Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : urss/usa? d'un empire à l'autre

  • Deux textes vite faits.

    Je vous propose aujourd'hui deux textes plutôt courts, le premier portant sur la désindustrialisation mondiale, le second d'une réflexion de la politique française lorsque cette catastrophe  aura lieu.

    Désindustrialisation et fragilisation bancaire:

    IMGP0046.JPG

    D'aller voir mes textes antérieur, je me suis aperçu qu'en Mai je pensais que le  système  économique recommençait à se réindustrialiser, or, à l'époque, ce  fut une énorme erreur de jugement, celle-ci était bel et en dans une phase de repos jusqu'au début du mois d'Août, ceci parce que, comme je l'avais toutefois souligné, les gens  qui avaient un petit peu de sous dans leur compte en banque, ne voulaient pas, avec raison, que cet établissement leur confisquât leurs pécules.

    Ceci grâce aux amicales recommandation de l'Union-Européenne aussitôt entériné par des lois votées illico presto par les pays de l'union, voulant qu'une  banque  avait l'autorisation de confisquer les avoirs des particuliers si celle-ci était en position difficile (état dans lequel elles sont déjà toutes, mais pas officiellement).

    Oubliant imprudemment ce texte de Mai, j'ai toutefois, en maints commentaires, expliqué ailleurs, dont à Businessbourse ( http://www.businessbourse.com/2016/08/06/le-nouvel-effondrement-du-cours-du-petrole-est-une-tres-tres-mauvaise-nouvelle-pour-leconomie-americaine/ ), le processus en cours.

    DSC00093.JPGCelui-ci se décompose en trois temps:

    1) De Janvier à mars la population instruite et/ou au fait des médias, ayant quelques économies en banque, comprennent  qu'elles risquent de tout perdre en raison des lois votées;

    2) D'Avril à Juin elle dépense son argent par l'achat de divers biens et commande travaux, cadeaux à la famille et autre, en conservant de quoi se payer des vacances convenables;

    3) Vacances puis arrêt plus ou moins total de toute dépense, avec peut-être aussi prise de monnaies conservées chez soi.

    Cela ne pu que fragiliser la situation bancaire puisque ces établissements se retrouvent, de fait, dans une situation comptable bien plus délicate qu'auparavant.

    Cela se passant, bien sûr, non seulement en France mais aussi partout dans le monde où ce type de décision gouvernementale fut prise.

    Ce fut, comme je l'ai dit, la raison pour laquelle il y eut un regain d'activité économique, la remonté des prix des matières premières et de l'énergie ainsi qu'une amélioration de la situation des transports internationaux.

    Maintenant les cours des matières premières tendent de nouveau à la baisse, avec le pétrole redescendu à environ 40 dollar le baril.

    Cela ne pouvant que prendre les décideurs économiques et les responsables politiques à contrepied, eux qui pensaient, depuis le début de l'été, que cette descente en était arrivée à sa fin.

    Je me dois de vous raconter deux anecdote qui, ma foi, paraissent montrer cetteIMGP0205.JPG extrême fragilité bancaire et, également, commerciale.

    La première fait suite à l'appel du responsable du compte en banque de ma mère et du rendez-vous pris avec lui.

    Celui-ci voulait de toute force que son petit pécule soit placé en sa moitié sur son assurance-vie en faisant valoir sa meilleurs rémunération, ce à quoi j'ai mis le hola, y sentant le vent mauvais.

    Je vous conseillerais, messieurs-dames lecteurs, de retirer tous vos  sous de ce type de compte au plus tôt, y pressentant qu'un phénomène de cavalerie pourrait bien s'y être mis en place dans un nombre indéterminé d'établissements.

    Le second à trait de ce que j'ai pu voir comme publicité sur la parking d'un grand magasin provincial et d'un autre de la région parisienne vers le quinze du mois dernier: Faites un chèque aujourd'hui, il ne vous sera  facturé qu'au début du mois prochain.

    Cela ne peut  que montrer l'appauvrissement des populations et, suivant, de la situation quasiment catastrophique des super-marchés, étant entendu que les petits commerces ne sont pas loin de la faillite, quand ils ne le sont pas  déjà, d'où le vide grandissant des centres-commerciaux et des centres-villes.

    IMGP0347.JPGPour finir, je vous propose de retourner voir ce petit billet où je vous donnait quelques conseils, même si celui-ci peut être un peu dépassé, les conseils, eux, ne le sont pas: ( petite-video-d-un-economiste-pour-moi-inconnu-5740090.html ).

    Quelle réaction aura le personnel politique lorsque cet effondrement de l'économie mondialisée aura lieu? 

    Franchement, je suis là dans la plus absolue des expectatives, ne sachant pas vraiment comment les choses pourraient se passer.

    Nécessairement les banques auront fait faillite et les scandales seront nombreux.

    Certes, l'Union-Européenne se terminera dans le grand-guignolesque.

    Bien sûr, les équipes gouvernementale et des partis officiels dits d'oppositions, L.R. et F.N. pour l'essentiel, seront totalement perdus et affolés par les événements à venir.

    Mais pour le reste, parce que ceux sus-cités n'auront à ce moment là plus grande  importance je vous avoue ne pas très bien saisir les dynamiques en cours, sachant toutefois que la politique est, contrairement à l'économie, beaucoup plus difficile à en apprécier le développement.

    La simple raison en étant  qu'en économie il est facile d'en délimiter les fragilités, ici l'industrie, les banques et les fonds spéculatifs internationaux, et donc d'en porter conjecture des effets, quand, en politique, s'y mêlent autant les silences, les buts et stratégies, les croyances etP1000130.JPG présupposés, les relations humaines exacerbées par le pouvoir et sa recherche, les idéologies, ..., enfin bref, la politique est bien moins prédictive que l'économie, surtout quand cette dernière est en train de se désagréger et que le monde politique est déjà dans un certain chaos.

    Ainsi,  qu'en sera-t-il des réactions de notre Président de la République, personne ne peut le dire, même si le Premier Ministre et celui de l'économie, Messieurs Valls et Macron, pourraient très bien l'un et l'autre se retrouver en grave crise psychologique?

    Quels seront les réactions des cadres et dirigeant du parti (les) Républicain(s) et du  Front-(pseudo)National, pas grand monde peut en avoir l'idée, nient-ils ou pas les fragilités de l'économie-monde, qui et en quel nombre, ont-ils ou non la conscience collective de la désindustrialisation actuelle, comment le savoir?

    Monsieur Mélenchon a, il est vrai, démontré dans l'une de ses conférences, cet extrême fragilité de la globalisation monétariste, mais en a-t-il pris toutes les mesures logique au sein de son parti?

    Monsieur Asselineau est entouré de gens compétents, a déjà abordé ces questions de fragilité économique, mais, hormis sa préparation des prochaines élections, a-t-il mis en place un suivit de cette dégradation actuelle?

    P1000445.JPGQuand aux verts, n'en parlons même pas, de petits ils sont devenus lilliputiens en passant leur temps à se chamailler.

    Je l'ai dit, la France est le sujet aujourd'hui central de toutes les chancelleries ayant quelque dimension, ne pas, pour elles, y avoir un pied d'une manière ou d'une autre ne peut qu'être une preuve de la faiblesse d'un pays.

    Ceci rajoutant à la complexité politique actuelle.

    Alors, qu'en pense les journalistes, ceux en vu et bien vu, et les autres, craignant le chômage et ainsi en obéissance forcée?

    Et puis, qu'en pense la population?

    Quel en est le pourcentage qui a pris les dispositions adéquates?

    Naguère, Nagui, présentateur télé bien connu, a, à demi-mot, dit la prochaine faillite des assurances, les banques, non-nommées, ne pouvant que s'en rapproché, il en fut applaudit par les spectateurs.

    Cela prouvant au moins que les gens sont dorénavant plutôt conscient de la situation économique réelle dedans laquelle nous sommes.

    Je conçois  que faire un texte en y disant: "je ne sais pas", peut sembler inutile, mais cela me parais nécessaire puisque pour l'instant, la situation en devenant imprévisible, la seule chose  qu'il nous reste à faire est d'observer les événement, jusqu'aux peu visibles signes ultérieurs, tout en gardant notre sang-froid.

    Et  puis, de délimiter les contours de notre ignorance n'est-ce pas de commencer à mettre nos idées au clair?

    D'autant plus que cette faillite universelle s'approche à grands pas.

    DSC_9610.JPG

     

    THEURIC

     

     

     

  • Le mur de Pierre et autres galéjades.

    Il me semble, chers lecteurs, que ces poème vous nécessiteront un travail de décryptage, le sujet traitant du mur qu'il est toujours possible de contourner ou gravir d'une manière ou d'une autre.

    Écrits il y a de cela d'années passées, je les republie maintenant, accompagné d'un nouveau, ceci sentant le vent tourner.

     

    Bonne lecture, amis lecteurs.

     

    Disposer de l'âme d'autrui par machinerie

    C'est de s'indisposer

    L'esprit.

     

    Aux superbes d'importance

     

    Voici que par trois fois mon  âme sensible

    Perçut, en bel instinct, le risque d'aléas

    D'algorithmes voyeurs m'en faisant la cible,

    De quelconque guêpier, peut-être lauréat.

     

    Ces triples recensions séant, ma foi, le requiers: 

    D'opprobre de ceux-là dont je conte la course

    De leur saugrenuité au fiel ordinaire 

    Minant tous les péquins, flétrir leurs ressources.

     

    Le doigt de l'index, là, sur toutes proses posé

    Nous mène qu'à gauchir cette Anastasie,

    De tâcher bien faire net en traits déposés

    Pour pourvoir en plis ce risque d'aphasie.

     

    L'automate se perd en ces mots si retords,

    Le cuistre s'égare de son impéritie:

    Ce dédale ci façonne pléthore

    De termes abscons en très larges glacis.

     

    Du bon mot, contrepet et autres à-peu-près,

    Boutades, galéjades ainsi qu'évocations 

    Ne peuvent que vaquer, de trames aux apprêts,

    A clamer, manifeste, humeur, rescisions.

     

    Je rime en quatrain, une geste malicieuse,

    Ce verbe si désuet pour empaumer le fat,

    Sentir ce baragouin est action malgracieuse, 

    D'entortiller ces buses, mais quelle nouba!

     

    PS: Sans être un sonnet en est alexandrins.

           Vous est recommandé le dictionnaire en main.

                                                 ...................................................

     

     Quand on a plus que patates

           Pour toute votation,

    Il n'y a plus que cornichons

     

     

     

    Le vote des légumes

     

    Dans le potager d'une humble chaumière,

    Une élection s'y fait affin d'élire

    Quelle plante parmi celle à choisir

    Serait la plus belle, serait première.

     

    Toutes en sont à extrapoler en son mieux

    Celle qui, de ces fruits, aurait le plus beau bleu,

    Celle qui, lors, serait d'un bleuir si radieux.

     

    Elles furent deux premières, morbleu,

    Ni persil, ni radis, ni chou, si chatouilleux,

    Ne surent arbitrer ces produits fabuleux.

     

    Ce fut le bel azur d'un cucurbitacée,

    Un beau pied de courge qui en reçut ce prix

    Et un framboisier d'un cyan qui surprit.

    L'humus qu'ils obtinrent fut leur panacée.

                                                          ------------------------------------

     

    D'une raillerie facétieuse

    J'en fis cette fable

    Narquoise et affable

     

    Le paysan et les grandes oreilles

     

    Jamais de machine ne doit faire sa loi,

    Nul humain ne doit lui obéir:

    Voilà qu'une affaire ayant beaucoup fait rire

    Montra, de sa raison, le vrai de son éclat.

     

    En province lointaine du monde parisien,

    Là où vit encore le fermier ancien,

    Un rural habitant, humble cultivateur,

    Voyant frimas venir, s'amener la fraîcheur,

    Voulu faire un stock de bois de chauffage.

    En allant rechercher ses quelques outillages,

    Il prévint sa femme vers où il cheminait,

    De son bigophone, il lui téléphonait:

    "Voici, mon adorée, je me rends en scierie."

    Aussitôt raccrocha et chemin poursuivit,

    Ne pensant pas à mal, de cette courte phrase,

    En échanges communs des rives ardéchoises.

    Lors, dans quelques coins aux obscures secrets,

    Un computer vaste, juste un grand objet,

    Machine sans esprit et sans intelligence,

    Servant à écouter malandrins et engeances,

    Assassins, criminels et autres scélérats,

    Mais parfois, tout autant, ceux qui gène l'état,

    Confondit, sans âme, le nom de l'établi

    Avec l'autre, lointain, celui de ce pays

    D'où se réclamaient les auteurs de tueries

    Et d'une religion trahie par ces sicaires:

    Syrie ou bien scierie, le son est similaire...

    Et voici que le robot alarma tout à trac,

    Sans que nul ne saisisse cet absurde couac,

    Le ban et l'arrière ban de la maréchaussée,

    Aussi les pandores et autres policiers.

    L'homme désigné des foudres automates

    Se retrouva séant en sombres casemates

    Par des gendarmes honteux demandant l'indulgence

    A celui qui, des heures, vécu cette démence.

    Si peu d'écho se fit de cette rigolade:

    Les agents remisèrent leur panier à salade

    Et leur hiérarchie furent d'infinies pudeurs,

    Jurant, je l'escompte, d'être seuls commandeurs

    Du simple instrument de télédétection,

    D'espionnage et autres intoxications.

     

    Une machinerie, quelque-en soit sa puissance,

    N'a pas de jugeote et aucune vaillance:

    De la vouloir humaine est là faute bien grave,

    La vouloir plus qu'humaine c'est s'en faire l'esclave!

                                       --------------------------------

     

    Le renouveau est chansons

    De l'aube au couchant

    Éternellement

     

    Le printemps

     

    Voilà, le soleil montre son visage,

    Haussant son zénith en son suave réveil,

    Délaissant les frimas en vagues usages

    Il échauffe le temps, la terre, la fleur et l'abeille.

     

    Dedans de chez moi j'entends bruire gentes ailées,

    Pépiant à qui mieux-mieux en un joyeux regain.

    Qui construit son nid, qui cherche l'arbre percé,

    Briguant leur possession en ces si beaux refrains.

     

    Les ventres gros des bourgeons laissent deviner,

    Des arborescences aux moindres arbustes,

    Les feuillages futurs, les fleurs bientôt nées,

    Plein de promesses d'une vie robuste.

     

    Au ciel se perçoit chanter les oies qui rentre

    De leur lointain voyage tout au loin au sud,

    Elles volent et chantent comme d'enjoués chantres

    Heureuses de rallier l'aire d'habitude.

     

    Hommes et femmes délaissent leur lourds manteaux,

    Les belles dévoilent leurs ronde sublimes

    Aux messieurs extasiés de tant de douces peaux

    Que peignent ces habits que leur pas animent.

     

    Les amoureux s'émeuvent de leurs chauds baisés,

    Main dans la main cheminent de même foulée,

    Ont corps léger des éteintes apaisées

    D'une nuit secrète de passion étoilées.

     

    L'hiver s'est absenté le printemps revenu,

  • Marianne se sauve grâce à l'imbécilité de ses tortionnaires.

    ( Chère Tatiana Ventôse,

    Ce papier (ce qui est marrant face à un écran) vous est adressé.

    Je ne vous connais pas et ne réagirais pas à votre intervention youtubesque sur vos positions politiques par quelque vidéo que ce soi.

    La raison en est que je sais quelles réactions cela va générer chez tout un chacun: diverses formes de refus à ce que je puisse exprimer la moindre pensée valide, dire l'inverse que ce que je peux exprimer, négation net de sa logique..., pouvant mener à une agressivité à mon égard.

    Ce phénomène, que j'ai pu connaître aussi loin que je peux remonter dans mes souvenirs, m'est encore difficile à appréhender, trouvant sûrement sa source d'aujourd'hui en ce que je tiens un discourt discordant de ceux qui sont tenus habituellement, mettant bien sûr mes réflexions de ses origines hors du champ des échanges sociaux.

    Dedans ce qui s'appelle mon soi jardin secret.

    Cela s'appelle, paraît-il, le syndrome de Cassandre, je vais prendre la peine de l'analyser, je sens qu'une fois encore je vais m'amuser.

    C'est pourquoi c'est par ce blog (en raison aussi de ce que je ne veux fournir qu'au minimum mes informations personnelles sur ce net pas toujours bien net, hi, hi, hi) que je vous expliquerais, en première partie, les raisons pour lesquelles vous doutez de la profondeur du programme de l'U.P.R., ce que vous sentez P1020030.JPGconfusément sans réellement en saisir le pourquoi, là se trouve, à mon sens, vos approximations à ce sujet,  je vous exposerai après les raisons pour lesquelles j'ai moi-même adhéré à ce parti sans en être militant (vous en avez déjà une approche partielle par mes quelques lignes plus haut).

    Ensuite, en seconde partie, je montrerai que désormais la France est sortie d'affaire, certes, cela ne sera pas un petit chemin qui sent la noisette, mais mieux que bien d'autres, notre pays, contrairement à ce que certains voudraient nous le faire croire (les services britanniques?), va sous peu recouvrer ce dynamisme flamboyant et désordonné qui fait son charme et sa puissance.

    Ce que nos manipulateurs patentés et discrets ne comprennent pas, c'est que dès que la racine des croyances que ces opérateurs ont insinuées dans les esprits, quelle qu'en soit la technique, se sera écartée, que ces manipulateurs auront disparu, l'évidence de la réalité des faits deviendra éclatante pour la majorité de nos concitoyens.

    Et je puis vous assurer que j'en connais quelque chose.)

    La réponse critique la plus habituelle qui vous est faite au sujet de l'U.P.R., thème que vous avez abordé lors de cette vidéo au titre de: "Mes opinions politiques: je vous dis tout", est qu'il nous faut d'abord retrouver notre souveraineté avant que nous ne puissions espérer reprendre une vie politique et idéologique normale auP1020077.JPG sein d'une démocratie adulte.

    Que cela soit la nécessité première avant toute autre prise de position idéologique que ce soit, avant tout programme électoral débattu et disputé.

    A ceci est rajouté lé fait que, dans l'ensemble, ce programme U.P.R. offre une première mouture organisationnelle structurée.

    Ne nous le cachons pas, cette approche est logique et cohérente, sauf si nous nous retrouvions à nous confronter à un effondrement de l'économie globalisée menant, à sa suite, à celui politique de tout ce qui compose l'Union-Européenne, ce que je ne cesse de traiter ici même.

    Le choc psychologique que cela représentera pour tous ceux qui en ont adopté la doxa eurolâtre et américanolâtre sera telle qu'ils ne pourrons faire autrement, soit de décompenser gravement, ce que j'avais montré dans mon billet précédent, soit de se réfugier, comme une majorité de nos concitoyens, psychologiquement s'entend, au-dedans d'une idéologie passée, un patriotisme, une religiosité, un nationalisme échevelé, voire même, rarement, pour certain, à une forme ou une autre d'anarchisme, soit tout simplement de se défaire de toute pensée idéologique de quelle que nature que ce soi.

    Or, dans le même temps où un nombre important de ceux qui organisent la vie sociale, politique et structurent l'administration de la nation se retrouveront en débandade, nous nous devrons de gérer une calamité économique qui, à y regarder de près, rendra notre existence des plus compliquées.

    Pour résumer rapidement, nous manquerons de monnaie, de combustible, de nourriture et de matériels de première nécessité, en ces deux simples exemples, les P1020021.JPGréfrigérateur et ordinateur nous seront absents, sans compter les matières premières et les médicaments..., j'en ai évoqué les raisons dans des textes précédents.

    J'émets l'idée, mais peut-être, bien sûr, en aurais-je tort, que, confusément, vous pressentiriez que là se situerait les limites programmatique du parti de François Asselineau et que la désintégration de l'euro, ce que lui-même et son équipe ne cessent de souligner, signerait, à mon avis, celle du dollar, de l'U.E. puis, à leur suite, de la mondialisation monétariste, ce à quoi ils ne semblent pas songer.

    Les causes en sont faciles à définir: réformer, même à la marge, un système politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, comme l'est notre union et l'était l'U.R.S.S., ne peut que le détruire (il va falloir, un de ces quatre, que j'en explique le pourquoi), or l'euro en est inextricablement lié (tricher avec ces mêmes institutions ne lui étant en rien préjudiciable puisque c'est un phénomène différent, la triple composante sus-nommée de l'U.E. restant en l'état).

    De plus cette monnaie et les banques afférentes, européennes, si fragiles, sont, d'une manière ou d'une autre, enchaînées au dollar et aux banques de l'empire U.S., c'est pourquoi les entreprises européennes quitte l'Iran au plus vite.

    Dollar lui-même, en situation de non-valeur réelle à cause des Q.E., qui se retrouve à être la monnaie de réserve à l'international, ceci doublé de l'immensité desP1020025.JPG créations monétaires quasiment généralisées, mène à ce que si l'euro explose, ce sera donc l'Union-Européenne qui le suivra, puis logiquement par le dollar, ensuite les U.S.A. et enfin l'économie mondiale.

    (  C'est l'un des multiples scenarii possibles de l'explosion de l'économie-monde, bien d'autres sont envisageables, la faillite d'une banque ou d'une assurance trop grosse pour être faillie, le début d'une guerre civile aux U.S.A., l'effondrement d'une place boursière, en Europe ou en Chine par exemple, voire même un événement insignifiant mais significatif des instabilités économiques internationales......  )

    Nous plongeant dès lors dans ce chaos économique semblable à celui dû à une guerre de grande ampleur (de tous les flançais) qu'il me semble que vous entraperceviez, pouvant même nous conduire au retour général à la disette et aux tickets de rationnement, c'est pourquoi je ne cesse de donner ce conseil: faites vos réserves.

    Dès lors, je ne vois pas qui, lorsque surviendra cette faillite de l'économie-monde, des hommes et des femmes politiques actuelles, pourrait géré une telle situation, sinon un personnage tel que Monsieur Asselineau détenant, en lui, l'ensemble des outils institutionnels, administratifs et politiques pour en avoir une vision d'ensemble.

    C'est le motif principal pour lequel j'ai adhéré à son parti (n'allez pas croire que je P1010825.JPGvoudrais que vous fassiez de même, là n'est pas la question, je ne fais pas du prosélytisme pour l'U.P.R., et, en aucun, cas je ne vous ferais cette sotte injure, je respecte part trop votre intelligence pour agir ainsi).

    Or, et c'est cela qui me fait dire que le-dit programme ne pourra pas être en plein suivit,  ce sera à cause des très nombreuses urgences auxquelles le gouvernement d'alors se devra de faire face au devant de cette crise première, que seules les mesures les plus symboliques et utilitaires seront prise.

    Il en sera ainsi de la renationalisation des services publics, ce qui sera aisé puisque leurs possesseurs actuels seront tous ruinés et, pour une large part, disparus, du retour au franc, du déblayage des lois, constitutionnelles ou pas, liées à  une U.E. vidée, elle aussi, de son substrat et détruite, et aux oligarques néolibéraux eurolâtres et américanolâtres ruinés, puis à la votation rapide de nouvelles règles comme peut l'être le référendum d'essence populaire.

    (  Étant entendu que, bien sûr, il faudrait qu'à ce moment là François Asselineau et l'U.P.R. prennent le pouvoir.

    Il serait à penser que quand le système de globalisation heureuse ne sera plus, la majorité des élus du R.E.M., idéologiquement fragiles, fuiront et que leP1020011.JPG gouvernement de la France se sera vidé se sa substance, hormis quelques personnalités aujourd'hui des plus discrètes.

    Quand à notre président, je crains qu'il subisse un choc psychologique violent dû à la surprise, lui qui, en cela, est d'une grande fragilité, d'autant plus que nous pouvons facilement supputer (bonjour madame) qu'en raison de ce que j'appelle un effet Peter généralisé, il ne doit recevoir que des informations tronquées, voire fausses.

    Suivra donc un moment de chaos ou ne subsisteront qu'une partie des députés, là nous pourrons percevoir qui est sérieux à l'Assemblée Nationale, le sénat, par contre, restant, dans sa grande majorité, présente.

    Suivant la loi, si le Président de la République disparait de son poste avant la fin de son mandat, c'est le président du sénat qui se retrouve à gérer les affaires courantes, le temps d'organiser de nouvelles élections.

    Des partis politiques restant à peu près valides, Je n'en vois que peu: l'U.D.I., la F.I. et l'U.P.R., tous les autres auront explosé en vol, Monsieur Mélenchon, quand à lui, pouvant gravement décompenser.

    Les effets de cette banqueroute généralisée seront gravissimes, en un premier jet  j'en avais conceptualisé ceux me semblant les plus destructeurs ici.

    Le mieux serait, dès lors que ce chaos total se sera installé, chaos largement incompris par une bonne part de la population, à ce que de nouvelles élections présidentielles et législatives s'effectuent.

    P1020045.JPGMais l'état, à ce moment là, en aura-t-il les capacités ou le président du sénat devra-t-il  nommer un gouvernement provisoire de quelques mois le temps que la situation  commence à se rétablir?

    Je ne saurais le dire.  )

    C'est donc, à mon sens, cela que, confusément, vous pressentez, sans que vous ne l'ayez clairement conceptualisé, ce serait dès lors pourquoi vous avez considéré comme limité l'ensemble programmatique de l'U.P.R..

    Ce que je vous propose, si tant est que vous lisiez ces lignes, c'est  que, vous et de vos amis qui comprendraient la difficile situation future dedans laquelle nous nous retrouverons tantôt, vous réfléchissiez de votre coté aux considérables implications que mènera cette banqueroute généralisée (ce qui est bien c'est qu'il est possible de le dire de diverses façons).

    Parce que, voyez-vous, de ne faire que penser seul à cela ne peut que restreindre ma perception de la chose.

    Maintenant allons voir ce qui me fais dire que, dorénavant, la France est sauvée des multiples et destructeurs effets de l'imbécile néolibéralisme sous égide finissant de l'empire U.S., des oligarques nationaux et internationaux, de sa perle coloniale racornie qu'est l'Union-Européenne et

    Il est des choses étranges dans la vie, ainsi, parfois, notre pire ennemi peut nous sauver et notre meilleurs ami nous perdre.

    Tel en est le macronisme-philippard et les radios-élément du R.E.M., héritiers des deux dernières législatures qui en avaient préalablement déblayé le terrain, aussi et surtout d'une pensée politique qui se révèle en réalité gravement archaïque et n'en est qu'à n'en exprimer que les mêmes ânonnements de ceux-là qui, le temps passant, en sont devenus vieillards: Attali, Cohn-Bendit, B.H. Levy, Gattaz, Le Pen, même combat!

    Et oui, Monsieur Macron comme tous ceux qui l'entourent, comme l'a très bien dit Emmanuel Todd, ont une pensée de vieillard et ne sont en rien dans la modernité.

    Mais bon, il n'est plus le moment de penser un présent qui peut rapidement passer au passé, est venu celui où nous devons réfléchir à un effondrement économique qui, reculé depuis 2008, a accentué tellement les déséquilibres de toutes sortes que ses effets en seront terribles.

    Or, la France est prête autant qu'elle pourrait l'être si nous songeons aux décisions absurdes que l'équipe de pieds nickelés nous servant de gouvernement prend.

    Mais pourquoi donc considérerions-nous pouvoir gérer au mieux une telle catastrophe future, dont il est impossible de déterminer la date, le processus et ses effets réels?

    Parce que nos oligarques et leurs séides nous servent sur un plateau la peur, chez les classes-moyennes intermédiaires à hautes, qu'engendre l'action gouvernementaleP1020077.JPG directement lié aux G.O.P.E. de l'U.E., peur, angoisses même de déclassement en raison de ce néolibéralisme forcené de ceux-ci.

    Classes-moyennes intermédiaires à hautes qui sont le socle sur lequel repose leur puissance et qui s'évanouit au même rythme que les élus du R.E.M. fuient à grand pas les bancs de l'Assemblée-Nationale.

    Classes-moyennes qui même si elles furent abruties par la masse propagandiste à laquelle elles furent exposées, n'en restent pas moins la nouvelle et future élite du pays, ce qu'elle avait inconsciemment compris lors de la manifestation suivant l'attentat du Bataclan et de Charly Hebdo.

    La peur leur devenant ainsi bonne conseillère, elles en viennent déjà à douter du bienfondé de ce qui se fait appelé la construction européenne, en ne se laissant plus bercer par les petites historiettes qui leur sont contées à ravir par des médiats télés et radios en venant à être, comme les journaux, de plus en plus déconsidérés.

    Et oui, nos bonimenteurs patentés en sont devenus à se caricaturer eux-mêmes, devenus sourds et aveugles aux soubresauts économiques et politiques, ne faisant que débattre de thèmes à mille lieues des nécessités de la population, de toute la population, ainsi que de la terrible épreuve qui se profile à l'horizon.

    Ils rêvent, pour les raisons indiquées aux textes précédents, et ne peuvent parler de l'Union-Européenne sans que leur idolâtrie ne les trahisse.

    Mais ce n'est pas seulement ce réveil des classes-moyennes qui me fait dire que la France est dorénavant sauvée, bien que cela soit d'un premier point d'importance dans l'idée que j'exprime ici: la France n'est pas morte.

    P1020109.JPGD'une certaine façon, la vente internationale à vil prix de notre savoir-faire et de nos usines nous met dans une autre nécessité, celle de devoir réinventer l'industrie.

    Deuxième point également centrale dans ces réflexions.

    En fait, notre désindustrialisation ne peut qu'être pour nous une chance, la même que pour la Russie d'aujourd'hui, pays dont nous sommes très proche.

    Ne nous le cachons pas, reconstruire un tissu industriel dynamique ne sera pas une mince affaire, et s'il n'y avait seulement que l'industrie, ça irait encore, mais les chantiers qu'il faudra ouvrir seront nombreux et divers, dont celui d'un renouvellement du journalisme dont vous et vos amis, mam'zelle Tatiana, participez, comme d'autres, à la reconstitution.

    La simple existence de personnes comme vous montre, justement, que les germes de cette reconstruction sont déjà présentes, ce qui rend évident ce second point positif sur le sujet qui nous intéresse ici.

    Le troisième point est que, dorénavant une recomposition politique, qui ne peut qu'être que provisoire, se met en place, avec des débats, il est vrai, essentiellement centré sur la nature et les instabilités de l'Union-Européenne.

    En cela il y a cinq pôles:

    1) L'U.E. est indépassable telle qu'elle existe, position de l'équipe macronienne, des partis politiques, journalistes et autres experts officiels;

    2) L'U.E. est mal construite et doit être réformée et si cela ne peut pas se faire, il faut, au bout du bout, en sortir, ce qui est la position de F.I.;P1020105.JPG

    3) l'U.E. est une mauvaise chose en soi et le pays doit en sortir au plus vite par l'activation de l'article 50 du traité de l'union, ce qui est la position de l'U.P.R.;

    4) Il existe aussi, partant de ce principe, ceux qui préfèreraient une sortie sèche de l'union, à la hussarde si je puis dire;

    5) Il y a ceux qui, comme moi, pronostique un effondrement catastrophique de l'économie globalisée qui ne pourra qu'emporter cette union dans sa tombe.

    La dernière position n'ayant quasiment pas d'écho, ce qui est logique.

    Déjà que toutes les autres positions se pensent dans un monde inchangé, imaginer qu'il serait possible qu'il disparaisse d'un coup est, pour une majorité de gens, très, très, très dérangeant, j'en ai encore fait l'expérience juste hier.

    Je n'ai lu de texte de ce type que d'une seule personne, un certain Dimitri Orlov, un américain né en Russie soviétique expliquant les processus d'effondrement, traduit par le site Dedefensa, où j'y trouve trois confirmations de ce que j'affirme depuis quelques temps:

    -Les U.S.A. se replient sur leurs bases antérieures d'avant 1945;

    -Ils craignent une guerre civile;

    -Ils veulent détruire l'Union-Européenne.

    Le fait que ce pays puisse devenir communiste, même sous une forme atténuée, je l'avais suggéré dans plusieurs de mes textes, il y a longtemps et je ne me souviens plus où.

    P1020029.JPGMonsieur Orlov ne parlant, pour l'essentiel, que de la Russie et des Etasunis, en comparant la situation passée du premier à celle présentement du second.

    Quoi qu'il en soit, je n'ai pas, pour l'instant, trouvé nul part de site qui, comme je le fais, en analyserait les effets en France, dont celui de la destruction consécutive de l'U.E. après, voire avant celle de la globalisation monétariste joyeuse.

    Bref, ces débats laissent à prévoir une reformulation politique que Marianne ne peut qu'approuver.

    Artistiquement, il y a un frémissement, je le sens encore largement en jachère, mais ça frémit, et ça c'est un quatrième point d'une grande importance.

    Bien que gravement affaiblis, la police, l'hôpital, l'armée, l'université, la science et, pour partie, l'administration, tiennent encore, parfois avec des bouts de ficelles mais ils tiennent, c'est le cinquième point qui importe aussi.

    En sixième point, le maillage communal des mairie et aussi des départements n'est pas encore détruit par l'Union-européenne, parce que lors de cet effondrement, ce sera là que se situera les premières adaptations à la nouvelle situation: le maire d'abord, le préfet en prenant la suite.

    Septième point et toujours autant d'importance, le retour au patriotisme, et n'allez pas croire que celui-ci ne se résumera aux seuls français de souche, loin de là.

