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Rechercher : indétermination de soi

  • Idée n° 11) Réflexion sur l'une des causes premières de la crise actuelle.

     

     Il est de fait que le sens que nous donnons à ce que nous percevons est inextricablement lié à la structure de notre psychée dans ses trois composantes, inconscient collectif, personnel et social.

    C'est à la suite de la lecture de Yung expliquant combien les démocraties populaires et les démocraties libérales sont la dissociation d'une réalité psychique commune que j'ai commencé à faire ce travail de mise en question de ce que peut être notre modernité et quelle différence il peut y avoir entre d'un coté la politique et de l'autre l'économie.

    Cela fait suite, il est vrai, au développement de l'idée des "entités sociales" après que j'aie lu un texte dont le sujet était la théorie des "champs sociaux" de Pierre Bourdieu.

    Les entités sociales sont les différentes composantes professionnelles, légales ou pas, structurant une société, chacune générant langages, discours, actions, gestuels,..., voir sexualités communes.

    De plus, chacune de ces entité sociales ont des intérêts particuliers, spécifiques.

    Les intérêts du scientifique seront différents, divergents, complémentaires de ceux du banquier, lui-même ayant des intérêts différents, divergents, complémentaires de l'entrepreneur (je ne parle pas là d'intérêt d'argent même si pour le banquier celui-ci est premier).

    Nous pouvons nous apercevoir, en regardant l'histoire, qu'il y a progressivement distinction des professions, le professionnalisme des métiers, deux des premiers furent sûrement le sorcier-guérisseur et le chef.

    Arrivé là de mes réflexions, j'en ai conclu qu'il est absurde de faire l'amalgame entre politique et économie parce que ce sont deux entités sociales en tous points dissemblables.

    En plus cela me permets de donner une explication à la crise actuelle dont la cause en serait la suprématie d'une entité sociale sur toutes les autres, cela voulant dire qu'il doit y avoir un équilibre entre les différentes entités sociales.

    Nous pouvons même nous demander si cet amalgame ne nous ferait pas régresser puisque il y a séparation, dans nos sociétés modernes, des divers professions: il serait improbable que, comme en 1870, à la guerre Prusso-Française, le chef de l'état, ici Napoléon III, prenne la tête d'une entreprise militaire.

    Alors pourquoi ce qui est vrai dans ce cas là, contrôle de la force militaire par la puissance publique mais, aussi, indépendance de la deuxième vis-à-vis de la première, ne le serait-il pas en ce qui concerne la banque et la finance?

    Et le communisme, était-il ou n'était-il pas soumis à la loi du marché?

    Il est vrai que la loi du marché ne le concernait pas, mais comme c'était le pouvoir politique qui décidait de tout ce qui concernait l'économie, cet amalgame était tout autant, sinon plus, radical.

    En fait ce sont les deux héros de la guerre froide, les U.S.A. et l'U.R.S.S. qui se sont effondrés en même temps sauf que pour le premier cela se fit de manière discrète et pour le second de façon retentissante.

    L'économie politique était au centre de leur organisation.

    Le problème en est aujourd'hui que nous confondons allègrement économie politique et politique économique, deux notions qui n'ont aucun rapport l'une l'autre, le premier est la domination du politique par la finance et les banques, le second est la domination des banques et de la finance par le politique.

    Cela est dû pour une large partie de ce que la démocratie et le libéralisme économique ont émergé en même temps, le communisme qui a suivit n'est apparu qu'en réaction à la trop grande puissance des forces économiques mises en jeu à ce moment là.

    Il y a eu, ainsi, concomitance entre l'émergence de la bourgeoisie et de la démocratie mais en vrai les deux ne sont pas tant liés que cela:

    -La puissance bourgeoise, l'ordre marchand, s'est accrue en Europe quand les deux autres ordres, guerrier aristocratique et religieux, ont cessé de le mettre sous le boisseau, ayant eux-même perdu régulièrement de leurs puissances;

    -La démocratie est apparu que quand il y eu suffisamment de gens qui surent lire, écrire et compter (Emmanuel Todd, "Après la démocratie").

    En réalité la politique et l'économie sont deux mondes mentaux en tous points dissemblables, leurs intérêts sont différents voire divergents.

    L'actuelle impasse destructrice majeur de l'économie politique vient de la sur-puissance présente de l'économie sur l'ensemble de la société et le vrai danger en est que ce monde politique a remis et remet toujours son pouvoir entre les mains de l'organisation économique, quelle que soit le type d'organisation de référence.

    C'est donc, pour moi, la politique qui doit dominer, j'écris bien dominer, pour le moins, tout ce qui concerne la finance et la banque, pas le contraire.

    Contrairement à l'économie politique, la politique économique, en effet, s'entend à ce que l'économie ne soit que l'un des multiples moyens d'actions pour mener une politique.

    Pour cela, et au même titre que l'armée, la monnaie et tout ce qui en est liée se doit absolument d'être assujettie au monde politique, elle doit être et rester l'un des pouvoirs régaliens de l'état!

    Évidemment, l'entreprise ne doit que très rarement (c'est à l'état de considérer les exceptions) être assujetti à la puissance publique hormis, bien sûr, le simple mais crucial respect de la loi bien que l'état soit, parfois, le plus à même de lui donner le dynamisme nécessaire ainsi que des orientations utiles, la protection des employés et ouvriers étant dévolu aux contre-pouvoirs syndicaux, les forces étatiques étant là pour éviter que l'un des deux partenaires n'aie la prévalence sur l'autre.

    Les services publiques, tous les services publiques, autoroutes incluses, se doivent de sortir des processus concurrentiels au risque, sinon, de leur affaiblissement.
     
     
    Pour finir, la raison de la nécessité de la démocratie c'est la complexité croissante de nos sociétés contemporaines qui fait qu'un pouvoir politique trop puissant, (comme celui-ci détient, en réalité, toutes les rênes d'actions sociales) n'agisse que pour l'intérêt des hommes et femmes qui le compose.

    Il faut donc chasser, régulièrement, les personnes qui sont au pouvoir et les remplacer.

    C'est en en arrivant là qu'une seule conclusion s'imposait à moi: il y a plus que nécessité à la démocratie en raison de la suprématie potentielle de la politique sur toute les autres entités sociales.

    C'est ainsi que j'ai compris que notre démocratie, bien que se devant d'évoluer, était plus qu'une absolue nécessité dans nos complexes sociétés modernes.

    THEURIC
  • B.R.I.C.A. et coquin de sort: néolibéralisme, quand tu nous tiens.

    Comme les médiats officiels français tendent au vide cosmique, cosmétique, parfois même comique, je suis allé voir ce que Sputnik pouvait avoir à raconter par les temps qui courent.

    Je suis tombé là-dessus ( https://fr.sputniknews.com/international/201708041032519401-brics-plan-essor-industrie/ ) où y était expliqué que les ministres de l'industrie brésilien, russe, indien, chinois et sud-africain s'étaient réunis pour, ont-ils dit, "adopter un plan pour favoriser l'essor industriel".

    Rrrraaa lovely, comme aurait dit Super-Dupont de Gotlib, pourquoi donc ces pays ne reprendraient pas les recettes néolibérales qui conduisirent les européens, les étasuniens et autre occidentaux à leur ruine.

    Ben oui, pourquoi pas...

    Certes, cela semble se passer en une belle entente entre ces cinq états discutant enP1000749.JPG toute égalité: "Les B.R.I.C.A. font un pas en avant vers la mondialisation et le libre commerce..." y est-il explicité, la belle affaire.

    Les mêmes causes faisant les mêmes effets, cet accord ne pourra que mener ces pays qu'à leur ruine: le plus gros et le plus dynamique mangera les plus fragiles par la concurrence débridée, comme l'Allemagne le fit en Union-Européenne, qui ne leur vend désormais plus rien puisque le reste des nations de l'U.E. ont ainsi été ruinées.

    D'ailleurs c'est le but des accords de libre échange entre la même U.E. et le Canada, les allemands veulent manger les canadiens et les canadiens manger l'U.E..

    Si tant est que le système économique globalisé n'explose pas avant, bien sûr.

    Et après ça les imbéciles crieront: il faut faire des économies pour rembourser nos dettes, dettes que les mêmes, ou leurs semblables, ou ceux qui voudraient l'être (imbéciles, peut-être) ont générées ou ont accepté qu'elles le soient, d'ailleurs.

    Les états font des dettes parce que l'impôt diminue, sinon ils ne fonctionneraient plus, l'impôt diminue parce que des entreprises ferment (montée du chômage) et que les gens s'appauvrissent puisqu'il y a baisse des émoluments, il y a fermeture P1000865.JPGd'entreprises et baisse des émoluments parce qu'il y a la monté de la concurrence sans régulation entre les entreprises des différents pays et que, surtout, l'état ne peut pas soutenir les domaines où le pays est le plus fragile.

    En fait, si accords il y a entre les états, ce doit être au niveau de la régulation et de la légitimation de l'aide aux domaines faibles au sein de chacun des pays et non pas ouvrir les frontières à grands vents comme c'est la mode aujourd'hui.

    Ensuite nous pourrons dire: "Que le meilleurs gagne", mais pas avant!

    Ceci dit pour montrer que chacun des B.R.I.C.A. n'auront pas d'autres choix, à un moment ou à un autre, que de faire, pour chaque nation, pour les raison exposées plus haut, de la compétition salariale face aux autres pays, soit de faire baisser les émoluments de ceux qui sont en haut (pas trop haut tout de même), au milieu et en bas de l'échelle des payes.

    Ce qui entrainera la diminution des capacités d'achat des populations et la faillite des entreprises puisque, je le répète, les plus gros, les plus dynamiques, et/ou les plus malins, mangerons les plus petits ou les plus faibles et que les états auront de moins en moins les capacités d'action sur l'économie réelle de leur pays.

    N'oublions pas que seules les classes-moyennes font fonctionner la machinerie économique à l'intérieur des frontières d'un pays, et plus il y a de classes-moyennes, intellectuelles et/ou économique, mieux l'économie nationale fonctionne et, ceriseP1000718.JPG sur le gâteau, moins il y a de pauvre et de milliardaire.

    Appauvrir et déclasser les classes-moyennes ne mène, à terme, qu'à un seul effet: la ruine de tous, banques et milliardaires compris.

    C'est ce dont l'Occident et les pays pauvres crèvent!

    Mais pourquoi donc perpétuer des frontières à l'heure de la mondialisation?

    Bonne question à l'heure où la propagande néolibérale n'a même plus besoin de s'exercer.

    En fait, si les frontières deviennent si poreuses que la souveraineté économique s'en trouve tant affaiblie que l'état et son administration ne sait plus vraiment ce qui rentre et sort du pays, il n'y a plus échange entre état mais juste des mouvements de marchandise et d'argent entre particuliers, commerces, entreprises et banques.

    Et cette hyper-concurrence, qui ne pourra que monter en puissance, fera qu'à un moment donné seul une minorité des établissements subsisteront, les autres disparaîtrons inéluctablement.

    Des impôts peuvent certes être perçus, mais cet accroissement de la puissance des plus imposantes de ces entreprises, banques comprises, fera qu'il leur sera possible soit de soudoyer le personnel politique et administratif, soit de faire passer, via la P1000698.JPGpropagande, leur doctrine sur laquelle s'appuie leur puissance, soit, le plus souvent, ces deux actions simultanément.

    Ce qui fera que ces entreprises survivantes pourrons échapper à l'impôt en raison même de leur puissance.

    Elles deviendront, non pas un état dans l'état, mais d'une position mondiale au-dessus des états.

    Comme les gens, appauvris, auront de moins en moins la capacité d'acheter et que les états seront dans la situation de ne plus pouvoir fonctionner, la seule chose qui leur restera sera de contracter des crédits à certaines sociétés, soient aux banques, soient aux commerces de type hypermarchés.

    Pour les états, il en sera de même, sauf que, bien entendu, ils n'emprunteront pas aux hypermarchés, mais aux banques, aux assurances, aux sociétés spéculatives et à d'autres états, puis commenceront à échanger, via leur banque centrale, de l'argent papier ou électronique des Q.E. contre des reconnaissances de dettes qui s'appellent des bons du trésor.

    En fait, c'est plutôt imprécis, ce n'est pas comme ça que ça se passe et c'est beaucoup plus délirant, les banques-centrales des états prêtent de l'argent aux banques qui ensuite prêtent ce même argent aux états contre ces reconnaissances de dette bon du trésor qui, si j'ai bien compris, sont rachetés, pour partie, par les mêmes banques-centrales, avec un bénéfice pour les banques.

    Argent des Q.E. qui, rappelons le, ne vaut plus pipette puisque excessivement produit en rapport avec l'effondrement industriel du pays émetteur.

    Je crois que Pignouf n'aurait pas imaginé mieux, ou Quiri le clown ou n'importe quel comique troupier...

    Mais ces dettes, ben, il faut les rembourser, et ce remboursement fait que c'est de l'argent en moins pour pouvoir acheter ce qui est produit pour les particulier, mais aussi pour les états (le militaire, la police, la justice, l'instruction publique, ...etc, etc..., etc...).

    Phénomène qui appauvrit les entreprises puisqu'il y a moins à vendre, ce qui fait donc monter la concurrence inter-entreprise, et le cycle recommence (entre chaqueP1000878.JPG crise), jusqu'à ce que, à un moment donné, tout s'arrête.

    Je pose donc le postulat que ce sont donc les béances frontalières, accompagnées, il est vrai, de la charge doctrinale ad oc, le néolibéralisme, qui est la cause première de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le monde d'aujourd'hui.

    Sans compté les délires dont je ne viens de ne vous montrer qu'un tout petit exemple.

    En France, ce processus a pris plus de quarante années pour que nous en arrivions à la situation industrielle actuelle, sans l'Union-Européenne fascisante telle qu'elle est, plus que néolibérale, voire sans Union-Européenne du tout, nous n'en serions pas là, il est vrai, mais le chômage, avec ce néolibéralisme, bien que moindre, serait, je le pense, néanmoins bien présent.

    Et au niveau mondial la situation, bien moins catastrophique, serait tout de même préoccupante si les étasuniens n'avaient pas ouvert leurs frontières aux quatre vents mais juste de trois.

    Donc, la décision des B.R.I.C.A. est une erreur, compréhensible si nous songeons qu'elle a d'origine de pouvoir contourner la prédominance, la suprématie du dollar pour tout échange marchand international.

    Et puis, des pays comme la Chine et l'Inde purent se développer rapidement grâce, justement, à cette béance frontalière occidentale et aux faibles revenus de leur P1000724.JPGpopulation, qui aujourd'hui s'accroissent.

    Mais l'un comme l'autre, ainsi que les trois autres participants, hormis peut-être la Russie, se trouvent dans une situation difficile puisque l'appauvrissement continuelle des occidentaux fait que le nombre de leurs clients diminue, encore plus depuis 2008, ce qui ne peut que les appauvrir également.

    Or, ce fait ne peut que mener qu'à une scission de leur peuple d'avec l'état puisque celui-ci peut de moins en moins leur offrir ce rêve de classe-moyenne que chaque citoyen de ces pays commençait à voir venir sur le pas de sa porte.

    Et puis, l'appauvrissement de la population veut dire aussi appauvrissement de ces états, avec tous les dangers que cela comporte dont je vous ai entretenus plus haut.

    D'où leur nécessité de trouver une réponse rapide à cet affaiblissement étatique, ce qu'offre cette décision néolibérale d'accord qui ressemble infiniment, à s'y méprendre, à du libre-échange.

    En est puisqu'en porte de nom.

    De fait et par ce simple exemple, nous pouvons voir que tout le monde est piégé par un système économique qui, bien que totalement délirant, n'en est pas moins devenu absolument incontournable.

    Et cela n'ayant d'effet que de déstabiliser un petit peu plus un système économique globalisé déjà au seuil de son implosion.P1000879.JPG

     

     

    THEURIC

  • Les choses de l'esprit: du début à l'achèvement d'une manipulation

    Abeille solitaire Adrena Fulva.

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Une fois encore j'ai écrit en oubliant de mettre ce texte dans le brouillon, ce qui l'a momentanément publié,  je vous prie de bien vouloir m'en excuser.

    La pose de mes photos merdouille quelque peu, il y a donc un petit loupé que je n'ose corriger.

     

    Préambule:

    J'ai remarqué que, depuis peu de temps, la perception populaire de la politique évolue.

    Mais, pour le moins, il est observable que la période n'est pas d'une grande clarté, que même notre situation se montre plutôt flouté, obscure, peu compréhensible.P1050887.JPG

    La raison en étant de ce que nous entrons dans une période d'évolution rapide tant des événements que de la lenteur de notre perception et compréhension de la situation, de son origine et de son dynamisme, tant individuellement que collectivement (non, en effet, je n'ai pas la science infuse).

    Mais aussi et surtout que, tout doucement, nous quittons notre domination impériale US, ce qui ne peut que perturber les esprits.

    De fait, les événements tendent à s'accélérer et, tel un monolithe s'effondrant, lentement pour commencer, puis de plus en plus rapidement, le système politico-économique dit néolibéral, porté et sous égide de l'empire thalassocratique US, vacillant dès le tout début des années 90, en viennent tous deux dorénavant à montrer que, de leur verticalité passée, ils en arrivent à leur point funeste de leur horizontalité dévastatrice.

    Ils s'effondrent, entraînant avec eux tout ce qui leur est lié.

    ( Vous devez tout faire pour vous empêcher de paniquer.

    Si j'écris cela c'est pour que vous ne paniquiez pas! )

    Cette situation est naturellement angoissante pour tous parce que le plus grand nombre ne comprend pas ce qu'il se passe, ce qui est normal puisque nous avons été effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civilemanipulé par ledit empire depuis très longtemps tout en en niant les faits, ce qui est aussi mon cas il n'y a pas si longtemps que cela.

    Il est à noter que de tous ceux qui traversèrent l'histoire, celui qu'est les Etats-Unis-d'Amérique est le plus hypocrite ou, disons en nous le nom, faux-cul, de tous, puisqu'il n'en a jamais reconnu directement le fait en agissant toujours dans une semi-obscurité, à l'image des rets tissés par un pervers narcissique.

    ( Je ne critique aucunement le peuple US, lui aussi en souffrant, mais toute la mouvance étasunienne et internationale qui nous a conduits dans cette situation devenant absurde et ruineuse. )

    Comme il en est de nombre de chose de la vie, s'en défaire nécessite différents  stades que nous nous devrons tous de traverser.

    Je me propose donc ici de mettre à profit ma malheureuse expérience d'une trentaine d'année pour vous proposer d'expliquer, à mon sens, ce qu'il se passe en nous.

    Avant-propos:

    J'ai regardé la dernière vidéo de la chère équipe du Fil d'Actu, commentée pareffondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile Tatiana Ventôse, ces p'tits jeunes si intelligents (je les admire même si je peux être parfois en désaccord avec eux), et parcouru un certain nombre des commentaires les concernant qui, parfois, j'y reviendrai, ne leur sont pas toujours amènes.

    Cela m'a fait pensé à ma dernière réflexion, celle-ci concernant les étapes de la manipulation tant interindividuelle que collective, de son début jusqu'à sa fin, les victimes de manipulateur tout comme les relations de soumission de colonies sous le joug d'un empire.

    Dont nous y sommes tous, français comme européens, suisses compris, Occidentaux aussi, jusqu'à bien au-delà, soumis, par le fait de l'empire thalassocratique US depuis plus de sept décennies.

    Je me suis basé, donc, pour ladite réflexion, sur mon expérience propre d'avoir été manipulé à un pervers narcissique, portant le postulat que ce processus manipulatoire reste le même, quel que soit le nombre d'humain qui se trouve ainsi manœuvré, mais aussi de ce que le ou les manipulateurs soient ou non atteint de manipulation pathologique.

    Etant donné la domination mondiale des peuples de tous niveaux et depuis si longtemps par les Etats-Unis-d'Amérique, tant politiquement, économiquement, culturellement, symboliquement, scientifiquement..., même le langage en étant atteint, en étudier la trame mais, surtout, montrer les étapes menant à son achèvement me semble important.

    effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civileCe qui nous importe maintenant ce ne sont non pas les mécanismes qui, progressivement, suggestionnent la ou les victimes, mais bien plutôt de ceux qui se produisent lors de l'achèvement de cette emprise.

    Mais, bien entendu, je ne vais pas ne pas débuter mon propos sans commencer par conter de ce que je pense du commencement de la prise de contrôle de personnes sur d'autres personnes, de pays sur d'autres pays, en un même phénomène individuel et/ou collectif.

    Je fais la part entre deux sortes de manipulations:

    -Celle de court terme qui, ici, ne nous concerne pas, celle de l'escroc voulant voler des naïfs, ou de la ruse militaire, telle que l'opération britannique Fortitude faisant croire aux allemands que le débarquement du 6 Juin 1944 aurait lieu aux environ de Calais plutôt qu'en Normandie;

    -Celle de long terme, de la prise de contrôle, par exemple, d'individu(s) par un malade mentale tel que mentionné ci-dessus, ou de celui d'un empire voulant assujettir une ou de nombreuses nations.

    C'est cette dernière qui nous intéresse.effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile

     

    Les mécanismes:

    J'ai relevé en cela neuf étapes qui, je le propose, conduisent les gens à devenir le jouet de leur(s) bourreau(x) puis qui les mènent à s'en libérer, parfois après de nombreuses générations s'il s'agit de peuples et d'états, ceci suivant les cas, ce que je vous expose:

    1) Le(s) désir(s) de(s) la future(s) proie(s): c'est à dire la recherche, consciente ou inconsciente de ce qui lui semble lui manquer, pour l'essentiel psychologiquement mais non pas seulement*, il s'agit toujours de combler un manque, comme de la recherche d'une identité sociale, de donner sens à son existence ( ce que le gourou, le nazisme, le djihadisme proposent...), mais aussi souvent de simplement vouloir être écouté, de solliciter une amitié, de l'amour, une protection, d'avoir un maître à penser...-;

    (Pour moi ce fut d'acquérir une meilleurs éducation et de ne plus être angoissé, ce qui est un comble, ou, collectivement, de ce qui s'appelait le rêve américain en ce qui concerne les européens, soit la paix et la prospérité éternelle, ce fantasme du paradis sur terre...).

    2) L'accroche par la séduction: consiste pour le ou les manipulateurs (institutionnels parfois, comme en ce qui nous concerne) de proposer, le plus souvent de manière subtile, ce à quoi son ou ses pantins fantasment en disant toujours oui, en ses tout débuts, à tout ce que le sujet ou le peuple désir, tout en commençant à placer les bases du verrouillage psychologique et/ou institutionnel sur lui-;

    A cette séduction, tous les empires ont débuté leur domination par la conquête militaire, USA comprises en ce qui concerne l'ouest européen et le Japon pendant la seconde guerre mondiale, pour les autres pays ce fut d'abord leurs crainte de ceux de effondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civilel'est et, surtout, de l'URSS et de la Chine qui en fut le moteur, ensuite, à la disparition de l'Union-Soviétique, ladite séduction US fut, pour l'essentiel, utilisé pour soumettre les anciens pays de l'est, doublée progressivement par des pressions culturelles, politiques, militaires et/ou monétaires via le dollar.

    3) Le développement de l'intoxication mentale et la mise en place de la soumission: s'effectue en quatre mécanismes:

    I) Le manipulateur donne l'illusion de la surpuissance, de son intelligence géniale et/ou de sa grande humanité..., suivant les désirs de sa ou ses victimes (oui, nous sommes victimes des USA, sans victimisation imbécile);

    II) Il fait alterner d'une manière ou d'une autre colère et peur chez sa victime qui, je l'ai déjà expliqué, mène à de la soumission;

    III) De la même manière et de façon concomitante, fait se succéder de la méchanceté parfois violente et/ou perverse à une gentillesse sous forme d'une fausse complaisance et amabilité, ce qui fait vibrer émotionnellement continuellement ladite ou lesdites victimes, ce qui la ou les empêchent de toute réflexion en déstabilisant leur mécanismes de penser;

    IV) En faisant monter une manière ou une autre de sensation de culpabilité.

    V) Le ou les manipulateurs font tout pour que sa ou ses proies se séparent de ses proches, parentelles et amitiés, mais aussi aient le moins de contacteeffondrement,empire thalassocratique us,manipulation,fil d'actu,français,france,occidentaux,géopolitique,géostratégie,assemblée nationale,pervers narcissiques,soumis,désir,séduction,intoxication mentale,profit,fuite,le doute,dérobade,vengeance,guérison,chronique du grand jeu,otan,déclin des amériques,gafam,état profond,guerre civile possible entre-eux, à l'exemple des masques (vous remarquerez que les français, au sein de l'Union-européenne, n'ont que très peu de nouvelle des autres pays de l'union).

    4) Le profit de la manipulation: de tout le temps qu'elle dure, cette domination profite à son ou ses promoteurs mais jamais aux victimes ou de manière marginale, tant sur le plan:

    I) Psychologique, en donnant le sentiment de toute puissance aux manipulateurs en compensant un complexe d'infériorité important et, pour le pervers narcissique, de se nourrir de sa propre culpabilité due à sa perversité-;

    Il est à remarquer qu'en ce cas les USA tout comme les pays européens de l'ouest souffrent d'un tel complexe (bien que la monté en puissance des empires européens ait été due, d'abord, à la concurrence féroce et importante que tous ces pays se livraient les uns contre les autres), venant pour le premier de son sentiment réaliste d'être un peuple de structure anthropologique archaïque-;

    C'est ce fort complexe d'infériorité qui conduit les élites ét

  • Du désert en un cri, un cri de ce qu'il se pourrait d'être.

     

    Du désert en un cri des pires lendemains !

     

     

    Toujours je suis de ceux, cheminant à tâtons,

    Pour lequel le sérieux fait maintes traverses,

    Encore à tâtonner du bout de mon bâton,

    A fuir, à me cacher à la moindre adverse.

     

    Lors :

     

    Pourquoi donc ma quête, ténébreuses vertus,

    Me rend si bien conçu les suites secrètes ?

     

    Serais-je de l'action qui transcende le temps,

    Homme de création aux arts lumineux,

    Personne de pouvoir dans un gouvernement,

    Un sage aux savoirs autant vertigineux ?

     

    Mais :

     

    Non, je suis simple passant, obscur et réservé,

    Menant sur le clavier les mots s'y déversant.

     

    J'en suis sûr et c'est ça le comble de l'inouï :

    Les faits qu'ainsi traçât l'idée le long des lignes,

    Tout ce que ce que je notais, en vrai, m'a ébahi

    Et parfois me paraît quasiment maligne.

     

    Et :

     

    Et les pense faux, je ne peux les croire,

    Aussi ne rien valoir en tord ou en défauts.

     

    Or je sais que ces textes décrivent du réel,

    Suivent le contexte, la marche, le progrès,

    De ce moment présent en sa suite mortelle :

    Voici, de l'accident, je converse des rets !

     

    Où :

     

    Nous nous menons au-devant de tribulations,

    Avenir en tension et demain hésitant !

     

    Le futur me susurre des heures assurées

    Parce que je suis sûr que toutes idioties

    Sauront, des dirigeants, nous faire endurer,

    En gestes diligents, de nue autocratie.

     

    Or :

     

    Non seulement cela, de mes affirmations,

    Mais leurs applications nous le certifiera :

     

    Les lois qui gouvernent les liens entre nations

    Ces règles internes, externes des marches

    De l'entier des pays, fondent les relations

    Dont tout droit je pense la possible démarche.

     

    Donc :

     

    Et quand ne sera plus notre cher Oncle Sam

    Tombera l'infâme des lois en absolu.

     

    La ruine s'éloignera, en Europe, après

    Les financiers dégâts, troublantes intrigues

    Du déclin éconduit : l'effacement des prêts

    Des bailleurs détruits par pertes prodigues.

     

    En sorte :

     

    D'hostiles querelles accapareront le monde

    Quand faillite fondre sur les fols cartels !

     

    Je voudrais prévenir de ces destins douteux,

    Ces âges à venir aux venins néfastes,

    Je voudrais, des passions, montrer combien coûteux

    Serait d’aliénation ! S'oublier enthousiaste !

     

    Aussi :

     

    Que dire et à qui, qui écoute et lit ?

    Ce verbe là délie-t-il de n'être acquis ?

     

    Lors, ce grand silence en réponse à mes mots,

    Cette nonchalance au-devant de tous cris,

    Cette dénégation que n'advenir des maux

    Ne font renonciation de mes traits et écrits :

     

    Ainsi :

     

    Ainsi las et si gourd puis-je que constater

    Du destin plausible... en Cassandre recourt ?

     

    De la ruine de tous au feu que tout embrase,

    D'une décade va, de ce tout, s'allumer

    Des troubles, dissensions, comme des métastases

    Où des armes dantesques irons tout consumer.

     

    Alors :

     

    L'humanité perdue dedans cette folie,

    Croira l'autre que lie, ce lointain inconnu :

     

    Il en est à l'est si près et si lointain,

    Deux géants différents, tant autant semblables,

    Se toisant sans cesse aux abords tibétains

    Qui, de mèche, enflammeraient-il de cet effroyable?

     

    Puis :

     

    Que puis-je présager de si tant terrifiant?

    Serait-il si pétrifiant d'en être messager ?

     

    La-demi des humains sera-il trépassée?

    Tous seront-ils meurtris de ce cri de l'histoire?

    Des pays, patries, nations seront-ils foudroyés

    Et d'éteindre ce tout d'énergie combien va-il falloir.

     

    Après :

     

    Ni en mal ni en bien l'Homme en suite vivra

    Si de ce pauvre substrat naîtrait l'autre destin.

     

    Ou vivrions-nous reclus de nos angoisses vaines

    De peur d'un lendemain différent d'aujourd'hui?

    Après, au loin, lointain, quoi qu'il advienne,

    Le cosmos nous sera, du destin, l'infini.

     

    Voici :

     

    Voici de quoi je conte de ce que je pressens,

    De ce que je ressens n'est pas fait tout en bronze :

     

    Le futur n'est pas vrai tant qu'il n'est pas présent,

    Encore faudrait-il que la conscience veille,

    De lâcher ce néant terriblement pesant

    De s'éveiller affin de se tenir conseille.

     

    Nous,

     

    Sommes tous détenteurs de nos droits politiques

    Et à sa pratique soyons nos professeurs :

     

    Néanmoins,

     

    Mon utopie niaise de vouloir que ce monde

    Comprenne les tourments qui nous peuvent s'abattre:

    Cet espoir amaigri voudrait qu'il se confronte

    A nos vices les plus viles qui deviendraient de marbre.

     

    Mais peut-être faudrait-il que nous les traversions

    Ces méfaits terrifiants pour que, du vivre, nous les poursuivions ?

     

    Dès lors,

     

    Faudrait-il que nos malheurs explorent les ensembles des rets

    Pour qu'enfin nous puissions nous contempler sereins

    D'une sagesse vaste d'autant que de nos faits

    Que de nos vouloirs savoir en humbles pèlerins ?

     

    Faudrait-il que nous naviguions dans un tel purin

    Pour qu'enfin nous sachions qui nous sommes enfin?

     

     

    THEURIC

  • Le chat.

    Avertissement:

     

    Je tiens à prévenir quiconque osant et voulant me dérober mes poèmes que j'expose ici aux lecteurs que je porterai plainte en justice pour plagia et, ce, qui qu'il soit, qui deviendra ainsi aussi la  risée de ses pairs (sauf s'il s'agit d'en lire en vidéo en précisant mon pseudo, l'adresse de mon blog et sa date de parution).

     

    Si ce voleur putatif n'est pas capable de versifier, qu'il fasse autre chose, les rues de nos villes et villages sont suffisamment sales pour que le métier de balayeur ait encore de l'avenir!

