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Rechercher : urss/usa? d'un empire à l'autre

  • Vous les croyez menteurs, ils sont délirants...

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui, droit dans les yeux vous mente ou celui qui, quel que soit le délire qu'il puisse proférer, y croit dure comme fer?

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui professe la pire absurdité en étant sûr de ce qu'il déblatère, même si c'est en contradiction d'avec la simple réalité, ou celui qui, contraint et forcé ou dans la crainte et la peur, doit raconter cette absurdité, même s'il sait que c'est faux?

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui, quoi qu'il puisse se passer, prend des décisions allant à l'encontre des intérêts de tous, même des siennes propres, en ne prenant pas en compte la simple réalité des faits parce qu'il en est incapable, ou celui qui a les capacités de percevoir, par une objective observation empirique, ceci en  raison même de son long cursus, cette même réalité, mais qui n'en veut ou n'en peut aucunement percevoir le moindre trait à cause d'un dogmatisme bien trop obtus?

    P1020908.JPGPoser la question c'est déjà y répondre.

    Certes nos chers oligarques nous haïssent, nous, le bas peuple, d'une haine farouche, totale, absolue, mais ils ne seraient rien si tant de gens dans la classe-moyenne la plus supérieure n'en étaient pas venu à penser à l'encontre de leurs propres intérêts futurs et également présents.

    Si ceux-ci n'étaient pas tant épris de cette idéologie néolibérale européiste qu'ils en oublient de simplement regarder ce qu'il s'était passé dans le monde anglo-saxon, aux U.S.A. surtout, et de voir l'abyssale pauvreté vers quoi cela conduit.

    Si, d'avoir oublié ce que peut être l'esprit de logique une fois quitté les bancs de l'école, dut-elle être haute, par paresse intellectuelle ou de se délecter du semblant de pouvoir que leur confère leur longues années d'étude, ne les avait pas abruti à un point tel qu'ils en ont perdu leur capacité d’abstraction.

    Que de se croire supérieur aux gens du commun que nous sommes ne leur avait pas faire perdre ce minimum de réflexion qui fait comprendre, aux gilets jaunes entre-autre, que de vider le pays de ses entreprises et de mettre tout le monde au chômage, conduira inéluctablement vers la faillite de tous.

    Et les conduira eux aussi, ainsi que leurs enfant, à se retrouver également sans emploi.

    A la limite, que l'oligarchie soit stupide ou puisse souffrir de maux mentaux, soit, c'est un phénomène qui a ponctué l'histoire depuis des temps immémoriaux, maisP1020915.JPG que la classe sociale se trouvant juste en-dessous d'elle, surtout celle intellectuelle, nous montre tout-autant un même abrutissement ne peut que désespérer l'Homme de bien.

    Mais le pire du pire c'est lorsqu'ils se justifient en déclarant que leurs propres insuffisances ne sont jamais de leur fait, mais de celui de ceux qui, dans les provinces et dans les banlieues des grandes villes, souffrent de leur aveuglement.

    Alors, permettez, messieurs-mesdames au si long cursus, que le penseur brut que je suis vous montre en quoi un si grand nombre de vos présupposés sont d'une parfaite fausseté et que leur raison d'être vient de ce que vous avez perdu tout contacte à la réalité.

    Qu'un seul d'entre-vous puisse encore voter pour l'un de ces nombreux partis politiques qui, d'une manière ou d'une autre, veulent que la France reste au sein de l'Union-Européenne est, déjà en soi, d'une pauvre conception de ce qui fait société et démontre votre incapacité, j'espère provisoire, à concevoir ce que peut être la politique.

    Je ne pense pas que beaucoup d'entre-vous se soit penché autant au-dessus de vers quoi mène notre appartenance à cette union débile, du peu de cas que l'oligarchie peut avoir pour vous, de la malveillance à terme de notre gouvernement à votre P1020963.JPGégard et des forces prodigieuses qui, désormais, s'accumulent pour détruire ces trois socles constitutifs de la politique et de l'économie d'aujourd'hui de notre patrie et, surtout, de l'U.E..

    Et pourtant, il ne suffit que d'examiner, très légèrement examiner, les proches événements passés pour comprendre ce vers quoi nous allons, je n'en prendrai qu'un seul exemple.

    Écoutez ce que monsieur Porcher raconte juste quelques mois avant la survenue des gilettistes, c'est très bien, sauf qu'il oublie une petite chose, c'est que le problème, logique, de l'Union-Européenne, qui est dorénavant à la base de quasiment toutes les décision politiques et économiques du pays, est aisée à définir: puisque triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement et idéologiquement,  si vous voulez la réformer vous la détruirez irrémédiablement, ceci d'autant plus qu'il faut l'accord de tous les états pour ça, et, de cela, tous ceux y travaillent et en vivent le savent, surtout les allemands.

    Parce que, sachez le, sans elle l'Allemagne disparaîtrait immanquablement.

    Comme vous ne semblez pas en comprendre les raisons, je vais vous l'expliquer, vous allez voir, c'est simple et ça se passe à deux niveaux, j'avais abordé le sujet de l'un d'entre-eux dans un texte précédent ayant pour titre: "Retour à la politique" et dont voici le copier/coller ( en vert dans le billet vers lequel je vous renvoie).

    Les raisons en sont qu'à ce moment là trois forces fortement antagonistes apparaissent:P1010824.JPG

    -la première critique et réformatrice;

    -la seconde conservatrice;

    -la troisième subversive et dissolvante.

    Ceci accompagné d'une grave perturbation du fonctionnement de ce système politique.

    Cette troisième est, au début, relativement discrète, probablement ne se reconnaissant pas comme telle et est même plutôt faible, se trouvant fortement décalée du centre du pouvoir.

    Les luttes internes des deux autres forces tendent à désorganiser le fonctionnement du-dit système, les affaiblissent l'une et l'autre et, surtout, en rendent visibles les incohérences structurelles aux populations et, dès lors, en en accroissant le rejet.

    [C'est pourquoi en France nous n'avons que peu d'information sur ce qu'il se passe dans les autres pays de l'union et de  son administration, et quand nous en avons elles sont tronquées, caviardées, transformées, voire carrément fausses.]

    Tout cela mène à une instabilité organisationnelle de ce système politique qui s'affaiblit mécaniquement.

    Ceci accompagné de la monté en puissance de la force subversive qui, en raison même de cette instabilité, toujours génératrice d'une forme ou d'une autre de violence, se radicalise puis prend le pouvoir, soit en achevant la destruction de ce P1010832.JPGsystème, soit après que celui-ci se soit autodétruit.

    C'est, je le pense, ce processus là qui avait permis à Eltsine de prendre le pouvoir, peut-être bien aidé en cela par quelques officines étasuniennes (dans le désordre):

    -cette troisième force, dissolvante, ayant été en U.R.S.S. l'oligarchie russe représentée par Eltsine;

    -la première, réformiste, Mr. Gorbatchev et ses proches;

    -la seconde, conservatrice, l'administration du pays.

    En Union-européenne ces trois forces sont représentées par:

    -la première ceux qui veulent réformer l'U.E. en sortant de l'euro, du peu que nous en savons (de Marseille) sont les seuls gouvernements allemand et italien, qui sont, ne l'oublions pas, les puissances économiques 1 et 3 de l'union;

    -la seconde sont représentés par  l'oligarchie euro-atlantiste, les pays où l'euro leur sont d'un grand bénéfice et l'administration de l'U.E.;

    -la troisième par les forces réellement patriotiques en chaque nation, en France l'U.P.R. (avec raison Mr. Asselineau considère ni vouloir dissoudre l'U.E., ni la détruire, simplement la quitter, mais ce simple fait, la France, 2ème économie de l'U.E., quittant ce rafiot unioniste, le détruira inéluctablement) plus quelques partis très peu visibles, d'autres devant exister çà et là dans un certain nombre de nations de l'union (il est à noter le Party brexit de Nigel Farage qui,  plus encore que l'U.P.R., en vient à dominer la vie politique de Grande-Bretagne).P1010532.JPG

    Notre situation à l'intérieur de l'U.E. n'est pas, bien entendu, similaire à celle qui prévalait en Russie-Soviétique, les deux pouvoirs centraux sont différents, l'économie y est inverse, la vision qu'en ont les populations en est distincte, mais la recherche, par ces deux gouvernement, germanique et italien, de se débarrasser de l'euro conduirait à une situation  analogue telle que décrite plus haut.

    Il n'est à voir la désaffection du peuple français pour les partis pro-U.E., ceux passant dans les médiats, c'est à cela qu'on les reconnait, bien que F.I. et R.N. puissent être un petit peu classés comme faisant parti de la première catégorie en tant que réformateurs à la Tsipras, mais ceux-ci ne servent que de repoussoirs pour faire élire les candidats les plus oligarchiques, à l'exemple de Macron qui ne put devenir Président de la République que grâce à la présence de Madame Le Pen au second tour.

    Il ne s'agit donc pas d'une déstabilisation provenant du cœur du système, comme il en était en U.R.S.S., mais plutôt de celle provenant de différents pays, chacun choisissant son camp, en France le gouvernement étant d'un pro-U.E.€.O.T.A.N. absolu.

    L'autre différence d'avec l'U.R..S.S. est que nous pourrions très bien, avant que l'U..E. ne se soit décomposé à tel point qu'elle se dissolve, nous confronter à ce fameux effondrement économique généralisé, ce qui ne pourrait que l'emporter dans cette tourmente.

    Ce qui est frappant en cela c'est que nous n'avons que deux exemples historiques de ce type de système politique, l'U.E. et, auparavant, l'U.R.S.S., cela étant sûrement dû à notre modernité, en revanche leurs P1010839.JPGmécanismes politiques et institutionnelles internes similaires rendent, je le pense, opérante la réflexion que je viens d'y porter.

    Toutefois dans l'empire U.S., quelque chose de semblable semble s'être mis en place puisque nous avons les conservateurs, ceux appelés l'état profond, nous avons les réformateurs, l'équipe trumpienne, mais aussi les subversifs et les dissolvants, une mouvance pas vraiment structurée entre un socialisme et un communisme qui serait, pour nous, de grand-papa.

     

    Ce deuxième niveau, tout aussi logique, est là encore facile à comprendre:

    Réformer les institutions de l'U.E. veut dire faire évoluer la fameuse et fumeuse constitution pour laquelle les français et les hollandais avaient voté contre lors d'un référendum.

    Si cette idée devenait, dans l'union, une idée à débattre dans un nombre représentatif de gouvernements, ce qui est loin d'être le cas, toutes les insatisfactions de chacun des pays remonteraient à la surface et commenceraient à être discutées.

    Progressivement les désaccords, exprimés au début avec calme et tact, génèreraient des inimitiés, puis dégénéreraient en disputes pouvant conduire à des conflits, ceci parce que les institutions de l'U.E. sont verrouillées, jusqu'au moment où chacun reprendrait son indépendance, avec ou sans l'article 50 dont Monsieur Asselineau a, de maintes fois, fait cas.P1020930.JPG

    C'est pourquoi plusieurs fois l'oligarchie unioniste fit tout pour renverser tout gouvernement européen montrant des velléités d'indépendance, en Italie et en Pologne notamment, montrant son total déni de démocratie, seriez-vous, vous aussi, de cette idéologie là?

    C'est pourquoi aussi Juncker put dire: "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens!", ceci pour affirmer la domination de l'Union-Européenne sur les états-nations et les mettre en garde des sanctions qui pleuvront sur tout pays ayant des velléités d'en sortir.

    Donc, tous ceux qui, de gauche à droite et de haut en bas, en viennent à proposer une autre Europe sont soient des imbéciles naïfs soient des menteurs, de quel que parti politique qu'ils soient, en cela nous pouvons déclarer: Mélenchon, Le Pen même combat.

     

    Comme vous pouvez ici le percevoir, messieurs-mesdames, penser qu'il puisse être possible d'imaginer le moindre instant une réforme quelconque des institutions et dès lors de la constitution de l'Union-Européenne c'est, pour dire le moins, faire preuve d'une naïveté incroyable.

    P1020964.JPGQue de ne pas pouvoir ou vouloir percevoir l'aspect dissolvant et destructeur, au sens propre du terme, de la politique tout azimut de l'Union-Européenne, et que, de plus, cela soit le fait, entre-autre, de scientifiques et d'intellectuels de hauts niveaux, comme il en est de ce mathématicien, Cédric Villani, embrigadé, de plus, chez les macronniaiseux, ne peut que me paraître ahurissant.

    Eux qui, de plus, ont en main tous les outils conceptuels pour appréhender les fragilités structurelles, politiques, économiques, idéologiques de cette union montre à nous tous, gens du commun, que la haute spécialisation n'empêche en rien de ne pas pouvoir comprendre d'autre logique que de la sienne propre, celle de son groupe constitué.

    D'ailleurs, il est vraisemblable qu'il lui ait été confié, à ce monsieur le mathématicien qui ne fut que la caution intellectuelle et scientifique d'un parti politique, le R.E.M. à qui manque bougrement de l'un comme de l'autre, de faire un rapport pour l'écarter du travail de l'Assemblée Nationale devenu depuis des décennies qu'une simple chambre d'enregistrement de l'Union-Européenne, à l'exemple de ce qu'était une Douma régionale à l'époque soviétique, et oui, cet homme s’aperçut, mais, un peu tard, qu'il fut pris pour un crétin de gogo, lui qui rêvassait, son réveil n'en fut que plus dur et il devait commencer à ruer dans les brancards pour être écarté de la sorte en lui donnant une sucette à la sortie.

    Mais ce qui me surprend le plus dans le monde de la science et de la philosophie ce sont les sujets tabous, repérables à ce que les idées novatrices, plus encore que de les critiquer et les réfuter, ce qui serait tout de même honorable, sont tout simplement ignorés, mis sous le boisseau, c'est bien  simple, surtout il ne faut pas y penser etP1020956.JPG encore moins en parler.

  • Les choses de l'esprit: de la sottise en héritage.

    Il est bien de rechercher les causes premières antérieures aux difficultés que nous pouvons rencontrer.

    Ainsi, la sottise tant de nos élites politiques, économiques qu'intellectuelles et artistiques, bien que n'étant pas totale, loin de là, n'en est pas moins majoritaire, ceci d'autant plus que c'est cette majorité qui détient la direction politique,  économique, intellectuelle et artistique de la France.

    De plus, ce processus ne concerne pas seulement notre petit hexagone mais quasiment toute l'Europe mais de manière moindre, sauf à quelques exceptions près la Russie, la Suisse, plus un ou deux pays nordiques et quelques-uns des anciens de l'est qui réagirent avec infiniment plus d'efficacité.

    Et c'est bien l'ouest européen qui en est le plus atteint, d'autant plus, d'une façon caricaturale, la France.

    Mais d'où se tirerait donc l'origine de cet abêtissement d'une partie non restreinte deP1030018.JPG ce qui devrait être la fine fleur de la nation?

    D'une question existentielle qu'il se posait dès la sortie de la seconde guerre mondiale et qui, ne recevant de réponse concrète jusqu'à aujourd'hui, réponse formulée maintenant par Emmanuel Todd*, en est venu à pervertir l'intelligence des plus hautes classes sociales: "Comment se fait-il que l'un des peuples le plus civilisé au monde (l'Allemagne) en ait pu en arriver à de telles atrocité (les exterminations massives)?"

    *( La réponde de Mr. Todd  étant qu'il y a un moment de rupture culturelle pouvant s'exprimer violemment dès lors que la religiosité d'un peuple descend en-dessous d'un certain seuil, ce qui était le cas pour les français de la grande région parisienne au XVIII° siècle et pour la Germanie du début du XX°. )

    De cette sottise collégiale, que, jusqu'à présent, je ne faisais qu'intuitivement supposer, je peux, dorénavant, la démontrer au sujet de notre oligarchie strato-financière et de notre gouvernement.

    Etant entendu qu'une démonstration ne peut en rien être une preuve directe, toutefois celle-ci permet-elle d'avancer des pistes de recherche, ici historique, en psychologie des groupes et anthropologique.

    Alors, quelle est cette réflexion me permettant de faire une telle démonstration?

    Elle m'est venue cette nuit où, me réveillant, m'est venu cette idée: nos oligarques n'avaient et n'ont aucun intérêt à empêcher le traitement, d'hydroxychloroquine doublé de l'azithromycine proposé par de Professeur Raoult pour lutter contre le P1030256.JPGSRAS-COV-2 et de soutenir mordicus sa dangerosité, ce qui est le mensonge d'état le plus  incroyable de notre modernité, tout cela via le gouvernement, les médiats et les institutions de recherche médicale, empêchant les médecins d'effectuer tant des tests de la population que ce traitement pour la soigner.

    Ceci en l'attente de l'évaluation de l'efficacité du remdésivir du laboratoire étasunien Gilead qui se révélera totalement déficient.

    Dont personne ou presque en France n'aurait pu tirer, quoi qu'il en soit, de quelconque bénéfice, là se trouve la folie de cette histoire et ma base réflexive.

    Tout cela en une forfaiture de première importance qui n'a servi que de faire monter une incroyable colère populaire.

    Or, hormis quelques-uns d'entre-eux qui auraient eu un petit peu d'actions dudit laboratoire, pourquoi donc leur faut-il refuser par tout les moyens, tant du fait du gouvernement aux ordres oligarchiques que de celui des médiats, que les français soient soignés de cette façon?

    Il n'y en a aucune raison probante.

    Qu'ils se retrouvent dès lors contraints de nous cloîtrer chez-nous, menant alors le pays à d'ahurissantes complications économique pouvant mener à une crise d'une telle violence que cela pourrait bien nous conduire, effectivement, à la disparition de l'euro, détruisant de là même l'Union-européenne (ce dont même Georges Sorros s’inquiète), tout autant que de leur fortune d'ailleurs.

    Nous menant de plus à une crise économique d'une telle violence que nous risquerions de nous retrouver à faire face à cette disette et famine que nous ne connaissions plus depuis près de deux siècles.P1030166.JPG

    Claustration déstabilisant jusqu'à l'Allemagne.

    Dès lors que nous prenons en compte cette question évoquée plus haut, toutes les affirmations dérisoires, les empêchements scientifiques, intellectuels, philosophiques, les errances politiques, économiques, artistiques deviennent compréhensible par ce simple fait qu'en réponse à celle-ci, fut formulé inconsciemment ce qui suit:

    " Puisque d'être détenteur d'une haute culture, d'un tel degrés de civilisation, mène aux atrocités de l'Allemagne nazi (ce qui, nous l'avons vu, est faux), alors pour être civilisé il faut ne pas être cultivé et donc de devenir de parfais imbéciles en redevenant des sauvages."

    Dès lors que ce paradoxe conceptuel s'est mis progressivement en place, gravement accentué par notre imprégnation de la basse culture de l'empire US, notre colonisateur, alors tout le reste  des imbécillités de notre époque, dont je n'ai eu de cesse que d'en donner des exemples, en découle.

    La perte d'identité des classes sociales les plus hautes venant accentuer d'autant cette situation déjà calamiteuse, peut-être même l'une se déduisant de l'autre.

    Là où la pandémie actuelle est révélatrice, bien plus qu'il pourrait en être de toutes autres billevesées et autres sornettes hypothétiques si nombreuses qui sont exprimées, ce révélateur, donc, se comptabiliserait, donc, au taux de mort qui, dans chaque pays du monde, mais surtout dans ceux occidentaux, s'égrainent en raison P1020047.JPGde cette maladie au vilain virus, c'est le niveau de perte civilisationnelle, culturelle, d'humanisme, d'intelligence, donc, des élites de chacun d'entre-eux que cela révélerait.

    Ce manque d'humanité que démontre le docteur Gérard Delépine lors de son intervention dans le site vidéo Putsch Live: "Le confinement répond à un désir d'humilier la population".

    En cela, cette avanie collective est, à mon sens, le marqueur le plus fiable de l'affaiblissement tant de la pensée, de la raison, des connaissances, de la perception temporelle, tant historique que du futur, et, dès lors, d'intelligence, d'humanité, de leur identité et de leur détermination d'Être de cette majorité des élites des nations où le plus de décès dû au COVID-19 est à déploré.

    Bien qu'il se doit toutefois de relativiser cette vision, puisque certains de nos voisins, le gouvernement italien surtout, surent réagir avec cette humanité et cette vigueur, sans fausse honte, contrairement à ce qu'il peut en être de notre gouvernement, en appelant à l'aide tous les états en capacité d'aider le peuple, Chine, Russie, Cuba, Egypte..., contrairement de ce qu'il en fut pour ceux de l'Union-Européenne dont les italiens ne reçurent nulle réponse à leurs SOS, quand bien même au début de cette crise sanitaire celui-ci commença par de mêmes erreurs que nos macronistes-philippards de tous poils.

    Reconnaître ses erreurs, ainsi que le fit le gouvernement britannique qui, après s'être rendu compte que son service médical ne pouvait absorber le choc du nombre de malades, se retrouva devant confiner, lui aussi, sa population, mais en le lui annonçant sans lui mentir des raisons, sans prendre les britanniques pour desP1030447.JPG enfants, est, pour moi, l'une des preuves, sinon la preuve la plus éblouissante, que cet esprit de raison que nous a légué nos anciens n'est en rien laissé lettre morte.

    C'est pourquoi je dis et affirme résolument que là où sévit le plus important abrutissement au plus haut de la hiérarchie sociale c'est aux Etats-Unis-d'Amérique, en France et peut-être même en Espagne.

    Aux USA, justement, où il est loisir d'y observer, via les vidéos, des événements plus que curieux, le particulier prenant sa voiture, parfois de bonne facture, pour aller chercher de quoi se nourrir..., montrant la situation désespérante de ce pays (je conseillerais à ceux de nos compatriotes qui y sont expatriés de revenir en France au plus vite si possible).

    C'est à nous, gens du commun, désormais, aidés en cela par ceux qui, du plus haut de cette hiérarchie sociale, ne souffrent que de peu ou pas de cet abêtissement, qu'il nous revient de recouvrer cette flamme faite d'humanité et du plaisir de la curiosité, de la découverte et du savoir qui manque tant à la tête de notre état.

     

     

    THEURIC       

    P1010503 - Copie.JPGPS: Une ridicule tentative de putsch  eut lieu à l'UPR en l'essai de renverser François Asselineau.

    Je m'attendais à quelque chose de cette sorte mais ne m'en avais pas exprimé, pensant que son président en avait pris les devants.

    De fait, en une façon de leçon salvatrice, il vaut mieux que cela survienne maintenant plutôt que dès lors que ce parti politique atteigne un niveau de popularité plus important qui lui permettra de prendre le pouvoir.

    Cette tentative fleure bon le pervers narcissique, tant de son culot, de la stupidité de sa mise en oeuvre, de la manière avec laquelle certains cadres de ce parti furent manipulés que de sa non prise en compte de la force de caractère de son président.

    Il est à considérer, comme me confortant dans cette appréciation, que les accusations proférées par le fomenteur de ce complot soient à l'image de sa propre conduite, ceci conté par Fabien Sémat, qui en est cadre, justement, en ces deux mêmes vidéos, la plus courte, la plus longue.

     

    PS2: Une odeur de souffre fut sentie à Paris et sa banlieue le 10 Mai, soit à la date anniversaire du début de déclenchement de l'offensive allemande sur la France en 1940, qui conduisit, après cette défaite française, à ce que le gouvernement de Pétain fut mis en place à Vichy, inféodé à l'Allemagne hitlérienne.

    Qui survint la veille aussi du début du commencement du déconfinement de laP1030280.JPG population.

    Le souffre représentant le diable dans l'iconographie de l'époque médiévale, également que l'expression "sentir le souffre" renvoie autant à une situation semblant prendre mauvaise tournure que d'une personne dont on ne peut pas avoir confiance.

    De part cette triple symbolique, ce phénomène ne peut pas être anodin et ne peut qu'exprimer, à mon sens, soit une mise en garde d'une catastrophe quelconque, soit l'annonce de difficultés avenir pour des franciliens, soit un événement important survenant en Île-de-France, soit un chamboulement rapide, pourquoi pas politique, soit un mixe complexe de ces quatre éventualités.

  • L'Union-européenne: l'angoisse de la séparation.

    Certains psychiatres pensent que l'inconscient n'existe pas.

    D'une certaine façon c'est vrai, mais d'une autre c'est faux.

    Nous donnons en effet des noms à des processus psychiques qui, de fait, sont globaux, et tous ceux qui ne sont pas conscients, c'est à dire qui ne franchissent pas la frontière de la pensée, comme étant inconscient.

    Mais en ce cas qu'est-ce que la conscience?

    Ne serait-ce donc pas ce qui détermine, en nous, notre présence en tant qu'Être par nous-mêmes de par nos pensées, c'est ainsi que j'ai compris cette avancée majeur de la philosophie: "Je pense donc je suis!".

    Mais cette pensée consciente, ce qu'elle est toujours, est comme la fine surface d'eau nous cachant les profondes abysses qu'est cet inconscient complexe, démesuré et de structure fractale.P1020168.JPG

    De fait, la pensée, qui  nous a permis de nous abstraire de la composante psychique archaïque de la préhistoire, séparant conscient et inconscient telle une fine membrane semi-poreuse entre l'un et l'autre, nous donne facilement l'illusion d'être à elle seule le réservoir de notre psyché, quand sa fonction ne consiste qu'à composer notre conscience en l'organisant et en l'harmonisant d'avec le reste des constituants de notre esprit qui, eux, sont majoritairement inconscient.

    Dont la résultante du travail ainsi réalisé, mémoriel compris, remonte à la surface, si je puis le dire ainsi, suivant les besoins momentanés de chacun, sauf à ce qu'ils ne soient refoulés, c'est à dire interdit, momentanément ou, parfois, définitivement, de rejoindre la conscience, de traverser ladite membrane semi-poreuse  qu'est la pensée, d'en remonter à son seuil.

    Là se trouve les origines  des névroses, voire de certaines psychoses telle que la perversité narcissique.

    Or, tout refoulement va conduire à une cascade de processus mnésiques conduisant à des biais cognitifs plus ou moins graves suivant leur importance, d'agir de façon dérisoire, puérile, néfaste et/ou perverse pour soi et/ou à l'endroit de tiers, menant à ce que le sujet n'en vient plus à expliquer ses démarches mais à les justifier puisque n'étant plus que le jouet somnambule de son inconscient.

    Etant entendu que d'être déjà conscient desdits refoulements, sans en comprendre lesquels, ne peut P1020446.JPGqu'en atténuer plus ou moins les effets.

    C'est en cela qu'il nous faut comprendre le pourquoi véritable de nos actes, actions et agissements, ainsi, souvent, ce n'est pas notre façon d'agir qui importe mais bien plutôt leurs raisons d'être.

    Nous pouvons observer en cela que notre pensée, qui est une avancée évolutive majeur pour notre espèce, n'en est pas moins, du fait de son jeune âge en terme d'évolution, d'une grande fragilité, ce que seule une éducation suivit d'une instruction harmonieuse peut aider à bâtir.

    Ce long préambule, présenté ici en préalable, est là pour vous faire mieux comprendre, amis lecteurs, les soucis que pose, en ce moment même, l'idée d'un France-quitte qui, parce que refoulé par, à mon sens, un très grand nombre de français, bien plus que majoritaire, mène la France à des difficultés jusqu'au sein même du parti politique qui le réclame: l'UPR.

    C'est, en vrai, la fragilité extrême de l'Union-Européenne et de l'euro, la réalité de leur inanité face à une quelconque crise, les coups de butoir de plus en plus violent qu'ils subissent, l'autodestruction de la monnaie commune par son hyper-production et les emprunts à taux négatifs par les états, qui, définissent leur fin prochaine désormais évidente.

    Sinon demain, du-moins dans un laps de temps relativement court, pouvant toutefois s'établir encore sur quelques années.

    C'est cette perception généralisée qui produit ainsi autant le déni de son existence pour un ensemble large du peuple, mais plus encore en la sphère médiatique, économique et politique, qui mène aussi aux troubles qui traversent en ce moment l'Union-Populaire-Républicaine.P1020133.JPG

    A un point telle que, moi-même, en ressens l'inquiétude à mesure que j'écris ces lignes.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, en ressentez-vous l’oppressante âpreté angoissante obscurcissant autant la raison que la cognition?

    Que ressentez-vous quand vous imaginez en vrai la France hors de l'Union-européenne et que, désormais, de ne plus parler de la puissance US que comme une vieille relique (ce qu'elle est déjà)? 

    Que vous sentiez en vous-même que l'Union-européenne ne soit plus, que les médiats ne parlent plus que des relations véritables entre les états européens, de devoir avoir votre passeport en poche pour franchir les frontières voisines et de faire, avant, un change monétaire?

    De ne plus à apprendre la langue anglaise devenue une comme toutes les autres.

    En sentez-vous la tension monté du ventre?

    Ce furent deux vidéos qui me conduisirent à cette réflexion, celle-ci de Fabien Sémat puis celle-là de Jean-Batiste Baron.

    De la première j'en avais fait une brève remarque le 13 Mai (en PS. en fin de texte) que je ne peux que corriger après avoir vu la seconde, découverte ensuite.

    De cette seconde je reste toutefois prudent, étant donné que son témoignage, indirecte, est de deuxième main, toutefois si ce qu'il raconte est faux il sait parfaitement qu'il pourrait très bien se retrouver devant la justice.

    Ces deux films montrent des personnes raisonnables et intègres qui racontent ce qu'ils savent de cette affaire en un double point de vu contradictoire mais, de ce qu'il me semble, complémentaire, en ce sens où, justement, les événements qu'ils décrivent montrent, à mon sens, un phénomène d'affolement mental collectif.

    Et la cause en serait cette angoisse quasiment généralisée, en France pour le moins, due à ce que l'Union-européenne, l'euro, mais aussi les Etats-Unis-d'Amérique, comme l'explique Charles Gave, se trouvent tous trois en grande situation de détresse., l'OTAN n'en étant que leur extension sans, ici, réelle importance.

    Au début, dès que j'appris ces événements, n'en ayant que l'avis d'une seule partie, je P1020266.JPGne pensais juste qu'il s'agissait d'une tentative classique en politique de renversement de Mr. Asselineau, bien que la présence de Mr. Brousseau au sein des conjurés me laissait perplexe, ayant soupesé la forte mais discrète personnalité du bonhomme.

    Puis, à la suite de l'intervention de Mr. Baron, considérant la manière absurde et perverse avec laquelle François Asselineau se serait conduit, si celui-là a bien relaté les faits tels qu'ils se sont produits, alors je ne peux pas ne pas considérer que, de fait, la même angoisse telle que décrite plus haut étreint le président de l'UPR.

    Possiblement en ce cas le but inconscient serait de défaire ce qu'il a lui-même construit en raison de ladite angoisse décrite auparavant. 

    Celle-ci le conduisant de plus à des erreurs politiques majeures, tel que de ne cesser de faire états des incohérences du Président de la République, bien réels il est vrai, sans pour cela viser au plus juste là où se trouve le nœud du problème électoral du pays, le Rassemblement National et son chef, Madame Le Pen, qui servent de repoussoir pour faire élire le prétendant oligarchique à la magistrature suprême, et pourquoi non plus de faire de même pour la France Insoumise.

    Ce qui, en outre, de taper continuellement dessus permettrait de se défaire définitivement de la sotte considération journalistique d'une impossible alliance desP1010743.JPG partis qui, pour ces deux-là, se diraient souverainistes, ce qui génère en moi autant d'agacement que de rigolade..

    En effet, éreinter le président du RN permettrait d'éviter que se poursuive la farce d'une extrême droite qui, si nous nous penchons de ce qu'elle a pu signifier par le passé, tant en acte, en destruction qu'en parole, n'en est plus, à l'image du PCF/FI d'aujourd'hui pour une gauche radicale, qu'une pâle copie de ce qu'elle fut d'antan, une ombre fantomatique en quelque sorte.

    De se défaire d'autre part de cette sérénade journalistique voulant que, suivant le médiat, l'UPR serait de mêmes eaux que le RN ou la FI.

    Ni l'un ni les autres ne voulant, en vérité, que la nation recouvre son indépendance pleine et entière, comme tous les autres partis siégeant dans les chambres délibératives, toujours à cause des mêmes mécanismes.

    Je ne pensais pas, en effet, que Mr. Asselineau put, tout autant que la majorité des français, souffrir ainsi inconsciemment de l'idée même de cette triple disparition qui, antérieurement fortement probable, n'en est pas moins devenue depuis lors certaines.

    Lorsque l'on sait que c'est lui qui avait mis en place ce mouvement de plus une décennie maintenant, il est incompréhensible de ce qu'il puisse agir de la sorte, sauf si des mécanismes irréfléchis et inconsidérés soient à l'oeuvre en une perte logique, en ce cas, de lucidité.

    Si l'on remonte dans le temps, je supposerais que leur commencement dateraient véritablement d'il y a deux à trois ans, quand l'euro tendit à perdre de sa valeur et P1020178.JPGque QE et emprunts à taux positifs commençaient à se mettre en place en UE.

    Sans compter d'une possible désorganisation de l'union encore discrète dont nous n'avons pas encore le compte-rendu mais dont les personnalités au fait de ce qu'il s'y passe connaissent et qui, pour la majorité d'entre-nous, est devenu visible dès le début de la crise sanitaire actuelle de part son inaction totale, d'où cette monté supérieure d'anxiété.

    Ainsi en ces choses de l'esprit nous ne devons surtout pas écarter ce qui pourrait sembler être des invraisemblances.

    Quand il est encombré de pulsions, de mémorisations, de structures, d'émotions, de tensions contradictoires indéfinies parce que refoulées, alors il faut envisager que les paradoxes actifs sont là parce que des mécanismes inconscients sont en jeu.

    Il en est, par exemple, d'hommes ou de femmes qui, aimant véritablement leur compagne ou leur compagnon, la ou le fuient d'une manière ou d'une autre dès lors que leur situation devient sérieuse, en refusant un mariage au dernier moment ou en ne voulant pas s'installer à demeure chez son amour au risque qu'elle ou il le ou la quitte...

    J'avais, il y a peu, envisagé que cette angoisse due à ladite triple disparition UE/€/USA, ad minima en tant qu'empire pour ce dernier, mènerait à des réactions excessives, contradictoires, de déni, hystériques ou pire..., plus ou moins enP1030063.JPG déconnexion d'avec la réalité.

    J'avais même suggéré que ce phénomène toucherait tout autant des adhérents de l'UPR, il est probable même que cela ait atteint les deux camps de ce conflit.

    Si cela se révélerait exact, alors cela voudrait dire que la proportion de français qui, d'une manière ou d'une autre, sont tourmentés par ce fait dudit triple affaiblissement présageant la disparition des deux unions et de cette monnaie, dès lors d'un France-quitte automatique, serait alors énorme et bien plus que majoritaire.

    Il est même, en ce cas, probable que la sixième république survienne, comme il en fut pour la troisième, plus par surprise que par un choix délibéré et lucide du peuple et d'une partie de ses élites, voire à ce que cela se fasse dans le bricolage le plus total, en une rétrogression que, jusqu'à présent, nous poursuivons avec une sorte de méticulosité logique collective nous faisant remonté au temps de la guerre de 1870 et de ses effets nombreux.

    Ce conflit au sein même de l'UPR  montre dès lors que notre position à tous sur l'existence de l'union et de ce qu

  • Non pas de l'espoir mais de la détermination!

    Je trouve la guêpe germanique, Vespula Germanica, plus élégante que celle commune plus ronde et ramassée, aux pattes plus courtes.

    Il y a de cela fort longtemps, dans le jardin de chez mon frère, un nid s'était constitué au fond, je m'en étais rapproché, non pas trop près, et avais vu cette myriade d'insectes s'agitant sur la brouette retournée, sans quelles ne me fassent le moindre mal.

     

    Avis:

     

    Je fus contraint de supprimer quelques-uns de mes anciens billets en raison de ma limitation de place sur ce site Hautetfort, en en ayant choisi ceux me semblant périmés.

     

    Peut-être est-ce aussi pourquoi il ne m'est plus possible d'y poster mes petites photos.

     

    Je reprendrai des textes passés, me semblant d'importance, ce qui me permettra de les compléter et de les corriger si cela s’avérerait (plutôt) nécessaire.

     

    J'avais toutefois, auparavant, quoi qu'il en soit, enregistré dans mon ordinateur la teneur de mon blog, suivant les événements US, il est à prévoir une panne possible du WEB via Windows.

     

    N'oublions pas la composante des possibilités événementielles futures: impossible, plausible, éventuel, possible, probable, d'évidence.

