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Rechercher : usa urss miroir inversé

  • Diverses réflexions autour du vilain virus.

    Si j'ai retiré mon dernier billet c'est que j'avais oublié qu'il n'y a pas qu'une seule sorte de patriotisme quand, de fait, il est multiforme (ce qui sera peut-être la base d'une réflexion future), c'est pourquoi il pouvait être dangereux, non pas en ce qui me concerne, mais pour nombre de mes lecteurs qui considèrent mes libelles comme décrivant une évidence quand, en fait, ils font surtout preuve de ma sincérité réflexive.

    Ce qui pouvait psychologiquement les troubler: nous en sommes tous à rechercher du sens à ce qu'il se passe en ce moment, mais que celui-ci, s'il est présenté de manière abrupte, peut ne pas s'accorder à la personnalité et aux penchants de certains peut leur être préjudiciable.

    Étant donné que les événements sont, en raison de leurs complexités, de type chaotiques, soient sensibles aux conditions initiales, c'est-à-dire imprévisible dans le temps, tant en ce qui concerne les choix de chacun que de leurs effets, bien que nousP1030471.JPG verrons plus loin qu'il est possible d'en délimiter, pour parties plus ou moins importantes, leurs natures.

    Il serait possible de dégager un certain nombre de positions et de supputations de compréhension desdits événements.

    Par exemple, Bernard-Henri Levy, qui est à la philosophie ce que les jeux de construction pour enfant sont à la maçonnerie, a dit qu'un virus "c'est con, c'est bête, ça n'envoie pas de message".

    Dans le fond il a certes raison, toutefois s'il considère démocrates les néonazis ukrainiens qu'il était venu saluer après leur coup d'état dans leur pays, ceci à la vue de ses origines, je doute qu'il puisse saisir ce que veut dire la nature de la démocratie, de l'histoire tout comme de ce que peut être qu'un message.

    Une crise, ici sanitaire et pandémique, est un révélateur d'instabilités de toutes sortes, mais aussi peut faire apparaître un processus que Carl Gustav Jung et Wolfgang Pauli nommait synchronicité, c'est à dire, de la définition qu'ils en donnaient: "... est l'occurrence simultanée d'au moins deux événements qui ne présentent pas de lien de causalité, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit" (définition empruntée à Wikipédia).

    J'imagine que notre boite de mécano de la philosophie doit connaître cela tout en P1030138.JPGn'ayant pas les capacités de le percevoir ici.

    C'est ce processus que j'ai étendu à des populations entières en perte d'identité pour de nombreuses raisons et qu'elles redécouvrent lors de leur claustration, là se trouverait ce message qui,  en ce cas, provient purement du plus profond de notre psyché et non pas de ce virus qui n'en est que l'élément déclencheur.

    Ce n'est pas par lui que s'est généré ce message mais bien par notre inconscient collectif qui se serait mis en phase avec celui sociale.

    Un autre exemple, venant en écho du séisme de Maastricht le 14 Avril 1992, suivant la signature du traité du même nom le 7 Février de la même année, c'est celui qui advint en Italie du nord le 16 Avril 2020 qui, comme il en fut du précédent, fut ressenti en France, et qui annonce, à mon sens, une détermination nouvelle chez-nous comme pour nos voisins, ceci en un même phénomène de synchronicité.

    (J'écris ça,  mais je ne pense pas qu'il lise mes lignes, ça me fais tout de même plaisir de montrer les limitations de ce monsieur m'as-tu-vu, remplit à raz bord d'emphase, souvent va-t-en-guerre, aux notions démocratiques plus qu'étriquées et seulement verbeuses.)

    C'est fou ce qu'il peut se dire sur le WEB et, en cela, nous pouvons en apprendre plus sur la position de l'Allemagne et de la Hollande au sujet des coronabonds, surtout, en filigrane du visionnage de ces deux vidéos (et des bas) ici puis , nous faitP1030246.JPG comprendre autant leur réelle raison d'être et leur refus par ces deux pays, mais surtout ce que cela exprime.

    Ces coronabonds, donc, furent présentés, sur une idée italienne et française, par les européistes eurolâtres pour empêcher les nations composant l'Union-Européenne de la quitter en rendant impossible de déterminer qui détient les dettes de qui en UE.

    L'Allemagne, la Hollande et l'Autriche en refusent l'idée parce que, se dit-il, elles ne veulent pas prendre lesdites dettes à leur charge.

    Mais sachant que leur retraites sont par capitalisation (la nôtre est par répartition), et que les pays sud-européens sont ruinés, j'en déduit donc que la spéculation par leurs fonds de retraites (Blakrock et autres...) ne peut plus engranger suffisamment d'argent pour pouvoir payer leurs retraités, puisqu'ils nous ont pompé toutes, ou presque, de nos richesses, aux français, aux italiens, aux espagnoles, aux portugais et aux grecs.

    Ce qui pourrait aussi expliquer pourquoi l'union, aujourd'hui tenue par les allemands, n'a que très très peut agi tout au long de cette épidémie et que, de plus, elle appelle à ce que toutes ces dettes accumulées par le sud soient remboursées au plus vite:

    P1030652.JPGL'idée que j'y développe ici c'est que les trois états sus-nommés ne veulent pas que l'UE€ soit détruit par eux-même mais, voulant en sortir, font de manière à ce que ce soit ceux du sud qui l'anéantissent en s'en retirant, écœurées, la France et l'Italie suffisant pour cela.

    D'ailleurs nous pourrions nous demander pourquoi le gouvernement de ces deux derniers pays ne se sont-il pas préparés dès Novembre dernier à cette pandémie, puisque l'OTAN en avait été averti dès cette date par les forces US, ne serait-ce qu'en en prédisposant, dès avant, le terrain?

    Il est vrai que celui français gesticulait et n'avait d'objectif que de la réforme des retraites en ne voyant rien d'autre, puisqu'il n'était et n'est composé que de neuneus, tout comme peut l'être notre état profond, notre oligarchie strato-financière, comme les dénomme Emmanuel Todd.

    Comme je l'avais expliqué auparavant, ce sont les paradoxes relevés qui  peuvent nous montrer au mieux la réalité quand celle-ci nous est cachée.

    Ainsi revoyons-nous poindre Madame Buzyn au centre d'un nouveau scandale, cette dame, toujours autant visible, faisant perdre patience à ses confrères du REM (toujours des radioéléments) à force de montrer part trop les petites manigances ayant lieu au plus haut de l'état, disant, volubile, ce qu'il faudrait taire pour ne pasP1030636.JPG accentuer la colère populaire.

    Faut-il que ce soit un certain Philippe Murer, économiste de son état, qui, il n'y a pas, comme d'autres, ce fit avoir par les sons mélodieux de la sirène Le Pen et RN, qui, comme cette dame à la logique approximative, est contre l'euro mais pour l'union, ce qui est en soi contradictoire puisque il n'y a pas de processus pour se défaire du premier sans quitter le second (sachant qu'elle est avocate et que lui est économiste, ne pourrions-nous pas nous interroger d'une certains hypocrisie ou d'une toute bête naïveté? );

    Faut-il, dis-je, que ce soit ce monsieur qui nous informe que Madame Buzyn, comme d'autres médecins, soigne des gens à l'hydroxychloroquine en raison de leur célébrité quand, dans le même temps, ce traitement est, normalement, interdit pour le reste de la population?

    Mais bon, la question véritable n'est pas de savoir qui la présente et, de fait, qu'importe de qui provient cette information, le principale étant qu'elle nous parvienne et d'en percevoir les soubassements politiques (toutefois sans le Rassemblement National Macron n'aurait jamais été élu, la se trouve le macro-lepénisme).

    Pour en comprendre la trame il me faut faire un bref retour  à l'une de mes hypothèses qui, de plus en plus, apporte son lot de confirmations, la rétrogression historique.

    Nous vivons aujourd'hui une façon de coup d'état discret qui avait commencé sous Hollande au moins (ce qui montre que ce ne sont plus nos présidents ni les premiers P1010524.JPGministres qui dirigent la France, eux qui ne sont plus que des DRH), en effet, il n'est plus le moment de la troupe tirant sur les foules comme lors du coup d'état de 1851 par Louis-Napoléon Bonaparte, aujourd'hui Monsieur Macron et son équipe se contentent juste de rendre impossible tout mouvement de foule de type de celui des gilettistes par leur confinement ou, auparavant, en mutilant et gazant (tiens, tiens) des manifestants.

    D'où leurs freins à tout rompre de la fourniture de test et d'un traitement efficace pour toute la population.

    De laisser mourir les vieux dans les EHPAD n'étant qu'un moyen de faire des économies, sur une idée de Jacques Attali, comme je l'avais expliqué le 14 de ce mois dans mon billet précédent:

    Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".

    Mais de maintenir chez-eux les gens par ledit confinement mène à un arrêt drastique de l'économie, ce qui y génère de très gros dégâts, ceci d'autant plus queP1030325.JPG nos voisins, eux, ne vont pas tarder à déconfiner les leurs populations.

    D'où le projet de Mr. Macron, Emmanuel 1er, de débuter celui-ci dès le 11 Mai, ce qui est le lendemain  de la date anniversaire du début de l'attaque allemande de 1940, comme le fit remarquer François Asselineau.

    (Nous sommes entrés, au moins en Europe, dans une dynamique historique complexe où y interviennent divers processus dont voici à mon sens la liste que j'ai déjà étudié avec vous le long de ce blog:

    -à cette rétrogression historique dont je situe le début, donc, dorénavant, à la seconde moitié du XIX° siècle;

    -s'y rajoute la perte d'identité des populations multifactorielle et sa ré-émergence actuelle par l'apparition synchronique de cette pandémie au COVID-19 conduisant à notre confinement pour cela nécessaire;

    -la levée du brouillard conceptuel qui avait commencé à recouvrir le monde depuis la moitié de années 1980 environ;

    -la disparition progressive de l'économie-monde monétariste par la faillite des monnaies;

    -l'effondrement progressif de l'empire thalassocratique que sont les États-Unis-d'Amérique en un reflet inversée de ce que fut la disparition de l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques en 1991, vous remarquerez que cette dernière disparition fut accompagnée par l'apparition de ce brouillard;

    P1030641.JPG-et, c'est ce qui nous intéresse ici, l'achèvement en cours de la compulsion de répétitivité que je situe, là, de la fin de la guerre de 14/18 jusqu'au début de la guerre froide vers 1950 qui, plutôt que de conflit armé, sauf de faibles intensités dans différentes parties du monde, il s'agit le plus souvent de rapports de forces économiques.

  • Réflexions multiples sur la géopolitique et réfutation d'un risque de complôt ainsi que de la théorie du complôt.

     Pardonnez moi pour mes difficultés à apprivoiser des traitements de textes parfois désinvoltes.

    C'est le texte le plus osé que je vous présente là, osé parce que j'y avance un certain nombre de prédictions qu'en vrai personne ne pourrait être dans la capacité d'en vérifier la véracité, hormis le temps et les événements qui le jalonnent et ponctuent.

          C'est, en effet, sur de la pure prédictivité qu'il s'appuie, ceci sur l'idée, toutefois, que lors de l'effondrement de l'économie-monde et la disparition, sous une forme ou une autre, de notre mentor et maître, les États-Unis-d'Amérique, quatre mouvements contradictoires se feront montre :

        1)Un mouvement centrifuge de rejet de l'Union-Européenne situé surtout dans le sud européen ainsi qu'en Angleterre et dans une moindre mesure en France ;

       2)Un mouvement centripète de continuation de l'intégration européenne situé dans ce qui fut, autrefois, les empires centraux d'Allemagne et d'Autriche-Hongrie ;

          3) Une crainte, voire une haine de la Russie toujours persistant dans les pays restés plus de quarante ans sous le joug de l'U.R.S.S. ;

        4) Les réalités géographiques et politiques qu'aucun acteur ne peut oublier sauf à se retrouver dans des situations ingérables, ce qui est largement possible étant donné la perte d'habitude que peuvent avoir les hommes et femmes politiques d'Europe pour tout ce qui concerne ces réalités, accoutumés qu'ils sont d'obéir et suivre les recommandations et injonction de notre seigneur et maître états-unien.

    Je vais donc penser la rupture que peut représenter la faillite universelle, rupture de ce que qu'il s'en dit, ou ne s'en dit pas, dans les médiats officiels ou non.

    Je part du postulat que ce seront surtout les élites européenne qui seront le plus affectés par cet effondrement mondial, élites économiques, médiatiques et politiques surtout et cet effroi les poussera à prendre des mesures hasardeuses contraires à leurs réels intérêts quand elles en prendrons, surtout la ruine des banques et de l'euro créera une situation possiblement explosive dans certaines nations qui contraindra leur gouvernement, sans réelle capacité de maintient de l'ordre, à prendre des mesures en divergence d'avec l'Union-Européenne, Union elle-même risquant fort d'écarter ces pays leur semblant dangereux.

    Je ne pense pas que la fin de l'économie-monde sera le fait de complotistes géniaux, américains, européens, saoudiens, israéliens, chinois ou autres, la situation est, à mon sens, bien pire puisque je considère et m'est logique que plus personne ne maîtrise la conjoncture, croire en l'existence de manipulateurs qui seraient responsables de ce qu'il se passe et se passera ne peut, pour moi, représenter la réalité, tout au plus y a-t-il des tentatives, souvent réussie de manœuvres simples, simplistes, de subordinations des élites, de politiques de canonnière économique, de présences de groupes de pressions..., mais de réels manipulateurs de grande envergure, non.

    J'écarte ainsi les questions de complots ainsi que, liée, l'idée imbécile de théorie du complot (il y a eu des complots mais rarement de hautes factures et même le plus souvent imbéciles, voir les événements de la constitution européenne, ils n'ont marché que parce nous sommes dans une période obscurantiste), tous deux sont aussi fantasmatiques l'un que l'autre, le premier pour trois raisons:

    -La première étant ce que j'appelle le « principe de Peter ultime », le principe de Peter étant : « dans une hiérarchie, tout employé aura tendance à s'élever à son niveau d'incompétence (wikipédia) », le principe de Peter ultime pouvant se définir ainsi : « dans une hiérarchie où, au plus haut niveau, l'incompétence domine, ce sont tous les échelons hiérarchiques qui se trouvent progressivement être accaparés par des incompétents », parce que l'incompétent sachant pertinemment qu'il n'est pas à sa place, dans sa crainte réelle ou imaginaire d'être remplacé par plus compétent que lui, fera tout pour chasser tous ceux, au sein de l'échelle inférieur, qui montreraient quelque efficacité que ce soit.

    Croyez-vous vraiment que de telles échelles d'incompétences seraient capables d'un complotisme subtile ?

    -La seconde pourrait se définir ainsi : « Lorsque une transmutation collective inévitable et naturelle est sur le point de se produire, le premier réflexe est d'en nier son existence, sous une forme ou une autre », cela voulant dire que redouter que cet effondrement économique ne soit le fait que de ruses et de plans froidement calculés et subtiles n'est qu'une manière de nier inconsciemment que nul ne commande le dit effondrement, cela ne voulant pas dire qu'il n'y a pas du tout de complots, il peut en survenir de multiples, mais médiocres, ces manœuvres ne pourront pas aboutir à de quelconque résultat, au contraire, elles risqueraient bien d'en aggraver les conditions, surtout pour ces complotistes.

    -La troisième est moins apparente et concerne le « conatus », concept inventé par Spinoza que me fit connaître Frédéric Lordon lors de l'écoute de l'une de ses interventions sur le net et qui dit que « toute chose qui existe effectivement fait l'effort de persévérer dans son être » et une organisation, une union, une idéologie, une société, un état sont de ces choses existantes effectivement.

    Une union d'états telle que l'Union-Européenne est toujours sous-tendue par une idéologie, là le néolibéralisme et la libre concurrence, d'autant plus que l'U.E. n'a pu se développer que grâce au patronage empressé de notre cher Oncle Sam.

    Lorsque l'économie-monde flanchera et que les États-Unis-d'Amérique ne sera plus empire ou même plus rien du tout, se posera la question, pour la gouvernance européenne, si elle veut survivre et faire survivre l'U.E. dans son actuelle conformité, de deux impossibles choix cornéliens, contradictoires et irréalisables :

    A) Soit de faire un coup d'état légaliste (elles en est habituée) ou armé pour préserver son hégémonie mais elle n'en a pas les moyens : le coût de ce type de manœuvres est élevé  surtout dans plusieurs pays à la fois, l'Europe manque de forces armées et il faudrait contrôler les citoyens surtout sud-européens, or les banque européennes et l'euro seront, à ce moment là, très très mal en point si se n'est faillis, l'Europe ayant une politique de comptable, le coût exorbitant que représente un coup de force le lui rendrait odieux ;

           B) Soit d'abandonner l'idéologie qui soutenait cette union puisque les U.S.A. et le dollar n'existeront plus, au moins en tant que quelconque puissance, cela voudrait dire de se débarrasser de l'ensemble des textes pseudo-constitutionnels qui structurent l'Union-Européenne, donc de faire disparaître de fait l'U.E. elle-même, ce qui ne pourrait être, pour la gouvernance européenne, qu'une décision "non-conatus" et dès lors impossible.

    C'est pourquoi, placée devant cette double impossibilité, un coup d'état sans puissance réelle et onéreux ou renier tout le dogmatisme qui en fait son ossature, la gouvernance européenne se montrera inactive et seuls les gouvernements de chaque pays déciderons.

    C'est pourquoi, aussi, je pense que pas grande décision ne sera prise, encore moins le moindre complot, peut-être de vaines tentatives, des techniques publicitaires seront utilisées, les médiats rabâcheront leurs formules pro-européennes, tous les moyens médiatiques seront mis à contribution (nous connaissons leur efficacité depuis le référendum sur la constitution européenne de 2005) mais, quoi qu'il en soit, tous ces décideurs, à de rares exceptions près, seront pris de stupeur, ne sachant plus quoi faire et les événements se suivrons sans que grand monde ne décide de quoi que ce soit.

    C'est pourquoi également je pense que ce seront les circonstances qui se chargeront de mener la barque, le courant du fleuve du temps, plutôt que des décisions mûrement réfléchies, pesées et soupesées, la seule chose que les hommes et femmes politiques les plus subtiles se devront de faire, parce que ne pouvant pas faire autrement, ce sera d'épouser le déroulement de ces circonstances puis, si ils en ont l'intelligence, d'en infléchir tout doucement le cours.

    C'est pourquoi, enfin, je pense qu'il y aura scission de l'Union-Européenne, scission dont nous voyons les prémisses un peu partout en U.E..

    Et ne croyez pas que des complotistes se cachent en Amérique, les américains auront déjà fort à faire avec leur propre pays et peuple, quand aux banquiers, ceux qui n'aurons pas fuit avant, et ils sont déjà nombreux à l'avoir fait, seront dans l'incapacité d'agir de quelque manière que ce soit, si ils ne se retrouvent pas emprisonnés avant.

    Quand à la théorie du complot, elle part du principe que les américains et tout ceux qui les représentes ne sont que de pures anges bien incapables de susciter la moindre malveillance et manipulation ce qui ne peut être que pure foutaise, surtout si nous comprenons les U.S.A. comme étant un empire conscient, depuis vingt ans, d'être aux abois de sa mort prochaine et si nous saisissons de ce que peuvent être les jeux et enjeux politiques.



    Voici donc ce que je pense de la question complotiste, cela pour vous expliquer que la disparition de l'Union-Européenne peut être fortement envisagée, je n'imagine pas que cette équipe de bras-cassés non-élus puisse nous mitonner quelque plans machiavéliques qui lui permettraient sa survie, imagineriez-vous, vous, un Barroso capable de cela ?

    Je le dis et le répète, en ces choses personne ne peut être sûr de rien, nous pourrions imaginer, par exemple, une Union-Européenne se délitant tout doucement jusqu'à ressembler à quelque chose comme le Saint-Empire-Romain-Germanique finissant du XVIII° siècle mais là encore je n'y crois guère... .

    Voyons maintenant quelle forme peut prendre cette disparition mais entre temps je vais vous entretenir de la Russie, du Proche-Orient et des U.S.A. :

     

    D'ici très peu de temps, dans une période où, dans le même temps, vont se cristalliser, dans le monde, toutes sortes de relations inter-étatiques déjà en situations d'ébauches , nous verrons naître de nouvelles configurations européennes et mondiales auxquelles nous ne sommes que peu habitués.

    La fin de l'économie-monde et, peut-être totalement du néolibéralisme qui en sous tend le simpliste dogme, ce sophisme; la disparition de la comptabilité politique qui ne montre, de réalité, que celle des seuls chiffres en omettant les réelles lois de la politique; l'effondrement économique états-unien et anglais qui, ironie de l'histoire, nous libérera d'une Allemagne, paraissant toute-puissance de sa doxa d'un euro fort, par la chute de ses banques dans le même temps que celles anglo-saxonnes en une étrange compulsion de répétitivité: les anglais nous sauveront de la définitive ruine en se sauvant eux-même par leur faillite et en nous sauvant de l'emprise psychologique de l'Allemagne par cette déconfiture; l'éclatement, enfin, de la zone euro et sûrement de l'Union-Européenne en raison de la trop grande révérence des gouvernances européennes autant aux États-Unis-d'Amérique qu'aux dogmatismes béats d'une libre concurrence de tous contre tous devenue délirante et débilitante feront, en Europe, les causes de transformations fulgurantes des relations que les divers pays de cette région entretiennent les uns, les autres, ce sera le retour aux complexités réelles qu'est la politique autant dans ses principes que dans son formalisme.

    Sous quelle forme?

    Il est pour le moins ardu de définir précisément par avance quelles seront ces transformations mais, pour autant, il nous est possible d’entrapercevoir les mouvements naturels qui traversent dores et déjà les relations entre les pays de l'U.E..

    L'histoire, la géographie, la politique nous en éclaire en effet la trame et les lignes de fractures, pas toujours si anciennes que cela, nous en délimitent les tracés.

    Ces failles sont au nombre de quatre mais avant de les énumérer je voudrais faire une longue aparté:

    N'oublions que l'Europe n'est pas seule (je sais, c'est une évidence), au nord la Russie, au sud méditerranéen, le Maghreb et au-delà l'Afrique-Subsaharienne, à l'est, le Proche-Orient ainsi que les immenses portions de l'est eurasiatique dont l'Europe n'est que l'infime occident et enfin, au large de l'Océan Atlantique, les États-Unis-d'Amérique, le Canada et les pays d'Amérique du Sud, toutes ces régions sont, à des degrés divers, pas toujours pour des raisons de proximité, nos voisins.

    Ainsi:

    La Russie, par exemple, a absolument besoin d'un grand bassin méditerranéen relativement apaisé, des Balkans à l'Angleterre, autant pour des questions militaires que pour le négoce, d'autant plus que le canal de Suez, le détroit de Gibraltar et le passage de la Mer Noir à la Mer méditerranée par la Turquie vont, dans peu de temps (et peut-être déjà, voir les événements Syriens), représenter un enjeu géostratégique de première importance, les climatologues de ce pays ayant pronostiqué un refroidissement climatique au moins pour les cinquante ans à venir, les ports des mers nordiques seront pour eux, le pensent-ils et moi aussi, probablement, ad minima, pour partie bloqués par les glaces et pas seulement en hiver, la reprise en main de l'Ukraine par les russes répond à ces deux impératifs: offrir un allié objectif en Mer Noir ainsi qu'un ou plusieurs ports (?), et conserver ce "grenier à grain" qu'est ce pays en prévision des intempéries futures.

    La Turquie également a amorcé une refondation de sa stratégie d'ensemble avec, central, les tensions préexistante avec l'Iran (qui peuvent d’apaiser et nous pourrions même voir des accords d'échange entre ces deux nations) et leur frontière communes avec l'Irak, c'est pourquoi la Russie aura besoin de s'allier avec des pays balkaniques, slaves ou pas, plus ou moins vassalisés, en tant qu'états tampons d'avec la Turquie pour franchir sans trop de risque l'étroit passage du détroit du Bosphore entre les mers Noir et méditerranéenne, en ces choses, toujours prévoir à l'avance les déconvenues éventuelles.

    Dès à présent un jeu géopolitique compliqué et enche

  • Trump, d'empire à colonie, fin...

    L'empire américain s'en va silencieusement, nous quitte sur la pointe des pieds, file à l'anglaise.

    Son repli sur soi affole la foule des eurolâtres et les américanolâtres tremblent de ne plus avoir de modèle à vénérer.

    Dorénavant ils se retrouvent seuls, sans maître pour dire le vrai et le faux, pour obéir comme les bons garçons et filles qu'ils sont, et errent sans but dans leur délire montant.

    Déjà les signes se font sentir de leur terrifiante détresse et la classe pathétique des chroniqueurs médiatiques officiels, d'un personnel politique au aboi et de la puissance monétaire épouvantée de sa crainte de perdre son bon argent commence à ravir l'homme et la femme de bien.

    P1000790.JPG

    Plus encore, les deux géants géopolitiques, la Russie et les États-Unis-d'Amérique, s'entendent désormais comme larron en foire et ne sont plus que les petites mesquineries des néocons U.S. pour retenir encore un temps la grosse papatte de Monsieur Trump, lui qui n'attend plus que de serrer  la paluche de Monsieur Poutine.

    Mais diantre, que j'ai pu faire d'erreurs d'appréciations sur trois des sujets les plus importants.

    Je crus ainsi que le nouveau président des Etasunis  était un pure isolationniste, ce qu'il n'est pas.

    Je crus aussi que la Russie de Poutine ne pourrait pas supporter que la France soit dirigée par une Marine Le Pen et que, surtout, que le président russe ferait tout pour que l'Union-européenne disparaisse, or les faits montrent l'inverse, ceci expliquant cela.

    Je crus également que l'équipe poutinienne de gouvernement avait compris que le système économique globalisé touchait à sa fin, contrairement à celle de Trump et de la majorité des chancelleries, alors que des signes ténus montrent que ce serait plutôt aux U.S.A. que cette conjecture se saisit, même si je doute de cela dans son administration centrale.

    Donc, je vais devoir revoir ma copie, repenser ma perception de la dynamique historique actuelle.

    Alors, allons voir de ce qu'il en est.

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    Il est rare qu'une élection ou la désignation d'un homme politique pour de très hautes fonctions, dans un pays ou une union quelconque, produise des effets géopolitiques tels que cela en fasse très rapidement évoluer l'ensemble des équilibres internationaux, voire en change du tout au tout les relations entre états.

    Au minimum en politique étrangère, la continuité de l'état fait que les évolutions se font, le plus souvent, à pas comptés.

    Lors de ces cinquante dernières années, cela survint par deux fois, à 31 ans d’intervalle, lors de la désignation au soviet suprême de Monsieur Gorbatchev en 1985, puis quand monsieur Trump fut élu président des États-Unis-d'Amérique en 2016.

    P1000834.JPGIl n'est pas clairement visible, pas vraiment clair que l'Union-Européenne soit visée à la destruction par les U.S.A., quand bien même Donald Trump avait déclaré cette union comme étant dépassée et vieillotte, rien ne semble avoir véritablement changé.

    Or, divers événements ou plutôt des indices, souvent ténus, me laissent à penser que des forces discrètes ont patiemment tissé des plans dont nous autres ne seraient que de vagues pions, nous changerions de camp tout en restant dans une situation similaire.

    Ainsi, en France comme dans le reste de l'Union-Européenne, en Russie, aux Etasunis et  en Brande-Bretagne, il semble se passer des événements bien étranges et cela aurait plusieurs années d'origine.

    Ainsi,rien que chez les américains, dans sa nouvelle administration centrale, nous ne comprendrions pas grand chose si nous ne trouvions pas le bon bout de fil pour en démêler l'écheveau.

    Alors je vous propose que nous revenions à la substance de qui est Monsieur Trump, quelle est sa doctrine véritable.

    Nombre d'entre-nous, et moi-même jusqu'à présent, pensaient que ce nouveau président U.S. était un pure isolationniste quand, en fait, il n'en est rien, en réalité c'est un réformateur, comme le furent en leur temps dans l'empire romain, César et Dioclétien par exemple.

    Ces deux exemples montrent qu'un réformateur impérial est de deux types:

    - celui qui chamboule l'ordre ancien lorsque l'organisation de l'empire, en plein dynamisme conquérant, le nécessite, César fut de ceux-là, mais vous remarquerez que cet exemple ne s'accorde pas à ce que peut représenter Monsieur Trump:

    - Celui qui s'appuie sur le socle structurel ancien, culturel, organisationnel, anthropologique, religieux, politique, militaire...,  pour rectifier et régénérer l'empire, Dioclétien ( http://www.lebreviairedespatriotes.fr/28/02/2013/non-classe/diocletien-portrait-dun-empereur-reformateur/ ) en étant un bon exemple, similaire, à mon sens, du président U.S. actuel à près de 1750 ans intervalle.

    Dès lors que l'on comprend sa nature réelle, la cohérence de son action devientP1000674.JPG évidente.

    Géopolitiquement, fragilisé au plus haut point, l'empire ne peut que se replier sur ses appuis les plus précieux et les plus sûrs, Grande-Bretagne, Arabie-Séoudite, Japon, Israël, canada, plus quelques autres plus discrets, le sous-continent sud-américain se devant d'être de nouveau sous son contrôle, d'où son éloignement de Cuba, et l'Océan Pacifique redevient le centre de toute son attention avec, en marge, nécessité faisant loi, la Mer Méditerranée, d'où son soutien d'Israël contre vents et marées.

    Pour le reste, oui les États-Unis-d'Amérique s'isolent, mais cela  est plus due à la conjoncture présente qu'à une véritable volonté de repli sur soi.

    Pour l'économie, matrice symbolique outre-Atlantique, sa situation plus que délétère nécessiterait des mesures vigoureuses, mais justement en raison de cette situation à la limite de la rupture, soit Trump casse tout le plus rapidement possible, ce qui mènera à la faillite généralisée, soit il temporise, auquel cas nous retournerons à notre point de départ.

    Quand à a politique, les forces industrielles qu'il représente font face à une lutte à mort contre les monétaristes néocons dont Madame Clinton est la représentante.

    Comme j'ai pu déjà l'écrire auparavant, la déstabilisation des Etasunis est tel qu'à mon sens la seule volonté de Trump de réformer son pays et son empire, sans même que cela ait apporté de quelconques effets, peut facilement mener à leur désagrégation, voire à leur destruction, d'où la prudence du président U.S..

    P1000807.JPGMais même cette prudence peut leur être néfaste, leur sera néfaste, à la simple vue de la formidable masse de crédits de toutes sortes qui empoisonne véritablement l'économie U.S. et l'Europe.

    Avant que nous n'abordions le triple sujet que sont l'Union-Européenne, les élections françaises et la position ambigüe de la Russie en Europe, je me dois de faire un détour par l'économie.

    En effet, le prix du pétrole reprend son effondrement, stagnant entre 53 et 54$ depuis quelques temps, il en est aujourd'hui à 47$70 ( http://www.businessbourse.com/2017/03/24/petrole-finit-baisse-a-new-york-a-4770-dollars-baril/ )  ce qui était à prévoir, sa baisse de production de l'année dernière et du début de l'année suivante en en ayant fait monté les prix, les industries nationales et internationales se retrouvent de plus en plus étranglées.

    Les classes-moyennes se retrouvant largement appauvries, en Occident et hors d'Occident, elles sont forcées de ne plus acheter que l'essentiel, de quoi se nourrir, de se vêtir et de se loger, délaissant de plus en plus cet accessoire qui fait la puissance des échanges marchands.

    Ce phénomène fut un moment légèrement compensé par les dépenses que firent, toujours en Occident, les petits rentiers qui craignaient, avec raison, que les banques ne leur confisquassent leurs petits pécules.

    Mais il est à craindre que ces dépenses en soient venues à se tarir, la voiture neuveP1000767 - Copie.JPG achetée, le toit refait, la maison réaménagée, les enfants et petits-enfants gâtés..., ne reste plus, dans les coffres des établissements bancaires, que le minimum pour le cas où...

    Ce qui a généré un effet pervers, celui d'avoir encore plus affaibli des banques ayant moins de fond en coffre, et qui, déjà, se retrouvaient toutes aux portes de leur banqueroute.

    A ceci, il faut y rajouter un étonnant blocage de Wall Street, au plus haut depuis mi-Février ( eod.aspx?s=DJIAx ), monté passée en raison des Q.E. qui ont pris fin, blocage dû à ce que les banques centrales, dont la F.E.D., savent pertinemment que dorénavant la moindre baisse boursière un petit peu rapide pourrait provoquer un affolement généralisé menant à l'effondrement de l'économie-monde.

    C'est pourquoi, maintenant, la dernière cartouche anti-crash ayant été épuisée, nous allons droit vers la faillite de la globalisation heureuse par la désindustrialisation généralisée, sans que quoi que ce soit ne puisse en freiner l'échéance, échéance qui, comme pour tout système chaotique, ne peut être intuitivement prévu que peu de temps avant son avènement, ici la pensée logique n'étant pas d'une grande utilité.

    C'est cet événement qui, pour beaucoup de monde, est devenu improbable puisque sa survenue se fait avec retard.

    P1000169.JPGSongez que depuis 2008 de nombreuses fois de maints signes montraient qu'il s'approchait de nous.

    De plus, de 2012 jusqu'à la fin de l'année 2016, ces signes devenaient visibles, évidents même, sans que quoi que ce soit ne se passe, ou n'aient eu l'air de se passer.

    Mais pendant ce temps là, silencieusement, sans faire le moindre bruit, les entreprises périclitaient, plus lentement, certes, mais elles périclitaient, les banques se fragilisaient et les pays ainsi que leur peuple s'appauvrissaient.

    Voilà pourquoi presque plus personne n'imagine que cela puisse arriver.

    De plus, songer que la société dans laquelle nous vivons puisse basculer comme cela avec une telle violence ne pouvant qu'être que de l'ordre du cauchemar, cette idée s'est retrouvée collectivement refoulée, plus encore au sein des élites des nations qu'au cœur des populations.

    Mais revenons à la Russie et à l'Union-Européenne.

    J'ai pu penser, un moment, que la Russie de Poutine, que son gouvernement était conscient de cet effondrement, or je pense aujourd'hui qu'il n'en est rien.

    La raison que je m'en fait est certes un petit peu complexe et pourrait sembler hors sujet mais laissez-moi m'en expliquer.

    Cela a un lien très fort avec la campagne électorale actuelle et le Front-National.IMGP0440.JPG

    Depuis quelques temps déjà ce parti est régulièrement invité par un média web d'essence russe, Sputnik, et ce sans que la nécessité ne s'en fasse clairement ressentir, ce qui avait quelque peu éveillé mes soupçons.