     

    J'ai des témoins de leurs écritures et la date de leur publication ici même en fera foi.

     

    Etant entendu que le reste de mes textes et idées peuvent m'être empruntés sans que je n'en perçoivent l'once d'une rapinerie.

     

    A bon entendeur, salut!

     

     

     

     

    Le chat est ce compagnon

                    soignant

        Les douleurs de l'âme

     

     

    Le chat

     

     

    Juvénile, ce chat jouant après la plume,

    Aimable ce ronron du matou enroulé

    Ici, sur vous, beaucoup plus que de coutume,

    Massé par lui, vous, le caressant, consolé.

     

    Énigme du félin ami de tout homme,

    De toute femme perdu d'une détresse

    Où vagues aux âmes en sombre minimum :

    Nocif aux chagrins, minou met maux en pièce.

     

    Noir ou blanc, tigré ou roux, l'animal est beau.

    Élégant de ses yeux d'amande implorant,

    Riant de nos interdits et parfois cabot,

    Agréable à l'amitié, si attirant.

     

    Un matou est tout autant un acrobate,

    Xylographe, qualifié de l'équilibre,

    Facilement sur un arbre, sur branche étroite,

    Est et reste pour toujours un être libre.

     

    Mange sa gamelle avec distinction,

    Mastique doucement comme un fin gourmet,

    Ergote sur sa pitance, sa libation,

    Sûr de sa faim, se nourrit, juste, de ses mets.

     

    Babine sensible, moustaches superbe,

    A la queue dressée droite comme un jalon,

    Image d'élégance, oreilles dressées,

    Souplesse du corps dominant tout surplomb.

     

    Être mistigri c'est de dormir tout le jour

    Sans de ne s'éveiller que pour le pissou,

    Et la nuit venue de son chez-soi faire le tour,

    Ne rentrant de sa balade que plein son soûl.

     

    Le petit mignon de déchirer les tissus

    Et ses courtes griffes labourant l'épaule,

    Ultra joueur de ces mouvements aperçus,

    Rattrapant la balle comme meilleur goal.

     

    Sacré personnage en un dieu égyptien,

    Issu des premiers temps quand l'agriculteur

    Tablait sur lui, en ces millénaires anciens,

    A croquer les rats voleurs des grains nourrisseurs.

     

    Nabab des salons aujourd'hui devenu,

    Toutefois, parfois, tombé en vie sauvage,

    Seigneur patte-pelu s'y est très bien tenu

    Entre sa chasse, la chair et breuvage.

     

    Ce roi de la maison, prince des cuisines,

    Revient chez lui, au printemps, s'il est un mâle

    Entier, sentant, puant, exhalant fort l'urine,

    Triomphant de son rivale sans grand mal.

     

    Encore pourrais-je dire qu'également

    J'apprécie les mistigris sans en adopter.

    Oui ils sont gentils, tout doux, aussi câlinant,

    Un jour, peut-être, vais-je, d'un, le coopter.

     

    Enfin de ce poème je ne peut inverser

    Tant un vers qu'un quatrain, or,

    Tel une énigme, pour vous, à percer,

    En un ton fripon, mais en délicat abord.

     

     

    THEURIC

  • Ô, les belles questions...!

    Quelles bières aiment les croques-morts?

     

    Des sœurs jumelles ont-elles une bonne vue?

     

    Un heurt de bonne heure est-il digne d'un doux heur?

     

    Un bienfait est-il, en soi, bien fait?

     

    Pourquoi le café frais est-il toujours chaud?

     

    L'athée aime-t-il le bon thé?

     

    Les roubignoles concernent-elles les pneus de la voiture du concierge?

     

    La concierge est-elle la bougie d'église au féminin?

     

    Sans thé le britannique est-il en pleine forme?

     

    La trompette est-elle une petite tromperie ou d'un éléphant qui éternue?

     

    Être content voudrait-il dire qu'il pleut?

     

    Les anneaux de Saturne tournent-ils?

     

    La tortue, certes, mais le tort tue-t-il?

     

    Cherche-t-on le tout de son cru?

     

    Le violoncelle se joue-t-il à cheval?

     

    De quelle année est l’amphithéâtre?

     

    L'hôte est-il celui qui invite ou l'invité, s'il ne serait pas le sac du Père-Noël?

     

    Lors de la lancée du  disque aux JO, lequel choisir entre le vinyle et le CD?

     

    L'éternité a-t-elle une fin et... qu'y aurait-il après?

     

    Le con d'une femme serait si stupide que cela?

     

    L'abricot concerne-t-il les arrêts de bus?

     

    En prendre plein sa poire est-il pour sa pomme?

     

    Avoir la banane signifie-t-il qu'on est au régime?

     

    Un trou de balle est-il mortel?

     

    Quand deux choses convergent, cela est-il sexuel (haaaaa l'amour)?

     

    Un message est-il le masculin d'une messe sage?

     

    Un mitron, d'accord, c'est la moitié d'un tronc, que serait-il alors du litaire?

     

    Cela dessert-il de recevoir une tarte?

     

    Le gobelet concerne-t-il la tétée du nouveau-né?

     

    Berne est-elle en Suisse ou la Suisse est-elle en Berne?

     

    Lorsque l'on dit bonjour, cela voudrait-il dire qu'il ferait beau temps?

     

    D'avoir du pain sur la planche voudrait-il dire que l'on aura du blé?

     

    Recevoir une paire de baffle fait-il mal?

     

    Un hibou est-il chouette quand la vapeur d'eau sort de la casserole?

     

    Peut aller loin à cheval sur ses principes? 

     

    Pourquoi les mésanges ne sont-elle pas toujours au ciel?

     

    Fait-on un four de rater un plat?

     

    Un aléa, et pourquoi ne pas dire un aller b, à quoi servirait donc l’alphabet, sinon?

     

    Qui donc monterait-il dans un car, sinon un tiers?

     

    Boit-on un demi avec sa moitié?

     

    Quand on est dans les nuages, s'envoie-t-on en l'air?

     

    Nous, français, avons la pub, les britannique ont le pub, du masculin au féminin, à chacun ses définitions, n'est-ce pas?

     

    Et après cela, voudriez-vous que je vous dise quoi?

     

     

    THEURIC

     

    PS : Quoi!

  • Chère Tatiana Ventôse.

    Que je vous dise, une vive intelligence telle que la vôtre ne se trouve pas sous les pattes d'un cheval ( que voulez-vous, j'adore aux plus hauts points user des expressions anciennes, je leur trouve de ce charme suranné qui fleure si bon le verbe d'antan, comme le chantait Brel  ).

    C'est dans votre vidéo du 28 Juillet 2019 où j'ai vraiment admiré vos capacités de réflexion, d'ailleurs si j'avais eu un enfant j'eusse aimé qu'il ou elle ait un esprit aussi bien fait qu'il peut en être du-vôtre.

    J'écarte dans ce billet les questions climatiques, sujet que je reconnais clivant, que j'ai pu traiter de nombreuses fois et qui, en réalité, n'est pour moi pas d'une importance majeur, il se passe des choses autrement plus importantes que cela, tant en politique, en économie qu'en pollution.

    Quand à la petite demoiselle, Greta Thunberg, j'avoue ne l'avoir considéré au début P1010825.JPGque comme une vague curiosité quand, après avoir regarder votre film, j'en ai compris le plan politique: détruire E.E.L.V. et F.I. de l'intérieur, ce qui semble, de vos dire, se réaliser.

    Il va s'en dire, bien que je l'écrive, qu'utiliser ainsi une très jeune femme, ayant quelques défaillances mentales de ce qu'il s'en dit, ne peut que nous montrer l'état de délabrement de l'humanité du système politique français sous la botte de l'oligarchie, et au-delà européen et occidental, si tant est qu'elle en ait eu un jour, de l'humanité.

    En un mot comme en cent, c'est ignoble et digne des plus vils personnages, qui se devraient de passer devant le juge pour abus de faiblesse.

    Si donc vous avez parcouru ici mes nombreuses lignes, vous vous serez aperçue que je m'étais laissé pareillement entrainé dans les méandres mortifères d'un de ces malades mentaux profonds, pouvant être diagnostiqués par les professionnels comme étant pervers narcissiques.

    Je l'ai vu mentalement détruire ses compagnes et conquêtes tout en considérant ses agissements normales, puis, quand la dernière, après avoir tout fait pour qu'il la rejette, se fut définitivement débarrassée de lui, il déversa toutes ses agressives angoisses et sa folie à mon encontre.

    Là où ça devient intéressant et directement lié à l'affaire Greta, c'est que j'y retrouve,P1020922.JPG sous des formes, bien sûr, différentes, les moments de manipulations outrés, outrageant, injurieux, culpabilisant et violents que j'ai pu vivre juste avant que je ne décidas qu'il était enfin temps de ne définitivement plus avoir affaire à cet incohérent et halluciné énergumène.

    Le tout teinté d'une médiocrité qu'il lui devenait vain de dissimuler sous un masque de fausse bienséance et connaissance, qu'il tirait, pour cette dernière, de phrases qu'il devait ici et là trouver au hasard de ses lectures rapides de livres compulsés dans des librairies où toute sa suite, dont moi, l'accompagnait de temps en temps, ce dont il devait se recharger de manière régulière et qu'il répétait de façon péremptoire sans lien avec une quelconque conversation en cours (il me fallu du temps pour comprendre tout ça).

    C'était là l'une de ses techniques de manipulation.

    Mes capacités de discernement étant à ce point amoindries que je n'en trouvais pas là la moindre chose à en redire, 25 ans de conduite d'un autobus parisien et mon état dépressif qui s'en suivit m'en étant d'une cause majeur.

    Si  je vous fait cas ainsi de mon vécu c'est pour vous  montrer combien je peux autant saisir ce qui peut animer ainsi de vos proches à l'égard de la mademoiselle P1020020.JPGpapillotine discourant devant ces bons et si importants messieurs de l'assemblée nationale, mais surtout ce que sa simple présence  démontre: le début de panique qui habite l'oligarchie financière euro-atlantiste et ses petites mains françaises des radioéléments, dites du R.E.M..

    La monté en puissance de cette violence, entre-autre envers les gilettistes, montre en effet que les-dits oligarques sentent perdre leur pouvoir sur les gens, d'où la présentation de cette gamine, dont le baragouin ressemble beaucoup aux petites phrases sortant de tout contexte dont je vous entretenais plus haut.

    Vous remarquerez que Mr. Macron  fit de même lors de sa compagne électorale avec, par exemple, son "Pensez printemps" totalement abscons, signe pour les même de leur affolement déjà présent.

    Mais là il s'agit d'une véritable violence culpabilisante, c'est pourquoi ce fut elle qui fut choisie, une petite fille fragile toute mignonnette, et qui doit parsemer ce boniment appris par-cœur partout dans une Union-Européenne perdant sa maîtrise sur les peuples.

     

    L'un de vos commentateur n'a pas eu l'air de saisir ce que vous vouliez dire par : "En politique ne pas avoir d'avis c'est déjà en avoir un."P1020038.JPG

    Pourtant là se trouve l'un des fondements les plus importants du positionnement politique.

    Mais aussi de la réflexion métaphysique et philosophique, mais ça c'est une autre histoire.

    Comprendre cela est d'une puissance incroyable.

    Il peut s'employer sous différentes formes, pour l'action, la décision, le choix, voire parfois de la compréhension puisqu'il est possible de comprendre que l'on peut ne pas comprendre.

    Ainsi au même  titre que de choisir de ne pas faire un choix est déjà un choix en lui-même, je choisis de ne pas en faire un, décider de ne pas décider c'est décider de fait puisque ce fut décidé, tout comme la non-action est réellement une action de par son immobilité puisque décider de rester sur place est en soi une action.

    Avoir un avis cela veut donc dire d'avoir une position, ici politique et économique, sur un sujet donnée.

    Dès lors qu'il s'agit d'un positionnement, ne pas avoir d'avis se trouve être de-même un positionnement, quelle qu'en soient les raisons, puisque cela place la personne au sein d'une mouvance idéologique officielle et/ou officieuse de neutralité, celle du: "Je n'ai pas d'avis sur la chose!".

    P1020045.JPGUn non-avis devient donc dès lors un choix politique, celui du non-choix, puisqu'il y a affirmation de n'y avoir pas de décision par ce choix de n'avoir pas de choix, cela mène mécaniquement, de part cette position, à la non-action.

    Bon, ne soyons pas naïfs, il a été dit à notre petite fanfreluche de donner cette réponse à toute question sur le G.E.T.A., cela va de soi, pour la bonne raison qu'elle ne saura jamais quoi en raconter, sinon des sornettes.

    Mais là encore, il est à noter que cette réponse en vient à fragiliser le message de notre falbala.

    De fait et comme dit auparavant, sa présence, dans l'hémicycle, de notre petite joliette, démontrant que le système est désormais aux abois, est la preuve tangible autant de sa fragilité extrême que de sa réelle vacuité, voire même de ce que sa fragilité intrinsèque provient en réalité de sa vacuité effective de toujours.

    C'est pourquoi, je le pense maintenant, je n'avais pas considéré ça comme étant d'une grande importance, tout en estimant maintenant qu'elle ne fait qu'accélérer le processus du délitement de l'euro-atlantisme béa.

    En revanche, je pensais que l'oligarchie était déjà entré dans sa phase de décompensation quand, en fait, il semble ne rien en être, il faudra pour cela attendre encore un peu, peut-être juste que quelques fortunes commencent à s'effilocher...P1020062.JPG

     

     

    THEURIC

  • Quand la médiocrité se fait politique.

    Bon ben, j'ai un petit peu de temps devant moi, enfin, je le prends, pour vous proposer un dernier texte avant mon départ en vacances.

    Je vais y revenir sur l'affaire benalla auquel j'avais fait cas il y a une petite semaine de cela.

    J'y avais exploré un ensemble d'hypothèses en en ayant privilégiée une: celle d'un fractionnement des puissances économiques nationales entre ceux que je dénomme les industriels bataillant contre l'ensemble de la sphère monétariste, en une sourde lutte s'exprimant lors de ce scandale.

    Ceci doublée de la confrontation, centrée sur la France, entre une Union-Européenne en voie de délitement devenue germanique et un empire U.S. en plein déclin (Allemagne qui, comme j'ai pu l'écrire, se retrouve piégée au-dedans de l'Union-Européenne, ne sachant plus quoi faire ni quelle position prendre pour la France).

    Je ne dis pas que ce phénomène n'existe pas, mais plutôt que ceci pourrait ne pas être à coup sûr à l'origine des tensions politiques auxquelles nous assistons et qui P1010786.JPGbientôt sera oublié par les médiats aux ordres, ou du moins, n'en serait pas la cause première.

    C'est en fait un deuxième scenario que j'explore avec vous, bien qu'il soit possible que les deux scenarii, celui du 21 et celui d'aujourd'hui, soient peu ou prou mêlés.

    Je vais donc m'essayer ici de comprendre ce qu'il se passe à l'aune de deux idées fortes: la médiocrité de l'époque au plus haut de la hiérarchie française, économique et politique, et, dès lors, de son corolaire logique, soit de leur incompétence la plus absolue.

    En l'espèce, ce n'est pas tant cette affaire qui suscite cet ensemble de réflexions mais d'en comprendre les soubassements, soit la position de ses acteurs en tant que groupes plus ou moins constitués.

    Le problème de Macron et de sa femme c'est qu'il ont l'impression d'être seuls, et que ce qu'il vient de se passer ne pourra que faire monter en eux un sentiment d'inconfort, ne pouvant que  mener à de la paranoïa si d'autres affaires de ce genre paraissaient, ce qui est fort probable.

    Cette impression de solitude a, pour origine, la trahison des patrons du journal Le Monde qui, comme je l'avais montré précédemment, ne put être acheté par ces deux milliardaires que grâce aux agissements pas très vertueux d'un Macron déjà fantasque, qui avait trahi, à cette époque, les journalistes de ce quotidien.

    Les services U.S., quand à eux, sont soit à l'origine de tout cela, soit furent, plus sûrement, agréablement surpris de la tournure que prennent les événements.P1010376.JPG

    Notre oligarchie  nationale doit être dans tous ses états, son plan de reprendre l'ascendant sur le macronisme a raté, ce que je montre plus bas, ce qui ne peut que mener à une discorde accentuée entre les deux clans dont je vous avais entretenu auparavant, les industriels et les monétaristes.

    Il est même possible que ce scandale ait remonté à la surface en raison d'une sorte d'accord momentané entre eux pour tenter d'éviter que cette fracture dans la synarchie ne s'élargisse, son but ayant été de reprendre la maîtrise de ce président imprévisible, devenu potentiellement dangereux.

    Ceci en se séparant de ce qu'il pourrait sembler être, pour eux, l'un de leurs agents essentiels, voire même le plus important au cœur de l’Élisée, Mr. Benalla, en une sorte de gambit de la reine en quelque sorte.

    Cet échec met à mal toute une stratégie dont notre président est le pion central, pion ayant pris son indépendance, sûrement sous les conseils de sa mère femme.

    Cette affaire nous a montré que la garde macronienne rapprochée ment à n'en plus pouvoir, or ce mensonge continue mène à une instabilité psychologique importante pouvant conduire, pour les plus fragiles, à un état psychotique qui, bien que léger, n'en sera que plus déstabilisant pour ce groupe.

    A ceci, il faut rajouter le fait qu'ils sont tous adeptes du néolibéralisme dont la base doctrinale est l'individualisme forcené, ce qui fait que pris individuellement et mis en face d'un danger patent, ce ne pourra qu'être un chacun pour soi, un sauve-qui-peut grandissant.

    Cette secte n'est donc pas bien solide, entre ceux qui pourraient très bien montrer des signes de désordres psychologiques et d'autres pouvant facilement se désolidariser d'un pouvoir qui, pour moi, est d'un naturel extrêmement fragile.

    P1010666 - Copie.JPGC'est pourquoi Monsieur Macron dû sortir pour haranguer ses troupes et leur montrer que tout cela n'était "qu'une tempête dans un verre d'eau".

    Parce qu'en effet, ce que craint le plus le couple présidentiel ce serait de voir s'évaporer le R.E.M., pour le reste il se croit à l'abri.

    Maintenant, ce que je vais expliquer c'est, entre-autre, en quoi, à mon sens, cet échec de l'oligarchie proviendrait de ce que ce plan a, et de beaucoup, trop bien fonctionné.

     

     

    Il est de fait que le scandale Benalla est, en pleines vacances d'été, arrivé dans nos médiats comme un cheveux dans une soupe servie dans un restaurant de grande classe.

    A bien y regarder la date de sa survenue, il ne peut que nous être légitime de considérer que tout fut fait pour en amoindrir l'impact: le mercredi 18 Juillet, au plus fort du pic de départ en villégiature, juste après le mondial de foot, date qui, jusqu'il y a quelques années encore, vidait les moyennes et grandes villes de leurs habitants.

    Ce qui, maintenant, n'est plus vraiment à l'ordre du jour, moi-même à Paris hier, la ville la plus riche du pays, y a vu une circulation qui, bien que fluide, n'en était pas moins concentrée, contrairement à ce qu'il put en être ne serait-ce qu'à la décennie antérieure, et ne parlons pas d'il y a quarante ans où les rues s'en étaient largement désertées.

    Ceci ne voulant dire une chose, comme j'en avais fait trait dedans mon texte du 21P1010728.JPG du mois: les gens n'ont plus assez de sou pour partir en vacance ou s'ils le font, ce sera dans leur famille.

    Or, là se trouve la première question cohérente: pourquoi faire remonter un scandale en une période où la population pense plutôt à vivre, le plus souvent ailleurs que chez soi, un repos bien mérité après onze mois de dure labeur, en ayant un contact largement atténué d'avec l'actualité?

    Sauf à rechercher à ce que son effet en soit largement amoindri, faire remonter une affaire de cette dimension à ce moment là ce serait faire preuve d'une totale crétinerie, ce que nos oligarques ne sont pas, crétins, même s'ils ne sont, pour la majorité d'entre-eux, qu'une vulgaire bande de médiocres.

    La réponse en est là extrêmement simple, il ne s'agissait juste que de faire pression sur Monsieur Macron pour qu'il calme un peu ses ardeurs "réformatrices".

    C'est que nos oligarques, dont le journal Le Monde, corporatiste en diable, est le toujours vecteur, à l'inverse de ce que j'ai pu croire auparavant, ne peuvent qu'avoir en main les résultats véritables des sondages sur l'appréciation des français de l'action gouvernementale, qu'ils juge exécrable à près de 75 % en une valeur officielle.

    Ce que nous pouvons faire remonter en une fourchette située entre 85 à 95 %.

    Or, c'est là que ça devient marrant, notre oligarchie avait cru benoitement qu'il y aurait peu de téléspectateur en cette période, en oubliant un peu vite que d'avoir P1010799.JPGappauvri la population, avec l'aide dogmatique de l'Union-Européenne et d'une Allemagne reprise par ses démons d'antan, celle-ci en est réduite à rester chez-elle à regarder la télé.

    C'est pourquoi la ploutocratie commence à freiner des quatre fers pour tenter d'éteindre un incendie qu'elle a elle-mêmes allumé.

    Mais quel en était sa raison d'être?

    Comme les oligarques nationaux se sont aperçus, un petit peu trop tardivement, que leur créature macronienne, comme le golem se retournant contre son créateur, leur est devenu incontrôlable, ils ont mis en place cette pression importante à l'endroit du président en faisant remonter les abus et turpitudes de  Mr. Benalla.

    Le but en étant d'en reprendre le contrôle, ce qui s'est avéré destructeur de toute l'équipe gouvernementale et, surtout, du R.E.M. et de ses élus de l'Assemblée Nationale, au centre du dispositif politique, ensemble qu'il faut bien considérer comme étant d'essence sectaire.

    D'autres questions pourraient, là encore, rester en suspend s'il n'est pas pris en compte la sottise des plans de ces médiocres (les moins sots s'éloignant naturellement de ces fâcheux), n'ayant pu choisir, par exemple, que quelqu'un leur étant semblable pour prendre place à la tête de l'état français, ne comprenant pas, bien sûr, la situation de délabrement intellectuel dedans lequel ils se trouvent pour leur part.P1010609 - Copie.JPG

    Je ne sais pas si monseigneur Benalla a pu faire grimper au mur Monsieur ou Madame, ou si ce fut sur ordre de la ploutocratie, toujours est-il que les pleins pouvoirs qui lui furent conférés menèrent ce gros plein de muscle à tous les débordement.

    Mais depuis que ce scandale nous est servi comme sur un plateau, les bêtises s'égrainèrent telles les perles d'un très long chapelet.

    Il en est ainsi de cette grasse erreur de notre si cher président de la République d'avoir claironné, lors de cette déclaration faite au milieu de ses sous-fifres, deux choses: "...je suis le seul responsable...", puis, "...qu'ils viennent me chercher...".

    (  Remarquez à ce sujet l'angle de prise de vue lors d'une allocution où, paraît-il d'après les médiats, s'y trouverait l'ensemble des députés du R.E.M., de ses conseillés et de ses ministres.

    Personnellement j'ai comptabilisé 18 personnes présentes, avec sûrement quelques autres n'entrant pas dans l'angle de vu de la caméra, ceci étant dû à ce que si celles-ci avaient été dans son champ, nous nous serions aperçu qu'il y avait infiniment moins de monde qu'annoncé.

    Voici la preuve que, dorénavant, se lève un rejet de Macron et de son gouvernement émanant de ses propres députés.  )

    La première veut dire qu'il protège, de part son statut de président, tous ses proches et, ce, quoi qu'ils fassent et, donc, qu'il pense qu'il a sous son contrôle tous ceux qui l'entourent en raison même de cette protection.

    Dès lors qu'il se croit inatteignable et donc tout puissant (moi qui le pensais en plein effondrement psychologique le perçois maintenant comme étant plus solide que je P1010824.JPGne l'imaginais, possiblement grâce aux conseils et aux cajoleries de sa femme qui la rassuré, il se trouve maintenant en phase de fuite en avant, signe que sa structure psychique commence tout de même à souffrir ).

    ( En fait, cette affaire le fragilise comme jamais président ne fut fragilisé, étant donné que, dorénavant, c'est toute la population qui se retourne contre lui.)

    La seconde phrase est infiniment plus ambigüe et, à mon sens, est lié au fait qu'il ait, lors de ce court discours, dit aussi que Monsieur Banalla l'avait trahi, ce à quoi je reviendrai.

    "...qu'ils viennent me chercher..." de fait montre toute une dangereuse ambigüité parce que personne ne sait à qui cela s'adressait et çà c'est explosif (il est possible que ce message était destiné d'abord à ses patrons d'oligarques, comme il pourrait bien en être d'une bonne partie de son laïus).

    Tout simplement en raison de ce que tout le monde peut le prendre pour lui-même et donc au mot, que ce soit l'oligarchie, la population, les forces armées, les députés et sénateurs, le pouvoir judiciaire, dont la police, et tutti quanti, voire d'autres forces se situant hors de France.

    Cette bravade infantile (ou ce message discret, ce qui a le même effet) met, lui et ses proches, au-devant d'un grand danger pouvant prendre infiniment de formes différentes, des plus constitutionnelles aux plus violentes.P1010805.JPG

    Preuve supplémentaire de cette médiocrité morbide.

    A ce sujet, nous sommes aussi en droit aussi de nous demander pourquoi les députés censément d'opposition se sont retirés de la commission d'enquête parlementaire.

    Proprement, pour la députation hors du R.E.M. cette affaire était, en son début, du pain béni, ils allaient tous pouvoir se venger de ce godelureau qui, d'une manière ou d'une autre, les avait tous détruit, ceci en écartant le fait qu'il n'était à l'époque que le chargé d'affaire des banques et autres fonds spéculatifs nationaux, européens et internationaux, dont ceux U.S., cela va de soi.

    Or, ils se rendent compte aujourd'hui que tout cela pourrait très bien se retourner contre eux, en conduisant au renversement du gouvernement et, suivant, à ce que l'Assemblée Nationale soit dissout pour qu'ait lieu de nouvelles élections nationales.

    Mais surtout à ce que ça n'entraine soit à une révolte populaire de grande ampleur, soit à une insurrection nationale dont personne ne peut dire vers quoi cela pourrait bien mener.

    D'autant plus que les partis composant cette opposition ne paraissent pas être blanc-bleu en ce qui concerne leurs comptes de campagnes électorales et qu'ils ne voudraient pas que la justice y plonge un nez parfois si chatouilleux.

    Un journal comme Le Monde pouvant aussi s'en faire ses choux gras, le leur laisser à penser étant une bonne manière pour en calmer leur ardeur.

    C'est pourquoi ils se sont retirés ensemble de cette commission d'enquête en tentant P1010831.JPGde se justifier en posant une ridicule motion de censure au gouvernement, eux qui firent preuve d'une bonne efficacité pour faire pression sur le R.E.M. afin qu'elle fut mise en place, font montre maintenant en cela d'une timidité de saintes Nitouche.

    Il n'est pas sûr que les sénateurs les suivent sur ce chemin et qu'ils poursuivent leurs propres enquêtes, seul le temps nous le dira.

    Mais ce revirement leur fait perdre tout le bénéfice populaire qu'ils en tiraient et pourrait même réduire encore plus une cote de popularité déjà largement amoindrie.

    On ne change pas de stratégie au milieu d'une bataille, c'est à la tactique, en ce cas, qui se doit de prendre le relai, mais cette opposition pouvait-elle faire autrement?

    Je ne le pense pas.

    Venons en ensuite au sieur Banalla qui a fait une intervention au journal Le Monde le 26 Juillet.

    Ce qui a surtout retenu mon attention, hormis le fait qu'il tente de se justifier et qu'il puisse ainsi s'étendre dans les médiats, ce qui est un comble, c'est déjà le journal où il s'est exprimé, le langage qui y est employé, bien loin de ce que nous pourrions attendre d'un tel personnage, mais surtout de ce qu'il a dit d'Emmanuel Macron qui, rappelons-le, avait affirmé que son acolyte l'avait trahi.

    Or, l'accusé y a affirmé deux choses, qu'on avait cherché à le tuer, ce qui est un mot P1010839.JPGfort puisqu'il expose qu'il y aurait eu la tentation d'une tentative d’assassinat d'on ne sait qui à son encontre (oui, oui, je sais, il parlait d'un meurtre symbolique, essentiellement politique, mais est-ce aussi sûr?), en accusant en cela des politiques ou des policiers, en oubliant de la sorte d'où provenait les premiers articles sur ce sujet, soit le Journal le Monde, dont les propriétaires sont Messieurs Pigasse et Niel, deux beaux oligarques qui aidèrent Macron à prendre son poste.

    Puis qu'il comprenait que Macron puisse dire qu'il l'avait trahi, ce qui, dans la bouche d'un tel énergumène, ce demi-sel, ce gros bras tas de muscle, ne peut que sonner étrangement: normalement, pour lui, ce devrait être Macron qui l'a trahi en le lâchant face à la justice.

    Mais que tout cela veut-il dire?

    1) Il nous affirme indirectement, en raison même du médiat utilisé, le journal le Monde, qu'il est employé de l'oligarchie et non pas de Macron qui, au mieux, n'est que son chef de bureau, et dès lors qu'ils sont tous deux employés par les mêmes, de vagues grattes-papiers en quelque sorte, des mercenaires à la solde du mieux payant;

    2) Que cette oligarchie cesse les hostilités par peur des instabilités que cela génère au sein du pays, autant populaire (le politique), que de la police et de la justice;

    3) Il prend sur lui toutes les conséquences judiciaire de cette affaire;

    4) Ce long article provient sûrement d'une entreprise de communication;

  • A vous les jeunes!

    J'ai soixante ans et, à la suite de mes nombreux billets, il me semble qu'il soit temps pour moi de m'adresser tout spécialement à vous.

    Nous vivons une période tout autant dangereuse, ne nous le cachons pas, spécifique à toute autre ère et pour le moins impénétrable.

    Or c'est à vous que va se révéler la tâche de rendre intelligible ce qui ne l'est pas, inventif face à ce qui n'est, en ce moment, qu'un rabâchage ennuyeux, ruineux, imbécile et, surtout, obscurantiste.

    Beaucoup d'entre-vous recherchent désespérément une raison d'action sociale dans ce chaos mortifère, en la trouvant dedans des problèmes écologistes désignés par ceux-là même qui génèrent cette confusion collective, soit les médiats officiels.

    Comme je pus l'être à vos âges, vous êtes facilement manipulable.

    De ce fameux réchauffement climatique anthropogénique qui en constitue la trameP1030162.JPG première, cachant là où se situent les réels enjeux, réchauffement qu'il y a beau jeu d'observer en toutes faces, sa vérité est ainsi: cette théorie scientifique, ou se voulant se dire tel, n'en est pas une.

    Pour cela il n'est que de reprendre la science à sa base: Une théorie scientifique, en plus de n'avoir de valeur que par son caractère prédictif, se doit d'être réfutable, c'est à dire de pouvoir être remise en question.

    Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une théorie, ni même d'une hypothèse qui, normalement, se doit de prendre en compte l'ensemble des éléments pour se formuler, mais tout juste une croyance ordinairement sans grande importance.

    Vous remarquerez ainsi que nos journalistes et chroniqueurs bienséants ne présentent jamais quiconque, climatologue ou physicien (puisque les questions du climat relèvent surtout de la physique la plus pointue), venant critiquer cette nunucherie.

    Sachant qu'il n'existe pas, en science, d'unanimité, cela n'existe pas et est le mensonge le plus grossier qu'il soit: oui nos journalistes et nos élus sont soient des imbéciles, soient des naïfs, soient des menteurs ( je vous revoie une fois encore vers ce site où tout cela est, au fil des billets, montré de toutes sortes de façons ).

