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Rechercher : usa urss miroir inversé

  • L'histoire et l'Eden

    L'histoire est une garce qui ne laisse quiconque en repos!


    Nos maîtres, bientôt, ne seront plus, le dollar, les U.S.A., le dogme néolibéral sont moribonds.


    Bientôt la pensée étriquée de comptable de boutiquier qui berce nos élus du flon-flon quotidien des molles croyances en la toute puissance du dieu dollar-euro-yen va s'enliser dans le sable de la ruine universelle.

    Les anglais l'ont déjà compris qui font prendre à leur pays un virage serré.

    Les allemands le saisissent à peine dans la crainte de leur effondrement et l'appauvrissement de leurs vieux.


    Tout fait feu sur l'hôtel dressé de la moindre valeur pouvant réchauffer ce pouvoir ploutocratique international et étasunien exsangue, ici, en Europe, nous nous en vidons de nos richesses, ailleurs, les usines ferment de ne plus vendre à quiconque.


    L'infini monceau de crédits ainsi que le gonflement continuel de bulles spéculatives titanesques remettrons, sous peu, tous les compteurs à zéro.


    Déjà se sentent les saveurs passées d'une toute fin de dix-neuvième siècle avec ses rires et ses tourments, ses vérités et ses mensonges, ses principes et ses craintes où l'Inde y sera la France d'alors, la Chine y jouera le rôle de l'Allemagne, le Japon fera une Angleterre présentable, l'Indochine fera Belgique et le Proche-Orient ressemblera aux Balkans.


    Les Amériques, faillies, retourneront à leur Western chérie où le rôle des indiens et des cowboys sera pour le moins chamboulé.


    Ici, en nos contrées de l'ouest eurasiatique, d'anciens réflexes reviendront, la terre, d'abord, l'usine ensuite, la science renouvelée, les arts enfin exploratoires, l'armée en Afrique y joue déjà à contrecœur le temps béni des colonies, partout de nouveaux horizons surgirons mais de si anciens réflexes aussi.


    Et l'histoire, toujours furie, nous navrera de ses exigences.


    Gardez-vous de l'esprit de l’Éden, réservez cela à nos descendants qui, partis au loin voyager au fin fond du cosmos, se souviendront pour toujours du temps de leur ancêtres, nous, qui vivaient sur une petite planète bleu.


    L'histoire est cruelle et sait prendre son dû.


    Nous, contentons nous du moindre mal, l'instruction est tout, lire, compter, savoir penser, savoir apprendre, savoir comprendre, comprendre ce que nous savons et surtout, être curieux de tout.


    Appelons à une nouvelle renaissance!

     

    THEURIC

  • De l'ébranlement qui vient.

    Être conscient de ce qui nous anime individuellement comme collectivement, sans nous laisser subjuguer par quoi que ce soit, en les comprenant, en portant également nos réflexions sur nos instabilité mentales, sur nos faiblesses et nos forces, est, ce me semble, ce qui ne peut que nous permettre autant de nous réaliser pleinement que de nous adapter aux péripéties de la vie.

    Cette vie ne peut être un long fleuve tranquille mais est traversée autant par des étapes, des difficultés et, parfois, par de dures tribulations, voire à ce que des horreurs en viennent à se fracasser à l'encontre de notre existence.

    Conserver cette conscience pleine et entière, d'évidence autant que faire ce peu, tant de notre état physique, mental, nerveux, de comprendre au mieux les passions collectives qui peuvent nous traverser, de saisir, au meilleurs possible, la dynamique historique de l'époque, que nous y participions ou non, bien que la non-action reste en lui-même un choix et, dès lors et de ce fait une action;P1040802.JPG

    De tout faire pour garder cet esprit  clair et, mieux encore, clairvoyant, de ce qui nous anime, nous, nos proches, notre société et l'humanité est, je le concède, une gageure, mais du-moins d'être et de rester dans cette disposition ne peut qu'être profitable pour tous.

    Quand bien même certains resteront aveugles, quoi qu'il se passe, à ce qui deviendra ainsi pour les autres une réalité, ou à se qu'ils souffrent mentalement et/ou physiquement à de tels changements.

    Ceci parce que les temps qui viennent ne peuvent que se révéler une étape ardue à traverser.

    De fait, il devient de plus en plus évident pour tous que le régime néolibéral sous l'égide impérial US et de son dollar, tendent à se déliter au même rythme que leur déclin.

    ( Voici le copier/collé d'une toute petite partie d'un texte du site or.fr, traduit de l'étasunien provenant de cet autre, où s'y trouve le meilleurs résumé de ce que j'affirme, bien que j'y adjoins deux réflexions:

    1) l'hyperinflation y a bien lieu, centré dans les opérations spéculatives et boursières, mais puisque les USA importent quasiment tout et dès que la population recevra de l'argent gratuitement, cela ne pourra que s'étendre à son ensemble;

    P1040886.JPG2) s'il y a guerres, elles ont lieux: celles du Proche- Orient étendue à l'Afghanistan sont de celles-là, sans compter les guerres politiques et économiques que l’imperium conduit envers la Syrie, l'Iran, le Venezuela, la Russie, entre-autres...:

    "Les États-Unis réunissent tous les ingrédients pouvant entraîner la destruction d'un empire : déficits, dettes, dépenses militaires excessives, dépréciation de la monnaie, effondrement du commerce, épidémie, ébranlement de l'ordre public et émeutes.

    Deux choses manquent pour compléter le tableau : les guerres et l'hyperinflation. Malheureusement, ces deux facteurs sont susceptibles de se produire dans les années à venir." )

    Ce fait majeur, central, grandement accéléré en raison de la crise sanitaire due au SRAS-COV-2, nous mène, nous, français, déjà, à de grandes difficultés qui ne pourrons que gravement s'accentuer au fil du temps.

    Or, le fait qu'une part, heureusement se restreignant mais lentement, du plus haut de notre hiérarchie sociale est dans l'incapacité de le reconnaître, ou, sinon, de façon fragmentaire, mène à ce que, dans un futur plus ou moins proche, nous nous devrons, dans l'urgence, de suppléer à son incapacité et inaptitude, entre-autre du gouvernement, dès lors que les Etats-Unis-d'Amérique ne pourront plus cacher, même aux esprits les plus obtus, leur situation pitoyable.P1040617.JPG

    Comme j'ai pu déjà vous en entretenir, nous nous retrouverons dès lors face à deux éventualités:

    I)-soit le dollar tient et, auquel cas, seule l'Union-européenne subira un ébranlement de grande ampleur la faisant disparaître, ce qui serait pour nous la meilleurs des choses, ou plutôt la moins mauvaise, nous pourrons continuer de commercer d'avec le monde;

    II)-soit cette monnaie périclite et en ce cas ce sera ledit monde qui se retrouvera aussi au-dedans d'une telle situation.

    Ces questions économiques déjà présentes sont au premier chef politiques dans le sens où ce rêve d'Amérique formalise idéologiquement, même l'Allemagne, les décisions des acteurs gouvernementaux, administratifs, industrielles, bancaires et autres...

    Puisque s'établissent trois approches face à notre soumission à l'union: conservatrice, réformatrice et d’indépendance, et que les réflexions des deux premiers ne se posent que sur la continuité de son existence, que la seule crainte en sa disparition et à celle US mène dès son abord à diverse crises d'hystéries, angoisses morbides et autres agitations extravagantes et insensées;

    P1040918.JPGAlors nous pouvons considérer probable qu'un grand nombre de ceux qui  font décision en France ne seront plus en capacité de la moindre décision et action dès lors que l'UE et/ou les USA se seront plus.

    Comme j'avais déjà pu l'expliquer, il y a de forte probabilité que notre indépendance nationale nous ne l'obtiendrions pas par une haute lutte décennale mais bien plutôt ne l'aurons que par une manière ou une autre d'absence de ceux tenant la laisse qui nous enchaîne à ces unions, ceci de par la chute de l'une, de l'autre ou des deux.

    Certes, en ce moment les choses sont plus complexes que cela.

    De ces forces conservatrices, voulant que l'UE perdure telle quelle, et réformatrice, désirant réformer cette union irréformable, deux camps s'y affrontent en leur sein, celui américanolâtre et celui germanolâtre, certains passant de l'un à l'autre suivant les événements.

    Scission qu'il est possible de percevoir à l'intérieur du gouvernement jusqu'à la présidence, président y navigant d'aller en retour de Merkel à Trump.

    L'Allemagne, tergiversant depuis quelque temps entre ses intérêts propres, se sortir de l'union, et sa jouissance de dominer l'Europe, y rester, a choisi le second sur le premier de ces choix.

    Cela ne pouvant que conduire les USA, la Grande-Bretagne ainsi que d'autres pays à chercher à déstabiliser l'Union-européenne en accentuant les désaccords déjàP1040903.JPG présents entre les pays la composant ainsi qu'à l'intérieur de ceux-ci.

    Or, de  toutes, la France est, de fait, la nation la plus instable.

    Nous auront donc à gérer quatre, voire cinq difficultés majeures, des défis que nous devrons relever et pouvant s'étendre pendant un certain et indéterminé temps, soient:

    I)- une crise économie importante au mieux centrée sur l'UE, ou un effondrement économique mondial si le dollar disparaissait entant que monnaie d'échange internationale, provenant de la survenue de la pandémie, toutefois déjà entrain depuis Juillet à Août 2019;

    II)- une partie importante de la haute hiérarchie sociale devenant progressivement inopérante, elle qui est déjà totalement inefficace mais détient toutes les manettes du pouvoir;

    III)- des actions de déstabilisation du pays aux origines anglo-saxonnes dont nous devons avoir une absolue conscience,  quoi que nous pensions, et de ne pas confondre d'avec les réactions populaires normales face aux décisions absurdes, mortifères et contre-productives de notre gouvernement pour tenter de sauver ses union et euro chéris;

    IV)- la fuite, l'inhibition, les divagations et discours absurdes, le déni et scotomisation, les accusations imbéciles ou des réactions parfois violentes de la part de ceux qui nous gouvernent et d'une partie de notre intelligentsia;

    P1040919.JPGV)- le risque d'un retour de la pandémie au milieu de ce capharnaüm comme l'explique Charles Sannat.

    Notre nôtre autre gageure, amis lecteurs, est dores et déjà double, de ne pas nous laisser entraîner par des passions dangereuses et inutiles ainsi que de nous préparer à ce qu'il faut bien appeler un ébranlement, soit ce qui est plus qu'une crise et moins qu'une catastrophe.

    De ne pas se retrouver excités par des exactions d'extrêmes droites blanches, noires (surtout africaine) ou musulmanes.

    Tout autant que de mouvements anarchistes qui se montrent toujours absurdes et allant à l'encontre de nos intérêts.

    De nous y préparer tant en intendance (faire ses réserves), physiquement qu'intellectuellement, aussi que de prendre soin de nos proches qui risquent de péter un câble lorsque tout cela surviendra.

    Bien entendu, il est impossible de prévoir avec précision le futur et l'ensemble de ces événements pourraient, sait-on jamais, ne pas avoir lieu, ou, du-moins, de ne pas survenir aussi violemment, certains même se passer en douceur ou de ne pas advenir.

    Toutefois, de se préparer au pire ou, suivant le vieille adage : "qui peut le plus, peut le moins", ne peut que nous permettre d'agir avec la meilleurs efficacité possible.

    Mais pour cela il nous faut et faudra avoir la vision la plus concrète possible du sensP1040583.JPG des circonstances.

     

     

    THEURIC

  • Remarque, mais pas seulement, sur notre temps présent!

     

    La guerre du Mali, puisque c'est ainsi qu'elle risque bien de s'appeler dans un petit peu de temps, montre à quel point le néolibéralisme a militairement affaibli la France, l'Europe et surtout combien les États-Unis-d'Amérique et l'Angleterre n'ont plus de capacités opérationnelles hormis l'évacuation de leurs troupes.

    Du-moins se montrent-ils tel, eux qui aimeraient tellement cacher cette faiblesse.

    Les islamistes, bien que cette dénomination recouvre une réalité fort complexe, offrent à l'Europe le réveille dont elle avait besoin.

    L'économie-politique anglo-saxonne dont elle s'était, s'est entichée dans son aversion existentielle de vivre l'évènement, le sentiment que les U.S.A. resteront, jusqu'à la fin des temps, le garant d'une paix éternelle l'a persuadé que la chose militaire n'était plus que dérisoires souvenirs des époques où les conflits européens faisaient ceux du monde, où les siècles de chocs puissants et mortels répandaient morts et terreurs, où le souvenir du cataclysme exterminateur pervers et cruels de l'hitlérisme générât une culpabilité sans nom, où la scission en deux Europes en firent sœurs ennemies dans le même sentiment de devoir payer leurs fautes.

    Tout cela se fit avec de logiques raisons mais les temps changent!

    De puissants mouvements émergent dont l'extrémisme religieux, le plus visible vient de l'Islam, n'en n'est qu'un modeste échantillon.

    Le catalyseur en sera l'effondrement des U.S.A., du Royaume-Uni; l'Angleterre, elle, bien qu'elle traversera des années très difficiles, saura trouver le moyen de se sauver d'une totale décrépitude.

    Déjà tout le monde comprend que le roi est nu, l'Amérique n'est plus.

    Et ce magnifique bouclier, qu'il était, nous protégeait jadis sans effort des vicissitudes de la violence commune des états et des peuples, de l'histoire.

    Il n'est plus là pour nous offrir de cette paix éternelle à laquelle depuis tant de temps nos aïeux aspiraient, l’Éden.

    L’angoisse monte!

    Plus encore, bercés, hier, comme des enfants, par cette quiétude tiède dû à la rassurante mais apparente puissance d'un oncle Sam au fait d'une gloire dès maintenant en extinction, tous, ou quasiment, en notre doux continent, suivirent les consignes sottes de conseillés d'économie en tout point ruineuses.

    Ainsi est ce néolibéralisme, tare achevée des délires dérisoires mais mortels d'un obscur obscurantisme, ploutocratie orgueilleuse prétendant prendre place des aristocraties passées, en Europe comme dans les Amériques, en un délire psychopathique nous contraignant à la pauvreté, dans une dérive hallucinatoire de l'infinité de leur enrichissement nous entraînant sous peu dans une ère où monnaies et argents perdront toute valeur.

    Alors que tous contempleront, aux faîtes des calamités, la faillite commune des centres économiques, les banques en fermeture, les monnaies en dérision, viendra se signaler le frémissement d'éveille d'une Europe perdu sans son bouclier paradisiaque de cet Amérique en perdition.

    Mais voilà qu'au Mali quelques zigotos, héritiers anachroniques des flux périodiques des fous de dieu qui guerroyaient leurs semblables pour purifier un Islam qui ne leur semblait que si peu respecté par des croyants à leurs yeux faiblement vertueux, viennent vouloir déstabiliser l'un des nœuds majeur du nord-ouest de l'Afrique tant fragilisé où des minerais nécessaires à notre subsistance interdit à la France, à l'Europe de laisser cette massacreuse conversion religieuse donner toute sa puissance.

    Et là se contemple en directe le vide infini de la ridicule capacité d'action de tous les pays européens sauf la France qui ne peut qu'utiliser un matériel d'une telle ancienneté que l'usure y est au-delà de la panne.

    L'Allemagne aimerait tant nous accompagner sur les chemins mouvementé, tortueux des aventures guerrières, sans le dire, sans peut-être même le savoir, sans en être consciente, contrainte par le souvenir des terribles temps où elle se laissât entrainée par un fou et ses meurtriers truands, elle n'ose mais bave d'envie, retenue par un frein qui, en vérité, ne tient plus que par un frêle fil n'attendant que la moindre des péripéties pour rompre.

    Le reste de l'Europe, toujours psychologiquement scindée en ses deux zones, est et ouest, reliquat d'un temps pas si lointain où les deux démocraties régnantes, populaire et libérale, assouvissaient leurs puissances par d'autres, tant d'autres, chacune désignée d'un sigle au même commencement: "union", qui enfantèrent, en leur fin, l'Union-Européenne, le reste de l'Europe, dis-je, sud et nord, ouest et est, garde toujours en mémoire la riche et terrible histoire des tribulations historiques; tous voudraient partager en confédération pas encore satisfaite parce que toujours union.

    Deux milles, trois milles ans partagés, voire plus, tellement plus, de cette histoire ouest-eurasiatique voyant depuis tant de temps passer les envahisseurs déferlants, venant de ces contrées lointaines, arrêtes par l'Océan insondable et restés là de ne pouvoir aller plus loin.

    Europe, amoureuse du dieu des dieux, Zeus, amoureux d'elle, plus qu'une histoire, plus qu'un mythe, Europe et ses fils, presque dieux, futurs dieux, Europe enfantée de la Grèce, Europe reste toujours inscrite, en nom, comme socle et fondation, en filiation de l'ouest-eurasiatique, filiation oubliée, puissante filiation parce que oubliée.

    Peut-on comprendre l'Europe sans connaître rien qu'un peu de cette mythologie?

    Et voici que ces fous de dieu, chaperonnés par ces pays de l'arabique péninsule culpabilisant de leurs richesses provenant de puits de pétroles dont il est déjà perçu le fond, de leurs égratignement du rigorisme que leur habitat déclame, de faire appelle à ces barbares d'européens, seuls capables de bâtir cette modernité que leurs fortunes commandent, que ces fous de dieu, donc, raniment ce rêveur, ce géant endormi de ne plus vouloir être elle, l'Europe et qui, maintenant, en a oublié jusqu'aux raisons de son oubli.

    Et voici que cette Europe, encore ensommeillée, tout juste s'ébrouant, éberlué des craintes de voir s'affaisser le tout dernier titan, son gardien, son sauveur, comprend que la ronde de la vie, de la mort, de l'histoire arrive à sa porte, y toque, y sonne.

    Bien?

    Mal?

    L'Asie, les Amériques, l'Océanie, l'Afrique, des quatre coins du monde le retentissement de l'effroyable écroulement de ces U.S.A. déjà vacillants se redoute autant que la pire calamité, de ces pays s'achètent en dollar de rien leur remplissant les caisses, le reste des valeurs en usines et en biens que les européens vendent sans y comprendre goute; Le rire des acquéreurs, rire de bon cœur et avec raison, résonne sur la Terre comme si elle tremblait de toutes fondations: comment ne pas s'amuser de ces anciens maîtres qui se dépouillent ainsi de leurs derniers fleurons?

    Qu'y aurait-il donc à craindre de cette région du monde où on s'y déshabille sans pudeur et sans honte de ce qui fit d'elle première?

    Moi je la crains!

    Elle, l'Europe, conserve encore en elle de cette pure folie qui secoua l'univers, força l'humanité, domina bien des peuples.

    Arbitre ou acteur?

    Ou autre, aussi?

    A-t-elle dans ses rêve acquise une sagesse telle qu'elle saura peser et poser, en gestes de paix et en justes puissances, l’apaisement de pays aux conflits frontaliers?

    Saura-t-elle donner justice quand le faible et fragile état risque d'être avalé par un plus puissant que lui?

    Ou voudra-t-elle renouveler, triviales jouissances, de ses anciens pouvoirs, anciennes dominations, qui firent que du levé au couché du soleil, ses rayons y puisaient les sources de son empire?

    Ou bien, ou bien, de cette énergie encore balbutiante se fera-t-elle Ariane en fil inspirateur pour le voyage promis au sein de toutes étoiles, instigatrice des seuls chemins d'une destinée vouée à tout humain: visiter les planètes et le vide abyssal, transcender le destin des foules tempétueuses dans les folles poursuites des courses au long-cours?

    Voilà de ce réveille ce que je voulais dire, l'Europe est aujourd'hui à l'aube de son temps, soit ange, soit démon, voire un peu des deux, mais ce qu'elle se voudra être déterminera, à jamais, le futur d'Homo Sapiens Sapiens.

     

    THEURIC

  • Le début du basculement: la rupture.

    Nous sommes entrés dans le basculement des sociétés des hommes, la disparition prochaine des U.S.A. et l'effondrement de l'économie-monde en seront le déclenchement véritable.

    Ce basculement sera certes rapide mais d'une rapidité se comprenant sur une période qui s'étendra sur des décennies.

    Ce basculement sera la mutation profonde de notre humanité, la plus profonde, la plus essentielle que notre humanité ait vécu depuis qu'elle est telle.

    Mais ce basculement ne se fera pas sans que les vertigineuses forces qui sont tapis dans les sombres recoins de notre esprit ne nous poussent aux plus exécrables et destructrices des folies.

    Aujourd'hui nous n'en sommes juste qu'aux prémisses, c'est cela qui fait l'objet de ce texte, c'est pourquoi son sujet premier en sera la rupture.

    Rupture du passé n'ayant plus de raison d'être, mais rupture seulement, pas en lien avec un avenir pas encore en germe, le germe du futur, le basculement.

    Que ceux considérant que je suis trop pessimiste soient rassurés, je ne le suis pas, pas plus que je ne peut être optimiste, à quoi cela me servirait-il?

    Il me paraît plus important d'essayer d'analyser au mieux les dynamismes historiques en cours en ne penchant ni d'un coté, ni de l'autre.

    Comment voulez-vous sinon que chacun puisse se faire son idée?

    Ce qui est en train d'éclater ce sont les infinis déséquilibres mondiaux, sociaux, économiques, politiques, qui rompent les uns après les autres comme peut se rompre un barrage, d'abord pierre après pierre, puis l'eau, entrainant d'un coup le reste de la retenue, se déverse en une déferlante impétueuse et sauvage, fracassant et détruisant tout en contrebas.

    Aujourd'hui, contrairement à ce qu'il peut se dire çà et là, la baisse du prix du pétrole, même après sa rapide et timide remonté ( graph_oil.php ), montre et démontre à ravir la désindustrialisation rapide du monde et non pas de présupposé jeux spéculatifs provenant de la volonté étasunienne de ruiner la Russie, ou de celui des saoudiens déterminés à anéantir l'empire U.S..

    Peut-être l'un ou l'autre, voire l'un et l'autre, n'auraient-ils fait qu'accélérer ce processus, en brusquer l'avènement par des plans sans réelle vision, même à court terme, mais ces déséquilibres sont à ce point faramineux que, même sans le moindre incident, ces mécanismes de délitement se seraient activés.

    Les transports internationaux commencent à souffrir de cette désindustrialisation, maritime d'abord, celui des conteneurs, l'aérien suivant bientôt.

    Les monnaies ne sont pas reste et la valeur et valorisation de chacune ne dépend plus d'une réalité économique d'aucune sorte, tant en fut produite plus qu'à profusion, mais à quelques caprices spéculatrice dont personne, en vrai, ne peut connaître les raisons, même les spéculateurs.

    Les bourses aussi sont dans un état lamentable et, à l'image des monnaies, ne sont plus le reflet de la nature des entreprises d'une région, d'un pays, d'un continent, mais de celle de cette masse monétaire incommensurablement engendrée en une prolifération débilitante, à croire que la seule industrie encore vaillante ce sont les rotatives des banques centrales.

    Bourses montées aujourd'hui plus haut encore que le ciel par de seules manœuvres chimériques faisant croire richesse une montagne d'un argent électronique n'existant que parce que chacun d'entre-nous veut croire que cela veuille dire autre chose que: ça ne vaut rien!

    Mais il n'est pas que de la seule économie dont nous pouvons contempler ce début de désagrégation.

    En politique également nous pouvons voir cette rupture en œuvre.

    Passons rapidement sur les différentes élections dans les pays sud-américains qui virent, depuis maintenant des années, y devenir chef de gouvernement de divers états des personnalités n'étant plus en rien inféodé aux dictats U.S., démontrant par là même la terrible faiblesse des États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, ne nous attardons pas sur le désengagement des pays dits B.R.I.C.A. (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) du dollar et de leur soutient inconditionnel les uns des autres (tant que les U.S.A. resteront un danger), cela pour réduire autant que faire se peut les effets délétères des gesticulations dangereuses de Tonton Sam égalant son manque de prudence et de subtilité.

    Non, pour moi, le fait le plus marquant démontrant cette faiblesse fut la visite que Monsieur Hollande et Madame Merkel rendirent à Monsieur Poutine, qui aboutit à l'accord Minsk 2 pour une paix en Ukraine, en opposition marquée avec les multiples prédispositions des U.S.A. et de l'équipe de Monsieur Obama pour une monté en puissance du conflit civile ukrainien, voire leur tendance sinistre pour développer des querelles avec la Russie.

    Peut-être également y eut-il lieu des échanges au sujet de la Grèce, ce qui ne serait pas pour me surprendre.

    Sachant le besoin crucial des U.S.A. de conserver à sa botte une Union-Européenne qui, comme a pu l'affirmer Monsieur Sapir, est, avec sa monnaie, l'euro, la dernière protection du dollar contre les spéculateurs.

    Ceci expliquant cela, connaissant l'étroite connexion entre l'empire U.S. et l'U.E., cette dernière et sa monnaie ne pouvant survivre sans l'existence de son maître, nous pouvons comprendre les raisons de cette violence économique qui s'abat avec fureur, aujourd'hui sur la tête des grecs, demain sur n'importe quel autre peuple: les dirigeants de notre union ont parfaitement compris que leurs jours sont comptés et suivent le même compte-à-rebours que leur seigneur outre-atlantique, que faire survivre encore quelque temps les banques, assurances et fonds spéculatifs c'est les faire perdurer encore un peu.

    Parce que aussi et également, paradoxalement, aujourd'hui, si l'Union-Européenne lâche, les États-Unis disparaissent.

    Ce contre quoi aucun gouvernement d'un quelconque pays européen ne peut, pour l'instant, économiquement lutter, quand bien même s'appellerait-il Allemagne ou France, même si ces deux puissances indépassables se sont alliées et même si ils ont osé prendre des décisions politiques et diplomatiques.

    Ceci explique également les reculades passées de l'Autriche et de la Hongrie.

    L'histoire a toujours montré qu'une idéologie finissante, grandement partagé par les élites, tend toujours à la monté de sa violence, de sa dangerosité et de son autodestruction, au même rythme qu'elle décline.

    C'est pourquoi, également, les discours sur Monsieur Poutine et l'Ukraine tendent à se scinder de plus en plus entre les médiats publiques (la 2) et ceux du privé: cette mince fissure, encore qu'entrouverte, montre également l'éreintement, l'affaiblissement de cette redoutable ploutocratie dont il est inutile de prononcer le nom de ses représentants tant ils sont visibles, connus et ne sont, en vrai, que de pauvres et ridicules radoteurs de ces mêmes vieilles, sottes et ruineuses sornettes.

    Mais que ce soit au niveau politique ou économique, ce qu'il se passe actuellement n'aura que peu d'incidence dans le futur, hormis, bien sûr, du rapprochement franco-allemand et celui de ce couple d'avec les russes, auquel il faut, bien entendu, rajouter la Grande-Bretagne et son suivisme maladif de l'empire U.S., éloignant encore plus le Royaume-Uni de cet émancipation politique progressive que prend chaque pays de l'union, pour le meilleurs et parfois le pire.

    Le gouvernement d'Angleterre, en de ces ironies que l'histoire aime bien échafauder, risquant de devenir le dernier pays europhile de l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi je crains tellement une ruine catastrophique pour une Albion tellement vidée de ses entreprises et de son agriculture, lorsque cette rupture, cet effondrement de l'économie-monde s'abattra sur nous.

    Ce qui disparaîtra également, ce qui disparaît déjà, c'est l'idéologie néolibérale, ce dogme mortifère faisant de l'argent la seule balance mesurant la valeur de toutes choses, qui sut phagocyter jusqu'à la moindre parcelle de sensibilité, par la publicité, notamment, ce viole immonde des consciences, ou par la divulgation d'un art vulgaire et niais, tel que le rap, et qui, en politique, sait si bien s'acoquiner avec les discours les plus creux et les personnalités les plus viles.

    Ce qui est important, en revanche, pour l'avenir, c'est ce qu'il se passe sociologiquement chez chacun des peuples de l'Union-Européenne qui, à son rythme propre, tend à reconstituer une identité devenue indistincte et confuse, malade d'une propagande continuelle datant d'il a des décennies, des exigences folles et dispendieuses de l'U.E. et d'une société marchande néolibérale internationale matraquant continuellement son dogme de telle sorte que chacun en avait perdu son sentiment d'être de sa société, d'être citoyen.

    Parce que tout cela, les populations en avaient perdu toute raison d'être Soi, en avait perdu toute identité.

    (Comment voulez-vous que des gamins paumés puissent se construire dans une telle société où même les élites, pour une large part ignorantes, ne savent même pas ce qu'elles sont et, pire, qui elle sont, tellement elles se haïssent de se vouloir et ne pas pouvoir être Américaines.)

    Maintenant, c'est cela qui revient: l'identité.

    En France ce retour fut tempétueux, farouche, même, lors des attentats qui eurent lieu en Janvier et qui firent vingt morts (j'en avais écrit quinze dans des textes précédents, pardonnez-moi de cette erreur), les dix-sept personnes assassinés et les trois kamikazes.

    Ce fut une explosion identitaire de la classe-moyenne blanche éduquée, ceux qui par dérision furent surnommés bobos, ceux qui, dans très peu de temps, remplaceront cette caste lessivée qui, depuis le milieu des années 70, a gouverné le pays et l'Europe.

    Ce retour d'identité s'exprimera bientôt, comme je l'ai déjà noté, par le retour du fait religieux suivant les antécédents majoritaires dans chaque pays, catholique en France, par exemple.

    Ce retour d'identité s'accompagnera également, paradoxalement, de cette sorte de renvoi sociologique à une époque antérieure que j'ai appelé rétrogression, comme une reprise en main des peuples qui, pendant un siècle, se sont égaré dans le labyrinthe tumultueux des idéologies économiques, l'économisme dogmatique, et qui aujourd'hui ont un immense besoin de poser enfin leurs deux pieds sur un sol solide, même si son essence est quasiment ancestrales.

    Cette rupture commencera par ce retour à des valeurs anciennes, surannées, il ne pourrait en être autrement, tous, nous sommes bien trop meurtris de ne plus savoir, en vrai, qui nous sommes du pays qui fait nôtre.

