Il est de fait que le monde dedans lequel nous vivons semble nébuleux, confus, embrouillé, flou, obscur, filandreux, désordonné, enfin bref, que nous avons le sentiment de ne rien y comprendre.
Je me suis donné le travail de le rendre compréhensible, de dégager de tout ce fatras le socle solide suffisant, au fur et à mesure que je le découvre, pour que vous, amis lecteurs, puissiez, comme moi, commencer à percevoir la claire réalité au-dedans de ce capharnaüm.
Il s'agit donc de donner du sens à ce qui n'en a pas.
Au début de ce billet je vous renvoie vers une adresse où il vous sera possible d'observer que ce cloaque social a, entre-autre, d'origine un empire aujourd'hui déclinant, les États-Unis-d'Amérique, ceci pour prendre le contrôle de la population européenne.
Afin que, comme je l'ai fait, vous puissiez remonter aux origines, à l'une des causes premières, peut-être la principale, de nos difficulté: le besoin impérial des U.S.A. d'agrandir ses possessions après avoir conquis l'Amérique-du-Sud et, ce, dès les années 50 à la suite de la guerre 39/45.
Mais ce système est progressivement devenu fou car à force de rendre crétines les populations, les descendants de nos crétinisateurs (néologisme) en sont devenus plus stupides encore.
A ceci il faut y rajouter le fait de l'existence d'une union, l'Union-européenne, que, quand elle n'est pas dissimulée, est présentée comme ne pouvant pas être quittée au risque, sinon, des pires malheurs, sans que quiconque, vous le remarquerez, ne puisse en expliquer les mécanismes.
Il se dit ainsi que de refermer les frontière mènerait à la guerre, à la pauvreté, au chaos politique..., pourquoi, comment, par quels mécanismes, personne ne peut le moins du monde l'expliquer, ce qui est normal puisque il ne s'agit que de faire peur au peuple.
Quand en fait quasiment toutes nos difficultés proviennent de notre appartenance à l'U.E., et que l'on vienne tenter de me prouver le contraire que je m'amuse...
Les questions écologiques par groupes de pression interposés sont de même ordre.
Déjà, combien d'écologistes déclarés se sont instruits des bases scientifiques nécessaires pour les comprendre?
Physique, chimie, biologie, minéralogie, préhistoire, climatologie, logique philosophique, connaître et reconnaître un nombre minimal de plantes et d'arbres, d'animaux, insectes, oiseaux, reptiles, mammifères, de champignons, ..., la liste est très longue de ce que le moindre adhérent à l'un des partis se devrait de s'instruire, au risque sinon de se laisser manipuler et berner par des oligarques anglo-saxons.
Ne penser qu'à ce fumeux réchauffement climatique anthropogénique, par exemple, ne peut qu'empêcher que de véritables et graves problèmes écologiques ne soit perçus, tel que l'existence des plastiques inutiles (les pailles et coton-tige entre tant d'autres) ou les effets de la 4G sur les insectes et les éoliennes sur les oiseaux.
Tout cela et le reste, que vous aurez le plaisir de découvrir, le long de mes pages, de ce que la bienpensance absurde déverse en vomissure dans les médiats officiels trouble naturellement nos esprit puisque cela entre en dissonance d'avec la réalité, cela parce qu'il y a toujours une petite voix qui nous susurre au fond de nous même: "C'est faux ce que l'on te raconte, c'est totalement faux!", quand bien même n'en aurions-nous pas conscience.
C'est pourquoi certains en viennent à réfuter tout et n'importe quoi, allant jusqu'à arguer que la Terre est plate ou n'importe quelle sottise de cette sorte.
Vous remarquerez que les médiats français ne cessent de critiquer la Russie et la Chine de la façon dont ils gèrent les manifestations populaires quand, envers les gilettistes, la police française en fit, en cela, soit autant, soit infiniment pire.
Cet aspect psychotique du journalisme officiel montre, là encore, le désordre mental collectif dedans lequel se trouve les trois quarts de la classe-moyenne supérieur, celle qui est la plus mentalement touchée par cette perte de cohérence des concepts sociaux.
