, à sa disparition.

    Dès lors, il est logique de penser que, en même temps que de ne même pas citer son nom marque une façon de la protéger en la cachant, cela signe aussi, et peut-être surtout, un comportement d'évitement provenant d'un tourment majeur, plus ou moins inconscient, de concevoir la disparition de l'UE€, et dès lors de se protéger de P1020873.JPGce futur choc.

    A tout cela, l'évidence de problèmes économiques liés à ce confinement de plus de la moitié de la population mondiale mène aussi à une toute autant intense anxiété.

    Pouvant aller jusqu'à l'arrêt du fonctionnement de l'économie-monde purement et simplement, ce que, là encore, nombre de personnes ressent, ne sachant, de plus, jusqu'où tout cela pourrait aller.

    Alors, de ces futurs chamboulements sociaux, politiques, économiques, de ce vers quoi la société va et que nous ignorons tous, s'il c'y rajoute des faiblesses psychologiques personnelles, ce qui m'a mené à ma solitude d'aujourd'hui, qu'une forme ou une autre d'agoraphobie, soit la peur des milieux ouverts et/ou du grand monde autour de soi, soit présente, plus ou moins fortement suivant chacun, ne peut ni ne doit nous surprendre.

    Et la meilleurs façon de s'en soigner c'est de la comprendre, d'en saisir les origines au cas par cas, d'en être conscient, et, si ce phénomène est puissant, de s'en désensibiliser progressivement en se forçant à sortir de plus en plus longuement et, pour les cas les plus graves, de commencer par l'imaginer de chez soi avant de faire le premier saut dehors.

    De ne pas repousser, de plus, les émotions, images mentales, chanson, mot ou expressions venant à l'esprit, puisque ce sont eux qui guideront ceux en souffrant ainsi, ces remontés mnésiques en  appelant à être décryptés.

    La vie n'est pas un rêve éveillé baigné de douceur, elle est telle qu'en elle-même, gracieuse parfois, âpre ou terrible aussi.P1030668.JPG

    Nos sociétés humaines sont en pleine mutation, elles ont évolué, certes, mais la nôtre d'évolution de chacun d'entre-nous nous mène a des difficulté, nous nous retrouvons à ne pas vraiment être adaptés à la société que nous avons nous-mêmes bâtie: nous sommes toujours autant chasseurs-cueilleurs, cultivateurs-éleveurs que d'une modernité que nous peinons de suivre.

    Ceci accompagné par un égarement de notre identité qui amplifie nos incompréhensions de ladite mutation, thème que vous retrouverez plus loin sur mon blog.

    C'est pourquoi s'agitent en nous des forces inconscientes que nous avons des difficultés à définir: cela parce qu'il nous faut faire un pas en arrière pour que nous recommencions d'aller résolument vers l'avant.

    Et si nous nous retrouvâmes en nos logements c'est bien parce que ces forces inconscientes firent émerger un archétype de notre inconscient collectif similaire pour tous les peuples de la terre affin que nous nous retrouvions nous- même en nous-même.

    Le monde change comme il se dit, cela est vrai, tout comme il peut en être pour nous, mais bien fou celui qui pourrait dire comment cela se fera, c'est çà qui P1030271.JPGangoisse, alors préparons-nous au moins à l'imprévisible, à nous y adapter.

     

     

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  • Aphorismes!

    Je vous renvoie, pour ceux qui ne les ont pas lu, mes quatre séries d'aphorismes auxquels je n'ai apporté aucune modification hormis cet avant-propos.

    La situation politique actuelle semble évoluer à grande vitesse, je n'en ferais état que quand celle-ci se sera déterminé d'une manière ou d'une autre.

    Mon seul but ici est juste de faire comprendre à mes lecteurs que la ronde du monde n'est pas telle que nous pourrions croire, quand bien même ferais-je parfois erreur, ce que j'ai déjà exprimé part ailleurs.

    Les temps qui viennent peuvent nous entraîner vers les passions collectives, seule la conscience que nous en avons peut nous permettre d'agir en toute clarté du choix.

    L'esprit humain moderne est ainsi fait que la partie de nous-même la plus profonde est si tant oubliée qu'elle peut nous conduire à l'action et à la réflexion, sans même que nous nous en rendions compte, ne faisant dès lors que de justifier ce que nous faisons et pensons, sans même que nous puissions saisir les raisons desdites actions et réflexions.