    Industriel, commercial, monétaire, boursier mais surtout idéologique, avec, central, la dernière utopie encore vivante: l'américanolâtrie, c'est tout ça qui, déjà, s'effrite devant nos yeux et qui, quand ça se sera abattu par les incommensurables forces des contradictions accumulées, sera balayé par cette lame titanesque que sont les incohérences misent en place par l'oligarchie nationale, européenne, étasunienne et mondiale.

    Ne restera, alors,  que l'immense vide laissé par cette déferlante, qui se comblera de lui-même du meilleurs comme du pire.

    Parce que la rupture n'est que le tout début de ce basculement et que nous ne sommes qu'au tout début de cette rupture, nous devons comprendre au mieux tous les dynamismes en jeu, en rester conscient, il n'y a que cela à faire mais c'est d'une importance vitale: "Qui observe transforme!".

     

     

     

    THEURIC

     

  • Courtes et multiples réflexions.

    Je vais ici proposer un vaste panorama de ce qu'il me semble de notre présent et proche futur.

    Je me dois de souligner me moquer éperdument d’optimisme ou de pessimisme, considérations basées sur la seule émotivité rendant plus ardues une réflexion profonde sur une situation donnée, ici nationale et internationale, situation complexe pouvant déboucher, dans un relativement proche futur, sur des conjonctures dangereuses.

    J'aborderai divers sujets dont quelques-uns sortant, pour le moins, de l'ordinaire.

    Je commencerais par deux de mes relatives erreurs.

     

     

    Réalité du crash économique présent:

    Ma première erreur fut de ne pas comprendre la réelle nature de la bulle spéculative à laquelle nous avons aujourd'hui affaire.

    Il y a deux façon d'aborder ce crash économique, soit ne pas en croire la possibilité en raison du nombre de gens y faisant état sans que personne n'en perçoive un quelconque effet, soit, justement, d'en pronostiquer l'avènement prochain sans que rien ne semble se passer.

    Or, tous, ainsi que moi-même, considérions, avec méprise, que ce crash aurait la même configuration que ceux des années passées, qu'elle soit boursière, bancaire et/ou de crédit, technologique ou de toutes ces autres raisons qui causèrent des dégâts plus ou moins importants dans l'économie mondiale ou, pour le moins, dans celle de telle ou telle région du monde.

    De fait, si rien ne paraît de la réalité de ce crash actuelle, ce n'est pas parce qu'il ne surviendra pas ou que, comme je l'avais envisager précédemment, divers mécanismes mis en place en retarderaient la survenue mais bien parce que celui-ci nous est invisible: il est d'une nature toute autre que de tous ceux qui se sont, les uns après les autres, succédé.

    En effet, cette bulle spéculative est de deux types, complémentaires, et éclate sous nos yeux:

    -   Bulle industriel: la désindustrialisation occidentale (U.S.A., Canada, Europe de l'ouest et Japon pour l'essentiel) qui perdure depuis maintenant près de quarante ans, qui vit les usines s'expatrier là où les salaires sont au plus bas coût pour vendre ces mêmes produits là où ces fabriques ont fermé, s'accentue autant en Occident que dans ces pays aux médiocres émoluments car plus aucun fabriquant ne trouve acheteur de ce qu'il s'usine.

    Il s'agit bien là de la fermeture accélérée d'industries, générant un chômage monstre aux quatre coins de la planète et d'une baisse des salaires occidentaux de même étendue, hormis quelques nations aux rétributions déjà des plus modiques comme en Europe de l'est, et encore, ce qui ne peut pas ne pas s'accompagner d'un ralentissement progressif des échanges commerciaux internationaux, aérien et maritime, et d'une déstabilisation politique croissante des pays;

    -   Bulle monétaire: non pas par la disparition des quatre monnaies que sont $, £, €, ¥, mais de la simple perte de valeur dû à la dantesque surproduction de ces monnaies, totalement déconnectée d'un quelconque réalisme économique et s'amplifiant au fur et à mesure que ces quatre pays et unions, États-Unis-d'Amérique, Angleterre, Union-Européenne, Japon, se désindustrialisent et s'appauvrissent.

    Cette hyper-production monétaire étant dû, à l'origine, pour tenter, dès 2008, de relancer les économies et les industries de ces quatre régions et de sauver des banques qui furent les artisans principaux de cette, déjà, catastrophe économique, avec l'appui aveugle des banques centrales de ces états ainsi que d'un personnel politique incompétent, d'un dogmatisme dangereux, inflexible et extravagant.

    Ces deux bulles spéculatives sont intimement liées en raison de frontières depuis longtemps plus que perméables, béantes, entrainant l'accélération de la fuite et/ou de la ruine des entreprises occidentales, de la monté du chômage ou baisse des salaires par cette concurrence des nations à faibles coûts, suivi de la baisse des bénéfices réels de ces entreprises et dès lors, théoriquement, de celles des bourses si elles n'étaient pas soutenues par ce déferlement de monnaie et de l'achat d'actions par les banques centrales.

    Il y a un renchérissement de cette hyper-production monétaire versée  aux banques, aux bourses et, par delà, aux fonds spéculatifs sous autorité étasunienne: il ne s'agit plus de les sauver mais de retarder le plus longtemps possible leur inévitable banqueroute, conduisant à la ruine universelle mais, surtout, de différer une faillite U.S. déjà effective.

    Hyper-production permettant de prêter aux pays de l'U.E., prêts qu'ils remboursent grâce à  nos propres impôts versés ainsi, indirectement, à ces banques et fonds spéculateurs sans que les états puissent investir dans quoi que ce soit, ce qui ruine d'autant les économies occidentales.

    Nous avons là le plus bel exemple de privatisation de fait des impôts et de la privation du citoyen et de l'état de ses biens puisque, normalement, c'est à la banque centrale de prêter à la patrie.

    Ces crédits aux états sont des vols purs et simples!

    A ce mécanisme vient se surajouter toutes les autres bulles spéculatives qui, à des degrés divers, noyautent et pourrissent l'ensemble des économies mondialisées dont celles de l'immobilier et du crédit sont les plus visibles, comme en Chine ou en France.

     

    L'apparition d'enjeux géostratégiques:

     Ma deuxième erreur est liée à la précédente.

    Elle fut de concevoir que les grands enjeux géostratégiques ne deviendraient centraux que quand l'effondrement boursier en en amorcerait le processus.

    Or, nous sommes dores et déjà entré dans un mécanisme d'éclatement de bulles spéculatives tel que je l'ai précédemment défini et les événements ukrainiens nous montrent combien ces enjeux prennent  de l'importance (étant entendu que dorénavant les enjeux géostratégiques sont essentiellement commandés par des intérêts nationaux et non plus idéologiques).

    Ces événements ukrainiens montrent à tous, d’abord et avant tout, les immenses faiblesses occidentales, tant économiques, politiques, gouvernementales, morales que militaires.

    Plusieurs observations peuvent être faites, entre-autres:

    -la prise de distance progressive de l'Angleterre autant de son allié étasunien que de l'Union-Européenne, sinon son gouvernement n'aurait jamais menacé l'U.E. de faire un référendum pour ou contre la sortie de l'union;

    -la distance prise par la Turquie d'avec l'U.E. et les U.S.A. qui la fait se rapprocher de la Russie;

    -la puissance montante et maintenant incontournable de ces pays qu'avec condescendance l'Occident nomme les B.R.I.C.s;

    -les, pour le moins, déficiences politiques et institutionnelles de l'Union-Européenne, sa gouvernance impossible entre une assemblée sans pouvoir ou en ayant si peu, un conseils européen et des conseils des ministres  inutiles en raison du principe d'unanimité rendant de réelles décisions politiques improbables et la commission européenne, le gouvernement de l'union, aux membres choisis pour leurs mollesses et lacunes.

    L'ensemble de ces déficiences rendant  l'Union-Européenne impossible à gouverner et à réformer, il n'est plus que de la dissoudre..., si elle ne se dissout pas d'elle-même;

    -la détestation montante des peuples de l'U.E. pour cette union qui, en vérité, n'a jamais rien pu leur apporter que le contraire de ce qu'elle leur avait promis: de paix elle ne cherche que la guerre, ici contre la Russie (U.E. étant sans arme, sans munition, sans armée), de richesse elle n'a amené que pauvreté, chômage, ruine, déprédation et désolation, de démocratie elle ne fut qu'autocratie, ploutocratie, aristocratie en ne respectant que toujours moins le vote de ses citoyens, d'égalité entre les peuples elle n'est que domination de l'Allemagne et des U.S.A.;

    -La totale incroyance de nos édiles pour une quelconque valeur de l'Union-européenne, en cela j'en donne trois exemples:

          -Jamais, pendant les jeux olympiques, ne sont décomptés, dans les médiats, les médailles remportées par l'Union-Européenne, jamais aucun athlète ne s'est réclamé de l'union, jamais une personnalité politique de l'U.E. ne s'est, devant les caméra, enorgueillit du résultat de l'ensemble des sportifs européens;

          -La météorologie présentée à la télévision  ne fait nul part mention, hormis sur france24 d'ambition internationale, du temps qu'il peut faire ne serait-ce que chez nos proches voisins, Belgique, Espagne ou Italie;

          -Seules deux élections européennes font cas lors des journaux télévisés, celles d'Angleterre et d'Allemagne, mais quand elles ont lieu aux États-Unis-d'Amérique, le temps d'antenne dépasse, et de loin, ceux des précédentes.

    Cela nous montre bien que l'Union-Européenne n'est qu'une farce dont personne n'accorde foi, même aux plus hautes fonctions et qu'elle n'est que la pauvre résultante de la colonisation de l'Ouest-Eurasie par les étasuniens (parler anglais, hormis pour les scientifiques, la langue anglaise étant devenue langue savante, revient de reconnaitre sa position de colonisé);

    -les puissances régionales montantes, faisant ou non parti des B.R.I.C.s, comme le Brésil ou l'Afrique-du-Sud, poseront, sous peu, le problème de nombreux conflits potentiels;

    -surtout, l'incontournable Russie, détenant des ressources en matière première et en intelligence, ce qui, ironie de l'histoire, la rend centrale en remplacement de U.E.A., elle qui agit avec une grande subtilité et finesse dans sa confrontation ukrainienne avec un gouvernement étasunien ayant perdu toute mesure, esprit et force d'âme et une européenne union ne faisant que suivre les moindre de ses désidératas;

    -je me dois de rajouter une rapide note au sujet d'Israël, sujet sensible s'il en est, proche d'une dynamite de l'écrit et de la parole, quand bien même serais-je juif de par ce qu'il en est dit, d'us ashkenaze athée loin de toute religion et tradition, comme Marx, Freud et Einstein.

    Cette région a été, depuis toujours, d'un intérêt géostratégique majeur et il serait de l'avantage des israéliens et des palestiniens que, dès que la disparition de l'empire U.S. deviendra d'évidence, un terrain d'entente soit trouvé pour éviter que le conflit israélo-palestinien ne devienne, pour de proches ou lointains voisins, la bonne cause pour occuper une position stratégique de première importance (sans compter que cette situation pourrit chaque jour un peu plus l'ambiance en Europe et en France et je ne veux en aucun cas me retrouver face à des difficultés en raison de causes psycho-anthropologiques profondes et logiques que chacun des belligérants feraient bien de rechercher).

    La découverte de gaz et de pétrole au large des côtes Israéliennes et un fonctionnement psychosocial proche de celui des Anglo-saxons pourrait peut-être, aussi, en faire sens.

     

    Fin des Amériques en tant qu'union:

    La Disparition des U.S.A. représentera un problème géopolitique essentiellement en Europe, au Canada et, bien entendu, pour les étasuniens, le reste du monde se préparant déjà, parfois contraint et forcé, à cette échéance.

    Pour les européens et pas seulement les décideurs, ce sera une réelle catastrophe idéologique, bien pire que ce que put être l'achèvement du communisme et la disparition de l'U.R.S.S..

    Bien que certains pays de l'union en viennent à s'écarter de l'empire U.S., en raison de la situation en Ukraine pour l'Allemagne et, dans une moindre mesure, pour la France ou d'une Angleterre, comme je l'ai montré plus haut, qui, comprenant les faiblesses aujourd'hui patentes des U.S.A. et de l'U.E., en est à vouloir reprendre son indépendance, le centre physique et symbolique du néolibéralisme se trouve, dans l'imaginaire euromaniaque, dans les bureaux de la Maison Blanche et le long des allées de Wall Street.

    En réalité c'est l'Europe qui est la mère de cette doxa devenue extravagante, c'est l'ordre bourgeois européen, en perdant le contrôle du capitalisme depuis les cent ans nous séparant de la première guerre mondiale et en l'ayant exporté dans les Amériques depuis plus longtemps encore qui a le plus à perdre de cette fin prochaine, parce que cet ordre bourgeois est devenu ce que précédemment il haïssait le plus: d'une avidité et d'une lésinerie au-delà de toute retenue tenant lieu de toute valeur morale et de culture.

  • De quoi nos angoisses se tiennent-elles?

    Bourdon Terrestre (Bombus Terrestris)

     

    Bonjour tout le monde,

     

    Avant-propos:

    Il est de fait que, quand bien même cela est tu, les pays européens à l'intérieur de l'union et donc au sujet de la France,  en tant que colonie étasunienne, se trouvent en un statut similaire à celui qui prévalait pour le Vietnam au sein de l'Indochine française.

    Le nier en insultant le porteur de cette affirmation basique c'est faire preuve de forfaiture, au mieux, d'une forme collective de névrose, au pire.P1060215.JPG

    Notre problème, en tant que citoyens français colonisé, est double:

    1)-Cela nous a conduit à un retard évolutif et de développement de notre patrie de près d'une trentaine d'année, tant scientifiquement, artistiquement, économiquement, technologiquement, intellectuellement..., voire même à ce que cela nous en ait fait gravement rétrograder sur tous les plans.

    C'est bien parce que notre position de colonisé est au minimum minimisé quand, majoritairement, il est dénié, que je me vois contraint, pour rendre cette affaire d'évidence, de me montrer peut-être quelque peu excessif à l'endroit de l'imperium thalassocratique US.

    Bien que puisque l'on ne prête qu'aux riches, quelle que soit le type de richesse, et au vu des multiples complots que cet empire complotiste a pu se révéler être coupable au fil de son histoire proche d'un petit peu plus de trois siècles, il est probable que de cet excès dont, sur mon blog, je me fais montre soit bien en deçà de la réalité;

    2)-L'aspect primitif de la société US, se pensant l'alpha et l'oméga anthropologique de la perfection en tant que peuple à la destiné funeste manifeste, ceci doublé de l'intrigue manipulatrice continuelle dont elle fait preuve à notre égard en voulant, de toutes forces, que nous devenions leur semblable-;

    Ceci, dis-je, nous conduit à une angoisse importante qui, au fil des sept décennies P1060029.JPGpendant lesquelles cet état de fait s'est développé, s'en est accrue aujourd'hui d'une manière telle, et en raison même de sa négation devenue quasiment catégorique, que cela conduit toutes les échelles hiérarchiques de la population à voir ladite angoisse se transmuter en une instabilité mentale plus grande encore, prenant différentes  formes, jusqu'à une violence de toutes sortes.

    C'est bien parce qu'il y a refoulement collectif de cette réalité première de notre domination par un empire malveillant, ce que nous savons (de Marseille) fort bien,  tout en le considérant comme absolument bienveillant, ceci en niant mordicus que nous puissions souffrir de cette bivalence sous la forme de cette auto-injonction paradoxale, l'ensemble étant non exprimé, nous conduit à voir s'augmenter les dites instabilités mentales à mesure que l'empire décline.

    Parce que du fait même que, justement, les causes véritables de l'origine de cette angoisse multidécennale n'est que peu ou  non consciente, que comme nous avons, au fond de nous-même, cette relation ambivalente d'avec les USA, alors, tout signe de son affaiblissement ne peut que nous mener à des réaction plus ou moins hystériformes, survenant parfois sans raison véritable.

    Il est vrai, moi aussi, il n'y a encore que peu de temps, je n'avais pas saisi cette réalité première.

    De la nature des USA et de notre vision à tortP1060206.JPG manifeste mais faussé de ce qu'elle serait:

    L'état profond étasunien est un petit malin: il laisse à croire que grâce à lui l'Allemagne peut assouvir son fantasme de recréer l'empire carolingien et, à la France, de ce que sa souveraineté est définitivement détruite et son pays transformé en länder.

    Ô les deux beaux mensonges que notre colonisateur laisse entendre à notre endroit sans jamais l'exprimer véritablement, tout en détournant notre regard du véritable coupable de nos difficultés; les Etats-Unis-d'Amérique.

    Déjà l'Allemagne, quand elle se retrouve à regimber pour telle ou telle raison face à l'empire, retourne directement à sa niche en couinant dès lors que notre bon maître lui fait les gros yeux.

    Ensuite, ledit empire carolingien était infiniment moins étendu que ce que peut être que l'Union-européenne, sans compter que si la Germanie en a les clefs ce n'est juste que pour les porter, et s'il se révèle qu'elle veuille en ouvrir les portes, ce qui me semble en être tout de même de sa velléité, alors la thalassocratie impériale détruira la maison unioniste jusqu'à ses fondations.

    De fait, notre domination par l'empire US est un tabou et, ce, depuis longtemps quand, dans le même temps, sa nature réelle, thalassocratique, ne put, de ce que j'en sais, être comprise que depuis quelques années seulement par Christian Greiling de son site: "Chronique du grand jeu" sous le pseudonyme d'Observatus Politicus P1060093.JPG(duquel je vous ai déjà fait cas).

    Les Etats-Unis-d'Amérique est un pays extrêmement jeune et, déjà, dès les années cinquante, il se disait de lui que: « Les États-Unis d’Amérique sont le seul pays passé de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation. » 

    De fait, celui-ci ne peut perdurer en tant que tel, tout simplement parce que, s'il est déclinant (contrairement à ce que j'ai pu en concevoir par le passé) c'est qu'il est entré, dès les années soixante, dans un processus civilisationnel où sa nation ne peut que traverser les mêmes tourments que toutes civilisations ont pu connaître par le passé (poils aux nez).

    C'est pourquoi il ne peut qu'être ardu de définir les étapes par lesquelles il passera mais que nous ne pouvons qu'être assuré que cette crise première qu'il traversera, qu'il traverse déjà le laissera, pendant des décennies au moins, hors de tout enjeu international, ou alors à la marge.

    C'est çà qui nous conduit, jusqu'à maintenant, à cette angoisse existentielle: nous pensions que les USA étaient le nec plus ultra de l'évolution sociétale, culturelle et anthropologique, que grâce à eux nous vivrions une paix éternelle, venant en écho à la lointaine pax romana, étasuniens se croyant eux-même résurgence de l'Empire Romain d'Occident, ce qui n'est que fariboles, billevesée et rêveries.

    Nous pensons cela inconsciemment, tout en ne voulant pas être sous leur domination, tout en désirant résolument être son 51ème état, tout en haïssant sa réalité sociale & culturelle, tout en voulant lui ressembler et en adopter les code, tout en  considérant leur caractère arriéré, etc, etc, etc, etc... !P1060130.JPG

    En des allers et retours angoissant entre amour et détestation, visible par le ridicule rejet de Monsieur Trump ainsi que de l'affection dérisoire pour Monsieur Bilden de la part de nos journalistes et chroniqueurs (qu'adore les alsaciennes) cornichons.

     

    L'UE comme ersatz d'USA offert par notre mentor, une sorte de réconfort carcéral:

    Hormis la Pologne qui n'a aucune confiance en ses voisins européens, sauf des pays nordique et encore, tous les autres de l'est ne sont rentrés dans l'Union-Européenne et l'OTAN que contraints et forcés par l'empire, mais aussi de par leurs intérêts bien compris: ils s'industrialisent sur notre dos!

    De fait, il n'en faut que de peu pour qu'il nous quittent avec armes et bagages en nous laissant ruinés.

    Pour ceux de l'ouest, dont nous sommes, les Etats-Unis représentaient, en plus d'une toute-puissance qu'ils n'ont désormais plus, l'Eldorado, la Terre Promise, là où couleraient le lait et le miel et où Wall Street représenterait la cité d'or d'où ruisselleraient toutes les richesses, le lieu où existerait la corne d'abondance ressuscitée.

    C'est en cela, en ce fantasme européen vain et dérisoire, et affin que la mainmise étasunienne puisse s'effectuer en plein sur l'Europe, qu'il leur a fallu, aux services manipulateurs US, en soudoyant depuis 70 longues années l'élite du et des pays, mettre progressivement, tout doucement en place une succédané d'Amérique qui, au fil du temps, pris différents noms: CE, CEE..., pour qu'aujourd'hui nous nous retrouvions, nous aussi, avec une union, l'Union-Européenne, et une monnaie, l'euro, avec une jolie même double barre "-" traversant l'E: €.

    C'est cela qui a à un tel point abâtardi notre société et, ce, de tous points de vues, P1060353.JPGnous conduisant aujourd'hui aux affres de l'iniquité, de la pauvreté, de la violence, de l'inculture et de la sottise: de vouloir ressembler aux américains.

     

    les pigeons de France:

    En France notamment, une coterie de quelques dizaines de milliers d'individus dont nous connaissons la plupart des visages dans les médiats officiels, sont totalement inféodés à l'état profond US et/ou à leurs oligarques, dont aux entreprises pharmaceutiques et aux société internet, entre tant d'autres.

    Ce ne sont pas seulement nos entreprises qu'ils achètent, ce sont aussi nos cerveaux, parfois bien fait, qu'ils corrompent, qu'ils endoctrinent depuis si longtemps, jusqu'à faire émerger, chez ces nôtres concitoyens, un état mental confusionnel de les mener part trop au mensonge.

    Notre état profond, la haute administration et les PDG des banques, nos oligarques, les riches détenteurs de nos médiats payés par nos impôts, ne sont que les dindons d'une farce pire encore qu'il peut en être pour nous, simple quidam, ceci parce qu'eux, ainsi que leurs employés du monde politique, médiatique et pour partie économique, sont infiniment plus circonvenus que nous ne le sommes, agissent essentiellement pour les intérêts impériaux et non pas pour les leurs propres et, encore moins, pour ceux de la nation.

    Nous pourrions le dire de cette manière grossière et imagée que nous utilisons tous avec plaisir (ne nous le cachons pas) dans le langage commun: "Ils se font tous baiser la gueule par les ricains dans les grandes largeurs!"

    Et quand en viendra le moment, ils se devront de payer cette gabegie, la faillite du pays, leur collective traîtrise en France comme ailleurs: la colère populaire sera tropP1060197.JPG importante et il faudra bien la calmer.

    Nous faudra-t-il envisager d'achever une épuration du pays qui, en 1944, ne fut que partiellement effectuée en raison des ordres donnés, déjà à l'époque, par notre bon maître au gouvernement d'alors?

    Sommes-nous dans une situation analogue?

    Quand ceux, de l'état profond et de l'oligarchie US, se la couleront douce en regardant, rigolard, gesticuler comme de pauvres pantins leurs petits subalternes français faisant face à leurs juges et à la vindicte populaire.

     

    Etats-Unis-d'Amérique & Union-Européenne, leurs liens indéfectibles d'avec leur fin:

    Dès lors que l'imperium transatlantique commença à montrer de graves signes de faiblesses, dès un petit peu avant la magistrature de Sarkozy, cette angoisse déjà ancienne composée de ce malaise entre notre amour et haine pour les States, se mua en une douleur due à la compréhension viscérale de sa prochaine disparition.

    Qui ne put qu'accroître d'autant plus cette angoisse, conduisant à une grande P1060402.JPGanxiété, voire, pour certains, à de l'effroi (il en était de même pour les communistes d'il y a trente ans).

    Nous savons tous, en effet, quand bien même ce ne serait que largement majoritairement inconscient, que ce fantasme d'Amérique sous les traits de l'union disparaîtra soit juste avant, soit en même temps, soit tout de suite après la disparition de l'empire, quelles qu'en soient les raisons et la façon avec laquelle cela se fera.

    Cet ersatz d'une puissance impériale en déclin très avancée que sont les UE/€/OTAN, puissance à laquelle les européens s'imaginent de participer par réflexe pavlovien,

  • Ce qu'il se passe, entre-autre, en France et ailleurs

    Ceci est juste le début d'explication de ce qu'il pourrait bien se passer sans que, je n'en aie de véritables preuves, toutefois cela me semble logique, je poursuivrai cette réflexion au plus loin lorsque je pourrai le faire plus tard, quand des informations me le permettrons.

     

    Veuillez noter les idées suivantes, bien que, en tant que penseur brut, je ne puis, donc, présager de la réalité intrinsèque de celles-ci :



    Les pays qui, lors de la guerre froide, étaient dits de l'Est et qui, suivant, font maintenant parti de l'Union-Européenne, savent, de fait, quatre faits que je peux que considérer comme logiques :



        1. Depuis la sortie de la Grande-Bretagne de l'union, chacun sait que tous pays qui en sortent doivent rembourser les dettes dues aux pays y restant quand ces derniers n'ont, part ailleurs, à ne rien rembourser auxdits pays qui en sortent ;



        1. De plus, lesdits pays de l'Est savent, depuis 1989 et leur sortie du pact de Varsovie, qu'il n'est nul besoin de signer quoi que ce soit pour quitter un traité d'union, il suffit juste d'attendre que cette union périclite, quitte à la déstabiliser ;



        1. Ils furent industrialisés par nous-mêmes à peu de frais en raison de la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux édictées par les traités de l'UE ;



        1. l'argent que les pays de l'Ouest leur ont prêté, qui leur a permis de moderniser leurs infrastructures, ne seront remboursés que si l'Union-Européenne se désagrège d'elle-même.

           

          Veuillez également noter la chose suivante :



    Je subodore ceci :



    Se livre une guerre économique à outrance entre familles oligarchiques, dans les nations qui se trouvent sous le couvert des Etats-Unis-d'Amérique, mais aussi au sein de l'empire étasunien.



    Or, ceci à n'en pas douter, ceux qui, desdites familles, détiennent les ordinateurs les plus puissants, ce sont ces derniers des USA .



    Vu que ce sont des machines à très hautes vélocités, ceux-ci ne peuvent qu'accroître les structures chaotiques naturelles des opérations spéculatives en raison de la profusion, toujours plus nombreuse et rapide, des échanges, tant en vente qu'à l'achat.



    Dès lors, Plus lentes sont cesdites machines, plus les pertes monétaires seront grandes, voire funestes, ceci d'autant qu'à ces pertes pour les ordinateurs les plus lents, pourrait bien se surrajouter les fait que ceux des plus rapides prennent les valeurs monétaires des précédents.



    N'oublions pas ceci :



    Bons du trésor veut dire reconnaissance de dette des états.



    L'or papier ressemble à s'y méprendre aux bons sur l'or sous la régence de Louis XV qui se termina par une crise économique de grande ampleur (de tous les Flançais).



    A n'en pas douter, si les subprimes ont perduré depuis 2008, alors nous nous retrouverions dans une situation analogue à cette époque.



    THEURIC

  • Remarque sur le temps présent et le proche avenir 3

     

    Ce système économique devrait déjà s'être effondré et pourtant il perdure.

    Ce serait comme si était retiré la moitié de la base d'un château de cartes qui, cependant, s'obstine à rester debout.

    Parler de terribles bulles spéculatives c'est, pour le moins, faire preuve de modération et plus le temps passe, plus cette au-delà de crise sera sévère.

    Alors quoi, que nous vaut ce sursis, cette pause, cette temporisation ?

    La crainte, la peur d'une faillite de l'économie internationale fait que les décideurs font tout pour que cela n'arrive pas, mais malheureusement cette fin est inéluctable.

    Emmanuel Todd, Pierre Jovanovic, entre autres, nous expliquent tout cela bien mieux que je ne pourrais le faire mais ce dernier, dans une interview donnée en Juin de cette année prévoyait, de façon argumentée, cette catastrophe pour la fin 2012, or elle n'a pas eu lieu, d'où mon interrogation.

    Mais une autre question, en écrivant ces lignes, fait jour : si, en effet, la peur de cet effondrement monétaire fait que les décisions sont prisent pour que la date de son avènement recule, cela voudrait-il dire qu'il y a conscience de la condition déplorable de l'économie mondiale ?

    Alors pourquoi les mesures, qu'il serait simples à appliquer, nous est-il expliqué, ne sont-elles pas immédiatement engagée pour nous éviter la pleine banqueroute ou du-moins la réduire ?

    Parce ce que ce ne sont pas seulement les hommes de pouvoir et politiques européens dont il est ici question mais ceux du Moyen-Orient, d'Asie et d'Amérique, voire d'Afrique et qui seraient, réagiraient comme dans la détresse d'un deuil d'où mon intérogation.

    Au-delà de la manipulation néo-libérale à laquelle nous fûmes soumis depuis plus de quarante ans qui commença par les séries américaines pour continuer par la vulgate marchéiste divulguée avec complaisance dans nos médiats, nous trouvons aussi, discrètement dissimulé au sein de notre inconscient, la rassurante présence de ce gendarme absolu que beaucoup crurent être les États-Unis-d'Amérique.

    En fait, ce policier se révèle être le faiseur de désordre.

    Il faut comprendre que nous restons encore psychologiquement dans la terrible angoisse de la guerre froide et les U.S.A. en furent les vainqueurs par K.O., l'U.R.S.S. s'est ruiné à cette course échevelée aux armements (nous pourrions même nous demander si les U.S.A., aussi, ne subissent pas, aujourd'hui, leur ruine en raison même de cette course).

    Les choses, à cette époque, étaient on ne peut plus claires et simples : il y avait deux camps, celui des russes et celui des américains et même ceux se disant indépendant adoptaient, en réalité, la philosophie politico-économique soit de l'un, communiste ou socialiste, soit de l'autre, capitaliste ou social-démocrate.

    Maintenant ce bipartisme, cette dualité a volé en éclat et les lois complexes de la politique reprend naturellement ses droits, les sud-américains l'ont compris les premiers qui reprennent leur indépendance et liberté de peuple parce que leur encombrant voisin n'est plus, depuis longtemps, ce qu'il a pu être hier.

    Je me demande également si ces deux géants, ces empires moribonds ne nous montreraient pas, de par leur disparition, l'exemple de quelque chose de l'ordre d'un principe social : il y aurait les empires détestés, l'U.R.S.S. et les empires révérés, sinon chéris, les U.S.A..

    Ceci dit, ce sera la qualité et la vitesse de réaction de notre président de la république dont dépendra la suite des évènements mondiaux.