     

     

    Avant-propos:

     

    Je ne suis en rien contre avoir de l'espoir en toutes choses, toutefois l'époque se prête à ce que nous devrions être déterminés, ceci dans sa double acception, dans notre identité et dans notre résolution et volonté dans l'action, tel que j'avais pu le concevoir et vous le proposer en Mars 2018.

     

    j'y avais écrit ceci (m'apercevant qu'à l'époque j'étais encore très confus, c'est pourquoi ici je l'ai un peu corrigé):

     

    ".................................

     

    ... en soi, il ne peut que paraître singulier de considérer la notion d'indétermination comme étant majeur pour comprendre notre situation psychologique et sociologique d'en ce moment (ce texte faisant suite au libelle précédent).

     

    De fait, le mot détermination renvoie autant à ce qui dicte notre condition d'Être Humain, notre volonté dans l'action, celle de la compréhension du monde ainsi que de notre résolution à la précision de notre verbe (dans le sens ancien du terme, tant dans l'expression orale qu'écrite).

     

    Certes, pour Spinoza, "toute détermination est une négation", mais ne faut-il pas nier ce que nous ne sommes pas pour pouvoir affirmer notre identité?

     

    Parce que c'est bien cela qui fait le thème de ce billet: montrer comment l'indétermination de notre identité, autant individuelle que collective et, ce, sous toutes ses formes, mène inéluctablement à de l'anxiété, de l'acculturation, de la sauvagerie par la perte culturelle que cela induit, de l'indolence intellectuelle et de volonté, de la confusion mentale, aussi qu'à de nombreux biais cognitifs, de l'inconséquence décisionnelle..., d'où, entre-autre, la faiblesse actuelle de l'orthographie, du sens des mots et des idées.

     

    ................................

     

    ... celui d'indétermination montre bien ce à quoi nous nous confrontons aujourd'hui, soit autant les effets psychologiques que cela produit, de l'anxiété, de l'angoisse dû à notre sentiment plus ou moins flou et inconscient de non existence;

     

    Que de nos difficultés d'agir, de réagir réellement et sainement, de réfléchir par nous-mêmes, de considérer le vrai du faux, en un mot comme en cent, de pouvoir être en plein de notre détention de notre libre arbitre tant dans nos réflexions que lors de nos actions, mais aussi et surtout de l'ordonnancement et de la structure de notre pensée et dès lors de notre raison.

     

    C'est quand cette détermination se construit d'incohérences, de paradoxes et de non-sens, comme il en est de ces français se croyant américains sur le sol de France, d'une confrontation d'avec des transformations sociales soudaines, rapides et/ou violente comme il peut en être aujourd'hui.

     

    Lorsqu'il n'est plus possible, pour la personne, de pouvoir dire qui  elle est, tant individuellement que socialement, qu'il y a indétermination de l'Être en une grave perte d'identité, voire une identité quasiment inexistante, ce qui conduit à une instabilité du narcissisme (ce qui définit l'individualité de chacun dans le regard de l'autre et dans celui du sien propre), déstabilisant de fait l'égo (ce qui définit l'extension de nous-mêmes par nos créations et nos avoirs sous forme de biens, de savoirs et de compréhensions du monde...).

     

    Être déterminer en tant qu'Être Humain c'est, conjointement arrivé à l'âge adulte, être dans la volonté de se comprendre, comprendre son identité, que de ce qu'être Soi soit naturel dans le présent pour pouvoir se projeter dans le futur, de le concevoir, de pouvoir planifier, de percevoir les effets possibles de ses décisions et actions.

     

    Mais aussi saisir ce qu'est le temps, celui passé de l'histoire du pays, du sol, de la terre où l'on vit, elle qui forge notre manière de penser, de parler, d'écrire, d'aimer, de s'émouvoir, de réagir, d'agir ..., d'Être, donc, quelle que soit l'origine de ses aïeux proches ou lointains.

     

    Tout comme de la sienne, d'histoire, et celle de ses générations antérieures (si on le peut, bien sûr).

     

    Notre présent, bien entendu, se doit d'être apprécié et considéré pour ce qu'il est, ni en bien, ni en mal, mais dans la résolution d'aller vers ce que le progrès veut réellement dire, de ce que peut être une société dynamique et harmonieuse autant que respectueuse de chaque citoyen.

     

    Aussi que de ressentir ce clair-obscur qu'est le futur, du sien propre comme celui de nos descendants.

     

    C'est en tout cela que se situe notre détermination."

     

    La détermination, en tant que structure psychologique, renvoie nécessairement à la notion d'identité dans ses quatre fondements:

     

    -La sienne en propre dans sa particularité absolue consciente et inconsciente;

     

    -Sociale, autant de comment nous nous considérons que du comment nous sommes considérés, aussi que de comment nous considérons être considérés;

     

    -De celle collective en tant que citoyen d'une nation elle aussi particulière à toutes les autres;

     

    -Enfin d'espèce vivante distincte de toute autre en tant qu'Homo Sapiens Sapiens.

     

    Cette perte d'identité par son indétermination d'Être affaiblissant gravement la pensée dans sa nature et, par-là même, la conscience, du monde comme de Soi, l'inconscient prenant dès lors naturellement les commandes du sujet, le menant dès lors à de seules réactivités aux excitations dues à la dynamique du milieu et non pas à une réflexion préalable.

     

    La détermination renvoyant en toute cohérence à l'action par le truchement de la pensée et, dès lors par extension, à la raison, qui vient, là, la planifier par notre projection sur un temps plus ou moins long d'une réflexion qui en compose le socle.

     

    Savoir qui nous sommes est donc d'une importance capitale pour tout Être Humain en notre modernité complexe.

     

    Plus que cela, en raison même de l'affaiblissement continuel, devenu une décadence quasiment arrivé à son terme, des Etats-Unis-d'Amérique, à ce qu'une hystérisation réflexe d'une majorité des élites internationales les conduisent à agir à l'encontre de leurs propres convictions démocratiques et à toute efficience économique, détruisant par là toutes les monnaies et, dès lors, à celle de leur conception du monde.

     

     

    Introduction:

     

    Il se passe, en ce moment même, tant en Union-Européenne, aux Etats-Unis-d'Amérique qu'à l'international, des événements significatifs des bouleversements nationaux, unionistes, occidentaux et mondiaux en cours qui, je le présume, iront s'accélérant quand notre blocage anthropologique actuel aura pris fin.

     

    Dès lors, nous sommes à la veille d'intenses chamboulements quand la paralysie sociétale actuelle aura cessé, dont nous ne pouvons toutefois percevoir que les prémisses, lors, ceux-ci ne peuvent pas être déterminés dans leur nature exacte, du-moins est-il possible d'en saisir les contours dynamiques futurs pour s'en faire une idée.

     

    Ici je vais revenir sur deux points d'importances, intimement liés, que j'avais déjà abordés antérieurement: ce que cache les élections étasuniennes et les raisons les plus profondes pour lesquelles nous avons le sentiment d'une société bloquée.

     

    Pour cela je vais activer le principe de parcimonie, soit appliquer l'hypothèse la plus simple en regard des informations qu'il m'eût été donner de percevoir.

     

    Le second concept avivé sera celui de "misonéisme", de miso-, qui déteste, et -néisme, de nouveauté, dont la définition, suivant le site CNRTL, est: "Tendance d'esprit ou attitude systématique d'hostilité à l'innovation, au changement (dans les habitudes et les préjugés établis)".

     

    Mon seul et unique but étant de vous aider à rechercher la nature de la réalité au sein de cette  glauque et insensée période puis de vous en proposer le résultat.

     

     

    D'un lointain roi français à une élection présidentielle US:

    Comme il peut en être de naturel, souvent ce ne peut qu'être qu'en considérant les leçons portées par les événements passés que nous pouvons comprendre ceux présents.

     

    Ce que je nomme les modèles historiques.

     

    Ainsi, Monsieur Greiling, au pseudonyme Observatus Politicus, sur son site: "Chronique du grand jeu", nous montre-t-il que les Etats-Unis-d'Amérique sont un empire thalassocratique à l'exemple de ce que furent ceux de l’Athènes antique et de la Grande-Bretagne des XVIII° et XIX° siècle.

     

    Ce type de modèle ne pouvant qu'être, en toute évidence, qu'approximatif, du-moins propose-t-il une base de lecture structurelle de ce qui, sinon, ne pourrait que rester grandement flouté.

     

    Il en est ainsi des dernières élections US, dont les malversations du parti démocrate furent si grossières qu'elles ne purent que faire rire le monde entier, faisant perdre à ce pays tout son sérieux lui restant, en raison de ce ridicule.

     

    Le c

  • De la catastrophe économique qui vient.

    Ce libellé manquant singulièrement de structure, je l'ai retiré hier pour le corriger et l'améliorer.

    P1000752 - Copie.JPGDe plus, je vais rajouter un long préambule à l'avant propos ci-après.

    La folie collective de l'époque n'est certes pas vraiment pire de celle qui a pu se prévaloir par le passé, les deux guerres mondiales sont là pour nous le démontrer.

    Mais bien que différente, elle ne peut que laisser l'Homme de bien intrigué par les diverses incohérences qu'elle ne se lasse d'insuffler dans l'esprit de chacun.

    Les exemples sont multiples des croyances de l'époque que les professionnels sérieux n'ont que de cesse de tenter d'en démontrer l'inanité.

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, la validité et l'efficacité de l'euro, la nécessité et l'impérieux besoin géopolitique de l'Union-Européenne pour faire face aux géants que sont la Russie, la Chine et d'autres, la possibilité de réformer la même union, l'économie comme étant l'élément primordial et quasiment unique pour toute politique, l'Union-Européenne comme étant d'essence démocratique, le calcul du P.I.B. comme étant d'une bonne efficience économique, le chômage funeste pour l'économie et non pas les très très bas salaires qui eux lui seraient bénéfique du moment qu'ils feraint baisser ce chômage...etc...etc....

    Ces quelques illustrations ne pouvant que nous montrer combien ces croyances sont autant délirantes, fallacieuses que dangereuses.

    Mais plus encore, pour l'immense majorité des gens professant ces allégations fausses, dominant partout dans le monde et, ce, à toutes les échelles hiérarchiques des sociétés humaines, il s'agit de concepts inconscients ne renvoyant à aucune observation empirique et/ou d'expérimentale.

    Tout au contraire, les études pondérées et soigneuses faites sur ces sujets et sur bien d'autres montrent et démontrent que ces concepts faux expriment l'inverseP1000831.JPG que ce que peuvent révéler ces études.

    C'est cette dichotomie entre la réalité et cet ensemble de fantasmes collectifs qui révèle cette époque de transition que j'avais précédemment évoqué ( transition-5920286.html ) et que, déjà, dans les années 50, C.G. Jung décelait dans le livre "Présent et avenir" ( present_et_avenir_poche.htm ).

    Il s'agit, en réalité, d'une scission névrotique collective entre les couches profondes et structurantes inconscientes des Êtres Humains, symboliques et archétypales, soit notre inconscient collectif, et la réalité technologique et culturelle, bâtie sur une base d'acculturation profonde, des sociétés.

    Ceci explique pourquoi nous pouvons nous confronter à des réactions parfois violente lorsque nous abordons l'un des multiples thème structurant ce vide symbolique actuel en les remettant en question, même de manière modérée.

    Si, par exemple et de la même façon, telle ou telle décision semble être prise consciemment pour tenter de ralentir l'effondrement de cette globalisation économique si malade, n'en croyez rien, il s'agira juste de décisions inconscientes pour que perdure ce système de pensée plus que de celui de l'économie, inconscient qui, dans le même temps, offrira à la conscience de ces acteurs la justification de leurs actes, qu'elle soit logique ou qu'elle ne le soit pas.

    Justification reprise en cœur par les chroniqueurs des médiats officiels, se déchargeant là à bon compte d'un poids d'incohérence intellectuel trop pesant.

    Comprenez bien que je ne suis pas quelqu'un pensant que nous devrions revenir aux temps passés, à la voiture à cheval, à la bougie et à la prière du dimanche..., pour ce dernier n'ayant rien pour ni contre le retour au catholicisme.

    De plus je suis athée dans le sens premier du terme, soit qui n'a pas de dieu.

    Toutefois cette scission névrotique devrait, en Europe, se résoudre peu ou prou par un renouveau de la religion originel de chacun des peuples, sous une forme différente à celle passée, cela va de soit.

    Mais en attendant, la catastrophe économique qui se développe, sujet de ce rédigé, ne peut être prise en considération que par une minorité de personnes et, ce, pour les raisons invoquées plus haut.

    IMGP0198.JPGCe sera le choc dû à ce phénomène qui, progressivement, renouera, sous une forme ou une autre, nos liens d'avec les profondeurs structurantes et originelles de notre psyché.

    Et qu'ensuite, plus tard, se reformulera, évoluera cet ensemble d'expression symbolique d'antan plus à même de nous offrir à nous autres, Homo Sapiens Sapiens, les capacités de nous adapter au mieux à des transformations sociétales qui n'en sont, aujourd'hui, qu'à leur tout début.

    Il est à noter que ceux saisissant cela aujourd'hui sont les précurseurs d'un mouvement qui deviendra général, bien qu'une infime minorité en ont et en auront pleinement conscience, il n'est pas à en tirer gloriole et de se penser élite au-dessus de la masse, il s'agit là d'un mécanisme humain tout à fait naturel.

    De plus, chacun de ces précurseurs, dont nous sommes, amis lecteurs, conservent pour l'instant, sans le savoir, une partie, même infime, de cette masse de croyances actuelles, sans quoi ils seraient totalement asociaux, leur, notre survie sociale est à ce prix, du-moins pouvons-nous ne pas en être dupes.

     

    Il est nul besoin de s'affoler lorsqu'un événement catastrophique mais prévisible est annoncé, s'y préparer au mieux, calmement, méticuleusement, ne peut qu'en être la meilleurs des réponses.

    Il en est ainsi dans les régions où sévissent régulièrement des cyclones ou des tremblements de terre par exemple.

    Il en est de même pour l'actuel effondrement progressif et dramatique de l'économie globalisée.

    Pour ce qu'il en est des causes, j'en ai déjà discuté maintes fois ici, elles sont multiples et plutôt simples à définir: Désindustrialisation occidentale dès les années 70, suivit maintenant par les pays dits émergents, monté en puissance des crédits et des dettes de tous pour tous (avec le P.I.B. comme  tromperie universelle) pour tenter de faire survivre les états et les banques, ouverture puis béance des frontières, appauvrissement puis déclassement des classes-moyennes, monstrueux enflement des bourses, hyper-productions monétaires...etc...etc... .

    P1000866.JPG

    Toutes ces causes tendent aujourd'hui à accélérer leur développement, ce qui montre que ce processus de faillite généralisée se rapproche de nous.

    Lorsque cela surviendra, ses effets primaires seront, me semble-t-il, facile, là encore, à identifier, thème sur lequel, là aussi, je vous ai également entretenu: Les monnaies auront perdu leur valeur intrinsèque, impossibilité de les apprécier les unes, les autres et, ce, à l'international et au régional, arrêt quasiment total des transports mondiaux, aérien, maritime et terrestre, arrêt concomitant des usines et fabriques, surtout celles spécialisées essentiellement pour l'exportation...

    En revanche, les effets secondaires, ceux qui, somme toute, nous intéresseront au premier chef puisque ce seront eux qui nous toucheront de plein fouet, sont plus ardus à définir, d'autant plus qu'ils auront tendance à évoluer le temps passant.

    Ce sont eux que j'ai décidé d'étudier avec vous aujourd'hui, eut égard au fait que je peux avoir oublié tel ou tel de ces effets futurs, bien sûr.

    PICT0111.JPGAlors, allons y voir.

    Pour le moins, les banques françaises, européennes, étasuniennes ainsi que les oligarques des mêmes lieux furent fort mal avisés d'avoir choisi l'infant Macron pour succéder au mol Hollande à la Présidence de la République.

    Certes, lui et son cerbère Philippe rempliront scrupuleusement le contrat qu'ils passèrent avec eux, sans prendre en compte la psychosociologie particulière du peuple français, prompt à la sédition, à la révolte et à la révolution dès lors qu'il a le sentiment d'avoir été trahi par ceux qui le gouvernent.

    Et peut-être même de l'avoir fait élire mènera définitivement le monde de la financeP1000753 - Copie.JPG à sa banqueroute du fait de l'ingouvernabilité (néologisme) du pays vers laquelle cette simple élection mène déjà.

    Ceci dit, analysons donc les fameux effets secondaires de cette totale banqueroute dès lors qu'elle se présentera à nous.

    Au tout début, les prix des carburants baisseront avec une telle rapidité que la hausse de leurs taxes ne viendra pas contrebalancer cette baisse des tarifs.

    Cet effet sera probablement l'un des plus visibles avec, aussi, la difficulté qu'auront les grands-magasins de renouveler leur stock de marchandise, ce qui laissera nombre de rayon progressivement s'évider, là encore, ce phénomène pourrait très bien être si abrupt que leurs responsables n'auront pas le temps de reconfigurer leur magasin.

    (D'ailleurs nous vîmes quelque chose de semblable l'été dernier lors du début de déroute de la bourse chinoise, qui pris fin dès que la Chine fit ses propres Q.E..)

    Dans le même temps, nous apprendront que les banques centrales de quasiment tous les pays inonderont le monde de leurs hyper-productions monétaires.

    Simultanément, les gouvernements débuteront ce qui se fait appelé des hélicoptères monétaires, soit des Q.E. tournés vers les particuliers que nous sommes.

    En un mot comme en cent, on nous refilera de l'argent pour un rien, comme ça, IMGP0088.JPGpour nos beaux yeux.

    Lorsque ça arrivera, si, bien entendu, cela arrive, sait-on jamais, ces gens sont peut-être moins sot qu'ils en ont l'air, alors et quoi qu'il en soit, ça signera le début de la fin pour le système économique globalisé.

    La raison de cette décision, cet hélicoptère monétaire, est très simple à comprendre: voyant que l'industrie mondiale se ralentit fortement, l'oligarchie fera cette folie pour tenter de la faire repartir, sans comprendre que si ce système se grippe c'est en raison des béances frontalières de l'immense majorité des pays et de la ponction des richesses des populations et des pays au travers des bulles spéculatives, phénomène toujours liés aux crédits, et, donc, des intérêts dus par les emprunteurs à leurs créanciers (sachant que la majorité des créanciers sont tout autant emprunteurs).

    Donc sa seule résultante sera que l'inflation ne sera plus cantonné aux seuls jeux spéculatifs et boursiers, via les banques recevant ce pactole (d'où l'apparente stabilité des-dites bourses, même si une quantité phénoménale de monnaie y fut introduite: elle y fut immédiatement détruite aussitôt placée), mais adviendra également dans la vie réelle pour le moindre des particuliers, c'est pourquoi il sera  urgent de dépenser tout cet argent le plus rapidement possible (l'autre solution serait que personne n'utilise cet argent, ce qui bien  sûr est impossible).

    (Il est à noter que l'inflation provient d'une trop grande production monétaire eutP1000755.JPG égard à la richesse réelle et du dynamisme économique du pays émetteur et qu'elle tend à se développer là où ces fonds surnuméraires sont introduits et utilisés.)

    Au début, ce subterfuge fonctionnera à peu près, c'est à dire que la désindustrialisation mondiale ralentira, puis, par la suite, elle ne pourra que reprendre de plus belle.

    Cela étant dû à ce que l'arrivée d'une telle masse monétaire dans les poches des particuliers fera grimpé les prix à un taux égale à cette masse monétaire introduite (les commerces en grandes difficultés feront remonter leurs prix), du fait de sa perte mécanique de sa valeur: il en faudra plus pour acheter la même chose, d'où l'inflation.

    Comprenant confusément l'inanité de leur planche à billet mais se retrouvant dans l'impossibilité de cesser leur création fiduciaire (mot voulant dire à l'origine confiance), puisque sinon c'est l'ensemble du système économique qui s'effondre, les banques centrales n'auront, dès lors, plus d'autre choix que d'amplifier, puis accroitre leurs Q.E., argent qui sera toujours distribué autant aux banques qu'aux particuliers, sans que cela ne sert à quoi que ce soit, pour inutilement tenter de faire repartir une industrie mondialisée désormais atone.

    Au même rythme que se passera cette hyper-production d'espèce, métal, papier et/ou électronique, le système économique globalisé cessera progressivement de fonctionner, autant par le ralentissement rédhibitoire de la circulation monétaire (puisque les gens ne pourrons que de moins en moins acheter par la baisse salariale et la monté du chômage et puisque que les hélicoptères monétaires mèneront à l'inflation puis l'hyperinflation), par la perte de confiance P1000814.JPGgénéralisée dans la valeur des monnaies que par une désindustrialisation arrivée désormais en dessous de son seuil d'échange marchand efficace et bénéficiaire.

    Puis viendra le moment où le commerce international aura arrêté de fonctionner, ce qui fera que tout ce qui n'est pas fabriqué en France ne se trouvera plus en magasin.

    Ce qui nous posera dès lors d'incommensurables problèmes.

    De ces problèmes, cinq me semblent les plus centraux en raison des privations dangereuses pour la population qu'ils produiront.

    Ce seront les carburants, les médicaments,  la monnaie, les communications: internet et le commerce national & international, aérien, routier et maritime, et enfin (si je puis dire) la nourriture, du reste nous pouvons tous nous en passer, du moins momentanément.

    En eau et électricité, nous seront toujours approvisionnés, les circuits de production, de distribution et d'évacuation, bien que fragilisés en France, ne sont pas, et heureusement, dans le même état de délabrement que dans l'empire U.S..

    Bien que la question du chlore, élément central de purification de l'eau, pourrait bien se poser aussi.

    En revanche, l'arrivée du gaz et des produits pétroliers pourrait en pâtir fortement, du-moins dans un premier temps, soit dans les trois à six mois suivant cette catastrophe planétaire, voire pour plus de temps encore pour ce qui en sera du pétrole.

    Alors, je vous propose que nous les analysions, ces cinq tourments (il s'agira bien de tourments),  qui seront les effets les plus délétères de cette faillite généralisée versP1000879.JPG laquelle nous nous cheminons.

    Sachant que je ne saurais dire quel sera le degré d'intensité des problèmes posés par chacune de ces pénuries ni du temps que ces pénuries dureront.

    Cela dépendant de leur taux de carence, voire de leur manque plus ou moins totale, de la réactivité politique et de la qualité d'organisation des hommes et des femmes qui prendront les affaires en mains, que ce soient ceux actuels ou ceux remplaçant ceux qui seront chassé, du gouvernement ou d'ailleurs:

    -La monnaie: quelle soit papier, métal et électronique, nous n'en serons plus pourvu et cela pour deux raison:

                -des deux premiers par le manque des matériaux nécessaires pour leur production, comme l'encre, le papier, les métaux..., puis par les difficultés d'approvisionnement des particuliers, les banques ayant fait faillite, les distributeurs automatiques et les virements automatiques ne fonctionnant plus, il faudra acheminer ces monnaies par transporteurs, à l'ancienne, jusqu'aux plus petites communes, or, sévira le manque de carburant;

             -du second par la pane d'internet à cause de la banqueroute des États-P1000840.JPGUnis-Amérique (j'y reviendrai), c'est pourquoi les virements automatiques ne se feront plus et les machines distributrices de billets ne fonctionneront plus (à la faillite des banques, leur nationalisation y répondra logiquement, tout dépendra ensuite du temps de réponse des autorités pour que celle-ci se produise);

    Cela engendrera autant une désorganisation sociale par le retour au troc, une déstabilisation politique puisque la majorité de nos élus sont d'une idéologique monétariste, sous une forme ou une autre, la difficulté, pour les chefs d'entreprise, de payer leurs employés, sans compter que l'euro ne pourra que disparaître rapidement, mettant fin à l'existence de l'Union-Européenne.

    Les communications et les transports:

    La faillite généralisée mènera logiquement à l'arrêt des transports nationaux et internationaux, maritimes, routiers et aériens;

    Mais plus encore, vu que ce sera aux États-Unis-d'Amérique que les effets de cette faillite risquerait fort d'être les plus violents et que ce pays est, de fait, celui qui accueille la majorité des outils permettant le bon fonctionnement d'internet, la toile pourrait bien, au mieux très fortement ralentir, au pire ne plus fonctionner du tout;

    Si je les ai regroupé sous la même rubrique, c'est que ce sont ceux les deux noyaux durs de la mondialisation, ceux sans qui les échanges internationaux ne peuvent seP1000900.JPG faire;

    Comme pour ce qui concerne les monnaies et leur flux, dont celle circulant en France aujourd'hui, l'euro, les communication et les transports sont les vecteurs premier du bon fonctionnement de la globalisation;

    Or, l'effondrement des monnaies, dû à l'explosion de la multitude des bulles spéculatives, des plus énormes aux plus insignifiantes, et la désorganisation d'échelle mondiale qui s'en suivra rapidement, conduira vitement à la cessation de fonctionnement du commerce et des voyages internationaux;

    Pour le net, son ralentissement ou son arrêt pourrait bien être plus lent, bien qu'en ces choses je n'ai pas les connaissances nécessaires pour prévoir  quels seront les dégâts qu'occasionneraient, aux U.S.A., la disparition de la globalisation économique;

    Toutefois et au vu du peu que je sais de la situation politique et économique des Etasunis, sachant, de plus, que se trouvent là-bas la majorité des machines permettant le bon fonctionnement du web, internet devrait considérablement souffrir du délitement des États-Unis-d'Amérique;

    P1000129.JPGAutant les effets de la cessation d'activité des transports sont faciles à imaginer, ce sont ceux des plus nuisible que j'examinerai avec vous, amis lecteurs, ci-dessous, autant ceux dus au ralentissement, voire à l'arrêt d'internet se perçoivent comme bien moins lisibles;

    La raison en est l'intrication entre l'informatique et des autres outils de communication, du téléphone à la télévision, du courrier/courriel à la radio, de la police à l'administration, des commerces à l'agriculture...etc...etc..., les exemples sont très nombreux où il y a des liens plus ou moins lâches, plus où moins forts entre les flux du web et le reste de la société, en fait, où donc il y en a-t-il pas?

    Qui peut dire ce qu'il se passera dans les administrations, dans les entreprises, chez le particulier, dans les banques, enfin celles nationalisées, si le téléphone, portable et fixe, la radio, la télévision fonctionneront toujours, si les assurances conservent tous leurs contrats sous forme papier...etc...?

    Enfin bref, qui peut dire à présent quelle sera la résultante d'un arrêt, même partiel, d'internet?  Pas grand monde, je le crains;

    Un point toutefois est que les échanges spéculatifs tendant à ne se faire qu'au travers de la toile, par un flux monétaire, contractuel et informatif d'essence purement électronique, tout ce qui ressemble à de la dette, à de la bourse et aux autres échanges monétaire pourraient fort bien disparaître corps et bien;

    D'une certaine façon et en cela, ce sera le monde

  • Presque une petite pose en politique en une réflexion de nos origines.

    Bon, en ce moment je me sens en verve, trois billets quasiment à la suite, ça faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

    Le sujet que je vais aborder aujourd'hui traitera autant de l'origine d'Homo Sapiens Sapiens que de celle du singe, des ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres, de nos ancêtres en quelque sorte.

    Pour le reste, je vais ici donner ici un bref aperçu de ce qu'il se passe tant en politique qu'en économie (je vous renvoie à mes deux derniers textes pour ceux ne les ayant pas encore lus):

    P1000696.JPG

    Après que Monsieur Poutine ait donné le baisé de la mort à Madame Le Pen (l'avoir invité chez lui), la Russie se tourne vers le P.C.F. et Les Insoumis, ces derniers étant les plus réactifs.

    Il est à penser que, comme le veut les principes de la politique, l'unilatéralité idéologique d'Emmanuel 1er et des macronistes mènera inéluctablement ces deux partis à la radicalité.

    La police et l'armée, toutes deux épuisées, auront toutes les peines du monde pour réduire la violence sociale qui, de plus en plus, vient en réponse de la violence économique et politique de nos oligarques.

    Il y aura des morts dans la rue.

    Pendant ce temps là, l'U.P.R. qui, pour l'équipe philipparde, est en voie de marginalisation, se retrouvera devant un large boulevard puisque oublié par l'oligarchie et ces représentants (de commerce), ce qui lui permettra de se développer à l’abri de cette violence populaire et d'état qui vient, du-moins pour un temps.

    Dans l'empire U.S., Monsieur Trump n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie de son pays, pour cela il lui faut faire exploser le dollar et Wall Street.

    C'est pourquoi son armée ne cesse d'agacer la Chine et la Russie, ceci pour que ces nations en viennent à vendre en masse leurs bons du trésor U.S..

    En Grande-Bretagne, après que Madame May ait écarté les eurolâtre du parlement britannique lors de leurs dernières élections législatives, propose déjà à sa nation un brexit dur à cause de l'inflexibilité de l'U.E., ce qui ne pourra que mener à une déstabilisation accrue de l'union.

    Pendant ce temps là, la désindustrialisation internationale perdure et s'amplifie.

    Le signe le plus évident se trouve dans le prix de l'essence qui n'arrête pas de descendre.

    Il est à remarquer ce début de tendance, pour les grands-magasins, d'avoir des difficultés de réapprovisionnement.

    Je ne le répèterais jamais assez, faites vos réserves.

    Après six mois environ de tergiversations des russes et des étasuniens de savoir si oui ou non il fallait faire perdurer cet étrange expérience qu'est l'U.E., la décision de détruire l'U.E. paraît être définitivement prise.

    Le plan consisterait, me semble-t-il, à ruiner les banques et les oligarques français par la cessation de paiement du pays en rendant insolvable les habitants (monté des impôts et des intérêts des découverts) et, dans le même temps, à instrumentaliser leur colère logique et normal, au travers des syndicats notamment.

    D'où le cadeau que fit Monsieur Macron aux banques, sur les conseils de je ne sais qui travaillant pour je ne sais qui, en leur octroyant 5,75% d'intérêts en plus des 1% que le pays devrait normalement verser, faux cadeau qui, en réalité, est là pour générer la banqueroute des banques françaises trop grosses pour faire faillite, puisque les acheteurs potentiels disparaîtront.

    Nous pouvons percevoir là la naïveté, pour dire le moindre, de Monsieur Macron et de son équipe, Mitterrand en dirait qu'on y voit déjà à travers.

    Une fois l'une d'entre-elles faillit, c'est toute la chaîne des banques européennes qui suivra et, donc, en fin de course, la Deutsche-Bank, aussitôt et inéluctablement suivie des banques étasuniennes, un tel plan tordu ne pouvant être signé que par les anglais.

    Il est à noter que la lutte sourde que se mènent Goldman-Sachs et Roltschild en Europe continue (Macron, Attali, Minc sont les émanations de cette dernière), la seconde ayant pris pied en France, l'Union-Européenne, créature de la première, par l'entremise du Luxembourg, tente de l'y déloger par une accusation de blanchiment d'argent sale, sûrement avec raison du reste.

    Mais bon, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, non?

    Une dernière chose:

    La désintégration du Front-National mène à ce que les plus extrémistes de ce parti, jusqu'à présent maintenus fermement par Le Pen père puis fille, tendent désormais à prendre leur indépendance et à agir par la violence.

    Encore peu structurés politiquement, ils représenteront, sous peu, avec, à l'autre extrême, la minorité des anarchistes, violents ceux-là (la majorité de ces derniers vivant en quasi autarcie), un danger supplémentaire pour le gouvernement.

    PICT0295.JPG

    Bon, tout ceci dit, je vous présente, comme promis, en seconde partie de ce libelle, une réflexion sur nos origine en posant deux simples questions: pourquoi les hominidés, dont nous sommes avec les chimpanzés, n'ont pas de queue et pourquoi l'existence des ongles et quels en furent leurs effets:

    Il est des sujets aussi sérieux et passionnant que la politique et l'économie où il est possible de se montrer tout autant provocateur, comme il peut en être de l'origine et de l'évolution de l'espèce humaine.

    P1000787.JPGEn fait, non, je ne suis pas vraiment provocateur en ce sens où je ne recherche pas la provocation, sinon j'aurais abordé ce thème et bien d'autres depuis fort longtemps.

    Ce qui est donc provocateur dans les idées que je peux exprimer est essentiellement le fait que je remets en question la structure doctrinale de notre époque.

    En cela je ne suis pas le seul, loin de là, que ce soit Madame Deloison, de son livre: "Préhistoire du piéton: les origines de l'homme basées sur l'anatomie comparée des hominoïdes." ( la-prehistoire-du-pieton.php ) ou de celui de Madame Morgan: "Les cicatrices de l'évolution" ( 2910030113 ), le questionnement de cette structure doctrinale, sur ce simple sujet de notre évolution au fil est ères, n'est donc pas de mon simple fait.

    En revanche, que cela puisse venir de quelqu'un qui, comme moi, est simple employé (conducteur de bus, mais chuuut, faut pas le dire) à la retraite, ne peut que plus encore déstabiliser, de cela j'en suis parfaitement conscient.

    C'est pourquoi j'ai tant attendu avant d'exposer cet ensemble d'hypothèses.

    Or donc, voici ce premier sujet, peut-être moins polémique: pourquoi les hominidés que nous sommes, nous les Êtres Humains, avec les gorilles, les chimpanzés, les orangs-outans et les feus australopithèques, n'avons-nous pas de queue?

    La réponse m'en fut donné lorsque je vis un reportage sur les singes magots vivantP1000702.JPG dans les montagnes d'Algérie et du Maroc, ainsi que sur le rocher de Gibraltar, comme le dit Wikipédia ( Macaque_de_Barbarie ), en fait, là-bas il peut y faire très froid et donc les queues risquent de se congeler, ce qui, vous en conviendrez, ferait mauvais genre.

    Mais il y en a un autre, de macaque, qui préfère lui aussi ne se geler que les miches et non pas un long appendice caudal pouvant se glacer qui, dès lors, a disparu, c'est celui vivant au japon ( Macaque_japonais ).

    Cela voudrait-il dire que les hominidés actuels que nous sommes auraient d'ancêtre un singe qui aurait vécu dans une région suffisamment froide pour que sa queue ait disparu, il y aurait de cela quelques dizaines de millions d'années?

    Ma foi, j'y répondrais par l'affirmative, mais où donc, alors là, je serais bien en peine de vous le dire.

    Une autre question me turlupine, celle de l'existence de nos ongles.

    Bon, c'est vrai, pour nous les Hommes, avoir des ongles plutôt que des griffes, ben, ça a tout de même quelques avantages, ne serait-ce pour mettre nos chaussures ou mettre le doigt dans l'oreille, mais pour les singes, tous les singes, des petits comme des grands, quelles poisse de ne pas en avoir, de griffe.

    Vous imaginez-vous les trésors d'inventivité qu'il a fallu à l'évolution pour palier à P1000850.JPGce manque pour grimper aux arbres, voire même tout simplement pour courir?

    Queue préhensible pour ceux vivant dans les Amériques, système de blocage de la main pour les chimpanzés et les gorilles pour se tenir aux branches, ce qui les oblige à s'appuyer sur leurs phalanges lorsqu'il se déplacent à quatre pattes, j'en passe et des meilleurs, enfin, la vie évolutive ne leur fut pas bien rose, non?

    Et puis, avoir des papattes bien griffues pour courir vite sur la terre ferme, ça ne serait pas si mal que ça, parce que la griffe, elle, elle aide à la course, permet de bien se tenir au sol pour fuir le vilain prédateur, ou être soi-même chasseur, s'accroche aussi au tronc d'arbre pour y grimper.

    Pour fouir et creuser un bon et profond terrier bien douillet elle en est même, la griffe, indispensable, qui a déjà vu un singe se la jouer terrassier, personne, ainsi la griffe est-elle ô combien utile, alors pourquoi s'en débarrasser?

    Demandez donc ce qu'ils préfèreraient de l'ongle ou de la griffe, à l'écureuil de la forêt d'à coté, au suricate des prairies africaines, au chat de la voisine et à votre Médor adoré, vous verrez ce qu'ils vous répondront.

    D'ailleurs, peut-être est-ce cette bizarrerie ongulesque du simiesque commun d'antan qui fit que notre pied a, aujourd'hui, cette forme si commune et que notre main aurait conservé sa forme primitive des pattes des paléo-mammaliens?P1000803.JPG

    De la perpétuation du déplacement à quatre pattes (jusqu'à nos ancêtres, ben oui), le premier, le pied, se serait allongé et élargi pour offrir une meilleurs base d'appui ainsi qu'une meilleurs adhérence à la course et la seconde, la main, pour les mêmes raisons, aurait gardé cette forme étoilée aux cinq doigts, si je puis dire, que l'on retrouve chez les aïeux les plus lointains des mammifères, avec la paume et les doigts souples pour un bon et puissant développé (et puis compter sur les doigts, mais çà, ça se fera plus tard).