    Ce retour je l'ai senti lors de vos interventions vidéos et il est logique et naturel.

    Enfin voilà, nous pouvons considérer Marianne sauvée, la France se reconstruira, avec moult difficultés, il est vrai, mais elle n'a pas disparue, elle n'est pas défunte, et, sous peu, elle réémergera de nouveau, différente que par le passé, c'est évident.

    Contrairement à ce que les fâcheux voudraient nous faire croire.

    Mais cela ne veut pas dire que nous ne devrions pas faire nos réserves, tout auP1020107.JPG contraire...

     

     

    THEURIC

  • Pourquoi ai-je tenté de prévenir, ici, des suites possibles de la catastrophe économique future telle que je les perçois

     

    Parce que je me doute que quasiment personne n'en puisse appréhender toutes les conséquences, en considérer, dès aujourd'hui, toute la frénésie, en comprendre les périls.

    Je crains, en effet, que les évènements à venir ne soient bien pires que ce que j'ai bien pu en dire.

    Mais la question titre de ce texte reste : connaître les raisons pour lesquelles je ne consacre l'essentiel de mes écrits qu'aux contingences avenir, ne pas faire comme beaucoup de relayer, par exemple, les informations recueillies ça et là sur le ouèbe (web) ou mes réactions à chaque actualité (bien qu'il m'ait pu arrivé de le faire de temps en temps).

    Étant donné que beaucoup d'autres le font bien mieux que moi, il est inutile que je me plie à un exercice entrant discrètement dans le domaine de la seule mode.

    Quel est le message principal que j'ai voulu faire passer ?

    Non pas d'y dire que notre monde, notre humanité change, mais essayer d'y montrer que ce changement ne se fera pas n'importe comment et qu'il sera chèrement, très chèrement payé tant en vies humaines qu'en traumatismes de toutes sortes !

    J'ai voulu prévenir le plus de gens, tout le monde du pire mais je crains que ce pire ne toque à notre porte !

    C'est l'ébauche d'une analyse géostratégique, d'un début de réflexion d'un renouvellement de la pensée politique ainsi que d'une observation de la nature humaine que j'ai fait en cet essai là, en ce blog, de faire cette prospective avec, de plus, la récurrence de certains messages dû à la structure de ce que peut être un blog imposant aux lecteurs de ne se pencher qu'aux derniers libellés.

    C'est donc la recherche de concepts novateurs me permettant d'au mieux percevoir un devenir restant, par nature, flou, qui fait le centre de mes méditations, la difficulté m'étant autant de l'exposer intelligiblement qu'ensuite d'en faire passer le message.

    La mise en parallèle du communisme et du néolibéralisme, notamment, dans ce que j'appelle « l'économisme », c'est à dire de ne considérer comme primordiales que la seule l'économie, et ce hormis toutes autres considérations, lors d'intentions, de dispositions et de choix politiques en Europe et ailleurs sont, aujourd'hui, sous forme de ce néolibéralisme, les fondements évidents de la débâcle économique et sociale de la France aussi bien que de tous les autres pays européens de même que celle, bientôt patente, des États-Unis-d'Amérique non moins que de l’ensemble de toutes les autres nations humaines, comme hier le communisme fut le tombeau d'une Russie et d'un est-européen dans la pleine puissance de leur âge.

    De considérer ensuite, après avoir fait cette observation là, comme certitude le retour en force d'une pensée purement politique, pensée déstructurée, toutefois, car déconsidérée et négligée parce que devenue négligeable, négligence, déviance anormale et amorale, voire rendue quasiment tabou et donc inhabituelle et lors irraisonnée, naïve et incontrôlable, de considérer cela me fait dire l’immense dangerosité des décennies avenirs.

    Ce qui parlera là, ce qui fera acte seront les vieux réflexes de nos histoires communes !

    L'attraction des peuples pour leur inconscient social !

    C'est vrai, nous n'allons pas rejouer, en France, la haine de la « perfide Albion » ou la détestation de l'Allemand, nous n'allons pas revoir rouler des De-Dion-Bouton ou des Pahard-Levassor, les trains resteront électriques, l'avion sera toujours à réaction et l'informatique aura une présence de plus en plus marqué mais nos automatismes, nos décisions, nos jugements collectifs, eux, seront, reviendront à ceux, quasi ataviques, de la fin du XIX°, début du XX° siècle sauf pour de rares hommes et femmes qui sauront conserver un tant soit peu de leur indépendance d'esprit.

    Nous voyons bien poindre, comme à l'époque, comme sur la pointe des pieds mais avec force, une sorte de retour « aux temps bénis des colonies », une police redevenue inefficace et, lié, un retour d'un banditisme dû au manque de moyen judiciaire et à la pauvreté ouvrière, un racisme idiot, sinistre et primitif, une inculture crasse touchant (dès maintenant) toutes les classes de la société, jusqu'à nos élites et, surtout, leurs enfants: nous reverrons revenir les jugements de classe...

    Bientôt les bals reprendrons du flambeau tout autant que les marches militaires, les drapeaux bleu-blanc-rouge agrémenteront les balcons, les apaches d'aujourd'hui seront de chair à canon de demain ou pourriront dans une façon de bagne en Creuse, dans les Cévennes ou ailleurs..., le (déjà) retour des maladies vénériennes, de la tuberculose, de l'alcoolisme et du manque d'hygiène verront renaître résolutions et décrets en prophylaxie, salubrité et assainissement, l'Europe, première puissance navale et militaire marchera au pas, en cadence et la fleur au fusil… .

    Mais surtout, surtout tous ceux qui œuvrèrent, en toute bonne fois, pour la construction européenne telle quelle s'est construite ce jour dans la crainte essentielle, existentielle d'une présupposée nouvelle guerre mondiale si l'Union-Européenne disparaissait, ceux-là seront les principaux, sinon les uniques responsables des risques prochains devant lesquels sera notre continent, eux qui, déjà, ont LA responsabilité majeur des destructions économiques d'une bonne partie de l'Union-Européenne !

    Ils voulurent nous éviter la haine et la guerre grâce à un présupposé enrichissement infini que l'évangile libre-échangiste disait pourvoir et n'ont, n'auront que pauvreté, haine et guerre comme seules conclusions à leurs confusions!

    Du-moins, en tout cela, y aura-t-il le vaste versant positif d'une inventivité exacerbé, d'une science en recherche de nouveaux fondamentaux, d'un art en création quittant toutes les redites actuelles, les rabâchage du présents et la vulgate vulgarité vomissive d'une pseudo splendeur en starification, pseudo-art médiatiques cachant mal la pauvreté d'un monceau d'abrutissantes créations en déshérences étouffant jusqu'à la moindre parcelle d'âme, aussi la philosophie recommencera, enfin, à redevenir elle-même en provoquant les valeurs les plus sûres, en les questionnant, les secouant, parfois en les mettant en cause, les infrastructures et service publiques recommenceront à remplir leurs rôles et redevenir efficaces, je l'espère, également, les tricheurs de tout acabit seront enfin châtiés selon leurs dûs...!

    Mais ce qui se passera là ne concernera que l'Europe et surtout la France.

    Que puis-je dire, décrire d'autre sans me faire incendier ?

    Puis-je écrire que l'Islam ne vit plus que ces derniers instants sans être blasphématoire bien que les blasphèmes survivent encore en terre d'Islam, que les juifs religieux sont en train, là-bas, de tuer Israël en y étouffant les intelligences, que le Catholicisme se développera avec ou sans le Pape, en Inde, mais pas seulement, en y accompagnant la progression du judaïsme, que les U.S.A. sera le pays, si tant est qu'il soit encore pays, de l'athéisme, suivit en cela par la Russie, que l'athéisme anarchisant sera très puissant chez les anciens musulmans, que la Chine deviendra lamaïste, que l'Europe verra se ré-remplir les églises mais que l'église ne sera plus ce qu'elle est aujourd'hui et se verra pencher autant vers Bouddha que vers le Christ, que les Tibétains seront les parias de demain comme hier le furent les juifs ou que le judaïsme sera de moins en moins sémite... ?

    Puis-je écrire le désir des pays d'Afrique d'être reconquis par leurs anciens maîtres, l'éclatement de l'Europe pour une nouvelle Europe, bien plus politique mais bien plus guerrière aussi, plus dangereuse, un Canada et une Australie qui ne comprendront absolument pas ce qu'il se passera dans le monde et qui, vaille que vaille, comme deux somnambules, traverseront l'histoire en dormant, un Québec devenant pays, état et nation, les bédouins de la péninsule arabique retournant à leurs tentes et à leur sable avec la fin annoncée de leur pétrole et une Mecque perdant de ses pèlerins, l'Irak morcelé, démembré, démantelé par ses voisins, la Turquie, Israël, la Russie, l'Iran, l'Egypte et peut-être l'Europe cherchant à assoir leur pouvoir au Proche-Orient, Proche-Orient au centre de tous les enjeux, verrou du monde (?) et que les palestiniens seront considérés, par tous, que comme des empêcheurs de faire de la politique entre soit... ?

    Puis-je écrire que les U.S.A. perdrons bientôt, plus que ruinées, ses avoirs, ses pouvoirs, ses savoirs par la fuite en avant de ses élites politico-économique et le départ de ses intellectuels et savants, que l'Amérique-du-Sud et centrale, tous pays confondus, se voudront César à la place de César, Amérique à la place de l'Amérique et, le Brésil le premier, tenteront de faire à leurs voisins ce qu'eux-mêmes ont subi d'antan, que l'Asie, comme je l'ai déjà raconté, se verra contrainte par l'animosité que ses deux géants que sont l'Inde et la Chine ont l'un contre l'autre... ?

    Puis-je écrire que dans peu nous verrons, en Europe, un étrange et soudain renoncement aux dogmes néolibéraux par ceux-là même qui en étaient les prescripteurs les plus zélés... ?

    Puis-je écrire, enfin, que nous contemplerons dans peu de temps, médusés, ébahis, effrayés, ce qui nous semblera la rapide et brusque désagrégation U.S., désagrégation, en vérité, déjà depuis longtemps en cours, n'était que notre aveuglement de ne pas nous en apercevoir et, à l'instar de ces tragédies grecques toujours présentes à nos esprits, tous les acteurs étaient, depuis des années, en place pour que ce drame se joue... ?

    Chut !

    Écoutez, de ses trois coups, battre le brigadier, le rideau se lève, le publique applaudit, le premier acte va commencer, la scène est là devant nous... !

    C'est maintenant que tout commence!

    MAINTENANT !


    THEURIC

  • Fiction 6) Le retraité

     

    Le vieille homme entra sans même préalablement frapper à la porte et vint saluer le quinquagénaire assis derrière le bureau encombré de dossiers épars se trouvant devant lui:

    « Bonjour André, » lui dit-il avec toujours la même voix de stentor. Il lui tendit la main par-dessus le meuble « Encore besoin d'un vieillard comme moi et devoir me sortir de la naphtaline de la retraite ? »

    L'autre homme, se levant presque brutalement, lui serra la main avec un air discret de déférence envers son vis-à-vis, seule personne produisant, chez lui, une réaction d'un tel respect :

    « Bonjour monsieur Duhauchamp, vous n'êtes pas le seul à être sorti de la naphtaline, je fus moi-même placé près de dix ans dans un splendide placard et n'en suis sorti que voilà peu, mais je vous en prie, asseyez-vous, » dit-il en désignant le siège se trouvant devant lui.

    Ils s'installèrent tous deux.

    « Alors, » demanda le patriarche, « que me vaut ces joyeuses retrouvailles, l'état se serait-il dans de telles préoccupations qu'il doive ainsi faire appel à la vieille barbe que je suis ? » Il regarda le bureau, « à ce que je vois, tu es toujours autant désordonné !

    -C'est là l'un de mes petits défauts, mais, rassurez-vous, je m'y retrouve toujours...

    -Quant tu étais sous mon autorité, cela n'a cessé de me causer irritation et ébahissement : que tu puisses t'y distinguer dans ce capharnaüm me reste un mystère, enfin, j'imagine que ce n'est pas pour discuter de ton manque de rangement que tu m'as demandé de venir ici ?

    -Non, c'est pour vous demander de reprendre du service.

    -Expliques-toi !

    -Depuis que les bourses et les monnaies se sont effondrées les pays émergents ont quasiment tous nationalisé les entreprises qui sont sur leur sol faisant fuir les entrepreneurs installés là-bas...

    -Ça, jeune homme, ce n'est même plus de notoriété publique, c'est de l'évidence.

    -Il est vrai, le retour des industriels en Europe fait la une de tous les médiats, c'est justement pour cela que je vous ai invité, mais permettez-moi, avant tout, de vous en expliquer les raisons : En plus d'être devant un cruel manque de matières premières et de produits manufacturés...

    -Ainsi que de nourriture, aujourd'hui les obèses ont disparu, je bois de l'orge grillé comme substitut au café du petit déjeuné et le chocolat est devenu introuvable.

    -Vous avez raison, à un point que vous ne vous imaginez pas, nous comptons même établir des tickets de rationnement, l'agriculture européenne suffit à peine, nous devons limiter tout gaspillage.

    -Mazette ! » L'ancien fit une brève pause, « je m'attendais bien à ce que nous soyons sur la paille, le néo-libéralisme ne pouvant, à terme, que lessiver l'Europe, mais que nous soyons contraint de revenir à des extrémités de temps de guerre me laisse tout de même pantois.

    -Plus encore, nous manquons de personnels formés et d'ouvriers qualifiés, d'ingénieurs, de techniciens, ceux qui le sont, sont déjà embauchés et les entreprises ne peuvent pas se passer d'eux, sans compter que d'avoir abaissé les barrières douanières à fait exploser le nombre de création de P.M.E et de P.M.I.. Bien des professionnels sont partis à la retraite, les sidérurgistes, les mineurs, les tourneurs fraiseurs, les soudeurs, même les paysans, tous ces métiers et beaucoup d'autres ne sont plus représentés que par de rares spécialistes qui ont dès lors trouvé un emploi, et bien payé, je vous prie de me croire. Nous risquons de rétablir le service militaire et nous manquons de personnels pour les encadrer, ont en trouve beaucoup, là aussi, chez les retraités. Les deux dernières décennies ont été passées à former des comptables, des responsables des ressources humaines et des commerciaux à tour de bras mais quasiment plus de manuels et bien peu d'intellectuels, pas suffisamment en tout cas, sauf dans le bâtiment et avec la ruine des monnaies et des bourses, le bâtiment, comme vous le savez, à suivit.

    -Si je te suis bien, il faut former autant d'ingénieurs pour construire des hauts-fourneaux et creuser des puits de mines que des sidérurgistes et des mineurs ? Mais moi, que viens-je faire dans tout cela ? Je ne pense pas que ce soit pour me faire un discourt sur le manque de formation de l'ouvrier et du cadre supérieur que tu m'as demandé de sortir de chez moi dans cette bouillasse de neige fondue !

    -Évidemment que non, je suis conseillé auprès du ministre du redressement productif...

    -Dénomination oiseuse, ridicule et joliment pompeuse qui a remplacée ministre de l'industrie, comme si les seuls mots et même les mots seuls suffisaient pour toute action !

    -En cela, vous n'avez pas tord. Donc, en tant que conseillé je suis chargé de la formation professionnelle. Or ce sont les retraités qui détiennent tout le savoir faire dont nous aurions besoin mais je suis devant un mur de génération et j'avoue que je ne sais trop comment faire avec les anciens.

    -Ô, tu sais, un vieux est pareil qu'un jeune mais en plus fragile.

    -C'est cette fragilité là qui fait ma difficulté, en fait ce que je vous demanderais ce serait de me conseiller pour tout ce qui concerne les personnes de votre génération.

    -Moyennant rétribution.

    -Cela va de soit.

    -Je deviendrais, en quelque sorte, le conseillé du conseillé. »

    Tous deux de sourire.

    « Pourrais-je vous inviter au restaurant ? J'en connais un excellant pas bien loin et cela me ferais plaisir de vous y inviter, nous en profiterions pour discuter plus avant de ce que j'attendrais de vous.

    -C'est avec joie que j'accepte ton invitation. »


    THEURIC

  • Fiction 1) La ruine

     

    « Quand pars-tu ?

    -Dans trente minutes je vais à l'aéroport et l'avion décollera à six heure, ce soir ce sera le dernier, après l'aéroport sera fermé.

    -J'en ai parlé avec le général Black, il va y faire son cantonnement et nous utiliserons les surfaces restantes pour des cultures après avoir dépolluer le site.

    -Bonne idée. »

    Les deux hommes, chacun un grand mug à la main remplit d'un liquide chaud se voulant café, se tenaient face à face, assis dans un petit laboratoire de l'université encombré de matériels épars en plus ou moins bon état. La fatigue se lisait sur les visages.

    « Merci, Alexandre, pour l'escorte.

    -Non, c'est moi, Albert, qui te remercie, c'est nous tous qui te remercions, sans toi je ne sais pas ce que nous aurions fait et puis c'est le général qui nous a confié ces hommes. Plus aucune route n'est sûre, des militaires armés sont aujourd'hui le seul passe-port efficace. Je suis épuisé, ça fait six mois que je ne dors pas suffisamment », dit-il se frottant les yeux.

    « Comme nous tous, tu te rends compte du travail que nous avons accomplit, en six mois, après l'effondrement du dollar.

    -C'est vrai, et revenir à des techniques anciennes pour que nous puissions vivre en autarcie était de toi, il nous a fallu trouver à la bibliothèque les livres traitant de ces vieilles technologies, retrouver les gestes anciens, regardes mes mains, elles sont caleuses comme jamais...

    -Oh, les miennes n'ont pas bonne mine non plus, regarde » dit-il en lui montrant ses paumes abimées par les travaux physiques, « d'un autre coté ça a fait fondre toute ma graisse, je ne peux plus mettre mes pantalons, ils sont beaucoup trop large, au moins à quelque chose malheur est bon, j'ai retrouvé ma forme.

    -La même chose pour moi, j'ai l'impression de flotter dans mes chemises. Au fait, tu sais combien nous sommes de professeurs restant à l'université, j'ai fait le compte hier, nous ne sommes plus qu'une vingtaine, les autres sont parti progressivement.

    -J'espère que je serais le dernier, tu te souviens de Bob ? Il est parti le premier en même temps que Margarette, il y a cinq mois, il faut dire qu'en cette période les rues n'étaient déjà plus sûr et elle avait peur pour les enfants.

    -Elle a eu raison de partir, en France je crois ? Où travaille-t-elle ?

    -Comme elle est française, elle a pu trouver, en peu de temps, un bon poste dans une université de Bordeaux ainsi qu'un logement, elle m'en a aussi réservé un dans la même faculté, mais nous avons de plus en plus de mal pour nous joindre, le téléphone comme internet fonctionne de moins en moins bien, elle s'inquiète pour moi...

    -Je la comprends, comme tout le reste, ce n'est même plus la peine d'écrire une lettre, la poste ne marche plus. J'ai réussi à joindre le professeur liethmann au téléphone, ça n'a duré que vingt secondes, j'ai fini par le joindre par notre radio onde-courte, il va bien, lui et son équipe ont sécurisé leur centrale nucléaire.

    -Voilà un problème en moins. »

    Un long silence s'établit entre les deux hommes, aucun n'osant croiser le regard de l'autre, sur un mur un grand tableau noir était recouvert d'équations à moitié effacées comme les dernières traces d'une ère finissante.

    Albert repris :

    « Cela m'ennuie de vous lâcher comme ça...

    -Tu as fait ta part, Albert... »

    Le silence retomba, un silence triste, lourd de regret, de fatigue et d'amertume.

    « Ta fabrique de tuile et de brique en torchis fonctionne à plein régime, nous allons pouvoir bâtir des logements et des fermes hydroponiques, tu te représente, devoir revenir au torchis, ici, aux U.S.A., au vingt et unième siècle...

    -Que veux-tu, le pays est ruiné, je t'ai laissé quelques idées dans ce dossier, là... », il désignât une chaise juste à l'entrée de la pièce où, il y peu, en entrant, il y avait déposé le classeur, « j'y ai jeté toutes sortes d'idées de culture et d'élevage hors sol, tiens, j'y ai mis aussi une ébauche de billet de banque ainsi que deux élèves en art plastique excellents graveurs que je te conseille, et puis tout un tas d'autre choses...

    -Je te fais confiance, tu as dû y travailler toute la nuit, non ?

    -Oui, tu y trouveras également quelques vues pour une conscription de tes étudiants et des jeunes de la ville qui le souhaitent, j'y propose service militaire contre études gratuite.

    -J'étudierais tout ça plus tard mais je crois qu'il va falloir que tu partes.

    -En effet. »

    Tous deux se levèrent et se serrèrent la main sans mot dire, Albert sortit puis monta dans le 4x4 d'où l'attendaient quatre soldats solidement armés.

    Au moment où le véhicule démarrait, Albert cria à l'adresse de son ami :

    « N'oublie pas de cultiver du tabac, fais tes cigarettes, il te faut éviter à tout prix les commerces prohibés. »

    Puis le véhicule fonça vers l'aéroport.

    THEURIC

  • Un chien, une jeune femme et un virus.

    P1030109.JPGHier je suis allé à Paris en voiture et m'étais garé au parking souterrain de la gare de Lyon (heureusement que je ne fais pas ça tous les jours, ça coûte un fric de dingue, comme le dirait notre godelureau national, devinez qui).

    Après que j'aie effectué mes courses, je prenais l'ascenseur où s'y trouvait une demi-douzaine de personnes, entre-autre une dame avec son toutou, puis une jeune femme qui montrait des réticences en y entrant, en voyant l'animal.

    Ce que l'un des hommes présents remarqua et lui demanda si elle n'aurait pas peur des chiens, ce qu'elle répondit par l'affirmative, ajoutant ensuite qu'avec celui-ci, de petite taille, cette phobie était moins puissante.

    A ce moment là de la conversation je m'en mêlais en lui expliquant que le chien est le descendant du loup humanisé, puis que la peur activait toujours nos structures symboliques (bien entendu, je ne m'y exprimais pas ainsi en allant au plus court de mon expression), que si elle était ancienne et/ou inconsciente cette peur pouvait se déplacer vers un objet représentatif, ici le chien (ce qui est à l'origine des phobies), symbole qui est notre pré-câblage neuronal de notre psyché profonde.

    Enfin, je lui dit que dès qu'elle aura compris l'origine de cette peur cette phobie s'évanouira.

    La porte s'ouvrit et, sur ces mots, je sortis de l'ascenseur.

    P1020431.JPG

    Plus tard, dans ma voiture, en roulant, je fus surpris de cette idée que j'avais émise: la peur activait toujours nos structures symboliques.

    Or, ai-je soliloqué, nous pouvons percevoir une peur actuellement, collective, que les médiats n'ont que de cesse d'amplifier, celle au sujet de ce coronavirus qui agite autant le lanterneau médiatique que de celui politique.

    Ceci quand les épidémiologistes, professionnels de la chose, ne paraissent pas s'en affoler outre mesure.

    Dès lors, la question logique me venant à l'esprit ne pouvait qu'être: quelle peut être que cette peur qui, déplacée à l'endroit de cette maladie qui, sommes toutes, n'a, jusqu'à présent, fait que quelques centaines de morts et généré que quelques milliers à dizaines de milliers de malades dans le monde, ceci au regard des 7, 7 milliards d'habitants sur terre?

    Les épidémies et autres pandémies faisant parti de ces craintes universelles qui, tout au long de l'histoire, ont ravagé les peuples et les pays, et dont nous pouvons, tout à loisir, retrouver les représentations imagées, symbolique, sous une forme ou une autre, à l'exemple du quatrième cavalier de l'apocalypse dans la bible.

    Puis la réponse me vint: il s'agit de l'adanthropisme, ce néologisme, composé du P1030087.JPGpréfixe ad-, qui va vers, et Anthropos, l'Homme, que j'avais inventer pour rendre compte du plus que désir, de cette envie profonde, archétypal, des enfants de devenir adulte mais qui, je l'ai compris à ce moment là, se retrouve à être déstabilisé chez l'adulte quand surgit une perte d'identité par la perte de la détermination de Soi.

    Ceci chez tous ceux qui, européens, occidentaux, se disent européistes et internationalistes, ce qui génère une peur angoissée de ne pas ou plus savoir qui ils sont, menant à une culpabilité importante, l'un de ses autres effet en étant les violences policière à l'endroit des gilettistes, des grévistes et des manifestants contre le projet de loi sur les retraites, des juges par exemple.

    Qui eux ont, aussi, d'autres causes que j'ai pu étudier avec vous précédemment.

    Mais en quoi donc de ne savoir qui être peut-elle mener à cette peur irraisonnée en une pandémie qui, pour l'instant, n'en reste qu'un minuscule épiphénomène?

    Quelle pourrait en être la mécanique?

    Il faut, à mon sens, la rechercher dans l'activation d'un autre symbole, autre archétype puissant (le symbole étant l'image archétypale), celui de la punition divine, ce qui se met en écho d'un autre fantasme phobique, celui d'un réchauffement climatique anthropogénique qui, quand bien même surviendrait-il, serait en tous points infiniment plus bénéfique pour l'Être Humain qu'un P1030150.JPGrefroidissement.

    Sachant de plus que le CO², composant 0,04 % de l'atmosphère suivant ce site (les commentaires et non pas le texte originaire), ou 0,05 % suivant le livre "L'émancipation de la vie"  de Josef Reichholf, permet aux plantes de se développer et plus il y en a, mieux les plantes poussent et mieux l'agriculture s'épanouit.

    Sans CO², là, ce serait une réelle catastrophe, mais bon, revenons à nos moutons, bêêêê.

    D'où provient donc cette activation?

    De ne pas pouvoir se définir en tant que personne, tant en tant qu'individu que collectivement, ceci en raison de l'intense propagande idéologique médiatique, dont les tenant souffrent du même mal, remettant en cause autant la sexualisation biologique des gens que de leur appartenance à un peuple, une nation et dès lors à un pays, mène à une grande instabilité psychique et donc à une peur angoissée inconsciente des sujets puisque ils ne savent plus quelle est leur identité.

    Perdu dans ce vide, dans ce néant, ces gens, puisque ils ont le sentiment, en réalité faux, de ne rien être, par inversion, pour surmonter cette peur angoissante de ne pas pouvoir se dire Être Humain, en raison de leur tentative de compensation de cet état mental déplorable, peuvent se vouloir sentir d'être tout, de se considérer être tout, donc être Dieu lui-même.P1030360.JPG

    Mais puisque ils se savent ne pas être dieu, ils projettent sur les autres leurs propres tourments en les accusant inconsciemment d'être la cause de ce mal-être, mais pour des raisons fallacieuses, puisque ils ne sont pas dieu, en invertissant la réalité.

    D'où cette idée idiote de ce réchauffement climatique anthropogénique qui n'existe pas mais qui, s'il est pris au sérieux, ne peut que mener à une baisse de l'usage d'énergie conduisant ipso facto à la mort par famine d'une grande majorité de la population mondiale.

    Tout comme d'interdire à la population de sortir de chez-elle pour cause d'épidémie ne peut que conduire à cette faillite généralisée qui, quoi qu'il en soit, arrivera à un moment ou à un autre, et qui sera, elle aussi, meurtrière par la cessation de fonctionnement du commerce international et de l'effondrement de la grande majorité des monnaies.

    Se prenant donc pour dieu tout en sachant que c'est faux, les tenant de ces absurdités punissent donc les populations par des considérations fictives mais pour eux bien réelles qu'ils font tout pour les leurs faire croire, ceci en les plongeant dans leur monde imaginaire.

    P1030467.JPGCe processus provenant, me semble-t-il, d'une minorité agissante souffrant d'une grave perversion narcissique conduisant les peuples occidentaux, surtout, dans ledit monde imaginaire que j'appelle un brouillard conceptuel.

    Comprenez bien que dans le même temps ils croient à leurs fantasmes mais les utilisent aussi pour conduire et manipuler leurs sujets.

    Il est à relever que ce genre de malade mental, toujours foncièrement incompétent, ont le réflexe de vouloir punir ceux dont ils perdent le contrôle, et que leur violence est égal à cette perte, ce qui est une manière, pour eux, de garder un contacte et un moyen de pression sur leurs proies.

    Desquels nous ne devons surtout pas confondre  avec ceux constituant l'état profond étasunien qui eux manipulent les peuples pour tenter de perpétuer leur puissance maritime mondiale, en profitant de ces histoires à dormir debout.

    Ce sont eux qui les ont mis en place à la tête des gouvernements européens, de l'Union-Européenne et à la direction de l'OTAN, entre-autre, pour qu'ils puissent contrer la puissance russe, iranienne et chinoise montante (ceci dit sans porter de vrai jugement de valeur sur l'un ou l'autre camp).

    Ils peuvent facilement choisir de telles personnalités dérangées qui, si elles considèrent que les États-Unis-d'Amérique sont, de fait, au-dedans de leur brouillard conceptuel, feront tout pour perpétuer leur présence, quand bien même cela serait-il à leur propre désavantage.P1020515.JPG

    Il faut tout autant faire la part entre ceux, majoritaires, qui, sains d'esprits, sont encore contraints par ces multiples calembredaines mortifères auxquelles ils croient, de ceux qui, au mental dérangé, vivent celles-ci comme n'étant que d'une pure réalité.

    Si ces seconds, heureusement largement minoritaires, tendent à se contredire les uns les autres c'est que, comme j'ai pu l'expliquer auparavant, il faut absolument, pour chacun d'entre-eux, de se retrouver au centre de leur monde imaginaire, de ce fait, quand bien même peuvent-ils s'allier, ils sont toujours et restent ennemis de leurs semblables en souffrance, c'est en cela qu'il est possible de les jouer les uns contre les autres.

     

    De cette jeune femme phobique des chiens, j'en ai conclu qu'en raison de la masse propagandiste anti-masculinité, sans que jamais ne soit fait mention, dans les médiats, des hommes de bien respectueux de toutes choses, dont surtout des femmes et des enfants, ceci en écho de cette débile et grotesque théorie des genres, elle en est venue à craindre les hommes.

    Mais elle ne peut pas avoir les mêmes craintes envers son papa et de son amoureux, P1030240.JPGelle reporte dès lors cette peur sur les chiens puisque le loup est un symbole fort de virilité et que le chien en est son descendant humanisé, comme il peut en être pour l'ours au demeurant.

    Nous pouvons dès lors percevoir les implications directes de cette propagande sexuelle obtuse remettant en cause nos savoirs sur nos déterminations biologiques, mise à part, bien entendu, quelques cas rares mutagènes largement minoritaires.

     

    Enfin, en ce qui concerne la Chine la situation est différente.

    Pour le gouvernement de ce pays il lui fallait, en ces débuts, absolument interdire à sa population de se nourrir d'animaux sauvages en lui faisant peur de cette épidémie.

    Puis, quand l'OMS avait émis un avis de grave risque pandémique, ce qui peut nous faire supposer quels types de personnalités dirigent cette organisation aujourd'hui, puisque l'état chinois  n'avait pas réagi avec efficacité lors de l'apparition du SRAS, il se retrouvait dès lors contraint d'en surajouter en terme de prévention pour ne pas perdre la face à l'international.

    L'autre phénomène étant une fragilité de son système de santé, ce que les russes ont dû aussi comprendre, c'est pourquoi ils refermèrent si rapidement leurs frontières avec leur voisin de l'est.P1020639.JPG

    Il est à noter qu'en raison de notre appartenance à l'union, la France se retrouve aussi en une situation analogue, il est probable qu'il en soit de même aux USA et dans la très grande majorité des pays.

    Quasiment personne ne peut, en effet, gérer avec une réelle efficacité une pandémie majeur et mortelle.

     

    Là encore, j'ai voulu analyser notre situation sous un angle différent.

    Je peux faire erreur au sujet de cette épidémie au coronavirus, mais, du-moins, pour l'instant, nous n'avons pas vraiment beaucoup à en craindre.

    Notre gouvernement semble suivre les avis d'épidémiologistes, pour combien de temps, attendons donc d'y voir plus clair au vu des personnalités qui nous dirigent.

  • A l'adresse de Tatiana ventôse.

    Chère Tatiana ventôse,

    Vous et vos amis qui avez tenté de vous présenter aux élections européennes, en n'avez pu que constater que, pour différentes raisons, cela s'était révélé impossible.

    Résultat d'une décision soudaine, vous vous êtes sûrement rendu compte que les votations se préparent longtemps à l'avance et que des contraintes inévitables ne peuvent que vous obliger à vous organiser.

    Il est possible que cela vous répugne et que vous vous décidiez de ne pas retenter cette aventure, ce qui serait un choix que je comprendrais absolument.

    Tout comme vous pourriez continuer ce même chemin rempli autant d'engagement que d'embuches.

    Prenez toutefois en compte le fait que, en ce cas, il soit fort probable que nous nous retrouvions rapidement à faire face à une crise politique et économique quiP1030189.JPG nécessitera une recomposition urgente de l'une comme de l'autre.

    Ceci précédé d'environ une année où nous serons contrains de ne faire que gérer la situation sociale sévère du pays provenant de la destruction importante de la France par l'Union-européenne, par l'intermédiaire de nos derniers gouvernements si tant tellement obéissants.

    Dès lors, si vous vous décidiez de poursuivre la voie politique de cet engagement partisan, vous ne pourrez pas ne pas vous rendre compte que la constitution d'un parti s'avère donc nécessaire, avec tout ce que cela entend.