    Le texte qui suit, enfin normalement, traitera du fait que, adultes, nous ne sommes pas des enfants vivant dans le pays de Jamais-Jamais de Peter Pan, Pan étant la divinité archaïque des grecs anciens dont la flûte est la représentation instrumentale la plus ancienne qu'il soit, retrouvé par des archéologues en os.

    En attendant ce nouveau texte,P1010825.JPG je vous représente mes aphorismes publiés en 2014, puis en Septembre 2018, le dernier en date, le quatrième, ayant été produit en 2019.

     

     

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  • Seconds aphorismes.

    Voici le second de mes trois séries d'aphorismes, celui-ci écrit en Mai 2015.

    Je vais, comme pour le premier, aller voir si des coquilles ou des imprécisions ne s'y cacheraient pas.

    A l'époque ce fut un exercices intéressant qu'il me faudra un jour reprendre.

    Tiens, je vais même tenter d'en recomposer quelques-uns.

    Le tout premier de cette série est l'un de ceux qui m'amuse le plus parce qu'il fait P1020261.JPGécho à lui-même.

    Pour le troisième, vous attendrez un peu.

    Bonne lecture.

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  • Troisièmes aphorismes et quelques billevesées.

    Voici la troisième série d'aphorismes que je fais remonter des limbes du passé.

    Je laisse pour partie le préambule d'origine, vais un petit peu réorganisé ce billet puis corriger la définition que j'avais donné de ce que peut être que la valeur d'une monnaie.

    J'y rajoute, de plus, quelques définitions, plus un approfondissement d'une série d'hypothèses sur la causalité, thème que j'avais déjà abordé il y a quelques années.

    Que j'aie tord ou raison importe peu, l'importance étant que mes diverses approches puisse faire réfléchir chacun d'entre-vous, amis lecteurs.

    Ainsi, toutes publications, telles que celles ici même, n'appartiennent plus à l'écrivain dès lors que le premier lecteur en prend plus que connaissance, se l'approprie de par sa lecture.

    Ce n'est pas que je me débarrasse de mes idées, tout au contraire,  je les partage, là se trouve le secret de toute écriture, quelle soit matériellement publiée sur papier ou au sein  de quelques mémoires virtuelles, virtuelles parce qu'étant la résultante de flux électroniques et de processus mémoriels établis au-dedans de mécanismes quantiques et purement mathématiques et, ce, sur des matériaux aussi infiniment P1020429 - Copie.JPGpetits que complexes.

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  • Quatrième aphorismes.

    Je reprends cet exercice pouvant se rapprocher d'un art, portant la concision de l'expression de l'idée à son extrême achevé.

     

    Un aphorisme, de sa concision, est l'expression d'une idée laissant libre le lecteur de sa propre réflexion, à lui d'en jauger et juger de sa justesse.

    Tout savoir n'a d'utilité que de par sa pratique et de son usage.

    Tout conseil et toute idée ne sont que des pistes de réflexions.

    Celui qui oublie la profondeur de l'esprit ne sera plus que sa marionnette, quand bien même en certifie-t-il le contraire.

    Le chemin véritable de la liberté est de comprendre ses propres contraintes, la solitude en étant une.

    En tant qu'être grégaire, nous ne saurions vivre sans contrainte au risque, sinon, de disparaître d'une mort sociale, psychique ou physique.

    Une religion peut être, comme toute institution, pervertie, faut-il être naïf de croire le contraire.

    Une philosophie n'ayant pas de substrat pragmatique ne peut qu'être que sans grand intérêt.

    Il est de la plus extrême importance de ne pas confondre croire et savoir, mais croire savoir est bien pire.

    Ce n'est pas d'affirmer son doute qui importe vraiment mais de mettre celui-ci au centre de ses réflexions tant qu'elles ne sont pas corroborées par des faits tangibles observés dans le temps.P1030012.JPG

    Il n'est de vérité que toute personnelle.

    La sagesse c'est de savoir qu'elle n'est toujours que toute relative.

    L'existence des biais cognitifs, tout comme de la folie, est la manifestation sensible de la jeunesse évolutive d'Homo Sapiens Sapiens.