    Alors, pourquoi l'ongle plutôt que la griffe?

    J'aurais bien une réponse, une hypothèse, mais alors là, c'est vachement osé, plutôt gonflé, même.

    Ç’aurait été pour éviter de griffer et blesser le dinosaure lorsque le paléo des paléo-singes aurait épouillé ces énormes grosses bêbêtes qui devaient être recouvert d'un tas de bestioles et de végétaux sur leur immense corps, ce qui, ma foi, devait offrir le gite et le couvert à peu de frais à ce futur singe.

    Et oui, nous pourrions très bien imaginer que leur peau, à ces monstrueux ancêtres des oiseaux, réagissaient par des mouvements ondulatoires assez violents si quoi que ce soit se mettrait à les chatouiller d'un peu de trop, comme un coup de griffe, par exemple.

    P1000191.JPGCette habitude de l'épouillage, nombre de singes l'ont conservé, mais elle a changé de fonction et d'utilité, comme il en est de coutume dans les processus évolutifs, n'est-ce pas?

    (D'où aussi, pour les Hommes que nous sommes, le symbole du dragon ou du serpent à plume, qui s'exprime différemment suivant les régions du monde, puissance en Asie, saint-Georges et Saint-Michel tuant le dragon pour les chrétiens, Quetzalcoat en Amérique du Sud précolombienne..., comme quoi, la mémoire peut prendre bien des formes, ici celles des symboles humains.).

    Ce serait aussi pourquoi nous serions toujours omnivore, nous autres, homo Sapiens Sapiens, même les bonobos le sont, c'est pour tout dire (et pour la bagatelle, mazette).

    Çà me fait penser à ces petits poissons qui, dans les océans, viennent débarrasser de leurs vermines et leur déchets des repas précédents de gros poissons comme les mérous et autres requins du coin (coin coin, ça, c'est le canard).

    Et puis, après que la météorite d'il y a 65 millions d'années ait exterminé ces énormes bestioles à la peau garde-manger, d'une grosse papatte d'un brontosaure à un arbre, y grimper aurait comme de la ressemblance, non?

    P1000660.JPGMême si certains choisirent plutôt le plancher des vaches, il est vrai que les arbres mirent du temps pour ensuite repousser.

    Et puis plouf et glouglou, quelques dizaines de millions d'années plus tard, nos ancêtres à nous seraient allé à la baille, auraient perdu leur poils , se serait redressé, pour marcher dans la mangrove et nager, aurait perdu son os pénien, ce qui n'empêche en rien monsieur de redresser la riquette devant madame, suerait tout leur eau et leur sel par chaud soleil...etc...etc...etc..., pour le reste, je vous renvoie aux livres des auteP1000480.JPGures sus-nommés.

    Enfin, bref, tous ces petits accommodements dus à notre redressement sur deux pieds, qui nous amusent tant et fait dire que celui qui, après cinquante ans, n'a pas mal quelque part en se réveillant et se levant bon matin, c'est qu'il est mort (et que dire du mal de dos, mal du siècle, non, de l'espèce!).

    Allez, encore une supposition, pour la route.

    Et si le fait que nous ayons un langage articulé provenait, justement, du fait que nos très, très très anciens ancêtres, plus anciens que ça, même, dont nous n'avons gardé aucune photo, vivaient dans une dense mangrove et nageaient sous l'eau.

    Nous pourrions nous demander, dès lors, si les langues à clics, dite khoïsan ( Langues_kho%C3%AFsan ), n'auraient pas, d'origine, ce fait que, sous l'eau, ce serait des sons qui s'entendraient fort bien, puis des clics aux consonnes il n'y aurait qu'un pas, si je puis dire, comme les voyelles, d'ailleurs, faites l'expérience en piscine, vous verrez, c'est amusant.

    Et puis écoutez les dauphins, les voyelles et les clics, ils les connaissent très bien.

     

    Donc, en reprenant plus sérieusement ces hypothèses, l'origine des ongles P1000791.JPGproviendrait de ce que, il y a bien plus que 65 millions d'années, bien avant que la fameuse météorite pulvérise 70% de la vie terrestre, un mammifère, ressemblant peut-être aux suricates en plus archaïques, serait venu se nourrir des animaux et plantes parasites et saprophytes recouvrant le corps des plus gros des dinosaures.

    A l'exemple des poissons et crevettes mutualistes qui, dans les océans, font de même aujourd'hui.

    Pour éviter de blesser leurs hôtes ou tout simplement leurs réactions réflexes d'ondulation de leur peau, les griffes de nos ancêtres de nos ancêtres se seraient, progressivement, transformées en ongles.

    Pour prendre place sur le dos de ces géants, il leur fallait soit de grimper d'abord sur un arbre, soit monter sur leur énormes pattes, ce qui leur nécessitait une bonne agilité.

    Du fait que l'ongle offre un point d'ancrage sur le sol nul, contrairement au sabot ou à la griffe, pour courir notamment, le pied se devait de s'allonger, comme aujourd'hui celui du babouin ( http://www.photodenature.fr/babouin/photo-babouin-9/ ) et du mandrill ( ?p=68161 ), et la main conserver sa forme archaïque avec ses cinq doigts en étoile offrant une bonne stabilité.

    Ceci explique tout un ensemble de fait remarquable que nous ne retrouvons queP1000855.JPG chez les singes, il n'existe pas, par exemple, de singe fouisseur, soient ils grimpent aux arbres, soient sont d'excellents coursiers, avec des capacités de préhension manuelles bien plus efficace que quasiment tous les autres genres.

    Ceci expliquant également l'épouillage qui serait, à mon sens, des restes de réflexes instinctifs antédiluviens.

    Ensuite le manque de queue chez les hominidés, autre énigme, s'expliquerait, comme écrit plus haut, par le fait que le paléo-hominidé vivait dans une région, sinon froide, plutôt tempérée, avec des hivers suffisamment vigoureux pour que l’appendice caudal en vienne à disparaître.

    Enfin, les capacités humaines d'émettre des sons articulés et complexes proviendraient de ce que, avant même que le genre Homo n'apparaisse, un descendant de ces paléo-hominidés se soient retrouvés à vivre dans une mangrove et, avec le temps, à devoir échanger avec ses congénère sous l'eau, pour chasser le poisson, ramasser les fruits de mer ou pour fuir un prédateur, par exemple.

    Pour plus d'explications sur l'origine de la bipédie humaine et la théorie du primate aquatique, je vous renvoie aux deux ouvrages suscités.

    Toutefois, la forme spécifique du pied des primates quadrupèdes tels que le babouin et le mandrill expliquent, me semble-t-il, l'érection humaine vers sa position P
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  • Drôle échéance, drôle de drame.

    En 2022, dans deux ans et demi aura lieu, si aucun événement ne vient en troubler l'échéance, de nouvelles élections présidentielles et législatives.

    Or, de 2022, nous ne pouvons pas savoir où nous en serons.

    Les instabilités de toutes sortes s'accroissent et non pas seulement en France, en Europe, en Occident et dans le monde, partout le désordre des bulles et des égarements sévit.

    Nous nous retrouvons donc devant trois énigmes:

    1) à quel moment le système cessera de fonctionner;

    2) quel en sera l'élément déclencheur;

    3) combien de temps en durera la transition entre sa fin et les réorganisations pays par pays prenant corps ensuite.P1030065.JPG

    En réalité, et là je me montre véritablement provocateur et, ce, à escient, presque (rajout du lendemain) tout le monde craint la disparition des U.S.A. et tout ce que cela sous-entend.

    J'oserais même dire que si cet empire continue d'exister c'est en raison de cette angoisse générale, il se doit de se comprendre que je ne fais pas seulement allusion aux français, aux européens et au occidentaux, mais bien à une grande majorité de la population mondiale, mais surtout aux décideurs internationaux, l'Amérique-Latine, la Chine, l'Iran et la Russie comprises.

    Revisitez l'histoire proche de la disparition de l'URSS et vous y verrez que hormis quelques loustics tel qu'Emmanuel Todd, personne n'avait prévu cette échéance de 1991, non pas que ce n'était pas prévisible mais bien parce que tout le monde avait peur de cet événement, même si ensuite les gens furent heureux de son avènement.

    Aujourd'hui, même si la date ne peut naturellement pas être prévue, du-moins est-il possible d'en comprendre puis d'en conceptualiser le moment de basculement et la transition de phase qui s'en suivra.

    Comprenez bien que quoi que nous en disions, la perpétuation de l'empire US arrange presque tout le monde, même une bonne part de ceux qui luttent contre lui ou qui le conspue, comme il en fut hier de celui romain.

    Et le choc sera grand quand celui-ci disparaîtra de manière formelle, bien qu'au vu P1020872.JPGde sa situation il en est de se demander si, déjà, il ne serait plus que l'ombre de son ombre.

    Pensez-vous que Macron et consorts de l'Union-Européenne subsisteraient après?

    Personnellement j'en doute.

    Pourquoi, à votre avis, un nombre non négligeable de l'élite britannique a tout fait pour que le brexit ait lieu et, quand on y réfléchit bien, nous ne pouvons que percevoir qu'il s'agit là d'une action commencée bien avant le référendum british.

    Penser maintenant cette disparition prochaine, même si cela est douloureux, nous permettrait de réduire ce temps de transition dès lors que les États-Unis-d'Amérique ne seront plus, de nous y préparer par avance, au moins psychologiquement.

    En commençant de ne plus accepter ses fadaises.

    D'une telle destruction et autodestruction que menèrent et mènent les USA et l'UE,  rien qu'en France le travail à déployer pour tout reconstruire sera prodigieux, j'oserais même dire qu'il sera égal, voire supérieur à celui de nos anciens dès 1945, ne serait-ce que de seulement former des jeunes à des métiers industriels laissé en jachère et de remplacer une hiérarchie administrative incompétente n'en seront que deux minuscules des ouvrages que nous aurons à traiter.

    Il se dit aussi que, certes, le système économique globalisé, l'empire décati et son dollar sont au plus mal et qu'ils disparaîtrons un jour, oui, dans dix ou vingt ans, à la SainteP1020490.JPG Trinité ou à la saint glinglin, et ça fait bien plus de dix ans que j'entends ce discours, alors de dix ans en dix ans les USA se révèleraient-Il éternel?

    L'éternité c'est long, très long, pour un  empire à l'agonie, surtout vers sa fin.

    Il se dit aussi qu'ils vont faire la guerre aux chinois, aux iraniens, aux coréens du nord et à je ne sais plus à qui d'autre, mais ils ne sont même plus foutu de fabriquer en grand nombre des canons, leurs avions battent de l'aile, leurs navires sont dépassés et Trump se démène comme un beau diable pour réindustrialiser son pays à n'importe quel prix, même au pire, quoi que nous puissions penser de lui part ailleurs.

    J'en comprends la démarche mais ne l'accepte en rien!

    Non, si je crains 2022 ce n'est pas en raison de la reconduction de Macron ou de son clone à la présidence de la république, dut-il être femme, un vrai clone quoi, ni même de la disparition de l'empire, ce qui m'inspire de cette crainte c'est le fait que personne ne veut ni, souvent, ne peut concevoir qu'avant même cette échéance, ou au pire après, Tonton Sam trépasse et se dissipe vaporeux dans les vents de P1020963.JPGl'histoire, nous laissant orphelin d'un univers où, bon an mal an, chacun avait sa place.

    Moi qui, comme bien d'autres (rajout du lendemain), suis déjà ailleurs que dans ces fols égarements, l'esprit à l'endroit.

    Parce que c'est ça le pire, que nous l'aimions béatement ou que nous le détestions cordialement, quand il ne sera plus, plus personne ne saura où il pourra s'assoir, aveugle d'y avoir perdu son siège.

    Sachez qui vous êtes, nous ne sommes pas américains mais d'abord et avant tout français!

     

     

    THEURIC

    PS: Je ne suis pas le seul à remettre véritablement en cause notre domination par l'empire, c'est pourquoi j'ai corrigé cette erreur provenant d'un allant provocateur trop prononcé quelque peu narcissique qui, si je n'avais pas agi ainsi ce jour, serait ainsi de fait devenue une grosse bêtise.

    Publié à l'origine le 30/08/19 à 1h 57mn, il l'est de nouveau le même jour à 15h 34mn.

  • Les choses de l'esprit: du début à l'achèvement d'une manipulation

    Abeille solitaire Adrena Fulva.

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Une fois encore j'ai écrit en oubliant de mettre ce texte dans le brouillon, ce qui l'a momentanément publié,  je vous prie de bien vouloir m'en excuser.

    La pose de mes photos merdouille quelque peu, il y a donc un petit loupé que je n'ose corriger.

     

    Préambule:

    J'ai remarqué que, depuis peu de temps, la perception populaire de la politique évolue.

    Mais, pour le moins, il est observable que la période n'est pas d'une grande clarté, que même notre situation se montre plutôt flouté, obscure, peu compréhensible.P1050887.JPG

    La raison en étant de ce que nous entrons dans une période d'évolution rapide tant des événements que de la lenteur de notre perception et compréhension de la situation, de son origine et de son dynamisme, tant individuellement que collectivement (non, en effet, je n'ai pas la science infuse).

    Mais aussi et surtout que, tout doucement, nous quittons notre domination impériale US, ce qui ne peut que perturber les esprits.

    De fait, les événements tendent à s'accélérer et, tel un monolithe s'effondrant, lentement pour commencer, puis de plus en plus rapidement, le système politico-économique dit néolibéral, porté et sous égide de l'empire thalassocratique US, vacillant dès le tout début des années 90, en viennent tous deux dorénavant à montrer que, de leur verticalité passée, ils en arrivent à leur point funeste de leur horizontalité dévastatrice.

    Ils s'effondrent, entraînant avec eux tout ce qui leur est lié.

    ( Vous devez tout faire pour vous empêcher de paniquer.

    Si j'écris cela c'est pour que vous ne paniquiez pas! )

    Cette situation est naturellement angoissante pour tous parce que le plus grand nombre ne comprend pas ce qu'il se passe, ce qui est normal puisque nous avons été effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civilemanipulé par ledit empire depuis très longtemps tout en en niant les faits, ce qui est aussi mon cas il n'y a pas si longtemps que cela.

    Il est à noter que de tous ceux qui traversèrent l'histoire, celui qu'est les Etats-Unis-d'Amérique est le plus hypocrite ou, disons en nous le nom, faux-cul, de tous, puisqu'il n'en a jamais reconnu directement le fait en agissant toujours dans une semi-obscurité, à l'image des rets tissés par un pervers narcissique.

    ( Je ne critique aucunement le peuple US, lui aussi en souffrant, mais toute la mouvance étasunienne et internationale qui nous a conduits dans cette situation devenant absurde et ruineuse. )

    Comme il en est de nombre de chose de la vie, s'en défaire nécessite différents  stades que nous nous devrons tous de traverser.

    Je me propose donc ici de mettre à profit ma malheureuse expérience d'une trentaine d'année pour vous proposer d'expliquer, à mon sens, ce qu'il se passe en nous.

    Avant-propos:

    J'ai regardé la dernière vidéo de la chère équipe du Fil d'Actu, commentée pareffondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile Tatiana Ventôse, ces p'tits jeunes si intelligents (je les admire même si je peux être parfois en désaccord avec eux), et parcouru un certain nombre des commentaires les concernant qui, parfois, j'y reviendrai, ne leur sont pas toujours amènes.

    Cela m'a fait pensé à ma dernière réflexion, celle-ci concernant les étapes de la manipulation tant interindividuelle que collective, de son début jusqu'à sa fin, les victimes de manipulateur tout comme les relations de soumission de colonies sous le joug d'un empire.

    Dont nous y sommes tous, français comme européens, suisses compris, Occidentaux aussi, jusqu'à bien au-delà, soumis, par le fait de l'empire thalassocratique US depuis plus de sept décennies.

    Je me suis basé, donc, pour ladite réflexion, sur mon expérience propre d'avoir été manipulé à un pervers narcissique, portant le postulat que ce processus manipulatoire reste le même, quel que soit le nombre d'humain qui se trouve ainsi manœuvré, mais aussi de ce que le ou les manipulateurs soient ou non atteint de manipulation pathologique.

    Etant donné la domination mondiale des peuples de tous niveaux et depuis si longtemps par les Etats-Unis-d'Amérique, tant politiquement, économiquement, culturellement, symboliquement, scientifiquement..., même le langage en étant atteint, en étudier la trame mais, surtout, montrer les étapes menant à son achèvement me semble important.

    effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civileCe qui nous importe maintenant ce ne sont non pas les mécanismes qui, progressivement, suggestionnent la ou les victimes, mais bien plutôt de ceux qui se produisent lors de l'achèvement de cette emprise.

    Mais, bien entendu, je ne vais pas ne pas débuter mon propos sans commencer par conter de ce que je pense du commencement de la prise de contrôle de personnes sur d'autres personnes, de pays sur d'autres pays, en un même phénomène individuel et/ou collectif.

    Je fais la part entre deux sortes de manipulations:

    -Celle de court terme qui, ici, ne nous concerne pas, celle de l'escroc voulant voler des naïfs, ou de la ruse militaire, telle que l'opération britannique Fortitude faisant croire aux allemands que le débarquement du 6 Juin 1944 aurait lieu aux environ de Calais plutôt qu'en Normandie;

    -Celle de long terme, de la prise de contrôle, par exemple, d'individu(s) par un malade mentale tel que mentionné ci-dessus, ou de celui d'un empire voulant assujettir une ou de nombreuses nations.

    C'est cette dernière qui nous intéresse.effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile

     

    Les mécanismes:

    J'ai relevé en cela neuf étapes qui, je le propose, conduisent les gens à devenir le jouet de leur(s) bourreau(x) puis qui les mènent à s'en libérer, parfois après de nombreuses générations s'il s'agit de peuples et d'états, ceci suivant les cas, ce que je vous expose:

    1) Le(s) désir(s) de(s) la future(s) proie(s): c'est à dire la recherche, consciente ou inconsciente de ce qui lui semble lui manquer, pour l'essentiel psychologiquement mais non pas seulement*, il s'agit toujours de combler un manque, comme de la recherche d'une identité sociale, de donner sens à son existence ( ce que le gourou, le nazisme, le djihadisme proposent...), mais aussi souvent de simplement vouloir être écouté, de solliciter une amitié, de l'amour, une protection, d'avoir un maître à penser...-;

    (Pour moi ce fut d'acquérir une meilleurs éducation et de ne plus être angoissé, ce qui est un comble, ou, collectivement, de ce qui s'appelait le rêve américain en ce qui concerne les européens, soit la paix et la prospérité éternelle, ce fantasme du paradis sur terre...).

    2) L'accroche par la séduction: consiste pour le ou les manipulateurs (institutionnels parfois, comme en ce qui nous concerne) de proposer, le plus souvent de manière subtile, ce à quoi son ou ses pantins fantasment en disant toujours oui, en ses tout débuts, à tout ce que le sujet ou le peuple désir, tout en commençant à placer les bases du verrouillage psychologique et/ou institutionnel sur lui-;

    A cette séduction, tous les empires ont débuté leur domination par la conquête militaire, USA comprises en ce qui concerne l'ouest européen et le Japon pendant la seconde guerre mondiale, pour les autres pays ce fut d'abord leurs crainte de ceux de effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civilel'est et, surtout, de l'URSS et de la Chine qui en fut le moteur, ensuite, à la disparition de l'Union-Soviétique, ladite séduction US fut, pour l'essentiel, utilisé pour soumettre les anciens pays de l'est, doublée progressivement par des pressions culturelles, politiques, militaires et/ou monétaires via le dollar.

    3) Le développement de l'intoxication mentale et la mise en place de la soumission: s'effectue en quatre mécanismes:

    I) Le manipulateur donne l'illusion de la surpuissance, de son intelligence géniale et/ou de sa grande humanité..., suivant les désirs de sa ou ses victimes (oui, nous sommes victimes des USA, sans victimisation imbécile);

    II) Il fait alterner d'une manière ou d'une autre colère et peur chez sa victime qui, je l'ai déjà expliqué, mène à de la soumission;

    III) De la même manière et de façon concomitante, fait se succéder de la méchanceté parfois violente et/ou perverse à une gentillesse sous forme d'une fausse complaisance et amabilité, ce qui fait vibrer émotionnellement continuellement ladite ou lesdites victimes, ce qui la ou les empêchent de toute réflexion en déstabilisant leur mécanismes de penser;

    IV) En faisant monter une manière ou une autre de sensation de culpabilité.

    V) Le ou les manipulateurs font tout pour que sa ou ses proies se séparent de ses proches, parentelles et amitiés, mais aussi aient le moins de contacteeffondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile possible entre-eux, à l'exemple des masques (vous remarquerez que les français, au sein de l'Union-européenne, n'ont que très peu de nouvelle des autres pays de l'union).

    4) Le profit de la manipulation: de tout le temps qu'elle dure, cette domination profite à son ou ses promoteurs mais jamais aux victimes ou de manière marginale, tant sur le plan:

    I) Psychologique, en donnant le sentiment de toute puissance aux manipulateurs en compensant un complexe d'infériorité important et, pour le pervers narcissique, de se nourrir de sa propre culpabilité due à sa perversité-;

    Il est à remarquer qu'en ce cas les USA tout comme les pays européens de l'ouest souffrent d'un tel complexe (bien que la monté en puissance des empires européens ait été due, d'abord, à la concurrence féroce et importante que tous ces pays se livraient les uns contre les autres), venant pour le premier de son sentiment réaliste d'être un peuple de structure anthropologique archaïque-;

    C'est ce fort complexe d'infériorité qui conduit les élites ét

  • Nouveau Marché Transatrantique ou le Dérisoire du Désespoir.

    J'aime les utopies les plus absurdes quand elles ne viennent pas rendre ma vie invivable, autant les laisser aux autres, c'est hypocrite, je le conçois.

    C'est pourquoi je n'aime pas ce dérisoire mais dangereux Nouveau Marché transatlantique  qui ne fera qu'affirmer qu'un peu plus notre dépendance culturelle, symbolique, économique, politique, linguistique et institutionnelle à un empire déjà vieillard et moribond en quelques seuls siècles d'âge.

    Déjà que nous suivons, que nous nous laissons entrainer dans ces dérisoires (parce que tout cela est dérisoire) mais dangereuses aventures guerrières en Syrie, en Ukraine et bientôt ailleurs, que nos gouvernements et journalistes aux ordres suivent avec l'empressement du valais suivant son maître.

    Déjà que nous nous retrouvons avec et sommes pollués d'un pauvre sabir anglo-américain dont même les élites intellectuelles anglaises se désolent.

    Déjà que la France et une large majorité de pays de l'Union-Européenne sont dès aujourd'hui ruinés d'avoir trop suivi les plus mesquins désidératas d'une ploutocratie française, européenne et américaine et d'avoir voulu, hier, sauver des banques et des fonds spéculatifs qui maintenant crèvent de leurs excès.

    Déjà que nous nous retrouvons en but avec un euro € incohérent qui ne fut que le rêve collectif d'avoir une monnaie ressemblant au dollar $, rêve déjà ancien de vouloir être l'énième état U.S., même rêve que les japonais et leur yen ¥, rêve faisant écho à celui des américains qui depuis si longtemps auraient voulu être anglais à la place des anglais, d'être l'empire à la place de l'empire, d'avoir une livre sterling £ à la place d'un dollar $.

    C'est cela le secret inconscient de ces monnaies, d'un vouloir collectif d'être le pays ou les unions qu'aucun d'eux ne sont et ne pourront être un jour: £; $; €; ¥.

    C'est de ce rêve impossible dont nous nous réveillerons un jour, l'ivresse fut forte, la gueule de bois terrible.

    Nous nous en réveillons, l'ivresse fut excessive et la gueule de bois en est réellement terrible.

    Et nous pouvons contempler combien de nos têtes pensantes prises dans un étau.

    Oui, ami lecteur, nous sommes entrés dans l'ère du dérisoire désespoir, courte ère qui voit tous ces gens bien intentionnés s'embourber avec zèle dans de méphitiques marais en pensant y trouver des chemins d'espérances et de certitudes quand ils ne s'engluent que dans la vide puanteur de la débandade et de la défection, que du n'importe quoi porté aux pinacles.

    Mais tu, parce qu'ils savent que cela ne pourra pas nous plaire.

    Nouveau Marché Transatlantique, ils font ça dans notre dos, en le cachant, en le taisant, en en faisant secret, comme un enfant faisant des bêtises et craignant quelques gronderies, comme un bandit préparant de ses mauvais coups au loin de la justice, comme le coupable se cachant de ses ignominies.

    Alors, que nous prépare donc cette administration d'une Union-Européenne aux mains des allemands et des étasuniens essayant de sauver leurs maîtres ruinés de leur banqueroute assurée?

    Que veulent échanger les allemands contre nos économies qui seront définitivement livrées pieds et points liés à ces étasuniens?

    Leurs marchandises qu'ils ne peuvent même plus vendre à des chinois qui voient leurs usines quitter leur pays pour trouver ailleurs des salaires plus insignifiants?

    Marchandises qu'ils ne peuvent même plus vendre à des européens au bord de la débâcle?

    Mais les américains, eux-mêmes, peuvent-ils encore acheter quoi que ce soit, eux qui se sont brisés à force de crédits absurdes disséminés partout sous forme de subprimes et de titrisations qui ont pourri les banques du monde entier en ruinant par là même les peuples et les états?

    Et les étasuniens ont-ils encore de quoi nous vendre, eux qui ont, les premiers, délocalisé usines, fabriques et centres de recherches, se sont vidés de tout ce qui pouvait faire un tant soit peu l'économie, eux dont les banques, en semblance de richesses, ne sont plein que du vide abyssal des rentes d'une bourse au faîte de sa prochaine chute, eux qui sont toujours infectés de crédits épars et nombreux dont ceux sur l'immobilier n'était que la pointe immergé d'un iceberg n'attendant qu'une vague pour se renverser?

    Eux qui ne sont même plus capable d'entretenir l'armée de leur empire et sont contraint de faire appelle à des mercenaires, quand nous savons ce que Monsieur Machiavel en pensait et disait comme signe de faiblesse des états et de fin des puissances impériales.

    Alors, ami lecteur, contemple avec moi cette pauvre et dangereuse dérision que peut être cette espèce d'accord inepte que je ne peux comprendre que comme une tentative ultime et ridicule de préserver d'une inéluctable faillite deux unions qui se voudraient n'être qu'une en un songe faustien.

    Ce Nouveau Marché Transatlantique n'est que du dérisoire désespoir!

    Bien que misérable, il n'en est pas moins sinistre!

     

     

    THEURIC

     

  • De quoi nos angoisses se tiennent-elles?

    Bourdon Terrestre (Bombus Terrestris)

     

    Bonjour tout le monde,

     

    Avant-propos:

    Il est de fait que, quand bien même cela est tu, les pays européens à l'intérieur de l'union et donc au sujet de la France,  en tant que colonie étasunienne, se trouvent en un statut similaire à celui qui prévalait pour le Vietnam au sein de l'Indochine française.

    Le nier en insultant le porteur de cette affirmation basique c'est faire preuve de forfaiture, au mieux, d'une forme collective de névrose, au pire.P1060215.JPG

    Notre problème, en tant que citoyens français colonisé, est double:

    1)-Cela nous a conduit à un retard évolutif et de développement de notre patrie de près d'une trentaine d'année, tant scientifiquement, artistiquement, économiquement, technologiquement, intellectuellement..., voire même à ce que cela nous en ait fait gravement rétrograder sur tous les plans.

    C'est bien parce que notre position de colonisé est au minimum minimisé quand, majoritairement, il est dénié, que je me vois contraint, pour rendre cette affaire d'évidence, de me montrer peut-être quelque peu excessif à l'endroit de l'imperium thalassocratique US.

    Bien que puisque l'on ne prête qu'aux riches, quelle que soit le type de richesse, et au vu des multiples complots que cet empire complotiste a pu se révéler être coupable au fil de son histoire proche d'un petit peu plus de trois siècles, il est probable que de cet excès dont, sur mon blog, je me fais montre soit bien en deçà de la réalité;

    2)-L'aspect primitif de la société US, se pensant l'alpha et l'oméga anthropologique de la perfection en tant que peuple à la destiné funeste manifeste, ceci doublé de l'intrigue manipulatrice continuelle dont elle fait preuve à notre égard en voulant, de toutes forces, que nous devenions leur semblable-;

    Ceci, dis-je, nous conduit à une angoisse importante qui, au fil des sept décennies P1060029.JPGpendant lesquelles cet état de fait s'est développé, s'en est accrue aujourd'hui d'une manière telle, et en raison même de sa négation devenue quasiment catégorique, que cela conduit toutes les échelles hiérarchiques de la population à voir ladite angoisse se transmuter en une instabilité mentale plus grande encore, prenant différentes  formes, jusqu'à une violence de toutes sortes.

    C'est bien parce qu'il y a refoulement collectif de cette réalité première de notre domination par un empire malveillant, ce que nous savons (de Marseille) fort bien,  tout en le considérant comme absolument bienveillant, ceci en niant mordicus que nous puissions souffrir de cette bivalence sous la forme de cette auto-injonction paradoxale, l'ensemble étant non exprimé, nous conduit à voir s'augmenter les dites instabilités mentales à mesure que l'empire décline.

    Parce que du fait même que, justement, les causes véritables de l'origine de cette angoisse multidécennale n'est que peu ou  non consciente, que comme nous avons, au fond de nous-même, cette relation ambivalente d'avec les USA, alors, tout signe de son affaiblissement ne peut que nous mener à des réaction plus ou moins hystériformes, survenant parfois sans raison véritable.

    Il est vrai, moi aussi, il n'y a encore que peu de temps, je n'avais pas saisi cette réalité première.

    De la nature des USA et de notre vision à tortP1060206.JPG manifeste mais faussé de ce qu'elle serait:

    L'état profond étasunien est un petit malin: il laisse à croire que grâce à lui l'Allemagne peut assouvir son fantasme de recréer l'empire carolingien et, à la France, de ce que sa souveraineté est définitivement détruite et son pays transformé en länder.

    Ô les deux beaux mensonges que notre colonisateur laisse entendre à notre endroit sans jamais l'exprimer véritablement, tout en détournant notre regard du véritable coupable de nos difficultés; les Etats-Unis-d'Amérique.

    Déjà l'Allemagne, quand elle se retrouve à regimber pour telle ou telle raison face à l'empire, retourne directement à sa niche en couinant dès lors que notre bon maître lui fait les gros yeux.

    Ensuite, ledit empire carolingien était infiniment moins étendu que ce que peut être que l'Union-européenne, sans compter que si la Germanie en a les clefs ce n'est juste que pour les porter, et s'il se révèle qu'elle veuille en ouvrir les portes, ce qui me semble en être tout de même de sa velléité, alors la thalassocratie impériale détruira la maison unioniste jusqu'à ses fondations.

    De fait, notre domination par l'empire US est un tabou et, ce, depuis longtemps quand, dans le même temps, sa nature réelle, thalassocratique, ne put, de ce que j'en sais, être comprise que depuis quelques années seulement par Christian Greiling de son site: "Chronique du grand jeu" sous le pseudonyme d'Observatus Politicus P1060093.JPG(duquel je vous ai déjà fait cas).

    Les Etats-Unis-d'Amérique est un pays extrêmement jeune et, déjà, dès les années cinquante, il se disait de lui que: « Les États-Unis d’Amérique sont le seul pays passé de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation. » 

    De fait, celui-ci ne peut perdurer en tant que tel, tout simplement parce que, s'il est déclinant (contrairement à ce que j'ai pu en concevoir par le passé) c'est qu'il est entré, dès les années soixante, dans un processus civilisationnel où sa nation ne peut que traverser les mêmes tourments que toutes civilisations ont pu connaître par le passé (poils aux nez).

    C'est pourquoi il ne peut qu'être ardu de définir les étapes par lesquelles il passera mais que nous ne pouvons qu'être assuré que cette crise première qu'il traversera, qu'il traverse déjà le laissera, pendant des décennies au moins, hors de tout enjeu international, ou alors à la marge.

    C'est çà qui nous conduit, jusqu'à maintenant, à cette angoisse existentielle: nous pensions que les USA étaient le nec plus ultra de l'évolution sociétale, culturelle et anthropologique, que grâce à eux nous vivrions une paix éternelle, venant en écho à la lointaine pax romana, étasuniens se croyant eux-même résurgence de l'Empire Romain d'Occident, ce qui n'est que fariboles, billevesée et rêveries.

    Nous pensons cela inconsciemment, tout en ne voulant pas être sous leur domination, tout en désirant résolument être son 51ème état, tout en haïssant sa réalité sociale & culturelle, tout en voulant lui ressembler et en adopter les code, tout en  considérant leur caractère arriéré, etc, etc, etc, etc... !P1060130.JPG

    En des allers et retours angoissant entre amour et détestation, visible par le ridicule rejet de Monsieur Trump ainsi que de l'affection dérisoire pour Monsieur Bilden de la part de nos journalistes et chroniqueurs (qu'adore les alsaciennes) cornichons.

     

    L'UE comme ersatz d'USA offert par notre mentor, une sorte de réconfort carcéral:

    Hormis la Pologne qui n'a aucune confiance en ses voisins européens, sauf des pays nordique et encore, tous les autres de l'est ne sont rentrés dans l'Union-Européenne et l'OTAN que contraints et forcés par l'empire, mais aussi de par leurs intérêts bien compris: ils s'industrialisent sur notre dos!

    De fait, il n'en faut que de peu pour qu'il nous quittent avec armes et bagages en nous laissant ruinés.

    Pour ceux de l'ouest, dont nous sommes, les Etats-Unis représentaient, en plus d'une toute-puissance qu'ils n'ont désormais plus, l'Eldorado, la Terre Promise, là où couleraient le lait et le miel et où Wall Street représenterait la cité d'or d'où ruisselleraient toutes les richesses, le lieu où existerait la corne d'abondance ressuscitée.

    C'est en cela, en ce fantasme européen vain et dérisoire, et affin que la mainmise étasunienne puisse s'effectuer en plein sur l'Europe, qu'il leur a fallu, aux services manipulateurs US, en soudoyant depuis 70 longues années l'élite du et des pays, mettre progressivement, tout doucement en place une succédané d'Amérique qui, au fil du temps, pris différents noms: CE, CEE..., pour qu'aujourd'hui nous nous retrouvions, nous aussi, avec une union, l'Union-Européenne, et une monnaie, l'euro, avec une jolie même double barre "-" traversant l'E: €.

    C'est cela qui a à un tel point abâtardi notre société et, ce, de tous points de vues, P1060353.JPGnous conduisant aujourd'hui aux affres de l'iniquité, de la pauvreté, de la violence, de l'inculture et de la sottise: de vouloir ressembler aux américains.

     

    les pigeons de France:

    En France notamment, une coterie de quelques dizaines de milliers d'individus dont nous connaissons la plupart des visages dans les médiats officiels, sont totalement inféodés à l'état profond US et/ou à leurs oligarques, dont aux entreprises pharmaceutiques et aux société internet, entre tant d'autres.

    Ce ne sont pas seulement nos entreprises qu'ils achètent, ce sont aussi nos cerveaux, parfois bien fait, qu'ils corrompent, qu'ils endoctrinent depuis si longtemps, jusqu'à faire émerger, chez ces nôtres concitoyens, un état mental confusionnel de les mener part trop au mensonge.

    Notre état profond, la haute administration et les PDG des banques, nos oligarques, les riches détenteurs de nos médiats payés par nos impôts, ne sont que les dindons d'une farce pire encore qu'il peut en être pour nous, simple quidam, ceci parce qu'eux, ainsi que leurs employés du monde politique, médiatique et pour partie économique, sont infiniment plus circonvenus que nous ne le sommes, agissent essentiellement pour les intérêts impériaux et non pas pour les leurs propres et, encore moins, pour ceux de la nation.

    Nous pourrions le dire de cette manière grossière et imagée que nous utilisons tous avec plaisir (ne nous le cachons pas) dans le langage commun: "Ils se font tous baiser la gueule par les ricains dans les grandes largeurs!"

    Et quand en viendra le moment, ils se devront de payer cette gabegie, la faillite du pays, leur collective traîtrise en France comme ailleurs: la colère populaire sera tropP1060197.JPG importante et il faudra bien la calmer.