    P1030306.JPGQu'est-ce qu'un Nagui, un philosophe lambda un intervenant quelconque ou un journaliste du 20 heure connaissent là-dessus, sûrement bien moins que moi  qui n'en comprends juste que les bases.

    Mais me penchant au-dessus de ses dimensions politiques, il me deviens évident que tout cela n'est que de la communication faite pour éviter que vous regardiez là où se trouve les réels sujets: la pire des vilénies de nos oligarques, de l'Union-Européenne dans son entier, de l'OTAN et du néolibéralisme économique.

    Bien que cela fasse intervenir aussi l'un des nos archétypes les plus puissant, le mythe  de la destruction du monde par Dieu suivit de son rétablissement, mais vous remarquerez que Dieu, ici, c'est nous, l'Être Humain, se prendraient-ils, nous prendrions-nous pour dieu lui-même?

    Redescendons donc de ce piédestal stupide et angoissant ( même des enfants en feraient des cauchemars ) et demandons-nous donc pourquoi aucun débats avec des professionnels du pour et du contre de cette fadaise n'est jamais médiatiquement organisé.

    Pourquoi des historiens n'y viennent-ils plus pour nous montrer qu'au moyen-âge et plus encore sous l'empire romain le climat était infiniment plus chaud qu'aujourd'hui, qu'aucun climatologue ne nous y montreraient-ils pas, de plus, enP1030789.JPG combien de temps cette chaleur d'antan prit corps ( l'une des réponses qui m'en fut rapporté en effet, au-devant de mon plus que scepticisme: que ce qui serait catastrophique ce serait la vitesse d'avènement de la-dite chaleur, ce qui reste part ailleurs à montrer )?

    Tout juste sais-je que, de tout temps et toute ère, la monté du taux de CO² suivit et non  pas précéda cette hausse des température, article trouvé sur Science-et-vie datant de trois décennies environ.

    Ceci avant que, comme toutes les publications, ils n'en deviennent à être contraints de suivre, entre-autre, cette pauvre superstition au risque, sinon de se retrouver, pour ses gazetiers, au chômage, comme il failli arriver à ces deux journalistes météos, Messieurs Verdier et Cabrol, dont je vous avais déjà narré les mésaventures.

    Mais pourquoi donc m'appesantirais-je encore une fois sur ce sujet que j'ai de maintes manières déjà abordé?

    Pour vous montrer, chère jeunesse, que nous sommes en plein dans une période d'obscurantisme obtus et que c'est à vous, dorénavant, de reprendre le flambeau de la découverte intellectuelle en toutes les fonctions qui font sociétés.

    Si vous pensez réellement qu'aucune place ne vous est accordée, détrompez-vous, vous avez en réalité celle la plus noble et remarquable de toutes: réamorcer la soif de P1030616.JPGla découverte, de l'inventivité, du désaccord et de la querelle théorique, de la recherche véritable, de la philosophie novatrice, des nouveaux concepts et conceptions, de l'étude des anciens, de leur critique et réexamen... .

    Mais aussi pour  concevoir de nouvelles technologies, nouveaux abords politiques, économiques, sociaux, professionnels, artistiques, nouvelles techniques de conceptions d'usines et de fabriques, de vision de l'état de droit, de la démocratie, des services  sociaux et publics, de la médecine dans toutes ses dimensions...

    Enfin bref, de tout ce qui fait la-dite société et qui, aujourd'hui, part à vau l'eau.

    Et je puis vous affirmer que vous avez loin d'avoir toute une vie pour ce travail admirable, il n'est dès lors plus que temps, pour vous, de ne plus vous laisser entrainer dans les méandres malsains et pervers des mensonges qui vous sont déversé par multitude.

    Alors instruisez-vous et je puis vous assurer que bien des textes jusqu'aux années 80, voire 90, se révèleront, pour vous, fort précieux.

    En revanche c'est en cette époque que se développèrent les bases nauséabondes du délitement intellectuelle actuel, alors faites toutefois attention aux ouvrages queP1030365.JPG vous choisirez et montrez-vous analyste sensible aux contradictions internes des sujets abordés.

    Soyez examinateurs passionnés mais scrupuleux des notions exposées par les penseurs anciens, ce n'est pas parce que c'est vieux que c'est bien, ce n'est pas parce que c'est moderne que c'est mauvais, à vous d'en peser et soupeser tout le pour et le contre, seules la raison, la logique et la cohérence vous le démontreront.

     

    Pour ceux ayant eu le temps et le courage de parcourir une bonne partie de mon blog, ce seront aperçu que j'ai pu aborder certains sujets, dont celui de l'apparition de l'ancêtre du singe, de celle du premier du genre Homo, notre très lointain aïeul, de la nature de la pensée, ainsi que de tout un ensemble de thèmes différents.

    Ce n'était pas dans le but de vous démontrer la faisabilité de remettre en question, voir parfois en cause, les hypothèse posées actuellement, mais tout simplement pour m'en exprimer, pour y exposer mes idées: comment voudriez-vous que, sinon, je puisse me faire entendre autrement du haut de mon faible cursus et classe sociale?

    Combien longtemps ai-je été inconsciemment jalousé sans même que mon vis-à-vis et moi-même n'en percevions le trait, ce qui  fonde aussi ma prudence.

    Parce qu'il est terriblement douloureux de percevoir des biais sociaux là où ils se trouvent, de comprendre certaines choses et de ne pouvoir les partager avec P1030271.JPGquiconque, sachant que je remets en cause en cela bien des préceptes sociétaux non-dits.

    Certes, depuis ces tant d'années j'ai pu faire des erreurs conceptuels, voire prévu des événements qui n'eurent pas lieu ou qui arriveront que bien plus tardivement, mais je n'ai eu que de cesse de corriger ces-dites erreurs et faire preuve de bien plus de prudence, de retenue et de mesure dans mes prévisions.

    Il faut en effet être son pire objecteur pour pouvoir développer au mieux sa pensée.

     

    Dans ce monde incompréhensible, ou du-moins aux sens discrets, il n'est pas facile d'y trouver sa place, phénomène renforcé par l'union-européenne et son ensemble idéologique ad oc mélangeant le pire au meilleurs, rendant la notion d'identité floue, nous faisant confondre loup, chèvre et chou nous faisant perdre toutes les notions du commun et nous égarant dans l'infinité de l'illimité, nous laissant, pantelant, dedans la béance de l'infantile infertilité.

    Alors,  pour s'échapper aux angoisses de ces égarements de ne plus se sentir déterminé, tant dans l'action que de son identité, diverses stratégies psychologiques s'y côtoient.

    Il y a par exemple d'inscrire sur sa peau sa marque identitaire pour qu'en cela savoirP1030550.JPG par la douleur du piercing et/ou de celle du tatouage, de son souvenir, où se trouve la limite du corps, de part sa peau tracer une frontière entre le monde et Soi.

    Il peut aussi y avoir les beaux habits et beaux maquillages, avoir la parole haute, de se muscler indéfiniment, de se filmer sur un ordiphone, divaguer sur des réseaux dits sociaux, de se montrer en réel ou en virtuel, pour dire: "J'existe!", de l'affirmer ou de tenter de le faire.

    Ce sentiment de ne pas exister en raison de limites peu ou non formulées, du sentiment de se perdre dans un grand tout où chacun aurait le sentiment de n'être que poussière perdu dans l'univers, de celui de n'avoir qu'une identité de Soi comme de celle sociale confuse, nébuleuse, mène à une souffrance psychique à peine audible que seule la boule à la gorge permet de retenir et de percevoir.

    Cette douleur mentale silencieuse conduisant à la recherche de l'oubli, de l'hébétude, de la folle frénésie dans toutes sortes d'intempérances enivrantes.

    Des drogues, il y en a de trois sortes: celles menant à de l'ivresse, celles excitantes et les hallucinogènes.

    L' alcool, le hachich, les opioïdes sont des premier, la cocaïne, les amphétamine et P1030165.JPGméthamphétamines sont des seconds, quant aux troisièmes ils se trouvent dans les alcaloïdes de certains champignons.

    ( Le tabac est spécifique, peu ou non enivrant ni  excitant, il a de fonction de faire baisser le taux d'agressivité, de réduire le sentiment d'ennui, de diminuer la timidité et de combler une béance affective, mais c'est l'une des drogues dont il est le plus ardu de se débarrasser. )

    Toutes les drogues ont des effets néfastes autant sur l'organisme que sur le cerveau.

    Il y a des drogues qui, d'une manière ou d'une autre, sont acceptées et contrôlées socialement en raison de la multitude des générations qui s'y sont confrontées,, le vin en France, en Allemagne la bière, les alcools en Occident donc, l'opium dans certaines régions orientales, le hachich réservé (normalement) à des situations et rites  religieux ou spirituels, en Inde notamment.

    En revanche toutes les drogues de synthèse, comme celles installées dans des pays hors de leur contextes anthropologiques, sont d'autant dangereuses de tous points de vu que les corps sociaux n'en ont construit aucune appropriation, ni cultuelle, ni culturelle, ni même de restriction formelle par un surmoi collectif conscient et inconscient.

    Soyez  au fait, donc, de ces causes qui font cet attrait, seul ou en commité, pour une ivresse dépassant largement le seul plaisir de se retrouver grisé au milieu des amis,P1030104.JPG en partageant le vin pendant le repas en devisant gaiment en bonne compagnie, de danser aussi, de chanter à tue-tête.

     

    Je me suis moi-même diagnostiqué pseudo-asperger, qui est un mixe de haut-potentiel ou de sur-doué avec un état autistique plus ou moins léger.

    Son origine, je le pense fortement

  • A la recherche du sens perdu.

    Avant-propos:

    Je n'émets pas de théorie ni n'effectue de travail théorique, je fais de la philosophie en tant que penseur brut, ce qui est tout à fait différent mais qui, aux horizons de la bêtise ambiante, sont tous trois confondus, nous ne devons absolument pas, de plus, les confondre d'avec la technologie qui est, elle aussi, différente de cet ensemble:

    -Une théorie est la résultante d'un travail scientifique en amont, parfois durant des décennies, faite de recherches par divers moyens suivant la science dont il est sujet et lui étant explicatif de sa nature, recherches effectuées suivant la situation, l'urgence ou non, les capacités du moment, elle n'est jamais absolue parce que réfutable, mais, de par le principe de parcimonie, elle se doit d'être la plus simple au regard de toutes les information disponible sur ledit sujet donné et, enfin, se doit de déterminer réellement sa valeur par son caractère prédictif;

    -Un travail théorique est de définir une série d'hypothèses sur un sujet donné, or,P1040601.JPG l'hypothèse se devrait de rester juste un premier jet réflexif sur ledit sujet, que cela soit le fait de scientifique ou non, et se devrait de rester tel et d'être affirmé ainsi tant qu'aucune preuve tangible telle que définie plus haut n'y est apporté qui, sinon, d'hypothèse, la ferait porté au niveau de la théorie;

    -Une réflexion philosophique est elle proche de la métaphysique en ce sens où elle est la résultante d'observations, de recherche, de compréhension et de méditations tant de soi que du milieu dedans lequel la personne, philosophe de métier ou non, vit, sa finalité se devrait d'être d'organiser la pensée de chacun et, dès lors, de développer sa propre conscience de la réalité de Soi comme du Monde, elle ne saurait être absolue puisque elle se bâtie au sein d'une société donné et, de ce fait même, ne peut qu'être composé d'un ensemble de vérités relatives à elles-mêmes, de la personne singulière comme de ladite société donnée, quand bien même a-t-elle deux buts communs d'avec la théorie scientifique, celle d'être dans la quête ainsi que de définir au mieux cette nature de la réalité.

     

    Nous avions rangé notre intelligence à la cave, du-moins ceci était le fait de nos aïeux qui, toutefois, nous avaient montré l'endroit où ils l'y avaient remisée, et, maintenant, nous commençons tout juste à nous apercevoir, une fois que nous l'avons ressorti de sa malle déposée dans la cave, qu'elle est sale, poussiéreuse et mitée de mythes vaporeux.

    P1040463.JPGCe phénomène est déterminé, à mon sens, par deux processus historique aux origines passées s'activant en ce moment même, ceci simultanément d'une troisième, moins ancienne, tous trois s'activent, donc, depuis quelques décennies déjà.

    Ensemble dont je vais tenter de faire la démonstration.

    Démonstration qui, je le répète, bien que donnant du sens aux événements et/ou aux fait produits, n'en apporte en rien une preuve absolue, mais est juste le développement au plus juste d'un ensemble de considérations explicatives tentant de rendre compte au plus près à ce qui semble incohérent, sans en avoir de preuve concrète mais conformes aux présomptions perceptibles.

    Du moins cela permettrait-il d'amorcer des recherches, pour celui ou ceux qui en auraient l'attrait, desquels je n'ai aucun outil conceptuel me permettant de les effectuer, étant donné que mon cursus ne fut que peut développé, ni en ayant les capacités d'ailleurs de montrer en quoi je pourrais en avoir tort ou raison.

    Alors même que je suis sûr de leur réalité.

    Voici donc ces trois processus, aux portes de la métaphysique, que j'ai conçu de manière purement intuitive et dont je vous avais déjà fait cas auparavant et qui, je le conçois, pourraient être considérés, pour toutes ces raisons même, comme relevant de l'ordre de la magie puisque ne semblant pas corrélés par des mécanismes deP1040447.JPG causalité tels que je les avais exploré avec vous dans mes troisièmes aphorismes en fin de page, bien que j'en pense le contraire:

    1-une rétrogression historique nous faisant remonter anthropologiquement aux alentours de la deuxième moitié au troisième tiers du XIX° siècle jusqu'au début du XX°;

    2-une compulsion de répétition nous conduisant à une période s'étendant de 1917 et la révolution d'Octobre menant à la création de l'URSS, jusqu'au tout début de la guerre froide, soit à la toute fin de la seconde guerre mondiale, ceci maintenant sous une forme économique et non plus militaire;

    3-un effondrement impérial de la thalassocratie US, similaire, mais en un effet miroir gauche/droite-droite/gauche, de celui qui survint pour la Russie en 1991 qui vit la fin de l'Union-Soviétique, ceci accompagné d'un autre effondrement, celui-ci idéologique, accompagné naturellement de celui politique, phénomènes quasiment d'échelle internationale.

    Tous trois sont intimement liés et, telles des poupées gigognes, s'emboîtent temporellement l'un dans l'autre, c'est pourquoi, donc, nous ne pouvons pas comprendre ce qu'il se passe aujourd'hui sans que nous ne prenions en compte ces trois mécanismes.

    P1040704.JPGEnfin, je dois préciser que j'avais déjà écrit sur ces trois thèmes dans mon blog sans jamais ne les avoir rapprochés.

     

    I-) La rétrogression historique:

    Vu que je fais remonter nos difficultés actuelles à la prise de pouvoir de Louis-Napoléon Bonaparte en 1848 en tant que président de la II° République, suivit de son coup d'état de 1850 menant  au second empire sous l'égide de Napoléon III de 1852 qui s'acheva par la défaite de la France face à la puissance prussienne en 1870 (qui deviendra l'Allemagne pour cette occasion à Versailles, décision prussienne hautement symbolique).

    Parce que la première guerre mondiale est indéfectiblement liée à celle de 1870, qu'elle détermina tout ce qu'il se passa par la suite jusqu'à maintenant, je considère dès lors que c'est cette période qui est constituante de l'histoire mondiale dès le moment de ladite défaite jusqu'à aujourd'hui, c'est cela qui mène à ce que nous vivons une rétrogression historique.

    Les raisons originelles en sont de deux mensonges et deux trahisons qui, parce qu'ils permirent, pour les premières, aux acteurs de l'époque d’asseoir leur politique avec efficacité, et aux secondes que l'idéologie valait mieux que la valeur humaine, qui mena, du fait de cette misanthropie constitutive, à un désenchantement du monde conduisant à une façon de crétinisation des hautes hiérarchies sociales qui, parP1040529.JPG ruissellement, détermina celle d'une part de la population.

    (Il y eut depuis longtemps, sinon de tous temps, des mensonges et des trahisons tout au long de l'histoire, la particularité de ceux-là vient de ce qu'ils déterminèrent tous le XX° siècle et ce début de XXI° et c'est cela qui, pour nous, nous importe.)

    A) Ce premier mensonge fut du fait que Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III,qui  fut présenté à la population comme étant un génie du même ordre que son oncle, Napoléon 1er, lui qui en réalité était considéré par les gouvernements européens, à peu de chose près, d'une manière similaire à notre Macron au sein de l'Europe et au-delà: un niais.

    Ainsi, pour Otto Von Bismarck, le chancelier prussien : « L’empereur est une grande incapacité méconnue. »

    Quand Victor Hugo disait de lui : « Louis Bonaparte est un homme de moyenne taille, froid, pâle, lent, qui a l’air de n’être pas tout à fait réveillé […] Les chefs de la droite disaient volontiers de Louis Bonaparte : C’est un idiot. Ils se trompaient. C’est un livre où il y a des pages arrachées. À tout moment quelque chose manque. Louis Bonaparte a une idée fixe, mais une idée fixe n’est pas l’idiotisme. »

    Tout ceci ne vous ferait-il pas penser quelques-uns d'un certain gouvernement, voire même d'une union?

    B) Le second mensonge, lié au premier, fut la "dépêche d'Ems", faux diplomatique que le même premier ministre prussien avait créé pour que, la France déclarant la P1040560.JPGguerre, il puisse achever l'unification de ce qui deviendra l'Allemagne de par le conflit que cela générerait entre ces deux pays et de la victoire germanique quasiment assuré dès son début.

    La double trahison est de la même époque.

    A) Ce fut Louis-Napoléon Bonaparte qui fomenta un coup d'état en tant que président élu en reversant la deuxième république, trahissant par là même ceux qui l’élurent à ce poste, quand bien ce fut par un plébiscite qu'il en avait reçu l'approbation du peuple en 1851, ce fut de fait une trahison, puis en 1852 il devint l'empereur de tous les français sous le nom de Napoléon III à la suite d'intenses tricheries de toutes sortes, son régime s'appelant donc le second empire.

    B) Ce fut la trahison du peuple parisien par la troisième république naissante dès lors qu'à la suite de la capture de l'empereur Napoléon III ladite république fut proclamée en 1871 par Adolphe (déjà) Thiers qui conduisit à la Commune de Paris.

    Après l'armistice signé par le nouveau gouvernement élu de la troisième république, dans la crainte de la grande bourgeoisie, toujours royaliste, en la population parisienne républicaine qui, à la suite de la multitude de leurs trahisons ( des ancêtres de nos oligarques stato-financiers, sinon de sang, du-moins d'esprit ) aidant hypocritement les armées prussiennes durant cette guerre, qui, après les deux mois de famine des parisiens due au siège de Paris par les troupes germaniques du 20 Septembre 1870 jusqu'au 28 Janvier 1871,  fut tenté de confisquer les canons que,P1040491.JPG pour parti, les parisiens avaient eux-même acheté par souscription, qui dès lors se révoltèrent.

    Ce fut ladite Commune de Paris qui dura du 18 Mars au 28 Mai 1871 mené par les socialiste révolutionnaires, dont Louise Michel est l'une des figures les plus connues.

    Ce sont donc ces événements qui, dans le même temps, déterminèrent, à mon sens, le XX° siècle et ce début du XXI° et qui mène aujourd'hui à cet étonnant retour anthropologique en arrière qu'est notre rétrogression historique.

    En effet, ce furent les trucages de cette période que furent ces mensonges et trahisons, qui, de Paris, de la France, menèrent aux événements mondiaux jusqu'à aujourd'hui: les Etats-Unis seraient-ils devenus empire thalassocratique, maintenant en déclin,  si les deux guerres mondiales n'avaient pas eu lieu?

    La Russie soviétique serait-elle apparue si la première guerre mondiale n'était pas advenue.

    Et celle-ci se serait-elle produite si l'Alsace et la Lorraine n'avait pas été confisqué à la France par l'Allemagne devenu alors?

    N'y avait-il pas un esprit de revanche en France après que les prussiens se soient P1040609.JPGinstallés si longuement au  château de Versailles?

    Lesdits trucages s 'étaient révélé efficaces et, dès lors, bien plus que par le passé, mensonge et trahison, dont l'empire US furent et sont toujours les champions, devinrent l'habitude, certes dans les populations, mais de manière bien moindre que dans la haute hiérarchie des pays (c'est l'un des gestes majeurs de Monsieur Poutine d'en renverser la tendance).

    Cette façon de faire menant à ce que les peuples en viennent à ne plus croire en des dirigeants politiques qui, de mensonge en trahison, en sont venu, de génération en génération, à refouler le fait même qu'ils puissent mentir et trahir éhontément, n'en étant même plus conscient.

  • Quatrième aphorismes.

    Je reprends cet exercice pouvant se rapprocher d'un art, portant la concision de l'expression de l'idée à son extrême achevé.

     

    Un aphorisme, de sa concision, est l'expression d'une idée laissant libre le lecteur de sa propre réflexion, à lui d'en jauger et juger de sa justesse.

    Tout savoir n'a d'utilité que de par sa pratique et de son usage.

    Tout conseil et toute idée ne sont que des pistes de réflexions.

    Celui qui oublie la profondeur de l'esprit ne sera plus que sa marionnette, quand bien même en certifie-t-il le contraire.

    Le chemin véritable de la liberté est de comprendre ses propres contraintes, la solitude en étant une.

    En tant qu'être grégaire, nous ne saurions vivre sans contrainte au risque, sinon, de disparaître d'une mort sociale, psychique ou physique.

    Une religion peut être, comme toute institution, pervertie, faut-il être naïf de croire le contraire.

    Une philosophie n'ayant pas de substrat pragmatique ne peut qu'être que sans grand intérêt.

    Il est de la plus extrême importance de ne pas confondre croire et savoir, mais croire savoir est bien pire.

    Ce n'est pas d'affirmer son doute qui importe vraiment mais de mettre celui-ci au centre de ses réflexions tant qu'elles ne sont pas corroborées par des faits tangibles observés dans le temps.P1030012.JPG

    Il n'est de vérité que toute personnelle.

    La sagesse c'est de savoir qu'elle n'est toujours que toute relative.

    L'existence des biais cognitifs, tout comme de la folie, est la manifestation sensible de la jeunesse évolutive d'Homo Sapiens Sapiens.

    Ce qui est caché ou invisible est perdu.

    L'Europe et l'Amérique-du-Sud ont ceci en commun que leur domination impériale par les États-Unis-d'Amérique a stoppé leur évolution, ce qui ne reprendra que quand ce dernier aura disparu.

    Il ne peut y avoir de pensée politique concrète si l'histoire et la géographie ne sont pas comprises dans leur essence.

    L'on confond souvent liberté, indépendance et autonomie:

    -la première  est de comprendre ses propres contraintes (nous l'avons vu);

    -la seconde est de penser et d'agir de et par soi-même;

    -la troisième est la résultante d'être pleinement adulte.

    P1030464.JPGCe sont, dans l'esprit, les mêmes que dans les années 30, de par leur aveuglement, leur lâcheté et leur dogme, qui laissèrent à Hitler le libre champ de ses exactions, que de ceux qui, aujourd'hui, gouvernent l'Union-européenne et de tous ceux qui les suivent et leur obéissent.

    Il y a un aspect suicidaire chez tous ceux qui soutiennent l'Union-Européenne, quelles qu'en soient les raisons, quelle que soit leur classe sociale, quelle que soit leur citoyenneté.

    Être déterminé veut autant dire de connaître et reconnaître son identité que d'avoir la volonté dans l'action et la pensée, l'un ne pouvant aller sans l'autre.

    Le choix existe, il est rare et bref, mais est pleinement déterminant dans notre existence.

    Le futur est incertain et parfois potentiel.

    Le cryptage sur internet nous permettrait, nous est-il dit, de protéger toutes les informations sur notre identité, mais de tous les temps toutes serrures surent être forcées.

    Pourquoi donc vouloir faire des vols à main armée quand il ne suffit que d'apprendre  la programmation informatique pour voler de l'argent en prenant beaucoup moins de risque?

    Un végan c'est un âne qui mange du foin.P1030150.JPG

    Ceux qui disent vouloir sauver la planète se devrait, d'abord, de songer à sauver leur intelligence.

    En 1990 le GIEC annonçait que tous les glaciers auraient fondu à l'orée du XXI° siècle, j'attends toujours, c'est étonnant comme les simples d'esprit ont peu de mémoire.

    Il est criminel d'instruire les enfants de faussetés quand cela est fait d'une manière délibérée.

    Un oligarque de tous temps est un imbécile et un voleur, que l'on croit brillant, détruisant la société qu'il asservit pour s'enrichir et qui pense que son pouvoir durera éternellement, rêve pour quelques-uns, cauchemar pour les autres, puis avanies pour tous.

    Il y en a qui déclarent que l'Être Humain est le cancer de la vie sur Terre, pourquoi donc ne se suicideraient-ils pas, cela ne manquerait-il pas de logique?

    Le journalisme est dit le 4ème pouvoir, oui, pour une infime minorité des gazetiers.

    Pourrait-on m'expliquer la différence entre les musiques des peuples chasseurs-cueilleurs et le rap?

    La qualité des programmes télévisuels est inversement proportionnel au nombre de chaînes proposées.

    P1030431.JPGComment les gilettistes peuvent-ils croire au réchauffement climatique anthropogénique dont la propagande essentielle provient des mêmes médiats qui n'ont de cesse que de propager des mensonges sur leur compte?

    La concomitance est d'importance pour comprendre les dynamiques sociales, politiques et historiques du moment, mais il faut bien faire attention de ne pas confondre avec ce qui n'est dû qu'au seul hasard.

    La majorité de la population angoisse à ce que l'empire US disparaisse, non pas pour ce qu'il est mais pour ce qu'il représente, non pas la paix, la richesse ni la puissance, mais le libre cour à l'infantile rêverie du paradis terrestre, quand bien même tournerait-il au cauchemar.

    La vengeance est un plat qui se mange froid de bien mauvais goût.

    Hier on pouvait vendre sa salade pour une poignée de cerise, aujourd'hui c'est hors de prix, c'est ça l'inflation.

    Pour toutes choses les débuts sont simples mais on ne les comprend pas vraiment, ensuite elles se développent et on les comprend de mieux en mieux, puis elles périclitent et on ne les comprend plus, ce n'est que quand elles disparaissent que l'on peut en saisir la substance.

    P1030325.JPG

     

    THEURIC

     

  • L'Allemagne fomenterait-elle une guerre civile en France?

    Voilà une question que nous nous devrions tous nous poser et que, quoi qu'il en soit, je soumets à vos réflexions, chers amis lecteurs.

    A mon sens et hormis le gouvernement français et les journalistes officiels composés de personnalités naïves sans grande aucune envergure, n'ayant juste que de but d'obéir à Frau Merkel, le petit  Hitler en jupon, et de profiter des ors de la république, tous les gouvernements qui comptent à l'échelle mondiale le savent et aucun ne le veut.

    D'ailleurs ce sont ces laudateurs de la Germanie qui, si une guerre civile éclate en France, auront le plus à y perdre, ad minima de leur fortune, de leur pouvoir et position sociale ils les perdront quoi qu'il en soit, mais ils peuvent aussi en perdre la vie et mettre leurs proches en grand danger de mort.

    Je n'ai pas écrit que tous ces états le devinent mais qu'ils le savent, tout simplement parce que l'idéologie néolibérale, ordolibérale pour les allemands ce qui est la même chose, vendre ou se vendre c'est du pareil au même, et chacun dans le gouvernement germanique, tout comme dans celui français, doit, contre monnaie sonnante et trébuchante, tout raconter à des agents provenant de tous les pays qui peuvent se les acheter.

    Mais quel serait-ce l'élément qui m'en aurait alerté?P1010799.JPG

    Ce sont les réactions des deux derniers intervenants lors d'une conférence qui réunissait R. Détente, économiste, vidéophile de Grand Angle, O. Delamarche & P. Béchade, économistes membres des éconoclastes, F. Boulo, avocat des gilettistes, P. Pascot, ancien élu et entrepreneur artistique, plus une dame dont j'ignore tout et dont je ne trouve pas la vidéo de son intervention, sûrement la présentatrice de cette réunion.

    Mr. Boulo, nom prédestiné, expliquait lors de son intervention, que ceux qui nous dirigent sont des imbéciles, le principal étant de vous organiser, ce qui est d'une logique incontournable.

    Le dernier, lui, Mr. Pascot, que j'ai toujours pris pour un guignolo avec son chapeau à la maffioso et son écharpe blanche pour se donner l'air artiste, duquel je n'ai jamais eu confiance, disait, en haranguant  la foule: "Il faut que vous alliez à un million de gilettistes dans Paris une fois par mois sinon c'est foutu pour nous (nous?)!", ce qui, vous en conviendrez, est impossible, et pourquoi ce nous(?).

    Et pourquoi agiter ainsi les émotions populaires quand tous les autres participants font œuvre de pédagogie en faisant appel à l'intelligence des français?

    Vous remarquerez qu'à un moment donné, assez rapidement, Mr. Boulo partit et qu'en même temps les économistes le regardait intrigués, voire ébahi quand   Mr. Pascot parlait, ayant l'air de se demander qui était ce gugusse.

    Sur le moment je n'y avais pas porté d'attention, ensuite je me suis dit que Mr. Boulo avait raison de quitter ainsi l'assemblée, P1010824.JPGce Pascot n'est pas clair, lui qui passe si souvent dans les médiats, ce qui est mauvais signe,  aucun des autres intervenant n'y étant plus invité, il agirait sûrement comme un provocateur, je le soupçonne de ne pas être tel qu'il se dit (serait-il agent double?).

    Je suis allé voir ce qu'il s'en disait sur Wikipédia, et il y est fort élogieusement traité, oh, oh, là encore, ça ne sent pas bon.

    Dès lors je me suis demandé ce qui était  recherché ainsi et je crois avoir trouvé: Une guerre civile en France, vous savez, cette mésaventure  dont le bruit court sur les réseaux sociaux et venant d'on ne sait où, fleurant bon la manipulation européiste mais en réalité germanique, et lui serait là pour enflammer les foules, pour mettre la zizanie, pour foutre sa merde.

    Oui mais, qui, quel pays y aurait intérêt et aurait un gouvernement composé de personnes assez abruties pour en concevoir le plan?

    Je n'en ai trouvé qu'un et un seul, l'Allemagne.

    Çà fait plus d'un millénaire que la Germanie hait et jalouse la France, pour eux nous sommes toujours le royaume franc, Frankreich comme ils nous appellent, quand eux ne furent que le Saint-Empire-Romain-Germanique.

    Ça Fait plus de mille ans que ce pays a tout fait pour nous envahir, pour recomposerP1020071.JPG l'empire carolingien.

    Il est vrai, ce n'est pas un processus vraiment conscient mais plus du  domaine de la pulsion, de l'antédiluvien réflexe de rejouer le barbare germanique des grandes invasions de la fin de l'ère romaine, et, de façon cyclique, que le dirigeant d'alors veuille rebâtir l'empire de Charlemagne.

    A quel pays songea Otto Von Bismarck pour lui faire la guerre en 1870 afin d'achever d'agréger l'Allemagne nouvelle?

    A la France, ce fut même au  château de Versailles que l'Allemagne, Deutschland, fut défini comme tel.

    Quel est le pays qui paya le plus lourd tribut et qui eut le plus de destruction dans la guerre de 14/18?

    La France encore une fois.

    Quel pays militairement important Hitler voulait envahir en premier lors de la seconde guerre mondiale?

    Toujours la France.

    Cet automatisme germanique, cette étrange marotte lorsque surgit un stress social P1020147.JPGimportant, la mène aujourd'hui à cette tentative absurde puisque si la France se retrouve déstabilisé c'est l'Union-Européenne qui s'effondre et l'Allemagne ne peut plus survivre sans cette union, c'est la raison qui fait que je dis que son gouvernement est bourré d'abrutis.

