Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : urss/usa? d'un empire à l'autre

  • idée n°2: de l'Ennui

          Cette leçon n'a pas pour but de discuter de ce petit ennui du tout les jours venant de ce que, à un moment, en un lieu donné, nous ne trouvions rien à faire ni à penser qui ne nous satisfât.

    L'Ennui dont il est question, ici, est ce sentiment d'insatisfaction conscient et/ou inconscient qu'éprouve celui qui ne peut exprimer, assouvir ce vers quoi ses capacités, ses talents, ses facultés le susciteraient.

    Certes, un désordre ou un manque affectif peut conduire à de telles carences mais les pressions collectives aux interdits ainsi que la commune opinion d'un achèvement, d'un parachèvement de tous savoirs, découvertes et créations (ce que nous vivons actuellement) mènent, tout autant, à ce travers.

    Ivresses des dérobades, des tribulations, des calamités recherchées, des drogues et des alcools, des violences sont le lot  de l'état de manque (manque de soi-même) auquel conduit l'Ennui.

    Il n'est de solution que dans la confiance en soi et questionnement des vérités établies.

    Il y a-t-il plus grand plaisir intellectuel que de passer au crible les dogmes, sentences, certitudes actuels, qu'ils viennent des orthodoxies officielles ou des convictions informelles?

    Ainsi de ce fameux réchauffement climatique: nombres d'écologistes et de climatologues nous mettent en garde contre le risque de ce dérèglement atmosphérique dû aux gaz à effet de serre alors que des physiciens craignent un refroidissement de cette même atmosphère en raison d'une baisse d'énergie irradiée par notre soleil.

    Voilà, pour moi, à tout point de vue, un sujet, au centre d'un débat, digne d'intérêt.

    A chacun son chemin, mais il est domage que beaucoup de mes contemporains souffrent de se penser enfermés entre ces remâchements et ces renoncements.

    THEURIC

  • Petit délire 1): Observation ornithologique

    J'ai vu passé un gauchiste, hier, de son beau vol planant.
    C'était un beau "Gauchistis Hallucinatens" cherchant un courant ascendant en tournant en rond.
    Il y a subi, tout à coup, l'attaque d'un "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata", oiseau sans grande envergure mais très agressif (on le dit assez stupide) et je vis, aussi, un "Partisus Socialinonsis imbécilicum" (ces deux derniers sont de la même espèce des pseudocapitalisidées) qui lui, comme tous les représentants de son espèce, tournoyait sans but quand, tout à coup, il perçu un "Mélenchononsis gauchitus" et lui fonça dessus.
    Le "Gauchistis Hallucinatens" disparu tout à coup en ne laissant que de minuscules traces à peine visible, je me demande même si il a existé (son existence est contreversée) et, juste à ce moment là, venant de je ne sais où, sûrement d'un lointain passé (il est considéré comme un fossile vivant), paru un magnifique "Lepenis Déliriotum Nazigotoïs" femelle et je fus surpris de voir le "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata" chercher à copuler avec elle.
    Entre temps le "Mélenchononsis gauchitus" répondit à l'attaque du "Partisus Socialinonsis imbécilicum" avec l'agressivité que tout le monde lui connait et le fit fuir puis se retourna contre les "Lepenis Déliriotum Nazigotoïs" et "Umpesis Ridiculis pseudo-fascistosata" qui copulaient en vol avec forces petits cris de jouissances (hii, hii, hii qu'ils faisaient tous les deux, peut-être est-ce pour cela que les Lepenis tendent à disparaître?) et les fit partir.
    Ce fut la plus belle observation ornithologique qu'il m'ait été donné de voir depuis longtemps.


    THEURIC

    Revenir en haut Aller en bas

  • L'or dinateur.

    Un ordinateur

    Qui n'avait plus d'heure

    Se promenait sur la place du marché (poils au nez).

    Il n'avait plus l'heur

    De connaître l'heure

    Qui était un leurre

    D'une pauvre lueur

    Qui embrouillait les pleures

    Des quidams en fleure

    Qui fleuraient bon le chez-Soi bon marché.

    Et l'ordinateur

    Qui ne savait plus l'heure

    Rentra enfin chez-lui 

    En disant au-revoir à la place du marché (poil aux pieds).

    Cela fit que les frites,

    Le poulet bien cuit,

    Les légumes et les fruits

    Sentaient tout bon dans la place du marché.

    Et tout le monde dansèrent

    Sur une chanson légère

    Comme une bergère

    Au bras d'un ouvrier

    Qui se marièrent 

    En âme primesautière

    Près d'une pissotière

    A la mairie du quartier.

    Ils eurent beaucoup d'enfants (poils aux dents)

    S'aimèrent tendrement

    Tout près d'un marché

    Qui a ses plaisirs dinateurs (poils à ma sœur).

     

     

    THEURIC

  • Petit conte pour adulte d'antan.

    Nous devisions sagement tous deux de sa chatière, quand je la sentis nous désirer entrer en son boudoir en suite plaisante de lui avoir fait présent d'un beau présent:

     

    "Mais, comment cela se fait-ce de cette belle offrande? serait-ce ma fête? En cela, eut-il fallu que je le susse!"

     

    Dit-elle en ouvrant le paquet délicieusement ouvragé que je venais de lui dédier:

     

    "Que vous le sussiez, Madame," lui répondis -je", il n'en est point de date qui en fasse loi, et du plaisir que j'en  ai eu de vous le confier ainsi ne peut que m'en être que de l'égal du  vôtre; ainsi de cette geste cadeauté que je fallusse que je vous le fisse pour qu'il vous soit porté avec grâce au-dessus de votre giron.

     

    -Oh! Oh! Oh! Monsieur, ce grand gland caché au sein de son écrin m'en est d'une haute magnificence, contemplez comment, comme le veut l'us, que je le lèche avec délectation, il est si doux et dure au touché que ça ne peut que m'en être qu'un ravissement.

     

    -Ci-fait, Madame, ma joie de vous contempler en cela est telle que cela me comble d'aise et, que je vous l'avoue dans l'instant, j'ai belle volupté que de vous le voir câliner de telle façon..., mais, que vois-je, votre si beau minou me paraît, me permettriez-vous que je le cajole?

     

    -Certes Monsieur, certes, ma chatte adore ça, si vous saviez combien  elle vous aime en n'attendant que cela en vous suivant bien volontiers en mon chez-moi pour que la combliez de vos sensualités et, voyez, nos plaisirs radieux nous suivent, vous de ma chatte si soyeuse et vous de ce gland dont vous me fîtes présent et que, de ma langue, je caresse."

     

    C'est ainsi que cette longue journée de marivaudage nous fut d'un si agréable moment.

     

     

    THEURIC

  • Voici venir l'ère terrible!

    Les jours terribles commencent et l’Ukraine n’en est qu’une pâle illustration.


    Les cartes le montrent, la Russie a absolument besoin du port de Sébastopol, quelle erreur stratégique, de l’Europe-Amérique, que d’avoir agité le sentiment des russes d’être privés de leur débouché en Mer Noire, et dès lors en Méditerranée plutôt que de laisser le statuquo.


    Surtout, l’Europe-Amérique nous montre sa faiblesse (Europe-Amérique et non plus Amérique-Europe): plus de sou.


    Surtout que la Russie est un allié essentiel de l’Europe, cette dernière, bientôt éclatée, souvent vieillissante, bientôt vacillante et déjà blessée.


    Seuls les pays, les états, les nations pourront sauvegarder ce qu’ils pourront de ce machin informe aux deux voyelles et douze étoiles brandies en pauvre oriflamme.


    Mais tant que l’économie-monde continue son lent effondrement en donnant l’insouciant sentiment d’une forme et force suffisante, l’Ukraine ou le Centre-Afrique ne paraîtront que des épiphénomènes, eux qui ne sont, en réalité, que les résumés annonciateurs du futur de l’humanité.


    Le champ idéologique mettant l’économie sur un pied d’estale, sous toutes ses formes, disparaîtra dans peu de temps des esprits et des cœurs et ce sera la politique qui viendra au-devant de la scène.


    La politique ce n’est pas l’économie, l’économie n’est que l’une des nombreuses matières de la politique pour laquelle il n’en est aucune d’ultime, pas même pour elle-même, la politique, qui est et ne peut être que multiple et infiniment plus complexe que la seule économie.


    L’explosion des faillites qui, sous peu, traversera, en champ de ruine, le rêve illusoire de l’enrichissement éternel d’un Éden improbable, fracassera les utopies alanguies de leurs deux siècles de règne.

    Hormis, peut-être, de l’anarchie politique, toutes les autres s’annihileront sous le poids défaillant de leurs paradoxes abyssaux: ainsi en fut-il du communisme et de la sociale-démocratie transformée en social-libéralisme, son contraire, ainsi en sera-t-il du néolibéralisme et de toutes ces autres tentatives, théories éphémères, de rendre acceptable, sous une manière présentable, un champ idéologique aujourd’hui exsangue.


    La politique c’est la vision de l’histoire, de la géographie et, surtout et avant tout, de tout ce qui de près ou de loin ressemble à de l’entraide et aux rapports de forces et, dès lors, à l’organisation.


    Parce que chaque Être Humain fait de la politique, est politique, depuis toujours, depuis avant Homo Sapiens Sapiens.


    Nous sommes tous d’un peu de gauche, d’un peu de droite et parfois la gauche est de droite et la droite de gauche, quand la politique est bien faite.

     

    Cette ruine advenant rendra l’Homme malade, parce qu’il avait cru en rêve impossible, parce qu’il a crû trop vite en nombre incommensurable, parce que son monde n’est plus et que son monde n’est pas encore.


    Les enjeux, bientôt, des plus dérisoires feront signe de discordes, le voisin rejettera le voisin, de vieilles querelles renflammeront au risque des périls…


    La Chine en sera la fin et le commencement et l’Europe en sera le centre.


    La puissance et la richesse ne sont pas là où il est habituel de les croire, l’Europe l’a vécu mais a voulu oublier, non pas de leçon, l’histoire fait rejouer l’amnésique jamais d’un même mode mais de même façon.


    Soyons conscient des enjeux, infiniment majeurs, des vrais promesses, des faux espoirs, l’Europe, non pas en union mais en réelle confédération, se fera d’elle même contrainte et forcée, ou l’Europe des nations ou ne sera pas, ou ne sera plus!


    Nous entrons dans une ère où la légèreté fera un grand péril, l’Eurasie de l’est, l’Eurasie de l’ouest, tout se jouera là, à ces deux pôles, et nul part ailleurs.

     

    THEURIC

  • Une époque passante maintenant de versifier.

    Présentation:

     

    Le second poème commence par un quatrain transformé d'un de ceux que mon maître en poésie avait écrit (perdu depuis) qu'il m'avait offert, ouvrier-philosophe, charron de son état, forgeron-carrossier, que j'avais rencontré jeune homme quand j'était OS en dépôt d'autobus, à les nettoyer.

     

    Nous avions fait ensemble un "cadavre exquis", recopié sur le tableau syndical, il avais aussi jugé mes toutes premières œuvres encore approximatives.

     

    Du premier, il est temps de ne plus se morfondre mais de penser l'avenir.

                                            -----------------------------------------

     

     

     

                 Il est temps passé

              D'explorer ce miroir

    D'une époque insolite et odieuse

     

    Maintenant de la poésie

     

    J'ai tout dit sur mon blog en ces années passées,

    Contant ce que je peux penser de cet époque,

    Où j'y ai fait l'essai de vous débroussailler

    Les si inouïs chaos que ce temps évoque.

     

    Je vous laisse lire, en prose profuse,

    De ces billets anciens racontant le présent

    D'ères finissantes en leurs sens abstruses :

     

    Cet avilissement tant déshumanisant

    Que tout ces bornés, qui, doucement, l'infuse,

    Ne sont plus qu'ombres de rêves agonisant.

     

    Certes, parfois, j'ai pu produire des erreurs,

    Et le reconnais là, avec humilité.

    Mais le moment n'est plus de s'abattre de peur,

    En revanche de vivre joie et acuité.

                                           ----------------------------------

     

     

     

                           Il est de ceux-là

    D'où bruissent vanité autant que vacuité.

                              En serais-je?

     

     

    Le président

     

    Un petit président, invétéré bavard,

    Derrière son bureau, pérorait à foison.

    Ses concitoyens écoutaient, goguenards,

    Du sermon magistral la rime et la raison.

     

    « Mon génie reconnu transcende l'univers,

    A moi tout seul, je suis la civilisation,

    A chaque décisions ne pense que nation,

    Vous aime, mon peuple, je suis votre convers.

     

    Toute décision est mûrement réfléchie,

    Toute action pesée, mes idées rafraîchies,

    Je médite chaque jour pour le bien commun,

    Ne bafoue pas les lois d'un revers de main.

     

    Je suis votre lumière, ma vie, exhalaison

    De la bonté et de gouverner sur terre,

    De faire mon mieux bon sens en floraison,

    Phénix de tout savoir, sagesse exemplaire.

     

    Je suis le créateur au-delà de tout art,

    Le démiurge fondateur d'absolu savoir,

    Déniant à quiconque le droit de vouloir croire

    Que ce que je conte est le fait d’un ignare. »

     

    Quand ce prêche finit, silence s'établit.

    La gêne légère de visages pâli

    Donnait en salle l'allure d'un sépulcre,

    De perdre l'esprit de ne penser qu'au lucre.

     

     

     

    THEURIC

  • Surmoi, narcissisme et sentiment de toute puissance.

    Nous ne sommes rien si nous nous pensons être tout.

    Tout autant à ce que la société dedans laquelle nous vivons aussi que ce que nous vivons ait du sens, ce sont les limites en toutes choses bien comprises qui peuvent nous permettre, en cherchant à les dépasser, de grandir, de nous épanouir.

    Et cela a un nom, le surmoi et ses deux instances sociales que sont la morale et l'éthique, le premier désignant ce qui est bien et mal dans l'action sociale du tout les jours, le second relevant de ce qui est, dans ses choix, collectivement constructeur ou destructeur, au sein d'un corps social quelconque de toutes dimensions, surtout professionnel.

    La question n'est pas dans le fait que l'individu soit aujourd'hui reconnu en tant que personne, cela est définitivement posé et fait parti, dorénavant, de nos évidences partagées.P1030727.JPG

    Bien qu'il subsiste de très larges part d'ombre là-dessus fortement hypocrite, à l'exemple du: "Il y a ceux qui ne sont rien et ceux qui sont tout..." d'un Emmanuel Macron souffrant d'un infantilisme forcené.

    Cette reconnaissance là est d'importance dans notre modernité, du-moins elle ne doit être en rien empreinte de ce même infantilisme.

    La question, dès lors, se trouve à se poser de nos responsabilités envers nos semblables, donc de ce que l'on peut faire et ne pas faire en société.

    Tout autant que de comprendre que ce n'est pas ce surmoi, la morale qu'il nous faudrait dissoudre, dont nous ne devrions plus en être astreint, de comprendre que cette amoralité ne peut être le fait que de personnalités psychiquement instables.

    De saisir en plein que pour pouvoir nous développer, tant individuellement que collectivement, il nous faut savoir mettre momentanément en veilleuse ces mêmes interdits, de devoir être ponctuellement un instant dans l'inconvenance, en en conservant toute conscience, le temps, pour nous, d'être dans un processus d'invention, de création et de découverte.

    P1030699.JPGEt puis, n'y a-t-il pas plaisir, par exemple, à être dans l'humour grivois au risque d'une lourdeur rigolarde entre gens de bonne compagnie, grisés d'un doux breuvage alcoolisé?

    Or et j'y reviens, c'est la pensée correctement développée qui, en aiguisant nos capacités d'observation par son effet de développer notre conscience et, par delà, notre intelligence qui, à la suite de l'éducation de notre enfance, verra morale et éthique complétés tout au long de notre vie;

    D'en trouver tout autant leurs limites pour éviter un carcan trop pesant nous empêchant toute création et découverte.

    Ainsi ne découvrirait-on pas que si, ce qui existe de fait et pourrait être observé et que nous ne voyions pas, aveuglé par cet interdit de ne pouvoir voir la nouveauté, nouveauté qui se révélerait en nous dès que nous remettrions en question les connaissances de l'époque en écartant pour un temps ces mêmes interdits?

    N'en serait-il pas de même pour toute réelle création et œuvre artistique?

    Plus encore, si ce surmoi se trouve trop affaibli, si nous nous retrouvons à n'avoir que trop peu de ce sens de la limite, nous nous serions mis de fait au-devant d'un vide de nous même nous empêchant plus encore de concevoir la possibilité desdites nouveautés et créations.P1030701.JPG

    De plus, comment pourrions-nous apprendre, comprendre et être curieux si notre surmoi ne nous imposait pas d'être attentif au monde pour recueillir tout cet entendement en notre cerveau comme une sorte de réceptacle mental, comment le verre pourrait-il être rempli si son fond est percé?

    Comment sinon notre cognition pourrait-elle être effective?

    Il ne s'agit pas là de gaver comme une oie sa mémoire de savoirs incompris mais bien plutôt de saisir au mieux ceux-ci pour ensuite le reformuler en soi pour développer une pensée éclairante, de se le rendre utile et utilisable à vie.

    De plus, comment pouvoir Être si nous ne mettons pas de barrière entre le Moi et le Nous, si nous ne savons pas faire preuve de ce tact posant le respect dû à autrui, de le reconnaître en tant que tel?

    Comment pouvoir être vraiment à l'écoute de notre vis-à-vis sinon?

    Ce qui n'empêche en rien une provocation douce, légère, si la nécessité s'en révèle, ni même la colère légitime.

    La pensée a un  absolu besoin de cette limite, c'est pourquoi, pour être déterminé tant dans le temps, dans notre être comme dans nos actions, il nous faut savoir ce P1030739.JPGqui est bien et ce qui est mal en comprenant les raisons d'être desdites limites, de ce que l'on doit, l'on peut faire ou ne pas faire.

    Tout comme la maison a besoin de murs et d'un toit pour exister, pour y loger et y vivre.

    Sinon nous nous annihilerions dans un angoissant bâillement d'ennui avec, pour seuls viatiques d'existence, en un narcissisme et un ego dévoyés remplissant ce vide béant, prenant forme d'une méchanceté multiforme et difforme doublé du partage d'un monde imaginaire avec tous ceux qui, similairement que nous, se trouveraient à ne pas avoir cet obstacle à surmonter qu'est cette clôture sociale: le surmoi.

    Si ce ne sont pas les anxiolytiques, les drogues, l'alcoolisme et toutes les autres pulsions autodestructrices qui ravagent tant les corps que les psychismes, prenant la place de notre Être pour oublier de ne savoir qui être.

    Parce que le suicide est l'acte social ultime de se sentir, à tort ou à raison, rejeté par la société, mais toujours d'être socialisé, est encore le signe d'existence d'être Soi en tant qu'Être sociale.

    Quand, à l'inverse, celui qui ne se sent plus, ne se sentit jamais avoir été Soi-même ne se suicide pas mais vivote dans son vide de vie puisque n'ayant pas en lui-mêmeP1030708.JPG cette enceinte mentale déterminant sa réelle socialité.

    De se sentir, même entouré de monde, même d'être en famille, mais seul, terriblement seul de ne pas savoir ce qu'est qu'être Soi, de ne savoir pas reconnaître en cet autre comme étant autant semblable que différent que Soi.

    Ô il est vrai, d'avoir l'impression, le sentiment de ne pas avoir de limite en rien peut donner la sensation d'être tout puissant, mais toujours, toujours la réalité rattrape le quidam ayant cette perception plaisante, fausse et infantile.

    Chacun en effet sait ou apprend que ce n'est pas de savoir agir et penser d'une sorte, sur un sujet, qui peut vouloir dire de pouvoir le faire d'une autre sorte, d'un tout autre sujet, c'est en cela aussi que de reconnaître ses forces et ses faiblesses, ses facilités et ses difficultés, ses facultés et ses impuissances, montre à chacun d'entre-nous ses propres limites: personne n'est tout puissant, personne ne sait tout faire, jamais.

    C'est en cela que nous sommes tous complémentaires.

    Du-moins faut-il pour cela réduire autant que faire se peut un quelconque complexe d'infériorité (j'en sais quelque chose) que d'un hubris plus néfaste encore.

    P1030699.JPGLe savoir-vivre, la bienséance, la délicatesse, la vertus, la finesse, l'élégance.., voici six de ces maîtres mots désignant la noblesse, autant celle du cœur que de l'esprit, qui ne doivent en rien faire oublier la rigueur de la réponse à toute forme d'agression.

    Cette noblesse ne désigne plus une aristocratie, ce gouvernement des meilleurs, depuis plus de deux siècles, mais celles et ceux qui sont d'envie de devenir au mieux Être Humain en parcourant le chemin sans fin de ce devenir.

    N'est pas obligatoirement noble celui et celle au plus haut de la hiérarchie sociale, ce serait presque une forfaiture que de le croire, une terrible erreur, cela ne dépend pas non plus d'un quotient quelconque, intellectuel, émotionnel ou autre.

    Il s'agit juste de savoir qui nous sommes, de l'identité de authenticité de notre entité, de se comprendre en Soi, du-moins de se vouloir être dans cette dynamique là, aussi que  de connaître les règles sociales qui nous animes, de les respecter autant que de savoir y déroger avec toute la raison nécessaire.

    ( Notre monde n'est pas fou, il a juste sa structure interne terne devenu incompréhensible par l'égarement de ce que peut vouloir dire en France d'être français, en Pologne d'être polonais, en Chine d'être chinois, en Espagne d'êtreP1030738.JPG espagnole, en Grande-Bretagne d'être britannique, en Californie d'être californien, en Allemagne d'être allemand..., en Europe d'être européen, ce dernier n'étant ni un pays, ni un état, ni une nation, mais juste une union décidée par la thalassocratie impériale étasunienne.

    Souvent, si nos gouvernements ne savent pas ce qu'ils font c'est parce qu'ils ne savent pas qui ils sont, plongés qu'ils sont dans leur sentiment de toute puissance et dans leur monde imaginaire, seuls, ensembles, parce que indéterminés par leur manque cruel de limite.

    Leur narcissisme et leur ego blessés d'une incommensurable boursouflure venu de ce vide du manque de démarcation, de frontière, psychique autant que physique, les rendant, de plus, totalement aveugles à eux-même et aux autres, dans la plus totale incapacité de pouvoir se projeter dans le temps, ne pouvant pas conceptualiser les effets de leurs actions passées autant que présentes.

    Et, comme des gamins capricieux, accusant les autres, n'importe qui, de leurs propres manquements et grandes insuffisances.

    S'insinuant, de plus, au sein de leurs groupes, quelques malfaisants pervers, au narcissique dévoyé et malade, les enfonçant toujours plus en leur croyance fausse en P1030688.JPGleur inégalable efficience.

    Je ne les excuse en rien mais juste pense tenter de donner du sens à ce qui semble ne pas en avoir. )

    Ainsi nous faut-il autant cultiver notre pensée que notre détermination en déterminant au mieux nos limites, notre façon d'y déroger, tout en définissant au mieux notre identité individuelle et collective.

    Ce n'est pas seulement notre monde qui attend que nous recouvrions notre intelligence, c'est l'univers qui, lui, attend de nous que nous le découvrions en son infinie aventure.

    Parce que que peut être l'Être Humain si l'aventure ne lui tend pas les bras, sinon qu'une ombre, l'ombre de lui-même.

    Et que peut-être la noblesse sans cette double aventure, celle de la découverte de l'infini de l'univers et l'infinité de ce que nous sommes nous-mêmes?