    Je me doute que d'écrire cela doit en surprendre plus d'un mais je ne le fais pas par quelque fanfaronnade ou esprit d'excentricité mais bien parce que ce sujet porte sur la perception, qu' à tord ou à raison, une large part de la population mondiale a des français : la révolution.

    C'est en cela que j'écrivais précédemment que « tout le monde lorgne la France ».

    Les révolutions qui eurent lieu dans le sud méditerranéen fait craindre que cela ne se reproduise ailleurs d'autant plus que d'être resté sous le joug, qui de l'Amérique, qui de la Russie a fait perdre, pas seulement à la seule hiérarchie européenne, le goût de la décision murement réfléchie.

    Infantilisés, ces hiérarques ont perdu l'habitude de penser par eux-même et leur choix ne se font pas, le plus souvent, pour l'intérêt général mais bien dans cette idée de faire plaisir au vainqueur de cette guerre larvée entre ces deux anciens maîtres.

    Quand faillira le monde, si notre président de la république n'entame pas rapidement une politique différente de celle menée actuellement, il est à craindre qu'il ne soit balayé par des forces impétueuses, même si il n'est que peu responsable de l'état actuel du pays.

    En réalité, surveillez l'Angleterre qui, bien qu'aujourd'hui à terre, saurait bien nous étonner par un retournement que seul son talent peut permettre, elle a de tout temps eut ce génie d'être en avance sur le reste de l'Europe, la première révolution fut le fait des anglais, qui s'en souvient ?

    La nôtre suivit un siècle après.

    Mais autant la Grande-Bretagne conservât ses institutions, autant la France renversât la table, là est la différence.

    « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! »

    Winston Churchill

     

    THEURIC

  • Retour à la politique (que je n'avais jamais quitté).

    J'avais de projet d'une longue réflexion sur le cas Attali, sujet qui, ma foi, recouvre bien des réalités politiques, psychologiques et sociologiques.

    Mais après cinq à six  heures de dur labeur, j'ai tout effacé, ce sujet pouvant se révéler dangereux et, suivant ma maxime: "Prendre un risque inutile est imbécile.",  je referme ce thème.

    De toute façon, ce personnage, qui n'a de réel intérêt que celui qu'il se porte, depuis qu'il nous avait présenté Macron comme étant notre nouveau président deux ans avant son élection, est considéré par de plus en plus de monde que comme n'étant qu'un vil malandrin aux discours fourbes et mielleux, dits d'une voix aussi douce qu'un bas de soie.

    Ce bonhomme, bien qu’agaçant, ne représente plus que l'ancien monde, ce que son petit protégé de l’Élisée et sa femme de mère, leur personnel ministériel et de l'assemblée Nationale, ainsi que leurs spadassins, dont le sieur Bennala fut le plus visible, n'ont de cesse que de le détruire, bien malgré eux, je le concède.

    De par leurs actions bêtasses et désordonnés.

    Le paysage politique français ressemble à un cimetière ou, suivant, au désert des tartares.

    P1020124.JPGQuand dans le même temps internet délire sec, enfin la plupart du temps, ou ne raconte pas grand-chose de bien intéressant.

    Alors je vous propose que du peu d'information à notre disposition, d'autant plus en ce mois d'Août vacancier, nous allions voir de ce qu'il peu en être de la situation politique en France et ailleurs.

    Ce vieux monde, perclus de rhumatismes et souffrant de fortes nécroses neuronales, se délite à son rythme, aider en cela par un Monsieur Trump qui voudrait bien jeter au plus vite l'Union-européenne dans les poubelles de l'histoire, et, dans le même temps, voudrait bien réindustrialiser son pays en déstabilisant une globalisation économique déjà en une situation largement précaire, et par nos zigotos qui, bien malgré eux, de part leur incompétence formelle, à la direction économique et politique de l'Union-Européenne et de la France, prennent tous des décisions ne menant l'économie internationale qu'à sa perte, enfin, ne font qu'en accélérer l'inéluctabilité.

    Le seul endroit, le seul pays où le président U.S. essaie à tout prix de conserver une place pour sa nation dans le pourtour méditerranéen c'est Israël, non pas pour des questions idéologiques, comme il se dit à tort, mais pour des raisons géostratégiques logiques, il ne suffit que de regarder une carte de la région pour le comprendre.P1010605 - Copie.JPG

    Vous y remarquerez que ce pays se trouve à quelques encâblures du canal de Suez, qu'à son nord-est la Syrie, l'Irak, l'Iran et, dans une moindre mesure, la Turquie, sont alliés a la Russie, ainsi que l’Égypte à son ouest, la Jordanie et le Liban essaient de toutes forces de rester neutre, de l'autre coté de la mer, au nord-ouest, la Grèce est économiquement exsangue par les actions de l'oligarchie mondialisée et européenne menées depuis 2011.

    Quand à l'Union-Européenne, elle explose lentement comme de ces gros pets que l'on essaie de réprimer et qui s'échappe en un long, bruyant et douloureux chapelet nauséabond au milieu du silence gêné de l'assemblée.

    Ne reste plus, pour cet empire U.S. moribond, qu'Israël et l'Arabie-Séoudite (par là, mec) pour conserver un semblant de possession en cette mer Méditerranéen d'une importance stratégique capitale, d'autant plus qu'il y aurait du gaz sous celle-ci entre la Grèce et Israël.

    Les actions de l'équipe trumpienne se font sur de nombreux fronts.

    Ainsi l'empire tente de reprendre pied en Amérique-du-Sud, en y ruinant les monnaies des nations les plus rétives, comme il en est du Vénézuéla, qui, de plus, détiendrait l'une des premières réserves en pétrole.

    (  Il y aurait une cause autre d'hyper-inflation que de la seule surproduction monétaire, celle d'une perte de valeur de cette monnaie par rapport à toutes les P1010743.JPGautres, quelle qu'en soit les raisons, d'autant plus si le pays émetteur, ne vivant surtout que d'importation grâce, pour le Vénézuéla, à son pétrole, ne subvient donc pas, en interne, suffisamment aux besoins minimums de sa population tant en nourriture que pour l'hygiène, ceci sachant que le dollar reste encore la monnaie des échanges commerciaux internationaux.

    Je suppute que les hyper-inflations turque et vénézuélienne proviennent d'actions répressive monétaires provenant des U.S.A., par un jeu spéculatif dont, il est vrai, j'ignore tout.

    La Turquie ayant proposé d'entrer au sein des B.R.I.C.A., c'est en effet un casus belli à l'endroit d'une puissance impériale en mode de survie, cette nation étant l'un des verrous stratégiques eurasiatique majeur de l'O.T.A.N..

    Trump aurait voulu jeter la Turquie dans les bras de la Russie qu'il ne s'en serait pas pris autrement.  )

    Pendant que ce repli étasunien, plus ou moins en bon ordre, se fait sur ses bases arrières que sont le double continent américain, nord et sud, Mrs. Trump et Poutine se rencontrent pour, comme dans les années 80 entre Gorbatchev et Reagan au sujet du recule de l'U.R.S.S., discuter aujourd'hui de celui des U..S.A., soit de la nouvelle donne géopolitique que cela entend.

    Je pense que ça concerne au premier chef  l'Europe et son union dominée par l'Allemagne partant à vau-l'eau.

    Je pensais, par le passé, que les intérêt géostratégiques de la Russie ne se portaient essentiellement que sur la Méditerranée mais, en y réfléchissant bien, elle porte aussi son attention sur l'Europe de l'est et central, soit l'ensemble de ce qui était appelé, avant 1914, les empires centraux, mais aussi les états balkaniques (qui avaient pris, peu de temps auparavant, leur indépendance d'un empire turc enP1010730.JPG déclin, conclue par deux guerres dites balkaniques 1912/1913).

    De ce qu'il peut en être des Balkans ainsi que de l'ouest et le sud européen, ce que je supposais depuis longtemps, ce rapprochement russe y est logique en raison d'une mer Noire les longeant baignant le port de Sébastopol, donnant directement dans les océans Pacifique et Atlantique via la Méditerranée, que ce pays s'intéresse aussi à l'Europe centrale m'intrigue.

    Le seul avantage que j'y perçois serait d'éviter que des désaccords ne s'y installent et ne dégénèrent en des conflits armés, ce qui fut tout le même le fait depuis bien plus de deux millénaires.

    Mais pour que ces alliances multiformes puissent se faire entre la Russie et les pays de l'ouest-eurasiatique, il lui faut attendre que l'Union-Européenne et l'empire U.S. disparaissent et que l'économie-monde fasse faillite afin que chacun retrouve ses marques politiques, culturelles, cultuelles, scientifiques, technologique et intellectuelles qui étaient les leurs par le passé.

    Le choc traumatique que cela génèrera chez les peuples européens ne pourra que leur être bénéfique, bien que les premiers temps seront très difficiles pour tous.

    Pour le reste, Mr. Poutine semble être sur la voie d'achèvement du programme qu'il me semble s'être fixé: pacification méditerranéenne et européenne, établissement d'un allié sûr en Asie, l'Inde, rapprochement d'avec le Japon, conciliation consolidée P1010575.JPGd'avec la Chine grâce à ses exportations de gaz, liens, anciens, d'avec Cuba pour une sécurisation du canal de Panama, éloignement d'avec le dollar pour réduire les effets de sa disparition, ... .

    De tous les continents, le point faible des russes c'est la grande Afrique et seules la France et la Grande-Bretagne en ont les clefs.

    La Chine, quand à elle, paraît vouloir copier les États-unis-d'Amérique en proposant à sa population une société de service qui fut il y a quelques décennies, notamment en France, l'annonce cachée de la survenue du néolibéralisme.

    Ce qui est proprement fascinant dans ce pays c'est la vitesse avec laquelle elle nous rattrape dans ce qu'il y a de plus absurde dans l'obscure idéologie contemporaine néolibérale, sans même que ses dirigeants, tout comme les nôtre au demeurant, ne s'aperçoive que deux modèles et non des moindres, les U.S.A. et la G.B., ont montré au monde la stupidité affligeante de ses présupposés et leurs effets profondément destructeurs lorsque ils sont mis en pratique.

    En France le paysage politique se délite à tout va, ne reste plus que l'U.P.R. plus quelques partis peu connus.

    L'affaire Bennala fut en tous points explosive et a accéléré une situation qui était déjà largement précaire.

    Surtout, cette affaire nous a montré l'extrême fragilité du R.E.M., les radios-P1010609 - Copie.JPGéléments (oui, je sais, je le dis à chaque fois), que nous pouvions resentir commencer à se défiler de leur mandat en plein milieu de cette tempête burlesque bennalesque, loin de se passer dans un verre d'eau.

    Autant certains élus d'autres partis, de droite comme de gauche (enfin, ce qui se fait appeler tel), pris dans une tourmente euro-atlantiste euromaniaque qui les dépasse, pourraient très bien se révéler être des gens infiniment plus responsables que ce à quoi ils se donnent l'air, lors d'une crise majeur telle que cet effondrement économique généralisé en  cour ne pouvant que se conclure que par son écroulement soudain.

    Autant ceux composant le mouvement de notre inénarrable président (s'il n'existait pas faudrait l'inventer) fuiront, à de rares exception près, comme d'un seul homme, et femme, ne soyons pas sexiste, dès qu'une difficulté réclamant un minimum de solidité psychologique et politique, ainsi que de la jugeote, survenait.

    Ce scandale d'état d'une dimension égale, voire supérieur à ce qu'avait pu être l'affaire Stavisky, a déjà des conséquences qui, bien qu'encore discrètes, génèrera des effets que personne ne peut prévoir.

    Zapouillant en toute légèreté hier soir, je suis tombé (sans me faire mal) sur un reportage montrant le prince Macron qui, pour aller saluer la toute petite foule qui l'attendait, passer, de loin, devant deux policiers lui lançant des regards peu amènes.

    Là encore le cadrage était fortement serré, preuve qu'il n'y avait pas beaucoup de personne pour l'accueillir.

    Sans compter les chroniqueurs et autres journalistes en vu qui rament, rament, P1010849.JPGrament comme des malheureux, à la télé comme à la radio, pour tenter de redorer le blason d'un Emmanuel 1er désormais totalement terni.

    Comme j'ai pu l'expliquer dans deux textes précédents, cette affaire est remonté dans les médiats pour deux raisons possibles, de celles me semblant les plus cohérentes:

    1)  l'oligarchie voulait reprendre le contrôle de leur employé, Emmanuel Macron;

    ou:

    2) l'équipe trumpienne veut dézinguer l'Union-Européenne en déstabilisant la France.

    Une troisième possibilité étant une composition complexe de ces deux éventualités.

    La question restant que ç'ait été le journal Le Monde qui avait fait ressortir cette affaire, c'est pourquoi je privilégie la première éventualité à la seconde.

    Auquel cas nous ne pouvons que souligner l'incroyable incompétence de ceux qui mirent notre président actuel à son poste puis qui le déstabilisèrent pour en reprendre le contrôle, ce qui a affaibli ce dernier  considérablement et réveillé une population quelque peu amorphe.

    Ceci étant à mon sens la preuve de cet état de délabrement intellectuel de ceux qui, normalement, devraient mener l'économie du pays à un dynamisme visiblement inexistant, nos oligarques propriétaire de nos médiats, aidé en ceci par les exigencesP1010789.JPG extravagantes de l'Union-Européenne, cause, entre-autre, de la dégradation des infrastructures de tous les pays de l'U.E. (motif essentielle pour laquelle le pont de Gène s'est effondré) et de l'appauvrissement de l'ensemble des populations.

    Il est important de souligner que la politique poursuivit par Emmanuel Macron, autant en raison des ordres strictes venant de l'U..E. que pour satisfaire la rapacité de ses maîtres oligarques, sont en tous points semblables à ce qui généra la ruine des U.S.A., avec ses près de 40% de chômeurs.

    Les médiats tentent, par une intense propagande, ce que les hurluberlus de chroniqueurs télés et les serviteurs ministériels de Macron appellent, de leur langage fleuri, faire de la pédagogie, à ce que la population approuve leur décisions.

    Nous enverrait-on un jour en camp de rééducation comme il en fut sous la Chine de Mao?

    Mais ce que tous ont peine à comprendre c'est que leurs choix furent tentés par d'autres, les U.S.A. et la G.B. entre-autres, et cela c'est révélé être un terrifiant échec.

    Nouvelle preuve, s'il en est, du bruyant silence de leur capacité mentale, au P1010481.JPGsingulier.  )

    Ce délabrement intellectuel, donc, touchant le plus haut de notre hiérarchie sociale, U.E. comprise, oligarchie européenne surtout, explique pourquoi cette mouvance oligarchique se soit fourvoyé en se fragilisant à ce point avec leur baltringue de président.

    Certes, ils peuvent sortir, de leur chapeau, quelques nouveaux intrigants prenant place d'un macronisme exsangue, il se fait dire sur internet qu'une certaine

  • Pause prudentielle et son substrat

    Je suis surpris de lire, dans mon ouvrage traitant des hyménoptères (à l'époque de son achat puis de sa lecture je n'avais pas l'esprit bien en place), qu'existent des bourdons parasites et celui-ci, qui me semble être Psithyrus (encore les russes) Rupestris me paraît en être, colonisant les nid des bourdons des pierres qui en viendront à nourrir leurs larves.

    Je suis content de cette photo où l'animal fut pris en plein vol, juste en dessous de cette belle inflorescence bicolore.

     

    Pause prudentielle:

     

    Divers éléments me suggèrent que je me dois d'être prudent dans mon expression ici même et que je me devrais ensuite, pour un temps que je ne saurais définir, cesser toute écriture.

     

    Je vous proposerais la lecture de cette réflexion des interarmées françaises, restant elle aussi prudente.

     

    Ce que je puis rajouter à ce court message tient en quelques formules que j'ai, pour certaines d'entre-elles, mainte fois répété:

     

    - Tout système politique triplement verrouillé, telle l'Union-Européenne, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, ne peut évoluer et, dès lors, ne peut que s'acheminer vers son démembrement dès que la nécessité de le réformer, quelles qu'en soient les raisons, s'y fait montre, ce que nous conte les tribulations de l'URSS de la nomination de Monsieur Gorbatchev jusqu'en 1991.

     

    - les dernières élections US démontrent que deux forces impériales, aux frontières floutées, s'y confrontent: l'état-profond d'essence politique (le trumpisme) contre l'oligarchie ploutocratique, dont les GAFAM (le bidenisme), d'essence économique monétariste, les fraudes électives qui y ont eu lieu de la part du second ne pouvant qu'y avoir fait perdre autant de sa crédibilité que de son sentiment de toute puissance, tant politique, monétaire que militaire.

     

    Aux vues de ces insanes malversations, l'état-profond n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie US pour tenter de rétablir, ne serait-ce qu'un peu, de sa légitimité impériale et de son crédit politique à l'international, ce pays n'en en ayant plus aucune économiquement.

     

    Quand bien même une guerre civile ne s'y produirait pas, celui-ci deviendra bientôt ingouvernable, si ce n'est pas déjà le cas.

     

    - Valeur d'une monnaie : la valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse industrielle, minière, agricole et marchande, présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.

     

    Ce qui ne veut qu'expliciter que plus une monnaie est surproduite pour une richesse donnée d'un pays, plus elle perd de sa valeur intrinsèque, ce qui se nomme de l'inflation.

     

    Il ne s'agit plus aujourd'hui d'un risque systémique bancaire, boursier ou d'endettement et de non remboursement (des particuliers, des industries, des acteurs spéculatifs, des banques, des états...) pesant sur les économies mondiales, comme il se le fait dire, mais plus sûrement de celui d'un arrêt, pour une période non déterminé, de la valorisation des monnaies les unes par rapport aux autres, donc, suivant, celui de tous les échanges marchands internationaux.

     

    - Depuis 2008 au moins, voire en 1999, a commencé une désindustrialisation mondiale (le nombre de gens pouvant acheter se réduisant) conduisant à une déflation, soit la perte de valeur des marchandises (baisse des coûts de production et donc des salaires plus mises au chômage, pour pouvoir les vendre), quelles qu'elles soient, compensée par l'inflation sus-montrée, elle aussi d'échelle internationale.

     

    Ce double phénomène s'accélérant continuellement, accélération accrue lors de la survenue du SRAS-COV2, c'est pourquoi nous fonçons vers une banqueroute  généralisée.

     

    - Le " Grand Reset" ne peut que nous démontrer l'inanité peine et entière de l'oligarchie ploutocratique mondialiste, surtout étasunienne, puisque l'industrie, les mines et l'agriculture, contrairement à la monnaie, étant la réalité économique des pays, ce qui n'est pas pris en compte par ces olibrius transatlantiques la composant, celle européenne ne comprenant pas qu'elle se fait spolier par elle.

     

    - De mes aphorismes: Lors d'une crise économique quand l'homme politique ou le journaliste incompétent en parle peu c'est que la situation n'est pas trop grave, quand il dit que la crise est derrière nous c'est que la situation est grave, quand il n'en fait pas mention c'est que la situation est très grave, mais si l'homme politique confirme l'existence de la crise c'est que la situation est désespérée.

     

    Je vous ai proposé-là un certain nombre de mes bases réflexives, vous en trouverez d'autres tout au long de mes billets, éparpillées tel un puzzle.

     

    Je ne peux connaître le choix de chacun, souvenez-vous, du-moins, que prendre un risque inutile est imbécile.

     

    Cela ne veut pas dire qu'il ne faudrait pas agir mais que toute action et son but se doivent d'être au mieux pensés et conçus en amont, individuellement et collectivement (je sais ce qui me manque...).

     

    Soyez et restez conscient de la nature des passions et des pulsions qui vous animent, que vos résolutions soient comprises dans leur nature.

     

    Ceci pour n'être pas les pions de puissances et de ces passions, quelles qu'elles puissent être, mais surtout de celles collectives, soyons des acteurs conscients de leurs actions et de leurs raisons d'être.

     

    Nous sommes devenus, si je puis le dire ainsi, les sujets, à l'insu de notre plein gré, d'un moment historique majeur pour notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, il nous faut en être conscients.

     

    Quelle que puisse en être ses freins actuels, notre développement anthropologique et notre réel allant vers le véritable progrès se fera quoi qu'il en soit, en une bifurcation sociétale de première importance.

     

    La vie n'est en rien un long fleuve tranquille, qu'il s'agisse de notre existence individuelle, de celle du groupe formé de nos proche, de notre pays, comme pour tout le genre humain: les tribulations nous suivent tout au long de notre existence.

     

    Ne soyons dupe de rien ni de personne, et surtout, non pas de soi-même, ce qui veut dire que, comme l'affirmais Socrate: "Connais-toi toi-même et tu connaîtra l'univers et les Dieux", j'y rajouterais en notre époque moderne, dans leur nature réelle.

     

    Nous avons tous nos bons et mauvais cotés, nos forces et nos faiblesses, il en est pour qui la balance se porte plus d'un coté que de l'autre...

     

    Soyez prudent et déterminés en votre nature...

     

     

     

     

    THEURIC

     

    PS.: Quand je reprendrai ici l'écriture, cela voudra sûrement dire que cette bifurcation anthropologique sera en ses tous débuts.

  • Effets de la crise qui vient et quelques conseils.

    Et voilà, nous sommes arrivés en fin de course, notre pays et le monde sont ruinés même si nous avons encore l'impression que tout va bien et les bourses resplendissantes.

    Une idéologie, le néolibéralisme, une union, l'Union-Européenne, un pays central dans cette union, l'Allemagne, une monnaie, l'euro, un empire finissant, les États-Unis-d'Amérique et surtout, surtout, la bêtise crasse, l'incompétence, la veulerie, l'égoïsme, le lucre d'une si grande, si large part de nos décideurs des administrations, de la politique, des banques et autres fonds d'investissement, des journalistes en vu et de tous leurs sous-fifres nous ont tous ruiné.

    Je me dois de souligner que le gouvernement de la France est de moins en moins une démocratie mais que nous semblons être sous le joug mou d'un totalitarisme d'opérette bâtie sur une V° République qui fut l'erreur magistrale de De Gaulle, progressivement pervertie par nombre de gens choisis pour leur obéissance servile.

    Cette déjà pauvre démocratie se trouve maintenant entièrement aux mains d'une ploutocratie soumise aux étasuniens, trouillarde et sotte haïssant et le peuple, et leur pays.

    Il est ainsi inutile et même contre-productif de taper sur notre Président de la République qui n'est aujourd'hui que le paravent bouc-émissaire de ces ploutocrates prenant leurs ordres aux Amériques et en Allemagne.

    Cette alliance obligée d'avec des néonazis ukrainiens que l'Europe à conclu sur ordre des U.S.A. nous montre que c'est l'ensemble des pays de l'U.E. qui ont définitivement quitté l'idée même de démocratie, bien qu'ils puissent tous en avoir le mot en bouche.

    Ne serait-ce donc le vrai visage étasunien?

    Ainsi, n'allez pas dire que la démocratie serait le réel le discours tenu par Madame Le Pen, elle qui ne paraît ne sembler n'être qu'un agent de contrôle empressé dont le rôle pourrait consister, justement, à reprendre les discours de tous les partis politique de quelque radicalité que ce soit.

    Cela se ferait-il pour les empêcher de pouvoir s'exprimer en donnant l'illusion que ce ne sont que des discours d'une droite de la droite de la droite de la droite de la droite...?

    Ainsi dit-elle une chose aujourd'hui quand, hier, elle exprimait l'idée totalement inverse.....

    Pourrions-nous considérer tout cela comme un virage à la droite extrême de l'Union-Européenne et de notre ploutocratie nationale?

    L'Ukraine en ferait-il foi?

    U.E., F.N., ...et... U.M.P. seraient-ils de même combat?

    La notion d'extrême droite serait-elle relative à la situation politique du moment?

    Combien reste-t-il de gens sérieux hormis, en politique, Monsieur Mélenchon et son Parti de Gauche, Monsieur Dupont-Aignan et Debout la République à droite, Monsieur Asselineau et l'Union Populaire Républicaine à gauche et à droite, quelque économistes, des journalistes qui se taisent au risque du chômage, de banquiers à la retraite... et, contre toute attente, peut-être, de notre Président de la République, bien mal entouré de ces représentants sensément de gauche englués, flétris par leur bienpensance et par des décennies de propagandes médiatiques et intellectuelles qu'ils subirent et firent subir par de continuels bourrages de crânes...?

    Il y a peu, ces peu sérieux y croyaient encore, qu'en est-il aujourd'hui?

    Non, Monsieur le Président, le néolibéralisme n'existe plus et n'a même jamais été qu'un songe.

    Mais le pire ce sont tous ces décideurs perdus de ne savoir que faire, se jetant dans les bras de celui qui a un semblant de début d'idée..., du moment qu'il ne remette pas en cause ni l'euro, ni l'Union-Européenne.

    Vœux pieux mais impossibles: l'euro et l'U.E. sont tous deux moribonds.

    Dès lors, ami lecteur, si cela peut vous rassurer, nous ne sommes pas les seuls en union-Européenne, loin de là, à être aujourd'hui ainsi ruinés et rares seront les pays qui, dans peu de temps, en Europe et même ailleurs, ne se retrouveront pas dans des difficultés économiques dantesques, gigantesques, pire que présentement.

    Au-moins ces difficultés nous débarrassera-t-il de ces descendants décatis des bourgeois-capitalistes d'hier.

    Quand aux U.S.A., le peuple y vivra la pire période de son histoire d'avoir trop écouter ces sirènes qui chantaient la richesse et qui l'ont ruiné.

    Dans ce pays, tout pourrait y être envisageable, coup d'état, militaire ou non, totale désagrégation, guerre civile, sécession, absorption de certains états par le Mexique et/ou le Canada ou, pourquoi pas, mise en place d'un régime communiste...

    L'Allemagne, également, est bien plus malade que ses dirigeants et son peuple l'envisagent, sans or ou presque, avec une agriculture trop intensive, une industrie qu'elle s'est empressée de placer dans les ex-pays de l'est en se désindustrialisant, des banques plus fragilisées encore qu'en Europe du Sud et en France, elle pourrait bien suivre les Amériques dans les enfers en ayant le sentiment que ce serait nous qui la tirerions vers le bas.

    L'Angleterre n'est pas mieux lotie et son futur est assez simple à percevoir, plus de bourse, plus d'Angleterre.

    Elle ne pourra rien faire d'autre que de se  tourner résolument vers la France, ne serait-ce que pour ne pas mourir de faim, son seul atout est sa famille royale qui sera contrainte et forcée de diriger le pays, ses élites politiques étant majoritairement des fondamentalistes néolibéraux.

    Son virage de réindustrialisation a été pris trop tardivement en conservant,  toujours, la doxa néolibérale et, comme l'Allemagne, garde des liens bien trop puissants avec les U.S.A..

    Sa mono-industrie boursière est nouée à Wall Street en un nœud gordien, si ce nœud est tranché, et ce nœud sera tranché, ce sera le pays tout entier qui sombrera, seules les cordes devenues ténues et allant en s'effilochant de la bourse permettent à cette nation d'encore subsister.

     

    Il faut bien comprendre qu'en France ce sera la société toute entière qui sera désorganisée, la capacité de riposte gouvernementale ou son remplacement dépendra de notre Président de la République, de sa compréhension de la situation, de sa dose de dogmatisme et de sa vitesse, rigueur et vigueur de réaction.

    Dans les premiers temps nous pourrons voir s'affoler l'ensemble des auxiliaires du néolibéralisme américanolâtres et fanatiques, ils diront et feront n'importe quoi en un délire grandissant au fur et à mesure que l'économie mondiale et celle des U.S.A. s'annihileront: journalistes affolés de la bienpensance médiatique, économistes perdus sans leur doxa néolibérale, hommes et femmes politiques effarés, égarés dans un discours qui ne voudra plus rien dire, Patrons du C.A.C. 40 et du M.E.D.E.F. hystérique qui verront s'envoler leurs puissances et leurs richesses...

    Quand chacun d'entre eux ne seraient pas pétrifiés, atterrés, sidérés en un effet semblable à un stress post-traumatique.

    Ils auront tous le sentiment de ne plus servir à rien, en cela ils pourraient devenir dangereux.

    Quoi qu'il en soit, nous assisterons à cette vacuité grandissante.

    Pendant ce temps là l'Union-Européenne se videra de sa substance, chaque état reprenant ses droits, non pas par plaisir mais juste par esprit de survie, il faudra que chaque gouvernement commence par nationaliser ses banques et ses dernières industries faillies ou il sera renversé.

    Les pays des anciens empires centraux resteront peut-être dans l'euro mais n'est pas sûr que l'Allemagne supportera longtemps une Europe du Sud, une France et une Angleterre vidés de leurs richesses.

    Cela ne m'étonnerais donc pas qu'elle  nous aide à reprendre nos monnaies respectives et nous montre d'un doigt condescendant la porte de sortie de l'union.

    Ce sera sont erreur fatale et notre plus grande chance.

    Si elle ne le fait pas, il nous faudra l'y forcer.

    La faillite universelle approche à grand pas.

    Ce sera notre chance, à nous de la saisir.

     

    Ceci dit, voici ces conseils:

    Si vous avez quelque argent devant vous, il vous sera possible d'aller voir des conseillers sérieux qui vous permettront de ne pas trop perdre de vos valeurs et argents, sortez toutefois, immédiatement, de tout placement spéculatif, quel qu'il soit.

    En revanche, ceux qui tirent le diable par la queue, n'ont pas trop le sou ou n'en ont pas du tout, ceux-là se devront de se préparer à biens des difficultés.

    Comme je fais parti de ces peu argentés je me permets de vous donner quelques conseils qui vous serviront à traverser cette épreuve, je l'espère, sans trop de casse.

    D'abord, conservez chez vous quelques centaines d'euros, dans un coin, bien au chaud, cela vous permettra de tenir avec un peu de liquide le temps que l'état nationalise les banques ruinées et que vous puissiez retirer un peu d'argent.

    Si le gouvernement ne fait pas cela rapidement, alors, quoi qu'il en sera, pauvre de nous.

    Comptez de trois semaines à un mois.

    Il vous faut aussi une réserve de nourriture suffisante pour le même laps de temps, remplissez les placards et les congélateurs.