    Et c'est pourquoi il y eut la signature du traité d'Aix-La-Chapelle dans cette ville même, qui était la capitale de Charlemagne., traité qui a de but à ce que le même pays récupère la force nucléaire et le siège permanent de l'O.N.U. de la France avant que notre nation entre en lutte fratricide à l'instigation de ce voisin tellement encombrant et dangereux.

    C'est pourquoi aussi les gilettistes furent si bien accueillis dans les médiats au début du mouvement et qu'ensuite il y eut une quasi opération militaire à leur encontre, et non pas de police de simple maintien de l'ordre, nos oligarques et gouvernement en avaient reçu l'ordre formel de mamie Merkel, j'en suis convaincu.

    Mr. Pascot et d'autres   sbires germaniques doivent foutre le bordel en France en raison de hybris germanique, ce n'est qu'en cette seule raison là: la déraison teutonne!

    Que je sois traité de complotiste, ma foi, cela m'en remuerait l'une sans faire bouger l'autre, comme l'aurait dit ce paillard de Jacques Chirac qui aimait tant les gauloiseries.

    Certes, je ne pose là qu'une hypothèse, mais il serait à mon sens vital de prendre celle-ci en considération, parce que quoi qu'il en soit, il y a tout de même des signesP1020243.JPG assez  fort pour prendre cela au sérieux.

     

     

    THEURIC

    P.S.: Écoutons bien ce que dit Madame Le Pen et les autres en son genre, nous pourrions avoir de grosses surprises, eux aussi pourraient fort bien adorer le Grossdeutschland et un quatrième reich ne serait pas pour leur déplaisir, du moment qu'ils paient bien.

  • Pause prudentielle et son substrat

    Je suis surpris de lire, dans mon ouvrage traitant des hyménoptères (à l'époque de son achat puis de sa lecture je n'avais pas l'esprit bien en place), qu'existent des bourdons parasites et celui-ci, qui me semble être Psithyrus (encore les russes) Rupestris me paraît en être, colonisant les nid des bourdons des pierres qui en viendront à nourrir leurs larves.

    Je suis content de cette photo où l'animal fut pris en plein vol, juste en dessous de cette belle inflorescence bicolore.

     

    Pause prudentielle:

     

    Divers éléments me suggèrent que je me dois d'être prudent dans mon expression ici même et que je me devrais ensuite, pour un temps que je ne saurais définir, cesser toute écriture.

     

    Je vous proposerais la lecture de cette réflexion des interarmées françaises, restant elle aussi prudente.

     

    Ce que je puis rajouter à ce court message tient en quelques formules que j'ai, pour certaines d'entre-elles, mainte fois répété:

     

    - Tout système politique triplement verrouillé, telle l'Union-Européenne, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, ne peut évoluer et, dès lors, ne peut que s'acheminer vers son démembrement dès que la nécessité de le réformer, quelles qu'en soient les raisons, s'y fait montre, ce que nous conte les tribulations de l'URSS de la nomination de Monsieur Gorbatchev jusqu'en 1991.

     

    - les dernières élections US démontrent que deux forces impériales, aux frontières floutées, s'y confrontent: l'état-profond d'essence politique (le trumpisme) contre l'oligarchie ploutocratique, dont les GAFAM (le bidenisme), d'essence économique monétariste, les fraudes électives qui y ont eu lieu de la part du second ne pouvant qu'y avoir fait perdre autant de sa crédibilité que de son sentiment de toute puissance, tant politique, monétaire que militaire.

     

    Aux vues de ces insanes malversations, l'état-profond n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie US pour tenter de rétablir, ne serait-ce qu'un peu, de sa légitimité impériale et de son crédit politique à l'international, ce pays n'en en ayant plus aucune économiquement.

     

    Quand bien même une guerre civile ne s'y produirait pas, celui-ci deviendra bientôt ingouvernable, si ce n'est pas déjà le cas.

     

    - Valeur d'une monnaie : la valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse industrielle, minière, agricole et marchande, présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.

     

    Ce qui ne veut qu'expliciter que plus une monnaie est surproduite pour une richesse donnée d'un pays, plus elle perd de sa valeur intrinsèque, ce qui se nomme de l'inflation.

     

    Il ne s'agit plus aujourd'hui d'un risque systémique bancaire, boursier ou d'endettement et de non remboursement (des particuliers, des industries, des acteurs spéculatifs, des banques, des états...) pesant sur les économies mondiales, comme il se le fait dire, mais plus sûrement de celui d'un arrêt, pour une période non déterminé, de la valorisation des monnaies les unes par rapport aux autres, donc, suivant, celui de tous les échanges marchands internationaux.

     

    - Depuis 2008 au moins, voire en 1999, a commencé une désindustrialisation mondiale (le nombre de gens pouvant acheter se réduisant) conduisant à une déflation, soit la perte de valeur des marchandises (baisse des coûts de production et donc des salaires plus mises au chômage, pour pouvoir les vendre), quelles qu'elles soient, compensée par l'inflation sus-montrée, elle aussi d'échelle internationale.

     

    Ce double phénomène s'accélérant continuellement, accélération accrue lors de la survenue du SRAS-COV2, c'est pourquoi nous fonçons vers une banqueroute  généralisée.

     

    - Le " Grand Reset" ne peut que nous démontrer l'inanité peine et entière de l'oligarchie ploutocratique mondialiste, surtout étasunienne, puisque l'industrie, les mines et l'agriculture, contrairement à la monnaie, étant la réalité économique des pays, ce qui n'est pas pris en compte par ces olibrius transatlantiques la composant, celle européenne ne comprenant pas qu'elle se fait spolier par elle.

     

    - De mes aphorismes: Lors d'une crise économique quand l'homme politique ou le journaliste incompétent en parle peu c'est que la situation n'est pas trop grave, quand il dit que la crise est derrière nous c'est que la situation est grave, quand il n'en fait pas mention c'est que la situation est très grave, mais si l'homme politique confirme l'existence de la crise c'est que la situation est désespérée.

     

    Je vous ai proposé-là un certain nombre de mes bases réflexives, vous en trouverez d'autres tout au long de mes billets, éparpillées tel un puzzle.

     

    Je ne peux connaître le choix de chacun, souvenez-vous, du-moins, que prendre un risque inutile est imbécile.

     

    Cela ne veut pas dire qu'il ne faudrait pas agir mais que toute action et son but se doivent d'être au mieux pensés et conçus en amont, individuellement et collectivement (je sais ce qui me manque...).

     

    Soyez et restez conscient de la nature des passions et des pulsions qui vous animent, que vos résolutions soient comprises dans leur nature.

     

    Ceci pour n'être pas les pions de puissances et de ces passions, quelles qu'elles puissent être, mais surtout de celles collectives, soyons des acteurs conscients de leurs actions et de leurs raisons d'être.

     

    Nous sommes devenus, si je puis le dire ainsi, les sujets, à l'insu de notre plein gré, d'un moment historique majeur pour notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, il nous faut en être conscients.

     

    Quelle que puisse en être ses freins actuels, notre développement anthropologique et notre réel allant vers le véritable progrès se fera quoi qu'il en soit, en une bifurcation sociétale de première importance.

     

    La vie n'est en rien un long fleuve tranquille, qu'il s'agisse de notre existence individuelle, de celle du groupe formé de nos proche, de notre pays, comme pour tout le genre humain: les tribulations nous suivent tout au long de notre existence.

     

    Ne soyons dupe de rien ni de personne, et surtout, non pas de soi-même, ce qui veut dire que, comme l'affirmais Socrate: "Connais-toi toi-même et tu connaîtra l'univers et les Dieux", j'y rajouterais en notre époque moderne, dans leur nature réelle.

     

    Nous avons tous nos bons et mauvais cotés, nos forces et nos faiblesses, il en est pour qui la balance se porte plus d'un coté que de l'autre...

     

    Soyez prudent et déterminés en votre nature...

     

     

     

     

    THEURIC

     

    PS.: Quand je reprendrai ici l'écriture, cela voudra sûrement dire que cette bifurcation anthropologique sera en ses tous débuts.

  • Mutation d'élégance.

                    Sans hiver

                  Le printemps

    Ne serait que pauvre mirage

     

     

    L'hiver

     

    Bien que n'ayant que mauvaise réputation,

    L'hiver aussi, à l'instar des autres saisons,

    Offre ses plaisirs en ses justes raisons

    Que je vous propose à vos appréciations :

     

    Marcher dessous la neige lorsqu'elle tombe

    En ce si gracieux et cotonneux silence,

    Qu'aussi lourde sa chute, n'est point de trombe,

    La nuée des flocons se fait d'élégance :

    Virevoltantes infinies d'infimes colombes,

    Craque sous mes pas d'un sol cessant leur danse.

     

    Son froid, autant, s'il n'en vient pas d'exagérer,

    Peut être volupté en vêtures chaudes,

    Dehors, quand chacun traîne et baguenaude,

    Puis, en un chez soi chauffé, s'y revigorer.

                                   ---------------------------------

     

     

        Les ères se suivent

                Pas-à-pas

    Mais ne se ressemblent

     

     

    L'électrochoc

     

    D'aujourd'hui à demain le monde va muter,

    Et quand les convictions viennent s'y fracasser

    Il n'y a pas de besoin de s'en agacer,

    D'angoisser, de le nier et de s'y buter :

     

    De tout temps le présent se fera futur,

    Les lendemains deviendront aussi différents

    Que les passés à l'actuel, par nature.

     

    Lors, lorsque l'incongruité se fait référent,

    l'idée absurde, obtuse : conjoncture,

    Le réel importun et le vrai aberrant,

     

    Il faut prévoir quand revient la réalité,

    Se conjuguant d'avec novations, réformes,

    Découvertes, trouvailles en toutes formes,

    Ce soit l'électrochoc en mentale santé.

                                           -------------------------------------------

     

     

    D'été, de printemps, d'hiver

                   D'automne

        Les femmes sont belles

               Et nous aiment

     

     

    Flagrance d'élégance

     

    Flagrance d'élégance de toutes femmes,

    Même les plus laides cache de leur charme,

    Parfois de peur que les hommes se pâment

    De beautés cachées voilant bien des larmes.

     

    Des éclats juvéniles font, d'âge doublé,

    Grâce et distinction, belle plénitude.

    Chacune en sa saison ne peut que troubler

    L'homme galant, courtois, marque de quiétude.

     

    Souriez, mesdames, nous vous aimons toutes,

    Comme vous, vous aimez de nos charmes virils,

    Parfois discrets, ou patents, présents sans doute,

    Sauf ceux, celles voyant en l'autre sexe péril.

     

    Nous sommes, mâles et femelles, auxiliaires,

    Différents en tout, sauf en intelligence,

    Ceux qui le nient, nièrent, d'un trait rayèrent

    Ce qui fit, d'humanité, notre évidence.

                                               -----------------------------------------

     

     

           Il est d'un temps

               où la bêtise

    Se gargarise de sa laideur

     

     

    Où s'est-elle mise là, Mila ?

     

    Toujours, quand idéologies et religions

    Se retrouvent, le temps passant, faibles, fragiles,

    Par l'amour des plaisirs puérils et du pognon,

    La violence sotte leur devient l'asile.

     

    Devenu puritain en mot et en acte

    Parce que leur croyance n'est plus d'époque,

    Mais aussi de trahir le vrai et l'exact

    De l'ensemble de que cette Foi évoque.

     

    C'est cette double mentalité mentale,

    Entre annonce morale et trahison ,

    Qui fait la fureur quasi viscérale

    Provenant de cette duale déraison :

     

    Si ce credo était servi fidèlement

    Nul besoin de vouloir briser les critiques :

    Le doute ne générerait de blessure

    Puisque pour le croyant n'est pas véridique.

     

    Quand craintes d'incertitudes, d'hésitations

    Se fait jour au cœur de bien des fidèles,

    Une sotte et si terrible exaltation

    Les mène à un feux comme seul modèle :

     

    La frénésie des mots comme des exactions

    En devient d'évidence pour ces âmes troublées

    De se refuser de ce devoir de question,

    Oubliant d'évoluer en œillères affublées.

     

    Mais de ce refus, il est là, toujours présent,

    Agissant dans l'ombre de toutes les pensées,

    Sans que ces personnes, aux dégoûts foisonnants,

    Ne sachent même ce qui peut les y pousser.

     

    Provoquant tous ces heurs, toutes malfaisances,

    Confondant sans fondement dogme et idée :

    Credo devenu termes d'insuffisance

    En un chaos fouillis aux vues invalidées.

     

    Du politique à la spiritualité,

    Quand l'idolâtrie remplace la ferveur,

    Les paroles posées se font d'ambiguïtés

    Menant l'une et l'autre aux défaveurs.

     

    Ce jeu trouble d'une gauche pseudo-gauche,

    D'une droite étant aussi pseudo-droite,

    D'un islamisme en violente débauche

    Et d'intellectuels d'idioties benoîtes

     

    Conduit une ado, exprimant ce qu'elle pense,

    A saper plus tous ces socle non solide,

    Aujourd'hui devenus réellement sans sens,

    Trompés par des porteurs rendus sordides.

                                                 ---------------------------------------

     

     

             C'est l'art qui

    Plus que toute autre chose

        Forge notre humanité

     

     

    L’œuvre d'art

     

    L’œuvre d'art est et sera de toujours

    Infiniment plus que de son créateur

  • florilège 2

    Quand on pâlit, pallie-t-on? Et inversement...!

     

    Pourquoi les ballons de football sont-ils remplis d'air puisque se jouant hors de l'eau, quand ceux du water-polo n'en sont pas rempli, justement, d'eau?

     

    Quand on parle de date, s'agit-il du fruit ou d'une époque? Il faudrait savoir!

     

    Quand je sort des toilettes, je ne peux m'empêcher de méditer longuement sur la légèreté de l'être (  il est, par ailleurs, pour moi temps de la méditation  ).

     

    Comprendre permet de mettre en perspective ce qui fut appris et, donc, de faire de même que les anciens, c'est-à-dire d'en considérer les limitations à l'aune de ses propres exigences intellectuelles et, dès lors, de faire des liaisons logiques entre nos différents connaissances, voire à même à en considérer les restrictions, quelque-en-soit leurs étendues, pour en développer ses congruences.

     

    Parait-il que chez certaines femmes la pipe fait un tabac!

     

    Un cumulonimbus serait-il un grand nombre de voyageurs imaginaires dans un véhicule de transport en commun?

     

    Un cumulus concernerait-il une maladie du postérieur?

     

    Avec des SI on mettrait Paris en bouteille, oui, mais le quart à font.

     

    Petit dessert aux fruits:

     

    Voici un petit dessert que les enfants peuvent faire:

    Prendre, suivant le nombre de convive, un ou plusieurs fruits au choix (j'adore avec de la framboise), les découper en morceaux,  des fruits secs, noix, amandes, noisettes et/ou autres, du yaourts et/ou du fromage blanc, un poil peu de crème fraîche, du miel, des morceaux, non pas trop petits, de chocolat (poil à mes sourcils), de la vanille ou de la cannelle, mélangez le tout, un petit biscuit ou plusieurs (oh les gourmands) et régalez-vous (c'est un ordre, ah mais!) !

     

    Comploter, ma foi, offrir du plaisir aux dames ne peut que m'être d'une exquise jouissance.

     

    Une bonne poire se coupe-t-elle en deux pour les autres?

     

    Il faut toujours faire attention au linge qui sèche (le cancre) car le séchoir sait choir.

     

    Si l'on veut ouvrir une porte, le mieux consiste à faire attention de ce que celle-ci soit avant-tout fermée.

     

    Un car serait-il  les deux huitième d'un  bus?

     

    " le réflexe de réitération" individuelle et/ou collective (ou fuite en avant) (c'est une réflexion collective) : dans une situation de panique et/ou d'angoisse, réitération non adaptative lors de l'évolution du milieu d'existence, dans l'action ou dans la manière d'une pratique de vie et/ou de ce qui fut appris.

     

    Arrive-t-il que le choix choit?

     

    C'est étrange, d'un triangle-rectangle l'on parle du carré, certes de l’hypoténuse.

     

    Dire que j'ai gardé les deux chattes de ma copine, il existe des particularités anatomique qui m'étonne.

     

    Une femme canon est-elle un boulet?

     

    C'est l'histoire d'un monsieur se nommant Briolet qui, ayant une voiture décapotable, est en cela un cas, sans être sud-américain, cela va de soi.

     

    Ceux qui aiment les petits-suisses sont-ils pédophiles?

     

    Compote pomme orange facile à faire:

     

    Éplucher et découper en petits morceaux le nombre de pomme suivant la quantité de compote que l'on veut faire.

    Recouvrir très largement de jus d'orange pressée, voire de clémentine, de mandarine ou de mélange (je laisse le soin à tous, amis lecteurs, de se la concocter suivant le goût de chacun).

    J'y rajoute un petit soupçon de poivre, ainsi que de la cannelle, du gingembre et de la muscade moulues.

    Le tout en casserole à feux le plus doux possible sans couvrir jusqu'à ce que les pommes soient bien cuites et le jus bien épaissi.

    Il est possible de la mettre en pot mais je préfère, même si lesdits pots sont fermés hermétiquement, les conserver au frais.

     

    Un général français de la seconde guerre mondiale s'appelait Monsieur Leclerc de Haute-Clocque, il dut être bienheureux d'avoir une famille fortement nombreuse, n'est-ce pas?

     

    Je marche vers le futur, ébloui par sa promesse d'aventure.

     

    Quand l'on dit: "Je vais faire des courses!" il est à remarquer que ce n'est que très rarement à marche forcée.

     

    Boire du lait, est-ce beau?

     

    A ne pas confondre: jus de fruit et j'eu deux fruits...

     

    (Offert gracieusement) Qu'y a-t-il de plus amusant qu'un drôle drôle?

     

    J'aime les saints sains seins des femmes!

     

    Freud disait que  tous les enfants sont des pervers polymorphes, j'y rajouterais qu'au-delà de la petite enfance cela ne peut qu'être que s'ils ont reçu une mauvaise éducation.

     

    Moi, à chaque fois que l'on me dit blanc, je me remarque plutôt être de la couleur d'un rhino, c'est rose, sans être rosse, assurément.

     

    L'on dit que les filles naissent dans les roses et les garçons dans les choux, cela voudrait-il dire qu'à Bruxelles il n'y a que des familles nombreuses de garçons, sauf près des jardins d'agrément, bien sûr.

     

    Enfin, voulez-vous que je vous dise ce que sera la suite?

     

     

    THEURIC

     

    PS: Non, je ne la connais pas.

     

  • Florilège 7

    Pour les géomètres:

    J'ai l'impression d'exprimer dans mes petites blagues l'endroit de l'envers dans tous leurs sens et réciproquement de l'inverse du contraire en antithèse opposé de son dissymétrique...

     

    Pour les bateliers:

    De ne pas comprendre, il faut faire gaffe quand on rame.

     

    Pour les bipolaires:

    Il y a des bicéphales et des bijoutiers.

     

    Pour les catholiques médiévistes:

    Une nef est un anciens navire à voile se trouvant au fond d'une église.

     

    Pour les déistes:

    Quel est le dieu le plus mou?

    Dionysos, mais en cela un rien ne peut être que vin!

     

    Pour les argentins:

    Avez-vous remarqué avec quelle gourmandise les britannique (enfin messieurs, ils font, comme nous tous, ce qu'ils peuvent) disent le mot splendide?

     

    Pour les sud-américains:

    L'argent tint quand de l'art ou du lard j'en teins (bon, ben, bof )!

     

    La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité.

     

    Pour les mammouths:

    Si l'éléphant fait erreur c'est qu'il se trompe (à remarquer qu'en quoi que se fasse en cette défense, quand on se trompe ça prend ce cher Eustache d'à coup faines (bon, je me souviens du pourquoi faines)).

     

    Pour les amateurs de fruit à pépin (mais là je ne souviens plus du pourquoi le pépin):

    La défense d'un avocat parfois aussi se trompe!

     

    Pour les vacanciers:

    J'aime les temps ensoleillés, surtout la nuit!

     

    Pour les amateurs du S:

    Je sens Sens dans tous les sens à sensation censément sensés et concentré, me le dis-je résolu en me le susurrant d'une manière réitérée mais avec la pressée résolution resplendissante de sensibilité, mes sens aux aguets de la beauté de cette précieuse ville (ah la sinuosité du S et non pas d'US).

     

    Pour les amateurs de bonne cuisine:

    Pour un rendez-vous galant, si vous avez mangé de l'ail avant, un conseil, faites lui-en manger aussi (il est dommage que ce type de bonbon n'existe pas, le goût de l'ail sucré doit-être d'une admirable panacée beurck !).

     

    Pour les services de renseignement:

    Serait-ce les RG qui auraient créé Tintin et Milou?

     

    Pour les pires aux mannes:

    Où trouve-t-on les pompiers ayant une meilleurs vue?

    A Bonneuil.

     

    Pour les cavaliers:

    Quand ça craint je monte sur mes grands chevaux ( aux plus jeunes, ceux-ci sont deux expressions accolées qui ne font rirent personne  ).

     

    La différence entre les Homo Sapiens Sapiens blancs, noirs et jaunes?

    La mélanine!

     

    Pour les amoureux des spirales:

    Avez-vous déjà vu des escargots se faire la guerre?

    Ben non, ils ont signé la paix des baves.

     

    Pour les italiens:

    La RAI suit son train-train quotidien ( quatrième blague pitoyable mais, ne vous en faites pas, je vais tenter de faire pire en un petit chemin de faire ).

     

    Pour les alpinistes:

    L'on dit le Népal, mais à l'évidence ses habitants ont l’appendice nasal plutôt foncé, toutefois ils se disent tous nés pas laids (et non pas lait).

     

    Pour les râleurs saisonniers:

    Pendant l'été, sous la chaleur, nous nous disons: "Vivement l'hiver qu'il fasse froid!" Puis.......................................... les frimas venus.....

     

    Pour les zoologues:

    Combien faut-il de bois à Renne (re-bof et locomotive, comme quoi les locaux motivent et mènent à tout...)?

     

    Pour les gourmands:

    Ce que j'adore: Manger des amandes dénoyautés sans excès de vitesse.

     

    Pour les neuropsychiatres:

    Quand on est en effroi, quelle est la température de notre appendice nasale (que disais-je).

     

    En  hommage de Gotlib:

    L’hypertrophie de lapereau se tâte.

     

    Pour ceux qui aiment les trucs débiles et bien écœurants:

    Il faut savoir voir le mou choir du nez quand l'éternuement surprend lorsqu'il n'y a nul mouchoir à soi (beurck et bœuf!)!

     

    Pour je ne sais pas qui:

    Orage, ô désespoir, ô quand la pluie me tombe dessus, ô merde alors!

     

    Pour les paléoanthropologues:

    Homo Sapiens Heidelbergensis: nos lointains ancêtres auraient-ils pu se choisir un nom un petit peu plus facile à prononcer, n'est-ce pas?

     

    Pour le pain portant sa boulangère:

    Il faudrait faire du pain en conserve.

     

    Pour les logiciens:

    Quand le plus devient le moins et le moins le plus, alors cela au moins détermine que, tout au plus, ce fait se fait au moins bien qu'au plus mais, tout du moins, ceci au plus, lorsque de ce plus se fait en un moins, alors, à ce plus s'y rajoute du moins et, ceci, plus ou moins, du-moins à de ce que plus il ne s'en fallait d'au-moins qu'une pour que s'en rajoute un petit peu plus à ce moins (enfin, bref, j'espère que pour vous tous, tout ceci est bien clair, vous m'expliquerez çà plus tard, tout du moins pour que chacun d'entre-vous tous vous le fassiez tout au plus au minimum au moins...).

     

    C'est beau la philosophie.

     

    Avis aux boxeurs:

    Si vous ne voulez pas prendre de coup, ceci est compréhensible puisque ça fait mal, alors, un bon conseil, sortez du ring (gag lamentable mais je ferais pire un jour, vous verrez......).

     

    Pour nous, les hommes (aidé grâcieusement):

    Par certains moments de vie, les toilettes nous semblent bien étroits (16).

     

    Pour les lorrains:

    Le loir et la Loire: ils devraient se marier ces deux là!

     

    Pour nulle personne (soyons généreux):

    Io est représentée par une vache, dès-lors pourquoi ne le serait-elle pas par un poisson, rouge par exemple: l'ide.

     

    Pour les climatologues horlogers:

    La joie ineffable, transcendante et profonde de comprendre la nue âge du nuage...(que disais-je)!

     

    Pour les nutritionnistes:

    Agresser: serait-ce pour retirer un trop plein adipeux (pire encore)?

     

    Pour les métronomes:

    Avant de s'y mettre il se devrait de bien mesurer la chose!

     

    Pour les policiers:

    Combien utilisent-ils de cire épilatoire?

     

    Pour les dames pipi:

    Aux toilettes il y a quatre écoles:

    -Ceux qui se lavent les mains avant;

    -Ceux qui se lavent les mains après;

    -Ceux qui se lavent les mains avant et après;

    -Et puis les autres... .

     

    Pour les mathématiciens:

    Quel est le plus petit nombre?

    Le 16!

     

    Pour les oiseaux:

    A ne pas confondre: 2 nids et Albert!

     

    13 et 3

     

    Pour les physiciens:

  • Hypothèse des prix faisant des hauts et des bas.

    Avant-propos:

     

    Bien que je ne sois plus emprunt de cette bouffée délirante qui m'avait perturbé quelque peu, j'en ai été pour le moins fatigué, d'où mon peu d'écrit jusqu'ici.

     

    Mais m'est revenu, ce soir même, l'étonnement de ce que, en une semaine et pour des courses similaire, le prix d'iceux s'étaient révélés du simple au triple.

     

    Je vous propose, donc, dans ce rapide billet (j'ai une faim de lououououp), une hypothèse des raisons qui font que ce fait ne peut que paraître étrange à tout-un-chacun.

     

    En voici l'hypothèse:

     

    Comme il ne peut qu'en être logique de le penser, quand  bien même parlerions-nous d'oligarchie monétariste en général (de brigade), il ne peut qu'en exister des plus riches et des plus pauvres.

     

    Leurs fortunes devant s'établir entre les dizaines de millions et les centaines de milliards.

     

    Or, aux vus des difficultés des oligarques en raison de cette crise économique que je ne ai eu que de cesse de vous avertir par le passé et qui pourrait être entrain actuellement, amis lecteurs, il est probable (n'ayant pas eu la force d'aller véritablement voir ce qu'il s'en dit sur Businessbourse) que les plus gros desdits oligarques auraient décidé de ponctionner les richesses des plus petits.

     

    Cela se passerait au niveau des bourses où, à la suite de leur monté vertigineuse, s'amorcerait une baisse plus ou moins rapide.

     

    Ceci serait décidée par les gros richissimes au détriment des plus petits, par la revente de leurs actions qu'ils auraient fait ainsi gonflé d'une manière démesurés et, ce, de multiples fois (il est à craindre, en ce cas, que de ces montés et baisses des prix à la consommation se répéteraient de nombreuses fois, ce qui me prouverait que mon hypothèse serait juste).

     

    (Les baisses boursières importantes conduiraient les spéculateurs à se reporter sur les produits de bouche, de premières nécessités et sur les matières premières (ce qui ralentit, part ailleurs, l'industrie internationale), d'où, si cela est juste, la monté si rapide des prix à la consommation)

     

    Mais, dès lors, un problème se poserait provenant de deux lois votées en France, ceci à la suite d'une injonction de l'Union-Européenne:

     

    La première permettant aux banques de l'union ayant des difficultés de trésorerie de prendre l'argent placé dans les comptes épargnes quand ceux-ci dépassent les 100 000 euro mais, plus encore, pour la seconde, de prendre toutes les épargnes des particuliers (poils aux nez)

     

    Cette après-midi, en allant faire mes courses, j'ai rencontré et discuté avec une dame (aux belles élégances) disant travailler au Crédit-Agricole-du Sénonais (sur internet c'est celui de Champagne-Bourgogne, poils à ma trogne) et qui m'expliquait sa fierté d'y travailler puisque celle-ci ne fait pas de spéculation mais, tout au contraire, investit, à l'ancienne, dans l'industrie, l'agriculture et les mines (j'y suis, j'y reste).

     

    Comme ce sont les affaires spéculatives qui, des sociétés ad oc ainsi que des banques, poseraient ainsi problèmes, cette dame m'a donc conseillé de placer mess économies dans ladite banque du Crédit-Agricole-du -Sénonais, voire même, ne sachant comment tout cela pourrait se dérouler, me dit-elle, d'y mettre également mon compte chèque.

     

    Ce que j'avais fait quand je m'étais installé à Sens il y a une dizaine d'année, par simple souci de proximité, lui avais-je répondu.

     

    Cette charmante dame m'expliquant que son patron aurait mis en place, pour les gents vivant loin de la ville de Sens, un numéro de téléphone qu'il serait possible, m'avait-elle dit, de trouver sur internet, ceci pour que, suivant ce qu'elle me racontait, chacun puisse faire son changement de compte où qu'il se trouve et vit.

     

    Je ne sais pas ce qu'il se passe exactement à ce sujet, mais ces hausses et baisses des prix à la consommation me laisse suggérer que cela risque de se produire assez rapidement si, bien entendu, l'hypothèse que je vous propose ici se révèle exacte.

     

    Mais quoi qu'il en soit désormais et puisque c'est, justement, les processus  spéculatifs qui sont les raisons de nos immenses difficultés, si de telles hausses et baisses des prix de la nourriture, des menus achats et des services se répètent, il deviendra évident que les phénomènes spéculatifs en seront au centre.

     

     

     

     

    THEURIC

     

  • Trump, d'empire à colonie, fin...

    L'empire américain s'en va silencieusement, nous quitte sur la pointe des pieds, file à l'anglaise.

    Son repli sur soi affole la foule des eurolâtres et les américanolâtres tremblent de ne plus avoir de modèle à vénérer.

    Dorénavant ils se retrouvent seuls, sans maître pour dire le vrai et le faux, pour obéir comme les bons garçons et filles qu'ils sont, et errent sans but dans leur délire montant.

    Déjà les signes se font sentir de leur terrifiante détresse et la classe pathétique des chroniqueurs médiatiques officiels, d'un personnel politique au aboi et de la puissance monétaire épouvantée de sa crainte de perdre son bon argent commence à ravir l'homme et la femme de bien.

    P1000790.JPG

    Plus encore, les deux géants géopolitiques, la Russie et les États-Unis-d'Amérique, s'entendent désormais comme larron en foire et ne sont plus que les petites mesquineries des néocons U.S. pour retenir encore un temps la grosse papatte de Monsieur Trump, lui qui n'attend plus que de serrer  la paluche de Monsieur Poutine.

    Mais diantre, que j'ai pu faire d'erreurs d'appréciations sur trois des sujets les plus importants.

    Je crus ainsi que le nouveau président des Etasunis  était un pure isolationniste, ce qu'il n'est pas.

    Je crus aussi que la Russie de Poutine ne pourrait pas supporter que la France soit dirigée par une Marine Le Pen et que, surtout, que le président russe ferait tout pour que l'Union-européenne disparaisse, or les faits montrent l'inverse, ceci expliquant cela.

    Je crus également que l'équipe poutinienne de gouvernement avait compris que le système économique globalisé touchait à sa fin, contrairement à celle de Trump et de la majorité des chancelleries, alors que des signes ténus montrent que ce serait plutôt aux U.S.A. que cette conjecture se saisit, même si je doute de cela dans son administration centrale.

    Donc, je vais devoir revoir ma copie, repenser ma perception de la dynamique historique actuelle.

    Alors, allons voir de ce qu'il en est.