    La noblesse ne se trouve plus en l'aristocratie mais  peut émerger en chacun d'entre-nous, et de cette noblesse découverte, la sagesse nous guette.

     

     

    THEURICP1030739.JPG

  • A vous les jeunes!

    J'ai soixante ans et, à la suite de mes nombreux billets, il me semble qu'il soit temps pour moi de m'adresser tout spécialement à vous.

    Nous vivons une période tout autant dangereuse, ne nous le cachons pas, spécifique à toute autre ère et pour le moins impénétrable.

    Or c'est à vous que va se révéler la tâche de rendre intelligible ce qui ne l'est pas, inventif face à ce qui n'est, en ce moment, qu'un rabâchage ennuyeux, ruineux, imbécile et, surtout, obscurantiste.

    Beaucoup d'entre-vous recherchent désespérément une raison d'action sociale dans ce chaos mortifère, en la trouvant dedans des problèmes écologistes désignés par ceux-là même qui génèrent cette confusion collective, soit les médiats officiels.

    Comme je pus l'être à vos âges, vous êtes facilement manipulable.

    De ce fameux réchauffement climatique anthropogénique qui en constitue la trameP1030162.JPG première, cachant là où se situent les réels enjeux, réchauffement qu'il y a beau jeu d'observer en toutes faces, sa vérité est ainsi: cette théorie scientifique, ou se voulant se dire tel, n'en est pas une.

    Pour cela il n'est que de reprendre la science à sa base: Une théorie scientifique, en plus de n'avoir de valeur que par son caractère prédictif, se doit d'être réfutable, c'est à dire de pouvoir être remise en question.

    Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une théorie, ni même d'une hypothèse qui, normalement, se doit de prendre en compte l'ensemble des éléments pour se formuler, mais tout juste une croyance ordinairement sans grande importance.

    Vous remarquerez ainsi que nos journalistes et chroniqueurs bienséants ne présentent jamais quiconque, climatologue ou physicien (puisque les questions du climat relèvent surtout de la physique la plus pointue), venant critiquer cette nunucherie.

    Sachant qu'il n'existe pas, en science, d'unanimité, cela n'existe pas et est le mensonge le plus grossier qu'il soit: oui nos journalistes et nos élus sont soient des imbéciles, soient des naïfs, soient des menteurs ( je vous revoie une fois encore vers ce site où tout cela est, au fil des billets, montré de toutes sortes de façons ).

    P1030306.JPGQu'est-ce qu'un Nagui, un philosophe lambda un intervenant quelconque ou un journaliste du 20 heure connaissent là-dessus, sûrement bien moins que moi  qui n'en comprends juste que les bases.

    Mais me penchant au-dessus de ses dimensions politiques, il me deviens évident que tout cela n'est que de la communication faite pour éviter que vous regardiez là où se trouve les réels sujets: la pire des vilénies de nos oligarques, de l'Union-Européenne dans son entier, de l'OTAN et du néolibéralisme économique.

    Bien que cela fasse intervenir aussi l'un des nos archétypes les plus puissant, le mythe  de la destruction du monde par Dieu suivit de son rétablissement, mais vous remarquerez que Dieu, ici, c'est nous, l'Être Humain, se prendraient-ils, nous prendrions-nous pour dieu lui-même?

    Redescendons donc de ce piédestal stupide et angoissant ( même des enfants en feraient des cauchemars ) et demandons-nous donc pourquoi aucun débats avec des professionnels du pour et du contre de cette fadaise n'est jamais médiatiquement organisé.

    Pourquoi des historiens n'y viennent-ils plus pour nous montrer qu'au moyen-âge et plus encore sous l'empire romain le climat était infiniment plus chaud qu'aujourd'hui, qu'aucun climatologue ne nous y montreraient-ils pas, de plus, enP1030789.JPG combien de temps cette chaleur d'antan prit corps ( l'une des réponses qui m'en fut rapporté en effet, au-devant de mon plus que scepticisme: que ce qui serait catastrophique ce serait la vitesse d'avènement de la-dite chaleur, ce qui reste part ailleurs à montrer )?

    Tout juste sais-je que, de tout temps et toute ère, la monté du taux de CO² suivit et non  pas précéda cette hausse des température, article trouvé sur Science-et-vie datant de trois décennies environ.

    Ceci avant que, comme toutes les publications, ils n'en deviennent à être contraints de suivre, entre-autre, cette pauvre superstition au risque, sinon de se retrouver, pour ses gazetiers, au chômage, comme il failli arriver à ces deux journalistes météos, Messieurs Verdier et Cabrol, dont je vous avais déjà narré les mésaventures.

    Mais pourquoi donc m'appesantirais-je encore une fois sur ce sujet que j'ai de maintes manières déjà abordé?

    Pour vous montrer, chère jeunesse, que nous sommes en plein dans une période d'obscurantisme obtus et que c'est à vous, dorénavant, de reprendre le flambeau de la découverte intellectuelle en toutes les fonctions qui font sociétés.

    Si vous pensez réellement qu'aucune place ne vous est accordée, détrompez-vous, vous avez en réalité celle la plus noble et remarquable de toutes: réamorcer la soif de P1030616.JPGla découverte, de l'inventivité, du désaccord et de la querelle théorique, de la recherche véritable, de la philosophie novatrice, des nouveaux concepts et conceptions, de l'étude des anciens, de leur critique et réexamen... .

    Mais aussi pour  concevoir de nouvelles technologies, nouveaux abords politiques, économiques, sociaux, professionnels, artistiques, nouvelles techniques de conceptions d'usines et de fabriques, de vision de l'état de droit, de la démocratie, des services  sociaux et publics, de la médecine dans toutes ses dimensions...

    Enfin bref, de tout ce qui fait la-dite société et qui, aujourd'hui, part à vau l'eau.

    Et je puis vous affirmer que vous avez loin d'avoir toute une vie pour ce travail admirable, il n'est dès lors plus que temps, pour vous, de ne plus vous laisser entrainer dans les méandres malsains et pervers des mensonges qui vous sont déversé par multitude.

    Alors instruisez-vous et je puis vous assurer que bien des textes jusqu'aux années 80, voire 90, se révèleront, pour vous, fort précieux.

    En revanche c'est en cette époque que se développèrent les bases nauséabondes du délitement intellectuelle actuel, alors faites toutefois attention aux ouvrages queP1030365.JPG vous choisirez et montrez-vous analyste sensible aux contradictions internes des sujets abordés.

    Soyez examinateurs passionnés mais scrupuleux des notions exposées par les penseurs anciens, ce n'est pas parce que c'est vieux que c'est bien, ce n'est pas parce que c'est moderne que c'est mauvais, à vous d'en peser et soupeser tout le pour et le contre, seules la raison, la logique et la cohérence vous le démontreront.

     

    Pour ceux ayant eu le temps et le courage de parcourir une bonne partie de mon blog, ce seront aperçu que j'ai pu aborder certains sujets, dont celui de l'apparition de l'ancêtre du singe, de celle du premier du genre Homo, notre très lointain aïeul, de la nature de la pensée, ainsi que de tout un ensemble de thèmes différents.

    Ce n'était pas dans le but de vous démontrer la faisabilité de remettre en question, voir parfois en cause, les hypothèse posées actuellement, mais tout simplement pour m'en exprimer, pour y exposer mes idées: comment voudriez-vous que, sinon, je puisse me faire entendre autrement du haut de mon faible cursus et classe sociale?

    Combien longtemps ai-je été inconsciemment jalousé sans même que mon vis-à-vis et moi-même n'en percevions le trait, ce qui  fonde aussi ma prudence.

    Parce qu'il est terriblement douloureux de percevoir des biais sociaux là où ils se trouvent, de comprendre certaines choses et de ne pouvoir les partager avec P1030271.JPGquiconque, sachant que je remets en cause en cela bien des préceptes sociétaux non-dits.

    Certes, depuis ces tant d'années j'ai pu faire des erreurs conceptuels, voire prévu des événements qui n'eurent pas lieu ou qui arriveront que bien plus tardivement, mais je n'ai eu que de cesse de corriger ces-dites erreurs et faire preuve de bien plus de prudence, de retenue et de mesure dans mes prévisions.

    Il faut en effet être son pire objecteur pour pouvoir développer au mieux sa pensée.

     

    Dans ce monde incompréhensible, ou du-moins aux sens discrets, il n'est pas facile d'y trouver sa place, phénomène renforcé par l'union-européenne et son ensemble idéologique ad oc mélangeant le pire au meilleurs, rendant la notion d'identité floue, nous faisant confondre loup, chèvre et chou nous faisant perdre toutes les notions du commun et nous égarant dans l'infinité de l'illimité, nous laissant, pantelant, dedans la béance de l'infantile infertilité.

    Alors,  pour s'échapper aux angoisses de ces égarements de ne plus se sentir déterminé, tant dans l'action que de son identité, diverses stratégies psychologiques s'y côtoient.

    Il y a par exemple d'inscrire sur sa peau sa marque identitaire pour qu'en cela savoirP1030550.JPG par la douleur du piercing et/ou de celle du tatouage, de son souvenir, où se trouve la limite du corps, de part sa peau tracer une frontière entre le monde et Soi.

    Il peut aussi y avoir les beaux habits et beaux maquillages, avoir la parole haute, de se muscler indéfiniment, de se filmer sur un ordiphone, divaguer sur des réseaux dits sociaux, de se montrer en réel ou en virtuel, pour dire: "J'existe!", de l'affirmer ou de tenter de le faire.

    Ce sentiment de ne pas exister en raison de limites peu ou non formulées, du sentiment de se perdre dans un grand tout où chacun aurait le sentiment de n'être que poussière perdu dans l'univers, de celui de n'avoir qu'une identité de Soi comme de celle sociale confuse, nébuleuse, mène à une souffrance psychique à peine audible que seule la boule à la gorge permet de retenir et de percevoir.

    Cette douleur mentale silencieuse conduisant à la recherche de l'oubli, de l'hébétude, de la folle frénésie dans toutes sortes d'intempérances enivrantes.

    Des drogues, il y en a de trois sortes: celles menant à de l'ivresse, celles excitantes et les hallucinogènes.

    L' alcool, le hachich, les opioïdes sont des premier, la cocaïne, les amphétamine et P1030165.JPGméthamphétamines sont des seconds, quant aux troisièmes ils se trouvent dans les alcaloïdes de certains champignons.

    ( Le tabac est spécifique, peu ou non enivrant ni  excitant, il a de fonction de faire baisser le taux d'agressivité, de réduire le sentiment d'ennui, de diminuer la timidité et de combler une béance affective, mais c'est l'une des drogues dont il est le plus ardu de se débarrasser. )

    Toutes les drogues ont des effets néfastes autant sur l'organisme que sur le cerveau.

    Il y a des drogues qui, d'une manière ou d'une autre, sont acceptées et contrôlées socialement en raison de la multitude des générations qui s'y sont confrontées,, le vin en France, en Allemagne la bière, les alcools en Occident donc, l'opium dans certaines régions orientales, le hachich réservé (normalement) à des situations et rites  religieux ou spirituels, en Inde notamment.

    En revanche toutes les drogues de synthèse, comme celles installées dans des pays hors de leur contextes anthropologiques, sont d'autant dangereuses de tous points de vu que les corps sociaux n'en ont construit aucune appropriation, ni cultuelle, ni culturelle, ni même de restriction formelle par un surmoi collectif conscient et inconscient.

    Soyez  au fait, donc, de ces causes qui font cet attrait, seul ou en commité, pour une ivresse dépassant largement le seul plaisir de se retrouver grisé au milieu des amis,P1030104.JPG en partageant le vin pendant le repas en devisant gaiment en bonne compagnie, de danser aussi, de chanter à tue-tête.

     

    Je me suis moi-même diagnostiqué pseudo-asperger, qui est un mixe de haut-potentiel ou de sur-doué avec un état autistique plus ou moins léger.

    Son origine, je le pense fortement

  • Peut-on tirer sur l'ambulance?

    P1010142.JPG

    Enfin, plutôt qu'ambulance, la question serait : Peut-on tirer sur le corbillard?

    Que serait-il ce corbillard?

    Ben, le gouvernement macronnien, ou plutôt macronniaisien, et ses députés radio-actif du R.E.M. (parce que nous les entendons partout), tiens, la bonne blague (à tabac, ce qu'ils font d'ailleurs, un tabac, nous qui les aimons tant).

    Mais je vous avoue que je ne sais plus vraiment ce qu'ils enterrent, ces chers ineptes dans leur pays d'Absurdie, sinon eux-mêmes.

    Et oui, eux n'habitent ni ne gouvernent la France, ce beau pays qui fleure bon le fromage, le contrepet (c'est ainsi que Macron et Philippe me brouillent l'écoute), l'imparfait du subjonctif (que rares sont ceux sachant en faire usage), les vieilles P1000753.JPGéglises et les cathédrales gothiques (qui se rempliront bientôt), les troupeaux de vaches regardant les trains passer (sauf celles des usines à lait) et les merdes de chien dans Paris...

    Et oui, eux ne gouvernent pas la France mais l'Absurdie.

    La preuve en est, ils se justifient, et en politique on peut mentir, tricher, manipuler, cacher et tout un tas d'autre choses encore que la morale réprouve (avez-vous remarqué que la morale, autre nom du surmoi, réprouve toujours quelque chose?), mais jamais ô grand jamais, en politique, on ne se justifie, jamais.

    Pourquoi?

    Mais tout simplement parce que c'est le signe infaillible d'une faiblesse insigne.

    Or, que firent nos ministre patentés, ainsi que Madame le Maire de Paris, Madame Hidalgo, après les immenses et interminables bouchons dus à la neige?

    Ils se sont justifié: "Ce n'est pas de notre faute, nous ne pouvions pas prévoir, comment voulez-vous déneiger avec tant d'automobile sur les routes, et blablabla, et blablabla....".

    Et pourquoi donc furent-ils pris ainsi de court?

    En raison de cette absurdité qu'est le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, auquel ils croient tous comme un seul homme et femme, tout comme l'équipe zarkosienne et hollandienne d'ailleurs, ainsi que leur économies de bouts de chandelles passées, présentes et futures, qui firent que depuis des lustresP1010077.JPG (un lustre, cinq années d'éclairage) les équipes de la D.D.E. virent leur nombre décroitre, et celles dédiées au déneigement ne purent qu'en être les premières touchées.

    (Je vais y rajouter une petite histoire:

    Jeune homme je fut jardinier dans l'équipe municipale d'une ville de banlieue.

    Pendant les quelques années où j'y œuvrais, il y eut, un hiver, de la neige, comme c'est étonnant.

    Et la saleuse que j'y vit était juste l'un des camions-benne avec, à l'arrière, un appareil qui ventilait sur la route le mélange de sel et de sable, un collègue se chargeant, de sa pelle, de remplir cette petite machine régulièrement.

    Les autres camions faisant la même chose.

    Le véhicule vide, ils allaient le remplir de nouveau à l'entrepôt, le conducteur aidant, pour cela, bien entendu, celui qui pelletait.

    Une fois le camion-benne acheté, le reste ne coûtait pas grand chose, hormis une main-d’œuvre qui, quoi qu'il en soit, était payée, en heure supplémentaire si c'était les jours de repos ou de nuit, et cette petite machine de la taille d'une tondeuse à gazon usuelle.

    Il me fut raconté que deux ans avant que je ne soit embauché, il fut demandé à plusieurs des employés de venir rapidement vers les 2 heures du matin pour saler les rues, il commençait tout juste de neiger.

    Mais çà, ça pouvait se faire avant que la mode des privatisations et la ponction par P1010143.JPGl'état des subsides municipaux pour rembourser des dettes qui ne se devraient pas d'être, ne vide les villes de leurs employés.)

    Mais dans ce jeu subtile de savoir qui sera le plus absurde de tous, Madame De Montchalin, cette experte en accommodement bancaire et aujourd'hui députée, semble bien vouloir prendre la tête de cette lutte féroce.

    Certes, Madame Borne, à qui ne manque plus que l'accent aigu, ci-devant ministre des transports, après avoir débuté le démembrement de la R.A.T.P. en tant que P.D.G., fit fort en se justifiant de l'impéritie des services de déneigement, elle aurait pu tout simplement accuser ses prédécesseurs, pour cela il aurait fallu qu'elle en ait le réflexe.

    Surtout, cela aurait mis en cause la sacro-sainte Union-Européenne, cause d'une majorité de ces ruineuses galéjades, qu'il fallait qu'elle protège.

    Mais la précédente nommée, De Montchatin, là, chapeau bas, question absurdité elle est de première force: Elle ne propose pas moins aux banques de recevoir l'autorisation de ponctionner les comptes des épargnants et même les comptes courants ( bon, la vidéo vers laquelle je vous renvoie, signé le "vaillant petit économiste", oublie un petit peu trop vite que la responsabilité première de tout ce foutoir revient à une Union-européenne qui, quoi qu'elle fasse, ne peut que recevoir la palme hors toute catégorie de l'absurdité pleine et entière).

    Mais il y a mieux encore, dans la série: "Je fais tout ce que je peux pour battre mon petit copain et ma petite copine à ce concours hors pair: qui sera le plus absurde desP1010083.JPG ministres, députés ou président de la V° république d'aujourd'hui?"

    Un député radio-actif du R.E.M., oui, encore un, avait lâché, à un motard en colère en raison du passage progressif à 80 km./h. sur les routes de France (autre absurdité au demeurant qui génèrera encore plus de CO2 puisque les véhicules seront soit en sous-régime, soit en sur-régime): "Si t'es pas content de ton pays, tu te barre!"

    Vous remarquerez le charmant tutoiement montrant, à n'en pas douter, qu'ils élevèrent des cochons ensemble et, surtout, le tact et la subtilité, là encore, de ce représentant de la chambre basse, faisant preuve d'une tenue et d'une retenue seyant au représentant du peuple qu'il est, enfin non, qu'il croit être.

    Mais ces loyaux serviteurs des oligarques français, de l'Union-Européenne, de la Germanie et de l'empire U.S., n'en restent pas là, loin s'en faut, ils commencent à mettre en place ce qu'ils appellent, dans leur jargon novlanguesque de marionnettistes, la modernisation de l'administration française, ce qui dans leur bouche veut autant dire l'affaiblissement de la fonction publique que de sa déstabilisation par de dérisoire économie et par sa privatisation larvée.

    Ces domestiques des puissants, donc, annoncent une nouvelle vague de "réforme de l'état", ce que le premier d'entre-eux, Monsieur Macron, avait promis lors de sa P1010100.JPGcompagne électorale, il est vrai.

    Monsieur Darmanin, ministre de l'(in)action et des (dé)comptes publics en serait le maître d’œuvre, paraît-il, la petite main de Macron et de Philippe (dit le fantôme de l’Élysée) en quelque sorte.

    Mais surtout l'obéissant transi, comme tous, aux petits désirs des croquemitaines de l'U.E. (Union-Extravagante), autrement appelé G.O.P.E., le chef-d’œuvre de l'absurde, le nirvana de l'ineptie, le joyau d'inconséquence.

    Ainsi peu furent les pays, les peuples et les unions qui, tout au long de l'histoire, réussirent à amasser une si vertigineuse pile d'absurdité que cette extravagante union, et pourtant il y en eut et de belles, je pense même qu'ils sont en train de remporter haut la main ce trophée sur l'U.R.S.S. défunte.

    Mais ce ministre du président de l'Absurdie va-t-il faire le lien entre la débandade routière du 6 Février 2018 et l'affaiblissement continuel de l'état?

    Bien sûr que non, il le veut, lui aussi, le gagner ce concourt du plus absurde de la radio-activité en marche, enfin, radio-activité, faut voir, ce n'est pas de l'uranium ou du strontium mais plutôt du baba-au-rhum faisandé qui nous gouverne.

    Enfin bref, ces gonzes et gonzesses vont encore tailler des croupières à tout ce qui fait état et bouge encore, 120 000 fonctionnaires, sans vraiment y réfléchir, puisqu'ils  obéissent tous à l'Extravagante, sauf à s'essayer de faire de manière à ce que cela ne leur pose pas de trop d’ébullition populaire.P1010147.JPG

    C'est qu'en plus ils en ont peur, du peuple, de la populace comme certains semblent le penser, allez donc savoir pourquoi...

    Enfin, la cerise sur le gâteau en revient bien entendu au chef de cette bande de mousquetaires des banques, du roi Junker et de la reine Merkel (ils feraient un joli couple tous les deux, non?).

    Voilà-t-y pas en effet que notre monseigneur national, que tout le monde nous envi avec sa gueule de jeune premier et qui fait se pâmer nombre de femmes sexagénaires et plus au vu de l'âge de son épouse, voilà-t-y pas, donc, que notre cher godelureau propose 200 millions d'euro en faveur du partenariat mondiale pour l'éducation pendant que les écoles françaises de l'étranger ne reçoivent quasiment plus de subside de l'état.

    Voici un magnifique exemple de ridicule auquel nos ministres et autres députés se devraient bien de s'inspirer.

    Quel maestria dans le saugrenu, quel jeu de jambe dans le dérisoire, quelle beauté du geste dans le pathétique, quelle inspiration dans la loufoquerie, quelle splendeur dans l'incohérence.

     

    Je voudrais juste rajouter une petite note (tout fut petit dans ce texte, allez savoir P1010158.JPGpourquoi), tirer à bout portant sur ce corbillard déguisé en ambulance:

    La France, pendant la seconde guerre mondiale, peut s’enorgueillir d'avoir été le pays envahi par l'Allemagne nazi où il y eut le moins, en pourcentage, de juifs déportés., ce ne fut en rien du fait du pouvoir politique et économique de l'époque mais bien du fait de celui de la population!

    D'ailleurs Pétain était déjà considéré comme défaitiste bien avant, en 1917 par Georges Clemenceau.

    Ce que je voudrais montrer là c'est que, d'une certaine façon et toute proportion gardée, nous nous retrouvons à faire face à quelque chose d'approchant.

    Certes, aucune population n'est massacrée, mais la volonté de détruire les pays, aujourd'hui par cette loufoquerie des euro-régions, reste la même.

    Surtout, le processus de collaboration (avez-vous remarqué comment nos grands industriels appellent leurs employés? Des collaborateurs, ce qui montre un mécanisme inconscient de compulsion de répétitivité remarquable qui ne peut que faire sens), ce processus, donc, se retrouve facilement par les choix, souvent à terme infiniment contreproductifs, de nos grands argentiers et autres banquiers d'aujourd'hui, ainsi que par la classe politique officiel, ce qui est désormais devenu évident.

    Il en fut telle lors de l'acceptation, par l'Union-Européenne, certains pays trainant des pieds, des sanctions imbéciles que décidèrent les étasuniens envers la Russie (ce qui montre bien que nous restons une colonie U.S.), ce qui lui fit perdre 40 milliards d'euro rien que pour l'agriculture.

  • Monsieur macron est désormais politiquement détruit!

     

    A-00-a-MacronTrump.jpg

    Oui, dorénavant, Monsieur Macron est, ad minima, politiquement détruit.

    Cette simple et terrible photo est explosive.

    ( En fait, si nous regardons bien Monsieur Macron, il est dans une situation, à ce moment là, de fonctionner, si je puis dire, sur un mode automatique, il plane en quelque chose de l'ordre de l'hystérie en retrouvant, en présence de Monsieur Trump, des réflexes enfantins.

    Sûrement cette photo fut-elle prise après leur allocution devant les caméras suivant leur réunion à la maison blanche.

    Que s'y est-il dit, quelle relation le président américain a-t-il entretenu avec celui français, seuls ceux qui étaient présents le savent, mais toujours est-il que le premier a pris, pour le second, la place de son père.