    Je les avais écarté, bien que mon intuition me susurrais des alertes régulières, c'est ainsi que survient le déni: je n'y croyais pas, je n'imaginais pas les russes assez sot pour aider à l'élection de la fifille de son terrible papounet.

    Donc, lorsque j'appris que la cheftaine F.N. fut invité à la Douma, l'assemblée législative russe, un mois seulement avant ces élections, le déni que je me faisait d'une Russie qui voudrait dominer l'Union-Européenne s'effaça et cette idée me devint une évidence.

    Pourquoi le F.N. serait-il ainsi si courtisé par la Russie, j'en vois plusieurs causes:

    -Il est facilement manœuvrable, le tout s'agissant d'offrir ce qui ferait plaisir à ses cadres;

    -Ce parti ne veut pas que la France quitte l'Union-Européenne, la preuve en est que lors du débat sur la première chaîne, Madame Le Pen avait bien dit qu'il fallait le pays se sépare de l'euro mais à aucun moment elle ne dit que la France doive se séparer de l'U.E. et de l'O.T.A.N.;

    P1000741.JPG-Il a, tout comme l'immense majorité des autres partis politiques, sauf l'U.P.R., absolument besoin qu'un pays dominateur lui dicte ce qu'il doit faire;

    N'oublions pas que Madame Le Pen s'était rendu à la tour de Monsieur Trump, juste après l'élection de son propriétaire, pour, je le suppute, se faire adouber par lui.

    Puisque le nouveau président U.S. n'avait pas daigné rencontrer sa visiteuse, il était logique qu'elle alla chercher ailleurs un seigneur par qui être commander.

    Ainsi, avoir maintenant la bénédiction de la Russie et de son président, Monsieur Poutine, le héro de l'anti-empire américain, lui offre une excellente écoute de ses électeurs, mais bien entendu cela ne peut qu'avoir un prix.

    Quel est ce prix?

    L'Union-Européenne et avoir la paix chez les français pardi, l'histoire de France montrant que notre pays est le plus instable politiquement, si les russes veulent que l'Union-Européenne soit sauvegardé tel quel, il leur faut absolument un parti politique à sa botte qui puisse conserver le peuple sous sa férule.

    Vous remarquerez que l'élection de Donald Trump et celles, présidentielles qui viennent en France, furent précédées par le référendum britannique dit du brexit.

    A ce niveau là, croire au hasard ce serait faire preuve d'une immense candeur, comment imaginer que les U.S.A. puissent se séparer de ce si proche allié, le seul véritable peut-être qu'est le Royaume-Uni?P1000758.JPG

    Mon explication logique de ces concomitances intrigantes serait que ce qu'il se passe actuellement soit la résultante d'un plan ourdi longtemps en avance, par une équipe tripartite britannique, étasunienne et russe.

  • Perversité narcissique et brouillard conceptuel.

    Voici un long mais important texte que j'avais écrit le 11 Octobre 2018, il y a donc onze mois.

    Je le remonte dans le présent pour que ceux découvrant mon site puissent le lire en tout confort.

     

    Avant d'aborder l'avant-propos de ce billet, je me dois de préciser en préambule qu'auparavant je n'avais pas saisi la dimension particulière que la perversité narcissique a pu prendre au sein de nos sociétés modernes.

    Cela ne retire en rien les idées que je dégage de mes textes précédents, tout au contraire, cela vient en compléter l'ouvrage et en préciser certaines de mes approches.

     

     

    Je reviens donc sur ce thème en montrant que nous sommes tous plongés dans cet ensemble nébuleux de croyances plus ou moins délirantes, de laquelle il est plus ou moins facile de montrer l'aspect débilitant.

    C'est certes une hypothèse et cela ne peut que rester ainsi tant que des études cliniques ne seront pas entreprises.

    Je l'ai bâtie d'après l'expérience de mon vécu, d'une suite d'intuitions et, en suivant, d'une profonde réflexion.

    Comme j'ai pu l'expliquer dans mon texte précédent du début Septembre (à lire si ce n'était fait avant de poursuivre cette lecture) traitant de ce sujet, j'émets doncP1020124.JPG l'idée qu'une part de nos oligarques monétaristes, ainsi que nombre de notre personnel politique de haut niveau, souffrent de perversion narcissique.

    Ceux n'étant pas atteint de ce mal sont soient de petits malins qui profitent de leurs faiblesses mentales pour leur propres comptes (les pervers narcissiques étant tous facilement manipulables), soient sont pris dans les rets de ce brouillard conceptuel leur faisant croire qu'ils agissent vraiment pour le bien commun, même si beaucoup d'entre-eux peuvent, plus ou moins inconsciemment, en douter du bienfondé.

    (   Si j'ai appelé "brouillard conceptuel" le phénomène d'être entrainé au-dedans du monde fantasmagorique du pervers narcissique, c'est parce que, même s'il nous est possible de rester pour partie conscient de ses incongruités et délires multiples, notre soumission à ce type de malade mental nous en fait accepter l'univers délirant, ne rendant pas compte d'une quelconque réalité.

    Il s'agit en effet, pour nous, d'un biais cognitif dont il nous faut, quoi qu'il en soit, du temps pour s'en défaire, sauf à ce que l'urgence du moment nous contraigne, pour nous y adapter, à nous confronter à un réel, certes tel qu'il se présente, mais notre perception nous en sera pour le moins momentanément tronqué, ce qui nous fera perdre un temps précieux.

    Ce délire [ N'oublions pas que le pervers narcissique souffre en réalité d'une schizophrénie latente que sa dépravation viendra compenser ] est propre à chacun de ces insensés, bien qu'en groupe ils puissent en générer un collectif sur lequel reposera, de plus, les divagations propre à chacun  d'entre-eux.

    Il leur faut en effet se retrouver au centre de leur monde pour pouvoir préserver P1020059.JPGleur narcissisme dévoyé et fragile.   )

    Je vous propose donc un complément de mes réflexions précédentes en m'essayant de vous montrer, amis lecteurs, combien nous pouvons être berner par cet ensemble hétéroclite de malades mentaux que nous appelons l'oligarchie.

    Sachant, part ailleurs, que ce qu'ils craignent avant tout, hormis de ce que leur monde ne s'efface, à ce qu'il leur soit montré et décrit leur complexion démentielle et, surtout, à ce que cela soit exposé à la face du monde.

    En plus de ne cesser de nous tromper, surtout de ce que peut être leur véritable nature, ils nous entrainent plus ou moins  dans leur monde irréel, parce que détaché de la réalité, ce brouillard conceptuel.

    Cela en nous faisant croire, comme le font tous pervers narcissiques, en leur toute puissance, leur savoir absolu et leur omniscience, eux qui ne sont, en vrai, de par la nature même de leur maladie, que des êtres incompétents et plutôt cornichons et incultes.

    C'est cela que je vais vous narrer ici en vous en montrant quelques exemples, quelques-uns seulement parce que le pire dans tout cela c'est que ce brouillard recouvre une immense étendue en un très grand nombre d'idées toutes faites et fausses.

    Deux choses importantes que je n'avait pas clairement noté dans mon billet précédent:

    -le pervers narcissique et le psychopathe ne peuvent pas se sentir responsable de la moindre de leur vilénie, sinon cela mettrait en danger leur narcissisme;

    -ils ont tendance à projeter sur l'autre le moindre de leurs aliénations, angoisses,P1020165.JPG abjections, bassesses et infamies et ceci pour les mêmes raisons, c'est en cela qu'ils sont pervers.

    Avant que je ne débute la seconde partie de ce billet, je vais effectuer un très bref résumé de la nature très particulière et discrète de cette grave maladie mentale, étant entendu que le psychopathe à une origine similaire à celui-ci et une structure mentale relativement semblable:

    1) refoulement des émotions conduisant à un surmoi quasiment inexistant;

    2) narcissisme instable que le sujet tente de sauver;

    3) état psychotique latent que seule la perversité du sujet parvient à maîtriser;

    4) culpabilité importante amenant une souffrance se muant en plaisir, d'où sa perversité envers son ou ses souffres-douleurs;

    5) un monde fictif, propre et différent pour chaque sujet, dedans lequel vit celui-ci, n'ayant qu'un lien lointain d'avec la réalité, ce que nous vivons sous la forme de ce brouillard conceptuel;

    6) une sclérose mentale importante se développant avec le temps, rendant les sujets stupides, due à ce que toute leur intelligence n'est tournée que dans le but de compenser leur schizophrénie latente, en vivant dans leur monde fantasmatique dont ils seraient le centre, ceci pour sauver leur narcissisme, et avec des victimes sur lesquelles reposeront leurs faiblesses, leur démence, leurs incohérences structurelles et leur méchanceté primaire (étant entendu que le psychopathe tue pour tenter de détruire en lui ces mêmes tourments quand le pervers narcissique peut, lui, tuer pour écarter le risque d'être découvert ou pour sauver son monde P1020041.JPGimaginaire).

    Cette mouvance oligarchique nationale, européenne et internationale est hiérarchiquement structurée.

    Ce qui, pour un pervers narcissique, ne peut qu'être qu'un terrible calvaire, d'autant plus que cela est le fait de ses semblables en démence, il faut donc pour chacun d'entre-eux entretenir un monde propre, à l'intérieur de celui collectif, dedans lequel il se retrouvera au centre, au risque sinon de ne plus pouvoir compenser leur état psychotique latent.

    Mais quoi qu'il en soit, cet univers fantasmatique collectif nous est déversé continuellement, dans les médiats notamment, au corps défendant de nombre de journalistes subalternes et/ou pigistes, envahissant d'autres sphères sociales, scientifique et artistique, par exemple, contraints, forcés et/ou manipulés par ces insensés.

    L'un des exemples les plus frappant est ce qu'il se dit au sujet de l'Union-Européenne, soit qu'elle ne serait en rien une colonie des États-Unis-d'Amérique.

    Or, pour en débusquer la réalité je vous propose une expérience simple mais éclairant les multiples occultations et/ou dissimulations, ô combien symptomatiques, que génère l'existence même de ce brouillard conceptuel.

    Voici plus bas la liste des 26 pays de l'union, et il n'y a pas grand monde pour déjà l'égrainer, moi-même pouvant difficilement en citer une dizaine.

    Je vous propose donc de nommer un artiste pays par pays, tous domaines, peintre, chanteur, écrivain... et époques confondus, même datant du moyen-âge, sachant que censément notre pays ferait parti d'une union, un petit peu comme il en est des U.S.A. et comme il en fut de l'U.R.S.S..

    Sachant qu'existe l'eurovision, j'en apporte cette précision que les chanteurs doivent être connus au sein de leur pays et ne pas chanter dans la langue impériale, j'ai-nommé l'anglo-américain:

    . Allemagne

    . Autriche

    . Belgique

    . Bulgarie

    . Chypre

    . Croatie

    . Danemark

    .Espagne

    . Estonie

    . Finlande

    . France

    . Grèce

    . Hongrie

    . Irlande

    .Italie

    . Lettonie

    . Lituanie

    . LuxembourgP1020178.JPG

    . Malte

    . Pays-Bas

    . Pologne

    .Portugal

    . Rép. Tchèque

    . Slovaquie

    . Slovénie

    . Suède

    Combien seraient-ils capables en l'Europe d'effectuer avec brio un tel exercice, dix, vingt personnes à tout casser, des historiens d'art peut-être?

    Maintenant, je vous propose de donner le nom de cinq artistes britanniques, puis de dix artistes étasuniens, pour ces derniers une trentaine de nom ne doit pas être impossible à trouver...

    Voilà, vous avez compris, la preuve est là, visible, éclatante: notre pays ne se trouve  pas au sein d'un union politique et marchande composé d'un ensemble de nations indépendantes, mais fait parti intégrante d'un agrégat de colonies étasuniennes regroupées, ceci pour qu'elles soient contrôlées plus facilement par une bureaucratie coloniale située à Bruxelles, elle même issue des pays composant l'union, en un même mécanisme qu'usait, dans le temps, le Royaume-Uni impérial en Inde.

    (   La désintégration de cette union provenant, pour l'essentiel, de ce que l'empire U.S. s'en désengageant, n'y jouant plus, dès lors, de rôle régulateur, les conflits P1020170.JPGlarvés qui y préexistaient s'expriment désormais en plein.    )

    Commencez-vous à percevoir comment fonctionne un brouillard conceptuel?

    En effet, c'est bien parce que nos oligarques européens doivent nier l'existence de cette domination, désormais passée mais dont la fable perdure, qu'ils traitent ceux qui osent en avancer l'idée de complotistes ou de tout autre expression aussi dérisoire qu'injurieuse.

    La raison en étant que, sinon, cela mettrait plus à mal leur narcissisme déjà gravement malade, puisque avouer cette domination montrerait leur asservissement, démontrerait, surtout, qu'aucun d'entre-eux n'est le nombril du monde.

    Tout en chantant les louange des Etasunis, contradiction perceptible par le déversement continuel d'un art outre-atlantique désormais en plein déclin ou d'une langue anglo-saxonne débilitante, comme il peut en être du reste des U.S.A. d'ailleurs.

    (   Il est ainsi symptomatique que les titres des films et feuilletons étasuniens ne soient même plus traduits en français, contrairement à ce qu'il se passe au Québec, ce qui montre également et surtout le profond dédain dans lequel nous tient l'oligarchie U.S..    )P1020478.JPG

    Ce paradoxe étant dû à ce que "le rêve américain" fait parti intégrante de ce monde fantasmatique collectif dedans lequel vivent tous ceux de ces malades qui, de près ou de loin, sont affiliés à l'oligarchie.

    C'est pour des raisons semblables que les informations et la météo qui nous sont présentées dans les mêmes médiats ne concernent que la France tout en chantant les louange de l'Union-Européenne, les mêmes voulant cacher ainsi qu'ils sont dominés par les oligarques européens au sein de ce système hautement hiérarchisé.

    Ce même rêve américain se retrouvant ici, dans l'esprit de l'oligarchie française, sous la forme d'une soit-disant construction européenne, c'est à dire de vouloir, dans leurs délires, transformer cette union en États-Unis-d'Amérique.

    Il est vrai que toutes ces petites cachotteries existent aussi pour éviter que la population comprenne d'où proviennent nos lois, soit des directives de l'Union-Européenne sous domination étasunienne et, maintenant germanique, mais vous en remarquerez avec moi leur incohérence, puisqu'il leur serait facile, ainsi, de dédouaner le gouvernement,  sous leur ordres, de ses décisions, ce qui, par le passé, se faisait en toute aisance (comme l'aurait dit Faust).

    (   Ce désengagement Étasuniens par l'équipe trumpienne de l'U.E. menant, bien P1020071.JPGentendu, nos oligarques à l'affolement puis à la panique.)

    C'est pourquoi elles sont là: pour ne principalement pas montrer à la face du monde qu'eux-mêmes sont, de fait, sous cette triple domination, U.E., U.S.A., allemande, ceci, encore une fois, pour sauvegarder leur narcissisme détraqué, eux qui se croient, en leurs délires, au centre de l'univers.

     

    Un autre exemple de l'existence de ce brouillard conceptuel: pourquoi donc déverser un tel tombereau d'injure à l'égard de Donald Trump?

    Si nous y réfléchissions bien, si l'Union-Européenne et donc la France étaient vraiment indépendantes, comme cela nous en est rabâché, les décision du président U.S. ne devraient nous concerner que si elles impliquaient directement l'union et/ou notre pays, non?

    Dès lors, en toute cohérence, la politique intérieur de cette nation ne devrait être suivie par les médiats que comme il devrait en être pour toute autre et il ne devrait pas y faire grand cas, en ce seul exemple, des catastrophes naturelles, comme il en est, encore une fois, de tous les autres pays mondiaux, ceux de l'union compris.

    Or, en ce qui concerne celles se trouvant à l'intérieur de l'U.E., nous en avons infiniment moins que de celles qui  nous sont transmises de l'empire et, ce, à l'inverse de toute logique d'avec ce qu'il nous en est conté.P1020251.JPG

    Monsieur Trump se devrait aussi d'avoir le même traitement médiatique que ses prédécesseurs, ce qui, là encore, est contraire  du récit qui nous est fait de ce que serait l'Union-Européenne.

    Or, il est donc parfaitement visible que nous sommes au-devant d'un nouveau paradoxe entre ce qu'il se dit de la construction  européenne, de notre relation d'avec les E.U.A. et les informations qui nous sont prodiguées sur ces deux sujets, mais pourquoi donc?

    Tout simplement parce que Mr. Trump ayant déclaré, lors de sa campagne électorale, que l'O.T.A.N. et l'U.E. devraient disparaître, cela met en danger leur monde fantasmatique, ce qui fait que nos oligarques européens s'affolent et déversent leur haine à son endroit dans les médiats (faisant dès lors remonter leurs émotions, ce qui les déstabilise d'autant).

    D'autant plus que, outre que ses actions mènent à un affaiblissement de l'Allemagne, de la France et de l'Italie et, dès lors, de l'U.E., en raison, entre-autre, de l'interdiction de commercer avec l'Iran, la lutte qu'il mène contre son oligarchie affaiblit celle-ci à un tel point que ce dernier président (peut-être vraiment le dernier) n'est pas loin de les vaincre, du-moins peut-il mener à peu près sa politique à sa guise.

    Or, l'oligarchie monétariste européenne n'existe que parce que celle des États-Unis-P1020443.JPGd'Amérique la mise en place, sans la seconde la première disparait.

    C'est pour cela que, dans l'affolement, pour que leur petit chéri Macron soit élu haut la main, que notre "élite économique" a détruit les partis politiques français lors des élections nationales de l'année dernière, aidé, il est vrai, en cela, par un François Hollande bien content de se venger de ses avanies en tant que président.

    Le surgissement de l'affaire Bennala fin juillet ne peut qu'être que la marque d'une semblable panique des mêmes, celle-ci provenant de ce que Monsieur Macron prenait son indépendance de ses commanditaires.

    Sûrement conseillés par des vieux de  la vieille de la politique qui sentaient venir une plus qu'exaspération de toute la population, due autant à l'insane brutalité économique du gouvernement  macronnien que de la médiocre vulgarité avec laquelle Monsieur Macron occupe son poste électif.

    ( Le délitement psychologique des pervers narcissiques et des psychopathes, à cause principalement de la disparition de leur monde, de leur perte de proie sur laquelle déverser leurs déséquilibres mentaux et/ou de l'exposition à la face du monde de leur aliénation, s'effectue en quatre temps:

    1) la fuite-en-avant: débutant dès qu'ils sentent perdre leur pouvoir et/ou voient leur fantasmagories se confronter à la réalité, consistant en une amplification de leurs agissements, allant jusqu'à une caricaturisation extrême  de ceux-ci...;P1010825.JPG

    2)

  • Essai de réflexion sur la pensée globale.

    Ce qui est symptomatique de notre époque est la parcellisation de la pensée.

    Il est en effet remarquable d'observer combien la réflexion sur un sujet donné n'est pas intégré dans un ensemble cohérent, à l'heure où les sociétés humaines se sont rapidement grandement complexifiées.

    Les domaines sont nombreux où cette complexité n'est que peu abordée et,  j'en pose l'axiome, serait la source première des difficultés économiques, sociales et politiques auxquelles nous nous confrontons au jour le jour.

    Ainsi Monsieur Macron, le royal serviteur de l'oligarchie qui nous gouverne, le génie des Carpates, a, par les lois, ordonnances et autres décrets qu'il a, lui et son gouvernement, promulgué, haussé nombre de taxes et, surtout, la C.S.G. pour tenter de faire survivre encore un peu un système économique international et européen en effondrement industriel et monétaire lent.

    P1000880.JPGCe qui bien sûr pâtit aux faibles salaires et aux retraites, ce qui ne peut que réduire d'autant le pouvoir d'achat de tous ( pouvoir d'achat qui, en réalité, n'est qu'une immense fumisterie présente pour cacher la fermeture des usines et entreprises agricoles, envoyant les gens au chômage).

    Pour le remonter, ce pouvoir d'achat, la taxe d'habitation va être progressivement supprimée, ce qui appauvrit les communes.

    (Reconnaissons que, dans l'esprit de notre Président de la République, ce serait une tentative, vaine il est vrai, de faire repartir une machinerie industrielle française grandement en souffrance en redonnant du "pouvoir d'achat" aux ménages, sans penser une seule seconde que ce ne seront pas les industries nationales qui en profiteront mais celles d'Allemagne de Chine et d'ailleurs.)

    Pour que les communes ne s'appauvrissent pas de trop, pour que les maires ne se révoltent que modérément (déjà que les regroupements de communes indignent les édiles communales...), mais surtout pour que les petites gens puissent continuer d'acheter, l'échange marchand étant le nerf de la guerre du libéralisme économique, qu'il soit néo ou pas, les municipalités, donc, je le conjecture, auront bientôt le droit de décider par elles-mêmes du taux de la taxe foncière (ce en quoi je peux faire erreur, une autre mesure, de même type, pourrait être prise, voireP1010080.JPG même aucune décision de ce genre être décidée, mais cette décision serait dans la logique de la pratique gouvernementale actuelle).

    Ce qui, bien sûr, mènera à son augmentation, ce qui pénalisera les propriétaires qui risquent de mettre en vente le foncier qu'ils louent, ceci pouvant générer un crash immobilier pouvant entrainer l'économie mondiale à sa faillite.

    Pour éviter ce phénomène pervers, cela conduira inéluctablement le gouvernement à libéraliser les prix des loyers.

    Ce qui pénalisera, devinez qui, les plus pauvres, chômeurs, retraités et travailleurs pauvres.

    Et la boucle sera bouclée, boucle de rétroaction s'entend.

    Bon, ne leur demandons pas grand  chose, aux macronnistes-philippards, même ceux sortant des universités ne saisissent rien à la politique, ni à l'économie, d'ailleurs.

    Mais vous pouvez, amis lecteurs, observer cette parcellisation de leur pensée les conduisant à cette ahurissante et illogique tentative de rééquilibrage d'une instabilité économique qu'ils ont eux-mêmes créé, montrant de manière P1010151.JPGcaricaturale leur impossibilité totale d'avoir une vision globale de la situation.

    Les conduisant, de plus, à accroitre le ressentiment populaire à leur égard.

    Je vous avoue ne pas avoir vraiment conceptualisé ce que peut être une pensée globale, cette idée ne me restant, pour l'essentiel, que purement intuitive puisqu'elle m'est quasiment naturelle, toutefois j'y jetterais, au-dedans de ce billet, les premières bases réflexives.

    Je vais surtout donner ici un exemple basé sur un ensemble d'informations présentes et prendre grand soin de montrer que cet outil conceptuel ne peut être en rien une panacée, celui-ci pouvant se révéler faux en nous forçant de mettre dans un même ensemble des événements qui, en réalité, n'ont pas de réels liens entre-eux.

    Mais même si cet outil ne peut être d'une sûreté absolu, il n'en reste pas moins d'une grande utilité conceptuelle.P1010026.JPG

    Quand bien même en avant-propos j'ai pu mettre en garde de ce qu'une trop grande généralisation de l'emploi d'une pensée globale pouvait égarer une réflexion sur un sujet donné, les actuelles et éparses péripéties politiques et sociales, en France et ailleurs, peuvent laisser à penser que les mouvements de déstabilisation de l'état français ont désormais commencé.

    Bien que les informations qu'il nous soient possibles de percevoir sont dispersées de telles sortes qu'elles paraissent n'avoir aucune relation entre-elles, sauf à poser le postulat qu'en effet l'existence même de l'Union-européenne est remise en cause par son créateur: l'empire des États-Unis-d'Amérique.

    Thème que j'avais déjà abordé par avant en Septembre de l'année dernière, (en fin de texte) où j'y montrais, déjà, que nombre de pays qui comptent, les U.S.A., certes, mais aussi la Russie, le Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, la Chine et l'Iran, sont dans la volonté de détruire l'U.E. par la déstabilisation de la France.

    Mais avant que je ne vous propose de vous confier mon opinion sur des événements ne semblant pas avoir des liens entre-eux, permettez-moi de commencer par définir au mieux ce que j'entends par la "Pensée Globale".

    P1010088.JPGJ'appelle donc "pensée globale" une façon de donner sens à une situation ou un événement complexe, constitué de plusieurs composants, ne semblant pas, pour certains d'entre-eux, liés aux autres, mais dont ces liens s'expliquent par des paradoxes émergents s'ils ne sont pas compris dans l'ensemble ainsi constitué.

    Ces multiples composants, dont la réunion pourrait s'appeler "Sujet d'ensemble" pouvant avoir des liens temporels et de lieux divers.

    Cette situation ou événement ne pouvant être saisi en plein que du moment où cet ensemble de composants est donc réuni en un tout cohérent, le rendant ainsi intelligible.

    Il est à noter qu'il n'est pas toujours besoin d'aller rechercher les constituants les plus complexes de ces différentes composantes, et que cela peu même parfois égarer la réflexion sur ce  sujet d'ensemble.

    Je tiens, une fois encore, a mettre en garde de ne pas se précipiter à réunir des informations éparses qui ne se révèleraient pas liés les uns aux autres, seule l'attente et l'observation des événements passés, présents et futurs peuvent permettre d'en saisir la dynamique complexe et d'en écarter, si besoin est, les informations non pertinentes.

    Le hasard, l'incident, la péripétie peuvent provenir de circonstances autres que ce qui nous occupe sur le moment, voire à ce qu'une conjoncture soit indépendant de toute autre et n'ai de sens que par elle-même en un développement linéaire et P1000753.JPGunique, même si cette conjoncture est d'essence complexe.

    Ceci dit, revenons à ces événements politiques et sociaux présents.

    Commençons par les paradoxes et les contradictions, ensuite j'aborderais les concomitances.

    Le principale concerne les syndicats.

    Jusqu'à présent ceux-ci perdaient, depuis trois bonnes décennies, progressivement leur rôle de contrepouvoir et, ce, pour diverses raisons.

    La plus importante et la plus proche de nous étant que tous, ou quasiment (C.F.D.T., C.F.T.C., C.G.T., F.O. et U.N.S.A.), adhérèrent à la confédération européennes des syndicats (le C.E.S.), étaient donc subventionnés par l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi tous ne montraient que peu d'empressement à défendre les salariés face aux G.O.P.E., en niaient l'existence et même souvent n'agissaient que pour rendre les revendications inaudibles et les mouvements revendicatifs inefficaces.

    Or, il n'est que de constater qu'à présent ils se montrent tous d'une vigueur et d'une efficience plutôt remarquable (même si cela ne peut que gêner nombre de particuliers, dans les transports notamment).

    L'empoisonnement de Monsieur Skripal et de sa fille dans une petite ville du sud de la Grande-Bretagne fait également parti de ces incongruités qui ne peuvent que nous laisser nous interroger.

    Je ne vois pas vraiment qui pourrait avoir l'intérêt d'attenter à la vie d'un P1000866.JPGpersonnage, plutôt médiocre dans le milieu des services secrets, qui, si j'ai bien compris, était désormais sous une forme de retraite.

    En tout cas personne n'a fait mention que cette personne ait eu un rôle, si petit soit-il, au sein de l'administration britannique.

    Il est toujours possible que ç'ait été sa fille qui ait été visée, elle qui venait de Russie, et de brouiller les pistes en faisant de manière à ce que cela se passe au Royaume-Uni, mouai..., ou, comme il se dit, serait-ce un message (à l'adresse de qui?) provenant de la maffia russe, bof... .

    Pourquoi attendre que la fifille se rapproche de son père pour tenter de la tuer et pourquoi cette réaction si rapide du gouvernement anglais, deviendraient dès lors les questions logiques à se poser.

    Comme vous le voyez, il s'agit ici de deux incohérences qui, de plus, surviennent en un laps de temps plutôt court.

    Et si nous faisons la liste des concomitances politiques, là, les questions ne peuvent que se poser.

    Le 13 Mars, Monsieur Trump remplace Rex Tillerson, ancien P.D.G. d'Exxonmobil (dès lors pouvant être considéré comme faisant parti des oligarques de l'empire U.S.) , par  Mike Pompeo, l'ancien directeur de la C.I.A., au poste de secrétaire d'état, le ministre des affaire extérieur U.S..

    Auparavant, en France, fin Février, le gouvernement veut légiférer par ordonnanceP1000878.JPG le changement de statut de la S.N.C.F., sachant la majorité écrasante du R.E.M., les radios-éléments, à l'Assemblée Nationale, pourquoi donc cette soudaine frénésie, cette précipitation, qui ne pouvait que mettre le feu aux poudres?

    Que dire ainsi de l'annonce faite, à la même période, de ce fond spéculatif, les plus important au monde paraît-il, Bridgewater , qui a posé sur la table 22 milliards de dollars pour jouer contre l'Union-européenne et l'euro.

    Questionnons-nous de cette visite de l'ex-conseillé de Monsieur Trump, Steve Banon, rendue à Madame Le Pen lors du congrès du Front-National du 11 Mars, qui changea de nom pour le "Rassemblement National".

    Marine Le Pen qui, peut de temps après, appela à voter pour le candidat de Les Républicains, Elad Chakrina, lors des législatives partielles de Mayotte du 18 Mars, ce qui met à mal le fameux U.M.P.S. que les caciques du feue F.N. ne cessaient de déverser sur les ondes.

    (Le F.N., pardon, le R.N., champion de France du retournement de veste, sous les ordres de l'empire américain, pourrions-nous ajouter: gaaaarde-à-vous, fixe!)

    Pourquoi les syndicats ont-ils choisi le 22 Mars pour leur manifestation, cinquantième anniversaire de Mai 68 qui vit des avancées sociales sans équivalence depuis?

    Pourquoi cette réaction syndicale survient-elle très peu de temps après que Madame Merkel ait retrouvé son poste de chancelière (premier ministre) d'Allemagne (sachant que c'est ce pays qui domine l'Union-Européenne et est, pour cela, en P1010067.JPGconfrontation larvée d'avec les U.S.A., U.E. qui se trouve de fait avec une direction quasiment tricéphale si nous y comptons son administration, chacun de ces trois acteurs ayant leurs intérêts propres, dès lors contradictoires et donc conflictuels)?

    Nous ne pouvons donc éviter de nous demander si cela a à voir avec un article du journal allemand Die Welt, traitant d'une réflexion d'économistes germaniques des effets pour leur pays de la disparition de l'euro.

    Et, comme c'est bizarre, de ce terroriste se réclamant de ce D.A.E.S.H. dont il se dit téléguidé par l'empire U.S. via la C.I.A. et l'Arabie-Séoudite, qui a semé la mort à Carcassonne et Trèbes, terminant sa route meurtrière dans le super U de cette dernière ville.

    Enfin, cerise sur le gâteau, les manifestations et grèves en France se produisent très peu de temps après que Monsieur Poutine ait été réélu président de la Confédération de Russie.

    Alors, que dire de cette liste d'événements?

    Certes, il est tout à fait possible de considérer que ceux-ci n'ont pas de liens entre-eux et ne sont que la résultante de l'instabilité grandissante de l'Union-Européenne et de la France, le reste n'étant que le produit du seul destin.P1010107.JPG

    Mais souvenez-vous qu'auparavant j'avais expliqué qu'à mon sens l'Union-européenne se retrouvait être un boulet pour le reste du monde, U.S.A. compris, eux qui ont besoin, de plus, de mettre leurs oligarques aux pas, comme le fit Monsieur Poutine en son temps, et que, même à l'intérieur de l'U.E., de nombreuses forces centrifuges s'y exerçaient.

    Que, de plus, à une Allemagne bien que dominatrice dans l'union mais plus difficile à déstabiliser, la France, de caractère plus instable, serait infiniment plus facile à être le vecteur d'une dissolution de l'U.E..

    Nous ne pouvons pas ne pas nous demander si, partant de cette idée d'une opération de déstabilisation de la France, cet ensemble de faits ne représenteraient pas la forte présomption que la-dite opération aurait commencé depuis un bon mois déjà.

    Ainsi ces événements prendraient une cohérence en une unité explicative.

    Reprenons une à une ces informations suivant ce postulat en un ordre relativement temporel:

    P1000903.JPG1) Le gouvernement veut légiférer par ordonnance au sujet du changement de statut de la S.N.C.F., ôtant ainsi toute possibilité de dialogue syndical, ce qui ne peut que représenter une provocation pour ses agents, la question étant: qui a proposé cela et à qui, pour qui cette personne travaille-t-elle?

    2) De quelles informations l'agence Bridgewater détient-elle pour avoir mis une telle somme en jeu, 22 milliards de dollars, ce n'est pas rien, en pariant d'un effondrement prochain de l'Union-Européenne et de l'euro.

    Est-ce la recherche d'un effet d'annonce en une prophétie autoréalisatrice, sur la demande d'une officine U.S. plus ou moins officielle ou secrète ou tout simplement parce qu'elle aurait obtenu des informations sur ce qu'il se tramerait en Europe?

    3) Est-ce sur ordre de Monsieur Banon, qui rendit visite à Madame Le Pen lors du congrès du F.N. qui vit en changer le nom de ce parti, que cette dernière appela au soutien du candidat de Les Républicains lors des législatives partielles à Mayotte (on eut voulu briser ce nouveau Rassemblement National et Les Républicains qu'on ne s'en serait pas pris autrement, auquel cas, que fut-il promis à Madame Le Pen?)?

    4) Quel est cette nouvelle fougue syndicale d'aujourd'hui, quasi unitaire, eux qui surent si bien pourrir les manifestations contre la fameuse loi travail, dite El Khomri, qui se terminèrent par tourner en rond autour du bassin de l’Arsenal à Paris le 23 Juin 2016, ce à quoi ils acceptèrent de bonne grâce?P1000850.JPG

    Pourquoi d'autres appels à la grève et aux manifestations unitaires, dont à Air France et dans les hôpitaux, furent-ils lancés en même temps?

    Pourquoi ces syndicats n'ont-ils plus peur de perdre leurs subsides provenant de l'Union-Européenne?

    5) Il-y-a-t'il un lien entre ces événements qui se passent en France et la décision de Monsieur Trump d'engager le patron de la C.I.A. en tant que ministre des affaires extérieures et la réélection de Monsieur Poutine à la présidence de la Confédération de Russie?

    6

  • Pourquoi ai-je tenté de prévenir, ici, des suites possibles de la catastrophe économique future telle que je les perçois

     

    Parce que je me doute que quasiment personne n'en puisse appréhender toutes les conséquences, en considérer, dès aujourd'hui, toute la frénésie, en comprendre les périls.

    Je crains, en effet, que les évènements à venir ne soient bien pires que ce que j'ai bien pu en dire.