Et c'est bien parce que nombre de gens parlent de déclins de la France, de l'Europe, de l'Occident et de que sais-je encore, que je fais ici plutôt état d'une déchéance, celle du néolibéralisme, de l'empire étasunien et de leurs porteurs.
Avant que vous ne poursuiviez cette lecture, je vous recommanderais celle-ci qui bien qu'elle soit longue et qu'il faille en rester un petit peu prudent, montre toutefois une hypothèse intéressante aux origines de notre abrutissement et qui remonte aux années 50.
Moi-même pensant que cet arrêt de notre intérêt pour la découverte et la monté de la crétinerie a commencé à la même période mais pour des raisons complémentaires, traumas social suite à deux guerres mondiales, surpopulation non préparée par des sociétés humaines inadaptées et, là, ça devient intéressant, notre domination par un empire, les États-Unis-d'Amérique, qui en aurait accru le processus par une manipulation de la population sur le temps long d'après ce billet, ce qui me paraît d'une certaine cohérence, au vu par exemple des spectacles débiles US proposés à la télévision.
Vous remarquerez que les inventeurs de ce système sont soit devenus très vieux, soit devenus très morts.
Mais venons-en à l'intitulé de ce papier.
Il y a un an de cela, j'avais publié un libelé (à la belle fleur de pissenlit) traitant de la ressemblance entre ce que furent les dernières années de l'URSS et ce qu'il est possible d'observer du délitement grandissant des USA, ceci corroboré par moult vidéos comme celle-ci aux U.S.A..
Mais à cette réflexion purement intellectuelle, je viens ici y apporter quelques observations.
La semaine dernière, donc, je suis parti en des vacances autant délicieuses que nécessaires dans le sud de la France, dans une région de basses montagnes où, à la forêt remplaçant les prés et les champs d'antan (ça faisait des années que je n'y étais pas allé et la paysannerie, là-bas, s'y meurt), des routes sinueuses y relient maisons seules, petits villages et gros bourgs.
A l'abord de l'une de celle-ci, quelle ne fut pas ma surprise d'y voir un panneau y étant écrit "attention, route gravillonnée".
En soi il n'y a pas là grand mal, sauf que cela me faisait me souvenir quand, vers 14 ans, j'avais accompagné mes parents en Allemagne-de-l'Est (RDA ou DDR) dans les années 70, et où, sur les routes, le même type d'avertissement était loin d'être rare.
Il revient en effet infiniment moins cher de répandre de petits cailloux sur la chaussée en périodes chaudes que de les ré-goudronner.
Il est à souligner que 25 000 ponts en France sont en mauvais état sur 240 000 environ et c'est le journal Le Monde qui l'affirme, ceci en faisant référence à celui qui s'était effondré en Italie, sans faire le rapprochement, vous le remarquerez, entre cette catastrophe italienne, la situation française et notre appartenance à l'Union-Européenne.
Nous ne pouvons pas tout demander à un tel quotidien, n'est-ce pas?
Ceci sans compter la décrépitude du réseau ferré dont j'avais déjà expliqué le mécanisme dans: "Des services publics et ceux en réseaux" écrit en Mai 2018, dont déjà en 2005 il y avait été fait cas dans les médias, sans que rien ne semble avoir été effectué de réparation majeur jusqu'à présent.
Il est à remarquer la double tendance de justification et de dissimulation des différents acteurs, ceci pour cacher la réelle et triple origine de ces problèmes, l'idéologie, ce dogme religieux néolibérale eurolâtre, l'incompétence au plus haut de la direction et notre appartenance à l'union mortifère.
Il n'est pas seulement du chemin-de-fer et des route qui nous montre la déliquescence de l'européisme béat, des signes plus subtiles l'indiquent aussi.
Ainsi, fumeur, ai-je découvert une marque de cigarette, d'autant plus française, ayant, d'après le buraliste, beaucoup moins de produit chimique que celle que je fumais habituellement.