    De sa création à son organisation, jusqu'à sa structuration idéologique, la monté en nombre de ses adhésions, de la proportion de militants y étant toujours inférieure..., cette mise en place ne peut qu'être complexe mais, surtout, prend du temps.

    Songez simplement que de cette plus que crise, si vous avez parcouru mon blog vous savez ce que j'en perçois, ce qu'il restera des partis politiques en place dépendra, pour l'essentiel, du pourcentage des élus des chambres délibératives de chacun de ces mouvements qui restera, vaille que vaille, à leur place électif, agissant au mieux pour réduire les effets, à ce moment là désastreux, des multiples dérives, prévarications et autres appauvrissement et délabrement de la nation.

    P1030258.JPGAinsi pourrions-nous assister à la disparition d'une grande part des-dits partis qui, jusqu'à présent et pendant plus de 70 ans, furent au centre de la vie publique au quatre coin de l'hexagone (ouarf, je la sort à chaque fois celle-là).

    Comme vous le comprenez, nous nous retrouverions à cet instant au-devant que d'un petit nombre de ces organisations, les autres ayant disparu.

    Entre ceux à peine émergeant, tel l'UPR, et ce qu'il restera de ceux d'antan qui seront, quoi qu'il en soit, grandement affaiblis, comme FI, LR et/ou le PCF, le paysage électoral de la France se retrouvera donc extrêmement réduit.

    De la fuite-en-avant, suivit de l'affolement, l'administration de l'Union-Européenne et nos élus et gouvernement en sont au-delà de la panique, suit ensuite, en toute logique, la débandade qui a déjà débuté, la preuve en est de tous ces ministres et députés qui, ici et là, cherchent une place en mairie pour les prochaines élections municipales.

    A cela s'ajoute, au présent, un autre phénomène, celui dû aux lois sur la retraite (due à la plus que fuite-en-avant, la panique des fonctionnaires de l'U.E. qui commencent à décompenser psychologiquement en ne se rendant pas compte de leurs décisions) qui, après les classes-moyennes basses à intermédiaires de province du mouvement gilettiste, réveillent les classes-moyennes hautes à supérieurs qui, elles, après un moment d"hésitation, ne peuvent que rapidement comprendre l'origine unioniste de ces-dites lois.P1030276.JPG

    Ce fut une erreur que je n'y aie pas pensé plus tôt.

    Naturellement elles se tourneront majoritairement vers le parti France-quitte de François Asselineau (le rassemblement National ne pouvant pas y pratiquer ces multiples manipulation pour aider à la mise en place d'un parti unioniste tel que le REM) qui, il y a de forte chance, pourrait voir le nombre de ses adhérent rapidement augmenter.

    Donc, si vous et vos amis décidez de bâtir un nouvel espace politique, sachant qu'un contrepouvoir à sa gauche serait nécessaire, il serait bien que vous connaissiez, dès lors, quelques techniques militantes.

    Or, un pote m'a fait parvenir le résultat de ses réflexions de ses années d'actions syndicales et, le trouvant cohérent, je le vous présente ici en un texte que j'ai un peu retravailler pour le rendre plus lisible sur un site.

    A l'origine dédié à François Asselineau, j'y conserve l'aspect parfois rugueux de certaines de ses approches adressées à son endroit.

    Je vous le présente, à vous, ensuite, d'en faire ce que selon bon vous en semble du meilleurs.

    Bien à vous.

    P1030247.JPG(En vert et bleu entre parenthèse j'y présente mes propres réflexions.)

     

     

    THEURIC

                                      ___________________

    Le tract:

     

    Le tract est un outil de mobilisation ponctuel.

    Son utilisation n'a de réel intérêt qu'au moment d'une élection ou d'une action.

    Il est inutile et coûteux de l'utiliser pour ce quoi il n'est pas fait.

    Son efficacité tient aussi et avant tout à l'appui d'une présence militante sur le terrain.

     

    Un bon tract obéit à certaines règles:

    - Le logo: Même taille, même graphisme, même emplacement sur le tract et éventuellement même couleur.

    - Police de caractères: Ne pas utiliser plus de 3 polices par exemple : une police pour le titre, 1 police pour le chapeau (voir ci-dessous) et une police pour le texte.

    On en choisira de préférence une qui correspond à celle utilisée par la presse papier.P1030143.JPG

    - La lettrine: voir le titre, elle est une sorte d'accroche et augmente le taux de lecture.

    - Le chapeau: c'est une technique journalistique qui résume de façon brève et percutante le contenu du tract.

    Elle est d'autant plus nécessaire que dans un tract au-delà de 15 lignes le taux de lectorat baisse considérablement.

    - Le texte: sans rien céder sur le fond au niveau de la forme il faut faire du Paris Match.

    Cela implique des phrases courtes en évitant les mots de 3 syllabes et plus.

    Un outil permet de mesurer le taux le lectorat, il s'agit de l'indice de Gunning*.

    * http://s.billard.free.fr/referencement/?2006/09/21/287-tester-la-lisibilite-des-textes.

    - Le dessin: Un dessin a un impact non négligeable et vaut mieux qu'une longue explication.

    - Prévoir un emplacement pour un bulletin d'adhésion, une adresse courriel et l'adresse du site de l'organisation.

     

    Le stand:

    P1030459.JPG

    Il nécessite peut de moyens.

    Par contre il exige une présence régulière.

    Il revient à chaque équipe militante de décider de son nombre de présence: semaine quinzaine sur la durée.

    (Quand il était de repos ce jour là, mon père allait au marcher tenir, le matin, le stand du PCF.)

     

    Les moyens:

    - le logo: il peut être en couleur en format 24 X 29,7.

    Il sera plastifié avant son utilisation.

    Les cartons que l'on trouve chez les revendeurs l'électro ménager (réfrigérateurs par exemple) font parfaitement l'affaire.

    Ce logo sera ensuite agrafé sur le carton.

    - Le panneau: idem que pour le tract un dessin humoristique est toujours le bienvenu.

    On veillera que le panneau soit à hauteur de vue et non pas dans les chaussettes.

    Pour qui disposera d'une table, un portable sur lequel on fait tourner deux ou trois petites vidéos serait une bonne idée.

    - Quelques textes de programme: une

  • Confinement: nous y revoilà!

    Une mouche, Diptère comme toutes ses copines, Muscidae, de ce que j'ai pu le comparer sur ce site, ce serait Madame Phaonia cf. Palpata.

     

    Préambule:

    Notre époque me fait me souvenir de ce qu'il se disait d'antan au sujet des régimes totalitaires de type Chilien sous Pinochet de 1973 à 1990, remarque que nous faisions dire par la bouche des dirigeants de ces régimes fascistes néolibéral mis en place par les USA:

    "Quand j'entends le mot culture, je sort mon pistolet!"

    Certes, nous n'en sommes pas tout à fait là, il est vrai, mais cette détestation du fait culturel, visible autant par les fermetures des opéras, des  salles dédiés au  rock queP1050337.JPG les librairies... me fait remonter ces réminiscences.

    Il est perceptible pour l'homme et la femme de bien, curieux de notre temps, que les décisions de nos évanescences intellectuelles manque singulièrement de cohérence.

    En fait, la raison en est que nos comiques troupiers prennent des décisions sans en avoir soupesé les effets par avance, ce qui met en colère certaines portion de la population, là, par exemple, les libraires, qu'ils essaient de remédier en se mettant à dos les directeurs et propriétaires des grands magasins.

    Cela me fait souvenir d'un gag de Laurel et Hardy (attention, rigolade obligatoire, de regarder ces films, vous risquez d'en oublier de lire ce billet)  où, l'un d'eux plante un clou dans le mur, ce qui génère une fuite d'eau qui, bien sûr, arrose l'autre, le premier met un doigt sur la fuite, l'eau coule à coté, il bouche l'autre trou et ça gicle ailleurs et ainsi de suite...

    Je soumets à vos zygomatiques celui-ci où vous pourrez assister à la plus grande bataille de tarte à la crème de tous les temps, si vous ne riez pas c'est que vous n'êtes pas sérieux.

    Fêtons ainsi dignement les élections étasuniennes par leurs véritables héros!

    Au sujet des comiques troupiers, en voici un qui n'est pas piqué des hannetons, pour qui l'élégance naturelle ne peut être qu'égal à sa sagacité ainsi qu'à sa sagesse (étant entendu que ce ne peut qu'être là qu'un geste irréfléchi, ce qui ne peut qu'en montrer le sens profond, une façon de lapsus gestuel).

                                   

    Petite photo chipée chez Charles Sannat, quand bien même je peux ne pas être d'accord avec lui sur certaines de ses approches, il reste de ces personnes inintéressantes à entendre, parce qu'il semble être sincère.

     

    Avant-propos:

    Après que nous ayons subi une incroyable masse propagandiste, médiatiques, tout l'été au sujet de la pandémie, à l'automne venu nos falots gouvernementaux nous claquemurent chez-nous une fois encore pour, censément, nous protéger contre un coronavirus infiniment moins dangereux que leurs propres et stupides oukases: ainsi détruisent-ils l'économie mondiale.

    ( Il se dit que, dans des hôpitaux, aux familles des défunts, quelles que soient les raisons de ce décès, est demandé si elles veulent bien que leur trépassé soit déclaré P1040459.JPGmort du vilain virus, l'hôpital recevant dès lors des subsides et pour les proches une aide pour l'enterrement.

    Il y a quelque chose de pourri au royaume de France. )

    Comme par magie, comme par hasard, un ou plusieurs attentats islamistes ensanglantent nos rues, églises ou écoles, lorsque survient une décision gouvernementale qui appauvrit et révolte les français (en serait-il de même pour ce qui est arrivé en Autriche?).

    Le ou les prochains surviendront-ils à l'orée de l'une des prochaines décisions de nos héros ubuesques du totalitarisme médiocratique, se faisant croire à eux-même démocrates?

    Qui, de ses commanditaires, ont du sang sur les mains?

    Serait-il possible que ce serait pour cela que tous les journaux appartenant à nos oligarques auraient publié ces fameuses caricatures et qu'ordre aurait été donné aux professeurs de faire cours sur la liberté d'expression en se basant dessus?

    Donc, pour la seconde fois en un an, nous nous retrouvons emprisonnés chez-nous et, pour une énième occurrence, ces agent étasuniens, ( ne se sachant pas comme tel) qui se pensent messagers du sunnisme, tuent au nom d'Allah, sans qu'ils neP1030268.JPG puissent comprendre combien ils sont manœuvrés par des agents qui se moquent de leur religion comme d'une guigne.

    Nos olibrius français, quant à eux, unionistes et américanolâtres, tout comme leurs donneurs d'ordre, ne peuvent pas percevoir les effets de leurs actions au-delà du jour suivant, continuant invariablement leurs plans ourdis depuis quelques temps déjà, quoi qu'il puisse se passer, qui, à bien y regarder, ne peuvent que se révéler économiquement funestes à terme pour tous, même pour eux.

    Ou bien pire encore, signant de fait une mienne réflexion passée sur mon blog d'une tendance suicidaire, d'une fuite en avant allant bien au-delà, cela est remarquable, de la seule France.

    Jusqu'à ce que cela même ne les conduise au-devant de juge et fassent face à la vindicte populaire.

    Ainsi se dirait-il que la date et le jour de notre enfermement se susurrait déjà dès Septembre.

    Quoi qu'il en soit, que nous nous retrouvions, une fois encore, à devoir rester chez-P1030512.JPGnous parce que notre système de santé public est grandement affaibli, soit, mais que ce soit quasiment la même chose pour l'Allemagne pour qui le sien en est bien moins affecté ne peut que nous laisser suspecter que d'autres causes sont en oeuvre.

    Gardez à l'esprit, amis lecteurs, que nous ne devons pas restreindre notre approche de tous ces événements qu'à la seule dimension de notre nation, cela nous empêchant de percevoir le jeu dedans lequel nous ne sommes que des pions.

    Sauf à ce que lesdits pions, en en étant devenus conscient, en soient acteurs.

     

    L'erreur de ces assassins et leurs manipulateurs:

    Ce thème ayant de valeur en raison de ce que j'ai pu écrire en Avant-Propos.

    Il n'est pas que l'économie mondiale qui ne peut qu'être touché par notre emprisonnement, la profonde spécificité de l'âme française est elle également chamboulée par ce quadruple crime commis au nom d'une religion dévoyée.

    De l'effondrement idéologique qui est devenu dorénavant manifeste par le regard porté sur l'acquiescement quasiment absolu des chambres délibératives (assembléeP1030177.JPG nationale et sénat) des pleins pouvoirs donnés à l'exécutif (en un écho de celui donné au maréchal Pétain en 1940), ne peut que répondre par un retour, comme j'ai pu déjà le raconter, de la religion séculaire du pays, le catholicisme.

    Ceci accompagné des mouvements politiques anciens: l'anarchisme, la sociale-démocratie vrai, le républicanisme musclé, le libéralisme économique national, voire nationaliste.

    Or, nos idiots utiles et meurtriers de l'imperium US, via nos alliés turques et qatariens, ont réveillés ce qui, au plus profond dudit catholicisme premier, ce que peut être que la sainteté  de ses martyres, ce sur quoi s'est bâti l'église de Rome.

    Ces saints anciens, hommes et femmes, décapités, dits céphalophores (je ne connais ce mot qu'à l'instant d'écrire ces lignes), ne peuvent que venir en écho de ce Professeur qui, à Conflans-Sainte-Honorine, fut lui-même occis de la sorte, suivit du triple meurtre à Nice où, pour l'une de ces personnes assassinées, l'un de ceux-là, une dame, l'a été quasiment de la même manière.

    Réveillant de fait un inconscient social qui est indéfectiblement lié à celui collectif tel que ce dernier fut formulé par Carl-Gustave Jung

    Ceci englobant autant la connaissance dans son sens le plus large, prodigué par le professorat, humaniste et dynamique, que de l'ensemble de la symbolique P1020964.JPGstructurant l'église catholique de son socle le plus obscure et puissant, les liant de manière définitive, ne pouvant que venir se confronter aux inepties d'une stupidité affligeante de nos dirigeants.

    Il est à remarquer que ces meurtriers et leurs sponsors font montre tout autant d'une haine pour le savoir et, dès lors, pour l'intelligence, tout autant que pour le catholicisme.

    Ces premiers faisant montre d'une détestation profonde pour les femmes plus âgées qu'eux, détesteraient-ils leur mère, cela serait-il le secret inconscient de ces petits soldats étasuniens?

    Voyez de plus ce qu'en déduit un cinglé.

    Je me dois de rajouter que les parole de Monsieur Poutine déplorant ce qu'il s'est passé en France ne furent pas relayés par nos médiats ou si peu.

    Tout comme ceux-ci, naguère, n'eurent pas un mot au sujet de hommage rendu par la Russie aux 155  soldats français tombés lors de la guerre de Crimée (1853/1856) retrouvé depuis peu, notre gouvernement n'y ayant pas envoyé le moindre plénipotentiaire, nos édiles ne se pensant plus français.

    Voilà ce que c'est qu'être inféodé aux dictas de notre Tonton Sam et de haïr son pays en en ignorant son histoire.

     

    Retour vers le confinement:P1030991.JPG

    Nous voici une fois encore emprisonnés chez-nous.

    Il en est beaucoup à en dire.

  • Du mensonge, de nos élus et des médiats.

    Prologue:

    Ici je vais effectuer une critique de ceux qui nous gouvernent et de ceux qui leur font propagande, les journalistes officiels aux émoluments parait-il gracieux.

    Cette critique s'établit sur une mise en garde: il n'est pas possible de mentir à longueur de temps, tout en sachant que ce qui est raconté est faux, ou ad minima d'une réalité dévoyée, sans que les personnes qui agissent de la sorte ne deviennent mensonge eux-mêmes.

    Or, vue que de dire un mensonge, surtout si c'est sur ordre, rend soi-même mensonge, cela ne peut que générer le sentiment profond, donc inconscient, de sa non existence.

     

    Ne soyons pas puritain, le mensonge nous est consubstantiel à nous autres êtresP1030656.JPG humains, mais, du-moins, il n'est, le plus souvent, qu'employé que par instants brefs, que ce soit pour résoudre des affaires importantes ou non, pour éviter un choc émotionnel trop violent pour son vis-à-vis, pour ne pas se faire disputer, pour se montrer d'une plus grande valeur que de celle dont nous sommes dotés, face à un danger par exemple...

    Le mensonge est donc bien de notre nature.

    Mais vous remarquerez que nous ne l'utilisons, le plus souvent, que de manière fugace, transitoire et, qu'avec la temps, nous apprenons qu'il nous faut éviter de mentir continuellement, que de proférer un mensonge trop gros peut facilement être démasqué, soit parce que des faits en viennent à le contredire, soit parce que nous-même en arrivons, plus tard, à affirmer le contraire de ce que nous disions préalablement.

    Mais ce qui nous préoccupe aujourd'hui c'est cette spécificité de notre modernité faisant du mensonge pur une façon de gouverner les pays tout comme l'union et, ce, produit au sein d'une minorité sociale, politique et journalistique, sans qu'une puissante idéologie tautologique mais fragile, telles de celles qui traversèrent le XX° siècle, nécessitant qu'il faille à l'époque la préserver de l'idéologie contraire.

    P1030030.JPGCe fut la triple lutte entre le communisme, le capitalisme et la sociale-démocratie.

    Rien ne le nécessiterait donc maintenant, sauf que la seule qui reste actuellement est diablement plus fragile que ces trois  antérieures.

    Il ne s'agit donc pas ici de ce mensonge dont le but serait de protéger sa vie ou celle d'un proche, de cacher une faute quelconque, voire même de tenter de se justifier d'une action maladroite ou mauvaise, il ne s'agit de rien de tout cela.

    Ce besoin de mentir ne provient que de permettre à une infime minorité sociale, celle dite oligarchique, de s'enrichir toujours plus et de faire perdurer une union utopique, ultra & néolibérale, l'Union-européenne, leur tiroir-caisse, que tout le monde sait aux malfonctions majeures, aux portes de son démembrement et, oserais-je le dire sans risquer des problèmes, de structure totalement totalitaire.

    Certes, ceux qui déversent continuellement ainsi cette énorme masse informe de tromperies en profitent par les émoluments officiels et peut-être officieux, qu'ils peuvent percevoir, tout autant que d'avoir le sentiment d'une position sociale avantageuse (quel pouvoir a aujourd'hui l'Assemblée  Nationale et le sénat sinon aucun), mais ont-ils médité des dangers qu'ils font courir à leur mental?

    Si à longueur de temps quelqu'un d'une bonne santé psychologique en vient à proférer dans les médiats, sans réelle et aucune raison valables, continuellement, deP1030829.JPG ces hâbleries dont nous sommes abreuvés, en sachant fort et for bien que ceux-ci ne reflètent en rien la réalité, il est à craindre qu'à force il ne vienne à en développer des troubles psychiques gravissimes.

    Tous savent mais cachent en effet que la France est appauvrit toujours plus, jour après jour, à cause de l'UE€, il ne suffit pour cela que regarder l'historique de l'économie française.

    Tous savent mais cachent que les retraites à point, demandée expressément par l'Union-européenne, ne sont là que pour que des fonds spéculatifs, comme le Blackrock US, puisse accaparer une part des retraites des français.

    Tous savent mais cachent que la population a entièrement raison de faire grève sur ce sujet puisque tous les pays qui les ont mises au point voient les retraites de leurs vieux baisser.

    Tous savent mais cachent que la police s'est conduite envers la population provinciale des gilettistes d'une manière similaire à celle d'autres pays telle que la Chine à Hong Kong, qu'ils critiquent hypocritement en plus.

    Tous savent et cachent qu'ils trahissent allègrement, continuellement, leur mandat électif pour les uns, leur  éthique professionnelle principielle pour les autres.

    P1030481.JPGMais aucun ne vient à se demander si, par hasard, leur façon de se conduire ainsi n'aurait pas sur eux des effets psychologiques néfastes, hormis en ce qui concerne, bien sûr, les pervers narcissiques en place, déjà psychiquement détruits par leur maladie.

    Ceci d'autant plus qu'ils se savent parfaitement responsables de la situation actuelle: qui d'entre-eux a-t-il réagi quand Junker avait dit "qu'il ne pouvait y avoir de choix démocratique contre les traités européens"?

    Aucun.

    Certes, les élus du REM, les radioéléments, sont pour la plupart d'une naïveté affligeante, comme beaucoup de ceux des classes-moyennes hautes à supérieures dont ils sont issus, ils se disent, ils nous  disent s'ennuyer, de ne servir à rien dans l'hémicycle, sans comprendre qu'en effet ils sont inutiles puisque les décisions se prennent toutes, ou presque, à Bruxelles.

    Mais les autres, tous les autres, tout comme les journalistes dont nous pouvons admirer la trombine télévisuelle soir et matin depuis parfois des décennies, ainsi que ceux élus pour la majorité depuis longtemps, qui font tout pour ne surtout pas nous parler de l'union, sauf à en dire qu'il faudrait la réformer, ce qui est, je le redis, impossible, sont responsables en première instance de la situation déplorable deP1030354.JPG notre pays.

    Et il n'est pas possible, sauf à ce qu'ils soient des malades mentaux qui en jouissent, qu'ils n'en culpabilisent pas en leur fond intérieur.

    Plus encore, ils ne peuvent, dans leur vie du tous les jours, que de continuer de mentir éhontément pour un rien, par habitude, par réflexe conditionné, ce qui ne peut que rendre leur existence déplorable, personne n'ayant plus confiance en eux, même leur conjoint, quand bien même vivraient-ils dans l'entre-soi d'un certain confort, qui dans  ces couples malgracieux aurait confiance véritablement en l'autre?

    Qui, dans les rédactions ou dans les enceintes des assemblées délibératives à confiance en son voisin du même journal, même chaîne télé, même parti politique que lui?

    Qui, parmi eux, n'a pas développé une tendance paranoïde, voire carrément paranoïaque?

    Mais pire encore, par survie psychique ils ne peuvent qu'en venir à se mentir à eux-mêmes en refoulant la réalité, même, par extension, celle se présentant dans la vie quotidienne.

    PICT0264.JPGPhénomène d'autant plus dangereux qu'il est collectif.

    Là se trouve ce brouillard conceptuel dedans lequel je fus plongé également, je sais donc parfaitement de quoi je cause.

    Certains me lisent et vont donc comprendre dans quoi ils sont plongés, toutefois il faut du temps pour que de ce brouillard une brume moins dense ne le remplace, puis que la réalité pointe comme le soleil perce lentement, progressivement cette grisaille nébuleuse.

    Pour le peuple provincial aussi, au contraire de ce qu'il se passe pour beaucoup des classes sociales les plus hautes et de ceux sus-nommés, cette dure réalité paraît en raison du vide du porte-monnaie, et il n'est plus que le réchauffement climatique anthropogénique qui, encore un peu, leur voile, de moins en moins, la véracité de l'euro sous l'égide de l'Union-Européenne germano-étasunienne.

    Notre gouvernement, notre président et nos élus des chambres délibératives, les journalistes-chroniqueurs et autres experts de pacotille ne nous servant plus à rien qu'à mettre en place les petits caprices européistes sous les conseils malavisés, gonflés d'égoïsme, des oligarchies mondialistes.

    Il leur fut commandé de dire changement climatique à la place de réchauffement climatique, qu'à cela ne tienne, ils répètent tous changement climatique à la placeP1020644.JPG du mot réchauffement, ils ne savent pas pourquoi, ni ne comprennent d'où cela provient, mais qu'importe, s'il leur était demandé d'affirmer que le ciel est violet avec  des petites fleurs roses, ils diraient que nos cieux d'une belle couleur violettes sont joliment décoré.

    Certains en feraient même des poèmes et des chansons.

    Il est à remarquer que ce sont les écolos et les féministes extrémistes qui se retrouvent à avoir leur cervelle la plus rongée par ces tromperies et que, tout de même, les médiats papier font preuve d'un petit peu plus d'honnêteté que de ceux radios et télés.

    Ainsi, si s'accroit la proportion de gens qui ont retrouvé leur état normal par la contrainte de leur appauvrissement et ont recouvré leur identité en chassant de leur esprit, non encore totalement, les fantasmatiques histoires abracadabrantesques dedans lesquelles nous baignâmes pendant tant de décennies;

    Les propagandistes de ces foutaises du-moins, eux et ceux qui les écoutent encore, continuent de s'enfoncer dans ce monde imaginaire d'où leurs certitudes se font l'inverse de ce que peut être que la réalité.

    Ce monde imaginaire, digne de celui du pays du Jamais-Jamais d'un Peter Pan infantile, mêlant angoisses  archétypales et impression d'une éternelle perfection, étant conforté, de plus, par cette sensation inconsciente mais puissante de non existence qu'il vient remplacer.

    De ce vide mental, cosmique, qui en vient à accroitre P1030485.JPGautant le délitement de leur pensée structurée que de leur identité propre, puisque les informations qu'ils perçoivent montrant le réel est l'exacte inverse de ce qu'ils racontent eux-mêmes et, ce, sans qu'ils en aient de véritable intérêt, sauf d'être acheté d'un petit peu d'argent  autant que de pouvoir, ce qu'ils savent également.

    Leur faisant perdre, pour certain définitivement, leur intelligence naturelle, leur potentiel, c'est pourquoi il y eut des ministres qui montrèrent à la face du monde qu'ils ne connaissent même pas les mathématiques les plus basiques, la règle de trois.

    Désormais, depuis le début de la révolte des gilettistes, le nombre de gens qui croient en ce qu'ils racontent se réduit, tous médiats et partis politiques officiels confondus.

    Jusqu'aux dites classes-moyennes hautes à supérieures qui en viennent, elles aussi, à s'appauvrir, ainsi se réduit doucement le nombre de ceux qui se fient encore à ces foutaises conceptuelles.

    Ainsi, à un moment donné, peut-être pas si lointain, elles ne seront plus considérées historiquement que comme le reflet d'une époque.

    Et  nous ne sommes pas loin de ce jour où, de ces journalistes en vue grassement payé déblatérant n'importe quoi sur ordre et de nos  élus nous contant de belles mais fausses P1030245.JPGvérités, plus personne n'en écoutera les sornettes.

    Que de ce principe de plaisir dedans lequel ils s'enfoncent encore, viendra en remplacement le principe de réalité qui les réveillera violemment.

    Peut-être en se retrouvant à ce moment là à devoir faire face à la colère du peuple, de ce mot devoir dont ils ont oubliés le sens et, ce, jusqu'à la moindre lettre.

  • C'est la fête à Neuneu.

    Cela fait depuis des décennies que c'est la fête à Neuneu.

    Aujourd'hui il s'agit d'une bringue à tout va et tous les neuneus de France et de Navarre s'en donnent à cœur joie, ceci pour oublier les faiblesses grandissantes de l'Union-Européenne, de l'Allemagne et des États- Unis-d'Amérique, leur idéologie chérie.

    Il faut sauvegarder le libre échangisme, la société de service, les banques, les bourses et tout le reste du pataquès..., pour sauver nos trois compères, même Charles Sannat est atteint de cette rêvasserie, même des chômeur et des travailleurs pauvres, même des bac plus, plus, plus y croient....., aussi....., encore....., un peu.

    Et ce qui me le fait dire c'est que personne ô grand jamais ne fait mention des exigences de l'union, regardez donc les réaction gênées du journalistes de Radio-Sud quand François Asselineau remet en cause le bienfondé de l'UE, son angoisse qui l'étreint, ses tourments.P1030571.JPG

    Parce qu'il leur faut des neuneus pour gouverner la France, que ce soit Macron ou Le Pen, de l'équipe de l'un ou de l'autre, les macro-lepénistes, c'est du pareil au même, ils veulent sauver ces trois coquins qui leur offrent si obligeamment des idées prêtes-à-porter qui ne leur donnent pas mal à la tête, neuneus qu'ils sont.

    Et puis cela leur permettra de gagner de l'argent, tout travail de pleine obéissance mérite bien salaire, n'est-ce pas?

    En fait, si vous voulez comprendre les raisons de leurs actions il faut conceptualiser leur psychologie simplement, il est inutile, à leur propos, de se questionner le manière alambiquée.

    Par exemple, leur incompétence seule n'est pas la seule raison de notre confinement, ainsi, si l'état ne veut pas qu'un citoyen, une commune, un département ou une région achète et détienne des masques ou des tests c'est tout simplement pour que les gens restent cloîtrés le plus longtemps possible chez-eux, le gouvernement a désormais trop peur de la population et à n'importe quel prix la bande à croncron ne veut voir le peuple dans la rue.

    Ayant également mis les avocats et les autres métiers de justice à dos qui, de plus, sont ulcérés par la manière particulièrement incompétente avec laquelle le gouvernement agit face à cette crise sanitaire, juste accompagné de justifications P1030252.JPGfallacieuses et verbeuses, les neuneus se retrouvent dès lors avec un monceau de plaintes de toutes sortes à leurs basques, ce qui ne peut qu'accroître leur panique et dès lors leur incompétence.

    Leur seul façon de se sortir de ce cercle vicieux allant s'amplifiant, ce serait qu'ils démissionnent tous en même temps, le président compris, en  nous demandant pardon de leurs erreurs et méfaits, ou bien qu'ils fuient et que nous n'entendons plus parler d'eux.

    C'est pour tout ça qu'ils envoient Macron au charbon, le pauvre ne comprend pas ce qu'il se passe et est toujours sur son petit nuage, je me demande même si sa dépression ne serait pas entrain de s'aggraver.

    Il dit ce qu'on lui dit de dire, fait ce qu'on lui dit de faire, pense ce qu'on lui dit de penser, sans plus.

    Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".

    Ce beau neuneu, peut-être le plus beau de tous, né en 1943, a donc 77 ans, s'il se trouve de trop sur terre, ma foi, il y a une foultitude de moyen à sa disposition pour régler ce problème.P1030108.JPG

    Quand à l'opposition de la députation et sénatorial elle brille de mille feux de son absence silencieuse, elle aussi serre des fesses de leur craintes de ce que leurs donneur d'ordre unioniste,  étasunien et germanique disparaissent, voire à ce qu'il s'éloignent d'une France devenue l'enfant  malade de l'Union-européenne pouvant tous les entraîner par le fond.

    ( Un pervers narcissique, naturellement incompétent, naturellement un neuneu neuneuant, ne peut pas reconnaître ses erreurs, ni même la moindre de ses fautes, sinon cela déstabiliserait son narcissisme malade en un point tel qu'il peut en devenir fou, parce que, mis en face de ses faiblesses, c'est toute la masse de sa culpabilité qui y est liée qui remonte d'un coup, avec le souvenir du trauma originel.

    C'est pourquoi il se justifie, il ment, il altère et modifie la réalité ou la tait, se donnant, quoi qu'il se passe, le beau rôle puisqu'il se doit de se placer au centre de son monde imaginaire et fantasmatique dont il est le héro.

    S'ils se retrouvent dans un groupe fait, ne serait-ce qu'en partie, de leurs semblables, partageant de plus une idéologie similaire, se définira rapidement deux mouvements opposés:

    -Une reconnaissance pleine et entière de la similarité de leur maladie mentale, qu'ils P1030226.JPGne reconnaîtront jamais comme telle, en considérant ceux n'en souffrant pas comme étant des sous-hommes (là, çà, ce n'est pas de moi).

    Et en même temps une concurrence acharnée entre-eux puisque chacun a un besoin vital de se retrouver au centre de son monde fantasmatique qu'il doit, dans ce cas, de partager, ce qui place  chacun d'entre-eux dans une position de double contrainte, celle de rester dans ce monde imaginaire partagé avec ses semblables, en même temps que de tout faire pour s'en placer en son milieu (çà c'est de moi).

    Dès lors que ledit monde tend à se fissuré, le sujet commence à décompenser en quatre stades au fur et à mesure que celui-ci s'effondre:

    1) La fuite en avant: qui le mène à accentuer son discours devenant de plus en plus incohérent;

    2) L'affolement: où cette incohérence devient tellement évidente que ses proies en viennent à se poser des questions;

    3) La panique: où à cette incohérence s'y rajoute une violence qui, suivant l'individu, peut être langagière et/ou physique et qui met sa proie en état de soumission (qui est la résultante de la relation complexe de ces deux émotions primaire que sont la colère et la peur);

    4) Enfin la décompensation: ou de cette violence s'accentuant faisant fuir sa proie, de laquelle il tente de se venger puisque elle redevient elle-même et n'est plus lui, il lui faut donc la détruire pour tenter de retrouver son état initial, pour ensuite, quoi qu'il se passe, son état psychotique latent remonte à la surface de son mentalP1030575.JPG menant à des crises de folie plus ou moins prononcée suivant le cas.

     

    Alors prenez plaisir, chers et amis lecteurs, que je vous confie encore une fois ici quelques considérations qui mettront à bas nombre de ces fantaisie  absurdes qui nous mènent, en ces temps obscures, aux pires des situations.

    Certes, et en cela je ne suis en rien naïf, je devine comment sont reçus mes petits billets, dans le même temps nombre d'entre-vous se sentent agacés de les lire mais ne peuvent s'empêcher d'y plonger avec délectation à chaque parution, là se trouve toute la complexité de notre  condition si humaine.

    Certains journalistes, à la majorité des plus jeunes, viennent même y lire en un esprit de revanche des masses inimaginables de mensonges qu'ils sont contraints de vociférer ou d'écrire.