    PICT0111.JPG

    Il est rare qu'une élection ou la désignation d'un homme politique pour de très hautes fonctions, dans un pays ou une union quelconque, produise des effets géopolitiques tels que cela en fasse très rapidement évoluer l'ensemble des équilibres internationaux, voire en change du tout au tout les relations entre états.

    Au minimum en politique étrangère, la continuité de l'état fait que les évolutions se font, le plus souvent, à pas comptés.

    Lors de ces cinquante dernières années, cela survint par deux fois, à 31 ans d’intervalle, lors de la désignation au soviet suprême de Monsieur Gorbatchev en 1985, puis quand monsieur Trump fut élu président des États-Unis-d'Amérique en 2016.

    P1000834.JPGIl n'est pas clairement visible, pas vraiment clair que l'Union-Européenne soit visée à la destruction par les U.S.A., quand bien même Donald Trump avait déclaré cette union comme étant dépassée et vieillotte, rien ne semble avoir véritablement changé.

    Or, divers événements ou plutôt des indices, souvent ténus, me laissent à penser que des forces discrètes ont patiemment tissé des plans dont nous autres ne seraient que de vagues pions, nous changerions de camp tout en restant dans une situation similaire.

    Ainsi, en France comme dans le reste de l'Union-Européenne, en Russie, aux Etasunis et  en Brande-Bretagne, il semble se passer des événements bien étranges et cela aurait plusieurs années d'origine.

    Ainsi,rien que chez les américains, dans sa nouvelle administration centrale, nous ne comprendrions pas grand chose si nous ne trouvions pas le bon bout de fil pour en démêler l'écheveau.

    Alors je vous propose que nous revenions à la substance de qui est Monsieur Trump, quelle est sa doctrine véritable.

    Nombre d'entre-nous, et moi-même jusqu'à présent, pensaient que ce nouveau président U.S. était un pure isolationniste quand, en fait, il n'en est rien, en réalité c'est un réformateur, comme le furent en leur temps dans l'empire romain, César et Dioclétien par exemple.

    Ces deux exemples montrent qu'un réformateur impérial est de deux types:

    - celui qui chamboule l'ordre ancien lorsque l'organisation de l'empire, en plein dynamisme conquérant, le nécessite, César fut de ceux-là, mais vous remarquerez que cet exemple ne s'accorde pas à ce que peut représenter Monsieur Trump:

    - Celui qui s'appuie sur le socle structurel ancien, culturel, organisationnel, anthropologique, religieux, politique, militaire...,  pour rectifier et régénérer l'empire, Dioclétien ( http://www.lebreviairedespatriotes.fr/28/02/2013/non-classe/diocletien-portrait-dun-empereur-reformateur/ ) en étant un bon exemple, similaire, à mon sens, du président U.S. actuel à près de 1750 ans intervalle.

    Dès lors que l'on comprend sa nature réelle, la cohérence de son action devientP1000674.JPG évidente.

    Géopolitiquement, fragilisé au plus haut point, l'empire ne peut que se replier sur ses appuis les plus précieux et les plus sûrs, Grande-Bretagne, Arabie-Séoudite, Japon, Israël, canada, plus quelques autres plus discrets, le sous-continent sud-américain se devant d'être de nouveau sous son contrôle, d'où son éloignement de Cuba, et l'Océan Pacifique redevient le centre de toute son attention avec, en marge, nécessité faisant loi, la Mer Méditerranée, d'où son soutien d'Israël contre vents et marées.

    Pour le reste, oui les États-Unis-d'Amérique s'isolent, mais cela  est plus due à la conjoncture présente qu'à une véritable volonté de repli sur soi.

    Pour l'économie, matrice symbolique outre-Atlantique, sa situation plus que délétère nécessiterait des mesures vigoureuses, mais justement en raison de cette situation à la limite de la rupture, soit Trump casse tout le plus rapidement possible, ce qui mènera à la faillite généralisée, soit il temporise, auquel cas nous retournerons à notre point de départ.

    Quand à a politique, les forces industrielles qu'il représente font face à une lutte à mort contre les monétaristes néocons dont Madame Clinton est la représentante.

    Comme j'ai pu déjà l'écrire auparavant, la déstabilisation des Etasunis est tel qu'à mon sens la seule volonté de Trump de réformer son pays et son empire, sans même que cela ait apporté de quelconques effets, peut facilement mener à leur désagrégation, voire à leur destruction, d'où la prudence du président U.S..

    P1000807.JPGMais même cette prudence peut leur être néfaste, leur sera néfaste, à la simple vue de la formidable masse de crédits de toutes sortes qui empoisonne véritablement l'économie U.S. et l'Europe.

    Avant que nous n'abordions le triple sujet que sont l'Union-Européenne, les élections françaises et la position ambigüe de la Russie en Europe, je me dois de faire un détour par l'économie.

    En effet, le prix du pétrole reprend son effondrement, stagnant entre 53 et 54$ depuis quelques temps, il en est aujourd'hui à 47$70 ( http://www.businessbourse.com/2017/03/24/petrole-finit-baisse-a-new-york-a-4770-dollars-baril/ )  ce qui était à prévoir, sa baisse de production de l'année dernière et du début de l'année suivante en en ayant fait monté les prix, les industries nationales et internationales se retrouvent de plus en plus étranglées.

    Les classes-moyennes se retrouvant largement appauvries, en Occident et hors d'Occident, elles sont forcées de ne plus acheter que l'essentiel, de quoi se nourrir, de se vêtir et de se loger, délaissant de plus en plus cet accessoire qui fait la puissance des échanges marchands.

    Ce phénomène fut un moment légèrement compensé par les dépenses que firent, toujours en Occident, les petits rentiers qui craignaient, avec raison, que les banques ne leur confisquassent leurs petits pécules.

    Mais il est à craindre que ces dépenses en soient venues à se tarir, la voiture neuveP1000767 - Copie.JPG achetée, le toit refait, la maison réaménagée, les enfants et petits-enfants gâtés..., ne reste plus, dans les coffres des établissements bancaires, que le minimum pour le cas où...

    Ce qui a généré un effet pervers, celui d'avoir encore plus affaibli des banques ayant moins de fond en coffre, et qui, déjà, se retrouvaient toutes aux portes de leur banqueroute.

    A ceci, il faut y rajouter un étonnant blocage de Wall Street, au plus haut depuis mi-Février ( eod.aspx?s=DJIAx ), monté passée en raison des Q.E. qui ont pris fin, blocage dû à ce que les banques centrales, dont la F.E.D., savent pertinemment que dorénavant la moindre baisse boursière un petit peu rapide pourrait provoquer un affolement généralisé menant à l'effondrement de l'économie-monde.

    C'est pourquoi, maintenant, la dernière cartouche anti-crash ayant été épuisée, nous allons droit vers la faillite de la globalisation heureuse par la désindustrialisation généralisée, sans que quoi que ce soit ne puisse en freiner l'échéance, échéance qui, comme pour tout système chaotique, ne peut être intuitivement prévu que peu de temps avant son avènement, ici la pensée logique n'étant pas d'une grande utilité.

    C'est cet événement qui, pour beaucoup de monde, est devenu improbable puisque sa survenue se fait avec retard.

    P1000169.JPGSongez que depuis 2008 de nombreuses fois de maints signes montraient qu'il s'approchait de nous.

    De plus, de 2012 jusqu'à la fin de l'année 2016, ces signes devenaient visibles, évidents même, sans que quoi que ce soit ne se passe, ou n'aient eu l'air de se passer.

    Mais pendant ce temps là, silencieusement, sans faire le moindre bruit, les entreprises périclitaient, plus lentement, certes, mais elles périclitaient, les banques se fragilisaient et les pays ainsi que leur peuple s'appauvrissaient.

    Voilà pourquoi presque plus personne n'imagine que cela puisse arriver.

    De plus, songer que la société dans laquelle nous vivons puisse basculer comme cela avec une telle violence ne pouvant qu'être que de l'ordre du cauchemar, cette idée s'est retrouvée collectivement refoulée, plus encore au sein des élites des nations qu'au cœur des populations.

    Mais revenons à la Russie et à l'Union-Européenne.

    J'ai pu penser, un moment, que la Russie de Poutine, que son gouvernement était conscient de cet effondrement, or je pense aujourd'hui qu'il n'en est rien.

    La raison que je m'en fait est certes un petit peu complexe et pourrait sembler hors sujet mais laissez-moi m'en expliquer.

    Cela a un lien très fort avec la campagne électorale actuelle et le Front-National.IMGP0440.JPG

    Depuis quelques temps déjà ce parti est régulièrement invité par un média web d'essence russe, Sputnik, et ce sans que la nécessité ne s'en fasse clairement ressentir, ce qui avait quelque peu éveillé mes soupçons.

    Je les avais écarté, bien que mon intuition me susurrais des alertes régulières, c'est ainsi que survient le déni: je n'y croyais pas, je n'imaginais pas les russes assez sot pour aider à l'élection de la fifille de son terrible papounet.

    Donc, lorsque j'appris que la cheftaine F.N. fut invité à la Douma, l'assemblée législative russe, un mois seulement avant ces élections, le déni que je me faisait d'une Russie qui voudrait dominer l'Union-Européenne s'effaça et cette idée me devint une évidence.

    Pourquoi le F.N. serait-il ainsi si courtisé par la Russie, j'en vois plusieurs causes:

    -Il est facilement manœuvrable, le tout s'agissant d'offrir ce qui ferait plaisir à ses cadres;

    -Ce parti ne veut pas que la France quitte l'Union-Européenne, la preuve en est que lors du débat sur la première chaîne, Madame Le Pen avait bien dit qu'il fallait le pays se sépare de l'euro mais à aucun moment elle ne dit que la France doive se séparer de l'U.E. et de l'O.T.A.N.;

    P1000741.JPG-Il a, tout comme l'immense majorité des autres partis politiques, sauf l'U.P.R., absolument besoin qu'un pays dominateur lui dicte ce qu'il doit faire;

    N'oublions pas que Madame Le Pen s'était rendu à la tour de Monsieur Trump, juste après l'élection de son propriétaire, pour, je le suppute, se faire adouber par lui.

    Puisque le nouveau président U.S. n'avait pas daigné rencontrer sa visiteuse, il était logique qu'elle alla chercher ailleurs un seigneur par qui être commander.

    Ainsi, avoir maintenant la bénédiction de la Russie et de son président, Monsieur Poutine, le héro de l'anti-empire américain, lui offre une excellente écoute de ses électeurs, mais bien entendu cela ne peut qu'avoir un prix.

    Quel est ce prix?

    L'Union-Européenne et avoir la paix chez les français pardi, l'histoire de France montrant que notre pays est le plus instable politiquement, si les russes veulent que l'Union-Européenne soit sauvegardé tel quel, il leur faut absolument un parti politique à sa botte qui puisse conserver le peuple sous sa férule.

    Vous remarquerez que l'élection de Donald Trump et celles, présidentielles qui viennent en France, furent précédées par le référendum britannique dit du brexit.

    A ce niveau là, croire au hasard ce serait faire preuve d'une immense candeur, comment imaginer que les U.S.A. puissent se séparer de ce si proche allié, le seul véritable peut-être qu'est le Royaume-Uni?P1000758.JPG

    Mon explication logique de ces concomitances intrigantes serait que ce qu'il se passe actuellement soit la résultante d'un plan ourdi longtemps en avance, par une équipe tripartite britannique, étasunienne et russe.

  • La décompensation psychologique & perversion narcissique.

    Le long billet que je vous soumets traite de trois sujets intimement liés me semblant importants, tant dans la vie du tout les jours d'un certain nombre de gens, qu'en notre politique et notre économie contemporaine:

    -la nature de nos oligarques et de leur devenir;

    -la décompensation psychologique;

    -la perversité narcissique.

    Dans cette première partie je vais m'attacher de définir au mieux ce que peut être qu'une décompensation.

    Dans la seconde je ferais l'essai de décrire ce que peut receler comme désordre psychiatrique cette perversité et, surtout, ses soubassements.

    Je commencerai puis je finirai la deuxième partie de ce billet par une réflexion de ce que sont nos oligarques, de leur nature ainsi que des raisons de leur disparition future.

    Encore une fois, j'explique bien en avant propos, comme je le fis aussi précédemment, que je n'ai aucune compétence formelle en quelque matière que ce P1020088.JPGsoit, bien que j'aie pu abordé des sujets tels que la politique, l'économie, la paléo-anthropologie, la philosophie, la psychologie théorique... et, ici, la psychiatrie.

     

    Notre raison, nous la construisons dès notre petite enfance de par la compréhension que nous avons de notre vécu.

    Or, en notre très bas âge, nombre d'événements ne sont pas compris ou ne sont pas appréhendés dans leur logique du contexte du moment.

    Parfois même de petits enfants vivent une mauvaise éducation (la première étant celle de la mère, mais, comme le disait Madame Dolto: "Il ne saurait y avoir de mauvaise mère!", le contexte, toujours le contexte) des outrages ou des traumas  dont le sens leur échappe.

    Le bambin va donc s'ingénier à trouver, ou plutôt va faire des relations rapides, instinctuelles, physique, entre ces événements et ce qu'il est lui, souvent en en comprenant pas le-dit contexte et  en se mettant Soi au centre de la compréhension qu'il en a eu, en en prenant l'entière responsabilité, en s'en culpabilisant, seule façon, pour lui, de rendre intelligible ce qu'il s'est passé, tout ceci en la raison de la logique de son peu d'expérience dû à sa prime jeunesse.

    De plus, s'il s'agit d'un très bas âge, cinq ans et moins, cet incompréhension événementielle et/ou ce traumas seront le plus souvent oubliés, la cause en étant la normale immaturité du cerveau et de ses processus de mémorisation.P1020147.JPG

    En fait il ne s'agira pas d'un oubli stricto-sensu, le système nerveux et émotionnel, la structure neuronale en plein développement, le corps, en seront structurés et, parfois, rarement, de vagues images et paroles en seront conservées.

    L'instabilité psychanalytique que cela a généré sera compensé tout au long de la vie de la personne.

    Mais cette compensation ne peut être absolue, puisque cette instabilité, ayant diminué les capacités d'adaptation à la société de la personne et que de plus cette instabilité a généré une souffrance psychologique que la-dite personne tente de toutes ses forces de réduire en, en même temps, refoulant et en repoussant sa douleur.

    Ceci la rendant invisible mais toujours agissante.

    Ceci dans un univers en continuel mouvement où chacun d'entre nous se doit de s'adapter à un ensemble de situations nouvelles et parfois novatrices.

    Cette compensation sera donc instable et limité, ce qui nécessitera, pour le sujet, de continuer de compenser, toujours de manière instable et limité, en un jeu d'équilibre précaire, tout au long de son existence.

    Cette compensation continuelle est fragile et, de plus, n'en fait disparaître en rien l'angoisse originel qui, sous une forme ou une autre, des actes manqués, des oublis, des compulsions de répétitivités, de l'anxiété, ....., remontent, de manière plus ou moins régulière et suivant les événements, à la surface de la conscience, sans que le P1020170.JPGsujet ne puisse en comprendre la cause.

    Jusqu'à ce qu'arrive le moment où de compensation en compensation, l'esprit, le mental, la structure neuronale, le métabolisme, la personne, tout simplement, se retrouve dans l'impossibilité de compenser une instabilité devenue trop importante.

    Ou tout autant qu'elle se retrouvât à se confronter à des circonstances violentes, cruelles, traumatiques, à un accident ou à toute sorte de péripétie qui, d'une manière ou d'une autre, aurait une ressemblance, même éloignée, d'avec l'élément originel cause de cette instabilité.

    Dès lors son psychisme, le corps, voire les deux simultanément s'effondre, c'est la décompensation, par la maladie, la dépression, la recherche d'ivresse etc...

    N'oublions pas:

    Le grand ennui peur être à la longue déstructurant et, dès lors, traumatisant.

    Un événement, soudain ou pas, brutal ou pas, peut d'un coup effacer tous les éléments traumatiques ainsi que leurs compensations.

    En fait, la psychanalyse consiste à décompenser lentement et en douceur plutôt que de se confronter à une brusque décompensation, en comprenant par soi-même, aidé ou non par un tiers, les soubassements de ses angoisses.

    Cette lenteur est normale puisque en ce cas la personne doit saisir en plein le sens des multiples compensations, ceci couche après couche en un ordre temporelP1010849.JPG régressif.

    La psychanalyse d'un sujet atteint de perversité narcissique, ou pire encore, d'un psychopathe, ne peut que le détruire puisque cela fera remonter, en lui, un état psychotique latent, ce que nous verrons plus loin.

    Cette double forme d'une même maladie mentale, de psychose et non pas de névrose, ne peut, dès lors, qu'être du domaine du psychiatre et non pas du psychologue ou du psychanalyste.

    Le rôle de ces deux derniers devant être dévolu à s'occuper des victimes de ces aliénés.  )

    Je me dois de préciser que sur ces sujets, tant en première qu'en seconde partie, je ne pose en rien de quelconque théorie, n'en étant qu'un amateur, mais que je vous expose plutôt une suite d'hypothèses que seule une série d'observation entreprises par des professionnelles viendraient corroborer ( rajout fait le 13 Octobre 2018  ).

    Le système économique globalisé est entré dans une phase d'effondrement avancé et quand ce système aura cessé de fonctionner, cela n'aura pas seulement des répercutions matérielles.

    Ceux qui, en raison de leurs désordres mentaux, ont souscrit part trop à l'idéologie qui y est lié, dite néolibérale, subiront un choc psychologique égal, voire supérieur à ces désordres.

    En revanche, la majorité de ceux qui en avaient suivit le trait, par appartenance à un groupe sociologique, là je vise explicitement la classe-moyenne supérieur, ainsi que celle intermédiaire qui la suit, soit ceux qui poursuivent et poursuivirent des études longues et studieuses;

    P1010830.JPGLa majorité de ceux-là, donc, ont déjà commencé, depuis un certain temps pour certains d'entre eux, à remettre en question et parfois en cause, les bienfondés des présupposés que cette doctrine débilitante sous-tend.

    Les politiques suivies depuis les gouvernements Chirac, puis Sarkozy, Hollande et maintenant Macron, suivant les injonctions malveillante de l'administration de l'Union-Européenne, n'y en étant pas pour rien.

    (Vous remarquerez, de plus, que l’incendie qui a détruit le musée de Rio au Brésil et que les pompiers ne purent éteindre, faute de moyens, même situation que rencontrèrent le Portugal pour ses forêts, montre que la domination impériale U.S., autant dans l'Union-Européenne que dans l'ensemble des pays sud-américains, mène à une situation analogue, soit la destruction totale de l'économie et des institutions des nations sous emprise de l'empire étasunien.

    Il est à noter que bien que dorénavant l'empire U.S. ne se trouve plus en capacité de diriger l'union, le programme qu'y avait conduit le-dit empire basé sur la doctrine débilitante que sont les présupposés idéologiques néolibérales se perpétue, totalement adopté autant par l'administration de cette ignoble union, l'oligarchie européiste et tous les gouvernements qui y participent.

    L'Allemagne se retrouvant de fait à en diriger l'ensemble, nation qui voudrait bien, là se trouve le paradoxe, se délester de l'euro, ce qui ne pourra que mécaniquement détruire l'U.E.. )

    A y regarder de près, cette doctrine, d'essence monétariste, montre un ensemble de ce que nous pourrions nommer des délires, ne rendant absolument pas compte d'une quelconque réalité cohérente, économique, politique, scientifique, artistique, mathématique et anthropologique.

    Tout juste pourrions-nous y déceler une logique restreinte purement comptable, mais sans plus.

    Les acteurs de cette idéologie l'ont accompagné, de plus, d'un ensemble de croyances, plus ou moins délirantes, donnant l'impression de lutter contre la globalisation monétariste, qu'il est désormais difficile d'extraire de l'esprit de nombre d'entre-nous, la plupart concentrés autour de causes censément politiques P1020055.JPG( il faut sauver l'Union-Européenne... ) écologiques ( le réchauffement climatique anthropogénique...  ) et, parfois, scientifiques ( il est impossible de dépasser la vitesse de la lumière... ) .

    Ceci accompagné d'un effondrement culturel, artistique et, surtout, idéologique, phénomène visible pour ce dernier point en comparant les discours et les programmes des partis politiques dont les représentants ont le droit de passer dans les médiats officiels, ceux sous l'égide du gouvernement et des oligarques.

    Ce sont ces oligarques et ceux qui leur sont les plus proches, dont la représentation notoire est le M.E.D.E.F., qui, quand l'économie-monde aura définitivement fait faillite, subiront une grave décompensation psychologique qui en conduira nombre d'entre eux à une grave crise psychotique ( idée, il est vrai, que Monsieur Orlov m'a amplement permis de préciser ).

    Mais pourquoi donc des oligarques tomberaient-ils ainsi dans la folie?

    Parce qu'ils sont déjà fous.

     

    Que je vous en explique l'hypothèse:

    Depuis quelque temps, comme j'ai pu vous le narrer auparavant, je n'étais pas P1020147.JPGconvaincu quand il se disait que les pervers narcissiques et les psychopathes n'ont pas d'émotion.

    Déjà l'Être humain ne peut pas vivre sans émotion, émotions qui sont constitutives de notre mental, tout comme le cœur ou le foie sont constitutifs de notre corps et de notre métabolisme, sans l'un ou l'autre nous mourrons.

    Tout comme l'esprit ne peut se construire s'il lui manque les émotions, sinon cela donne des crétins incapables de la moindre pensée et non pas des personnes mettant toute leur énergie à manipuler leurs semblables.

    De plus, les pervers narcissiques peuvent pleurer sur leur propre sort, là encore et preuve en est, qu'ils sont pourvu  d'émotion (je ne sais pas comment, en cela, réagissent les psychopathes).

    Il se dit aussi qu'ils manquent d'empathie, ce qui est partiellement vrai, du-moins en ont-ils suffisamment pour ressentir les tourments de leur victime et en avoir jouissance.

    Une affaire intéressante de ce point de vu est celle de Nordahl Lelandais qui, devant les policiers, va nier les meurtres qui lui sont reprochés, puis va tenter de se dédouaner par un: "C'est un accident" ou un: "Je ne l'ai pas fait exprès" dérisoire face à des policiers qui en ont vu d'autres, dès que les preuves qui lui sont soumis sont d'évidences quand à sa culpabilité.P1020193.JPG

    Si vraiment ce psychopathe n'avait pas d'émotion, ou tout simplement aucune empathie, il aurait été logique qu'il dise plutôt quelque chose comme: "Oui, c'est moi là, mais je n'ai pas fait d'autre crime".

     

    Pourquoi donc?

    Parce que l'empathie est le ressenti de l'autre et que ce ressenti ne peut exister que si et d'abord si nous nous sentons exister nous-même et plus nous avons conscience de notre existence, plus nous pouvons nous projeter dans le futur, et l'autre débile a très bien compris que, pour lui, ces accusations de meurtre le conduirait tout droit en prison.

    Il faut bien comprendre que pervers narcissique et psychopathe le sont devenus parce qu'ils ont vécu une scission névrotique d'avec leurs émotions en raison d'un traumatisme infantile violent ayant gravement déstabilisé leur narcissisme, émotions refoulées au plus profond de l'inconscient accompagné, dans le même temps, par un état psychotique latent généré par ce même trauma et tapi au fin fond de la psyché.

    Ne leur restant plus que la culpabilité qui est originel de leur psychose, sachant qu'il devait y avoir une base biologique pour que la-dite psychose puisse s'établir.

    L'événement ou la série d'événements traumatiques premiers ayant généré une forme de jouissance en même temps que cette culpabilité, ils se nourrissent dès lors de celle-ci en projetant sur leur victime leur propre psychose.

    P1020124.JPGC'est pourquoi pervers narcissique et psychopathe sont par nature narcissique, que seul eux les intéresse, le premier en projetant sur sa ou ses victimes sa grave psychopathologie quand, le second, ne tue pas seulement sa proie mais aussi tente de faire disparaître en lui ainsi la douleur due à sa schizophrénie enfouie profondément dans l'inconscient en tuant l'image de lui-même que cet autre représente.

    Tout en se nourrissant de la jouissance de sa culpabilité d'agir ainsi.

    Pour que leur fantasmes puissent prendre corps, ils doivent bâtir un monde imaginaire dedans lequel ils seraient le centre et où ils entrainent leurs proies, c'est en cela qu'ils sont narcissique.

    Cela ne les empêchant en rien de s'instruire, dans le monde réel, des outils nécessaires pour la mise en place de leur perversité pour l'un, par des cours de psychologie par exemple, pour apprendre à tuer pour l'autre, en devenant militaire pour l'autre en un autre exemple.

    Tous deux étant de profonds malades mentaux qui, très jeunes, ont trouvé ce moyen là pour tenter de compenser les souffrance dues à leur psychopathologie complexe.

    La perversité narcissique et la psychopathie ont de composantes cinq versants inconscient parce que refoulés:P1010856.JPG

    1) refoulement des émotions conduisant à un surmoi quasiment inexistant;

    2) narcissisme instable que le sujet tente de sauver;

    3) état psychotique latent que seule la perversité du sujet parvient à maîtriser;

    4) culpabilité importante amenant une souffrance se muant en plaisir pervers pour le sujet;

    5) un monde fictif, propre et différent pour chaque sujet, dedans lequel vit celui-ci, n'ayant qu'un lien lointain d'avec la réalité.

     

    Pourquoi aiment-ils souvent l'argent?

    Souvent âpres aux gains, l'argent ne servant au pervers narcissique que comme étant un moyen pour eux de contrôler leurs victimes et/ou l'un des signes qu'ils ont ce pouvoir sur elles, ce qui est à la base de leur jouissance, ceci grâce à ce contrôle que cela leur permet d'avoir sur elles: ils peuvent prendre l'argent de l'un sans remord pour ensuite le donner à un autre pour le dominer.

    C'est pourquoi ils peuvent être autant dépensiers qu'âpre aux gains.

    Le psychopathe, quand à lui, aime l'argent en raison de l'impunité que le pouvoir de la richesse lui confère.

    P1010841.JPGToutefois détenir, pour eux, une quelconque richesse leur permet d'avoir le sentiment d'être protégé puisque ayant été sujet d'un trauma enfant, ils n'ont de confiance en quiconque, le monde se séparant en trois, il y a celui de leurs semblables, celui de leurs victimes et celui de ceux pouvant les anéantir.

     

    Peuvent-ils être guéris?

    Oui, mais en ce cas il se passe en eux une décompensation violente en faisant remonter d'un bloc toutes les émotions, qui sont intimement liées au souvenir traumatique originel, en faisant surgir la schizophrénie latente qu'ils tentaient ainsi d'enfouir au plus profond d'eux-mêmes.

    En un mot comme en cent, si vous les guérissez, vous les détruisez de l'intérieur.

    Ce qui peut tout autant leur arriver s'ils ne trouvent personne sur lequel reposer leur folie prédatrice ou si le monde qu'ils s'étaient construit disparaît, quelles qu'en soient les raisons.

    Les mettre seuls dans un cachot étant pour eux la pire des punitions.

     

    Pourquoi mentent-ils tellement et si souvent?

    En fait une fois sur deux ils ne mentent pas, ils ne font que transformer leur passé pour se donner à eux-mêmes une bonne image, c'est en cela aussi qu'ils sont narcissique.P1020497.JPG

    Effectivement c'est leur narcissisme, à l'un comme à l'autre, qui est malade et extrêmement affaibli, d'où leur tentative de redorer cette image en débitant des histoires fausses les mettant dans une position glorieuse.

    De plus, les psychopathes, eux, se taisent de leurs forfaitures, sachant très bien que sinon ils se retrouveraient en prison.

    Il est possible de reconnaître quand ils mentent et quand ils affabulent.

  • Des services publics et ceux en réseaux.

    Je me disais qu'il me faudrait bien aborder la question des services publics en réseau.

    Ce thème d'actualité ne peut plus être du ressort idéologique parce que devenu, en raison de la complexification croissante de nos sociétés, d'essence socialement mécanique, c'est à dire d'une logique interne à nos sociétés en raison de cette complexification croissante.

    Il est, par exemple, impératif que tous, jusqu'aux plus pauvres, nous puissions voyager à un prix abordable, que ce soit par nos autoroutes, les métros, les bus, les tramways et la S.N.C.F., en raison de ce que nous ne pouvons plus vivre en autarcie, ne serait-ce que pour aller travailler et acheter de quoi manger.

    La question de l'existence des frontières, je l'analyserais plus tard, mais elle est, en réalité, centrale.

    Et celle-ci est inextricablement liée à notre double et bientôt triple domination, par l'Union-Européenne, d'essence totalitaire, de l'empire U.S., en situation avancée de dépérissement et de déclin, et d'une Allemagne, étoile montante de l'U.E., ne comprenant pas que si elle se débarrasse de l'euro elle détruira inéluctablement l'union.

    Ce phénomène a un nom: la mondialisation, qui serait le parangon de modernité.

    Or, cette globalisation, autre nom de la mondialisation, comprend deux processus diamétralement opposés:

    _Une mondialité intellectuelle, et donc également technique, technologique,P1010609.JPG scientifique, philosophique, religieuse, politique et j'en  passe..., à l'image de celle qui se construisit en Europe du moyen-âge jusqu'à la moitié du XX° siècle, qui fait qu'aujourd'hui un mathématicien chinois et français, par exemple, trouveront facilement plus à se raconter que chacun d'entre-eux d'avec l'un de leur concitoyen;

    _Une idéologie conservatrice mondialiste économico-politique, dite néolibérale, dont le socle doctrinal a plus de deux siècles d'âge, aux origines bourgeoises, soit d'une pensée marchande antérieur même à la période médiévale, voire antique, dont le vecteur majeur contemporain fut l'empire ultime qu'ont été les États-Unis-d'Amérique, faisant suite à ceux européens.

    Autant le premier est, en effet, progressiste dans le sens où cet échange continuel est l'un des multiples gages que les sociétés humaines vont dans le développement d'elles-mêmes.

    Autant le second, lui, est la tentative malheureuse d'un petit groupe de personnes, les oligarques et leurs serviteurs, de conserver et faire croitre un pouvoir, ici monétaire, qui, du fait de  leurs errements provenant de leur médiocrité structurelle, ne pourra que se perdre, quoi qu'ils décident et fassent.

    La privatisation, entre-autre, des services publics, dont ceux en réseaux, n'étant que l'une de ces multiples tentatives de conservation de ce pouvoir par une transformation accrue de la richesse réelle des nation en masse monétaire.

    Ce qui, indirectement, ne pourra qu'appauvrir encore plus les peuples et, donc, de détruire encore plus le tissu industriel mondial, cause véritable de la faillite généralisée en cours.

    P1010594.JPGCe que je veux montrer là c'est qu'en effet, et comme déjà dit ailleurs, tout se tient.

    Alors, quand bien même je vais vous montrer que privatiser un service public est une pure foutaise logique, politique et économique, cette idée absurde n'est que l'un des multiples exemples,  criant il est vrai, de l'incompétence et de l'inconséquence formelle de ceux qui ont la charge des nations et de leur économie.

    De leur médiocrité (ce que je ne cesserais de répéter jusqu'à plus soif).

     Par nature, une entreprise doit faire des bénéfices, il ne peut en être autrement, sinon c'est la faillite, d'autant plus que les grandes entreprises tendent à en verser une part de plus en plus importante aux acteurs boursiers.

    De plus, pour le bon fonctionnement de nos sociétés complexes, l'élimination et le retraitement des ordures, la fourniture en énergie, en eau, ainsi que de son évacuation devenue sale, la bonne marche des communications, rails, routes, courriers, télécommunications, un service de santé, une instruction publique, un système judiciaire, une police, une armée, une banque centrale et sa gestion du monétaire, et une administration efficace sont tous nécessaires pour le pays et l'ensemble de la population.