Voulant en avoir le cœur net, j'ai voulu comparer la composition de ces deux marques d'herbe de Nicot en tube papier.
Las, je me suis aperçu que depuis l'obligation légale de remplacer les logos de ces paquets par des photos imbéciles montrant des gens dans la souffrance d'un abus tabagique, cette liste approximative des produits chimiques avait disparu, ce qui, vous en conviendrez, est contradictoire si, comme c'était annoncé à l'époque, c'était dans la volonté de diminuer le nombre de fumeur.
Alors je me suis demandé s'il ne s'agissait pas là d'une sottise ou d'une escroquerie du pouvoir exécutif, sachant que les ligues de vertu anti-tabac n'en ont rien dit, ce qui en dit long de leur nature.
Parce qu'il y a en cela trois possibilités:
-Soit ce ne fut fait que pour supprimer cette liste de composition sous couvert de santé publique, ceci pour que les tabatiers puissent y mettre n'importe quelle substance en n'importe quelle quantité (ce qui voudrait dire au pire de la prévarication ou au mieux(?) de la faiblesse politique);
-Soit c'est le résultat de la stupidité du ministre qui, à l'époque, avait mis ces paquets en place sans songer un instant à cette liste dans le texte du décret puis, ensuite, aurait laissé faire pour ne pas perdre la face;
-Soit ce serait parce que ces gens nous prennent pour des crétins en pensant que l'émotion générée par ces photos serait plus importante que l’intellect, en ce dernier cas cela aurait voulu dire d'obliger les fabricants, par la loi, d'une énumération exhaustive, écrite en gros, des produits mélangés au-dit tabac.
Quoi qu'il en soit, cette affaire démontre, là encore, le terrible délitement au plus haut de la société française.
Mais revenons un instant, je vous prie, au parallèle entre la fin du bloc de l'est et notre situation présente.
Quand le pacte de Varsovie se trouva définitivement forclos en 1989, les économistes invités à la télévision ne cessaient tous de disserter sur la situation déplorable d'une majorité des entreprises de ces pays qui, de fait, n'étaient, pour beaucoup, pas rentables.
Je ne sais plus si elles étaient dites zombies mais l'idée était là.
Or, justement, un nombre sûrement important des entreprises occidentales sont désignées par ce sobriquet en raison de leur facilité pour obtenir du crédit et de leur fragilité affligeante.
Autant à l'époque la déficience de ces usines est-européennes provenait du fait que c'était l'état qui se chargeait de renflouer celles qui n'étaient pas bénéficiaires, autant aujourd'hui ce sont les taux négatifs qui leur permettent de s'endetter au-delà de leur faible rendement, sans que leur dirigeant n'ait à chercher à les moderniser.
( Je vous avoue ne pas comprendre les mécanismes qui lient les taux négatifs à ceux qui empruntent aux banques centrales une flopée de monnaie, les QE, qu'ils vont, à la suite, prêter cet argent aux états qui en rembourseront moins au bout du temps de ce prêt, 3, 5, 10, 20 ans ou plus, ce sont les "taux négatifs".
Alors essayons-nous d'y réfléchir ensemble:
Déjà, si les crédits, immobiliers et aux entreprises par exemple, sont aussi bas aujourd'hui c'est que les taux de ces prêts aux banques par les banques centrales le sont plus encore.
Nous pouvons dès lors nous dire que la masse monétaire en circulation dans le monde doit être impressionnante puisque les banques centrales prêtent à tout va à taux très bas pour que les pays, donc aussi les entreprises, soient subventionnés, ici par le privé, à un taux également réduit, et que, comme dans le même temps les opérations spéculatives sont de moins en moins sûres, le report de ces opérations vers les états mène à ce que ceux-ci doivent en profiter pour baisser leurs taux d'emprunt jusqu'à en être négatifs, les spéculateurs payent pour prêter, ce qui réduit mécaniquement les dettes des pays.