    Alors, quelles sont ces pensées que je vous propose en ce jour?

    Je ne reviens que peu sur l'hydroxychloroquine (coquine, hi, hi, hi), vous trouverez dans cette vidéo (et vit des bas comme le dirait une dame pauvre aux jambes délicieusement galbées les admirant) une exposition succincte de l'énième trahison de nos élites neuneus au sujet du SARS-COV-2.

    P1030280.JPGIl sera un moment où la justice se devra d'aller un petit peu fouiller dans les méandre de la neuneuïtude multiforme, mais aussi qu'elle aille farfouiller en elle-même des graves et neuneus manquements qu'elle ne cessa de faire pour plaire à notre gouvernement neuneuïte, dans la relation violente, manifestante et gilettiste entre la police et la population.

    Le plus amusant dans tout cela ce fut qu'il y a sûrement eu un nombre égal de policier et de gilets jaunes qui votèrent pour le Rassemblement National, ils va falloir qu'ils nous expliquent qui est avec et contre qui dans cette histoire de corne-cul dont Marine Le Pen ne parle pas.

    Quand dans le même temps des gens aux hautes et longues études votaient pour le sieur Macron, confondant allègrement la colombe de la paix d'avec le pigeon, sûrement d'un sentiment écologiste, ils en oublièrent le classement des espèces.

    En parlant de sentiment, j'ai l'impression que les français, considérant que, justement, ce gouvernement étant.... composé de neuneus, prennent les choses en main, pour cela ils ont raison, que peut-on en effet attendre de nos ministres sinon de la parole et du vent, du bassement d'air en quelque sorte et rien de plus.

    Parce que c'est seulement cela qu'il savent faire.

    En fait ce ne sont que des commerciaux, les mêmes qui, dans l'entreprise Boeing,P1030155.JPG firent sortir un avion, le 737 MAX, qui ne peut voler et qui donc en a ruiné l'entreprise.

    Monsieur Macron n'est juste qu'un petit commis voyageur dépressif qui, plutôt que de vendre des cravates ou des aspirateur au porte-à-porte, nous vend, sous les ordres de je ne sais qui, en plus d'une Union-Européenne en perte de vitesse, une médication non encore produite mais potentiellement  cher plutôt que le traitement proposé par l'équipe de Didier Raoult qui ne coûte rien, ainsi que des masques qui n'existent pas, ou au mieux existeront un  jour.

    Il nous avait déjà fait le même coup avec la vente des fleurons nationaux et, auparavant, en tant que ministre de l'économie (interdit de rire) de François Hollande, un autre neuneu, d'un aéroport qu'il vendit à des truands.

    Comme quoi la fête à Neuneu avait commencé bien avant 2017, ainsi Nicolas Sarkozy s'était, en tant que leur semblable, déjà entouré d'un même type d'une bande intellectuellement évanescente.

    D'ailleurs il en reçu nombre de ses petits picotins.

    Là où la neuneucherie se déverse encore avec faconde en un jet toutefois en ce moment réduit, la pandémie étant, pour le journalisme cornichon, moyen de ne pas parler de ce qui fâche, soit l'économie, et de ce que l'immensité de l'inaction P1030059.JPGgouvernementale génère de fragilité, en cela, de toutes sortes.

    Or et je le dis avec assurance, deux thèmes économiques ne sont que peu ou pas du tout évoqués, ou de manière absurde: la plus value et la valeur ajoutée.

    Vous allez voir, amis lecteurs, c'est un truc simple comme chou à comprendre si, encore une fois, on ne l'entoure pas d'un fatras de considérations inutiles pour les béotiens que nous sommes, mais que nous devons aborder dès maintenant puisque cette crise s'achèvera bien à un moment ou à un autre et qu'il nous faudra reconstruire notre pays.

    C'est un truc que j'ai compris aujourd'hui même et qui remet totalement en cause tout ce qu'il se raconte en ce moment en économie et met à terre tous nos savants neuneus sur ce sujet.

    Voici l'histoire:

    Connaissez-vous la bauxite, ce minerait qui, après traitement puis électrolyse, donne de l'aluminium?

  • L'américanolâtrie(ne) dans tous ses états.

    Avant propos:

    Ce billet vient en complément de celui deuxième précédent.

    Mon but est de montrer les effets psychologiques de notre domination ancienne suivit de la désormais fragilité de la construction  européenne venant de celle des Etats-Unis, puisqu'elle en est sa créature.

    Plus de gens deviendront conscient de cette double disparition inéluctable, moins sera ceux pour qui cela générera et génère déjà un état mental pitoyable.

    Nous fûmes tous manœuvrés, suggestionnés pour plus qu'adorer, révérer ces deux unions et, ce, depuis des décennies, 1944 en ayant été le commencement.

    Se débarrasser ainsi de 141 lustres de manipulation mentale ne peut pas être chose aisée et faire appel, pour cela, à la seule lucidité de chacun ne peut que prendre du temps.P1040681.JPG

    Personne ne pouvant dire de combien de ce temps il nous reste pour cela.

    Songez simplement au fait que ce qui fut les pays de l'est jusqu'en 1991 n'ont pas du-tout envie de rester au sein de l'Union-Européenne et de se retrouver entraînés par la faillite bancaire de ceux de l'ouest.

    A ceci s'y rajoutant le fait que les peuples de ces dernières nations, ruinées d'avoir claquemuré leur population, ne peuvent plus être acheteur de ce que les premiers fabriquent et que, pour continuer à faire tourner leurs usines délocalisées chez-eux, ils doivent pouvoir vendre leurs objets manufacturés à leur propre peuple et, donc, augmenter leurs salaires.

    Et pour cela il n'y a qu'une seule solution: activer l'article 50 pour sortir de l'union.

     

    Il est des événements qui me paraissent bien exprimer une situation: en Syrie, il y avait une patrouille russe que des militaires étasuniens étaient chargés de bloquer et qui ne le purent en raison d'une panne de leur véhicule.

    Il règne comme un délabrement accompagné d'un doux parfum de delirium très mince mortifère chez notre nôtre si tant tellement aimé tonton Sam que, du fait de cet amour transi les euronounouilles en suivent jusqu'en leur moindres travers, d'en déposer même le genou à terre.

    P1040610.JPGIl est dommage que nos bon maîtres ne se soit pas mis une plume dans le cul, sinon nous aurions bien ri lors des dernières manifestations parisiennes.

    Un homme ou une femme ne devrait pas mourir d'une interpellation, quoi qu'il ai pu faire part ailleurs et quelle que soit ses origines, couleur de peau, religion ou idéologie politique, ceci est de l'ordre de l'évidence.

    De même, les policiers et les gendarmes, tout comme il se devrait d'en être des juges ou des instituteurs entre-autres, se devrait d'avoir une formation suffisamment longue et complète, se devrait d'avoir été choisi, à la suite de tests psychologiques ad oc, suivant détenir une bonne composition psychologique et d'être pourvu de tout le matériel et infrastructure nécessaire pour accomplir leurs missions.

    Dix mois seulement ne peuvent qu'être que trop court pour une telle formation, trois ans pour cela me semblant nécessaires et, à la suite, qu'ils la poursuivent tout au long de leur carrière, ceci parce que c'est le type même de métier qui nécessiterait, en ce seul exemple, une connaissance approfondie des sciences humaines.

    De plus, il me semble que diverses formes d'art de combat à main nue pourraient permettre de contrôler un individu dangereux sans que ne soit utiliser de technique d'étranglement sauf si, vraiment, la personne est incontrôlable, qui, cela ne peut qu'aller de soit, peut se révéler mortelle si celle-ci est mal faite.

    Mais un tel entrainement ne peut que s'établir que sur le temps long et coûte cher, or, nos euronouilles gouvernementaux n'ont eu que de cesse d'obéir aux GOPE et deP1040491.JPG rechercher à faire des économies partout suivant les demandes expresses de l'Union-européenne, ruinant donc la police, les services de santé et de sécurité, pompiers, hôpitaux, les administrations, l'instruction nationale, de privatiser nos services publiques...

    ( Visionnez donc cette vidéo du Fil d'Actu que je conçois comme étant la plus proche de la réalité des faits, hormis que, comme d'habitude, n'y est pas fait mention des obligations des GOPE de l'union, central pour ce qui nous concerne tous en réalité.

    C'est de ce tabou là, devenu inconscient pour tous, que je vais, avec un autre sujet central, traité ici. )

    Sous les vivats de la bien-pensance de l'amécicanolâtrie(ne) infantile qui, nous pouvons le percevoir aujourd'hui en France, a toutes les couleurs de peau possibles, et si chacun traite l'autre de raciste, ils ne s'en réclament pas moins tous de la même crétinerie d'adoration absolue pour les USA, notre gouvernement à la Marx, non pas Karl mais plutôt Brothers, n'en étant pas en reste.

    Comment en effet considérer cette crise d'hystérie collective française où il fallu retrouver l'événement d'un décès suite à une intervention de la gendarmerie vieux de quatre ans d'un délinquant récidiviste pour tenter de ressembler aux noirs américain, d'un George  Floyd d'aujourd'hui à P1040605.JPGun Adama Traoré que quasiment tout le monde avait oublié.

    Que soit réclamé une juste justice pour cette mort, certes, si une faute fut commise, mais de mener, maintenant, à des manifestations à Paris qui n'avaient pas eut lieu à l'époque, hormis celles de banlieue, ne peut que me conduire à m'interroger.

    Mais, de ces deux affaires, étasuniennes et françaises, tout à fait différentes, je peux aussi faire la liste de toutes les étranges déraisons de notre époque, en France notamment, et la liste, longue, est très loin d'être complète.

    Parce que, en plus d'être entraînés à agir de la même façon que les ricains, cela tend nos américanolâtres de toutes sortes à nous faire montre une telle flamboyante bêtise que rarement dans l'histoire il en fut d'aussi belle.

     

    Ainsi:

    La virulence réelle du SRAS-COV-2, semblant être bien moindre que ce qu'il s'en était dit, sinon en violence du moins en nombre d'atteint, pour ceux qui le furent et sont malades, tout âge confondu, il se révèle être d'une pure vacherie, mais pour la grande majorité d'entre-nous il n'en fut rien.

    Notre claustration forcée due pour l'essentiel aux extraordinaires faiblesses duP1040599.JPG système de santé français en raison des obligation de l'UE€ via les GOPEs, du clair manque de masque et de test, de l'interdiction d'un traitement certes controversé mais que les médecins sérieux prescrivent en l'affirmant efficace (dont Madame Buzzin, ancienne ministre qui l'avait mis en semi-indexe, qu'elle donna seulement au sein de sa caste), du manque criant de matériel médical et de protection ainsi de la cruauté doublée de l'incompétence naturelle des quatre pouvoirs, exécutif, législatif, judiciaire (partiel pour ce dernier) et médiatique.

    Cette claustration mène à leur destruction de tous quatre par la ruine du pays, de l'Europe et de l'Occident, et cela ne peut que poser question: ne serions-nous dirigés et informés que par de seuls crétins, dussent-ils être diplômés?

    Que les experts officiels n'ont que de cesse de craindre un retour de la pandémie en France à cause du déconfinement tout en nous donnant, via ces médiats, des chiffres du nombre de malade au COVID machin en voie de diminution, ce que le Professeur Raoult avait prévu (lui l'intuitif qui ne veut pas se reconnaître tel) ne peut que démontrer que quelque chose ne va pas dans notre société.

    ( Vous remarquerez deux fait informationnels:

    -n'est pas fait la distinction, en ce qui concerne les pays étrangers, entre le nombre de personnes atteintes du virus et celui de ceux qui en sont P1040354.JPGvéritablement malade;

    -ne semble pas avoir été pris en compte, en France, de ceux qui sont malades du vilain virus, non testés et soignés chez-eux.

    C'est aussi cette béance qui se devrait de nous faire sens: idiotie ou manipulation? )

    Le fait que l'entreprise Renault délocalise ses usines hors de France dans l'idée de faire des économies, ne faisant que gonfler le chômage réduisant de fait le nombre d'acheteur d'auto, au  risque même de voire ses usines nationalisées si la Pologne sort de l'union, ne peut que nous faire montre de l'incroyable sottise de cette coterie, de la grave ignorance en économie et politique des cadres qui la dirigent, plutôt que d’exiger la sortie de la France de l'UE.

    A ce sujet, le fait de vouloir substituer la voiture à moteur à explosion à celle électrique, sachant que la majorité des batteries sont produites en chine, que leur distance parcourue après chaque recharge n'est que de 300 km., que leur chauffage n'est qu'électrique (qu'en sera-t-il s'il fait -10° Celsius), que la production  d'énergie nucléaire est diminuée et que lesdites batteries sont gravement polluantes, marque, là encore, la crétinerie dérisoire mais dangereuse de nos élites en carton pâte.

    Ces deux faits, économique et sanitaire, ne pouvant qu'appauvrir encore plus la France, que tout le monde considère encore comme la deuxième puissance économique de l'Union-Européenne, ce qui est devenu faux, je l'ai démontré par leP1040582.JPG passé, ne peut qu'accentuer gravement une instabilité économique mondiale qui était déjà en voie de délitement dès Août/Septembre 2019.

    N'oublions pas non plus que celle d'appauvrissement de la Grèce en 2012 conduisit à l'époque à un ralentissement de l'économie-monde sensible par la baisse de production pétrolière, ceci venant en réponse à la diminution de son prix, ne pouvant qu'être révélateur du ralentissement industriel mondial, provenant de ce que les biens manufacturés ne pouvaient que moins se vendre.

    Aussi, deux mots, de plus, utilisé je le pense inconsciemment en économie ne peut que montrer son aspect perverti:

    -Business qui, il y a une quarantaine d'année, était utilisé par les vendeurs de drogue pour leur commerce, nous ne pouvons donc qu'en conclure que, dorénavant, la pensée du commerciale ne consiste pas à l'honorable travail de la vente de la meilleurs marchandise à un prix convenable, mais bien plutôt à la truanderie légale, quand bien même ne peut qu'exister des commerciaux grandement honnêtes;

    - Collaborateur qui désigne dans les entreprise, maintenant, les  employés, en une novlang hypocrite mais, surtout, qui renvoie tout de même à la seconde guerre mondiale, les collabos étaient ceux qui travaillaient pour l'envahisseur nazi, nazi P1040609.JPGeux-mêmes, ce qui ne peut que nous intriguer de la manière avec laquelle certains chefs d'entreprises considèrent autant leur travail, celui de leurs employés, de leur rôle véritable ainsi que de leur position sociale et politique.

    Aussi, en une autre petite suite non exhaustive, résumée celle-là, des extravagances de notre époque qu'il est possible de constater:

    -des intellectuels d

  • Croyance et dépendance: un champ idéologique.

    Cette charmante guêpe, Cerceris des Sables, Cerceris Arenaria, famille Sphecidae, Sphégides, fait parti de celles dites fouisseuses, solitaire, elle creuse un nid pour ses larves dans un sol sablonneux et pond son œuf sur l'une des proies accumulées.

    Ici elle est posée sur une feuille de géranium vivace.

    Ce coup-ci, je suis allé chercher le nom des bestioles Hyménoptères dans le bouquin de 1991, plus précis qu'internet, que j'avais donc acheté il y a longtemps: "Guide des abeilles, guêpes et Fourmis, les hyménoptères d'Europe", de Jiri Zahradnik, collection Hatier, adaptation française Ludovic Laporte.

    Ce que je vais poursuivre, du-moins pour cette classe d'animaux.

    Autre temps, autre mœurs...

     

    Bonjour chers lecteurs,P1010040.JPG

     

    Introduction:

    Je suis allé, il y a peu, chercher je ne sais plus quoi sur mon blog et ai remonté ce petit bijou conceptuel personnel (ne serait-on, parfois, jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas?) qu'est celui de champ idéologique.

    J'avais exposé cette idée il y a 5 ans, ceci d'une manière indirecte sans en avoir creusé la matière théorique.

    ( Recherche et matière qui porte, ici, en réalité sur une réflexion à l'endroit d'une ou de plusieurs hypothèses d'un sujet donné puisque n'y est pas assis, lors de cette recherche, les trois bases de référence théoriques, sa réfutabilité, sa prédictibilité et son aspect parcimonieux, soit sa simplicité conceptuelle au regard de toutes les informations perçues et, mieux encore, connues.

    Il est à noter également qu'une approche philosophique ne peut être en rien scientifique et théorique, mais qu'en revanche elle pose, normalement, de tels socles conceptuels qui accompagnent et parfois précèdent les évolutions d'une ou de plusieurs sociétés,  étant entendu que ladite philosophie est aussi l'outil essentiel P1050125.JPGpour, au présent, chacun d'entre nous, en un processus évolutif, organiser la pensé. )

    Il faut dire qu'à l'époque je n'en étais pas capable, le stress qui était mien en était encore d'un niveau important, du-moins, l'ai-je remarqué, mon style commençait à s'asseoir.

    C'est donc ce travail théorique que je vais effectuer en ce billet, venant peut-être parfois contredire ce que j'avais pu en exprimer par le passé.

    Je me dois de souligner que je n'écarte en rien les difficultés que chacun d'entre-nous, sous une forme ou une autre, rencontre, toutefois il me paraît important d'effectuer cette tâche consistant à tenter de conceptualiser le pourquoi nous en sommes là,  tout comme de ce que vers quoi, in fine, cela nous conduit.

    Et je ne donne pas cinq ans pour que la France se rétablisse après que le système soit forclos.

    Les débuts seront durs, complexe sera la suite, mais les forces vives et intelligentes qui le permettront sont dores et déjà présentes.

    N'oubliez pas, Messieurs-Mesdames les anarchistes, que d'être de cette opinion là sans être profondément démocrate c'est d'être encore plus stupide que tous ceux que nous fustigeons jour après jour.P1060408.JPG

    Ceci dit et avant que vous n'abordiez le reste de ce texte, je vous invite à voir cette vidéo de Tatiana Ventôse qui, en 40 minutes, aborde avec cohérence et brio la notion de ce qu'est que la nature de la politique.

    Plus loin j'affirmerai connaître mes limites et, ce, sans prétention, ainsi je ne pourrais jamais accomplir le travail qu'elle a ainsi réalisé.

    Chapeau bas, mam'selle.

     

    Avant-propos:

    Il devient d'évidence, pour le plus grand nombre de gens, qu'aux défaillances gouvernementales s'y rajoutent de ses choix décisionnels autant contradictoires, parfois irrationnels, souvent contre-productifs, aussi qu'aux portes de la tentation totalitaire néolibérale, sans l'avoir véritablement recherché (ainsi un conseillé de Mr. Macron fait-il la comparaison de la France d'avec le régime passé de Pinochet au Chili, comme étant surpris de sa propre politique: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes).

    P1060320.JPGIl est observable tout autant que les partis politiques qui, censément, seraient d'opposition, font montre soit que d'une très légère rigueur à l'encontre de l'exécutif, soit même de prises de position totalement déconnectées de la réalité de tous les citoyens souffrants  des difficultés actuelles dus auxdits choix, n'aidant, pour FI par exemple, que d'une infime minorité de ceux-là, soit les immigrés.

    il est de fait aussi que les autres pays de l'union et d'Europe souffrent, pour la plupart, de maux semblables, bien  que la France paraît en être la plus touchée.

    Lors de mes billets précédents, je vous avais montré une crainte partagée, au-delà de la mouvance purement eurolâtre & américanolâtre, de voir disparaître notre maître US, soit par guerre civile, soit par banqueroute, dès lors de ce que l'Union-Européenne et l'euro subissent  mécaniquement le même sort.

    Bien que l'inverse pourrait fort bien arriver, la faillite de la zone euro menant, à la suite, à celle du dollar.

    Ou alors que ce soit, non pas l'économie réelle en tant que telle qui, quoi qu'il en soit, en souffrira et en souffre déjà grandement, mais de ce que celle monétariste, spéculative internationale fasse faillite définitivement.

    Que cela mène donc ces personnes à souffrir dès maintenant de graves angoisses duP1050327.JPG fait de leur compréhension de ces éventualités, nonobstant de ce que l'une ou l'autre adviendra à un moment ou à un autre (faites vos réserves!).

    Que ce phénomène est, pour une large part, inconscient, ce qui conduit les pouvoir exécutifs, législatifs, mais aussi judiciaires et médiatiques, à projeter ladite angoisse à l'endroit de la majorité de la population, d'où, entre-autre, de notre enfermement confinement et port d'un masque, en tentant de nous culpabiliser de leurs propres errements et manques.

    Si, tout au long de ces pages je ne cesse de leur poser à tous d'importantes critiques sans que moi-même ne me décide à l'action, c'est que, connaissant mes limites, je me sais en ce cas totalement incompétent.

    Dès lors, le reproche le plus absolu que je leur porte est celui d'avoir bien voulu occuper le poste qui est le leur, sans ne s'être le moins du monde interrogés de savoir s'ils en avaient et en ont les compétences requises.

    Ce qui, de fait, est le cas pour le plus grand nombre d'entre-eux, sinon pour tous.

    Au-delà de ce très bref résumé de ce que j'ai pu écrire depuis six mois, le thème que j'aborde maintenant, celui du champ idéologique, ne peut que venir compléter cet ensemble.

    Je vais ne le poser que d'une manière purement démonstrative en juste appuyant P1050225.JPGmon propos de quelques exemples.

    Je parachèverai ce billet, avant sa conclusion, par une réflexion sur ce que je nomme une bifurcation historique, tel un virage pris de notre évolution transformant du tout au tout notre nature et, ce, depuis 20 000 ans environ.

     

    Le champ idéologique:

    Un champ idéologique est l'ensemble des conceptions qui en entoure son socle idéel, en une conception de base, pouvant être conscient et/ou inconscient, mais central dans la représentativité que chacun a de la société, ainsi que de son rôle dans celle-ci.

    Ce champ idéologique a deux composantes: sa "doctrine de fondement" , soit l'ensemble d'idée et de concepts composant le champ idéologique et son opposition qui est l'inverse de ce que représente ladite doctrine.

    Ainsi pour faire simple, le principe du capitalisme est celui de l'enrichissement du secteur privé et du pays par, normalement, l'industrialisation grâce au capitaux bancaire et boursiers, quand pour le communisme l'industrie se doit de se faire par l'état qui dispense ensuite cette valeur aux citoyens.P1050319.JPG

    ( La sociale-démocratie étant de faire la part entre ces deux tendances contraires sous le contrôle clair du politique, ce à quoi je pense être le meilleurs.

    Le néolibéralisme,  en une économie dévoyée, étant de retirer le plus de monnaie et de valeur possible par le biais des dettes contractées, des nations, des particuliers et des entreprises, d'où la ruine de tous à terme. )

    Ici il s'agit de l'économisme dogmatique, soit de percevoir la fonction économique comme étant central au regard de toutes les autres composantes sociale, du plus pur de l'institutionnel jusqu'à celui de l'interdit moral le plus formels (du-moins sa minorité agissante pour ce dernier).

    Si je la dis dogmatique, c'est que cette conception de la société, sous une approche centrée à de la seule économie, est dans le même temps d'une perception peu ou non lucide mais fondamentale pour tous les acteurs.

    Ceci au sein d'un champ psychologiquement attractif, indépassable et sous-jacent pour tout échange, non pas seulement marchand, ayant lieu et, ce, sous toutes ses formes (entre-autre l'individualisme).

    Ce fut le capitalisme industriel du XIX° siècle en Europe qui en fut le ferment, descendant de la bourgeoisie d'affaire passée, période pendant laquelle émergea, en l'accompagnant, ses contres-pouvoirs ( les socialismes révolutionnaire et libertarien, futurs communisme et anarchisme, ainsi que le républicanisme, la sociale P1040587.JPGdémocratie et le démocratisme ) qui se cristallisèrent à l'achèvement de ce siècle  et au début du suivant, le communisme se formalisant dès après la révolution bolchevique de 1917.

    En un exemple de champ idéologique: tout comme le communisme jusqu'à la fin des années 90, lui-même descendant du socialisme révolutionnaire du XIX° siècle, fut l'opposition au capitalisme sans frein, l'église catholique fut, en Europe, celle des princes et barons guerrier de la société féodale du moyen-âge.

    Vous remarquerez que ce fut relativement peu de temps après que des moines prirent l'épée lors des croisades, sous forme des templiers centrés en France et des chevaliers teutoniques en Germanie, que la Renaissance commençât à se développer, donnant corps au fil des siècles à la remise en question d'abord de la toute puissance du Pape et du catholicisme (le protestantisme), puis de l'existence même de l'aristocratie. (d'autres raisons, multiples, furent aussi en causes, telle que l'invention de l'imprimerie et du canon).

    Ceci parce que l'opposition passée de l'église face aux guerroyeurs que furent les seigneurs disparut de fait puis que tous deux devinrent progressivement alliés.

    La féodalité, sous cette optique, pouvant être considérée comme ayant été un champ idéologique qui disparu lors de l'apparition de la Renaissance.

    Cette hypothèse pose l'idée qu'au même titre que l'apparition des moines soldats annonçait l'achèvement de ladite féodalité, l'adoption du capitalisme par la ChineP1030102.JPG (dont il est ardu d'arriver à pied) tout comme la disparition de l'URSS, ces deux faits survenant à quelques années près, signaient la prochaine disparition dudit écono

  • Fiction 4) Se livrer

     

     

    Perdu au milieu de l'océan, le chapelet de petits îlots, minuscule paradis offshore, se révélait bien trop exigu pour la venue de tous ces fortunés fuyant, qui la justice de leur pays, qui les différentes maffias qui avaient mis leur têtes à prix quand ce n'était ceux poursuivis par des juges comme par des criminels.

    Il avait fallu y bâtir à la hâte commerces, restaurants et lieux de plaisir pour accueillir, comme il se devait, tout ce beau monde richissime qui, parce que toutes les monnaies du monde ne valaient plus rien, se devaient de payer en or la moindre des consommations.

    A la terrasse d'un café deux hommes, l'un jeune, l'autre vieux, devisaient tranquillement en buvant une boisson joliment apprêtée. Le plus âgé dit:

    "Demain je prends l'avion et rentre en France, j'emporte avec moi tout ce qui me reste de l'or que j'avais ramené ici, enfin je n'en ai pas dépensé grand chose, puis je vais me constituer prisonnier!

    -Tu es complètement fou, » dit le puiné, véhément, « à quoi cela va-t-il te servir d'aller en prison quand ici on se la coule douce au soleil, tous les soir j'ai une nouvelle femme dans mon lit, n'attends pas de moi que je te suive dans ce délire, j'y suis, j'y reste, et puis ce n'est pas à un juge de dire si mon argent est ou pas licite, je l'ai bien gagné, et par mon travail, encore!

    -Quel travail, au bureau tu n'étais pas le plus ardent à la tâche, loin de là, tu sais comment on te surnommait ? Poil aux mains ! Sans compter tes détournements de fonds à n'en plus finir, la paye et les primes pourtant conséquents que je te versais n'avait pas l'air de te suffire, mais bon, pour ça, ne t'en fais pas, j'ai fait la même chose, parfois même légalement en jouant avec les lois, c'est pourquoi, à l'époque, je n'avais rien dit.

    -Et alors, de quoi te plains-tu? Tout le monde fermait les yeux, si tu savais le nombre de politiciens qui faisaient la queue pour que je leur serve du fric pour leurs élections, j'ai les noms, là, dans un carnet! » Dit-il en remuant un petit calepin au-dessus de sa tête.

    « Combien de noms dans ce carnet? dix?

    -onze.

    -Tu vois, il n'était pas besoin d'acheter grand monde, il n'était même pas besoin d'acheter qui que ce soit, tu as dépensé de l'argent inutilement, le simple attrait d'une doctrine en vogue et facile à comprendre, même si elle est stupide, suffit pour qu'elle soit adoptée par une majorité des élites politique, surtout qu'elles ne savaient plus, dans les années 90, après la chute de l'U.R.S.S., à quel saint se vouer, le réflexe d'obéissance et la crainte de se confronter à une puissance dangereuse, c'est à dire nous, suffisait pour faire taire les récalcitrants, ça a été pareil pour les journalistes, beaucoup de professeurs en économie et de bien d'autres professionnels de cette sortes. Ce qui nous a plombé c'est notre avarice et de croire qu'il nous serait possible de manipuler les peuples ad vitam aeternam. Nous avons vidé les caisses, toutes les caisses et quand il n'y a plus rien eu à soutirer nous fument évidemment chassé.

    -Par une bande de communistes qui veulent que la société soit égalitaire, l'égalité, ça n'existe pas dans une société, il y a et il y aura toujours des élites pour diriger la plèbe...

    -Crois-tu vraiment que les policiers ou les militaires soient communistes ? » Dit l'ancien en remuant la tête, « Il y a bien quelques exceptions par ci par là mais je ne pense pas qu'ils le soient dans leur immense majorité, de toute façon ce sont les hommes politiques qui nous ont fait partir, tous partis confondus, de droite comme de gauche et je suis sûr que parmi ceux qui ont tenu les discours les plus dures contre nous s'en trouve beaucoup à qui tu as versé quelques prébendes...

    -Des traites...

    -Détrompes-toi, ils font juste de la politique, quand nous nous retrouvâmes à ne plus rien représenter et à ne plus montrer le moindre danger ils ont retourné leur veste, à partir du moment où les français, les européens, enfin tout le monde, quoi, même les militaires et les policiers ont commencé à défiler dans les rues, le pouvoir en place ne pouvait plus faire autrement que de nous mettre en prison et même le banquier le plus honnête a eu des problème avec la justice, pense à Maurice...

    -Ô, lui, il n'avait que le mot vertu et probité à la bouche, » dit-il avec une moue de dédain au coin de la lèvre « la dernière fois que je suis allé chez lui il m'ont bassiné, lui et sa femme, avec leur morale à deux balles, ils me disaient que nous courrions à la catastrophe, que nous ne devions pas mettre au chômage les petites gents, et blablabla, et blablabla, j'en avais eu tellement marre que je ne suis jamais revenu chez lui, ça doit bien faire cinq ans que je ne l'ai pas revu.

    -Comme quoi il n'avait pas tord ! Sais-tu que maintenant, après avoir été blanchi par la justice, il a été nommé comme gestionnaire de notre groupe ?

    -C'est ce que disais, tous des traites !

    -La différence entre toi et moi c'est que toi tu es sincère, imbécile mais sincère, quand à moi j'ai joué, à un immense casino, certes, mais ce n'était que du jeu. Les notions comme celles de responsabilités te sont parfaitement étrangères et même quand ton père s'est retrouvé devant la justice pour concussion tu n'a pas levé le moindre petit doigt pour lui, rassure toi, lui aurait fait la même chose pour toi, c'est à dire rien, tu sais, quand je l'ai connu tu n'étais même pas né. Connais-tu la différence entre immoralité et amoralité ?

    -Non, et franchement je me moque de ces petites subtilités.

    -Et bien je vais tout de même t'en instruire : l'immoralité c'est de connaître ce qui est bien de faire ou de ne pas faire dans la société et d'agir soit à l'opposée, soit à la marge, de faire ce qui est contraire ou différent de ce que commande la moral et par extension les interdits mais d'en connaître le sens, en fait il faut une certaine dose d'immoralité aux génies, artistes, scientifiques ou autres pour pouvoir inventer, quand à l'amoralité, elle, se définit de ne pas avoir la moindre idée de ce que peut-être une moral, d'avoir une structure psychique telle que la notion même d'interdit lui est étranger, l'amoral, l'être amoral est lui dans la quasi impossibilité d'avoir une idée originale et est souvent le pire des conservateurs et des réactionnaires. Certain, même, sont des tueurs en série psychopathes.

    -Et ça nous mène à quoi tout ça ?

    -Ça nous mène à ce que je te dise que si moi je suis immoral et ais su m'amuser à plumer le plus grand nombre possible de gent comme un joueur de poker professionnel plume un joueur débutant, je savais toujours que ce que je faisais n'était ni probe, ni honnête, toi, qui es par nature amoral, ne peux savoir ce que peuvent bien être probité et honnêteté. Ta fortune tu ne la doit que par la crainte que tu inspirais, ton naturel rusé et roué et ta naissance mais ni par ton intelligence, ni par ton esprit d'entreprise. Tiens, regarde, je t'insulte et tu ne réagis même pas! Que je te dise tout de même pourquoi je parts d'ici et rentre en France : tous autant que nous sommes, » et il fit un large arc de cercle de son bras dans la direction de la rue noir de monde, « vu que nous avons ruiné tout le monde, nous sommes poursuivit autant par des mandats d'amener internationaux que par des tueurs à gages à la solde des cartels et des maffias, certains de ces tueurs, tiens, regarde cette personne, là, à ta droite, » son vis-à vis tourna discrètement la tête, « n'hésiterons pas à faire même exploser, ici, quelques bombes pour tuer un grand nombre de ces cibles et avoir la prime la plus importante possible, je préfère, quand à moi, rentrer en France avec une belle monnaie d'échange, mon or, qui soit dit en passant est déjà arrivée là-bas, et vu que j'ai évité le plus gros de la tempête et les premières condamnations expiatoires, avoir une peine de prison légère et vivre, même chichement et discrètement, de mes rentes, dans un coin reculé et surtout de rester en vie, mieux vaut cela que de crever bêtement à cause d'une balle ou d'un explosif.