    Faites des réserves de produits d'entretien, de shampoing, de savons, d'éponge, de batterie de téléphone, d'ampoules, de piles, de papier, d'enveloppe et de toutes ces petites choses qui s'usent régulièrement et  donc nous avons tous besoin, pour tout cela, comptez des réserves pour un ans.

    Soit le temps qu'il faudra pour que des usines pour ces chimies et petits objets pas trop compliquées à fabriquer soient rebâties et misent en marche.

    Conservez également de petites ou grandes choses pour le troc, papier, stylo, vêtement,...,..., n'importe quoi de nécessaire que vous puissiez échanger.

    Si vous avez un magasin, faites des stocks et si vous le pouvez, suivant ce que vous vendez, comptez plusieurs années, l'informatique, les plastiques, les tissus, les papiers et les métaux seront les plus recherchés.

    Il serait possible mais pas certain, les banques et assurances ayant failli, que les crédits soient suspendus, ne comptez tout de même pas là-dessus.

    Les jeunes qui ont reçu une formation de comptable, de commercial, de banquier et d'autres de ce type devrons s'attendre à changer de métier, en effet, les métiers de vente et d'argent vont tous peu ou prou disparaître, à l'exemple de l'immobilier qui, depuis trois décennies, au moins, s'est installé sur une bulle immobilière qui n'attend que l'explosion de la bulle du dollar pour exploser aussi en accompagnement des banques.

    En revanche, tous ceux qui ont reçu une formation manuelle de haute qualification, d'ingénierie, d'architecture..., voire ceux qui ont étudié les science ou la littérature par exemple..., en bac plus tant, seront, avec le temps, de plus en plus courtisés quand ce ne sera pas d'eux-mêmes qu'ils prendront les choses en main.

    (Il en faudra de l'imagination pour rouvrir des mines et en extraire minerais et charbon en préservant l'environnement, réindustrialiser le pays avec un minimum de pollution, explorer de nouvelles façon de produire de l'énergie, parce que l'effondrement de l'économie-monde sera aussi celui du commerce international et que le carburant viendra sûrement à manquer.)

    Les personnes qualifiées au chômage seront  également demandés, réclamées, même.

    Les retraités risqueraient bien d'être appelés à la rescousse pour former de métiers oubliés mais nécessaires cette immensité de jeunes et de moins jeunes qui n'aurons aucune réelle qualification.

    Il faudra que chacun prenne les affaires en main de manière aussi bien individuel que collectif, l'entraide se devra d'être centrale.

    Surtout, nous devrons profiter de cette remise à plat de toute notre industrie pour repenser chacune de nos approches en en étudiant tous ses aspects bénéfique et néfastes.

    L'agriculture sera aussi touchée, ne serait-ce qu'en raison d'une diminution, voire d'une disparition des produits phytosanitaires.

    Toujours, en effet, la question de ce qui se produit en France et dans les proches pays.

    Nous risquons d'avoir  une agriculture bio contrainte et forcée avec des hectares de sol délavés d'avoir été de trop traités, trop peu productifs.

    Le problème en sera la baisse de production et, dès lors, la hausse du prix de la nourriture.

    Le défrichage s'avèrera nécessaire.

    Le manque de carburant sera là encore crucial, autant pour les machines agricoles que pour le transport, les trois grandes agglomérations, Paris, Marseille, Lyon, seront touchées par une diminution de l'arrivée de nourriture et pourquoi pas d'une disette pour les plus pauvres.

    Faudra-t-il aménager des trains  voyageurs, voire des T.G.V.s pour remplacer la myriade de camions qui ne pourront plus rouler?

    Serons-nous contraint à un retour de certains travaux agricoles manuels?

    Ce manque de carburant génèrera la ruine d'un certain

  • De l'effondrement monétaire qui vient!

    Il ne s’agit pas ici d’une crise mais d’une catastrophe.

    De plus, l’économie réelle est déjà dans son processus d’effondrement par la désindustrialisation généralisée.

    Donc, dorénavant, ce ne sera pas cette économie réelle qui se délitera puisqu’elle est déjà en plein délitement, mais celle de la monnaie et des crédits, ou des dettes, ce qui revient au même.

    De plus, nombre d'économistes sont eux aussi dépassés et ne se rendent pas compte de la réalité de ce processus en cours: l’économie réelle est entrainée à la faillite par l’économie monétariste ou virtuelle qui lui aspire ses richesses par l’entremise de la dette et des Q.E., ces derniers en raison de la perte de valeur des monnaies, ce qui entraine le monétarisme vers sa banqueroute par l’arrêt de la circulation monétaire.

    Le tout étant de savoir quel est le taux de ralentissement de circulation monétaire qu’il faut pour que toute cette machinerie s’effondre et, dès lors, quel est le niveau de désindustrialisation mondialisé faut-il atteindre pour que le circuit monétaire aboutisse à son arrêt.

    C'est cela que je vais tenter de développer plus avant, non pas de ce taux précité, je n'ai ni le savoir, ni la possibilité de le calculer, mais les mécanismes qui me font dire que nous connaîtrons un arrêt soudain de la circulation monétaire.

    P1000143.JPG

    Donc, je ne peux pas faire autrement que d'en reparler, la situation pouvant dégénérer avec une telle rapidité que cela pourrait mener à un brusque arrêt de tout le commerce international dû à la cessation de toute circulation monétaire, même, et peut-être surtout, au sein de l'Union-Européenne et de la zone euro.

    Il s'agira, spécifiquement, d'un effondrement monétaire et non pas purement économique, ceci, tout simplement, parce que le système économique réel, soit la constitution des produits fabriqués puis leurs échanges marchands, est dès maintenant en pleine déconfiture.

    C'est d'ailleurs cette économie réelle qui est en train de mener la financiarisation à sa perte et, ce, depuis 2008, bien que ce processus ait démarré des décennies auparavant, comme j'ai pu l'expliquer antérieurement ici ( les-liens-entre-economie-virtuelle-et-economie-reelle-5892056.html ).

    C'est parce que, me semble-t-il, ce sujet appartient dorénavant au domaine de l'urgence qui me  fait ne pas écrire sur les élections présidentielles qui viennent (j'en toucherais deux, trois mots) mais, plutôt, de vous entretenir, une fois encore, il est vrai, de ce qu'il faut bien appeler une catastrophe économique de grande ampleur (de tous les français, ouarf).P1000848.JPG

    Donc, à l'effondrement économique actuel, la désindustrialisation, se succèdera un second effondrement, monétaire celui-là, soit tout ce qui concerne, certes les banques, les sociétés de crédit et d'assurance, mais aussi les bourses, les fonds de placement, soit l'ensemble des retraites par capitalisation, ce qui touchera au moins la moitié de l'U-E, la valorisation des monnaies les unes, les autres, ainsi que, comme je l'ai dit, les commerces internationaux aériens, maritimes et routiers, la fourniture en matières premières et, également, en produits de première nécessité importés (j'ai du de plus en oublier dans ma liste).

    Les raisons, multiples, sont en fait assez simples à comprendre:

    1) pour tenter de sauver les banques et autres sociétés financières, il fut, par les banques centrales, produit une quantité monstrueuse de monnaies, les Q.E. officiels et officieux, ce qui leur à fait perdre quasiment toute valeur;

    2) pour tenter de remédier et, ce, depuis fort longtemps, à la perte des industries en Occident ainsi qu'à la mise au chômage et baisse des salaires des salariés, les crédits se sont largement ouvert tant aux ménages qu'aux états, ces derniers appauvris par le manque cruel d'impôt, ce qui a conduit, aux U.S.A., à la crise des subprimes, robinet aux crédits qui, depuis, ne s'est pas refermé mais, au contraire, s'est encore plus ouvert.

    IMGP0200.JPGIl est à noter, à ce sujet, qu'un prêt fait à un tiers et une dette contractée sont une création monétaire de même type que les Q.E., dans la situation internationale qui nous occupe, mais là générés principalement dans et par la sphère privée, étant donné qu'ils sont liés à cette tentative maladroite de faire perdurer l'enrichissement des grandes fortunes.

    Il est à noter également que, toujours dans notre situation présente, la dette des états est de même nature que la dette des particuliers puisque ce sont les populations qui s'en retrouvent garantes de la première.

    Enfin, sur ce sujet, ce ne sont pas seulement les particuliers et les états qui sont endettés mais aussi tout le milieu monétariste, les banques, les sociétés financières et tutti quanti;

    3) une large part des monnaies hyper-produites furent déversées au sein des  échanges boursiers, faisant grimper le prix des actions d'entreprises qui, en réalité, n'ont cessé de voir baisser leur chiffre d'affaire, d'où la relative stagnation des cours de bourse fluctuant au plus haut, le déversement d'argent venant compenser la perte de valeur des-dites actions.

    Il est à remarquer que maintenant ce sont les banques centrales qui injectent directement leur monnaie dans les jeux boursiers, ceci, par un processus complexe d'automation informatique, pour tenter d'empêcher les traders traideurs de prendre le moindre bénéfice de leurs achats et ventes afin d'éviter une panique boursière;P1000748.JPG

    4) les directions d'entreprises cotés, pour accroitre leurs fortunes personnelles, réduisent le nombre des actions mises en bourse, actions qui, au total, conserve la même valeur, ceci pour que les leurs propres, d'actions, aient un prix accru à la revente;

    5) l'ensemble de ces déséquilibres convergent vers les banques, les assurances et ce qu'il reste des sociétés financières et fonds de pensions qui, pour essayer de se renflouer, vont dans divers paradis fiscaux et financiers pour spéculer de manière opaque, ce qui aggrave bien entendu les risques qu'ils prennent tout en fragilisant encore plus l'ensemble de ce système

    6) l'origine en étant la concurrence salariale entre les nations les plus riches et celles les plus pauvres, dont l'Union-Européenne est la caricature grimaçante, par l'expatriation et la délocalisation des entreprises là où les émoluments sont les plus faibles, nous pouvons voir là que ce ralentissement monétaire a commencé il y a de longues décennies;

    7) à tout cela y faut y rajouter le fait que les banques centrales, pour éviter que les banques dites systémiques ne fassent faillite, font tout pour ralentir le flux monétaire, mais tout en produisant toujours plus de monnaies pour maintenir les bourses et les prix des matières premières dans une certaine stabilité (voir en fin de phrase) afin de rassurer les traideurs et éviter ce crash boursier (c'est pourquoi le prix des carburants stagne, hier entre 53 et 55$, maintenant dans une fluctuation plus étendue, entre 46 et aux P1000839.JPGenvirons des 55/56$, ce qui montre que cette fluctuation s'accroit en raison de la baisse d'utilisation de produits pétroliers: désindustrialisation= baisse d'utilisation= baisse des prix, puis injection de monnaie = hausse des prix, puis ça recommence).

    Tout ceci, et j'ai dû en oublier là encore, ne peut que mener, à un moment impossible à préciser, à ce qu'une panique, une frayeur, un effroi, une terreur gagne, pour un événement qui sinon serait bénin, l'ensemble des acteurs de cette tragédie future.

    Mais la cause réelle, comme je l'ai raconté en préambule, est le ralentissement puis l'arrêt de la circulation monétaire et, ce, à tous les niveaux, régionaux, nationaux et mondiaux.

    Ralentissement qui, dès à présent, tend à s'accélérer, dans des pays tels que les U.S.A. au premier chef, mais aussi l'Algérie, la Turquie, le Brésil, l'Afrique-du-Sud, la Tunisie, la Chine, l'Inde, la France, la Grèce (la pauvre), l'Espagne, le Portugal, le Japon, la Grande-Bretagne, même si son brexit lui évite le pire, la Belgique..., ...., et même la Suisse et l'Allemagne le subissent de plein fouet [vous trouverez là où je puise ces déductions ( http://www.businessbourse.com/ )].

    Une fois cet faillite de l'économie-monde survenue, ensuite le rétablissement de cette circulation monétaire sera plus aisé à réaliser dans les pays de taille petite à moyenne, telle que la France, contrairement à ceux de dimension importante comme il en est de la Chine, de l'Inde, de la Russie (qui en souffrira moins), du Brésil, des États-Unis-d'Amérique et... de l'Union-P1000825.JPGEuropéenne......

    Il est en effet plus aisé d'organiser et de rétablir une fonctionnalité monétaire sur une petite étendu territoriale que dans un territoire de grande superficie, ne serait-ce qu'en raison des transports, n'oublions pas que l'arrêt du commerce international voudra aussi dire arrêt d'approvisionnement en hydrocarbure.

    De ce fait et également, la qualité des infrastructures et de l'équipe gouvernementale de chacun d'entre-eux étant également d'une importance vitale.

    C'est, comme j'ai pu l'exposer, l'une des deux raisons pour laquelle je voterais pour Monsieur Asselineau et pour son équipe aux prochaines élections, présidentielle et législative, la seconde étant leur volonté pleine et entière, sans faux-fuyant, à ce que la France sorte de manière résolue de toute domination étrangère sous quelque forme que ce soit, soit, dans l'instant présent, des U.E.€./O.T.A.N..

    A remarquer Madame Le Pen qui, elle, après avoir espéré recevoir la bénédiction de Monsieur Trump peu de temps après son élection, en la tour portant son nom, vint rendre ses hommages féodaux à Monsieur Poutine et à la Douma, l'assemblée constituante russe, en d'autres temps il eut fait mention de traitrise à la patrie pour bien moins que cela!

    Mais revenons au sujet de ce libellé.

    Lorsque surviendra cet arrêt de circulation monétaire, qui, rappelons-le, sera P1000812.JPGprovisoire, mais qui s'étendra sur une période indéterminée, toutes les fortunes, petites et grandes, qui auront essentiellement une forme monétaire, électronique, soit virtuelle, ou physique, par monnaie papier et métal, perdront mécaniquement toute valeur en raison même de leur hyper-production.

    (Oubliez le bite-coin ou toute autre monnaie de même type, aucun état sensé ne laissera une telle monstruosité monétaire se mettre en place, les U.S.A. ont déjà commencé à y mettre un terme).

    Pour nous, du moins pour la population française, tout dépendra de qui sera élu, soit Monsieur Asselineau, soit n'importe qui d'autre, étant donné la connaissance que ce monsieur a du fonctionnement de notre pays et de l'économie.

    Mais quoi qu'il en soit nous nous retrouverons en but à deux problèmes centraux, celui du manque de monnaie puisque les banques seront ruinées, nationalisées ou détruites suivant qui gouvernera (en cela Monsieur Mélenchon les nationalisera sans problème idéologique majeur), et celui de notre approvisionnement, de nourriture, certes, mais aussi de quasiment tout le reste.

    En effet, tout ce qui n'est plus fabriqué en France aura disparu de la vente, hormis, bien sûr, le troc toujours possible.

    J'avais, en Janvier 2016, écrit un texte où déjà j'y exposais mes craintes d'unP1000436.JPG effondrement économique violent, thème, je l'avoue, qui a traversé mon blog depuis des années.

    Celui-ci fut suivi de la présentation d'une vidéo d'un économiste que j'avais découvert lors de mes pérégrinations sur internet et qui avait été publiée sur la toile deux mois auparavant.

    Les explications que j'y proposais de cette faillite généralisée venant sont quelque peu dépassés, en revanche les conseils que j'y donne ainsi que la vidéo de André-Jacques Holbecq sont d'autant plus d'actualité.

    Une fois avoir visionné ce film, vous comprendrez pourquoi j’exhorte autant que faire se peut à voter pour Monsieur Asselineau puis les représentants de l'U.P.R. aux votations prochaines.

    Alors, faites comme moi, vos réserves et exhortez, exhortez, exhortez, autant que faire vous pouvez.

    P1000190.JPG

     

    THEURIC

  • Ma philosophie et la chute finale.

    Chers lecteurs, bonjour.

    Je n'arrive pas à placer la grande photo d'entrée de page, excusez-m'en, Hautetfort me faisant une petite taquinerie, peut-être est-ce parce que cela lui fait trop de mémoire ou qu'un bug ferait des siennes...

    Ça y est, cela fonctionne.

    Question avec réponse en fin de page: quel est le plus petit nombre?

     

    Je suis, comme je l'ai déjà écrit, un penseur brut dans le sens où je ne me suis jamais véritablement instruit de la philosophie, piochant, par ci par là, autant des réflexions des anciens, de celles des modernes, des scientifiques, des psychologues, des psychanalystes, des essayistes..., ainsi que de tout ce que j'ai pu rencontré tout au long de mon existence.

    Ainsi le principe de parcimonie demandant à ce qu'une théorie scientifique doit être aussi simple que possible en prenant en compte l'ensemble des observations faite sur le sujet donné peut, également, être employée pour étudier bien d'autres matières, telles que la psychologie et la politique notamment...

    Ma philosophie est simple à définir, plus nous sommes conscient tant de nous-même que du monde qui nous entoure, mieux nous nous acceptons tel qu'en nous-même, mieux nous ressentons notre physique et le comprenons, le mieux nous nous adaptons aux situations et, dès lors, mieux nous sommes et y sommes apaisés et savons réagir face aux vicissitudes de la vie.P1040895.JPG

    A cela s'ajoutant le fait que notre pensée, en tant que fonction psychique, ne peut que se développer au meilleurs possible et, ainsi, conscient et inconscient remplissent leur  rôle d'échange continuel sans interférer de l'un sur l'autre en tous sens, ce qui est toujours dommageable.

    D'où l'un des sens de mon aphorisme: "Qui observe transforme!"

    En son centre j'y place des notions telles que l'identité individuelle comme collective, d'une grande modernité et bien plus centrale aujourd'hui qu'hier.

    Puis celle de frustration qui y est liée dans le sens où, si  l'on nie la nature de chacun, si  on ne la reconnaît pas dans ses dispositions, si elle marque son manque (bien que ne pouvant qu'être toujours présente mais en ce cas refoulée ), qu'elle soit sexuée, nationale, professionnelle, de discernement et d'intelligence ou de toute autre constitution, la personne ne pourra que s'égarer et se morfondre dans la sottise, le vice infantile,  un désaccouplement d'avec la réalité, une temporalité réduite à un présent restreint et à des angoisses terrifiantes non reconnues.

    La complexité de notre esprit venant de ce que tout ce que nous sommes dans le monde commence d'abord par soi, mais que tout ce qui nous détermine en premier lieu se fait par le regard des autres et, au premier chef, de celui de notre mère et de notre famille.

    Être déterminé relève donc autant de la dynamique de nos décisions et actions que de P1040902.JPGnotre assurance en notre identité: naissance, qui nous sommes, connaissance, ce que nous savons en expérience et en apprentissage, provenant de nos faits et d’autrui, des écoutes, lectures, gestes..., ainsi que reconnaissance, ce que nous sommes en tant qu'individu individuel qui fait société, cela étant pour nous un tout en un lien indéfectible de nos actions et de notre état d'être.

    N'oublions pas non plus notre corps que nous nous devons d'apprendre à ressentir au mieux.

    Notre psyché profonde est, à mon sens, triple, l'inconscient collectif qui est la nature de notre espèce depuis l'origine de la vie, voire de l'univers, la présence de notre instinct enfoui profondément, l'inconscient social qui est notre héritage multi-millénaire de ce qui nous fait société, tout autant notre personnalité originelle, celle dont nous sommes doté au moment de notre mise au monde, tempérée par nos obligations et interdits du surmoi.

    Pour Homo Sapiens Sapiens le verbe est de la première importance, rien ne peut s'établir sans lui, c'est pourquoi le mot juste et précis de sa langue maternelle employé avec justesse est central.

    C'est pourquoi l'empire thalassocratique (océanique) US, dans sa nécessité de dominer les pays européens pour contenir et contraindre la Russie, en tant que puissance terrestre, sur son ouest, nous a manipulé pour pervertir la langueP1050100.JPG française par le biais de sa domination culturelle multi-décennale, seule façon pour elle de nous tenir au sein de l'Union-européenne et de l'OTAN.

    ( Nous nous devons donc de récupérer la qualité de notre langage pour nous retrouver nous-même. )

    Ce phénomène, débuté dès la sortie de la seconde guerre mondiale (1939/1945), a atteint un tel niveau  en France que l'affaiblissement continuel des USA mène, dès qu'y a lieu une crise sociale d'une certaine importance, comme il en fut de l'affaire George Floyd, à ce qu'une crise d'hystérie collective s'y déclare chez-nous à la suite pour singer nos colonisateurs, prenant une forme semblable mais sans qu'aucun contexte similaire n'ait paru.

    Ainsi celle d'affaire Adama Traoré avait eu lieu il y a 4 ans, cet homme n'était pas une personne de la classe-moyenne apaisée mais faisait parti de la petite délinquance multirécidiviste plus ou moins violente (ce qui n'excuse en rien son décès mais montre les différences flagrantes entre ces deux cas).

    D'ailleurs l'oligarchie US (en lutte contre l'état profond, je le suppute) ne s'y est pas trompé qui,  pour verrouiller encore plus notre domination économique par l'empire, a offert le prix BET (interdit de rire) à sa sœur, Assa Traoré, qui, se dit-il, ne serait pas non-plus elle-même blanc-bleu, sans jeu de mot.

    Cet exemple caricatural montre bien que ledit phénomène transcende aussi bien les P1040978.JPGcouleurs de peau, les origines ethniques et religieuses des français, touchant de plus nombre de personnes qui, d'une manière ou d'une autre, voudraient que notre pays ne soit plus sous contrainte de l'Union-Européenne et de l'OTAN, tout en désirant secrètement que ces deux entités persistent dans le temps.

    Ainsi va notre vie psychique dans sa complexité individuelle et/ou collective, nous ne voudrions plus vivre dans un système social ou une situation quelconque malfaisant, dépassé ou simplement rejeté, tout en se refusant qu'il disparaisse.

    Telles certaines obédiences et formes de protestantismes chrétien ainsi que d'athéismes qui rejettent, voire haïssent le catholicisme mais, d'une façon de la faire perdurer mentalement, d'en conserver un lien, penchent vers et louent l'un de ses interdits centraux, symbolique, celui du vau d'or, qui mène au précepte de ne devoir pas faire d'argent avec de l'argent, conduisant en cette caricature absolument inverse qu'est l'économie monétariste spéculative néolibérale.

    ( "Le taureau de Wall Street" aujourd'hui faisant face "à la fillette sans peur" est, symboliquement d'importance.

    Cet animal est représentatif de ce "vau d'or", quoi que puisse en dire l'artiste, une oeuvre étant toujours plus que son créateur et de son commentaire envers icelui.

    La figure féminine, la femme, Marianne pour la République Française, ou ici une demoiselle, cette jeune fille au-devant de cet animal sauvage, est la représentation de l'anima dans la psychanalyse de C.G. Jung, soit la figure féminine guidant l'homme, pour la femme se sera l'animus (il est dommage, à mon sens, que peu de littératureP1040939.JPG ne se soit développé au sujet du dernier, ceci provenant de femmes, Jung étant un personnage de son époque avec toute sa subjectivité, je pense son approche n'être pas suffisamment mesuré et ses études, comme toutes autres anciennes, ne pas être assez approfondies aujourd'hui, l'animus ne peut que guider les femmes, alors mesdames, à vos méninges et votre plume, sans extrémisme féministe ).

    Quoi qu'il en soit, la pose de ce dernier bronze annonçant, à mon sens, une transformation radicale tant politique qu'économique des USA. )

    L'autre exemple en est de vouloir, en réaction à l'économie capitalistique d'essence entièrement privée, ceci en raison de sa perversion néolibérale terriblement destructrice des peuples et des pays, de désirer que celle-ci devienne entièrement publique quand, de tout manifeste, ce qui serait à rechercher en serait une juste harmonie régulatrice entre ces deux perceptions politiques, leur juste milieu.

    Cela concernant ma recherche des équilibres des contraires, soit la compréhension du pourquoi ces variations d'un extrême à un autre par réaction non réfléchie, plutôt que de se pencher sur une harmonisation desdits contraires.

    D'avoir fait depuis des années erreur quand à une faillite généralisée de l'économie-monde, du dollar, des autres monnaies et de la disparition de l'Union-Européenne, P1040895.JPGtant en leur date comme de leur processus, je me suis vu contraint de réévaluer mon approche de la dynamique historique en cours.

    Ceci d'autant plus quand j'ai découvert les écrits de Christian Greiling qui, sur le site: "Chronique du grand jeu", montrant cette guerre souterraine entre l'empire thalassocratique US et les deux puissances terrestres, la Russie et la Chine.

    J'ai donc dû en faire évoluer mon approche et, dès lors, ma philosophie, ceci parce qu'une philosophie, pour être valide, se doit d'avoir la capacité d'être évolutive.

    Je reste sur une assurance: l'économie-monde ne peut pas ne pas disparaître en une échéance relativement courte, il en est de même des trois créatures US, les UE/€/OTAN, ceci à cause des déséquilibres extraordinairement importants en leur sein ne cessant de croître.

    En France, la situation politique semble être devenue inextricable pour trois raisons: sa désorganisation s'accroissant, un verrouillage électoral et idéologique médiatique mettant en scène des personnalités de plus en plus incompétentes, un appauvrissement tant économique qu'intellectuel du pays.

    L'euro étant indéfectiblement lié à l'Union-Européenne, vouloir déconnecter le premier d'avec le second me paraît aléatoire, peut-être même impossible, à cause du contrôle politique que l'administration bruxelloise exerce sur les pays y étant liés, ainsi que des pressions économiques qu'elle peut leur pratiquer.P1040998.JPG

    De ce fait, il n'est d'autre solution que de quitter l'union pour se débarrasser de cette monnaie et, en cela, je rejoins Emmanuel Todd quand il affirme que seule une alliance d'avec l'état profond US, ennemi, je le pense, des oligarques, qui est vent debout contre l'Allemagne à cause sa domination quasi  définitive de l'UE, peut nous permettre de nous en débarrasser.

    ( C'est pourquoi les USA retirent ses troupes de la Germanie pour les installer en Pologne. )

    L'OTAN, quant à elle, est l'un des outils impériaux, avec l'union elle permet d'éviter, paradoxalement, que le sud européen ne vienne en conflit avec la Turquie.

    De prendre en compte l'extrême affaiblissement des Etats-Unis-d'Amérique, nous pouvons facilement en conclure que son existence, ad minima en tant qu'imperium, va sous peu, de l'ordre de quelques années, disparaître, cela dépendant entièrement de la pérennité du dollar.

    Y rester en toute vigilance, comme le font les britanniques, ne serait pas, dans un premier temps, une mauvaise idée, il serait idiot

  • Réflexions sur notre gouvernement et ses affidés.

    Monsieur et Madame Lézard des Murailles, Podarcis muralis, nous donnent une séance porno dont sortirons ensuite des petits.

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Je tiens à rectifier une erreur faite par le passé, le néologisme complotiste renverrait à qui perçoit un complot, sinon celui qui en fomente un est un comploteur, cependant il est vrai que ce premier mot fut inventé pour dégrader le message de celui en désaccord avec le discours officiel et pour flétrir l'honorabilité de son porteur.P1000814.JPG

     

    Il est normal qu'au vu de la masse des mensonges qui peuvent nous être déversée par nos médiats aux ordres, autant que de celle qu'il nous est donnée d'entendre de part notre gouvernement, ainsi que de celle provenant de quelques médecins proche de celui de Molière, les seuls pouvant s'exprimer dorénavant à la télé.

    Il est normal, dis-je, que nous puissions les considérer comme ayant quelques problèmes mentaux collectifs.

    Or, il n'en est rien.

    Ou, si l'on peut le dire ainsi, s'ils souffrent d'un mal quelconque ce serait celui d'une idéologie bien trop prépotente, leur composition de sens leur étant verrouillé, en raison d'une stratification d'icelui, qui les rendent aveugles et sourds à tout ce qui n'entre pas dans l'ordre de leur dogme.

    Son nom, en un néologisme personnel, résume en lui seul sa nature: l'américanolâtrie.

    ( Américanolâtre est donc un néologisme basé sur idolâtre ⇒ fanatique, du nom ⇨ "Amérique" suivit du suffixe ⇨ -lâtre, montrant ici son acception péjoratif et dépréciatif, ainsi que de sa dimension quasiment religieuse.

    Un second, construit d'une base semblable, eurolâtre, entend désigner autant les amoureux transits et irréfléchis de P1000824.JPGl'Union-Européenne aussi que de l'euro, étant entendu que ces trois tendances sont intimement liées. )

    Percevant, plus ou moins confusément, que les Etats-Unis-d'Amérique tendent vers leur disparition, sinon en tant que pays, du-moins, d'évidence, en tant qu'empire, la mouvance pro-américaine européenne, en ce moindre exemple, projette par inversion ladite prochaine disparition de leur propre civilisation en une façon de fantasme, ceci en l'annonçant, soit que la civilisation européenne ne sera bientôt plus.

    Une civilisation ne disparaît pas, ou rarement, elle évolue, en revanche tous les empires se sont inéluctablement éteints pour les raisons que j'avais évoqué ici en Avril 2018 (billet, datant quelque peu, que, peut-être, je reprendrai pour le retravailler).

    N'oublions pas, comme je l'y avais écrit, que toute soumission tend à diminuer nos capacités mentales, or l'intelligence ne peut pas être soumise, sauf à se restreindre inéluctablement.

    Je vous propose ici que nous fassions l'essai de tenter de percevoir quels sont les soubassements qui entendent leurs comportements.

    Puis, en seconde partie, je déclinerais les dangers futurs potentiels desquels il est probable contre lesquels  ils se devront de se confronter, puis, en troisième, je vous exposerai quelques conseils d'actions de mon cru pour que vous, amis et invisibles lecteurs, vous ne vous laissiez en rien ni vous angoisser inutilement, sauf si, bien sûr, votre ruine advient, ni que vous soyez portés par les passions collectives futures qui, je le pressens, pourraient mener la population à quelques exactions extrêmes.P1010077.JPG

     

    Des soubassements psychologiques plausibles de nos élites nationaux et européens:

    Quand bien même fais-je état ici de la situation française, il ne m'est pas loin de considérer qu'il en est de même, voire parfois en une situation pire, dans les pays grandement assujettis à l'empire thalassocratique US.

    Leur doctrine de base c'est l'économisme dogmatique spéculateur, en un magma explicatif abscons en un exact inverse du capitalisme.

    Or, il est de fait que les événements actuels tendent vers la caricature de leur système de pensée: ledit capitalisme vrai est industriel et industrieux, l'économie proposé aujourd'hui par tous ces olibrius n'est plus que purement monétariste (j'y reviendrai).