Cela provenant de la désindustrialisation mondiale, que j'avais vu venir en 2016 et devait avoir débuté entre 2014 et 2015, menant maintenant à une récession, ou, plutôt à ce que cette récession en est devenu tellement évidente que les professionnels les plus obtus et stupides le comprennent.
Donc pour tenter de sauver la situation les banques centrales inondent le monde de la finance de monnaie à un prix très bas pour que celui-ci prête aux particuliers, aux états et aux entreprises, ceci pour tenter de faire repartir une machinerie économique déjà largement en panne.
Et la boucle est bouclée.
J'y rajoute que l'hélicoptère monétaire est discuté, c'est à dire le déversement de monnaie dans nos compte en banques en plus que celle pour les banques, pour que nous puissions acheter, mais à l'importation et non pas ce qui est fabriqué sur notre sol, cela ne servira donc à rien.
Sauf à ce que ce soit gravement inflationniste et ne peut qu'être qu'une décision désespérée et inutile. )
Là où ça devient intéressant c'est que les monnaies, pareillement à ce qu'il en était dans le bloc de l'est, ont perdu quasiment toute valeur, avant en raison de la différence concurrentielle économique entre l'est et l'ouest et la course aux armement, aujourd'hui parce que les déséquilibres économiques et industriels entre le nord et le sud et l'appauvrissement continuel des classes-moyennes Occidentales chinoises et indiennes, les seuls acheteurs en masse des productions manufacturières, oblige les banques centrales à déverser dans le monde une quantité océanique de billet (majoritairement électronique).
Je vais maintenant faire état d'une idée dont je n'ai pas vraiment de preuve, juste de forts soupçons intuitifs.
Cela provient d'une banque dont il me fut difficile de me domicilier correctement, m'y étant pris par trois fois, ceci en raison de la succession dont je vous avais déjà fait cas auparavant.
Cette idée la voilà: une partie de la société est en phase de désorganisation.
Ce phénomène que j'ai repéré via cette banque, semble surtout se porter en région parisienne (j'habite maintenant en petite province) et, ce qui ne me surprendrait pas, dans les quatre à cinq grandes villes du pays et de ses alentours.
Je n'ai pas, en effet, entendu parler de déboires analogues là où je vis maintenant, ce grand reste du pays largement délaissé de la province.
Cette désorganisation est, là encore, à mettre en parallèle avec ce qu'il se passait au sein de ce qui fut l'URSS et dans les pays du pacte de Varsovie ou, par un effet Peter absolu, soit la monté en puissance des incapables au plus haut de la hiérarchie sociale, les pays de l'est se sont lentement désorganisés (à l'exemple de Macron et consorts ici).
C'est l'incompétence monté au pinacle qui mène en effet à l'effondrement d'un système politique: n'a-t-il pas été entendu que ce qui a le plus surpris notre classe dirigeante ce fut que les gilettistes aient pu se révéler intelligent?
Ce qui montre et démontre la perception absolument fausse de la nature des classes sociales basses de la part des 3/4 des classes-moyennes supérieurs et, osons le mot encore une fois, de leur plus grande stupidité.
Comme tous les incompétents, certains d'entre-eux voudraient les chasser de la société, de peur qu'ils ne prennent leur place, oui mais, le problème est qu'un pays n'est pas une entreprise et on ne chasse pas comme ça la majorité d'une population, alors il se dit dans ce tout petit milieu que, si on pouvait tuer quelques-uns des gilettistes, cela calmerait peut-être les autres.
Après que j'aie publié un papier le 9 Août d'un foutriquet ayant de nom Laurent Alexandre, parangon d'un eugénisme envers les plus pauvres, une pauvre vieille fille de 70 ans, Hélène Pilichowski, cousine de François Hollande qui, à la suite de Luc Ferry, ce philosophe de pacotille, en vient à annoncer devant des journalistes acquiesçant que, pour elle aussi, autoriser la police et l'armée à descendre des manifestants (remarquez la vulgarité de l'expression sûrement repris en boucle par les mêmes) ne serait pas plus mal.