    -J'ai assez entendu d'âneries comme ça, » dit le plus jeune en se levant, agassé « Salut et bonne chance dans les prisons françaises ! »

    Il partit. L'ancien paya les consommations de quelques piécettes d'or en haussant les épaules, se leva, se dirigea vers l'hôtel préparer sa valise. Quand très tôt le matin son avion décolla une bombe puissante explosa dans la boite de nuit où le plus jeune, justement, dansait.


    THEURIC

  • Réflexion sur le dogme et le néolibéralisme.

     

        La question que pose une idéologie qui progressivement est devenue un dogme indépassable se trouve être aujourd'hui d'une grande importance pour comprendre l'infinité d'aveuglements de nos gouvernants, politiques, économiques et médiatiques.

    Parce que, à bien y regarder, les détestables décisions et actions que prennent nos dirigeants nous sont certes nuisibles et maléfiques mais, et c'est là que cette réflexion est d'importance de par son paradoxe, elles pénalisent, à terme, encore plus les grands argentiers, banquiers et autres (dés)investisseurs, bientôt irrémédiablement ruinés de leurs imbécillités, ainsi que de leurs nombreux sbires, élus ou non, médiatiques ou non, et pour une majorité d'entre-eux, travaillant simplement en tant que publicitaires, commerciaux et de tous ces métiers qui ne sont portés que par la vente ou le contrôle du salariat, comme il peut en être des R.R.H., qui perdront tous leurs avantages si chèrement acquis, ne serait-ce qu'un rang hiérarchique souhaité.

    En vrai, à un moment ou à un autre, nous fûmes quasiment tous endoctriné par cette vulgate néolibérale et monétariste, mais autant certains d'entre-nous surent en sortir puis aborder les questions politique, économiques et sociologique hors de ce champs idéologique asservissant, autant une grande majorité de nos concitoyens y restent enferrés, et plus encore nos gouvernants.

     

    C'est pourquoi une réflexion de ce que peut être un tel blocage mental qu'est un dogme me semble d'une importance capitale quand aujourd'hui nous pouvons contempler les errements autodestructeur de tous les acteurs de ce qui pourrait n'être qu'une ridicule pantomime mais qui se révèle dès maintenant de ces terribles tragédies dont les grecques anciens étaient si tant et tellement friands.

    De fait, un dogme de cette puissance n’a pas besoin, pour celui qui l’adopte, qu'il le vérifie par l’observation, fut-elle scientifique ou empirique, ce qui lui permettrait de percevoir et savoir si ses décisions sont au mieux ajustées à la situation du moment, non, cette doxa a juste besoin d’être défendue par ses adeptes et sectateurs, ayant en effet acquise son existence propre.

    D'où ce terme de champ idéologique, mais ses mécanismes ne sont en rien magiques et sont, tout au contraire, tout à fait visibles et lisibles.

    En voici la trame:

    Progressivement coupé de toute réalité en raison de leurs actions délirantes passées qu'avaient déjà provoqué leur attachement maladif et excessif à leur doxa, les tenants de ce dogme, en reconduisant continuellement le même type d'actions que celles ultérieures, dans le but de résoudre les problèmes qu'avaient déjà posé ces actions passées inspirées par ce même dogme, génèrent une déstabilisation croissante de l'ensemble de la société, eux qui se devraient d'avoir en charge la meilleurs gouvernance possible de la société, ainsi, la trahit.

    Mais le pire est que cela les mène à un cercle vicieux qui, progressivement, va accentuer les multiples déséquilibres dus à leurs propres manquements : en perpétuant les mêmes démarches qui, auparavant, avaient créé ces perturbations, ils ne font que détruire ce que leur dogme commandait, donc ce dogme, et qui est à la base de leur croyance.      

    Donc, un tel dogme, s'émancipant graduellement de ses acteurs, demande qu’un certain nombre d’actions types soient entreprises, au bout d’un moment, ces actions, totalement déconnectées de la réalité sociale génèrent des effets pervers, c’est, par exemple, la crise de 2008, ce qui va amplifier encore plus le même type d'actions, créant et amplifiant ces perturbations, ainsi de suite, jusqu'à ce que l'ensemble ne s'effondre.

    Comme il n’est pas possible, pour les servants de ce dogme, de le remettre en question, les seules solutions qu’il leur soit possible d’adopter pour essayer de sortir de la crise qu'ils ont eux-même créé, consiste, pour eux, à accroître de plus belles les mêmes actions que précédemment, ce qui, nécessairement, accentue cette crise, ce qui les entraîne à surenchérir dans toujours les mêmes actions, ce qui augmente encore le détraquement, ce qui les incite à la surenchère… etc…, etc…, etc…, jusqu’au moment où le niveau de déséquilibre est tel que vient l’inéluctable effondrement.

    Tout au long de l’histoire, les exemples en sont nombreux.    

    Il y a donc une sorte d’aveuglement dû essentiellement à la croyance au dogme de l’époque, qui empêche les personnes qui en sont atteintes de comprendre que leur décisions sont contraire aux intérêts de tous, même aux leurs propres, là se situe la folie de tels mécanismes mentaux en un des processus de ces biais cognitifs qui, depuis quelque temps déjà, est l'un des thèmes de recherche en science humaine.

    Ainsi, quelqu’un comme Monsieur Valls peut être un homme aussi sincère qu'intelligent (sauf si c’est un profiteur, mais je n’y crois guère), mais si vous essayez de lui expliquer à quel point ses décisions sont déraisonnables et, ce, avec toutes les preuves à l’appui, il vous rira au nez, cela parce qu’il ne pourra pas vous comprendre, il lui sera totalement impossible de remettre en question, même légèrement, cette doxa.        

    En fait, il s’agit là, pour lui et pour tous ceux ayant les mêmes dispositions d'esprit, de survie mentale et sociale, c’est pourquoi il leur est impossible d’agir et de penser différemment:

    -survie mentale: ce dogme est tellement centrale pour leur compréhension du monde qu’il leur est impossible de même supposer qu’ils puissent être dans l’erreur.

    Toute leur structure mentale est bâtie sur et par lui, et toute approche d’une remise en question, même légère, de ce dogme va générer une telle douleur psychique, et sa disparition une telle angoisse existentielle que cela peut amener à des actes de violence, voire mener à un stress post traumatique jusqu'à des troubles psychologiques sévères, dépression, moment de stupeur, crise d'hystérie;   

    -Survie sociale: ceci est doublée d’une pression collective provenant du groupe ayant ce même endoctrinement, générant son renforcement par synergie, plaçant le sujet dans l’impossibilité d’envisager une autre approche idéologique, cela renforçant, bien entendu, la vision du monde unilatérale de ce sujet et, par là même de chaque sujet de ce groupe.    

    Quand à l'idée de le quitter, ce serait pour lui se retrouver dans la plus totale des solitudes, puisqu’il ne se sentirait plus reconnu comme faisant parti de cette société dans laquelle il se reconnaît en tant que représentant de l'humanité.

    De plus, il en serait de même, voire serait pire si il remettait en question ce dogme tout en restant dans ce milieu puisqu’il se retrouverait en solitude au sein de ce même groupe.     

    Tous fonctionnant, ainsi, à l'intérieur d'une boucle de rétroaction mentale/sociale renforçant continuellement en eux leur dogmatisme, chacun rassurant l'autre de la véracité de sa croyance et intensifiant, par ses propres discours, décisions et actions, les discours, décisions et actions de ses semblables.

    De plus, toute action contraire à l’éthique du sujet mais restant dans la logique de ce dogme générera une forme ou une autre de déni, de la dénégation de faits avérés jusqu’à la justification plus ou moins oiseuse de leurs actes, cela pouvant même les conduire à des actions dépassant leur humanité en raison même de la culpabilité que cela génère en eux.   

    C’est pourquoi nous pouvons observer tous ces journalistes dire les pires des insanités sans ciller le moins du monde, des banquiers agir de telle façon que cela ruine leur entreprise ou des hommes politique prendre des décisions néfastes pour leur population, ils le font pour défendre, en plus de leur dogme, la structure de leur psyché.     

    Ceux qui, sincèrement, en une semblance de paradoxe, adopterait le contraire de ce dogme en expliquant qu’ils luttent contre parce qu’ils en comprendraient ses effets pervers, continueraient, en réalité, de rester activement en son sein en ne faisant qu’inverser son aspect positif en un aspect négatif, mais psychologiquement, voire socialement, le processus mental de ce dogmatisme reste le même et lutter contre son ancien groupe c’est toujours, d’une certaine façon, une manière de rester dans ce groupe et de conserver, en son esprit, l'ensemble de ce dogmatisme qui, quoi qu'il en soit, le structure.    

    C’est pourquoi j'ai pu dire que les pays composant l’Union-Européenne sont tout autant bloqués institutionnellement qu’idéologiquement.

    En plus d'avoir posé des institutions étant absolument irréformable, l'ensemble de ses dirigeants ainsi qu'une large part de la population européenne sont étreint de ce formel dogmatisme.      

    Le cas de l’Allemagne est intéressant puisque ce pays, son gouvernement, son état, est tout autant contraint par ce dogme que nous pouvons l’être nous-même, mais, également, sait tirer le meilleurs de la situation pour son propre avantage.      

    Alors, comment nous sortir de ce piège doctrinaire?

    Nous ne pouvons qu’attendre que le système s’effondre par lui-même, ce qu’il fera, plutôt tôt que tard, mais nous pouvons aussi nous y préparer par avance par un travail théorique.     

    Mais, comme je l'ai écrit plus haut, en raison même de l’existence de ce dogmatisme puissant ayant entièrement structuré le mental de l’ensemble des élites européennes et d'une portion de la population, je crains que lorsque cet effondrement deviendra effectif, un état de stupeur et d’hystérie les rendent, pour de très nombreux d’entre eux, dans l’impossibilité d’agir avec intelligence, si ils agissent.      

    Il pourrait même survenir chez certains quelque chose de très proche d’un stress post-traumatique, pouvant mener à des états hallucinatoire ou pire.

     

     

    THEURIC

  • Versifier en bagatelle..., mais aussi en politique.

    Légère préface

     

    Voici, je recommence à vous présenter mes vers

    Et pour les présenter ce tout petit quatrain

    Que je laisse en à-propos, pour vous, ouvert

    Aux délices des mots à lire avec entrain.

     

    (Y'a intérêt sinon je râle, poil au râble)

                                                  -----------------------------------------

     

         En odes et stances

          Conter l'existence

    De la recherche de beauté

     

     

    L'amour des vers et des quatrains

     

    De fait, là, que je ne le vous cache en rien,

    Écrire en poésie m'est, plus qu'autre chose,

    Ce plaisir intense qui ne peut qu'être bien,

    Même s'il m'est plaisant de poser la prose.

     

    Les rimes me viennent comme ondes charnelles,

    Sublimant les mots en verbe me bondissant

    A l'esprit telles des sylphes passionnelles

    Me parcourant séant en forts flux scintillants.

     

    Ainsi, pour moi, il ne m'est point de fatigue

    Quand je rythme en quatrain le beau vocable.

    Reproduisant d'envie de ce don prodigue

    A tous ceux pour qui cela est agréable.

     

    Comme de tout art je versifie pour l'autre,

    De l'inconnu badin en découvrant ce chant

    A m'amour absolu pour qui çà devient nôtre,

    Jusqu'à des fervent en mes vers aguichants.

     

    Sa graphie surannée, mesures de douze pieds,

    Oubliée de modernes, tant obscurantistes

    De l'expression, en devinrent si estropiés

    Qu'ils ânonnent péniblement en casuistes.

     

    Oserais-je l'avouer, il m'est d'aussi de joie

    D'asticoter ces innocents d'alexandrins,

    De cet air charmant se faisant autrefois

    Et que je reprends, ici, avec grand entrain.

     

    Se peut d'autres peut-être, d'autres assurément,

    Font aussi strophe de syllabes en compte,

    De mêmes déclamations, d'hymnes d'agrément,

    Faire mélodie de ce que l'âme conte.

     

    Alors, chacun, je les salue, ces compagnons,

    Ignorés confrères en odes et stances,

    Nous sachant ardu quand en beauté nous guignons :

    Nourrir le langage, raconter l'existence.

                                                      -----------------------------------------

     

     

    L'existence nous sourit

                De naître

                  A la vie

     

     

    Naissance

     

    En un jour comme un autre, combien semblable

    A tant d'autres jours, pourtant remarquable

    Pour cet enfant naissant et une mère, enfin,

    Des neufs mois attendus du futur couffin.

     

    De vie en devenir, entrée en existence,

    Ses trois kilo cinq cents passés juste à téter...

    Et ses deux parents l'aimant en bienveillance.

     

    Le chérubin, nu, bien nourri à satiété,

    Sur les seins de maman pleine de confiance

    Dort, fatigué d'être né, sur ce flanc ouaté.

     

    Sa mère repose de tout ce temps passées

    En cette délivrance du poupon défroissé.

    Ce couple géniteur de ce beau nourrisson

    Se savent ainsi essentiel pour l'enfançon.

                                            --------------------------------------

     

     

        Agir en noblesse

     C'est faire l'élégance

    En simples réflexions

     

     

    Vers politiques

     

    La politique, tout autant, peut se versifier,

    Hugo, en son époque, put nous le prouver :

    Il n'est, en l'histoire, pour nous de certifier

    Qu'en l'hémicycle bruissaient ses vers éprouvés.

     

    Politique prurit faites l'élégance :

    De rimes en rythmes qu'en viennent flagrance

    Des enjeux malheureux ou de malveillance

    Qui, aujourd'hui, submerge jusqu'à la France.

     

    Du banal, exception, l'exception fait règle.

    Sont honnis des gens se révélant intègres.

    Le faux fait croire vrai d'une pensée aigre

    De ceux-là parlant comme pisse-vinaigre.

     

    Un vent lourd de bêtise souffle sur le pays,

    Ne faudrait-il pas autant qu'il ne s'allège ?

    Qu'à ces faibles fictions devenues fouillis

    Soient balayés tout ce pauvre florilège.

     

    Faisons œuvre en parlant de ces actes

    De belle manière en vidant tout à trac

    L'abject purin emplissant l'havresac

    Des hideux cocos n'étant que des réacs.

     

    Mais quoi que nous fassions, menons en distinction,

    Habilité, finesse toutes nos décisions :

    Conduisons-nous donc, en nos envisageables actions,

    Tel qu'il se doit en notre civilisation.

                                            ----------------------------------

     

     

                     Légère bagatelle,

                        Belle frivolité,

    Grandeur voluptueuse et sensuelle

     

     

    Charnel

     

    Être coquin en diable, ma foi, je l'assume

    Et d'aimer les femmes ne peut être funeste,

    Pour l'homme bien né l'est que manifeste :

    Faire œuvre libertine de sa plume :

     

    Ses pétales dorés déposaient en mes lèvres

    Son pistil vibrant en grande langueur

    Qui offraient à son corps de forts sauts de fièvre

    En un puissant vibrato d'une vigueur

    Me menant à parfaire, tel un orfèvre,

    L'œuvre fugace de l'humble fignoleur.

     

    Cette plume oisive un temps, légère,

    Telle l'abeille entrant dans la corolle,

    De l'oriflamme devenu banderole,

    Fit lueur, éclats, braises, feux, flashs, éclairs.

                                           ---------------------------------------

     

     

    Petite promenade

            D'un mot

              Oublié

     

  • De la désagrégation de l'Union-Européenne.

    Ce n'est pas tant que déteste l'Union-européenne.

    En vrai, si je n'étais pas français, je n'aurais de cette union ridicule et des pays et peuples la composant, que la vision que doivent en avoir les populations et leurs représentants de bien d'autres nations:

    P1000680.JPGSoit d'être affligé de voir combien cette région du monde, l'Europe, qui a su tout de même être les premières puissances au siècle dernier, avant que les délires allemands ne viennent tout renverser, et lancer la plus formidable des révolutions, celle de l'invention et de l'élaboration de nouvelles techniques scientifiques, artistiques et philosophiques.

    Europe, dis-je, qui, en union, désormais, patauge dans la plus insane des médiocrités.

    Je n'aurais donc, pour elle, que de ce dédain que mérite la vulgarité dans laquelle l'européenne union la vautre.

    Mais je suis français et, à ce titre, je n'ai pas le droit d'enfiler ces perles flasques de détestation de son pays, cette boue dedans lesquelles tellement de mes compatriotes aiment tant à gadouiller.

    Je ne vais pas, non plus, déverser ici une exécration, une aigreur, une fureur pour une U.E. qui, ma foi, n'est que la résultante d'une guerre froide passée entre les U.S.A. et l'U.R.S.S. et qui, à la disparition du second, devint la perle coloniale des premières.

    Je vais faire pire, du moins en ce qui concerne les oligarques euro-atlantistes, devenus germanophiles, leurs serviteurs zélés et le politburo de l'union: je vais montrer que l'Union-Européenne, en réalité, est sur la voie d'une désagrégation avancée, avec, il est vrai, de la raillerie, de la dérision et du sarcasme...

    Quels en sont les signes?

    En vérité, ils sont, je le reconnais, bien minces.P1000758.JPG

    Certes, nous vivons au sein d'une union composée de 27 pays, moins un, la Grande-Bretagne, mais bien peu d'informations traversent les frontières de ses états membres.

    Les événements des États-Unis-d'Amérique paraissent, pour les journalistes bien en vue de nos chères médiats achetés et aux ordres de nos oligarques, infiniment plus importants que ce qu'il pourrait se passer en Pologne, en Grèce, en Hongrie ou en Lituanie.....

    Il est vrai que l'extrême pauvreté de certaines des populations ne fait pas bon genre, la quasi destruction de l'économie grecque, par exemple, ne doit pas se dire, que les grecs crèvent, oui, mais en silence.

    D'autant plus que la responsabilité en incombe d'abord et avant toute chose au Bureau-Européen, ce machin jamais élu avec Monsieur Junker comme président, l'homme adorateur de Bacchus, et à la Banque Centrale Européenne qui produit des euros en tel grand nombre que cette monnaie en a perdu toute sa valeur.

    Mais il est vrai que l'on ne critique pas ces deux vaux-d'or, d'autant plus que le premier arbore un beau drapeau bleu et ses douze étoiles dorées sur tranche d'un symbolisme chrétien que personne, en sein de cette  institution, ne respecte!

    Hypocrisie, quand tu nous tiens...

    Ainsi punissent-ils les grecs d'avoir voulu quitter cette union fantasque en les P1000839.JPGruinant, d'offrir, dans le même temps, à l'Allemagne et aux banques, leurs richesses, faire peur aux autres peuples européens montrant des velléités d'indépendance et ne firent, ces sots, que de détruire à petit feu l'économie du continent et, cerise sur le gâteau, celle du reste du monde.

    Et oui, ces crétins arrivèrent à cette extraordinaire réussite d'avoir amorcé la désindustrialisation internationale et d'avoir gravement affaibli des banques de l'union déjà infiniment en peine.

    Bravo les artistes, même le F.M.I., qui avait participé à hallali, avait avoué, mais un peu tard, que tout cela n'était que d'une immense sottise!

    Et c'est qu'ils tentent de se justifier, ces gonzes, allez voir sur internet et vous verrez combien d'article chantent les louanges de cette ignominie.

    Cela juste pour vous montrer, amis lecteurs, comment cette union peut être considérer: comme du grand n'importe quoi!

    Mais il faut la sauver, cette union, et, ce, à n'importe quel prix, quitte pour cela à conduire les populations à leur faillite intellectuelle, morale et politique, l'économie, quand à elle, étant déjà dans une situation déplorable.

    Les G.O.P.E. ne faisant qu'accélérer et accentuer la faillite généralisée de l'Europe, nos croquemitaines européistes, ne voyant pas plus loin que leur idéologie débilitante et nécrosante néolibérale, étant dans leur plus totale incapacité de comprendre que chacune de leurs actions et décisions creuse un peu plus la tombeP1000753 - Copie.JPG de leur union chérie, en entrainant avec elle le monde entier dans une faillite généralisée.

    Alors, ces génies des alpages censurent et désinforment, assènent à longueur de temps une propagande d'une violence inouïe, tronquent la réalité des faits et le plus souvent cachent aux population toute information qui pourrait montrer aux gens l'inanité de leurs gesticulations destructrices.

    C'est ainsi que Monsieur Macron fut installé au poste prestigieux de Président de la République par nos oligarques nationaux et impériaux (même Madame Merkel alla voir qui était ce bonhomme, vérifiant même, une fois qu'il fut élu, l'un de ses discours), ils firent là une terrible erreur dans le casting:

    Ils crurent mettre en place un petit mouton bien docile et placèrent au contraire une personnalité infantile, instable, fantasque, hâbleuse et terriblement fragile.

    Mais surtout pourvu d'un orgueil démesuré.

    C'est que, l'année dernière, ils nous ont bien bourré le mou, nos journalistes eurocratiques, manipulant à qui mieux mieux, persifflant continuellement sur les candidats les plus gênant, Monsieur Asselineau en subissant les pires des affronts.

    La propagande pro Macron fut dantesque, ridicule mais dantesque, la preuve en est, il fut élu, nos journalistes guignolesques ayant bien fait leur travail.

    Mais revenons à Emmanuel Macron, voulez-vous, et voyons en quoi ce choix de nos oligarques ne peut qu'être, pour eux, désastreux.

    Je vous propose, pour commencer, ces deux textes, le premier traitant de la vente P1010032.JPGdu journal Le Monde à laquelle il participa, le second à l'hypothèse psychanalytique voulant que notre président serait, non pas psychopathe, mais pervers narcissique.

    Je pars en effet du principe que monsieur Macron n'est ni psychopathe, ni pervers narcissique, mais soufrerait d'un mal psychologique, bien que moins profond, n'en serait pas moins préjudiciable à la bonne mené de son mandat, même si cette mené n'aurait d'intérêt, non pas du pays et du peuple, mais pour celui de la minorité oligarchique eurolâtre.

    Pour cette explication, je vais devoir faire un détour sur une hypothèse que j'ai, peut-être, déjà abordé ici, si c'est le cas, je n'en ai rien retrouvé.

    Le pervers narcissique ainsi que le psychopathe souffriraient de cette pathologie parce qu'ils furent confrontés, sûrement lors de leur tendre enfance, à un ou un ensemble d'événements aux charges émotionnelles d'une infinie puissance ayant généré une culpabilité d'une violence et d'une douleur telle que, pour survivre psychiquement, le sujet  n'eut d'autre choix, si je puis dire, que de refouler totalement tout ce qui était lié à ce traumatisme, souvenirs, culpabilité et émotions.

    Ceci tout en ayant pris plaisir à ce trauma et de tout ce qui l'accompagna et, culpabilité devenue inconsciente oblige, à en chercher à en être puni.

    C'est pourquoi il y a, en même temps, la détermination inconsciente de laP1010055.JPG réitération de cette culpabilité en une quête continuelle de cette jouissance morbide (jouir de revivre la même chose) et l' insensibilité émotionnelle de ces sujets.

    Si les hauts potentiels sont souvent les victimes des pervers narcissiques, c'est justement parce que leurs capacités peuvent leur permettre de les punir, ce que ces seconds recherchent pour, d'une certaine façon, être guéris de leur souffrance (ce qui peut psychiquement les détruire).

    S'ils souffrent toujours, alors ils seront, pour leur souffre douleur, d'une cruauté égale à cette douleur culpabilisante inconsciente.

    De même, le psychopathe, lui, recherche la punition sociale, soit le plus souvent la prison, la perte de pouvoir et/ou la ruine.

    L’insensibilité émotionnelle menant l'un et l'autre de ces malades, au-demeurant parfaitement bien adaptés à notre société, à cette unilatéralité doctrinale remarquable qui, aujourd'hui, mène le monde à la banqueroute.

    Banqueroute vers laquelle nous allons allègrement, ce qui pose en même temps la question de savoir quel est l'équilibre psychologique de la majorité de nos oligarques (de l'origine de leurs traumas anciens) que de l'essence et du caractère réel des présupposés idéologiques sur lesquels ils s'appuient pour faire mener, par nos élus fantoches, les politiques actuelles. )

    Donc, si vous avez lu le premier article proposé plus haut, vous comprendrez que de dire Monsieur Macron pervers narcissique ou psychopathe ne tient pas.

    Tout simplement, comme vous l'avez lu comme moi, parce qu'il avait fui la présence de Monsieur De Tricornot pour ne pas faire face à sa propre culpabilité due à sa P1010087.JPGtrahison de ce journaliste lors de la vente du journal Le Monde.

    Là où je ne suis pas d'accord avec certains psys (voir le second texte proposé) sur la nature de notre président réside dans le fait qu'il n'ait pas eu affaire à une mère incestueuse mais à une confrontation entre la grand-mère et la mère pour la possession du fils aîné, ce qui change tout.

    Il s'agit ici en effet d'une jalousie, plus mème, une rivalité entre mère et fille au sujet du premier né auquel celui-ci ne put que participer et prendre plaisir au fil du temps et de l'âge, puisque son existence émotionnelle tournait autour de cette confrontation.

    D'autant plus que cela aurait pu commencer très tôt, possiblement dès le berceau.

    C'est cette rivalité possessive maternelle qui a empêché Monsieur Macron d'atteindre sa pleine maturation psychique d'homme adulte en lui faisant conserver intacte son infantilité antérieur, d'où son choix d'une femme de plus de deux décennies que lui en tant qu'épouse.

    Une nouvelle maman, en quelque sorte.

    Plaisir infantile, donc, retrouvé lorsque Monsieur Macron, adolescent (âge de la maturité sexuée mais aussi du début de la maturation psychique adulte), rencontra Brigitte Trogneux, ce qui lui permit de renouveler cette relation tumultueuse, là entre la femme et la mère, toutes deux quasiment du même âge.

    Puis, devenu président, se présenta à lui une conjoncture similaire entre sa femme et la chancelière allemande, Madame Merkel, auquel j'avais fait état je ne s

  • De la nature d'une provocation.

    Hier au soir je me suis aperçu que quelque chose n'allait pas dans les explication données des dernières manifestations et, surtout, des réactions   gouvernementales et chroniqueuses (ô la coquine).

    Comme je me le dis sans cesse dans ce cas, quelque chose ne colle pas.

    Ceci d'autant plus que, pendant plusieurs jours, les sujets que je voulais aborder n'arrivaient pas à s'écrire, signe que ce n'était pas les bons.

    Après une longue réflexion j'en suis venu aux conclusions que je vous propose en seconde partie.

    Bien entendu cela reste une hypothèse qui, je le pense, regroupe l'ensemble des événements ayant eu lieu ces derniers mois.

    P1010616.JPGD'autres phénomènes sont peut-être en jeu, ce en quoi je doute fortement.

    Il est de fait que quand le sens donné à un événement ou à un fait ne se révèle pas pouvoir englober tous les éléments constituant ce fait ou cet événement, c'est que l'explication qui en est apporté ne peut pas en être empreint de justesse.

    Ou dit autrement, c'est qu'il est, au-moins partiellement, faux.

    En cela les multiples et de toutes sortes provocations gouvernementales qui, se dit-on, n'auraient de seuls buts que de conduire à une exaspération populaire, menant à une augmentation de l'agressivité du mouvement des gilets jaunes, ceci affin que cela conduise à la monté en force d'une dictature macroniaiseuse, me paraît limité.

    Non  pas que cela ne puisse pas être pensé, l'instabilité psychologique de ceux qui nous gouvernent pouvant facilement les conduire à ce genre de calcul idiot et inefficace.

    Mais plutôt à ce que cela me semble limité et ce qui me fait dire cela c'est la démission de conseillés gouvernementaux dont un au plus proche du Président de la république.

    ( A propos de l'action de la police lors des manifestations, je vous conseillerais de visionner cette vidéo du journal "Le Média" lors d'un entretien avec Monsieur Dufresne, vous y comprendrez le pourquoi des violences policières.

    Souvenez-vous qu'un incompétent nommera toujours, en tant que subalterne hiérarchique, au moins aussi incompétent que lui, voire plus, et cela date depuis l'époque Sarkozy.P1010805.JPG

    Souvenez-vous aussi qu'un C.A.P. horticole nécessitait trois ans d'apprentissage il y a 45 ans de cela quand, aujourd'hui, les policiers ne sont formés que dans le tout petit délai de dix pauvres mois.

    Étant entendu que je m'adresse ici autant aux gilets jaunes, aux policiers, aux gendarmes qu'au citoyen lambda, dont ceux de la classe-moyenne la plus haute et de leurs sots suiveurs qui peuvent eux aussi, un jour ou l'autre, être confrontés à une situation difficile face aux représentants de la loi.

    A l'ensemble de la population française donc!  )

    Je vous propose donc mon hypothèse.

    Une oligarchie n'est pas une association de personnes dont tous les buts seraient tous convergeant mais bien plutôt le ralliement de personnalités détenant le pouvoir du moment, aujourd'hui c'est l'argent, ce sont les ploutocrates, hier c'était celui des armes, c'était les aristocrates.

    Ce ralliement se fait sur des intérêts collectifs bien compris, bien qu'il puise y avoir des conflits entre-eux, qui, en l'instant, consiste à ne pas perdre d'argent (ce qui adviendra tôt ou tard par la faillite de la globalisation), même si cet argent ne leur sert strictement à rien, une richesse, au-delà d'une certaine somme, ne pouvant pas être dépenser.

    P1010593.JPGJusqu'à présent, cette oligarchie s'était scindé en deux composantes, la monétariste eurolâtre, dont la fortune provient pour l'essentielle de jeux spéculatifs monétaires de toutes sortes et de la confiscation de nos services publics, tels que les patrons de Vinci, et l'industrielle qui, me semble-il intuitivement, tend à devenir patriote par pure logique d'efficacité manufacturière.

    Or les derniers événement me laissent à penser qu'au sein de cette première composante, essentiellement ploutocratique, s'expriment une dissension entre ceux qui sont germanophiles et ceux qui sont américanophiles & anglophiles auxquels appartiendraient ceux des conseillés gouvernementaux qui ont démissionné de leur fonction.

    "Bon", allez-vous me demander, "que cela peut-il faire qu'ils soient pour l'Allemagne ou pour le monde anglo-saxon, que cela va-t-il changer?"

    Il faut déjà savoir que l'on ne se met pas la perfide Albion à dos sans en subir les terribles foudres et il n'est que la Russie pour savoir comment faire pour en éviter les coups tordus.

    Mais au-delà de cela, ce qui, à mon sens, il faut comprendre, c'est que l'autisme suicidaire et provocateur du gouvernement provient de ce que la Deutsche-Bank se trouve désormais au bord de sa banqueroute.

    Il faut bien comprendre la différence de situation entre la France et l’Allemagne.P1010498.JPG

    Autant notre pays a, en Europe, le plus grand nombre de banques trop grosse pour être nationalisées faire faillite, la Germanie, elle, n'en détient qu'une seule, mais celle dont la faillite potentielle est la plus colossale, peut-être de toutes les autres tous pays confondu, et, se dit-il entre les lignes, même nationalisée elle ne pourra que mener le pays de Madame Merkel à la cessation de paiement.

    Si la Deutsche-Bank coule elle entraine tout le pays dans sa chute, les banques mondiales, les monnaies, l'Union-européenne et bloque, in fine, tout le système économique international.

    De plus, autant la proverbiale efficacité germanique mène ce pays à un solide dynamisme, autant sa tendance à l’unilatéralité idéologique le tend à poursuivre son mouvement jusqu'à l'absurde, et ici son dogme c'est l'ordolibéralisme, un néolibéralisme germanique au nom duquel toutes les nations de l'Union-Européenne sont mises sous sa férule ruineuse dans une longue et douloureuse faillite des peuples.

    L'Allemagne ne nationalisera jamais ses banques parce que cela contrevient à l’orthodoxie ordolibérale.

    Quand en France, à l'inverse, en cas de banqueroute généralisée (qui, quoi qu'il en soit, surviendra un jour ou l'autre), une conversion économique à l'Islandaise ne peut que survenir, accompagnée des nationalisations bancaires et de la mise en prison des personnalités les plus mafieuses et traitres à la patrie.

    Revenons maintenant aux oligarques germanophiles et américanophiles.

    Il est facilement imaginable de concevoir qu'aucun gouvernement ne voudrait que P1010577.JPGl'histoire désigne son pays comme étant celui qui aurait déclenché la banqueroute internationale, sauf bien entendu celui français qui, plus le temps avance, moins comprend quoi que ce soit de quoi que ce soit.

    Il serait même possible qu'il en soit de même de nos oligarques germanophiles.

    Ceci pour les raisons que j'avais pu indiquer ici et .

    Or, les épouvantables trous de trésorerie qu'ont la majorité des grandes banques mondiales, ceci sans compter les jeux spéculatifs dangereux auxquels se livrent nombre d'acteurs richissimes dans le monde, que ce soit de ces mêmes banques, de personnalités, de familles ou par le biais de fonds d'investissement, mènent à une instabilité financière grandissante, dont les pertes ne sont plus, pas ou peu compensée par un afflux de monnaie des banques centrales désormais quasiment tari.

    Dès lors les états n'ont plus d'autre choix que de passer la patate chaude de la banqueroute future à l'état voisin, ceci en en retardant l'échéance puisque personne n'y est prêt, surtout les U.S.A. de Trump et la Grande-Bretagne du joli mois de May.