    Il a dû ne pas cesser de le féliciter, le louanger à longueur de temps, en tous cas nous pouvons observer Monsieur le Président de la République Française dans un état émotionnel puissant et déconnecté de son contrôle, de son auto-contrôle intérieur habituel.

    Remarquez également comment Monsieur Trump s'amuse de la situation, j'ai mêmeP1010215.JPG l'impression qu'il se dit: "Je n'ai pas perdu la main à mon âge, je l'ai bien eu, à mes bottes qu'il est, le marmot!".

    Comme j'avais pu l'expliquer il y a quelques textes auparavant, Monsieur Macron est quelqu'un d'infantile et psychologiquement fragile, nous en avons là encore une fois un exemple frappant.)

    Si, comme je le conçois et tel que je vous l'avais exposé dans mes deux billets précédents, les États-Unis-d'Amérique ont l'ambition, pour les raisons indiquées préalablement, de se replier sur leurs bases arrières en détruisant, dans le même temps, l'Union-Européenne par la déstabilisation de la France, alors cette photo là en serait la preuve formelle.

    ( A mon sens, ce serait également là que se trouverait la raison pour laquelle les Corée nord et sud se réconcilient.

    En effet, si l'empire U.S. se replie sur ses bases arrières et se dégage également de l'Asie, comme il le fait en Europe, il n'a plus besoin de cet état tampon d'avec la Chine que représentait la Corée-du-Sud.

    P1010329.JPGD'autres phénomènes de même type devraient se produire d'ici peu de temps, attendons de voir. )

    Et considérer Monsieur Trump comme étant un imbécile, même si il fait preuve, en effet, plus que d'une goujaterie, d'une vulgarité manifeste, c'est ne pas comprendre la subtile intelligence du bonhomme.

    C'est un vieux commercial de haut niveau, un manipulateur de première force, et ce type doit pouvoir, je l'imagine, mener quasiment tout le monde tel qu'il voudrait qu'il se conduise, il n'y avait plus que de poster, par avance, le photographe au bon endroit et qu'il connaisse le signal du bon moment.

    A n'en pas croire, tout cela, l'affaiblissement de Monsieur Macron, fut monté de toute pièce depuis le début, peut-être même depuis l'affaire Skripal (ce qui peut nous faire réfléchir à une entente "cordiale" entre la C.I.A. et le M.I.5).

    ( Les trois problèmes que représentent notre Président de la République pour ceux qui l'ont choisi est que, d'une part il ne comprend rien à la politique et, n'ayant aucune prudence, se laisse mener par le bout du nez avec une facilité remarquable, quand ce ne sont pas ses gaffes à répétition qu'il ne cesse de proférer.P1010361.JPG

    D'autre part son intransigeance idéologique l'amène à trop rapidement prendre et faire prendre des décisions qui ne peuvent qu'être néfaste au pays et donc à lui-même, cela en affaiblissant une Union-Européenne qui n'en demandait pas tant.

    Enfin, sa facile propension au mensonge peu subtile dont il est ensuite facile, pour la population curieuse, d'en démêler le stratagème.

    Quoi qu'il en soit, qu'une personnalité politique de premier plan puisse dire que le peuple dont il la charge, ici français, n'a pas de spécificité culturelle, ne peut qu'être qu'un profond crétin. )

    Affaire qui, au demeurant, a sûrement affaibli Madame May, la raison en serait de la remplacer pour quelqu'un de plus agressif envers l'union.

    Ceci suivit du bombardement de la Syrie suite au supposé gazage de sa population qui ne put, là également, qu'ébranler politiquement autant notre Président de la République que le Premier Ministre britannique (cela vaut bien la destruction d'une usine à liquide vaisselle et d'une centaine de pétards au million et demi de dollar P1010375.JPGl'unité, non?).

    Il se fait dire, part ailleurs, que le Président U.S. aurait voulu que le dit bombardement ait été infiniment plus offensif et que ce fut les militaires qui calmèrent ses ardeurs.

    A mon sens, cette petite historiette ne fut raconté que pour accroitre les craintes de leur camp que ces deux personnages, anglais et français, ne conduisent leur pays respectif dans des engagements militaires désastreux, contre les russes ou les chinois notamment.

    Dans le même temps le gouvernement étasunien nettoie ses écuries d'Augias, ce qui, là encore, est le processus naturel d'une période de réforme impériale.

    Et mène son oligarchie, la nôtre par la même occasion, à la ruine en augmentant les taux de la F.E.D. au-delà des 3 %, ce qui ne peut que conduire à cette faillite généralisée internationale dont je vous parle tant, cette augmentation des taux ayant été, en 2007, le détonateur de la crise dite des subprimes, et ce coup-ci il n'y aura pas qu'une seule banque trop grosse pour faire faillite à se retrouver en pleine banqueroute.P1010194.JPG

    Vous remarquerez l'extrême prudence de l'Allemagne, Madame Merkel ayant d'autres priorités infiniment plus urgentes à régler: la survie de la Deutschbank, la seule de Germanie trop grosse etc..., mais beaucoup plus imposante que toutes les autres européenne, françaises comprises.

    Peut-être que la chancelière allemande rajoutera quelques petites agaceries pour pourrir un petit peu plus la vie de notre éternel enfant de président, le fragilisant encore un peu plus, mais, contrairement à ce que j'ai pu le supposer, je ne pense pas que cela ira tellement plus loin.

    Néanmoins, je ne serait pas surpris que, bientôt, ce pays commence à faire de nombreuses réserves de toutes sortes en achetant et entreposant à tour de bras autant de la nourriture, du carburant, des matières premières et toutes de ces sortes de choses.

    ( La visite que Madame Merkel, chancelière allemande, a rendu à Monsieur Trump, juste après le départ de Mr. Macron, ne peut qu'interroger.

    Il est possible, mais là je ne fais que de poser des suppositions,  que Mme. Merkel vienne aux renseignements de ce que va faire notre impérial enfant et/ou de choisir la date à laquelle les banques trop grosses etc... devront être amenées à la faillite.

    Photo0001.jpgD'autres possibilités peuvent être envisagées, que tout simplement il puisse juste s'agir de hasard de calendrier, mais il est des moments où le hasard peut avoir bon dos. )

    Mais revenons à la France, je vous prie.

    Comme dit plus haut,Monsieur Macron, qui se voulait le réformateur de l'Union-Européenne et celui qui aurait rendu la France nouvel état États-Uni-d'Amérique ( fantasme, quand tu nous tiens ), est désormais politiquement détruit.

    (Il n'est plus Zeus, Louis XIV, voire Louis XVI, ni même Napoléon III, dorénavant il n'est plus affublé que du sobriquet de micron.)

    Certes, ce processus sera naturellement long à se développer, du-moins dans ses effets.

    Pour le moment, ce sont les rires populaires déclenchés par cette photo qui sont les plus destructeurs.

    De plus, les hommes ne peuvent que ressentir que du dédain pour celui qui se voudrait être dirigeant et ne se conduit, face à un autre chef de l'état, théoriquement son égal, que comme un mioche à peine dégrossi.

    Les femmes, de plus, ne peuvent qu'avoir qu'un profond dégoût pour cet enfant dans une enveloppe de grande personne.

    Quasiment asexué, donc.

    Celles qui, par le passé, se sont pâmées pour ce godelureau ne pourront que rejeter ce freluquet paraissant sans virilité.P1010378.JPG

    Même si les autres partis politiques officiels doivent surveiller ces événements en espérant pouvoir se refaire lors des prochaines élections européennes, celui, de parti, qui en tirera tous les marrons du feu ne peut qu'être et avec raison l'U.P.R. de François Asselineau.

    La France-Insoumise, elle, si son président, Jean-Luc Mélenchon, a bien compris ce que peut être le sens de l'histoire, ne peut que se radicaliser en devenant plus anti-U.E. que le précédent, mais il lui en faudra en dépenser une énergie considérable pour faire oublier la multitude de ses errements d'antan.

    Les autres plongeront dans une frénésie, une exaltation pro-union qui risquerait bien d'être assez délirante, ce sera le F.N. R.N. (la Route National, après les marcheurs, quel aveu) pour lequel ces réactions pourraient bien être les plus excessives.

    Mais ce sera au sein du R.E.M. que ce rejet sera le plus violent: ils ont tous été P1010362.JPGtrompés et comme ils n'ont pas cette connaissance approfondie de la politique et que leur haine pour Macron sera bientôt inextinguible, ils se détourneront de lui.

    Bien sûr que non, ils ne vont pas lui fomenter quelques pièges dont les vieux de la vieille de la politique ont le secret, mais vont, pour beaucoup, lentement, rentrer chez eux en démissionnant tout simplement, parfois aussi en changeant de camp: ce sont des députés dépités qui, comme bientôt leurs électeurs, voteront avec leurs pieds.

    Cette photo fera, fait déjà le tour de la planète, et tout le mode se demandera: "Mais que la France est-elle devenue?"

    Notre nation a définitivement, avec ce président, perdu la face, et la population, de ça, ne le lui pardonnera jamais, à lui, certes, mais aussi à tous ceux qui l'entourent et le soutiennent.

    Le vieillard Attali avait dit de lui qu'il représente le vide politique du pays, bien qu'il ait oublié l'U.P.R., pour le reste, il avait raison, en omettant toutefois le fait que lui ne représente pas le vide mais le néant de la pensée politique et économique.

    Il crut, ce niais, que notre empereur de carnaval serait le sauveur de la France, si, si, c'est bien ça, quand en fait il ne fait que précipiter la fin de sa chère union.P1010143.JPG

    Et il y en  a d'autres comme lui, tant d'autres, à avoir cette

  • Réflexions sur le racisme et les questions juives et noires.

    Pour comprendre sur quoi s'établit ces lignes, je vous renvoie au texte présenté sur ce site: ( http://www.les-crises.fr/sanders-cachez-cet-antisemitisme-que-nous-ne-saurions-voir/ ) et, aussi, à certains de ses commentaires.

     

     

    Je vais poser la question ô combien provocatrice: pourquoi les personnes à la peau noire et celles qui sont juives, de représentation (soit par le regard porté sur la personne et non pas par une appartenance culturello-religieuse), de culture et/ou de religion n'auraient-elles pas le droit d'être raciste?

    Ne serait-ce pas du doudouisme, soit une sorte de racisme hypocrite, que de considérer l'autre plus pure que soi parce que différent, racisme ayant de sens de percevoir des différences incontournables, réelles ou supposées, haïssables chez des êtres humains autres que ceux qui nous ressemblent, le doudouisme étant une tentative de surmonter ce racisme en en inversant le discours conscient?

    Que je sache, soit Homo Sapiens Sapiens est de même espèce, quelles que soient les différences religieuses, nationales, culturelles ou de morphotypes, soit nous avons affaire à des espèces diverses, auquel cas la simple appartenance à une autre religion, nation, culture ou morphotypie ne pourrait qu'être considéré que comme celle d'une autre espèce (je vous préviens que la deuxième partie de cette phrase est ironique, vu les temps qui coure, même cette ironie peut être prise au premier degré du pied de la lettre, obscurantisme, quand tu nous tiens...).

    Auquel cas il pourrait être possible de rejeter cet autre en raison de ces différences, mais cela soulèverait des absurdités sans nom de représentations de ce nous sommes, autant dans nos origines, notre espèce que dans notre réelle individualité.

    Quand aux différences physiques elles n'ont, pour moi, que l'importance que chacun d'entre-nous y porte, sachant toutefois que le poids des inconscients historique et individuel de la représentations de soi, en tant que groupe constitué ou non, et individuel et/ou interindividuel, y sont majeur.

    Le racisme prend d'autant plus corps lorsque le sujet et/ou le collectif ne sait plus réellement quel est son identité et/ou quand la société dans laquelle il(s) vi(ven)t est fortement hiérarchisée.

    Il s'agit donc, dès lors, d'une projection, soit d'une affirmation identitaire par la différentiation d'avec l'hétérogène visible, soit celle d'une affirmation de son être par la domination de celui qui est dissemblable et, donc, inférieur, soit de ces deux contingences ensembles.

    Identité et hiérarchisation sont donc à l'origine des rejets de l'autre dans sa différence avec une particularité êtres humains juifs/noirs.

    Cette particularité de cette dualité racialiste êtres humains noirs/juifs (dont je suis pour ce dernier) c'est qu'elle se porte sur le malêtre dû à la modernité, étant entendu là que cette-dite modernité repose non pas seulement sur celle technologique actuelle, mais bien à celle qui bouleversa notre humanité depuis la constitution des villes, soit la fin de la vie en Éden qui ne fut que l'avant du néolithique, la préhistoire.

    Le rejet des être humains à la peau noire par les autres êtres humains à la peau blanche et jaune (si tant est que nous puissions parler aussi catégoriquement de couleur de peau) renvoyant à cette ancienneté inconsciente rejetée et attirante de l'époque où notre humanité vivait dans sa dimension animal naturelle originelle, celle dite, à l'ancienne, chasseur-cueilleur.

    Mais aussi à celle, plus récente, de la saleté et de la malveillance, ce que nous retrouvons dans de nombreuses expression en langue française telles que avoir de la noirceur d'esprit ou avoir une maison noire de crasse.

    Le fait du rejet de l'être humain juif est semblable en son inverse, en ce sens où il s'agit là du rejet de cette modernité par ce qui, symboliquement, la représente, étant donné que le judaïsme fut à l'origine des deux autres monothéismes, le christianisme et l'islam (même si, historiquement, il est possible de faire remonter l'origine du judaïsme monothéisme au zoroastrisme.).

    Ce rejet de la modernité provient de ce même malêtre qu'elle génère en nous du fait des contraintes qu'elle a créé depuis le début de son avènement.

    De plus, cette représentation consciente noir et juif, qui est la projection inconsciente de nos propres angoisses existentielles et de nos propres défauts rejetés, devient l'identité représentative inconsciente d'une majorité de noirs et de juifs par un aller-retour d'échanges projectifs incessants inconscients, ce qui leur font adopter les défauts dont ils sont affublé (sachant qu'ils sont, en vérité, similaires en tout points aux êtres humains à peau jaune et blanche non juif).

    Ainsi est-il stupide, voire criminel, de se représenter tous les noirs comme étant de gentils enfants plus ou moins violent, virilement vigoureux et ignorants et tous les juifs comme étant des savants et/ou des banquiers, ou au moins des gens riches, voulant conquérir le monde, et tous deux comme étant des traitres à la patrie ou de tout autre chose encore de cette sorte.

    Le rejet actuel des musulmans a une autre origine quelque peu semblable.

    La déreligiosité actuelle de l'Europe génère, encore une fois, une angoisse existentielle projeté sur les musulmans pour la double raison qu'elle y devient importante et qu'elle est la plus proche, religieusement parlant, du judéo-christianisme européen.

    N'oublions pas que toute forme de haine est toujours la projection sur un autre de nos propres angoisses, de l'impossibilité de respecter à la lettre les obligations des interdits du surmoi et de nos diverses petites et grandes vilénies.

    Le racisme et la xénophobie ont ceci de particulier d'être des projections (et ce mot est d'importance pour ce qui nous occupe, d'où sa réitération) haineuses de ces manquements, c'est pourquoi les noirs et les juifs, dans leur majorité, ne peuvent qu'être racistes et xénophobes comme la majorité du reste de l'humanité.

    Ceci parce que nous avons quasiment tous des difficultés avec notre identité et de son affirmation ainsi que nous vivons tous dans une société hautement hiérarchisée et que, dès lors, nous affirmons cette identité par les dissemblances que nous avons avec les autres et par nos projections de nos angoisses sur eux, qu'elles soient réelles ou supposées.

    Ainsi pourrions-nous déclarer: "Dis-moi ce que tu hais, je te dirais ce que tu es!".

    Tout ce que je viens d'écrire n'enlève en rien ce que disait mon arrière-grand-père quand il s'était installé en France, dans l'esprit: "Quand on arrive dans un pays on y adopte la manière de vivre de ses habitants".

     

     

    THEURIC

  • Transition!

    En ce moment nous vivons un processus de transition, ce nous entendant l'espèce humaine dans son entier.

    P1000753 - Copie.JPGUne transition est l'instant de rupture entre la forme que pouvait prendre un système évolutif passé (telle que celle d'une espèce animale ou végétale) et celui futur.

    De fait, cette transition avait débuté, pour Homo Sapiens Sapiens, dès le tout début du néolithique, soit il y a, suivant les chercheurs, de dix à quinze milles ans et, aujourd'hui,  nous parvenons à l'achèvement de ce processus.

    Il est vrai que ce qui nous occupe et préoccupe actuellement c'est bien ce que nous vivons, soit l'achèvement de ce mouvement naturel qui se trouve en une phase d'accroissement de son accélération.

    Ainsi, même les plus jeunes ne peuvent pas ne pas remarquer la-dite accélération constante de l'évolution sociale que nous subissons, que nous l'aimions, l'acceptions ou la rejetions.

    Certes, le progrès technologique en est la marque la plus visible et, ce, au travers de l'informatique sous toutes les formes que ce soient.

    Mais plus encore, si cette évolution technologique est présente c'est bien parce qu'une autre évolution la soutient, celle de notre représentation du monde, de nos conceptions, de nos concepts, voire même de nos capacités mentales et de notre inconscient collectif, mais cette évolution est loin d'être achevée, infiniment loin de là.

    Il est vrai que, collectivement, nous avons subi et subissons toujours une perteP1000831.JPG des-dites capacités, perceptible lors de tests de quotient intellectuel en Europe, de quelques points de ce qu'il en est paru.

    Là encore nous pouvons facilement suggérer que cette diminution fait, elle aussi, parti de cette période de transition, puisque nous sommes en train de transformer nos représentations passées, en vrai elles se transforment d'elles-mêmes, sans que celles nouvelles n'aient encore pleinement émergé, voire même n'en seraient qu'en leur ébauche.

    D'une certaine façon, l'humanité serait dans la situation de ce crabe en pleine mue, fragile de s'être débarrassé de sa carapace antérieur sans ne l'avoir encore pas remplacé par la suivante.

    C'est donc autant nos antédiluviens réflexes de chasseur-cueilleur que de ceux de l'agriculteur-éleveur qui sont en train de disparaître en nous sans que nous n'ayons encore acquis et bâti cette modernité mentale que nous lèguerons ensuite à notre descendance.

    Nous essuyons les plâtres de l'évolution, en quelques sortes.

    D'où nos difficultés actuelles qui ne pourrons aller qu'en s'amplifiant tant que cette mutation ne se sera pas achevée, ce qui ne pourra que naturellement prendre du temps.

    P1000873.JPGIl est remarquable que la-dite mutation prenne la forme, en Occident, surtout en Europe, aux États-Unis-d'Amérique et au Japon, d'un mécanisme de répétitivité (mécanisme et non pas compulsion) d'essence purement économique, d'avec la période s'étendant de 1929 à 1991, soit le crash de Wall Street jusqu'à la toute fin de la guerre froide.

    Quand bien même ces événements semblables à ceux passés surviennent éparpillés, si nous faisons la sommes de ceux-ci ressemblant à ceux antérieurs, nous pouvons percevoir leur cohérence intérieure, en quelques exemples:

    -Ruine de la Grèce par l'Allemagne et par les anglo-saxons, par les armes avant, par la faillite généralisé ici;

    -Domination de l'Allemagne sur le reste de l'Europe (depuis l'affaiblissement U.S. d'aujourd'hui), avec une seule monnaie et la France ayant un gouvernement inféodé à icelui (je mets de coté la réalité de la domination coloniale étasunienne sur l'U.E., en voie de disparition depuis l'élection de Trump);

    -Libération progressive de la France par les actions  anglo-saxonnes, brexit britannique et élection de Trump actuels, débarquement de Normandie hier;

    -Destruction du Japon, par bombardements passés, par perte de valeur du yenP1000667.JPG maintenant;

    -Monté d'un pouvoir autocratique en Italie, Espagne, Portugal (Mussolini, Franco, Salazar), puis renversement politique de cette première.

    -Crise économique d'échelle mondiale dont 1929 est le critère de correspondance, avec un mécanisme similaire aux deux périodes, même si les effets actuels sont bien pire qu'auparavant......

    Cherchez  bien et vous trouverez nombre d'exemples similaires.

    Cela étant dû, à mon sens, à l'intense traumatisme que furent les deux guerres mondiales, mais bien plus étendu et violente lors de la seconde.

    "Il faut trois générations pour faire un schizophrène", disent les psychiatres, or, si c'est aujourd'hui que ce mécanisme de répétitivité sociale survient, c'est bien parce que les générations étant passées, le temps est venu d'un renouveau politique et social.

    Ces deux processus, la transition évolutive et le mécanisme de répétitivité, sont tous deux intimement liés et s'achèveront en même temps dans quelques décennies.

    Le second risque fort de se déplacer d'un ensemble de régions, l'Occident, vers un P1000903.JPGautre ensemble, l'Orient.

    C'est pourquoi je crains un embrasement futur entre l'Inde et la chine pouvant fort bien se muer en un, international.

    De plus, la mutation progressive de notre inconscient collectif précédent, vieux tout de même de plusieurs centaine de milliers d'années, voire de millions d'années, depuis au moins l'avènement du genre Homo, et qui avait évolué à son rythme pendant tout ce temps long, ne peut se faire sans soubresauts violents, ceci n'est pas possible autrement.

    Notre mutation mentale est trop rapide pour que cela se fasse différemment.

    Cela ne pouvant que nous entrainer vers l'émergence de passions inconscientes sociales et collectives d'une puissance inouïe qui pourraient nous entrainer tous vers les pires des conflagrations généralisées.

    C'est pourquoi je vous exhorte, amis lecteurs, de conserver en vous votre pleine conscience en restant lucide des inimaginables forces communes pouvant se déverser et se partager en chacun de nos esprits.

    Pour l'instant encore relativement restreintes, elles prendront bientôt une ampleur incommensurable, et ce sera l'ensemble du genre humain qui sera entrainé par elle.P1000880.JPG

    Cette transition, en un processus naturel, ne sera pas la traversée d'un jardin d'enfant mais l'une des pires expériences que notre espèce aura à vivre.

    Un dure chemin initiatique collectif que nous devrons tous sillonner et que nous ne pouvons ni ne pourrons éviter.

    Cette expérience sera tout autant magnifique, terrible que dangereuse.

    C'est ce processus, qui a déjà débuté, qui nous entraine depuis des années dans des chemins conceptuels multiples, nous menant continuellement dans un sens ou dans un autre sans que nous en sentions de direction précise, sans que nous en pressentions la logique interne,sans même que nous le percevions, justement parce que le sens de toute choses en vient, en nous, à s'évanouir.

    C'est pourquoi, également, nous nous retrouvons à vivre cette rétrogression historique dont je vous ai entretenu auparavant (voyez les barbes fleurir comme à la belle époque de la III° république).

    Ce socle passé vers lequel nous nous dirigeons étant devenu la matrice inconsciente rassurante, le socle solide sur laquelle il nous sera possible de reposer notre esprit sociétal tant tourneboulé.

    Observez cela, amis lecteurs, parce que c'est cette seule observation, sans colère, P1000883.JPGreproche, dégoût ni irritation, qui permettra à chacun de conserver un tant soit peu de cette indépendance d'esprit qui fonde et forge notre liberté de penser  et notre indépendance d'être.

    Seule source du choix possible en face de cette vie tumultueuse future.

     

     

    THEURIC

  • Appel à une nouvelle renaissance 1): De notre situation présente!

     

    Chaque époque fit apparaître les outils intellectuels nécessaires pour accompagner et donner sens aux nouveautés émergentes.