    Notre second confinement, suivant notre désindustrialisation multidécennale, ne pouvant que mener à la faillite de l'Europe, des USA et du reste de l'Occident, voire tous les pays à l'échelle internationale.

    Leur politique monétaire détruisant les monnaies par leur hyper-production, et que, P1020088.JPGde plus, le rachat par les banques centrales des titres, actions et autres mène, à terme et de fait, les états à être les détenteurs publics des avoirs et entreprises privés.

    En une sorte d'étatisation contradictoire d'avec leur credo affiché.

    Là se trouve l'une des règles d'or de tous ceux qui décident pour la collectivité: si n'est pas pris en compte, lors de décisions, leurs effets potentiellement désastreux, les résultantes peuvent se révéler, à terme, inverses du but visé originellement.

    Si tant est qu'à l'époque, aux alentours des années 60 à 70, le moindre but n'ait été visé, déjà à ce moment-là les objectifs à atteindre ne devaient pas s'étendre à plus que de quelques petites années.

    Quoi qu'il en soit de ce passé, notre présent montre autant une accélération événementielle que de ce que cette mouvance eurolâtre et américanolâtre tend vers une grande instabilité économique, politique et, je le suggère, psychosociologique.

    Certains la dirait devenue autiste, voire folle, je parlerais plutôt d'aveuglement et de surdité dû à leur éloignement d'avec la réalité, ceci pour pouvoir rester en lien individuel et collectif d'avec leurs croyances qui, cela est visible, se délite dans les faits.

    Ainsi, il ne s'agit pas pour eux de tenter, comme le fait Monsieur Trump et sonP1030112.JPG équipe, de sauver leur nation en la réindustrialisant, mais plutôt de faire survivre leur dogme néolibéral et, intimement lié, leur adoration fanatique pour les USA, non pas dans leur réalité, mais à leurs propres yeux.

    Ceci parce qu'ils sont incapable d'agir autrement puisqu'ils sont pris entre plusieurs contraintes, celles dues à notre appartenance et à leur emprise psychologique par l'empire US démocrate, ainsi qu'à l'union en tant que la créature de ce dernier, également à leur obéissance formelle à l'un et à l'autre, à cette situation politique et économique déplorable des deux sus-cités et à l'exaspération grandissante de la population.

    ( Etant entendu  qu'aux USA, le parti démocrate exprime la mouvance similaire en son inverse, c'est lui qui incarne en effet, sous forme de leur donneur d'ordre, l'aspect oligarchique, ploutocratique, entre-autre des GAFAM,  en tant que représentant de l'angle monétariste de l'empire, celui républicain en prenant progressivement, dès l'élection de Donald Trump, une position industrielle.

    Ce sont ces deux facettes impériales, dont je ne suis ni pour l'un, ni pour l'autre, qui, en ce moment même, se disputent le pouvoir, l'état profond s'étant, quand à lui, sûrement scindé en cette double composante. )

    Les faiblesses de Tonton Sam, manifeste lors de ses élections actuelles, affolent plus que tout notre mouvance eurocratique américanolâtre, ce qui est largement perceptible de par le fait que nos médiats officiels ne nous en parlent pas, nous P1040547.JPGcachent même les fantastiques malversations desdits (pseudos)démocrates qui eurent lieux lors de ce suffrage non achevé aux Etats-Unis-d'Amérique.

    Ne nous contant que les frasques réels ou  supposés de Mr. Trump, tout en nous exhortant, d'une manière absurde, de voter pour le parti démocrate tout au long de leur campagne électorale, suivi d'une joie étrange dès lors que les médiats officiels US annoncèrent la (parait-il) victoire de Mr. Biden.

    Au-delà des journalistes qui, pour nombre d'entre-eux, doivent commencer à se poser de sérieuses questions mais n'en disent mot de peur du chômage, les propriétaires de nos médiats, tout comme notre gouvernement, ayant déjà prononcé son entière dépendance à Biden, ainsi que le firent tous les partis politiques et les chefs de gouvernement de l'union, montrent à la face du monde leur servitude pleine et entière à cette tricheuse faction.

    Mais quels sont les soubassements psychologiques de toutes leurs turpitudes aux uns comme aux autres?

    Comme je l'ai écrit plus haut, la notion d'aveuglement et de surdité y est au centre, lié à leur double contrainte de faire survivre le système monétariste et leur plate américanolâtrie, tout en niant résolument toutes les conséquences de leurs actes.

    Ceci en se pensant démocrate (non pas entièrement dans le sens parti US), bienfaisant, ne faisant qu'agir pour le bien de la société.P1050226.JPG

    Faire le bien, pour les élites françaises et européennes, consiste à acheter un vaccin US inutile (un traitement existe), nous obliger à le prendre, après nous avoir fait paniquer tout l'été, puis de nous avoir enfermé chez-nous en Septembre, en donnant plein pouvoir à l'exécutif, réduisant par là même le législatif devenu purement godillot, en détruisant d'évidence la démocratie.

    Dans leur esprit, mentir sans cesse à la population, la rendre folle de rester chez-elle, frapper et asphyxier les manifestants paisible, même les plus jeunes, causer des traumatismes aux enfants par des messages angoissants répétitif, risquer un traitement peut-être dangereux ou alors sans produit actif..., n'est en rien maléfique puisque le bien est de sauver l'empire Etats-Unis-d'Amérique, le reste ne leur étant d'aucune espèce d'importance: ils ne travaillent ni pour leur pays, ni pour l'Union-européenne.

    Ils considèrent même l'ensemble comme étant de l'ordre de la morale.

    En quelque sorte, il mentent en considérant que ce ne sont pas des mensonges puisque ce qui est bon pour l'Amérique est bon pour le monde.

    Écartent tout ce qui gêne leur fumeux évangile en ne visant, pour l'instant, que les personnalités les plus médiatiquement visibles, à l'exemple du professeur Perronne de par la fermeture de son hôpital.

    (A quand les premières arrestations politiques?)

    P1050125.JPGOnt-ils conscience d'agir comme ils le font?

    Oui, mais celle-ci est confuse, vaguement justifié par des arguties qu'ils s'échangent, peut-être même en une sorte de réitération, leur permettant de se convaincre mutuellement à leurs propres yeux de leurs biens fondés.

  • C'est parti mon Kiki!

    C'est parti mon Kiki!

    Allez, vas, le titre de ce billet n'a que de but de montrer que les instabilités tant politiques qu'économiques tendent à s'accentuer plus encore que part le passé.

    Nous, français et européens, n'avons qu'un seul intérêt dans cette histoire: que se passe-t-il et qu'arrivera-t-il dans le futur, le reste ne nous concerne, pour le moment, que parce que c'est toute l'humanité, notre humanité d'Être Humain, qui est également concerné.

    Dans combien de temps ces instabilités deviendront-elles telles (comme Guillaume, hi, hi, hi) que tout le système économique globalisé s'effondrera?

    Je pense qu'il est impossible pour quiconque de le dire.

    En revanche, de poser un certains nombre de suppositions en faisant de manière d'être au plus proche de la réalité des faits, mais aussi d'en prévoir l'évolution du  possible au probable est réalisable.

    Certes, comme d'habitude il s'agit d'un survol, d'autant que, je l'avoue, je fais beaucoup d'extrapolations, ce qui, ma foi, a donné, dans l'ensemble, d'assez bons résultats.P1010499.JPG

    Intuitivement je sens que nous arrivons à une bifurcation, quelque chose comme un long virage qui se resserre de plus en plus à certains moments, plutôt que d'une ligne droite avec un virage au bout, suivit d'une nouvelle ligne droite.

    Phénomène accompagné d'une accélération.

    Du-moins est-ce l'image que j'en ai.

    Depuis son élection, Monsieur Trump, quoi que nous pensions de lui, de ses décisions dedans et hors de son pays, rebat les cartes, ce qui ne peut que mener à une redéfinition des situations qui prévalaient il y a un an seulement, que ce soit aux U.S.A., dans l'U.E., en France et à l'international.

    Il est vrai que les gesticulation de notre petit, petit, petit, petit empereur national, j'ai nommé Emmanuel Macron, a également un peu perturbé son monde, il l'a surtout agacé.

    Il a particulièrement engendré, de par ses décisions et tocades, un déséquilibre en France qui peut, désormais, dégénéré à n'importe quel moment et, ce, pour un événement important ou futile: la population en ayant plus qu'assez des dispositions de l'Union-Européenne et de l'oligarchie que lui et son équipe suivent et, parfois, anticipent, avec l'empressement digne d'obséquieux petits chefs de services.

    Je me demande encore une fois s'il ne fut pas choisi en raison,  justement, de sa forte tendance naturelle à la médiocrité.

    Bien qu'il soit tout autant possible de nous interroger sur la médiocrité constitutive de ceux qui l'ont choisi, le patron d'A.X.A., Madame Merkel, Monsieur Attali et le collectif Bilderberg, officine impériale où l'on forme nos croquemitaines nationaux, entre-autre.

    La photo de notre Président de la République, que j'avais laissé en page de garde P1010587.JPGd'un billet de fin Avril, où nous le voyons conduit par le Président des États-Unis-d'Amérique tel un petit garçon par son papa, me laisse à penser que si le premier fut choisi pour son poste, ce fut pour,  justement, détruire l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi, partant de cette idée, j'en suis venu à penser que l'élection de Donald Trump ne fut en rien un hasard mais, tout au contraire, une décision collégiale murement réfléchie.

    De mettre un trublion plutôt jobard à la tête de la deuxième puissance européenne dont le but est de perdre notre sainte union par ses erreurs, maladresses, inepties et autres bêtises.

    D'ailleurs, il doit y avoir un mathématicien et un universitaire, et d'autres grands naïfs, qui doivent aujourd'hui s'en mordre les doigts.

    Donc, cet avant-propos venant compléter le billet qui suit, ce qui est amusant, je vous propose d'en continuer la lecture.

    J'y montre cet accroissement de l'instabilité nationale, unioniste et P1010609.JPGinternationale...

    Les fleurs du mal qui, depuis 2008 pour certaines, bien plus anciennement pour d'autres, avaient fleuri, commencent aujourd'hui à donner de ces fruits que nous aurons bien des difficultés à digérer.

    Mais pour comprendre ce qu'il se passe, il se faut de retourner notre vision les événements pour les percevoir dans leur juste proportion.

    Ainsi, nous est-il affirmé, les États-Unis-d'Amérique trumpiens ont amorcé une guerre commerciale à l'encontre de l'Union-Européenne.

    Et non, il ne s'agit pas pour eux d'une guerre commerciale mais d'une réindustrialisation de leur pays, ceci doublé de la poursuite de la déstabilisation de l'U.E..

    Ce qui pourrait ne sembler être qu'une simple nuance vaseuse mais qui, en réalité, se révèle être une représentation bien plus exacte de la réalité.

    Il y aurait guerre commerciale entre ces deux unions si leurs relations n'étaient pas tant ambigües, que les États-Unis-d'Europe (ce à quoi rêvent nos croquemitaines P1010631.JPGeuropéistes), perle impériale U.S., n'étaient pas en voie de délitement, et si les U.S.A. ne se trouvaient pas dans une situation industrielle tellement désespérée que seul le rapatriement de leurs entreprises, et la création de nouvelles, pourrait leur laisser l'espoir de leur survie.

    L'empire américain n'a désormais plus aucun autre choix que de détruire le peu de richesse industrielle européenne qui reste, ce qui ne peut que vouloir dire de détruire l'administration bruxelloise par l'ébranlement de ses pays qui comptent: France, Allemagne et Italie:

    -France: après la série de grèves, qui reprendront sous une nouvelle forme, une association, Anticor (aux pieds?) porte plainte contre le secrétaire général de l’Élysée, soit le conseillé principal de Mr. Macron;

    -Allemagne: dans le même temps, les concomitances font décidément bien l'affaire,  la Deutsch Bank voit sa note s'abaisser et se trouve attaqué sur les marchés actions (comme ils disent);

    -Italie: cela alors même que deux partis anti-euro (ne remettant pas en question  l'Union-Européenne, en voulant le beurre, son argent et les rondes grâces de la crémière), 5 Étoiles et Ligue du Nord, achèvent leur conflit avec leur président de la république, que la situation économique du pays s'avère désastreuse et que les banques italiennes, si tant liées à celles françaises, montrent toujours plus leur pudique faillite.P1010577.JPG

    Ceci pendant qu'un scandale commence à gicler sur le chef de ce cher Juncker, ce qui  risquerait fort de mouiller bien des têtes pensantes de l'U.E. ( enfin, tête pensante, l'expression n'est qu'un jeu d'esprit ).

    Ces quatre petits et seuls exemples montrent l'ébranlement continuelle de notre inénarrable union.

    Les tensions commerciales, en ce moment restreintes, n'en étant qu'un petit plus, utile pour la réindustrialisation de Tonton Sam.

    Comme vous le voyez, si nous réexaminions les événements sous un angle différent, nous nous retrouvons à en avoir une autre lecture que de ce qu'il s'en dit habituellement.

    Et si le titre de ce billet c'est: "C'est parti mon Kiki", c'est bien parce que, entre-autre, la déstabilisation de l'U.E. est dorénavant entrée dans une nouvelle phase, plus agressive.

    ( A ce sujet, les États-unis-d'Amérique et la Grande-Bretagne se trouvent tous deux au-dedans de mêmes difficultés.

    Pour se réindustrialiser ils doivent tous deux faire baisser leur monnaie, dollar et P1010510.JPGlivre sterling, et, pour le premier, faire monter des taxes d'importation.

    Or, dans un premier temps, cela fait mécaniquement monter les prix de ce qui est importé, dont celui des produits de bouche et du petit matériel, comme les appareils électroménager et les outils, sachant que, pire qu'ici en France, ils ne fabriquent quasiment plus rien chez-eux.

    Ceci sans compter les contremesures à l'importation prises par les exportateurs comme la Chine ou l'Allemagne.

    De ce fait, cela appauvrit les petites gens, bien que le travail industriel revient, mais si doucement, ce qui y détruit encore plus le commerce de détail, ce qui avait déjà commencé il y a longtemps, phénomène que nous vivons aussi chez-nous de façon moindre, ce à quoi je reviens de suite plus bas.

    Là encore, de percevoir les circonstances sous un nouveau point de vue ne peut que nous permettre de les concevoir à une plus juste valeur. )

    Mais il y a plus.

    Le système économique globalisé, centré sur le monétarisme échevelé, montre lui-aussi des signes de détresse.

    Thème déjà traité de multiples fois mais évoluant sans cesse.P1010696.JPG

    Vous trouverez ici cette petite phrase: " 1 Les gros fonds spéculatifs sortent des marchés actions à un rythme que nous n’avions pas vu depuis la crise financière de 2008. ".

    Quoi qu'il pouvais s'en dire, je vous avais annoncé, il y a un mois de cela, que l'augmentation du cours du pétrole depuis l'année dernière était le signe que les fonds spéculatifs sortaient des bourses et se reportaient sur les matières premières, de bouche, c'est pour nous le plus visible, mais aussi sur toutes les autres.

    Ce que j'avais pressenti dès Octobre de l'année dernière pour le beurre, le sucre et le chocolat, puis, le doute se faisant j'en avais écarté l'idée.

    J'y avais écrit ceci (en un coup de flemme, un copié-collé, pourquoi pas, et puis, que je ne cache pas ma satisfaction d'en avoir saisi les mécanismes, même si cela va nous conduire à la pire des mouscailles):

    ...cette hausse soudaine des prix et leur amoindrissement en quantité dans les rayons ne peut en être la cause directe, mais tout à plus un prétexte, avec, toutefois, une base de réalité: cette exportation ayant mené à une tension autant sur leur montant que sur les flux d'approvisionnement.

    Tension n'ayant pu que débuter il y a pas mal de temps déjà, raison sûrement de ces choix.

    C'est pourquoi je dis et affirme que cette hausse soudaine des prix et baisse en fourniture de ces articles signent le délaissement progressif de la spéculation P1010654.JPGboursière qui, désormais, se reporte sur les matières premières et de première nécessité.

    Comme ce fut le cas déjà en 2008, peu avant que nous n'apprenions que le système bancaire était aux portes de l'implosion.  )

    Cette tension sur les prix des matières premières ne peuvent qu'accélérer la désindustrialisation internationale et, dans le même temps, accentuer les Q.E., les hyper-productions monétaires des banques centrales.

    Qui se retrouveront à racheter les actions dès lors vendues sur les marchés boursiers des entreprises de leur pays respectif, ceci pour éviter que les bourses ne s'effondrent, monnaie tombée dès lors dans les poches de ces fonds et qui, comme je l'expliquais l'année dernière, se déversera dans la spéculation sur ces-dites matières premières.

    Ce qui mènera à une inflation internationale égale à la quantité de monnaie ainsi déversée, ce qui est dès maintenant devenu visible sur les pommes, le beurre, le chocolat, le pétrole.

    Ce qui ne peut qu'accroitre la désindustrialisation mondiale générant une instabilité des prix grandissante par la déflation que cela génère.

    Phénomène qui sera bientôt apparent pour un nombre toujours plus grand de produits.

    Alors, je vous renouvelle mes conseils: faites vos réserves.

    Parce que, là aussi, c'est parti mon Kiki, comme en l'an 40 2008, mais en pire, infiniment pire.

    Là encore, si nous observons les occurrences sous une perspective convenable, il estP1000706.JPG possible de concevoir les effets de cette débâcle économique qui, maintenant, s'accroit démesurément.

    Ceci ne pouvant se faire que dans les grandes lignes il est vrai, mais il ne peut en être autrement.

    Et, suivant les cas, les pays et les régions, ces effets peuvent être plus ou moins violents et importants.

    Or, le commerce international ne peut que souffrir d'une hausse du prix du pétrole, et pas qu'un peu.

    Le maritime, certes, mais aussi l'aérien et le routier, ce dernier étant celui nous permettant les échanges européens, tous en souffrent et en souffriront de plus en plus.

    Cela ne pourra que se traduire par un ralentissement de la circulation aérienne, maritime et routier, par un accroissement des prix du transport, ce qui, in fine, se répercutera sur notre porte-monnaie, puis mènera à des faillites de transporteurs et des compagnies.

    Et c'est parti mon Kiki (qui est-ce Kiki?) pour une augmentation des prix dans les magasins, pour les pièces détachées automobiles, les carburants.....

    Mais ce n'est pas tout, les états ne peuvent que remonter leurs taux (les U.S.A. ayant commencé les premiers), remonter les taux, c'est bien joli, mais les taux de quoi?

    En fait, les banques centrales prêtent aux banques privées de la monnaie, monnaie qui sert à spéculer sur tout ce qui peut être spéculable (néologisme, j'avertis dès que j'en crée un).

    Entre-autre aux états, qui émettent en échange des bons du trésor, qui ne sont que des reconnai

  • Fiction n° 10) Vengeance!

    Le café grouillait de monde en ce doux début d'automne.

    Dans  cinq, six jour les météorologues promettaient une forte baisse de la température, tout le monde profitait de cette dernière douceur.

    Un brouhaha incessant déversait son flot de paroles, de rires, d'appels  aux garçons de bar, de mouvements de  chaises...

    Attablé seul devant son verre, Marcel attendait, regardant vaguement l'écran de son ordinateur portable, les résultats de sa vengeance.

    Cela faisait trois ans qu'il avait démissionné de l'établissement financier qui l'employait après qu'il se soit retrouvé placardisé dans un bureau minuscule dans lequel se trouvait juste une chaise, une table et une vieille bécane informatique, tout cela parce qu'il avait eu le malheur de prévenir sa hiérarchie des risques de faillite que courrait l'entreprise et l'économie mondiale.

    On ne  laisse pas un génie en informatique comme lui dans cette situation là même si sa machine est ancienne, presque antique, c'est dangereux.

    Il avait donc, patiemment, pendant un an, façonné puis déposé son virus dormant, lui le spécialiste avait contourné tous les barrages et anti-virus que ses confrères avaient mis au point puis, lorsque tout avait été mis en place, il avait déposé sa démission à une direction qui n'y avait vu que du feu.

    Il faut dire que rarement il avait rencontré un tel ramassis d'idiots qui, ce qui n'arrangeait pas les choses, tâtaient de ces produits illicites donnant le vertigineux sentiment de toute puissance mais qui en réalité ravageait les cerveaux et leurs processus  synaptiques.

    "Ces petits malins verront bien sous peu..." Pensa-t-il.

    Il regarda sa montre, encore trois quart d'heure, il avait déjà attendu ce jour quatre ans, il pouvait bien patienter quelques minutes.

    Il se laissa aller à se souvenir de son embauche, la joie qui était sienne de recevoir sa première paye, importante, des premières années candides, presque naïves, ne comprenant pas les traces blanches laissée par la drogue sur les miroirs, les discours impétueux, hystériques voire incohérents suivit d'un air dépressif, parfois hébété de certains, les sorties avec les confrères qui rapidement le fatigua, les conversations économiques avec les diplômés d'écoles commerciales auxquelles au début il ne comprenait rien mais dont ensuite il réalisa les incohérences, le ton des cadres dirigeants qui paraissait ferme et résolu et n'était en réalité que de la suffisance..., puis son isolement, "surtout pour ne pas le laisser au contact de quiconque, on ne sait jamais ce qu'il pourrait raconter et à qui, mais le conserver comme bouc-émissaire au cas où les choses tourneraient mal", il y en a eu quelques exemples dans la planète finance.

    Mais le lampiste potentiel ne s'est pas laissé faire, s'est protégé des risques qu'on lui fasse porter n'importe quel chapeau puis a déversé son poison informatique à son entreprise ainsi qu'à l'ensemble de la finance mondiale, petit à petit, lentement, discrètement.

    Tous, en vrai, il les hait!

    Plus que trente minutes.

    Il se surprit de fredonner la musique du film "l'arnaque".

    Il héla le serveur et lui commanda un nouveau verre de vin, calme et tendu à la fois.

    Il y a quelque temps il avait hésité à annuler toute l'opération puis s'était ravisé, cette crise prochaine arrivera, quoi qu'il se passe, et il n'a fait qu'en accélérer les mécanismes et, au contraire, faire que sa mise en branle advienne plus tôt ne peut qu'en minorer, bien que légèrement, les effets, en ces choses et vu la situation ce n'était plus que des questions de mois.

    Plus qu'un quart d'heure.

    A quelques tables de lui une femme le regardait, regard qu'il lui rendit d'un léger sourire.

    Un homme venant de derrière lui vint à la rencontre de cette beauté un bouquet à la main, elle se leva, ils s'embrassèrent puis partirent tous deux.

    Ce regard ne lui était pas adressé, se rendit-il compte un peu troublé et confus. Il les regarda s'étreindre puis, se retournant, les vit sortir et les suivit longuement des yeux...

    Onze heure pile.

    Il guetta les premiers signes qui tardèrent à arriver.

    "Oui!" Dit-il tout bas quelques minutes plus tard en serrant le point.

    Il paya ses consommations puis se leva et rentra chez lui.

    Deux mois plus tard la ruine de l'économie monde était achevée.


    THEURIC


  • Une époque passante maintenant de versifier.

    Présentation:

     

    Le second poème commence par un quatrain transformé d'un de ceux que mon maître en poésie avait écrit (perdu depuis) qu'il m'avait offert, ouvrier-philosophe, charron de son état, forgeron-carrossier, que j'avais rencontré jeune homme quand j'était OS en dépôt d'autobus, à les nettoyer.

     

    Nous avions fait ensemble un "cadavre exquis", recopié sur le tableau syndical, il avais aussi jugé mes toutes premières œuvres encore approximatives.

     

    Du premier, il est temps de ne plus se morfondre mais de penser l'avenir.

                                            -----------------------------------------

     

     

     

                 Il est temps passé

              D'explorer ce miroir

    D'une époque insolite et odieuse

     

    Maintenant de la poésie

     

    J'ai tout dit sur mon blog en ces années passées,

    Contant ce que je peux penser de cet époque,

    Où j'y ai fait l'essai de vous débroussailler

    Les si inouïs chaos que ce temps évoque.

     

    Je vous laisse lire, en prose profuse,

    De ces billets anciens racontant le présent

    D'ères finissantes en leurs sens abstruses :

     

    Cet avilissement tant déshumanisant

    Que tout ces bornés, qui, doucement, l'infuse,

    Ne sont plus qu'ombres de rêves agonisant.

     

    Certes, parfois, j'ai pu produire des erreurs,

    Et le reconnais là, avec humilité.

    Mais le moment n'est plus de s'abattre de peur,

    En revanche de vivre joie et acuité.

                                           ----------------------------------

     

     

     

                           Il est de ceux-là

    D'où bruissent vanité autant que vacuité.

                              En serais-je?

     

     

    Le président

     

    Un petit président, invétéré bavard,

    Derrière son bureau, pérorait à foison.

    Ses concitoyens écoutaient, goguenards,

    Du sermon magistral la rime et la raison.

     

    « Mon génie reconnu transcende l'univers,

    A moi tout seul, je suis la civilisation,

    A chaque décisions ne pense que nation,

    Vous aime, mon peuple, je suis votre convers.

     

    Toute décision est mûrement réfléchie,

    Toute action pesée, mes idées rafraîchies,

    Je médite chaque jour pour le bien commun,

    Ne bafoue pas les lois d'un revers de main.

     

    Je suis votre lumière, ma vie, exhalaison

    De la bonté et de gouverner sur terre,

    De faire mon mieux bon sens en floraison,

    Phénix de tout savoir, sagesse exemplaire.

     

    Je suis le créateur au-delà de tout art,

    Le démiurge fondateur d'absolu savoir,

    Déniant à quiconque le droit de vouloir croire

    Que ce que je conte est le fait d’un ignare. »

     

    Quand ce prêche finit, silence s'établit.

    La gêne légère de visages pâli

    Donnait en salle l'allure d'un sépulcre,

    De perdre l'esprit de ne penser qu'au lucre.

     

     

     

    THEURIC

  • Florilège...

    Le bonheur est comme un cheval: il n'est nul besoin de lui courir après, il viendra vers chacun d'entre-nous dès lorsque nous voudrions bien l'accueillir.

     

    Un stress post-traumatique a deux raisons d'être complémentaires:

    -Le choc psychologique et/ou corporel violent;

    -Venant à se confronter à l'incompréhension des raisons et causes audit choc.

     

    Boire mon thé voudrait-il dire que, plus tard, il me faudrait descendre?

     

    Et, dès lors, qu'avait dit Jeanne-d'Arc sur son bûcher?

    ...........Je veux descendre, je veux descendre!!!!!!!!!!

     

    Si l'on veut comprendre la réalité, il faut aller la rechercher au-delà de l'apparence de toutes choses, ce qui est, dans l'absolu, naturellement inatteignable.

     

    De Hernesto Pagliano, offert obligeamment par une amie: "Le concept est toujours moins que la réalité!"

     

    Peut-on en même temps monter des cendres?

     

    Pour trouver du bien-être dans la vie, il faut : se sourire à Soi-même, parfois devant un miroir, rire de bon cœur, de clowns, de bons mots, de blagues et d'autres ( sans rire des malheurs des gens ), savoir bien manger sans excès, faire de l'exercice ni trop, ni trop peu, et aimer l'amour des femmes pour les hommes et l'amour des hommes pour les femmes.

     

    Ce qui importe en ce que l'on apprend c'est de comprendre cet apprentissage quel qu'il soit et de le rendre, de ce fait, utile.

     

    Faut-il être aviateur pour s'envoyer en l'air?

     

    Lois de la thermodynamique:

     

    1) Le chaud monte, le froid descend;

    Le chaud va vers le froid, jamais l'inverse.

     

    2) Tous effets de mouvements énergétiques ne peuvent revenir en arrière, ce qui démontre la flèche temporelle.

     

    3) Toutes création ne peuvent se faire que grâce à de l'énergie, cela mène naturellement à une perte d'énergie sous forme d'entropie (  le moteur de la voiture chauffe quand on roule, cela est dû aux frottement dans celui-ci, cette entropie là se fait sous forme de chaleur, ce qui est la majorité des cas   ).

     

    4) Dans un milieu hermétiquement fermé à toute énergie pouvant provenir de l'extérieur, l'énergie se trouvant à l'intérieur dudit milieu y tend à partout s'égaliser.

     

    J'y rajouterai, quand à moi, la chose suivante:

     

    Un tuba est un instrument de musique que l'on joue sous l'eau ( hi, hi, hi, ha, ha, ha, ho, ho, ho )

     

    La femme est semblable à l'homme en son inverse complémentaire..., et réciproquement.

     

    Quand l'écrivain écrit, il s'exprime toujours de Soi: soit de ce qu'il en sait, soit de ce qu'il se pense être, soit de ce qu'il suppose de ce que l'Autre pense de lui, soit de qui il se conçoit, soit de ce qu'il est, soit de qui il est, soit de tous cet ensemble.

     

    Pour un astrophysicien un trou-noir est-il troublant?

     

     

    THEURIC

  • Questions à Monsieur François Hollande, Président de la République Française.

    Monsieur,

     

    Pourquoi, vous, homme sensément de gauche, vous alliez-vous et vous aliénez-nous, en Ukraine, à des groupuscules néonazis, composants du tiers du gouvernement provisoire ukrainien?

    En cela, certes, vous n'êtes pas le seul en Europe.

    Devons-nous, en tant qu'électeurs, en tenir compte et en quoi?

    Est-il normal qu'un pays, le nôtre, une union, paraît-il démocratique, aide un régime nazi, que cela cache-t-il?

    Êtes-vous sûr de la probité de l'action américaine dans cette région?

    Que veulent les américains, l'ont-ils obtenu?

    Est-ce vrai qu'ils ont emporté l'or de la banque centrale ukrainienne?

    Quel y est notre intérêt propre?

    Pourquoi obéissez-vous aux américains?

    Qu'y font nos avions de combat en Pologne?

    Pourquoi sont-ce des socialistes et, dès lors, vous-même, qui entérinent le contrôle internet des flux d'informations par l'armée, serions-nous en état de guerre?

    Et si oui, contre qui?

    Les russes ont-ils oui ou non vendu leurs bons du trésor américain et si oui, quel pourrait en être les conséquences?