    Mais la question titre de ce texte reste : connaître les raisons pour lesquelles je ne consacre l'essentiel de mes écrits qu'aux contingences avenir, ne pas faire comme beaucoup de relayer, par exemple, les informations recueillies ça et là sur le ouèbe (web) ou mes réactions à chaque actualité (bien qu'il m'ait pu arrivé de le faire de temps en temps).

    Étant donné que beaucoup d'autres le font bien mieux que moi, il est inutile que je me plie à un exercice entrant discrètement dans le domaine de la seule mode.

    Quel est le message principal que j'ai voulu faire passer ?

    Non pas d'y dire que notre monde, notre humanité change, mais essayer d'y montrer que ce changement ne se fera pas n'importe comment et qu'il sera chèrement, très chèrement payé tant en vies humaines qu'en traumatismes de toutes sortes !

    J'ai voulu prévenir le plus de gens, tout le monde du pire mais je crains que ce pire ne toque à notre porte !

    C'est l'ébauche d'une analyse géostratégique, d'un début de réflexion d'un renouvellement de la pensée politique ainsi que d'une observation de la nature humaine que j'ai fait en cet essai là, en ce blog, de faire cette prospective avec, de plus, la récurrence de certains messages dû à la structure de ce que peut être un blog imposant aux lecteurs de ne se pencher qu'aux derniers libellés.

    C'est donc la recherche de concepts novateurs me permettant d'au mieux percevoir un devenir restant, par nature, flou, qui fait le centre de mes méditations, la difficulté m'étant autant de l'exposer intelligiblement qu'ensuite d'en faire passer le message.

    La mise en parallèle du communisme et du néolibéralisme, notamment, dans ce que j'appelle « l'économisme », c'est à dire de ne considérer comme primordiales que la seule l'économie, et ce hormis toutes autres considérations, lors d'intentions, de dispositions et de choix politiques en Europe et ailleurs sont, aujourd'hui, sous forme de ce néolibéralisme, les fondements évidents de la débâcle économique et sociale de la France aussi bien que de tous les autres pays européens de même que celle, bientôt patente, des États-Unis-d'Amérique non moins que de l’ensemble de toutes les autres nations humaines, comme hier le communisme fut le tombeau d'une Russie et d'un est-européen dans la pleine puissance de leur âge.

    De considérer ensuite, après avoir fait cette observation là, comme certitude le retour en force d'une pensée purement politique, pensée déstructurée, toutefois, car déconsidérée et négligée parce que devenue négligeable, négligence, déviance anormale et amorale, voire rendue quasiment tabou et donc inhabituelle et lors irraisonnée, naïve et incontrôlable, de considérer cela me fait dire l’immense dangerosité des décennies avenirs.

    Ce qui parlera là, ce qui fera acte seront les vieux réflexes de nos histoires communes !

    L'attraction des peuples pour leur inconscient social !

    C'est vrai, nous n'allons pas rejouer, en France, la haine de la « perfide Albion » ou la détestation de l'Allemand, nous n'allons pas revoir rouler des De-Dion-Bouton ou des Pahard-Levassor, les trains resteront électriques, l'avion sera toujours à réaction et l'informatique aura une présence de plus en plus marqué mais nos automatismes, nos décisions, nos jugements collectifs, eux, seront, reviendront à ceux, quasi ataviques, de la fin du XIX°, début du XX° siècle sauf pour de rares hommes et femmes qui sauront conserver un tant soit peu de leur indépendance d'esprit.

    Nous voyons bien poindre, comme à l'époque, comme sur la pointe des pieds mais avec force, une sorte de retour « aux temps bénis des colonies », une police redevenue inefficace et, lié, un retour d'un banditisme dû au manque de moyen judiciaire et à la pauvreté ouvrière, un racisme idiot, sinistre et primitif, une inculture crasse touchant (dès maintenant) toutes les classes de la société, jusqu'à nos élites et, surtout, leurs enfants: nous reverrons revenir les jugements de classe...

    Bientôt les bals reprendrons du flambeau tout autant que les marches militaires, les drapeaux bleu-blanc-rouge agrémenteront les balcons, les apaches d'aujourd'hui seront de chair à canon de demain ou pourriront dans une façon de bagne en Creuse, dans les Cévennes ou ailleurs..., le (déjà) retour des maladies vénériennes, de la tuberculose, de l'alcoolisme et du manque d'hygiène verront renaître résolutions et décrets en prophylaxie, salubrité et assainissement, l'Europe, première puissance navale et militaire marchera au pas, en cadence et la fleur au fusil… .

    Mais surtout, surtout tous ceux qui œuvrèrent, en toute bonne fois, pour la construction européenne telle quelle s'est construite ce jour dans la crainte essentielle, existentielle d'une présupposée nouvelle guerre mondiale si l'Union-Européenne disparaissait, ceux-là seront les principaux, sinon les uniques responsables des risques prochains devant lesquels sera notre continent, eux qui, déjà, ont LA responsabilité majeur des destructions économiques d'une bonne partie de l'Union-Européenne !

    Ils voulurent nous éviter la haine et la guerre grâce à un présupposé enrichissement infini que l'évangile libre-échangiste disait pourvoir et n'ont, n'auront que pauvreté, haine et guerre comme seules conclusions à leurs confusions!

    Du-moins, en tout cela, y aura-t-il le vaste versant positif d'une inventivité exacerbé, d'une science en recherche de nouveaux fondamentaux, d'un art en création quittant toutes les redites actuelles, les rabâchage du présents et la vulgate vulgarité vomissive d'une pseudo splendeur en starification, pseudo-art médiatiques cachant mal la pauvreté d'un monceau d'abrutissantes créations en déshérences étouffant jusqu'à la moindre parcelle d'âme, aussi la philosophie recommencera, enfin, à redevenir elle-même en provoquant les valeurs les plus sûres, en les questionnant, les secouant, parfois en les mettant en cause, les infrastructures et service publiques recommenceront à remplir leurs rôles et redevenir efficaces, je l'espère, également, les tricheurs de tout acabit seront enfin châtiés selon leurs dûs...!

    Mais ce qui se passera là ne concernera que l'Europe et surtout la France.

    Que puis-je dire, décrire d'autre sans me faire incendier ?

    Puis-je écrire que l'Islam ne vit plus que ces derniers instants sans être blasphématoire bien que les blasphèmes survivent encore en terre d'Islam, que les juifs religieux sont en train, là-bas, de tuer Israël en y étouffant les intelligences, que le Catholicisme se développera avec ou sans le Pape, en Inde, mais pas seulement, en y accompagnant la progression du judaïsme, que les U.S.A. sera le pays, si tant est qu'il soit encore pays, de l'athéisme, suivit en cela par la Russie, que l'athéisme anarchisant sera très puissant chez les anciens musulmans, que la Chine deviendra lamaïste, que l'Europe verra se ré-remplir les églises mais que l'église ne sera plus ce qu'elle est aujourd'hui et se verra pencher autant vers Bouddha que vers le Christ, que les Tibétains seront les parias de demain comme hier le furent les juifs ou que le judaïsme sera de moins en moins sémite... ?

    Puis-je écrire le désir des pays d'Afrique d'être reconquis par leurs anciens maîtres, l'éclatement de l'Europe pour une nouvelle Europe, bien plus politique mais bien plus guerrière aussi, plus dangereuse, un Canada et une Australie qui ne comprendront absolument pas ce qu'il se passera dans le monde et qui, vaille que vaille, comme deux somnambules, traverseront l'histoire en dormant, un Québec devenant pays, état et nation, les bédouins de la péninsule arabique retournant à leurs tentes et à leur sable avec la fin annoncée de leur pétrole et une Mecque perdant de ses pèlerins, l'Irak morcelé, démembré, démantelé par ses voisins, la Turquie, Israël, la Russie, l'Iran, l'Egypte et peut-être l'Europe cherchant à assoir leur pouvoir au Proche-Orient, Proche-Orient au centre de tous les enjeux, verrou du monde (?) et que les palestiniens seront considérés, par tous, que comme des empêcheurs de faire de la politique entre soit... ?

    Puis-je écrire que les U.S.A. perdrons bientôt, plus que ruinées, ses avoirs, ses pouvoirs, ses savoirs par la fuite en avant de ses élites politico-économique et le départ de ses intellectuels et savants, que l'Amérique-du-Sud et centrale, tous pays confondus, se voudront César à la place de César, Amérique à la place de l'Amérique et, le Brésil le premier, tenteront de faire à leurs voisins ce qu'eux-mêmes ont subi d'antan, que l'Asie, comme je l'ai déjà raconté, se verra contrainte par l'animosité que ses deux géants que sont l'Inde et la Chine ont l'un contre l'autre... ?

    Puis-je écrire que dans peu nous verrons, en Europe, un étrange et soudain renoncement aux dogmes néolibéraux par ceux-là même qui en étaient les prescripteurs les plus zélés... ?

    Puis-je écrire, enfin, que nous contemplerons dans peu de temps, médusés, ébahis, effrayés, ce qui nous semblera la rapide et brusque désagrégation U.S., désagrégation, en vérité, déjà depuis longtemps en cours, n'était que notre aveuglement de ne pas nous en apercevoir et, à l'instar de ces tragédies grecques toujours présentes à nos esprits, tous les acteurs étaient, depuis des années, en place pour que ce drame se joue... ?

    Chut !

    Écoutez, de ses trois coups, battre le brigadier, le rideau se lève, le publique applaudit, le premier acte va commencer, la scène est là devant nous... !

    C'est maintenant que tout commence!

    MAINTENANT !


    THEURIC

  • Idée n°) 14: Le retour à un tournant historique inachevé: réflexions sur la relation entre l'Europe et l'Afrique (et lég

    Dans mon texte précédent j'analysais les dynamismes en œuvre dans les relations établies entre différents pays ou régions du monde en montrant qu'il était possible, même de façon limitée, de percevoir les évolutions plausible, possibles, voire probables des relations géostratégique entre ces dits pays et régions en y recherchant des similitudes avec des situations passées similaires.

    Auparavant, c'est le processus de rétrogression que j'avais soumis à votre appréciation en y faisant une relative erreur, l'aphorisme; "l'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social" n'y était que peu justifié.

    Je propose, dans ce texte, d'explorer un autre mécanisme historique qui, là, rendra cette maxime pleinement effective, "le retour à un tournant historique inachevé".

    Semblable à la rétrogression, c'est là encore un processus de "retour en arrière" collectif, mais autant la rétrogression sociale mettait en avant des mécanismes internes à un pays, une nation, une société donnée (c'est pourquoi je pense possible, voire probable une scission au moins momentanée des États-Unis-d'Amérique, que cela passe par une nouvelle guerre sécessionniste ou bien de façon plus paisible), autant le retour à un tournant historique inachevé se penche, ici, sur des relations de subordinations ou de conflits préalablement établis entre divers peuples, pays, états et/ou région du monde, relations qui, pour des raisons variées, n'ont pas pu se conduire jusqu'à leur terme, ce qui conduit à une frustration, un inassouvissement inconscient des peuples.

    Un bel exemple passé en est les deux guerres mondiales en Europe.

    L'achèvement du premier conflit mondial, à l'est comme à l'ouest, d'une certaine façon, tourna court: certes, l'Allemagne fut vaincu mais, à l'est, la révolution bolchevik empêcha l'Allemagne/Autriche-Hongrie ou la Russie de se déterminer en tant que vainqueurs ou défaits et à l'ouest, que ce soit sur le front français ou italien, l'Allemagne/Autriche-Hongrie, bien que battues, n'ont jamais eu leur territoire envahi, ce n'est qu'après leur défaite que de manière limité l'Allemagne eut à subir une occupation (située dans la Ruhr, soit un bon tiers ouest de l'Allemagne), comme en effet cette défaite allemande et austro-hongroise ne fut dû qu'à leur épuisement, la frustration ressentie par les vaincus fut intense parce qu'ils ne se sentaient pas réellement vaincus et encore moins vainqueurs.

    Ce tournant historique inachevé aurait pu se régler par d'autres biais, économique par exemple, mais 1929 sonna le glas de cette possibilité et l'avènement d'Hitler en détermina la suite, la guerre qui s'en suivit, la deuxième mondiale, avait en partie pour cause cette frustration plus ou moins inconsciente, surtout de la part de l'Allemagne, d'avoir été vaincu sans en avoir le sentiment véritable de l'avoir été, d'où l'impression d'injustice que ressentaient les allemands de cette période.

    Cette même théorie me fait présagé que les pays qui, jusqu'en 1918, composaient ce qui était alors l'empire Austro-hongrois ne "profitent" de la construction européenne et du risque de son prochain démantèlement pour se réunifier de nouveau, sous une forme, bien sûr, différente, sous l'égide d'un pays germanique, l'Allemagne, en remplacement de l'Autriche, c'est pourquoi je ne serais pas étonné d'une partition entre l'Europe de l'ouest et celle de l'est, partition qui ne serait pas sans rappeler celle de la guerre froide.

    La guerre d'Indochine puis celle menée par les américains au Vietnam est du même ordre, la défaite française fut surtout politique, la bataille de Dien Bien Phu n'était pas en soit une défaite française déterminante et je postule qu'inconsciemment, pour les vietnamiens, obtenir leur indépendance après toutes ces décennies de domination coloniale française après un si (relatif) petit succès généra, également une frustration, tout le monde connait la suite, guerre du Vietnam, envoi massif des troupes américaines, progressives dégradations de la situation de l'Oncle Sam, évacuation de leurs troupes puis, pour finir, victoire du nord Vietnam sur le sud, dès lors achèvement de ce processus historique.

    Venons en au titre de ce texte.

    La décolonisation de l'Afrique Subsaharienne n'est pas survenu grâce à la détermination des africains ou des européens, France, Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, (le Portugal, l'Angola et le Mozambique sont à part puisque ces deux derniers pays se sont libérés après de longues luttes)  (encore une fois je ne porte pas de jugement de valeur, je ne suis pas quelqu'un pour qui la colonisation fut un bienfait, ni un méfait d'ailleurs, c'est le trait de l'histoire d'un empire, ici européen, qui s'est fait sur le dos de plus faibles, cela se rajoutant à un racisme à l'encontre les noirs parce qu'ils représentent, pour les peuples non noirs, le rejet inconscient de leurs pulsions, lié au sentiment de saleté, un complexe d'infériorité dû à ces pulsions auto-destructrices, surmonté par un complexe de supériorité, représenté par l'archétypal sentiment donné par une couleur de peau paraissant originel, celle de la préhistoire la plus ancienne, le racisme est donc la projection, sur un autre différent, de sa propre détestation d'une partie de soi, celle la plus sauvage, l'anti-judaïsme est de même ordre, mais en son inverse en ce sens où le juif représente la modernité, la culture et la pulsion réprimée puisque c'est la culture et la modernité qui réprime la pulsion, quand un noir est cultivé la situation est pire encore puisqu'elle conjugue dans le même temps les processus de rejet du noir et du juif.

    C'est donc, dans tout processus de racisme, la haine de ses propres pulsions qui génère la pulsion de haine projeté sur l'autre mais comme est reconnu dans cet  autre soi-même, le soi-même dans le Noirs et le juifs ainsi que tous ceux qui sont différents, renvoient aussi la crainte de perdre son identité par la peur contradictoire qu'ils représentent d'un retour à des temps archaïques, redevenir sauvage par les pulsions haineuses et destructrice que leur contactes génèrent en raison de ce complexe d'infériorité.

    Mais n'oublions pas, noirs, juifs et autres peuvent aussi être raciste, et oserais-je le dire, ont le droit d'être racistes, parce que considérer les noirs, juifs et autres comme naturellement non racistes c'est déjà du racisme: nous sommes tous fait de la même pâte!

    Quand cette pulsion de haine devient destructrice elle devient obligatoirement et logiquement autodestructrice: tout projet de destruction provient de la fascination qu'exerce sa propre annihilation).

    Pourquoi j'affirme cela au sujet de la décolonisation?

    (hou, comme le sujet est difficile, soyons diplomate sinon je serais traité de raciste, sauf que peu de gens comprennent que le racisme et, parfois, son contraire, l'anti-racisme, peuvent être de même nature, si je hais cette partie de moi mais que mon surmoi me l'interdit, une manière élégante de se tirer de ce mauvais pas c'est de lutter contre le racisme, haïr le raciste permet de haïr cette même partie de moi mais à bon compte.

    Le non-raciste lui, comme ce mot l'indique, n'est pas raciste et est majoritaire chez les anti-racistes, la différence se trouve dans le discourt, de dire quelqu'un raciste parce qu'il décrit le fonctionnement social d'un peuple autre que le sien, comme le fait monsieur Emmanuel Todd au sujet des allemands, est imbécile, affirmer en revanche l'infériorité d'un peuple par rapport au sien ou comparer une femme avec un singe c'est du racisme, ainsi pouvons-nous être un parfait crétin mais cultivé.

    Au sujet des musulmans et aussi des arabes, des turques ou de tout autre gens aux origines divers le problème reste semblable hormis le fait que cette crainte fantasmé en un retour  à des temps passés se base sur des périodes moins anciennes, ce n'est pas le retour à des temps préhistoriques mais moyenâgeux et la détestation que certains musulmans ont pour l'Occident provient de la crainte qui est leur de perdre leur âme dans la modernité.

    Ce discourt dédouane-t-il ceux qui se pense supérieur à ceux qui sont autres qu'eux, racistes, donc?

    En fait, le racisme est la réaction la plus primaire qu'il soit, et c'est la réaction de gens primaire que de rejeter toutes ses fautes et son mal-être sur un autre surtout si il est faible ou donne ce sentiment.

    En revanche, ce n'est pas du racisme de considérer que dans un pays à la situation économique critique comme l'est la France, l'immigration doit être étroitement encadrée et réservée exclusivement aux réfugiés politiques et interdite aux réfugiés économiques.

    Parce que tout le monde sait très bien au plus profond de son inconscient que nous sommes tous égaux de fait, mais un ensemble de contraintes sociétales nous assujettissent, telle que celle qui est d'évaluer le poids hiérarchique de son vis à vis, surtout des inconnus, mais pas seulement, et cet assujettissement fait de tel sorte, parce qu'ils ne sont pas compris, que nous ne pouvons pas faire autrement que de projeter sur l'autre ses propres angoisses.

    Quand au F.N. et à sa présidente, ils sont entrés dans un processus autodestructeur pour les raisons que j'ai évoqué plus haut par des mécanismes que j'ai étudié précédemment.

    Ceci dit, je reviens à notre conversation d'origine.)

    Je disais donc que la décolonisation n'était pas survenue en raison de la détermination des pays d'Afrique Subsaharienne mais grâce à la guerre froide et de l'obligation faite aux européens par les U.S.A. et l'U.R.S.S. de se défaire de leurs colonies.

    Là, la frustration fut dantesque puisque ces pays ne se sont pas libérés en raison de leur puissance (comme le Vietnam) mais  parce que les européens en ont été obligés par plus puissants qu'eux, ces peuples, déjà considérés comme immatures par leurs colonisateurs, furent doublement infantilisés par les américains et les russes puisque ne leur a été reconnu ni leurs capacités de négociateur, ni leurs capacités de combattant.

    L'Europe aussi fut frustrée parce que leurs colonies ne se sont pas battus contre eux ni même n'ont négocié avec eux ce qui pourrait sembler un paradoxe, mais se battre contre des colonisés ou négocier avec eux veut dire se retrouver dans une situation d'égalité dans les relations ainsi établies ce qui permet de calmer, un tant soit peu, les angoisses, même si ces relations furent celles du sang, relations d'égalités qui commencèrent à se forger peu de temps avant cette décolonisation et qui n'aboutirent à rien pour les raisons montrées plus haut.

    Ainsi comprenons-nous mieux autant les conflits perpétuels en Afrique venant d'un déplacement de cette agressivité en auto-agressivité provenant de cette frustration, du retour du racisme en Europe, les roms prenant là la place des noirs, là où il y en a peu, pour les mêmes raisons, en France l'équipe de Sarkozy n'ayant fait qu'appuyer sur le bouton roms/noir.

    Nous comprenons mieux, aussi, c'est là où je voulais en venir, ce retour de l'armée française en Afrique Subsaharienne qui n'en est, je le pense, qu'à ses débuts et nous verrons bientôt d'autres pays européens se joindre à ces troupes.

    Ce retour à un tournant historique inachevé met ainsi le doigt sur les mécanismes en cours en Europe comme en Afrique qui ne purent se mettre en place qu'une fois l'effondrement des soviétiques et celui, bientôt, des États-Unis fut patent, que cela soit conscient ou pas.

    C'est la même théorie qui me fait dire un risque important de conflits en Amérique du Sud si les divers guerres qui ont traversées ce continent au siècle dernier se révèlent, également, d'ordre de l'inachevé en raison des interventions continuelles de leur puissant voisin.

    Nous pouvons dater le début de faiblesse irréversible des U.S.A. en regardant à quelle décennie les premiers pays d'Amérique du Sud ont pris leur destin en main et désigné leurs dirigeant à l'encontre des désidératas des américains, 1983 pour l'Argentine, à mettre en parallèle de l'arrivé au pouvoir de monsieur Mikhail Gorbatchev en Union-Soviétique, 1985.


    THEURIC

  • Nouvelles idées éparses.

    L'évolution de la société des hommes est mue, aujourd'hui, d'une accélération vertigineuse, jusqu'à la psychologie de chacun qui est en proie à des modifications constantes au gré des événements et suivant les variations incessantes de ce champs idéologique néolibéral qu'il me fut loisir de déjà vous entretenir de nombreuses fois.

    Il m'est donc nécessaire de continuellement redéfinir un certain nombre de mes prévisions, la désindustrialisation mondiale comme amorce du prochain effondrement économique est de celles-là, moi qui auparavant pensais que ce serait l'effondrement soudain de tout le système financier qui déterminerait celui-ci.

    Quoi qu'il en soit, ce blogue a pour but, pour l'essentiel, de prévenir des effets désastreux qu'un effondrement économique universel produirait, fait futur qui est, pour moi, d'une certitude absolu, ce qui plongera les pays et les peuples dans les pires des difficultés.

    Maintenant nous arrivons à la phase finale de ce processus et, comme c'est chaque fois le cas lorsqu'une doctrine soutenant une structure socialo-politique est sur le point de disparaître, celle-là tend à entrainer ses acteurs dans l’excès et l'outrance.

    Je vais donc continuer ici ce travail ayant principalement une base intuitive ayant de socle les diverses informations qu'il m'est loisir de glaner çà et là.

    Quoi qu'il en soit, il est d'évidence que je ne peux me prévaloir d'une absolue exactitude, qui le peut, il est même probable que notre situation future soit meilleurs ou pire que ce que je pourrais envisager.

    Comme d'habitude, je vous propose un ensemble de textes disparates sur des thèmes qui, bien que de sujets différents, ont, de point d'appui, l'idée centrale exposée plus haut.

     

    Quand la colère passe:

     

    Il est vrai que dans mon texte précédent j'ai laissé passer quelques irritations et cette colère m'empêcha d'avoir une réflexion posée sur la réalité de notre époque et, surtout, sur l'Union-Européenne et les États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, le fait que, dès Novembre, Décembre l'assemblée grecque, le Vouli, ait ainsi démissionné quand nous-mêmes pouvions déjà savoir, par le matraquage médiatique, que le parti Syriza, qui est, réellement, de centre-gauche, était en tête dans les sondages, pouvait laisser entrapercevoir une manipulation.

    Je suis toujours agacé lorsque je m'aperçois avoir été berné et je le fus, comme nous tous!

    Tout le monde a suivi, jour après jour, les négociations haletantes entre le gouvernement grec et la troïka (quelle drôle d'idée journalistique d'affubler ainsi d'un terme russe l'association du F.M.I, de la B.C.E. et l'U.E. quand cette dernière se fait parfois appeler du sobriquet d'U.E.R.S.S., inconscient, inconscient, quand tu nous tient).

    Chacun connaît, également, comment cela s'est conclu, il n'est pas besoin que j'y revienne.

    D'autant plus que mon propos serait, ici, de m'essayer de découvrir l'écheveau complexe de cette histoire, d'y montrer les soubassements, du-moins tels que je les perçois.

    A y regarder de près, en effet, la défaite en rase campagne de ce gouvernement, du parti Syriza et de Messieurs Tsipras et Varoufakis ne fut en réalité, pour les vainqueurs, qu'une victoire à la Pyrrhus, et, de plus, il est probable que ce ne fut qu'une ultime tentative pour contrôler des peuples européens les abhorrant de plus en plus en une manœuvre ayant pour but, au premier regard, de discréditer toute tentative, pour un gouvernement, de sortir de la zone euro.

    Au vu de la glorieuse équipe de bras cassés gouvernant l'U.E. et la majorité des pays la composant, en contemplant les actions passées et présentes d'un Monsieur junker, ô combien représentatif des élites de notre époque, nous pouvons, avec raison, ne pas nous étonner que ce plan, si magistralement exécuté par tous les acteurs européens et du Fond Monétaire International, aura à terme des effets dévastateurs sur notre union.

    Ont-ils envisagés tous les effets que peuvent causer leurs tripatouillages?

    Tout simplement pas.

    Les partis politiques européens et leurs électeurs, comme le Front de Gauche, doutant déjà réellement de la validité des décisions économiques et politiques dictées par l'Eurogroupe, l'Allemagne et l'administration européenne, mais voulant tout de même rester dans la zone euro et dans l'Union-Européenne pour en amender le caractère néolibéral, ne peuvent plus, désormais, que se radicaliser en voulant définitivement rompre avec l'européenne union et sa monnaie.

    Se rendant compte des conséquences désastreuses de la lutte à mort qu'avait entrepris l'Eurogroupe et la troïka contre l'exécutif grec et sa population, ils ne peuvent plus désormais que parvenir à la conclusion que le blocage idéologique, institutionnel et politique de l'Union-Européenne la rend irréformable.

    Ne reste plus, dès lors, qu'un seul choix, celui d'en sortir.

    Les populations ne peuvent pas être en reste et, d'une manière ou d'une autre, elles ont compris, de par l'exemple grec, quel piège infernal représente l'euro et l'Union-Européenne.

    Pour tous ceux qui nous gouverne, ce qu'il vient de se passer chez les Hellènes les sépare encore plus d'électeurs déjà sur la défensive, leur victoire ne fut qu'une défaite.

     

    Petits détour géostratégiques:

     

     Pendant que les U.S.A. se désagrège jour après jour un peu plus, que l'Allemagne se suicide de ses vieux en emportant avec elle l'Union-Européenne, la France, elle, s'avance tout doucement au Moyen-Orient et partout ailleurs.

    C'est vrai, ce n'est pas la panacée, il n'y a pas, dans ces petits pas, de flamboyance ni de distinction, tout est discrétions, calmes et pondérations.

    Une base française se trouve au Qatar, pourquoi ne pas signer des accords seulement économique avec l'Iran, les américains le font bien, et puis, où se trouve donc notre premier intérêt, dans la péninsule arabique ou dans ce verrou centrale qu'est l'ancienne perse?.

    Et qui a demandé aux égyptiens et aux indiens de commander des avions rafales, les étasuniens ou les russes?

    Ah, les Mistrals, pour qui sont-ils les plus utiles, pour la Russie ou pour la France?

     

    Pour qui jette un œil sur notre monde ne peut que contempler l'affaiblissement continu de l'empire U.S.

    -son dollar se dilue à vue d'avoir trop été édités, en même temps que les pays du monde de désolidarisent de sa monnaie;

    -son président, après avoir bredouillé une supplique aux européens de ne pas trop fragiliser la Grèce, accourt à leurs appels pour la contraindre de suivre leurs mortelles servitudes;

    -la Turquie, centre névralgique de l'O.T.A.N. n'en fait plus qu'à sa tête;

    -Israël, allié de toujours, comprend la faiblesse tragique de son mentor et commence, doucement, à changer sa vision des choses, elle ne peut plus se permettre que des juifs extrémistes la mettent en danger;

    - la Californie se désertifie d'avoir trop pompé ses nappes phréatiques, ses fleuves et ses lacs, ses pluies s'éloignent et ses forêts flambent d'arbres ne trouvant plus leurs eaux en profondeur;

    - partout, les puits de pétrole et de gaz schisteux s'assèchent, comme s'assèchent les banques qui ont trop prêté aux mêmes, mais aussi aux étudiants, aux villes, aux états, pour des achats immobilier et pour tant d'autres choses encore.

     

    La Russie, mais ne le dites à personne, se trouve en position dominante dans le monde et l'est européen lorgne sur ce géant et lui  jurerait bien allégeance si Dame Merkel ne le vrillait pas d'un regard sourcilleux.

    Les russes désireraient-ils pas que disparaisse cette Union-Européenne délirante et dangereuse?

     

    L'Angleterre, pauvre Angleterre qui tente désespérément de se réindustrialiser, devenue efflanquée d'avoir voulu trop bien suivre les délires thatchériens, encore aujourd'hui, si les bourses meurt elle vivra sa famine...

     

    L'Europe du Sud attend son leadeur, scrute la France et attend...

     

    La Chine et l'Inde commencent à se dévisager, ce n'est pas encore la mésentente cordiale, cela viendra à son heure, l'empire U.S., enfin, ce qu'il en reste, devenu l'ennemi commun, bouge toujours en faisant craindre le pire, rien de mieux que de partager un ennemi pour avoir un moment de paix.

     

    Au Proche-Orient, chacun attend que l'empire U.S. expire pour faire parler la poudre, entre temps, les vieilles rivalités se réveillent, entre sunnites et chiites, turques et séoudiens, turque et iraniens, iraniens et séoudiens (et Israël commence à serrer des fesses), les kurdes, quand à eux, patientent le bon moment pour enfin avoir une terre à eux, et les petits pays, Qatar, Koweit et autres, pendant ce temps, tremblent, quand aux fondamentalistes religieux, ils seront balayés par ces tourmentes.

     

    Le centre des événements futurs se trouvera en Égypte, détentrice du canal de Suez, c'est là que se portera tout le poids des desseins et enjeux géostratégiques, entre l'Afrique, l'Asie et l'Europe, l'Atlantique et le Pacifique, ce pays sera bientôt la clef et le verrou ultime des puissances.

    Le canal de Panama, pas encore agrandi, est bordé par l'archipel des Antilles, bientôt la chasse gardée des sud-européens et des russes, à Cuba, sans compter le brésil, l'une des puissances montantes.

     

    Voyage au bout de l'univers:

     

    Je ne rêve pas de parcourir les mondes lointains tant au-delà de notre soleil mais sais que seul ces voyages au long-cours offriront à Homo Sapiens Sapiens l'immensité dont il a besoin pour s'épanouir (j'aimerais toutefois visiter la banlieue de Saturne et ses anneaux).

    Il est vrai qu'un bon nombre de nos congénères restera sur notre si belle planète mais tant d'autres partiront.

    Il se dit que la vitesse de la lumière ne peut se dépasser, il y a deux siècles était affirmé la même chose des cent kilomètre/heure, puis il en fut de même pour la vitesse du son, et puis, tant de mystères demeurent, comme peuvent l'être l'énergie sombre et la matière noire.

    Que nous manque-t-il?

    En vrai, pas grand chose, quelques découvertes fondamentales en science physique, de solides avancées technologiques, une volonté politique inébranlable, un coût moindre pour se délivrer de l'attraction terrestre, les fusées, en effet, sont trop chères et sont parvenus au maximum de leur puissance depuis déjà soixante ans, et puis, quelques zigotos pour faire les premiers pas.

    Ensuite, l'intendance suivra...

     

    La faillite universelle:

     

     

    Encore une fois je vais me pencher sur son évolution possible.

    La désindustrialisation a un petit peu infléchit sa courbe, les graphiques de l'I.N.S.E.E. s'étant développés jusqu'en Juin montrerait un renchérissement des prix des matières premières dès Avril.

    Le plus amusant c'est que des usines chinoises ferment chez elles et s'installent dans les Amériques, les paies, dans leur pays, y étant plus importantes que celles des étasuniens.

    C'est loin l'Amérique? Tais-toi et rames!

    Mais il est vrai que la Chine voit ses bulles spéculatives imploser, son gouvernement finira bien par calmer l'affolement, pour l'instant.

    Ce n'est juste qu'une répétition, nous avons encore quelques semaines à quelques mois devant nous, et si nous avions encore une année à attendre.

    C'est qu'il faudrait bien que l'U.E.€ et ses folies disparaissent au plus tôt, ils nous mettent dans la mouise, tous ces hurluberlus d'eurolâtres.

    Alors, ce qui est encore fabriqué dans le monde est-il et sera-t-il vendu ou restera-t-il dans les entrepôts?

    Vas savoir avec le peu d'information à notre disposition.

    J'ai l'impression que ce début de délitement marque un temps d'arrêt, mais il reprendra, quand il l'aura décidé, personne ne connait son tempo.

    Ensuite, quand les choses sérieuses commenceront, comme je l'ai déjà écrit, le signe en sera le vide grandissant de nos grands magasins, non pas de la nourriture mais plutôt des vêtements et de l'électroménager.

    Puis la Chine jouera aux bulles de savon s'échappant au gré du vent puis disparaissant d'un plop, ce qui sera accompagné d'un bel affolement là-bas.

    Après la Chine, les U.S.A., et dès que ce pays sera touché ça ira très vite.

    Le dollar s'effondrant, peut-être bien que l'euro montera jusqu'à des hauteurs jamais atteintes, ce qui sera faux, l'euro ne montera pas, seul le dollar s'effondrera, accompagné par le yen.

    De-ci, de-là, les informations nous conteront comment un trader fit perdre une fortune à une banqu

  • De la suite dans les idées.

    Avant-propos:

     

    Je vais faire un petit travail de flemmard en copiant/collant quelques textes que j'ai pu laissé en commentaire sur le site de Monsieur Lordon ( -La-pompe-a-phynance- ) dont les thèmes centraux tournent autour de la plus que crise mondiale qui se développe, des derniers événements grecs et de deux partis politiques, l'U.P.R. de Monsieur Asselineau et le P.G. de Monsieur Mélenchon en faisant également un bref détour autour de la nation et de la patrie.

     

     

    De la nation et de la patrie

     

    En fait, nous nous retrouvons en but avec divers pièges historiques et celui dû à la notion de nation est de première importance.

    Déjà, je fais la part entre nation et patrie la notion de patrie me semble également importante, cela parce que, me semble-t-il, patrie et nation semblent se confondre.