    Tous ont deux particularités, ils ne dégagent aucune plus-value et tendent à un coût d'usage important.P1010448.JPG

    La plus-value étant le gain dégagée par une entreprise quand, d'une matière brut, en sort le produit fini, ou, en-deça, un produit semi-fini, c'est elle qui génèrera le bénéfice de l'entreprise.

    Nous pouvons considérer la même chose en ce qui concerne les matières premières, agricole et minier, énergie comprise, qui, de la plante ou l'animal, tout autant de l'extraction, du pétrole ou du fer par exemple, ont tous besoin qu'un travail productif soit effectué, puis qu'à la mise vente une plus-value en soit dégagé.

    Entre la terre d'un coté, le blé, le poulet, le pétrole, le fer de l'autre, une plus-value ne peut que s'être développée.

    C'est cette plus-value qui, de proche en proche, permet, de la nation (le peuple) au pays, du pays à l'état, à ce que la société, vaille que vaille, fonctionne au mieux.

    C'est pourquoi l'appauvrissement de l'Occident provient essentiellement de la fuite des usines et fabriques de ses régions et de l'accaparement de cette plus-value par l'oligarchie financière (bien qu'il soit à remarquer que, dorénavant, ce sont toutes les plus-values de toutes les entreprises mondiales qui s'en voient spoliées par cette oligarchie mondialisée).

    Les quatre derniers de cette liste, police, armée, banque centrale et sa gestion du fait P1010484 - Copie.JPGmonétaire et administrations sont ou devraient ressortir du seul pouvoir régalien de tout état, si cela n'est pas, alors la société peut être considérée comme étant gravement viciée, sûrement par une domination oligarchique.

    Celui qui précède, le pouvoir judiciaire, fait parti, avec celui exécutif et législatif, de ces trois pouvoirs qui se devraient d'être indépendants les uns des autres, l'inverse montrerait une tendance totalitaire de l'état, ce qui, vous le remarquerez, est le cas en France.

    Un service public de santé efficace est d'une obligation majeur, toute faiblesse faciliterait l'apparition d'épidémie et de pandémie en raison de la fragilisation de la population.

    De plus et c'est le plus important, cet affaiblissement ne peut que mettre les sociétés modernes à un niveau infiniment plus bas que les sociétés dites premières, et même de celles antérieurs, des plus primitives, qui toutes soignent et soignaient, d'une manière ou d'une autre, le moindre de ses citoyens.

    Même les femelles chimpanzés apprennent à leur petits le petit nombre de traitement qu'elles connaissent, pour se débarrasser des vers intestinaux par exemple.

    C'est pourquoi un service de santé efficace dédié à tous les habitants du pays est une évidence morale archétypale que seuls des malades mentaux pourraient remettre en question, et là, mes mots sont pesés à leur juste dimension.

    Ou alors que l'on laisse les plus pauvres crever, mais en ce cas, foin d'hypocrisie, que cela soit affirmé et assumé: l'argent est plus important que la vie de nos semblables.

    Vous remarquerez que celui des États-Unis-d'Amérique est pour l'essentiel privé etP1010594.JPG que, de plus, il n'y existe pas ou peu de sécurité sociale mais des assurances santé privées, ce que nos maîtres voudraient voir à l’œuvre en France, ainsi, qu'une grande part des étasuniens ne peuvent être soignés ou se ruinent pour tenter d'être guéri n'y pose aucun cas de conscience.

    C'est en cela qu'il est possible d'affirmer que les États-Unis-d'Amérique est un pays anthropologiquement malade.

    Une instruction publique efficiente est, comme la précédente, une évidence à l'heur de nos sociétés devenues si complexes.

    Est définitivement fini, à de rares exceptions près, le temps ou les anciens apprenaient aux plus jeunes l'agriculture, la menuiserie ou l'art de la guerre..., et ne savoir que lire, écrire, compter n'est plus suffisant pour chacun d'entre-nous.

    Tous les porteurs de mémoire, l'informatique et internet, même si nous risquons fort de nous en retrouver en panne lorsque le système économique globalisé s'effondrera, mais aussi le livre et l'archivage papier, nous dégageant de devoir tout mémoriser, il est désormais de la plus absolue nécessité que tous aient une culture large et étendue.

    Tout autant que d'apprendre à penser par soi-même.

    D'où l'exigence à ce que l'instruction des enfants, des jeunes, mais aussi des adultes, soit placée hors de tout champ doctrinal, soit laïc dans son sens le plus large, ni régenté par une religion, ni par une idéologie politique, ce qu'est le néolibéralisme, ni par quoi que ce soit d'autre que la connaissance et le savoir.

    C'est pourquoi une éducation part trop spécialisée ne peut que générer de futurs P1010665 - Copie.JPGcrétins-savants ne sachant pas faire à terme, hors du domaine appris, de distinctions entre la réalité et l'irréalité.

    Instrumentaliser les jeunes pour les déterminer à un métier est une horreur sociétale, une erreur politique et le résumé des faiblesses conceptuelles de nos élites et édiles.

    Mais comment voulez-vous que des médiocres puissent concevoir quoi que ce soit hors de leur petit champ d'idéalisme béat?

    Les quatre restants, les services publics en réseau, sont: l'évacuation des déchets et leur traitement, la fourniture & l'évacuation de l'eau, l'énergie fournie par fil, électricité, ou tuyauterie, gaz, les communications, routier, rail, courrier et télécommunications sont devenus nécessaire à chacun d'entre-nous pour le bon   fonctionnement des pays (les transports maritimes et aériens pourraient peut-être être mis à part, cela demandant réflexions suivant les cas).

    Vous remarquerez que tous les services publics en réseaux ont la particularité, en plus de leur prix importants tant dans la mise en place de leur infrastructure que de leur entretien, de leur impossibilité d'en dégager la moindre plus-value puisqu'il ne saurait y avoir de produit fini en bout de chaîne, ces réseaux ne peuvent pouvoir être dédoublés, ne serait-ce qu'en raison de leurs coûts.

    Qui imaginerait ce doublement par une autre entreprise, du passage d'un autre camion poubelle dans les mêmes rues chaque semaine, d'une voie de chemin de fer, d'un même parcours de ligne de bus pour deux entreprises (les britanniques s'y sont essayé et s'y sont cassé les dents), d'une autoroute, de lignes hautes-tensions, des tuyauteries de gaz ou d'eau ou de fils téléphoniques, ceci sur les mêmes tracés, ce serait profondément absurde.P1010358.JPG

    Qui imaginerait cela, personne, cela va de soi.

    Alors, prenons l'exemple de la S.N.C.F. et voyons ce que produira inéluctablement sa mise en concurrence et sa privatisation, puis les raisons qui font que les chemins-de-fer britanniques sont aussi onéreux qu'inefficaces.

    Comme dit plus haut, une entreprise doit faire des bénéfices sinon elles fait faillite, ce qui aurait dû se produire pour les banques en 2008, cela montrait déjà, toutefois, la mainmise oligarchique sur le personnel politique occidental.

    Il y a deux types de privatisation possible pour un service public en réseau:

    1) soit la concession vendu à un opérateur pour un temps déterminé, ce qui, me semble-t-il, est ce qui a eu lieu en Grande-Bretagne, ce qui est aussi le cas de nos autoroutes;

    2) soit la possibilité pour plusieurs opérateurs d'utiliser le même réseau, ce qui est le fait, entre-autre, des chemins-de-fer en Union-Européenne et en France.

    Faisons donc cette analyse logique de ces choix qui s'offrent à ces opérateurs dans cette absurde concurrence libre et non faussée qu'à institué l'U.E. en notre beau pays.

    (  Comprenons bien les raisons d'être de la colonie qu'est l'Union-Européenne de l'empire U.S., consciemment et inconsciemment: il s'agit, pour lui de détruire les pays européens autant par leur haine de ces pays qui forcèrent leurs ancêtres de les quitter, quelle qu'en soient les causes, de l'intelligence que les européens surent P1010498.JPGdévelopper pendant des siècles, et aussi de pomper jusqu'à plus soif la moindre parcelle de richesse de cette région, ainsi que d'empêcher l'ouest eurasiatique de prendre leur place dominante.

    Et oui, l'empire U.S. est en même temps la résultante de la haine envers leur pays originels, de leur jalousie maladive collective, d'un immense et violent complexe d'infériorité, d'une sordide avidité à la cupidité et du sentiment réaliste de la puissance véritable des européens, si tant est que ces derniers puissent se débarrasser de leur rêveries américanolâtres sous toutes leurs formes.    )

    Dans la possibilité numéro 2), pour faire  son bénéfice, dans une situation, donc, où les opérateurs passent par le même réseau, l'entreprise acquéreur a plusieurs choix:

    -Soit augmenter les prix, mais la concurrence l'en empêche, sauf s'il y a accord entre les différents acteurs, phénomène ancien ayant commencé dès les années trente aux U.S.A. pour la vente des ampoules à incandescence, ce qui génère déjà des effets pervers;

    -Soit tout faire pour réduire le coût de réparation des infrastructures, c'est pourquoi l'état a, depuis quelque temps, séparé l'entretien des voies et gares du matériel roulant, mais pensez-vous vraiment que leurs propriétaires ne feront pas tout pour verser le moins possible d'argent à la société chargée de cet entretien, quitte, pour cela, à faire quelques trafiques d'influences?

    Ne soyons, là encore, pas naïfs, déjà que nombre de hauts fonctionnaires ne cessent de passer des administrations au banques et vice et versa, pourquoi pas la même chose provenant des services publiques, si ça paye bien;

    -Soit faire des économies à tous les échelons de l'entreprise: salaire et entretien des machines et des wagons pour l'essentiel.P1010579 - Copie.JPG

    -Soit n'avoir à charge que les lignes les plus rentables, vous remarquerez à ce propos que les pouvoirs publiques ont déjà pris grand soin d'écarter celles ne fournissant que peu de voyageur.

    Ainsi, voyez-vous, nous nous retrouverons sous peu, si le système économique globalisé n'explose pas avant (ce qui remettrait tous les compteurs à zéro), au-devant de grands dangers, ne serait-ce d'accidents ferroviaires mortels et du délaissement d'une large part du territoire du pays.

    Ce dont la chapelle bruxelloise et sa camarilla, l'oligarchie ubuesque et dangereuses et leurs petites mains gouvernementales et journalistique, se foutent comme de l'an quarante, tant ils s'arcboutent sur leurs absurdes idéologies: leur fortune, leur équilibre psychologique et leur survie sociale étant à ce prix.

    Les britanniques, eux, qui commencèrent leur révolution néolibérale avant nous-autres, choisirent la voie, si je puis dire, de concessions vendues séparées en plusieurs tronçons.

    Ce qui fut choisi en France pour nos autoroutes.

    Là encore, les effets pervers tournent toujours autour des deux point d'achoppement que peuvent générer la privatisation de services publics en réseaux, soient le bénéfice nécessaire aux entreprises et, lié, l'entretien de ces réseaux:

    -Cette entreprise peut considérer avec raison qu'elle a un temps déterminé pour faire du profit, auquel cas elle

  • Deux textes vite faits.

    Je vous propose aujourd'hui deux textes plutôt courts, le premier portant sur la désindustrialisation mondiale, le second d'une réflexion de la politique française lorsque cette catastrophe  aura lieu.

    Désindustrialisation et fragilisation bancaire:

    IMGP0046.JPG

    D'aller voir mes textes antérieur, je me suis aperçu qu'en Mai je pensais que le  système  économique recommençait à se réindustrialiser, or, à l'époque, ce  fut une énorme erreur de jugement, celle-ci était bel et en dans une phase de repos jusqu'au début du mois d'Août, ceci parce que, comme je l'avais toutefois souligné, les gens  qui avaient un petit peu de sous dans leur compte en banque, ne voulaient pas, avec raison, que cet établissement leur confisquât leurs pécules.

    Ceci grâce aux amicales recommandation de l'Union-Européenne aussitôt entériné par des lois votées illico presto par les pays de l'union, voulant qu'une  banque  avait l'autorisation de confisquer les avoirs des particuliers si celle-ci était en position difficile (état dans lequel elles sont déjà toutes, mais pas officiellement).

    Oubliant imprudemment ce texte de Mai, j'ai toutefois, en maints commentaires, expliqué ailleurs, dont à Businessbourse ( http://www.businessbourse.com/2016/08/06/le-nouvel-effondrement-du-cours-du-petrole-est-une-tres-tres-mauvaise-nouvelle-pour-leconomie-americaine/ ), le processus en cours.

    DSC00093.JPGCelui-ci se décompose en trois temps:

    1) De Janvier à mars la population instruite et/ou au fait des médias, ayant quelques économies en banque, comprennent  qu'elles risquent de tout perdre en raison des lois votées;

    2) D'Avril à Juin elle dépense son argent par l'achat de divers biens et commande travaux, cadeaux à la famille et autre, en conservant de quoi se payer des vacances convenables;

    3) Vacances puis arrêt plus ou moins total de toute dépense, avec peut-être aussi prise de monnaies conservées chez soi.

    Cela ne pu que fragiliser la situation bancaire puisque ces établissements se retrouvent, de fait, dans une situation comptable bien plus délicate qu'auparavant.

    Cela se passant, bien sûr, non seulement en France mais aussi partout dans le monde où ce type de décision gouvernementale fut prise.

    Ce fut, comme je l'ai dit, la raison pour laquelle il y eut un regain d'activité économique, la remonté des prix des matières premières et de l'énergie ainsi qu'une amélioration de la situation des transports internationaux.

    Maintenant les cours des matières premières tendent de nouveau à la baisse, avec le pétrole redescendu à environ 40 dollar le baril.

    Cela ne pouvant que prendre les décideurs économiques et les responsables politiques à contrepied, eux qui pensaient, depuis le début de l'été, que cette descente en était arrivée à sa fin.

    Je me dois de vous raconter deux anecdote qui, ma foi, paraissent montrer cetteIMGP0205.JPG extrême fragilité bancaire et, également, commerciale.

    La première fait suite à l'appel du responsable du compte en banque de ma mère et du rendez-vous pris avec lui.

    Celui-ci voulait de toute force que son petit pécule soit placé en sa moitié sur son assurance-vie en faisant valoir sa meilleurs rémunération, ce à quoi j'ai mis le hola, y sentant le vent mauvais.

    Je vous conseillerais, messieurs-dames lecteurs, de retirer tous vos  sous de ce type de compte au plus tôt, y pressentant qu'un phénomène de cavalerie pourrait bien s'y être mis en place dans un nombre indéterminé d'établissements.

    Le second à trait de ce que j'ai pu voir comme publicité sur la parking d'un grand magasin provincial et d'un autre de la région parisienne vers le quinze du mois dernier: Faites un chèque aujourd'hui, il ne vous sera  facturé qu'au début du mois prochain.

    Cela ne peut  que montrer l'appauvrissement des populations et, suivant, de la situation quasiment catastrophique des super-marchés, étant entendu que les petits commerces ne sont pas loin de la faillite, quand ils ne le sont pas  déjà, d'où le vide grandissant des centres-commerciaux et des centres-villes.

    IMGP0347.JPGPour finir, je vous propose de retourner voir ce petit billet où je vous donnait quelques conseils, même si celui-ci peut être un peu dépassé, les conseils, eux, ne le sont pas: ( petite-video-d-un-economiste-pour-moi-inconnu-5740090.html ).

    Quelle réaction aura le personnel politique lorsque cet effondrement de l'économie mondialisée aura lieu? 

    Franchement, je suis là dans la plus absolue des expectatives, ne sachant pas vraiment comment les choses pourraient se passer.

    Nécessairement les banques auront fait faillite et les scandales seront nombreux.

    Certes, l'Union-Européenne se terminera dans le grand-guignolesque.

    Bien sûr, les équipes gouvernementale et des partis officiels dits d'oppositions, L.R. et F.N. pour l'essentiel, seront totalement perdus et affolés par les événements à venir.

    Mais pour le reste, parce que ceux sus-cités n'auront à ce moment là plus grande  importance je vous avoue ne pas très bien saisir les dynamiques en cours, sachant toutefois que la politique est, contrairement à l'économie, beaucoup plus difficile à en apprécier le développement.

    La simple raison en étant  qu'en économie il est facile d'en délimiter les fragilités, ici l'industrie, les banques et les fonds spéculatifs internationaux, et donc d'en porter conjecture des effets, quand, en politique, s'y mêlent autant les silences, les buts et stratégies, les croyances etP1000130.JPG présupposés, les relations humaines exacerbées par le pouvoir et sa recherche, les idéologies, ..., enfin bref, la politique est bien moins prédictive que l'économie, surtout quand cette dernière est en train de se désagréger et que le monde politique est déjà dans un certain chaos.

    Ainsi,  qu'en sera-t-il des réactions de notre Président de la République, personne ne peut le dire, même si le Premier Ministre et celui de l'économie, Messieurs Valls et Macron, pourraient très bien l'un et l'autre se retrouver en grave crise psychologique?

    Quels seront les réactions des cadres et dirigeant du parti (les) Républicain(s) et du  Front-(pseudo)National, pas grand monde peut en avoir l'idée, nient-ils ou pas les fragilités de l'économie-monde, qui et en quel nombre, ont-ils ou non la conscience collective de la désindustrialisation actuelle, comment le savoir?

    Monsieur Mélenchon a, il est vrai, démontré dans l'une de ses conférences, cet extrême fragilité de la globalisation monétariste, mais en a-t-il pris toutes les mesures logique au sein de son parti?

    Monsieur Asselineau est entouré de gens compétents, a déjà abordé ces questions de fragilité économique, mais, hormis sa préparation des prochaines élections, a-t-il mis en place un suivit de cette dégradation actuelle?

    P1000445.JPGQuand aux verts, n'en parlons même pas, de petits ils sont devenus lilliputiens en passant leur temps à se chamailler.

    Je l'ai dit, la France est le sujet aujourd'hui central de toutes les chancelleries ayant quelque dimension, ne pas, pour elles, y avoir un pied d'une manière ou d'une autre ne peut qu'être une preuve de la faiblesse d'un pays.

    Ceci rajoutant à la complexité politique actuelle.

    Alors, qu'en pense les journalistes, ceux en vu et bien vu, et les autres, craignant le chômage et ainsi en obéissance forcée?

    Et puis, qu'en pense la population?

    Quel en est le pourcentage qui a pris les dispositions adéquates?

    Naguère, Nagui, présentateur télé bien connu, a, à demi-mot, dit la prochaine faillite des assurances, les banques, non-nommées, ne pouvant que s'en rapproché, il en fut applaudit par les spectateurs.

    Cela prouvant au moins que les gens sont dorénavant plutôt conscient de la situation économique réelle dedans laquelle nous sommes.

    Je conçois  que faire un texte en y disant: "je ne sais pas", peut sembler inutile, mais cela me parais nécessaire puisque pour l'instant, la situation en devenant imprévisible, la seule chose  qu'il nous reste à faire est d'observer les événement, jusqu'aux peu visibles signes ultérieurs, tout en gardant notre sang-froid.

    Et  puis, de délimiter les contours de notre ignorance n'est-ce pas de commencer à mettre nos idées au clair?

    D'autant plus que cette faillite universelle s'approche à grands pas.

    DSC_9610.JPG

     

    THEURIC

     

     

     

  • Du macronisme philippard en marche: en route pour les dérives.

    Je me fais penser au sieur tirant sur l'ambulance, mais que voulez-vous, ce qui était prévisible survient: nos zélés zélotes du macronisme philippard que sont les députés de la République En Marche font tout pour.

    Certes, je ne vais pas jeter le bébé avec l'eau du bain, certains ne peuvent qu'être que d’honnêtes et intelligents élus qui, bon an mal an, désirent remplir au mieux leur fonction électif, quand bien même je ne suis absolument pas d'accord avec leurs présupposés idéologiques.

    P1010080.JPGMais comment considérer avec sérieux ces derniers lorsque l'on connaît les dérives que certains de ceux-ci commettent.

    Bon, passons rapidement sur les, euh, imperfections (?) de certaines des candidates de ce parti lors de ces élections législatives ( video-une-candidate-en-marche-se-ridiculise-sur-internet-84991 ), ( video-performance-desastreuse-dune-candidate-en-marche-sur-france-3-84729 ), ( video-la-candidate-en-marche-dans-le-rhone-expose-son-incompetence-la-television-84949 ),  j'en comprends que personne ne leur a donné la possibilité ni le temps de s'instruire un minimum de ce que peut être la communication politique.

    Ces trois dames avaient juste voulu faire preuve d'un petit peu de langue de bois, malheureusement, çà, ça s'apprend, parler pour ne rien dire est un exercice difficile, même avec une anti-sèche devant soi, et qui, comme tout, doit s'enseigner, faites l'expérience, amis lecteurs, en vous essayant au gromelot, vous verrez, ce n'est pas si évident que ça.

    Cela ne peut que vouloir dire que celles-ci furent envoyées devant les caméras sans qu'elles aient reçu la moindre formation initiale, jetées en pâture devant les médias sans filet qu'elles ont été, comme le taureau dans l'arène, le lapin devant le furet.

    En fait, nos propagandistes en chef furent tellement assurés que leurs manipulations mentales fonctionneraient qu'ils n'ont même pas pris la peine deP1010046.JPG former leurs futurs élus.

    De plus, cela ne veut que dire que seul le formatage idéologique suffisait à ces propagandistes, du reste, ils s'en foutaient complètement, elles auraient pu bêler que c’eût été, pour eux, du pareil au même.

    Le principal ayant été que Monsieur Macron obtienne la majorité à l'Assemblée-Nationale, quelle que puisse être la personne qui serait élue du moment qu'elle obéirait aveuglément aux décisions de l'oligarchie.

    Or, comme écrit plus haut, ce qui était prévisible survient et les débordements de ces zélés zélotes se suivent, sans se ressembler, heureusement, pour eux, du-moins (et puis ça nous donne l'occasion de rigoler un peu).

    Ainsi a-t-on appris, il y a peu, qu'un de ceux-là, Monsieur El Guerrab, aurait tabasser l'un de ses anciens camarade du P.S., cadre de ce parti de son état, Monsieur Faure.

    J'en ai lu quelques articles et, ma foi, il est visible que les journalistes doivent vraiment ramer pour justifier cette agression, en  accusant, à demi-mots, la victime d'avoir été le premier agresseur.

    Elle aurait ainsi tenu le poignet de l'assaillant en le traitant de "sale arabe", plus P1000758.JPGquelques mots d'oiseaux, pourquoi ce dernier n'a-t-il pas porté plainte plutôt que de le frapper, avec son casque, au demeurant, l'envoyant à l'hôpital, manquant autant de jugeote que de contrôle.

    Croyez-vous vraiment qu'un homme politique d'expérience laisserait passer une pareille aubaine, un coup sur la tête et il peut dire n'importe quoi, perte d'équilibre, douleurs aux cervicales, troubles du sommeil, ça ne peut pas se prouver?

    Croyez-vous aussi vraiment que les gens du P.S., enfin ceux qui reste, n'ont pas l'envie vibrante de se venger?

    D'ailleurs, comme je l'ai déjà dit, ils ne sont pas les seuls, ceux de L.R. aussi doivent attendre les marcheurs à reculons au coin du bois.

    Pour l'instant, ils patientent, et vous allez voir un de ces quatre, quand les R.E.M.s ne s'y attendront pas, quand ils seront bien fragilisés, comment ces vieux de la vieille de ces anciens partis politiques vont te les piéger, comment ils vont te les éparpiller façon puzzle, et tous ensemble iront à l'hallali en plus, P.S. & L.R..

    "Sus au macronisme", qu'ils diront, "taïaut, taïaut, taïaut et Monjoie! Saint-Denis!"

    L'ennemi de mon ennemi est mon ami, n'est-ce pas?P1000879.JPG

    Enfin  bref, il aurait pu, si ces injures sont réels, ce qui reste à prouver, attendre, comme l'ont fait maints politiques, pour se venger plus tard, ou même, à l'ancienne, dans un style troisième république, proposer un duel à l'épée comme l'avait fait Gaston Defferre et René Ribière il y a une soixantaine d'année.

    Au moins aurions-nous rigolé un peu et ridicule pour ridicule, Monsieur El Gerrab aurait certes perdu également la face au-devant de ses électeurs, mais avec élégance.

    Il aurait même pu user d'humour, comme Monsieur Chirac en son temps qui avait répondu, en tendant la main à un quidam qui l'apostrophait en criant: "enculé: "Moi c'est Chirac, enchanté."

    Donc, il a certes été mis en examen par le juge d'instruction et, de ce fait, démissionné de R.E.M. mais devinez quoi, il se retrouve maintenant à la commission de la défense ( #more-106802 ).

    Comme quoi dorénavant les élus de R.E.M. ne peuvent que se sentir intouchables.

    Un autre cas, montrant et démontrant le sentiment d'impunité de ces élus, me paraît révélateur de l'incroyable impudence de ces gens.

    Madame Pascale Fontenel-Personne, propriétaire d'une agence de voyage dans la P1010071.JPGSartre, organisait de petites visites de l'Assemblée-Nationale, contre la somme sonnante et trébuchante de 119€ que, bien entendu, elle conservait ( visites-payantes-a-l-assemblee-que-risque-la-deputee-pascale-fontenel-personne_2363377.html ).

    Il n'y  a pas de petits bénéfices, n'est-ce pas?

    Sans comprendre le sens de sa fonction élective, de ses responsabilités majeurs face à ses concitoyens, de la représentativité qui est sienne face à la nation, de son simple sens du devoir, cette façon de faire éclaire de manière incontestable que pour une partie de ceux de R.E.M. (le rem est l'unité de mesure nationale des effets biologique de la radioactivité, à l'international c'est le sievert, comme quoi nous comprenons cette propagande, les R.E.M.s sont radio-actifs, hi, hi, hi) qui se devraient d'élaborer et de voter les lois, ne perçoivent, de leurs fonctions, que leurs intérêts propres.

    Et les autres, tous les autres qui y croient, et ben, ils commencent tout juste à comprendre qu'ils se sont fait couillonner dans les grandes largeurs.

    Je suis allé voir le site C.A.M.E.M. ( https://www.camem.org/ ), association des adhérents en désaccord avec la direction de la République en Marche sans démarche.

    Quels naïfs, mais quels naïfs ils font, il se font balader comme des gamins, n'ont rien compris de ce qu'ils représentent réellement (rien) et, surtout, à qui ils ont affaire.

    D'ailleurs, il doit en être de même de quelques députés d'E.M., comme ce P1010058.JPGmathématicien, Cédric Villani, loin d'être sot mais qui n'a pas saisi que ni la politique, ni l'économie, du reste, ne sont des sciences réellement mathématisables.

    Sciences humaines, oui, du domaine de la sociologie, c'est vrai, mais tout autant de l'anthropologie, de l'histoire, de l'organisation, de la philosophie et de bien d'autres domaines qui ne peuvent être ceux ayant trait aux mathématiques, ou à la marge.

    Pour l'instant tout est beau, tout est rose, mais bientôt les oligarques leurs montreront leur visage grimaçant et les lois qu'ils auront à voter se révèleront de plus en plus souvent autant absurdes que contrintuitives, voire parfois ubuesques et destructrice.

    Et alors là, cette bleusaille si naïve en politique, qui se rêvait de tracer la voie pour la modernisation de la France, qui se rêvait fondatrice d'un lendemain qui chante, pourra se dire honteux et confus: "Mais mon dieu, qu'ai-je fait dans cette galère!".

    "Tout beau parleur vit au dépend de celui qui l'écoute", disait d'antan Lafontaine par le  bec du corbeau.

    Cette leçon leur vaudra plus qu'un fromage, sans doute, parce que ce n'est pas un renard qu'ils ont ouï mais bien des loups, ressemblant à ceux qui, d'antan, étaient déjà entrés dans Paris.

     

     

    P1010040.JPGTHEURIC

  • Seconds aphorismes.

    Voici le second de mes trois séries d'aphorismes, celui-ci écrit en Mai 2015.

    Je vais, comme pour le premier, aller voir si des coquilles ou des imprécisions ne s'y cacheraient pas.

    A l'époque ce fut un exercices intéressant qu'il me faudra un jour reprendre.

    Tiens, je vais même tenter d'en recomposer quelques-uns.

    Le tout premier de cette série est l'un de ceux qui m'amuse le plus parce qu'il fait P1020261.JPGécho à lui-même.

    Pour le troisième, vous attendrez un peu.

    Bonne lecture.

     

     

    L'aphorisme est le pari stupide et impossible consistant à tenter d'en dire autant sinon plus dans une courte phrase ou un minuscule paragraphe que dans un livre de plus de deux cents pages.

    Les idées contemporaines sont comme les plats en boite vendus dans les grands magasins: elles ne sont pas cher, elles ne sont pas bonnes et ont toutes le même goût, à de rares exceptions près, mais dans ce cas là, quel extase.

    Ce n'est pas l'ignorance qui est grave, ce qui est grave c'est de vouloir rester ignorant!

    Ce n'est pas l'erreur qui est grave, ce qui est grave c'est de vouloir rester dans l'erreur!

    Un empire est ce qu'il est et agit en tant que tel, il est possible de lui reprocher n'importe quoi, sauf cela; la première chose que toute nation colonisée doit faire c'est d'extirper en elle le verni culturel du colonisateur, ensuite l'intendance suivra.

    Le seul et réel ennemi d'un empire c'est lui-même; quand son élite commence à P1020228.JPGcoloniser son propre peuple en le paupérisant, c'est que sa fin est proche.

    Connaissance, croyance et foi sont tous trois différents, les confondre c'est s'égarer.

    La foi est un sens nous donnant le sentiment de l'infinité de l'univers qui, parfois, se fait appelé Dieu.

    Il y a Moi, ma Famille, ma Société, mon Espèce, comprendre l'un permet de comprendre les trois autres et ainsi de faire cesser leurs chamailleries.

    Tout projet de destruction provient de la fascination qu'exerce sa propre annihilation, c'est cela le mal.

    En été tout les français savent que nous avons deux heures de décalage avec l'heure solaire et qu'en hivers nous n'en avons plus qu'une heure, et ce, pour cette dernière restante, parce que nous vivons toujours sous les horaires allemands, nazis et vichystes depuis 1940, ceci expliquant peut-être cela.

    Connaître le passé permet de comprendre le présent et de percevoir le futur; rendre, pour la population, incompréhensible l'histoire rejaillira toujours contre ceux qui en furent les promoteurs et/ou sur leurs descendances, il en est de même d'y raconter des mensonges sur un fait capital.

    La meilleurs façon d'être heureux c'est de ne pas être malheureux, parce que le bonheur n'est pas un fait mais un état, mental et métabolique et dès lors physique.

    Lorsqu'une catastrophe inévitable va survenir, il n'est plus de solution que de s'y P1020262.JPGpréparer, ignorer son avènement en doublera ses effets par la surprise que cela génèrera, en nier sa survenue sera pire encore puisque celui qui en réfute le commencement en niera ensuite toujours le fait, quand bien même cette catastrophe serait déjà pleinement là.

    Les puissances marchandes font ce qu'elles savent faire, elles marchandent, c'est de ne pas avoir compris cela que nous en sommes arrivés là où nous en sommes.

    Nous savons tous ce que nous sommes mais savons-nous qui nous sommes?

    Qu'y a-t-il de philosophiquement plus beau que le brin d'herbe poussant au milieux de l’asphalte?

    Légaliser le hachich comme le proposent certains laudateurs, pourquoi pas, les gouvernements ont toujours besoin de citoyens imbéciles et sans mémoire, il est ainsi plus facile de les manipuler.

    Nos sens sont limités, certes, mais l'interprétation de ce que nous percevons aussi, nous ne sommes pas sorti de l'auberge entre l'apparence du monde que nous donnent nos sens et celle de ce que nous en concevons.