    La première parce qu'elle doit réindustrialiser son pays véritablement exsangue, à toujours 102 millions de chômeurs réels il est visible que cette réindustrialisation ne se fait que très lentement, ce qui est normal, faire revenir sa masse industrielle perdue sur son sol ne peut que prendre du temps, ceci d'autant plus que son pétrole et gaz de schiste n'en a plus pour très longtemps (c'est pourquoi elle fait tout pour seP1010605.JPG récupérer les pays d'Amérique du sud producteur comme le Vénézuéla).

    La seconde pour des raisons similaire, soit sa réindustrialisation, qui, bien que plus rapide grâce à la dévaluation de la livre sterling, n'en prend pas moins un long moment, ceci d'autant plus qu'il lui faut attendre le réajustement salarial entre les produits importés plus chers à cause de cette dévaluation et la baisse du chômage ainsi que de la hausse des salaires.

    En revanche l'Allemagne, quand à elle, fait tout pour sauver sa chère, sa grosse, sa si fragile Deutsche-Bank, parce que si elle disparaissait quand elle disparaîtra, c'est l'Allemagne en tant que pays qui pourrait bien exploser avec elle par une scission de ses länder d'avec le pouvoir central.

    Ce dont nos oligarques germanophiles ont fort bien compris (il faut bien qu'ils comprennent quelque chose une fois de temps en temps, non?)

    Il leur faut donc aider la Germanie à remplir ce tonneau des Danaïdes qu'est la Deutsche-Bank par le truchement de notre gouvernement macronniaiseux en pompant les richesses restantes de la population.

    Oui mais voilà, cela mène à une double bronca (olé), celle du peuple via les gilets jaunes, mais aussi de l'oligarchie américanophile pour qui la survie des États-Unis-d'Amérique compte plus que tout.

    Et la paupérisation de la population française et européenne, ainsi que de la plus que révolte populaire gilettiste, met à mal l'économie mondiale, donc celle du dollar P1020036.JPGet, dès lors, celle des Etasunis qui, je le répète, ne sont pas prêts, très loin de là.

    N'oublions pas que la faillite de la Grèce menée par l'Allemagne, l'Union-Européenne et le F.M.I. accéléra grandement la désindustrialisation mondiale à l'époque, en 2011 me semble-t-il.

    Il y a donc un désaccord absolu entre l'oligarchie germanophile et celle américanophile sur la conduite à tenir en ce qui concerne la population française (si rien n'est fait même la classe-moyenne la plus haute sera bientôt touchée par leur paupérisation, ce qui semble être déjà le cas).

    Les premiers, pour tenter de ressouder le ralliement oligarchique entre ces deux composantes susnommées, poussent à bout les gens par une série de provocations, ce qui, bien sûr, réanime la flamme revendicative politique et économique des manifestants, et, pour certains, de leur agressivité, ceci dans le calcul que, par solidarité de classe, les seconds les rejoindront.

    Ces seconds, eux, ne souffrant que du seul brouillard conceptuel et au regard des délires gouvernementaux, s'éloignent des premiers et, faisant suite à l'exhortation de Trump envers Macron de faire sortir la France de l'union, pourraient fort bien adopter la bannière du France-quitte, voire même, pour certains, des gilettistes, ceci, pour l'instant, en toute discrétion médiatique, cela se passant dans le milieu feutré de ce monde.

    C'est là la seconde raison pour laquelle des conseillés et des ministres, ainsi que des P1010461.JPGparlementaires, démissionnent de leur poste, la première en étant que, par prudence, ils préfèrent s'éloigner de ce navire prenant l'eau de toute part.

    Je pense que, de plus, c'est Angela Merkel qui donne ses ordres à Emmanuel Macron et que celui-ci n'écoute plus d'autre personne.

    Si j'ai raison, alors nous devrions bientôt voir un renversement complet des discours tenus au-dedans de tel ou tel média suivant qui détient lequel.

    Mais surtout, surtout, surtout et en toute cohérence, cela voudrait dire que la Deutsche-Bank détiendrait une très grande part des dettes française, mais aussi celles de l'Union-Européennes, voire même celles de tous les autres pays européens.

    Sachant que le gouvernement allemand à placé des hommes à lui partout dans l'administration de l'union.

    Puis ce pays fera son germanoxit une fois que sa grosse banbanque sera sorti d'affaire, peut-être le 30 Février 20 019, à la saint-glinglin, quoi...

     

     

  • B.R.I.C.A. et coquin de sort: néolibéralisme, quand tu nous tiens.

    Comme les médiats officiels français tendent au vide cosmique, cosmétique, parfois même comique, je suis allé voir ce que Sputnik pouvait avoir à raconter par les temps qui courent.

    Je suis tombé là-dessus ( https://fr.sputniknews.com/international/201708041032519401-brics-plan-essor-industrie/ ) où y était expliqué que les ministres de l'industrie brésilien, russe, indien, chinois et sud-africain s'étaient réunis pour, ont-ils dit, "adopter un plan pour favoriser l'essor industriel".

    Rrrraaa lovely, comme aurait dit Super-Dupont de Gotlib, pourquoi donc ces pays ne reprendraient pas les recettes néolibérales qui conduisirent les européens, les étasuniens et autre occidentaux à leur ruine.

    Ben oui, pourquoi pas...

    Certes, cela semble se passer en une belle entente entre ces cinq états discutant enP1000749.JPG toute égalité: "Les B.R.I.C.A. font un pas en avant vers la mondialisation et le libre commerce..." y est-il explicité, la belle affaire.

    Les mêmes causes faisant les mêmes effets, cet accord ne pourra que mener ces pays qu'à leur ruine: le plus gros et le plus dynamique mangera les plus fragiles par la concurrence débridée, comme l'Allemagne le fit en Union-Européenne, qui ne leur vend désormais plus rien puisque le reste des nations de l'U.E. ont ainsi été ruinées.

    D'ailleurs c'est le but des accords de libre échange entre la même U.E. et le Canada, les allemands veulent manger les canadiens et les canadiens manger l'U.E..

    Si tant est que le système économique globalisé n'explose pas avant, bien sûr.

    Et après ça les imbéciles crieront: il faut faire des économies pour rembourser nos dettes, dettes que les mêmes, ou leurs semblables, ou ceux qui voudraient l'être (imbéciles, peut-être) ont générées ou ont accepté qu'elles le soient, d'ailleurs.

    Les états font des dettes parce que l'impôt diminue, sinon ils ne fonctionneraient plus, l'impôt diminue parce que des entreprises ferment (montée du chômage) et que les gens s'appauvrissent puisqu'il y a baisse des émoluments, il y a fermeture P1000865.JPGd'entreprises et baisse des émoluments parce qu'il y a la monté de la concurrence sans régulation entre les entreprises des différents pays et que, surtout, l'état ne peut pas soutenir les domaines où le pays est le plus fragile.

    En fait, si accords il y a entre les états, ce doit être au niveau de la régulation et de la légitimation de l'aide aux domaines faibles au sein de chacun des pays et non pas ouvrir les frontières à grands vents comme c'est la mode aujourd'hui.

    Ensuite nous pourrons dire: "Que le meilleurs gagne", mais pas avant!

    Ceci dit pour montrer que chacun des B.R.I.C.A. n'auront pas d'autres choix, à un moment ou à un autre, que de faire, pour chaque nation, pour les raison exposées plus haut, de la compétition salariale face aux autres pays, soit de faire baisser les émoluments de ceux qui sont en haut (pas trop haut tout de même), au milieu et en bas de l'échelle des payes.

    Ce qui entrainera la diminution des capacités d'achat des populations et la faillite des entreprises puisque, je le répète, les plus gros, les plus dynamiques, et/ou les plus malins, mangerons les plus petits ou les plus faibles et que les états auront de moins en moins les capacités d'action sur l'économie réelle de leur pays.

    N'oublions pas que seules les classes-moyennes font fonctionner la machinerie économique à l'intérieur des frontières d'un pays, et plus il y a de classes-moyennes, intellectuelles et/ou économique, mieux l'économie nationale fonctionne et, ceriseP1000718.JPG sur le gâteau, moins il y a de pauvre et de milliardaire.

    Appauvrir et déclasser les classes-moyennes ne mène, à terme, qu'à un seul effet: la ruine de tous, banques et milliardaires compris.

    C'est ce dont l'Occident et les pays pauvres crèvent!

    Mais pourquoi donc perpétuer des frontières à l'heure de la mondialisation?

    Bonne question à l'heure où la propagande néolibérale n'a même plus besoin de s'exercer.

    En fait, si les frontières deviennent si poreuses que la souveraineté économique s'en trouve tant affaiblie que l'état et son administration ne sait plus vraiment ce qui rentre et sort du pays, il n'y a plus échange entre état mais juste des mouvements de marchandise et d'argent entre particuliers, commerces, entreprises et banques.

    Et cette hyper-concurrence, qui ne pourra que monter en puissance, fera qu'à un moment donné seul une minorité des établissements subsisteront, les autres disparaîtrons inéluctablement.

    Des impôts peuvent certes être perçus, mais cet accroissement de la puissance des plus imposantes de ces entreprises, banques comprises, fera qu'il leur sera possible soit de soudoyer le personnel politique et administratif, soit de faire passer, via la P1000698.JPGpropagande, leur doctrine sur laquelle s'appuie leur puissance, soit, le plus souvent, ces deux actions simultanément.

    Ce qui fera que ces entreprises survivantes pourrons échapper à l'impôt en raison même de leur puissance.

    Elles deviendront, non pas un état dans l'état, mais d'une position mondiale au-dessus des états.

    Comme les gens, appauvris, auront de moins en moins la capacité d'acheter et que les états seront dans la situation de ne plus pouvoir fonctionner, la seule chose qui leur restera sera de contracter des crédits à certaines sociétés, soient aux banques, soient aux commerces de type hypermarchés.

    Pour les états, il en sera de même, sauf que, bien entendu, ils n'emprunteront pas aux hypermarchés, mais aux banques, aux assurances, aux sociétés spéculatives et à d'autres états, puis commenceront à échanger, via leur banque centrale, de l'argent papier ou électronique des Q.E. contre des reconnaissances de dettes qui s'appellent des bons du trésor.

    En fait, c'est plutôt imprécis, ce n'est pas comme ça que ça se passe et c'est beaucoup plus délirant, les banques-centrales des états prêtent de l'argent aux banques qui ensuite prêtent ce même argent aux états contre ces reconnaissances de dette bon du trésor qui, si j'ai bien compris, sont rachetés, pour partie, par les mêmes banques-centrales, avec un bénéfice pour les banques.

    Argent des Q.E. qui, rappelons le, ne vaut plus pipette puisque excessivement produit en rapport avec l'effondrement industriel du pays émetteur.

    Je crois que Pignouf n'aurait pas imaginé mieux, ou Quiri le clown ou n'importe quel comique troupier...

    Mais ces dettes, ben, il faut les rembourser, et ce remboursement fait que c'est de l'argent en moins pour pouvoir acheter ce qui est produit pour les particulier, mais aussi pour les états (le militaire, la police, la justice, l'instruction publique, ...etc, etc..., etc...).

    Phénomène qui appauvrit les entreprises puisqu'il y a moins à vendre, ce qui fait donc monter la concurrence inter-entreprise, et le cycle recommence (entre chaqueP1000878.JPG crise), jusqu'à ce que, à un moment donné, tout s'arrête.

    Je pose donc le postulat que ce sont donc les béances frontalières, accompagnées, il est vrai, de la charge doctrinale ad oc, le néolibéralisme, qui est la cause première de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le monde d'aujourd'hui.

    Sans compté les délires dont je ne viens de ne vous montrer qu'un tout petit exemple.

    En France, ce processus a pris plus de quarante années pour que nous en arrivions à la situation industrielle actuelle, sans l'Union-Européenne fascisante telle qu'elle est, plus que néolibérale, voire sans Union-Européenne du tout, nous n'en serions pas là, il est vrai, mais le chômage, avec ce néolibéralisme, bien que moindre, serait, je le pense, néanmoins bien présent.

    Et au niveau mondial la situation, bien moins catastrophique, serait tout de même préoccupante si les étasuniens n'avaient pas ouvert leurs frontières aux quatre vents mais juste de trois.

    Donc, la décision des B.R.I.C.A. est une erreur, compréhensible si nous songeons qu'elle a d'origine de pouvoir contourner la prédominance, la suprématie du dollar pour tout échange marchand international.

    Et puis, des pays comme la Chine et l'Inde purent se développer rapidement grâce, justement, à cette béance frontalière occidentale et aux faibles revenus de leur P1000724.JPGpopulation, qui aujourd'hui s'accroissent.

    Mais l'un comme l'autre, ainsi que les trois autres participants, hormis peut-être la Russie, se trouvent dans une situation difficile puisque l'appauvrissement continuelle des occidentaux fait que le nombre de leurs clients diminue, encore plus depuis 2008, ce qui ne peut que les appauvrir également.

    Or, ce fait ne peut que mener qu'à une scission de leur peuple d'avec l'état puisque celui-ci peut de moins en moins leur offrir ce rêve de classe-moyenne que chaque citoyen de ces pays commençait à voir venir sur le pas de sa porte.

    Et puis, l'appauvrissement de la population veut dire aussi appauvrissement de ces états, avec tous les dangers que cela comporte dont je vous ai entretenus plus haut.

    D'où leur nécessité de trouver une réponse rapide à cet affaiblissement étatique, ce qu'offre cette décision néolibérale d'accord qui ressemble infiniment, à s'y méprendre, à du libre-échange.

    En est puisqu'en porte de nom.

    De fait et par ce simple exemple, nous pouvons voir que tout le monde est piégé par un système économique qui, bien que totalement délirant, n'en est pas moins devenu absolument incontournable.

    Et cela n'ayant d'effet que de déstabiliser un petit peu plus un système économique globalisé déjà au seuil de son implosion.P1000879.JPG

     

     

    THEURIC

  • Les choses de l'esprit: l'agoraphobie.

    Si je traite de ce sujet maintenant c'est en raison de mon sentiment d'urgence que vous comprendrez, que de sortir de chez-vous puisse vous causer quelques douleur ou non.

    Ayant remis le texte que je vous promettais à plus tard.

     

    Tel que j'avais pu vous l'exposer  le 27 Avril au sujet de notre déconfinement, nous sommes, plus ou moins, naturellement envahis par des angoisses à l'idée de retourner dehors après environ deux mois d'être resté chez-soi.

    Hier matin je suis allé marcher au marché et, quelques temps auparavant, j'ai senti une tension, une inquiétude due au fait que, justement, j'allais sortir de chez-moi.

    Puis, lors de cette réflexion me posant, si je puis dire, ce diagnostique, j'ai pressenti que je ne devais pas être le seul dans ce cas, loin de là.P1030007.JPG

    Ce phénomène, je l'ai dit, est naturel, ceci d'autant plus d'une pandémie que l'on nous dit, dans les médiats, sûrement récidivante, ce que nombre de professionnels contestent, en un seul exemple où vous y comprendrez l'historique de notre confinement;

    Nous nous retrouvons, de fait, tout autant à percevoir plus ou moins intuitivement que notre monde dedans lequel nous vivions il y a encore peu de temps en vient à vaciller gravement, nous qui le sentions déjà en phase de délitement avant même l'advenue du SRAS-COV-2, que bien que nous ne connaissons que celui-là nous en venions à le détester, ressentant qu'il ne pourra pas perdurer encore longtemps, sans que nous sachions de quoi notre futur sera fait réellement.

    Or, d'une certaine manière, quittant ce mode honni mais reconnu, de nous retrouver confiné, nous nous sentions ainsi en sécurité cloîtrés chez-nous de ne pas voir ainsi notre univers se chambouler, en une sécurité illusoire, j'en conviens, mais rassurante.

    Cela étant accru par lesdits médiats et, au travers d'eux, l'oligarchie strato-financière qui les détient, ainsi que du gouvernement, qui n'eurent que de cesse d'accroître notre frayeur pour que la majorité d'entre-nous reste le plus longtemps possible chez-eux.

    La raison en est simple à comprendre: du fait de leur immense impéritie lors de cette crise sanitaire, de ce que la plupart des français a plus que du ressentiment à son égard, ce qu'Emmanuel Todd a compris, faire de manière à ce que son plus grand nombre de gens ne sorte pas de son habitation,  tout en tentant de faire P1030281.JPGrepartir la machinerie économique, leur est devenu leur enjeu majeur du moment.

    Ceci en prolongeant l'effroi populaire en cette épidémie.

    Souvenez-vous de ce que je vous avais exposé par le passé, toute soumission est la résultante de la double activation complexe de ces deux émotions primaires que sont la colère et la peur se retrouvant en relation confrontante de blocage et dès lors d'obéissance, ce qui fait que ladite soumission tombe quand ces alarmes ne sont plus en relation de conflictualité paralysante ou que l'une ou l'autre disparaît.

    Mais au-delà de cette tentative de manipulation dans le but chimérique de nous asservir dans leur crainte que nous nous révoltions, reste toutefois la question de nos craintes légitimes en un bouleversement sociétal d'importance.

    il est à envisager qu'infiniment plus encore que les exactions policières envers le mouvement populaire des gilettistes et des divers manifestants, soignants venant en réaction à l'appauvrissement du système de santé, dont des hôpitaux, ainsi que du projet de réforme des retraites, de la tendance totalitaire du gouvernement français et de l'oligarchie, l'ensemble des ministères européens ne purent qu'être horrifiée par l'incompétent amateurisme dont notre gouvernement fit preuve lors de cette crise sanitaire.

    Il est même possible que tous, d'une manière ou d'une autre, envisagent de seP1020775.JPG défaire de l'union, voyant que la France tend, désormais, à les attirer vers le fond de la faillite généralisée en raison de l'incompétence grandissante, foncière, de son gouvernement et de son président.

    Qui sait quelle bévue feront-ils encore?

    Telle est la question ne pouvant que se poser un  petit peu partout dans le monde mais, surtout, en UE.

    Je me demande même si, ayant fait une relative erreur dans mes considérations, même l'Allemagne n'aurait pas décidé, possiblement avant le début de cette crise, de se retirer de l'UE.

    L'idée de la double disparition de l'Union-Européenne/euro et des Etats-Unis-d'Amérique est, par essence, angoissante, parce que cela représente un chamboulement sociétal de première importance, c'est pourquoi tant de monde dans ces mêmes médiats, mais aussi sur le WEB, n'évoque jamais l'existence même de l'union.

    Les effets des décisions du pouvoir exécutif, mais aussi législatif français, que chacun soit pour ou contre celle-ci, ne pouvant que conduire de fait, à terme, à sa disparition.

    Dès lors, il est logique de penser que, en même temps que de ne même pas citer son nom marque une façon de la protéger en la cachant, cela signe aussi, et peut-être surtout, un comportement d'évitement provenant d'un tourment majeur, plus ou moins inconscient, de concevoir la disparition de l'UE€, et dès lors de se protéger de P1020873.JPGce futur choc.

    A tout cela, l'évidence de problèmes économiques liés à ce confinement de plus de la moitié de la population mondiale mène aussi à une toute autant intense anxiété.

    Pouvant aller jusqu'à l'arrêt du fonctionnement de l'économie-monde purement et simplement, ce que, là encore, nombre de personnes ressent, ne sachant, de plus, jusqu'où tout cela pourrait aller.

    Alors, de ces futurs chamboulements sociaux, politiques, économiques, de ce vers quoi la société va et que nous ignorons tous, s'il c'y rajoute des faiblesses psychologiques personnelles, ce qui m'a mené à ma solitude d'aujourd'hui, qu'une forme ou une autre d'agoraphobie, soit la peur des milieux ouverts et/ou du grand monde autour de soi, soit présente, plus ou moins fortement suivant chacun, ne peut ni ne doit nous surprendre.

    Et la meilleurs façon de s'en soigner c'est de la comprendre, d'en saisir les origines au cas par cas, d'en être conscient, et, si ce phénomène est puissant, de s'en désensibiliser progressivement en se forçant à sortir de plus en plus longuement et, pour les cas les plus graves, de commencer par l'imaginer de chez soi avant de faire le premier saut dehors.

    De ne pas repousser, de plus, les émotions, images mentales, chanson, mot ou expressions venant à l'esprit, puisque ce sont eux qui guideront ceux en souffrant ainsi, ces remontés mnésiques en  appelant à être décryptés.

    La vie n'est pas un rêve éveillé baigné de douceur, elle est telle qu'en elle-même, gracieuse parfois, âpre ou terrible aussi.P1030668.JPG

    Nos sociétés humaines sont en pleine mutation, elles ont évolué, certes, mais la nôtre d'évolution de chacun d'entre-nous nous mène a des difficulté, nous nous retrouvons à ne pas vraiment être adaptés à la société que nous avons nous-mêmes bâtie: nous sommes toujours autant chasseurs-cueilleurs, cultivateurs-éleveurs que d'une modernité que nous peinons de suivre.

    Ceci accompagné par un égarement de notre identité qui amplifie nos incompréhensions de ladite mutation, thème que vous retrouverez plus loin sur mon blog.

    C'est pourquoi s'agitent en nous des forces inconscientes que nous avons des difficultés à définir: cela parce qu'il nous faut faire un pas en arrière pour que nous recommencions d'aller résolument vers l'avant.

    Et si nous nous retrouvâmes en nos logements c'est bien parce que ces forces inconscientes firent émerger un archétype de notre inconscient collectif similaire pour tous les peuples de la terre affin que nous nous retrouvions nous- même en nous-même.

    Le monde change comme il se dit, cela est vrai, tout comme il peut en être pour nous, mais bien fou celui qui pourrait dire comment cela se fera, c'est çà qui P1030271.JPGangoisse, alors préparons-nous au moins à l'imprévisible, à nous y adapter.

     

     

    THEURIC

  • Economie: les instabilités s'accroissent autant que la médiocrité du temps!

    Si nos sociétés humaines et, d'autant plus occidentales, se retrouvent aujourd'hui dans une situation calamiteuse c'est bien parce que la médiocrité est devenue la norme.

    Vous trouverez ici ( lisez-le avant de poursuivre ce billet ) une bonne définition de ceP1010142.JPG que peut être la médiocratie, la gouvernance des médiocres, mais où y est glissé toutefois cette hypothèse absurde du réchauffement climatique anthropogénique, preuve s'il en est que cette tendance traverse tous les espaces intellectuels, même là où celle-ci est reconnue dans sa substance.

    C'est bien cette médiocrité généralisée qui mène le monde à sa faillite, c'est bien l'impossibilité formelle de ceux qui ont à leur charge la vie publique et économique des pays de conceptualiser les effets temporels de leur décisions et actes, qui entraine le délitement progressif de la mondialisation heureuse et celle des pays.

    Cette brève dissertation de ce philosophe québécois, que j'ai découvert sur le site "les crises" de Monsieur Berruyer, nous montre ce court-termisme qui se retrouve à être la trame générale des sociétés s'étant répandu partout depuis maintenant de longues décennies.

    P1010159.JPGC'est, tout compte fait, cette longue médiocrité délétère qui constitua ce moyen-âge moderne consubstantiel au gras obscurantisme qui, telle une chape de crétinisme, a enveloppé la pensée humaine et dès lors la nôtre propre.

    Là se trouve cet affaiblissement de la pensée provenant de cette indétermination psychologique dont je vous ai longuement entretenu en Mars de cette années et qui, en ne sachant plus se déterminer en tant qu'Être Humain, rend notre espèce malade de ce non être.

    En un exemple vibrant, vous trouverez , sur le site de Businessbourse, l'annonce de la monté des prix des carburants, phénomène déjà remarqué lors du tout début de la crise dite des subprimes de 2017/2018, ce qui était prévisible mais ne semble pas être souligné par quiconque.

    Ce que j'avais prévu depuis des mois et dont je vous avais déjà entretenu: en raison des instabilités financières dues à la fragilité grandissante de l'industrie mondiale, des instabilités boursières et de la perte quasiment totale de la valeur nominale intrinsèque de quasiment toutes les monnaies, les spéculations monétaristes et boursières se reportent désormais sur les matières premières, dès lors sur le pétrole, mais aussi, bientôt, sur la nourriture sur les productions minières.

    ( Il y eu une telle situation il y a six mois environ qui s'était lentement rétablie par un accroissement des Q.E., mais depuis les dégradations industrielles et boursièresP1010042.JPG ne firent que s'amplifier, ceci d'autant plus que le gouvernement U.S. semble (je suis prudent) tendre à éliminer ses oligarques par leur faillite, d'où la monté des taux de la F.E.D. vers les 3%, la même monté qu'en 2007... )

    Ce qui ne pourra que générer deux effets convergents, une instabilité croissante des nations et la fermeture progressive des usines et autres manufactures.

    Dès lors, en raison de l'appauvrissement des populations, les bulles immobilières,  s'égayant ici et là, commenceront à se racornir, ce qui mettra à mal la situation financière des banques.

    Ceci sans compter d'autres bulles tout autant gigantesques, dont nombre se trouvent aux États-Unis-d'Amérique, entre-autre dédiées aux crédits pour les étudiants et à l'achat d'automobiles.

    En France, le crédit à la consommation a franchi une nouvelle étape où il est visible P1010177.JPGque les grands magasins se mettent à devenir banquier et en viennent à faire du crédit pour des dépenses de 50 euro et moins, ce qui est une preuve supplémentaire de cet appauvrissement généralisé.

    Ceci quand, dans le même temps, le gouvernement macronnien tend à vouloir restreindre, non pas des avantages, mais la masse des émoluments qui, jusqu'à maintenant, permettait à un ensemble de salariés de faire, cahin-caha, fonctionner l'économie du pays, à la S.N.C.F. notamment.

    Tout en voulant privatiser le chemin-de-fer français, quand l'exemple britannique ne peut que nous montrer à l'envi la plus totale inefficacité, parfois mortelle, d'une telle démarche, ne pouvant, là encore, que mener à réduire les capacités économiques du pays.

    En fait, même s'il a de très nombreux visages, dont celui des experts, des journalistes en vu, d'une classe politique et économique éreintée, même si une nouvelle équipe gouvernementale et législative, de même essence, nous avait étéP1010188.JPG sorti du chapeau, notre ennemi véritable se cache au fin fond de notre esprit et se nomme la médiocrité et son corolaire, l'obscurantisme.

    A nous donc de reprendre en main notre liberté, qui est de comprendre ses propres contraintes, et notre indépendance d'esprit, qui consiste à penser par soi-même en remettant en doute, ce qu'affirme avec raison Mr. Deneault, des évidences qui, en seconde lecture, ne peuvent que se révéler ne pas être telles qu'elles se présentent et telles que nous nous les représentons.

    Sinon, le moment me parait propice pour vous redonner, peut-être pour la dernière fois avant que le système économique globalisé n'explose, mes conseils (une partie est du copié-collé d'un texte précédent datant d'Avril 2017, déjà):

    Faites donc des réserves, ayant moi-même compté au minimum:

    -quelques jours, voire deux semaines de menues monnaies, ne serait-ce que pour quelques courses, le pain, notamment, ceci étant dû au fait que les banques ayant fait faillite, il faudra du temps pour que le gouvernement réagisse ou ne soit renversé, pour qu'enfin celles-ci soient nationalisées (il en sera de même pour les P1010234.JPGassurances, il vous faudra être prudent);

    -si vous avez des économies dans une même banque, répartissez dès aujourd'hui cette somme dans plusieurs autres, l'une peu disparaître mais pas l'autre;

    -si vous achetez de l'or, de l'argent et/ou du platine, plutôt en petites pièces, conservez-les chez-vous, bien cachés, dans un trou au fond du jardin par exemple, mais sachez que cette monnaie ne vous servira que dès que le système économique du pays repartira et pas avant;

    -si vous avez beaucoup d'argent, même hors des frontières, transformez-le en matières premières et entreposez-les discrètement près de chez-vous, ou achetez des terres agricoles, des concessions minières dans votre propre pays, de petits objets d'art que vous mettrez dans votre maison, enfin, tout ce qui peut permettre à un pays de se refaire une industrie et à vous de ne pas trop perdre d'argent (de toute façon, vous en perdrez et beaucoup);

    -trois mois de nourritures pouvant se conserver, pâtes, riz, plutôt complet, légumes voire fruits secs, farine, sucre, huile, beurre, ...,plus des conserves si vous en avez la place, du café aussi, le temps que les acheminements de vivres reprennent, l'agriculture française existant encore (pour combien de temps?);

    -faites un potager, vous pouvez dès maintenant acheter les outils, des graines au plus tôt, faites le bêchage de printemps, semez  des tomates par exemple, pour avoirP1000816.JPG votre récolte au plus tôt;

    -si c'est possible, ayez des poules pour les œufs puis la viande, pour vous et aussi pour du troc;

    -comptez un an de produit de première nécessité, pour le corps (savon, shampoing...) comme pour la maison (javel ou vinaigre blanc, lessive, P.Q....), songez à ce que quasiment plus rien n'est produit en France;

    -ayez de quoi faire du troc pour deux à trois ans de ce qui n'est plus produit sur notre sol, soit presque tout, tout pourra faire l'affaire, des cigarettes pour les non fumeurs (les autres les fumeront), du chocolat, du café (là encore il sera dur de ne pas résister), mais aussi du papier, du cirage, du savon en rab, de la peinture, du bois de chauffe, des piles, des lampes..., etc..., enfin,  de tout ce dont nous avons tous besoin au jour le jour et dont nous ne faisons que des réserves limités;

    P1000749.JPG-le vélo et/ou le vélomoteur (le plus économe en essence), surtout si vous habitez loin des gares, le train continuant sûrement de rouler, seront une valeur sûre, songez que l'arrêt des transports internationaux signera celui des produits pétroliers, votre voiture restera donc au garage et les bus et cars au dépôt, l'essence et le gasoil sera réservé aux véhicules prioritaires et aux armées;

    -commandez un, voire deux chéquiers, les paiements électroniques pouvant cesser à un moment ou à un autre, rapidement (?) le chèque pourrait devenir le seul moyen de paiement pour un temps indéterminé, dès que le gouvernement d'alors auront rouvert les banques;

    -conservez convenablement tous vos papiers, attendez-vous, aussi, au moins à un ralentissement d'internet, les administrations, les banques et les assurances, aussi, pouvant les égarer lors de cette catastrophe, voire perdre leurs informations informatiques;

    -dès que les signes les plus évidents et marquants, pour ne pas dire angoissants, seront là, allez voir votre maire pour lui expliquer ce qu'il se passe, parce qu'il y a de fortes chance qu'il n'y comprenne rien, ceci pour qu'il commence à organiser autantP1000886.JPG les pénuries que les risques de désordres et débordements.

    C'est, en effet, dans les débuts de cet effondrement, au local, que l'organisation sera, dans un premier temps, le plus efficace.

    Mais surtout, surtout, surtout, pensez par vous-même, même si cela entre en contradiction d'avec les idées de l'air du temps, même si vous vous retrouvez à vous disputer avec vos proches, et même si vous êtes en désaccord avec ce que j'écris, je ne détiens aucune science infuse (ce qui est une évidence).

     

     

    THEURIC

  • Dire non!

    Vous savez quoi?

    Je vais vous faire un aveux: je ne sais pas dire non, du-moins est-ce pour moi une immense difficulté d'exprimer un refus lorsqu'il m'est demandé de rendre un service.

    Pourtant, parfois, je rends ce service avec mauvaise grâce, je sais que la personne se sert de moi, que ses yeux implorants sont du chiqué, du mensonge, et pire, que l'on me prend pour un imbécile.

    Je me soigne mais c'est dure, je dis non du bout des lèvres, avec maintes circonvolutions, avec des détours idiots, des hésitations, des bégaiements, des justifications inutiles, mais je me soigne.

    Le pire dans tout cela c'est que je sais qu'un "non" déterminé, clair, net n'admet, de la part du requérant, aucun sermon ni dispute, pas même de rejet, tout au contraire, cela générera du respect, je me suis respecté par mon refus, dès lors le requérant me respecte.

    Parce que, tout compte fait, ne pas savoir et pouvoir dire non à un autre, c'est ne pas savoir et pouvoir  dire oui à soi et l'implorant n'est pas le quémandeur, le requérant, le véritable implorant est bien celui qui se refuse, qui est dans l'impossibilité de refuser quoi qu'il lui soit demandé, qui dit, sans le dire: "Vois, j'existe puisque je te rends service, j'existe puisque je t'obéis!".

    Et puis, surtout, la personne qui ne sait pas dire non peut se mettre en danger ou faire les pires des abjections, sait-on jamais ce qui lui sera, un jour, demandé?

    Et ce réflexe d'anticiper les demandes de l'autre, de les devancer, trait dont je me suis, tout de même, avec difficulté, débarrassé, n'est-il pas l'optimum de cette pauvreté d'esprit, d'un implorant pleur de vouloir être enfin reconnu, une dérisoire erreur de se croire respecté par celui qui le prend pour un faible, un moins que rien, une obscénité?

    Tout de même, ce qui me rassure c'est qu'à la tête des pays européens et, par delà, de la gouvernance européenne, les gouvernements sont dans l'incapacité de dire non à notre mentor américain, aux allemands affaiblis de leurs vieillesses, aux groupes de pressions économiques des banques et des fonds de pensions, aux entrepreneurs internationaux qui n'entreprennent même plus dans leur propre pays, au Qatar, au F.M.I. et à d'autres, tellement d'autres.

    Chez nous, en France, la situation est la même, voire pire.

    Notre gouvernement plie devant le M.D.E.F., Obama, les banques, les assurances, l'Union-Européenne, les allemands, les fonds de pensions et devant tout un tas de trucs et de machins qui, en réalité, représentent de moins en moins un quelconque péril.