    Qu'ils soient philosophiques, politiques, religieux, scientifiques, technologiques, économiques..., ces outils offrent, en plus d'un discernement du présent, les options évolutives charpentant les réflexions futurs.

    Je suis souvent surpris par la vétusté de la majorité des concepts contemporains incapables de rendre compte des profondes métamorphoses actuelles.

    Nous mutons! Cette mutation, amorcée depuis plus de 10 000 ans, en lien intangible avec l'agriculture et l'élevage, nous fait définitivement quitter les époques lithiques, temps des chasses et des cueillettes, de la simple naïveté tribale, pour entrer, sans retour, dans une nouveauté encore sans nom.

    Combien de passions, de cris, d'amours et de tourments, combien d'esprits, d'études et d'inventions, combien de sottises, d'ignorances et de perversions menèrent, amenèrent, transmutèrent le monde.

    En croissances continues et discontinues l'humanité arrive, enfin, au début de son histoire, de son ère. La roue, la métallurgie, les religions, l'agriculture, l'élevage, l'écriture..., la liste est longue de ces inventions qui apportèrent, chacun, sa contribution aux secrets développements de nos intellects.

    Et nous en contemplons, là, la fin de son commencement!

    Nous éveillâmes progressivement, en nous, les capacités d'actions et d'abstractions qui fondent notre essence profonde et y abandonnâmes, peut-être avec regret, une infantile innocence en une perte fertile et incontournable comme l'adolescence éveille, en l'humain, l'adulte, en une perte définitive de ses puérils fondements.

    Certes, aujourd'hui, sommes nous sûrement face aux périls les plus grands que notre espèce ait à affronter, or, ce n'est pas en ressassant éternellement nos lointaines antiennes, ces nécessités passée, tant utiles et bénéfiques à nos si barbares ancêtres, mais inadaptées aux réalités contemporaines, incapables de rendre compte des circonstances présentes, à l'image , entre autre, des religions ou de la grande part des idéologies politiques ou économique..., que nous comprendrons et nous nous adapterons à ces vicissitudes. J'en appelle donc à une évolution, une mutation de la pensée, à un saut qualitatif et quantitatif de notre représentation du monde!

    C'est pourquoi j'en appelle à une nouvelle renaissance !

     

    Nous délaissons, donc, la sécurité des temps anciens.

    Ce n'est pas tant que tous les ordres du passé s'abolissent, viennent s'y juxtaposer nombre d'innovations en une complexité jamais atteinte.

    Ces nouvelles dispositions, nouveaux discernements, nouvelles contraintes et libertés, nouvelles capacités de réflexions, d'actions, nouvelles relations à soi, aux autres, au monde, de fait, nous mènent à de nouvelles aptitudes.

    Plus encore, nous sommes au-devant d'un changement, d'un intense chamboulement dont le cœur se trouve, dans l’immédiat, au-dedans de ce saut technologique que sont les outils de l'information, aboutissement provisoire de ces cinq bons siècles d'évolutions occidentales appelés renaissance suivit de la révolution industriel, cela faisant suite aux dix à vingt millénaires d'évolution humaine que furent notre histoire depuis que s'amorça le néolithique, voire des quasi deux cent mille ans qui nous séparent de l'apparition du premier Homo Sapiens, si ce n'est des près de deux à trois millions d'années qui virent paraître l'originel représentant du genre Homo, chamboulement, donc, qui, vaille que vaille, se fît dans chaque recoin de notre planète où notre humanité pu s’installer.

    Cette révolution atteint, aujourd'hui, le point critique d'une crise majeur non pas en raison d'une présupposée perversité de notre intelligence si humaine mais parce que notre psyché, notre esprit qui s'est, pour un large essentiel, bâti lors de ces centaines de milliers d'années faites de chasses et de cueillettes, s'est vu, ensuite, incomplètement éveillé, élevé, muri par la quinzaine de millénaires que fut le néolithique.

     

    Le chamboulement que fut l’émergence de cette chose inouï que peut-être l'esprit de notre race au sein de la nature est possiblement égale à ce que put être l'apparition des premières bactéries productrices d'oxygène, premier champignon xylophage ou du carnivore initial, c'est à dire que, comme à ces époques reculées où l'apparition de tels êtres dû produire, sur le vivant du moment, de grands ébranlements, nos capacités ne peuvent pas, dès maintenant, ne pas occasionner d'intenses convulsions sur les écosystèmes.

    Aujourd'hui, nous sommes à l'ère d'une fantastique accélération de ce processus, la pollution vient, justement, de ce que nous restons principalement sur les fondements des XIX° et première moité du XX° siècle et que nos modes de penser n'ont que peu évolués depuis la fin du paléolithique.

    Pour les mêmes raisons, nos sociétés subissent commotions, troubles et convulsions venant de forces antagonistes qui nous secouent, la principale étant, en Occident (Japon compris), une infinie faim en une modernité redoublée contrée par une considérable fatigue de vivre l'histoire et d'un obscurantisme obtus et sot dont le lucre d'argent, ses thuriféraires néolibéraux et les adeptes aux délirantes ivresses religieuses n'en sont que les pauvres et dangereux représentants caricaturaux et outranciers.

    Les pays dits émergents (expression ô combien méprisante) subissent, eux, ce que nos aïeux subirent il y a plus d'un siècle : une industrialisation prodigieusement rapide doublée d'une montée en puissance de la formation de tout ce qui fait les hautes études : ingénieries, sciences, hautes administrations, etc... .

     

  • Ô, les belles questions...!

    Quelles bières aiment les croques-morts?

     

    Des sœurs jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Un heurt de bonne heure est-il digne d'un doux heur?

     

    Un bienfait est-il, en soi, bien fait?

     

    Pourquoi le café frais est-il toujours chaud?

     

    L'athée aime-t-il le bon thé?

     

    Les roubignoles concernent-elles les pneus de la voiture du concierge?

     

    La concierge est-elle la bougie d'église au féminin?

     

    Sans thé le britannique est-il en pleine forme?

     

    La trompette est-elle une petite tromperie ou d'un éléphant qui éternue?

     

    Être content voudrait-il dire qu'il pleut?

     

    Les anneaux de Saturne tournent-ils?

     

    La tortue, certes, mais le tort tue-t-il?

     

    Cherche-t-on le tout de son cru?

     

    Le violoncelle se joue-t-il à cheval?

     

    De quelle année est l’amphithéâtre?

     

    L'hôte est-il celui qui invite ou l'invité, s'il ne serait pas le sac du Père-Noël?

     

    Lors de la lancée du  disque aux JO, lequel choisir entre le vinyle et le CD?

     

    L'éternité a-t-elle une fin et... qu'y aurait-il après?

     

    Le con d'une femme serait si stupide que cela?

     

    L'abricot concerne-t-il les arrêts de bus?

     

    En prendre plein sa poire est-il pour sa pomme?

     

    Avoir la banane signifie-t-il qu'on est au régime?

     

    Un trou de balle est-il mortel?

     

    Quand deux choses convergent, cela est-il sexuel (haaaaa l'amour)?

     

    Un message est-il le masculin d'une messe sage?

     

    Un mitron, d'accord, c'est la moitié d'un tronc, que serait-il alors du litaire?

     

    Cela dessert-il de recevoir une tarte?

     

    Le gobelet concerne-t-il la tétée du nouveau-né?

     

    Berne est-elle en Suisse ou la Suisse est-elle en Berne?

     

    Lorsque l'on dit bonjour, cela voudrait-il dire qu'il ferait beau temps?

     

    D'avoir du pain sur la planche voudrait-il dire que l'on aura du blé?

     

    Recevoir une paire de baffle fait-il mal?

     

    Un hibou est-il chouette quand la vapeur d'eau sort de la casserole?

     

    Peut aller loin à cheval sur ses principes? 

     

    Pourquoi les mésanges ne sont-elle pas toujours au ciel?

     

    Fait-on un four de rater un plat?

     

    Un aléa, et pourquoi ne pas dire un aller b, à quoi servirait donc l’alphabet, sinon?

     

    Qui donc monterait-il dans un car, sinon un tiers?

     

    Boit-on un demi avec sa moitié?

     

    Quand on est dans les nuages, s'envoie-t-on en l'air?

     

    Nous, français, avons la pub, les britannique ont le pub, du masculin au féminin, à chacun ses définitions, n'est-ce pas?

     

    Et après cela, voudriez-vous que je vous dise quoi?

     

     

    THEURIC

     

    PS : Quoi!

  • Du tunnel cognitif à son double déni.

    Guêpe germanique (Vespula Germanica)

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Comme j'ai pu l'exprimer à mon billet précédent, j'émets, en tant que penseur brut, une série d'hypothèse, j'effectue, de la sorte, un travail philosophique en explorant la réalité.

    S'il s'agit d'hypothèses et non pas de théories, c'est parce que je ne détiens pas les outils nécessaires pour en prouver la pleine et entière véracité, pour les développerP1050232.JPG par une activité scientifique, ce ne sont donc que les résultats des processus purement réflexifs sans que, comme tous purs philosophes, je ne puis en apporter les preuves concrètes.

    Il ne peux que s'agir, dès lors, que de démonstrations, sans en y apporter un étayage chiffré et clairement précédé d'études approfondies et détaillées.

    Le but premier de ladite philosophie est, comme je l'avais précédemment conté,  de structurer la pensée en tant que constitution devenue première de nos mécanismes mentaux, puisque permettant de scinder inconscient et conscient en faisant émerger la conscience en tant que telle, là encore, composante essentielle et elle aussi devenue dorénavant incontournable de nos dispositifs de cognition.

    Cette double émergence ayant contribué, pour nos lointains aïeux, à percevoir avec une pertinence accrue cette réalité et, dès lors, de faire progresser leurs puis nos démarches mentaux, donc de notre compréhension du monde tant sur le plan temporel que de ce qui est constitutif à la véracité des faits de ce qui est perçu et vécu.

    Or, la pensée mais aussi la conscience qui en est est la résultante, en tant que nouvelles fonctions psychiques, sont extrêmement jeunes, dont je situerais l'émergence aux alentours des 20 000 ans antérieurs à notre modernité.

    De ce fait, elles sont toutes deux d'une très grande fragilité et peuvent, pour diverses raisons, être gravement affectées sous formes différentes.

    P1050182.JPGAinsi, une grave angoisse due à ce que se produise une rupture dans ce que je nomme notre "composition de sens" ne peut que mener à ce que la pensée en soit sérieusement perturbée en en atteignant notre perception et compréhension de la matérialité du réel.

    ( Ceci accentué par la structure de socialité, soit les concepts, considérations, opinions, notions, us et habitus du et/ou des groupes constitués, où chacun contribue, dedans lesquels nous vivons: milieu social, professionnel, amical, associatif qui, par un effet d'entrainement, tend à rendre difficile, voire parfois impossible, la prise de conscience de la fausseté potentielle de ces acceptions partagés. )

    J'émets ainsi l'idée qu'un nombre important de personnes, tant au gouvernement, dans la classe politique et syndicale, dans la haute administration, dans les médiats officiels, au sein de l'oligarchie ainsi que d'une proportion de la population, dont les islamistes de tous bords, souffrent d'un tel mal.

    Ce qui ne retire en rien de ce que j'ai pu expliquer auparavant des causes autres de nos difficultés présentes.

    Etant entendu que la seule manière de se guérir de cette altération psychique, pouvant se montrer importante, ne peut qu'être que d'en prendre conscience en saisissant toute la fausseté des suggestions antérieurement mises en place.

    Cette conscience nous permettant ensuite de nous adapter au mieux aux évolutions sociétales en cours, ce qui nous était antérieurement ardu, voire ici impossible.

     

    Du déni lié à l'achèvement de notre dominationP1060206.JPG impériale et de l'idéologie néolibérale:

    Il est vrai que j'ai, de multiple fois, traité de ces deux sujets, ceci parce qu'ils me sembles centraux pour comprendre les événements telles que nous les vivons, les observant, à chaque fois, sous un angle différent.

    Capital, pour moi, en en étant d'en concevoir, d'en conceptualiser au mieux les faits puis de vous en proposer les résultats, ceci affin d'éviter de ce que, aux difficultés matériels auxquelles chacun se doit et se devra bientôt de se confronter, ne s'en rajoutent pas celles psychologiques rendant l'ensemble ingérable.

    Mais aussi, peut-être plus encore, pour que ceux pour qui l'action devient d'évidence, pouvant même provenir de la police, de savoir à quoi ils s'affrontent, soit à un déni manifeste de ceux notés plus haut, de ce que leur monde dedans lequel ils se concevaient exister s'effondre.

    Cette série d’acronyme: UE€/OTAN/USA, que j'utilise pour désigner leur univers, montrant le lien indéfectible qui existe entre-eux.

    Qu'ils conçoivent plus ou moins inconsciemment, là se trouve l'hypothèse que je dépose ici, que cette mouvance impériale organisationnelle puisse disparaître en un court laps de temps génère en eux une très douloureuse crise d'identité les conduisant à une angoisse de même intensité qui, de ce fait même, leur fait se P1060536.JPGrompre leur composition de sens.

    Pour, eux, tenter de surmonter cette détresse psychique, ne leur laisse pas d'autre choix que de nier ces faits et de continuer d'agir comme si cela ne se passait pas ainsi, de la même manière que par le passé.

    Ce déni, mécaniquement, amenant des décisions collectives dont le but sera de ce que cette perception qui leur est effrayante et déliquescente de leur réalité puisse leur être dissimulée, voilée à leur conscience, en une scission névrotique entre ce qui est perçu et en est saisi.

    Ce but illusoire étant de poursuivre et d'achever la construction européenne, d'obéir à ses injonctions, et, dans le même temps, parce que leur dogme est celui du néolibéralisme, de se faire de l'argent, c'est pourquoi il se dit, sûrement avec raison, que l'un de leur dessein est de conduire, en la terrorisant, la population à accepter un vaccin contre ce coronavirus provenant des Etats-Unis-d'Amérique, puisqu'ils imaginent la France, et/ou l'Union-européenne, suivant chacun, être le 51ème état de ce pays.

    ( L'une des preuves la plus manifeste de ce que j'avance est le fait que, à la télévision française, nous est parlé des élections étasuniennes comme si l'on nous demandait, à nous, la population de France, de devoir choisir et voter pour Biden plutôt que pour Trump, pour les démocrates plutôt que pour les républicains, ce qui est, vous le reconnaîtrez, absurde. )P1050933.JPG

    Ainsi voyons-nous les syndicats discuter avec le gouvernement, comme si de rien n'était, de la disparition des indemnités chômages au moment même où ce nouveau confinement s'annonce, ceci à l'orée de l'effondrement de l'économie-monde et du début d'une guerre civile aux USA dont personne ne peut prévoir ni les enchaînements, ni les conséquences, en ce seul exemple parmi tant d'autres.

     

    Le tunnel cognitif:

    A mon sens, il s'agit là d'un phénomène similaire à ce qu'il se produit, en aéronautique, lorsque le pilote de l'avion  perd ses reperds, pour une raison quelconque, lors du pilotage de son avion: il s'agit d'un tunnel cognitif.

    Ici nous discutons de quelque chose de collectif où il nous est loisir de percevoir que, quoi qu'il puisse se passer, les sujets agissent à l'encontre du contexte véritable en une forme d'accord informel, où, de plus, leurs discordes sont, eux aussi, tout autant déconnecté de la réalité, ce que nous pourrions appeler, en reprenant une vieille formule: le syndrome de la dispute du sexe des anges.

    L'image, qui pour nous pourrait être dérangeante, que j'en ai conçu, en tant qu'un tel tunnel, est celle d'une perception, pour ces acteurs, d'être plongés dans les ténèbres d'un très longs souterrains, d'une lumière lointaine, fantomatique, qui ne leur serait qu'à peine perceptible au loin,  qui leur serait donc P1060130.JPGleur but chimérique, fantasmatique vers lequel ils se dirigeraient.

    Sans pouvoir percevoir que, de fait, ils se trouvent en pleine lumière, hors de toute troué, n'entendant ni ne voyant aucunement la claire réalité.

     

    L'effondrement de la composition de sens:

    L'effondrement de sa propre composition de sens est gravissime pour celui qui le vit, ceci d'autant plus l'âge avançant.

    C'est pourquoi, dans l'un de mes billets précédents, j'avais raconté l'histoire de cet ami de mes parents, militaire officier à la retraite de l'Allemagne-de-l'est, que je connaissais, et qui, peu d'années après la disparition de la RDA, mourut d'une crise d'asthme.

    Nos énergumène qui, pour l'instant encore, nous dirigent, croient véritablement autant à la dangerosité apocalyptique du SRAS-COV-2, de l'inefficacité de l'hydroxychloroquine, que de ce qu'il est plus difficile d'éviter les effets de cette maladie en confinant les gens chez-eux que de rebâtir, avec aisance rêvassent-ils, un système économique ainsi détruite.P1060103.JPG

    Ces explications n'excluant d'aucune façon leurs responsabilités multiples des effets de leurs décisions et de leurs trahisons nombreuses.

    S'ils se retrouvent au-devant de juges, si, auparavant, ils sont conspué par la population, si celle-ci se révolte, il n'y aurait là que de la simple cohérence populaire.

    Du-moins est-il bon que chacun comprenne de quoi, mentalement, il s'en retourne pour eux, ne serait-ce que pour qu'ils évitent une angoisse inutile, qu'ils comprennent, si ce n'est déjà fait, pourquoi nos économies vont vers la faillite, de s'y préparer, et comment agir au mieux pour ceux qui se décideraient à l'action.

    Chaque décision, chaque action, chaque pensée et chaque parole de l'Être Humain a sa logique propre et sa raison d'être, même si cela se révèle être délirant, même la pire des déraisons à ses raisons et ses causes.

    Le tout en étant d'en comprendre le fond.

     

     

    THEURIC

    Pour le plaisir des yeux.

    P1000191.JPG

  • Essai d'une petite réflexion géopolitique.

    Un affrontement majeur n'aura pas pour cause le Proche-Orient, qui reste, quoi qu'il en soit, comme toutes régions frontières et frontalières, une marge, déstabilisé et déstabilisante parce que toujours aux marches de et entre plusieurs puissances (comme les Balkans),  mais il se situera plutôt à la frontière de deux géants voisins en puissance et en développement: entre la Chine et l'Inde.
    Certes, le Proche-Orient peut être un déclencheur (comme aux Balkans et l'attentat de Sarajevo en 1914) mais pas la cause première (les tensions entre Allemagne/Autriche et France/Angleterre/Russie).
    Pour l'instant les évènements probables sont peu lisibles parce qu'il n'y a pas encore une structuration géopolitique véritablement définie, la crise économique première qui ne va pas tarder à advenir, que tous attend et redoute, n'est pas encore passée.
    Elle verra et mettra fin, au mieux, à l’hégémonie américaine, mais plus sûrement à l'existence même des U.S.A..
    Pour l'instant ce pays gesticule pour cacher ses insurmontables faiblesses, l'Europe et Israël a essayé, jusqu'à présent, de s'en voiler la face, mais frémissent les signes d'un revirement, jusqu'à l'Angleterre qui se détourne de son mentor.
    Le reste du monde à d'ores et déjà compris la situation réelle du déclin du second protagoniste de la guerre froide: les États-Unis-d'Amérique suivront sous peu l'U.R.S.S. dans sa disparition.
    Mais à ce jour aucune véritable composition géostratégique ne s'est réellement faite bien que quelques trais se détachent tel que les dissentiments entre la Turquie et l'Iran mais cela même peut évoluer avec le temps.
    Quand à l'Islam, il est traversé d'une contradiction quasiment insurmontable entre une religion et une modernité inconciliables et des enjeux géopolitiques et pétro-politiques dantesques à l'heure de l'épuisement progressif d'une extraction pétrolière de faible coût.
    La multitude de bulles spéculatives parsemant le monde, dont la profusion de surproductions de dollars, yens et livres sterling est moteur, risqueront fort d'éclater quasiment dans le même temps.
    Cet éclatement est déjà par avance et sera sous peu le véritable détonateur de toutes les tragédies des prochaines décennies.
    Ce sera lui le facteur essentiel de la cristallisation, entres autres, des diverses alliances et discordes internationales futures.
    Mais ce qui est aujourd'hui visible ce sont les puissantes forces  centrifuges qui agitent l'Inde comme la Chine dont la modernité n'en est pas moins, ici aussi, le premier responsable (si tant est  que la modernité, comme tout processus, puisse être responsable de quoi que ce soit).
    C'est le déplacement de ces fortes distensions internes à chacun de ces pays hors de leurs frontières qui me fait craindre le risque d'un conflit majeur entre ceux-ci en raison du jeu géostratégique complexe que cela ne pourra pas ne pas générer en Asie.


    THEURIC

  • L'impression d'une énigme, un graphique, une idée en s'endormant et la surfusion.

    Hier soir j'ai découvert le blog de Monsieur Michel Santi (http://www.gestionsuisse.com/) qui y exposait ce graphique sous le simple titre de: "Quelle reprise économique?" et seulement deux phrases:

    "Celle qui ne concerne que ceux qui sont investis en bourse?
    Constatez par vous-même la déconnexion entre P.I.B. mondial et bourses mondiales"

    Bien sûr, rouge pour le P.I.B., bleu pour la bourse.

    20131213_cross

     

    Pourquoi donc la bourse, avec un tel déséquilibre ne s'effondre-t-elle pas quand il  nous suffit de constater de telles instabilités?

    C'est peu après m'être couché que je me suis remémoré l'histoire des chevaux russe qui, en 1942, lors de la bataille de Leningrad, et suite à l’incendie de forêt dû aux bombardements, se sont réfugiés dans les eaux du lac Lagoda.

    Or, un fort gel s'était installé depuis peu de temps dans cette région mais ce lac n'avait pas encore gelé parce que ses eaux étaient en état de surfusion, c'est à dire que bien qu'elles furent de beaucoup en-dessous de zéro degré, elles n'en restaient pas moins liquide.

    Pour plus de précision je vous invite à aller voir, sur internet, à "surfusion", la question est des plus passionnante et vous y trouverez des site vous expliquant cela bien mieux que je ne le ferais.

    Ces eaux, lors de la tentative de ces animaux apeuré de fuir le bombardement et l'incendie en en traversant le lac, se sont gelées d'un bloc lorsque ces bêtes se sont mis à y nager ne laissant plus à voir, ensuite, que les têtes glacées des équidés morts, c'est ce gel soudain qui fait la particularité de ce rare état de l'eau encore liquide par grand froid, provenant de la baisse rapide de la température et de l'absence d'impureté ou de remous.

    Cela s'appelle un état métastable.

    Cela pour vous dire que je me suis demandé si les bourses et l'ensemble des bulles spéculatives mondiales n'étaient pas dans une situation similaire de surfusion où la vitesse de développement des bulles spéculatives y jouerait le rôle du refroidissement, l'économie mondiale celui de l'eau et le krach futur celui de la glaciation.

    Cela voudrait dire, si j'ai raison en cette supposition, que ce krach, lorsqu'il surviendra, sera extrêmement rapide, autant dans ses effets que dans son expansion, ce que je situerais environ de l'ordre du mois.

    Cela voudrait dire aussi qu'il est improbable de définir une date pour cet effondrement puisque, plus le temps passe, plus l'insignifiance d'un évènement quelconque suffira à ce que cet effondrement se produise, plus le temps passe et plus insignifiance sera cet évènement qui fera cet effondrement.

    Je sais que cette idée puisse générer de la peur et de l'angoisse mais si je vous la confie c'est pour que vous, amis lecteurs, au moins, ne soyez pas paralysés par la stupeur lorsque cela surviendra, parce que ce sera cette stupeur qui nous sera le plus dangereux, stupeur qui a en synonyme interdit.