    Quand une idéologie en arrive à sa fin, ses porteurs tendent à une violence accrue à mesure que cette idéologie s'effiloche, comme aujourd'hui en France, en Europe et aux U.S.A.; cela devait faire depuis longtemps que l'idéologie communiste s'était effilochée en U.R.S.S., 1991 n'en ayant été que la ponctuation.

    En vrai, nous voudrions tous cheminer vers la sagesse mais cela ne peut que se faireP1020268.JPG qu'en bon ordre: d'abord nous sommes adeptes aux opinions simplistes, comme il en est pour la majorité de l'humanité, ensuite nos conceptions du monde deviennent complexes, ainsi devenons-nous savants, puis, enfin, nous abordons la simplicité de notre compréhension des principes universels, c'est cela être un sage, mais ils sont bien rares et je ne pense pas être tel.

    Depuis que la vie existe sur Terre, les catastrophes ont traversées le monde, notre cerveau s'est, entre autre, bâti au fil des ères pour s'y adapter, quand le bien-être fait société, le cerveau, le corps des êtres humains s'ennuient; jusqu'à quel point la catastrophe économique universelle qui vient ne proviendrait-elle pas de cela?

    Rien ne se fini, rien n'est achevé, tout est en devenir!

    Tout juste avons nous eu le temps de nous adapter à la société d'agriculteur-éleveur que, déjà, nous devons la quitter: qu'est-ce donc que quinze milles ans pour une espèce?

    Je ne comprends toujours pas quel est l'utilité d'avoir une fortune telle qu'une grande proportion est improductive et ne sert qu'à gonfler ce capital, paraît-il que ça s'appelle le faire fructifier; fructifier du superflu ne serait-il pas vain?

    P1020268.JPGLes premiers racistes ne seraient-ils pas ceux qui, de part leur immense fortune, appauvrissent les peuples, soit la large majorité de l'humanité, nous, en ne considérant pas ceux-ci comme faisant parti du genre humain, c'est à dire eux?

    L'une des origines de l'intelligence, c'est le degré d'attention que l'être vivant porte sur le monde, ainsi Homo Sapiens Sapiens a-t-il un degré d'attention au-dessus de tous les animaux, ce n'est pas pour cela qu'il s'évite d'être bête et bestial, que voulez-vous, on ne se refait pas...

    En France, le peuple n'aime pas être trahi par leur gouvernement, ça l'agace, 1789 nous le montra, cycliquement, le pouvoir politique glisse sur cette pente savonneuse, la politique rendrait-elle certains masochistes?

    Lorsque quelqu'un ne se laisse guider, pour ses décisions et actions, que par son seul dogme, toujours cela le conduira à la catastrophe, mais il pensera à chaque fois que ces catastrophes ne surviennent que parce qu'il n'a pas su suivre suffisamment correctement ses préceptes.

    Parfois rien n'est plus douloureux que d'entendre quelqu'un d'autre décrire la réalité et de le comprendre.

    Une croyance n'est que relative à elle-même, il est toujours possible de croire l'inverse, mais ainsi s’annihileraient-elles l'une l'autre.P1020164.JPG

    Sans intelligence il ne saurait y avoir de conscience, sans conscience il ne saurait y avoir de pensée, sans pensée il ne saurait y avoir de raison, et dire que c'est notre inconscient qui guiderait tout ça.

    L'aventure nous l'attendons mais nous la craignons aussi, ceci expliquant peut-être cela.

    La patience c'est bien, encore faut-il savoir de quoi nous nous patientons: l'attente sans but est dérisoire.

    La plus belle des élégances ne se combine pas.

    Il y a mieux que de se sauver d'un danger, le prévoir.

    Il y a-t-il de la justesse dans la justice et de la justice dans la justesse?

    Le hasard existe, sinon le photon ne serait pas en même temps onde et corpuscule.

    Tout dictateur et toute oligarchie oublient une toute petite chose: ils sont mortels.

    La gentillesse est une belle et douce douleur.

    Le plus beau cadeau de la vie c'est son écho.

    P1020267.JPGla différence entre le christianisme et le bouddhisme? Le premier est de passion, le second de compassion.

    L'insatisfaction n'est qu'un long ennui.

    Faut-il ne pas aimer sa mère que de vouloir brusquer et injurier une femme plutôt que de lui sourire?

    Le savoir n'a de valeur que quand on en fait usage.

    Nous sommes tous double entre Soi et les Autres, entre les deux il y a le narcissisme et l'égo.

    Je préfère la recherche de la compréhension de la réalité à la croyance, la première ne se suffit pas d'une vie, la seconde apaise de sa satisfaction de répondre à toutes les questions desquelles nous n'avons plus à nous poser.

     

     

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  • Retour sur la rétrogression historique.

    Je vous ai déjà entretenu de la rétrogression historique dont j'avais donné la définition ici en fin de page:

    Rétrogression historique : retour momentané partiel, ou total, suivant la violence du traumatisme subit, d’un peuple, d’un pays, d’une nation, sur une base sociologique et/ou anthropologique passée, en raison d’une catastrophe de grande ampleur et/ou d'un intense stress social et, ce, quelle qu’en soit la nature.

    De même je vous avais déjà entretenu des causes sous-jacentes qui en sous-tendent l'origine:

    Et c'est bien cet esprit de progrès qui régressa à la suite de quatre formidables et violents coups de butoirs, ces deux guerres mondiales, la guerre froide angoissante et, enfin, notre domination pleine et entière par un empire devenu vacillant dès le début du XXI° siècle, les États-Unis-d'Amérique, sous l'égide d'une philosophie économique absurde, avilissante et ruineuse, leP1010520.JPG néolibéralisme, impérium lui-même en une défaillance multifactorielle montrant un affaiblissement constant de cet esprit l'amenant aujourd'hui en un état de décrépitude avancé.  )

    Ceci venant en complément de la surpopulation, ou plutôt de l'inadaptation des sociétés à cette surpopulation humaine ( au niveau de l'inflorescence du groseillier à fleurs ).

    Je doutais encore légitimement de cette approche restant tout de même hypothétique puisque je n'en avais pas de preuve directe, et puis, hier, j'ai vu cette vidéo d'un certain Laurent Alexandre et lu l'article l'accompagnant diffusé sur le site de l'U.P.R..

    L'eugénisme en étant le thème central, dont le mot provient d'un britannique, Francis Galton en 1883, le début de ce mouvement remonte aux environs de 1850 et fut à l'origine des génocides juifs et tziganes et des massacres de russes sous l'Allemagne nazi de 1936 à 1945.

    Cette aberrante croyance prit fin en Occident en 1976 quand la Suède abandonna son programme de stérilisation des handicapés congénitaux et mentaux, trouvant aujourd'hui une nouvelle ressource à Singapour dès les années 80 et en Chine en 1995.

    Mais aussi en France où nous retrouvons les toujours même têtes vides, Minc, Attali, Madelin et consorts...., à la suite du sieur Alexandre, à adopter l'idée la plus stupide P1010844.JPGqu'ils puissent trouver, en concevant magnifique et moderne une telle vieillotte foutaise: après avoir repris les vieilles rengaines économiques du XVIII° et XIX° siècle qui nous plongent aujourd'hui dans les immenses difficultés desquelles nous nous confrontons, ils ressortent de la naphtaline cette dérisoire, hideuse et dangereuse idée qui avait accompagné le monde en une guerre de 50 à 70 Millions de mort, ceci à la suite d'un malade mental qui avait pour nom Adolphe Hitler.

    Mais que notre élite, soit-disant intellectuelle, soit aussi stupide que méprisante, ma foi, ça devient presque un lieu commun que de l'affirmer.

    En fait ce qui, pour moi, est intéressant dans cette affaire c'est qu'elle me prouve que la rétrogression historique n'est en rien une hypothèse mais bien une théorie, ceci en raison de son caractère prédictif.

    Sans avoir pu conjecturer par le passé quelle forme cela prendrait, nous pouvons toutefois observer la résurgence de ce concepts anciens tel que cet eugénisme désuet et anti-scientifique.

    Et il est à prévoir que d'autres phénomènes de même type puisse réémerger pour le meilleurs et parfois le pire, tel que le retour des maisons closes, d'un catholicisme fort, de l'usage du charbon possible, du chemin de fer, du bal du Dimanche ou du Samedi soir, de la guinguette, du maraichage de la région parisienne, du service militaire, de la circulation à cheval, voire peut-être même des vêtements P1020036.JPGtraditionnels régionaux, de leurs chants, de leurs musiques..., d'une renaissance de la vie sociale et rurale..., mais aussi de pandémies.

    Ce qui ne remettra pas en cause d'une quelconque façon ni le téléphone, cellulaire ou pas, ni internet, ni la télévision, ni les centrales nucléaires, ni le moteur à explosion et l'avion à réaction, ni de beaucoup de ces choses qui font et fondent notre modernité, en revanche ce sera leur utilisation qui en sera changée, de plus tout ce qui se révèlera inutile, rapidement, disparaîtra inéluctablement.

    Il en est ainsi de tous les Laurent Alexandre, tous les Jacques Attali, qui accumulent tant d'être dans ce passé improductif tout autant que dans leur lourd passif, comme hier ces hobereaux qui entouraient Napoléon III, ils disparaîtront dans un grand bâillement, gesticulant encore de temps en temps comme il pouvait arriver aux mêmes à la naissance de la III° république.

    Ne se rendant pas compte qu'aujourd'hui ils ne sont que le jouet d'un inconscient social qui les dépasse, parce que n'en pouvant pas le percevoir puisque ne pouvant le concevoir, en étant totalement incapable d'en saisir la nature,  et qui les mènera sous peu à l'oubli de tous, un oubli historique qui sera leur pire des punitions, parce que déjà ils ne servent plus à rien, déjà dépassés par l'évolution rapide d'un monde en total mutation et dont ils ne peuvent saisir la moindre parcelle.

    P1010782.JPGQuand à ces futurs polytechniciens, s'ils n'ont pas ou si peu réagit c'est qu'ils ont, pour la plupart, compris depuis très longtemps que nul ne leur demande de penser, mais de répéter sur leur copie rendue à leurs maîtres bienaimés la matière dont ils furent instruits et fut si bien mémorisé sans vraiment tout comprendre, comme le bébé rend à sa maman chérie la tété qui l'a nourri sous forme d'un beau caca bien chaud, ainsi que l'expliquait si bien Françoise Dolto.

    Pour eux, en revanche, j'ai beaucoup de peine: combien de ceux-là sauront s'extraire de cette nasse, de savoir inventer et trouver le bonheur de la découverte en remettant en question, en triant de ce dont n'est rien d'autre que de l'inutile, écarté au profit de ce qui se révèlera être de la connaissance la plus précieuse?

    Comprendront-ils que le mot profit ne se relève pas seulement de celui de l'argent tout comme celui d'intérêt des seuls prêts bancaires?  )

    Ce palpable manque d'humanité de cette bande de rigolos, dû à un immense orgueil égal à leur défaut de jugeote, ce que les grecs ancien appelaient l'hybris, provient, je le suppute, de leur grave carence affective et/ou d'un traumatisme important.

    Ceci doublé d'un entre-soi vaniteux où chacun rajoute par sa petite idée, sa petite pierre à la petite colline de sornette qui nous est déversé jour après jour dans les médiats, ceci pour tenter de prouver à l'univers qu'ils sont d'une omnisciente essence divine, c'est ainsi que notre olibrius a-t-il pu proférer une telle niaiserie à ces futurs polytechniciens: "Vous, vous êtes des dieux!".

    Mais ce n'était pas à eux qu'il s'adressait, mais seulement à lui-même.P1020064.JPG

    Parce qu'en fait il ne s'agit que de cela, d'un tas de médiocres qui, par tous les moyens, tentent de cacher, d'abord à leurs propres yeux, mais aussi à ceux de tous, que s'ils occupent le poste ou la place sociale qui est le leur ce n'est que par la grâce d'un empire U.S., maintenant en liquidation liquéfaction, qui avait besoin de tous ces ramollis du bulbe passés et présents pour pouvoir dominer la France, en faisant croire que ce serait plutôt en raison d'une présupposée parfaite intelligence, qu'ils savent inexistante.

    Et pour cela ils sont capable de toutes les forfaitures, comme de baisser le niveau scolaire, ou d'envoyer la police combattre des gilettistes qu'ils perçurent infiniment plus sensés qu'ils ne pourront jamais l'être.

    Tout du moins ce sieur, se disant transhumaniste, à priori datant des années 90, autre fumisterie sortie tout droit des niaiseries qui avait vaguement cours il y a encore dix ans quand on s'aperçut que c'était irréaliste, mais ce qui pour lui et ses semblables reste ultramoderne, ne détenant manifestement pas l'ombre d'une pensée profonde, me montre-t-il que la rétrogression historique est bien un instrument théorique pouvant se révéler efficace.

    Et si quelqu'un le connaissant me lit, dites lui bien que l'Être Inutile que je suis lui renvoie avec un plaisir non dissimulé son injure balancée avec un vague dédain à l'encontre d'une large majorité de français, lui qui n'a d'importance réelle que celle qu'il se donne, seulement quand il se contemple dans son miroir médiatique, et moi qui ne suis qu'un conducteur P1010570.JPGd'autobus à la retraite.

    Qu'il comprenne bien que je ne le hais point, juste ai-je une incommensurable commisération pour le pauvre hère qu'il est en réalité, n'ayant pour lui une pitié aussi infinie que peut l'être sa vide fatuité.

    Parce qu'en fin de compte il ne fit que cela: projeter sur plus faibles, la population provinciale et de  banlieue, ses propres déficiences et de tenter de se prouver sa valeur en se faisant passer pour dieu (il y en a eu qui se retrouvèrent en asile psychiatrique pour moins que ça), tout en me prouvant que mes petites  théories ne sont pas aussi inintéressantes que ce qu'il pourrait s'en concevoir.

    Chacun pouvant socialement servir à quelque chose suivant ses capacités, n'est-ce pas?

    Je me demande si Laurent Alexandre ne m'aurait pas légèrement foutu en rogne par hasard.

     

     

    THEURIC

    P.S.: Des vacances me mènent à un arrêt provisoire de mes chroniques, la suite à la prochaine émission.

  • Réflexion sur la situation US et au-delà, par l'imagination.

    Pour avoir une idée de la situation aux États-Unis-d'Amérique et au vu du peu d'informations qui me parviennent en tant que non anglophone, il faut, à mon sens, résumer ce que l'on en sait, puis utiliser de son imagination pour parvenir à en conceptualiser l'état.

    Qu'en savons(de Marseille)-nous?

    Comme j'ai pu l'expliquer par le passé, en juillet 2018 (en deuxième partie), les USA et leurs possessions, les pays de l'UE et le Japon, suivent une trajectoire similaire mais inversée, en miroir, de ce qui avait prévalu lors de l'effondrement de l'Union-Soviétique précédée de la disparition du pacte de Varsovie.

    Puis, dans un  billet suivant, en Août 2018, j'y avait expliqué que dans un système politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, il n'était pas possible de le réformer sauf à ce que cela ne le conduise à sa inéluctable destruction, bien que j'en avais écarté, à l'époque, l'empireP1020049.JPG US, ne me contentant d'effectuer cette analyse seulement pour l'Union-Européenne.

    Ce verrouillage étant dû à sa constitution, totalement dépassée, écrite au XVIII° siècle pour une population à l'époque réduite, vivant dans un petit nombre d'états rassemblés sur la  cote nord est des USA, à la suite d'une guerre de libération d'avec l'empire britannique d'alors, aidé en cela par la France de Louis XVI et l'Espagne, ainsi que d'un dogmatiste obtus de ses élites, quasi originel.

    Je vous reporte, pour la seconde fois sur ce que j'y notais sur le sujet de ce verrouillage, ici il sera raccourci à l'essentiel:

    (Les raisons en sont qu'à ce moment là trois forces fortement antagonistes apparaissent:

    1)-la première critique et réformatrice;

    2)-la seconde conservatrice;

    3)-la troisième subversive et dissolvante.

    Ceci accompagné d'une grave perturbation du fonctionnement de ce système politique.

    Cette troisième est, au début, relativement discrète, probablement ne se P1020088.JPGreconnaissant pas comme telle et est même plutôt faible, se trouvant fortement décalée du centre du pouvoir.

    Les luttes internes des deux autres forces tendent à désorganiser le fonctionnement du-dit système, les affaiblissent l'une et l'autre et, surtout, en rendent visibles les incohérences structurelles aux populations et, dès lors, en en accroissant le rejet.

    Tout cela mène à une instabilité organisationnelle de ce système politique qui s'affaiblit mécaniquement.

    Ceci accompagné de la monté en puissance de la force subversive qui, en raison même de cette instabilité, toujours génératrice d'une forme ou d'une autre de violence, se radicalise puis prend le pouvoir, soit en achevant la destruction de ce système, soit après que celui-ci se soit autodétruit.)

    Or, hier au soir je me suis rendu compte qu'en fait, au même titre que l'Union-européenne, les Etasunis suivent un mécanisme tout aussi semblable que l'URSS, de surcroit, du-moins de ce que j'en sais des forces qui s'exprimaient en cette dernière, en une complexité politique US importante due à sa désorganisation croissante.

    Que nous résumions ces trois forces en jeu outre-atlantique:P1020188.JPG

    1)-La critique et réformatrice est représenté par Monsieur Trump, ses électeurs, de la part industrielle de l'oligarchie et peut-être d'un tiers de l'armée;

    2)-La conservatrice est visible de par l'état profond (les services secrets et les va-t-en-guerre politiques ou vrais faucons), l'oligarchie monétariste bancaire et spéculative, le complexe militaro-industriel et encore, peut-être, un autre tiers de la même armée(?);

    3)-La subversive et dissolvante, qui me reste hypothétique, composée d'une mouvance, pas seulement populaire de ce que j'ai pu en voir, entre une sociale-démocratie à l'européenne des années 60 et d'un communisme, européen également, des années 20 à 40 (qui ne sont pas vraiment les mêmes) qu'il est possible de voir s'exprimer sur le WSWS entre-autre, voire à ce que des courants soient proche de l'anarchisme, plus, toujours de façon incertaine, le dernier tiers de l'armée US s'égrainant suivant ces obédiences ( Tulsi Gabbard, plutôt sociale-démocrate, retenez ce nom ).

    Le tout ayant des accointances plus ou moins importantes avec le personnel politique national et des états de l'union.

    Là où ça devient intéressant c'est que, si nous nous y penchons par une expérience de pensée, nous nous apercevrions que, possiblement (je reste prudent), chacune de ces trois forces sont divisées:

    P1030112.JPG1)-Donald Trump, dit Mr. Coincoin, est pris entre les isolationnistes stricto sensu voulant refermer les frontières rapidement, ceux qui patientent d'installer cet isolationnisme qu'après que la réindustrialisation du pays atteindra un niveau satisfaisant et les impériaux qui veulent perpétuer la domination étasunienne, au moins en Amérique-du-Sud, voire de conserver un pied-à-terre au Proche-Orient, en Israël et en Arabie-Séoudite (le pétrole), tout en réindustrialisant le pays.

    L'armée qui lui est liée ne réagissant hors de tout ordre que si le président était en danger;

    2)-Les conservateurs ne peuvent qu'être divisés à cause de leurs intérêts divergents:

    a) l'état profond, ces vrais faucons, veut absolument que les États-Unis-d'Amérique reste un empire en raison de leur croyance en leur destinée manifeste et leur mythe  d'un présupposé exceptionnalisme de leur pays et de leur peuple.

    Nous ne pouvons qu'imaginer que les porteurs anciens de ce dogme ne peuvent qu'être devenus vieux ou morts et que les jeunes qu'ils avaient nommés pour les seconder et ayant pris depuis le pouvoir dans les services de renseignement, ayant aujourd'hui dans les 40 à 50 ans, souffrent d'une grave incompétence, cesP1030464.JPG anciens les ayant choisi pour leur obéissance et non pas pour leur intelligence, de peur qu'il ne les renversent;

    b) l'oligarchie financière, la ploutocratie, n'est intéressée que par les gains qu'elle peut accumuler.

    Or c'est tout le système économique US qui se trouve être totalement déstabilisé en raison des sommes colossales des dettes de toutes sortes, il n'est plus que les QE qui le fait tenir encore debout, comme en Europe, en Chine, au Japon et partout ailleurs.

    Dans le même temps elle est d'accord avec Mr. Coincoin pour que la FED, la banque centrale US, fasse descendre ses taux de prêt ou taux directeurs, jusqu'au zéro, la FED, justement, ayant injecté 128 milliards de dollar dans le bazar, mais les acteurs monétaristes craignent que la guerre économique d'avec la Chine ne les ruine, tout comme la fin des guerres conventionnelles qui les enrichissent;

    c) le complexe militaro-industriel, justement, rempli de prévaricateurs et autres escrocs, se trouve scindé entre, par exemple, les fabricants du F35, de Lockheed Martin, qui ont, grâce au Donald, vendu leur fer-à-repassé aux belges, britanniques et polonais rubis sur l'ongle, et ceux qui voient dans les guerres menées au Proche-Orient l'occasion de vendre leur marchandise.

    P1030469.JPGGuerres  que Trump voudrait voir cesser parce que coûtant extrêmement cher;

    d) la partie de l'armée va-en-guerre ne souhaitant qu'une chose, combattre les ennemis qui lui a été désigné et ne comprend pas que l'on puisse l'en écarter en rapatriant les troupes.

    3)-Ce que l'histoire montre c'est qu'il y a un désaccord formel, voire absolu, entre les différentes composantes socialistes et communistes, qui peuvent, toutefois, s'allier momentanément contre un ennemi commun, ce sont:

    a) une sociale-démocratie dont le but est de réguler le capitalisme par l'état (ce que nos socialistes et communistes gouvernementaux ne font plus);

    b) un communisme qui veut, lui, une économie étatique plus ou moins poussée suivant les obédiences;

    c) un anarchisme qui désirerait, plus ou moins là encore une suppression de l'état suivant ses différentes mouvances .

    Il est à noter qu'en ce cas sa portion d'armée que je suppute et que je définis du tiers restant serait la moins obéissante du reste des troupes et pourrait avoir de réelles velléités séditieuses.P1010825.JPG

    Comme je viens de le montrer, bien que cela va de soi je n'en aie pas vraiment de preuve, quoi que cela me paraît logique, le paysage politique de l'empire US ne peut qu'être qu'un foutoir sans pareil et la situation pourrait être infiniment pire que ce que j'en raconte.

    A la dangereuse incompétence des uns, la colère et la haine des autres, son verrouillage politique noté plus haut, la lenteur évidente de sa réindustrialisation, ses dettes et sa sur-profusion monétaire ainsi que ses faiblesses économiques liées, sa chaîne hiérarchique administrative, économique et politique remplie de malhonnêtes et de fripouilles et un peuple qui, pour une partie importante, se retrouve à vivre en plein tiers monde, sans compter tous ces gens grandement armés, ce pays se retrouve au  bord d'un très grand précipice.

    A un moment ou à un autre cela ne peut que dégénérer d'une manière ou d'une autre.

    Je ne sais pas si vraiment elle se produirait,, si elle advenait quel pourrait en être l'élément déclencheur, qui pourrait être infime, ni sa forme, mais, plus encore qu'il y a une décennie, le risque d'une guerre civile n'y est pas à exclure, loin de là.

    D'en comprendre la possibilité, voire la forte probabilité qui s'accroit chaque jour nous permettant, du-moins, de ne pas souffrir d'un choc traumatique quelconque en l'apprenant si cela devait P1010158.JPGavoir lieu.

     

     

    THEURIC

     

  • Mon intention.

    Je ne recherche, en soi, aucune gloire, tout juste  aimerais-je être reconnu pour la production de mes d'idées, mais, de cela, je le sais impossible.

    Cette solitude qui, peut-être à un moment ou à un autre de ma vie, cessera, ne peut qu'être que pesante, mais suis-je en droit de cesser de poser sur ces pages de ce que je comprends d'un futur qui sera pour nous en tous points difficile?

    De faire comprendre au mieux à mes semblables les durs temps qui viennent.

    De guerre lasse, je fus tenté hier de provoquer mes lecteurs en allant au plus profond du piège logique dedans lequel nombre d'européens et d'étasuniens sont plongés, et puis ce matin je me suis ravisé, ce serait contreproductif.

    En fait la propagande des États-Unis-d'Amérique repose, en Europe, sur quatre piliers distincts, qui furent toujours faux et/ou d'une grande perversité:

    1) La toute puissance de l'empire US liée à l'idéologie néolibérale monétariste;P1030021.JPG

    2) L'inéluctable nécessité de la construction européenne sur de mêmes bases idéologiques utopiques;

    3) le présupposé réchauffement climatique anthropogénique;

    4) la désexualisation des peuples européens et leur infantilisation.

    Ceci sous l'égide d'une domination impériale multidécennale, culturelle, médiatique, symbolique, artistique, politique, historique, géographique, sociologique, diplomatique, médiatique, scientifique, économique, électorale, scolaire, militaire d'une moindre façon, ceci par le biais d'officines de pression pour lesquelles sont autorisées toutes les subversions totalitaires et perverses, toutes les entorses à la moindre des moralités, mais discrètes, et dont l'Union-Européenne n'est que la pure créature, l’œuvre malfaisante et ultime.

    La France serait ainsi en droit de vouloir récupérer sa statue de la liberté que depuis des lustres notre cher Toton Sam n'a cessé de piétiner allègrement chez lui comme chez nous.

    Tout ceci générant un état de soumission doublé d'une sidération importante des peuples, dont des français, qu'il est ardu de réduire, parce que la peur que tout cela s'arrête d'un coup est plus importante que de la lente décrépitude de la société qui, P1030151.JPGquoi qu'il en soit, ne pourra qu'être plus importante en terme de destruction que de ce qu'il pourrait en être de ce brusque effondrement.

    Pour la simple et bonne raison que les instabilités sociétales de toutes sortes s'accroissent jour après jour.

    Dès lors, que l'un de ces quatre piliers en vienne à se rompre et ce serait tout l'édifice qui s'effondrerait définitivement.

    Mais en revanche, si tous périclitaient en même temps, nous devrions faire face à une réaction de type stress post-traumatique d'une portion non négligeable de la population.

    Et, suivant le fait que depuis des décennies ces-dites instabilités du système dans son ensemble, économique, certes, mais aussi politique, médiatique, philosophique, artistique, scientifique, etc... tendent à s'accroitre, il y a de forts risques pour que ce pire n'advienne.

    Tout mon travail ne consistant alors qu'à essayer de prévenir  au mieux des effets probables que cela génèrera.

    Le point névralgique, la terrible faiblesse de tout ce système de domination c'est l'économie, occidentale, certes, mais aussi mondiale, au centre duquel se trouve le dollar et un euro qui n'en est qu'une pâle et artificielle copie, le tout se trouvant dansP1030177.JPG une épouvantable situation.

    Il s'agit donc de s'y préparer au mieux, tant psychologiquement que matériellement, mais pour cela encore faut-il en être conscient.

    Mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est visible que sa simple évocation met en émoi les gens, crée une angoisse d'une grande violence puisque à ce monde connu et reconnu dedans lequel tous s'y reconnaissent, nous plongerons dès lors dans celui inconnu d'un socle conceptuel et perceptif naturellement énigmatique et incertain.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que la plupart de mes lecteurs découvrant mon site n'en lisent que deux à trois pages puis, ensuite, en viennent à en oublier tout autant l'intitulé que l'adresse.

    Tout en se surprenant ensuite de faire quelques réserves en nourriture et produit d'entretien.

    Le principal se trouvant là, bien sûr.

    Quand à ce qu'il pourrait en être de ce que j'y exprimerais oralement de ma perception de la chose, mon expérience me montre de la fuite, sous une forme ou une autre, à chaque fois de mon interlocuteur, que je ne peux y espérer une écoute meilleurs que de ce qu'il peut en être de l'écrit.

    P1030199.JPGSachant qu'aux deux extrêmes de la perception de cet achèvement de notre domination impériale euro-atlantiste, mais aussi oligarchique, et de cet effondrement économique inévitable, tous trois complémentaires, s'y trouvent largement majoritaire ceux qui en ont un déni plus ou moins important, tout comme ceux qui en sur-exagèrent les effets, ceux que l'on appelle les survivalistes.

    En une dernière tentative, pour ces derniers, de conserver un contact, même symbolique, d'avec la puissance impériale largement déclinante, parce qu'il est vrai qu'au-delà de l'océan Atlantique, ce sera là que cette crise inouïe sera la plus importante.

    Un effondrement n'est que ce qu'il est et ne peut se faire que sur les bases de ses vulnérabilités, détériorations et de ses faiblesses grandissantes: si un pont s'écroule, il est vrai que personne ne pourrait en définir la date par avance, en revanche il est possible de dire, au vu de son état de délabrement, où il serait le plus manifeste que la cassure se produise.

    Là, pour ce qui nous occupe, il n'en est pas différemment.

    Mais cette commotion de la population pourrait être évité si, auparavant, l'UPR prenait le pouvoir en devenant électoralement majoritaire dans le pays et que François Asselineau en devenait le nouveau président, conduisant le France-quitte de cette Union-européenne mortifère, comme, aujourd'hui, le fait la Grande-Bretagne de son brexit.

    Certes, les eurolâtres nous créeraient de nombreuses difficultés, les premiers tempsP1030038.JPG nous seraient compliqués, mais plus vite cela arriverait et mieux la nation s'en porterait.

    Et qu'ainsi rapidement se conduise une reconstruction industrielle et agricole dont tous nous avons infiniment besoin.

    Si ce n'étaient les journalistes cornichons qui, dans les médiats officiels, n'ont que de cesse de mentir  éhontément sur toutes sortes de  sujets et, entre-autre, sur ce parti politique, sur son président et sur ce projet logique et sain de sortir de cette union dont le but n'est que de détruire les pays pour en asservir les peuples à un empire U.S. dont le déclin n'est pas loin de son achèvement par sa disparition prochaine.

    Parce que de toute la chaîne de responsabilité de cette gabegie  absolue, ces journalistes cornichons se trouvent, de fait, en première ligne, et chacun d'entre-eux se devrait de se demander si, entre lui et ses donneurs d'ordre milliardaire ou ministre, lequel aura le plus à souffrir de la disparition de l' UE€ et de leurs maîtres étasuniens.

    Ce sont en effet le plus souvent les sous-fifres qui paient le plus les pots cassés.

     

    Lutter de toutes forces contre cette inertie populaire compréhensible serait, de ma part, absurde.

    Du-moins aurais-je tout fait pour en réduire la violence de ce choc avenir, la banqueroute généralisée et la disparition de notre cher oncle si tant et tellement incivile qui se plait de détruire là d'où il provient, l'Europe.

    Ce choc n'en serait qu'infiniment plus réduit si l'UPR devenait majoritaire.

    Après je sais que, hormis de rares cas, même mes lecteurs assidus, qui ne doivent P1030246.JPGpas être très nombreux, m'oublieront dans la tourmente du France-quitte ou, sinon, des effets de cette débâcle multifactorielle.

    Et moi je commencerai à produire mes œuvres poétiques.

     

     

    THEURIC

    PS: Je vais progressivement m’éloigner de la politique, non pas qu'elle ne m'intéresse plus mais que, plutôt, j'ai dis ce que j'avais à en dire.

  • Billet d'une heure: un couvre feu...

    Une abeille au turbin.

     

    Bonjour amis et inconnus lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Nous allons de surprise en surprise et l'imagination cocasse et insensé de notre gouvernement, en en accompagnant bien d'autres, ne peut que nous laisser pantois.

    Mais au-delà de cette chiche ironie me permettant d'évacuer mon agacement, ceci en raison de la vaporeuse extravagance de nos ribouldingues s'étant attribués cette vêture ministérielle qui leur est si tant et tellement grande qu'ils en viennent à se prendre les deux pieds et deux mains dans leurs pans.