    Au contraire, à force de se mettre à dos toutes les strates de la population en raison de cette obéissance servile aux représentants éreintés de ces ex-puissances, nos gouvernants risquent de plus en plus un renversement qui, quoi qu'il se passera et qui que soit celui qui prendrait le pouvoir, ne pourra pas ne pas se faire sans violence.

    Et pourtant, pourtant, les États-Unis-d'Amérique représentent-ils toujours la nuisance qu'ils furent par le passé?

    Peuvent-ils toujours, comme naguère, faire pression sur notre pays ou sur un autre de l'U.E. en agissant sur les cours boursiers, sur l'euro, sur les dettes ou sur tout autre agent économique sans, pour cela, se mettre en position de banqueroute, de ruine, de faillite?

    N'est-ce pas cela qu'ont compris les russes?

    Ne serait-ce donc pas plutôt les européens qui, de détenir des dollars, seraient en mesure de leur dicter leurs lois en faisant simplement planer la possibilité de les revendre, ou bien celui de ne pas vouloir rembourser les dettes?

    Qui, de l'Allemagne, du Qatar ou de la France a plus à craindre de l'effondrement des banques, des fonds de pension, des assurances et surtout de la disparition du dollar?

    En France nous n'avons plus rien à perdre, il ne suffirait que d'expliquer au peuple la réalité de la situation et des nécessités devant lesquelles nous devrons passer puis d'agir, et ces nécessités, quoi qu'il en soit, devrons être traverser, à un moment ou à un autre.

    Qui, du gouvernement, des banques, des assurances, des fonds de pensions à le plus à craindre d'une faillite universelle?

    Qui, en réalité, est dans une position de force sinon notre gouvernement?

    Alors quid?

    Qui voulez-vous que des dirigeants du P.S, de l'U.D.I., de l'U.M.P. ou du F.N. puisse se déjuger (souvenez-vous de la visite de madame Le Pen à un représentant du parti républicain américain, un texan qui se présentait contre Barack Obama et voulait dépénaliser les drogues dures, Monsieur Ron Paul, se voulait-elle être héroïne et être reconnue en tant que la meilleurs représentante de l'Oncle Sam)?

    Comment voulez-vous que tous ceux-là qui furent adoubés par cette puissance d'argent et les Amériques puissent refuser d'accéder à leurs désidératas?

    De quelle manière pourraient-ils s'opposer aux petits désirs de cette même puissance d'argent, à la gouvernance européenne et aux agents américains, eux qui ne savent même plus ce que peut être que gouverner?

    Peuvent-ils dire non?

    Mais sont-ils les seuls à vénérer ainsi les préceptes et désirs de la libre entreprise, des Amériques, du dieu dollar et de l'Union-Européenne?

    Quand nous savons que dans certaines universités et entreprises internationales (qui n'emploient quasiment plus personne ici) obligent leurs professeurs pour les uns (suivant une loi votée il y a peu qui l'autorise) et leurs employés pour les autres à n'échanger qu'en anglo-américain sans que cela ne choque personne.

    Quand tous les médiats s'emploient, maintenant, à ne nous informer sur la situation en Ukraine que de la seule optique américaine (eux qui se sont fourvoyés, au début, en invitant des personnalités expliquant la réelle situation géopolitique) sans que cela ne choque personne.

    Quand l'Union-Européenne soutient des partis nazi en Ukraine sans que cela ne choque personne.

    Quand personne ne parle plus de Guantánamo sans que cela ne choque personne.

    Quand nous contemplons la ruine de  notre industrie sur l'autel faisandé de toujours les mêmes délires ploutocratiques sans que cela ne choque que ceux qui sont concernés: les chômeurs.

    Quand nous entendons le langage tronqué, bafoué, meurtri par une pauvre neuvlangue de pacotille ou s'y mélange, dans une piètre bouffonnerie, un sabir fait de bas anglais et de raccourcis langagiers sans que cela ne choque personne.

    Quand plus la moitié de nos magasin de vêtements ne sont même pas capable d'afficher un nom français sur leur devanture sans que cela ne choque personne.

    Quand quasiment plus un habit, un produit d'entretien, un savon, un shampoing, un appareil électro-ménager..., n'est fabriqué ni en France, ni en Europe sans que cela ne choque personne.

    Quand des ouvriers est-européens viennent travailler sur notre sol avec un salaire de misère sans que cela ne choque presque personne.

    Quand les puissances économiques, les ploutocrates américains et internationaux veulent devenir les seigneurs du monde et d'abord d'Occident par la signature d'un accord de libre échange entre les État-Unis, l'Europe et le Canada, ce dont nous n'entendons pas parler, sans que cela ne choque personne.

    Quand le Qatar achète une équipe de foot parisienne de renommée mondiale sans que cela ne choque personne.

    Quand notre Président de la République se fait injurier sur la place publique et manipulé par les américains sans que cela ne choque personne.

    Quand de plus en plus de nos chanteurs chantent en anglais sans que cela ne choque personne.

    Quand, à longueur de temps ne sont plus passés, à la télévision, que des feuilletons américains sans que cela ne choque personne.

    Quand nous sommes considérés comme des crétins par les publicitaires qui font vendre leurs camelote dans des films débiles sans que cela ne choque personne.

    Quand nous sommes baladés par des hommes et femmes politique à la langue de bois chargée, ah, là, ça choque tout de même.

    Quand les manifestations en Europe du sud ne sont jamais retransmis sur la myriade de chaines de la télévision française sans que cela ne choque personne.

    Quand nos banques ne prêtent plus qu'à notre état les euro reçu par la B.C.E. mais ne prêtent plus ni aux particuliers, ni aux entreprises parce que ça rapporte plus sans que cela ne choque personne.

    Quand dans les magasins sont affichés des prix de type 9 euro 99 centimes pour faire croire que ce prix n'est pas de dix euro sans que cela ne choque personne.

    Quand les Amériques espionnent tout le monde, sans  honte, sans vergogne sans que cela ne choque personne.

    Quand sur certains sites le blogueur ne prend même pas la peine de traduire un texte en anglais quand cela empêche le lecteur de comprendre quoi que ce soit sans que cela ne choque personne.

    Quand la mode est à l'américano-magnia, partout, toujours et,  pire, par ceux qui honnissent, disent-ils, cette même Amérique sans que cela ne choque personne.

    Quand ceux-ci deviennent antijuifs parce qu'ils ne veulent pas s'avouer que leurs malheurs viennent d'une pensée américaine qu'ils chérissent tant en faisant un amalgame imbécile entre Israël et les États-Unis-d'Amérique, que ceux-là font un pataquès d'une vulgaire quenelle et qu'ailleurs n'est pas compris que ce sont les comportements israéliens dont viennent ces délires, alors moi, je me sens proche surtout des papous indonésiens par mon histoire d'hier et par la leur d'aujourd'hui!

    Et ce délire ne choque personne!

    Alors nous pouvons en conclure que, en plus d'être les vassaux de l'Amérique, nous ne sommes, tous, que les serviteurs serviles d'une ploutocratie qui, sous des couvert de toute puissance, en est aux portes de sa propre ruine.

    Quand,  quand, quand, c'est bien beau de décrier le gouvernement, mais c'est aussi autour de nous, dans notre vie quotidienne, dans notre propre langage, dans nos petites habitudes, nos petits aveuglements, dans les simples gestes du tout les jours que sont pollués les moindre interstices de notre existence et moi, de cette pseudo modernité qui n'est que notre mise sous tutelle technologique et culturelle des américain et des ploutocrates, j'y dis NON!

    Je n'ai rien à faire de la langue anglaise qui est parlée par ceux qui ne sont pas anglais, américain, australien!

    Et même, je considère cette mode comme la plus dérisoire, infantile, vulgaire qu'il soit et ceux qui s'y soumettent comme  du pas grand chose, du presque rien.

    Nous sommes tous responsables de nos actes, quand je ne dis pas non lorsqu'il le faudrait, je suis l'unique responsable de cette décision et, au jour le jour, je me corrige, c'est long, fastidieux, difficile mais j'y travaille.

    Alors, messieurs-mesdames, si vous voulez lutter contre cette ploutocratie débilitante, faites de l'agitation intellectuelle, parce que c'est là que se trouve leur véritable danger, l'intelligence.

    En cela, au moins, je sais dire non.

     

    THEURIC

  • Ce n'est pas la fin de quelque chose mais son début!

    Veuillez me pardonner de mon erreur de manipulation menant à la publication intempestive de ce billet avant qu'il ne soit achevé.

     

    Il ne peut qu'y avoir nombre de sites qui montrent et démontrent l'inanité du gouvernement, de l'administration bruxelloise, voire des assemblées délibératives et des médiats, en relevant des faits et des paroles inutiles ou néfastes, des messages incongrus, des ordres contradictoires, des silences nuisibles ou odieux, des mensonges éhontés...

    Combien y aurait-il, combien resterait-il de gens sérieux à l'assemblée Nationale et au Sénat, un tiers à un quart pour le premier, une moitié pour le second?

    Combien se comptent-ils dans notre gouvernement?

    Il y en aurait-il?

    Mais quoi qu'il en soit de ce bien réel et malheureux état de fait, un danger nous guette et un travail nous attend, le second, de plus, résolvant le premier.P1030042.JPG

    Quel serait donc, avec le COVID-19, cet autre péril qui nous menacerait.

    C'est l'ennui, qui fut pour Charles Beaudelaire le thème d'une magnifique déclaration Au lecteur en en rendant la définition aussi belle que juste.

    N'allez pas croire, au-delà de ce trait, que je ne sois pas sérieux, l'ennui, en effet, peut être tout autant constructeur que destructeur pour l'esprit et plus nous avançons dans l'âge, plus sont grandissant les risques qu'il nous fait prendre.

    Jusqu'à souffrir d'angoisse, d'état dépressif, d'un stress post-traumatique ou mener à un usage immodéré de sucre, d'alcool ou de toutes autres substances psychogènes.

    Or, nous avons dès maintenant un travail urgent à effectuer: commencer à concevoir et conceptualiser la reconstruction industriel, agricole, minier aussi, tout autant que politique du pays.

    Mais pour cela il faut commencer par un début logique: ne pas se laisser aller, surtout si l'on vit seul.

    Bien manger, se laver, s'habiller, faire de l'exercice même sans sortir, faire son ménage (qui est pour moi une difficulté), téléphoner à la famille, aux amis, continuer de vivre, donc...

    N'attendons rien de ces ribouldingues qui censément gouvernent et font nos lois, ils nous montrèrent qu'ils sont dans la plus absolue incapacité de penser, prévoir et P1020964.JPGgérer une crise sanitaire qui, même si elle est grave, aurait pu se révéler infiniment pire.

    Alors il ne peut qu'être cohérent de considérer que les mêmes ne puissent pas officier avec ardeur et vivacité pour cette reconstitution, cette reconstruction, eux qui, jusqu'à présent, prirent du retard sur ladite crise que parce qu'ils ne prévoyaient et ne concevaient, par obéissance aux GOPE de l'UE, que de passer leur 49.3 à l'Assemblée Nationale au sujet du projet de loi dédié aux retraites, dans leur impossibilité première de pouvoir imaginer qu'ils puissent être atteint par Monsieur Coronavirus (le vit russe, hi, hi, hi).

    Tout le reste ne leur semblant que secondaire.

    Eux qui ne voit d'horizon que la ligne bleue étoilée d'or de la construction européenne, paniquent et plus encore, ébahis et transis, divaguent à l'idée que leur construction européenne chérie se délite au-devant de leurs yeux.

    Ils ne sont plus rien que de leurs rêves brisés!

    Lesquels peuvent-ils être considérer comme étant les plus sérieux?

    Ceux qui resteront à leur poste, quand bien même se confineront-ils chez-eux, n'en poursuivront pas moins leur métier d'élu.

    Il n'est plus que les imbéciles pour encore croire aux autres.

    ( Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en P1030242.JPGFrance au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur serait Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    Allemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1P1030049.JPG

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie réelle, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne et la République Tchèque est le plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est le plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est le plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Note à 19 h 30, ces mêmes tchèques ont détourné 680 000 masques et respirateurs aux italiens que la Chine leur destinait.

    Vous savez quoi, le premier qui me dit que l'UE  est une bonne chose, je le traite de débile, en son sens médical du terme!)

    Alors, quel est ce travail que je vous propose que nous effectuons tous, chacun muni P1020057.JPGde ses capacités, de ses talents et de ses connaissances?

    De commencer dès maintenant à concevoir comment rebâtir au mieux et au plus vite le tissu industriel, minier et agricole  de la France, économique donc, de l'économie réelle, mais aussi politique.

    Ceci en attendant d'agir au mieux suivant les dispositions de chacun.

    ( Quand à notre gouvernement, il risque fort de sauter comme sur une mine s'il continue de se conduire d'une manière aussi infantile, s'il poursuit son affligeante impéritie.

    D'avoir de plus conduit une violence policière dirigée envers tous manifestants, dont entre-autre les pompiers et le personnel médical qui aujourd'hui, hypocritement, sont encensés par ces mêmes donneurs d'ordre.

    Que les ministres comprennent, le sieur Macron m'en paraissant incapable, que,  suivant Monsieur Sapir, autant un coup de force, comme celui qui avait mené au pouvoir le général De Gaulle, mène à une continuité politique de l'état;

    Autant un coup d'état ou une révolution ne peut que conduire à une remise en cause de la constitution d'auparavant, ce qui veut dire qu'à ce moment là leur vie même pourrait se révéler être en jeu.

    Je leur conseillerais donc à vivement à se remuer le popotin, d'arrêter de se justifier en accusant Pierre, Paul, Jacques de leurs propres stupidités et manquement  et deP1020445.JPG cesser séant toutes leurs autres gamineries ridicules.

    N'est-ce pas messieurs-dames les faiseurs.

    En nous montrant et démontrant jusqu'à présent ainsi à tous une insigne faiblesse mentale, pour dire le moins, qui, si cette crise perdure, ne pourra qu'obliger quelques forces ou d'autres de vous renverser.

    Mais je ne pense pas que vous puissiez agir de la meilleurs des façons, vous qui craignez plus que tout la disparition de l'Union-européenne, vous qui n'êtes habités que de cette petite angoisse là!

    Et ne percevez le reste que comme grandement secondaire, sauf si cela génère des perturbations que vous ne savez gérer que par la force policière, les autres éléments d'action vous étant totalement abscons.

    D'où vos errements sans fin dans cette crise sanitaire.

    Si, l'autre chose dont vous êtes capable, profiter de votre situation pour vos petites agapes. )

    Mais quoi qu'il en soit de ce travail, la condition sine qua non  de son effectivité ne peut qu'être de n'être plus au sein de l'Union-européenne qui, de part les traités, son idéologie dont sont empreints la majorité du personnel politique, en empêche tout développement.

    C'est pourquoi, au minimum, votez pour l'UPR.

    P1020279.JPGNous ne pouvons plus nous permettre, en effet, de rester dedans cette union et de continu

  • France: des feux s'allument depuis un an.

    Monsieur Macron, notre cher et vulnérable vénérable président, a dit, dans l'esprit, que l'OTAN se trouve être en un état de mort cérébrale, c'est fort bien, mais il eut pu, pour plus de sincérité, mais surtout en faisant preuve de plus de clairvoyance, dire de même de l'Union-Européenne tout comme du gouvernement français jusqu'à sa présidence, tous moribonds.

    Mon intuition m'a susurré que ce nouveau, cet énième projet de loi sur les retraites, est un piège tendu au gouvernement français, germanique et unioniste, je fais confiance à mon instinct parce que je sais que mon esprit prend des informations dont je ne suis aucunement conscient, les conjugue entre-elles et en tire des conclusions franchissant ensuite ma pensée, ce que je vous confie dans ces lignes.

    Du-moins commencerais-je à poser ces idées en questionnement.

    Ainsi, serait-il possible que quelqu'un ait pu soufflé à cet obscure fonctionnaire de P1030295.JPGl'UE (serait-ce le plus sot?) de demander à la France, par l'entremise des GOPE, de mettre rapidement en application l'uniformisation des retraites ainsi que de la mise en place de celles à points?

    Pourquoi un obscure conseiller de l’Élysée aurait-il glissé à notre cher bien aimé président de dire ce bon mot au sujet de l'OTAN?

    Quelqu'un aurait-il, de la même façon, conseillé à ce même conseiller de souffler ainsi ceci à notre godelureau national?

    Nous pourrions tout autant envisager qu'à un autre conseiller, ministériel sûrement, il fut conseillé, de je ne sais quelle puissance, de pondre ainsi un projet de loi traitant des retraites, sûrement fort bien  ficelé, probablement applaudi par ses pairs, les ministres, les oligarques, mais qui ne pouvait que mettre la population en grève et dans la rue, l'enflammer.

    Et qui donc aurait-il pu conseiller cela à ce conseiller?

    Qui donc autorisa les syndicats français, qui sont tous, sauf SUD, au sein de la Confédération-Européenne-des-Syndicats qui les paie, qui fait donc la pluie et le beau temps revendicatif de chaque pays, en France significativement, dont le rôle, maintenant, de nos contrepouvoirs syndicaux, n'est plus que celui de leur maintien de l'ordre collectif des peuples de l'UE, des français, de les tenir en laisse, au même titre que nos polices transformées (pour un bref temps?) en milice d'état?

    Qui donc, me demandais-je, autorisa les syndicats français, hormis la CFDT toujours suiviste, a entamer une grève générale dont personne ne sait jusqu'où elle P1030612.JPGpeut mener?

    Leur aurait-on promis de les aider financièrement si la CES leur faisait des ennuis?

    Tout cela quand le mouvement gilettiste, bien qu'affaibli, perdure, et où, de l'incompréhension, de la peur et de la résignation, la colère vient et s'accroit en remplacement.

    Tout cela quatre mois avant les élections municipales.

    Tout cela générant une grande panique au gouvernement.

    D'autant plus que les routiers aussi appellent à la grève, et qui d'autre bientôt, la police ou l'armée en compléteront-ils les rangs?

    Le Rassemblement-National, rassemblant de moins en moins de monde, demandant un référendum sur les retraites, sachant très bien déjà les immenses difficultés pour obtenir les 4, 7 millions de signature pour mettre en place celui dédié à la vente des aéroports de Paris, c'est se moquer du monde.

    La France-Insoumise, à l'insoumission bien légère, demande le retrait de son projet, c'est ce qu'il s'appelle faire un travail d'insoumission en son stricte minimum, ça ne mange pas de pain, ne nécessite pas trop d'énergie ni de prise de risque, tous oublieront cet appel si ce projet passe et ce parti aura beau jeu, ensuite, s'il est retiré, de déclarer que c'est grâce à lui que cela est arrivé.

    Quand aux autres partis politiques, hors du REM, les radioéléments, et de LR (ne sachant pas où elle erre, serait-ce de la France ou de l'union?) se disputant les mêmes électeurs, les dits-autres ne sachant plus ni quoi dire, ni quoi faire, chacun serrant des fesses en priant pour que tout cela  n'aille pas trop loin.P1020964.JPG

    Comprenez bien que je ne dis en rien que je suis contre les grèves et les manifestations, tout au contraire (moi-même en 1996...), mais il me paraît important que chacun d'entre-vous, amis lecteurs, compreniez que nous puissions être aussi sujets de manipulations de grande envergure.

    Quand bien même serait-ce pour la bonne cause.

    J'écris cela pour que vous soyez des acteurs plutôt que des pantins de cire ou de son agités en tous sens.

    Pour que vous vous posiez la question.

    Et tant mieux si cela se fait à l'avantage de tous, sauf à celui des macroniaiseux, cela va de soi.

    Mais qui, dans ce vaste monde, aurait intérêt à allumer un tel incendie en France qui, s'il perdure, pourrait mettre à bas, à terme, l'Union-européenne?

    J'en vois quatre acteurs qui, pour des raisons différentes, aimeraient voir cette union disparaître:

    -La Grande-Bretagne qui, en plus d'avoir besoin que son voisin, son cousin historique, son égal, la France, puisse, libérée de son carcan unioniste, s'allier avec elle, ne supporte pas de plus, en un vieux réflexe datant de sa  victoire sur l'invincible armada en 1588, qu'en Europe un pays domine tous les autres, ce qui est le cas aujourd'hui de l'Allemagne;

    P1020168.JPG-Les États-Unis-d'Amérique trumpiens voudraient bien se débarrasser de l'Union-européenne devenue ingérable, d'un euro qui tire l'économie mondiale vers le bas et d'une OTAN entrant dans une schizophrénie frénétique, la Turquie en étant le caricatural exemple, le tout lui coûtant un fric de dingue;

    -La famille Rothschild, pour qui la signature du traité d'Aix-La-Chapelle, qui fut l'offrande gratuite de la force nucléaire et du siège permanent français à l'ONU de Macron à sa dulcinée Merkel, fut pour cette famille une angoisse (un membre de sa famille avait péri dans les camps de concentration), une colère indicible, un désir de revanche sur l'histoire (elle qui avait aidé Hitler au début de sa prise de pouvoir...) et l'envie de préserver de la ruine le pays qui fut à l'origine de sa richesse, de sa puissance et de sa gloire, France où, par ailleurs, le plus de juifs, en pourcentage, furent sauvés de toutes les nations conquises par l'Allemagne nazi.

    Elle qui considère avoir réchauffé un serpent en son sein, d'avoir le fort sentiment d'avoir été trahi par Monsieur Macron;

    (Et puis y chasser Glodman Sachs, son meilleurs ennemi de toujours, du pays ne serait pas pour lui déplaire, une sorte de cerise sur le gâteau en quelque sorte.)

    -Israël, enfin, pour qui ce même traité ne peut qu'être qu'une cause d'hostilité froide P1030846.JPGmais réelle, elle pour qui la terrible histoire proche fut à l'origine de son existence n'en oublie pas une miette, même si elle s'égare souvent pour tout le reste jusqu'à faire autant de grosses bêtises, de vilénies que d'erreurs.

    La Russie, quant à elle, reste juste observatrice, attendant patiemment que la France prenne son indépendance pour s'allier avec elle et qu'elle l'aide à s'approcher du Royaume-Uni.

    Voilà, aujourd'hui c'est le peuple dans son entier qui se manifeste en manifestant et ne reste plus que les plus obtus pour ne pas comprendre qu'eux aussi se verront ruinés un jour ou l'autre si a même politique se poursuit.

    Pour l'instant l'Union-Européenne reste caché par l'équipe gouvernemental, mais son affaiblissement continuelle ne pourra que la rendre progressivement visible.

    Déjà certaines chaînes de télévision montre une lente tendance au retournement de veste, ce qui veut dire que des oligarques sentent le vent tourner.

    Comme dit plus haut, le gouvernement s'affole et ne doit pas être loin de la panique, ce qui ne peut que les mener à prendre des décisions qui seront pour lui contreproductif, ce qui amplifiera la colère populaire, ceci d'autant plus que rares sont devenus ceux qui croient encore en ce que disent ses ministres, conseillés, journalistes officiels et autres aficionados du REM.

    P1030585.JPGEt  la parole présidentielle en n'est devenue en cela qu'un vague spectre inaudible.

    Il est à remarquer que la chancelière allemande, chancelante déjà dans son  pays, a demandé à son amoureux, Emmanuel Macron, de tenir bon face aux grèves et manifestations, montrant pas là qui porte la culotte dans ce couple informel et qui en est le petit toutou, la France-Allemagne, non, Macron-Merkel plutôt.

    Mais elle montre aussi ainsi qui dirige véritablement et l'union, et la France, il n'est pas étonnant dès lors que notre cher président ait une telle adoration pour le maréchal Pétain.

    Même si l'administration bruxelloise exprime de fortes velléités d'une prise de pouvoir absolue de l'UE.

    Ça doit être une pétaudière, un immense capharnaüm en cette union que certains prétendent sinon de promettre d'être éternelle, où chacun doit tirer à hue et à dia, il en est toujours comme cela quand un système politique est triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, et qu'autour le monde évolue sans que celui-ci ne puisse s'y adapter.

    J'imagine quelqu'un comme Cédric Thomas, alias Jean Quatremer, sûrement un nom d'artiste de vaudeville, réagir à certaines nominations au bureau exécutif de l'UE de personnalités à la probité toute relative, entre l'ire et l’écœurement, en P1030038.JPGavalant cet énorme boa constrictor tout cru, goulument et d'une bouchée (je fais dans le reptile aujourd'hui, d'ici à ce que je commence à parler de pomme il n'y a pas des kilomètres, pom, pom, pom, pom, comme aurait dit Beethoven...).

    Je vous ai exposé ici un ensemble d'hypothèses qui, toutefois, vient en appuyer d'autres que j'avais émises précédemment dès que j'appris la signature du traité d'Aix-La-chapelle.

    Ce fut la révolte des gilettistes qui accéléra, si j'ai raison dans ce que je subodore, la mise en place de ce plan menant à cette grève qui se généralise progressivement.

    Suivant la logique politique qui veut que les ennemis de nos ennemis sont nos amis, ne gâchons pas notre joie si vraiment ces trois pays et cette famille richissime nous manœuvre, mais ne nous laissons pas entrainés au-delà de nos intérêts, d'où ce libelle.

    Mais restez conscient qu'aucune, je dis bien aucune politique sensée ne pourra être menée en France tant que le pays, l'état, la nation resteront inféodés à une Union-européenne désagrégeant et détruisant notre économie et celle de l'Europe au même rythme qu'elle-même se dissout ("...et dix sous, c'est pas cher.")

    (Je me sens d'humeur badineP1030756.JPG aujourd'hui.)

     

     

    THEURIC

  • Essai de réflexion sur les origines d'Homo Sapiens Sapiens.

    Je vous avais conté, amis lecteurs, de ce que je pense des origines du singe ici et là j'y avais exposé ce que je pensais de la nature de la pensée.

    Je vais, derechef, faire cet exercice périlleux consistant à m'essayer de concevoir notre passé lointain, soit ici l'origine de notre langage complexe et notre démarche si intrigante, deux des attributs spécifiques de notre condition humaine.

    Pour cela je vais reprendre comme base réflexive, une fois encore, la théorie du primate aquatique chère à Elaine Morgan (ici vous en trouverez un bref résumé en pour et en contre), que vous retrouverez dans "Les cicatrices de l'évolution", toutefois il me semble que l'explication qu'elle avait fourni pour expliquer l'évolution des pattes arrières de nos ancêtres en jambe fut un petit peu trop rapidement conceptualisée.

    Le livre d'Yvette Déloison: "La préhistoire du Piéton" est également d'une grande importance dans ma réflexion, je vous le conseille également, je suis juste en désaccord avec elle quand elle affirme que la position debout existerait déjà chez le proto-singe, ce qui ne colle pas avec mes propres pensées.

    Quand à l'origine de notre capacité d'échanger oralement, je fais l'essai d'en concevoir les premières évolutions en m'inspirant des échanges sonores des cétacés.

    Il est vrai que cette théorie du primate aquatique n'est pas validée par les paléoanthropologues.

    Celle-ci se dit hypothèse, ce qui en soit c'est logique, souvenons-nous de cet aphorisme de mon cru: "Une théorie n'a de valeur que par son caractère prédictif."P1010624 - Copie.JPG

    Or, toutes les théories, sans une exception, sur l'origine de notre espèce si particulière posent d'infinis tracas conceptuels, c'est pourquoi plutôt que théories, parlons (c'est le cas de le dire), pour l'ensemble de celles-ci, d'hypothèses.

    Une évolution ne peut se faire que si l'espèce a, en elle-même, le potentiel pour que cette évolution se fasse, et une fois celle-ci faite il est (quasiment?) impossible pour elle de revenir en arrière, sauf si elle a conservé en elle des traces archaïque.

    Ainsi, nous ne sommes pas si glabre que cela, nos poils sont juste devenus minuscules, s'il y a nécessité, une longue période glacière de plus d'une centaine de millier d'année par exemple, ce qui fut le cas d'Homo Sapiens Neandertalensis qui lui en avait traversé plusieurs, ceux-ci pourraient très bien, si je puis dire, reprendre du poil de la bête et se redévelopper, il est ainsi possible de représenter Neandertal hirsute, ce qui me semblerait logique.

    Mais une longue pilosité nécessite une  énergie supplémentaire que le métabolisme se devra de fournir, or, l'une des nombreuses particularités humaine c'est d'avoir un cerveau qui, de ses 2% me masse corporelle en moyenne, utilise 20% de l'énergie que le corps produit.

    Ce cerveau a donc, ainsi, un coût énergétique énorme et son évolution ne peut s'être fait que de par la nécessité que cela se produise, ceci doublé de ce potentiel qui rendit ceci possible.

    Il en est du cerveau comme de notre bipédie et de notre langage complexe.

    P1010666 - Copie.JPGDe cette nécessité évolutive due à un nouveau milieu et des contraintes qui y sont liées, au potentiel évolutif de l'espèce antérieur, il faut y rajouter le fait que ce milieu puisse offrir le cadre indispensable pour que la-dite évolution puisse se produire.

    Ce sont, à mon sens, ces trois simultanéité qu'il faut rassembler pour construire un ensemble théorique cohérent et dynamique pour saisir ce qui fait de nous, aujourd'hui, ce que nous sommes: le potentiel, les contraintes et les possibilités.

    Mais à quoi cela pourrait-il servir?

    Tout simplement de nous comprendre dans ce qu'il y a de plus profond dans notre psyché, ce que peut recéler de plus ancien de notre inconscient, nos pulsions instinctuelles d'Être Humain qui peuvent, si nous n'en prenons pas conscience, prendre une place part trop considérable dans notre vie du tous les jours.

    Je vous propose donc que nous fassions ce voyage dans le temps de nos ancêtres d'il y a plusieurs millions d'années passés.P1010577.JPG

     Comprendre le pourquoi de nos facultés à la parole et de notre marche debout, sur nos deux pieds, sans queue servant de balancier, est loin d'être les moindres de nos difficultés.

    N'oublions pas que toute évolution nécessite, comme je l'ai dit plus haut, une dépense, tant en énergie qu'en potentiel évolutif, et une fois ce potentiel épuisé, la forme de vie, le morphogène, disparaitra dès qu'une transformation de l'habitat plus ou moins violente et rapide demanderait de nouvelles adaptations ou que cette dernière parviendra à un sens unique débilitant.

    Songeons simplement au guépard et au panda qui, l'un et l'autre, en raison, entre-autre, de leurs difficultés reproductrices et de leur hyper-spécialisation, sont au bord de l'extinction.

    Donc, notre langage, ou plutôt notre proto-langage, est apparu dès que cette nécessité se fit jour.

    Il ne peut en être autrement pour notre station verticale.

    P1010712.JPGEnsuite ces deux traits ont évolué suivant les acclimatations et les besoins adaptatif à la survie que les représentants de notre proto-espèce et de ceux antérieurs rencontrèrent.

    A ce propos, la première question à se poser serait celle de savoir si nos capacités d'élocution seraient ou non apparues en même temps que notre érection (sans connotation sexuée, hi, hi, hi).

    A cette-dite nécessité évolutive, donc, il faut aussi y adjoindre la possibilité pour que ce soit l'ensemble de la forme de l'espèce qui évolue en même temps, ce qui n'est toutefois pas une obligation mais qui là est essentiel.

    Un autre point important auquel il faut songer c'est que notre cerveau est un ogre d'énergie, de 2% du poids de notre corps, il en consomme, suivant les informations que j'ai recueilli, entre 20 et 25% (toujours cette sacrée énergie sans quoi rien n'existerait).

    De ce fait, je vous propose également cette vidéo où Madame Herculano-Houzel (pas mal ce nom au scrable mais trop long et interdit par les règles du jeu) expose la particularité des cerveaux simiesques et du lien du développement de celui du genre Homo d'avec sa découverte de la maîtrise du feu par Homo Erectus il y a de cela de 400 000 à 800 000 ans.

    Je commence donc par résumer l'idée de Madame Morgan: le milieu semi-aquatique des mangroves, ici celui disparu situé dans le rift africain (ici aussi) à l'est du continent, souvent riches en matière nutritive, fruits des arbres et fruits de mer,P1010759.JPG sans compter les poissons sûrement pêchés par nos lointains ancêtres, une bonne part de ces espèces n'ayant pu, depuis, que s'être éteint avec la disparition de cette mer antédiluvienne, ce milieu semi-aquatique serait donc le moteur de l'érection de l'humain très archaïque.

    Mais si nos aïeux les plus lointains se sont retrouvés, dans le même temps, à nager, entre-autre sous l'eau, et à marcher en même temps dans l'eau et sur la terre ferme, c'est qu'il y avait une nécessité, comme je l'ai dit, il ne saurait y avoir d'évolution sans qu'il n'y en ai eu de nécessité.

    Sinon, se retrouvant hors de l'eau, ils se seraient remis naturellement à se déplacer à quatre pattes.

    Et il en est de même de notre langage parlé.

    Pour explorer cette double nécessité, je vais employer deux outils, celui de causalité tel que je l'avais exposé antérieurement (vous le trouverez en fin de page), et la loi de Dollo qui stipule qu'il n'est pas possible pour un morphogène de revenir sur une évolution passée, qu'il n'y a pas, en cela, de retour en arrière possible, enfin presque.

    Dès lors, commençons par une réflexion sur cette intrigante position debout.