    Ainsi, la moindre des plumes d'oiseau suffira au désordre du monde.


    THEURIC


     

  • Les choses de l'esprit: le faux sentiment de facilité, l'enfantillage.

    Il se dit que la différence entre le XVIII° siècle et aujourd'hui c'est qu'à l'époque avec des moyens dérisoires nos anciens avaient des buts grandioses quand aujourd'hui avec des moyens grandioses nous n'avons plus que des buts dérisoires.

    Ce qui est le plus fascinant en notre période c'est qu'il nous est possible de nous instruire d'une foultitude de sujets du passé comme du présent, de suivre, voire de prendre parti lors de disputes entre professionnels, mais de s'apercevoir qu'au plus haut de notre société ce fait ne semble pas être la norme.

    En effet, pour pouvoir faire des choix, décider, organiser, ordonner en période de crise, comme il en est de celle sanitaire en voie de résolution, certes, faudrait-il d'abord avoir le bagage de connaissance nécessaire pour pouvoir absorber et comprendre le nombre d'information survenant à grande vitesse, d'être dans la capacité d'en prévoir les implications probables, puis de décider au plus vite.

    Mieux encore, de prévoir en avance sa survenue puis d'agir, là encore, enP1020881.JPG conséquence.

    De ne pas, de plus, écarter les gens capables, ceci parce que l'incompétence craint toujours les plus compétents qu'eux.

    Puis que, pris dans la panique de l'indécision et de son incompétence devenu de ce fait notoire, de ne faire que répéter, en supplique à son mysticisme dogmatique, en le caricaturant, les mêmes actions mais accentuées qui conduisirent à la situation déplorable passée, conduisant à celle pire qui est nôtre maintenant.

    Mieux même, de ne pas faire comme notre gouvernement, de ne pas savoir se remettre en question, de ne pas percevoir, pour chacun, le très bas niveau de ses capacités véritables.

    Tout en tablant sur le fait que, d'avoir été pourvu, comme il en fut d'avant 1789 d'une bonne lignée généalogique, d'un cursus prestigieux, acquis quelques diplômes de haute facture, d'avoir été élus de longue date, ne  pouvait que déterminer ces acteurs politique de l'état d'avoir l'efficacité la plus totale.

    Puis de se rendre compte, lorsque survient la catastrophe, que leur parfaite incompétence, rendue momentanément invisible le mois suivant les élections nationales par le simple fait qu'ils n'avaient, jusque-là, que d'obéir aux injonctions des GOPEs provenant de l'Union-Européenne, mènerait la France au bord de sa banqueroute et de la guerre civile dès lors que la situation les mèneraient à devoir véritablement choisir et agir.

    Sauf à ce qu'il faille un Quotient Intellectuel important pour ainsi faire une telle remise en question de ses choix et de ses décisions, ce à quoi je ne souscris pas, je conçois que chacun d'entre-nous, sauf ceux souffrant  d'un crétinisme profond ou d'une psychose (telle que la perversité narcissique), est dans la capacité, au moins P1030521.JPGpartiellement, de cette remise en question qui, je le sais, ne peut qu'être que douloureuse.

    Ceci d'autant plus que le leurs dits acquis intellectuels se devraient de les mener à cette réflexion approfondie qui, en amont de toute prise de fonction, se devrait d'être la première de leur responsabilité: "Suis-je apte ou non à la fonction que l'on m'offre, et si non, suis-je en capacité de me développer, de m'améliorer pour avoir l'aptitude de l'assumer?"

    C'est pour cette raison même que moi-même ne ferais jamais de politique agissante, même en tant que simple militant de base.

    Qu'il en soit de la politique comme de toute autre fonction sociale, mais surtout politique, journalistique et économique, il est visible que cette faiblesse consistant à ne pouvoir utiliser ses connaissances et son expérience pour pourvoir à la résolution d'une crise d'une quelconque importance traverse, d'une manière plus ou moins grave, les plus élevées des hiérarchies des sociétés ouest occidentales où, au discernement, s'est substitué le dogmatisme le plus obtus.

    Qui, dans notre gouvernement  et sur les bancs de l'assemblée nationale et au sénat se serait posé cette simple question: "Suis-je à même d'avoir les capacités d'être désigné en tant que ministre ou éligible en tant que député ou sénateur de la nation?"

    Pays nordiques, anthropologiquement spécifiques, Suisse, hors de l'Union-P1030021.JPGEuropéenne, Allemagne, dirigée par des anciens de la RDA, Hollande, qui n'a d'intérêt pour l'union que de ses propres avantages, et Portugal, se situant à l'extrémité sud-ouest de l'union, tous ceux-là y compris mais de manière moindre, la pandémie au coronavirus SRAS-COV-2 démontre, par le nombre de morts, les manques criant d'intelligence réactive des pouvoir exécutifs et législatifs de ceux qui furent les pays de l'ouest, France, Espagne, Italie, Grande-Bretagne, Irlande, Grèce, tous ces pays qui se retrouvent, à cause même de l'UE, gravement désindustrialisés et, disons le, en ruine.

    Suivant en cela le même chemin que leur mentor, les Etats unis, se retrouvant dans une situation pire encore que la nôtre.

    S'il fallait en définir simplement au mieux les raisons, je dirais pour ma part que son origine se trouve dans la puérilité desdites élites de ces pays qui, bien qu'ayant sûrement accumulé une masse de connaissance importante, n'en sont pas moins dans l'incapacité d'en  faire un usage éclairant et utile.

    ( Le gouvernement de la Grande-Bretagne, lui, est dans l'état particulier d'un entre-deux de sa refondation en raison de son brexit, la France, quant à elle, n'est pas encore, toujours dans l'UE, d'être dans la capacité de pouvoir l'amorcer, mais auquel l'Italie semble s'ancrer, ensuite l'intendance intellectuelle suivra pour tous trois.)

    Ce simple exemple que raconte le docteur Violaine Guérin en est symptomatique.

    P1030089.JPGCes élites obéissent, elles ne savent que faire cela, d'ailleurs, hormis Boris Johnson et son équipe qui dut batailler ferme face aux universitaires pour pouvoir faire sortir sa nation de l'union et celles italiennes qui surent faire appel à des puissances hors Europe en raison de la pandémie, les autres suivent les désires des uns et des autres sans autre idée de comment faire gouvernement.

    Ce ne sont que des enfants qui suivent les directives sans vraiment en comprendre le traître mot.

    Bien entendu, il s'agit maintenant de définir en quoi ce sont des enfants ou, pour rares d'entre-eux, des pervers narcissiques.

    Il s'agit de faire la distinction entre l'adulte qui, l'âge venant, apprend de la vie en utilisant pour cela toutes lesdites connaissances et l'expérience accumulées, de la grande personne qui ne peut être dans la capacité d'ainsi évoluer au fil du temps et qui, quoi qu'il se passe dans sa vie et apprend, reste immobilisée par sa structure infantile passée, quelle qu'en soit les raisons.

    Il s'agit donc de personnalités immatures que nous pourrions dire seulement obnubilées par les seuls principes de plaisir, c'est à dire que par de la seule jouissance.

    Tel que l'oligarque contemplant avec plaisir le chiffre de son compte en banque bienP1030145.JPG rempli d'un argent qu'il ne dépensera jamais.

    D'un PDG d'une entreprise pharmaceutique qui, d'un ego démesuré, veut absolument mettre en vente un vaccin à un prix important pour une maladie pandémique que des médicaments peu chers peuvent guérir, entre appât du gain et perversité.

    D'un ministre qui ne reçoit que des réponses simples à des problèmes qu'il ne peut pas comprendre et qui s'en angoisse et auquel on dicte ce qu'il doit dire et faire, mais ravi du poste qu'il occupe, qui s'en délecte.

    D'un journaliste content de ne faire, écrire et dire que ce qu'il lui est intimer, parce qu'il lui est impossible de faire autre chose, abusant, là encore, du mensonge et de la perversité, mais jouissant de ce que son nom, sa voix et son  visage soient connu.

    D'autres exemples peuvent ainsi être déclinés où, au-delà de tout ce que j'ai pu démontrer, la base de nos difficultés se trouve être à ce que, à la direction de notre nation, ne se trouve le plus généralement que des gens qui n'ont de mode de pensée que celle de leur enfance.

    C'est ainsi que 50% des professeurs émérites votèrent pour Monsieur Macron au premier tour, ceci parce qu'ils reconnurent en lui leur semblable: un enfant incompétent et jouisseur d'une manière primaire mais déconnecté de toute réalité, d'esprit de responsabilité, de raison et de vertu.

    P1030571.JPGCe qui est le cas de tous ceux qui votèrent pour lui, sauf des vieilles dames qu'il faisait fantasmer.

    Vous trouverez dans mon texte précédent les raisons d'être de cet état de fait.

    Toutefois j'y rajouterais ceci: les outils informatiques donnent l'impression qu'ils offrent toutes les réponses aux questions que nous nous posons.

    Or, ledit outil ne fait que quatre choses, nous divertir, nous donner des informations, les déterminer plus justement en contrecarrant la propagande et la censure et nous aider à nous exprimer et à communiquer.

    Mais le jour où il nous répondra directement aux question que nous nous poserons il ne sera plus utile, simplement parce que devenu trop complexe, il fera des erreurs.

    L'informatique n'est qu'un outil et sans plus, un succédané d'une intelligence qu'il ne peut détenir mais qui peut nous aider à développer la nôtre propre.

    Mais c'est  bien parce qu'il nous semble détenir toutes les vertus que nous croyons qu'il contient toutes les réponses, ce qui mène à de la flemme intellectuelle.

    Ce serait comme si nous ne tenions pas le clou avant de l'enfoncer dans le mur parce que le marteau cloue n'importe quelle pointe.

    Le livre nous permet d'acquérir une grande culture, l'informatique, au travers duP1020050.JPG WEB,  qui en est son extension, nous permet, quand à elle, de découvrir ce qui, sinon, nous serait ignoré, mais aussi, je l'ai dit, de nous y exprimer tant par le son que par l'écrit, connaîtrais-je sinon la Chanteuse Marguerite?

    Alors, amis lecteurs, si le mot culture recouvre autant celui du sol nourrissant le corps que celui du savoir nourrissant l'esprit ce n'est pas pour rien, et autant l'informatique nous permet de découvrir ce que nous ignorions, autant l'ouvrage, lui, nous permet de profondément comprendre de quoi il s'agit.

    Alors, sinon que de devenir sages, commençons d'abord par devenir savants.

    Et pour notre nation, songeons à comment nous allons faire pour remplacer tous ces enfants qui nous gouvernent et qui, à la moindre anicroche, paniquent ne sachant que faire en écoutant le moindre gourou qu'ils décrètent conseillé-expert.

    Et le reste du temps s'admirent devant leur miroir déformant en obéissant qui à DC la folle US, qui à ceux leur étant supérieurs en France ou supposés tel ou munis de belles paroles, qui à des agents bruxellois, qui, tous,  pareillement infantiles, suivent les consignes de leur dogmes obtus sans même vraiment comprendre de quoi il s'agit, n'en en étant totalement incapables.

    Songez que cette crise sanitaire n'est pas la cause de celle économique qui arrive et il P1030600.JPGest à prévoir qu'à la vue de la manière avec laquelle notre équipe de branquignol à pu gérer celle d'aujourd'hui, celle qui s'approche les mènera à tous les travers possibles et imaginables, pire que précédemment et pour nous à des difficultés gravement redoublées.

    Alors, faites vos réserves...

     

     

    THEURIC

  • Suite au texte précédent, je renouvelle mes conseils.

    Certes, le pauvre sir qu'est Macron ou la prêtresse de Poutine, la mère Le Pen, sera sûrement élu, mais basta, le raz de marrée monétaire balaiera toute cette fange oligarchique par la ruine universelle vers laquelle cela nous conduit.

    Alors, ayez à l'esprit qu'au-delà de ces élections, importantes bien sûr, d'où mon texte précédent que vous devriez lire, nous nous devons de nous préserver de cette déferlante monétaire.

    P1000747 - Copie.JPGC'est pourquoi je copie-colle une série de conseils que je vous avais préalablement servi.

    les voici:

     

    Faites donc des réserves, ayant moi-même compté au minimum:

    -quelques jours, voire deux semaines de menues monnaies, ne serait-ce que pour quelques courses, le pain, notamment, ceci étant dû au fait que les banques ayant fait faillite, il faudra du temps pour que le gouvernement réagisse ou ne soit renversé, pour qu'enfin celles-ci soient nationalisées (il en sera de même pour les assurances, il vous faudra être prudent);

    -si vous avez des économies dans une même banque, répartissez dès aujourd'hui cette somme dans plusieurs autres, l'une peu disparaître mais pas l'autre;

    -trois mois de nourritures pouvant se conserver, pâtes, riz, plutôt complet, légumes voire fruits secs, farine, sucre, huile, beurre, ...,plus des conserves si vous en avez la place, du café aussi, le temps que les acheminements de vivres reprennent, l'agriculture française existant encore (pour combien de temps?);

    -faites un potager, vous pouvez dès maintenant acheter les outils, des graines au plus tôt, faites le bêchage de printemps, semez  des tomates par exemple, pour avoirP1000816.JPG votre récolte au plus tôt;

    -ayez des poules pour les œufs puis la viande, pour vous et aussi pour du troc;

    -comptez un an de produit de première nécessité, pour le corps (savon, shampoing...) comme pour la maison (javel ou vinaigre blanc, lessive, P.Q....), songez à ce que quasiment plus rien n'est produit en France;

    -ayez de quoi faire du troc pour deux à trois ans de ce qui n'est plus produit sur notre sol, soit presque tout, tout pourra faire l'affaire, des cigarettes pour les non fumeurs (les autres les fumeront), du chocolat, du café (là encore il sera dur de ne pas résister), mais aussi du papier, du cirage, du savon en rab, de la peinture, du bois de chauffe, des piles, des lampes..., etc..., enfin,  de tout ce dont nous avons tous besoin au jour le jour et dont nous ne faisons que des réserves limités;

    P1000749.JPG-le vélo et/ou le vélomoteur (le plus économe en essence), surtout si vous habitez loin des gares, le train continuant sûrement de rouler, seront une valeur sûre, songez que l'arrêt des transports internationaux signera celui des produits pétroliers, votre voiture restera donc au garage et les bus et cars au dépôt, l'essence et le gasoil sera réservé aux véhicules prioritaires et aux armées;

    -commandez un, voire deux chéquiers, les paiements électroniques pouvant cesser à un moment ou à un autre, rapidement (?) le chèque pourrait devenir le seul moyen de paiement pour un temps indéterminé, dès que le gouvernement d'alors auront rouvert les banques;

    -conservez convenablement tous vos papiers, attendez-vous, aussi, au moins à un ralentissement d'internet, les administrations, les banques et les assurances, aussi, pouvant les égarer lors de cette catastrophe, voire perdre leurs informations informatiques;

    -dès que les signes les plus évidents et marquants, pour ne pas dire angoissants, seront là, allez voir votre maire pour lui expliquer ce qu'il se passe, parce qu'il y a de fortes chance qu'il n'y comprenne rien, ceci pour qu'il commence à organiser autantP1000886.JPG les pénuries que les risques de désordres et débordements.

    C'est, en effet, dans les débuts de cet effondrement, au local, que l'organisation sera, dans un premier temps, le plus efficace.

    Je vous encourage à agir au plus vite, ces événements pouvant survenir à n'importe quel instant, demain comme dans un mois, mais probablement moins d'échelle d'une année, bien que le système économique globalisé montre, depuis trois ans au moins, d'incroyables et dangereuses capacités de résiliences.

     

     

    THEURIC

  • Florilège...

    Le bonheur est comme un cheval: il n'est nul besoin de lui courir après, il viendra vers chacun d'entre-nous dès lorsque nous voudrions bien l'accueillir.

     

    Un stress post-traumatique a deux raisons d'être complémentaires:

    -Le choc psychologique et/ou corporel violent;

    -Venant à se confronter à l'incompréhension des raisons et causes audit choc.

     

    Boire mon thé voudrait-il dire que, plus tard, il me faudrait descendre?

     

    Et, dès lors, qu'avait dit Jeanne-d'Arc sur son bûcher?

    ...........Je veux descendre, je veux descendre!!!!!!!!!!

     

    Si l'on veut comprendre la réalité, il faut aller la rechercher au-delà de l'apparence de toutes choses, ce qui est, dans l'absolu, naturellement inatteignable.

     

    De Hernesto Pagliano, offert obligeamment par une amie: "Le concept est toujours moins que la réalité!"

     

    Peut-on en même temps monter des cendres?

     

    Pour trouver du bien-être dans la vie, il faut : se sourire à Soi-même, parfois devant un miroir, rire de bon cœur, de clowns, de bons mots, de blagues et d'autres ( sans rire des malheurs des gens ), savoir bien manger sans excès, faire de l'exercice ni trop, ni trop peu, et aimer l'amour des femmes pour les hommes et l'amour des hommes pour les femmes.

     

    Ce qui importe en ce que l'on apprend c'est de comprendre cet apprentissage quel qu'il soit et de le rendre, de ce fait, utile.

     

    Faut-il être aviateur pour s'envoyer en l'air?

     

    Lois de la thermodynamique:

     

    1) Le chaud monte, le froid descend;

    Le chaud va vers le froid, jamais l'inverse.

     

    2) Tous effets de mouvements énergétiques ne peuvent revenir en arrière, ce qui démontre la flèche temporelle.

     

    3) Toutes création ne peuvent se faire que grâce à de l'énergie, cela mène naturellement à une perte d'énergie sous forme d'entropie (  le moteur de la voiture chauffe quand on roule, cela est dû aux frottement dans celui-ci, cette entropie là se fait sous forme de chaleur, ce qui est la majorité des cas   ).

     

    4) Dans un milieu hermétiquement fermé à toute énergie pouvant provenir de l'extérieur, l'énergie se trouvant à l'intérieur dudit milieu y tend à partout s'égaliser.

     

    J'y rajouterai, quand à moi, la chose suivante:

     

    Un tuba est un instrument de musique que l'on joue sous l'eau ( hi, hi, hi, ha, ha, ha, ho, ho, ho )

     

    La femme est semblable à l'homme en son inverse complémentaire..., et réciproquement.

     

    Quand l'écrivain écrit, il s'exprime toujours de Soi: soit de ce qu'il en sait, soit de ce qu'il se pense être, soit de ce qu'il suppose de ce que l'Autre pense de lui, soit de qui il se conçoit, soit de ce qu'il est, soit de qui il est, soit de tous cet ensemble.

     

    Pour un astrophysicien un trou-noir est-il troublant?

     

     

    THEURIC

  • Aux élites cachées

     

    De notre humanité, je fuis les marécages et pleure de dépit le vide des regards, éperdu.

    Il est, de par le monde, des personnalités d'importances, invisibles, inconnues, marginales.

    Est-ce véritablement par choix que ceux-ci vivent, ainsi, dans cette discrète clandestinité, dans ce refus d'un monde qui les refuse?

    Insoupçonnées nébuleuses, ces véritables humanistes badaudent, certains en groupes informels, d'autres seuls, dans l'insatisfaction de l'ivresse inutile et sans joie de la fuite de la médiocrité du temps, la petitesse de leurs contemporains, la référence au confortable conformisme, découvrant, effarés, que, partout, sévit la même insignifiance des sombres orthodoxies.

    Ceux, aussi, qui, environnés de benêts, plongés dans les tristes conventions du travail, de la famille, des associations, des églises et chapelles, de la politique..., s'assèchent, se noient, parfois ploient, plongés dans cette chape et font semblant, sans être dupe, d'une douce vie dans attente, illusoire, d'être reconnu.

    Tous s'étourdissent, s'enivrent d'arts, d'études, de voyages, d'amitiés, d'amours, de sexes, de révoltes, d'angoisses, de nourritures, d'alcools, de drogues sans véritablement prendre part à l'excellence tout en en ayant, au- delà, même, de tout autre, les facultés, le talent.

    Comme une élite cachée, lâches dans la conscience en leurs capacités, ils fuient le néant mortifère de leurs contemporains, catégoriquement résolus à n'être ni dominants, ni dominés.

    Ils fuient, ainsi, sans comprendre que c'est en eux et, peut-être, en eux seuls, que se trouvent les ressources nous permettant de surmonter les immenses défis du temps. C'est pour eux que je dédie ces lignes!

    THEURIC

  • De la PMA à une prise de conscience.

    Chère Agnès Thill,

    Je viens de regarder la vidéo ou vous fûtes interrogée à TV Liberté (je la fais débuter après la présentation d'une, future, de Jean-Marie Le Pen qui m'insupporte, le plus amusant c'est que sûrement va-t-il affaiblir discrètement le RN, mais ceci est une autre histoire).

    De la loi entrain d'être votée sur la PMA, je n'en aurais que peu à dire de plus que vous, hormis le fait qu'elle promet des lendemain qui chante autant aux parents qui vont élever cet enfant que pour l'enfant lui-même.

    C'est simple à comprendre, acheter une personne pour son seul désir, dut-elle être nouveau-né, c'est la considérer comme étant, au mieux un esclave, au pire un objet.

    Et même si cela est tu, voire même surtout si cela est tu, cela va générer une angoisse existentielle de la personne ainsi vendue puisque achetée, que même la recherche de sa filiation de sa mère-porteuse ne pourra résoudre puisqueP1030126.JPG inconsciemment elle se considèrera comme une chose et non pas être un Être Pensant.

    Quoi que puisse en penser et en dire part ailleurs Boris Cyrulnik, que je trouve quelque peu léger sur ce sujet: il sert à quoi de générer des angoisses et des névroses à quelqu'un même pas encore né.

    Tout cela pour assouvir les petits caprices de personnalités qui, dans leur sentiment profond de ne pas être normaux (je ne porte pas ici de jugement de valeur de choix sexuels quelconques, je décris un mécanisme psychique inconscient), veulent à toute fin montrer à la face du monde une normalité qui, de ce fait même d'avoir eu un enfant de cette façon, leur montrera à leur propres yeux leurs ambiguïtés, ce qui accroitra les instabilités psychologiques de tous.

    Et comment se débrouilleront ces femmes qui, en raison d'un trauma d'une relation forcée avec un homme, soit avant l'âge adulte, soit par violence, en est venue à n'avoir de relation qu'avec des femmes dans sa peur et dégoût des hommes, devra élever un garçon?

    Ce sera à l'adolescence que l'explosion d'angoisse sera, pour le-dit enfant, déterminant, et les conduites suicidaires y seront grandement possibles, et sinon ce sera à la troisième génération que cette explosion se fera.

    N'y a-t-il pas déjà suffisamment comme ça de gens au psychisme instable en France pour en rajouter inutilement, mais il est vrai qu'à l'heure de la marchandisation du tout et du n'importe quoi, considérer un Être Humain comme étant un bibelot comme un autre n'est que de la mode du temps, il est bien fait mention, pour quelqu'un cherchant un emploi, qu'il doit savoir se vendre.

    Être un vendu c'est dans l'air du temps.

     

    Mais en fait, Chère Madame Thill, ce billet n'a pas de but de disserter sur cela, ma P1020035.JPGfoi, de cette PMA qui désigne aussi, et ceci est délicieux (c'est un copié/collé) : " Pays les moins développés socio-économiquement (parmi les pays en voie de développement) " (tapez PMA sur votre moteur de recherche et vous trouverez çà).