    Êtes-vous sûr de vos présupposés théoriques en économie, présupposés déjà largement exploités depuis des décennies avec des résultats plutôt destructeurs, voire calamiteux?

    Votre pack de responsabilité ne consisterait-il pas d'exacerber la même politique économique qui, depuis des décennies, nous a montré sa patente inefficacité?

    Pourquoi ne pouvez-vous pas vous extraire d'un champ dogmatique, dit néolibéral qui, plus le temps passe, plus nous montre son caractère autodestructeur?

    Pourquoi vous êtes-vous laissé, sans  rien dire, injurié par Monsieur Obama, injures qui, au-delà de vous-même, nous a tous atteint et profondément sali?

    Pourquoi suivre des États-Unis-d'Amérique qui ne savent plus, comme seule politique, que faire des coups foireux et ne donner que de l'injure, du parjure et du mensonge?

    La France n'est-elle, pour vous, plus que cela?

    Pourquoi laissez-vous, vous homme de gauche, les médiats officiels adouber et aider le Front-National et censurer des partis politiques qui, bien qu'encore d'une faible écoute, sont, tout du moins, de réels partis démocratiques?

    Quel est le lien entre le Front-National et les journalistes en vu?

    Quel est le lien entre le Front-National et l'Union-Européenne?

    Quel est le lien entre les puissances d'argent et les banques et le Front-National?

    Quel est le lien entre les U.S.A. et le Front-national, connaissant ce qu'il s'était passé au Chili?

    Ces liens sont-ils de votre gré ou non?

    Croyez-vous vraiment qu'il y ait une différence entre les présupposées économiques du P.S., de l'U.D.I., de l'U.M.P. et du F.N.?

    Pourquoi voulez-vous faire survire l'euro, quitte à tous nous ruiner, vous avec?

    Êtes-vous sûr que l'Union-Européenne survivra aux années qui viennent à l'année qui vient?

    N'êtes-vous pas dans une position d'où il est possible de s'extraire des pensées de groupe?

    Ne devrions-nous pas définitivement quitter l'Union-Européenne et l'euro?

    Ceux nous annonçant, en ce cas, le pire des désastres sont-ils bien sûr de ce qu'ils disent vu que cette situation ne s'est jamais présentée dans l'histoire?

    Ne sont-ils pas les mêmes qui, par leurs nombreux conseils et actions, nous ont conduit au bord de la plus terrible défaite économique de la longue histoire de notre pays, peut-être, dores et déjà, de sa ruine?

    Ne craignez-vous pas de vous retrouver dans une situation analogue, et non pas similaire, au roi Charles X en 1830, 27, 28, 29 juillet de cette année là, dites des trois glorieuses (je n'ose penser Louis XVI)?

    Ne devrions-nous pas revenir à une république réellement démocratique plus proche de la III° république que de la V°?

    Êtes-vous homme de gauche?

    Bien à vous,

     

     

    THEURIC

  • Voici une autre de mes erreurs: Monsieur Asselineau en une erreur inverse.

    Médiapart a présenté Monsieur Asselineau comme d'extrême droite, je croit que ce journal fait fausse route, il est de la droite bonapartiste, soit de la droite radicale, ce qui est tout à fait différent.

    C'est un contre-sens digne d'ignorants que de confondre radicalité et extrémisme, l'un allant chercher sa réflexion et son action à la racine des choses, l'autre s'égarant dans les excès, les débordements et l'outrance.

    Pour autant, je vais m'éloigner, du moins en pensées et en écrit de cette personne ainsi que son parti puisque je n'ai aucun contacte avec eux, ni avec aucun parti, d'ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons qui firent le refus de Médiapart de lui donner un espace d'expression.

    Toutefois je n’ôte rien de ce que j'ai pu écrire sur lui et son parti dans mes textes précédents.

    Pourquoi donc je lui retire mon crédit?

    J'avoue que pour l'instant je ne pourrais pas en donner de motif convainquant, c'est juste un sentiment, une intuition, peut-être le peu de cas qu'il fit, dans son blog, des affaires ukrainiennes...

     J'ai écrit là des SOTTISES!

    Médiapart n'est, en fait, que l'un des médiats à la doxa pro-Union-Européenne, sans même que ses journalistes comprennent qu'ils soutiennent la même idéologie, le néolibéralisme et l'anti-néolibéralisme, soit l'économisme dogmatique, contre quoi ils pensent lutter.

    Comme je l'ai déjà expliqué, une croyance et son anti-croyance sont de même nature.

    idée n° 7): Les dualités complexes: l'économisme dogmatique.

    C'est là que se trouve toute la complexe situation de notre époque et Médiapart, en tant que médiat, en est un bel exemple.

    Comme une immense majorité de nos élites et de ses représentants, ses journalistes ne peuvent pas songer un seul instant que l'Union-Européenne puisse être irréformable et que, de plus, elle court à sa perte.

    Sa perte n'étant due qu'à celle des U.S.A. accompagnant celle de l'économie-monde.

    Mes textes suivants et, dès lors précédents, la conformation des blogs rendent dyslexique, montrent un certain nombre de ses mécanismes.

    La position de Médiapart au sein des médiats français est dès lors passionnante.

    Son sens le plus précis se trouve au sujet suivant qui expose les raisons de l'agressivité et du rejet de la moindre pensée de la disparition possible de l'Union-Européenne comme étant un processus naturel que peut être celui d'un deuil.

    Essai de réflexions théoriques sur les égarements de nos élites nationaux et internationaux.

    Parce que dire qu'un parti est d'extrême droite quand il ne l'est pas est agressif.

    Je n'ose songer que d'autres raisons puisse se cacher au sein de ce médiat, étant donné qu'il est l'un de ceux qui se sont créés pour contrecarrer la continuelle bienpensance déversée dans bien d'autres couvertures médiatiques.

    Serait-ce ne serait-ce que possible?

    En revanche, je ne retire rien de ce que j'avais écrit au sujet des partis réellement radicaux qui sont, comprennent et agissent à la racine de la situation.

    Et l'U.P.R. est, de jure et de fait, dans son approche de la situation politique de l'Europe et de la France, à la racine de la situation.

    Il est toutefois à regretter qu'aucun parti ne pose, même en postula, la ruine universelle, ce que, toutefois, je comprends quand nous pouvons contempler combien  la simple idée de quitter l'U.E. génère déjà d'excommunications.

     

     

     

    THEURIC

  • idée n° 8) bis: Essai de début de réflexion sur le temps présent et notre proche avenir.

    Mon intuition, ce processus de création et d’entendement inconscient, me susurre des difficultés immense pour l'Europe, étant entendu que l’intuition se doit de se nourrir de connaissances ad oc et d’inventions d’outils complémentaires.


    Ceci dit, les États-Unis sont, dès à présent, finis, ce pays a un tel taux de désorganisation que la disparition de sa monnaie le fera s’effondrer.


    Trois institutions m'y semblent encore plus ou moins vaillantes: les universités, mais pas toutes, l’armée, bien que dans un sale état et quelques entreprises telles que certaines de celles liées à l’informatique ou celles liées à la production de combustible schisteux.


    Le reste s’écroulera à la suite du dollar.


    La pensée politique purement économiste trouve ses origines plus de deux siècles antérieur à notre époque et s’est progressivement développée jusqu’à nos jours pour devenir maintenant prépondérante, or, ce à quoi nous assistons aujourd’hui c’est à un retour en force de la pensée essentiellement politique avec tout ce que cela entend de formalisme et, surtout, de passion.


    Ainsi, les démocraties populaires et les démocraties libérales, dites communistes et néo-libérales, sont du même esprit d’une conception du monde fondamentalement portée que sur la seule économie.


    C’est leur froide confrontation de 1945 à 1991 qui nous a évité des conflits plus sévères en gelant le dynamisme, parfois tragique, des peuples, le négoce n’aime pas les surprises et les heurs sont toujours des surprises.


    Mais depuis la disparition de l’U.R.S.S. vient le retour du jeu tortueux des états et des nations, c’est ce à quoi nous assistons, la disparition des U.S.A. ne venant qu’achever de libérer l’énergie vitale de l’humanité depuis si longtemps comprimée, toute son énergie vitale.


    L’Europe, elle, est dans son vieillissement autant physique que, évidemment, mental.


    Le sens que je donne à la baisse mortifère de la natalité européenne est la culpabilité dû aux atrocités des deux guerres mondiales (je considère en effet l’inconscient social comme étant d’une temporalité bien plus importante que celle d’un individu, pouvant s’étendre sur plusieurs siècles, voire, peut-être, millénaires), or la culpabilité peut générer deux effet contraires et extrême: la dépressions auto-condamnatoire ou l’agressivité pervers.


    Présentement l’ouest de l’Eurasie est quasiment vidé de sa substance, à l’exemple de la France ne produisant plus d’acier, peu de gasoil ou d’essence…, en cas de cessation de l’économie mondiale, il nous faudra du temps pour remettre en route une production sérieuse de tout un ensemble de substances, éléments et matériaux dont toutes sociétés ont un besoin vital.


    Parce que ceux des pays appelés aujourd’hui B.R.I.C. seront bientôt soit dans l’effritement, soit dans une confrontation plus ou moins directe, ce ne sera que par portions congrues que nous pourrons nous approvisionner ailleurs de ce qui, si tragiquement, nous manquera.


    Cinq, dix ans, voire plus nous serons nécessaires pour que nous puissions entrer dans ce qui sera le concert des nations, plutôt concert free jazz sauf si…


    Sauf à remplacer quasiment totalement les équipes dirigeantes des pays de l’union et ceux de l’Union-Européenne, vu que ceux-ci s’arc-boutent sur cette même philosophie néo-libérale, mais en ce cas je ne vois pas comment l’euro pourrait survivre à pareil commotion, du-moins l’euro en tant que monnaie.


    Le Japon et la Chine, bien entendu, mais plus encore l’Inde et la Chine serons les ferments de nos craintes prochaines, deux voisins, deux géants se toisant à l’envi aux tensions internes tant démesurées…


    Theuric

  • Appel à une nouvelle renaissance 1): De notre situation présente! (suite)

     

    (...Suite du précédent, voir en-dessous...)

     

     C'est donc l'humanité dans son entier qui vit, en ce moment, cette transformation radicale, cette mutation, cela ne peut que chambouler jusqu'aux fondements de toutes les sociétés, d'autant plus brutalement que celles-ci n'étaient que peu préparées à de telles mutations.

    Or, il est à remarquer que même en Occident ce chamboulement n'est que rarement pensé dans sa globalité dû, sans doute, à ce que nous subissons un coup d'arrêt de nos capacités inventives.

    Ce frein provenant, sans doute, en Europe, de ce que nous éprouvons toujours le traumatisme colossal que furent les deux guerres mondiales, traumatisme sensible dans la baisse mortifère de la natalité, baisse essentiellement différente dans ses causes de celles, éminemment plus sage, vécue dans le reste du monde et dont l'origine viendrait, là, de l'apprentissage et du  partage des connaissances des garçons et, surtout, des filles.



    Nous nous devons, donc, de faire renaître ce dynamisme majeur que fut la Renaissance, non pas pour revenir aux gloires et puissances du passé mais pour que nous puissions traverser, sans trop de dommages, (ravages) les dangereuses décennies devant lesquelles nous sommes.

    Ces périls sont légions: manque de matières premières, crise des communications (dû autant aux insuffisances en énergie pour les moyens de transport qu'aux limites aussi bien dans les capacités du réseau mondial de lignes téléphoniques à absorber l'ensemble des échanges, de la saturation avenir des bandes passantes du téléphone cellulaire, du seuil de compréhension de programmes informatiques de plus en plus obscures dédiés à des systèmes complexes, de l'abandon prononcé de la distribution du courrier papier, à l'abandon à de rares pays du transport maritime...), risques d'épidémies dû à l'affaiblissement du réseau sanitaire, possibles conflits entre états ou guerres civiles,... .

    Nous plongeons, en Europe, dans l'incertain pour deux principales raisons:

    1) Quasiment toutes les gouvernes politiques, économique et symboliques ont été confisquées par la classe dirigeante actuelle, celle-là même qui nous montre, jour après jour, une incapacité de même ampleur que de sa vanité. Son impuissance foncière de comprendre les véritables enjeux politiques et géopolitiques, et donc de saisir les transformations sociales de notre société tendant vers une complexité encore accrue et de l'évolution des rapports de forces internationaux, cela en raison d'une pensée pûrement économiste et de son besoin pressant, pour toute prise de décision de quelque ampleur, dans un puéril sentiment d'inhibition, de faire appel à notre cher oncle Sam américain (ou parfois d'un bouffon du roi comme B.H.L.);

    2) L'impossibilité d'une majorité de personne de comprendre les réelles complications vers lesquelles nous allons, même de la part d'intellectuels et d'esprits éminents, soit par insouciance, soit par ignorance, le plus souvent parce que la lassitude de l'histoire et la crainte des lendemains leur font avoir la volonté inconsciente de l'aveuglement. Ceci est doublé d'une déficience informative d'une majorité de médias, par veulerie, dédain des personnes et/ou désinvolte frivolité nous empêchant d'avoir en main les informations nécessaires pour comprendre la marche du monde.

    Le premier ébranlement, quand il surviendra, produira dans le même temps nonchalance et réponses inadéquates. Ce premier ébranlement verra l'effondrement définitif du dollar et la disparition des U.S.A.. Le second est difficilement discernable, il concernera sûrement tout l'ouest pacifique mais cela n'est pas assuré.

    Heureusement pour nous, la situation géopolitiquement isolée et décalée de l'Europe, sise tout à l'ouest de Eurasie et au nord-est de l'océan Atlantique nous protègera pendant quelque temps, ne nous attendons pas, en effet, à une fulgurance géniale de nos élites actuelle, il est même à prévoir une période de latence pendant laquelle tergiversations sans fin, réponses inappropriées et inadéquates seront de mises.

    Mais cela n'aura qu'un temps, le jeu puissant et complexe de la géostratégie internationale nous rattrapera quelque part dans les Balkans entre l’Ukraine et la Grèce, si ce n'est en Méditerranée où le canal de Suez ne manquera pas de jouer un rôle majeur.

    Dès maintenant, notre souci principal c'est une grande part de nos élites politico-économico-médiatiques et nous aurons la plus grande peine du monde à nous en dépêtrer, nous ne pourrons les écarter que si des personnalités sérieuses et reconnues de tous nous instruisent au plus tôt des défis au-devant desquelles nous ne pourrons pas ne pas nous retrouver.


    THEURIC



  • Nouvelle réflexions sur le temps présent.

    Le processus de désagrégation économique suis son cours et la politique reprend difficilement ses droits, entre autre en Union-Européenne.

    L'économisme échevelé, en une bête blessée à mort, rue et mord quiconque paraît lui barrer la route de sa survie.

    L'U.E. en rajoute chaque jour un peu plus pour se faire détester.

    Le gouvernement U.S. et Wall Street voient s'agrandir toujours plus le gouffre de leur décrépitude.

    Les B.R.I.C.A., souffrant de la faillite mondialisée, commencent à prendre leur place dedans un empire étasunien en déliquescence, comme au Proche-Orient.

    Alors, allons y voir.

     

    P1000445.JPG

    Deux faits majeurs doivent dorénavant être pris en compte pour celui voulant comprendre la dynamique historique en cours:

    -La faiblesse des États-Unis-d'Amérique est aujourd'hui patente et s'accentue continuellement;

    -Le système économie globalisé se fragilise au même rythme et s'approche toujours plus de son effondrement.

    Les E.U.A. montrent, en effet, depuis le début de la crise ukrainienne (qui était passée rapidement à une guerre civile), puis de la forte prise de position de la Russie en Syrie, qu'ils n'ont plus la puissance nécessaire pour être hégémonique.

    Militaire, certes, mais aussi économique et politique, cette faiblesse ne peut qu'être visible pour tous ceux sachant s'écarter de l'américanolâtrie de notre époque.

    Pour en comprendre la juste dimension, ici seulement politique, je vous propose l'extrait d'un texte de Dmitri Orlov, traduit de l'anglo-américain puis publié sur le site de Monsieur Berruyer ( http://www.les-crises.fr/lempire-le-plus-bete-du-monde-par-dmitri-orlov/ ) et appuyant mon propos:

    "Il est difficile de l’admettre, mais tout semble possible à présent. Ainsi, les États-Unis semblent ne plus avoir la moindre politique étrangère : la Maison Blanche dit une chose, le Département d’État une autre, le Pentagone une troisième ; Samantha Power, à l’ONU, fait sa propre politique étrangère viaP1000621.JPG Twitter, et le sénateur John McCain veut armer les rebelles syriens pour qu’ils descendent les avions russes (Tous les cinq ? Ne sois pas stupide, John !). En réaction face à une telle confusion, les hommes politiques à la botte des États-Unis dans l’Union Européenne commencent à s’agiter de façon incontrôlable et ne respectent plus le scénario, pour la bonne raison que le centre nerveux à Washington ne leur envoie plus de signes cohérents."

    Cette confusion du gouvernement étasunien est logique et tient en ce que celui-ci n'a plus, maintenant, ni légitimité, ni pouvoir, puisque lui-même est sous la férule des banques, fonds d'investissement et autre Wall Street.

    Cela a conduit, depuis sûrement longtemps, à la perte progressive d'influence et de contrôle du président Obama sur l'ensemble de ses administrations et ministères, chacun prenant son indépendance suivant les seuls intérêts et idéologies des groupes ou des individualités, tout en tentant de prendre l'ascendance sur les autres.

    Bien sûr, le dernier bastion, la dernière colonie américaine, l'Union-Européenne, ne peut qu'être perturbé par cet état de fait, d'où la double tentative de domination sur celle-ci, là encore logique, du bureau européen, d'une part, et de L'eurogroupe ainsi que de la B.C.E., tous deux assujettis à l'Allemagne, d'autre part.

    Sans compter sur le F.M.I. qui, lui aussi, s'écarte au même rythme de l'autorité U.S..

    Il est à noter que la F.E.D., la banque centrale étasunienne, et sa directrice, Madame Yellen, sembleraient, eux aussi, être en proie aux plus grandes confusions, ne sachant plus quelle stratégie adopter pour redresser la déplorable situation de l'économie réelle de leur pays, sachant que plutôt que des 5, 5% de chômeurs annoncés, le chiffre s'établirait, plutôt, entre 13 et 23%, ceci sans considérer la faiblesse des émoluments de ceux ayant un emploi et de la disparition dramatique des usines et fabriques.

    Le monceau de crédits de toutes sortes, immobiliers, des producteurs de gaz et pétrole de schiste, aux étudiants, par exemple, accentue cette fragilité, il en est de même de l'immense fabrication de monnaies lui faisant perdre toute valeur, ainsi que des bulles spéculatives boursière, comme celle dite des technologies ou de l'incroyable monté de Wall Street, bien au-delà du ciel, ne pouvant que conduire les U.S.A., à terme, à leur ruine, infailliblement définitive.

    Militairement aussi la situation de ce pays est déplorable et l'injection massive d'argent (de singe) dans le complexe militaro-industriel n'y change rien: plusieurs fois la Russie a montré à tous une puissance technologique qui lui est bien supérieur, que ce soit en mer Noire ou en Syrie et, ce, grâce à des crédits infiniment inférieurs.

    Tout cela ne pourra qu'avoir des effets centrifuges sur ses états qui, d'une manière ou d'une autre, ne peuvent que prendre leur indépendance du gouvernement fédéral et conduire les U.S.A., soit à leur partition, soit à une guerre civile.

    Pour finir sur ce sujet, les tensions dites raciales dont nous avons tous entendu parler dans les médiats, des dissensions religieuses que nous pourrions très bien deviner au regard de cette situation catastrophique, des mouvements ouP1000627.JPG groupuscules politiques plus ou moins séditieux ou révolutionnaires, de droite comme de gauche, que nous pouvons, en toute logique, envisager, la grande quantité d'armes que possède une bonne part de la population, peuvent facilement renforcer le sentiment d'une prochaine disparition des E.U.A. dans la violence.

    Ainsi ce géant, le dernier empire et le seul universel, se sera lui-même et de lui-même terrassé par ses propres manquements et folies avant d'avoir pu mettre le feu au monde.

     

    L'économie-monde se trouve aussi dans un état déplorable et est aux portes de son anéantissement.

    Le déséquilibre grandissant entre la réalité de l'économie mondiale et les surproductions monétaires ainsi que de la monté vertigineuses des bourses montre, à qui le veut, que ce système ne tient plus qu'à un fil, très mince, celui du dollar.

    Or, comme nous l'avons vu, ce dernier n'est plus soutenu que par un gouvernement américain vaporeux et une F.E.D. aux abois.

    Le-dit dollar est autant la monnaie des échanges commerciaux, de remplacement des monnaies sans valeur dans les pays pauvres, de réserve dans les banques centrales que pour les marchés des changes et financiers.

    Autant dire que s'il disparaît, que quand il disparaîtra, d'une manière ou d'une autre, cela ne pourra que produire plus qu'une panique, une réelle, terrible, monstrueuse terreur, même pour ceux qui s'y sont préparés, même dans les états faisant tout pour rompre leurs liens avec lui.

    Comme je l'ai déjà raconté dans ce blog, ce sera l'ensemble de la chaîne économique et des échanges internationaux qui s'interrompront pour un temps indéterminé, des extractions minières aux récoltes, du tourisme aux autres expatriations, en passant par les usinages et fabrications, jusqu'aux transports maritimes et aériens, passagers et marchandises.

    Que les communications électroniques n'en souffrent pas trop et nous pourrons nous considérer comme chanceux.

    Sans compter, là encore, aux infiniment nombreuses bulles spéculatives parsemant le monde, dont celle, chinoise, énorme, immobilière, est la plus connue, et a, cet été, fortement ébranlé l'oligarchie économique internationale, bulles spéculatives qui ne pourront qu'éclater, rajoutant encore de défaillances à cette dévastation.

    Et les monnaies, non plus, ne pourront s'échanger puisque leurs valeurs respectives n'auront plus aucun sens et que les organismes sensément prévus pour les évaluer, soit divers fonds spéculatifs et banques, auront disparus ou seront nationalisées.

     

    Il faut bien comprendre que les situations nationales et internationales sont mises en place et déterminées par trois type de personnes:

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur et agissent et décident en conséquence, comme les dirigeants russes et chinois;

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur mais ne peuvent agir et décider que dans un cadre étroit en raison de contraintes liées aux trop proches relations de leur pays d'avec les U.S.A., comme il peut en être de certains chefs d'état de l'Union-Européenne;

    -Celles qui, quoi qu'il puisse se passer, ne comprendront ou ne voudront jamais comprendre que nous allons droit vers ce double effondrement futur et qui, contre vents et marrées, persistent et persisteront à agir et décider de manière nuisible pour leur pays et P1000448.JPGleur peuple, soit parce qu'ils ne peuvent pas concevoir, par aveuglements idéologiques, que les U.S.A. et la globalisation économique puissent disparaître d'un coup, soit en raison de leur espérance en des récompenses futurs sonnantes et trébuchantes ou de leur place privilégiée, alliée à leurs désirs de pouvoir, puissance et domination, les déterminent à un même aveuglement, mais, là, maladif, d'asservissement des populations et/ou de gains futurs confortables.

     

    Il est à noter qu'en France et sûrement ailleurs en Union-Européenne, divers partis politiques, jeunes pour la plupart, tel que l'U.P.R. et le (M.)P.E.P., font campagne pour que notre nation retrouve sa souveraineté, ceci en quittant définitivement, en toute clarté et logique, le bloc U.S.A./U.E./€./O.T.A.N..

    Mais qu'ils ne font jamais, également, du-moins dans leur discours officiel, allusion à la flagrance qu'est cette ruine universelle et disparition de l'empire U.S..

    Ce que je comprends fort bien, il serait terriblement difficile de se faire entendre en en mentionnant ne serait-ce que l'éventualité, d'autant plus que cela affecterait gravement leur position et leurs discours, surtout qu'une large partie de la population nie avec, parfois, une farouche vigueur, ne serait-ce que sa possibilité.

    Quoi qu'il en soit, ils devraient prendre en compte, maintenant, ce fait manifeste, quitte à le taire, ceci pour réagir au mieux dès l'instant où cela débutera.

    La position de Monsieur Mélenchon et de son parti est intéressante.

    Lui désir l'épreuve de force avec l'eurogroupe, l'Allemagne et la B.C.E., je lui fait confiance, il la gagnera, si je lui ai donné le surnom de Bulldog n'est pas pour rien, j'ai compris sa pugnacité et sa force de caractère.

    Toutefois, j'ai l'impression que lui et son parti n'ont pas compris que l'Union-Européenne et tout ce qui s'y rattache ne peuvent que disparaître en même temps que son créateur U.S. et l'économie-monde, cela en tout état de cause, ce qui ne pourra que les déstabiliser, j'espère le moins longtemps possible pour ensuite absorber ce qu'il restera du P.C.F..

    Je passe rapidement sur le sujet Vert/P.S./U.D.I./U.M.P, dit "Les Américains", ils n'ont, pour moi, plus aucune espèce importance, hormis quelque individualités qui sauront rebondir rapidement lorsque la globalisation commencera à décliner, voire, pour certains, réagir avec intelligence et vigueur, les divers verrous dus à ce bloc sus-nommé ayant sauté, ils pourront, tout à loisir, développer leur intelligenceP1000632.JPG politique.

    Le F.N. ne peut que retenir un bref instant mon attention.

    D'un discours paraissant anti-européen, ce parti et ses adeptes sont, en réalité, viscéralement eurolâtre.

    il n'est que de voir les œillades appuyées que Madame le Pen lance au petit père des peuples Juncker ou à Frau Merkel, ou bien de savoir que si Le Pen fifille devient présidente de la république elle ne fera que rediscuter les accords de l'eurogroupe, moins, en somme, que ce que fit Monsieur Tsipras et son gouvernement (nous savons tous à quoi cela a pu aboutir), nous ne pouvons que concevoir que ce mouvement n'est que l'un des chevaux de Troie à la solde des eurolâtres et américanolâtres.

    La visite de sa présidente aux États-Unis-d'Amérique, à un gala donné par les puissances d'argent de là-bas en son honneur, comme étant la femme la plus importante de l'année pour la France et l'Europe, est également la preuve que ce parti ne mange pas seulement aux râteliers de l'eurogroupe mais aussi à ceux de l'empire U.S..

    Il est des traitrises qui ne s'oublient pas!

    Tout comme celle perpétuée par Monsieur Sarkozy, lorsqu'il avait vendu l'or de la patrie au même empire, à un prix défiant toute concurrence.

    Mais lui, au moins, ne faisait pas preuve d'un tel double discours.

    Passons, là encore, le M.E.D.E.F., la C.F.D.T., comme n'ayant, non plus, aucune importance, ils seront, comme d'autres, balayés par cette prochaine déferlante.

    Les journalistes en vu dans les médiats officiels seront rapidement remplacés par des gens plus capables, sauf, peut-être, Lise Lucet, d'une certaine intelligence et finesse, si elle sait retourner à temps sa veste.

     

    J'ai déjà évoqué les tensions futures qui ne pourrons que se produire entre l'Inde et la Chine.

    Ces deux géants, en puissants voisins se toisant dans les hauteurs de l'Himalaya, ne se sont alliés, pour l'instant, au sein des B.R.I.C.A. que pour limiter le pouvoir, devenu de seul nuisance, des États-Unis-d'Amérique.

    Leur gouvernement subiront les foudres de leurs populations lorsqu'elle sentiront se retirer sous leurs pieds leur rêve occidental de classe-moyenne et de consommation de masse.

    Là se trouve, comme je l'ai déjà

  • Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille.

    Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille.

    Je fais parti de ceux qui veulent montrer que la réalité se trouve au-delà des apparences, que ce dans quoi nous nageons n'est pas tel qu'il s'en dit habituellement.

    Écoutez Monsieur Asselineau, lors de ses conférences, c'est ce qu'il nous conte.

    La réalité n'est pas une maîtresse affable, elle ne raconte pas ce que nous voudrions entendre, mais elle montre ce qui est, sans fard, sans mensonge, sans façade, parfois tellement discrètement qu'il en est ardue de la comprendre, parfois d'une telle évidence que cela en éclaire la nuit la plus sombre.

    Il n'est point de la vouloir croire mais juste d'en saisir la vérité complexe au-delà de toute rêverie.

    Et en ces temps où l'ingénue se laisse porté par les cauchemardesques trilles des hérauts d'oligarques évanescents, il n'est plus que temps d'aller rencontrer cetteP1020008.JPG éternelle maîtresse d'école de la vie.

    Dépeint-elle l'enfer ou la paradis, ni l'un ni l'autre, juste la vie, notre vie, et l'existence du monde, de son cours, de ses joies et de ses tourments, de l'infinité de l'être.

    Nous vivons un trouble et nous ne voyons plus rien, or la réalité nous appelle, elle nous requière toujours à elle, en son principe, alors, écoutons là, elle a tellement de choses à nous dire.

    Parce que si nous lui restons sourds elle nous rappellera à  l'ordre sans ménagement.

    C'est ainsi.

    Combien ai-je de lecteurs?

    Un, ce jeune dont le pseudonyme est Hadès, dix, cent, mille, dix-mille ou plus, qu'en sais-je, je suis bien incapable de le dire, n'ayant pas trouvé moyen d'en avoir le chiffre, de comprendre comment fonctionne ce truc, d'autant plus que Hautetfort ne fait plus ce décompte, que voulez-vous, je suis de la génération de la télévision et du téléphone à cadran.

    Bien que cela me soit un tout petit peu frustrant, ce n'est pas pour cela qu'il faudrait me laisser un commentaire rien que pour me faire plaisir, en cela qu'importe, mon travail se poursuit.

    Mais quel est-il?

    P1010840.JPGD'expliquer que l'univers dedans lequel nous vivons est infiniment plus complexe que le sens que nous en donnons, que notre "entendement collectif du monde" est, en raison même de notre nature, limité et que le brouillard conceptuel qui nous englobe en pervertit le sens.

    Bien entendu que je fais des erreurs de perception et de conception, j'en ai fait, j'en fais et j'en ferai de nombreuses, mais c'est bien parce que je m'essaie de percevoir au-delà de ce qu'il se dit que, souvent, quand je parle, nombre de gens tendent à me fuir d'une manière ou d'une autre.