    Mon intuition ne me trompais pas, les origines de ces deux mots sont différents bien que tous deux soient latines :

    - Nation : du latin "natio", dérivé de ("nasci", naître), "ensemble d’individus nés en même temps ou dans le même lieu, nation", ( 1789 dep. la Révolution : « personne juridique constituée par l’ensemble des individus composant l’État... ), (définition emprunté là : [ http://www.cnrtl.fr/etymologie/nation ], étant entendu que les définitions que j’en copie ici comme en-dessous sont moindre que celles proposées sur le site du C.N.R.T.L., lié au C.N.R.S. ;

    - Patrie : du latin classique "patria",« pays natal, sol natal », ( 1770 la patrie de « le pays, le lieu où l’on rencontre par excellence certaines choses, certaines personnes, etc. » (Buffon, Hist. nat. des oiseaux, t.1, p.438). ), ( 1516 « nation, communauté politique à laquelle on appartient ou à laquelle on a le sentiment d’appartenir » ), ( http://www.cnrtl.fr/etymologie/patrie ), idem.

    Comme nous pouvons le voir, nation et patrie renvoient au peuple pour le premier, au sol pour le second, bien que pour ce dernier cela ait été, durant l’histoire, moins flagrant.

    Il est tout de même un fait que les latinistes, nombreux aux XVIII° et XIX° siècles, faisaient, étymologiquement, une net distinction entre le premier et le second mot.

    Alors, je pose la question, qu’est-ce qui est le plus dangereux, la notion de nation ou de patrie, le peuple ou le sol, nasci ou patria (autrement dit la terre du "pater", du père [ça c’est une traduction de mon propre chef, mais tellement tentante]) ?

    N'est-il  pas dit que le nationalisme c'est la guerre?

    De ce fait, je me demande si, par hasard, cette notion de nation ne fut pas instrumentalisée, même inconsciemment, quand, dans le même temps, celle de patrie est elle totalement étouffée, pourtant la relations entre la nation et la patrie se devraient d’être philosophiquement approfondis, non ?

    Je pourrais rechercher, pour cette double mise sous le boisseau, de quelconques origines manipulatrices, mais je n’y crois guère.

    Je pencherais plutôt vers un processus naturel de la nécessité inconsciente d’écarter, sous une forme et une autre, ces deux importantes notions pour pouvoir mettre en place le rêve d’une Europe à l’américaine, ceci sensible à la lecture du sigle de l’euro comparé à celui du dollar : ( € ) : ( $ ), où nous pouvons remarquer le trait supplémentaire barrant la lettre symbole de ces deux monnaies, barre se retrouvant dans le "y" du yen ( ¥ ) et, plus amusant encore, dans le "L" de la livre sterling ( £ ).

    Ainsi, je pose ces deux notions symboliques que sont la nation, plutôt républicaine et dès lors d’une gauche à l’ancienne, et celle de patrie, plutôt bonapartiste, d’une droite renouvelée comme étant de nature universelle.

    Je conjecture également que le rejet de ceux-ci est dû à ces deux illusions que sont cette monnaie bringuebalante, j’ai-nommé l’euro, et une Union-Européenne mourante bien que toujours toute puissante, chapeautés par un empire U.S. se désintégrant et une Allemagne vieillisante.

    Mais allons plus loin dans la recherche de ces pièges historiques qui, aujourd’hui encore et de plus en plus, nous empêche d’avancer.

    Ainsi, si nous observons bien la large époque ayant accouchée de la révolution française puis des V républiques (en tant que démocrate j’en appelle à une VI° permettant aux assemblées délibératives, au peuple et aux populations un plus large droit de décision, soit de devenir une réelle et adulte démocratie) et en cela en nous aidant des écrits de Monsieur Todd, pour qui la démocratie émerge, plus ou moins violemment, lorsqu’une proportion non négligeable de la population est alphabétisée.

    Prenant en considération de ce qui me parais être un fait, je me suis demandé si, en fin de compte, la révolution française ne fut pas, en réalité, une double révolution, celle des deux tiers du peuple, celle du grand bassin parisien et du sud-est (toujours Emmanuel Todd) et, dans le même temps, celle du pouvoir d’argent de l’époque, soit la bourgeoisie.

    D’une certaine façon, celle de Robespierre se confrontant à celle de Danton, et ce serait cela qui fit que cette révolution mangeât ses enfants, puisque celle-ci fut, en réalité, en confrontation duale.

    Que la bourgeoisie d’il y a deux siècle ait historiquement repris et instrumentalisé les conceptions de nation puis celle de patrie n’est plus, dès lors, à m’émouvoir, qu'elles soient rejetées aujourd'hui non plus.

    C'est pourquoi je peux affirmer que le nationalisme et le patriotisme ne sont pas la guerre mais qu'ils peuvent être facilement outils de propagandes et de manipulations

    Mais, plus avant, partant de ce principe de dualité, nous pourrions nous demander si, dans le fatras idéologique qui émergeait au XIX° siècle, deux mouvements distincts ne pourraient pas être distingués, ceux intrinsèquement liés à la révolution ainsi que les réflexions qui y sont liés, d’où, entre autre, sont sorti le socialisme libertaire qui donna l’anarchisme, et aussi un républicanisme vrai et un bonapartisme affaiblit d’avoir porté Napoléon III.

    Mais, tout autant, tout un ensemble de mouvements se sont également développés accompagnant la monté en puissance irrésistible de la bourgeoisie, soit en pour, soit en contre, en une pensée tournée vers la prépondérance de l’économie sur toute autre considération, même politique, qui se sont cristallisés dès le début du XX° siècle par les divers partis politiques qui ont agité ce siècle, soit, aujourd’hui, tous les partis, hormis, de ceux les plus connus, l’U.P.R. et, dans une dynamique de refondation, le P.G..

    Tous les autres disparaîtrons à leur rythme dès que le système s’effondrera sous le poids de ses infinis paradoxes.

    Ces partis politiques "officiels", du P.C. au F.N., en passant par Lutte-Ouvrière, le P.S., l’U.D.I. et l’U.M.P..., se sont tous historiquement construit autour des mêmes présupposés, ne posant pour seule légitimité que celle économique, en positif ou en négatif, sous une forme, le libéralisme, ou une autre, le communisme, ainsi que toutes leurs variantes, dorénavant, qui ne représentent plus qu’un même amalgame, complexe bien que plus semblable que différent, puisque ce qui les sous-tendait, soit une survalorisation d’une pensée centrée sur l’économie, n’est plus représenté que par le seul néolibéralisme.

    Vous faisant remarquer que celui-ci ne pose aucun problème à une Chine qui, en vrai, reste communiste, puisque le communisme et le néolibéralisme sont de même essence, mais qu’en revanche, nombre de pays d’Amérique-du-Sud ainsi que la Russie, eux, ayant fait le tour de l’ensemble de ces idéologies économistes, ont tendance à s’éloigner de ce formalisme dogmatique.

    Il est aussi à noter l’unité de discours officiel qu’il est possible de surprendre entre celui, passé, de l’U.R.S.S. et celui, présent, de l’U.E., unité dont le sens devient évident si nous considérons que cette unité de discours entend, en réalité, une unité dogmatique historique représentant les deux faces d’une même médaille.

     

    De la pensée sur l'Union-Européenne:

     

    En cet heure d’obscurantisme béa où tout se confond avec tout, où le progrès n’a d’horizon que le porte-feuille boursier et la raison celle du plus fort et du plus riche, où art se conjugue avec vulgarité et sottise avec intelligence, désirer comprendre la réalité dans sa complexité c’est être considérer comme un fou, un ennemi de l’état ou, au mieux, comme un doux rêveur.

    La réalité est que nombre de gens qui, jusqu’à présent, étaient juste réservés au sujet de l’euro et de l’économie mondiale, ne voyaient pas les États-Unis-d’Amérique et l’Allemagne comme deux réels soucis pour les équilibres mondiaux, ne concevaient pas la situation économique internationale comme étant calamiteuse, aujourd’hui se radicalisent à tel point qu’ils font passer Monsieur Mélenchon pour un gentil social-démocrate à peine réformiste.

    La vérité, en cela est simple: sont considérés comme extrémistes, droite ou gauche, ceux affirmant vouloir que leur pays se débarrasse de l’U.E., l'€. et l'O.T.A.N. et sont jugés à tord radicaux ceux voulant réformer l’Union-Européenne (il est de ces paris stupides...).

    Syriza radical de gauche est l’une des plus belle ânerie qui fut proférée par une majorité de journaliste qui, à longueur de temps, en déblatèrent pourtant de joliment sévères.

    Leur suffisance n’a d’égale que de leurs insuffisances.

    Or, quand un pays se trouve à lentement se détruire au sein d’un système, ici une union, d’un tel triple blocage, institutionnel, idéologique et politique, cela ne peut que conduire un état sérieux, à un personnel politique raisonnable au pouvoir qu’à deux solutions et deux seulement :

    - Soit quitter le-dit système ;

    - Soit attendre qu’il s’effondre et de s’y préparer, discrètement si cela s’avère nécessaire.

    De plus, maintenant la question n’est pas de savoir si l’Union-Européenne peut s’effondrer mais quand il le sera.

    Il faut savoir que jamais cette union n’aurait pu se construire sans sa domination totale des U.S.A., elle est sa chose, sa créature, comme le Front-National est celle de Jean-Marie Le Pen.

    La disparition, voire simplement le fort affaiblissement, de ce pays ne pouvant que signer l’inéluctable fin de cette supercherie qu’est l’U.E.€..

    Or, les dernier événement grecs ont montré, pour ceux qui y ont porté un œil un tant soit peu attentif, que cette défaite du gouvernement hellénique fut, surtout, plus encore,  celle terrible de celui des étasuniens.

    Encore faut-il se souvenir de la Supplique de Monsieur Obama envers la Troïka de ne pas plus ruiner la Grèce, de la laisser respirer.

    Lui qui fut contraint, ensuite, d’appuyer la même pour convaincre Monsieur Tsipras d’accepter sa reddition sans condition.

    Là il est loisir de comprendre que le gouvernement U.S. avait perdu la face, l’avant-dernière petite chose qu’il conservait encore de son pouvoir passé.

    Sa monnaie et son armée n’ayant désormais plus la puissance sur laquelle il pouvait auparavant compter.

    Ne lui reste plus que Wall Street, la rue du mur, au-delà de laquelle, il y a longtemps, se vendait les esclaves.

    Plus vraiment de respectabilité, d’armée, de monnaie, d’industrie, lorsque sa bourse flanchera, s’en sera fini des U.S.A. et l’Union-Européenne ainsi que l’O.T.A.N. suivront.

    Accompagnés d’une économie mondiale montrant déjà des signes de déliquescence avancée.

    Alors, à ce moment là, quels seront les réactions de nos responsables économico-politiques ?

    Il faut, là encore, bien comprendre que, contrairement à l’ancien bloc de l’est où il devenait commun de ne plus croire au paradis futur du socialisme, la croyance américanolâtre, capitalinolâtre, eurolâtre et uniolâtre reste aujourd’hui encore puissante en Europe, hormis chez les petites gens et la basse classe-moyenne, ceux qui souffrent le plus des délires ordo et néolibéraux (bien qu'une évolution en ce sens puisse commencer à fortement se sentir dans l'intermédiaire à haute classe-moyenne).

    En France, ne sachant pas de ce qu’il en est des autres pays, les classes-moyennes intermédiaires et hautes fantasment toujours, pour une bonne partie, d’un Éden à venir grâce au capitalisme libéral et d'une paix éternelle sous le joug bienveillant d'une sage Union-Européenne, ou pour le moins d’une U.E. réformable et, dès lors, réformée en sociale-démocratie pour un lendemain incertain et indéfini (autre pari stupide), quel qu’en soit le prix.

  • La basse-court et autres (dé)notes...

    Il y a tant d'américanolâtrie en France et en Union-Européenne que si les américains avaient une plume dans le cul, beaucoup de français et d'européens s'y planteraient un plumeau.

    Çà ferait une belle une basse-court.

    Cot, cot, cot, où se trouve les renards?

     

    Les chinois et les allemands devraient se méfier, chaque fois que notre pays se découvre un modèle, celui-ci trouve le moyen d'être ruiné ou proche de l'être.

    Les exemples sont nombreux, la Hollande, l'Angleterre, l'Irlande, l'Islande, le Japon, les États-Unis-d'Amérique, la Corée-du-Sud (tiens, celui-là tient le coup)... etc...

    C'est bizarre tout de même que nos gourous de l'économie aient ce génie de repérer les nations les plus fragiles et, surtout, de nous les servir en exemple.

    (Je viens d'apprendre qu'il y a eu une sorte de coup d'état des partis de gouvernement en Suède, ce pays qui était, parait-il, un parangon de vertu démocratique.

    Encore un modèle de perdu, zut alors!)

     

    Beaucoup de nos sportifs sont noirs, est-ce parce qu'ils sont bons en sport ou pour que la France ressemble aux États-Unis?

     

    La police française porte une casquette à la place du képi, qu'elle est laide!

    Que ne ferait-on pas pour devenir le cinquante-et-unième état des États-Unis-d'Amérique?

     

    Notre gouvernement n'a que deux solutions:

    -soit obéir aux désidératas de la ploutocratie internationale, étasunienne et allemande:

    -soit lui désobéir et dire adieu à l'Union-Européenne et à l'économie néolibérale mondialisée.

    Mais en ce cas, malheur par qui le scandale arrive!

    La Grèce nous a précédé en n'ayant même pas le temps de détruire l'U.E., les U.S.A. s'en chargent très bien aujourd'hui et il n'y aura pas que ces deux unions qui seront ruinés, mais elles disparaitront.

     

    Il est imbécile de vouloir manipuler un peuple dans l'affolement et la précipitation, quels qu'en soit les raisons, cela génère souvent des effets contraires.

    La patience et la subtilité, en ces choses et en d'autres, sont de bonnes politiques.

    Laissons le temps au temps!

     

    Les États-Unis-d'Amérique haïssent l'Europe, et plus les pays ont fourni d'immigrants, plus ils sont haïs.

    En France, jusqu'à que nous soyons ruinés par la doxa de la concurrence libre et non faussée, il y faisait bon vivre, à quoi bon s'installer ailleurs où les pâturages sont moins vert?

     

    Le traité de Verdun en 843 partagea l'empire Franc en trois parties:

    -La Francie Occidentale qui deviendra la France;

    -La Lotharingie qui deviendra la Lorraine;

    -La Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire-Romain-Germanique puis l'Allemagne.

    Depuis, le fantasme inconscient fut de recréer cet ancien Empire Franc.

    Cela ne nous rajeunit pas, non?

     

    Ah, l'Empire Romain, tellement rêvé que les U.S.A. surent en prendre le modèle, à tout point de vu.

    L'Europe y joue le rôle de la Grèce antique et les pays d'Amérique -du-Sud, celui de la Gaule.

    Mais eux n'ont pas de Pape pour remplacer l'empereur, ou leur président en tant qu'empereur électif.

    Mais ils surent, en revanche, les éliminer, de leurs présidents les plus gênants, tout comme le firent les romains.

    Mais où se trouve Byzance?

     

    Si nous suivons l'idée de ce qui est écrit dans la Bible, tous les pays et les villes où se sont bâties des tours de Babel seraient un jour anéanties.

    Aujourd'hui nous appelons cela des grattes-ciel.

    Hi, hi, hi, hi, hi, ça chatouille...

     

    Les journalistes télévisuels aiment et adorent les représentants du Front-National.

    Chacun a les amours qu'il peut.

     

    Notre cher Monsieur Juncker, président de l'Union-Européenne est d'un humour irrésistible et n'a pu s'empêcher de laisser cette petite phrase à la postérité:

    "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens."

    Est-ce une honnêteté foncière, de la vantardise, de l'inconséquence ou de l'inconscience?

    Certes, il faut choisir les plus inconsistants pour ce poste, mais là, c'est de la gourmandise.

     

    J'aime la règle de trois, enfant je l'avais apprise dans toute sa complexité, j'en ai depuis oublié beaucoup.

    Elle est, entre-autre, utile pour calculer les pourcentages.

    Ceux liés à la sécurité routière sont ainsi intéressants, surtout celui concernant le nombre de morts dû aux accidents de la route.

    Pour faire ce calcul, c'est très simple, on prend le nombre de mort à une année donnée, ici en 2014, il y en a eu environ 3478.

    Environ parce que un mort sur la route se comptabilise après un mois d'attente, le nombre exacte se saura fin Janvier 2015 (tiens, c'est vrai, nous y sommes).

    Ce nombre de 3478, allez, disons 3 480, il sera tout rond comme ça, donc, de ce 3480, nous le divisons par le nombre d'habitant dans notre beau pays, soit 66 317 994, arrondissons, là encore, à 66 318 000, une naissance de plus ou de moins, personne n'y verra que du feu.

    Cela donne: 3 480 / 66 318 000 = 0,0000525.

    Puis il n'y a plus qu'à multiplier le résultat par 100.

    Ce qui donne: 0,0000525 x 100 = 0,00525 % de morts sur l'ensemble de la population française.

    C'est tout bête, non?

    Faisons le même calcul pour savoir ce que représente, allez, disons 15 % de mort de plus sur la route sur une année, en partant de ce nombre de 3480.

    Et nous entendrions moult cris et pleurs dans nos médiats, nous les verrions même trépigner de résignation dépités de notre manque de sens civique à tous, snif, j'en ai déjà la larme à l’œil.

    Là, le calcul est encore plus ballot à faire, il suffit de multiplier 3480 par 15, puis de le diviser par 100.

    Alors, 3480 x 15 = 52 200 / 100 = 522 morts de plus en France.

    Si nous additionnons le nombre de mort en 2014, 3480 et notre présupposé augmentation, 522:

    3480 + 522 = 4002 morts présupposés, à comparer au nombre d'habitant, soit 66 318 000, plus les cacahouètes dues aux naissances de 2015 (j'aime bien les cacahouète à l'apéro).

    Bon, certes, ça fait peut-être beaucoup, mais en proportion, tout de même pas grand chose, et alors, si nous l'évaluons au nombre de mort moyen par journée lors de la guerre 14/18 ou celle de 39/45, là, franchement, ça fait ridicule.

    C'est quand même beau les mathématiques, non?

    3480 morts pour une population de 66 318 000, presque autant de chance que de gagner au loto.

    Eh, eh, là on inverse le calcul: 66 318 000 / 3480 = 19 056, 8966, cela fait que chacun d'entre nous avait eu une chance sur 19 057 d'avoir eu un accident en 2014.

    Au tirage comme au grattage, croisons des doigts pour que cela ne nous arrive pas.

    C'est vrai, quoi, c'est pas pour ça qu'il faut rouler comme des crétins, nous pourrions nous retrouver face à face!

     

    Nous vivons une époque formidable.

    Seule l'effondrement des bourses sonnera le glas de l'économie mondiale mais tout est fait pour en retarder l'échéance.

    Pendant ce temps là l'économie réelle se désagrège mollement dans tous les pays, il faut être sot pour ne regarder que ce qu'il se passe en France, partout ailleurs c'est la même chose, en Asie, dans les Amériques, en Afrique, en Océanie, seul le continent Antarctique n'est pas concerné, la glace, ça jette un froid et refroidit les ardeurs...

    Jusqu'à présent cette désintégration lente renforçait chaque fois Wall Street.

    Mais bon, cela durera qu'un temps.

    En fait, tout ça pourrait être comparé à une maison qui se désagrègerait déjà toute seule et serait prête à s'écrouler.

    Des travaux y sont effectués, mais à chaque fois cela ne fait qu'en affaiblir les murs.

    Sur le toit plus que poreux (Wall Street et les autres bourses) y sont rajouté tous les gravas, des tonnes et des tonnes de gravas, provenant de ces travaux.

    Alors nous, qui sommes dedans, nous entendons la maison qui grince sans nous affoler, en croyant que ce sont des oiseaux qui chantent.

    Nous voyons bien que des morceaux de plafond et de mur, parfois très gros, tombent de temps en temps et de plus en plus souvent, et nous nous disons que, décidément, il faut continuer à les faire, ces travaux.

    Et plus des fragments de mur et de plafond dégringolent, plus nous nous efforçons, hardiment, de faire ces travaux qui ne font qu'affaiblir encore et encore cette maison.

    Tout en retirant les étais qui soutenaient le peu qui résistait encore à cette destruction...

    Et les autres couillons qui croient que c'est en montant sur le toit de cette bicoque qu'ils éviterons son effondrement, et en plus, ils dansent dessus.

    J'ai l'impression qu'ils tomberont de haut...

    "Eh, les amis, mettez vos casques, ou mieux, allons dans la cave!"

     

    Il est des expressions que j'aime bien.

    Faire des plans sur la comète, par exemple.

    J'imagine le gugusse avec son mètre et sa craie, tout encaparaçonné de son scaphandre, en train de tracer des lignes sur son petit bout de roche.

    A quelque chose près, je ressens la même chose quand j'entends tel spécialiste, ou mieux, tel homme politique nous expliquant, doctement, comme quoi les décisions économiques donneront des résultats d'ici 2016 ou 2018, ou même, seront prisent à cette date.

    Laissons à chacun sa comète, non?

  • D'une accélération l'autre.

    Bien, je reviens sur le sujet qui nous occupe ici depuis quelque temps déjà, soit la ruine de l'économie-monde et de ses suites.

    Bon an, mal an, bien que j’aie pensé en avoir fait le tour en essayant d'étudier le plus possible d'éléments pouvant rendre compréhensible la situation présente et celle de notre proche futur, une incroyable accélération de l'histoire nous montre une transformation radicale des enjeux stratégiques et politiques en France comme à l'échelle internationale.

    Je vais toutefois revenir sur certains thèmes anciens en y considérant les diverses informations qu'ils me furent possible de découvrir.

    Mais il y a aussi, c'est vrai, nombre de points que je n'avais pas ou peu soulevé, il en est ainsi de la possibilité qu'il se fasse usage de cocaïne au sein de certaines instances dirigeantes, mais ce sujet restant relativement hypothétique, je n'en ferais pas plus de cas, bien que cela puisse expliquer nombre d'interventions abracadabrantesques et décisions délirantes, restons prudent.

    Quand à ce qu'il en est, aujourd'hui, de la situation économique, celle-ci devient plus que critique et il n'est que d'aller voir sur ce site: (eod.aspx?s=DJIAx&t=lc3) pour percevoir que cette folie monétaire et boursière, de par sa délirante boursoufflure, n'en a plus pour très longtemps (je vous conseillerais de regarder ce graphique sur les vingt dernières années).

    (Demain je vais aller faire quelques courses pour compléter mes réserves, je vous encourage de faire de même.)

     

    Ce ne sont pas seulement les seules bourses qui montrent cette tendance d'une accélération vers la ruine universelle, la baisse du prix des carburants est également un signe évident du rapide ralentissement des échanges mondiaux.

    Baisse se passant en même temps qu'un grave conflit au Proche-Orient gelant pour un temps une partie de ce que peuvent produire des puits d'extraction en Irak et en Syrie, ainsi que ces tensions absurdes de l'Union-Européenne d'avec la Russie ralentissant les échanges commerciaux de ces deux blocs en raison de la guerre civile ukrainienne (#comment-208666).

    Cela pour montrer qu'il est impossible que cet amoindrissement du prix du baril puisse provenir d'une surproduction volontaire de pétrole.

    En fait, il ne pouvait y avoir que quatre possibilités en expliquant les causes:

    -Soit l’effondrement de l’économie mondiale réelle créant un ralentissement généralisé d'utilisation de combustibles;

    -Soit une décision internationale, ne provenant pas seulement des B.R.I.C.s, de ruiner définitivement les U.S.A. pour faire cesser les agissements agressifs de ce dernier;

    -Soit une conjugaison plus ou moins complexe des deux précédentes propositions;

    -Soit une tactique américaine qui visait, à l’origine, à affaiblir la Russie et qui se retournerait maintenant contre ce pays et ses alliés.

    C’est la première proposition qui m’est la plus crédible essentiellement en raison de sa simplicité argumentaire, les autres renvoyant à des complexités qui, bien qu’élégantes, ne se montrent que difficilement en phase avec ce que nous savons de la ploutocratie mondialisée, quand bien même le pouvoir politique étasunien en tient une partie sous son contrôle, puisque ce même pouvoir politique est lui-même manipulé par sa ploutocratie nationale.

    D'autant plus que pour la Russie, la seule attente lui suffit pour faire plier les U.S.A. étant donné que le chef de son gouvernement, Monsieur Poutine, profite de la crise ukrainienne pour se débarrasser de ses dollars en échange de l’allègement de sa dette et de l’achat d’or pour ses réserves d’état, dollars allant toujours plus s'accumuler dans les circuits monétaires, boursiers et spéculatifs internationaux, les polluant d'autant.

    Et en l'absence de Monsieur Poutine, je ne pense pas que les autres gouvernements auraient osé se mettre à dos la Maison-Blanche, même celui de la chine.

     

    L'une des façons de constater la situation économique réelle de notre pays reste d'observer l'évolution du prix de l'immobilier qui a baissé de -1,2% avec des taux de crédit qui se retrouvent à 2,5% ce jour, taux dérisoires qui, il n'y a peu, auraient fait s'envoler ce "marché":prix-immobiliers-dans-le-monde.shtml ), ( les-taux-des-credits-immobiliers-tombent-a-2-50-en-octobre-credit-logement-csa_1618505.html ).

    Mais c'est au centre des capitales, pas seulement occidentales, que se trouve le marqueur le plus sensible de cette banqueroute généralisée, là où le prix de l'immobilier est au plus haut, à Londres, Paris, Tokyo..., une baisse importante en signerait le début de faillite de nos grands argentiers.

    Il en sera le plus perceptible des signes: ce sera quand des fortunés seront proche de la banqueroute qu'ils vendront leurs biens les mieux cotés pour essayer de rembourser des crédits sans règlement possible pour cause de faillite, flambés dans des jeux spéculatifs inconsidérés, ou récupèreront ces quelques liquidités pour fuir leur pays, leur justice, la vindicte populaire et, parfois, les maffias, afin de passer d'agréables moments loin des péripéties que causera cette ruine universelle et des grands désagréments qu'ils risqueraient d'y rencontrer ( fiction-4-se-livrer.html ).

    C'est là que nous trouverons les meilleurs preuves qu'il serait temps pour nous de nous préparer au pire.

     

    D’autres biens de fortes valeurs sont également à surveiller comme peuvent l'être les bijoux, les œuvres d'art (en augmentation à la vente comme à l'achat, les petits objets étant facilement négociables), les voitures de standing ou les yachts..., ce qui fera réellement signe sera la baisse des prix de ces dernières.

    Leur mévente, surtout, signera cette déroute, pas seulement en France, cela se passera partout dans le monde, dans les grands comme dans les petits pays.

     

    Bien entendu, la monté du prix de l'or, de l'argent et du platine en sera, là encore, un signe avant-coureur, étant entendu que nous avons assisté à une manipulation bancaire à la baisse du cours de ces métaux, résultat de manœuvres provenant surtout des États-Unis-d'Amérique et de Grande-Bretagne,Des_Videos_Remarquables.php?NumVideo=7280#NAVIGATION  [ici est visible la plus grande liberté de parole médiatique allemande que française]).

    De plus, il ne serait pas étonnant que le tout début de cette banqueroute puisse voir l'euro monter à des hauteurs faramineuses en raison d'une baisse extrême de la valeur du dollar et du report des spéculateurs vers cette première monnaie, puis, progressivement, voire rapidement, le billet européen baisserait jusqu'à ne plus valoir grand chose en suivant, dans cette chute, les bourses de l'U.E..

    C'est dans ce même temps qu'un immense affolement prendra corps au sein des élites économiques et politiques mondiaux et rares seront ceux qui sauront garder la tête froide.

    Ce sera cet affolement qui génèrera les plus grands dangers, les plus grandes catastrophes en raison des décisions absurdes que cela leur fera prendre, surtout, cela rendra difficile, voire impossible l'évaluation des divers monnaies mondiales, autant en raison de la disparition des acteurs qui, jusqu'à présent, s'en chargent par leur spéculations, que du fait des nombreuses inexactitudes et tromperies que les chefs de gouvernement et directeurs de banque centrale servent à ravir à ces spéculateurs, ce qui les aideraient, le pensent-ils, à conduire leurs politiques économiques respectives insensées.

    Inexactitudes et tromperies qui ne bernent que de la multitude de naïfs, abondant dans la finance.

    C'est là que se situe la folie de ces grands argentiers: cette naïveté doublée du sentiment de leur toute puissance!

     

    N'y aurait-il pas, par ailleurs, des plans sensément machiavéliques qui, en ce moment, se fomenteraient contre tel ou tel chef d'état regimbant contre cette toute puissance et, peut-être, y en a-t-il se tramant contre la France et le pouvoir en place, surtout contre notre président de la République.

    Mais en réalité rien ne se produira, ces plans échoueront parce que le compte à rebours de la ruine universelle est déjà lancé (voir le graphique boursier plus haut).

    En effet, combien les gouvernants politiques et économiques de l'Union-Européenne et américains serait heureux que le Front-National prenne les commandes du pays, ceci est visible par le nombre d'invitations que reçoit ses représentants dans les médiats, pas seulement ceux du privé, par la reconnaissance de ce parti par ceux dit de gouvernement, quand bien même quelques crocs-en-jambe lui serait tendus, ne faisant que donner l'illusion que celui-ci lutterait bien contre le système.

    Quand les partis politiques vraiment dangereux pour ces deux pouvoirs en place sont ceux n'ayant aucune audience médiatique, c'est en cela que nous pouvons saisir quels sont ceux voulant réellement combattre l'U.E. (Debout la France et l'Union Populaire Républicaine, le parti de Gauche, quand à lui, bien qu'encore focalisé sur l'Union-Européenne dans sa volonté de la réformer, se rendra bientôt compte de cette impossibilité, ou disparaîtra).

    C'est pourquoi il ne serait pas surprenant que, bientôt, le F.N. retournât à son fond de commerce originel d'une minuscule minorité élective, en une droite extrême, lorsque les événements tels que je les ai décrit surviendrons: à ce moment là les masques tomberont.

    Si il ne se retrouve pas, avant, absorbé par une U.M.P. avide de pouvoir.

     

    Il faut comprendre que plus le temps passe, plus, à l'échelle nationale, européenne et occidentale, nous avons affaire, pour ce qui est de notre gouvernance potentielle ou effective, politique et économique, à des personnalités totalement déconnectée de toute réalité, hormis Monsieur Hollande, ceci étant visible par le nombre de désagréments que lui font tomber dessus ceux qui se devraient d'être ses alliés, de l'Union-Européenne aux chefs d'entreprises du C.A.C. 40 et du M.E.D.E.F., jusqu'à Madame Trierweiler de laquelle je me pose encore la question de savoir si elle n'est seulement qu'une pauvre femme humiliée...

    Ainsi, en France, il ne se passe pas un journal d'information sans que, d'une façon ou d'une autre, ne soit critiqué (parfois avec raison), l'équipe au pouvoir en en donnant, pour unique responsable, que monsieur Hollande, ce ne peut être que pour des raisons d'une recherche de déstabilisation politique, si ce n'est, aussi, pour que nos élites politico-économiques franco-européennes ne se dédouanent de leurs propres égarement, manquements et décisions absurdes.

    Le plus amusant dans tout cela c'est qu'ils puissent penser que Monsieur Hollande ne les voit pas venir de loin, de très loin, même, lui qui, pendant des décennies, a vécu, au sein du Parti Socialiste, tous les coups bas, les chausses-trappes et les pièges de toutes sortes, lui qui en fut même le dirigeant.

    En vrai, si il fut choisi pour devenir Président de la République (oui, la manipulation politique est parvenue à cette maturité) c'est bien parce qu'il était considéré comme étant d'une grande pusillanimité quand, aujourd'hui, sa réelle personnalité commence à être comprise.

    A se demander, encore et toujours, quel rôle à pu jouer, en cela, sa dernière compagne, Madame Trierweiler.

    Ainsi, lorsqu'elle fut "répudiée", avant qu'elle ne publia ce livre de méchante femme il y a si peu de temps, souvenez-vous de ces pressions économiques bizarres que nous avons dû affronter, si peu de temps après leur séparation, de la baisse de la note de notre pays, comme si notre Président de la République et notre nation avaient tous deux été puni de s'être séparer de cette drôle et intrigante conseillère.

    Maintenant ces gens d'importance, du-moins est-ce ainsi qu'ils se définissent, quels qu'ils puissent être, comprennent leur bévue, Monsieur Hollande n'est pas plus ce personnage timoré qu'ils purent croire mais est d'une personnalité dont la maturité s'étant construit tout au long de la vie et non pas, comme nombre de nos contemporains, achevée dès la sortie de l'adolescence, sait dorénavant aller au-delà de sa pusillanimité.<

  • Des idées au gré des flots.

    Ce billet, publié le 11 Janvier 2020 à 15 h 36, nécessite un rajout au lendemain, le 12 Janvier au sujet des syndicats en une couleur similaire à celle-ci, rajout que vous retrouverez dans la partie traitant de ce sujet.   )

     

    Chers lecteurs, bonne année,

    J'avais annoncé, il y a de cela déjà quelques temps, que je ferais un texte tous les trois jours environ quand se révèle à moi qu'un tel délais m'est impossible.

    De ce fait, vous devriez plutôt vous attendre à ce que j'en publie un tous les cinq à sept jours, bien que, suivant mon inspiration, il soit possible que ce délais s'écourte.

     

    Nous vivons une période autant dangereuse que passionnante et il est intéressant de faire un tour rapide sur ce qu'il se passe en ce moment.

    Par exemple, qui, de nos élus des chambres délibératives, a compris qu'en fait l'administration de l'Union-européenne est composé, objectivement, de personnalités pusillanimes qui, si elles ne se cachaient pas comme les derniers desP1020478.JPG capons derrière les états et les élus des pays composant l'union, n'oseraient même pas décider du millième de ce qu'ils exhortent aux états de faire?

    Qui, parmi ceux desdits gouvernements a saisi que les seuls à payer les pots cassés dus aux GOPE ce sont eux et ceux des partis politiques officiels ainsi que leurs composants d'un reste d'adhérent devenant élus parce qu'il n'y a plus qu'eux, et, de plus, il n'est que de craindre qu'un jour la population, incommensurablement exaspérée, n'en vienne, en France, à vouloir forcer la porte d'autres sièges que de celui du REM ou de Black Rock.

    Que de cacher ainsi l'origine véritable de nos ennuis, soit de nos liens indéfectible d'avec l'union qui, avec l'OTAN, dirigent désormais tout chez-nous, en France, pourrait fort bien, au vu de la colère populaire qui ne s'en vient qu'à croître, les mettre en grand danger de toutes sortes.