    En fait ce petit texte n'a de but que de vous montrer, sans ironie aucune, la fantastique naïveté dont vous aviez fait preuve quand vous aviez décidé de vous présenter à la députation au sein du REM, dit des radioéléments, ainsi que d'avoir suivi le sieur Macron, le beau parleur, et pardonnez-moi de cette once de vulgarité, mais vous vous étiez faite empapaouter de première, et profond de plus.

    Du fromage du corbeau de la fable, Madame, les renards vous l'ont volé.

    Vous trouverez plus loin, dans ce blog, une infinité de mes réflexions qui  vous montreront que ceux que vous aviez aidés & accompagnés ne sont pas ce qu'ils disaient être, pourquoi ils furent justement choisis et par qui, mais aussi pourquoi nombre de ceux avec qui vous siégiez sont loin d'avoir cette stabilité mentale menant à ce minimum de probité que réclame une telle fonction.

    Surtout les raisons qui font que ceux qui se révèlent n'être que de vils malandrins ne sont en aucun cas chassés de leur charges électives.

    Peut-être y comprendrez-vous également en quoi vous, comme Monsieur Villani, fûtes utiles à cette coterie qui se cache derrière ce mouvement que vous avez quitté.

    Le puzzle conceptuel qu'est mon blog, j'avoue que les idées s'y développent au fur et à mesure qu'elles me viennent à l'esprit, vous permettra, quoi qu'il en soit, de saisirP1020956.JPG la nature de ceux qui vous ont manipulée, comme nombre de ceux des classes-moyennes hautes à supérieur que je ne cesse, pour cette raison, de vilipender.

    Ceci en en montrant les raisons.

    Mais surtout vous fera saisir les réels enjeux d'aujourd'hui, ce qui pose cette ridicule loi sur la PMA que comme n'étant que les derniers instants d'un monde politico-économique bientôt forclos et devenu, de ce fait, complètement fou.

    Toutefois, que vous souteniez encore un peu Monsieur Macron est tout à fait normal et j'en comprends d'autant plus les mécanismes que moi-même aie vécu quelque chose d'analogue, ce que vous découvrirez à la suite.

    Il est vrai que si vous voulez vous faire votre idée de l'ensemble, le temps long ne peut qu'être que nécessaire, mais vous y trouverez aussi quelques poésies ainsi que des aphorismes de mon cru dont, pour certains, je suis particulièrement content,  qui vous permettrons de vous égayer en un ailleurs momentané.

    Vous êtes loin d'être la seule personne à enfin ouvrir les yeux et de commencer à poser un regard conséquent sur notre réalité, il serait bien en revanche que vous ne vous égariez pas une fois encore au sein d'un autre de ces partis politiques que je dis officiels P1020147.JPGpuisque passant dans les médiats.

    En ce moment, ainsi, le réel aspect contestataire d'un parti est inversement proportionnel au temps que passe ses représentants dans ces-dits médiats.

    Vous y trouverez, aussi, une définition précise de la nature de la gauche et de la droite, ceci considéré de sa base historique.

    Que je vous en prévienne, mes développements sont en plein iconoclastes et risquent de questionner quelque-peu nombre de vos conceptions les plus assurées, et si vous n'êtes pas en accord avec des de mes idées, ce serais pour moi du plus pur du naturel.

    Bien à vous,

     

     

    THEURIC

  • Bagatelles et gravités

         Un violon d’Ingres

    N'est ni travail, ni marotte,

           Mais un plaisir

     

    Je m'exerce

     

    Je m'exerce ici pour affiner mes vers,

    M'entraînant ainsi à rimer vers un mieux,

    De sentir les mots, qu'ils soient juste radieux,

    Qu'ils chantent de les dire, d'un refrain, d'un air.

     

    Je me veux travailler à l'élaboration

    De beautés exquises séduisant le lecteur :

    De faire de ce projet ma destination.

     

    Souhaite, de la grâce, saisir la lueur,

    Que le raffinement en soit la distinction :

    De vous offrir ainsi agrément et bonheur.

     

    Parce que m'apercevant, d'en m'être éloigné,

    Ai moins ce saisissement du verbe vibrant,

    De cette mélodie en un son enivrant,

    Pour parvenir enfin à un art soigné.

                                          -------------------------------------

     

     

    Quand les jeunes frissonnent

           De leur désirs futurs,

             Alors tout va bien

     

    famille naissante

     

    Les murs suintent de maints chuchotis envolés,

    La lune pleine veille la nuit au-dehors,

    Perçant de ses rayons les volets ajourés

    Offrant en chambre une faible aurore.

     

    Le fin drap les couvre de la fraîche chaleur.

    Quatre yeux s'envisagent, deux bouches rapprochées,

    Bras et jambes enroulent leur corps somnoleurs

    Comme les protégeant de leurs jeunes années.

     

    Ils s'aiment d'absolu candeur juvénile,

    S'étonnant tous deux de leurs flammes naissantes,

    Là, en oublient tout, n'est plus de moindre péril :

    Les menées au-loin leur sont insignifiantes.

     

    Les baisés prolongés les plongent de bonheur,

    Ces jeunes amants se veulent papa maman,

    Dès que possible le leur sort sera meilleurs,

    Bien que la leur famille soit fondée maintenant.

                                                  --------------------------------------

     

     

    Les infâmes manigances

          Doivent se payer

                Un jour

     

    Le petit comité

     

    Un petit comité, dont il y paraîtrait,

    Aurait d'apprêts les sciences médicales,

    D'aucun ignorant si intérêts bancales

    S'en ferait le secret d'un très sombre portrait.

     

    Icelui, occulte, serait le conseillé

    D'un gouvernement ne sachant pas gouverner,

    Pratiquant ses oukases, au peuple, relayés.

     

    Tous ces fats menant à un monde décharné,

    En desséchant de fait le moindre des foyers

    Par des actes furieux sans doute d'aliénées.

     

    Entraînant en d'infâmes extravagances

    Tant de ces gens transis de ces lâches tourments,

    Écoutant médiats aux avis autant déments,

    Qui, par réaction, s'en viennent à faire violence.

                                    -------------------------

     

     

    S'amuser de se jouer

     Des sens des mots,

         C'est rigolo

     

    La chatte de ma copine

     

    Si belle est la chatte de ma copine,

    Quand je la caresse, en de ronrons vibrant,

    Je la sens se presser, tellement coquine,

    Contre moi, si douce, de mes doigts l'enfleurant.

     

    Ses poils sont soyeux, de mes lèvres un bisou,

    Ma main légère tripote sa nature,

    La câline si bien de ce qu'aime minou :

    Mes cajoleries, mamours sur sa fourrure.

     

    La chatte de ma copine, de mes douceurs,

    Se pâme, si heureuse d'être patouillée,

    L'entendant bourdonner en son fond intérieur :

    Là où elle aime ça, je l'ai tant choyée.

     

    La chatte de ma copine est amoureuse,

    Vient m'accueillir en une grande volupté

    Quand j'entre, la comble, elle, si chaleureuse,

    Lors, c'est sur son invite que j'ai pénétré.

                                  ---------------------------

     

     

    Il arrive que de peu

    On ne s'affole

    Pour rien

     

    Le quiproquo

     

     Ma belle m'aimes-tu 

     Quand moi je t'adore ?

     Vois, ne suis qu'un fétu

     Même quand tu dors.

     

     Mon amour pour toi

     Ne peut être matois,

     Reste sous mon toit.

     

     Ma chérie,

     Mon amie,

     Te suis autant épris

     Que de te perdre m'en ravagerait ma vie.

     

     J'ai peur que tu ne partes,

     D'être abandonné,

     Que le sort t'écarte

     De moi, dépassionnée.

     

     Mon amour pour toi

     Ne peut être matois

     Reste sous mon toit.

     

     Mon cœur,

     Mon ardeur,

     Voit comme je pleure,

     Craignant que, de ton départ, sonne l'heure.

     

     Ta valise je vois,

     Voudrais-tu me quitter ?

     J'en perds de la voix,

     Je me sens délaissé.

     

     Mon amour pour toi

     Ne peut être matois,

     Reste sous mon toit.

     

     Quoi, aussi,

     Que voici,

     Ma valise est sortie,

     Partirais-je avec toi, ailleurs d'ici ?

     

     Me serais-je trompé ?

     Mon an de plus..., ma fête...,

  • florilège 2

    Quand on pâlit, pallie-t-on? Et inversement...!

     

    Pourquoi les ballons de football sont-ils remplis d'air puisque se jouant hors de l'eau, quand ceux du water-polo n'en sont pas rempli, justement, d'eau?

     

    Quand on parle de date, s'agit-il du fruit ou d'une époque? Il faudrait savoir!

     

    Quand je sort des toilettes, je ne peux m'empêcher de méditer longuement sur la légèreté de l'être (  il est, par ailleurs, pour moi temps de la méditation  ).

     

    Comprendre permet de mettre en perspective ce qui fut appris et, donc, de faire de même que les anciens, c'est-à-dire d'en considérer les limitations à l'aune de ses propres exigences intellectuelles et, dès lors, de faire des liaisons logiques entre nos différents connaissances, voire à même à en considérer les restrictions, quelque-en-soit leurs étendues, pour en développer ses congruences.

     

    Parait-il que chez certaines femmes la pipe fait un tabac!

     

    Un cumulonimbus serait-il un grand nombre de voyageurs imaginaires dans un véhicule de transport en commun?

     

    Un cumulus concernerait-il une maladie du postérieur?

     

    Avec des SI on mettrait Paris en bouteille, oui, mais le quart à font.

     

    Petit dessert aux fruits:

     

    Voici un petit dessert que les enfants peuvent faire:

    Prendre, suivant le nombre de convive, un ou plusieurs fruits au choix (j'adore avec de la framboise), les découper en morceaux,  des fruits secs, noix, amandes, noisettes et/ou autres, du yaourts et/ou du fromage blanc, un poil peu de crème fraîche, du miel, des morceaux, non pas trop petits, de chocolat (poil à mes sourcils), de la vanille ou de la cannelle, mélangez le tout, un petit biscuit ou plusieurs (oh les gourmands) et régalez-vous (c'est un ordre, ah mais!) !

     

    Comploter, ma foi, offrir du plaisir aux dames ne peut que m'être d'une exquise jouissance.

     

    Une bonne poire se coupe-t-elle en deux pour les autres?

     

    Il faut toujours faire attention au linge qui sèche (le cancre) car le séchoir sait choir.

     

    Si l'on veut ouvrir une porte, le mieux consiste à faire attention de ce que celle-ci soit avant-tout fermée.

     

    Un car serait-il  les deux huitième d'un  bus?

     

    " le réflexe de réitération" individuelle et/ou collective (ou fuite en avant) (c'est une réflexion collective) : dans une situation de panique et/ou d'angoisse, réitération non adaptative lors de l'évolution du milieu d'existence, dans l'action ou dans la manière d'une pratique de vie et/ou de ce qui fut appris.

     

    Arrive-t-il que le choix choit?

     

    C'est étrange, d'un triangle-rectangle l'on parle du carré, certes de l’hypoténuse.

     

    Dire que j'ai gardé les deux chattes de ma copine, il existe des particularités anatomique qui m'étonne.

     

    Une femme canon est-elle un boulet?

     

    C'est l'histoire d'un monsieur se nommant Briolet qui, ayant une voiture décapotable, est en cela un cas, sans être sud-américain, cela va de soi.

     

    Ceux qui aiment les petits-suisses sont-ils pédophiles?

     

    Compote pomme orange facile à faire:

     

    Éplucher et découper en petits morceaux le nombre de pomme suivant la quantité de compote que l'on veut faire.

    Recouvrir très largement de jus d'orange pressée, voire de clémentine, de mandarine ou de mélange (je laisse le soin à tous, amis lecteurs, de se la concocter suivant le goût de chacun).

    J'y rajoute un petit soupçon de poivre, ainsi que de la cannelle, du gingembre et de la muscade moulues.

    Le tout en casserole à feux le plus doux possible sans couvrir jusqu'à ce que les pommes soient bien cuites et le jus bien épaissi.

    Il est possible de la mettre en pot mais je préfère, même si lesdits pots sont fermés hermétiquement, les conserver au frais.

     

    Un général français de la seconde guerre mondiale s'appelait Monsieur Leclerc de Haute-Clocque, il dut être bienheureux d'avoir une famille fortement nombreuse, n'est-ce pas?

     

    Je marche vers le futur, ébloui par sa promesse d'aventure.

     

    Quand l'on dit: "Je vais faire des courses!" il est à remarquer que ce n'est que très rarement à marche forcée.

     

    Boire du lait, est-ce beau?

     

    A ne pas confondre: jus de fruit et j'eu deux fruits...

     

    (Offert gracieusement) Qu'y a-t-il de plus amusant qu'un drôle drôle?

     

    J'aime les saints sains seins des femmes!

     

    Freud disait que  tous les enfants sont des pervers polymorphes, j'y rajouterais qu'au-delà de la petite enfance cela ne peut qu'être que s'ils ont reçu une mauvaise éducation.

     

    Moi, à chaque fois que l'on me dit blanc, je me remarque plutôt être de la couleur d'un rhino, c'est rose, sans être rosse, assurément.

     

    L'on dit que les filles naissent dans les roses et les garçons dans les choux, cela voudrait-il dire qu'à Bruxelles il n'y a que des familles nombreuses de garçons, sauf près des jardins d'agrément, bien sûr.

     

    Enfin, voulez-vous que je vous dise ce que sera la suite?

     

     

    THEURIC

     

    PS: Non, je ne la connais pas.

     

  • Crise à l'UPR: le choc des mondes.

    Nous vivons une époque étonnante à plus d'un titre.

    Je rencontre des jeunes, que je considère ainsi du haut de mes 61 ans, qui comprennent, à une vitesse qui me stupéfie, des notions psychologiques, politiques, économiques complexes que je mis des décennies à saisir véritablement, quand ceux de ma génération fuient de telles considérations lorsqu'elles  sortent de leur sens commun.

    Ils utilisent l'informatique de toutes tailles comme je peux le faire d'un marteau quand, vers mes quinze ans, l'un de mes frères avait travaillé dans une entreprise informatique de grosses machines qui utilisaient des bandes magnétique comme mémoire, puis à l'âge de trente environ j'avais vu le fonctionnement d'un micro-ordinateur (nom de l'époque des machines personnelles) où, sans sourie, il fallait une demie-heure pour y rentrer un programme d'horlogerie où seule l’aiguille des secondes apparut sur l'écran noire et blanc. P1010619.JPG

    Ainsi feue ma mère, me racontait-elle, n'a eu de l'eau coulant dans son évier que vers l'âge de la trentaine d'année, elle qui vécu jusque là à Paris pour s'installer, ensuite, avec toute sa famille à ma naissance, en banlieue, mon père étant chef de station dans le métro, métier qui n'existe plus.

    Cette période d'après guerres (celle d'Algérie ayant cessé en 1962) des années 60 à 70 n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui, l'un de nos voisins était moderne, il avait le téléphone et roulait en DS, il fallu à mes parents attendre des mois pour l'obtenir bien plus tard et leur première automobile fut une 2CV que mon père seul conduisait, il avait même, par la suite, acheté une 203 Peugeot en fin de vie, la voiture et non  pas mon père.

    J'avais même eu, en CE2, comme institutrice l'une des dernières représentantes des hussards noirs de la III° république.

    De fait, le monde a tourné autour de la France, autour de l'Europe, autour de l'Occident sans que vraiment ceux qui nous gouvernent et dirigent aient vu passer le temps, l'aient vu évoluer.

    Repliés dans leur quant-à-soi surtout parisien, eux et une partie de leur enfants et petits-enfants n'ont pas compris qu'il avait ainsi tellement changé, eux qui, en Europe de l'ouest, l'ont imaginé, l'ont fantasmé, ayant détruit, en ce qui nous concerne, la France sans l'avoir véritablement compris, en la désindustrialisant, en y détériorant gravement l'agriculture, en fermant les mines, se reconvertissant en une P1010727.JPGécologie et une économie monétariste contradictoires dont ils ne comprennent rien, à l'exemple caricatural de Mr. Hulot.

    Surpris dès la survenue du mouvement des gilettiste mais, surtout, que de ce que contrairement à ce que leur susurrait leur imaginaire, ce peuple révolté est intelligent.

    Et ce choc là leur a été majeur.

    La population française n'est plus cet être primaire dont ils se plaisaient tant à la concevoir et sa jeunesse, bien que naïve comme il en est de toutes jeunesses en tous temps, même si leur esprit n'a pas la tête bien pleine, n'en est pas moins, pour moi étonnamment, dotée d'une tête bien faite.

    Et même ceux qui, ayant vécu moult difficultés dans leur enfance dont il leur est ardu de se sortir, n'en saisissent pas moins des mécanismes mentaux délicat dès lors qu'ils leurs sont exposés dans l'évidence de leur simplicité.

    C'est cette confrontation d'avec des français jeunes et moins jeunes qu'il a découvert aux antipodes intellectuelles de ce qu'il concevait qui mena Monsieur Asselineau, de même génération que moi, aux excès qui sont décrits par Mathias Masclet dans cette vidéo.

    Ceci précédant et se surajoutant à son angoisse inconsciente, là également, de ce que l'UE€/USA puissent disparaître, comme j'ai pu l'expliquer dans mon billetP1020135.JPG précédent.

    Cet homme qui, contrairement à tous ses condisciples de la haute administration, avait remis en cause l'éternelle inaltérabilité de l'euro lors d'un rapport remis au président de l'époque, Mr. Sarkozy, se retrouvant dès lors dans un beau  placard.

    Puis qui créa un parti politique, l'UPR, parce que se rendant compte, après recherche des origines de l'union, que celle-ci fut créée par des officines secrètes US pour dominer l'Europe de l'ouest lors de la guerre froide, aidés en cela par d'anciens nazis reconvertis, puis de son ensemble européen dès 1991, pensait véritablement que les français, s'ils n'étaient pas des vaux, n'en étaient pas moins des sots ignares, se rendit ensuite compte qu'il n'en était rien.

    Ses conférences sur ce sujet n'en furent pas moins nécessaires, la constitution puis la contribution de l'UPR à faire connaître le France-quitte aussi, toutefois ce choc qu'il dut subir à se confronter à des personnalités dont l'intelligence le dépassait, lui qui se pensait au-dessus du lot parce que surplombant intellectuellement ses collègues, eux-mêmes se sentant comme le gratin intellectuel de la nation, ce qu'il recevait en confirmation en se confrontant aux journalistes cornichons et au personnel politique lambda, ne put que souffrir d'un trauma allant s'accroissant de sa relation au reste de la population.

    Ne comprenant pas que ses grandes capacités de mémorisation, sa culture, sa facilité P1010221.JPGà déchiffrer un rapport ainsi que d'en composer, est d'essence différente que d'aborder un problème complexe connu ou inconnu, d'en comprendre la nature et de s'y adapter au mieux suivant les circonstances, ceci en allant chercher les informations premières sans vraiment en creuser tous les enchevêtrements.

    Mais en les recomposant en un tout exploitable puis d'agir au mieux suivant les circonstances.

    Ceci différemment, bien sûr, suivant les approches de chacun, mais, ce qui est visible dans les vidéos, en osant la dispute de désaccords parfois irréductibles mais ce dont chacun convient avec autant de grasse que de mécontentement.

    C'est cela qui avait généré ce mouvement unifié, en ses débuts ce qui est normal, des gilets jaunes.

    De fait, sa confrontation d'avec un peuple qu'il ne connaissait pas, qui, sans le mépriser, le considérait très en-deçà de ce qu'il est en réalité, le conduisit à une rupture d'entendement dès lors qu'il se retrouva en sa présence, ceci d'autant plus que ceux auxquels il avait dès lors affaire étaient, pour la plupart, d'une classe-moyenne intermédiaire à haute cultivée au moins suffisamment pour savoir faire la part des choses et être en capacité d'une inventivité qui, là encore, le dépasse.

    Cette rupture d'entendement l'a progressivement déstabilisé, mais il aurait pu, le supputerais-je, s'y accorder avec le temps, sûrement avec difficulté il est vrai.

    Puis, peut-être plus avant qu'il y a deux à trois ans comme je le supposaisP1020279.JPG précédemment, aux alentours de 2012 et les événement grecs du gouvernement Tsipras voulant réformer l'euro, en but avec la troïka européiste, il avait compris que l'Union-Européenne s'autodétruisait, puis n'a pu que psychologiquement le refouler parce que, de ma même génération mais trop idéologiquement structuré, il ne pouvait pas imaginer l'échéance de sa disparition.

    Je conçois qu'il puisse être contradictoire de considérer Monsieur Asselineau comme ne pouvant pas accepter ce fait, or il s'agit là d'une confrontation entre une pensée consciente, la volonté de sortir le pays de l'UE, et un processus inconscient, celui de considérer l'union comme étant un projet glorieux dont l'existence ne peut être remise en question et encore moins en cause, ceci en une double contrainte.

    Du fait donc de ce double stress, UE et peuple français, il y a eu une opposition conflictuelle montante entre sa pensée logique et sa composition de sens, ce qui lui donne sens du monde en psychiquement le lui rendant compte, ce qui a généré en lui une anxiété allant grandissante, réduisant progressivement les mécanismes de ladite pensée et, du fait de cette mise en place automatique de sauvegarde de son cerveau, tout un ensemble d'action ne pouvant que conduire à la destruction de l'UPR qu'il considère, de fait, comme le pire ennemi, en France, de l'Union-européenne, puisque organisée.

    Mais aussi parce que c'est sa création et qu'il a une haute idée de lui-même et donc P1020242.JPGde son parti.

    Quand bien même cela le conduirait en  prison, pour le métabolisme de son encéphale il ne s'agit là que d'un seul but, sa propre sauvegarde en raison de cet immense stress que cela occasionne,  quels qu'en soient les effets à posteriori pour la personne, en un même mécanisme qui fait que nous risquons de nous endormir au volants d'avoir trop conduit puisque cela fragilise à la longue le fonctionnement des neurones.

    Vous remarquerez, par exemple, que sur le site de l'UPR n'est plus fait mention de l'union, des Amériques ou du reste de l'Europe et du monde où il y aurait beaucoup à en dire, mais seulement de Mr. Macron et du REM, ce qui est, pour son parti, absurde, ce serait comme si il fallait au plus vite faire changer de trajectoire à celui-ci avant le 28 Juin, jour de l'assemblée générale.

    Si ce que raconte Mr. Masclet est vrai et je ne vois pas quel serait son intérêt de raconter de ce qu'il a fait cas à l'UPR en tant qu'ancien membre du bureau national, ceci d'autant plus que lui et Mr. Baron n'ont à aucun moment exprimé un désaccord idéologique d'avec ledit parti;

    Alors je pense que les raison profondes qui font que Mr. Asselineau ait agit de la sorte sont celles dont j'ai fait état, sinon il y aurait trop de contradictions entre les décisions de le créer en 2008 avec tout ce que cela entend de difficultés de tous ordres que cela ne put que lui générer et ses actions présentes.P1000842.JPG

    Quand quelqu'un en chie pour constituer un parti politique à partir de rien, qu'il s'éloigne de fait avec son milieu pour cette raison même, il fait tout, normalement, pour qu'il se développe et pour parvenir à ses buts, et il ne le pourrit pas par des enfantillages, la vexation de ses cadres et des exactions stupides, ceci en le vidant de ses forces vives.

    Peut-être y aurait-il d'autres raisons que celles-ci, c'est possible, je suis ouvert à toutes autres possibilités, du-moins, je le répète, je ne me pose pas en juge et s'il doit passer devant un tribunal je ne serais en rien contre, mais m'essaie de donner du sens à ce qu'il paraît ici insensé.