    Sauf si ce que je dis tend à répondre à des interrogations présentes et formelles et sans révéler mon identité sociale hiérarchique, soit mon cursus et mes emplois passés.

    C'est pourquoi également, même si j'ai de nombreux lecteurs, très rares sont les réactions et commentaires, ce en quoi je ne porte pas ombrage, c'est un fait, c'est tout.

    Dès lors, je ne m'en désole que très peu, pour la raison même que j'en comprends le sens.

    Comprenez bien que je ne me glorifie de quoi que ce soit ni ne pense avoir raison sur tout contre tous, je montre juste un phénomène que j'ai pu observer depuis bien longtemps.

    La raison en est simple à définir : je sors de la grille de lecture, sociale habituelle certes, mais aussi des certitudes communes.

    Lorsque, par exemple, je pose des réflexions sur des thèmes aussi différents que peuvent l'être la nature de la pensée, l'évolution d'Homo Sapiens Sapiens, explique les raisons mécaniques pour lesquelles il est impossible de privatiser un serviceP1010609.JPG publique, sinon de gravement l'affecter, ou celles qui fait qu'il est chimérique de vouloir réformer un système politique triplement verrouillé, comme l'est l'U.E., sauf à irrémédiablement le détruire, tout en donnant une définition de la monnaie...., ceci, de plus, en tant qu'employé d'une société de transport en commun à la retraite, conducteur de bus, et en abordant tellement de thèmes différents, je remets, non pas seulement en question, mais bien en cause notre structure sociale.

    En fait, la plupart du temps la lecture de la politique m'est plutôt simple, il en est ainsi du dernier petit billet de Donald Trump à son sortir de l'avion présidentiel, un touite de ce qu'il se dit, est facilement compréhensible.

    Il y disait en substance que, pour lui, il était insultant que Monsieur Macron puisse proposer la constitution d'une armée européenne, ce dernier lui ayant répondu que c'était ses conseillés qui avaient mal compris ce que le président français voulait exprimer.

    Ce qui pourrait ressembler à une réponse manquant singulièrement de courage, pas très maline ni subtile, mais bon, passons, la question n'est pas là.

    Il faut comprendre que les États-Unis-d'Amérique sont agités de deux émotions envers l'Europe, la jalousie et la peur.

    Sans elle, sans la France et l'Espagne ils ne seraient rien qu'une vague colonie britannique, comme le sont encore un peu, sinon dans les faits, du-moins dans l'esprit, le Canada et l'Australie.

    Leur statue de la liberté dont ils s’enorgueillissent, rien qu'elle, fut conçue et construite en France, sans compter que la fusée, la bombe atomique, l'automobile, P1010824.JPGla machine à vapeur et bien d'autres choses encore furent, elles aussi, conçues et mises au point en Europe.

    Sans les allemands qui, en masse, se sont émigrés aux U.S.A. son peuplement n'aurait jamais atteint celui d'aujourd'hui.

    Leur science, leur technologie, leur art étant, à la base, européenne, même le jazz et le blues, le meilleurs de leur musique, est la résultante du croisement des musiques classiques et traditionnelles européennes et africaines.

    En réalité, l'existence même des pays européens remet en cause l'exceptionnalisme messianique, plus ou moins teinté de religiosité, des U.S.A., qui n'est que la tentative collective de se persuader de leur propre existence en tant que peuple, là se trouve la raison essentielle, bien qu'inconsciente, de la construction de l'Union-Européenne sous égide impériale, leur volonté de notre destruction, dont l'origine provient de cette jalousie haineuse inconsciente de l'empire à notre égard.

    Parce que du fait de notre existence, de notre simple présence, ils ont le sentiment de n'être rien, du vide, du vent, du néant.

    A cette jalousie s'y rajoute la peur, et oui les étasuniens nous craignent au-delà de tout.

    Il se fait que leur armée n'est pas vraiment performante, il se disait même, au temps de la guerre froide, que l'Allemagne de l'ouest n'en avait pas confiance, leur préférant mille fois ses propres troupes et celles françaises et britanniques.P1020050.JPG

    Ainsi, quand on m'affirma que si les américains n'avaient pas débarqué en Normandie en 1944 nous parlerions allemand, je répondit que non, nous parlerions russe, la guerre n'aurait pas alors cessé en 1945 mais plus probablement en 1947, 48.

    Ce ne fut qu'en raison de la résistance anglaise lors du blitz de 1940, ce qui détruisit une bonne part de l'aviation germanique, puis des défaites allemandes en Afrique-du-Nord par les britanniques (quand les étasuniens y arrivèrent ce leur fut catastrophique), en Russie, lors des batailles de Moscou, Stalingrad puis du chaudron de Koursk, qui permit ces deux débarquements, Normandie puis Provence, mené, pour le second, par les troupes françaises, raison pour laquelle on n'en entend que peu parler, leur narcissisme flamboyant, leur nombrilisme, centripète, aussi, montre et démontre leurs immenses faiblesses.

    Sinon les forces anglo-saxonnes auraient été rejetées à la mer dès leur tentative normande.

    Il n'est qu'à voir ce que fut, pour eux, la guerre du Vietnam, la pire des avanie, la puissance de leur armée au regard de ce qu'était celle du Nord-Vietnam nous en montre tout.

    Et s'ils purent battre les japonais à la même période ce fut grâce à leur puissance industrielle et au nombre d'hommes à leur disposition, bien qu'il soit vrai que P1020102.JPGquelques bons stratèges de leur camp n'y furent pas non plus pour rien.

    Sans compter leurs déboires en Irak et en Afghanistan.

    C'est pourquoi les étasuniens, dès que la guerre froide s'achevât, n'eurent de cesse que de détruire les armées européennes, de les corseter au-dedans l'O.T.A.N., du fait de cette angoisse délirante et fantasmatique d'être envahi.

    C'est pourquoi, bizarrement, Monsieur Trump fit état de son drôle de sentiment d'être injurié par le président français, quand celui-ci ne fait que poursuivre, vaille que vaille, son étrange programme: continuer une construction européenne, dont les U.S.A. furent, ce qui est cocasse, à l'origine, que rares en Europe sont ceux voulant aujourd'hui conduire à son terme, hormis les esprits chagrins eurolâtres de plus en plus minoritaires.

    D'où cette sotte proposition d'une armée européenne et cette réponse cinglante, bien que surprenante, du président U.S. (notre pauvre Macron qui ne fait que répéter ce qu'il entend et qui, à chaque fois, se prend une baffe monumentale, d'ailleurs je me demande si certains ne s'en amuseraient pas, voire même en feraient des paris).

    Il est à remarquer que la Grande-Bretagne quitte certes l'Union-Européenne tout en restant dans l'O.T.A.N., la raison en étant encore une fois multifactorielle, toutefois ce pays considère que rester proche des U.S.A. est plus prudent, cela restant à voir.

    En réalité, je me demande si ma façon de fonctionner ne proviendrait pas du faitP1020065.JPG que mon système de croyance ne serait que peu développé, une façon d'infirmité sociale en quelque sorte.

    Il m'a fallu, avec le temps, apprendre toutes les lois non-dites de la société, d'ailleurs je n'hésite pas à sourire dans la rue, ce qui, je l'ai compris, n'est pas toujours bien vu.

    En revanche la nature humaine m'est infiniment plus facile, même si, pour la comprendre, il me faille me concentrer, mon problème venant de ce que, bien que ressentant mes émotions, je ne sais pas toujours laquelle s'anime, et cette compréhension de l'autre ne provient pas de saisir les évidences des expressions faciales et physiques, mais des sensations ressentis au plus profond de moi, parfois à me tordre de douleur.

    Ce qui fait que je ne sais pas toujours si ce sont mes émotions propres ou celles de mes vis-à-vis, c'est en cela que je suis une éponge à émotivité, enfin, avec l'âge cela s'est relativement radouci.

    Tout ça fait que je n'ai jamais vécu cette évidence sociale que vit la majorité des gens, ce que sont les croyances partagées.

    Sinon, mon enfance a été une masse d'incompréhensions rêveuses, mon adolescence fut un enfer, d'une solitude entière et mes gaffes magistrales.

    Bon, d'avoir été manipulé par un pseudo-pote pervers-narcissique pendant plus de trois décennies n'a pas été pour arranger les choses, il a d'ailleurs de la chance, je P1010531.JPGsuis dans la plus totale incapacité de lui en vouloir, c'est constitutif à ma structure mentale, si je lui ai envoyé une lettre déstabilisante c'est juste pour qu'il me foute la paix et, surtout, qu'il ne fasse plus de mal à quiconque, dans deux mois environ il craquera et libèrera celui ou ceux qui sont toujours sous son emprise.

    Le plus amusant c'est qu'il doit lire ces lignes et je ne pense pas qu'il y comprenne grand-chose, sauf inconsciemment; il pourrait guérir, même de son état psychotique de moins en moins latent, mais pour cela il lui faudrait, même à son âge, partir au loin, en Australie par exemple, pour rompre avec les rites qu'il doit dorénavant mettre en place pour tenter de sauver son mental défaillant, le choc civilisationnel le sauverait, mais je ne l'en pense pas capable.

    Enfin, c'est son affaire, par le mien, j'ai de la compassion pour lui, de la pitié, aucune.

    (La pitié est agissante, on souffre pour l'autre alors le devoir, la passion est d'agir pour l'amoindrir, la compassion, elle, n'est que la souffrance accompagnante, sans jugement mais aussi sans action pour en diminuer les effets.)

    Quoi qu'il en soit, depuis que j'ai un ordinateur je fais ce que j'ai toujours voulu faire: écrire pour déverser mes pensées qui, sinon, encombreraient ma cervelle.

    Et vous, amis lecteurs, vous devez vous demander, au-delà de cet épanchement, le pourquoi du titre de ce billet: "Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille".P1010746.JPG

    C'est que le poisson ne sait pas que l'eau existe puisqu'il vit dedans, tout comme l'Être-Humain dut attendre Lavoisier pour comprendre qu'il vit dans une atmosphère faite majoritairement d'oxygène, d'azote, d'eau sous forme gazeuse (sauf quand il pleut), de gaz carbonique et de méthane, plus quelques bidules qui trainent çà et là.

    Et notre problème du moment c'est que nous sommes comme le poisson dans l'eau, nous ne comprenons pas ou peu le monde dans lequel nous vivons, nous en avons la sensation, nous sentons bien qu'il y a une multitude de choses qui clochent, mais nous n'en saisissons pas bien la nature, parce que nous barbotons dedans.

    Alors on imagine...

    Or la réalité est là, au-devant des immenses et très nombreuses difficultés de toutes sortes qui s'amoncellent en face de nous, ardues à percevoi

  • Fiction n° 9) Nouvelles brèves de cette semaine :

     

    États-Unis-d'Amériques : Le « conseil des nations amérindiennes des États-Unis-d'Amériques », a dépêché la semaine dernière le général Charles Géronimo, ex-cadre de l'U.S. Army, au Japon pour discuter avec le gouvernement japonais du rapatriement des troupes américaines restées présentes dans les bases nippones, la ruine des U.S.A. ayant empêché leur retour. Dès demain il poursuivra sa mission en Australie. Auparavant il se rendit en Corée du sud.

    Le ministre japonais de la défense a proposé, aux militaires américains le désirant ainsi qu'à leur famille, de rester sur le sol de l'empire du soleil levant et de servir dans l'armée japonaise en tant que « conseiller militaire ».

    Pékin a réagi vivement en déclarant : « qu'il n'était pas sain pour l'équilibre et les enjeux asiatiques que d'anciens militaires américains soient engagés au Japon en tant que mercenaires ! »

     

    États-Unis-d'Amériques : Le président des États-Unis-d'Amérique, Monsieur Adam Smith, a déclaré, hier soir, après le vote d'approbation du parlement et du sénat qu'« étant donné la disparition de fait du dollar américain il levait toute restriction de création de monnaie et d'une banque centrale d'état par chaque état de l'union. »

    C'est une dernière tentative de contrôler une réalité indéniable : la création monétaire explose aux U.S.A. où plus d'une centaine de devises différentes sont dors et déjà en circulation et voit l'apparition d'une nouvelle tous les mois.

     

    Japon : Hier monsieur Fumitoki Sakamoto, premier ministre du Japon, s'est rendu en Inde pour une visite diplomatique et fut reçu avec tous les honneurs par son homologue indien Radjen Chakor.

    Selon nos sources, leurs discutions ont pour but la signature d'accords bilatéraux portant autant sur des traités économiques que sur une alliance militaire de défense commune.

    Cette visite fait suite à celle qui fut effectuée pour les mêmes raison en Corée du sud où messieurs Sakamoto et Géronimo se rencontrèrent une première fois.

     

    Canada : Le premier ministre canadien, monsieur John Lapierre, a déclaré, la veille au soir, que son pays quittait définitivement le Commonwealth.

    « Un président sera élu par le parlement canadien dans la semaine. » A-t-il précisé dans la même allocution.

    Madame Brigitte Hautehaie, première ministre du Québec, annonce, dans l'heure suivant cette déclaration, l'indépendance pleine et entière de son pays et, dit-elle, « ...fera appel au peuple québécois pour qu'il élise une assemblée constituante dès la semaine prochaine. »

     

    Amérique du Sud : Divers différents frontaliers entre pays hispanophones s'envenimant souvent en incidents frontaliers armés, le Brésil a pris la décision unilatérale de créer une force d'interposition en Amérique du Sud.

    L’Argentine a voulu saisir l'O.N.U. mais son secrétaire général a fait part au premier ministre argentin, monsieur Philippé Klein, qu'en raison des difficultés qu'il rencontrait pour réunir l'ensemble de ses participants, il lui serait impossible que des délibérations puissent avoir lieu : « L'O.N.U. n'est plus qu'un antre vide peuplé que de fantôme ! » Aurait-il déclaré en français aux quelques journalistes encore présents.

     

    Proche-Orient : L'Irak n'existe plus.

    Suite à des accords secrets signés entre la Turquie, l'Iran et l'Arabie Saoudite, l'Irak a été annexée militairement hier matin par ces trois pays et des frontières ont été matérialisés par des fils de fer barbelés en trois parties égales de l'Irak.

    Des mouvements de populations importantes se sont fait jour rapidement après cette partition.

    Des tirs d'armes et des explosions ont été entendu.

     

    Proche-Orient : Des accords de « défense solidaire » ont été signés conjointement par Israël, la Libye, l’Égypte et la Jordanie.

    Des confidences ont laissé entendre que la Turquie a également signé ce traité mais ne pouvait pas le rendre officiel tant que la partition de l'Irak n'était pas achevée.

     

    Proche-Orient : Une base militaire chinoise a été installé au Koweït.

    Les Émirats-Arabes-Unis ainsi que l'Arabie Saoudite ont énergiquement protesté et renvoyé l'ambassadeur chinois et koweïtien dans leur pays.

     

    Afrique : Le parlement d'Afrique du Sud à voté une loi décrétant le pays « ange gardien » de l'Afrique Subsaharienne.

    Il y est notifié que « ...toute guerre y sera dorénavant prohibée et devra cessée par la force armée s'il cela se révèle nécessaire... ».

     

    Europe : Une dizaine de personnes sont morte de faim depuis le début de la semaine dans plusieurs petites ville du nord de l'Angleterre.

    Le prince Charles, lors d'une allocution télévisée, à déclaré que le pays, au-devant d'un péril majeur, était en état de « catastrophe naturelle et morale nationale » et que le gouvernement se doit de tout faire pour que de tels malheurs n'arrivent plus.

    Il a également annoncé qu'en accord avec ses fils et sa mère, la reine Élisabeth II, à la mort de celle-ci la république serait déclarée et une assemblée constituante élue.

    Une manifestation spontanée a eu lieu à Londres où l'on vit une immense foule en pleur scander le nom de la reine devant le palais de Buckingham.

     

    Europe : Il y eut une brève et violente escarmouche entre des navires chinois et indiens, au large des cotes algériennes, au milieux de laquelle se trouvait, par hasard, un bateau de la marine nationale.

    De par et d'autre des dégâts sont à déploré, nous ne pouvons dire si chinois et indiens ont des blessé ou des mort.

    En revanche deux de nos marins furent légèrement blessés et le navire n'eut que des avaries mineures.

    Nous devons à l'intelligence tactique et au sang-froid du capitaine de L’Éclair, l'officier Martine Lecousin, fille du ministre de la défense, qu'il n'y ai pas eu plus de dégât.

    Demain le président de la République remettra au nom de la France une médailles à cet officier ainsi qu'à plusieurs marins.

    Une protestation énergique fut envoyée aux ambassadeurs chinois et indiens qui présentèrent des excuses officielles.

     

    Europe : Suite à l'annonce de l'élection d'une assemblée constituante européenne conjointement par la commission européenne et le conseille de l'union européenne, après leur accord, l'ensemble des anciens pays de l'est, sous la conduite de l'Autriche, la Hongrie et la Pologne, ont décidé de quitter l'Union-Européenne.

    Sous le nom de Union-des-États-Est-Européen, ils ont constitué une gouvernance très proche de ce qu'a pu être celle de l'Union-Européenne et ont conservé l'euro comme monnaie, sa première décision fut de confisquer l'ensemble des entreprises sises sur son sol et de les distribuer aux entrepreneurs des états la composant.

    Les contestations officielles n'eurent aucun effet et cela ruinât nombre d'entrepreneurs et d'entreprises.

    Par mesure de rétorsion la commission européenne a elle-même confisqué les avoirs provenant de ces pays.

    Le ministre de l'économie polonais aurait déclaré : « Cela ne nous fait ni chaud, ni froid, cet échange est à notre avantage ! ».

    Otto stücberg, ministre des affaires étrangère allemand aurait, quand à lui, en latiniste qu'il est, dit :  « Ô temporas ! Ô mores » ce qui voudrait dire : Ô temps ! Ô mœurs.

    Il est dit, dans les milieux autorisés, que cela fut discrètement téléguidé par la Russie.

     

    Europe : La cité Montmerveille, en région parisienne, transformée en prison pour y accueillir les nombreux condamnés pour malversation suite aux enquêtes menées dans la haute finance et sa sphère politico-journalistique après l'effondrement de l'économie mondiale a subi, ce matin, un attentat à l'explosif de la part d'un groupuscule d'extrême-gauche qui se fait appeler « les vengeurs ».

    La section antiterroriste est diligentée par le gouvernement pour que ce groupe soit démantelé.

     

    Afrique du Nord : Des manifestations d'organisations anarchistes eurent lieu à Alger, Tunis et Rabas au cri de « vive la liberté de penser ». Chacune réunissait plusieurs dizaine de millie

  • Plus que sept mois!

     

    Tout ce qu'a pu dire nos néolibéraux et tous leurs semblables est d'une stupidité sans nom, totalement déconnecté de toute logique, bêtement culpabilisant, mais pire que tout, ils y croient.

    Payes, chômages, retraites, services publiques, disparition des entreprises, dette de l'état et le reste, tout le reste, tout le discours, tous ces discours que l'on nous rabâche, que l'on nous serine à longueur de temps, depuis au moins trente ans, à longueur de journaux, de télé, de radios est faux, tout cela est funestement faux.

    Ils nous ont ruiné, spolié, mis à crédit, et pour certains à la rue, ils ont détruit notre pays, l'Europe, l'Amérique, le Japon, et bientôt, très bientôt, ils se détruiront eux-mêmes.

    Ils ne comprennent rien, ne voient rien, ne perçoivent rien, et pourtant...

    Et pourtant nous ne sommes plus qu'à quelques mois de la ruine de l'économie monde qui les verra gémir de leurs pertes abyssales, pleurer dans le giron du chef de l'état, chouiner à qui veut bien l'entendre que ce n'était pas de leur faute.

    Des pleureuses !

    Parce que ce n'est jamais de leur faute, jamais, toujours de celle de l'autre, des pauvres, de la classe moyenne, des impôts, de l'état, des hommes politiques, de tout le monde, mais ce n'est jamais de leur faute, jamais !

    Mais comment les reconnaître ces discoureurs si ce n'est que de les écouter, sentencieux, exposer leurs théories, mais pressez-vous, bientôt ils retourneront tant vestes et casaques que nous ne saurons plus les discerner des autres commentateurs.

    Ainsi nous ne sommes plus qu'à sept mois d'une refonte totale de la politique européenne, mondiale qui les verra à jamais disparaître comme disparurent les dinosaures, mais leur ruine sera aussi la nôtre.

    Cela ne se fera que par cette contrainte d'évidence, nécessaire des futurs évènements mondiaux : l'effondrement, dans deux mois environ, du dollar, suivit, dans les trois mois suivants, de celui de leur suzerain, les États-Unis-d'Amérique et de leurs dogmes et joujoux, les bourses mondiales, l'économie des nations et les monnaies.

    Les deux mois d'après, la déstabilisation de l'Europe et de la zone euro sera telle que des mesures extraordinaires devront être prisent au risque, sinon, de sa possible disparition.

    Les discours, ces discours néolibéraux furent depuis si longtemps donnés que si une mutation de grande ampleur des propos et des actes de nos élites ne se fait pas rapidement nous aurons sûrement, ici, affaire à une insurrection majeur.

    Les peuples n'aiment pas que ce qu'on leur a dit, sommé, enjoint de révérer et adorer les exposent à des calamités, à des malheurs.

    Ils n'aiment pas être trompés !

    C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, de donner, ainsi, une mesure temporelle à une telle occurrence que peut être la disparition de ce qui a structuré toutes les sociétés humaines depuis trente ans au moins, les néolibéraux et leurs maîtres, les U.S.A., est présomptueux, je le conçois.

    J'en accepte l’aléa.

    Certes bel outil, internet ne permet tout de même pas d'être en mesure d'avoir en sa possession toutes les informations utiles pour suivre, en directe, les éventualités possibles et/ou probables des évènements futurs, la plupart des médias n'étant, en cela, d'aucune utilité, je prends tout de même le pari que le système actuel est à un tel point de déséquilibre, la crainte, voire l'assurance en son écroulement inspire un tel effroi, le dollar et les U.S.A. sont dans un tel état de déliquescence qu'il ne faut que peu de chose pour que ce basculement ne se produise.

    En revanche, la-dite disparition se partage, dès à présent, comme évidence, par un nombre de plus en plus croissant de personnes, et nous pouvons même nous demander combien de nos élites et responsables ont présentement compris, sans le dire, voire sans se l'avouer, qu'un tel ébranlement va sous peu se produire.

    Cette compréhension peut aussi générer une telle peur que des phénomènes de déni plus ou moins violents se font jour (la conversation que j'ai pu avoir avec des adhérents de lutte ouvrière est en ce sens caractéristique, leur ennemi, le capitalisme et la bourgeoisie, risquant de disparaître, de le leur affirmer génère, chez eux, non pas une joyeuse curiosité mais une dénégation presque agressive).

    C'est dès maintenant qu'une vision à long terme se doit d'être perçue, mais il est à craindre que le glacis néolibéral, sa vulgate d'économisme et l'obscurantisme qui y est intimement lié s'étant, depuis tant de temps, infiltré autant dans les esprits que dans les cœurs, que peu en Occident et au Japon sont capable de penser qu'il soit possible que le monde tel qu'il se vit aujourd'hui puisse disparaître.

    Tout le monde songe vulgairement économie quand il nous faudrait une réflexion politique !

    Il nous faut aussi qu'émerge de nouveaux paradigmes, nouvelles théories, nouvelles approches de nos savoirs et connaissances actuelles.

    Ce doit être maintenant que cela se doit de se faire.

    En fait, nous devrions tous ne plus être dupe de notre futur, celui-ci s’arrange toujours pour ne jamais être comme nous l'avions imaginé (avez-vous lu comment je me place dans l'inconfort du paradoxe?).

    Les pays qui pratiquent une retraite par capitalisation verront leurs anciens sans aucune ressources, ceux qui, pour des raisons comptables, se sont part trop allégés de leurs forces de l'ordre risquent fort d'être débordés par la violence sociale, partout la pénurie sévira et les quelques usines encore en place ne pourront que fournir qu'un maigre échantillon de l'électroménager, de l'électronique et de tout ce matériel que nous avons coutume d'acheter et d'utiliser continuellement...

    Pire, pendant un certain temps, voire un temps plus qu'incertain, les banques ayant faillies, nous ne pourrons plus, ou quasiment, sortir le moindre centime de leurs guichets (Frédéric Lordon), sauf si elles sont, dès lors, nationalisées.

    Le commerce, également, sera progressivement freiné en raison même de ce manque d'argent, ce qui ne pourra que prolonger cette banqueroute.

    Les deux géants asiatique, l'Inde et la Chine, déjà en bute à de très grands désordres autant pour des raisons économiques, sociales et politiques, ont affaire à un trop important déficit de femme dû, dans chacun de ces pays, à des causes différentes, tests de grossesse pour le premier, l'enfant unique pour le second, et aussi à des causes semblables, préférence du garçon à la fille, se retrouvent déjà tous deux dans un puissant processus de frustration masculine.

    En plus, ils doivent leur développement à l'exportation en Occident d'objets manufacturés chez ceux-là même qui les fabriquaient antérieurement (nous) et qui, dès lors au chômage ou aux payes réduites, ne peuvent plus, dès à présent, que leur acheter de moins en moins de biens à un prix de plus en plus bas (il est à noter que cela se passe aussi dans bon nombre d'autres pays).

    Quand cette bulle spéculative première explosera, leur gouvernement respectif devrons faire face à des troubles colossaux.

    Je crains qu'ils ne soient tous deux tentés par des aventures belliqueuses, d'autant qu'il est dit dans les anales que c'est la deuxième guerre mondiale qui permis les fameuses trente glorieuses, parce que les américains se devaient de déployer une économie de guerre et qu'ensuite européens et japonnais se devaient de tout reconstruire.

    Il est probable que cette trentaine d'années de croissances aient des fondements ô combien plus complexes que cela.

    Aujourd'hui, les États-Unis-d'Amériques sont dors et déjà ruinés, anéantis.

    Et l'armée, encore vaillante bien que blessée, nationaliste comme toute armée bien faite, ne pourra pas ne pas s'empêcher de renverser, sous une forme ou sous une autre, le gouvernement en place, ce sera une dernière et désespérée tentative pour sauver ce qui peut l'être encore.

    Délitement de ce pays ou guerre civile ?


    THEURIC

  • De la catastrophe politique.

    De catastrophe, j'en prends la définition donnée par le CNRTL du CNRS: "Événement aux conséquences particulièrement graves, voire irréparables; état qui en résulte, ruine, désastre."

    Le sujet principal ici en étant celle politique qui, à terme, mènera à une économique.

     

    Des catastrophes aériennes à celles des chemins-de-fer, l'ingénieries nous a appris que la meilleurs manière d'éviter que d'autres événements calamiteux de même sorte n'adviennent, la meilleurs façon de faire est de les étudier le plus finement possible, d'en tirer un certain nombre de conclusions puis, en dernière étape, d'en promulguer des recommandations qui se devront de se déterminer comme autant d'impératifs.P1030265.JPG

    Or, il est de fait qu'en politique, tout comme en économie, lesdites catastrophes passées ne sont que tout juste étudiées par des historiens sans que, vraiment, les résultats de leurs réflexions soient pris en compte, quand ils n'en sont pas grandement dénaturées, empêchant par là même d'en dégager un ensemble d'expériences que les états tout autant que les populations prendraient en compte.

    Le frein principal en étant les processus psychologiques individuels et collectifs qui nous conduisent aux idéologies unilatéralistes, sous une forme ou une autre, dont nous-autres, Homo Sapiens Sapiens, avons beaucoup de difficulté de nous dégager.

    A de très rares exceptions près nous en sommes tous empreints et, le plus souvent, ceux qui s'affichent et s'affirment comme n'agissant jamais sous le coup d'une quelconque doctrine font preuve, bien plus que quiconque, d'un verrouillage d'opinion important, voire parfois absolu.

    Or, il est de fait que la nouvelle proposition de loi sur les retraites suivit des grèves quasi généralisées peuvent être considérées comme étant du domaine d'une catastrophe autant politique que, pour la suite, économique, tant pour le gouvernement de la France, certes, mais aussi à l'échelle de l'Union-Européenne et celle internationale.

    P1030250.JPGJe serais bien en peine de l'étudier d'une manière approfondie, mais juste pourrais-je en évaluer les causes de façon succincte, peut-être même superficielle.

    Tout-du-moins serait-il bien qu'un collège de professionnels des sciences humaines s'y penche et, en en étudiant aussi les origines, qui remonteraient à mon sens à au moins trois bonnes décennies pour ce qui nous occupe, ainsi que ce qu'a généré, génère et générera ces décisions étasuniennes, oligarchiques, unionistes et gouvernementales en France et dans le monde.

    Il est vrai que d'étudier un accident industriel est plus aisé, parce que plus simple par le nombre réduit de ses intervenants, qu'un désastre politique qui, lui, fait intervenir un nombre d'acteurs et de facteurs infiniment plus importants.

    Ceci d'autant plus quand cela advient en une période, comme la nôtre, où les distinctions professionnelles au plus haut des hiérarchies sociales en viennent à se disjoindre gravement alors que la domination impériale US sur l'Europe, unioniste ou non, est à son zénith, au moment même où ledit empire est en une situation de déclin plus que prononcé.

    Rendant les aléas décisionnels plus difficiles encore à définir.

    Il est toutefois à remarquer que les armées efficaces se doivent, tant pour les questions stratégiques, tactiques, d'intendances, mais aussi, en cas de conflit, P1020008.JPGindustrielles, politiques et sociétales, d'effectuer ce type d'étude en une tradition que nous pouvons faire remonter à la Rome impériale, aux grecs anciens, voire, en chine notamment, en des ères plus anciennes encore.

    Remarquons également que certains choix se fondent sur des appréciations faussées de l'histoire, ainsi les gouvernements allemands successifs considèrent-ils toujours que ce fut en raison de l'inflation des années 20 dans ce pays qui conduisit à l'avènement d'Hitler quand, en réalité, ce fut la déflation due à sa désindustrialisation en raison de la crise de 1929, qui mena à ce que le gouvernement étasunien lui retira ses avoirs, ses prêts, en dollar, au début des années 30 (thèse à laquelle la RDA, l'Allemagne-de-l'Est, adhérait également).

    Une déflation étant industriellement plus destructrice qu'une inflation, sauf si cette dernière provient d'une guerre monétaire comme celle menée par les étasuniens au Venezuela.