    Nous faudra-t-il envisager d'achever une épuration du pays qui, en 1944, ne fut que partiellement effectuée en raison des ordres donnés, déjà à l'époque, par notre bon maître au gouvernement d'alors?

    Sommes-nous dans une situation analogue?

    Quand ceux, de l'état profond et de l'oligarchie US, se la couleront douce en regardant, rigolard, gesticuler comme de pauvres pantins leurs petits subalternes français faisant face à leurs juges et à la vindicte populaire.

     

    Etats-Unis-d'Amérique & Union-Européenne, leurs liens indéfectibles d'avec leur fin:

    Dès lors que l'imperium transatlantique commença à montrer de graves signes de faiblesses, dès un petit peu avant la magistrature de Sarkozy, cette angoisse déjà ancienne composée de ce malaise entre notre amour et haine pour les States, se mua en une douleur due à la compréhension viscérale de sa prochaine disparition.

    Qui ne put qu'accroître d'autant plus cette angoisse, conduisant à une grande P1060402.JPGanxiété, voire, pour certains, à de l'effroi (il en était de même pour les communistes d'il y a trente ans).

    Nous savons tous, en effet, quand bien même ce ne serait que largement majoritairement inconscient, que ce fantasme d'Amérique sous les traits de l'union disparaîtra soit juste avant, soit en même temps, soit tout de suite après la disparition de l'empire, quelles qu'en soient les raisons et la façon avec laquelle cela se fera.

    Cet ersatz d'une puissance impériale en déclin très avancée que sont les UE/€/OTAN, puissance à laquelle les européens s'imaginent de participer par réflexe pavlovien,

  • De l'angoisse des temps obscures.

    Le problème que pose notre époque pour un grand nombre de gens c'est que ceux-ci ne comprennent pas se qu'il se passe.

    Je ne dis pas qu'il n'existe pas d'autres raisons de s'angoisser, loin de là, mais que le tourment existentiel, premier et collectif de notre époque est de ne pas saisir les raisons pour lesquelles chacun s'appauvrit.

    Pourquoi donc notre gouvernement se mettrait-il ainsi physiquement en danger en promulguant de tels décrets, de tels ordonnances, en déposant de tels projets de loi que les assemblées délibératives votent sans vrai état d'âme?

    Voire même à ce qu'il en vienne à installer un pouvoir non plus policier mais militaro-policier, n'y en a-t-il pas un en Lettonie, pays faisant parti de l'union?

    A se demander d'ailleurs de sa véritable nature, l'empire semblant tellement apprécier autant les salafistes que les nazis.P1020967.JPG

    Pourquoi, aussi, tant de journalistes se foutent-ils de nous en racontant l'inverse de la réalité des événements.

    Pourquoi les policiers agissent-ils ainsi qu'ils le font à l'endroit des manifestants?

    Pourquoi les petits-enfants en savent-ils moins que leurs grands-parents au même âge?

    Pourquoi le monde est-il ainsi devenu fou ou, du-moins, semble l'être devenu?

    Pourquoi sommes-nous rendus en des temps si obscures?

    De mes maigres moyens j'ai noirci les écrans pour donner du sens à ce qui ne paraissait pas en avoir, parce que de comprendre au mieux ces folies ne peut que permettre de retrouver l'apaisement nécessaire face à un pouvoir déjà insensé, devenu suicidaire, face à des événements incompréhensibles, flous, stupides, déraisonnables.

    Mais que de tels olibrius, à quelques exceptions près, aient pu ainsi, depuis trois législatures au moins, être élus tant aux élections présidentielles, législatives que sénatoriale via une propagande égale à celle qui existait aux temps de l'Union-soviétique;

    Bien qu'en ce qui concerne les sénateurs des gens sérieux puissent encore y être présent puisque le sénat n'a qu'une importance délibérative réduite;

    P1030094.JPGQue donc dis-je que de tels insuffisants puissent être à la tête de l'état depuis plus de 15 à 20 ans ne peut qu'exaspérer et désespérer le citoyen.

    Ceci au regard de cet effondrement idéologique et politique puisque nos élus nationaux ne font qu'avoir une approche doctrinale similaire et, ce, quel que soit le parti concerné.

    Que des lois, de plus, tant au sujet des retraites, des libertés publiques, des relations salariales entre employés et employeurs, économiques et sociétaux au sens large du terme, puissent être déployées ne pouvaient que faire monter une colère d'autant plus importante que la finalité de tout ce fatras en est totalement abscons.

    Or, il a une raison d'être, une origine dont ensuite découle le reste.

    Cette origine a un nom: le grand jeu.

    De celui du XIX° siècle qui vit la confrontation entre l'empire britannique et la Russie en Asie et en Mer Noire, à la seconde moitié du XX° siècle jusqu'à aujourd'hui entre l'empire US contre l'URSS d'abord, puis la Russie et la Chine ensuite, c'est la confrontation d'un empire maritime contre toute puissance terrestre pouvant diminuer sa domination impériale.

    Avec la lutte entre Athènes et Sparte, il s'agit donc de trois thalassocraties passées et P1030469.JPGprésentes en un fonctionnement similaire.

    Le livre de Christian Greiling, que j'ai commencé à lire, vers lequel je vous renvoie plus haut ("feuilletez" les premières pages déjà éclairantes, pour les faire tourner cliquez la flèche de droite puis de gauche), que je vous conseille vivement de découvrir, ainsi que son site: Chronique du grand jeu, en expliquent autant les raisons que les enjeux (vous pouvez aussi aller voir cette vidéo comme premier jet réflexif).

    Mais, me demanderiez-vous avec logique, en quoi cela nous concernerait-il?

    En quoi les décisions absurdes de Monsieur Macron en obéissance des obligations des GOPE et des oligarques français, européens, étasuniens et de l'Union-européenne, toutes aussi contre-productives, pourraient-il faire le lien d'avec cette lutte, que nous pouvons dire à mort, entre la Russie et la Chine d'une part, les États-Unis-d'Amérique d'autre part?

    Tout simplement pour la double raison de rendre les pays européens politiquement inopérants grâce à l'union et ses institutions totalement verrouillées, mais aussi de piéger ses différents gouvernements en maintenant leurs plus grosses banques en survie grâce à l'injection de dollars, ceci suite à leur quasi faillite lors de la crise de 2008 dite des subprimes.

    P1030246.JPGLa menace, implicite, est dès lors clairement entendue: si vous souhaitez quitter l'union, vos banques ne seront plus alimentées en monnaie et vous vous retrouverez en faillite.

    Il est à remarquer toutefois que les banques US se retrouvent, elles aussi, en situation de cessassions de paiement.

    Donc, pour l'empire, garder sa mainmise sur les nations de l'UE lui est vitale pour pouvoir contenir la Russie à son ouest, russes qui, part ailleurs, contiennent également les étasuniens au Proche-Orient.

    Et nous, français, nous nous retrouvons au milieu de cette guerre larvée sans que nous n'ayons  jamais demandé quoi que ce soit à quiconque: nous ne sommes qu'un pion dans ce grand jeu.

    N'oublions pas non plus que le coup d'état qui eut lieu en Ukraine fut le fait d'une alliance d'américanolâtres néolibéraux et de, là encore, néonazis, sous les hospices attentives du gouvernement des USA de l'époque, et que, de ce fait, puisque les gouvernements européens et les journalistes avaient tous accepté cet acte, nous pouvons en subodorer légitimement l'orientation dogmatique.

    En réalité, de ces seules orientations, elles ne se font que sur deux bases, leur obéissance absolue à leur maître US et d'avoir le plaisir de leur faire plaisir et, ce,P1030226.JPG contre espèce sonnantes et trébuchantes.

    Il y a toutefois des exceptions, telles que François Hollande qui avait tenté de manipuler le manipulateur en poussant Obama  à bombarder la Syrie, ce qui se révéla un raté manifeste, sinon magistral, tant US que français.

    La Russie ayant fait montre de capacités de brouillage informatique supérieur.

    Mais surtout l'Allemagne qui, elle, ne veut qu'une seule chose: le gaz russe par l'arrivée de leurs gazoducs, elle qui avait délaissée ses centrales nucléaires après l'accident de Fukushima, suite au tsunami de 2011, et qui maintenant s'aperçoit que les éoliennes et les panneaux photo-voltaïques ne peuvent produire suffisamment d'énergie pour une société moderne.

    Mieux même, accroissent fortement la mortalité allemande en raison de la forte augmentation du coût de l'énergie, mais aussi japonaise qui prirent les mêmes décisions que nos voisins pour les mêmes résultats, tout en produisant une pollution supérieur.

     

    P1030155.JPGMais revenons à la France et aux origines des angoisses des français voulez-vous.

    Il s'agit là de protéger sa personnalité, puisque ce mécanisme, dont je vais rapidement vous narrer la trame, se réduit à un ensemble de processus inconscient menant à cette angoisse collective, angoisse elle-même masquée par un ensemble d'histoires extravagantes qui, si le niveau d'étude n'avait fait que de se développé, n'aurait jamais pu être accepté par la population puisque remettant en cause les notions scientifiques acquises à notre époque.

    Quelles sont donc ces anxiétés qui, parfois, comme pour tous processus inconscients, peuvent se révéler contradictoires?

    Leurs sujets, pour l'essentiel, tournent autour de notre appartenance à l'Union-européenne et à notre domination par l'empire US.

    Mais avant tout je vais vous révéler ce que sont ces masques qui, pour certains, ne sont que le fruit de notre imaginaire collectif, quand les autres, eux, sont bel et bien la résultante de manipulations impériales.

    Il s'agit donc autant de mécanismes endogènes qu'exogènes, je commencerais par les seconds:

     

    -De ces derniers, il en est ici de ce réchauffement climatique anthropogénique qui P1020490.JPGremettent gravement en question les fondements de la physique classique.

    Je vous invite à visiter mon blog sur ce point, mais aussi et surtout d'un certain Jacqueshenry.

     

    -Il en est de même, en ce qui concerne la simple biologie de base, de la "théorie du genre", expression qui fleure si bon la vulgate publicitaire, voulant que ce serait la société qui déterminerait la sexualisation des gens.

    Son but étant de châtrer psychologiquement autant l'intelligence que la volonté des français en rendant indéterminé la sexualité de chacun d'entre-nous et, dès lors, de notre identité tant individuelle que collective, ceci en atteignant surtout les classes-moyennes les plus hautes, l'élite réelle de la nation.

    Ayez toujours en mémoire de la nécessité de l'empire de pouvoir contrôler l’Europe pour ceinturer la Russie sur son ouest, c'est pourquoi il fait tout pour nous faire perdre la boule.

     

    -Nous  faire croire que c'est uniquement grâce aux Amériques que l'Allemagne hitlérienne fut vaincu, sachant que l'empire est maintenant en voie de décomposition avancée.

    P1030036.JPGCe qui est, là encore, historiquement faux, bien qu'il soit vrai que ce pays y a grandement contribué, l'Angleterre et la Russie furent tout de même les deux principaux acteurs de cette défaite.

    Là y est recherché de faire perdurer le sentiment que les États-Unis-d'Amériques sont toujours l'hyper-puissance d'antan, certes pour nous, mais aussi à leurs propres yeux, mais tout le monde sait ou sent que ce n'est pas vrai.

    Ses deux seules réelles sources de puissance restante c'est le dollar, il est vrai avec des capacités militaires encore présentes mais désormais dépassées et non pas seulement par celles des russes.

    Et aussi ce qui représente son véritable danger, pour ses adversaires, voire pour nous, sa force de frappe nucléaire, qui est toutefois pour une part en obsolescence.

    Quand à son économie, elle n'est plus qu'en peau de chagrin.

    Il est à noter que ses supplétifs européens se retrouvent tous à voir leurs armées

  • Retour sur la rétrogression historique.

    Je vous ai déjà entretenu de la rétrogression historique dont j'avais donné la définition ici en fin de page:

    Rétrogression historique : retour momentané partiel, ou total, suivant la violence du traumatisme subit, d’un peuple, d’un pays, d’une nation, sur une base sociologique et/ou anthropologique passée, en raison d’une catastrophe de grande ampleur et/ou d'un intense stress social et, ce, quelle qu’en soit la nature.

    De même je vous avais déjà entretenu des causes sous-jacentes qui en sous-tendent l'origine:

    Et c'est bien cet esprit de progrès qui régressa à la suite de quatre formidables et violents coups de butoirs, ces deux guerres mondiales, la guerre froide angoissante et, enfin, notre domination pleine et entière par un empire devenu vacillant dès le début du XXI° siècle, les États-Unis-d'Amérique, sous l'égide d'une philosophie économique absurde, avilissante et ruineuse, leP1010520.JPG néolibéralisme, impérium lui-même en une défaillance multifactorielle montrant un affaiblissement constant de cet esprit l'amenant aujourd'hui en un état de décrépitude avancé.  )

    Ceci venant en complément de la surpopulation, ou plutôt de l'inadaptation des sociétés à cette surpopulation humaine ( au niveau de l'inflorescence du groseillier à fleurs ).

    Je doutais encore légitimement de cette approche restant tout de même hypothétique puisque je n'en avais pas de preuve directe, et puis, hier, j'ai vu cette vidéo d'un certain Laurent Alexandre et lu l'article l'accompagnant diffusé sur le site de l'U.P.R..

    L'eugénisme en étant le thème central, dont le mot provient d'un britannique, Francis Galton en 1883, le début de ce mouvement remonte aux environs de 1850 et fut à l'origine des génocides juifs et tziganes et des massacres de russes sous l'Allemagne nazi de 1936 à 1945.

    Cette aberrante croyance prit fin en Occident en 1976 quand la Suède abandonna son programme de stérilisation des handicapés congénitaux et mentaux, trouvant aujourd'hui une nouvelle ressource à Singapour dès les années 80 et en Chine en 1995.

    Mais aussi en France où nous retrouvons les toujours même têtes vides, Minc, Attali, Madelin et consorts...., à la suite du sieur Alexandre, à adopter l'idée la plus stupide P1010844.JPGqu'ils puissent trouver, en concevant magnifique et moderne une telle vieillotte foutaise: après avoir repris les vieilles rengaines économiques du XVIII° et XIX° siècle qui nous plongent aujourd'hui dans les immenses difficultés desquelles nous nous confrontons, ils ressortent de la naphtaline cette dérisoire, hideuse et dangereuse idée qui avait accompagné le monde en une guerre de 50 à 70 Millions de mort, ceci à la suite d'un malade mental qui avait pour nom Adolphe Hitler.

    Mais que notre élite, soit-disant intellectuelle, soit aussi stupide que méprisante, ma foi, ça devient presque un lieu commun que de l'affirmer.

    En fait ce qui, pour moi, est intéressant dans cette affaire c'est qu'elle me prouve que la rétrogression historique n'est en rien une hypothèse mais bien une théorie, ceci en raison de son caractère prédictif.

    Sans avoir pu conjecturer par le passé quelle forme cela prendrait, nous pouvons toutefois observer la résurgence de ce concepts anciens tel que cet eugénisme désuet et anti-scientifique.

    Et il est à prévoir que d'autres phénomènes de même type puisse réémerger pour le meilleurs et parfois le pire, tel que le retour des maisons closes, d'un catholicisme fort, de l'usage du charbon possible, du chemin de fer, du bal du Dimanche ou du Samedi soir, de la guinguette, du maraichage de la région parisienne, du service militaire, de la circulation à cheval, voire peut-être même des vêtements P1020036.JPGtraditionnels régionaux, de leurs chants, de leurs musiques..., d'une renaissance de la vie sociale et rurale..., mais aussi de pandémies.

    Ce qui ne remettra pas en cause d'une quelconque façon ni le téléphone, cellulaire ou pas, ni internet, ni la télévision, ni les centrales nucléaires, ni le moteur à explosion et l'avion à réaction, ni de beaucoup de ces choses qui font et fondent notre modernité, en revanche ce sera leur utilisation qui en sera changée, de plus tout ce qui se révèlera inutile, rapidement, disparaîtra inéluctablement.

    Il en est ainsi de tous les Laurent Alexandre, tous les Jacques Attali, qui accumulent tant d'être dans ce passé improductif tout autant que dans leur lourd passif, comme hier ces hobereaux qui entouraient Napoléon III, ils disparaîtront dans un grand bâillement, gesticulant encore de temps en temps comme il pouvait arriver aux mêmes à la naissance de la III° république.

    Ne se rendant pas compte qu'aujourd'hui ils ne sont que le jouet d'un inconscient social qui les dépasse, parce que n'en pouvant pas le percevoir puisque ne pouvant le concevoir, en étant totalement incapable d'en saisir la nature,  et qui les mènera sous peu à l'oubli de tous, un oubli historique qui sera leur pire des punitions, parce que déjà ils ne servent plus à rien, déjà dépassés par l'évolution rapide d'un monde en total mutation et dont ils ne peuvent saisir la moindre parcelle.

    P1010782.JPGQuand à ces futurs polytechniciens, s'ils n'ont pas ou si peu réagit c'est qu'ils ont, pour la plupart, compris depuis très longtemps que nul ne leur demande de penser, mais de répéter sur leur copie rendue à leurs maîtres bienaimés la matière dont ils furent instruits et fut si bien mémorisé sans vraiment tout comprendre, comme le bébé rend à sa maman chérie la tété qui l'a nourri sous forme d'un beau caca bien chaud, ainsi que l'expliquait si bien Françoise Dolto.

    Pour eux, en revanche, j'ai beaucoup de peine: combien de ceux-là sauront s'extraire de cette nasse, de savoir inventer et trouver le bonheur de la découverte en remettant en question, en triant de ce dont n'est rien d'autre que de l'inutile, écarté au profit de ce qui se révèlera être de la connaissance la plus précieuse?

    Comprendront-ils que le mot profit ne se relève pas seulement de celui de l'argent tout comme celui d'intérêt des seuls prêts bancaires?  )

    Ce palpable manque d'humanité de cette bande de rigolos, dû à un immense orgueil égal à leur défaut de jugeote, ce que les grecs ancien appelaient l'hybris, provient, je le suppute, de leur grave carence affective et/ou d'un traumatisme important.

    Ceci doublé d'un entre-soi vaniteux où chacun rajoute par sa petite idée, sa petite pierre à la petite colline de sornette qui nous est déversé jour après jour dans les médiats, ceci pour tenter de prouver à l'univers qu'ils sont d'une omnisciente essence divine, c'est ainsi que notre olibrius a-t-il pu proférer une telle niaiserie à ces futurs polytechniciens: "Vous, vous êtes des dieux!".

    Mais ce n'était pas à eux qu'il s'adressait, mais seulement à lui-même.P1020064.JPG

    Parce qu'en fait il ne s'agit que de cela, d'un tas de médiocres qui, par tous les moyens, tentent de cacher, d'abord à leurs propres yeux, mais aussi à ceux de tous, que s'ils occupent le poste ou la place sociale qui est le leur ce n'est que par la grâce d'un empire U.S., maintenant en liquidation liquéfaction, qui avait besoin de tous ces ramollis du bulbe passés et présents pour pouvoir dominer la France, en faisant croire que ce serait plutôt en raison d'une présupposée parfaite intelligence, qu'ils savent inexistante.

    Et pour cela ils sont capable de toutes les forfaitures, comme de baisser le niveau scolaire, ou d'envoyer la police combattre des gilettistes qu'ils perçurent infiniment plus sensés qu'ils ne pourront jamais l'être.

    Tout du moins ce sieur, se disant transhumaniste, à priori datant des années 90, autre fumisterie sortie tout droit des niaiseries qui avait vaguement cours il y a encore dix ans quand on s'aperçut que c'était irréaliste, mais ce qui pour lui et ses semblables reste ultramoderne, ne détenant manifestement pas l'ombre d'une pensée profonde, me montre-t-il que la rétrogression historique est bien un instrument théorique pouvant se révéler efficace.

    Et si quelqu'un le connaissant me lit, dites lui bien que l'Être Inutile que je suis lui renvoie avec un plaisir non dissimulé son injure balancée avec un vague dédain à l'encontre d'une large majorité de français, lui qui n'a d'importance réelle que celle qu'il se donne, seulement quand il se contemple dans son miroir médiatique, et moi qui ne suis qu'un conducteur P1010570.JPGd'autobus à la retraite.

    Qu'il comprenne bien que je ne le hais point, juste ai-je une incommensurable commisération pour le pauvre hère qu'il est en réalité, n'ayant pour lui une pitié aussi infinie que peut l'être sa vide fatuité.

    Parce qu'en fin de compte il ne fit que cela: projeter sur plus faibles, la population provinciale et de  banlieue, ses propres déficiences et de tenter de se prouver sa valeur en se faisant passer pour dieu (il y en a eu qui se retrouvèrent en asile psychiatrique pour moins que ça), tout en me prouvant que mes petites  théories ne sont pas aussi inintéressantes que ce qu'il pourrait s'en concevoir.

    Chacun pouvant socialement servir à quelque chose suivant ses capacités, n'est-ce pas?

    Je me demande si Laurent Alexandre ne m'aurait pas légèrement foutu en rogne par hasard.

     

     

    THEURIC

    P.S.: Des vacances me mènent à un arrêt provisoire de mes chroniques, la suite à la prochaine émission.

  • Il a marché dans notre futur et ça n'a pas marché!

    Voilà une courte vidéo que j'avais déjà regardé et qui, aujourd'hui, m'a fait rire ( https://lesmoutonsenrages.fr/ ).

    Un certain Vladimir Boukovski, ancien dissident soviétique de son état, nous avait prévenu, il y a quelques années, combien les liens de parenté entre l'U.R.S.S. d'hier et l'U.E. d'aujourd'hui sont flagrants (je remercie "Les Moutons Enragés" de l'avoir remonté à la surface).

    P1010108.JPGCeci me permet d'appuyer ce que j'ai pu déjà expliqué par ailleurs, soit que le capitalisme et le communisme soviétique d'alors étaient les deux représentations en inverse d'un formalisme idéologique semblable, auquel j'ai donné le nom d'économisme dogmatique.

    Qui est, comme j'ai pu déjà le montrer, de mettre, en tant que référence indépassable, l'économie au-devant de toute autre considération politique.

    "Mais alors", me demanderiez-vous, "pourquoi l'Union-Européenne a-t-elle développée ses pires travers après la disparition de  l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques et non pas avant?"

    C'est justement la disparition de l'U.R.S.S. qui généra le déséquilibre qui, dans l'inconscient social des technocrates de Bruxelles et des responsables politiques des pays de la C.E.E., les poussèrent à créer ce monstre imbécile, aidés en cela par l'empire U.S., bien sûr, ses représentants, eux-mêmes, empreints des mêmes contraintes inconscientes.

    Ceci étant dû à ce que cette dualité que représentait la froide opposition hostile antérieur (la guerre froide), idéologique, géostratégique, géopolitique et, surtout, d'une base doctrinale en son inverse: économico-politique, U.S.A./U.R.S.S., se retrouva déstabilisé, d'où l'apparition, par un mécanisme de compensation, d'unP1010054.JPG système politique semblable à ce que fut l'Union-Soviétique: l'Union-Européenne.

    Vous remarquerez la concordance des dates: 1991 disparition de l'U.R.S.S., deux ans seulement après, 1993, création de l'U.E..

    D'ailleurs il était dit, à l'époque, que cette union avait de but de contrecarrer la puissance étasunienne, ce qui était faux par ailleurs.

    De fait, c'est donc cette déstabilisation de l'idéologie économie-dogmatique qui a généré l'émergence de l'U.E. en une ressemblance d'U.R.S.S..

    Il est à noter que les B.R.I.C.A. tendent à créer un système de libre échange, thème d'un papier précédent ( b-r-i-c-a-et-coquin-de-sort-neoliberalisme-quand-tu-nous-5968733.html ).

    Or, le libre échange, soit l'effacement commercial et monétaire des frontières, est la condition incontournable à l'existence du néolibéralisme.

    Que la Russie et la Chine, le premier anciennement communiste, le second qui devrait censément l'être puisqu'en portant le nom (Démocratie Populaire de Chine), puissent ainsi résolument se tourner vers un système capitalistique des plus caricaturaux pourrait paraître étrange.

    Ceci au moment même où Monsieur Trump, toujours en conflit semi-ouvert, semi-P1000879.JPGlarvé d'avec ses oligarques néocons (néoconservateurs, hi, hi, hi), tente de réformer son pays en voulant même, peu ou prou, refermer ses frontières, au moins partiellement, comme il le proclamait dans son programme d'élection.

    Nous voyons donc là une inversion, bien que partielle, des structures idéologiques Russie-Chine/Etasunis en un espace de 26 années.

    Quand à l'Europe, auparavant scindée en deux, elle se trouve toujours au centre de cette dualité.

    Hier sociale-démocrate et déjà créature de l'empire U.S. à l'ouest lors de la guerre-froide et de la confrontation est/ouest,  à l'est sous la direction soviétique du pacte de Varsovie, nous pouvons  percevoir qu'en fait et comme dit plus haut, c'est bien l'effondrement du bloc soviétique qui fit émerger l'Union-Européenne sous une structure semblable de ce que fut l'U.R.S.S..

    Ceci par l'inversion rapide, bien que partielle, de la dualité soviético-étasunienne/communisto-capitalistique.

    Certes, l'Union-Soviétique a disparu en 1991, mais ce basculement débuta plus tôt, à la toute fin des années 70 et début des années 80, avec les arrivées au pouvoir de Madame Thatcher en Grande-Bretagne (1979), de Messieurs Reagan aux U.S.A. P1010093.JPG(1981) et Deng Xiaoping en Chine (1978), de Monsieur Gorbatchev en U.R.S.S. (1985) en, enfin, de Messieurs Mitterrand en France (1981) et Kohl en Allemagne (1982).

    Ce sont ces personnages, devenus historiques, qui, de gré ou de force, menèrent leur pays respectif puis le reste du monde vers ce néolibéralisme qui, je le répète, est le dernier avatar de l'économisme-dogmatique.

    Cette doctrine binaire conduisit et structura les peuples et leur politique pendant tout le XX° siècle réel, soit de 1914 jusqu'à aujourd'hui, et en arrive maintenant à son aboutissement ultime, soit sa disparition par son effondrement en raison de son impossibilité de s'adapter à une évolution interne devenue trop rapide pour elle.

    Maintenant je vous propose d'observer ce que peut être le néolibéralisme sous l'optique de cet effondrement de cette dualité confrontante multi-décennale.

    Il est possible de percevoir cinq mouvements politiques simultanés importants depuis la disparition de l'U.R.S.S.:

    1) Création, donc, de l'Union-Européenne;

    P1010050.JPG2) Entrée du capitalisme néolibéral dans le fonctionnement économique, organisationnel et politique de la Russie et de la Chine (pour les trois autres pays, c'est quelque chose de plus logique);

    3) Faillite du bloc occidental, surtout des U.S.A. et de l'U.E. et endettement généralisé des pays, des peuples et de quasiment l'ensemble des institutions nationales et internationales, privées comme publiques;

    4) Effondrement mondial des frontières, ad minima pour le flux des marchandises et des monnaies;

    5) Véritable explosion technologique via l'informatique sous toutes ses formes.

    Il est loisible d'observer cet étrangeté qu'est un retour actuel à une guerre froide.

    L'agressivité de l'empire U.S. à l'endroit de la Russie et de la Chine, par la Corée du nord pour la seconde, est compréhensible si nous faisons référence à l'histoire.

    En effet, nombre d'empires en fin d'existence tendent à accentuer leur agressivité envers leurs voisins tout en étant de moins en moins dans la capacité de supporter un conflit ouvert.

    Je soupçonne, de plus, et de ça je vous en ai déjà parlé, que Monsieur Trump agasse ainsi ces deux géants afin qu'ils vendent leurs bons du trésor américain, mais bon, en réalité cela reste un soupçon, une  hypothèse de travail.

    En revanche, ce qu'il se passe au Vénézuéla est, en cela, intéressant.P1010133.JPG

    Je suis donc allé voir ce que détenait le Brésil en terme de bon du trésor américain ici ( news-dette-americaine-bonds-tresor-argent-chine-pays-japon-sannat ) et bingo, le Brésil est le pays qui en détenait le plus en 2015.

    Ce qui pourrait être une confirmation indirecte qu'en effet le gouvernement fédéral U.S. pousse les détenteurs de ces fameux bons à les revendre, ce qu'ils font déjà tous, même le Japon s'y met, hormis bien sûr les occidentaux, et encore.

    Ainsi, déjà en Janvier 2017, les pays détenteurs, se disait-il, vendaient une partie des bons qu'ils détenaient ( 22367-123-ECH_les-grands-creanciers-de-l-amerique-reduisent-leur-stock-de-bons-du-tresor.htm ).

    En fait, ce qui est le plus dangereux pour l'économie U.S. et les oligarques ce ne sont pas ces ventes mais la vitesse avec laquelle elles se font.

    Parce que plus elles sont rapide, plus cela risque de déstabiliser les équilibres précaires de l'économie U.S..

    De fait, politiquement, Monsieur Trump n'a plus le choix, soit il réduit ses oligarques, soit il est contraint de leur obéir et, en ce cas, il ne pourra pas réformer son pays, ce qui est tout de même son dessein.

    P1010086.JPG

     

    THEURIC

  • De la réalité des temps modernes.

    La réalité a ceci de particulier qu'elle est incontournable, elle est, par nature, et se révèle surtout à nous lorsque nous nous confrontons à elle, lorsque nous nous efforçons de tricher avec elle, lorsque nous nous efforçons de la tordre à notre volonté sans vouloir ou pouvoir en comprendre la constitution, l'essence.

    Elle n'est pas tyrannique, tous nous avons la liberté du choix, mais celui-ci ne peut se faire que dans le cadre plus ou moins étroit, plus ou moins large de la situation donné lorsque ce choix se fait.

    Il y a, ainsi, des choix plus ou moins mauvais, plus ou moins bon, plus ou moins efficace, parfois il n'y a que de mauvais choix, d'autres fois il n'y en a que d’excellents, cela dépendant essentiellement des conditions aux moment où ce choix s'effectue.

    Quand nous commençons à ressentir revenir la réalité, commençons à en ressentir la morsure, après l'avoir contourné plus ou moins longtemps pour des raisons ou d'autres, le premier geste est le plus souvent la fuite en avant, soit de continuer dans notre ancienne façon de faire, par réflexe et automatisme, anciennes manières qui, justement, nous avaient déjà conduit dans les difficultés que la réalité révèle lors de crises, ce qui accentue encore des effets déjà néfastes.

    Si nous n'y prenons garde et ne changeons pas notre façon de faire et d'agir en faisant évoluer la perception que nous avons du monde, cela nous conduira inéluctablement à la catastrophe à un moment ou à un autre.

    Généralement, cette catastrophe était prévisible par les différentes crises avant-coureuses qui se produisirent précédemment.

    Ce devrait d'être au moment de l'une de ces crises qu'il aurait fallu agir avec célérité et vigueur, cela en considérant l'importance du choix, ce qui veut dire de comprendre la situation dans son ensemble le plus précisément possible, quitte, parfois, de s'avouer nos fautes, nos faiblesses et/ou nos forfaitures ainsi que de celles de notre ou nos vis-à-vis.

    Puis de percevoir au mieux le meilleurs des choix, soit ce que devrait être l'ensemble des actions à mener, ou de non action, ce qui revient au même, qui nous permettraient d'éviter la catastrophe venant, ou du-moins, d'en limiter les effets les plus délétères

    Dès lors, nous pouvons considérer qu'une crise, ici celles passées concernant l'ensemble de l'humanité et de son économie, mais cela pouvant se révéler aussi de problème ne concernant que nous-même, voire d'un couple, d'une famille ou d'un petit groupe de personnes comme d'une entreprise, de relations amicales ou d'une association..., une crise, donc, est ce moment privilégié où il est possible de redéfinir, individuellement et/ou collectivement, notre perception de cette situation et ensuite d'en infléchir au mieux le cours.

    Or, et c'est là l'origine de ce court développement, nous pouvons tous percevoir combien, à l'échelle nationale, européenne et mondiale, les divers crises qui traversèrent les 40 dernières années ne furent que l'occasion de réflexions limités ou sinon, lorsque ces réflexions étaient plus riches et complètes, ne provenaient que de gens n'ayant qu'une audience réduite.

    Hormis, il est vrai, de ne faire que justifier les décisions qui furent prises dès cette époque par des présupposés vaguement théoriques, ce qui accoucha de ce que, faute de mieux, nous nommons en France le néolibéralisme et dans les pays anglo-saxons le néoconservatisme, ce qui donna le terme de néocon qui, en langue française, se révèle fort savoureux.

    Depuis, donc, tout ce temps, aucune réelle remise en question des présupposés ayant donné naissance à notre conjoncture actuelle ne fut entreprise (ou cela ne fut le fait que d'une infime minorité de ces gens ne pouvant pas vraiment se faire entendre).

    Crise après crise, la-dite conjoncture, nationale, européenne et internationale, s'est dégradé à un point telle que nous pouvons observer que, dorénavant, la moindre des décisions prises, la moindre des actions entreprises ne font que délabrer encore plus l'état des choses.

    C'est pourquoi je pense que nous sommes arrivés à ce moment catastrophique où la réalité, dans ce qu'elle peut avoir de plus grimaçant lorsqu'on ne tient pas compte depuis longtemps de sa nature, reprendra durement ses droits.

    Déjà, de nombreuses informations peuvent être perçues montrant, à qui veut bien l'entendre, que le système économique globalisé se désagrège.

    Ses quatre piliers, idéologique, monétaire, industriel/commerciale et ce qui soutenait l'ensemble, soit l'empire U.S., se fissurent de toutes parts.

    Et il est loisir, pour chacun d'entre-nous, de constater cette désagrégation de l'économie-monde sous ses quatre formes:

    1) l'effondrement idéologique;

    2) la perte de valeur des monnaies par leur surproduction;

    3) la désindustrialisation, la mise au chômage des peuples et l'arrêt concomitant du commerce international;

    4) la dissipation de la puissance étasunienne, l'affaissement des U.S.A. en tant qu'empire, voire la bientôt disparition de ce pays en tant qu'union.

    Pour cela, les outils que nous offrent internet sont centraux.

    Or, de paraître insatisfait, j'ai remarqué qu'en réalité les fantastiques chamboulements technologiques qu'a généré l'électronique et l'informatique jusqu'à aujourd'hui, ainsi que d'autres avancées, comme en médecine ou en science du vivant, ne furent que les prolongements de découvertes fondamentales, telle que la physique quantique ou la découverte du génome, qui se firent pendant une centaine d'années, soit entre le milieu du XIX° et celui du XX° siècle.

    Après cela, rien ou pas grand chose, si ce n'est que le développement de ces découvertes passées, mais sans chercher à les remettre véritablement en question, sauf, là encore, à de rares exceptions près, de personnes inventives souvent ostracisées.

    Pourtant, ce furent les continuelles remises en questions des savoirs de l'époque qui permirent ces remarquables découvertes fondamentales, ce fut parce que des personnalités telles que Messieurs Einstein, Marx et Pasteur questionnèrent les connaissances et les vérités de leur temps, qui leur permirent leurs magnifiques trouvailles.

    Il est à remarquer qu'il en est pareillement en science humaine, en économie notamment.

    Notre monde a changé et évolue encore à un rythme accéléré, les technologies nouvelles n'y étant pas pour rien, la vitesse des échanges, des transports, des communications ont chamboulé le monde d'une manière incroyable.

    Le fait que pendant dix ans environ ait pu exister un empire absolu (1991, fin de l'U.R.S.S., à 2001, krach technologique et attentat de New-York), celui des États-Unis-d'Amérique, que, contrairement à ce qui a pu se passer auparavant, celui-ci se soit bâtit, dès le début de la guerre froide, non pas par les armes mais par la culture et par la monnaie, ce qui était jusqu'alors inconnu (les empire coloniaux européens s'étant établis classiquement par des conquêtes armées).

    Le fait, également, qu'une virtualité (soit ce qui n'existe pas) quasiment palpable puisse exister, que ce soit sous forme de jeux, de modélisations scientifiques, de flux monétaires ou sous toutes autres formes encore, est là aussi d'une incroyable nouveauté.

    Les exemples de mêmes sortes sont nombreux mais nous sont invisibles parce qu'ils représentent la réalité présente.

    Pourrions-nous imaginer vivre sans électricité, sans eau courante chez soi, sans four miro-onde (je n'en ai pas), sans téléviseur (cela arrive chez certains), sans réfrigérateur, sans chauffage dans toutes les chambres, sans internet et ne parlons pas de l'ordinateur, sans automobile ou tout autre moyen de transport moderne, sans G.P.S., sans radio, sans téléphone, ...