    Quoi qu'il en soit, l'idée même d'un ou de plusieurs partis politiques France-quitte ne peut qu'être que la bonne, bien qu'une unification des volontés ne peut qu'être en tous points avantageuse.

    Mais il est possible maintenant que l'Union-Européenne se dissolve d'elle-même avec toutes les difficultés que cela entend, d'en préparer l'éventualité est tout autant souhaitable, ceci d'autant plus que nos élites zélées risqueraient fort, pour une majorité d'entre-elles, de décompenser plus gravement encore que ce qu'il en est pour le président de l'UPR.

    Imaginez alors le truc.

    Songez simplement à leurs très violentes réactions collectives à l'émergence des gilettistes, tant surprises de leur intelligence ont-elles elles-mêmes déclaré.

    Nous avons, d'une certaine manière, une double chance, Asselineau pète un câble et P1010616.JPGla pandémie au SRAS-COV-2 ne fut pas, pour la grande majorité de la population, si dangereuse que cela, bien qu'elle ait été extrêmement agressive pour la minorité qui en fut atteinte.

    Elle aurait pu être bien plus terrible que cela.

    Cette double leçon se doit d'être prise en compte.

    Et pour chacun d'entre-vous: faites vos réserves, l'économie aussi est en berne, comme le dirait un suisse.

     

     

    THEURIC

  • De la nature de la pensée.

    Voilà une chose bien mystérieuse de ce que peut être que la nature de la pensée.

    Alors, en attendant que pour nous s'apaisent les tensions du système à notre endroit, je vous propose de vous confier ce que, de la pensée, j'ai pu en concevoir.

    Ben oui, que voulez-vous, mes doigts s'agaçaient de ne pas clavioter (pas mal ce néologisme, non?) sur mon blog.

    Alors, plutôt qu'ils ne se morfondent et se chagrinent, je me vais me pencher sur ce sujet, mais je vous préviens, ceci n'en est qu'une ébauche.

    Allons camarades, à chacun d'en compléter la trame:

    J'ai pu croire un moment que la pensée, qui est, d'une certaine façon, se parler en P1000850.JPGsoi, avec, en plus de l'audio, la possibilité de la vidéo puisqu'il est parfaitement possible de générer des images mentales.

    J'ai pu croire, donc, que la pensée était la résultante de l'apparition du néolithique, soit le début de l'agriculture et de l'élevage.

    Qu'elle serait paru pour que, dans les sociétés complexes que ne put que générer la vie agropastorale, chacun puisse conserver en soi ses petits secrets, son quand-à-soi.

    Or, après réflexion, je pense maintenant qu'il n'en est rien.

    Tout juste cela n'étant que l'un des effets émergeant de l'apparition de la pensée et non pas l'inverse.

    Alors, quel en serait l'origine?

    A mon avis, la nécessité de la planification temporelle de la vie sociale, de son organisation, de sa complexification progressive.

    Ce serait même la raison pour laquelle le néolithique serait survenue: il fallait déjà avoir les capacités de réfléchir après avoir observé comment plantes et animaux réagissent, pour pouvoir, ensuite, mettre en place l'organisation nécessaire pour l'ébauche d'agriculture et d'élevage.P1010035.JPG

    Mais avant de continuer, permettez-moi de remonter dans le temps (ce que je viens déjà de faire).

    Ainsi, comme je le conçois, la pensée serait la dernière fonction mentale humaine déterminante (dans le sens qui détermine l'individu en tant que tel) et régulatrice, comme il en serait (normalement) pour l'égo et le narcissisme, (je ne dis pas qu'il n'y en aura pas d'autres plus tard), celle-ci ne peut que s'être développer sur, si je puis dire, un terreau fertile: la conscience.

    La conscience, elle-même, résultante de la monté en puissance de l'intelligence.

    Conscience qui ne peut que se concevoir que comme étant la conscience de Soi, il est d'ailleurs possible, à l'aide d'expérience, d'en observer une, archaïque, chez certains animaux tels que les chimpanzés, les éléphants ou les orques.

    C'est la fameuse tâche de peinture tracée sur le dos ou sur la tête d'un représentant de chacune de ces espèces et de laisser un miroir dans son enclos ou son bassin, et vous le verrez s'y mirer, toucher leur parti du corps peinte, preuve de leur conscience d'eux-mêmes, frustre, certes, mais présente.

    Mais la conscience seule ne suffit pas à projeter dans le futur le résultat d'actions présentes, tel que le semage ou le pâturage, juste aide-t-elle à déterminer la période P1000884.JPGpropice pour la chasse d'un gibier ou la cueillette d'un fruit, de retrouver un long chemin ou l'emplacement d'un point d'eau.

    Ceci parce qu'il n'y a pas de temporalité pour la conscience tant qu'elle reste intimement liée à l'inconscient, tant que toutes deux forme encore un tout.

    C'est pourquoi la pensée a émergé, sûrement en raison d'une plus grande efficacité de la vie de nos ancêtres à la toute fin du paléolithique, qui leur permit d'amorcer une vie sociale plus large, entraînant ce temps libre et ce bienêtre utile pour que la nouveauté paraisse: la pensée.

    Mais pourquoi donc la pensée aurait-elle comme attribut la perception temporelle du futur et, donc, de la détermination du passé et du présent?

    Parce qu'elle est le filtre, ou mieux encore, la membrane semi-poreuse, en quelque sorte, permettant un aller-retour entre le conscient et l'inconscient.

    Ce qui, je le conçois, ne peut pas être une notion simple à appréhender pour l'Homme moderne que nous sommes pour qui, justement, cela relève aujourd'hui de notre plus ordinaire nature.

    Alors, essayons-nous de comprendre en quoi le fait que la pensée puisse être laP1010050.JPG membrane entre conscient et inconscient fit émerger la temporalité du vécu.

    Le corps, le métabolisme, le cerveau qui, bien entendu, fait parti du corps, n'ont que le temps de l'âge, c'est-à-dire qu'ils évoluent et s'adaptent, de la naissance à la mort, d'abord à la monté vers la vie adulte puis à la dégradation lente vers la senescence.

    En soit, ils n'ont pas besoin d'une temporalité quelconque puisqu'en eux-mêmes, que ce soit par l'apprentissage et l'expérience passée grâce à la mémoire, ainsi que l'action dans le monde, la vie sociale, au travers des us, coutumes et tabous, et la résistance aux agressions de toutes sortes, ils ont en eux l'ensemble des ingrédients nécessaires à la vie.

    De nature nous sommes et restons toujours les chasseurs-cueilleurs du paléolithique, ce sont l'éducation et l'instruction aussi bien que la vie sociale dans toute sa complexité, de l'enfance jusqu'à la vieillesse, qui fondent cette structure psychique très particulière que peut être la pensée.

    D'ailleurs, si un stress intense survenait, tel que se retrouver au-dedans d'une bataille dans une guerre moderne, voire ancienne, ou une vie misérable dans les campagnes perdues et oubliées ou dans des banlieues infâmes, un grand nombre de nos contemporains retrouve(raient) des réflexes antédiluviens qui, actuellement, ne s'expriment plus qu'au travers des symboles ou de ces réflexes à peine pensés (justement): cette temporalité sera momentanément P1010151.JPGécartée par l'exigence de survie.

    D'où la nécessité d'une formation poussée du soldat qui, sinon, retrouverait rapidement ses automatismes séculaires et instinctifs, ce qui, pour un certain nombre d'entre-eux, se passe, quoi qu'il puisse en être de cette formation.

    Pour qu'une planification puisse s'effectuer, il faut, pour que la personne puisse se projeter dans un futur d'essence incertaine, que s'établisse cette membrane entre un inconscient, une corporalité de substance intemporelle, et un conscient qui a la faculté, restant potentielle tant que la pensée n'aura pas émergé, de délimiter les contours du passé, du présent et du futur.

    Dès que cette pensée prit forme, de nouvelles dispositions l'accompagnèrent, se parler en soi, imaginer et visualiser des situations, des histoires, des formes, des techniques, des expériences, des conceptions nouvelles, les mettre en pratique, les essayer, et même trouver des procédés pour s'aider à mémoriser, à agir de manière plus efficace, à imaginer ou a mener son corps au-delà d'une limite théorique, comme il peut en être des arts martiaux ou de la danse classique notamment......

    Notre souci est que la pensée n'est parue qu'il n'y a que très peu de temps, quinze, vingt milles ans à tous casser, et que la méthode principale pour l'organiser, la philosophie, n'a elle d'existence que de quelques milliers d'années tout au plus.

    Quand bien même cette philosophie soit chinoise, grecque ou de toute autre origine, l'imprécision fonctionnelle de la pensée rend celle-ci profondément instable et la tend régulièrement à ne pas agencer correctement cette temporalité devenueP1010055.JPG incontournable dans la société moderne telle que nous l'avons bâtie.

    Ainsi en est-il, en quelques exemples rapides et des plus anodins, de la procrastination, des oublis de rendez-vous, de ne pas savoir prendre son temps ou de s'ennuyer à ne rien faire, de l'impression du déjà vu.....

    La pensée peut aussi se rigidifier de façon telle que la conscience se fragilise et que dès lors la personne n'agit plus que sous la gouverne d'un inconscient devenu tout puissant, lors de maladie mentale, entre-autre...

    Parce que jeune, donc, et parfois, voire souvent, peu maitrisable, la pensée est, comme je l'ai dit, fragile, c'est pourquoi elle est facilement rejeté comme n'étant pas essentielle, c'est pourquoi également la conception de la temporalité, elle aussi, peut-être répudiée.

    Il est vrai que celle-ci ne peut pas gérer  plusieurs choses à la fois, d'une certaine façon elle éclaire, le plus souvent, un et seulement un lieu précis dans l'inconscient pour le faire remonter à la conscience, soit pour agir, prendre une décision, faire une évaluation, un choix, remonter un souvenir, ou pour toute autre raison.

    Mais vouloir écarter la pensée, comme le prône certaines religions, techniques de méditations ainsi que des philosophies, ne me paraît pas être une très bonne chose, en faite dire que la pensée est mauvaise ou que l'on peut trop penser est faux.

    Nous ne pensons jamais trop mais souvent nous pensons mal, ce qui veut dire que nous n'utilisons pas cet outil extraordinaire, notre pensée, de la bonne manière.

    P1000880.JPGMais qu'est-ce que peut être que de penser d'une bonne façon, soit de façon efficace?

    Très souvent nous nous arcboutons, focalisons, nous nous contractons sur une seule idée sans laisser la pensée faire son travail naturel.

    Il lui faut, en effet, de façon régulière, lorsque la concentration pour l'accomplissement d'une tâche n'est pas nécessaire, la laisser vagabonder entre conscient et inconscient, pour qu'elle remplisse son rôle de membrane psychique entre ces deux dimensions primordiales de notre esprit.

    C'est lors de ces instants que des images mentales vont et viennent, un petit peu pareillement lors d'un endormissement ou d'un rêve, à la différence fondamentale qu'il est bien plus aisé de comprendre ce qui a pu émerger de ces moments de repos.

    Là, toutes les techniques sont permises, relaxation, douche, lecture, marche, course à pied ou autre....., du moment que celles-ci ne demandent pas un grand effort intellectuel.

    Ainsi en ai-je posé les premières bases, de cette ébauche, pour que nous le comprenions, un jour, collectivement, mais cela ne peut que commencer que par unP1000863.JPG travail d'individualités.

    N'est-ce donc pas, l'esprit, le pari de ce blog, d'appeler chacun d'entre-nous à une nouvelle renaissance, de questionner les évidences, de les remettre sur l'établi, les pétrir, les malaxer pour voir si d'autres jus de connaissances n'en sortiraient point?

    Et quoi de mieux pour cela que de cultiver notre pensée, l'aider à se développer?

    Allons, foins de mascarade, camarades, travaillons le, ce renouveau de la pensée humaine.

    Et tant pis pour l'erreur possible ou plausible, plutôt avancer sur la route que de rester au bord du chemin à se lamenter.

    Moi, ici, je le continue, mon petit bonhomme de chemin réflexif...

    Est-ce du-moins ainsi de ce que je la pense.

     

     

    THEURIC

  • Syrie: réflexion (panphlétaire) sur une manipulation possible (probable)!

     

    Syrie : réflexion (pamphlétaire) sur une provocation possible (probable) !

     

     «Contre ma volonté, 
    je fus témoin de la plus terrible défaite
    de la raison et du plus sauvage
    triomphe de la brutalité jamais documenté.
    Jamais auparavant une
    génération n’avait essuyé

    un tel échec moral après avoir atteint
    de tels sommets intellectuels.» »

     

      Stefan Zweig (1942)

     

    Après la rocambolesque affaire que fut la pantalonnade du détournement de l'avion du président de la république brésilien, monsieur Evo Morales, en raison, disait-on, de la plausible présence de monsieur Edward Snowden à l'intérieur, et ce dans la plus totale violation du droit international puisque cet aéronef voyageait sous la protection de l'immunité diplomatique, voilà que le chef de gouvernement des États-Unis-d'Amérique alliés de leurs dérisoires supplétifs et pieds nickelés, la France et l'Angleterre, songeraient à intervenir en Syrie, hors du cadre onusien et dès lors, encore une fois, dans la plus totale illégalité du droit international (les américains commencent à être habitués du fait).

    Eh ! Oh ! Monsieur Hollande, peut être faudrait-il que vous vous réveilliez un peu, un tout petit peu, arrêtez de suivre tous les plus infimes désidératas d'une Amérique qui bafoue jour après jour toutes les règles régissant le droit international, celui des peuples, jusqu'à sa propre démocratie qu'elle démantèle allègrement.

    Amérique, de plus, d'ores et déjà ruiné !

    Je n'ai pas envie que mon pays, et donc moi-même, se retrouve à jouer à qui perd gagne avec cette folle indigence que sont devenue les U.S.A..

    Une Amérique jouant son dernier va-tout en un baroud qui n'aurait d'honneur que de nom d'un gouvernement aux aboies d'une fin prochaine de ce pays agonisant!

    Et vous nous faites suivre cet agonisant dans sa folie par réflexes pavloviens, automatismes béats mais surtout, en raison de la simple crainte de sa disparition, tellement vous et vos semblables avez perdu l'habitude de la complexe gouvernance d'un pays dans un monde compliqué: quel soulagement que de suivre des directives, souvent stupide et aberrantes, vous évitant de prendre des décisions, qu'elles proviennent d'une Union-Européenne pas même démocratique ou d'un gouvernement U.S. qui ne l'est désormais plus!

    Dans quel délire nous entrainez-vous là ?

    De plus, ne trouvez-vous pas que tout cela fleure bon la bonne vieille manipulation et pas des plus subtile, encore ?

    Que vous vous soyez fait avoir dans l'affaire Snowden, passe encore, pourquoi ne pas croire qu'une obscure fonctionnaire ait pris, de son propre chef, la décision d'interdire le survol de notre territoire par l'avion de monsieur Morales (j'eus attendu qu'ainsi elle reçoive quelques remontrances officielles...), mais permettez, monsieur le Président de la République Française, qu'au regard de votre suivisme actuel (je vous pensais plus subtil et retord), et en notre nom en plus, des psychopathiques et dangereuses excitations internationales de l'Oncle Sam, je puisse douter de la véracité de ce qui se dit, soit que cette obscure décision ait pu être prise par la dite fonctionnaire; ainsi suis-je donc en droit de penser cette dame n'être juste que lampiste, non?

     

    Manipulation !

    Parce que tout cela sent la manipulation à plein nez !

    N'oubliez pas que nous avons affaire à des champions d'échec, les Russes, et aux inventeurs du jeu de go, les chinois.

    Résumons : après que nous ayons perdu la face en montrant au monde entier que l'Europe n'est que le caniche servile d'une Amérique exsangue de sa ruine, obéissant toujours plus à ses injonctions, allant jusqu'à enfreindre, pour cela, les règles internationales qui furent mises en place en Ouest-Eurasiatique, ici même, donc, ceci en raison de ouï-dires que les « grandes-oreilles » américaines auraient pré-supposément captées, voilà que, gonflant des muscles que nous n'avons plus, vous-même n'avez-vous pas décidé de restreindre les subsides de notre armée pour rembourser des dettes antidémocratiques, voilà, donc, que nous gonflons nos muscles après que le gouvernement Syrien ait, là encore, pré-supposément utilisé (tant que l'O.N.U. n'aurait pas rendu son verdict) pour la seconde fois, des gaz de combats dans la guerre civile qui sévit actuellement dans ce pays et menaçons la Syrie d'agir militairement contre ce gouvernement en rupture absolue des accords anciens (1948) que nos représentants d'alors avaient signés lors de la création de l'O.N.U. qui interdisent tout usage de la force avant l'assentiment préalable de l'Organisation des Nations Unies, de son assemblée générale et du conseil de sécurité.

    Et puis, pourquoi, à l'époque où Saddam Hussein en avait utilisé également, contre les Kurdes me semble-t-il, personne ne poussât pareillement de ces mêmes cris de vierges effarouchées (attention, je ne suis pas pour les gaz de combats, je montre juste quelques incohérences et manipulations) ?

    Alors la question que nous devrions tous nous poser est simple : Ne serait-il pas possible que la cause de l'usage qui se fit de gaz de combats en Syrie, quelle qu'en soit l'origine, ne soit le fait d'une manipulation (pour moi, grossière), dont le but ultime serait le désintérêt, voire le rejet des U.S.A. et de l'Europe par le monde entier aussi que de cristalliser une alliance Chine, Russie, Iran qui nous ferait perdre une position géostratégique qui, depuis le gouvernement de monsieur Sarkozy, s'effiloche ?

    Et qui sont, dans cette aventure, nos alliés ?

    Ne seraient-ils pas la Turquie, l'Arabie Saoudite et le Qatar ?

    La Turquie, passe encore, mais l'Arabie Saoudite et le Qatar, quelle dégringolade, quelle rigolade quand on sait combien leur pétrole ne se compte plus que dans le fond de leurs puits bientôt à sec, quand on sait aussi combien des attentats manqués ou réussis provenaient de cette région là, quand on sait combien ils nous rachètent jusqu'au reste, le peu de reste de nos bijoux de familles d'un dollar qui ne vaut, décidément, plus pipette, plus rien, nada, que dalle.

    De quoi nous parliez-vous, déjà ?

    De démocratie ?

    Ô, la belle démocratie existant dans ces pays !

    Ô, le droit des femmes, si respecté, tiens, si nous leur proposions le mariage pour tous, pendant que nous y sommes ?

    Le premier coup de gaz n'avait pas marché, allez hop, on en remet une deuxième giclée et nous nous tombons, comme d'un seul homme, dans le panneau, les deux pieds en avant, chplaff.

    Après s'être mis à dos l'Amérique-du-Sud, c'est tout le Moyen-Orient chiite qui nous regarde de travers, la Russie et la Chine.

    Parti comme c'est, nous allons également nous faire rejeter par l'Inde, les pays africains et d'autres... .

    Ah, oui, j'oubliais, tout ceci n'est qu'une question de principes, comme en Irak ?

    Alors voilà, pendant que les Russes et les Chinois poussent tranquillement leurs pions, nous, nous nous laissons faire, nous nous laissons manipuler par ces ruses grossières que même un enfant percevrait.

     

    Mais vous ne comprenez pas que cette région est une véritable poudrière et que les américains sont tellement désespérés qu'ils sont près à tout, je dis bien à tout, pour essayer de survivre ne serait-ce qu'une minute de plus même si cela nous conduisait, nous, européens, à la pire des catastrophes ?

    Américains qui, eux aussi, nous rachète avec leur dollar qui ne vaut que le prix de mon papier toilette, nos derniers fleurons !

    Et vous, vous laissez faire, pour payer quoi ?

    Une dette qui n'a aucune raison économique sauf la sempiternelle loi du marché.

    Hou, hou, loi du marché, où es-tu ?

    Je te cherche partout et je ne t'ai vu nul part !

    Pourriez-vous, je vous prie, me présenter monsieur Loi du Marché, s'il vous plait, monsieur le Président de la République, hein, dis, s'il vous plait, hein, dis, tout le monde m'en parle mais personne ne me dis qui il est, hein, c'est qui ?

    Ah, peut-être est-ce Dieu, c'est Dieu, hein, dis, monsieur le président de la République, c'est Dieu, Loidumarché, c'est ça, et faut qu'je prie Dieu Loidumarché?

    C'est LE Dieu Loidumarché, hein, dis?

    Ou alors est-ce de la science qui nous a montré depuis longtemps  toute son efficience, en Russie, en Argentine et ailleurs, hein, monsieur le Président de la République, dis?

    Me montrez-vous ses textes de lois, scientifique, nous dites-vous, hein, dis ?

    Ah, c'est vrai, ces lois ne peuvent que nous conduire qu'à la prospérité, comme en Russie, en Argentine et ailleurs, hein, monsieur le Président de la République, dis.

    C'est bizarre, depuis que ces fumeuses lois furent adoptées dans les cénacles et salons de la bienpensance (il a tout de même fallu attendre que le cadavre du général De Gaulle refroidisse), la situation économique de la France et de l'Europe ne va que de mal en pis !

    Et tous, vous vous réclamez de Jaurès et de De Gaulle !

    Pauvre d'eux !

    Pauvre de nous !


    (Rajout du 31 Août 2013!

  • La tête à l'envers.

    Le monde, notre Monde a la tête à l'envers.

    Ce n'est même plus de la folie ni du délire, non, c'est de l'extravagance, de la rêvasserie collective, ridicule mais dangereuse, de la bizarrerie obsessionnelle, de la tocade absurde, du grand n'importe quoi porté P1020060.JPGau pinacle, de la fantaisie niaiseuse que des enfants de vingt à quarante ans au moins s'amusent à colporter en y croyant comme on croit aux fées, aux gnomes et aux croquemitaines.

    Des exemples j'en ai plein ma besace et je vous en ai déjà conté quelques-uns.

    Il en est un qui n'est pas piqué des vers, il s'agit de ce moulin-à-vent appelé pompeusement éolienne, ce qui fait moderne coco.

    Un mathématicien a écrit aux maires sur ce sujet en y rajoutant quelques petites choses, bien qu'il ait omis de faire cas du fait que ces engins tuent oiseaux et chauves-souries, ce qui est largement oublié par nos écologistes ignares.

    Mais faisons lui grâce de cela, lui-même rajoutant dans ce dossier déjà lourdement à charge une note des plus cocasses, les éoliennes sont plus polluantes que les centrales thermiques, voyez-vous ça, en causant, de plus, de très graves problèmes de santé pour leur voisinage (je vous renvoie aux adresses soulignés).

    En voilà un infiniment moins sot qu'un certain Villani...

    Un autre exemple que vous attendez sûrement de vos vœux, la crétinerie de nos P1010844.JPGéconomistes.

    Là je vais parler des moins imbéciles de ceux-là et de beaucoup.

    Un certain Charles Sannat que vous connaissez sûrement mais aussi les éconoclastes, ils disent tous: "Nous courrons vers la faillite généralisée!".

    C'est bien, non, non, c'est vrai, c'est très bien de nous en avertir ainsi, mais qui de ces professionnels vont réfléchir aux effets de cette catastrophe?

    A première vue personne.

    Il faut que ce soit moi qui m'y colle le 31 Octobre 2018 dans mon papier adressé à Tatiana Ventôse, petit employé à la retraite, avec mon C.A.P. horticole et mes 25 ans de conduite d'un bus à Paris, métier qui rend fou, ceci expliquant peut-être cela.