Il est de fait que dans ce milieu cela se dit et se discute sans une ombre d'hésitation et que sa dérive fascisante se fait dorénavant en plein jour.
Cela ne peut que montrer que cette sphère sociale a perdu autant tout esprit démocratique, de valeur humaine, de moralité, de vertu, d'éthique, ne leur restant plus que de celle de classe dedans lequel ils se racornissent en ne pouvant qu'entrainer leurs enfants et petits enfants dans leurs méandres totalitaires et meurtrières.
Ces anciens des révoltes estudiantines de Mai 68 qui clamais haut et fort leurs désirs de liberté en en venant, devenus vieillards, à se claquemurer, devenus paranoïaques, dedans des certitudes imbéciles, transgressant et avilissant de fait ce qui avait construit leur jeunesse.
J'avais, il y a des années de cela, présagé dans ce blog que, quand le système économique monétariste globalisé (aujourd'hui j'y rajouterais l'Union-Européenne et les USA) en viendrait à fortement se fissurer, la classe dirigeante, journalistes officiels compris, commencerait à dériver vers une crise psychotique les menant à des réactions démentielles, nous pouvons en constater en effet les débuts.
Il n'est pas loin de penser que ce phénomène puisse toucher l'ensemble des partis politiques présents dans les hémicycles français et bruxellois, ainsi que de ceux qui sont au sein du pouvoir exécutif de France et d'Union-européenne, voire dans tous les pays de l'U.E., hormis bien sûr quelques rares personnalités sortant du lot.
C'est leur monde fantasmatique qui disparait et, avec lui, leur toute puissance, d'où leur violence à l'égard de ceux qu'ils considèrent comme de la valetaille, soient nous-mêmes, et même si un quart d'entre-eux environ s'échappe de cette chape de plomb, les autres ne feront qu'accroitre leur frénésie: plus que leur existence sociale, c'est leur survie mentale qui est en jeu en raison d'une angoisse d'une puissance inouïe provenant de la disparition progressive de leur univers.
Je n'ai fait que de vous proposer quelques exemples de ces stigmates démontrant la déchéance de cet ensemble composé d'une idéologie politique, l'intégration européenne en une union défaillante, d'une économique, le néolibéralisme, et d'une instabilité psychosociologique foncière du plus haut de la société française, ce que nous pouvons très bien étendre à l'ensemble des pays de l'UE.
D'autres vous sont peut-être bien à votre porté, moi-même n'ayant fait que retranscrire ce que j'avais pu observer de plus perceptible.
Il est vrai que, par le passé, j'avais pu montrer que peu d'économistes abordaient les questions industrielles qui, plus que monétaires, sont essentielles pour une nation, ou que nous sommes plongés dedans un brouillard conceptuel fantasmatique ressemblant énormément à celui autour duquel un pervers narcissique vit.
Ici j'ai voulu surtout montrer que ces signes peuvent aussi se percevoir dans la vie du tout les jours, quotidienne ou pêchée dans les médiats.
Les plus jeunes qui suivent ainsi les aînés de ces classes dirigeantes ne comprenant pas où s'en trouve le mal, puisque depuis des années on leur raconte que c'est le bien, seront désorientés dès lors que ce système se sera définitivement autodétruit et que nous devrons revenir à nos frontières.
C'est à eux, en priorité, que nous devons nous adresser, cela en leur montrant les incohérences d'une manière logique et formelle, ceci parce que les trente, quarante ans, eux, sont tant formatés qu'il leur faudra du temps pour comprendre, d'autant plus s'ils proviennent de cette haute société décatie.
La France c'est égarée comme de nombreux autres pays, de gré ou de force elle retrouvera toutes ses souverainetés, j'ai 60 ans et ne peux que passer ce que j'ai compris de la vie, au mieux pendant 40 à 50 ans, vraiment au mieux.
Nous vivons un moment de transition et il faudra que cela se fasse de la meilleurs des façons, c'est pourquoi j'écris ici et non pas pour d'autre raison.
THIERRY