    Ce n'est pas ce que je souhaite, loin de là, mais il est facile de considérer possible que, dès lors que les français seront en connaissance de la véritable puissance nuisible de l'UE, de son origine, de son idéologie, de son cynisme et qui la dirige réellement, cette colère populaire se portera, en premier lieu, à l'encontre de ceux de nos élus nationaux qui leur obéissent et se taisent.

    D'ailleurs certains l'ont bien entendu qui se replient, depuis des années, voire des P1030668.JPGdécennies, sur les communes et les départements.

    Cette impossibilité de pouvoir concevoir un risque futur dû aux actions présentes ayant été le thème de mon billet précédent.

    Certes, il est logique de penser que s'ils ne le font pas, c'est précisément parce que celui de ceux-là qui, devant les caméras de la télévision, en révélerait la réalité pourrait bien subir autant le rejet de son parti que de se retrouver isolé au sein de l'Assemblée Nationale ou du sénat, d'en subir les foudres.

    Cette censure majeur signant, à mon sens, une ère d'un court moyen-âge fanatique que d'autres aussi comprennent, ce texte de Jacqueshenry et le commentaire qui en suivit d'un certain claude Brasseur le démontre.

    Ce dernier fait allusion à la dernière marotte débilitante à la mode en ce moment: la Terre serait plate.

    De ce niveau d'intransigeance et d'ignorance, nous ne pouvons plus parler de fanatisme mais de porter notre réflexion bien au-delà, dessus une folie des hommes multifactorielle contemporaine, ce que je m'était tenté, entre-autre, de définir en Juillet de l'année dernière ici.

    Il est vrai que ce n'est pas notre planète qui est plate mais bien leur cerveau.P1030020.JPG

    Cela pourrait vous surprendre, amis lecteurs, que je puisse faire un parallèle entre le silence de nos élus au sujet de l'UE et cette aliénation conceptuelle d'une présupposée Terre plate, qui, cela est visible sur le site vers lequel je vous renvoie, est elle aussi mise en corrélation avec cette histoire loufoque de réchauffement climatique anthropogénique censément catastrophique.

    Je pourrais tout autant y rajouter ce fumeux préjugé dit théorie du genre qui ferait l'imaginaire que ce serait la société qui déterminerait la sexualisation des personnes, et non pas la simple et pure biologie.

    Je vous renvoie là-dessus à cette vidéo de Tatiana Ventôse démontrant, surtout à mes yeux, que ce ne sont pas seulement nos élus des chambres délibératives et une part du peuple français qui souffrent d'une telle dérisoire démence, l'Espagne et sûrement d'autres peuples ainsi que de gouvernements et d'assemblées en souffrent tout autant.

    Oui, là se trouve la folie de nos élites, au même endroit de celle qui agite une partie, petite heureusement, de la population.

    Quand sa grande part n'est elle que plongé dans ce brouillard conceptuel dont je vous avais déjà fait écho précédemment.

     

    P1030038.JPGS'il y a, à mes yeux, un sujet géopolitique important, ce ne sont pas tant les événements se passant entre les USA, l'Iran et l'Irak qui, quand bien même un général iranien central dans la politique du moyen-Orient fut assassiné par Tonton Sam, ce qui ne peut qu'être considéré que comme un acte de guerre, une agression caractérisé contre un état souverain.

    Bien que cela soit gravissime et générera ses effets dans le futur, le fait majeur serait plutôt que dorénavant, les syriens comme les irakiens se révèlent être grandement patriotes, démocrates, avide de l'état de droit, au-delà de la confession religieuse de chacun.

    Du reste, de l'erreur de jugement d'une ou des deux parties impliquées, d'une provocation probable des faucons US à l'endroit de l'Iran, profitant des faiblesses d'un vieil homme, Donald Trump, ou d'une cabale ou d'un accord tacite que j'avais imaginé d'un: "Tu me tue Qassem Soleimani qui me gène, je t’éradique de tes mercenaires que tu m'envoie!", cette affaire se calmera, vous remarquerez que les iranien parle de 80 morts US lors de leur attaque aux missile quand le gouvernement étasunien, lui, affirme qu'il y en a eu aucun.

    Toujours est-il que cette affaire à assagit les rues iraniennes et irakiennes qui demandaient un changement de gouvernement, accalmie qui ne peut qu'arranger les leur respectif.

    Et que, le président US contraint et forcé d'envoyer des troupes au Moyen-Orient, se trouve donc en position de faiblesse lors des prochaines élections étasuniennes, lui qui avait promis, lors de la campagne électorale précédente, de toutes les rapatrier.

    Si d'ailleurs l'empire US ne réplique pas et ne s'engage pas dans un conflit contre lesP1020956.JPG perses après leur attaque contre deux bases c'est que, tout simplement il n'a plus aucun moyen de commencer une guerre de moyenne ampleur.

    C'est pourquoi ce fut plus qu'une faute, une gravissime erreur US, un abus de bêtise.

    Toujours est-il que cela ne peut que montrer les faiblesses grandissantes de l'empire US, ce qui ne peut que mettre les euro-béats en une panique ne pouvant que s’accroître, ce qui les poussera à accélérer encore plus leur politique néolibérale et de tenter de désintégrer les états-nations composant l'Union-Européenne.

    Voire même en ce que certains décompense gravement en montrant des signes de crise psychotiques, ou d'un usage immodéré de psychotropes.

    (Information de dernière minute: l'Iran reconnait sa responsabilité dans le crash de l’avion d’Ukrainian Airlines, ce qui éloigne définitivement tout risque de guerre avec les USA, tout en fragilisant ce pays de l'intérieur, mais aussi de sa position en Irak.)

     

    Il est possible que la grève de transports contre la réforme réactionnaire des retraites se révèle être un échec, que, faute d'argent, les agents de la RATP et de la SNCF reprennent le travail, ce ne serait, en ce cas, autant pour le REM des radioéléments, pour macron et son gouvernement, pour l'administration unioniste comme pour l'oligarchie ploutocratique euro-atlantiste qu'une victoire à la Pyrrhus.

    En effet, autant économiquement que politiquement cette grève à, pour beaucoup, contribué à affaiblir la ploutocratie française et le pouvoir en place,  rendant même l'Union-Européenne et ladite ploutocratie étasuniennes perceptible, voire manifeste, ceci tout en accroissant la colère populaire, ce qui peut mener à un début de P1030056.JPGsabotage des infrastructures ferroviaire, notamment.

    Mais il est de fait aussi, en percevant l'épuisement économique des cheminots, de ceux travaillant dans les dépôts de carburant et des conducteurs de bus et de métro, que d'autres fonctions sociales entrent dans la lutte, tel que les avocats dont la cessation de travailler ne peut qu'être que des plus visibles, sans toutefois que l'on ne nous soit fait mention dans les médiats d'autres professions moins apparents mais tous autant nécessaires pour le bon fonctionnement de la société.

    De surcroît et dans le même temps, ce même gouvernement vient de décider de suivre toujours les mêmes sommations recommandations expresses de l'UE, c'est à dire de remettre en cause le statut des fonctionnaires, ceci au moment même, je viens de l'apprendre dans l'instant, où les employés des banques se mettent en grève eux aussi.

    La question à se poser dès lors: serait-il possible que le pays ne soit en situation de blocage progressif, serions-nous en plein en une situation insurrectionnelle?

    Comme j'avais pu l'écrire précédemment, le macronisme, quoi qu'il fasse, se retrouverait au-devant d'une double contrainte difficilement surmontable: soit il cède, recule et retire ses projets de loi, auquel cas il se fera taper sur les doigts par l'union et par ses employeurs oligarchiques, soit il persiste ce qui détruira économiquement l'Union-européenne, sachant que la France est la deuxième économie de l'union.

    Il faut bien comprendre que, dorénavant, les français n'ont plus rien à perdre et je P1030218.JPG ne pense pas que les syndicats réussiront à faire rentrer le gréviste dans sa boite maintenant qu'il en est sorti.

    Vous remarquerez que nombre de postes importants de l'union est, dorénavant, occupé par des femmes, si, comme je le conçois, l'intelligence est asexuée, alors son manque ne peut que l'être tout autant.

     

    Une chose, peut-être la plus importante de toutes.

    Pour beaucoup de gens, ce qu'il se passe en ce moment est angoissant, la raison en étant que les événements actuels ne semblent pas avoir de sens.

    Pourquoi aujourd'hui se met-il en place autant de projets de loi néfaste pour la population sans aucune raison valide?

    Un réchauffement catastrophique se développerait-il, serions-nous en face d'un effondrement économique international, pourquoi les journalistes  des médiats officiels montrent-ils une telle morgue, un tel mépris, une telle haine envers le peuple?

    Certes des fonds vautours tournent autour du pays en attendant de se déchirer les lambeaux de richesse que la casse du système français apportera.

    Mais pourquoi donc le président de la République, son gouvernement et son parti P1030065.JPGpolitique, le REM, la classe politique officielle, bien que FI gigote un peu, RN faisant le mort, soit assassine le pays, soit ne montrent pas un acharnement quelconque pour le prémunir, pour le protéger?

  • D'un bateau ivre en forte tempête.

    Connaîtriez-vous l'indice Baltic Dry?

    Sûrement n'avez-vous jamais été présenté, ce qui est dommage, cet indice détermine la bonne ou mauvaise santé du transport de fret maritime des matières sèches.

    Or, celui-ci a baissé de 70% en cinq mois, ce qui, ma foi, doit représenter un grave ralentissement du commerce mondial.

    Et pendant ce temps, pendant que l'économie-monde s'enrhume et éternue, notre gouvernement, celui d'un pays, la France, qui, quand bien même ne serait plus le quatrième en terme de puissance économique, n'en reste du-moins, se dit-il, le sept ou huitième, ce gouvernement, dis-je, effectue provocations sur provocation.

    Ceci à l'heur où deux ministres sont pris en flagrant délit de mensonge, honneur aux dames, Mme Pénicaud au sujet du SMIC et Mr. Blanquer (qui devrait avoir honte d'être à ce poste) sur celui des aides sociales, mensonges qui deviennent habituelP1030124.JPG dans le monde de la macronie.

    A ceci rajoutons cette toquade macronniaiseuse,  dernière marotte, dernière extravagance, provenant du sieur Castaner, ministre de l'intérieur de son état, consistant en ce que 96% de communes ne verront pas les résultats politiques être officialisés lors des prochaines élections municipales, ce qui représente, d'après ce reportage de la 2, plus de la moitié des votants.

    Cette décision n'a qu'un but: faire croire à ceux, devenant rares, qui votent pour les radioéléments du REM qu'il y a encore une relative représentativité de son parti.

    Mais cela ne peut que nous prouver que leur nombre se trouve infiniment plus amoindrit que ce qu'il peut s'en dire officiellement et que, dès lors, ils sont aux abois.

     

    Le nihilisme du gouvernement et, cela va de soi, du président de la République, est constitutif de leur appréciation du monde, souvenez-vous que je vous avais parlé de la projection continuelle de certaines personnalités, se déchargeant sur d'autres personnes de leurs propres déficiences, ce que j'avais étudié entre-autre ici et .

    Il est encore toutefois des gens qui les soutiennent, ce qui est un phénomène P1030226.JPGhistoriquement normal, il est remarquable que dans cette vidéo ce soit une femme de la génération de Mai 68 ou proche de celle-ci qui nous fait montre ainsi une telle puérilité narcissique.

    Jouissance de l'instant, empathie grandement réduite, même pour ses descendants, si elle en a, esprit collectif évanescent, sensibilité pour les souffrances des autres inexistante ou presque, impossibilité de se projeter dans le temps puisqu'elle n'envisage pas que de nouvelle décisions gouvernementales ne viennent à l'appauvrir elle aussi.

    Vous trouverez les explications de Mr. Delamarche montrant que ceux qui ont de l'épargne, comme il doit en être pour elle, en pensant en jouir, se feront raser gratis si les banques se retrouvent insolvable, il lui sera bien temps à ce moment là pour s'en morfondre.

    De fait, les économies des petits et moyens épargnants sont, de beaucoup, nécessaires pour le fonctionnement de l'économie que ceux qui, d'une fortune imposante, sont dans la plus absolue incapacité de dépenser leur argent, même pour ce qui concerne leurs arrières petits enfants.

    Sauf à ce qu'ils ne se retrouve possiblement ruinés un jour.

    Encore une fois, ces incorrigible idéologues unionistes néolibéraux ne peuvent pas comprendre qu'en voulant sauver un euro déjà en lui-même ruineux à cause des TARGET 2, si, lors de la prochaine crise qui est déjà là, ou de l'effondrement  présent (si c'est cette crise qui vient, ledit effondrement pourrait bien survenir 4 ansP1030510.JPG après), de confisquer ainsi les épargnes des français, de ceux  qui en ont, ne pourra que détruire encore plus l'économie réelle, soit celle des usines, fabriques, mines et exploitation agricole.

    Sans compter que, pour le coup, ce sera l'ensemble de la population, sauf les oligarques, qu'ils auront contre eux.

    Qu'elle se demande donc si la BCE y serait pour quelque chose, elle qui doit tant adoré son veau d'or, l'Union-Européenne.

    En fait, je la plains de n'avoir des capacités mentales que si réduites.

     

    Il est aisé de considérer que, désormais, les chancelleries de l'Union-Européennes chancellent (hi, hi, hi) et que tous les autres de ces gouvernements doivent s’effrayer de voir ce qu'il se passe aux quatre coins de l'hexagone (ha, ha, ha), autant de crainte que cela ne fasse tâche d'huile et que leur population se révolte de même, aussi que cela ne conduise notre nation à son France-quitte, précédé par le renversement du gouvernement présent (peut-on encore parler de pouvoir à son sujet?).

    Voire même à ce que les instabilités politique de notre patrie ne génèrent une cessation de fonctionnement de l'économie internationale, ce qui, quoi qu'il en soit, ne peut qu'arriver à un moment ou à un autre.

    Je ne sais pas qui est ce Le Hill dont Sputnik résuma un article sous le titre de: " Les P1030163.JPGUSA et l'UE s'éloigneront dans les années 2020... ", ce qui est logique et sensible par certains discours et articles parus.

    C'est pourquoi l'Allemagne se tourne vers la Russie en envoyant notre godelureau national, Mr. Macron, rendre visite à Mr. Poutine, le seul état qui, aux yeux de Mme. Merkel, serait dans la capacité de remplacer les USA comme pays dominant l'UE hors de l'Europe.

    Certes, cette dame vivait en RDA ou DDR, République-Démocratique-d'Allemagne ou Deutsche Demokratische Republik, d'ailleurs je me demande toujours quel y fut son rôle, mais bon, croit-elle vraiment, elle et son équipe, que les russes vont, après les difficultés et le coût dispendieux que représentèrent pour eux le contrôle du pacte de Varsovie, se mettre sur le dos une  Union-européenne aux portes de l'explosion?

     

    Mais revenons-en, voulez-vous, à la France.

    Il est des événements qui pourraient sembler marginaux, insignifiants, mais qui se révéleraient très bien, plus tard, d'une importance capitale pour la situation avenir.

    Ainsi, je continue de considérer que la gay pride que le couple Macron organisa P1030257.JPGle 21 juin 2018 amorçait dès-alors son rejet populaire, même s'il fallut pour cela un an et demi six mois pour que cela devienne effectif, l'hiver de la même année.

    Si j'ai choisi un site qui fait mention en titre le mot de décadence c'est que, quand bien même nombre de gens en ignoraient l'existence, le dédain conscient ou inconscient que cela avait suscité ne pouvait que se répandre progressivement dans l'ensemble de la société.

    Ils avaient sali l’Élysée, la République.

    C'est, à mon sens, ce phénomène naturellement lent qui conduisit à l'explosion que représente le mouvement des gilettistes dès Décembre 2018, mouvement qui aurait eu lieu quoi qu'il en soit, mais qui n'aurait pas eu, je le suppute (bonjours madame), un tel retentissement tant dans sa vitesse de diffusion et d'action que du nombre de ses participants.

    Il s'agit donc là d'un effet politique majeur mais retardé et il me semble que l'affaire du théâtre des bouffes du Nord ou le couple princier Macron y assistait à une représentation théâtrale le 17 Janvier puisse être de la même enseigne.

    Ses effets ne se feront pas montre au sein du peuple mais bien plutôt au-dedans du pouvoir exécutif en s'épandant plus ou moins doucement dans l'ensemble du dispositif gouvernemental puis parlementaire, le tout de ses effets, évidemment nombreux, différents et contradictoires parfois, dépendant du choc que ressentirent l'un et l'autre de ce duo à ce moment là.

    P1030559.JPGCeci d'autant plus que nous pouvons facilement percevoir un mécanisme extrême de fuite-en-avant de tous ceux-là, me démontrant que d'un affolement croissant, ils en sont parvenus à une panique autodestructrice où, à des mesures impopulaires, de nouvelles y sont rajoutées mettant en feu l'ensemble de la société.

    Cette affaire ne peut qu'avoir des effets généraux importants à terme parce que ce fut au couple présidentiel que cela advint, Mme. Macron, sûrement montrant une réelle impassibilité quand elle et son mari furent exfiltré de ce lieu de spectacle, ne peut qu'en avoir été gravement affectée inconsciemment, puis d'en devenir d'autant plus tyrannique envers son époux en privé, bien qu'elle restera charmante avec tous.

    Mais lui ne pourra pas agir autrement que de faire rejaillir cette agressivité sur tout le monde, ayant trop peur de sa femme.

    Cela peut aussi conduire à ce que de nouvelles mesures et autres projets de lois liberticides et appauvrissants soient surajoutés à ceux déjà en place, en un début de processus de leur décompensation psychique menant à un souhait de vengeance.

    Dorénavant, certes les chancelleries européennes suivent les événements français avec autant d'attention que de crainte, mais il est aussi logique de penser que, désormais, ce soit également à l'échelle internationale que cette surveillanceP1030519.JPG s'effectue et, ce, avec la question subsidiaire: "Cela risquerait-il de s'exporter chez moi?".

    La police, devenue désormais le dernier rempart du gouvernement face à la population, est en réalité très malade et le travail qu'il faudra effectuer pour la soigner sera dantesque.

    Or une police fragilisée ne pourra pas remplir ne serait-ce que cette mission de protection, là encore la macronie ne comprend pas qu'elle se met, elle aussi, en danger, dans son incapacité de pouvoir extrapoler les effets de ses décisions.

     

    De ces décisions du REM, justement, et de celles des deux législatures précédentes en obéissance au GOPE de l'UE, il était facile de deviner que les premiers incidents adviennent, puis que, dès que les infrastructures des services publics en réseaux deviendront réellement défectueux, que des accidents graves se produisent, bien que, déjà, le mauvais entretien des lacis gazeux ait entraîné quelques belles explosions faisant des morts.

    Quand bien même en soient accusés la mairie de Paris et je ne sais quel spécialiste, boucs émissaires nécessaires pour occulter, éviter que l'on ne fasse mention des P1030166.JPGoligarques et des conséquences de

  • Verre d'eau, pensée, inconscient et identification.

    Choses promises, choses dues, comme il se disait d'antan: je me présente à vous avec mon verre d'eau.

    "A quoi se rapporte-t-il?" Me demanderiez-vous.

    De montrer les limites de toutes choses dans un sens comme dans l'autre.

    Prenez un verre d'eau et, ayant soif portez-le à vos lèvres, vous pouvez boire en toute quiétude la quantité qui vous agrée.

    Maintenant prenez la même quantité d'eau et versez la au sol, je dirais qu'ensuite il vous sera, ainsi, devenu infiniment plus ardu d'étancher une même soif.

    La psyché est comme l'eau, elle a besoin d'un contenant pour que notre esprit puisse se bâtir, d'une structure qui, comme le verre  nous permettant de boire de l'eau, fait que l'intelligence se construise en toute grâce.

    Ce contenant à deux noms complémentaires:P1030589.JPG

    -l'éducation qui conduit, normalement, à offrir les premières bases à l'enfant puis à l'adolescent devenu d'une vie sociale la mieux adaptée possible, par les jalons qui lui sont posés de ce qui est correcte et incorrecte de faire;

    -l'instruction qui se devrait de permettre à ces jeunes de développer leurs capacités physique, intellectuelles et morales pour qu'ils deviennent des homme et des femmes instruits, autonomes et indépendants ainsi que des citoyens de raison, c'est à dire  aptes à comprendre le monde, d'y agir au mieux et à faire des choix.

    Mais aussi de ce qu'ils puissent faire œuvre d'invention et d'innovation en sachant s'écarter suffisamment des interdits du surmoi mis en place par l'éducation, ceci tout en en ayant conscience.

    Le tout en un juste milieu constructif.

    Or si, après un certain âge, le conscient est affaibli en raison de la dégradation ou la non mise en place de cet ensemble, c'est l'inconscient, avec toutes ses complexes composantes, qui  prendra, si je puis dire, les commandes décisionnelles de la personne, sans que le filtre, il est vrai imprécis, de la pensée consciente ne puisse venir à en ordonnancer les décisions et actions.

    P1030608.JPGAvec, lié, une difficulté, au pire absolue, d'extrapoler les conséquences futures des-dites décisions et actions.

    Mais ce verre c'est aussi la frontière qui nous permet de porter de l'eau à notre bouche, le-dit verre étant la représentation de la limite entre le dedans et le dehors, de ce contenant que l'on peut remplir à loisir et vider selon nos besoins.

    S'il est scellé l'eau ne pourra pas tarir notre pépie, si elle est vidé par terre notre boisson ne servira non plus à rien, nous ne pourront plus que de laper ce que nous pouvons, comme un chien pourrait le faire.

    Il en est de même d'un pays et de ses frontières trop refermées, celui-ci conserve son peuple en l'état  en en ralentissant grandement son évolution naturelle, ce qui était le cas dans les pays de l'est à l'époque, si elles sont ouvertes en béance, comme il en est aujourd'hui, les forces vives de la nation se répandent comme le jus de fruit sur le parquet, ne nous restant plus que des  gouttelettes que nous lécherions à  quatre pattes, si nous nous laissions aller à nous rabaisser ainsi qu'un animal.

    Ainsi la France a-t-elle vu se répandre partout dans le monde ce qui faisait d'antan son économie, les  usines et fabriques, et disparaître une à une ses mines et ses terre agricole redevenues forêts, disparaissant de chez-nous comme de l'eau s’épandant sur le sable (saviez-vous qu'il y a encore 3 décennies environ notre pays était encore le producteur quasi exclusif des terres rares?)

    Ceci aggravé par une éducation et une instruction limitées générant, en France notamment, un ensauvagement de la population, ceci touchant toutes les strates de P1030674.JPGla société.

    Phénomène pour l'instant bien moins important en province.

    ( Je l'ai dit, si nos gouvernants actuels, politiques et économiques, continuent de vouloir l'accroitre qu'ils ne soient pas surpris de se retrouver un jour la tête au bout d'une pique. )

    Réduire la pensée en abêtissant l'école et la langue et dès lors le langage de la population, d'autant plus des moins âgés, réduit d'autant la pensée, c'est pourquoi nombre de jeunes n'arrivent même plus à exprimer une idée un tant soit peu complexe, comme l'explique très bien Madame Nogaret dans cette vidéo.

    Comme j'ai pu l'exprimer en Décembre 2017 dans un billet au titre de: "De la nature de la pensée", il y a un lien logique entre le niveau d'intelligence, la vigueur de la conscience et de la pensée, la capacité de se projeter dans le temps en concevant les effets futurs des décisions et actions de chacun, mais aussi de la puissance de notre raison et d'un surmoi harmonieux et bien proportionné pouvant se façonner au fil de la vie.

    Cela se  constitue grâce à une éducation, dont la première provient de la mère, suivit de celle du père, et d'une instruction, donc d'une école bien faite.

    Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui et dont la cause première se trouve dans les P1030502.JPGhautes instances du pays ayant perdu la part la plus importante et essentielle de leurs facultés, ceci par identification à l'empire US, il n'est qu'à voir ce qu'est Mr. Macron, qui l'a choisi et qui a voté pour lui (j'y reviendrai à la fin de ce libelle).

    Ceux qui, par leur famille, reçurent une éducation convenable peuvent palier à leurs manques d'instruction le temps passant, mais ceux qui, pour une cause quelconque, n'en reçurent pas une telle bien édifiée, ceci lié à cette instruction défectueuse (je ne jette pas la pierre aux instituteurs et aux professeurs qui font ce qu'ils peuvent avec ce qui leur est institué comme formation), se retrouvent à ne plus avoir une pensée solide et efficiente et à ce que leurs pulsions ne soient que peu, voire pas soumises par le surmoi.

    De n'avoir pas été structurée correctement, leur intelligence s'est répandue au sol et n'est, de ce fait, pas en capacité de mettre en place une pensée féconde, ne restant plus que cet ensauvagement mortifère.

    Mais en quoi l'identification multidécennal à l'empire d'une partie importante de la haute hiérarchie  sociale aurait-il mené à cette insane situation?

    Parce que la plupart de la haute hiérarchie française a de tout temps considéré, à tort ou à raison, que les étasuniens sont des imbéciles et que son identification, en tant que colonisé, a fait que, pour pouvoir ressembler aux étasuniens, il lui fallaitP1030571.JPG elle-même atteindre un niveau de  sottise égale, voire supérieur, à son maître.

    Ceci accentué, bien entendu, par le déversement sans limite d'un art provenant de la sphère impériale en décadence progressive ( j'adore le jazz, surtout celui des années 40 à 70), art qui du-moins, de lui-seul, se disant comme tel, dont l'abêtissement  est devenu égal à l'abrutissement, et à une idéologie nombriliste et infantilisante tendant autant à l'égoïsme qu'à la méchante veulerie.

    Ainsi que de leur perte d'identité provenant de leur indétermination d'Être telle que je l'ai étudié par trois fois, en cet endroit, puis ici et , montrant que les français, surtout en ce plus haut hiérarchique, ne savent plus qui ils sont, s'ils sont français, allemands, étasuniens, unionistes européens, savent-ils même s'ils sont humains, s'ils sont quelque chose ou rien?

    Cette insigne faiblesse mentale constitutive de notre domination impériale outre-atlantique, se répandant dans la population de haut en bas, ne pouvant que faire remonter les archétypes les plus anciens, dont celui du mythe de destruction du monde suivit de son rétablissement qui a de nom moderne de réchauffement climatique anthropogénique.

    P1030598.JPGMais pour que cette élite mentalement décatie, l'oligarchie, puisse entrainer à sa suite l'ensemble du peuple, encore faut-il que les instituteurs et professeurs soient en tous points pervertis par cette perte de nos potentiels réflexifs, d'où cette baisse continuelle de la-leur formation au professorat, et pour cela ne leur reste plus qu'à choisir les plus sots et obéissants de nos prochains élus pour qu'ils formulassent les lois éducatives ad oc.

    Or, pour que cela se fasse il leur fallait contrôler les médiats et chasser les journalistes les plus intelligents et indépendants d'esprit, écoutez donc le langage de ceux officiants, ainsi que de la majorité du personnel politique du REM, il est affligeant en tous points.

    C'est ainsi que les lois élaborées depuis des décennies par nos gouvernements soient proviennent de l'UE, ce qui ne leur nécessite aucune réflexion, hormis de faire passer la pilule amer à la population tout en lui en cachant l'origine, soient sont sujette à des effets pervers qu'ils sont dans l'impossibilité de conceptualiser, l'incendie de Rouen de la société Lubrizol serait, se dit-il, de ce cas là.

    C'est pourquoi deux journalistes météos remettant en question ce fameux réchauffement furent virés de France-télévision et rembauchés par des chaînes privées, à la conditions sine qua non qu'ils taisent leurs compréhensibles doutes sur ce sujet.P1030652.JPG

    Pour ces médiocres, savoir réfléchir c'est déjà leur être ennemi.

    En fait, ce que nous observons depuis de mêmes décennies, c'est que nos-dites élites, pour pouvoir être dominés par les oligarques des États-Unis-d'Amérique qu'ils considéraient comme étant autant le summum de la modernité que comme les plus vils des crétins d'une grande avarice.

    Et parce qu'elles perdait leur détermination d'Être, se devaient de devenir à l'image de leurs maîtres tels qu'ils les concevaient, soit des imbéciles et des crétins se pâmant pour ce qui pourrait ressembler à du modernisme, d'où leur amour immodéré pour la langue anglo-américaine qu'ils balbutient et de leur même avarice.

    Dans leur fantasme, il veulent être américains et que la France devienne le 51ème état des USA.

    Mais ils ne pouvaient concevoir que le peuple qu'elles dominent puisse les surpasser, elles n'ont donc eu que de cesse que de vouloir baisser le  niveau scolaire des enfants, cela en engageant, comme futurs élus et cadres des institutions du pays, que des gens sous leur domination et, donc, à leur image.

    P1030534.JPGAujourd'hui nous en sommes là et il est à craindre que la disparition des USA, de l'UE et la faillite économique généralisée ne les conduise à en être gravement perturbés, pouvant aller, pour certains, à de graves crises psychotiques.

    Il n'est de voir l'affolement, pour ne pas dire la panique, de par la simple existence d'un président US s'appelant Donald Trump, cela déjà palpable dans cette vidéo en ce simple exemple.

    Ce n'est pas tant leur disparition qui posera problème que de remplacer toutes ces personnes qui, pour ces raisons, ne sont pas à leur place, et aussi de reformer une institution de l'instruction publique grandement mise à mal.

    C'est pourquoi aussi depuis tant de temps j'annonce le retour à la religion séculière de notre nation, le catholicisme, ainsi que du patriotisme qui, pour certains, prendra la forme d'un nationalisme échevelé.

    Il n'est pas étonnant ainsi que ce soit la Marseillaise qui, chez les gilettistes, soit la chanson de ralliement, eux qui surprirent nos chroniqueurs et autres relatifs spécialistes médiatiques d'être intelligents.

    Alors, vers quoi allons-nous pour un temps?

    Vers quelque chose comme çà en

  • Exercice de style.

    Je vais m'y essayer en parlant ici de choses et d'autres sans vraiment de logique les rattachant.

    Je changerais juste de couleur du texte lorsque j'aborderai un nouveau thème.

    Par exemple, je peux vous dire que nous aurons bientôt une baisse du C.A.C.40 en raison de l'affaire Benalla, la raison en étant que le système n'aime pas trop les instabilités politiques.

    En fait cette affaire m'amuse comme un petit fou.

    Tiens, autre chose de que je peux en dire, nous ne sommes plus loin d'arriver au point de non retour, c'est à dire que le moindre élément supplémentaire sur cette affaire et plus personne ne pourra en éteindre l’incendie.

    Il faut dire que ce personnage était peut-être bien le garde-chiourme de Macron à l'Assemblée-Nationale.

    Si mon hypothèse voulant que quelqu'un est emprunt de soumission en raison deP1010709.JPG deux émotions primaires le contraignant de manière complexe face à quelqu'un le dominant: la colère et la peur, alors, logiquement, un certain nombre de député d'En-Marche ne va pas tarder à réagir vivement à l'encontre de son parti et devant micro.

    Cela en raison du fait que la disparition de Banalla des bancs de l'assemblée fera disparaître la peur qu'il générait, n'en restant plus que la colère, ceci d'autant plus que Macron se trouve maintenant gravement affaibli.

    Je lis en ce moment un bouquin sur l'émergence du langage "La langue l'Adam", de Dereck Bickerton, vaste débat.

    J'ai bien des difficultés à en poursuivre la lecture puisque, à mon sens, ses présupposés de départ sont faux, il part du principe que l'homme s'est érigé de sa station debout dans la savane, ce qui est pour moi une incongruité.

    Comme j'ai pu déjà en faire mention dans un texte précédent datant de Mai de cette année, nos ancêtres auraient plutôt évolué au sein de mangroves qui se situaient dans la dépression de l'afar ou de Danakil, ce serait la même chose, et qui, si j'ai bien compris, subit, au fil des ères, des mouvements tectoniques importants et se situe en-dessous du niveau des océans.

    Sans compter les descentes et montés des eaux suivant les périodes glacières et inter-glacières.

    P1010510.JPGPour faire rapide, nous produisons des sons parce que nos si lointains ancêtres ne pouvaient pas voir les gestes de ses potes la tête sous l'eau et que, comme les dauphins, un son modulé et des claquements, de bouche pour le paléo-Homme, se propagent facilement dans la mer.

    Ces sons émis remplacèrent progressivement l'ensemble gestuel qu'expriment les grands singes, les bonobos et les chimpanzés.

    Du fait de la richesse de la nourriture, fruits de mer et des arbres, algues, poissons, voire certaines plantes et racines, ceci doublé de la difficulté, tout de même, de trouver leur pitance et aussi pour se déplacer (trouver son chemin au milieu des photophore ne devait pas être une mince affaire), le cerveau des proto-homos a dû évoluer, jusqu'à ce qu'il découvre le moyen d'apprivoiser le feu, et là le processus s'était accéléré.

    Comme, de plus, une forêt touffue comme l'est une mangrove ne permet pas de voir ses compagnons de loin, le son a remplacé progressivement le geste dont usent nos proches cousins (pas très germains, d'ailleurs).

    Puis de sons et de cris aux sens simples, de "nourriture ici" par exemple, ils étaient passés à "crabe" ou "poisson", puis à un truc du style "par là".

    Comme de plus l'odeur et le physique de chacun était invisible aux congénères sous l'eau, chaque individu devait avoir son propre son en une sorte de paléo-nom.P1010576.JPG

    Il y a quelques temps de cela, des drones, paraît-il, auraient survolé des centrales et des sites militaires nucléaires français en 2014.

    La question, dès lors, qui importerait mais à laquelle il serait quasiment impossible de répondre, ce serait "pourquoi".

    Une réponse, que je jugerais particulièrement naïve et sotte, serait de dire: "C'est pour nous prévenir que tout cela représenterait un danger pour l'humanité."

    Il m'a été donné de la lire plusieurs fois.

    Suivant ma façon d'aborder le problème posé par les E.I.N.T., les Êtres-Intelligents-Non-Terrestres, comme je les dénomme, plutôt que de celui d'extra-terrestre que je trouve gnangnan, à l'image de Macron, aborder le sujet sur une base politique me semble le plus logique en se demandant qu'elle serait le but de ces explorations.

    Puisqu'il s'agit bien que quelque chose de cet ordre, à la place d'un:"Coucou, je suis là, fermez vos centrales nucléaires, pauvres minables humains, ou alors vous allez détruire votre planète si fragile", planète et la vie qui l'abrite qui, d'ailleurs, se foutent royalement de nos agissements, ils en ont vu tout deux de bien pire.