    Il y a bien Mr. Delamarche qui ne cesse de répéter: "débancarisez-vous, sinon on vous piquera tout votre pognon!", c'est un bon conseil, non, non, c'est vrai, c'est très très bien, oui mais quoi faire de son argent quand on en a plein?

    Personnellement je dirais d'acheter des terres agricoles bien grasse, puis de la mettre en fermage en y aidant l'agriculteur le temps que le système se casse la figure.

    Ou alors de petites usines en choisissant judicieusement ce qui y est produit, du papier, du tissu, du savon, de l'eau-de-Javel, des vêtements par exemple, que vous soutiendrez aussi, il ne suffit que de se demander ce dont auront besoin les gens et laP1010663 - Copie.JPG société à ce moment là pour savoir quoi trouver, voire à mettre en place, auquel cas n'oubliez pas l'indispensable ingénieur si vous ne l'êtes pas vous-même.

    Vous pouvez avoir aussi un peu d'or, mais il ne sera utile que quand la monnaie reviendra, alors faites également des réserves de nourriture pour vous, votre famille et vos salariés.

    Il est vrai, ce ne sont pas des placements pour demain mais ainsi ne vous perdrez rien de vos économies, et même à terme vous les accroitrez.

    Pour ceux qui ont un peu de sou de coté, de quoi manger pour quelques mois, de faire le ménage et de se laver, plus de quoi faire du troc serait de bon aloi.

    Mais revenons voulez-vous à ce cher Sannat à qui fut posé la question suivante: "Que deviendront mes dettes quand l'économie sera en crise?"

    Il répondit que quoi qu'il se passe les banques tiendront parce que les banques centrales les inonderont de monnaies, ce qui est vrai et c'est très, très, très bien de le dire, oui mais, parce qu'il y a un mais, un tout petit mais.

    La monnaie ce n'est pas l'économie, elle permet certes de la faire fonctionner, mais elle n'est pas et ne sera jamais l'économie, et vous auriez beau vous taper le cul par terre en criant "vive l'empereur", cela ne changerait rien à l'affaire, l'économie ce sont: les usines, fabriques, mines, exploitations agricoles, des infrastructures efficaces pour tous, une administration efficiente et un état de droit, donc un réelle démocratie, et non pas celle totalement dévoyée d'aujourd'hui.

    P1010619 - Copie.JPGLa monnaie, quand à elle, servant à faire tourner le tout et de le développer, théoriquement de manière efficace, le reste c'est de la connerie, de la pure connerie!

    Les banques quand à elles, s'il y a désindustrialisation et il y a désindustrialisation, vous aurez beau lui déverser un Himalaya de monnaie, si l'économie réelle telle que je l'ai rapidement décrite est détruite, ce qui est entrain, elles couleront inéluctablement et ce seront les monnaies trop produites qui les y accompagneront, soit presque toutes.

    Puis in fine, elles seront nationalisées et les monnaies remplacées, mais pour ça il faudra du temps, quand aux dettes, elles seront purement et simplement annulées, tous les gouvernements n'auront pas d'autre choix puisqu'il faudra repartir de zéro, surtout en zone euro, zone zéro euro, ou mieux encore avec la liaison, zones zéros euro, ça sonne bien non?

    Un conseil, conservez précieusement vos relevés de compte parce qu'il serait toujours envisageable que quand redémarrera l'économie du pays, quand une nouvelle monnaie sera produite et les banques nationalisée, un petit peu de vos économies vous soient remises.

    Et merde, fait chier, il faut que ce soit moi qui m'y cogne, et pourtant ça en crève les yeux tellement c'est visible, il suffit juste d'avoir un tout petit peu de jugeote, ce n'est pourtant pas beaucoup demander: "Eh les pros, c'est quand est-ce que vous vous mettrez à penser, des fois?"!

    Et que dire de ces  classes-moyennes hautement supérieurs, les 3/4 tout de même,P1010646.JPG qui se laissent empapaouter de première par le macronisme-philippard, ces demi-sels, avec joie, plaisir et bonheur, et ils en redemandent, à croire que nos têtes pensantes sont masochistes, eux qui adorent leurs petits serviteurs noirs et arabes (seraient-ils leurs esclaves?) mais qui crachent sur 80 pourcent de la population qui par l'action ou de cœur ont enfilé un gilet jaune?

    Tout en versant une petite larme sur les ours blancs qui ont bien du malheur, ce qui est faux part ailleurs, et qui se foutent comme d'une guigne de l'agriculteur qui se suicide parce que l'Union-Européenne met en compétition notre agriculture de qualité avec celle d'autres pays européens aux moindres coûts salariaux dont cette qualité reste à voir, et, suite à des accords de libre échange, avec des pays où cette même qualité passe bien après la quantité, en saupoudrant le tout d'un beau paquet de produits chimiques bien gras.

    Mangez bio qu'ils disent et laissez le reste aux indigents, pauvres imbéciles, et ça se dit intellectuels...

    Vous savez quoi, bien pire que l'effondrement économique, c'est bien cette basse crétinerie d'un bon peu de ces futures classes dirigeantes, en remplacement de la grande bourgeoisie décrépie, qui accroitra extraordinairement les problèmes que nous devrons affronter.

    Je comprends beaucoup plus le reste du peuple qui lui est abreuvé jour et nuit d'une mascarade manipulatrice, sans avoir les outils d'un long cursus qui normalement P1020776.JPGdevrait aider à percevoir où se trouve la fausseté dans les informations transmises, cette population moins bien formée à qui il y est dit que quitter cette union mortifère serait catastrophique, sans percevoir que c'est l'Union-Européenne qui l'est de fait et de jure, catastrophique.

    Il lui est difficile de percevoir l'immense masse mensongère des médiats, sûrement même pire que celle qui sévissait en Union-Soviétique, pays qui avait payé le plus lourd tribu pendant la seconde guerre mondiale, et oui, même là-dessus  on nous raconte des mensonges.

    Les étasuniens ayant tranquillement attendu que les britanniques aient affaibli l'armée de l'air allemande, puis que l'U.R.S.S. aient fait de même pour le reste des forces combattantes germaniques, pour ensuite entrer dans la danse.

    Si les américains n'étaient pas intervenus, nous n'aurions pas parlé allemand mais plutôt russe, ou peut-être un anglais d'Oxford, sait-on jamais, et non pas ce globish nauséabond.

    En fait que je vous explique l'échelle hiérarchique du système:

    Notre gouvernement et nos chambres d'enregistrement de délibération obéissent à nos oligarques, qui obéissent à l'Union-Européenne, qui obéit à l'Allemagne, qui obéit aux États-Unis-d'Amérique qui, je l'ai dit, veut se réindustrialiser sous la présidence de Trump, c'est pourquoi ils nous piquent toutes nos richesses.

    Et sauf si l'économie internationale se casse la figure avant, les étasuniens se débarrasseront de nous après nous avoir copieusement ruiné, tout nous voler pourP1020120.JPG après faire exploser l'U.E. en coulant une banque allemande ou française, juste crachoteront-ils les quelques pépins qui resteront collées entre leurs dents, pour le reste ils nous boufferont tout cru jusqu'à la moelle et goulument en plus.

    Sauf si nous quittons l'Union-Européenne avant, alors, merde pour merde, votons U.P.R. pour le France-quitte l'année prochaine, non? Dans la merde, nous l'y serons bien moins dedans en en sortant.

    Dirais-je ainsi que d'être dans l'U.E. serait la même chose que d'être dans la merde?

    Tout de même, tout de même, ne perdons pas notre sang froid que diable...

     

     

    THEURIC

    (P.S.: Si quelqu'un me dit d'extrême-droite ou fasciste en raison de cet appel au vote, qu'il me laisse ses explications ici, que nous rigolions un peu, s'il en a le courage bien sûr, vous verrez, par écrit j'ai de la verve.)

  • Début de réflexion sur les leçon de la pandémie au COVID-19.

    Parce que nos sociétés deviennent autant complexes que fragiles, étant entendu que complexité et fragilité sociale pourraient ne pas aller de paire, nous ne pouvons plus nous permettre d'élire des imbéciles à la tête de nos états.

    Nous avons tous une responsabilité collective, de fait, en France, d'avoir élu ces équipes incompétentes qui, depuis des décennies, de GOPE en GOPE, par vile, obtuse et flemmarde obéissance à l'Union-européenne, ont ruiné notre pays, détruit nos infrastructures, déstabilisé gravement l'état, désindustrialise la nation, appauvrit la population, toute la population, et affadit ce qui fait la politique, la république, la chose publique.

    Parce que nous sommes tous responsables d'avoir écouté sans cesse des médiats dogmatiques et aux ordres qui n'ont que de cesse que de nous plonger dans l'angoisse, la seule façon pour eux de conserver leur pouvoir sur nous, en désignant nos amis comme étant nos ennemis, la Russie, et nos ennemis comme étant nos amis, l'Allemagne et l'administration bruxelloise, Bruxelles prenant des relents de laP1020930.JPG Vichy d'antan.

    Mais aussi en nous déversant de fausses informations créant inquiétude et tourment, à l'exemple de ce qu'il se raconte d'un réchauffement de l’atmosphère dû aux 0,5 % de CO2 dans l'air, je pense que nos descendants se foutront de nos gueules.

    (Je vous conseillerais d'aller y voir cette vidéo de François Asselineau qui, bien que partisane, mais qui ne le serait pas au sujet de l'UE, n'en est pas moins informative, et je suis sûr que des professionnels des questions juridiques et monétaires, après quelques recherches, n'y trouverons rien à en redire, quel que soit leur approche politique.

    Vous y comprendrez que l'annonce faite par Bruno Lemaire, notre censément ministre de l'économie, d'un déblocage de 500 milliards d'euros par l'UE, n'est que la poudre aux yeux (bien que j'y préfère le terme de miroir aux alouettes, vieille réminiscence de mes lectures de BD enfant: Zor et Mlouf contre 333, celui qui connait ça soit à plus de 60 ans et lisait Vaillant, l'ancêtre de Pif Gadget, soit est un rare vrai fana de BD).

    il fallait que l'union ponde un truc qui ne recevrait pas un veto de l'Allemagne et de la Hollande, d'où cette mouture tarabiscotée qui ne fera que renforcer l'opinion publique, surtout italienne et de plus en plus française, que, définitivement, ladite union ne sert à rien qu'à ruiner les peuples européens et à empêcher les états de conduire leur propre P1010844.JPGpolitique.)

    Prenons enfin les leçons de la chose: nous nous devons de nous éloigner définitivement d'une union débilitante qui, d'avoir été une créature impériale des États-Unis-d'Amérique, n'en devient pas moins celle d'une Germanie y prenant le pouvoir au fur et à mesure que la thalassocratie outre-atlantique s'affaiblie.

    Cela fait des siècle qu'elle nous emmerde, l'Allemagne, disons-lui au-revoir et laissons là à ses rêves infantiles de toute puissance, qu'elle s'y épuise toute seule, comme une grande, et tournons  nous résolument vers le monde, l'UE tendant à nous en isoler.

    Quittons aussi l'OTAN qui, de guerre en guerre, mène nos troupes, aux effectifs de plus en plus réduits et aux armements vieillissant, dans des aventures dont nous n'avons que faire.

    Et quelle catastrophe cela nous coûterait-il de retrouver notre indépendance au jour où nous nous apercevons, en Italie entre-autre, qu'aucune promesse tenue par les promoteurs unionistes ne sont valide?

    Certes, les premiers temps seront compliqués, il nous faudra réindustrialiser notre nation, retendre un tissu agricole convenable, rouvrir des mines, refaire une monnaie, un nouveau franc, recomposer notre administration désorganisée par les olibrius aux commandes, réparer nos infrastructures...

    Mais qu'est-il préférable, laisser ces crétins d'unioniste, ces demis-fascistes, tous partis confondus, désagréger la France jusqu'à ce que nous devenions un peuple enP1020251.JPG voie de développement, ou partir de ce machin inutile, destructeur et dangereux, retrousser nos manches, fermer nos frontières comme le font les suisses et ne plus jamais laisser quiconque nous dicter nos orientations politiques?

    REM, PS, LR, EELV, PCF (c'est ça le pire)... ne seraient-ils pas tous d'un même combat: soutenir et obéir à l'Union-européenne en toutes choses, même aux pires, par idéologie pure, par opportunisme, par dogmatisme niais?

    Sans jamais, au grand jamais oser faire la moindre référence à l'union et de nos obligations d'y obéir, parce que sans elle ils ne seraient plus rien qu'une ombre fantomatique, ne deviendraient plus que quelques mots dans les livres d'histoire, disparaîtraient pour toujours de la scène politique.

    Eux et leurs agents propagandistes des médiats officiels, audio, télés et papiers, ne peuvent faire que mentir, comment pourraient-ils faire autrement pour se justifier de leurs manques, autant d'intelligence, de jugeote, de vertu que de caractère?

    Nous n'avons plus que des êtres falots dans ces médiats, sur les bancs de l'Assemblée Nationale et au pouvoir exécutif, la preuve en est devenue flagrante depuis le début du mouvement des gilettistes, évidente depuis le début de la pandémie mondiale au coronavirus.

    P1020775.JPGParce qu'il faut être bête et méchant pour obéir à l'union, les autres de nos élus, les plus subtils et perspicaces, s'étant réfugié dans les communes, départements et régions.

    Ces bêtas sont tous, ou presque, devenus des macro-lepennistes!

     

    Il nous faut donc chasser cette caste éreintée, chasser notre état profond, l'oligarchie strato-financière, cette haute administration à la morale évanescente, dont Attali, leur chef en pensée, ce vieillard qui disait, il y a encore quelques années, qu'il serait bien que les sociétés éradiquent leurs vieillards, cet homme aux idées folles qui nous conduisit à toutes les perditions, n'est plus devenu, lui aussi, que l'ombre de lui-même.

    La France est une gérontocratie, le gouvernement des vieillard, sinon du corps, du-moins d'esprit.

    Personnellement, comme j'ai pu le raconter part ailleurs, je suis adhérent et vote, dès lors d'évidence, pour l'Union Populaire Républicaine, que les journalistes cornichons dit facho quand, rarement, ils parlent de lui, mais qu'importe.

    Il y a de forte probabilité que l'union se délitera d'elle-même, d'un coup, en surprenant tout le monde, et tel il en fut de la troisième république en ses débuts, il y aura une recomposition politique qui se fera d'urgence, tout comme il en sera d'ailleurs de celle d'un tissu industriel, agricole et minier.

    Ceci sans compter un nombre inconnu de gens qui, en raison même de cetteP1030461.JPG disparition, pourrait fort bien souffrir d'un stress post-traumatique pour certains violent, ce qui est déjà visible de par des réactions excessives et injurieuses de quelques commentateurs et autres experts d'opérette.

    Tout comme il est possible de l'observer de la part de membres de la bande à croncron.

    Cela en réaction directe à l'objective et absolue faiblesse de l'union face au vilain virus, doublée des insuffisances tangibles du gouvernement étasunien au-devant des mêmes agressions virales.

    Monsieur Trump ayant, sûrement avec raison, beaucoup plus peur de la crise économique qui arrive, pouvant se révéler bien plus meurtrière que de cette pandémie au coronavirus, ad minima aux USA (l'épidémie d'obésité qui y sévit pourrait bien aussi s'y révéler désastreuse et, ce, sur ces deux tableaux).

     

    En ces temps de confinement et puisque personne ne peut véritablement dire comment tout cela peut évoluer en ce moment, je conseillerais, aux partis politiques sérieux, aux mairie si possible, ainsi qu'aux groupes de gens plus ou moins formels au sein d'associations ou de cercle de vidéophiles traitant des informations notamment, de réunir quatre équipes complémentaires échangeant continuellement:

    -La première s'occupant de formaliser les différents scenarii du probable au possible qui pourraient avoir lieu;

    P1030187.JPG-La seconde ayant pour tâche de rassembler le plus d'informations possible tant à l'échelle nationale qu'internationale quelle fournirait à la première;

    -La troisième devant d'y apporter des réponses au plus juste de ce qu'il faudrait faire ainsi que de quelles décisions prendre au regard de ce qui sera rapporté des deux équipes  précédentes;

    -La quatrième, enfin, sera là pour explorer les éventualités les plus surprenantes, ceci affin de ce que personne ne puisse se retrouver déconcerté par quelque événement que ce soit, sachant qu'en cela une nouvelle circonstance, non envisagé, peut très bien survenir à tout moment.

    Les deux points forts, en cela, de l'UPR, réside tout autant des qualités professionnelles multiforme que recèle ce parti politique que de l'esprit indépendant, de libre penseur de ceux qui le compose puisque, pour nombre d'entre-eux, ils doivent se confronter aux jugements de valeur de leurs proches et de leur milieu, voire parfois, ce que j'espère rarement, à un rejet, en raison de leur adhésion à icelui.

    Songez simplement au fait que Monsieur Asselineau connaît parfaitement les rouage de l'administration française et que Monsieur Brousseau est l'un de ceux qui, au monde, comprend en la façon la plus fine la nature de la monnaie, ceci au moment où, de leur hyper-production, leur grande majorité perd de leur valeur au même rythme que de leur dite production.P1030139.JPG

     

    Je ne saurait clore ce billet sans aborder le registre du développement décisionnel de l'équipe dirigeante de la France, dite la bande à croncron.

    Ses acteurs à la petite tête tendent à s'installer dans un mécanisme rassurant d'une sorte de routine confortable où, à leur sens, il ne suffit, maintenant, que de poursuivre la marche à suivre pour réduire la pandémie de COVID-19, puis, ensuite, une fois que cette affaire sera résolue, de continuer la même politique qu'auparavant.

    Tous étant dans l'incapacité de pouvoir conceptualiser les événements futurs, comme j'ai pu l'expliquer en des billets précédents.

    Qu'il arrive n'importe quoi, quoi que ce soit de nouveau et ils seront pris à contre-pied et, là, leur panique sera plus intense encore que précédemment.

    Or, cette affaire laissera d'importantes traces de toutes sortes et, comme il se dit dans les médiats, pour une fois avec raison, le monde, la France s'en sortira différente de ce qu'elle fut avant, nécessairement.

    Comment leur faire confiance quand, de l'hypocrisie se croise la pauvre sottise, Madame Ndiaye réussissant, à l'image de son chef, l’exploit de les réunir, ce qui, P1020873.JPGpour ses confrères, doit être considéré comme une qualité.

    De cette vive incapacité foncière qu'ils nous démontrèrent dès le début de cette crise sanitaire, ce qu'ils remplacèrent par un infini déversement verbeux n'ayant de sens que d'essayer de se justifier de leur incompétence outrancière, nous ne pouvons qu'être de bon droit de considérer qu'il leur sera  de plus, dans l'impossibilité la plus entière de pouvoir en gérer une autre, de crise, celle-là économique et financière.

    Que nous en soyons conscient dès maintenant nous permettant de nous en prémunir un minimum en nous y préparant par quelques réserves de vivres, produit d'entretien et soin du corps, quelques argents plus de quoi faire un peu de troc.

     

    Enfin, en achèvement de ce billet, je vous propose deux sujets plus psychologiques, voire pour le premier, métaphysique, dont la trame centrale est une forme d'ennui inconscient provenant du tréfonds de notre âme.

    J'émets l'hypothèse, qui ne pourra qu'être controversé, que j'avais déjà déposé dans mon blog, que notre espèce, qui est la résultante de l'évolution de la vie datant de milliards d'années sur terre, c'étant v

  • Fiction n° 10) Vengeance!

    Le café grouillait de monde en ce doux début d'automne.

    Dans  cinq, six jour les météorologues promettaient une forte baisse de la température, tout le monde profitait de cette dernière douceur.

    Un brouhaha incessant déversait son flot de paroles, de rires, d'appels  aux garçons de bar, de mouvements de  chaises...

    Attablé seul devant son verre, Marcel attendait, regardant vaguement l'écran de son ordinateur portable, les résultats de sa vengeance.

    Cela faisait trois ans qu'il avait démissionné de l'établissement financier qui l'employait après qu'il se soit retrouvé placardisé dans un bureau minuscule dans lequel se trouvait juste une chaise, une table et une vieille bécane informatique, tout cela parce qu'il avait eu le malheur de prévenir sa hiérarchie des risques de faillite que courrait l'entreprise et l'économie mondiale.

    On ne  laisse pas un génie en informatique comme lui dans cette situation là même si sa machine est ancienne, presque antique, c'est dangereux.

    Il avait donc, patiemment, pendant un an, façonné puis déposé son virus dormant, lui le spécialiste avait contourné tous les barrages et anti-virus que ses confrères avaient mis au point puis, lorsque tout avait été mis en place, il avait déposé sa démission à une direction qui n'y avait vu que du feu.

    Il faut dire que rarement il avait rencontré un tel ramassis d'idiots qui, ce qui n'arrangeait pas les choses, tâtaient de ces produits illicites donnant le vertigineux sentiment de toute puissance mais qui en réalité ravageait les cerveaux et leurs processus  synaptiques.

    "Ces petits malins verront bien sous peu..." Pensa-t-il.

    Il regarda sa montre, encore trois quart d'heure, il avait déjà attendu ce jour quatre ans, il pouvait bien patienter quelques minutes.

    Il se laissa aller à se souvenir de son embauche, la joie qui était sienne de recevoir sa première paye, importante, des premières années candides, presque naïves, ne comprenant pas les traces blanches laissée par la drogue sur les miroirs, les discours impétueux, hystériques voire incohérents suivit d'un air dépressif, parfois hébété de certains, les sorties avec les confrères qui rapidement le fatigua, les conversations économiques avec les diplômés d'écoles commerciales auxquelles au début il ne comprenait rien mais dont ensuite il réalisa les incohérences, le ton des cadres dirigeants qui paraissait ferme et résolu et n'était en réalité que de la suffisance..., puis son isolement, "surtout pour ne pas le laisser au contact de quiconque, on ne sait jamais ce qu'il pourrait raconter et à qui, mais le conserver comme bouc-émissaire au cas où les choses tourneraient mal", il y en a eu quelques exemples dans la planète finance.

    Mais le lampiste potentiel ne s'est pas laissé faire, s'est protégé des risques qu'on lui fasse porter n'importe quel chapeau puis a déversé son poison informatique à son entreprise ainsi qu'à l'ensemble de la finance mondiale, petit à petit, lentement, discrètement.

    Tous, en vrai, il les hait!

    Plus que trente minutes.

    Il se surprit de fredonner la musique du film "l'arnaque".

    Il héla le serveur et lui commanda un nouveau verre de vin, calme et tendu à la fois.

    Il y a quelque temps il avait hésité à annuler toute l'opération puis s'était ravisé, cette crise prochaine arrivera, quoi qu'il se passe, et il n'a fait qu'en accélérer les mécanismes et, au contraire, faire que sa mise en branle advienne plus tôt ne peut qu'en minorer, bien que légèrement, les effets, en ces choses et vu la situation ce n'était plus que des questions de mois.

    Plus qu'un quart d'heure.

    A quelques tables de lui une femme le regardait, regard qu'il lui rendit d'un léger sourire.

    Un homme venant de derrière lui vint à la rencontre de cette beauté un bouquet à la main, elle se leva, ils s'embrassèrent puis partirent tous deux.

    Ce regard ne lui était pas adressé, se rendit-il compte un peu troublé et confus. Il les regarda s'étreindre puis, se retournant, les vit sortir et les suivit longuement des yeux...

    Onze heure pile.

    Il guetta les premiers signes qui tardèrent à arriver.

    "Oui!" Dit-il tout bas quelques minutes plus tard en serrant le point.

    Il paya ses consommations puis se leva et rentra chez lui.

    Deux mois plus tard la ruine de l'économie monde était achevée.


    THEURIC