    Sachant que c'est la Germanie qui dirige, pour une large partie, l'union, en tant que factotum des USA.

    Nous pouvons donc considérer, me semble-t-il avec raison, que les actuels projets de loi en France, ceci faisant suite du mouvement des gilettistes, sont des catastrophes politique et, dès lors, économiques, dans le sens où leurs effets tant au niveau P1020430.JPGnational, régional et international, aujourd'hui déjà désastreux pour les pouvoirs divers qui dirigent notre pays, mais aussi pour la nation, ne peuvent  que se révéler majeur dans les années qui viennent.

    Pour le moins, comme je ne cesse de l'expliquer ici, appauvrir encore plus la population, ce à quoi nous mène les décisions gouvernementales depuis les trois derniers quinquennats, ne peut que mener et accroître cette désindustrialisation internationale dont je vous fais écho depuis quelques années déjà, ne pouvant que nous conduire à une cessation des échanges économiques mondialisés.

    Ce qui est logique puisque il y a de moins en  moins de gens qui sont dans la capacité d'acheter les objets manufacturés qui sont fabriqués dans les pays pauvres et, ce, à cause de n os béances frontalières.

    L'instabilité politique de la France devient, de fait, majeur et, pour en discuter de temps en temps avec des personnes de rencontre, l'Union-européenne leur est, pour tous, devenue clairement visible et les conséquences de ses décisions considérées désormais autant grandement mauvaises qu'indésirables.

    Les questions frontalières ne sont plus que moins taboues, ce qui, là encore, fragilise une union qui est devenue maintenant voyante, la population comprenant progressivement la nature des GOPE,  l'UE en perd mécaniquement son prestige et P1020967.JPGdès lors son pouvoir.

    Ce que nous pouvons observer là c'est qu'une catastrophe politique est, le plus souvent, un phénomène à développement lent à très lent.

    Mais aussi  qu'elle peut n'atteindre qu'une partie seulement de la société, ici une infime minorité, tendant à se restreindre, de ceux de la population qui ont intérêt à ce que la domination de notre France par ces quatre forces perdure: l'Union-européenne, l'Allemagne, l'oligarchie euro-atlantiste et les Etats-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, cette catastrophe peut s'étendre sous forme de crise plus ou moins sévère, ce que nous pouvons facilement conjecturer aujourd'hui, au-delà des limites des frontières des états ou des unions lorsqu'ils en sont affectés, tant économiquement, comme je l'ai rapidement montré plus haut, ainsi que politiquement, ce que le mouvement gilettiste nous avait démontré.

    Le but de ce billet n'était pas de proposer une opinion sur les événements français actuels mais bien plutôt de porter une réflexion sur ce que pouvait être une catastrophe politique.

    Si je prends tout de même une position politique en ce court billet ainsi que dans d'autres, c'est surtout dans le dessein de faire de la contre-propagande en montrant la nature franchement destructrice et autodestructrice des processus mis en place par ceux qui nous dirigent, ce en ne s'appuyant que sur un verbe dévoyé et sur des P1030242.JPGartifices malveillants, pour mener un projet incohérent parce que illusoire et utopique.

    Qui ne pourra jamais, de ce fait, être amener à son terme.

    Tout autant que de montrer qu'il est possible de faire des recherches intéressantes sur ce que peut être ladite catastrophe, ce qui pourrait permettre aux responsables politiques futurs, comme il peut en être des accidents aériens, d'avoir en main les savoirs nécessaires pour éviter de semblables ensembles de décisions absurdes qui se suivent, en UE, de décennie en décennie, et mène maintenant dans le décors leurs promoteurs par le rejet populaire de quasiment toute la classe politique, de l'union, de l'oligarchie et des USA.

    Quoi qu'il en soit, plus tôt nous autres français nous en sortirons, bien mieux nous nous en porterons.

     

     

    THEURIC

  • Chère Tatiana Jarzabek.

    J'ai lu hier le billet que vous avez laissé sur tepee machin, je ne savais pas qu'il était possible d'y laisser un texte, mais quoi qu'il en soit je préfère ne laisser que peu de trace de mon identité sur le WEB, c'est pourquoi je ne m'abonne qu'à très peu de site, d'autant plus de ce genre, bien que, comme beaucoup de choses, je puisse en changer l'idée, rien en cela n'est définitivement établit.

    Mais bon, le sujet n'est pas là.

    J'ai donc lu, dis-je, ledit billet du 12 Juin, que je n'arrive plus à retrouver, où vous y montriez que les effets de cette maladie au COVID bidule machin, le vilain virus (vit russe, hi, hi, hi), sont encore pire que ce que j'en imaginais.

    C'est pourquoi, de mon expérience de ce stress long, douloureux et multifactoriel dont je me soigne, pour des raisons que je n'ai pas à traiter ici, bien que je l'aie fait partiellement auparavant sur ce site, datant d'il y a 55 ans environ, j'en ai 61, et dont je sors en ce moment, que je me permets de partager avec vous comme il en est pour toustatiana, virus, stress ceux qui se trouve dans une situation analogue à la vôtre.

    Ainsi je m'adresse à vous par votre nom et non pas par votre pseudonyme, Ventôse: il s'agit ici d'un problème qui vous concerne en propre et non pas de ce qui fait la dynamique historique actuelle du pays et dont vous vous faites journalisme commentatrice, bien que cela y est lié (poil au nez, eh, eh, eh), il est vrai, mais de manière pour l'instant, pour vous, secondaire.

    Toutefois il est possible que vous ne connaissiez pas ce blog, mais si c'est le cas contraire sachez que j'apprécie autant votre travail, celui de vos amis du Fil d'Actu et de Greg jamais content, comme la première voiture ayant dépassé les 100km/h (la Jamais Contente).

    Il y a, pour ceux, donc, qui se remettent comme vous de cette saloperie, disons les choses telles qu'elles sont, sans avoir eu auparavant de problème de santé véritable, deux raisons pour lesquelles, à mon sens, ils en furent et en sont pour certains atteints: soit parce qu'ils ont une faiblesse immunitaire quelconque face à ce virus, soit, bien que cette idée puisse surprendre et être rejetée, parce que des forces inconscientes, ce que C.G. Jung appelait un archétype, furent ou sont activées.

    Il est même possible que ces deux éventualités se conjuguent.

    Ce qui, je le pense, serait (j'utilise tout de même le conditionnel) le cas pour vous, tatiana, virus, stressétant donné que c'est à  chacun de définir au mieux ce qu'il se passe en  lui.

    Vous êtes puissante, Madame, bien plus que vous puissiez l'imaginer, mais vous vous interdis(i?)ez de le considérer et, à mon sens, c'est cet interdit qui vous conduisit dans vos difficultés actuelles.

    Votre colère, me semble-t-il, proviendrait pour partie de là (poil aux doigts ha, ha, ha), et puis, l'égalité entre tous s'établit de nos différences n'est-ce pas, ceci d'autant plus qu'une puissance quelconque ne veut pas dire être bon en tout, je suis incapable de faire de la trottinette, d'être polyglotte et de comprendre le formalisme mathématique entre-autre, mais, de mes multiples limites, je sais de quoi je suis capable sans toutefois exploré tous mes potentiels et ceux des Humains sont immenses.

    Mais revenons-en, je vous en prie, à ce que j'ai pu comprendre de la récupération suite à un stress, sachant que cela ne remet absolument pas en question un traitement médical suivit puisque venant l'appuyer et aider à la guérison.

    Un tel phénomène, pour commencer, prend du temps et ne s'établit pas d'une manière linéaire mais bien plutôt en phases régulières de meilleurs état, suivit de brusques détériorations de situations moins pires que les précédentes, suivies d'améliorations régulières en courbes ascendantes.

    Ladite amélioration se gravit donc comme des marches d'escalier, la marche étant légèrement descendante, la contremarche ayant, quand à elle, la forme d'une courbetatiana, virus, stress ascendante jusqu'à la marche suivante et ainsi de suite.

    Là je sens un coup de barre, bon, ben, je sais que demain il sera plus fort,après-demain je me sentirai mieux puis que dans trois jours je serai en forme.

    Cela prend la même forme qu'un enfant en apprentissage qui montre souvent une série de régressions après ses progressions à l'école.

    Prenez conscience de ces cycles et évitez de forcer lors de ces descentes mais vous pouvez le faire lorsque les remontés sont évidentes mais non pas trop: le piège quand on se remet d'un stress c'est que croire que le mieux veut dire la guérison, personnellement j'étalonne intuitivement de 1 à 10 mon état (j'en suis à 7 sur 10 de mon état général), mais pour cela il faut avoir confiance en son inconscient et être décontracté quand on s'interroge ainsi.

    Le second piège serait de douter de ses capacités, quand bien même seraient-elles recouvrées en plein, ce dont je ne me suis aperçu qu'il n'y a que peu de temps (poil aux dents, hen, hen, hen).

    Ensuite et cela peut être angoissant, il faut comprendre qu'un stress, quel qu'en soit son origine, touche l'entièreté du corps mais que la récupération de chaque partie d'entre-lui ne se fait pas au même rythme, ce que j'étalonne également, les contractures corporelles menant à une réponse que l'on voudrait entendre et non pas réelle, d'où l'importance là aussi de la relaxation.

    Vous faites du yoga (réfléchissez de son pourquoi), ce qui est une bonne chose (moi-même a la souplesse d'un verre de lampe), je vous conseillerais de vous apprendre à ressentir (poêle à frire, ho, ho, ho), non pas vos organes, pour le pancréas et le foie c'est quasiment impossible, mais bien plutôt leurs tentions, ou contractions si vous tatiana, virus, stresspréférez, à chacun le mot qui lui convient, qui, vous le remarquerez aussitôt, font écho, pour chacun d'entre-eux, à celui particulier du corps.

    Si j'ai bien  compris de quoi il s'agit, vous devez vous concentrer surtout sur tout votre circuit sanguin, mais aussi sur le pancréas, le cœur, les poumons, les intestins, le cerveau reprendra ses fonctions dès lors que votre état s'améliorera, mais lui aussi mérite votre attention.

    Il s'agit de concentration douce, sans forcer, c'est pourquoi l'usage d'image mentale et de relaxation est d'importance en laissant le corps prendre sa place à son rythme.

    Utilisez lesdites images mentales pour cela et, donc, de votre imagination venant en corrélation d'avec vos ressentis, il ne peut pas y avoir de règle fixe pour cela: chacun active ses propres images et/ou ressentis.

    En parlant d'image, il est possible que vous fassiez des cauchemars qui ne sont après tout que de rêves qui font peur, vous pouvez en profiter pour les décrypter, lesdits rêves compris.

    Quoi qu'il en soit il n'y a pas à avoir peur des choses de l'esprit et si de ces cauchemars vous assaillent il est aussi possible, juste réveillé, de les transformer en combattant ce qui a ainsi généré de tels songes d'épouvante, ceci en exemple, là encore c'est à chacun de faire suivant qui il est.tatiana, virus, stress

    Vous allez commencer à découvrir, si cela n'a pas déjà commencé me paraît-il, des choses très intéressantes mais surprenantes, là encore, il n'y a aucune crainte à avoir là-dessus.

    Je pense, en ce court texte, en avoir fait le tour.

    En la situation comme la nôtre des forces inconscientes puissantes sont en jeu qui entraînent tous les acteurs, dont nous sommes, sans qu'ils n'en comprennent, sans que nous n'en comprenions grand-chose.

    Peut-être pourrais-je supputer qu'en saisirais-je un petit peu plus que la majorité des gens?

    Mais d'autres forces aussi nous contraignent et, par exemple, vous, en tant que femme, un choix vous reste à faire ayant trait aux pulsions féminines, celui du oui ou non de l'enfantement.

    Ce choix, comme pour toutes les femmes, vous appartient en propre,  ceci d'autant plus si vous n'avez pas de compagnon (poil au menton hon, hon, hon).

    Vous devez surtout être consciente, pour les réduire en vous au cas où, des angoisses majeures qui traversent en ce moment même la France et une bonne part du monde: la triple déliquescence des UE€/OTAN/USA$, d'ailleurs mon prochain libelle traitera entre-autre de ce sujet et, tatiana, virus, stresssurtout, des effets de cette angoisse en notre beau pays via les USA.

    Remettez-vous vite et, pour cela, à pas comptés, pour guérir d'un stress, d'en vouloir passer les étapes en allonge le temps passé.

     

    Nouvelle information relevée sur Sputnik France à 21 heure 30 au su jet du COVID-19 et justifiant grandement ce texte: " Le coronavirus a des effets sur tous les organes humains, assure un médecin ".

     

     

    THEURIC

    PS: ah, j'oubliais, joyeux noël (hi, hi, hi).

     

     

  • Du tunnel cognitif à son double déni.

    Guêpe germanique (Vespula Germanica)

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Comme j'ai pu l'exprimer à mon billet précédent, j'émets, en tant que penseur brut, une série d'hypothèse, j'effectue, de la sorte, un travail philosophique en explorant la réalité.

    S'il s'agit d'hypothèses et non pas de théories, c'est parce que je ne détiens pas les outils nécessaires pour en prouver la pleine et entière véracité, pour les développerP1050232.JPG par une activité scientifique, ce ne sont donc que les résultats des processus purement réflexifs sans que, comme tous purs philosophes, je ne puis en apporter les preuves concrètes.

    Il ne peux que s'agir, dès lors, que de démonstrations, sans en y apporter un étayage chiffré et clairement précédé d'études approfondies et détaillées.

    Le but premier de ladite philosophie est, comme je l'avais précédemment conté,  de structurer la pensée en tant que constitution devenue première de nos mécanismes mentaux, puisque permettant de scinder inconscient et conscient en faisant émerger la conscience en tant que telle, là encore, composante essentielle et elle aussi devenue dorénavant incontournable de nos dispositifs de cognition.

    Cette double émergence ayant contribué, pour nos lointains aïeux, à percevoir avec une pertinence accrue cette réalité et, dès lors, de faire progresser leurs puis nos démarches mentaux, donc de notre compréhension du monde tant sur le plan temporel que de ce qui est constitutif à la véracité des faits de ce qui est perçu et vécu.

    Or, la pensée mais aussi la conscience qui en est est la résultante, en tant que nouvelles fonctions psychiques, sont extrêmement jeunes, dont je situerais l'émergence aux alentours des 20 000 ans antérieurs à notre modernité.

    De ce fait, elles sont toutes deux d'une très grande fragilité et peuvent, pour diverses raisons, être gravement affectées sous formes différentes.

    P1050182.JPGAinsi, une grave angoisse due à ce que se produise une rupture dans ce que je nomme notre "composition de sens" ne peut que mener à ce que la pensée en soit sérieusement perturbée en en atteignant notre perception et compréhension de la matérialité du réel.

    ( Ceci accentué par la structure de socialité, soit les concepts, considérations, opinions, notions, us et habitus du et/ou des groupes constitués, où chacun contribue, dedans lesquels nous vivons: milieu social, professionnel, amical, associatif qui, par un effet d'entrainement, tend à rendre difficile, voire parfois impossible, la prise de conscience de la fausseté potentielle de ces acceptions partagés. )

    J'émets ainsi l'idée qu'un nombre important de personnes, tant au gouvernement, dans la classe politique et syndicale, dans la haute administration, dans les médiats officiels, au sein de l'oligarchie ainsi que d'une proportion de la population, dont les islamistes de tous bords, souffrent d'un tel mal.

    Ce qui ne retire en rien de ce que j'ai pu expliquer auparavant des causes autres de nos difficultés présentes.

    Etant entendu que la seule manière de se guérir de cette altération psychique, pouvant se montrer importante, ne peut qu'être que d'en prendre conscience en saisissant toute la fausseté des suggestions antérieurement mises en place.

    Cette conscience nous permettant ensuite de nous adapter au mieux aux évolutions sociétales en cours, ce qui nous était antérieurement ardu, voire ici impossible.

     

    Du déni lié à l'achèvement de notre dominationP1060206.JPG impériale et de l'idéologie néolibérale:

    Il est vrai que j'ai, de multiple fois, traité de ces deux sujets, ceci parce qu'ils me sembles centraux pour comprendre les événements telles que nous les vivons, les observant, à chaque fois, sous un angle différent.

    Capital, pour moi, en en étant d'en concevoir, d'en conceptualiser au mieux les faits puis de vous en proposer les résultats, ceci affin d'éviter de ce que, aux difficultés matériels auxquelles chacun se doit et se devra bientôt de se confronter, ne s'en rajoutent pas celles psychologiques rendant l'ensemble ingérable.

    Mais aussi, peut-être plus encore, pour que ceux pour qui l'action devient d'évidence, pouvant même provenir de la police, de savoir à quoi ils s'affrontent, soit à un déni manifeste de ceux notés plus haut, de ce que leur monde dedans lequel ils se concevaient exister s'effondre.

    Cette série d’acronyme: UE€/OTAN/USA, que j'utilise pour désigner leur univers, montrant le lien indéfectible qui existe entre-eux.

    Qu'ils conçoivent plus ou moins inconsciemment, là se trouve l'hypothèse que je dépose ici, que cette mouvance impériale organisationnelle puisse disparaître en un court laps de temps génère en eux une très douloureuse crise d'identité les conduisant à une angoisse de même intensité qui, de ce fait même, leur fait se P1060536.JPGrompre leur composition de sens.

    Pour, eux, tenter de surmonter cette détresse psychique, ne leur laisse pas d'autre choix que de nier ces faits et de continuer d'agir comme si cela ne se passait pas ainsi, de la même manière que par le passé.

    Ce déni, mécaniquement, amenant des décisions collectives dont le but sera de ce que cette perception qui leur est effrayante et déliquescente de leur réalité puisse leur être dissimulée, voilée à leur conscience, en une scission névrotique entre ce qui est perçu et en est saisi.

    Ce but illusoire étant de poursuivre et d'achever la construction européenne, d'obéir à ses injonctions, et, dans le même temps, parce que leur dogme est celui du néolibéralisme, de se faire de l'argent, c'est pourquoi il se dit, sûrement avec raison, que l'un de leur dessein est de conduire, en la terrorisant, la population à accepter un vaccin contre ce coronavirus provenant des Etats-Unis-d'Amérique, puisqu'ils imaginent la France, et/ou l'Union-européenne, suivant chacun, être le 51ème état de ce pays.

    ( L'une des preuves la plus manifeste de ce que j'avance est le fait que, à la télévision française, nous est parlé des élections étasuniennes comme si l'on nous demandait, à nous, la population de France, de devoir choisir et voter pour Biden plutôt que pour Trump, pour les démocrates plutôt que pour les républicains, ce qui est, vous le reconnaîtrez, absurde. )P1050933.JPG

    Ainsi voyons-nous les syndicats discuter avec le gouvernement, comme si de rien n'était, de la disparition des indemnités chômages au moment même où ce nouveau confinement s'annonce, ceci à l'orée de l'effondrement de l'économie-monde et du début d'une guerre civile aux USA dont personne ne peut prévoir ni les enchaînements, ni les conséquences, en ce seul exemple parmi tant d'autres.

     

    Le tunnel cognitif:

    A mon sens, il s'agit là d'un phénomène similaire à ce qu'il se produit, en aéronautique, lorsque le pilote de l'avion  perd ses reperds, pour une raison quelconque, lors du pilotage de son avion: il s'agit d'un tunnel cognitif.

    Ici nous discutons de quelque chose de collectif où il nous est loisir de percevoir que, quoi qu'il puisse se passer, les sujets agissent à l'encontre du contexte véritable en une forme d'accord informel, où, de plus, leurs discordes sont, eux aussi, tout autant déconnecté de la réalité, ce que nous pourrions appeler, en reprenant une vieille formule: le syndrome de la dispute du sexe des anges.

    L'image, qui pour nous pourrait être dérangeante, que j'en ai conçu, en tant qu'un tel tunnel, est celle d'une perception, pour ces acteurs, d'être plongés dans les ténèbres d'un très longs souterrains, d'une lumière lointaine, fantomatique, qui ne leur serait qu'à peine perceptible au loin,  qui leur serait donc P1060130.JPGleur but chimérique, fantasmatique vers lequel ils se dirigeraient.

    Sans pouvoir percevoir que, de fait, ils se trouvent en pleine lumière, hors de toute troué, n'entendant ni ne voyant aucunement la claire réalité.

     

    L'effondrement de la composition de sens:

    L'effondrement de sa propre composition de sens est gravissime pour celui qui le vit, ceci d'autant plus l'âge avançant.

    C'est pourquoi, dans l'un de mes billets précédents, j'avais raconté l'histoire de cet ami de mes parents, militaire officier à la retraite de l'Allemagne-de-l'est, que je connaissais, et qui, peu d'années après la disparition de la RDA, mourut d'une crise d'asthme.

    Nos énergumène qui, pour l'instant encore, nous dirigent, croient véritablement autant à la dangerosité apocalyptique du SRAS-COV-2, de l'inefficacité de l'hydroxychloroquine, que de ce qu'il est plus difficile d'éviter les effets de cette maladie en confinant les gens chez-eux que de rebâtir, avec aisance rêvassent-ils, un système économique ainsi détruite.P1060103.JPG

    Ces explications n'excluant d'aucune façon leurs responsabilités multiples des effets de leurs décisions et de leurs trahisons nombreuses.

    S'ils se retrouvent au-devant de juges, si, auparavant, ils sont conspué par la population, si celle-ci se révolte, il n'y aurait là que de la simple cohérence populaire.

    Du-moins est-il bon que chacun comprenne de quoi, mentalement, il s'en retourne pour eux, ne serait-ce que pour qu'ils évitent une angoisse inutile, qu'ils comprennent, si ce n'est déjà fait, pourquoi nos économies vont vers la faillite, de s'y préparer, et comment agir au mieux pour ceux qui se décideraient à l'action.

    Chaque décision, chaque action, chaque pensée et chaque parole de l'Être Humain a sa logique propre et sa raison d'être, même si cela se révèle être délirant, même la pire des déraisons à ses raisons et ses causes.

    Le tout en étant d'en comprendre le fond.

     

     

    THEURIC

    Pour le plaisir des yeux.

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  • De la trahison et de la faillite généralisée!

    Allez, ne nous le cachons pas, nous tous, autant que nous sommes, nous nous sentons trahi par le revirement du gouvernement grec et du parti Syriza.

    Mais bon, cet erreur de jugement a-t-elle de l'importance?

    Elle l'est grandement pour moi, parce que j'avais oublié ce que j'avais pu écrire auparavant, soit que c'est l'ensemble des partis politique européens anciens qui ont perdu leur propre socle idéologique pour ne plus adopter que le néolibéralisme et son pendant allemand de l'ordolibéralisme.

    Cet économisme dogmatique, réunissant tous les composants des doxas anciennes sous cette unique forme, ne pourra que se fracasser contre le mur du délitement économique global.

    Mais, surtout, il rend déjà totalement inapte ses adeptes à une adaptation rapide à un brusque changement de conjoncture comme peut l'être un effondrement global de l'économie.

    Certes, la colère que je peux ressentir à l'annonce de ce revirement de Monsieur Tsipras me fait me délecter par avance des nombreux égarements et délires, autant de ceux qui nous gouvernent que de ceux qui, innombrables, de part les peuples des pays européens, croient toujours mordicus que seul le monétarisme et la comptabilité des états et des sociétés peuvent avoir une valeur politique quelconque.

    Mais il me paraît que cette manipulation, quelle qu'en ait été son origine, était une erreur.

    Elle met en effet à bas tous les partis politiques officiels, de la droite extrême nazi, fascisme et pétainisme, jusqu'à un Front de Gauche et ses semblables européens qui, de ne pas être d'une gauche réellement radicale, loin de là, n'en est pas moins son représentant le plus à son opposé.

    En passant, bien sûr, par tous les partis politiques officiels de l'U.E., dits de droite, du centre et des pseudo-gauches et écologistes inclus.

    En réalité n'existe plus qu'un seul et unique parti politique officiel, celui des européistes et eurolâtres.

    Nous sommes donc bien entré dans une ère d'un totalitarisme mou à parti unique, de type U.R.S.S., dans une version néolibérale, et dirigé par une oligarchie financière et une administration d'état, là européenne.

    Ne restent plus que des mouvements épars, seuls se déclarant lutter contre l'Union-Européenne, et voulant soit en sortir leur pays, soit même la détruire (ce qui serait une faute, ne serait-ce qu'en raison de sa puissante inertie idéologique, politique et institutionnelle).

    Je le redis, une structure étatique telle que l'est l'U.E. bloquée institutionnellement, politiquement et idéologiquement ne peut pas être réformé ou détruite, quelle que soit la volonté et l'action de chacun, quelle que soit l'intégrité de celui ou ceux en en ayant la résolution et le courage.

    Nous ne pouvons qu'attendre que cette tyrannie s'anéantisse par elle-même.

    Cet événement ne pouvant que survenir que quand l'économie-monde, nos grands argentiers et les États-Unis-d'Amérique auront définitivement fait faillite.

    Je dois toutefois faire observer que deux organismes officiels qui, jusqu'à présent, exposaient, sur internet, divers graphiques à l'international, sur les prix des matières premières par l'I.N.S.E.E. ( theme.asp?id=18 ) et le seul prix des carburants par France-Inflation ( graph_oil.php ), ont cessé de délivrer leurs informations depuis le mois de Mai pour le premier et Février pour le second.

    L'interprétation que j'ai de cet arrêt c'est que ces informations divulguées par ces deux institutions, qui permettaient de visualiser dans le temps l'évolution de l'économie internationale, montreraient, depuis quelques mois, le redémarrage de la désindustrialisation mondiale qui ne peut qu'être, à mon sens, que le signe de cette bientôt ruine universelle (pour quand? Je n'en sais toujours rien).

    Ce qu'il faut, pour notre gouvernement et nos oligarques, à tous prix dissimuler!

    Bien que France-Inflation continue de donner le prix de l'essence et du gasoil en France, chose qu'il n'est pas possible de cacher pour quiconque ( prix-carburants.php ).

    Vous remarquerez la pente redescendante de ceux-ci après une brève remonté de Janvier à Mai, logique si nous songeons qu'à la lente baisse de 2014, marquant, justement, cette désindustrialisation mondiale, fut suivi, début 2015, d'une brève remonté, montrant une diminution de la production pétrolière des producteurs.

    L'inertie à la baisse des prix des pays consommateurs de carburants étant due à leur réserves stratégiques, les entreprises en avaient repris leurs activités, mais ne trouvant pas preneur de leur marchandises, les nations occidentales étant peu ou prou ruinées, les-dites entreprises réduisent maintenant leurs productions ou ferment, d'où cette baisse actuelle du prix de l'essence et du gasoil.

    C'est pourquoi cette manipulation des grecs est doublement dommageable, politiquement d'abord, comme je viens de le montrer, économiquement ensuite puisque de ruiner ainsi les européens, ou simplement de le leur faire craindre, les incitant à thésauriser, ruine, par là même, le monde entier, puisque nous étions il y a quelque temps encore les derniers clients des entreprises internationales encore à peu près valides, n'achetant plus aujourd'hui que de moins en moins de choses.

    C'est pourquoi nous retrouvions, dans les mesures de l'I.N.S.E.E., une remonté du prix des métaux d'Avril à Mai, celui de la nourriture, quand à elle, continuant sa dépréciation, ce qui montrait que la population mondiale s'appauvrissait déjà continuellement, à un point tel qu'elle en rognait dès cette époque sur sa pitance.

    Je conçois que mettre en parallèle la trahison de Syriza, totale ou partielle, et la prochaine ruine universelle, peut paraître osé, mais à y regarder de près nous pouvons comprendre que ce coup manipulateur du peuple grec, que je reconnais comme étant un coup de maître, est une opération de la dernière chance pour les instances dirigeantes de l'Union-Européenne et, surtout, pour  notre maître colonisateur étasunien.

    Mais cette opération leur est à plus d'un titre, à terme, néfaste.

    Les peuples européens ne donnant dorénavant plus leur confiance aux partis réformateurs, de type Front de Gauche, ils vont naturellement se tourner vers ceux de ces partis qui sont contre l'union.

    Il est vrai que ceux d'extrême droite s'affichent tous comme tel, mais vu que le gouvernement grec s'est maintenant allié, pour l'accord très néolibéral paraissant définitif avec l'Union-Européenne, en plus des partis "classiques", à un autre de même base idéologique que notre Front National, il sera facile pour les partis anti-U.E., de France, de Navarre et d'ailleurs, de dénoncer cette collusion.

    Cela à rajouter à celle d'avec les médiats, ceux-ci ayant montré en France, lors des dernières élection, sa prédilection pour le-dit Front National sur tous les autres.

    Si cette opération est tant néfaste pour l'Union-Européenne, c'est parce que les populations n'auront, progressivement, définitivement plus confiance dans les partis politiques passant dans les médiats et seuls ceux qui sont marginalisés en raison de leurs positions anti-U.E., comme l'est l'U.P.R., ne pouvant s'exprimer que sur internet, obtiendront une écoute croissante.

    Lors de la ruine universelle et des multiples et longs égarement de nos élites politiques et de nos oligarques, ce seront ces nouveaux mouvements, aujourd'hui écartés, qui, naturellement, prendront la relève de cette coterie de partis politiques qui, certes, eurent leur utilité par le passé, mais qui maintenant s'égare, chez les plus honnêtes, dans des perspectives impossibles ou, pour la majorité d'entre-eux, n'agissent plus que pour leurs propres bénéfices et prébendes.

     

    N'oubliez pas, amis lecteur, que toute soumission s'établit sur de la peur et de la colère refoulés.

    Que plus cette peur et cette colère sont refoulées, plus la soumissions est puissante.

    Que toute soumission génère la perversité ainsi que ses doubles rejetons: le pervers-narcissique et le psychopathe.

    Que la soumission nécessite, pour exister, une échelle hiérarchique avec, aux derniers barreaux, les proscrits, naturellement considérés comme boucs-émissaires, et/ou les femmes et/ou les enfants, sur lesquels peut se projeter et s'épancher la colère.

    Supprimez l'une de ces deux émotions, la colère ou la peur, ou mieux encore, elles deux, et il n'y aura plus de soumission qui puisse tenir.

    N'oubliez pas: soumission = peur + colère!

    Restez conscients!

     

     

    THEURIC