    Là il faut faire preuve d'imagination et songer à toutes les éventualités possibles, comme:

    P1010593.JPG-de nouveaux venus curieux de voir ce que sont ces drôles de machines et installations, peut-être accompagnés d'une ou de plusieurs autres espèces plus anciennement installées près de chez-nous et leur servant de guide (c'est fou comme le nucléaire les intéresse depuis les années cinquante);

    -une réflexion militaire d'E.I.N.T. se demandant s'ils ne trouveraient pas là des idées pour des armes efficaces;

    -une visite touristique, eh oui, pourquoi pas;

    -se renseigner avant un envahissement, bof, je ne vois pas l'intérêt d'attendre près de 70 ans pour cela;

    -faire un ensemble de recherches anthropologiques, dans le sens propre du terme, par pure curiosité ou pour toutes autre raison;

    -... etc... .

    Il est possible que l'affaire Benalla (oui, j'y reviens) soit le début d'une attaque multiforme à l'encontre de l'Union-Européenne, dès lors contre aussi l'euro et l'O.T.A.N., entrepris par un ou plusieurs pays dont celui le plus important serait les États-Unis-d'Amérique trumpiens.

    N'oublions pas que les président U.S. avait proposé à Monsieur Macron, il y a un à deux mois de cela, de se désolidariser de l'union pour faire affaire avec les U.S.A. de pays à pays.

    Ce que le nôtre, de président, a rejeter avec un grand silence.P1010781.JPG

    En fait je pense qu'il y a désormais une attaque tout azimut sur l'oligarchie mondialisée et la France, comme je le dis depuis pas mal de temps déjà, se retrouve en première ligne bien malgré elle.

    Il faut dire que les français ont la réputation d'avoir le sang chaud.

    Faisons donc la liste, non exhaustive bien sûr, de ce qu'il se passe un petit peu partout:

    -la Russie poutinienne vend ses bons du trésor américains à tout va, ici et ;

    -la .F.E.D., la banque centrale U.S. ne cesse de remonter ses taux, pour faire simple, comme les prêt aux américains sont variables, ce qui veut dire qu'ils évoluent à la hausse ou à la baisse suivant les taux directeur de la banque centrale, ce qui donc fait que si ces taux augmentent, les particuliers et les entreprises devront plus d'argent au prêteur, ce fut la raison principale qui fit que nombres de particuliers U.S. se retrouvèrent ruinés en 2008, c'était ça qui avait mis les banques en danger;

    -le gouvernement italien refuse de ratifier l'accord de l'Union-Européenne d'avec le Canada, ce qui génère une belle crise dans l'U.E., si vous rajoutez à cela l'affaire Benalla, c'en devient croquignolesque;

    -les U.S.A. font pression partout dans le monde pour obliger les entreprises à rentrer au pays, ce qui s'appelle une guerre commerciale, et nous n'en sommes qu'au début;

    -les troupes U.S. rentrent au bercail, de ça je n'en ai que très peu de preuve, mais ça P1010832.JPGme semble tellement logique...;

    -Mr. Trump c'était montré intransigeant lors du dernier G7, en refusant de signer la déclaration collective (je ne sais plus comment çà s'appelle), à croire qu'il voulait le torpiller...;

    Pour l'instant je n'ai pas grand chose d'autre à raconter là-dessus, mais nous ne sommes qu'au début du processus, alors restons à l'écoute, d'autre nouvelles arriveront.

    L'économie mondiale ne cesse de se détériorer.

    Nous ne pouvons n'en avoir que très peu de preuve tant que nos magasins seront normalement achalandés.

    Mais, de manière indirecte, il est possible de percevoir l'état industrielle générale.

    Ainsi, l'évolution du prix du cuivre à la baisse est un bon facteur pour percevoir s'il y a désindustrialisation internationale.

    Ce qui, vous le voyez, est le cas, ce qui était prévisible lors de la remonté du prix du baril de pétrole.

    Vu que cette remonté n'a rien à voir avec une croissance industrielle, alors cela veut dire qu'une partie de la masse monétaire qui se trouvait dans la spéculation boursière se déverse actuellement dans les matières premières primaires: l'énergie et la nourriture.

    Ce dont personne ne peut se passer.P1010826.JPG

    Si des fonds d'investissement et de pension, ainsi que des banques, s'éloignent de la capitalisation boursière, cela ne peut que vouloir dire qu'en réalité les bourses, dont Wall Street et la City, se retrouvent dorénavant dedans d'immenses difficultés qui, pour l'instant, ne sont perceptibles que par une très petite minorité de ses acteurs.

    Ce processus ne pourra aller qu'en s'accentuant, mais peut rester en un développement pour l'instant lent.

    Lorsque l'espèce humaine partira voyager au loin au milieu des étoiles, Homo Sapiens Sapiens divergera inéluctablement en une multitude de genres différents.

    C'est que nous sommes loin, très loin même d'avoir épuisé tout notre potentiel évolutif.

    Il est bien difficile de déterminer dès à présent toutes les formes que cela prendra.

    Mais, au sujet de l'évolution, j'ai  en moi quelques hypothèses que je vous exposerai un jour, ce sera un texte peut-être long, mais surtout complexe, le sujet n'étant pas simple à développer.

    Toutefois je vous propose les bases qui me permirent de construire cet ensemble de réflexions, et elles sont extrêmement simples: l'automobile, l'ordinateur et

  • Billet d'une heure: la logique en lutte contre l'angoisse.

    Guêpe commune, que je vous avais déjà présenté sur une autre photo.

    Je suis particulièrement fière de l'avoir prise en plein vol, quand bien même cela ne fut dû qu'au seul hasard ou au plaisir de l'animal de poser pour moi, sans que je ne le lui aie demandé, au demeurant.

    Bonjour tout le monde,

    En fait d'une heure, ce billet m'en a pris trois à écrire...

    De la rétrogression historique:

    Je les apprécie ces jeunes qui, utilisant un outil, l'informatique, qui me reste pour parti abscons, ceci via internet, retrouvent les allants politiques de cette époque lointaine des débuts de la troisième république.

    Ainsi, sur ce qui se fait appeler la toile, le royalisme recommence à s'y faire un débat ayant sa cohérence.

    Mais aussi les libéraux économiques nous y montrant qu'ils redécouvrent la valeur des frontières, bien que ceux-là ne soient pas tous  de la toute première jeunesseP1050989.JPG, loin de là, à l'exemple de Charles Gave.

    Le site de ce Monsieur, jeunot (je le taquine) au pseudonyme d'Akina, du A entouré d'un cercle, symbole de l'anarchie, à la vision censée au sujet de la gestion gouvernementale passée comme présente de la pandémie au SRAS-COV2, expose ce retour d'un anarchisme autant militant qu'intelligent qui avait disparu de la scène en même temps que Georges Brassens, quand il s'en alla en son long repos sur les hauteurs de la plage de Sète.

    Et nous avons tout autant l'émergence de ce mouvement républicain rude, voire pouvant être dure, d'une probité absolue, de ce républicanisme patriote dont George Clemenceau fut la figure de proue et que, quand bien même en pousseraient-ils de hauts cris, Tatiana Ventôse et ses confrères du Fil d'Actu retrouvent progressivement toutes les marques, jusqu'à ces nécessités frontalières auxquelles ils ne pourrons, un jour ou l'autre, que concevoir.

    Ne nous reste plus qu'à percevoir qui, dans cette recomposition politique rétrogressive, représentera la mouvance d'un socialisme vrai et humaniste dont les détenteurs du nom sont, aujourd'hui, les traîtres déclaré de ce que fut un Jaurès qu'ils honorent, de cette hypocrisie que le vice rend à la vertus, à l'exemple caricatural d'un François Hollande bouffi de sa suffisance.

    P1060261.JPGAinsi cette rétrogression historique, en France, poursuit sa route.

     

    Covid, angoisses et violences:

    Ce que j'ai pu le plus apprécier chez Akina (bien que peu s'en faut qu'à la suite il puisse m'agacer) fut d'observer que les messages gouvernementaux au sujet du vilain virus, qui n'en fini pas de s'affaiblir, nous en verrons plus tard la suite.

    Ce que j'ai pu le plus apprécier, dis-je, chez-lui, ce fut de montrer que lesdits messages gouvernementaux là-dessus sont continuellement contradictoires,ce qui mène la population à subir des doubles contraintes continuelles.

    Or, il s'agit là d'une torture ( je pèse mes mots) psychologique d'une violence première: le cerveau humain ayant les plus grandes difficultés à gérer de telles injonctions paradoxales, cela ne peut que rendre psychiquement malade un nombre très important de français.

    D'où l'angoisse des franciliens lorsqu'un avion, dépassant le mur du son, avait émis ce bang caractéristique, pensant qu'il s'agissait d'un attentat ou d'un grave accident industriel (moi-même, en région parisienne Mercredi, entendant ce bruit, ne pensait pas qu'il pût y être ainsi question du son émis par un aéroplane volant à grande vitesse).

    Les violences gratuites en accroissement, ayant surtout lieu dans les grandes métropoles, dont nous entendons parler de manière récurrente, ne peuvent que venir de là, ceci suivant nos trois longs mois de confinement qui, déjà, fut grandement perturbateur.P1060033.JPG

    Ce fait est l'une des perfidies de notre gouvernement, il est à noter que les pervers narcissique usent et abusent, eux aussi, de tels expédiant.

     

    Une débilité de plus: le grand reset.

    Nous entendons nombre d'économistes parler de ce fameux grand reset, soit la remise à zéro de l'économie mondiale.

    Si vous écoutez ce Monsieur parlant (de chez lui) depuis le site Planète 360, vous comprendrez que le sujet consiste, pour nos grands financiers internationaux, de prendre le contrôle des monnaies mondiales pour tenter de sauver leur fortune.

    Ce truc de ces bons messieurs et bonnes femmes de l'oligarchie mondialisée est d'une absurdité sans borne, ceci pour une simple raison: la monnaie n'est pas l'économie à elle seule, mais permet, par son existence, à ce qu'une économie pérenne se développe, soit la croissance des usines, fabriques, cultures agricoles et exploitation  minières en des frontières semi-poreuses pays par pays.

    Ce fantasme des gens de Davos, s'ils le mettaient en place, ne faisant qu'accélérer la désindustrialisation en cours, ne les mèneraient qu'à une ruine plus rapide.

    A croire qu'à son époque Monsieur Brassens, au-delà des décennies, leur avait dès l'abord adressé cette chanson.

     

    P1050505.JPGLes USA ruinés, notre état voudrait que nous leur ressemblions:

    Il est de fait que les Etats-Unis-d'Amérique sont dans une situation économiquement catastrophique.

    Ceci est compréhensible, ils ont commencé leur désindustrialisation dix à quinze ans avant nous, soit dans les années cinquante à soixante.

    Que ce soit, en France, non pas toutes, il est vrai et heureusement, des sommités économiques du pays, de sa haute administration et de sa classe politique siégeant au gouvernement, dans les chambres délibératives et à certains postes électifs des grandes villes, départements et régions, il est loisir d'observer que, sûrement inconsciemment, ils agissent de manière à ce que notre nation puisse rattraper l'empire US dans son délabrement.

    Ainsi voyons-nous le macronisme niaiseux vendre, presque aux moins offrants, nos dernières entreprises, nos derniers fleurons, tout en menant une politique sanitaire telle qu'un nombre important de PME/PMI ne peuvent que fermer, mises, par leur gesticulations et inactions gouvernementales, en faillite.

    Conduisant inéluctablement à ce que la pauvreté y augmente de manière spectaculaire.

    Différentes raisons, cela est à concevoir, ne peuvent qu'être également soulevées pour comprendre la nature du résonnement conscient et inconscient en jeu chez tous ces ribouldingues, en plus de celui montré plus haut, ceci en une liste à la Prévert:

    1) De croire que c'est la même politique néolibérale, menée pendant des décennies, qui nous a conduit à ce fiasco funeste, qui pourrait résoudre nos problèmes;

    2) De ne pas vouloir voir, en un déni pathétique, que ladite politique mène l'économie mondialisée vers son arrêt totale, à la faillite US ainsi qu'à l'effondrement monétaire généralisé, de nous empêcher de le leur dire, de le clamer (c'estP1060186.JPG pourquoi je parle d'actions inconscientes);

    3) De ne pas vouloir assumer leurs fautes multi-décennales en une fuite en avant névrotique;

    4) De vouloir résolument placer un vaccin ou un traitement cher à la place de celui de l'équipe du professeur Raoult ayant fait ses preuves et peu onéreux;

    5) D'empêcher la population de se révolter en la traumatisant;

    6) D'obéir aux puissances économique mondialisées en nous menant à la crise économique dans ce fantasme montré plus haut;

    7) Enfin, pour la bonne bouche, en montrant au peuple que, ce coup-ci, nos baltringues agissent maintenant de manière concrète pour le protéger d'une pandémie qui, au fil du temps qui passe en ce début d'Automne plutôt frais, ne se révèle qu'encore moins dangereux qu'auparavant.

    Danger, encore potentiel, définitivement écarté si ce fameux traitement à l'hydroxychloroquine était généralisé.

     

    Ni angoisse, ni panique mais être prêt à tout:

    Il est de fait que nous nous devons de nous préparer, dès l'avant, de tout ce qu'il va se passer dans le futur, quoi qu'il puisse advenir.

    Il y a des événements évidents que nous pouvons prévoir, tel que cet effondrement fortement probable des monnaies, avec tout ce que cela entend.

    D'autres sont imprévisibles par nature, soit parce que nous n'y songeons pas, soit parce que leur survenue ne peut pas être conjecturée.

    Il nous faut donc nous sentir suffisamment adaptatif, quoi qu'il surviendra, et, surtout, d'être dans la démarche d'en saisir l'essence pour agir au mieux.

    Imaginez, par exemple, que comme la majorité de ce qui compose le WEB et le NET P1040871.JPGse trouve aux USA, si ce pays se retrouve à devoir faire face à une catastrophe de type d'une guerre civile, il est imaginable de considérer qu'internet cesserait tout fonctionnement, pour un temps plus ou moins long.

    Ceci avec tous les désordres que cela pourrait représenter.

    Et n'allez pas croire que nous nous retrouverions juste au-devant d'une sorte de totalitarisme internationale des oligarques monétaristes mondiaux, ce qui est, pour nous tous, une manière de considérer comme possible un semblant d'organisation.

    On s'en fout de ces crétins, ils n'en sont pas capable ou sinon pour un temps bref.

    Il va nous falloir reconstruire le pays et cela se doit d'être pensé dès maintenant et sur tous les plans, ça c'est mon travail de vous l'affirmer!

    Il n'est plus le temps des rêveries mais il faut regarder les choses en face, même si cela fait peur, même si c'est angoissant.

    Parce que sinon ce sera la panique qui envahira les esprits, et la panique conduit toujours au pire plutôt qu'au meilleurs.

    Alors, commencez par le commencement, amis lecteurs, pour ceux qui ne l'on encore pas fait: faites vos réserves, et si de vos connaissances sont de même avis, discutez entre-vous de nos risques potentiels et de comment les résoudre.

    Soyons logique, que diable, restons logique, faisons preuve de raison!

    Ah, j'oubliais de préciser: certes une guerre civile en France pourrait avoir quelques toutes petites plausibilité, à laquelle je ne crois guère, mais, surtout, c'est cette crainte, réaliste celle-la, qu'elle advienne dans l'empire US qui nous fait croire qu'elle puisse survenir ici, par notre projection de ce qu'il se passe là-bas, nous croyant nous-même énième état des Etats-Unis-d'Amérique.

  • De la perception du temps par l'exemple.

    En Décembre 2017, il y a déjà deux ans de cela, j'avais, avec vous, exploré quelle est, à mon sens, que la nature de la pensée.

    Thème qui, à faire erreur, ne fut que rarement abordé par les professionnels de l'esprit, des philosophes aux neurologues en passant par les psychanalystes.

    J'y avais posé d'axiome, dans ce billet, que cette pensée, jeune dans son apparition de quelques dizaines de milliers d'années seulement, avait entre-autre de nature que de faire une démarcation entre conscient et inconscient et de permettre à l'Être-Humain de conceptualisé le temps en une séparation entre le passé, le présent et le futur.

    J'en avais tout autant, il est vrai rapidement, exploré d'autres attributs tel que l'imagination ainsi que l'expression de l'égo et du narcissisme dans leurs multiples intrications et, matière que j'avais aussi abordé dans d'autres textes (regroupés ici), P1030516.JPGde la perception de notre identité par le fait d'humainement nous déterminer tant individuellement que collectivement.

    En revanche, ce à quoi je n'avait jusqu'alors songé, c'est ce lien indéfectible entre la pensée temporalisée, la compréhension de la notion de causalité, quelle soit structurée ou pas, non moins que de pouvoir dès lors concevoir, même succinctement, les conséquences, certes de nos actions, mais aussi de nos pensées, pouvant générer, en une boucle de rétroaction, un ensemble d'effets s'effectuant lentement autant sur notre propre personne que dans notre milieu social.

    C'est pourquoi il serait bien que chacun d'entre-nous se connaisse au mieux.

    Or, il est de fait qu'en raison de notre perte, avérée bien que partielle et momentanée, de notre détermination d'être, aux origines multifactorielles, nous menant à une identité floutée et parfois grandement parcellaire, lesdites causalité et temporalité, dès lors de nos capacités de conceptualiser les conséquences tant de nos actes que de nos pensées, nous sont devenus grandement réduites, voire même, pour certains d'entre-nous, quasiment impossibles.

    En une époque où l'évolution de nos sociétés aurait dû, à tout l'inverse, nous conduire d'en développer le substrat bien au-delà de ce qu'il nous serait capable de s'en représenter la trame.

    P1030572.JPGC'est en cela que je définirais au mieux cet arrêt progressif des progrès de tous niveaux, tant de nos facultés mentales que de ce qui nous fait société, ceci nous menant  à un état de décrépitude intellectif collectif avancée.

    Étant entendu qu'il serais malsain de considérer ça comme étant une faute puisque cela mènerait à une culpabilité malséante, inutile et autodestructrice quand, ici, je me force et m'efforce de montrer que de faute il n'en est point, nos responsabilités étant de contrevenir à cet état de fait en nous réappropriant notre identité et, par delà, notre curiosité, nos questionnements du monde, nos savoirs, nos connaissances, notre inventivité... pour que  nous puissions rebondir puis reprendre la croissance naturelle de notre humanité, ne serait-ce qu'en en commençant en France le métier.

    Ce que les russes entreprennent actuellement en plein et ce que les britanniques débutent en ce moment même.

     

    Les facteurs de cette déchéance ne pouvant être que provisoire sont multiples et j'ai, depuis des années, essayé d'en définir les traits les plus importants:

     

    -Traumatismes dus à deux guerres mondiales:P1030666.JPG

    Thème que Monsieur Zemmour avait relevé lors de son débat avec Monsieur Asselineau le 19 Novembre 2019 mais dont je pense qu'il n'en ait en rien saisi la profondeur, le concevant dans l'incapacité formelle d'aller au-delà de cette simple remarque pour les raisons évoquées plus haut.

    ( Je me demande d'ailleurs si ledit débat n'aurait pas eu lieu en raison du factum que j'avais publié sur mon site à son endroit le 8 de ce mois, soit à peine plus de la semaine suivante. )

    S'il faut, en effet, trois générations pour qu'un trauma mène à un désordre psychique pour le descendant de celui qui l'a subit, alors nous pouvons considérer que la quatrième, elle, n'a plus à en souffrir, le temps en ayant passé.

    Nous pourrions même en conclure qu'au même titre que 70 ans environ après la création de l'URSS cette union ne fut plus;

    Il serait logique de considérer, de la même façon, que, des tous débuts de l'Union-européenne sous sa forme de 1952, la Communauté européenne du Fer et du Charbon, jusqu'à aujourd'hui, les mêmes 70 années d'existence ne peuvent que signer une similaire échéance d'une même déchéance.

    Certes, ce sont  bien ces deux guerres qui conduisirent à ce que, sous l'égide d'un Tonton Sam impérial, les nations européennes décidèrent inconsciemment de tenter de se retirer de l'histoire, mais diantre ce que nos jeunes sont d'un appétit d'y P1030459.JPGretourner s'y frotter!

    C'est bien, à cause de ces deux chocs violents, d'avoir voulu se retirer ainsi des affaires du monde dans le désir infantile et archétypal de bâtir le même paradis sur Terre sous la même forme unioniste que l'Union-Soviétique, en une totale inversion idéologique , qui nous mena à cette terrible diminution de notre raison.

    Et c'est cela qui maintenant s'achève.

     

    -Notre domination par les États-Unis-d'Amérique:

    Voici le déni le plus surprenant, celui de notre domination par un empire non européen grandement déclinant.

    Et pourtant une multitude d'exemples passés et présents, pour qui veut bien s'y pencher, ne peuvent que nous en démontrer la véracité du fait.

    Il est à remarquer que nous suivons de peu le même déclin intellectuel que notre malveillante tutelle, ceci en la seule et unique raison de leur imitation, ni plus, ni moins.

    Les causes de ce déclin sont intéressant à étudier, ce sur quoi je n'ai pas encore songé, toutefois quelqu'un comme Dimitri Orlov offre, dans ses rubriques, un P1030226.JPGensemble de réflexions sur ce sujet.

    Sachez, en ce seul exemple, que des médecins étasuniens craignent que la peste, cette maladie qui avait éradiqué du tiers à la moitié de la population européenne au XIV° siècle, ne soit dores et déjà présente au pays de Tonton Sam.

     

    -Nos oublis et parfois nos rejets culturels:

    Je pense que le fait qu'il soit devenu de plus en plus ardu, pour la majorité de la population, de monter dans l'ordre hiérarchique en soit l'une des origines principales, ce qui conduit au manque de régénération des créations de toutes natures.

    Ainsi que du sentiment, ici des classes-moyennes hautes à supérieures, de leur inaliénable compétence et de leur bon droit  de connaître le bon et le beau de ce qu'il est nécessaire pour le pays, ceci par l'articulation du dogme euro-atlantiste ne pouvant que nous démontrer toutes ses défaillances.

    Ce double phénomène étant, là encore, entrain de se réduire en conséquence des faiblesses insignes de toutes sortes des trois dernières législatures présidentielles, la dernière en en étant en tous points caricaturales.

    La seconde raison en étant notre perte d'intelligibilité du monde par celle de notre P1030095.JPGidentité, due pour une grande part aux béances frontalières et à la diminution de la qualité de notre langage, je vous renvoie de cela à la première partie de ce billet.

    L'usage d'anglicismes infondés et plutôt stupides en étant la troisième, dans une tentative désespérée de se montrer à la hauteur de cette intelligence égarée et dans l'angoisse existentielle de comprendre, sans se l'avouer, la profonde déliquescence impériale, empire garant, à ces yeux égarés et éperdus, de cet utopie édénique unioniste.

    Enfin en une quatrième cause principale en une liste non close, la monté en puissance d'une oligarchie ploutocratique, sotte et toute puissante, à la culture d'une basse faiblesse endémique qui, tels des rats devant un morceau de fromage, se rue sur tout ce qui pourrait être comptable d'une parcelle de richesse;

    Et qui, dans leur crainte maladive de percevoir la moindre once d'intelligence du peuple, n'ont que de cesse de pervertir son entendement par tous les médiats interposés, en alliant autant le mensonge, la promotion d'un art abrutissant qu'elle en vient à apprécier que de la médiocrité programmatique médiatique.

    Je n'oublie en rien que notre nation et notre état est englué dedans une union-Européenne totalement déconnectée de toute réalité et ne désirant qu'une seule chose et une seule: mettre en place le programme qui est à la base de son existence: P1020251.JPGcelui que l'empire US lui a laissé à sa charge, soit la destruction des états-nations.

    Tout autant que je n'oublie en rien les faiblesses mentales des pervers narcissiques telles que j'ai pu les exposer auparavant et qui, en raison de leur aliénation vicieuse, sont dans la plus absolue incapacité de conceptualiser les résultantes de leur actions malveillantes.

     

    Notre éloignement de notre mémoire collective: l'histoire:

    C'est un phénomène sciemment voulu et décidé par notre maître étasunien pour pouvoir nous maintenir dans son corset qu'est l'Union-européenne: oublier son histoire c'est perdre son identité.

    En une continuité constitutive, nos  élites zélées à l'esprit vaporeux, devenues elles aussi, elles surtout grandement sottes, perpétuent jusqu'à l’écœurement cette P1030147.JPGtendance généralisée à la médiocrité, ne voyant rien de mal à ce que leurs enfants et petits enfants, que les enfants et petits enfants de la population toute entière ne puisent représenter qu'une masse traumatique parce que ignorante.

    "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre.” Karl Marx (Manifeste du partie communiste.(1847) ou "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre." Wiston Churchill, maximes similaires de deux personnages historiques aux antipodes idéologiques, ce qu'il vous reste, messieurs-mesdames, à méditer.

     

    Après ce rapide tour d'horizon des raisons qui font que, de notre perte d'intelligence, en advienne celle de nos capacités à anticiper les effets de nos décisions, je vous propose de vous en montrer cinq (erreur) trois exemples.

     

    Le projet de loi des retraites:

    Je ne reviens pas sur ce projet lui-même, la grande part en étant débattue tant dans les médiats, sur le web, chez les grévistes, au sein des syndicats comme dans les partis politiques.

  • Cher Charles Sannat, lequel de l'état ou de l'union serait-il notre vampire?

    Ce billet a de base un commentaire que j'avait déposé sur le site "Vu du droit" dont j'ai partiellement changé le sens originel ainsi que le développé.

     

    Suite à l'un de vos derniers billets relayé par Businessbourse, je vous propose que nous fassions de la politique voulez-vous, cher Charles Sannat, en analysions la situation de ce seul fait et, ici, je vais revenir sur ce sujet en résumant notre véritable situation que j'ai pu traiter  tout au long de mes pages.

    Je vous apprécie, cher Monsieur, oui, oui, je vous apprécie, vous qui, à mon sens, êtes de ceux qui, en dynamique sociale, la sent le mieux et, en économie, ne dit pas trop de sottise.

    Mais, comme aussi la majorité de tous ceux faisant votre métier, vous oubliez cette moindre petite chose qu'est l'existence d'un fatras fait d'une union, d'un euro, d'un empire thalassocratique US et d'une oligarchie française que Monsieur Todd ditP1020964.JPG strato (c'était une bévue) stato-financière.

    Pourquoi, plutôt que de critiquer un état et son administration asservis, facilement remplaçable pour le premier, ne le faites-vous pas au sujet de nos maîtres?

    Pourquoi ne rendez-vous pas compte des fortunes que doit verser la France à une union où chacun de ses acteurs se paie grassement ainsi sur notre dos, elle qui, de plus, montre une criarde inefficacité dès lors que la moindre crise survient.

    ( Je fais un copier d'une partie de texte écrit ici:

    Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en France au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur est Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels, soit de cette économie dite réelle, en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    P1010457.JPGAllemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne ou de la République Tchèque est la plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est la plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est la plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?P1030298.JPG

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Quels sont les pays véritablement ruinés? )

    Certes, nos impôts sont devenus des tonneaux des Danaïdes, mais, justement, pourquoi ne pas aller au cœur des problèmes et de ne pas en montrer les pourquoi véritables, autant de cette gabegie que de cette flemme d'une administration devenue, pour l'essentiel, que de celle coloniale de nos dominants, comme il en fut de celle indienne quand l'Inde était une colonie britannique.

    Ils ne font rien, certes, pour beaucoup d'entre-eux, mais c'est parce qu'aucun n'a à décider, ou en des marges si réduites, qu'ils ne songent plus qu'à leur carrière et à leur compte en banque plutôt que de leurs responsabilités devenues du néant.

    Ainsi, nous ne pouvons pas poursuivre une quelconque politique économique de la nation sans P1020910.JPGque notre souveraineté pleine et entière soit rétablie au sein de nos frontières, ce qui est loin d’être d’évidence pour tous, là s'en trouve le pire.

    L'est-ce pour vous-même?

    La libre circulation des biens, capitaux et personnes, en étroite corrélation d’avec les traités définissant l’Union-européenne, rien que cela, déjà, nous en empêche.

    Ceci accentué dans le même temps, en plus desdits traités, d'un ensemble idéologique ordo et néolibéral accepté par tous les partis politiques siégeant dans les assemblées délibératives, plus les GOPEs devenus obligatoires depuis quelques années au risque sinon d’amendes importantes pour les pays qui ne les respecteraient pas, sans compter un euro qui, du fait de son formalisme, accentue plus que de raison nos difficultés.

    D'évidence, parce qu’il faut l’accord de tous les chefs d’état et de gouvernement pour réformer l’union, celle-ci est, de facto, irréformable et, en raison même de ce fait, vouloir la réformer et en être dans la capacité ne peut que mener mécaniquement à son autodestruction en raison des désaccords tant politique, économiques, monétaires, géopolitique et géostratégique qui ne peuvent que survenir en ce cas entre les pays de l'union.

    C’est bien parce que Monsieur Gorbatchev avait voulu amender l’Union-Soviétique que l’URSS explosa en vol, ceci en raison d’un mécanisme purement automatique.P1030473.JPG

    Pour faire vite, trois forces apparaissent et se combattent, réformatrice, conservatrice et contestataire du système, ce dernier, en raison des tensions politiques s’accumulant provenant des deux autres, tendant à devenir extrêmes, prend de la puissance puis en vient à détruire ce système politique devenu fragile, si ce ne sont pas les deux belligérants qui en viennent à l'anéantir par leurs conflits.

    Mais faudrait-il encore reconnaître ce fait pour que nous nous en dégagions: nous sommes sous le joug de l'Union-Européenne et de ses formalisme abscons et stupides, dirigée en même temps par les Etats-Unis-d'Amérique ainsi que par l'Allemagne, qui se combattant tous deux en secret, et tous nos problèmes viennent de là!

    Dès lors, soit l’on veut que le pays reste dans l’UE, mais en ce cas les questions économiques, législatives, d'impôts et de tant d'autres ne se posent plus, sauf à ce que l’on reste dans la rêvasserie ou le mensonge, soit l’on veut vraiment régler toutes les questions qui se posent à nous, auquel cas il ne peut y avoir d’autre moyen que d’en sortir.

    Pour l’instant, toute autre prise de position sur ce sujet ne peut que se retrouver, en toute logique, caduque.

    Je me dois de préciser la chose suivante:

    P1030257.JPGA cause de l’unilatéralité idéologique de la classe politique officielle, soit celle siégeant à l’Assemblée Nationale et au Sénat, à quelques détailles près, cela va de soi, les notions de gauche et de droite, qui, historiquement, sont liées à la relation au pouvoir du temps, royauté, bourgeoisie, religions, militarisme, capitalisme et autres… n’ont plus cours tant que nous ne retrouvons pas notre souveraineté, puisque le pouvoir d'aujourd'hui c'est l'union.

    C'est pourquoi je dis depuis des années qu'en France au moins il s'est produit un effondrement idéologique et, dès lors, politique.

    Les droites étant définies dès le début comme appuyant ledit pouvoir, la gauche luttant contre, le centre étant la recherche d’équilibre entre ces deux perceptions sociétales, à l’image de la sociale-démocratie d’antan.

    Puisque considérant que, désormais, c’est l’Union-Européenne qui détient les pouvoirs sur la nation, à quelques détailles près là encore, et qu’elle est de fait irréformable, sauf à la détruire, que, de plus, ne siègent aux assemblées délibératives que des personnes ne remettant pas en cause l’union, puisque la remettre en question lui serait destructeur, ce que, de plus, chacun déclame, soit vouloir la réformer, sans jamais vraiment y joindre du geste à la parole, sachant que cela est, en vrai, irréaliste.

    ( Le pouvoir grec actuelle, celui de Mr. Tsipras, en étant l'exemple le plus frappant depuis 2012, lui qui cru pourvoir, justement, réformer l'UE s'y est cassé les dents avec logique: cette organisation savait très bien que si cela survenait elle se déliterait inéluctablement. )

    Ainsi et du fait de cette impossibilité de sa régénération, mais aussi du déni de son existence par l'élite de la nation, qui suit dans le même temps les ordres de l'UE viaP1030098.JPG les GOPEs (ce qui montre chez-eux un collectif grave biais cognitif) nous ne pouvons donc en conclure que tous ces partis politiques que nous pouvons dire officiels sont de droite (ce qui a une certaine saveur), ceci d’autant plus de leur unilatéralité doctrinale les rende tous soumis, soit, du RN au PCF en passant par FI le PS, EELV, l’UDI, LR et bien sûr le REM des radioéléments.

    Tout les autres partis politiques voulant que le

  • Croyance et dépendance: un champ idéologique.

    Cette charmante guêpe, Cerceris des Sables, Cerceris Arenaria, famille Sphecidae, Sphégides, fait parti de celles dites fouisseuses, solitaire, elle creuse un nid pour ses larves dans un sol sablonneux et pond son œuf sur l'une des proies accumulées.

    Ici elle est posée sur une feuille de géranium vivace.

    Ce coup-ci, je suis allé chercher le nom des bestioles Hyménoptères dans le bouquin de 1991, plus précis qu'internet, que j'avais donc acheté il y a longtemps: "Guide des abeilles, guêpes et Fourmis, les hyménoptères d'Europe", de Jiri Zahradnik, collection Hatier, adaptation française Ludovic Laporte.

    Ce que je vais poursuivre, du-moins pour cette classe d'animaux.

    Autre temps, autre mœurs...

     

    Bonjour chers lecteurs,P1010040.JPG

     

    Introduction:

    Je suis allé, il y a peu, chercher je ne sais plus quoi sur mon blog et ai remonté ce petit bijou conceptuel personnel (ne serait-on, parfois, jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas?) qu'est celui de champ idéologique.

    J'avais exposé cette idée il y a 5 ans, ceci d'une manière indirecte sans en avoir creusé la matière théorique.

    ( Recherche et matière qui porte, ici, en réalité sur une réflexion à l'endroit d'une ou de plusieurs hypothèses d'un sujet donné puisque n'y est pas assis, lors de cette recherche, les trois bases de référence théoriques, sa réfutabilité, sa prédictibilité et son aspect parcimonieux, soit sa simplicité conceptuelle au regard de toutes les informations perçues et, mieux encore, connues.

    Il est à noter également qu'une approche philosophique ne peut être en rien scientifique et théorique, mais qu'en revanche elle pose, normalement, de tels socles conceptuels qui accompagnent et parfois précèdent les évolutions d'une ou de plusieurs sociétés,  étant entendu que ladite philosophie est aussi l'outil essentiel P1050125.JPGpour, au présent, chacun d'entre nous, en un processus évolutif, organiser la pensé. )

    Il faut dire qu'à l'époque je n'en étais pas capable, le stress qui était mien en était encore d'un niveau important, du-moins, l'ai-je remarqué, mon style commençait à s'asseoir.