    Pourrions-nous imaginer la société sans satellite, sans avion à réaction, sans machine à billet de banque, sans route goudronnée, sans plastique, sans feu rouge et panneau de signalisation, sans hôpital et son matériel ultra-moderne, ...

    Or, tout cela et beaucoup d'autres choses ont, pour les plus anciens, pas plus du siècle et demi, la plupart des personnes nées avant les années cinquante en France ont vécu sans.

    Songeons aussi que dans les années 70 vivaient 3, 5 milliards d'êtres humains quand maintenant nous en sommes à plus de 7, 3 milliards, ce fait est d'une importance capitale et est à mettre en parallèle avec nos chamboulements technologiques.

    Il est également important de penser que toutes les productions électriques, hormis celles dues aux barrages, viennent de machines à vapeur, qu'elles soient nucléaires ou fossiles (charbon, gaz, pétrole), vous imaginez-vous voyager en train à vapeur?

    Moi non, et pourtant personne ne sait encore tirer de l'énergie électrique autrement qu'en faisant chauffer de l'eau, si ce n'est celle hydroélectrique de ces mêmes barrages, ressemblant tout de même aux moulins à aubes.

    Et qu'en est-il des éoliennes qui ne sont que des moulins à vent munis d'une turbine.

    Quand aux panneaux solaires, ils sont l'une des résultantes de ces découvertes fondamentales en physique, celles des quantas...

    Je pourrais longuement égrainer la litanie d'une modernité qui, en réalité, n'en est pas tant que cela une, hormis, comme je l'ai dit plus haut, celle des communications, de l'électronique et de l'informatique.

    Ainsi la chimie, les propulsions, dont celle des fusées et des automobiles sont arrivés au maximum de leurs possibilités.

    La philosophie, le plus souvent, rabâche les mêmes antiennes dans un monde ayant largement changé, et parfois ne fait que vaguement jacasser.

    Les sciences de l'homme, celles de la matière, de la vie découvrent, c'est vrai, mais où se trouvent l'originalité, la réelle trouvaille, qui lit Madame Morgan et sa théorie d'une origine aquatique de notre humanité ou qui se penche sur la théorie des univers gémellaires porté par Monsieur Petit, plutôt que de bêtement les réfuter succinctement?

    Les arts également sont touchés par ce même travers du rabâchage et de la jacasserie, en exemple parmi tant d'autre, en musique, écoutez-donc James Brown et vous découvrirez que le rap existait déjà bien avant que l'on en connaisse le nom et Boris Vian faisait déjà de la musique planante 20 ans avant Pink floyd (personnellement j'écoute du classique, plus ancien encore, ce qui ne nous rajeunit pas, mais les compositeurs modernes manquent pour le moins de structure, ils font de la jacasserie, en quelque sorte).

    Quand à la pensée politique, elle ne patauge même plus, elle erre, sauf en Russie où y commence tout juste à en frémir d'un tout début de germination de nouveauté.

    Alors oui, si nous pouvons dire que notre société est moderne, ce n'est juste que grâce à des avancées technologiques dont les origines, parfois relativement anciennes, proviennent, pour certaines, de découvertes faites bien avant que la plupart d'entre-nous soient nés et datant, pour les autres, de nos arrières-arrières-arrières-grands-parents au moins.

    Le reste est du contemporain, d'ailleurs, c'est ainsi que se nomme notre époque.

    Voilà le diagnostique que je pose sur la réalité de notre modernité: elle butte sur une montagne de conformisme et de conservatisme tout en se pensant moderne pour avoir adopté des mesures comme le mariage pour tous, qui n'était que la résultante de l'abandon du mariage par les couple mixtes, ou pour courir derrière des avancées technologiques qui, à un moment donné, n'ont fait que miniaturiser les machines.

    Quand à l'économie et à la politique, nous retournons comme d'un seul homme à ce qu'elles furent au XIX° siècle, toujours dans l'idée que cela fait moderne.

    Ce diagnostique n'est en rien celui d'un déclin, les bouleversements technologiques et sociologiques furent tel que nous n'eûmes pas le temps d'en appréhender les dimensions, voilà la raison d'être de ce texte, déterminer nos difficultés présentes.

    Ainsi, la monté de l'égalité entre l'homme et la femme, provenant de leur instruction partagée et de la compréhension plus ou moins consciente que l'intelligence est asexuée (contrairement au reste de leurs différenciations biologiques), fit que le mariage, rite ô combien féminin pour conserver au sein du foyer cet homme naturellement volage, nécessaire pour une éducation harmonieuse de l'enfant, perdit progressivement sa raison d'être et, dès lors, de sa légitimité.

    De même, les montées en puissances des technologies informatiques accélérèrent les vitesses des flux de capitaux, rendant de plus en plus difficile leur contrôle par les états, ce qui permis à leur détenteurs d'acheter une part grandissante du personnel politique, ce qui ne peut qu'aboutir à un effondrement économique catastrophique d'échelle mondiale comme j'ai pu le détailler.

    Et nous pouvons également réfléchir à cet affaiblissement continuel de cet empire U.S. qui sut, d'antan, formater, par sa monnaie et par sa culture, une majorité des esprits de ce qui fut l'Europe de l'ouest de telle sorte qu'aujourd'hui un grand nombre de gens ne peut ne serait-ce qu'envisager sa monté en faiblesse, alors, sa disparition totale ne peut que leur être que ho

  • idée n°1: Instruction & éducation

         Il est pour le moins étonnant que l'amalgame soit fait entre instruction et éducation.

    Si la première est transmission des savoirs, techniques et connaissance, la seconde est liée à l'apprentissage des seules règles sociales en espérant tendre, pour l'éducation la mieux faite, à la construction harmonieuse d'une personnalité (ce qui ne peut être qu'une bonne chose).

    D'affirmer, donc, la bonne éducation d'un enfant est essentiellement différent que de le dire être d'une bonne instruction.

    La confusion est là au ministère de l'éducation nationale enterrinant cet imbroglio de par son seul nom.

    De fait, un professeur professe, un instituteur instruit et un éducateur essaie de redonner à l'enfant perdu un tant soit peu de sociabilité.

    Lors, si l'adulte devenu continu de s'instruire en toutes choses, il ne peut que, face au sentiment d'un mal-être ou d'un manque de savoir vivre, se refaire une éducation et ce qu'au travers de ce qu'il s'est instruit.

    Cette faute sémantique est l'une des causes des problèmes de l'école d'aujourd'hui.

    Si l'instruction, de l'intellect, se peaufine, se parfait, l'éducation ne peut que se refaire.

    Par conséquent l'une construit la raison et le savoir et l'autre la sociabilité ainsi que les interdits du surmoi.

    THEURIC

  • Vision d'une métaphisique politique de notre situation.

    De tout temps il y eût autant de révolutions technologiques qui menèrent à de fulgurantes transformations sociales que des invariances indépassables qui, bien que sous des formes différentes, n'en demeurèrent et n'en demeurent pas moins des permanences inconscientes incontournables.

    C'est au centre de ces deux mouvements que se trouvèrent confrontées les sociétés humaines de 1918, voire bien avant, jusqu'à 1991: la lutte farouche entre la fulgurante transformation de notre technologie et  notre inconscient collectif.

    Mais maintenant nous en sommes à ce que de cette fulgurante avancée passée, nous vivons une révolution technologique plus inouïe encore, celle de l'informatique, sous tous ses aspects, c'est de cela qui fait que les sociétés tremblent infiniment plus sous leurs bases, bien que chacun en use et parfois abuse de l'outil, prises entre ces deux feux naturels aux Hommes que sont l'allant et l'élan vers la modernité et le frein conservateur constitutif de ce qui a fait société.

    P1000825.JPGC'est à cela auquel nous assistons en tant qu'acteur.

    Comprenez bien que ces forces monétaires, au nom de néolibérales, faute de mieux, sont aux prises, elles aussi, à ces doubles contraintes mortifères, c'est cela qui les détruit, étant entendu que je ne pardonne en rien de ces paroles, ne voulant juste que poser un regard attentif autant sur notre présent que sur notre devenir.

    L'aveuglement, notre aveuglement, puisque c'est de cela qu'il s'agit, est devenu si puissant, cela en raison de la violence de la transition mutagène que nous vivons, que nous nous murons au-dedans du vain espoir de recouvrer la simple réalité de nos aïeux.

    Celle de ce dualisme complexe du siècle dernier, de ce capitalisme de grand-papa, aujourd'hui devenu fou d'une modernité qu'elle ne comprend qu'à peine, à un communisme désormais forclos de n'avoir existé qu'en contrepoint d'une bourgeoisie en déshérence, en n'oubliant pas les extrêmes d'une droite, hier bestiale et criminelle, maintenant faite de potiches aux ordres de qui paiera au mieux et d'un gauchisme divagant au fil de l'histoire n'étant plus que l'ombre de son ombre.

    Or, c'est devenu impossible, nous ne pouvons pas revenir en arrière, les principes de l'évolution le veulent ainsi, que voulez-vous, les temps changent, internet en fait foi.

    Alors, que faisons-nous, coincés entre ce modernisme nous poussant dans les bras d'un renouveau social que nous craignons et refusons tant parce que inconnu, et d'un arrêt sociétal total impossible parce que l'arrêt d'évolution est la non vie, estP1000895.JPG l'angoisse du désir de mort en face de cette violente évolution que nous réfutons bien que nous la vivons?

    Comment régler cette complexe contradiction angoissante devenue impossible?

    Comme cela n'est pas collectivement pensé, alors ce sera la nature, notre nature, qui guidera nos choix.

    Or, que dit-elle, sinon que pour palier notre paralysie due à cette immensément puissante angoisse, ce seront de nos plus anciens réflexes sociétaux, ce sont déjà de nos plus anciens réflexes sociétaux qui reprendront, reprennent déjà cours, ceux de nos religions partagées, de nos ardeurs patriotiques, de nos désirs de puissance, de ces visions politiques aussi anciennes que celles des deuxièmes et troisièmes républiques, des relations homme/femme antérieures, d'une vie d'un XIXème siècle imaginé, cru et fantasmé bien qu'ignorées...

    Ce ne sera pas un réel retour en arrière, non, ce sera la redécouverte inconsciente du socle ancien sur lequel repose toujours nos pieds mais que nous avons écarté avec dédain, nous et nos anciens, au-devant de ces terribles traumatismes que furent deux guerres mondiales précédées et suivies d'autres conflagrations tout autant P1000866.JPGterrifiant et de la culpabilité des colonisations.

    Nous qui crûmes en écarter la commotion, le trauma, la blessure en laissant, antérieurement à d'autres, si proches et si lointains, russe et américain, le soin de nous guider, en une infantile béatitude, vers le non-être édénique d'une paix éternelle.

    Nous qui nous sommes placés sous le joug paraissant parental et bienveillant, bien que tyrannique, d'une Union-Européenne désormais haïe et rejetée.

    Elle qui n'est pas la cause mais bien l'un des multiples effets de notre désir passé de ne plus exister, elle qui n'est que l'ultime résultat de cette scission névrotique que fut la guerre froide, cette réunion mortifère de ces deux anciennes Europe de l'est et de l'ouest, cette pauvre créature d'un empire U.S. las de ses cendres, las de sa puissance, las de ses nuisances.

    Cet aveuglement dû à ce refus d'une modernité incontournable, cet aveuglement dûPICT0111.JPG à notre refus de penser cette modernité nous guide vers ce nécessaire archaïsme collectif, parce que nous n'avons pas d'autre choix, nous n'avons plus d'autre choix.

    Parce que seul cet archaïsme nous fera enfin accepter ce que cette modernité engendrera et ne peut encore pas générer: non pas le bonheur mais l'aventure, celle de notre humanité.

    L'Europe, fille de Zeus, n'est pas éteinte, n'est pas morte, ne décline pas.

    Contre sa volonté elle se trouve désormais au centre du monde, elle ne le veut pas, regimbe, rue, mord la poussière de se vouloir à terre, trépigne, fait refus d'avancer, s'assoit quand ce monde tourne autour d'elle, mais elle est là et elle le sait, nous le savons tous.

    C'est cet appel que nous refusons, l'appel à l'histoire que nous voudrions sans nous, rêvant encore à nos gesticulations passées, à ces joutes dérisoires par empires interposés.

    Anges et démons, nous mènerons cette modernité à son terme, pour le pire ou pour P1000831.JPGle meilleurs, que nous le voulions ou non, non pas parce que nous le souhaitons mais bien parce que le monde entier nous en fait l'appel.

    Et de l'Europe, au centre, se trouve la France.

    Et elle aussi, à l'encontre de son fort intérieur, de ses rêveries juvéniles, se trouve déjà au centre de tous les désirs.

    Le monde nous attend, ne le décevons pas!

     

     

    THEURIC

  • Néolibéralisme, un champs idéologique tout puissant et moribond.

    Il se passe des choses bien étrange pour ceux pour qui l'évidence d'un effondrement de l'économie globalisée est déjà en cours.

    Après une hystérie collective (dont je fus) lors de la lutte impossible du gouvernement grec pour faire évoluer une Union-Européenne triplement bloquée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, après le soubresaut boursier de la fin Août, tout le monde est revenu à ses petites affaires doctrinales en niant toujours la réalité d'une ruine universelle pourtant déjà présente.

    Pour parcourir deux forums, celui de Monsieur Lordon ainsi que celui de Monsieur Berruyer, je me suis progressivement aperçu d'une totale impossibilité, autant pour ces deux messieurs que pour les commentateurs de ces blogues respectifs, de considérer qu'il ne serait-ce que possible que nous soyons parvenus au stade final de ce processus depuis longtemps en marche.

    Or, de nombreux signes alarmants, que de ma modeste position je ne puis que saisir qu'en d'infimes mais révélatrices bribes, se devraient d'alarmer nombre de penseurs, économistes et personnalités politiques, tels que Messieurs Asselineau et Mélenchon, qui font montre, à toute part égale, d'une liberté de pensée et de parole devenue rare, et qui, de par leur position, se devraient d'être plus à même de les repérer et répertorier et, surtout, de nous mettre en garde de la proche échéance d'une catastrophe monétaire sans égale mesure.

    Il en est de même des divers commentateurs avec qui j'ai pu échanger quelques idées et qui, de façons parfois agressives, rejetaient avec force cette toute proche perspective.

    De même, j'évite dorénavant d'aborder cette question lors de conversations, même avec des amis ou au sein de ma famille.

    Il en est de cette situation comme de beaucoup d'autre choses auxquelles nous nous confrontons, la meilleurs solution pour tenter d'y apporter une quelconque solution ne peut que consister à vouloir comprendre les soubassements du processus qui pose problème.

    Cela comprend, bien sûr, des thèmes que j'ai déjà abordé, dont celui central de la survie d'un champs idéologique néolibéral englobant tout autant ceux qui adhèrent à cette idéologie économico-politique, que ceux luttant contre.

    IMGP0004.JPGCe remarquable déni, même de ceux se situant dans un courant s'opposant à l'économie monétariste, nous montre l'incroyable puissance idéologique de celle-ci mais, surtout, de la crainte inconsciente partagée par une majorité, autant d'Européens, de français que d'une large part de la population mondiale, en sa disparition.

    Au-delà de cette opposition, le refus de percevoir consciemment le délitement en accélération constante de l'économie-monde ne peut que démontrer l'unité de ce que nous pouvons percevoir comme étant une croyance.

    Plus, même, les différents mouvements qui s'affirment, d'une façon ou d'une autre, combattre ce néolibéralisme occidental, comme il peut en être, par exemple, et ils sont nombreux, des participants aux actions menées contre un présupposé réchauffement climatique anthropogénique, se révèle être toujours de la même source idéologique.

    Observation que je conçois comme étant extrêmement subversif, voire provocateur, mais qui révèle, à mon sens, encore plus l'aspect unitaire de l'ensemble de ces tendances, plus ou moins violentes, plus ou moins pacifiées, plus ou moins officielles, en une fantastique complexité se révélant ainsi d'un même processus mental.

    En ce qui concerne ce réchauffement climatique anthropogénique, il se révèle contradictoire puisque étant, dans le même temps, le creuset inévitable de nombre d'hommes, et de femmes d'états pour se justifier, consciemment ou inconsciemment, de leur probité idéologique et de se laver de leurs péchés néolibéraux auprès de leur peuple.

    Et il est aussi le réceptacle, la convergence obligatoire, pour toute opposition sérieuse au néolibéralisme, par lequel doivent passer tous les horizons des gauches d'aujourd'hui, descendant affaiblis et affadis des marxismes et sociales-démocraties d'hier.

    C'est cela, plus que toute autre chose, qui me démontra l'unité de fait de l'ensemble de ces mouvements dû aux angoisses existentielles d'un monde bientôt disparu, celui d'une puissance d'argent ayant, depuis deux à trois siècles, progressivement remplacée une aristocratie d'épée et un clergé qui, sous une forme ou une autre, suivant les traditions des nations et des peuples, gouvernait un monde d'essence féodale.

    (Pour ceux que cela intéresse, voici le site d'un climatologue présentant un ensemble de travaux de ses collègues qui soit doutent, soit nient ce fameux réchauffement climatique ( http://www.pensee-unique.fr/ ).)

    Ce refus, partagé par un si grand nombre de gens, de considérer la disparition d'un modèle économique pour tous destructeur, même pour les plus fortunés, ne peut que cacher autre chose, plus puissant encore que la doctrine néolibérale elle-même dans sa dualité du pour ou contre.P1000166.JPG

    L'interprétation que j'en pose serait celle-ci: le néolibéralisme étant le descendant légitime d'un capitalisme lui-même provenant de la bourgeoisie, la puissance marchande, ayant pris la place de l'aristocratie d'épée passée, ainsi que des divers clergés étendus de par le monde, une ruine mondiale apocalyptique naturellement accompagnée de la disparition de la doctrine ad oc, le néolibéralisme, voudrait donc dire la disparition du dernier représentant d'un système social ancien à la structure hiérarchique stricte que pu être les sociétés féodales historiques, quelle que soit la forme qu'ait pu prendre ce type d'organisation politique suivant les pays et les peuples.

    Je me dois de noter que ces affaiblissements continuels de l'économie-monde et de l'empire U.S. conduisent naturellement nombre de nations, depuis quelque temps déjà pour certains d'entre eux, à voir monter leur désir d'indépendance, que ce soit le fait des peuples et/ou des états, et cela, parfois, contre leur gré, comme en Europe, notamment.

    Aussi bien en Amérique-du-Sud où ce processus est largement en cours, qu'en Europe, qui expliquerait le piège tendu au gouvernement et à la population grec, ainsi qu'un petit peu partout dans le monde, ce processus conduit divers gouvernements à prendre,  parfois contre leur volonté, des décisions à la limite du-dehors, voire réellement en-dehors, des présupposés idéologiques que je viens d'exposer, la position anglaise, belge, hongroise d'un référendum d'une sortie de l'U.E., les décisions géostratégiques françaises, même si elles semblent refléter les désidératas étasuniens, et les jeux complexes des pays moyen-orientaux puissants, Turquie, Iran, Arabie-Séoudite, sont de ceux-là.IMGP0430.JPG

    La Russie, quand à elle, ayant totalement brisé les deux liens, économique et politique, de cette double domination, U.S. et néolibérale, lors de la prise de pouvoir de Monsieur Poutine, d'où la détestation pleine et entière, de notre oligarchie pour ce pays et cet homme, pouvant aller jusqu'au délire, agit dorénavant pour ses seuls intérêts bien compris.

    Personnellement, mon admiration, reposante, pour Monsieur Poutine n'est que de celle du réel homme politique qu'il est quand, en Union-Européenne, nous n'avons, généralement, qu'affaire qu'à de simple comptables et boutiquiers (je n'ai rien contre les boutiquiers, les vrais).

    Les entreprises monétaristes, quand à elles, tentent, maintenant, aux portes de leur disparition, de faire la même chose que ce qu'elles firent pendant des décennies, mais aujourd'hui devenu caricaturale, soit d'absorber le plus des richesses mondiales possibles en les transformant en crédits et en dettes, ceci doublé de la délocalisation maximum de la moindre entreprise et fabrique occidentale aux lieux où les émoluments sont les plus bas, ce qui a vidé l'ensemble de l'Occident, de l'Europe et de la France de leur tissu industriel, là ou les paies étaient, à l'origine, les plus élevées.

    Il est à remarquer que, dorénavant, cela se passe également en Chine, et je la soupçonne de vouloir faire tomber définitivement l'empire U.S. en inondant le monde de ses divers bons du trésors américain.

    C'est tout cet équilibre devenu instable dès 2008 qui est en train de s'effondrer sous nos yeux, c'est cela qu'une majorité des populations, de tous niveaux hiérarchiques, ne veut pas voir ni comprendre, et, pourtant, si elles en saisissaient l'infinie dangerosité, elles pourraient agir au mieux pour s'y préparer, ceci en pleine connaissance des causes.

    Mais peut-être est-ce aussi l'angoisse due à l'intuition inconsciente de l'effrayant danger devant lequel l'humanité se trouve qui fait qu'énormément de personnes n'osent considérer cet avènement comme étant de l'ordre du possible?

     

     

    THEURIC

  • idée n° 8) ter: Essai de début de réflexion sur le temps présent et notre proche avenir.

     

    Notre problème reste de savoir si, parmi les personnes ayant charge de pouvoir politique au sein de nos institutions, nos élus, de ceux ayant les plus hautes fonctions, se trouvent des personnalités qui seraient dans la capacité de faire évoluer, muter leurs paradigmes quand nous nous trouverons dans la situation ô combien inconfortable de la déliquescence de l'économie mondiale.

    Certes, j'en conviens, rien dans la vie n'est véritablement assuré, bien que cela soit peu probable il est toujours possible que cette économie mondiale et son armature dollarisée puisse survivre aux délires évanescents des classes dirigeantes néo-libérales.

    Mais de cela je n'y crois guère.

    Il est plus que probable que nous entrions, dans un avenir pas si lointain que cela, dans un processus d'accélération de la désagrégation de tout un ensemble de situations dès à présent instables, que ce soit de la quasi totalité des sociétés états-unienne et anglaise autant que de toutes les bulles spéculatives se développant un petit peu partout dans le monde, que celles-ci soient connues, reconnues ou inconnues, toutes exploserons à peu près en même temps en un épouvantable vacarme.

    Ce rêve imbécile d'Amérique qui aujourd'hui prend une telle ampleur que la langue anglaise américanisé est le passe-port obligatoire pour donner l'image d'une modernité échevelée, paradoxe infini à l'ère de la bientôt disparition de la sphère anglo-saxonne, ce rêve, donc, se perpétuera en en changeant de forme: tout comme l'effondrement de l'empire romain engendrât, quelques bons siècles plus tard, le Saint-Empire-Romain-Germanique, il est assuré que la place laissée vacante par les U.S.A. aiguisera l'appétit de symbole dont la société des hommes est tellement friande et que beaucoup de pays d'une certaine amplitude, les B.R.I.C., feront tout pour avoir le droit de s'assoir sur le trône du roi déchu « Dieu et mon droit ! ».

    Le problème c'est qu'il y a moult soupirants.

    Liés, d'autres soucis se font jour (de toute façon, ils serons multiples) :

    -L'obéissance :

    Obéir rassure, surtout pour celui ayant en charge de grandes responsabilité et jusqu'à présent, et pas seulement en Europe, les dogmes simples, sinon simplistes du néolibéralisme, l'assurance avec laquelle ceux-ci sont prescrits par leurs adeptes, l'autorité avec laquelle ils enjoignent et prescrivent leurs commandements et ordres sécurisent et anesthésient les gouvernements, que ce passera-t-il donc quand, le roi dénudé, plus aucun gouvernant n'auront, pour les conseiller, ces gourous de la finance ?

    -Le maintient de l'ordre :

    Quand s’éteindront les dernières lueurs de la puissance américaine et que l'économie se retrouvera au bord de la route, l'insurrection deviendra l'usage. Par recherche d'économie et suivant les prescriptions délirantes des fanatiques de la spéculation, des économies furent faites également dans les forces du maintient de l'ordre, que faire quand des hordes d'affamés en colère s'en viendront dévaster les centres-villes et/ou que des commerces illégaux se multiplieront ?

    -Les forces armées :

    Comme je l'ai dit, un fort risque de dissension vont se faire jour et il est à craindre que la mer Méditerranée et l'océan Atlantique soient sujet à affrontement. Quels sont ces fous furieux qui depuis plus d'une décennie diminuent l'effectif de l'armée, font fabriquer des armes par la Russie (je n'ai rien contre la Russie mais géopolitiquement c'est absurde) ou des munitions par le Pakistan (pour le contingent envoyé en Afghanistan) ? Combien d'homme peut recruter des pays avec plus d'un milliard d'habitant comme la Chine et l'Inde (je ne suis pas un va-t-en guerre mais ce sont des questions hautement politique que tout chef d'état sérieux se devrait d'avoir à l'esprit) ?

    -Matière première et nourriture :

    Thème important que j'égraine et file ici. Que cela ne soit pas au centre d'une réflexion continuelle, d'un débat continu dans la classe politique, les médias et partout ailleurs ne me lasse pas de me laisser pantois. Laisser se fermer les dernière sidérurgies ainsi que des raffineries sans que les forces publiques n'interviennent véritablement montre à quel point celles-ci sont intellectuellement dans un état lamentable ! Dans moins de cinq ans, peut-être moins d'une année, nous risquons d'être en manque de tout, sauf peut-être en billet de banque sans valeur, et il faudra une énergie considérable et un temps appréciable pour rétablir un tant soit peu la situation. L'agriculture n'est pas en reste, l'abandon d'hectares entiers de terres arables, parfois au profit de parcs d'attractions imbéciles ou de maisons secondaires inutiles, peut nous faire craindre une semi-disette catastrophique sur tous les points. La seule chose de positive la-dessus c'est que nous seront contraint de tout recycler, là, le tri des ordures porteront ses fruits.

    -Le risque de disparition pure et simple de l'Union-Européenne :

    Le manque de considération que l'Union-Européenne a pour la démocratie est flagrante. Quand un peuple instruit est appauvri tout ce que peut offrir le pouvoir politique à celui-ci c'est la démocratie, et même si cela lui fait perdre sa prépondérance, cela se fera-t-il, du-moins, par de courtoises élections. Nos dirigeants bruxellois font une intéressante expérience : comment un peuple avec un fort taux de formations supérieur fait-il pour chasser un pouvoir inique ?

    Voilà quelques exemples de ce qu'il me semble devant quoi nous serons confrontés d'ici peu. Les défis dès à présent sont immenses. Seule une pensée politique partagée par le plus grand nombre nous permettra de nous en tirer sans trop d'incidents, mais quoi que nous fassions, il y en aura.

    Pour finir, petite pensée politique :

    La sociale-démocratie, en se pervertissant continuellement, montre que, définitivement, elle se recentre comme le fit, à son époque les partis radicaux (qui n'ont plus de radicalisme que le nom), le centre, lui, montre son réel visage d'une nouvelle droite et ce que nous appelons droite, plus par habitude que par vrai réflexion, n'est plus qu'une extrême droite qui ne veut pas dire son nom. L'extrême droite officielle, elle, sera naturellement absorbée par cette nébuleuse néolibérale dont l'U.M.P. est le représentant français. Il est à remarquer que la gauche véritable est maintenant représentée par, entre autre, un parti communiste ressemblant furieusement aux partis républicains des temps anciens et que le plus radical du front de gauche c'est le parti de gauche. Ce front de gauche est le seul mouvement dont le discourt soit réellement d'un renouveau politique de par sa proposition de faire élire une assemblée constituante. Mais la politique ce n'est pas que cela.


    THEURIC

  • L'erreur des tyrannies: l'UE.

    Avant propos:

    Je suis d'accord avec un certain nombre de mes lecteurs, ce texte peut être ardu à la lecture, mais celui-ci est également présent pour que chacun d'entre-vous redécouvre un langage égaré par le brouet malsain déversé par les médiats.

    Ce style vous échappera peut-être, amis lecteurs, mais c'est bien par respect pour votre intelligence que j'écrit ainsi et non pas pour l'inverse.

     

    Bien plus que de ce qu'il en fut par un passé d'au-delà de deux siècles, les tyrannies des XIX° et XX° furent toutes autant stupides que meurtrières et, en France, le second empire, 1852/1870, en fit montre d'une telle dimension que, rarement, d'autres en furent atteintes d'une même sorte ensuite, peut-être qu'Idi Amin Dada, président passé de l'Ouganda l'outrepassa en terme de stupidité.

    Nous pouvons, en revanche, affirmer sans hésitation qu'en cela Monsieur Macron égale Napoléon III à 170 ans environ d’intervalle.

    En fait, tous les systèmes absolutistes ne peuvent qu'être composés que par des abrutis et, en raison de cette sottise conduisant à leur fragilité politique intrinsèque et structurelle, la violence, la censure et l'importante propagande ne peuvent qu'être que les seules raisons de la maîtrise du pouvoir de ceux qui les mettent en place et les dirigent.

    La cause en est simple et, je dirais même mieux, d'évidence: c'est en raison même de l'incompétence de ceux qui gouvernent de tels systèmes totalitaires, provenant de leur stupidité structuralement induite, quelle qu'en soit l'origine, qui les conduisent auxdites violences, censures et propagandes, parce que leur manière de gouverner ne les menant qu'à de mauvais choix, rend les pays sous leur coupe fragile et, par là-même,P1030088.JPG d'une instabilité sociale ne pouvant qu'aller s'accroissant.

    C'est pourquoi tous disparaissent sous le poids de leurs incapacités, et plus elles sont grandes, plus vite advient cette disparition.

    Quand la Grande-Bretagne, elle, conserve son système gouvernemental depuis des siècles, bien qu'elle fut empire, longtemps militarisée, elle n'en fut et reste toujours non moins une démocratie, avec des élites intelligentes respectant autant leur peuple que leur patrie, d'où son brexit.

    Des états, il ne peut qu'en être de même des unions et de celle, au premier chef, européenne, à laquelle s'y rajoute l'OTAN, la force armée sous domination des étasuniens n'ayant plus les possibilités de leur politique.

    Bâtie progressivement, au début sous la forme de la Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier, devenu la Communauté-européenne, dès les origines créées par l'empire thalassocratique US pour contenir l'URSS et le pacte de Varsovie (mais mis en place après l'OTAN), ces deux là disparus;

    Qui, pour ce dernier, était dans le même temps une union économique, politique et militaire en tant que tampon frontalier pour limiter les volontés hégémoniques desdits étasuniens.

    P1010825.JPGCe qui montre bien la complexité géopolitique qui régnait dès la sortie de la seconde guerre mondiale en Europe, dont rares étaient les européens de l'époque à en avoir conscience, égarés qu'ils étaient par des questions purement idéologiques.

    De 1945 à 1991, URSS et USA s'y retrouvant au-devant d'un blocage géostratégique parce que l'armement nucléaire pouvait détruire toutes les civilisations, cela mena à ce conflit larvé, froid, ne pouvant que s'exprimer dès lors qu'en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud par des guerres de petites à moyennes intensités.

    En un rythme semblable à l'affaiblissement généralisé dudit empire thalassocratique, l'union-européenne naissante dès l'après l'évanouissement du bloc de l'est, a subi plusieurs tendances la menant progressivement à sa dégradation la conduisant aujourd'hui aux portes de son explosion.

    Ainsi, les étasuniens, s'ils voulaient conserver au mieux  leur pouvoir sur ce qui était alors l'Europe-de-l'Ouest, devaient mettre en place, en tant que gouvernements, des médiocres absolument inféodés à leur domination (c'est pourquoi ils firent de manière à ce que De Gaulle quitte le pouvoir)  quand, au sujet du bloc de l'est, il en était de même, sauf qu'en ce dernier cas cette médiocrité était contrebalancé par un enseignement des enfants efficient.

    Cette seule différence étant qu'à l'ouest la modicité commençait à y être de mise dèsP1020090.JPG le début pour pouvoir vendre aux européens une culture déjà en début de phase d'insignifiance ( je situe le commencement du déclin des USA à l'époque de l'assassinat de J. F. Kennedy en 1963 ) quand, à l'est, quant bien même l'évolutions économique et sociale y était gelée, l'instruction publique y était de qualité de part l'idéologie communiste.

    Aujourd'hui nous nous retrouvons au-dedans d'une union où s'y trouve, pour la diriger, un ensemble de personnels à l'abêtissement mortifère surtout centrée sur ce qui fut l'ouest européen;

    S'y alliant dans le même temps à une indigente idéologie eurolâtre néolibérale touchant là tout autant l'est européen trouvant dans l'Union-européenne un dogme en remplacement de ce qui fut  celui du socialisme soviétique, ainsi qu'un moyen, pour ces pays, de s'industrialiser gratuitement sur le dos de l'ancien bloc de l'ouest qui, de plus, lui verse de grasses subsides.

    Ceci d'autant plus que la structure institutionnelle de l'UE ressemble à s'y méprendre à celle qui sévissait en Union-Soviétique.

    Depuis les années 90, en trente ans, cette crétinisation des masses et de leurs dirigeants s'est toutefois généralisée, mais si c'est l'Allemagne qui en vient maintenant à dominer l'union c'est bien parce que ses élites politiques se trouvèrent, pour certains, en RDA, l'Allemagne de l'est d'antan, à l'exemple de Madame Merkel.

    P1030026.JPGCe qui veut dire que ces anciens pays de l'est ont conservé un verni intellectuel suffisant pour agir au mieux lors d'une catastrophe, telle que la pandémie au COVID-19 qui sévit actuellement, ce qui n'est plus du tout notre cas en ce qui concerne notre pauvre état profond qui, à l'exemple de ce qu'est Macron, à touché le bas-fond intellectuel.

    Lors, il est de fait que, comme il en fut auparavant en France quand nous étions dominés par l'empire US, la Germanie a besoin d'imbéciles pour diriger l'UE puisque des personnes trop intelligentes ne leur obéiraient pas.

    De plus, la particularité du totalitarisme de l'union-européenne et de tous ceux qui en sont les adeptes au plus haut des sociétés, de celle française notamment, contrairement à la majorité des tyrannies qui ont traversées l'histoire, c'est qu'elle est composée certes d'incompétents notoires, ce qui est naturel parce que logique, je l'ai dit plus haut, mais surtout de gens autant lâches qu'hypocrites.

    Il est perceptible qu'aucune décision prise n'est assumée par celui qui la prend et que, en France, aucune personnalité de la vie publique ne parle de l'Union-européenne sauf d'une impossible réforme, en un ensemble, réel et absolu tabou, sauf les journalistes pour tenter de cacher les vrais responsables de la débâcle politique du pays, le gouvernement français, il est vrai, mais provenant de leur obéissance crasse à l'administration unioniste et à la Germanie.P1020279.JPG

    Tous les agents de l'UE, ses fonctionnaires, du plus petit jusqu'au plus grand, quasiment tous les élus de l'assemblée européenne, camouflent la réalité écrasante de leurs responsabilités pleines et entières de ce qu'il se passe en France, en Italie, en Espagne, au Portugal, en Grèce et ailleurs, ils se cachent tous derrière les gouvernements de ces états respectifs, parce que ce sont des pleutres au dernier niveau.

    Ils ne sont tous composés que de poltrons laissant le soin à d'autres d'obéir à leur décisions iniques: il y en a-t-il un seul qui, venant sur les plateaux de télévision, aurait le courage d'annoncer pour la soixantième fois qu'il faudra réduire les subsides des hôpitaux français, que les GOPE nous seraient bénéfiques?

    Aucun, ce ne sont tous que d'abjectes pleutres n'osant jamais assumer leurs décisions, que de simplement penser cela ils en feraient dans leur froc.

    Certes, le XIX° et XX° siècles furent traversés par moult régimes despotiques , mais tous ses gouvernants, mêmes les pires, firent au moins preuve du courage de leurs décisions, les assumèrent (sauf en ce qui concerne, cela est à remarquer, le plus haut de la hiérarchie hitlérienne lors de leur jugement, la guerre achevée, face aux alliés).

    Napoléon III, même s'il était très loin d'être un génie, n'en fut pas moins de participer à la guerre de 1870 au risque de se faire tuer lors des batailles, en P1020168.JPGassumant son rôle.

    Qui dans l'UE oserait d'agir de même, hormis Madame Von Der Leyen qui a bredouillé de petites excuses, de simples et minuscules regrets, en un minimum syndical en quelques sortes, de n'avoir pas agit avec célérité à l'endroit de l'Italie dès le début de cette pandémie, mais si elle l'a fait ce n'est que dans sa crainte que cette inaction ne conduise cette nation à quitter l'union, et non pas en raison de la reconnaissance de sa crétine inaction, de sa vaste sottise, raison pour laquelle elle a été désignée à ce poste d'ailleurs.

