Comme il en fut précédemment fin Juillet, pris par le temps, ici après avoir débuté un long texte qui, comme de nombreux autres, se retrouvera à la poubelle, je vais rapidement traiter de divers sujets en ne faisant que changer de couleur conjointement au nouveau thème.
Ceux-ci porteront sur la violence à l'école, la conduite suicidaire de notre gouvernement, de la situation déplorable de l'Union-Européenne, de la disparition prochaine de l'oligarchie mondialisée et, pour finir, je reviendrai sur les pervers narcissiques.
Je finirai en vous proposant quelques poèmes que j'avais, il y a longtemps, déjà publié ici et que je fais remonter du tréfonds de ce site.
Les violences dans les écoles autant que celles, générales, des jeunes montrent, à qui veut bien y regarder, deux choses complémentaires, la perte de repère de cette jeunesse provenant de leur acculturation importante, mais aussi le refus des classes dirigeantes de percevoir les résultantes de leurs décisions multidécennales.
De fait et à mon sens, ils sont la résultante de sept décennies de domination étasunienne sur la France, les uns par l'abaissement continuel de leur niveau culturel, de l'abrutissement incessant de ces jeunes par tout un ensemble de processus propagandistes remettant en cause leur identité, jusqu'à celle sexuée.
Pour les autres, ce fut d'avoir choisi, pour pouvoir dominer la France, des plus sots aux plus corrompus de nos dirigeants tout en leur laissant à croire qu'ils sont les véritables élites du pays, parce qu'ils furent choisis par l'empire, ceux qui se font appeler les youngs leaders.
Quand bien même seraient-ils gonflés d’orgueil, c'est en vrai autant pour leur obéissance servile que pour leur immense bêtise que le choix se fut porté sur eux (des êtres intelligents, doués de raison, hormis ceux souffrant d'une soumission pathologique, en viennent à se révolter dès lors que des décisions se révèlent par trop absurdes), ceux-là même qui, de plus, se retrouve aussi à diriger l'économie du pays en raison de la porosité substantielle qui existe entre le monde public et privé, il n'est qu'à voir ce que fut la vie professionnelle de Macron.
C'est dès lors parce qu'ils craignent que ne soient découverts les effets désastreux de leurs décisions, ou plutôt de leur manque de volonté puisqu'ils ne font tous qu'obéir, mais aussi et peut-être surtout parce qu'ils ont peurs que si la population comprenait ce qu'il se passe réellement elle ne se révoltât, que notre pseudo-élite cache ainsi la situation désastreuse dedans laquelle se retrouve le pays.
Il en est ainsi de la violence multiforme de cette jeunesse égarée que du nombre réel de chômeurs, de la vrai situation économique de la nation que de l'état déplorable de nos forces armées, des pompiers et de la police, aussi que de tout un ensemble d'autres facteurs tous autant déplorables les uns que les autres.
Que savons-nous donc de ce qu'il se passe dans les campagnes sinon pas grand chose?
Ces gens n'ayant d'horizon que des banlieues.
Je suis fasciné par l'espèce de conduite suicidaire de notre gouvernement.
Depuis Juillet et le développement de l'affaire Bennala, le Président de la République et son gouvernement se retrouvent à tel point affaibli que deux ministres, et non des moindres, ont démissionné, Messieurs Hulot et Collomb, les rats quittant ce navire sur la voie du naufrage ( d'autres en sont sortis bien avant, comprenant rapidement que tout cela ne pouvait que les mener à la débâcle ).
Or et comme de si rien n'était, le président, les ministres restants, les masochistes et les naïfs, ainsi que les élus du R.E.M. toujours en poste à l'Assemblée Nationale, dits les radios-éléments puisque toujours devant les médiats, continuent tous leur politique comme si de rien n'était.
Il y a ce quelque chose d'inconséquent dans cette façon de faire où, plutôt que d'attendre, même quelques mois, que la population s'apaise, ils continuent donc de force de perpétuer leur politique de démembrement du pays.
En fait ils ont, pour l'instant, cette chance folle que la majorité du peuple soit infiniment plus démocrate qu'eux-mêmes.
Là, le 17 Novembre, un Samedi, les automobilistes vont manifester en raison de la monté des taxes des carburants, ceci en bloquant les routes, ce qui ne servira à rien, nos olibrius gouvernementaux n'en auront rien à foutre.
Ce qui est de fait une belle erreur.
En effet, les contrepouvoirs français étant largement viciés et donc décriés puisque subventionnés par l'Union-Européenne, comme il en est des syndicats français faisant parti de celui européen, la C.E.S. (et vu aussi que les plus remuant des premiers secrétaires sont chassés par leur bons "camarades", comme il en fut à F.O. dernièrement), ces contrepouvoirs ne sont plus là pour tenir les gens, ce qui fait que, dorénavant, plus rien n'empêche la population à la révolte.
Le 17 Novembre prochain personne ne peut dire comment cela va se finir, peut-être chacun rentrera chez lui en ayant le sentiment d'avoir essayé de se faire entendre de ce pouvoir sourd, aveugle et muet, sauf pour dire des âneries.
Mais il est aussi possible que cela ne se transforme en un état insurrectionnel que quiconque ne pourra faire cesser.
Dans tous les cas la macronnie finira mal, très mal.
L'Union-Européenne est au-dedans d'une situation déplorable.
Les raisons en sont simples : l'empire U.S. avait bâti cette union avec l'aide d'une Allemagne qui en était l'encadrement principal.