    Pour qui a vu une mangrove et leurs palétuviers à la télé ou de visu, ce qui fut mon cas en Martinique, aura sûrement été surpris d'observer ces racines creuses qui montent à la verticale, des pneumatophores.

    Leur raison d'être est de fournir de l'oxygène aux racines des arbres dans un sol très P1010498.JPGpeu oxygéné, sujet aux marées.

    Or, vous remarquerez, sur la photo du site vers lequel je vous renvoie, la bonne taille des-dits pneumatophore et qu'à certains endroits ils peuvent être très serrés les uns des autres.

    Si nous rejoignons l'hypothèse émise par Madame Morgan que le proto-homo était un être infiniment plus archaïque que les singes que nous pouvons contempler dans les zoos, bonobos compris, ce que la forme indifférenciée et non spécialisée de notre main démontre.

    Celle-ci conserve, en effet, la même forme en étoile des quadrupèdes originel, ce que nous retrouvons chez le lézard par exemple, contrairement à la majorité des mammifères.

    En revanche, notre pied, à l'opposé de la main, se révèle, lui, hautement spécialisé pour la marche.

    Si vous allez voir ou avez lu le billet ou j'aborde la question de l'origine du singe, indéfectiblement lié à celle de l'ongle, vous y verriez que, selon moi, le pied avait commencé à prendre sa forme en raison de cet ongle qui, contrairement à la griffe, ne permet pas une bonne accroche au sol pour courir à quatre pattes.

    Ce proto-pied, relativement allongé, conservait toujours ses cinq doigts, sûrement bien plus aligné à la paume qu'à l'origine mais conservant la souplesse et la puissance nécessaire à la course.

    N'oublions pas que, suivant mes hypothèses, ce qui deviendra des pieds et des mains ont pris cette forme, à l'origine, pour courir et aussi, en même temps, pour saisir en ce qui concerne la main, très tôt chez le proto-primate, c'en serait même P1010631.JPGune évolution consubstantiel.

    Une information à prendre également en compte est de savoir combien de temps nous sépare des grands singes, suivant les chercheurs cela s'étalerait entre 7 et 13 millions d'années, ce qui laisse une large palette d'approximation.

    Mais aussi matière à réflexion puisque cela donne du relief à cette évolution progressive du pied d'une position  quadrupède à celle bipède.

    Revenons à la mangrove, voulez-vous (et si vous ne le voulez pas, ce sera pareil).

    Où donc ce ou ces mangroves se sont-elles formées dans cette région du rift africain?

    N'étant ni géophysicien, ni géologue, je ne pourrais vous le dire, en revanche il est possible d'imaginer, en plus d'un flux et reflux de la mer au fil des ères, suivant les mouvement tectoniques et maritimes de la région (pour ces derniers suivant les différentes phases glaciaires et interglaciaires du quaternaire, débutés il y a 2, 58 millions d'années), que des mangroves se soient développées en plusieurs endroits, séparées par des bras de mer, et que, suivant les époques, celles-ci étaient plus ou moins développées et dense.

    Ce long préambule fait, voyons pourquoi  nous marchons sur deux pieds, enfin, plutôt ce que j'en pense:

    P1010609.JPGPour le dire vite: pour enjamber les pneumatophores.

    Pour comprendre ce que je veux dire, laissez-vous aller à votre imagination, scenario se passant pendant des millions d'années.

    Il y a très longtemps, un petit animal, un singe plutôt archaïque, très proche de ce qu'était celui que je décrivais dans mon texte sur l'origine des ongles, très peu spécialisé, s'était installé un petit peu partout dans le monde en se diversifiant suivant l'habitat où il se trouvait.

    Dans certains endroits plutôt froid, il y en eut qui perdirent leur queue, par évolution pour éviter, si je puis dire, qu'elle ne se gèle, comme il peut en être pour le lynx par exemple.

    L'un de ceux-là devint l'ancêtre de la grande famille des hominoïdes dont  nous sommes avec les chimpanzés, les orangs-outans, les gorilles et les bonobos.

    D'avoir semer tout un tas d'espèces en Afrique et en Asie, il y en a un qui s'était retrouvé bloqué quelque part dans le rift est-africain il y a, donc, entre 7 à 13 millions d'années, à l'intérieur d'une mangrove.

    Pour se nourrir, il y trouvait les fruits des arbres, peut-être des feuilles, et, de plus, tout un tas de fruits de mer, connaissant même les capacités des bonobos et chimpanzés à confectionner des outils et donc potentiellement des armes, le poisson dû être rapidement à sa portée lors de l'invention du premier harpon.P1010474.JPG

    Notre ancêtre commençait donc à pêcher et à cueillir, en ayant souvent la tête sous l'eau, il pouvait peut-être manger tout ça sur place, mais ça ne devait pas être très pratique dans la mer ou au milieu des pneumatophores.

    Il lui fallait donc remonter son petit butin jusqu'à la terre ferme pour déguster le tout avec ses potes et sa copine, et les mains, dans ce cas là, étaient bien  pratiques.

    Alors il devait aller traverser toute cette mangrove d'aplomb, déjà pour tenir sa cueillette, ensuite pour enjamber les pneumatophores, ce qui avait nécessité aussi qu'il grandisse progressivement.

    Et oui, s'il grimpait dans les arbres, ses mimines lui étaient indispensables, il lui aurait donc fallu tout lâcher, ce qui aurait été absurde: il n'est pas bon de grimper aux arbres le ventre vide.

    Vous remarquerez une chose: du fait qu'il pouvait traverser les pneumatophores et, de la mer, regagner la mangrove, il pouvait facilement échapper aux prédateurs, c'est pourquoi il put, puis dut, au fil des myriades de générations, conserver cette position debout, même si cela le conduisait à être infiniment moins prompt que les carnivores.

    P1010561 - Copie.JPGEt oui, face à un quadrupède prédateur qui ne peut qu'être que plus rapide que lui, ou à un requin affamé à la nage tout aussi véloce, sa disposition verticale ne peut que lui être salvatrice.

    C'est pourquoi il pu se redresser progressivement et conserver cette position originale: cette érection, au début utile juste pour se nourrir, lui devenant nécessaire à sa survie, ce qui ne pu que la renforcer en une série d'effets de rétroaction.

    Ceci d'autant plus que, pour nager et n'ayant pas de queue, comme le castor ou la loutre, les jambes et des pieds, sûrement plus souples et plus musclés que les nôtre, pouvaient servir d'organe natatoire primitif.

    Ce furent soit une relative explosion démographique, soit un assèchement de la région par le reflux marin, voire les deux à la fois, qui firent que, sporadiquement, un certain nombre d'individus partirent au loin chercher leur pitance, ce qui fait que les paléoanthropologues retrouvent de nos ancêtres à des évolutions différentes disséminés çà et là, Homo Habilis et Homo Erectus surtout.

    De plus, sa nourriture, fruits de mer et des arbres, poissons, feuilles, algues, ainsi que des insectes et de petits a

  • Lettre à Tatiana Ventôse.

    Oups, je me suis aperçu que je n'avais pas copier/coller tout le texte que je devais mettre dans ce billet que j'avais publié le 24 Octobre, me semble-t-il.

    En deux parties, la première provient de: "La catastrophe économique qui vient" datant du 30 Mai 2017, c'est elle qui était incomplète, de la seconde, en revanche, je n'en retrouve plus le document original et ne peux pas, dès lors, en vous donner la date.

    Qu'importe, le principal étant que cela soit publié.

    Personne ne peut dire (oui, je sais, je rabâche) quand le système va exploser, celui-ci ayant montré des capacités de résilience véritablement extraordinaire, mais il explosera, de cela,  j'en suis sûr.

     

    Chère mademoiselle,

     

    Si c'est à vous que j'adresse cette lettre c'est autant parce que j'apprécie votre travaille, la fougue que vous y portez , votre profond esprit démocratique que de votre intérêt à la chose publique, à la république, ce qui n'est plus grand cas pour bien du monde.

    J'abonde dans votre sens au  sujet des derniers écarts de Monsieur Mélenchon lors des perquisitions dans les locaux de la France-Insoumise (insoumise, le terme étant peut-être quelque peu excessif, il y eu, par le passé, des insoumissions plus catégorique et flamboyante que celle porté par les adhérents de son parti et par lui, ne trouvez-vous pas?), écart qui risqueraient forts de se renouveler, du-moins en fais-je le pari, j'y reviendrai.

    Mais au-delà de ces louanges, dont je ne vous fait montre que d'un sommaire P1020251.JPGrésumé, que vous pouvez, sans hésitation, partager avec vos amis du Fil-d'Actu, permettez que j'exprime ici un certain nombre de désaccord que je peux avoir tant avec vous qu'avec vos compagnons vidéophiles (néologisme préférable à youtubeur, faisant de la réclame pour une industrie n'en ayant aucunement besoin).

    Mais aussi de vous apporter ma vision politique des derniers événements qui, décidément, n'ont que de cesse de nous porter à la réflexion, ce qui m'est d'un contentement intellectuel de tous les instants.

    Une autre raison pour laquelle ce billet vous est adressé provient de ce qu'il est possible que, par vous, par votre pseudonyme tapé en recherche sur internet, je puisse prévenir votre fraternité de la vidéophilie de la situation pour le moins préoccupante de l'économie mondialisée.

    Ceci ne pouvant que nous conduire à une crise économique, infiniment plus proche d'un effondrement désastreux que de l'une de ces récessions que nous vécûmes avec régularité depuis l'achèvement des années quatre-vingt.

     

     

    Il est de fait que les réactions de Jean-Luc Mélenchon et de ses proches, lors de cetteP1020055.JPG perquisition, furent à la limite de l'indécence démocratique et d'une brutalité qui, personnellement, me laissa pantois.

    Était-ce parce que l'ampleur de la-dite perquisition fut considérée comme étant disproportionnée eu égard à ce que la  justice lui reprochait ou était-ce pour une toute autre raison?

    Partant de ce questionnement je ne peux que me demander ce que cache le premier secrétaire de la France Insoumise pour avoir eu une réaction de cette ampleur (de tous les flançais).

    Je ne peux pas ne pas non plus me questionner sur les causes qui font que cette enquête judiciaire ait débuté maintenant, à quelque mois des élections européenne.

    Pour cette seconde interrogation, la réponse vient d'elle-même: le R.E.M., le parti des radios-éléments du président Macron, étant à un tel point décrié, seule une désaffection, même limitée, des électeurs de F .I., mais aussi du Rassemblement National, pourrait permettre au parti majoritaire, lors de ces prochaines élections, d'avoir un résultat pas trop modique et même d'espérer d'y avoir des élus.

    Cette affaire ne pourra que conduire progressivement la pseudo-gauche mélenchonniste à se scinder entre ceux qui s'en écarteront (ce qui pourrait se révéler profitable à  l'U.P.R.) et ceux qui se radicaliseront.

    J'avais expliqué dans "Retour à la politique" (en fin de page) que les raisons pour lesquelles un système politique triplement verrouillé comme l'est l'Union-Européenne, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, ne peut être P1020189.JPGréformé au risque, sinon de le détruire, ceci en en montrant les mécanismes.

    Je pensais à l'époque, au mois d'Août, que ces trois forces destructrices: conservatrice (le R.E.M. et les partis classiques), critique et réformatrice (F.I. & R.N.) et subversive et dissolvante (l'U.P.R.) ne s'exprimaient surtout qu'au niveau des états de l'U.E. et que  fort peu à l'échelle des nations.

    Or, il est bien possible que ce que nous pourrions appeler dorénavant l'affaire Mélenchon soit le début du basculement de la France dedans un processus de cet ordre menant, à terme, à une destruction/disparition de l'union par un processus de provocations suivit de contre-provocations allant crescendo, ceci menant à une violence politique redoublée.

    Sauf à ce que Monsieur Mélenchon et ses proches prennent peur au-devant de la justice et se voient contraints de se calmer.

    De fait, que cela ait été le résultat d'une manipulation ou du simple processus judiciaire, tout ce beau monde aurait bien mieux fait de se montrer calme en faisant le dos rond, puis de répondre, en choisissant le bon moment, point par point autant dans les médiats que devant les juges, puisque ils affirment que la France-Insoumise n'a rien à se reprocher lors des dernières élections nationales.

    Mais la question, quoi qu'il en soit, reste à poser: pourquoi cet affolement?

    Au sujet de cette manipulation, il se fait dire qu'une officine interne à l'U.E. serait mise en place pour lutter contre les partis dits populistes, ou dits extrême (d'une extrémité toute relative s'entend).

     

    Je reviens sur le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, bien que j'aie déjà abordé de nombreuses fois ce sujet.P1020206.JPG

    Ce qui fut le thème de votre dernier Fil-d'Actu.

    Je vous laisse, outre mes nombreux écrits et renvois sur cela tout au long de mon site, ceci étudié sous des angles divers,  l'adresse de cette vidéo qui, il est vrai, fait de la contre-propagande bien que ceci soit factuel, j'y rajoute aussi l'adresse d'un certain Jacqueshenry d'une teneur infiniment plus scientifique, bien que je ne sois pas toujours d'accord avec lui, ne serait-ce qu'en ce qui concerne la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, situé sur une dangereuse faille sismique.

    Ce que je peux toutefois rajouter pour en compléter ces réflexions, c'est que notre société a atteint son niveau actuel grâce à une énergie abondante, pas chère et d'usage facile, surtout pour ce qu'il en est des énergies chimiques donc carbonées, dès lors de ceux pétroliers.

    Pensez-y, rien que nos retraites et le bon fonctionnement de l'état proviennent, normalement, de la plus-value dégagée par les extractions minières, les productions agricoles et industrielles, soit les diverses transformations progressives d'un produit brut extrait du sol en celui d'usage et, ce, grâce à cette même énergie.

    Or, si la société française s'effondre en ce moment, c'est certes en raison de notre appartenance à l'Union-Européenne, de notre domination étasunienne et germanique, et de la pression de nos oligarques rapaces, dont Macron n'est qu'un quelconque employé, mais aussi à ce que les plus-values dégagées par le passée, dues aux mines, industries et agricultures, furent remplacées par des crédits de toutes sortes déversés autant aux particuliers, à l'état et aux sociétés spéculatives, dont aux banques, et aux hyper-productions monétaires, en franc d'abord de manière restreinte, en euro aujourd'hui au-delà de l'abondant.

    ( Pour faire vite, les usines et fabriques, ainsi que les mines, fermèrent en France et P1020170.JPGen Occident pour que la même chose soit extraite et/ou usiné et fabriquée ailleurs, là où les salaires sont plus bas, pour être revendu là où ces usines, fabriques et mines ont fermé, soit dans ce même Occident.

    Phénomène débuté dès la fin des années 70, il y mena progressivement à une monté du chômage et baisse des émoluments, puis à un accroissement de la masse des crédits de toutes sortes, ceci fut grandement accéléré dès l'émergence de l'U.E., puis de l'euro.

    Dans le même temps, les propriétaires d'usines cherchèrent les pays aux payes les plus basses, Afrique-du-Nord, puis Asie, maintenant les pays africains sub-sahariens, le bout du bout de la médiocrité salariale.

    Comme vous pouvez le constater, cette déflation, puisque cela fait perdre aux produits vendus leur valeur intrinsèque, d'abord occidentale, touche aujourd'hui tous les pays mondiaux, sauf la Russie et ses proches alliés en raison des embargos U.S. les rendant autosuffisants.

    Ce qui mène aujourd'hui à une désindustrialisation mondiale puisque de moins en moins de gens peuvent acheter ce qui est produit, ce dynamisme étant accru à cause de la transformation de l'économie réelle, productive, en l'économie monétariste néolibérale par le processus de : crédit ⇒ dette ⇒ remboursement des intérêts & du capital, ce qui appauvrit d'autant les gens, les états et les entreprises.

    Ce qui nous conduit, ceci lié aux hyper-productions monétaires, directement à un effondrement catastrophique de l'économie-monde, thème que j'aborderai plus bas. )

    Sachant qu'une monnaie perd une valeur égale à sa production dès que celle-ci dépasse sa représentativité relative de la richesse présente et potentiellement future du pays émetteur.P1020443.JPG

    Phénomène limité longtemps à l'Occident s'étendant désormais à quasiment tous les pays.

    Ceci sachant que depuis la fin des trente glorieuses, lors du premier choc pétrolier en 1973, la population mondiale avoisinait les 4 milliards d'habitants quand, aujourd'hui, en 45 ans, nous en sommes à 7,6 milliards environ.

    Si vous réduisez la part de flux d'énergie, quelle qu'en soit la nature, et celle due au vent et au soleil est très largement réduite, 2% pour le premier, je vous renvoie à la vidéo et au site cité plus haut, vous pourrez dire adieu aux déplacement faciles par automobiles, cars, bus et camions, nous reviendrions au train, il est vrai, mais aussi au vélo, même à la campagne et en montagne, à la péniche à traction animale (pour remonter le courant) et à la diligence.

    Si vous comptabilisez, en terme d'énergie électrique, le chauffage, les ordinateurs de toutes tailles, les téléphones de toutes sortes, les éclairages publics, les télévisions, les appareils électroménagers, les matériels médicaux et tutti quanti, si nous nous retrouvions à devoir, de plus, recharger les batteries automobiles, je ne pense pas que toutes nos centrales y suffiraient, il faudrait, dans ce cas, que nous fassions des choix plus que cornéliens.

    Ceci d'autant plus que la fabrication des-dites batteries, mais aussi des éoliennes et des panneaux photovoltaïques, demandent, tout compris, une grande quantité d'énergie, mais aussi pour le retraitement des premiers, hautement polluants.

    Déjà  que ce problème se retrouvera amplifié quand il s'agira, pour nous, de réindustrialiser notre pays, je vous en expliquerai les raisons plus bas, tant que nous restons sur les mêmes bases scientifiques, en science fondamentale s'entend, P1020145.JPGdatant, pour les moins anciennes, des années trente à cinquante (physique quantique, chimie du carbone, lois sur l'électromagnétisme et de la thermodynamique pour l'essentielle), nous devrons de considérer le charbon, le pétrole et le gaz comme nous étant toujours d'une nécessité absolue.

    (Pourquoi Poutine tirent des kilomètre de gazoducs partout en Europe à votre avis?)

    Donc, en toute logique et quel que soit l'angle avec lequel il est possible d'aborder cette question, ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique se révèle être, au mieux la pire des foutaises ou une manipulation impériale de grande envergure, au pire la résultante symbolique des graves désordres psychologique des oligarques de tous poils et de tous lieux.

    En revanche, il y a des scientifiques, ils sont peu ce qui est navrant, qui travaillent en ce moment même sur une production d'électricité qui génèrerait, aux premières sources, qu'une moindre pollution, voire pas de pollution du tout: la fusion-froide.

    En France, c'est Jean-Paul Bibérian, aujourd'hui à la retraite, qui travaille sur ce sujet, je vous laisse un certain nombre d'adresses de sites traitant de cela: ici, , là-bas, ailleurs, pourquoi pas à cet endroit et plus si affinité.

    Il ne s'agit pas de croyance, bien que la question bien entendu se pose: cela fonctionnerait-il ou ne fonctionnerait-il pas, je vous laisse le soin de vous y pencher, bien que personnellement je considère l’honnêteté intellectuelle de ce monsieur de bon aloi.

    Il faut, se dit-il en science, 80 années pour qu'une idée nouvelle soit accepté par la majorité des savants, or nous n'avons pas 60 ans devant nous et, hormis le charbon, les autres énergies chimiques, gaz et pétrole, tendent à s'amenuiser (les histoire de réchauffement climatique anthropogénique c'est de l'abrutissement propagandiste,P1020090.JPG de la pleine crétinerie et de la frivole ânerie).

    Sans compter que la filière nucléaire actuelle, à l'uranium, nous pose d'immenses difficultés et, potentiellement, des dangers véritables.

    Au risque de me répéter, nous ne pouvons pas nous passer, dans l'immédiat, des  sources énergétiques classiques, sauf à ce que nous subissions une très importante morbidité de la population mondiale, et ce ne sont pas les éoliennes tueuses d'oiseaux et les cellules photovoltaïques,  largement inefficace, qui y changeront quoi que ce soit (ainsi devant chez moi vois-je une magnifique brume d'hiver).

     

  • Ce qu'il se passe, entre-autre, en France et ailleurs

    Ceci est juste le début d'explication de ce qu'il pourrait bien se passer sans que, je n'en aie de véritables preuves, toutefois cela me semble logique, je poursuivrai cette réflexion au plus loin lorsque je pourrai le faire plus tard, quand des informations me le permettrons.

     

    Veuillez noter les idées suivantes, bien que, en tant que penseur brut, je ne puis, donc, présager de la réalité intrinsèque de celles-ci :



    Les pays qui, lors de la guerre froide, étaient dits de l'Est et qui, suivant, font maintenant parti de l'Union-Européenne, savent, de fait, quatre faits que je peux que considérer comme logiques :



        1. Depuis la sortie de la Grande-Bretagne de l'union, chacun sait que tous pays qui en sortent doivent rembourser les dettes dues aux pays y restant quand ces derniers n'ont, part ailleurs, à ne rien rembourser auxdits pays qui en sortent ;



        1. De plus, lesdits pays de l'Est savent, depuis 1989 et leur sortie du pact de Varsovie, qu'il n'est nul besoin de signer quoi que ce soit pour quitter un traité d'union, il suffit juste d'attendre que cette union périclite, quitte à la déstabiliser ;



        1. Ils furent industrialisés par nous-mêmes à peu de frais en raison de la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux édictées par les traités de l'UE ;



        1. l'argent que les pays de l'Ouest leur ont prêté, qui leur a permis de moderniser leurs infrastructures, ne seront remboursés que si l'Union-Européenne se désagrège d'elle-même.

           

          Veuillez également noter la chose suivante :



    Je subodore ceci :



    Se livre une guerre économique à outrance entre familles oligarchiques, dans les nations qui se trouvent sous le couvert des Etats-Unis-d'Amérique, mais aussi au sein de l'empire étasunien.



    Or, ceci à n'en pas douter, ceux qui, desdites familles, détiennent les ordinateurs les plus puissants, ce sont ces derniers des USA .



    Vu que ce sont des machines à très hautes vélocités, ceux-ci ne peuvent qu'accroître les structures chaotiques naturelles des opérations spéculatives en raison de la profusion, toujours plus nombreuse et rapide, des échanges, tant en vente qu'à l'achat.



    Dès lors, Plus lentes sont cesdites machines, plus les pertes monétaires seront grandes, voire funestes, ceci d'autant qu'à ces pertes pour les ordinateurs les plus lents, pourrait bien se surrajouter les fait que ceux des plus rapides prennent les valeurs monétaires des précédents.



    N'oublions pas ceci :



    Bons du trésor veut dire reconnaissance de dette des états.



    L'or papier ressemble à s'y méprendre aux bons sur l'or sous la régence de Louis XV qui se termina par une crise économique de grande ampleur (de tous les Flançais).



    A n'en pas douter, si les subprimes ont perduré depuis 2008, alors nous nous retrouverions dans une situation analogue à cette époque.



    THEURIC

  • Le jardin; A ma belle inconnue.

    Le jardin

     

    Il est un jardin petit et sans manière,

    Large de si peu, long de quarante pas,

    D'où notre hôtesse nous invitait, hier,

    A nous y installer pour de délicieux repas.

     

    Le gazon s'y frayait un sinueux chemin

    Sous l'antique poirier d'où pendaient de durs fruits.

    Un beau potager en en faisait l'usufruit

    D'une riche verdure de légumes communs.

     

    Aux cotés de la table, sous la pergola,

    Grillaient des maquereaux bien frais

    Que nous mangions en cœur en festin de gala

    Au milieu de blagues et de rires, sans arrêt.

     

    Nous regrettons tous de ces années passées,

    Quand le vin nous grisait d'un alcool délicieux,

    Avec des amis, venant à s'effacé

    Les mauvais matins à l'esprit capricieux.

                                     -----------------------------------

     

    A l'amie peut-être inconnue

     

    Je connais tout d'elle, hormis de sa douceur.

    De sa douce peau, ne peut qu'imaginer:

    Mes rêves faisant voguer mes bras embrasseurs

    De son corps impatient de félicité.

     

    Je ne la connais que de ne s'être croisés

    D'un soir brumeux d'où je la vis s'effacer

    Au-devant d'une foule tant déambulant

    Et moi freiné d'un trouble si paralysant.

     

    Peut-être la reverrai-je, cette dame,

    En quelques endroit d'une belle destinée

    D'où nous deviserions au-devant d'un dîné.

    Dès lors, je béerai des courbes de cette femme.

                                  ------------------------------------

     

    Douces nuits

     

    L'exquise esquisse de sa grande beauté

    Menait mes sens en somptueuse volupté

    D'éclairer ses belles et rondes vigueurs

    En  ces tendres moments de nos nus bonheurs.

     

    La nuit gracieuse éclairait de ses ombres

    Nos caresses légères faites de milles grâces

    Libérant nos corps de nos nôtre pénombre

    Libérant nos vies des pauvres carapaces.

     

    Puis, le jour revenu, notre sommeil venant,

    Nos âmes repu d'un nouveau éclairant

    Vibrent d'aise d'un avenir avenant

    Effaçant ainsi nos passés flétris d'errants.

     

     

    THEURIC

  • Idée n° 10) Essai de réflexion sur la causalité.

    Principe 0): La magie n'existe pas, c'est à dire qu'aucun effet ne peut être sa propre cause, rien ne peut se créer de et par lui-même (Bouddha), que cette cause soit connue ou inconnue, que les lois de la nature qui sous-tendent la cause et ses effets soit connues ou inconnues sinon ce serait remettre en cause l'entropie, les moteurs à explosion et l'existence de la vie elle-même...

    1) J'appelle un « causal » l'ensemble des relations entre les causes et leurs effets, c'est l'unité de causalité.

    2) Les causals sont simples.


    3) Leurs effets sont complexes.


    4) Les effets cachent, avec le temps, les causals et leurs causes.


    5) On ne peut véritablement comprendre un effet qu'en en comprenant son causal.


    6 )Un causal génère toujours des effets multiples.


    7) Un causal est une singularité évènementielle venant toujours de la conjonction de causes venant d'effets divers provenant de causals dissemblables.


    8) La durée d'un causal est directement liée au temps moyen d'existence des principales causes venant d'effets divers initiateurs de ce causal.

    9) Le sentiment que nous avons de la durée d'un causal est directement relative à l'éloignement temporel et/ou spatial que l'observateur a de ce causal.


    10) Un effet ne peut provenir de causals multiples.


    11) Il ne peut y avoir de rétroaction d'un effet vers son causal (sauf à remettre en cause le principe entropique).


    12) Un effet peut générer une cause secondaire, un pseudo-causal, ressemblant au causal originelle (un écho).


    13) Le nombre de causals est directement proportionnel à la complexité du milieu dans lequel ils se produisent.


    14) Les causals obéissent obligatoirement aux lois et principes de la nature, qu'ils soient connus ou inconnus.


    15) Les lois et principes de la nature connus et inconnus ne sont pas toujours les effets initiateurs principaux de causals.


    16) J'appelle substrat causal les lois et principes de la nature connus et inconnus en relation avec un causal.


    17) Tous les lois et principes de la nature n'interviennent jamais ensemble dans un causal.


    18) Il y a une hiérarchisation causal suivant la dimension du causal se produisant ( la chute d'une petite météorite ou d'un lourd météore produirons des effets différents).


    19) Un causal doit sûrement se structurer suivant des loi mathématiques.


    THEURIC

  • Nos maître étasuniens.

    Pourquoi en voudrais-je à nos maître d'être ce qu'ils sont?

    N'est-ce pas le fait de tout empire d'être dominateur?

    Si nous avions voulu être indépendant, nous le serions et le Général De Gaulle nous en avait montré la voie.

    Mais nous avions voté pour ces traites à la cause gaulliste que sont Messieurs Pompidou, Chirac et Sarkozy.

    Monsieur Giscard-d’Estaing, lui, était atlantiste et ne l'a jamais caché.

    Monsieur Mitterrand avait fait avec ce qu'il avait en main, le seul reproche qu'il serait possible de lui faire, rétrospectivement, c'est de ne pas avoir osé rompre d'avec la situation d'alors, mais aurait-il été compris, aurait-il été suivi?

    Les communistes de l'époque étaient encore bien trop liés avec l'U.R.S.S. puis se sont égarés dans des considérations oiseuses d'accord avec le P.S. et aujourd'hui le Parti de Gauche n'a pas encore saisi pleinement cette domination étasunienne.

    Voilà, rapidement résumé, notre passé, discutons du présent pour, ensuite, aborder notre futur.

    Nous sommes, de fait et de jure, une colonie américaine, tout comme le sont tous les pays de l'Union-Européenne, le nier c'est faire preuve d'une crasse bêtise ou d'une naïveté affligeante.

    Culturellement, institutionnellement, voire constitutionnellement (au travers des lois de l'U.E.), militairement, économiquement, politiquement, où que nous nous tournions nous pouvons percevoir la domination U.S. mais je l'ai dit, tout cela est normal si nous posons le point de vu américain.

    Non, ceux qui considère, comme moi, que cela n'a que trop duré et nous met dans d'incommensurables dangers doivent commencer par le commencement, c'est à dire s'extraire totalement du poids et de la démesure culturel anglo-américaine.

    Je propose donc, pour faire ce nettoyage, pour débuter, de ne conserver de ces anciens maîtres que ce qui constitue la réelle puissance culturelle américaine, soit, à quelque exceptions près comme peut l'être un grand tel que Mickael Jackson, peut être le dernier grand américain, de ne conserver, donc, que l'art américain jusqu'aux années 80, le reste, poubelle.

    (Bon, c'est vrai, j'exagère peut-être un peu, disons que la qualité des créations américaines est directement proportionnelle à notre éloignement dans le temps, mais pour la France c'est bien pire encore, et quand j'écoute ces godelureaux chantant en anglais, en plus de me demander que sont les Amériques devenus, qu'est-il donc, aussi, de la France devenue.)

    Ensuite, il nous faut nous défaire de tous ces anglicismes idiots qui envahissent autant nos bouches que nos oreilles, vulgarités crétinisantes dont nombre de nos présentateurs d'émissions débiles ou de journalistes télévisuels ponctuent avec cette gourmandise béate la moindre de leurs phrases, comme une avidité et une crânerie professionnelle en nous démontrant leur vide abyssal de cette vulgaire vanité.

    N'employons plus la langue anglaise que comme langue internationale ou scientifique en sachant que cette langue, dénaturée par les étasuniens au grand dam des anglais, est déjà dépréciée et concurrencée par la langue française aux États-Unis-d'Amérique même, comme hier cela se fit du latin au profit du grecque ancien.

    Revenons au Français, dans sa complexité, dans sa subtilité, abreuvons-nous de ce que nous sommes et nos erreurs, chaque erreur sera un petit pas vers notre indépendance.

    Parce que pour lutter contre une colonisation nous devons avant tout culturellement lutter!

    Ensuite, ne considérons plus les étasuniens comme Dieu le Maître et le Père parce qu'ils sont devenus fous, fous à lier, complètement délirant, déjantés, insensés en nous entrainant dans leurs aventures rocambolesques et dangereuses, en Ukraine et en Syrie, entre autre...

    Débarrassons-nous de cette pensée néolibérale grotesque et ruineuse qui a envahi tant d'esprit et faisons rentrer les banquier dans les rangs comme on rentre un chien dans sa niche!

    Non le français n'est pas qu'un commercial ou un responsable des ressources humaines, non il n'est pas un chômeur ou un employé mal payé, non nous n'avons pas à rembourser des dettes injustifiées, parce que provenant de notre désindustrialisation, à des margoulins de la haute finance dont beaucoup sont ressortissant de notre pays, eux qui payent si peu d'impôt, eux qui viennent ensuite pleurer à la télévision ou dans les bras de notre Président de la République, eux qui sont les premiers responsables de cette déroute économique.

    Cette colonisation est d'abord le fait de nos élites, élus ou non, et de partis politiques, sous ce joug accepté, il y en a quatre:

    -Le P.S.;

    -L'U.D.I.;

    -L'U.M.P;

    -Le F.N..

    Voyons ensemble, maintenant, notre futur possible.

    En vrai, il ne s'agit là que de deux seules mais forte remarques dû à deux tendances possibles lors de l'effondrement de l'économie-monde et donc des étasuniens, de la disparition de leur puissance, voire de leur pays:

    -La première consistera à vouloir à toute fin, pour notre nation, de devenir le maître qui a disparu, de devenir une Amérique qui ne sera plus, sous des formes divers, culturelles, politiques, (toujours) idéologiques, militaires ou autre et il nous sera difficile de nous y retrouver entre ce qui sera nous et sera ce eux fantasmé;

    -La seconde serait la tendance collective ou de nos seules élites de rechercher de nouvelles dominances, de nouveaux maîtres, allemands, russes, chinois ou autres dans cette peur maladive, cette angoisse, cette détresse de devoir décider et agir seul, de notre propre chef, de part notre propre intelligence, notre liberté, notre indépendance, notre émancipation.

    Ce seront les deux pièges dans lesquels nous risquerons de nous enfoncer!

     

     

    THEURIC

     

Nous avons tous la responsabilité d'être, avec nos faiblesses et nos forces, mais nous devons, dès maintenant, lutter contre cet obscurantisme béat qui nous enserre et nous étouffe. Seul le questionnement de notre monde, de ses vérités, nous le permet.