    Peut-être même en a-t-elle été forcé par le gouvernement allemand, Mme. Merkel lui ayant, en ce cas, passé un solide savon, puisque elle n'était pas en capacité de comprendre par elle-même les dangers que représentait cette aphasie mentale.

     

    Bruno Retailleau, député de son état, à affirmé, serait-ce qu'une hypothèse de travail (?), qu'à cause de notre retard au déconfinement de la population par rapport à celle de nos voisins, sûrement faisait-il mention de ceux de l'union, les gens devraient travailler 37 heures.

    Faisant remarquer que nous ne serons pas prêts pour cela, le gouvernement manquant de stratégie, ce qui est un doux euphémisme, et qu'une relance économique au plus tôt serait primordiale, rajoutant que l'état sanitaire de la population est lié à celui de l'économie.P1010743.JPG

    Ce bon monsieur oublie quelques moindres détailles :

    1. Faire une relance au sein de l'UE ne peut qu'être illusoire en raison des concurrences salariale qui y règne et de nos béances frontalières ;

    2. Il eût été plus efficace qu'il remarque ce manque de stratégie gouvernemental dès le début de cette crise en en faisant scandale ;

    3. Une dette a la valeur de la monnaie avec laquelle elle à été contractée, or quasiment toutes furent tant produites qu'elles en n'ont plus, ou d'infime, puisque la valeur d'une monnaie est égal à la richesse du pays émetteur, ceci au regard de sa production ;

    4. Il est député, dès lors il serait de sa fonction de faire des propositions au pouvoir exécutif, que n'a-t-il fait depuis le début de cette pandémie ?

    5. Enfin, lui aussi ne parle aucunement de l'Union-européenne et des GOPE, à croire que ce monsieur ne sait même pas qu'elles existent.

    6. C'est ce tabou qui est vicieux et malsain, parce qu'il ne peut que nous P1020914.JPGmontrer, même de la part, et ils sont nombreux, de ceux qui disent vouloir la réformer, que la véritable, la prioritaire raison de leurs échecs à tous provient du fait que nous y soyons inféodés.

    Et que si les électeurs se détournent d'eux c'est parce qu'ils sont coincés entre l'union qui leur demande des actions et décisions nuisibles et leur croyance en ses aspects illusoirement bénéfiques.  )

     

    L'erreur des tyrans c'est de croire que leur pouvoir pourrait compenser leur bêtise constitutive par la violence, la censure et la propagande qu'ils exercent sur leur peuple.

  • Considérations diverses.

    Bonjour chers lecteurs,

    C'est vrai, je ne vous avais jamais présenté mes salutations auparavant en entête des billets, je vais m'essayer de perpétuer cela, ce sera plus accueillant.

    Ici j'ai réuni 14 23 textes et vidéos que je commenterai, certains me paraissant appuyer certaines idées que je développe depuis, pour certaines, longtemps.

                                                         ______________________

    Il ne peut qu'être plaisant pour chacun d'entre-nous d'avoir confirmation d'une hypothèse.

    Ainsi  je n'ai eu que de cesse d'affirmer que, comme l'URSS, l'UE ne peut pas être réformée et, ce, pour des raisons semblables.

    Bien que cela soit d'évidence en ce qui concerne l'union puisqu'il faut l'accord deP1040862.JPG tous les gouvernements et des parlements des pays la composant pour faire évoluer la moindre virgule des traités, qu'elle est dès lors triplement verrouillée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, je n'avais pas de preuve en ce qu'il en fut de l'Union-Soviétique, n'en ayant qu'une approche intuitive.

    Or, le journal internet Sputnik, le 5/7/2020, sous le titre: "Poutine explique quelle bombe à retardement contenait la constitution de l'URSS", venait me confirmer ce que je pressentais, l'URSS était, elle aussi, pareillement triplement verrouillée.

    Vous y remarquerez cette phrase du président russe: " Lorsque il [le parti communiste, ndlr] a commencé à se disloquer de l’intérieur, sans aucun impact extérieur, le pays a commencé à lui emboîter le pas. "

    Ceci venant en écho au paragraphe suivant.

                                                          _____________________

    La différence entre l'Union-européenne et l'Union-Soviétique se trouve en ce que la première fut créé à sortie de la seconde guerre mondiale par un empire thassocratique en expansion, les USA, quand la seconde fut la résultante, en 1921, d'une révolution, dite d'Octobre ou bolchevique, ayant eu lieu en 1917 par son propre peuple, suite aux dégâts due à la guerre 14/18 en Russie et des pénuries qui les accompagnèrent.

    Notre union est donc une créature US et la France en son sein est à l'image de ce que fut le Vietnam au-dedans de l'Indochine de l'empire français d'alors.

    ( Suivant toujours les ordres donnés par nos bons maîtres, la preuve du suivisme grandement naïf de nos censément dirigeants, en belle obéissance aux étasuniens voulant renverser le gouvernement du Venezuela. )

    Or, dès son début, vers 1948 ce me semble, ce fut ce qui était alors l'Allemagne-de-l'Ouest qui, choisie par les USA, en devint son nœud géopolitique stabilisant.

    P1050025.JPGDès lors que ledit empire thalassocratique US montra de grandes faiblesses dès le début du XXI° siècle, la Germanie prit progressivement l'ascendant sur l'union à mesure de cet affaiblissement.

    Le fait dès lors que Madame Merkel déclare que: "L'Europe doit considérer une nouvelle réalité sans leadership US...", puis que Gerhard Schröder, ancien chancelier allemand (premier ministre), en vienne à défendre le projet Nord Stream 2, soit la pose d'un gazoduc de Russie jusqu'en l'Allemagne, réactions allant à l'encontre d'un projet de loi étasunien pour de nouvelles sanctions portés pour contrer son installation (vous en trouverez l'explication dans le site d'Observatus Politicus: Chronique du grand jeu);

    Alors cela ne peut que vouloir dire que, désormais, un conflit ouvert, bien que discret, ne peut que s'être désormais mis en place entre les USA et la Germanie.

    D'ailleurs même certains de nos voisins d'outre-Rhin envisagent la disparition de l'union.

    Quand, dans le même temps, l'Italie commence à sérieusement regimber face aux velléités de dominations germaniques.

    La fragilité tant politique qu'économique de la France nous mettant, alors, au centreP1040599.JPG dudit conflit sous forme de processus de déstabilisation, puisque sans notre pays l'union ne peut survivre, au même titre que sans la Pologne le pacte de Varsovie ne pouvait perdurer.

    Il est en effet possible d'imaginer que quelques pays de l'union, telle que ladite Pologne, demeurent en lieu et place sous la domination US, l'UE ayant disparu.

    Cela présageant aussi la possible tentative d'éclatement de l'Allemagne par l'imperium.

    Cette fragilité française étant le thème prochain de ce billet.

                                                            ___________________

    De ceux qui se devraient être les élites de la nation semble perdre toute raison.

    Il en est quelques exemples croquignolets.

    Messieurs Aphatie à "Valeur Actuelle" & Ayrault au "Monde", ainsi que Madame Traoré paraîtraient  facilement être manipulés par l'état profond US dont le but serait, en ce cas, de faire monter le terrorisme d'extrême droite, auxquels les étasuniens se sont déjà allié, en Ukraine et dans certains pays baltes par exemple.

    Les deux premiers font à l'évidence de l'anachronisme autant sentencieux  que consciencieux et sous ordre, grâce à deux journaux qui, cela est à signaler, appartiennent à des oligarques français, de mêmes naïfs tout aussi obéissants

    Si en effet nos hommes d'état d'antan faisaient preuve de racisme, alors savent-ils, tous ces braves gens, ce que leurs ancêtres pensaient des personnes différentes d'eux, africains, asiatiques, voire allemands ou polonais?

    P1040584.JPGSûrement était-ce la même chose que ce qu'il en fut de nos figures tutélaires, alors, ne se devraient-ils pas de se couvrir la tête de cendre et de se mettre à genou, les mains jointes, en signe de repentance?

    La troisième a reçu un prix oligarchique de notre bon maître.

    Je fus surpris de la remarque de Roselyne Bachelot, elle qui, au début de la crise pandémique avait raconté qu'elle avait de la rage au sujet du manque de masque et qui, aujourd'hui, dit que le pays, visant essentiellement les équipes soignantes hospitalières, était infantilisé, ne sachant se débrouiller pour remplacer le matériel médical manquant.

    Mais quelle est donc cette mouche qui l'aurait ainsi piquée?

    Répétant à l'envie qu'au grand jamais elle ne referait de politique et, ce, depuis 2012, la revoici aujourd'hui, allant rechercher son petit coin ministérielle, de la culture, autre temps, autre mœurs.

    Qu'il y aurait-il de mieux pour elle que de fustiger ainsi médecins, infirmières et aides-médicales pour montrer toute sa soumission au président et au premier ministre?

    Ce même gouvernement ou, du-moins, le précédent, cela risque de ne pas changer pas grand chose, offre nos données médicales à Microsoft, ce qui démonte encore  une fois cette faiblesse à tous.P1040671.JPG

    Mieux encore de ces égarements, ne voila t'y pas que la marque Loréal a décidé de retirer les mots tels que blanc, blanchissant et clair de ses cosmétiques, sûrement provenant de communicants dont on se demande ce qu'ils font à leur poste, qui croyaient ainsi naviguer sur la mode des français tous racistes.

    Vulgarité de cette médiocre intelligentsia française publicitaire, ces gens ne se sont pas rendu compte que cela mettait beaucoup de personnes en colère.

    Un certain Vikash Dhorasoo, footballeur de son état, dénonce la colonisation, ce qui serait certes heureux s'il s'agissait de celle moderne de l'Europe par les Etats-Unis-d'Amérique qu'il doit adoré, sait-il, notre sportif, que les indiens vinrent dans les département et territoires d'outre-mer librement, pour y suppléer au manque de main-d'oeuvre?

    Ses parents et grands-parent n'ayant jamais été colonisés, ou si, ces derniers par les britanniques, lui veut remplacer les statues des colonisateurs par celles de Zidane et Mbappé, où l'on peut percevoir son niveau de jugeote.

    Au fait, à  combien remonte sa fortune d'avoir joué toute sa vie à la balle et combien gagne une infirmière?

    Et son peuple originel ont-il ou non été des envahisseurs d'autres peuples par le passé, des colonisateurs?

    A ces faillites suivent d'autres, les fils et filles de  classes-moyennes supérieures, écolos gnangnans, faisant manifestation interdite pour le climat, sans être tabassés contrairement aux gilettistes, même s'ils bloquent la rue, au moment où ce qui chauffe le plus et est le plus pollué ce sont les esprits?

                                                                _________________

    Voici une autre confirmation, celle de mon hypothèse d'une compulsion de répétition collective centrée sur la seconde guerre mondiale: "Les américains vont débarquer à la Rochelle..." titre Sputnik.

    Quelle qu'en soit les raisons et quand bien même serait-ce pour se rendre en Pologne, toujours est-il que les USA débarquent en France plutôt qu'en tout autre port plus au nord qui aurait pu très bien les accueillir.

    Cela ne faisant qu'accroître le coût de ce débarquement, n'est-il pas?

  • États-Unis-d'Amérique, une fin impériale.

    Je viens de découvrir ce site par le renvoi d'un commentateur de "chronique du grand jeu" à ce texte où "Poutine annonce une confrontation globale avec les Etats-Unis".

    Certes, celui-ci est pro-russe, pourquoi n'y en aurait-il pas puisque la glose euro-atlantiste se déverse chaque jour partout et tout le temps en France (ça me fais me souvenir de quand, enfant, je voyais mon père, communiste, allumer de poste de radio à lampe pour écouter radio-Moscou sur les ondes courtes).

    Il est toutefois de constater combien il est regrettable qu'en notre beau pays il faille, pour trouver à s'informer, de chercher des traductions provenant de Russie, d'ailleurs, voire même des Etasunis.

    Nos oligarques auraient-ils tant peur des français qu'ils entourent à tel point les médiats d'un si puissant halo de censure et de propagande?

    Ce billet, que je vous conseillerais de lire, est des plus intéressant.P1020011.JPG

    Si Mr. Poutine se permet d'être agressif face aux U.S.A. c'est qu'il sait la situation réelle de cette nation, qui ne peut qu'être que grandement catastrophique, ne pouvant plus avoir les capacités de sa politique.

    Ou dit autrement,  Tonton Sam est dans un état de faiblesse tel que tout ce qu'il peut faire ce sont des gesticulations inutiles.

    Soit dit en passant, si les eurolâtres lui obéissent encore ce n'est pas tant parce qu'ils l'aiment ou le craignent, mais juste qu'ils savent très bien que sa disparition signera inéluctablement la leur, c'est aussi simple que ça.

    C'est pourquoi la bande à Macron lui vend à tout vent la moindre de nos richesses industrielles et que les fameuses économies ne sont faites que pour soutenir notre vilain oncle en envoyant tout ce fric à Wall Street et non pas pour composer une armée européenne dont les langues sont pléthores et cadres plutôt rares.

    En me référant à mon hypothèse d'un effondrement des U.S.A. suivant, en un miroir inversé, celui de l'U.R.S.S. en 1991, cette agressivité à l'endroit de cet empire ultime, que certains disent avec raison hégémonique, annonce sa fin prochaine: Gorbatchev recherchait un accord de paix avec Reagan quand, aujourd'hui, Trump ne peut qu'être que dans un rapport de force avec Poutine, son oligarchie ne lui en laissant P1020124.JPGpas le choix.

    Il serait dès lors logique de penser que, si la-dite hypothèse se montre être une théorie, ce seront les États-Unis-d'Amérique qui disparaîtrons les premiers et qu'ensuite l'Union-européenne se délitera, à l'inverse de ce que fut la dissolution du pacte de Varsovie précédant l'abrogation de l'Union-Soviétique.

    De même, autant ce fut le président soviétique qui voulait que son union se débarrassât des pays dits de l'est, ne pouvant plus les soutenir financièrement, autant le président U.S. veut conserver l'U .E. en corsetant l'Allemagne (d'où les nominations d'allemands pro-U.S. à la direction économique et politique de l'union)  le temps pour lui de piller le peu de richesse y subsistant encore.

    (   Ce que j'écris là étant en désaccord d'avec ce que j'affirmais précédemment, mes approches évoluant au fur et à mesure des informations qui me parviennent.   )

    Si nous poursuivons cette réflexion dans sa logique, autant ce fut l'anéantissement des liens politiques et économiques entre les nations du  bloc de l'est qui fit s'évanouir leurs accords militaires, autant il est à présager que ce sera l'effacement de l'O.T.A.N. qui mènera à celui de l'U.E ou, du-moins, qui la précèdera.

    De la même manière, s'il fut déclaré la fin de l'U.R.S.S. lors de la prise de pouvoir de Mr. Eltsine, nous ne ferons qu'observer l'absence de fait des U.S.A. sans queP1020504.JPG quiconque n'en fasse, sur le moment, mentions.

    Cela sera précédé soit du début d'une guerre civile, de l'effondrement de Wall Street ou d'un coup d'état, le premier scenario me paraissant le plus logique.

    Je pense que ce sera le silence politique provenant d'outre-Atlantique et d'un affolement visible des équipes gouvernementales européennes qui sera, pour nous, le signe infaillible que ce délitement des E.U.A. aura atteint le niveau où sa disparition ne sera plus qu'une question de temps, ce qui est déjà vrai par ailleurs mais n'est pas encore en voie d'accomplissement.

    Mais cela ne reste qu'un ensemble hypothétique puisqu'il me faudrait infiniment plus d'informations que le peu que j'ai à ma disposition pour pouvoir concevoir un scenario logique quand au destin des U.S.A. et dès lors de l'U.E..

    Toutefois il serait logique de penser que, comme dans le bloc de l'est défunt, désormais le mensonge à tous les étages soit de mise, et qu'autant le gouvernement et les médiats nous mentent effrontément, autant les informations qui leur parviennent sont au mieux restreintes, au pire totalement fausses.

    Ainsi est-il possible d'imaginer que les banques cachent (pour une large?)  partie leurs faiblesses tout en faisant pression pour que ne soit pas révélé l'état déjà préoccupant de ce qu'elles en annoncent.

    P1000853.JPGOu que les services de renseignement intérieur ne transmettent pas l'entièreté de l'état d'esprit de la population, voire le tait.

    La raison en est simple à comprendre, si un chef de service veut que le rapport fourni par ses agents lui soit favorable, il amoindrira l'étendue de la colère populaire, rapport lui-même atténué par son supérieur et que, de hiérarchie en hiérarchie, les renseignements en soient tellement transformés que cela n'ait plus rien à voir avec la réalité.

    D'où les surprises de tous lors de l'apparition des gilettistes.

    Ce phénomène ne pouvant que, plus ou moins, s'être étendu à l'ensemble de l'Union-Européenne, mais, surtout, de ne fournir à l'administration de  notre union chérie que des indications absolument infondées puisque le plus haut de cette hiérarchie... c'est l'U.E. et que les gouvernements des états n'y agissent plus que comme de petits chefs de service.

    Désormais, tout comme il doit en être aux U.S.A., plus aucun décideur ne sait ce qu'il se passe réellement dans les pays de l'U.E., même les statistiques doivent y être faux ou tus, et il n'est que les réactions populaires pour en faire paraître la vrai substance.

    Le vidéonet sera bientôt censuré, ce qui cachera d'autant plus la réelle réactivité de la population.

    Les U.S.A. et l'U .E. sont toutes deux intimement liées comme il en fut de l'Union-P1020186.JPGSoviétique et de ses satellites, pareil que dans les années 80 du coté de l'est, l'ouest d'aujourd'hui se désagrège sous les coups de butoir des médiocres qui nous gouvernent, et le dernier des réformateurs impériaux, Gorbatchev il y a quarante ans en U.R.S.S., Trump aux U.S.A. présentement, héritent d'une situation plus que misérable, funeste.

    Le premier cherchait à faire redémarrer une économie exsangue et à ce que cessât la course aux armements, il à échoué, le second tente de réindustrialiser son pays à tous prix, même une guerre de grande ampleur, ce que pronostique certains, ne peut améliorer sa situation et il le sait, pour lui cela ne ferait qu'empirer la conjoncture de son pays.

    Il échouera aussi inéluctablement.

    Autant pour le premier ça s'était fini dans une relative paix, autant pour le second il est à craindre qu'un conflit intérieur en souligne la fin.

    S'il m'était donné de passer ici un conseil pour tous les français expatriés outre-atlantique, rentrez chez-vous, quand bien même ici ce sera dure, là-bas ça n'en sera que plus sévère!

     

     

    P1010594.JPGTHEURIC

  • Nouvelles idées éparses.

    L'évolution de la société des hommes est mue, aujourd'hui, d'une accélération vertigineuse, jusqu'à la psychologie de chacun qui est en proie à des modifications constantes au gré des événements et suivant les variations incessantes de ce champs idéologique néolibéral qu'il me fut loisir de déjà vous entretenir de nombreuses fois.

    Il m'est donc nécessaire de continuellement redéfinir un certain nombre de mes prévisions, la désindustrialisation mondiale comme amorce du prochain effondrement économique est de celles-là, moi qui auparavant pensais que ce serait l'effondrement soudain de tout le système financier qui déterminerait celui-ci.

    Quoi qu'il en soit, ce blogue a pour but, pour l'essentiel, de prévenir des effets désastreux qu'un effondrement économique universel produirait, fait futur qui est, pour moi, d'une certitude absolu, ce qui plongera les pays et les peuples dans les pires des difficultés.

    Maintenant nous arrivons à la phase finale de ce processus et, comme c'est chaque fois le cas lorsqu'une doctrine soutenant une structure socialo-politique est sur le point de disparaître, celle-là tend à entrainer ses acteurs dans l’excès et l'outrance.

    Je vais donc continuer ici ce travail ayant principalement une base intuitive ayant de socle les diverses informations qu'il m'est loisir de glaner çà et là.

    Quoi qu'il en soit, il est d'évidence que je ne peux me prévaloir d'une absolue exactitude, qui le peut, il est même probable que notre situation future soit meilleurs ou pire que ce que je pourrais envisager.

    Comme d'habitude, je vous propose un ensemble de textes disparates sur des thèmes qui, bien que de sujets différents, ont, de point d'appui, l'idée centrale exposée plus haut.

     

    Quand la colère passe:

     

    Il est vrai que dans mon texte précédent j'ai laissé passer quelques irritations et cette colère m'empêcha d'avoir une réflexion posée sur la réalité de notre époque et, surtout, sur l'Union-Européenne et les États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, le fait que, dès Novembre, Décembre l'assemblée grecque, le Vouli, ait ainsi démissionné quand nous-mêmes pouvions déjà savoir, par le matraquage médiatique, que le parti Syriza, qui est, réellement, de centre-gauche, était en tête dans les sondages, pouvait laisser entrapercevoir une manipulation.

    Je suis toujours agacé lorsque je m'aperçois avoir été berné et je le fus, comme nous tous!

    Tout le monde a suivi, jour après jour, les négociations haletantes entre le gouvernement grec et la troïka (quelle drôle d'idée journalistique d'affubler ainsi d'un terme russe l'association du F.M.I, de la B.C.E. et l'U.E. quand cette dernière se fait parfois appeler du sobriquet d'U.E.R.S.S., inconscient, inconscient, quand tu nous tient).

    Chacun connaît, également, comment cela s'est conclu, il n'est pas besoin que j'y revienne.

    D'autant plus que mon propos serait, ici, de m'essayer de découvrir l'écheveau complexe de cette histoire, d'y montrer les soubassements, du-moins tels que je les perçois.

    A y regarder de près, en effet, la défaite en rase campagne de ce gouvernement, du parti Syriza et de Messieurs Tsipras et Varoufakis ne fut en réalité, pour les vainqueurs, qu'une victoire à la Pyrrhus, et, de plus, il est probable que ce ne fut qu'une ultime tentative pour contrôler des peuples européens les abhorrant de plus en plus en une manœuvre ayant pour but, au premier regard, de discréditer toute tentative, pour un gouvernement, de sortir de la zone euro.

    Au vu de la glorieuse équipe de bras cassés gouvernant l'U.E. et la majorité des pays la composant, en contemplant les actions passées et présentes d'un Monsieur junker, ô combien représentatif des élites de notre époque, nous pouvons, avec raison, ne pas nous étonner que ce plan, si magistralement exécuté par tous les acteurs européens et du Fond Monétaire International, aura à terme des effets dévastateurs sur notre union.

    Ont-ils envisagés tous les effets que peuvent causer leurs tripatouillages?

    Tout simplement pas.

    Les partis politiques européens et leurs électeurs, comme le Front de Gauche, doutant déjà réellement de la validité des décisions économiques et politiques dictées par l'Eurogroupe, l'Allemagne et l'administration européenne, mais voulant tout de même rester dans la zone euro et dans l'Union-Européenne pour en amender le caractère néolibéral, ne peuvent plus, désormais, que se radicaliser en voulant définitivement rompre avec l'européenne union et sa monnaie.

    Se rendant compte des conséquences désastreuses de la lutte à mort qu'avait entrepris l'Eurogroupe et la troïka contre l'exécutif grec et sa population, ils ne peuvent plus désormais que parvenir à la conclusion que le blocage idéologique, institutionnel et politique de l'Union-Européenne la rend irréformable.

    Ne reste plus, dès lors, qu'un seul choix, celui d'en sortir.

    Les populations ne peuvent pas être en reste et, d'une manière ou d'une autre, elles ont compris, de par l'exemple grec, quel piège infernal représente l'euro et l'Union-Européenne.

    Pour tous ceux qui nous gouverne, ce qu'il vient de se passer chez les Hellènes les sépare encore plus d'électeurs déjà sur la défensive, leur victoire ne fut qu'une défaite.

     

    Petits détour géostratégiques:

     

     Pendant que les U.S.A. se désagrège jour après jour un peu plus, que l'Allemagne se suicide de ses vieux en emportant avec elle l'Union-Européenne, la France, elle, s'avance tout doucement au Moyen-Orient et partout ailleurs.

    C'est vrai, ce n'est pas la panacée, il n'y a pas, dans ces petits pas, de flamboyance ni de distinction, tout est discrétions, calmes et pondérations.

    Une base française se trouve au Qatar, pourquoi ne pas signer des accords seulement économique avec l'Iran, les américains le font bien, et puis, où se trouve donc notre premier intérêt, dans la péninsule arabique ou dans ce verrou centrale qu'est l'ancienne perse?.

    Et qui a demandé aux égyptiens et aux indiens de commander des avions rafales, les étasuniens ou les russes?

    Ah, les Mistrals, pour qui sont-ils les plus utiles, pour la Russie ou pour la France?

     

    Pour qui jette un œil sur notre monde ne peut que contempler l'affaiblissement continu de l'empire U.S.

    -son dollar se dilue à vue d'avoir trop été édités, en même temps que les pays du monde de désolidarisent de sa monnaie;

    -son président, après avoir bredouillé une supplique aux européens de ne pas trop fragiliser la Grèce, accourt à leurs appels pour la contraindre de suivre leurs mortelles servitudes;

    -la Turquie, centre névralgique de l'O.T.A.N. n'en fait plus qu'à sa tête;

    -Israël, allié de toujours, comprend la faiblesse tragique de son mentor et commence, doucement, à changer sa vision des choses, elle ne peut plus se permettre que des juifs extrémistes la mettent en danger;

    - la Californie se désertifie d'avoir trop pompé ses nappes phréatiques, ses fleuves et ses lacs, ses pluies s'éloignent et ses forêts flambent d'arbres ne trouvant plus leurs eaux en profondeur;

    - partout, les puits de pétrole et de gaz schisteux s'assèchent, comme s'assèchent les banques qui ont trop prêté aux mêmes, mais aussi aux étudiants, aux villes, aux états, pour des achats immobilier et pour tant d'autres choses encore.

     

    La Russie, mais ne le dites à personne, se trouve en position dominante dans le monde et l'est européen lorgne sur ce géant et lui  jurerait bien allégeance si Dame Merkel ne le vrillait pas d'un regard sourcilleux.

    Les russes désireraient-ils pas que disparaisse cette Union-Européenne délirante et dangereuse?

     

    L'Angleterre, pauvre Angleterre qui tente désespérément de se réindustrialiser, devenue efflanquée d'avoir voulu trop bien suivre les délires thatchériens, encore aujourd'hui, si les bourses meurt elle vivra sa famine...

     

    L'Europe du Sud attend son leadeur, scrute la France et attend...

     

    La Chine et l'Inde commencent à se dévisager, ce n'est pas encore la mésentente cordiale, cela viendra à son heure, l'empire U.S., enfin, ce qu'il en reste, devenu l'ennemi commun, bouge toujours en faisant craindre le pire, rien de mieux que de partager un ennemi pour avoir un moment de paix.

     

    Au Proche-Orient, chacun attend que l'empire U.S. expire pour faire parler la poudre, entre temps, les vieilles rivalités se réveillent, entre sunnites et chiites, turques et séoudiens, turque et iraniens, iraniens et séoudiens (et Israël commence à serrer des fesses), les kurdes, quand à eux, patientent le bon moment pour enfin avoir une terre à eux, et les petits pays, Qatar, Koweit et autres, pendant ce temps, tremblent, quand aux fondamentalistes religieux, ils seront balayés par ces tourmentes.

     

    Le centre des événements futurs se trouvera en Égypte, détentrice du canal de Suez, c'est là que se portera tout le poids des desseins et enjeux géostratégiques, entre l'Afrique, l'Asie et l'Europe, l'Atlantique et le Pacifique, ce pays sera bientôt la clef et le verrou ultime des puissances.

    Le canal de Panama, pas encore agrandi, est bordé par l'archipel des Antilles, bientôt la chasse gardée des sud-européens et des russes, à Cuba, sans compter le brésil, l'une des puissances montantes.

     

    Voyage au bout de l'univers:

     

    Je ne rêve pas de parcourir les mondes lointains tant au-delà de notre soleil mais sais que seul ces voyages au long-cours offriront à Homo Sapiens Sapiens l'immensité dont il a besoin pour s'épanouir (j'aimerais toutefois visiter la banlieue de Saturne et ses anneaux).

    Il est vrai qu'un bon nombre de nos congénères restera sur notre si belle planète mais tant d'autres partiront.

    Il se dit que la vitesse de la lumière ne peut se dépasser, il y a deux siècles était affirmé la même chose des cent kilomètre/heure, puis il en fut de même pour la vitesse du son, et puis, tant de mystères demeurent, comme peuvent l'être l'énergie sombre et la matière noire.

    Que nous manque-t-il?

    En vrai, pas grand chose, quelques découvertes fondamentales en science physique, de solides avancées technologiques, une volonté politique inébranlable, un coût moindre pour se délivrer de l'attraction terrestre, les fusées, en effet, sont trop chères et sont parvenus au maximum de leur puissance depuis déjà soixante ans, et puis, quelques zigotos pour faire les premiers pas.

    Ensuite, l'intendance suivra...

     

    La faillite universelle:

     

     

    Encore une fois je vais me pencher sur son évolution possible.

    La désindustrialisation a un petit peu infléchit sa courbe, les graphiques de l'I.N.S.E.E. s'étant développés jusqu'en Juin montrerait un renchérissement des prix des matières premières dès Avril.

    Le plus amusant c'est que des usines chinoises ferment chez elles et s'installent dans les Amériques, les paies, dans leur pays, y étant plus importantes que celles des étasuniens.

    C'est loin l'Amérique? Tais-toi et rames!

    Mais il est vrai que la Chine voit ses bulles spéculatives imploser, son gouvernement finira bien par calmer l'affolement, pour l'instant.

    Ce n'est juste qu'une répétition, nous avons encore quelques semaines à quelques mois devant nous, et si nous avions encore une année à attendre.

    C'est qu'il faudrait bien que l'U.E.€ et ses folies disparaissent au plus tôt, ils nous mettent dans la mouise, tous ces hurluberlus d'eurolâtres.

    Alors, ce qui est encore fabriqué dans le monde est-il et sera-t-il vendu ou restera-t-il dans les entrepôts?

    Vas savoir avec le peu d'information à notre disposition.

    J'ai l'impression que ce début de délitement marque un temps d'arrêt, mais il reprendra, quand il l'aura décidé, personne ne connait son tempo.

    Ensuite, quand les choses sérieuses commenceront, comme je l'ai déjà écrit, le signe en sera le vide grandissant de nos grands magasins, non pas de la nourriture mais plutôt des vêtements et de l'électroménager.

    Puis la Chine jouera aux bulles de savon s'échappant au gré du vent puis disparaissant d'un plop, ce qui sera accompagné d'un bel affolement là-bas.

    Après la Chine, les U.S.A., et dès que ce pays sera touché ça ira très vite.

    Le dollar s'effondrant, peut-être bien que l'euro montera jusqu'à des hauteurs jamais atteintes, ce qui sera faux, l'euro ne montera pas, seul le dollar s'effondrera, accompagné par le yen.

    De-ci, de-là, les informations nous conteront comment un trader fit perdre une fortune à une banqu

  • Nouvelle réflexions sur le temps présent.

    Le processus de désagrégation économique suis son cours et la politique reprend difficilement ses droits, entre autre en Union-Européenne.

    L'économisme échevelé, en une bête blessée à mort, rue et mord quiconque paraît lui barrer la route de sa survie.

    L'U.E. en rajoute chaque jour un peu plus pour se faire détester.

    Le gouvernement U.S. et Wall Street voient s'agrandir toujours plus le gouffre de leur décrépitude.

    Les B.R.I.C.A., souffrant de la faillite mondialisée, commencent à prendre leur place dedans un empire étasunien en déliquescence, comme au Proche-Orient.

    Alors, allons y voir.

     

    P1000445.JPG

    Deux faits majeurs doivent dorénavant être pris en compte pour celui voulant comprendre la dynamique historique en cours:

    -La faiblesse des États-Unis-d'Amérique est aujourd'hui patente et s'accentue continuellement;

    -Le système économie globalisé se fragilise au même rythme et s'approche toujours plus de son effondrement.

    Les E.U.A. montrent, en effet, depuis le début de la crise ukrainienne (qui était passée rapidement à une guerre civile), puis de la forte prise de position de la Russie en Syrie, qu'ils n'ont plus la puissance nécessaire pour être hégémonique.

    Militaire, certes, mais aussi économique et politique, cette faiblesse ne peut qu'être visible pour tous ceux sachant s'écarter de l'américanolâtrie de notre époque.

    Pour en comprendre la juste dimension, ici seulement politique, je vous propose l'extrait d'un texte de Dmitri Orlov, traduit de l'anglo-américain puis publié sur le site de Monsieur Berruyer ( http://www.les-crises.fr/lempire-le-plus-bete-du-monde-par-dmitri-orlov/ ) et appuyant mon propos:

    "Il est difficile de l’admettre, mais tout semble possible à présent. Ainsi, les États-Unis semblent ne plus avoir la moindre politique étrangère : la Maison Blanche dit une chose, le Département d’État une autre, le Pentagone une troisième ; Samantha Power, à l’ONU, fait sa propre politique étrangère viaP1000621.JPG Twitter, et le sénateur John McCain veut armer les rebelles syriens pour qu’ils descendent les avions russes (Tous les cinq ? Ne sois pas stupide, John !). En réaction face à une telle confusion, les hommes politiques à la botte des États-Unis dans l’Union Européenne commencent à s’agiter de façon incontrôlable et ne respectent plus le scénario, pour la bonne raison que le centre nerveux à Washington ne leur envoie plus de signes cohérents."

    Cette confusion du gouvernement étasunien est logique et tient en ce que celui-ci n'a plus, maintenant, ni légitimité, ni pouvoir, puisque lui-même est sous la férule des banques, fonds d'investissement et autre Wall Street.

    Cela a conduit, depuis sûrement longtemps, à la perte progressive d'influence et de contrôle du président Obama sur l'ensemble de ses administrations et ministères, chacun prenant son indépendance suivant les seuls intérêts et idéologies des groupes ou des individualités, tout en tentant de prendre l'ascendance sur les autres.

    Bien sûr, le dernier bastion, la dernière colonie américaine, l'Union-Européenne, ne peut qu'être perturbé par cet état de fait, d'où la double tentative de domination sur celle-ci, là encore logique, du bureau européen, d'une part, et de L'eurogroupe ainsi que de la B.C.E., tous deux assujettis à l'Allemagne, d'autre part.

    Sans compter sur le F.M.I. qui, lui aussi, s'écarte au même rythme de l'autorité U.S..

    Il est à noter que la F.E.D., la banque centrale étasunienne, et sa directrice, Madame Yellen, sembleraient, eux aussi, être en proie aux plus grandes confusions, ne sachant plus quelle stratégie adopter pour redresser la déplorable situation de l'économie réelle de leur pays, sachant que plutôt que des 5, 5% de chômeurs annoncés, le chiffre s'établirait, plutôt, entre 13 et 23%, ceci sans considérer la faiblesse des émoluments de ceux ayant un emploi et de la disparition dramatique des usines et fabriques.

    Le monceau de crédits de toutes sortes, immobiliers, des producteurs de gaz et pétrole de schiste, aux étudiants, par exemple, accentue cette fragilité, il en est de même de l'immense fabrication de monnaies lui faisant perdre toute valeur, ainsi que des bulles spéculatives boursière, comme celle dite des technologies ou de l'incroyable monté de Wall Street, bien au-delà du ciel, ne pouvant que conduire les U.S.A., à terme, à leur ruine, infailliblement définitive.

    Militairement aussi la situation de ce pays est déplorable et l'injection massive d'argent (de singe) dans le complexe militaro-industriel n'y change rien: plusieurs fois la Russie a montré à tous une puissance technologique qui lui est bien supérieur, que ce soit en mer Noire ou en Syrie et, ce, grâce à des crédits infiniment inférieurs.

    Tout cela ne pourra qu'avoir des effets centrifuges sur ses états qui, d'une manière ou d'une autre, ne peuvent que prendre leur indépendance du gouvernement fédéral et conduire les U.S.A., soit à leur partition, soit à une guerre civile.

    Pour finir sur ce sujet, les tensions dites raciales dont nous avons tous entendu parler dans les médiats, des dissensions religieuses que nous pourrions très bien deviner au regard de cette situation catastrophique, des mouvements ouP1000627.JPG groupuscules politiques plus ou moins séditieux ou révolutionnaires, de droite comme de gauche, que nous pouvons, en toute logique, envisager, la grande quantité d'armes que possède une bonne part de la population, peuvent facilement renforcer le sentiment d'une prochaine disparition des E.U.A. dans la violence.