Et puis progressivement, la puissance impériale diminuant, la Germanie se retrouva à la diriger seule, sans les ordres provenant des ricains, sauf quelques fonds vautours qui trouvent toujours de veules gouvernements pour leur vendre les bijoux de familles de leur pays, comme Alstom en France, ou d'autre pour acheter des avions de chasse mal conçus, comme le F.35 par la Belgique.
Du fait de l'éloignement des U.S.A. des affaires européennes, ne contrôlant plus dès lors les gouvernements, chaque pays de l'union tire dorénavant à hue et à dia pour les intérêt bien compris de leur propre pays, n'étant que la phobie de ceux du nord-ouest pour la Russie qui permet, un petit peu, d'aménager les susceptibilités de chacun d'entre-eux, et encore.
Cela mène à ce que l'Allemagne redécouvre son très vieux fantasme d'une domination de l'Europe, d'une administration de l'Union-Européenne poursuivant, tambour battant, son programme originel, c'est à dire le démembrement des états-nations, l'Italie ayant débuté sa tentative réformatrice de l'U.E. par ses dernières provocations, à ce qu'en France la révolte gronde.
Ce qui est le plus risible dans cette histoire c'est que dans nombre de pays il y ait à la tête de ces états des pouvoirs qui, paraît-il, serait extrémistes et populistes, qui se diraient d'extrême droite, quand nous savons que, de fait, les pays de l'union sont très proches du gouvernement ukrainien s'affirmant néonazi, mis en place par ce qui se fait appeler l'état-profond U.S., leurs oligarques, quoi.
Aucun ne remettant en cause l'existence de l'U.E. nous pouvons en conclure de ce que peut être la nature de cette union tout comme de ce qu'il peut en être les oligarchies euro-atlantistes, étasunienne comme européenne.
Les oligarchies mondialisées se meurent.
Ce ne sont pas tant les violentes baisses boursières qui les ruinent que de la désindustrialisation généralisée, qui en est la véritable première des causes.
La preuve en est là: la baisse du prix des métaux industriels.
Bien sûr qu'il y a la hausse du prix des carburants, la raison en étant que la spéculation se retire des bourses pour fondre sur les matières premières.
D'ailleurs les moins sots achètent de l'or et les banques centrale, en cela, ne sont pas en reste, sauf en ce qu'il en est de nos guignoles qui nous gouvernent.
En fait, c'est tout le système qui commence à s'écrouler et nombre de facteurs aggravant, comme la hausse des taux de la F.E.D. et des attaques contre l'euro, ne font qu'en accélérer le processus.
Vous trouverez, bien sûr, un ensemble de réflexions là-dessus dans mon billet précédent.
J'avoue que de vivre cela ne me lasse pas de m'intriguer.
Né en 1958, j'ai connu la fin des trente glorieuses et leur lente agonie, mais ce que je découvre au fil des jours depuis une demi-douzaine d'années environ ne me lasse pas de me troubler.
Qu'il m'ait fallu déterminer par moi-même la nature de la monnaie quand, dans le même temps, nombre d'économistes n'ont pas l'air d'en saisir la moindre trame m'est singulier.
C'est pourquoi je ne cesse de m'essayer de comprendre la nature de ce délire collectif, ici même, dans ce blog.
De tenter de saisir le pourquoi de ces gens qui détiennent tant de pouvoir et de telles fortunes, censément sensés, enfin, semblent s'en donner l'air, prennent des décisions qui, à terme, ne peuvent que les mener à leur propre banqueroute.
Certes, les causes à cela peuvent être évoquées facilement : surpopulation, explosion scientifique et technologique débutée il n'y a que seulement deux cent cinquante années d'âge environ, domination, pendant dix ans à peu près, de 1991 à 2001, par l'empire ultime que sont les États-Unis-d'Amérique de quasiment tous les pays, traumatismes multiples des peuples en raison de colonisations, de crises économiques et de guerres de grandes envergures tout au long du XX° siècle, transformations radicales de toutes les sociétés... pour les plus essentielles.
Mais quoi qu'il en soit, cette perte de raison à toutes les strates sociales reste singulière et, à mon sens plus que de toutes autres choses, doit être impérativement étudiée.
Vous trouverez ici la meilleurs vidéo sur la nature de la perversité narcissique que j'ai pu trouver jusqu'à présent.
D'avoir été pote avec un pendant 35 ans j'ai pu l'étudier de visu et ai remarqué qu'il suffit de tendre l'oreille pour percevoir qu'il dit, au fil du temps, tout sur lui, tout simplement parce qu'il ne cesse de projeter sur les autres sa propre aliénation.
Il est donc possible de percevoir quel a été l'élément déclencheur de sa maladie mentale et où se situe ses délires hallucinatoires, puisque toutes ses proies y baignent sous la forme d'un brouillard conceptuel.
Il faut toutefois faire attention puisque, en même temps, ce monde imaginaire dedans lequel il vit n'est, en aucun cas, le reflet de son vécu concret et réel, mais représente les réaménagements de ses malversations et de ses difficultés passées pour se donner bon visage, ceci pour être le centre de son monde, pour sauver son narcissisme grandement dégradé.
Ce sont donc aux projections auxquelles il faut porter attention, soit tout ce qu'il dit de tous les autres, du moindre passant aux gens de sa famille, même et surtout ce qu'il exprime envers sa ou ses victimes, et non pas à ses récits romancés qu'il porte en Moi-Je.