    C'est donc ce travail théorique que je vais effectuer en ce billet, venant peut-être parfois contredire ce que j'avais pu en exprimer par le passé.

    Je me dois de souligner que je n'écarte en rien les difficultés que chacun d'entre-nous, sous une forme ou une autre, rencontre, toutefois il me paraît important d'effectuer cette tâche consistant à tenter de conceptualiser le pourquoi nous en sommes là,  tout comme de ce que vers quoi, in fine, cela nous conduit.

    Et je ne donne pas cinq ans pour que la France se rétablisse après que le système soit forclos.

    Les débuts seront durs, complexe sera la suite, mais les forces vives et intelligentes qui le permettront sont dores et déjà présentes.

    N'oubliez pas, Messieurs-Mesdames les anarchistes, que d'être de cette opinion là sans être profondément démocrate c'est d'être encore plus stupide que tous ceux que nous fustigeons jour après jour.P1060408.JPG

    Ceci dit et avant que vous n'abordiez le reste de ce texte, je vous invite à voir cette vidéo de Tatiana Ventôse qui, en 40 minutes, aborde avec cohérence et brio la notion de ce qu'est que la nature de la politique.

    Plus loin j'affirmerai connaître mes limites et, ce, sans prétention, ainsi je ne pourrais jamais accomplir le travail qu'elle a ainsi réalisé.

    Chapeau bas, mam'selle.

     

    Avant-propos:

    Il devient d'évidence, pour le plus grand nombre de gens, qu'aux défaillances gouvernementales s'y rajoutent de ses choix décisionnels autant contradictoires, parfois irrationnels, souvent contre-productifs, aussi qu'aux portes de la tentation totalitaire néolibérale, sans l'avoir véritablement recherché (ainsi un conseillé de Mr. Macron fait-il la comparaison de la France d'avec le régime passé de Pinochet au Chili, comme étant surpris de sa propre politique: Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes).

    P1060320.JPGIl est observable tout autant que les partis politiques qui, censément, seraient d'opposition, font montre soit que d'une très légère rigueur à l'encontre de l'exécutif, soit même de prises de position totalement déconnectées de la réalité de tous les citoyens souffrants  des difficultés actuelles dus auxdits choix, n'aidant, pour FI par exemple, que d'une infime minorité de ceux-là, soit les immigrés.

    il est de fait aussi que les autres pays de l'union et d'Europe souffrent, pour la plupart, de maux semblables, bien  que la France paraît en être la plus touchée.

    Lors de mes billets précédents, je vous avais montré une crainte partagée, au-delà de la mouvance purement eurolâtre & américanolâtre, de voir disparaître notre maître US, soit par guerre civile, soit par banqueroute, dès lors de ce que l'Union-Européenne et l'euro subissent  mécaniquement le même sort.

    Bien que l'inverse pourrait fort bien arriver, la faillite de la zone euro menant, à la suite, à celle du dollar.

    Ou alors que ce soit, non pas l'économie réelle en tant que telle qui, quoi qu'il en soit, en souffrira et en souffre déjà grandement, mais de ce que celle monétariste, spéculative internationale fasse faillite définitivement.

    Que cela mène donc ces personnes à souffrir dès maintenant de graves angoisses duP1050327.JPG fait de leur compréhension de ces éventualités, nonobstant de ce que l'une ou l'autre adviendra à un moment ou à un autre (faites vos réserves!).

    Que ce phénomène est, pour une large part, inconscient, ce qui conduit les pouvoir exécutifs, législatifs, mais aussi judiciaires et médiatiques, à projeter ladite angoisse à l'endroit de la majorité de la population, d'où, entre-autre, de notre enfermement confinement et port d'un masque, en tentant de nous culpabiliser de leurs propres errements et manques.

    Si, tout au long de ces pages je ne cesse de leur poser à tous d'importantes critiques sans que moi-même ne me décide à l'action, c'est que, connaissant mes limites, je me sais en ce cas totalement incompétent.

    Dès lors, le reproche le plus absolu que je leur porte est celui d'avoir bien voulu occuper le poste qui est le leur, sans ne s'être le moins du monde interrogés de savoir s'ils en avaient et en ont les compétences requises.

    Ce qui, de fait, est le cas pour le plus grand nombre d'entre-eux, sinon pour tous.

    Au-delà de ce très bref résumé de ce que j'ai pu écrire depuis six mois, le thème que j'aborde maintenant, celui du champ idéologique, ne peut que venir compléter cet ensemble.

    Je vais ne le poser que d'une manière purement démonstrative en juste appuyant P1050225.JPGmon propos de quelques exemples.

    Je parachèverai ce billet, avant sa conclusion, par une réflexion sur ce que je nomme une bifurcation historique, tel un virage pris de notre évolution transformant du tout au tout notre nature et, ce, depuis 20 000 ans environ.

     

    Le champ idéologique:

    Un champ idéologique est l'ensemble des conceptions qui en entoure son socle idéel, en une conception de base, pouvant être conscient et/ou inconscient, mais central dans la représentativité que chacun a de la société, ainsi que de son rôle dans celle-ci.

    Ce champ idéologique a deux composantes: sa "doctrine de fondement" , soit l'ensemble d'idée et de concepts composant le champ idéologique et son opposition qui est l'inverse de ce que représente ladite doctrine.

    Ainsi pour faire simple, le principe du capitalisme est celui de l'enrichissement du secteur privé et du pays par, normalement, l'industrialisation grâce au capitaux bancaire et boursiers, quand pour le communisme l'industrie se doit de se faire par l'état qui dispense ensuite cette valeur aux citoyens.P1050319.JPG

    ( La sociale-démocratie étant de faire la part entre ces deux tendances contraires sous le contrôle clair du politique, ce à quoi je pense être le meilleurs.

    Le néolibéralisme,  en une économie dévoyée, étant de retirer le plus de monnaie et de valeur possible par le biais des dettes contractées, des nations, des particuliers et des entreprises, d'où la ruine de tous à terme. )

    Ici il s'agit de l'économisme dogmatique, soit de percevoir la fonction économique comme étant central au regard de toutes les autres composantes sociale, du plus pur de l'institutionnel jusqu'à celui de l'interdit moral le plus formels (du-moins sa minorité agissante pour ce dernier).

    Si je la dis dogmatique, c'est que cette conception de la société, sous une approche centrée à de la seule économie, est dans le même temps d'une perception peu ou non lucide mais fondamentale pour tous les acteurs.

    Ceci au sein d'un champ psychologiquement attractif, indépassable et sous-jacent pour tout échange, non pas seulement marchand, ayant lieu et, ce, sous toutes ses formes (entre-autre l'individualisme).

    Ce fut le capitalisme industriel du XIX° siècle en Europe qui en fut le ferment, descendant de la bourgeoisie d'affaire passée, période pendant laquelle émergea, en l'accompagnant, ses contres-pouvoirs ( les socialismes révolutionnaire et libertarien, futurs communisme et anarchisme, ainsi que le républicanisme, la sociale P1040587.JPGdémocratie et le démocratisme ) qui se cristallisèrent à l'achèvement de ce siècle  et au début du suivant, le communisme se formalisant dès après la révolution bolchevique de 1917.

    En un exemple de champ idéologique: tout comme le communisme jusqu'à la fin des années 90, lui-même descendant du socialisme révolutionnaire du XIX° siècle, fut l'opposition au capitalisme sans frein, l'église catholique fut, en Europe, celle des princes et barons guerrier de la société féodale du moyen-âge.

    Vous remarquerez que ce fut relativement peu de temps après que des moines prirent l'épée lors des croisades, sous forme des templiers centrés en France et des chevaliers teutoniques en Germanie, que la Renaissance commençât à se développer, donnant corps au fil des siècles à la remise en question d'abord de la toute puissance du Pape et du catholicisme (le protestantisme), puis de l'existence même de l'aristocratie. (d'autres raisons, multiples, furent aussi en causes, telle que l'invention de l'imprimerie et du canon).

    Ceci parce que l'opposition passée de l'église face aux guerroyeurs que furent les seigneurs disparut de fait puis que tous deux devinrent progressivement alliés.

    La féodalité, sous cette optique, pouvant être considérée comme ayant été un champ idéologique qui disparu lors de l'apparition de la Renaissance.

    Cette hypothèse pose l'idée qu'au même titre que l'apparition des moines soldats annonçait l'achèvement de ladite féodalité, l'adoption du capitalisme par la ChineP1030102.JPG (dont il est ardu d'arriver à pied) tout comme la disparition de l'URSS, ces deux faits survenant à quelques années près, signaient la prochaine disparition dudit écono

  • Quelle période étrange!

    Nous vivons une période étrange.


    Plus je m'instruis des déséquilibres économiques mondiaux, plus l'imminence d'une crise majeur me semble probable.


    Or, peu en est fait du cas, surtout de sa suite.


    Certes, sont discutés les-dits déséquilibres: les effets délétères de l'euro sont décortiqués, l'état déplorable des monnaies est montré et démontré, l’effarante accumulation de crédits de toute sorte nous est exposée, la déstabilisation entre producteurs pauvres là-bas et consommateurs appauvris ici est établie, l'apparition et le gonflement démesuré d'une myriade de bulles spéculatives nous est révélé...


    En revanche, rien ou si peu n'est dit au sujet d'un crash mondial qui, pourtant, serait la suite logique de toutes ces aberrations macro-économiques et économico-politiques qui sont égrainées tout au long de bon nombre de sites.


    C'est ce qui fait, pour moi, l'étrangeté de notre époque: ne pas pouvoir, ni collectivement, ni individuellement, envisager, ne serait-ce que la possibilité, d'une rupture désastreuse de l'économie-monde.


    Pourtant, tous les signes sont là et sauf à me prouver le contraire, soit la solidité intrinsèque de l'économie mondiale, je ne vois pas comment ce système peut encore perdurer jusqu'à même un court, voire un très court terme.


    Si cette rupture se produit, ce qui revient pour moi à écrire plutôt: quand cette rupture se produira, le fait qu'aucune réelle analyse sérieuse n'en est fait ne pourra pas ne pas nous plonger dans des difficultés abyssales.

    C'est vrai, il peut y avoir ça et là tel ou tel commentateur qui, comme moi, essaie de prévenir des multiples dangers et adversités vers lesquelles la ruine universelle nous conduira.

    Mais cela n'est pas le fait de personnalité en vue, soit parce que ce sont des personnes qui sont, de même que je le suis, amateurs, soit parce que ces quelques personnalités sont, d'une façon ou d'une autre, misent dans l'impossibilité de s'exprimer.

    Internet existe aujourd'hui, outil d'expression à la parole largement libre, mais je n'y lis que peu, sinon même rien, du-moins en langue française, de ce qui me semblerais faire sens au-delà de la probabilité de cette ruine: des réflexions politiques, géopolitiques et géostratégiques sur les effets à court et moyen terme de la-dite ruine, autant en France, en Europe que dans le reste du monde.

    C'est pourquoi j'exprime ce puissant sentiment d'étrangeté.

    Pourtant cela semble logique: si, comme je le dit, les immenses déséquilibres économiques conduisent, à terme, irrémédiablement au délabrement monétaire et boursier, la désindustrialisation à marche forcée de l'Occident ainsi que du Japon, la production dans des pays aux faiblesses salariales, devenue surproduction de produits invendables en raison de cette crise première, la monoculture étendue à un très grand nombre de pays, et pas des plus riches,  ne pourrons pas ne pas avoir de conséquences majeurs en Europe et dans le monde, le contraire est impossible.

    Il doit tout de même y avoir des officines plus ou moins discrète œuvrant à faire ce travail de conjecture, le L.E.A.P., par exemple, mais celui-ci ne se penche essentiellement que sur les seuls faits économiques et peu sur les autres conjonctures.

    Il est pour le moins étrange pour moi d'avoir l'impression d'être l'un des seuls à s'essayer d'établir quel pourrait être notre proche futur.

    Pourrais-je envisager cela, d'en être que l'un des seuls...?

    N'est-ce donc pas étrange que ce soit aux amateurs qu'est dévolu ce rôle d'alarme?

    Qu'en pourrais-je dire sinon le traumatisme ressenti par les élites et pour partie le peuple lorsque l'empire américain ne sera définitivement plus ce qu'il représente encore un peu aujourd'hui, traumatisme qui nous fera prendre six mois à un an de retard.

    L'effondrement plus ou moins rapide du commerce international, maritime et aérien.

    Le manque cruel de quasiment tous les objets et outils dont nous avons tous besoins ainsi que de toutes les pièces de rechange.

    Le manque, aussi, de matières premières, minières et de l'énergie, ainsi que celles déjà manufacturées tels que les tissus, les aciers ou le papier.

    Les banques, assurances et fonds spéculatifs pour la plupart faillis et les gouvernements obligés de les nationaliser, ad minima pour leur simple sauvegarde.

    Des forces armées européennes réduites à quasiment rien avec une France, en tant que première puissance militaire européenne, pouvant réunir l'ensemble de son armée de terre dans un seul et dérisoire stade de foot.

    Des tensions déjà existants allant en accroissement sur les cinq continents, au sein des pays comme entre divers nations, tensions pouvant mener au pire.

    Toutes les monnaies en déshérence, les états sud-européens soit rejetés par l'Union-Européenne, soit la quittant en se délivrant, dans le même temps, de l'euro.

    La déliquescence des U.S.A., son éclatement ou une seconde guerre de sécession, de toute façon une disparition au moins en tant qu'empire.

    Allez naviguer sur internet et vous verrez que je me base sur des informations pour avancer cela et ce simplement en francophonie.

    Imaginez le nombre d'informations que la personne bien placée, anglophone ou sachant utiliser au mieux l'outil informatique serait dans la capacité de percevoir et comprendre et donc de déduire pour notre proche futur de la situation présente.

    Et pourtant pas grand chose n'est perceptible.

    A croire que tout le monde a compris mais que personne n'ose se l'avouer: nous serons bientôt devant bien des incertitudes et des désolations.

    Quelle période étrange!

     

     THEURIC

  • Idée n°13): Les modèles historiques.

     A situations analogues, événements similaires, c'est dans cette similitude entre le présent de relation entre des peuples qui restent, quoi qu'il en soit, singuliers et le passé de relations entre d'autres peuples toujours existants ou disparus, qui, bien entendu, conservent la particularité temporelle de leurs développements et de leurs structures propres, sociales et technologiques, ainsi que les représentations symboliques évidemment anciennes que ces sociétés antérieures ont du monde que nous pouvons aller rechercher un modèle dynamique, bien qu'approximatif, nous permettant, par une approche empirique, de comprendre quels peuvent être les grandes lignes de l'évolution des relations entre sociétés présentes en les comparant aux relations géopolitiques et géostratégiques que les-dites sociétés anciennes avaient entretenues avec ses voisines.

    La recherche de modèle historique consiste donc à rechercher des corrélations entre les relations géopolitiques et géostratégiques anciennes et présente.

    Dès lors, un modèle historique, de ce seul domaine de l'empirisme, ne vaut que ce qu'il est : un modèle imprécis et relatif aidant à la compréhension du devenir en œuvre entre un moment présent et leurs développements futurs plausibles, possibles ou probables.

    C'est donc un outil à manier avec grande circonspection, d'autant plus que le choix de ce modèle peut se révéler compliqué, une situation présente doit-elle ou non donner lieu à une comparaison avec une époque passé et si oui, laquelle et pourquoi ?

    Nonobstant  la nécessité de cette prudence que nous devons tous avoir à l'esprit quand nous cherchons un modèle historique nous permettant de mieux rendre compte d'une situation présente lorsque nous avons de grandes difficultés à en comprendre les progressions historiques futures et, ce, en raison de la complexité de la dite progression, ce qui veut  dire que cette recherche de modèle historique ne peut être qu'un pis aller, nonobstant cette prudence nécessaire, trois points sont à remarquer dans les relations internationales actuelles :

    a) La similitude entre, d'un coté, les liens qui unissaient Rome et Grèce antique ainsi que leurs évolutions conjointes, et de l'autre ceux établis entre les États-Unis-d'Amérique et l'Union-Européenne ainsi que la façon avec laquelle les américains s'y sont pris pour prendre le contrôle de l'ouest-eurasiatique depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et surtout l'achèvement des guerres d'indépendances coloniales, à mettre en parallèle avec la manière dont s'y était pris Rome pour conquérir la Grèce : tous deux n'ont fait que répondre par deux fois aux sollicitation d'une des partie placée en état de faiblesse (je fais la part lors de cette démonstration sur la deuxième guerre mondiale entre la prise de pouvoir économique américaine sur une Europe las de son histoire et les génocides perpétrés par les nazis, cette réflexion est d'un autre ordre, la nécessité devant laquelle se trouvait les américains à cette époque de renverser les pouvoirs de l'Allemagne nazi, l'Italie fasciste et celui militaire du Japon du fait de leurs crimes ne retire en rien la prise de contrôle de l'Europe par ceux-ci dû entre autre, il est vrai, à la complexe situation de la guerre froide venant après la deuxième guerre mondiale).

    Pour aller plus loin, la ressemblance frappante entre le sigle représentant le dollar $ et celui de  l'euro € avec sa barre surajoutée ne peut  qu'être troublante, aussi troublante que celle, en vérité, de la même barre traversant le L du sigle représentant la livre sterling £ du même dollar $, la seule différence se présentant dans l'identité de la lettre, £ pour livre, € pour euro, $ pour dollar, ce symbole américain, détaché du nom de sa monnaie, a un sens symbolique que j'ai peine à interpréter n'étant pas anglophone.

    b) Les relations entre l'Inde, le Japon, la Chine et les petits pays alentour d'aujourd'hui font montre, aussi, une certaine forme de symétrie avec celles qui prévalurent entre la France/l’Angleterre/Russie et l'Allemagne /l'Autriche-Hongrie et les états de moindre importance en périphérie d'avant 1914.

     Même sentiment d'encerclement de la part de la Chine à l'image de celui qui existait pour l'Allemagne/Autriche-Hongrie, même ressentiment d'un territoire perdue pour l'Inde après une guerre contre la Chine lors de l'achèvement de sa révolution politique (le Ladakh en 1959) que celle que mena la France contre la Prusse bientôt allemande qui lui fit perdre l'Alsace et la Lorraine en 1870, même relative jeunesse des systèmes politiques en Inde comme en Chine au regard de ceux qui étaient en place en France comme dans la jeune Allemagne, même contrepied économique, hier comme aujourd'hui, pour de même causes de modernisation technologique et industrielles suivit d'une mondialisation économique (bien que les formes et les causes en soient différentes), même transformation sociale et début de désertification des campagnes dans ces deux pays, enfin, dû aux bouleversements économiques, en Europe, hier, et en Asie aujourd'hui.

     c) Balkans/proche-orient, voilà encore une fois des similitudes pour le moins troublantes.

     La faiblesse de l'empire turque, le désir d'émancipation de peuples balkaniques, le jeu complexe des allemands, de l'Autriche-Hongrie, des anglais, des russes, des Français et, en Libye, des Italiens, les guerres d'indépendances que se livrèrent la ligue balkanique (Monténégro, Bulgarie, Serbie et Grèce) contre les turques puis la guerre serbo-bulgare et les tensions qui perdurèrent furent les détonateurs de ce qui deviendra la première guerre mondiale suivit de la seconde vingt ans plus tard.

     Bien que les origines en soient autres, les questions géostratégiques d'hier ayant, pour partie, laissées la place à celles du pétrole, la déstabilisation du Proche-Orient par les américains lors de leur attaque de l'Irak, pays déjà bien déstabilisé depuis sa défaite au Koweït, la guerre civile en Syrie, la faiblesse patente des U.S.A. (aussi que de la France et de la Russie) lors de la crise des gaz de combats il y a quelque mois dans ce même pays, l'affaiblissement de l’Égypte dû à sa révolution démocratique en cours, les gesticulations d'Israël en raison de cette faiblesse U.S. qui lui fait perdre toute circonspection, les jeux troubles de l'Arabie Saoudite et du Qatar dans leurs triples craintes d'un pétrole en début (?) de fin de réserves, de mouvements de démocratisations des peuples arabes et d'un Islam en déshérence face à la modernité, les tensions en début de développement entre la Turquie et l'Iran nous montrent deux régions charnières, la première, passée, entre l'Europe et l'Asie, la seconde, présente, entre l'Asie, l'Europe et l'Afrique en situation de grandes perturbations, là en 1914, ici à l'orée de 2014.


    THEURIC

     

  • idée n° 8) ter: Essai de début de réflexion sur le temps présent et notre proche avenir.

     

    Notre problème reste de savoir si, parmi les personnes ayant charge de pouvoir politique au sein de nos institutions, nos élus, de ceux ayant les plus hautes fonctions, se trouvent des personnalités qui seraient dans la capacité de faire évoluer, muter leurs paradigmes quand nous nous trouverons dans la situation ô combien inconfortable de la déliquescence de l'économie mondiale.

    Certes, j'en conviens, rien dans la vie n'est véritablement assuré, bien que cela soit peu probable il est toujours possible que cette économie mondiale et son armature dollarisée puisse survivre aux délires évanescents des classes dirigeantes néo-libérales.

    Mais de cela je n'y crois guère.

    Il est plus que probable que nous entrions, dans un avenir pas si lointain que cela, dans un processus d'accélération de la désagrégation de tout un ensemble de situations dès à présent instables, que ce soit de la quasi totalité des sociétés états-unienne et anglaise autant que de toutes les bulles spéculatives se développant un petit peu partout dans le monde, que celles-ci soient connues, reconnues ou inconnues, toutes exploserons à peu près en même temps en un épouvantable vacarme.

    Ce rêve imbécile d'Amérique qui aujourd'hui prend une telle ampleur que la langue anglaise américanisé est le passe-port obligatoire pour donner l'image d'une modernité échevelée, paradoxe infini à l'ère de la bientôt disparition de la sphère anglo-saxonne, ce rêve, donc, se perpétuera en en changeant de forme: tout comme l'effondrement de l'empire romain engendrât, quelques bons siècles plus tard, le Saint-Empire-Romain-Germanique, il est assuré que la place laissée vacante par les U.S.A. aiguisera l'appétit de symbole dont la société des hommes est tellement friande et que beaucoup de pays d'une certaine amplitude, les B.R.I.C., feront tout pour avoir le droit de s'assoir sur le trône du roi déchu « Dieu et mon droit ! ».

    Le problème c'est qu'il y a moult soupirants.

    Liés, d'autres soucis se font jour (de toute façon, ils serons multiples) :

    -L'obéissance :

    Obéir rassure, surtout pour celui ayant en charge de grandes responsabilité et jusqu'à présent, et pas seulement en Europe, les dogmes simples, sinon simplistes du néolibéralisme, l'assurance avec laquelle ceux-ci sont prescrits par leurs adeptes, l'autorité avec laquelle ils enjoignent et prescrivent leurs commandements et ordres sécurisent et anesthésient les gouvernements, que ce passera-t-il donc quand, le roi dénudé, plus aucun gouvernant n'auront, pour les conseiller, ces gourous de la finance ?

    -Le maintient de l'ordre :

    Quand s’éteindront les dernières lueurs de la puissance américaine et que l'économie se retrouvera au bord de la route, l'insurrection deviendra l'usage. Par recherche d'économie et suivant les prescriptions délirantes des fanatiques de la spéculation, des économies furent faites également dans les forces du maintient de l'ordre, que faire quand des hordes d'affamés en colère s'en viendront dévaster les centres-villes et/ou que des commerces illégaux se multiplieront ?

    -Les forces armées :

    Comme je l'ai dit, un fort risque de dissension vont se faire jour et il est à craindre que la mer Méditerranée et l'océan Atlantique soient sujet à affrontement. Quels sont ces fous furieux qui depuis plus d'une décennie diminuent l'effectif de l'armée, font fabriquer des armes par la Russie (je n'ai rien contre la Russie mais géopolitiquement c'est absurde) ou des munitions par le Pakistan (pour le contingent envoyé en Afghanistan) ? Combien d'homme peut recruter des pays avec plus d'un milliard d'habitant comme la Chine et l'Inde (je ne suis pas un va-t-en guerre mais ce sont des questions hautement politique que tout chef d'état sérieux se devrait d'avoir à l'esprit) ?

    -Matière première et nourriture :

    Thème important que j'égraine et file ici. Que cela ne soit pas au centre d'une réflexion continuelle, d'un débat continu dans la classe politique, les médias et partout ailleurs ne me lasse pas de me laisser pantois. Laisser se fermer les dernière sidérurgies ainsi que des raffineries sans que les forces publiques n'interviennent véritablement montre à quel point celles-ci sont intellectuellement dans un état lamentable ! Dans moins de cinq ans, peut-être moins d'une année, nous risquons d'être en manque de tout, sauf peut-être en billet de banque sans valeur, et il faudra une énergie considérable et un temps appréciable pour rétablir un tant soit peu la situation. L'agriculture n'est pas en reste, l'abandon d'hectares entiers de terres arables, parfois au profit de parcs d'attractions imbéciles ou de maisons secondaires inutiles, peut nous faire craindre une semi-disette catastrophique sur tous les points. La seule chose de positive la-dessus c'est que nous seront contraint de tout recycler, là, le tri des ordures porteront ses fruits.

    -Le risque de disparition pure et simple de l'Union-Européenne :

    Le manque de considération que l'Union-Européenne a pour la démocratie est flagrante. Quand un peuple instruit est appauvri tout ce que peut offrir le pouvoir politique à celui-ci c'est la démocratie, et même si cela lui fait perdre sa prépondérance, cela se fera-t-il, du-moins, par de courtoises élections. Nos dirigeants bruxellois font une intéressante expérience : comment un peuple avec un fort taux de formations supérieur fait-il pour chasser un pouvoir inique ?

    Voilà quelques exemples de ce qu'il me semble devant quoi nous serons confrontés d'ici peu. Les défis dès à présent sont immenses. Seule une pensée politique partagée par le plus grand nombre nous permettra de nous en tirer sans trop d'incidents, mais quoi que nous fassions, il y en aura.

    Pour finir, petite pensée politique :

    La sociale-démocratie, en se pervertissant continuellement, montre que, définitivement, elle se recentre comme le fit, à son époque les partis radicaux (qui n'ont plus de radicalisme que le nom), le centre, lui, montre son réel visage d'une nouvelle droite et ce que nous appelons droite, plus par habitude que par vrai réflexion, n'est plus qu'une extrême droite qui ne veut pas dire son nom. L'extrême droite officielle, elle, sera naturellement absorbée par cette nébuleuse néolibérale dont l'U.M.P. est le représentant français. Il est à remarquer que la gauche véritable est maintenant représentée par, entre autre, un parti communiste ressemblant furieusement aux partis républicains des temps anciens et que le plus radical du front de gauche c'est le parti de gauche. Ce front de gauche est le seul mouvement dont le discourt soit réellement d'un renouveau politique de par sa proposition de faire élire une assemblée constituante. Mais la politique ce n'est pas que cela.


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  • Fiction 1) La ruine

     

    « Quand pars-tu ?

    -Dans trente minutes je vais à l'aéroport et l'avion décollera à six heure, ce soir ce sera le dernier, après l'aéroport sera fermé.

    -J'en ai parlé avec le général Black, il va y faire son cantonnement et nous utiliserons les surfaces restantes pour des cultures après avoir dépolluer le site.

    -Bonne idée. »

    Les deux hommes, chacun un grand mug à la main remplit d'un liquide chaud se voulant café, se tenaient face à face, assis dans un petit laboratoire de l'université encombré de matériels épars en plus ou moins bon état. La fatigue se lisait sur les visages.

    « Merci, Alexandre, pour l'escorte.

    -Non, c'est moi, Albert, qui te remercie, c'est nous tous qui te remercions, sans toi je ne sais pas ce que nous aurions fait et puis c'est le général qui nous a confié ces hommes. Plus aucune route n'est sûre, des militaires armés sont aujourd'hui le seul passe-port efficace. Je suis épuisé, ça fait six mois que je ne dors pas suffisamment », dit-il se frottant les yeux.

    « Comme nous tous, tu te rends compte du travail que nous avons accomplit, en six mois, après l'effondrement du dollar.

    -C'est vrai, et revenir à des techniques anciennes pour que nous puissions vivre en autarcie était de toi, il nous a fallu trouver à la bibliothèque les livres traitant de ces vieilles technologies, retrouver les gestes anciens, regardes mes mains, elles sont caleuses comme jamais...

    -Oh, les miennes n'ont pas bonne mine non plus, regarde » dit-il en lui montrant ses paumes abimées par les travaux physiques, « d'un autre coté ça a fait fondre toute ma graisse, je ne peux plus mettre mes pantalons, ils sont beaucoup trop large, au moins à quelque chose malheur est bon, j'ai retrouvé ma forme.

    -La même chose pour moi, j'ai l'impression de flotter dans mes chemises. Au fait, tu sais combien nous sommes de professeurs restant à l'université, j'ai fait le compte hier, nous ne sommes plus qu'une vingtaine, les autres sont parti progressivement.

    -J'espère que je serais le dernier, tu te souviens de Bob ? Il est parti le premier en même temps que Margarette, il y a cinq mois, il faut dire qu'en cette période les rues n'étaient déjà plus sûr et elle avait peur pour les enfants.

    -Elle a eu raison de partir, en France je crois ? Où travaille-t-elle ?

    -Comme elle est française, elle a pu trouver, en peu de temps, un bon poste dans une université de Bordeaux ainsi qu'un logement, elle m'en a aussi réservé un dans la même faculté, mais nous avons de plus en plus de mal pour nous joindre, le téléphone comme internet fonctionne de moins en moins bien, elle s'inquiète pour moi...

    -Je la comprends, comme tout le reste, ce n'est même plus la peine d'écrire une lettre, la poste ne marche plus. J'ai réussi à joindre le professeur liethmann au téléphone, ça n'a duré que vingt secondes, j'ai fini par le joindre par notre radio onde-courte, il va bien, lui et son équipe ont sécurisé leur centrale nucléaire.

    -Voilà un problème en moins. »

    Un long silence s'établit entre les deux hommes, aucun n'osant croiser le regard de l'autre, sur un mur un grand tableau noir était recouvert d'équations à moitié effacées comme les dernières traces d'une ère finissante.

    Albert repris :

    « Cela m'ennuie de vous lâcher comme ça...

    -Tu as fait ta part, Albert... »

    Le silence retomba, un silence triste, lourd de regret, de fatigue et d'amertume.

    « Ta fabrique de tuile et de brique en torchis fonctionne à plein régime, nous allons pouvoir bâtir des logements et des fermes hydroponiques, tu te représente, devoir revenir au torchis, ici, aux U.S.A., au vingt et unième siècle...

    -Que veux-tu, le pays est ruiné, je t'ai laissé quelques idées dans ce dossier, là... », il désignât une chaise juste à l'entrée de la pièce où, il y peu, en entrant, il y avait déposé le classeur, « j'y ai jeté toutes sortes d'idées de culture et d'élevage hors sol, tiens, j'y ai mis aussi une ébauche de billet de banque ainsi que deux élèves en art plastique excellents graveurs que je te conseille, et puis tout un tas d'autre choses...

    -Je te fais confiance, tu as dû y travailler toute la nuit, non ?

    -Oui, tu y trouveras également quelques vues pour une conscription de tes étudiants et des jeunes de la ville qui le souhaitent, j'y propose service militaire contre études gratuite.

    -J'étudierais tout ça plus tard mais je crois qu'il va falloir que tu partes.

    -En effet. »

    Tous deux se levèrent et se serrèrent la main sans mot dire, Albert sortit puis monta dans le 4x4 d'où l'attendaient quatre soldats solidement armés.

    Au moment où le véhicule démarrait, Albert cria à l'adresse de son ami :

    « N'oublie pas de cultiver du tabac, fais tes cigarettes, il te faut éviter à tout prix les commerces prohibés. »

    Puis le véhicule fonça vers l'aéroport.

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  • Idée n° 11) Réflexion sur l'une des causes premières de la crise actuelle.

     

     Il est de fait que le sens que nous donnons à ce que nous percevons est inextricablement lié à la structure de notre psychée dans ses trois composantes, inconscient collectif, personnel et social.

    C'est à la suite de la lecture de Yung expliquant combien les démocraties populaires et les démocraties libérales sont la dissociation d'une réalité psychique commune que j'ai commencé à faire ce travail de mise en question de ce que peut être notre modernité et quelle différence il peut y avoir entre d'un coté la politique et de l'autre l'économie.

    Cela fait suite, il est vrai, au développement de l'idée des "entités sociales" après que j'aie lu un texte dont le sujet était la théorie des "champs sociaux" de Pierre Bourdieu.

    Les entités sociales sont les différentes composantes professionnelles, légales ou pas, structurant une société, chacune générant langages, discours, actions, gestuels,..., voir sexualités communes.

    De plus, chacune de ces entité sociales ont des intérêts particuliers, spécifiques.

    Les intérêts du scientifique seront différents, divergents, complémentaires de ceux du banquier, lui-même ayant des intérêts différents, divergents, complémentaires de l'entrepreneur (je ne parle pas là d'intérêt d'argent même si pour le banquier celui-ci est premier).

    Nous pouvons nous apercevoir, en regardant l'histoire, qu'il y a progressivement distinction des professions, le professionnalisme des métiers, deux des premiers furent sûrement le sorcier-guérisseur et le chef.

    Arrivé là de mes réflexions, j'en ai conclu qu'il est absurde de faire l'amalgame entre politique et économie parce que ce sont deux entités sociales en tous points dissemblables.

    En plus cela me permets de donner une explication à la crise actuelle dont la cause en serait la suprématie d'une entité sociale sur toutes les autres, cela voulant dire qu'il doit y avoir un équilibre entre les différentes entités sociales.

    Nous pouvons même nous demander si cet amalgame ne nous ferait pas régresser puisque il y a séparation, dans nos sociétés modernes, des divers professions: il serait improbable que, comme en 1870, à la guerre Prusso-Française, le chef de l'état, ici Napoléon III, prenne la tête d'une entreprise militaire.

    Alors pourquoi ce qui est vrai dans ce cas là, contrôle de la force militaire par la puissance publique mais, aussi, indépendance de la deuxième vis-à-vis de la première, ne le serait-il pas en ce qui concerne la banque et la finance?

    Et le communisme, était-il ou n'était-il pas soumis à la loi du marché?

    Il est vrai que la loi du marché ne le concernait pas, mais comme c'était le pouvoir politique qui décidait de tout ce qui concernait l'économie, cet amalgame était tout autant, sinon plus, radical.