    Ainsi ce géant, le dernier empire et le seul universel, se sera lui-même et de lui-même terrassé par ses propres manquements et folies avant d'avoir pu mettre le feu au monde.

     

    L'économie-monde se trouve aussi dans un état déplorable et est aux portes de son anéantissement.

    Le déséquilibre grandissant entre la réalité de l'économie mondiale et les surproductions monétaires ainsi que de la monté vertigineuses des bourses montre, à qui le veut, que ce système ne tient plus qu'à un fil, très mince, celui du dollar.

    Or, comme nous l'avons vu, ce dernier n'est plus soutenu que par un gouvernement américain vaporeux et une F.E.D. aux abois.

    Le-dit dollar est autant la monnaie des échanges commerciaux, de remplacement des monnaies sans valeur dans les pays pauvres, de réserve dans les banques centrales que pour les marchés des changes et financiers.

    Autant dire que s'il disparaît, que quand il disparaîtra, d'une manière ou d'une autre, cela ne pourra que produire plus qu'une panique, une réelle, terrible, monstrueuse terreur, même pour ceux qui s'y sont préparés, même dans les états faisant tout pour rompre leurs liens avec lui.

    Comme je l'ai déjà raconté dans ce blog, ce sera l'ensemble de la chaîne économique et des échanges internationaux qui s'interrompront pour un temps indéterminé, des extractions minières aux récoltes, du tourisme aux autres expatriations, en passant par les usinages et fabrications, jusqu'aux transports maritimes et aériens, passagers et marchandises.

    Que les communications électroniques n'en souffrent pas trop et nous pourrons nous considérer comme chanceux.

    Sans compter, là encore, aux infiniment nombreuses bulles spéculatives parsemant le monde, dont celle, chinoise, énorme, immobilière, est la plus connue, et a, cet été, fortement ébranlé l'oligarchie économique internationale, bulles spéculatives qui ne pourront qu'éclater, rajoutant encore de défaillances à cette dévastation.

    Et les monnaies, non plus, ne pourront s'échanger puisque leurs valeurs respectives n'auront plus aucun sens et que les organismes sensément prévus pour les évaluer, soit divers fonds spéculatifs et banques, auront disparus ou seront nationalisées.

     

    Il faut bien comprendre que les situations nationales et internationales sont mises en place et déterminées par trois type de personnes:

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur et agissent et décident en conséquence, comme les dirigeants russes et chinois;

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur mais ne peuvent agir et décider que dans un cadre étroit en raison de contraintes liées aux trop proches relations de leur pays d'avec les U.S.A., comme il peut en être de certains chefs d'état de l'Union-Européenne;

    -Celles qui, quoi qu'il puisse se passer, ne comprendront ou ne voudront jamais comprendre que nous allons droit vers ce double effondrement futur et qui, contre vents et marrées, persistent et persisteront à agir et décider de manière nuisible pour leur pays et P1000448.JPGleur peuple, soit parce qu'ils ne peuvent pas concevoir, par aveuglements idéologiques, que les U.S.A. et la globalisation économique puissent disparaître d'un coup, soit en raison de leur espérance en des récompenses futurs sonnantes et trébuchantes ou de leur place privilégiée, alliée à leurs désirs de pouvoir, puissance et domination, les déterminent à un même aveuglement, mais, là, maladif, d'asservissement des populations et/ou de gains futurs confortables.

     

    Il est à noter qu'en France et sûrement ailleurs en Union-Européenne, divers partis politiques, jeunes pour la plupart, tel que l'U.P.R. et le (M.)P.E.P., font campagne pour que notre nation retrouve sa souveraineté, ceci en quittant définitivement, en toute clarté et logique, le bloc U.S.A./U.E./€./O.T.A.N..

    Mais qu'ils ne font jamais, également, du-moins dans leur discours officiel, allusion à la flagrance qu'est cette ruine universelle et disparition de l'empire U.S..

    Ce que je comprends fort bien, il serait terriblement difficile de se faire entendre en en mentionnant ne serait-ce que l'éventualité, d'autant plus que cela affecterait gravement leur position et leurs discours, surtout qu'une large partie de la population nie avec, parfois, une farouche vigueur, ne serait-ce que sa possibilité.

    Quoi qu'il en soit, ils devraient prendre en compte, maintenant, ce fait manifeste, quitte à le taire, ceci pour réagir au mieux dès l'instant où cela débutera.

    La position de Monsieur Mélenchon et de son parti est intéressante.

    Lui désir l'épreuve de force avec l'eurogroupe, l'Allemagne et la B.C.E., je lui fait confiance, il la gagnera, si je lui ai donné le surnom de Bulldog n'est pas pour rien, j'ai compris sa pugnacité et sa force de caractère.

    Toutefois, j'ai l'impression que lui et son parti n'ont pas compris que l'Union-Européenne et tout ce qui s'y rattache ne peuvent que disparaître en même temps que son créateur U.S. et l'économie-monde, cela en tout état de cause, ce qui ne pourra que les déstabiliser, j'espère le moins longtemps possible pour ensuite absorber ce qu'il restera du P.C.F..

    Je passe rapidement sur le sujet Vert/P.S./U.D.I./U.M.P, dit "Les Américains", ils n'ont, pour moi, plus aucune espèce importance, hormis quelque individualités qui sauront rebondir rapidement lorsque la globalisation commencera à décliner, voire, pour certains, réagir avec intelligence et vigueur, les divers verrous dus à ce bloc sus-nommé ayant sauté, ils pourront, tout à loisir, développer leur intelligenceP1000632.JPG politique.

    Le F.N. ne peut que retenir un bref instant mon attention.

    D'un discours paraissant anti-européen, ce parti et ses adeptes sont, en réalité, viscéralement eurolâtre.

    il n'est que de voir les œillades appuyées que Madame le Pen lance au petit père des peuples Juncker ou à Frau Merkel, ou bien de savoir que si Le Pen fifille devient présidente de la république elle ne fera que rediscuter les accords de l'eurogroupe, moins, en somme, que ce que fit Monsieur Tsipras et son gouvernement (nous savons tous à quoi cela a pu aboutir), nous ne pouvons que concevoir que ce mouvement n'est que l'un des chevaux de Troie à la solde des eurolâtres et américanolâtres.

    La visite de sa présidente aux États-Unis-d'Amérique, à un gala donné par les puissances d'argent de là-bas en son honneur, comme étant la femme la plus importante de l'année pour la France et l'Europe, est également la preuve que ce parti ne mange pas seulement aux râteliers de l'eurogroupe mais aussi à ceux de l'empire U.S..

    Il est des traitrises qui ne s'oublient pas!

    Tout comme celle perpétuée par Monsieur Sarkozy, lorsqu'il avait vendu l'or de la patrie au même empire, à un prix défiant toute concurrence.

    Mais lui, au moins, ne faisait pas preuve d'un tel double discours.

    Passons, là encore, le M.E.D.E.F., la C.F.D.T., comme n'ayant, non plus, aucune importance, ils seront, comme d'autres, balayés par cette prochaine déferlante.

    Les journalistes en vu dans les médiats officiels seront rapidement remplacés par des gens plus capables, sauf, peut-être, Lise Lucet, d'une certaine intelligence et finesse, si elle sait retourner à temps sa veste.

     

    J'ai déjà évoqué les tensions futures qui ne pourrons que se produire entre l'Inde et la Chine.

    Ces deux géants, en puissants voisins se toisant dans les hauteurs de l'Himalaya, ne se sont alliés, pour l'instant, au sein des B.R.I.C.A. que pour limiter le pouvoir, devenu de seul nuisance, des États-Unis-d'Amérique.

    Leur gouvernement subiront les foudres de leurs populations lorsqu'elle sentiront se retirer sous leurs pieds leur rêve occidental de classe-moyenne et de consommation de masse.

    Là se trouve, comme je l'ai déjà

  • De la cohérente incohérence du temps.

    J'avais, par mégarde, publié hier ce billet avant son plein achèvement, veuillez m'excuser de cette étourderie.

     

    Nous vivons une période pour le moins incongrue et, pour en montrer l'essence, il n'est rien de mieux que le paradoxal titre de ce libelle.

    Hier encore, allant siroter mon café en la terrasse de mon troquet préféré, j'ai discuté avec un homme de mon âge, sûrement d'un certain niveau social, à qui j'avais, après moult circonvolutions, expliqué que les Etats-Unis se trouvent, en ce moment même, en une situation de grand danger de disparition.

    Lui démontrant, de plus combien nous en sommes encore et toujours assujettis sous la forme de l'Union-Européenne.

    Comment décrire le soulagement qui fut sien quand des amis à lui survinrent, la douleur générée par cette idée le malmenant quelque peu.

    Il est vrai que, le pauvre homme, je fis de même au sujet du réchauffement climatique anthropogénique que je remettais en cause.P1040653.JPG

    Ce qui est proprement incroyable c'est à quel point il y a une importante inhibition  collective pour ce qui concerne un ensemble de sujets desquels je vous ai déjà fait part de nombreuses fois.

    Ainsi:

    Hubert Védrine, ancien ministre des affaires étrangères, raconte, dans le journal Le Point, que: " l'Europe (entendez  l'union) est devenu une sorte de petit paradis pour bisonnours", où il y affirme que c'est à la demande des européens, à la sorti de la seconde guerre mondiale, de ce que les étasuniens en viennent  à les protéger, quand en fait ce sont les USA qui avaient contraint l'Europe-de-l'Ouest à entrer autant dans la construction européenne qu'à l'OTAN dès cette époque, aidé en cela par d'anciens nazis et vichystes.

    En ce face-à-face d'avec l'URSS lors de la guerre-froide (pour les plus jeunes, de 1946 environ jusqu'en 1991).

    Je ne reviens pas sur le pétage de plomb de Monsieur Asselineau, ici et , qui survint, dès lors qu'il avait compris que l'Union-Européenne et l'empire US ne peuvent que disparaître dans un relatif court laps de temps de quelques années.

    Et que dire de cette crise d'hystérie collective des français après la mort d'un noir américain tué par un policier blanc, où il est visible qu'en France la police, bien P1040833.JPGqu'en son sein il puisse y avoir des éléments qui soient racistes et qu'une cinquantaine de pour-cent vote pour RN, n'en ont pas moins commis les mêmes exactions envers les banlieusards qu'envers les gilettistes, autant envers les noirs qu'envers les blancs.

    D'en être obligé d'aller rechercher un fait légèrement ressemblant en France vieux de quatre ans pour tenter de trouver un petit peu de similarité d'avec notre bon maître US décati, ceci pour ridiculement singer ce que les américains font.

    ( Les policiers sont, certes, responsables de leurs actes mais, de fait, la véritable comptabilité de toute cette gabegie judiciaire sont:

    -I), ceux qui considèrent que quelques mois suffisent pour former les policiers, ceci d'autant plus d'un seul entrainement pour une telle technique dangereuse (c'est encore une fois Sputnik qui traite de cette sorte d'information);

    -II), ceux qui considèrent qu'il n'est nul besoin de subir un test psychologique pour remplir cette fonction;

    -III), ceux qui, par faiblesse mentale et politique, laissent des zones entière de la république sans foi ni loi sans ne rien jamais décider, à environ 40mn;

    -IV), ceux qui, par esprit de classe et de caste, par sottise et incompétence, par morgue, par idéologieP1040794.JPG et par obéissance veule à l'union et ses GOPE en sont venus à faire des économies sur le dos du pays et de la nation, de l'en avoir gravement déstabilisé et désorganisé, sans que ces crétins ne s'en soient rendu compte, en en étant totalement incapables.

    N'étant juste que de petits comptables ou petits commerciaux (je n'ai rien contre les comptables et commerciaux honnêtes qui ne font pas politique de leur métier). )

    Ces quatre petits exemples, simples échantillons d'une foultitude d'autres phénomènes de même types, montrent qu'il ne s'agit pas là de mensonge, de manipulation ou de véritables malfaisance(ils pensent pour la majorité d'entre-eux bien faire, si tant est qu'ils puissent penser), bien qu'il y ai des malveillants dans ce milieu composé de pur naïfs, mais plutôt de plus qu'un déni, d'une scotomisation (mot découvert après recherche d'un synonyme sur le CRNTL plus appuyé que celui de déni et dont voici la définition: en psychopathologie et en psychanalyse, refus inconscient de percevoir une réalité extérieure indépendante du sujet, mais sur laquelle il projette des désirs et des fantasmes subjectifs contre lesquels lui-même se défend.), ici collective.

    Il s'agit du rêve américain qui, d'avoir traversé nos psychismes pendant plus de 70 ans au travers de biais culturels US tendant à la nécrose, de nous avoir, nous aussi bien que nous en sortons sinon je n'écrirais pas ces lignes et vous ne les liriez, depuis si longtemps seriné la même rengaine de la puissance américaine, relativement réelle il y a encore 10 ans mais aujourd'hui totalement obsolète, les conduisant à fantasmer de vouloir y ressembler par le biais de l'union.

    P1020958.JPGParce que en vrai l'Union-européenne est pour nombre d'entre-eux ce fantasme de toute puissance impériale sous égide US.

    Mène à ce que, maintenant, pour une part non négligeable de la population, la simple idée de la faiblesse de l'empire, de celle de l'UE, voire d'observer que l'OTAN est en voie de délitement, une grave instabilité psychologique émerge telle que cela les en conduit à un refoulement absolu.

    Cela est particulièrement visible pour beaucoup de ceux dénommés bobos parisiens, que Monsieur Todd appelle les CPIS, que moi-même désigne être les classes-moyennes hautes à supérieures de la capitale, où, cela devient caricaturale aujourd'hui, BFMTV met en place comme émission télé traitant de la campagne électorale seule celle dédiée à celle de Paris.

    Leur repli nombriliste sur Paris intra-muros signant, à mon sens, cette angoisse existentielle collective due à la compréhension non consciente de cette prochaine double disparition UE€ / USA$ et, dès lors, de l'OTAN, les conduisant à un pathologique repli sur soi, ce que les programmateurs de cette chaîne nous démontre.

    Et il faut être de ces enfants dont de la bouche sort la crue vérité, même atteints des quarante ans passés, comme Monsieur Macron, pour pouvoir affirmer que ladite OTAN puisse être en mort cérébrale.

    Ce qui a fait hurler, prudemment tout de même, les journalistes et chroniqueurs biens pensants sur la scène théâtrale médiatique.

    Voyez-vous, amis lecteurs, nous surnageons dans un monde fait de faussetés et l'école de la république, la télévision, la radio ainsi que les médiats officiels, en sont les vecteurs.P1040411.JPG

    Ce n'est même plus, ce ne sont même pas des mensonges mais juste des vérités abracadabrantesques desquels les porteurs croient puissamment.

    Vous les penseriez menteurs quand, la plupart du temps, ils ne sont juste qu'imbéciles, et la méchanceté surnage toujours autour de l’imbécillité, dut-elle être heureuse.

    Et il est malheureux de constater que pour retrouver les faits réels dans ce fatras d'absurdité il nous faut faire ces recherches par nos propres moyens et les trouver décrites, parfois, dans des ouvrages vieux de décennies, voire des siècles antérieurs.

    Par exemple, il est de fait que les propositions des écologistes neuneus ne peuvent que se révéler plus polluants que tout autre choix politique: ainsi les éoliennes détruisent toutes les créatures ailées sans que cela ne les émeuvent quand les mêmes pleurent quand un ours est tué dans les Pyrénées.

    Cherchez-y l'erreur (tout comme pour les comptables, les commerciaux et les policiers, je n'ai rien contre les ours ( second degré)).

    Notre ennemi véritable ce n'est pas toute cette bande d'olibrius qui s'agite à dire n'importe quoi en pensant, si tant est qu'ils pensent, qu'ils disent la vérité vrai de la P1040600.JPGmarche du monde.

    Mais c'est bien la bêtise qui, ayant grandement envahi les cerveaux, mais surtout le leur, nous pollue autant les cœurs que les esprits.

    Et c'est cette pollution là la première de toutes puisque nous faisant perdre le sens de toute cohérence.

    Nous avons, avec toutes ces conneries dues à notre domination impériale par la thalassocratie US au sein de leurs créatures, les UE€/OTAN, aidée en cela, en ses tous débuts, par d'anciens nazis et autres vichyste recyclés par les officines US, dont il reste de graves traces aux hautes hiérarchies de notre société, perdu 70 ans d'évolution sociétale et, ce, sur tous les plans.

    Quand bien même, comme j'ai pu l'expliquer antérieurement ici puis , ce processus avait déjà débuté dès avant la fin du XIX° siècle, sinon le reste n'aurait pas eu lieu.

    Rien en cela n'est perdu et la France, une fois de plus, ne peut que réémerger de l'ornière dedans laquelle elle est.

    Cela ne pouvant qu'être un travail autant personnel que collectif.

    Jamais de nos aïeux n'eurent de tâche aussi importante, passionnante qu'éblouissante, alors, amis lecteurs, ne serait-il pas temps que nous nous y mettions tous au plus tôt?

     

     

    P1040756.JPG

    THEURIC

    PS.: De monsieur Delamarche: "Si j'était au gouvernement, la première chose que je ferais sera de virer tous les incompétents...!"

    Ce qui est tout un programme...

  • Que faire au-devant d'une crise ultime et dès lors inévitable?

    Rien d'autre que de s'y préparer, c'est tout!

    Mais avant toute chose je me dois de définir ce que peut être une crise et une crise ultime.

    Tout le monde à vécu des période où, progressivement, la situation antérieur se détériorait de plus en plus, ceci accompagnée de façons répétées de moments d'accélérations voyant se cristalliser cette détérioration, suivit peu après d'instants de stabilisations, voire d'un léger retour à la situation antérieur, en raison d'aménagements léger que chacun fit, laissant à penser que la rupture qui était en ferment n'était qu'une impression jusqu'au jour où, parfois pour des raisons insignifiantes, de manière soudaine, nous tombait dessus la rupture définitive.

    Or cette soudaineté n'est qu'apparence et que ce soit une séparation ou un divorce, un accident ferroviaire ou aérien, un conflit armé entre nations ou tout autres événements à l'avènement brutal, toujours les signes annonciateurs en préparation peuvent se lire.

    Ce sont les crises, en vérité simples crises secondaires, qui sont, en amont, les signes de cette crise ultime.

    Cette suite de crises suivit de la crise ultime vient des conditions originelles des relations entre les acteurs: dès le commencement, les fondements sont pernicieusement et discrètement déséquilibrées aboutissant, au bout d'un certain temps, à une rupture violente.

    Plus la crise ultime met de temps à se produire, plus violente sera la-dite crise ultime, lorsque, de plus, toute la palette des solutions non essentielles de "sortie de crise" (secondaire) sont utilisées, cela ne fait que retarder la survenue de la crise ultime en rendant celle-ci progressivement irréversible dans  une conflagration d'une dimension incontrôlable et chaotique.

    Effectivement, la suite des crises secondaires réglées provisoirement par des solutions non essentielles ont eu pour effet d'amplifier chaque fois un peu plus l'ensemble des déséquilibres précédents.

    Les solutions de crises consisteraient donc, en fait, en des actions énergiques consistant à percevoir et réduire les causes profondes et dès lors premières qui mènent aux crises avant que la situation ne devienne l'irréversible crise ultime.

    "-J'appelle principe de rupture endogame une crise ultime survenant en raison de désordres internes au sujet en relation avec son milieu ou aux relations établies entre différents sujets, cela s'étendant à certains processus évolutifs du monde vivant, d'une espère ou entre espèces aux relations plus ou moins étroites.

    -J'appelle principe de rupture exogame une crise survenant à cause d'une catastrophe totalement indépendante des processus évolutifs des sujets, l'exemple en est la météorite qui, il y a soixante cinq million d'années, s'est abattue sur le Yucatán et fit disparaître les dinosaures.

    -La série de crise suivie de sa crise ultime est un processus naturel d'évolution."

    Pourquoi ai-je dit plus haut que nous ne pouvons plus, dès à présent, faire grand chose lors de la survenue d'une crise ultime hormis nous y préparer?

    Étant donné, comme je l'ai expliqué plus haut, qu'une crise ultime, de nature irréversible, survient à la suite d'une désorganisation régulière et continuelle de la situation, ceci ponctuée de crises secondaires présageant et accélérant celle-ci, si il n'y a pas de véritables solutions adoptées et décisions prises régulant et/ou réglant, en amont, avant l'avènement de la-dite crise ultime, la décomposition, juste avant la survenue de cette crise ultime, est telle que chaque décisions prises, à partir de ce moment là, ne fera qu'en amplifier les effets, c'est ce que nous vivons actuellement.

    De plus, comme chaque crises secondaires ne dégénérant pas, du-moins le donnèrent-elles à penser, en désordres majeur, le sentiment de continuité dans la situation passée perdure sans que le ou les acteurs ne prennent conscience de la gravité de la conjoncture, croyant, le plus souvent de bonne fois, qu'il sera possible, comme auparavant, de trouver la solution qui permettra de stabiliser une fois encore l'état des choses sans comprendre qu'au moment de la survenue de cette crise ultime les conditions passées auront irrémédiablement disparu (parce que une crise ultime ressemble beaucoup à ses crises constitutives les plus proches, d'autant plus à celle qui l'a précédée).

    La gravité d'une crise ultime provient de ce que, justement, comme les conditions passées ne sont plus mais que dans le même temps ne sont pas encore apparu, pour les acteurs (êtres humains, sociétés, pays ou autres...) les nouvelles conditions, dispositions et constitutions régulant de nouveau leurs existences, leur situation s'en trouvent désorganisés à l'extrême les mettant dans un état de perte de sens, de biens, de repères, voire dans un état de chaos.

    Subsiste, cependant, des dispositions qui furent moins ou pas du tout concernées par la-dite crise ultime, capacités encore valide pouvant aider et permettre la recomposition de la situation des acteurs sur de nouvelle bases.

    Ce sont ces dispositions, ces qualités qui fondent les facultés centrales sur lesquelles s'appuyer pour le redressement futur, souvent celles-ci sont oubliées, parfois rejetées, il faut donc aller les puiser là où elles se trouvent: dans la mémoire.

    J'en fait ponctuellement mention dans les divers textes de ce blog.

    D'où le titre de celui-ci: "Appel à une nouvelle renaissance".

    Renaissance qui doit être la reprise et reconnaissance commentée, analytique, critique, sérieux et contradictoire des anciens et non pas le rêve fantasmatique d'un retour à un passé glorieux et paradisiaque.

    Pour l'affaire qui nous préoccupe tous, soit la disparition des États-Unis-d'Amérique (sous une forme ou une autre) et l'effondrement de l'économie monde, nous nous demandons tous si, dans les jours, semaines ou mois qui suivent, nous y assisterons et en vivrons la crise ultime ou si, une fois encore, par quelques décisions hasardeuse que ce soit, l'échéance en sera une fois encore ajournée.

    Ce sera pour nous une bien mauvaise nouvelle mais je n'y crois guère, au vrai je n'y crois pas du tout, mais sait-on jamais...

    La question est donc de savoir si nous entrons dans une phase de crise ultime ou si ce n'est que l'une des multiples crises secondaires que nous avons déjà vécu par le passé, à n'en pas douter les U.S.A. ne sont plus, maintenant, la puissance d'empire qu'ils ont pu représenter et le moindre amoindrissement de leurs capacités en diminuera encore d'autant leur domination, la surproduction délirante de dollar, livre sterling, yen et euro a fragilisé les américains à l’excès (plus que les européens ou les japonais, me semble-t-il, du-moins), Wall Street est monté jusqu'à des hauteurs infinies sans qu'une réelle efficience économique puisse en être la raison, tout au contraire, l'élection par deux fois de Bush fils et surtout la perpétuation, pendant huit ans, de l'équipe de loufoques dangereux gravitant autour de lui ne peut qu'avoir gravement affaiblit leur armée parce que l'homme compétent, surtout haut gradé, se révolte toujours contre les crétins et que les incompétents ne supportent pas plus intelligents qu'eux sauf quand ils peuvent les écraser (plusieurs officiers de haut rang furent mis à la retraite d'office), leurs industries sont exsangues contrairement à ce qu'il peut s'en dire, l'Arabie Saoudite, l'Angleterre, le Japon, voire Israël et l'Union-Européenne prennent, à leur rythme, leur indépendance, le gaz et le pétrole de schiste ne paraît pas aussi avantageux que ce qui en est dit, la bulle des crédits aux étudiants d'aujourd'hui y ressemblent à la bulle des crédits immobiliers d'hier, la faim s'y propage, les amérindiens commencent à revendiquer leur terres autrefois spoliées preuve de la faiblesse de la gouvernance, ..., ...!

    Ce ne sont là que quelques et divers informations glanées ça et là en précisant que je ne suis pas anglophone.

    Mais la question de l'économie-monde est aussi d'importance, peut-elle perdurer à la chute de l'empire américain, d'autres pays, tel que la Chine, le Brésil, l'Inde et/ou la Russie peuvent-ils, veulent-ils prendre la relève de ce géant agonisant et  si oui sous quel risque, la puissance d'argent qu'est l'économie-monde va-t-elle réellement disparaître, jusqu'à quel taux les bourses mondiales baisseront-elles, les usines réparties un peu partout dans le monde pourront-elles écouler leurs stokes et à qui, le commerce international fonctionnera-t-il encore et à quel point, qu'en sera-t-il de la marine marchande, jusqu'où ira la réduction des vols commerciaux, combien d'avion survoleront le territoire américain, le nord de l'Atlantique, survoleront le monde, qu'en sera-t-il des pays ayant tout misé sur la monoculture, ..., ...?

    Les questions sont innombrables aussi nombreuses que celles concernant l'Europe et la France.

    Ainsi: l'euro va-t-il pouvoir survivre au dollar, l'Union-Européenne va-t-elle pouvoir survivre à l'effondrement de l'empire américain, comment le monde politique européen va-t-il réagir à la disparition de leur mentor et maître, comprendra-t-il réellement ce qu'il se passe, comment réagiront les peuples, ceux du sud, du nord, de l'est et de l'ouest, y aura-t-il une révolution et si oui, où, quel est l'état de l'industrie en France et en Europe, quelle est la réserve d'or de notre pays et de l'U.E., tous les pays européens ont-ils une production agricole suffisante pour vivre en autarcie en nourrissant tout le monde au moins pendant un an, quels sont les biens qui nous parviendrons encore puisque tant et tant ont été délocalisés parfois très loin, ..., ...?

    J'ai fait quelques réserves de produits d’entretien ainsi que de toilette et acheté trois batteries de téléphone en espérant que ma machine à laver, mon automobile ou mon réfrigérateur ne tomberont pas en panne, je n'ai pas de jardin mais ai accumulé quelques petites choses pouvant se revendre, c'est là le minimum que je me devais faire.

    Surtout, j'écris dans ce blog.

    Le reste ne dépend plus d'aucun d'entre nous, le reste ne dépend plus de qui que ce soit, les événements présents et futurs sont à ce point arrivés à un tel degré de complexités, d'irréversibilité que plus personne ne peut plus faire quoi que ce soit pour en renverser la vapeur que d'attendre et de se préparer.

    Ce sera lorsque ces forces puissamment destructrices de la crise ultime se mettront en branle que chacun d'entre nous se devra d'agir, suivant sa conscience, suivant son savoir, suivant ses capacités, suivant ses possibilités, ce sera le moment mais pas avant, sauf, bien sûr, les manifestations montrant que, tout de même, le peuple n'est plus un mouton.

    Si au moment de cette crise ultime là nos gouvernants ne prennent pas, en plus de la pleine mesure de la situation d'alors, toutes les décisions de sauvegarde du pays, la décision d'explorer par la justice les livres de comptes de toutes les banques et autres fonds d'investissement ruinés ou en difficultés économiques ainsi que de faire que nous puissions avoir de l'argent liquide en poche et de quoi payer les loyers, puis pendant les six mois suivant tout faire pour que reparte la machine économique, alors, si cela n'est pas fait ad minima et que la tentative ne perdure de nous égarer dans des palabres inutiles et sans fin pour des sujets futile comme le mariage pour tous, si cela n'est pas fait alors nous aurons à redouter des emportements, fureurs et frénésies inextinguibles.

    Déjà, il y a peu de temps des policiers italiens ont retiré leur casque en signe d'entente avec les manifestants, pour les militaires cela s'appelle mettre crosse en l'air.

    Messieurs, mesdames les socialistes, je vous en conjure, arrêtez vos simagrées inutiles de mariage pour tous et autres fadaises, nous n'avons pas à rembourser des dettes à des créanciers bientôt ruinés ou nationalisés, nous n'avons pas à obéir à une instance européenne n'ayant aucun lien avec des électeurs, à un Barroso, le pauvre, mais où l'avez-vous trouvé, celui-là?

    Obéir à Barroso, quelle dérision!

    Tout accord entre état à la valeur que chacun lui donne, surtout à propos de l'article 50: en quoi un état ne pourrait-il pas, lors d'une crise ultime ou même avant, décider de faire cavalier seul, un état n'est-il donc plus maître chez lui?

    Un peuple n'est-il plus maître chez lui?

    Est-ce l'éléphant ou le moustique qui résiste le mieux à la pression de l'homme, sont-ce les petites ou grandes structures qui résistent le mieux à une crise, surtout ultime?

    Avez-vous donc si peur d'un retour à la guerre mondiale européenne pour que vous nous liiez ainsi tant les pieds et les mains que vous nous conduisez inéluctablement vers une troisième guerre mondiale?

    Mais lisez donc Machiavel, il vous l'écrit, lui, ce que vaut un traité (dans l'idée): "Ne le respectez que tant que c'est à votre avantage!"

    C'est simple, non?




    THEURIC

  • La basse-court et autres (dé)notes...

    Il y a tant d'américanolâtrie en France et en Union-Européenne que si les américains avaient une plume dans le cul, beaucoup de français et d'européens s'y planteraient un plumeau.

    Çà ferait une belle une basse-court.

    Cot, cot, cot, où se trouve les renards?

     

    Les chinois et les allemands devraient se méfier, chaque fois que notre pays se découvre un modèle, celui-ci trouve le moyen d'être ruiné ou proche de l'être.

    Les exemples sont nombreux, la Hollande, l'Angleterre, l'Irlande, l'Islande, le Japon, les États-Unis-d'Amérique, la Corée-du-Sud (tiens, celui-là tient le coup)... etc...

    C'est bizarre tout de même que nos gourous de l'économie aient ce génie de repérer les nations les plus fragiles et, surtout, de nous les servir en exemple.

    (Je viens d'apprendre qu'il y a eu une sorte de coup d'état des partis de gouvernement en Suède, ce pays qui était, parait-il, un parangon de vertu démocratique.

    Encore un modèle de perdu, zut alors!)

     

    Beaucoup de nos sportifs sont noirs, est-ce parce qu'ils sont bons en sport ou pour que la France ressemble aux États-Unis?

     

    La police française porte une casquette à la place du képi, qu'elle est laide!

    Que ne ferait-on pas pour devenir le cinquante-et-unième état des États-Unis-d'Amérique?

     

    Notre gouvernement n'a que deux solutions:

    -soit obéir aux désidératas de la ploutocratie internationale, étasunienne et allemande:

    -soit lui désobéir et dire adieu à l'Union-Européenne et à l'économie néolibérale mondialisée.

    Mais en ce cas, malheur par qui le scandale arrive!

    La Grèce nous a précédé en n'ayant même pas le temps de détruire l'U.E., les U.S.A. s'en chargent très bien aujourd'hui et il n'y aura pas que ces deux unions qui seront ruinés, mais elles disparaitront.

     

    Il est imbécile de vouloir manipuler un peuple dans l'affolement et la précipitation, quels qu'en soit les raisons, cela génère souvent des effets contraires.

    La patience et la subtilité, en ces choses et en d'autres, sont de bonnes politiques.

    Laissons le temps au temps!

     

    Les États-Unis-d'Amérique haïssent l'Europe, et plus les pays ont fourni d'immigrants, plus ils sont haïs.

    En France, jusqu'à que nous soyons ruinés par la doxa de la concurrence libre et non faussée, il y faisait bon vivre, à quoi bon s'installer ailleurs où les pâturages sont moins vert?

     

    Le traité de Verdun en 843 partagea l'empire Franc en trois parties:

    -La Francie Occidentale qui deviendra la France;

    -La Lotharingie qui deviendra la Lorraine;

    -La Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire-Romain-Germanique puis l'Allemagne.

    Depuis, le fantasme inconscient fut de recréer cet ancien Empire Franc.

    Cela ne nous rajeunit pas, non?

     

    Ah, l'Empire Romain, tellement rêvé que les U.S.A. surent en prendre le modèle, à tout point de vu.

    L'Europe y joue le rôle de la Grèce antique et les pays d'Amérique -du-Sud, celui de la Gaule.

    Mais eux n'ont pas de Pape pour remplacer l'empereur, ou leur président en tant qu'empereur électif.

    Mais ils surent, en revanche, les éliminer, de leurs présidents les plus gênants, tout comme le firent les romains.

    Mais où se trouve Byzance?

     

    Si nous suivons l'idée de ce qui est écrit dans la Bible, tous les pays et les villes où se sont bâties des tours de Babel seraient un jour anéanties.

    Aujourd'hui nous appelons cela des grattes-ciel.

    Hi, hi, hi, hi, hi, ça chatouille...

     

    Les journalistes télévisuels aiment et adorent les représentants du Front-National.

    Chacun a les amours qu'il peut.

     

    Notre cher Monsieur Juncker, président de l'Union-Européenne est d'un humour irrésistible et n'a pu s'empêcher de laisser cette petite phrase à la postérité:

    "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens."

    Est-ce une honnêteté foncière, de la vantardise, de l'inconséquence ou de l'inconscience?

    Certes, il faut choisir les plus inconsistants pour ce poste, mais là, c'est de la gourmandise.

     

    J'aime la règle de trois, enfant je l'avais apprise dans toute sa complexité, j'en ai depuis oublié beaucoup.

    Elle est, entre-autre, utile pour calculer les pourcentages.

    Ceux liés à la sécurité routière sont ainsi intéressants, surtout celui concernant le nombre de morts dû aux accidents de la route.

    Pour faire ce calcul, c'est très simple, on prend le nombre de mort à une année donnée, ici en 2014, il y en a eu environ 3478.

    Environ parce que un mort sur la route se comptabilise après un mois d'attente, le nombre exacte se saura fin Janvier 2015 (tiens, c'est vrai, nous y sommes).

    Ce nombre de 3478, allez, disons 3 480, il sera tout rond comme ça, donc, de ce 3480, nous le divisons par le nombre d'habitant dans notre beau pays, soit 66 317 994, arrondissons, là encore, à 66 318 000, une naissance de plus ou de moins, personne n'y verra que du feu.

    Cela donne: 3 480 / 66 318 000 = 0,0000525.

    Puis il n'y a plus qu'à multiplier le résultat par 100.

    Ce qui donne: 0,0000525 x 100 = 0,00525 % de morts sur l'ensemble de la population française.

    C'est tout bête, non?

    Faisons le même calcul pour savoir ce que représente, allez, disons 15 % de mort de plus sur la route sur une année, en partant de ce nombre de 3480.

    Et nous entendrions moult cris et pleurs dans nos médiats, nous les verrions même trépigner de résignation dépités de notre manque de sens civique à tous, snif, j'en ai déjà la larme à l’œil.

    Là, le calcul est encore plus ballot à faire, il suffit de multiplier 3480 par 15, puis de le diviser par 100.

    Alors, 3480 x 15 = 52 200 / 100 = 522 morts de plus en France.

    Si nous additionnons le nombre de mort en 2014, 3480 et notre présupposé augmentation, 522:

    3480 + 522 = 4002 morts présupposés, à comparer au nombre d'habitant, soit 66 318 000, plus les cacahouètes dues aux naissances de 2015 (j'aime bien les cacahouète à l'apéro).

    Bon, certes, ça fait peut-être beaucoup, mais en proportion, tout de même pas grand chose, et alors, si nous l'évaluons au nombre de mort moyen par journée lors de la guerre 14/18 ou celle de 39/45, là, franchement, ça fait ridicule.

    C'est quand même beau les mathématiques, non?

    3480 morts pour une population de 66 318 000, presque autant de chance que de gagner au loto.

    Eh, eh, là on inverse le calcul: 66 318 000 / 3480 = 19 056, 8966, cela fait que chacun d'entre nous avait eu une chance sur 19 057 d'avoir eu un accident en 2014.