    Ce qui est caché ou invisible est perdu.

    L'Europe et l'Amérique-du-Sud ont ceci en commun que leur domination impériale par les États-Unis-d'Amérique a stoppé leur évolution, ce qui ne reprendra que quand ce dernier aura disparu.

    Il ne peut y avoir de pensée politique concrète si l'histoire et la géographie ne sont pas comprises dans leur essence.

    L'on confond souvent liberté, indépendance et autonomie:

    -la première  est de comprendre ses propres contraintes (nous l'avons vu);

    -la seconde est de penser et d'agir de et par soi-même;

    -la troisième est la résultante d'être pleinement adulte.

    P1030464.JPGCe sont, dans l'esprit, les mêmes que dans les années 30, de par leur aveuglement, leur lâcheté et leur dogme, qui laissèrent à Hitler le libre champ de ses exactions, que de ceux qui, aujourd'hui, gouvernent l'Union-européenne et de tous ceux qui les suivent et leur obéissent.

    Il y a un aspect suicidaire chez tous ceux qui soutiennent l'Union-Européenne, quelles qu'en soient les raisons, quelle que soit leur classe sociale, quelle que soit leur citoyenneté.

    Être déterminé veut autant dire de connaître et reconnaître son identité que d'avoir la volonté dans l'action et la pensée, l'un ne pouvant aller sans l'autre.

    Le choix existe, il est rare et bref, mais est pleinement déterminant dans notre existence.

    Le futur est incertain et parfois potentiel.

    Le cryptage sur internet nous permettrait, nous est-il dit, de protéger toutes les informations sur notre identité, mais de tous les temps toutes serrures surent être forcées.

    Pourquoi donc vouloir faire des vols à main armée quand il ne suffit que d'apprendre  la programmation informatique pour voler de l'argent en prenant beaucoup moins de risque?

    Un végan c'est un âne qui mange du foin.P1030150.JPG

    Ceux qui disent vouloir sauver la planète se devrait, d'abord, de songer à sauver leur intelligence.

    En 1990 le GIEC annonçait que tous les glaciers auraient fondu à l'orée du XXI° siècle, j'attends toujours, c'est étonnant comme les simples d'esprit ont peu de mémoire.

    Il est criminel d'instruire les enfants de faussetés quand cela est fait d'une manière délibérée.

    Un oligarque de tous temps est un imbécile et un voleur, que l'on croit brillant, détruisant la société qu'il asservit pour s'enrichir et qui pense que son pouvoir durera éternellement, rêve pour quelques-uns, cauchemar pour les autres, puis avanies pour tous.

    Il y en a qui déclarent que l'Être Humain est le cancer de la vie sur Terre, pourquoi donc ne se suicideraient-ils pas, cela ne manquerait-il pas de logique?

    Le journalisme est dit le 4ème pouvoir, oui, pour une infime minorité des gazetiers.

    Pourrait-on m'expliquer la différence entre les musiques des peuples chasseurs-cueilleurs et le rap?

    La qualité des programmes télévisuels est inversement proportionnel au nombre de chaînes proposées.

    P1030431.JPGComment les gilettistes peuvent-ils croire au réchauffement climatique anthropogénique dont la propagande essentielle provient des mêmes médiats qui n'ont de cesse que de propager des mensonges sur leur compte?

    La concomitance est d'importance pour comprendre les dynamiques sociales, politiques et historiques du moment, mais il faut bien faire attention de ne pas confondre avec ce qui n'est dû qu'au seul hasard.

    La majorité de la population angoisse à ce que l'empire US disparaisse, non pas pour ce qu'il est mais pour ce qu'il représente, non pas la paix, la richesse ni la puissance, mais le libre cour à l'infantile rêverie du paradis terrestre, quand bien même tournerait-il au cauchemar.

    La vengeance est un plat qui se mange froid de bien mauvais goût.

    Hier on pouvait vendre sa salade pour une poignée de cerise, aujourd'hui c'est hors de prix, c'est ça l'inflation.

    Pour toutes choses les débuts sont simples mais on ne les comprend pas vraiment, ensuite elles se développent et on les comprend de mieux en mieux, puis elles périclitent et on ne les comprend plus, ce n'est que quand elles disparaissent que l'on peut en saisir la substance.

    P1030325.JPG

     

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