    En fait ce sont les deux héros de la guerre froide, les U.S.A. et l'U.R.S.S. qui se sont effondrés en même temps sauf que pour le premier cela se fit de manière discrète et pour le second de façon retentissante.

    L'économie politique était au centre de leur organisation.

    Le problème en est aujourd'hui que nous confondons allègrement économie politique et politique économique, deux notions qui n'ont aucun rapport l'une l'autre, le premier est la domination du politique par la finance et les banques, le second est la domination des banques et de la finance par le politique.

    Cela est dû pour une large partie de ce que la démocratie et le libéralisme économique ont émergé en même temps, le communisme qui a suivit n'est apparu qu'en réaction à la trop grande puissance des forces économiques mises en jeu à ce moment là.

    Il y a eu, ainsi, concomitance entre l'émergence de la bourgeoisie et de la démocratie mais en vrai les deux ne sont pas tant liés que cela:

    -La puissance bourgeoise, l'ordre marchand, s'est accrue en Europe quand les deux autres ordres, guerrier aristocratique et religieux, ont cessé de le mettre sous le boisseau, ayant eux-même perdu régulièrement de leurs puissances;

    -La démocratie est apparu que quand il y eu suffisamment de gens qui surent lire, écrire et compter (Emmanuel Todd, "Après la démocratie").

    En réalité la politique et l'économie sont deux mondes mentaux en tous points dissemblables, leurs intérêts sont différents voire divergents.

    L'actuelle impasse destructrice majeur de l'économie politique vient de la sur-puissance présente de l'économie sur l'ensemble de la société et le vrai danger en est que ce monde politique a remis et remet toujours son pouvoir entre les mains de l'organisation économique, quelle que soit le type d'organisation de référence.

    C'est donc, pour moi, la politique qui doit dominer, j'écris bien dominer, pour le moins, tout ce qui concerne la finance et la banque, pas le contraire.

    Contrairement à l'économie politique, la politique économique, en effet, s'entend à ce que l'économie ne soit que l'un des multiples moyens d'actions pour mener une politique.

    Pour cela, et au même titre que l'armée, la monnaie et tout ce qui en est liée se doit absolument d'être assujettie au monde politique, elle doit être et rester l'un des pouvoirs régaliens de l'état!

    Évidemment, l'entreprise ne doit que très rarement (c'est à l'état de considérer les exceptions) être assujetti à la puissance publique hormis, bien sûr, le simple mais crucial respect de la loi bien que l'état soit, parfois, le plus à même de lui donner le dynamisme nécessaire ainsi que des orientations utiles, la protection des employés et ouvriers étant dévolu aux contre-pouvoirs syndicaux, les forces étatiques étant là pour éviter que l'un des deux partenaires n'aie la prévalence sur l'autre.

    Les services publiques, tous les services publiques, autoroutes incluses, se doivent de sortir des processus concurrentiels au risque, sinon, de leur affaiblissement.
     
     
    Pour finir, la raison de la nécessité de la démocratie c'est la complexité croissante de nos sociétés contemporaines qui fait qu'un pouvoir politique trop puissant, (comme celui-ci détient, en réalité, toutes les rênes d'actions sociales) n'agisse que pour l'intérêt des hommes et femmes qui le compose.

    Il faut donc chasser, régulièrement, les personnes qui sont au pouvoir et les remplacer.

    C'est en en arrivant là qu'une seule conclusion s'imposait à moi: il y a plus que nécessité à la démocratie en raison de la suprématie potentielle de la politique sur toute les autres entités sociales.

    C'est ainsi que j'ai compris que notre démocratie, bien que se devant d'évoluer, était plus qu'une absolue nécessité dans nos complexes sociétés modernes.

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  • Visite protocolaire et élections...

    Je passe rapidement sur les pigeons qui vont voter F.N. sans se rendre compte que c’est le dernier rempart de l’Union-Européenne dressé contre la volonté du peuple:
    ” ………………………
    Apprenez que tout flatteur
    Vit aux dépens de celui qui l’écoute.
    Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
    …………………….”
    Disait le renard au corbeau de la fable.

    beaucoup croient que c'est la solution, mais si nous évaluons les différents discours, dans le proche passé et au présent, nous pouvons comprendre combien ce parti ne fait qu'embrouiller son monde:

    Comment peut-on être pour la démocratie et contre l'euro et l'Union-Européenne sans aborder le moins du monde, dans son programme officiel, l'article 50 de la constitution européenne qui permet d'en sortir.

    Il est facile de porter toute la responsabilité de nos malheurs sur les musulmans, cela permet de détourner les regards des véritables responsables de nos difficultés actuelles, nos banquiers et nos financiers, c'est une ruse vieille comme le monde.

     

    Parlons plutôt de choses importantes:

    Voilà, nous y sommes, Monsieur hollande, après avoir, à demi mot, donné son blanc-seing au premier ministre grecque, amène Madame Merkel rendre visite à Monsieur Poutine, en passant, auparavant, par l’Ukraine, histoire de brouiller un peu les pistes.

    Monsieur Poutine lui confirmera sa discrète aide indéfectible à la Grèce et mettra dans les mains de Madame Merkel la situation du proche futur de son pays et d'elle-même: la partition nord/sud de l’union, le recul de la position germanique ou la désintégration de l’U.E..

    En lui laissant le libre choix mais aucun ne lui sied.

    La décision de la B.C.E. met en effet à mal l’Union-Européenne, à l’exemple de la Grèce où son gouvernement n’a plus d’autre choix que de réussir ou de laisser mettre en place une mole dictature de droite, sous quelque forme que ce soit, un retour des colonels, quoi.

    Mais il me semble que c’était à s’y attendre, Monsieur Sapir avait envisagé la forte probabilité que la Banque Centrale européenne coupe les ponts de l'euro avec ce pays en menaçant de ruiner ses banques.

    Il est à envisager que le gouvernement grecque l'avait prévu avant même d'avoir été élu en en ayant imaginé les réponses les plus efficaces.

    L’action étasunienne est aussi intéressante, en effet, que Monsieur Obama intervienne comme il le fit pour défendre de la sorte les décisions du gouvernement grecque contre l'Allemagne et la banque centrale européenne montre autant ses craintes que la faiblesse tragique des U.S.A.: son équipe craint que cela n'entraine la disparition de la monnaie euro.

    Monsieur Sapir, là encore, nous l’avait très bien montré lorsque qu’il expliquait que l’euro n'est plus que le dernier rempart du dollar contre les spéculateurs.

    Il fut un temps ou les Amériques n’aurait même pas eu besoin de s’adresser ainsi, par médiats interposés, à un pays soumis, le simple froncement des sourcils auraient suffi.

    Nous pouvons voir là la disparition, par l’exemple, de la puissance étasunienne et l’indépendance politique que prennent les états de l’union.

    Mais la Germanie peut-elle agir autrement qu’elle ne l'a fait?

    N'est-elle pas trop piégée par une doxa exigeante d'une monnaie forte et puissance, d'un euro-mark indépassable?

    Irions-nous vers un éclatement concerté de l’euro, voire de l’Union-Européenne ou un délitement continue tel que cela a déjà commencé?

    Les nouvelles contraintes politiques, géopolitiques et géostratégiques devant lesquels les divers composants de l’U.E. doivent faire face suivant leurs situations respectives, historiques, populaires et/ou idéologiques, ceci allié à des divergences de vus de plus en plus importantes entre les nations, et ce pour les mêmes raisons, génère un effet centripète d’une puissance incroyable qu’une Union-Européenne, aux institutions rendues savamment inopérantes et aux représentants choisis pour leurs légèretés de l’être, pour ne pas dire leur incompétence, ne peuvent en aucun cas réduire et encore moins réprimer, tous n'ayant plus aucune autorité ni légitimité face aux élus des nations européennes.

    Il n’est que les chefs d’état et de gouvernement pour faire survivre cette union tant que ces divers contraintes centripètes n’atteindront pas une certaine importance, que les intérêts de leur différents pays et états ne viennent encore pas trop interférer avec la vulgate néolibérale et l'existence U.E. et euro.

    Voilà où nous en sommes et, ce me semble, tout ce jouera lors de cette visite protocolaire que Monsieur Hollande et Madame Merkel rendront à Monsieur Poutine.

    Mais quelque soit le choix que fera le gouvernement allemand, il lui faudra, à toute fin, décider entre le nord et le sud de l’Europe, c’est là que sera la réelle alternative, crucial parce que ce sera de cela dont dépendra l’avenir réel de l’Allemagne et de son dynamisme futur...

    Parce que l'Union-Européenne, déjà, n'est plus seulement qu'une mauvaise habitude.

     

     

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  • Un livre, trois vidéos, un texte.

    Je ne peux être le seul à fureter deci delà dedans un internet proposant tout un ensemble de points de vu sur toutes sortes et sur tous sujets.

    Tout autant nombre de lecteurs doit, comme moi, tomber sur des livres passionnants que chacun voudrait partager tout autant de billets parfois captivants découverts dans tel ou tel blog.

    Je vais donc ici vous présenter un livre présentant l'histoire de façon succincte mais chronologique, puis proposer à vos réflexions ce que j'ai pu découvrir sur la toile au gré de mes pérégrinations, soient trois film puis un libellé.

     

    Je commencerais par vous révéler un petit ouvrage qui, je le pense, captivera des jeunes aux moins jeunes qui n'ont, de l'histoire, que de vagues notions, égarés qu'ils sont dans ce manque de chronologie que l'école offre en instruction aux enfants.

    Les quinze aux quarante-cinq ans ne pouvant qu'y trouver, voire à y découvrir l'ordre temporel qui leur manque si cruellement, les autres y plongeant dans ce délice de la révision rapide.P1010448.JPG

    "Toute l'histoire du monde, de la préhistoire à nos jours" de Jean-Claude Barreau & Guillaume Bigot, collection Livre de Poche, Fayard, publié en 2005.

    Vous pouvez aussi trouver ce livre en P.D.F.. )

    Ils y montrent entre-autre que la défaite de 1940 ne fut que le fait de la bêtise et de l'incompétence des généraux, maréchaux et personnel politique qui ne voulurent jamais écouter le capitaine De Gaulle et qui restèrent ancrés dans une guerre 14/18 largement dépassée, dont au premier chef le maréchal Pétain.

    Cette phrase est  ô combien explicite en étant toujours totalement d'actualité, page 336, dernière ligne:

    "Le mépris du peuple est toujours la tentation et l'excuse des dirigeants défaillants."

     

    Voici ensuite un   film audio plutôt qu'une vidéo d'une vingtaine de minutes, où nous y entendons Monsieur Asselineau expliquer bien mieux que je ne saurais le faire la cause de cette désindustrialisation occidentale.

    Signé "Pascal P.", vous trouverez là l'ensemble de son travail.

    P1010789.JPG

     

    Ce second film est celui d'un policier, Alexandre Langlois, qui fut puni par sa hiérarchie pour avoir voulu informer le public des nombreuses et terribles dérives de la polices française sous la direction de Monsieur Castaner.

    Il y propose ici de débattre avec le ministre de l'intérieur qui ne lui répondra jamais.

    Une remarque au sujet de cette vidéo, il sera simple de savoir qui renvoyer de cette administration une fois que le système économique et l'Union-Européenne auront explosé, ce seront ceux qui auront reçu une médaille par ce ministre sans avoir su retourner leur veste avant (retourner sa veste à temps étant tout de même la preuve d'une certaine intelligence et d'une certaine indépendance d'esprit).

     

    Le troisième concerne le réchauffement climatique anthropogénique, sous forme d'une conférence d'une heure, en France, à l'invitation d'une association se nommant les Climato-réalistes, où un scientifique étasunien, dont voici la brève présentation: "... par John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires", y a présenté son travail.

    Il est à noter que cette conférence fut traduite pour ceux qui, comme moi, ne sontP1010824.JPG pas anglophone, ce qui montre le respect plein et entier de cette association pour la population, dont part ailleurs j'ignorais l'existence jusqu'à hier.

    Ce que j'apprécie surtout ce fut la pondération de ses réflexions où, par exemple, il y explique qu'en effet le CO² a bien mené un accroissement de température atmosphérique mais extrêmement réduit.

    Ce monsieur représente les U.S.A. inventifs et honnête que nous ne pouvons qu’apprécier et non pas de son coté obscure que nos élites adore tant.

     

    Enfin le texte se trouve sur le site de l'U.P.R., pour ceux qui le connaîtraient pas en voici l'adresse.

    Sous le titre: "LA « START-UP NATION » ? Ça marche si l’on respecte le génie français ! " ce billet de Paul Vallier, plein d’optimisme est vraiment rafraichissant mais, surtout, montre ce que je ne cesse d'écrire: notre situation est loin d'être catastrophique, même si nous aurons à traverser une période difficile.

    Et qu'en dix ans nous recomposerons un tissu industriel et agricole complet, mais ceci ne pourra s'effectuer qu'à partir du moment où nous aurons quitté cette satanée Union-européenne, soit de notre fait par l'élection de François Asselineau à la présidence de la république, soit en raison de la désagrégation de cette union mortifère.

    P1020167.JPGUn petit trait historique en passant, le terme bien français de "système D", D pour démerde, fut inventé par les poilus de la guerre de 14/18.

    Bon visionnage et bonne lecture à tous.

     

     

     

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  • U.R.S.S./U.S.A., la chute finale.

    Si cela fait depuis quelques temps que je vous entretiens de la notion de rupture ce n'est pas pour rien, il y a une grande distance entre l'observation de loin de la chute du mur de Berlin en 1989, de la joie de Rostropovitch et de son violoncelle, suivit par la disparition de l'Union-Soviétique en 1991, et de vivre autant dans sa chair que dans son esprit celle de l'Union-Européenne et des États-Unis-d'Amérique.

    Dans les années 80, la grande majorité des professionnels de la politique, de la géopolitique et de la géostratégie s'accordaient de considérer le bloc de l'est comme étant éternellement présents, oserais-je dire jusqu'à la fin des temps?

    Il n'était que de rares illuminés, du-moins considérés comme tels, qui concevaient sa disparition prochaine, comme il en  fut d'Emmanuel Todd de son livre "La chute finale" publié en 1976.

    Comme j'ai pu l'expliqué par avant, je ne suis pas sociologue, ni anthropologue ni géopolitologue, ni même philosophe, je suis un penseur brut.P1020022.JPG

    De ce fait, je peux facilement m'écarter des présupposés partagés par tel ou tel groupe professionnel qui, parfois, peuvent se révéler faux, quelles qu'en soient les raisons.

    Mais aussi des sentiments du plus grand nombre, d'autant plus quand des spécialistes rassurent les gens de la continuité de la situation présente.

    Du moins, je me souviens d'avoir lu aux alentours de 1986 un article dans Science-et-Vie ou s'y montrait les différentes forces armées entre le bloc de l'ouest et celui de l'est et, où, en conclusion, y était expliqué que celui du pacte de Varsovie était plus puissant que celui de l'O.T.A.N..

    Quelques années plus tard, à la surprise et à la gaité de tous, ce fut le délitement de ce pacte puis celui de l'U.R.S.S. que, je le répète, les professionnels n'avaient, pour la grande majorité, pas vu venir.

    P1010825.JPGIl y a une différence fondamentale entre ces événements et ce qu'il se passe aujourd'hui: hier les peuples est-européens, qui haïssaient ce système politique, trouvèrent dans l'union et l'O.T.A.N. un remplacement d'avec ce qui disparaissait quand, demain, nous nous devrons de retrouver une indépendance nationale que la majorité craint.

    Parce qu'à ce moment là il n'y aura plus d'empire ni d'union pour nous mener, chaque pays retrouvera ses frontières et son jeu politique interne sans que quiconque vienne y interférer.

    Personnellement je pense que ce sera une bonne chose, il n'y aura plus ni U.S.A. ni U.E. pur venir nous astreindre à la moindre décision, bien que cela nous nécessitera de remplacer une foultitude de personnels dirigeants incompétents.

    Or, lorsque cela arrivera, cette triple disparition, U.S.A./O.T.A.N. & U.E.€., qui peut être encore plus rapide que de ce qu'il en fut du bloc de l'est, il n'y aura que rarement P1020030.JPGde l’allégresse et non plus même de la satisfaction, ce sera ad minima de la stupeur la plus totale qui animera les foules et pour certains la panique, voir un état traumatique transitoire.

    Ceci d'autant plus que, comme nous l'avait très bien montré cette précédente disparition, cela peut survenir n'importe quand, par surprise, et que ce sera sûrement doublé d'un effondrement économique international concomitant.

    C'est pourquoi il ne faut pas attendre que ça survienne pour y penser et non pas de le reléguer au fin fond de l'inconscient en en déniant toute advenue, ou de le cantonner aux calanques grecques chaque année, en affirmant que ce ne peut arriver que dans cinq, dix ou vingt ans, qu'il est impossible maintenant qu'un tel événement se produise.

    Mais quoi qu'il en soit il se produira probablement plus vite que nous l'imaginons et nous seront tous pantois quand cela arrivera, et je serai naturellement du lot.

    Toutefois d'en avoir pour partie conceptualisé le fait et les effets, cela me permettra de m'y adapter au mieux et bien plus rapidement que tout autre qui n'avait pas pu ou voulu y songer.

    C'est pourquoi, amis lecteurs, il serait bien que, vous aussi, vous vous penchiez sur P1010832.JPGcette échéance dont, il est vrai, la date ne peut en aucun cas être déterminé.

    Et ce sera pour une bonne partie des classes-moyennes les plus hautes que ce choc risquerait fort d'être le plus rude, elle qui sera le renouvellement de cette haute bourgeoisie décrépie devenu oligarchie.

    Quand à ces oligarques et leurs petites mains du macronisme et de l'euro-atlantisme euro-béat, qu'ils le taisent ou l'affichent, ma foi, je me moque quelque peu de leur souffrance future, ce sera à chacun son tour, n'est-ce pas?

     

     

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  • Serais-je radical?

    Serais-je, en effet, radical?

    Est radical, à mon sens, en politique, celui dont les réflexions portent à la racine des problèmes posés et/ou y apportant des remèdes énergiques, parfois absolus, suivant, bien entendu, l'optique idéologique qui est sien.

    Je me suis abonné au journal lancé par Monsieur Onffray, Front Populaire, et, en en commençant la lecture, je me suis posé cette même question que de ce qu'il en est de l'UPR d'avant le scandale traversant ce parti et son chef de file, Monsieur Asselineau (qui a affaibli part la-même celui-ci): serais-je plus radical qu'eux tous?

    En fait, les interrogations qui sont miennes vont bien au-delà de la seule perception de l'absolue nécessité de ce que notre pays, la France, reprenne l'entièreté de son indépendance de l'Union-européenne puisque j'y pose, peut-être plus encore, notre impératif préparation à sa disparition probable ainsi que de celle de notre domination par les Etats-Unis-d'Amérique, ad minima mentalement.P1030621.JPG

    Ceci parce que, bien qu'il soit vrai qu'il nous serait qu'entièrement positif que la France reprenne sa liberté des contingences absurdes et totalitaire de l'union, que la nation retrouve sa souveraineté populaire pleine et entière, que l'état puisse, au plus tôt et à loisir, recourir à tous ses pouvoirs politiques et régaliens perdus et, qu'enfin, nous puissions recouvrer l'entièreté de notre démocratie et de notre identité nationale et individuelle.

    Ainsi en est-il que la réalité des faits présents montre que ça risquerait à ce que cela survienne en raison de cette disparition bien plutôt qu'à ce que de nouveaux gouvernement et chambres délibératives décideraient de nous sortir de ce piège à rat.

    Prévoir la sortie de l'UE c'est bien, prévoir sa disparition le serait tout autant!

    Nous sommes toujours bloqués par ce triple verrouillage unioniste, institutionnellement, certes, mais aussi et surtout en notre belle patrie, idéologiquement, politiquement, ce à quoi je rajouterais dorénavant, médiatiquement.

    La crise sanitaire due au SRAS-COV-2 nous ayant démontrée l'extrême fragilité unioniste face à une difficulté majeur, son administration étant dans la plus absolue incapacité décisionnelle lors d'un quelconque événement de cette ampleur (de tous les flançais).

    Dès lors, en considérant cela et du-fait que ladite crise en a à un tel point perturbé le système économique mondial, surtout européen et des Amériques, qu'un effondrement systémique peut en être sérieusement pronostiqué.

    P1040444.JPGSon étendue et violence à l'internationale dépendant directement de la survie du dollar, si celui-ci perdure dans l'année, fortes sont les chances pour que, à cette échelle, l'économie reprenne, évidemment en une basse intensité dans les premiers temps.

    En revanche, les instabilités économiques de l'Union-européenne, dont l'origine se trouve  dans le double formalisme des traités tant de l'union que de l'euro, ne pourrons que s'accentuer pour conduire, à terme, à une dislocation et de l'une, et de l'autre, ceci d'autant plus que, pour survivre, wall Street pourrait être tenté de pomper les richesses des bourses européennes.

    Ce qui ne peut qu'être que la conclusion logique de l'observation des réactions des différents pays la composant lors de ladite crise, fermeture des frontières, concurrence importante pour se fournir en matériels médicaux, désaccords politiques, recentrage nationale industriel et des fournitures agricoles, promesses aux populations qui ne pourront pas être tenues....

    Alors imaginez donc de ce qu'il en sera quand le système boursier et spéculatif mondiale deviendra malade et que l'UE se retrouve à devoir faire face à une détresse économique d'une dimension inégalée.

    Si tant est que nous ne nous retrouvions pas à faire face à un ou plusieurs pays se décidant de s'en séparer avant que cela survienne, déstabilisant de fait tout ceP1030616.JPG micmac bruxellois.

    Aussi se dit-il, de la part de Messieurs Onffray (que j'apprécie) et Zemmour (je les salue s'ils me lisent) entre-autre, que nous courrions droit vers une guerre civile quand, de mon avis, si cette crainte il y aurait, cela se passera plutôt au USA qu'aux quatre coins de l'Hexagone (hi, hi, hi).

    Le dollar pouvant parfaitement survivre dans l'empire US tout en ce que des combats de diverses intensités s'y mènent, ce à quoi craignent nombre de français qui, ne voulant en être conscient, en refoulent l'angoisse en la projetant à l'endroit de notre patrie, phénomène semblable se passant chez les blancs comme chez les noirs, heureusement minoritaire.

    Et oui, tous rêvant tellement de ce fantasme américanolâtre qu'ils  préféreraient qu'une telle catastrophe se produise sur notre sol plutôt que chez notre cher Tonton Sam tant malfaisant.

    Seulement risquerions-nous quelques échauffourées rapidement calmées.

    La preuve en est que le terme employé est celui d'Europe plutôt que d'union, marque à mon sens de ce fantasme.

    Fantasme parce que, me dis-je, les peuples européens pour des raisons ou d'autres, P1040699.JPGdu-moins des français majoritairement de ce que j'en perçois, ne veulent plus en entendre parler, même sous la forme d'une fédération ou d'une confédération, ils en ont trop souffert.

    A un point tel que, pour certains, ils en furent contraints d'inscrire sur leur peau leur identité pour que, de la douleur du tatouage que cela leur a procuré, ils comprennent enfin qui ils sont! 

    Ceci d'autant plus que le jour où la France n'y sera plus, toutes les magouilles petites et grandes, les errements et autres prévarications qu'il nous est loisir d'imaginer seront mis sur la place publique, et là l’écœurement sera d'autant plus important.

    Tout comme il en sera des raisons réelles de son existence, de notre domination par l'empire thalassocratique US que Monsieur Greiling montre très bien dans son ouvrage "Le Grand Jeu" dont peu sont ceux semblant s'y être intéressé, du-moins y faisant mention, qui pourrait très bien mener à un rejet plus ou moins important de la culture US en déclin.

    Sans compter le choc traumatique pour certains que pourrait mener la disparition de l'UE€, de l'OTAN et de cet empire qui, même s'il survit en tant que pays, ne pourra plus se montrer comme puissance rayonnante, mais juste en tant qu'une union déclinante.

    Eux se retrouveront dès lors vide de rien ni de personne.P1040391.JPG

    En fin de compte si  je suis radical c'est de m'essayer de comprendre comment va évoluer tout ce cirque absurde, m'ayant réchappé à toute cette complexité doctrinale plus ou moins consciente, sans y porter de véritable jugement de valeur, tout en, je vous l'accorde, être parfois provocateur (ce qui rime).

    Pour une part, cela provient de ce que nous n'avons pas su remplacer notre séparation d'avec notre religion traditionnelle, le catholicisme, qui de ce fait et comme je l'ai perçu antérieurement, ne peut pas ne pas recouvrer ses lettres de noblesse, ayant en même temps évolué dans notre modernité tout en étant dans un mécanisme de redécouverte de ses passions originelles.

    Allant bien au-delà de la croyance en Dieu.

    Et c'est un athée qui vous le dit.

     

     

    THEURIC

  • Petit conte pour grands enfants.

    Il était une fois, il y a très très longtemps de cela, une toute petite sourie qui fuyait un gros chat et, de cette folle cavalcade, elle entra dans une tente se trouvant au milieu du bois et se réfugia dans une redingote bleu ciel dont elle se fit un sac de couchage. 

     

    C'était une redingote magique et dès qu'elle entra dedans, elle lui fit un beau manteau avec plein de décorations de fleurs, de soleils et de lunes de toutes les couleurs, composées par des micro-barre, cela se passait dans le Missouri, aux Etats-Unis-d'Amérique.

     

    Et tout à coup, la petite sourie disparue et se retrouva assise sur une minuscule chaise, au très longs pieds, posée sur une table et, devant elle, il y avait un jeu d'échec, de taille normal bien sûr, et un homme était là et lui dit:

     

    "Bonjour mademoiselle, vous avez les pions blancs, c'est à vous de jouer, ce n'est pas compliqué, vous n'avez qu'à penser celui que vous voulez bouger et où il doit aller et, vous verrez, il se mettra tout seul en place."

     

    Alors la petite sourie pensa au pion devant la reine qui avança tout seul, reine qui, par ailleurs, ressemblait à Mistinguett, qui avait de belle gambettes, c'est vrai.

     

    C'était une belle entreprise, pour la petite sourie, qui demanda au monsieur tout en jouant:

     

    "A votre avis, quel est le plus petit nombre?

     

    -Le un", répondit le monsieur.

     

    "Non, c'est le seize, parce que treize et trois!

     

    _ Oh, quel beau calembour bon digne d'un whisky, voici votre verre."

     

    Et apparu une petite table et le petit verre plein à coté de la petite sourie et dessus la petite table y était écrit : " Pour le volontaire involontaire et de toutes ces sortes de joyeusetés, mais un morceau pas trop épicé aussi loin que je suis concerné, quoi!"

     

    "Mais," dit la petite sourie, "ça ne veut rien dire ce qui est écrit sur ma table.

     

    _ C'est normal," répondit le monsieur, "Vous venez des USA et, là-bas, plus rien ne veut dire quelque chose, mais vous avez gagné, votre cadeau est le bonnet phrygien des révolutionnaires français qui, parait-il, sont de retour.

     

    - Oui," dit la Sourie, "j'ai une martingale pour tous les jeux et je gagne tout le temps, votre bonnet me sied à ravir et je serait comme un caméléon au milieu de ces nouveaux révolutionnaires.

     

    _ En voilà un mystère, je réclame que vous me là confiez, cette martingale.

     

    _ Je le peux pas, déjà parce que c'est plutôt emberlificotée, et puis c'est un système magnifique que nous nous confions de petite sourie à petite sourie de parent à enfant depuis des générations."

     

    Comme elle disait ces mots, surgit de nul part une belle femme et sa chatte et, derrière elle, une oie la suivait qui portait dans son bec un gros sac d'os.

     

    "Elle a un splendide minou, "dit l'homme, "elle devrait l'exposer plus souvent.

     

    _ Mais où va-t-elle?" Demanda la petite sourie.

     

    "Près de l'érable magique, " répondit l’homme, "avec ces os de mammouth elle va en rétablir le canevas pour faire revivre l'animal à l'aide de sa baguette magique.

     

    _ Y arrive-t-elle?" Questionna la petite sourie.

     

    _ Jamais," répondit l'homme "ce qui est autant risible que prévisible, mais tous les jours elle recherche des os de mammouth en oubliant que ceux-ci viennent de bêtes différentes.

     

    _ Bon," dit la petite sourie," je crois que le chat qui me poursuivait s'est éloigné de la tente où je m'était réfugié...

     

    _ Ben oui, bien sûr," réagit l'homme, songeur, "c'était la chatte de la belle dame, je me demande par ailleurs pourquoi elle ne montre pas plus souvent son si joli minou.

     

    _ Peut-être cela provient-il de l'un de ces interdit absurde, n'est-ce pas," poursuivit la petite sourie,  "quand à moi je vais retourner dans la tente où je m'était réfugié, rendre la redingote magique puis, quand j'en sortirais, de cette tente, j'en tirerai le rideau, puis je deviendrai une grosse sourie qui adorera les chattes des belles dames.

     

    _ Au-revoir monsieur, je ne jouerai plus aux échecs, mais vous non-plus, d'ailleurs, tout ceci fut un rêve avec pleins de sens, les dames ont une belle chatte et les monsieur une grosse sourie, mais ces chatte là ne mangent pas les souries, elles les accueillent, n'est-ce pas, d'ailleurs, ne serais-je pas la petite sourie du petit garçon que vous étiez?"

     

    " Ci-fait, ci-fait," répondit l'homme," D'ailleurs, voyez, vous commencez à grandir..."

     

     

    THEURIC

  • Réponse à une vidéo de Charles Sannat en un petit agacement.

    Bon ben, pour l'instant, mes photos d'entrée de billet ne semblent pas être publiées, ici il s'agit d'un criquet, pour le reste, je chercherai son petit nom plus tard, si j'y pense.

    Avant-propos:

    Voici le commentaire que j'ai fait sur la site de Charles Sannat après avoir visionné sa dernière (?) vidéo, ce que je vous conseillerais d'aller voir avant la lecture de ce billet

    Je vous le présente telle quelle (sauf corrigé de ses fautes et de ses imprécisions s'il y en a avec les rajouts nécessaires), étant donné qu'il ne laisse jamais de réponse de ses visiteurs à ses interventions.

    Il est des gens qu'il ne faut pas hésiter à secouer pour les réveiller et son grenier, maP1060350.JPG foi, lui laisse une large place pour ses songes de monnaies éternelles, dont du dollar.

    Que lui reprocherais-je?

    De ne vouloir pas prendre parti.

     

    Voici le texte que je lui ai laissé:

     

    Cher Monsieur Sannat,

    Il y a deux mouvements contraires qu'il est aisé d'extrapoler:

    -Un mouvement vers la mise en place d'une telle monnaie électronique que vous venez de nous montrer;

    -Ses impossibilités foncières à son installation, très nombreuses:

    1) il y a une dimension noire de toute économie pérenne, le prêt de cinquante euros pour que son pote fasse le plein de sa voiture ou la garde de son bambin par la petite voisine contre un peu de sou, sauf à ce que les enfant aient leur tirelire dans une banque;

    2) la monnaie électronique n'est pas adaptée à la psychologie humaine, son fonctionnement psychique fait qu'il ne peut pas, majoritairement, la décompter, lui qui, quoi qu'il en soit, reste un chasseur-cueilleur dans l'âme, 15 000 ans de néolithique et les quarante ans d'informatique n'est rien au regard de l'évolution de P1050260.JPGnotre cerveau;

    3) quoi qu'il en soit, cette monnaie ne peut qu'user et abuser de l'énergie, il n'est qu'à penser au nombre de transactions nécessaires en billets et piécettes en quelques secondes en France, ceci au moment même où la crise pétrolière, dissimulée plus ou moins, fait surface, quand bien même les problèmes économiques mondiaux se posent très gravement qui en réduit l'usage;

    4) si vous allez voir le site "Chronique du grand jeu", vous comprendrez que la guerre froide entre les USA et ses possessions, dont nous sommes, d'un coté, la Russie, la Chine, l'Iran et d'autres, de l'autre, or, cette cryptomonnaie est d'essence US par l'intermédiaire de ses instances internationales, croyez-vous vraiment que leur ennemis seraient d'accord pour sa mise en place?

    5) Enfin, il ne peut y avoir de gouvernance mondiale que si et seulement si une partie de la population humaine s'installait hors de la Terre ou si nous rencontrions des peuples intelligents non humain, ce qui est loin d'être le cas, nous avons besoin d'un dehors et d'un dedans des frontières pour évoluer, d'où l'échec du néolibéralisme.

    Les masques inutiles et le couvre-feu dignes d'un coup d'état montre qu'il y a une tentative de corseter les pays occidentaux, même la suède suis les ordres de l'oligarchie US, elle qui n'avait pas confiné sa population jusqu'à présent.

    Penseriez-vous que ce serait pour son installation, le souhaiteriez-vous (rajout de dernière minute)?P1050354.JPG

    Voyez-vous, cher Monsieur, je vous pense sincère et intelligent mais vous êtes comme ce cycliste qui regarde son guidon en oubliant la route.

    En effet, si les présupposés au départ d'une démonstration sont faux, alors ladite démonstration le sera tout autant, il en est de la pandémie comme de l'économie.

    Et la monnaie n'a jamais été, n'est pas et ne sera jamais l'économie, de celle réelle comme nombre de vos collègues la nomme et qui est à contrario de celle monétaire, financière et spéculative.

    Si vous avez l'effondrement de cette économie réelle, ce qui est le cas, vous aurez beau créer toutes les sortes de monnaies que vous voudrez, cela ne changera rien à l'affaire: votre monnaie, à un moment donné, ne vaudra plus rien.

    Si, de plus, vous ne prenez pas en compte les réalités politiques, géopolitiques et géostratégiques du moment, ainsi que des forces et fragilités des puissances de l'époque, vous ne pourrez pas avoir une idée suffisamment claire de la dynamique historique en cours.

    Vous m'avez égaré lors du début de cette pandémie, j'aurais dû en être plus vigilant, là se trouve ma part de responsabilité, mais vous, de par l'écoute de votre site, vous en avez tout autant la vôtre.

    P1040742.JPGPlutôt que de suivre ainsi les élucubration d'imbéciles qui nous ont et se sont mis dans cette mouise économique, commencez-donc à réfléchir à comment faire pour rebâtir l'économie d'un pays, la France, qui se retrouve en une telle décrépitude par nos mamamouchis français et unionistes!

    Le reste n'étant plus que de l'inutile à l'heure ou notre bon maître, les Etats-Uns-d'Amérique, agonisent.

     

    THEURIC
    PS: Ce commentaire sera mis sur mon blog avec l'adresse de cette vidéo.