    Au tirage comme au grattage, croisons des doigts pour que cela ne nous arrive pas.

    C'est vrai, quoi, c'est pas pour ça qu'il faut rouler comme des crétins, nous pourrions nous retrouver face à face!

     

    Nous vivons une époque formidable.

    Seule l'effondrement des bourses sonnera le glas de l'économie mondiale mais tout est fait pour en retarder l'échéance.

    Pendant ce temps là l'économie réelle se désagrège mollement dans tous les pays, il faut être sot pour ne regarder que ce qu'il se passe en France, partout ailleurs c'est la même chose, en Asie, dans les Amériques, en Afrique, en Océanie, seul le continent Antarctique n'est pas concerné, la glace, ça jette un froid et refroidit les ardeurs...

    Jusqu'à présent cette désintégration lente renforçait chaque fois Wall Street.

    Mais bon, cela durera qu'un temps.

    En fait, tout ça pourrait être comparé à une maison qui se désagrègerait déjà toute seule et serait prête à s'écrouler.

    Des travaux y sont effectués, mais à chaque fois cela ne fait qu'en affaiblir les murs.

    Sur le toit plus que poreux (Wall Street et les autres bourses) y sont rajouté tous les gravas, des tonnes et des tonnes de gravas, provenant de ces travaux.

    Alors nous, qui sommes dedans, nous entendons la maison qui grince sans nous affoler, en croyant que ce sont des oiseaux qui chantent.

    Nous voyons bien que des morceaux de plafond et de mur, parfois très gros, tombent de temps en temps et de plus en plus souvent, et nous nous disons que, décidément, il faut continuer à les faire, ces travaux.

    Et plus des fragments de mur et de plafond dégringolent, plus nous nous efforçons, hardiment, de faire ces travaux qui ne font qu'affaiblir encore et encore cette maison.

    Tout en retirant les étais qui soutenaient le peu qui résistait encore à cette destruction...

    Et les autres couillons qui croient que c'est en montant sur le toit de cette bicoque qu'ils éviterons son effondrement, et en plus, ils dansent dessus.

    J'ai l'impression qu'ils tomberont de haut...

    "Eh, les amis, mettez vos casques, ou mieux, allons dans la cave!"

     

    Il est des expressions que j'aime bien.

    Faire des plans sur la comète, par exemple.

    J'imagine le gugusse avec son mètre et sa craie, tout encaparaçonné de son scaphandre, en train de tracer des lignes sur son petit bout de roche.

    A quelque chose près, je ressens la même chose quand j'entends tel spécialiste, ou mieux, tel homme politique nous expliquant, doctement, comme quoi les décisions économiques donneront des résultats d'ici 2016 ou 2018, ou même, seront prisent à cette date.

    Laissons à chacun sa comète, non?

  • Des idées au gré des flots.

    Ce billet, publié le 11 Janvier 2020 à 15 h 36, nécessite un rajout au lendemain, le 12 Janvier au sujet des syndicats en une couleur similaire à celle-ci, rajout que vous retrouverez dans la partie traitant de ce sujet.   )

     

    Chers lecteurs, bonne année,

    J'avais annoncé, il y a de cela déjà quelques temps, que je ferais un texte tous les trois jours environ quand se révèle à moi qu'un tel délais m'est impossible.

    De ce fait, vous devriez plutôt vous attendre à ce que j'en publie un tous les cinq à sept jours, bien que, suivant mon inspiration, il soit possible que ce délais s'écourte.

     

    Nous vivons une période autant dangereuse que passionnante et il est intéressant de faire un tour rapide sur ce qu'il se passe en ce moment.

    Par exemple, qui, de nos élus des chambres délibératives, a compris qu'en fait l'administration de l'Union-européenne est composé, objectivement, de personnalités pusillanimes qui, si elles ne se cachaient pas comme les derniers desP1020478.JPG capons derrière les états et les élus des pays composant l'union, n'oseraient même pas décider du millième de ce qu'ils exhortent aux états de faire?

    Qui, parmi ceux desdits gouvernements a saisi que les seuls à payer les pots cassés dus aux GOPE ce sont eux et ceux des partis politiques officiels ainsi que leurs composants d'un reste d'adhérent devenant élus parce qu'il n'y a plus qu'eux, et, de plus, il n'est que de craindre qu'un jour la population, incommensurablement exaspérée, n'en vienne, en France, à vouloir forcer la porte d'autres sièges que de celui du REM ou de Black Rock.

    Que de cacher ainsi l'origine véritable de nos ennuis, soit de nos liens indéfectible d'avec l'union qui, avec l'OTAN, dirigent désormais tout chez-nous, en France, pourrait fort bien, au vu de la colère populaire qui ne s'en vient qu'à croître, les mettre en grand danger de toutes sortes.

    Ce n'est pas ce que je souhaite, loin de là, mais il est facile de considérer possible que, dès lors que les français seront en connaissance de la véritable puissance nuisible de l'UE, de son origine, de son idéologie, de son cynisme et qui la dirige réellement, cette colère populaire se portera, en premier lieu, à l'encontre de ceux de nos élus nationaux qui leur obéissent et se taisent.

    D'ailleurs certains l'ont bien entendu qui se replient, depuis des années, voire des P1030668.JPGdécennies, sur les communes et les départements.

    Cette impossibilité de pouvoir concevoir un risque futur dû aux actions présentes ayant été le thème de mon billet précédent.

    Certes, il est logique de penser que s'ils ne le font pas, c'est précisément parce que celui de ceux-là qui, devant les caméras de la télévision, en révélerait la réalité pourrait bien subir autant le rejet de son parti que de se retrouver isolé au sein de l'Assemblée Nationale ou du sénat, d'en subir les foudres.

    Cette censure majeur signant, à mon sens, une ère d'un court moyen-âge fanatique que d'autres aussi comprennent, ce texte de Jacqueshenry et le commentaire qui en suivit d'un certain claude Brasseur le démontre.

    Ce dernier fait allusion à la dernière marotte débilitante à la mode en ce moment: la Terre serait plate.

    De ce niveau d'intransigeance et d'ignorance, nous ne pouvons plus parler de fanatisme mais de porter notre réflexion bien au-delà, dessus une folie des hommes multifactorielle contemporaine, ce que je m'était tenté, entre-autre, de définir en Juillet de l'année dernière ici.

    Il est vrai que ce n'est pas notre planète qui est plate mais bien leur cerveau.P1030020.JPG

    Cela pourrait vous surprendre, amis lecteurs, que je puisse faire un parallèle entre le silence de nos élus au sujet de l'UE et cette aliénation conceptuelle d'une présupposée Terre plate, qui, cela est visible sur le site vers lequel je vous renvoie, est elle aussi mise en corrélation avec cette histoire loufoque de réchauffement climatique anthropogénique censément catastrophique.

    Je pourrais tout autant y rajouter ce fumeux préjugé dit théorie du genre qui ferait l'imaginaire que ce serait la société qui déterminerait la sexualisation des personnes, et non pas la simple et pure biologie.

    Je vous renvoie là-dessus à cette vidéo de Tatiana Ventôse démontrant, surtout à mes yeux, que ce ne sont pas seulement nos élus des chambres délibératives et une part du peuple français qui souffrent d'une telle dérisoire démence, l'Espagne et sûrement d'autres peuples ainsi que de gouvernements et d'assemblées en souffrent tout autant.

    Oui, là se trouve la folie de nos élites, au même endroit de celle qui agite une partie, petite heureusement, de la population.

    Quand sa grande part n'est elle que plongé dans ce brouillard conceptuel dont je vous avais déjà fait écho précédemment.

     

    P1030038.JPGS'il y a, à mes yeux, un sujet géopolitique important, ce ne sont pas tant les événements se passant entre les USA, l'Iran et l'Irak qui, quand bien même un général iranien central dans la politique du moyen-Orient fut assassiné par Tonton Sam, ce qui ne peut qu'être considéré que comme un acte de guerre, une agression caractérisé contre un état souverain.

    Bien que cela soit gravissime et générera ses effets dans le futur, le fait majeur serait plutôt que dorénavant, les syriens comme les irakiens se révèlent être grandement patriotes, démocrates, avide de l'état de droit, au-delà de la confession religieuse de chacun.

    Du reste, de l'erreur de jugement d'une ou des deux parties impliquées, d'une provocation probable des faucons US à l'endroit de l'Iran, profitant des faiblesses d'un vieil homme, Donald Trump, ou d'une cabale ou d'un accord tacite que j'avais imaginé d'un: "Tu me tue Qassem Soleimani qui me gène, je t’éradique de tes mercenaires que tu m'envoie!", cette affaire se calmera, vous remarquerez que les iranien parle de 80 morts US lors de leur attaque aux missile quand le gouvernement étasunien, lui, affirme qu'il y en a eu aucun.

    Toujours est-il que cette affaire à assagit les rues iraniennes et irakiennes qui demandaient un changement de gouvernement, accalmie qui ne peut qu'arranger les leur respectif.

    Et que, le président US contraint et forcé d'envoyer des troupes au Moyen-Orient, se trouve donc en position de faiblesse lors des prochaines élections étasuniennes, lui qui avait promis, lors de la campagne électorale précédente, de toutes les rapatrier.

    Si d'ailleurs l'empire US ne réplique pas et ne s'engage pas dans un conflit contre lesP1020956.JPG perses après leur attaque contre deux bases c'est que, tout simplement il n'a plus aucun moyen de commencer une guerre de moyenne ampleur.

    C'est pourquoi ce fut plus qu'une faute, une gravissime erreur US, un abus de bêtise.

    Toujours est-il que cela ne peut que montrer les faiblesses grandissantes de l'empire US, ce qui ne peut que mettre les euro-béats en une panique ne pouvant que s’accroître, ce qui les poussera à accélérer encore plus leur politique néolibérale et de tenter de désintégrer les états-nations composant l'Union-Européenne.

    Voire même en ce que certains décompense gravement en montrant des signes de crise psychotiques, ou d'un usage immodéré de psychotropes.

    (Information de dernière minute: l'Iran reconnait sa responsabilité dans le crash de l’avion d’Ukrainian Airlines, ce qui éloigne définitivement tout risque de guerre avec les USA, tout en fragilisant ce pays de l'intérieur, mais aussi de sa position en Irak.)

     

    Il est possible que la grève de transports contre la réforme réactionnaire des retraites se révèle être un échec, que, faute d'argent, les agents de la RATP et de la SNCF reprennent le travail, ce ne serait, en ce cas, autant pour le REM des radioéléments, pour macron et son gouvernement, pour l'administration unioniste comme pour l'oligarchie ploutocratique euro-atlantiste qu'une victoire à la Pyrrhus.

    En effet, autant économiquement que politiquement cette grève à, pour beaucoup, contribué à affaiblir la ploutocratie française et le pouvoir en place,  rendant même l'Union-Européenne et ladite ploutocratie étasuniennes perceptible, voire manifeste, ceci tout en accroissant la colère populaire, ce qui peut mener à un début de P1030056.JPGsabotage des infrastructures ferroviaire, notamment.

    Mais il est de fait aussi, en percevant l'épuisement économique des cheminots, de ceux travaillant dans les dépôts de carburant et des conducteurs de bus et de métro, que d'autres fonctions sociales entrent dans la lutte, tel que les avocats dont la cessation de travailler ne peut qu'être que des plus visibles, sans toutefois que l'on ne nous soit fait mention dans les médiats d'autres professions moins apparents mais tous autant nécessaires pour le bon fonctionnement de la société.

    De surcroît et dans le même temps, ce même gouvernement vient de décider de suivre toujours les mêmes sommations recommandations expresses de l'UE, c'est à dire de remettre en cause le statut des fonctionnaires, ceci au moment même, je viens de l'apprendre dans l'instant, où les employés des banques se mettent en grève eux aussi.

    La question à se poser dès lors: serait-il possible que le pays ne soit en situation de blocage progressif, serions-nous en plein en une situation insurrectionnelle?

    Comme j'avais pu l'écrire précédemment, le macronisme, quoi qu'il fasse, se retrouverait au-devant d'une double contrainte difficilement surmontable: soit il cède, recule et retire ses projets de loi, auquel cas il se fera taper sur les doigts par l'union et par ses employeurs oligarchiques, soit il persiste ce qui détruira économiquement l'Union-européenne, sachant que la France est la deuxième économie de l'union.

    Il faut bien comprendre que, dorénavant, les français n'ont plus rien à perdre et je P1030218.JPG ne pense pas que les syndicats réussiront à faire rentrer le gréviste dans sa boite maintenant qu'il en est sorti.

    Vous remarquerez que nombre de postes importants de l'union est, dorénavant, occupé par des femmes, si, comme je le conçois, l'intelligence est asexuée, alors son manque ne peut que l'être tout autant.

     

    Une chose, peut-être la plus importante de toutes.

    Pour beaucoup de gens, ce qu'il se passe en ce moment est angoissant, la raison en étant que les événements actuels ne semblent pas avoir de sens.

    Pourquoi aujourd'hui se met-il en place autant de projets de loi néfaste pour la population sans aucune raison valide?

    Un réchauffement catastrophique se développerait-il, serions-nous en face d'un effondrement économique international, pourquoi les journalistes  des médiats officiels montrent-ils une telle morgue, un tel mépris, une telle haine envers le peuple?

    Certes des fonds vautours tournent autour du pays en attendant de se déchirer les lambeaux de richesse que la casse du système français apportera.

    Mais pourquoi donc le président de la République, son gouvernement et son parti P1030065.JPGpolitique, le REM, la classe politique officielle, bien que FI gigote un peu, RN faisant le mort, soit assassine le pays, soit ne montrent pas un acharnement quelconque pour le prémunir, pour le protéger?

  • Quelle période étrange!

    Nous vivons une période étrange.


    Plus je m'instruis des déséquilibres économiques mondiaux, plus l'imminence d'une crise majeur me semble probable.


    Or, peu en est fait du cas, surtout de sa suite.


    Certes, sont discutés les-dits déséquilibres: les effets délétères de l'euro sont décortiqués, l'état déplorable des monnaies est montré et démontré, l’effarante accumulation de crédits de toute sorte nous est exposée, la déstabilisation entre producteurs pauvres là-bas et consommateurs appauvris ici est établie, l'apparition et le gonflement démesuré d'une myriade de bulles spéculatives nous est révélé...


    En revanche, rien ou si peu n'est dit au sujet d'un crash mondial qui, pourtant, serait la suite logique de toutes ces aberrations macro-économiques et économico-politiques qui sont égrainées tout au long de bon nombre de sites.


    C'est ce qui fait, pour moi, l'étrangeté de notre époque: ne pas pouvoir, ni collectivement, ni individuellement, envisager, ne serait-ce que la possibilité, d'une rupture désastreuse de l'économie-monde.


    Pourtant, tous les signes sont là et sauf à me prouver le contraire, soit la solidité intrinsèque de l'économie mondiale, je ne vois pas comment ce système peut encore perdurer jusqu'à même un court, voire un très court terme.


    Si cette rupture se produit, ce qui revient pour moi à écrire plutôt: quand cette rupture se produira, le fait qu'aucune réelle analyse sérieuse n'en est fait ne pourra pas ne pas nous plonger dans des difficultés abyssales.

    C'est vrai, il peut y avoir ça et là tel ou tel commentateur qui, comme moi, essaie de prévenir des multiples dangers et adversités vers lesquelles la ruine universelle nous conduira.

    Mais cela n'est pas le fait de personnalité en vue, soit parce que ce sont des personnes qui sont, de même que je le suis, amateurs, soit parce que ces quelques personnalités sont, d'une façon ou d'une autre, misent dans l'impossibilité de s'exprimer.

    Internet existe aujourd'hui, outil d'expression à la parole largement libre, mais je n'y lis que peu, sinon même rien, du-moins en langue française, de ce qui me semblerais faire sens au-delà de la probabilité de cette ruine: des réflexions politiques, géopolitiques et géostratégiques sur les effets à court et moyen terme de la-dite ruine, autant en France, en Europe que dans le reste du monde.

    C'est pourquoi j'exprime ce puissant sentiment d'étrangeté.

    Pourtant cela semble logique: si, comme je le dit, les immenses déséquilibres économiques conduisent, à terme, irrémédiablement au délabrement monétaire et boursier, la désindustrialisation à marche forcée de l'Occident ainsi que du Japon, la production dans des pays aux faiblesses salariales, devenue surproduction de produits invendables en raison de cette crise première, la monoculture étendue à un très grand nombre de pays, et pas des plus riches,  ne pourrons pas ne pas avoir de conséquences majeurs en Europe et dans le monde, le contraire est impossible.

    Il doit tout de même y avoir des officines plus ou moins discrète œuvrant à faire ce travail de conjecture, le L.E.A.P., par exemple, mais celui-ci ne se penche essentiellement que sur les seuls faits économiques et peu sur les autres conjonctures.

    Il est pour le moins étrange pour moi d'avoir l'impression d'être l'un des seuls à s'essayer d'établir quel pourrait être notre proche futur.

    Pourrais-je envisager cela, d'en être que l'un des seuls...?

    N'est-ce donc pas étrange que ce soit aux amateurs qu'est dévolu ce rôle d'alarme?

    Qu'en pourrais-je dire sinon le traumatisme ressenti par les élites et pour partie le peuple lorsque l'empire américain ne sera définitivement plus ce qu'il représente encore un peu aujourd'hui, traumatisme qui nous fera prendre six mois à un an de retard.

    L'effondrement plus ou moins rapide du commerce international, maritime et aérien.

    Le manque cruel de quasiment tous les objets et outils dont nous avons tous besoins ainsi que de toutes les pièces de rechange.

    Le manque, aussi, de matières premières, minières et de l'énergie, ainsi que celles déjà manufacturées tels que les tissus, les aciers ou le papier.

    Les banques, assurances et fonds spéculatifs pour la plupart faillis et les gouvernements obligés de les nationaliser, ad minima pour leur simple sauvegarde.

    Des forces armées européennes réduites à quasiment rien avec une France, en tant que première puissance militaire européenne, pouvant réunir l'ensemble de son armée de terre dans un seul et dérisoire stade de foot.

    Des tensions déjà existants allant en accroissement sur les cinq continents, au sein des pays comme entre divers nations, tensions pouvant mener au pire.

    Toutes les monnaies en déshérence, les états sud-européens soit rejetés par l'Union-Européenne, soit la quittant en se délivrant, dans le même temps, de l'euro.

    La déliquescence des U.S.A., son éclatement ou une seconde guerre de sécession, de toute façon une disparition au moins en tant qu'empire.

    Allez naviguer sur internet et vous verrez que je me base sur des informations pour avancer cela et ce simplement en francophonie.

    Imaginez le nombre d'informations que la personne bien placée, anglophone ou sachant utiliser au mieux l'outil informatique serait dans la capacité de percevoir et comprendre et donc de déduire pour notre proche futur de la situation présente.

    Et pourtant pas grand chose n'est perceptible.

    A croire que tout le monde a compris mais que personne n'ose se l'avouer: nous serons bientôt devant bien des incertitudes et des désolations.

    Quelle période étrange!

     

     THEURIC

  • Mon intention.

    Je ne recherche, en soi, aucune gloire, tout juste  aimerais-je être reconnu pour la production de mes d'idées, mais, de cela, je le sais impossible.

    Cette solitude qui, peut-être à un moment ou à un autre de ma vie, cessera, ne peut qu'être que pesante, mais suis-je en droit de cesser de poser sur ces pages de ce que je comprends d'un futur qui sera pour nous en tous points difficile?

    De faire comprendre au mieux à mes semblables les durs temps qui viennent.

    De guerre lasse, je fus tenté hier de provoquer mes lecteurs en allant au plus profond du piège logique dedans lequel nombre d'européens et d'étasuniens sont plongés, et puis ce matin je me suis ravisé, ce serait contreproductif.

    En fait la propagande des États-Unis-d'Amérique repose, en Europe, sur quatre piliers distincts, qui furent toujours faux et/ou d'une grande perversité:

    1) La toute puissance de l'empire US liée à l'idéologie néolibérale monétariste;P1030021.JPG

    2) L'inéluctable nécessité de la construction européenne sur de mêmes bases idéologiques utopiques;

    3) le présupposé réchauffement climatique anthropogénique;

    4) la désexualisation des peuples européens et leur infantilisation.

    Ceci sous l'égide d'une domination impériale multidécennale, culturelle, médiatique, symbolique, artistique, politique, historique, géographique, sociologique, diplomatique, médiatique, scientifique, économique, électorale, scolaire, militaire d'une moindre façon, ceci par le biais d'officines de pression pour lesquelles sont autorisées toutes les subversions totalitaires et perverses, toutes les entorses à la moindre des moralités, mais discrètes, et dont l'Union-Européenne n'est que la pure créature, l’œuvre malfaisante et ultime.

    La France serait ainsi en droit de vouloir récupérer sa statue de la liberté que depuis des lustres notre cher Toton Sam n'a cessé de piétiner allègrement chez lui comme chez nous.

    Tout ceci générant un état de soumission doublé d'une sidération importante des peuples, dont des français, qu'il est ardu de réduire, parce que la peur que tout cela s'arrête d'un coup est plus importante que de la lente décrépitude de la société qui, P1030151.JPGquoi qu'il en soit, ne pourra qu'être plus importante en terme de destruction que de ce qu'il pourrait en être de ce brusque effondrement.

    Pour la simple et bonne raison que les instabilités sociétales de toutes sortes s'accroissent jour après jour.

    Dès lors, que l'un de ces quatre piliers en vienne à se rompre et ce serait tout l'édifice qui s'effondrerait définitivement.

    Mais en revanche, si tous périclitaient en même temps, nous devrions faire face à une réaction de type stress post-traumatique d'une portion non négligeable de la population.

    Et, suivant le fait que depuis des décennies ces-dites instabilités du système dans son ensemble, économique, certes, mais aussi politique, médiatique, philosophique, artistique, scientifique, etc... tendent à s'accroitre, il y a de forts risques pour que ce pire n'advienne.

    Tout mon travail ne consistant alors qu'à essayer de prévenir  au mieux des effets probables que cela génèrera.

    Le point névralgique, la terrible faiblesse de tout ce système de domination c'est l'économie, occidentale, certes, mais aussi mondiale, au centre duquel se trouve le dollar et un euro qui n'en est qu'une pâle et artificielle copie, le tout se trouvant dansP1030177.JPG une épouvantable situation.

    Il s'agit donc de s'y préparer au mieux, tant psychologiquement que matériellement, mais pour cela encore faut-il en être conscient.

    Mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est visible que sa simple évocation met en émoi les gens, crée une angoisse d'une grande violence puisque à ce monde connu et reconnu dedans lequel tous s'y reconnaissent, nous plongerons dès lors dans celui inconnu d'un socle conceptuel et perceptif naturellement énigmatique et incertain.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que la plupart de mes lecteurs découvrant mon site n'en lisent que deux à trois pages puis, ensuite, en viennent à en oublier tout autant l'intitulé que l'adresse.

    Tout en se surprenant ensuite de faire quelques réserves en nourriture et produit d'entretien.

    Le principal se trouvant là, bien sûr.

    Quand à ce qu'il pourrait en être de ce que j'y exprimerais oralement de ma perception de la chose, mon expérience me montre de la fuite, sous une forme ou une autre, à chaque fois de mon interlocuteur, que je ne peux y espérer une écoute meilleurs que de ce qu'il peut en être de l'écrit.

    P1030199.JPGSachant qu'aux deux extrêmes de la perception de cet achèvement de notre domination impériale euro-atlantiste, mais aussi oligarchique, et de cet effondrement économique inévitable, tous trois complémentaires, s'y trouvent largement majoritaire ceux qui en ont un déni plus ou moins important, tout comme ceux qui en sur-exagèrent les effets, ceux que l'on appelle les survivalistes.

    En une dernière tentative, pour ces derniers, de conserver un contact, même symbolique, d'avec la puissance impériale largement déclinante, parce qu'il est vrai qu'au-delà de l'océan Atlantique, ce sera là que cette crise inouïe sera la plus importante.

    Un effondrement n'est que ce qu'il est et ne peut se faire que sur les bases de ses vulnérabilités, détériorations et de ses faiblesses grandissantes: si un pont s'écroule, il est vrai que personne ne pourrait en définir la date par avance, en revanche il est possible de dire, au vu de son état de délabrement, où il serait le plus manifeste que la cassure se produise.

    Là, pour ce qui nous occupe, il n'en est pas différemment.

    Mais cette commotion de la population pourrait être évité si, auparavant, l'UPR prenait le pouvoir en devenant électoralement majoritaire dans le pays et que François Asselineau en devenait le nouveau président, conduisant le France-quitte de cette Union-européenne mortifère, comme, aujourd'hui, le fait la Grande-Bretagne de son brexit.

    Certes, les eurolâtres nous créeraient de nombreuses difficultés, les premiers tempsP1030038.JPG nous seraient compliqués, mais plus vite cela arriverait et mieux la nation s'en porterait.

    Et qu'ainsi rapidement se conduise une reconstruction industrielle et agricole dont tous nous avons infiniment besoin.

    Si ce n'étaient les journalistes cornichons qui, dans les médiats officiels, n'ont que de cesse de mentir  éhontément sur toutes sortes de  sujets et, entre-autre, sur ce parti politique, sur son président et sur ce projet logique et sain de sortir de cette union dont le but n'est que de détruire les pays pour en asservir les peuples à un empire U.S. dont le déclin n'est pas loin de son achèvement par sa disparition prochaine.

    Parce que de toute la chaîne de responsabilité de cette gabegie  absolue, ces journalistes cornichons se trouvent, de fait, en première ligne, et chacun d'entre-eux se devrait de se demander si, entre lui et ses donneurs d'ordre milliardaire ou ministre, lequel aura le plus à souffrir de la disparition de l' UE€ et de leurs maîtres étasuniens.

    Ce sont en effet le plus souvent les sous-fifres qui paient le plus les pots cassés.

     

    Lutter de toutes forces contre cette inertie populaire compréhensible serait, de ma part, absurde.

    Du-moins aurais-je tout fait pour en réduire la violence de ce choc avenir, la banqueroute généralisée et la disparition de notre cher oncle si tant et tellement incivile qui se plait de détruire là d'où il provient, l'Europe.

    Ce choc n'en serait qu'infiniment plus réduit si l'UPR devenait majoritaire.

    Après je sais que, hormis de rares cas, même mes lecteurs assidus, qui ne doivent P1030246.JPGpas être très nombreux, m'oublieront dans la tourmente du France-quitte ou, sinon, des effets de cette débâcle multifactorielle.

    Et moi je commencerai à produire mes œuvres poétiques.

     

     

    THEURIC

    PS: Je vais progressivement m’éloigner de la politique, non pas qu'elle ne m'intéresse plus mais que, plutôt, j'ai dis ce que j'avais à en dire.

  • De la perception du temps par l'exemple.

    En Décembre 2017, il y a déjà deux ans de cela, j'avais, avec vous, exploré quelle est, à mon sens, que la nature de la pensée.

    Thème qui, à faire erreur, ne fut que rarement abordé par les professionnels de l'esprit, des philosophes aux neurologues en passant par les psychanalystes.

    J'y avais posé d'axiome, dans ce billet, que cette pensée, jeune dans son apparition de quelques dizaines de milliers d'années seulement, avait entre-autre de nature que de faire une démarcation entre conscient et inconscient et de permettre à l'Être-Humain de conceptualisé le temps en une séparation entre le passé, le présent et le futur.

    J'en avais tout autant, il est vrai rapidement, exploré d'autres attributs tel que l'imagination ainsi que l'expression de l'égo et du narcissisme dans leurs multiples intrications et, matière que j'avais aussi abordé dans d'autres textes (regroupés ici), P1030516.JPGde la perception de notre identité par le fait d'humainement nous déterminer tant individuellement que collectivement.

    En revanche, ce à quoi je n'avait jusqu'alors songé, c'est ce lien indéfectible entre la pensée temporalisée, la compréhension de la notion de causalité, quelle soit structurée ou pas, non moins que de pouvoir dès lors concevoir, même succinctement, les conséquences, certes de nos actions, mais aussi de nos pensées, pouvant générer, en une boucle de rétroaction, un ensemble d'effets s'effectuant lentement autant sur notre propre personne que dans notre milieu social.

    C'est pourquoi il serait bien que chacun d'entre-nous se connaisse au mieux.

    Or, il est de fait qu'en raison de notre perte, avérée bien que partielle et momentanée, de notre détermination d'être, aux origines multifactorielles, nous menant à une identité floutée et parfois grandement parcellaire, lesdites causalité et temporalité, dès lors de nos capacités de conceptualiser les conséquences tant de nos actes que de nos pensées, nous sont devenus grandement réduites, voire même, pour certains d'entre-nous, quasiment impossibles.

    En une époque où l'évolution de nos sociétés aurait dû, à tout l'inverse, nous conduire d'en développer le substrat bien au-delà de ce qu'il nous serait capable de s'en représenter la trame.

    P1030572.JPGC'est en cela que je définirais au mieux cet arrêt progressif des progrès de tous niveaux, tant de nos facultés mentales que de ce qui nous fait société, ceci nous menant  à un état de décrépitude intellectif collectif avancée.

    Étant entendu qu'il serais malsain de considérer ça comme étant une faute puisque cela mènerait à une culpabilité malséante, inutile et autodestructrice quand, ici, je me force et m'efforce de montrer que de faute il n'en est point, nos responsabilités étant de contrevenir à cet état de fait en nous réappropriant notre identité et, par delà, notre curiosité, nos questionnements du monde, nos savoirs, nos connaissances, notre inventivité... pour que  nous puissions rebondir puis reprendre la croissance naturelle de notre humanité, ne serait-ce qu'en en commençant en France le métier.

    Ce que les russes entreprennent actuellement en plein et ce que les britanniques débutent en ce moment même.

     

    Les facteurs de cette déchéance ne pouvant être que provisoire sont multiples et j'ai, depuis des années, essayé d'en définir les traits les plus importants:

     

    -Traumatismes dus à deux guerres mondiales:P1030666.JPG

    Thème que Monsieur Zemmour avait relevé lors de son débat avec Monsieur Asselineau le 19 Novembre 2019 mais dont je pense qu'il n'en ait en rien saisi la profondeur, le concevant dans l'incapacité formelle d'aller au-delà de cette simple remarque pour les raisons évoquées plus haut.

    ( Je me demande d'ailleurs si ledit débat n'aurait pas eu lieu en raison du factum que j'avais publié sur mon site à son endroit le 8 de ce mois, soit à peine plus de la semaine suivante. )

    S'il faut, en effet, trois générations pour qu'un trauma mène à un désordre psychique pour le descendant de celui qui l'a subit, alors nous pouvons considérer que la quatrième, elle, n'a plus à en souffrir, le temps en ayant passé.

    Nous pourrions même en conclure qu'au même titre que 70 ans environ après la création de l'URSS cette union ne fut plus;

    Il serait logique de considérer, de la même façon, que, des tous débuts de l'Union-européenne sous sa forme de 1952, la Communauté européenne du Fer et du Charbon, jusqu'à aujourd'hui, les mêmes 70 années d'existence ne peuvent que signer une similaire échéance d'une même déchéance.

    Certes, ce sont  bien ces deux guerres qui conduisirent à ce que, sous l'égide d'un Tonton Sam impérial, les nations européennes décidèrent inconsciemment de tenter de se retirer de l'histoire, mais diantre ce que nos jeunes sont d'un appétit d'y P1030459.JPGretourner s'y frotter!

    C'est bien, à cause de ces deux chocs violents, d'avoir voulu se retirer ainsi des affaires du monde dans le désir infantile et archétypal de bâtir le même paradis sur Terre sous la même forme unioniste que l'Union-Soviétique, en une totale inversion idéologique , qui nous mena à cette terrible diminution de notre raison.

    Et c'est cela qui maintenant s'achève.

     

    -Notre domination par les États-Unis-d'Amérique:

    Voici le déni le plus surprenant, celui de notre domination par un empire non européen grandement déclinant.

    Et pourtant une multitude d'exemples passés et présents, pour qui veut bien s'y pencher, ne peuvent que nous en démontrer la véracité du fait.

    Il est à remarquer que nous suivons de peu le même déclin intellectuel que notre malveillante tutelle, ceci en la seule et unique raison de leur imitation, ni plus, ni moins.

    Les causes de ce déclin sont intéressant à étudier, ce sur quoi je n'ai pas encore songé, toutefois quelqu'un comme Dimitri Orlov offre, dans ses rubriques, un P1030226.JPGensemble de réflexions sur ce sujet.

    Sachez, en ce seul exemple, que des médecins étasuniens craignent que la peste, cette maladie qui avait éradiqué du tiers à la moitié de la population européenne au XIV° siècle, ne soit dores et déjà présente au pays de Tonton Sam.

     

    -Nos oublis et parfois nos rejets culturels:

    Je pense que le fait qu'il soit devenu de plus en plus ardu, pour la majorité de la population, de monter dans l'ordre hiérarchique en soit l'une des origines principales, ce qui conduit au manque de régénération des créations de toutes natures.

    Ainsi que du sentiment, ici des classes-moyennes hautes à supérieures, de leur inaliénable compétence et de leur bon droit  de connaître le bon et le beau de ce qu'il est nécessaire pour le pays, ceci par l'articulation du dogme euro-atlantiste ne pouvant que nous démontrer toutes ses défaillances.

    Ce double phénomène étant, là encore, entrain de se réduire en conséquence des faiblesses insignes de toutes sortes des trois dernières législatures présidentielles, la dernière en en étant en tous points caricaturales.

    La seconde raison en étant notre perte d'intelligibilité du monde par celle de notre P1030095.JPGidentité, due pour une grande part aux béances frontalières et à la diminution de la qualité de notre langage, je vous renvoie de cela à la première partie de ce billet.

    L'usage d'anglicismes infondés et plutôt stupides en étant la troisième, dans une tentative désespérée de se montrer à la hauteur de cette intelligence égarée et dans l'angoisse existentielle de comprendre, sans se l'avouer, la profonde déliquescence impériale, empire garant, à ces yeux égarés et éperdus, de cet utopie édénique unioniste.

    Enfin en une quatrième cause principale en une liste non close, la monté en puissance d'une oligarchie ploutocratique, sotte et toute puissante, à la culture d'une basse faiblesse endémique qui, tels des rats devant un morceau de fromage, se rue sur tout ce qui pourrait être comptable d'une parcelle de richesse;

    Et qui, dans leur crainte maladive de percevoir la moindre once d'intelligence du peuple, n'ont que de cesse de pervertir son entendement par tous les médiats interposés, en alliant autant le mensonge, la promotion d'un art abrutissant qu'elle en vient à apprécier que de la médiocrité programmatique médiatique.

    Je n'oublie en rien que notre nation et notre état est englué dedans une union-Européenne totalement déconnectée de toute réalité et ne désirant qu'une seule chose et une seule: mettre en place le programme qui est à la base de son existence: P1020251.JPGcelui que l'empire US lui a laissé à sa charge, soit la destruction des états-nations.

    Tout autant que je n'oublie en rien les faiblesses mentales des pervers narcissiques telles que j'ai pu les exposer auparavant et qui, en raison de leur aliénation vicieuse, sont dans la plus absolue incapacité de conceptualiser les résultantes de leur actions malveillantes.

     

    Notre éloignement de notre mémoire collective: l'histoire:

    C'est un phénomène sciemment voulu et décidé par notre maître étasunien pour pouvoir nous maintenir dans son corset qu'est l'Union-européenne: oublier son histoire c'est perdre son identité.

    En une continuité constitutive, nos  élites zélées à l'esprit vaporeux, devenues elles aussi, elles surtout grandement sottes, perpétuent jusqu'à l’écœurement cette P1030147.JPGtendance généralisée à la médiocrité, ne voyant rien de mal à ce que leurs enfants et petits enfants, que les enfants et petits enfants de la population toute entière ne puisent représenter qu'une masse traumatique parce que ignorante.

    "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre.” Karl Marx (Manifeste du partie communiste.(1847) ou "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre." Wiston Churchill, maximes similaires de deux personnages historiques aux antipodes idéologiques, ce qu'il vous reste, messieurs-mesdames, à méditer.

     

    Après ce rapide tour d'horizon des raisons qui font que, de notre perte d'intelligence, en advienne celle de nos capacités à anticiper les effets de nos décisions, je vous propose de vous en montrer cinq (erreur) trois exemples.

     

    Le projet de loi des retraites:

    Je ne reviens pas sur ce projet lui-même, la grande part en étant débattue tant dans les médiats, sur le web, chez les grévistes, au sein des syndicats comme dans les partis politiques.