    A s'en choir continuellement.

    Mais en sont-ils les seuls?P1060385.JPG

    Que nenni, chers lecteurs, l'Occident, de toutes ses forces d'avoir voulu suivre ce jeune vieillard cacochyme que sont devenus les Etats-Unis-d'Amérique, a, dans son ensemble, accouché de ses même vides têtes pensantes qui, tout comme les nôtres, nous démontre ardemment leur vide sidéral d'intellectualisation.

    Et il en est de même de leurs chambres délibératives d'où il est à penser qu'hormis ceux qui, s'apercevant de la geste légère de ces dirigeants dirigés par leurs dirigeants autant vaporeux que sirupeux, les fuient et se cachent en comprenant la vacuité dérisoire d'une gouvernance aux abois ne gouvernant plus que par oukases sans grand sens;

    Et il en est de même, dis-je, de ceux-là qui, s’asseyant séant toujours présent en leur poste électif, droite/centre/gauche en une unanimité catatonique, et nous font montre de disputes d'importances futiles, comme d'antan se discutaient les religieux byzantins au sujet du sexe des anges quand les turcs étaient déjà au pied des murailles de la ville.

     

     

    Couvre-feu:

    Ainsi a-t-il jailli dans je ne sais quel cerveau brumeux l'idée de mettre les grandes P1040944.JPGvilles française sous l'ordre d'un couvre-feu qui, cela est à noter, ne parait qu'à la suite d'une défaite militaire suivit de l'occupation par les troupes étrangères victorieuses, tel le Paris de 1940 à 1944, quand un coup d'état militaire se produit, comme il en fut dans la capitale du Chili, Santiago, en 1973, lorsque ledit coup d'état échoue ou à la suite d'émeutes incontrôlable et armées, aux Etats-Unis notamment, récurant.

    Nos olibrius français se sont donc permis d'installer un couvre-feu dans la capitale ainsi que dans les plus grandes villes et, ce, à l'occasion d'une pandémie aisément guérissable à peu de frais et n'ayant pas un caractère si dangereux que cela, à la morbidité moindre encore aujourd'hui qu'hier.

    A croire qu'ils voudraient, mais veulent-ils vraiment quelque chose, à ce que la ville lumière s'éteigne comme à l'époque où elle se trouvait sous les bottes de l'Allemagne hitlérienne.

    Ceci au moment même où ils s'aperçoivent, ces pauvres bichoumoumous, que leurs gesticulations ne menaient qu'à la ruine du pays, appelant, invitant, encourageant, convaincant, exhortant les gens à prendre des vacances pour que l'hôtellerie survive.

    Nous plongeant de fait dans une double contrainte, à laquelle nos ribouldouilles sont incapables autant de la concocter que d'y songer, en une façon d'injonction paradoxale:P1050314.JPG

    "Si la pandémie revient bien et que je pars en vacance en en étant atteint je risque de contaminer d'autres personnes, sauf si cette pandémie n'était pas si grave que cela et que je peux partir, quiet, mais alors pourquoi me signifier ces deux messages si contradictoires?

    Cela ne cacherait-il pas quelques plans nauséeux, quelques complots machiavéliques cachés?"

    Voilà ce que se dit chacun en lui-même inconsciemment.

    En fin de compte non, il n'y a pas de Machiavel chez nos nounouilles, tout juste il n'y a plus de commandant à bord, Castex est un premier ministre qui ne ministre plus rien, si tant est qu'il ait un jour ministré quelque chose, quand notre président cire ses propres pompes en se contemplant dans son miroir magique:

    "Médiat, mon beau médiat, suis-je le plus beau et le plus apprécié de tous les présidents?

    -Non," répondit celui-ci, "Trump et Poutine, eux, sont adoré par les foules!

    -Comment," s'insurgea notre démiurge tout puissant, notre génie des alpages, "que l'on fasse appelle à tous les journalistes aux ordres, qu'ils déversent sur eux mon courroux olympien en leur crachant dessus tous mes défauts que je ne veut voir...!"

    Et pendant ce temps là, le navire vogue dans les flots tempétueux d'une économie s'effilochant au gré des élucubrations pandémistes qui se font dire génies géniaux.

    Tout juste il y a-t-il, de temps en temps, une petite voix ministérielle moins sotte que P1050567.JPGles autres qui dit, qui implore: "Euh, je crois que le bateau coule, partez en vacance, peuple adoré, je vous en supplie, je vous en conjure."

     

    Le monde entier rétréci:

    L'un de nos pauvres saltimbanques télévisuels du verbe journalistique empli de fausseté, ouï naguère en une soirée tranquille par votre serviteur, faisait état de ce que le monde entier, lui aussi, luttait contre ce vilain virus aux forces amoindries et, de ce que j'ai pu en saisir, en faisait une liste exhaustive que voici: l'Allemagne, la Belgique, la Hollande, l'Italie, l'Espagne, la Grande-Bretagne, l'Australie, la Suisse, le Canada, le Brésil (en oublierais-je un ou deux?).

    Triste monde rétréci à si peu de pays et à ces moindres continents où même les Etats-Unis-d'Amérique en furent oubliés.

    Puis d'énumérer, presque par gourmandise, comme étant de pure normalité, quelques interdits malfaisants antidémocratiques auxquels les peuples se doivent de se plier, interdiction, chez-soi, de réunion familiale ou amicale de tant de personne, nouvelles réclusions, regroupement dans les rues tout aussi prohibé, fermetures de débit de boisson et de restaurant, obligation du masque sous peine de prison, et j'en omets...P1050230.JPG

    A croire que tous veulent assurément cacher à leur population le fait que, dorénavant et en raison des coupes budgétaires drastiques dans leur système de santé, il n'y a encore que moins de place de réanimation dans leurs et nos centres hospitaliers qu'au printemps dernier.

     

    Zeus commence par rendre fou ceux qu'il veut perdre:

    La folie, c'en est mon hypothèse de travail, s'est emparé de tout ce clergé américanolâtre néolibéral monétariste en diable.

    Dieu Amérique en dollar en en ayant choisi les plus insensés pour leur sacerdoce, se retrouve dorénavant à se coltiner une bande d'énergumènes dont personne ne peut dire la nouvelle bonne et ruineuse idée que chacun prendra.

    Là-bas, outre-Atlantique déclinant, les ânes démocrates et les éléphants républicains s'y disputent, bientôt peut-être bien les armes à la main, de savoir qui gouvernera le pays.

    Chacun mettant toutes ses forces dans la balance, il n'y reste plus personne pour se pencher sur les décisions malséantes des gouvernements de leurs colonies les plus proches d'eux, ceux sus-nommés.

    P1060040.JPGNe jetant qu'un œil rapide sur ce qu'il peut se passer dans ses possessions sans prendre le temps de leur donner quelle qu'ordre que ce soit.

    Sans plus de gouvernail, ces dernières partent à vau-l'eau, se laissant bercer par ces forces mystérieuses de la fadaise la plus crue les menant vers tous les outrages.

    Ailleurs, partout, l'on regarde mi goguenard, mi consterné, cette fuite éperdue de ces gouvernement semblant devenir fou.

    Il n'est que la France, quand nous aurons enfin retrouvé notre destin, quand nous serons enfin sevrés des étouffantes embrassades constrictors de Tonton Sam, quand enfin nous seront libérés du carcan manifeste d'une Union-Européenne sous les fourches Claudine d'une Germanie cachant la même ruine que nous-autres, quand enfin nous en seront à notre indépendance nationale;

    Oui, alors, il ne sera que la France pour calmer ces jeux absurdes et sans sens dedans lequel nous sommes tous, parce qu'une fois encore, ce sont nous, les français, que les peuples attendent pour qu'enfin la réelle modernité puisse émerger.

    Pour qu'enfin le réel progressisme vienne à nous.

     

     

    THEURICP1060185.JPG

  • Dire non!

    Vous savez quoi?

    Je vais vous faire un aveux: je ne sais pas dire non, du-moins est-ce pour moi une immense difficulté d'exprimer un refus lorsqu'il m'est demandé de rendre un service.

    Pourtant, parfois, je rends ce service avec mauvaise grâce, je sais que la personne se sert de moi, que ses yeux implorants sont du chiqué, du mensonge, et pire, que l'on me prend pour un imbécile.

    Je me soigne mais c'est dure, je dis non du bout des lèvres, avec maintes circonvolutions, avec des détours idiots, des hésitations, des bégaiements, des justifications inutiles, mais je me soigne.

    Le pire dans tout cela c'est que je sais qu'un "non" déterminé, clair, net n'admet, de la part du requérant, aucun sermon ni dispute, pas même de rejet, tout au contraire, cela générera du respect, je me suis respecté par mon refus, dès lors le requérant me respecte.

    Parce que, tout compte fait, ne pas savoir et pouvoir dire non à un autre, c'est ne pas savoir et pouvoir  dire oui à soi et l'implorant n'est pas le quémandeur, le requérant, le véritable implorant est bien celui qui se refuse, qui est dans l'impossibilité de refuser quoi qu'il lui soit demandé, qui dit, sans le dire: "Vois, j'existe puisque je te rends service, j'existe puisque je t'obéis!".

    Et puis, surtout, la personne qui ne sait pas dire non peut se mettre en danger ou faire les pires des abjections, sait-on jamais ce qui lui sera, un jour, demandé?

    Et ce réflexe d'anticiper les demandes de l'autre, de les devancer, trait dont je me suis, tout de même, avec difficulté, débarrassé, n'est-il pas l'optimum de cette pauvreté d'esprit, d'un implorant pleur de vouloir être enfin reconnu, une dérisoire erreur de se croire respecté par celui qui le prend pour un faible, un moins que rien, une obscénité?

    Tout de même, ce qui me rassure c'est qu'à la tête des pays européens et, par delà, de la gouvernance européenne, les gouvernements sont dans l'incapacité de dire non à notre mentor américain, aux allemands affaiblis de leurs vieillesses, aux groupes de pressions économiques des banques et des fonds de pensions, aux entrepreneurs internationaux qui n'entreprennent même plus dans leur propre pays, au Qatar, au F.M.I. et à d'autres, tellement d'autres.

    Chez nous, en France, la situation est la même, voire pire.

    Notre gouvernement plie devant le M.D.E.F., Obama, les banques, les assurances, l'Union-Européenne, les allemands, les fonds de pensions et devant tout un tas de trucs et de machins qui, en réalité, représentent de moins en moins un quelconque péril.

    Au contraire, à force de se mettre à dos toutes les strates de la population en raison de cette obéissance servile aux représentants éreintés de ces ex-puissances, nos gouvernants risquent de plus en plus un renversement qui, quoi qu'il se passera et qui que soit celui qui prendrait le pouvoir, ne pourra pas ne pas se faire sans violence.

    Et pourtant, pourtant, les États-Unis-d'Amérique représentent-ils toujours la nuisance qu'ils furent par le passé?

    Peuvent-ils toujours, comme naguère, faire pression sur notre pays ou sur un autre de l'U.E. en agissant sur les cours boursiers, sur l'euro, sur les dettes ou sur tout autre agent économique sans, pour cela, se mettre en position de banqueroute, de ruine, de faillite?

    N'est-ce pas cela qu'ont compris les russes?

    Ne serait-ce donc pas plutôt les européens qui, de détenir des dollars, seraient en mesure de leur dicter leurs lois en faisant simplement planer la possibilité de les revendre, ou bien celui de ne pas vouloir rembourser les dettes?

    Qui, de l'Allemagne, du Qatar ou de la France a plus à craindre de l'effondrement des banques, des fonds de pension, des assurances et surtout de la disparition du dollar?

    En France nous n'avons plus rien à perdre, il ne suffirait que d'expliquer au peuple la réalité de la situation et des nécessités devant lesquelles nous devrons passer puis d'agir, et ces nécessités, quoi qu'il en soit, devrons être traverser, à un moment ou à un autre.

    Qui, du gouvernement, des banques, des assurances, des fonds de pensions à le plus à craindre d'une faillite universelle?

    Qui, en réalité, est dans une position de force sinon notre gouvernement?

    Alors quid?

    Qui voulez-vous que des dirigeants du P.S, de l'U.D.I., de l'U.M.P. ou du F.N. puisse se déjuger (souvenez-vous de la visite de madame Le Pen à un représentant du parti républicain américain, un texan qui se présentait contre Barack Obama et voulait dépénaliser les drogues dures, Monsieur Ron Paul, se voulait-elle être héroïne et être reconnue en tant que la meilleurs représentante de l'Oncle Sam)?

    Comment voulez-vous que tous ceux-là qui furent adoubés par cette puissance d'argent et les Amériques puissent refuser d'accéder à leurs désidératas?

    De quelle manière pourraient-ils s'opposer aux petits désirs de cette même puissance d'argent, à la gouvernance européenne et aux agents américains, eux qui ne savent même plus ce que peut être que gouverner?

    Peuvent-ils dire non?

    Mais sont-ils les seuls à vénérer ainsi les préceptes et désirs de la libre entreprise, des Amériques, du dieu dollar et de l'Union-Européenne?

    Quand nous savons que dans certaines universités et entreprises internationales (qui n'emploient quasiment plus personne ici) obligent leurs professeurs pour les uns (suivant une loi votée il y a peu qui l'autorise) et leurs employés pour les autres à n'échanger qu'en anglo-américain sans que cela ne choque personne.

    Quand tous les médiats s'emploient, maintenant, à ne nous informer sur la situation en Ukraine que de la seule optique américaine (eux qui se sont fourvoyés, au début, en invitant des personnalités expliquant la réelle situation géopolitique) sans que cela ne choque personne.

    Quand l'Union-Européenne soutient des partis nazi en Ukraine sans que cela ne choque personne.

    Quand personne ne parle plus de Guantánamo sans que cela ne choque personne.

    Quand nous contemplons la ruine de  notre industrie sur l'autel faisandé de toujours les mêmes délires ploutocratiques sans que cela ne choque que ceux qui sont concernés: les chômeurs.

    Quand nous entendons le langage tronqué, bafoué, meurtri par une pauvre neuvlangue de pacotille ou s'y mélange, dans une piètre bouffonnerie, un sabir fait de bas anglais et de raccourcis langagiers sans que cela ne choque personne.

    Quand plus la moitié de nos magasin de vêtements ne sont même pas capable d'afficher un nom français sur leur devanture sans que cela ne choque personne.

    Quand quasiment plus un habit, un produit d'entretien, un savon, un shampoing, un appareil électro-ménager..., n'est fabriqué ni en France, ni en Europe sans que cela ne choque personne.

    Quand des ouvriers est-européens viennent travailler sur notre sol avec un salaire de misère sans que cela ne choque presque personne.

    Quand les puissances économiques, les ploutocrates américains et internationaux veulent devenir les seigneurs du monde et d'abord d'Occident par la signature d'un accord de libre échange entre les État-Unis, l'Europe et le Canada, ce dont nous n'entendons pas parler, sans que cela ne choque personne.

    Quand le Qatar achète une équipe de foot parisienne de renommée mondiale sans que cela ne choque personne.

    Quand notre Président de la République se fait injurier sur la place publique et manipulé par les américains sans que cela ne choque personne.

    Quand de plus en plus de nos chanteurs chantent en anglais sans que cela ne choque personne.

    Quand, à longueur de temps ne sont plus passés, à la télévision, que des feuilletons américains sans que cela ne choque personne.

    Quand nous sommes considérés comme des crétins par les publicitaires qui font vendre leurs camelote dans des films débiles sans que cela ne choque personne.

    Quand nous sommes baladés par des hommes et femmes politique à la langue de bois chargée, ah, là, ça choque tout de même.

    Quand les manifestations en Europe du sud ne sont jamais retransmis sur la myriade de chaines de la télévision française sans que cela ne choque personne.

    Quand nos banques ne prêtent plus qu'à notre état les euro reçu par la B.C.E. mais ne prêtent plus ni aux particuliers, ni aux entreprises parce que ça rapporte plus sans que cela ne choque personne.

    Quand dans les magasins sont affichés des prix de type 9 euro 99 centimes pour faire croire que ce prix n'est pas de dix euro sans que cela ne choque personne.

    Quand les Amériques espionnent tout le monde, sans  honte, sans vergogne sans que cela ne choque personne.

    Quand sur certains sites le blogueur ne prend même pas la peine de traduire un texte en anglais quand cela empêche le lecteur de comprendre quoi que ce soit sans que cela ne choque personne.

    Quand la mode est à l'américano-magnia, partout, toujours et,  pire, par ceux qui honnissent, disent-ils, cette même Amérique sans que cela ne choque personne.

    Quand ceux-ci deviennent antijuifs parce qu'ils ne veulent pas s'avouer que leurs malheurs viennent d'une pensée américaine qu'ils chérissent tant en faisant un amalgame imbécile entre Israël et les États-Unis-d'Amérique, que ceux-là font un pataquès d'une vulgaire quenelle et qu'ailleurs n'est pas compris que ce sont les comportements israéliens dont viennent ces délires, alors moi, je me sens proche surtout des papous indonésiens par mon histoire d'hier et par la leur d'aujourd'hui!

    Et ce délire ne choque personne!

    Alors nous pouvons en conclure que, en plus d'être les vassaux de l'Amérique, nous ne sommes, tous, que les serviteurs serviles d'une ploutocratie qui, sous des couvert de toute puissance, en est aux portes de sa propre ruine.

    Quand,  quand, quand, c'est bien beau de décrier le gouvernement, mais c'est aussi autour de nous, dans notre vie quotidienne, dans notre propre langage, dans nos petites habitudes, nos petits aveuglements, dans les simples gestes du tout les jours que sont pollués les moindre interstices de notre existence et moi, de cette pseudo modernité qui n'est que notre mise sous tutelle technologique et culturelle des américain et des ploutocrates, j'y dis NON!

    Je n'ai rien à faire de la langue anglaise qui est parlée par ceux qui ne sont pas anglais, américain, australien!

    Et même, je considère cette mode comme la plus dérisoire, infantile, vulgaire qu'il soit et ceux qui s'y soumettent comme  du pas grand chose, du presque rien.

    Nous sommes tous responsables de nos actes, quand je ne dis pas non lorsqu'il le faudrait, je suis l'unique responsable de cette décision et, au jour le jour, je me corrige, c'est long, fastidieux, difficile mais j'y travaille.

    Alors, messieurs-mesdames, si vous voulez lutter contre cette ploutocratie débilitante, faites de l'agitation intellectuelle, parce que c'est là que se trouve leur véritable danger, l'intelligence.

    En cela, au moins, je sais dire non.

     

    THEURIC

  • Le début du basculement: la rupture.

    Nous sommes entrés dans le basculement des sociétés des hommes, la disparition prochaine des U.S.A. et l'effondrement de l'économie-monde en seront le déclenchement véritable.

    Ce basculement sera certes rapide mais d'une rapidité se comprenant sur une période qui s'étendra sur des décennies.

    Ce basculement sera la mutation profonde de notre humanité, la plus profonde, la plus essentielle que notre humanité ait vécu depuis qu'elle est telle.

    Mais ce basculement ne se fera pas sans que les vertigineuses forces qui sont tapis dans les sombres recoins de notre esprit ne nous poussent aux plus exécrables et destructrices des folies.

    Aujourd'hui nous n'en sommes juste qu'aux prémisses, c'est cela qui fait l'objet de ce texte, c'est pourquoi son sujet premier en sera la rupture.

    Rupture du passé n'ayant plus de raison d'être, mais rupture seulement, pas en lien avec un avenir pas encore en germe, le germe du futur, le basculement.

    Que ceux considérant que je suis trop pessimiste soient rassurés, je ne le suis pas, pas plus que je ne peut être optimiste, à quoi cela me servirait-il?

    Il me paraît plus important d'essayer d'analyser au mieux les dynamismes historiques en cours en ne penchant ni d'un coté, ni de l'autre.

    Comment voulez-vous sinon que chacun puisse se faire son idée?

    Ce qui est en train d'éclater ce sont les infinis déséquilibres mondiaux, sociaux, économiques, politiques, qui rompent les uns après les autres comme peut se rompre un barrage, d'abord pierre après pierre, puis l'eau, entrainant d'un coup le reste de la retenue, se déverse en une déferlante impétueuse et sauvage, fracassant et détruisant tout en contrebas.

    Aujourd'hui, contrairement à ce qu'il peut se dire çà et là, la baisse du prix du pétrole, même après sa rapide et timide remonté ( graph_oil.php ), montre et démontre à ravir la désindustrialisation rapide du monde et non pas de présupposé jeux spéculatifs provenant de la volonté étasunienne de ruiner la Russie, ou de celui des saoudiens déterminés à anéantir l'empire U.S..

    Peut-être l'un ou l'autre, voire l'un et l'autre, n'auraient-ils fait qu'accélérer ce processus, en brusquer l'avènement par des plans sans réelle vision, même à court terme, mais ces déséquilibres sont à ce point faramineux que, même sans le moindre incident, ces mécanismes de délitement se seraient activés.

    Les transports internationaux commencent à souffrir de cette désindustrialisation, maritime d'abord, celui des conteneurs, l'aérien suivant bientôt.

    Les monnaies ne sont pas reste et la valeur et valorisation de chacune ne dépend plus d'une réalité économique d'aucune sorte, tant en fut produite plus qu'à profusion, mais à quelques caprices spéculatrice dont personne, en vrai, ne peut connaître les raisons, même les spéculateurs.

    Les bourses aussi sont dans un état lamentable et, à l'image des monnaies, ne sont plus le reflet de la nature des entreprises d'une région, d'un pays, d'un continent, mais de celle de cette masse monétaire incommensurablement engendrée en une prolifération débilitante, à croire que la seule industrie encore vaillante ce sont les rotatives des banques centrales.

    Bourses montées aujourd'hui plus haut encore que le ciel par de seules manœuvres chimériques faisant croire richesse une montagne d'un argent électronique n'existant que parce que chacun d'entre-nous veut croire que cela veuille dire autre chose que: ça ne vaut rien!

    Mais il n'est pas que de la seule économie dont nous pouvons contempler ce début de désagrégation.

    En politique également nous pouvons voir cette rupture en œuvre.

    Passons rapidement sur les différentes élections dans les pays sud-américains qui virent, depuis maintenant des années, y devenir chef de gouvernement de divers états des personnalités n'étant plus en rien inféodé aux dictats U.S., démontrant par là même la terrible faiblesse des États-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, ne nous attardons pas sur le désengagement des pays dits B.R.I.C.A. (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) du dollar et de leur soutient inconditionnel les uns des autres (tant que les U.S.A. resteront un danger), cela pour réduire autant que faire se peut les effets délétères des gesticulations dangereuses de Tonton Sam égalant son manque de prudence et de subtilité.

    Non, pour moi, le fait le plus marquant démontrant cette faiblesse fut la visite que Monsieur Hollande et Madame Merkel rendirent à Monsieur Poutine, qui aboutit à l'accord Minsk 2 pour une paix en Ukraine, en opposition marquée avec les multiples prédispositions des U.S.A. et de l'équipe de Monsieur Obama pour une monté en puissance du conflit civile ukrainien, voire leur tendance sinistre pour développer des querelles avec la Russie.

    Peut-être également y eut-il lieu des échanges au sujet de la Grèce, ce qui ne serait pas pour me surprendre.

    Sachant le besoin crucial des U.S.A. de conserver à sa botte une Union-Européenne qui, comme a pu l'affirmer Monsieur Sapir, est, avec sa monnaie, l'euro, la dernière protection du dollar contre les spéculateurs.

    Ceci expliquant cela, connaissant l'étroite connexion entre l'empire U.S. et l'U.E., cette dernière et sa monnaie ne pouvant survivre sans l'existence de son maître, nous pouvons comprendre les raisons de cette violence économique qui s'abat avec fureur, aujourd'hui sur la tête des grecs, demain sur n'importe quel autre peuple: les dirigeants de notre union ont parfaitement compris que leurs jours sont comptés et suivent le même compte-à-rebours que leur seigneur outre-atlantique, que faire survivre encore quelque temps les banques, assurances et fonds spéculatifs c'est les faire perdurer encore un peu.

    Parce que aussi et également, paradoxalement, aujourd'hui, si l'Union-Européenne lâche, les États-Unis disparaissent.

    Ce contre quoi aucun gouvernement d'un quelconque pays européen ne peut, pour l'instant, économiquement lutter, quand bien même s'appellerait-il Allemagne ou France, même si ces deux puissances indépassables se sont alliées et même si ils ont osé prendre des décisions politiques et diplomatiques.

    Ceci explique également les reculades passées de l'Autriche et de la Hongrie.

    L'histoire a toujours montré qu'une idéologie finissante, grandement partagé par les élites, tend toujours à la monté de sa violence, de sa dangerosité et de son autodestruction, au même rythme qu'elle décline.

    C'est pourquoi, également, les discours sur Monsieur Poutine et l'Ukraine tendent à se scinder de plus en plus entre les médiats publiques (la 2) et ceux du privé: cette mince fissure, encore qu'entrouverte, montre également l'éreintement, l'affaiblissement de cette redoutable ploutocratie dont il est inutile de prononcer le nom de ses représentants tant ils sont visibles, connus et ne sont, en vrai, que de pauvres et ridicules radoteurs de ces mêmes vieilles, sottes et ruineuses sornettes.

    Mais que ce soit au niveau politique ou économique, ce qu'il se passe actuellement n'aura que peu d'incidence dans le futur, hormis, bien sûr, du rapprochement franco-allemand et celui de ce couple d'avec les russes, auquel il faut, bien entendu, rajouter la Grande-Bretagne et son suivisme maladif de l'empire U.S., éloignant encore plus le Royaume-Uni de cet émancipation politique progressive que prend chaque pays de l'union, pour le meilleurs et parfois le pire.

    Le gouvernement d'Angleterre, en de ces ironies que l'histoire aime bien échafauder, risquant de devenir le dernier pays europhile de l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi je crains tellement une ruine catastrophique pour une Albion tellement vidée de ses entreprises et de son agriculture, lorsque cette rupture, cet effondrement de l'économie-monde s'abattra sur nous.

    Ce qui disparaîtra également, ce qui disparaît déjà, c'est l'idéologie néolibérale, ce dogme mortifère faisant de l'argent la seule balance mesurant la valeur de toutes choses, qui sut phagocyter jusqu'à la moindre parcelle de sensibilité, par la publicité, notamment, ce viole immonde des consciences, ou par la divulgation d'un art vulgaire et niais, tel que le rap, et qui, en politique, sait si bien s'acoquiner avec les discours les plus creux et les personnalités les plus viles.

    Ce qui est important, en revanche, pour l'avenir, c'est ce qu'il se passe sociologiquement chez chacun des peuples de l'Union-Européenne qui, à son rythme propre, tend à reconstituer une identité devenue indistincte et confuse, malade d'une propagande continuelle datant d'il a des décennies, des exigences folles et dispendieuses de l'U.E. et d'une société marchande néolibérale internationale matraquant continuellement son dogme de telle sorte que chacun en avait perdu son sentiment d'être de sa société, d'être citoyen.

    Parce que tout cela, les populations en avaient perdu toute raison d'être Soi, en avait perdu toute identité.

    (Comment voulez-vous que des gamins paumés puissent se construire dans une telle société où même les élites, pour une large part ignorantes, ne savent même pas ce qu'elles sont et, pire, qui elle sont, tellement elles se haïssent de se vouloir et ne pas pouvoir être Américaines.)

    Maintenant, c'est cela qui revient: l'identité.

    En France ce retour fut tempétueux, farouche, même, lors des attentats qui eurent lieu en Janvier et qui firent vingt morts (j'en avais écrit quinze dans des textes précédents, pardonnez-moi de cette erreur), les dix-sept personnes assassinés et les trois kamikazes.

    Ce fut une explosion identitaire de la classe-moyenne blanche éduquée, ceux qui par dérision furent surnommés bobos, ceux qui, dans très peu de temps, remplaceront cette caste lessivée qui, depuis le milieu des années 70, a gouverné le pays et l'Europe.

    Ce retour d'identité s'exprimera bientôt, comme je l'ai déjà noté, par le retour du fait religieux suivant les antécédents majoritaires dans chaque pays, catholique en France, par exemple.

    Ce retour d'identité s'accompagnera également, paradoxalement, de cette sorte de renvoi sociologique à une époque antérieure que j'ai appelé rétrogression, comme une reprise en main des peuples qui, pendant un siècle, se sont égaré dans le labyrinthe tumultueux des idéologies économiques, l'économisme dogmatique, et qui aujourd'hui ont un immense besoin de poser enfin leurs deux pieds sur un sol solide, même si son essence est quasiment ancestrales.

    Cette rupture commencera par ce retour à des valeurs anciennes, surannées, il ne pourrait en être autrement, tous, nous sommes bien trop meurtris de ne plus savoir, en vrai, qui nous sommes du pays qui fait nôtre.

    Industriel, commercial, monétaire, boursier mais surtout idéologique, avec, central, la dernière utopie encore vivante: l'américanolâtrie, c'est tout ça qui, déjà, s'effrite devant nos yeux et qui, quand ça se sera abattu par les incommensurables forces des contradictions accumulées, sera balayé par cette lame titanesque que sont les incohérences misent en place par l'oligarchie nationale, européenne, étasunienne et mondiale.

    Ne restera, alors,  que l'immense vide laissé par cette déferlante, qui se comblera de lui-même du meilleurs comme du pire.

    Parce que la rupture n'est que le tout début de ce basculement et que nous ne sommes qu'au tout début de cette rupture, nous devons comprendre au mieux tous les dynamismes en jeu, en rester conscient, il n'y a que cela à faire mais c'est d'une importance vitale: "Qui observe transforme!".

     

     

     

    THEURIC

     

  • La crise, une rupture comme révélatrice des instabilités.

    Peu importe que Monsieur Coronavirus ait été la créature d'officine US ou autre, qu'il provienne du goût pour certains chinois pour des viandes nous paraissant incongrues ou de ce que le premier contaminateur ait été un soldat étasunien.

    Le fait est là, cette pandémie nous montre les extraordinaires instabilités qui, en France, en Europe, aux États-Unis-d'Amérique et ailleurs, traversent nos sociétés.

    Ces instabilités proviennent pour l'essentiel, de choix aux origines datant d'une quarantaine d'années, voire plus, qui, jour après jour, ont rongé maintes sociétés, surtout occidentales.

    Le reste du monde en en ayant profité pour se développer industriellement, techniquement, scientifiquement, philosophiquement au fur et à mesure que la thalassocratie US perdait de son emprise sur eux.

    Les supplétifs impériaux, de l'OTAN et de l'UE notamment, suivant de quelquesP1020198.JPG décennies la déroute multiforme de leur mentor.

    Un signe en cela se trouve dans la musique appréciée par chacun des peuples.

    Au moment même où, en France par exemple, le rap comme le métal et la musique contemporaine séquentielle a l'approbation des classes-sociales basses pour la première, de celles plus élevées pour la seconde, celle classique, infiniment plus complexe et intelligente, est considérée comme le summum de la beauté autant que de la modernité ailleurs, en Asie entre-autre.

    Il en est de cela comme de l'économie, la politique, la science..., de nous vouloir être américains nous a châtré de notre nature anthropologique et c'est de cette virilité là, au sens du symbole phallique d'identité et, dès lors, de notre détermination autant de ladite nature nôtre que de nos actions, nous a fait perdre la raison, consubstantielle à la pensée et, dès lors, à l'intelligence, dans son acception la plus dynamique du progrès humain.

    C'est sur quoi que le COVID-19, telle une synchronicité collégiale, nous invite à méditer, cloîtrés que nous sommes chez-nous, à tort ou à raison.

    Parce que quant bien même serions-nous confiné par la décision prise du pouvoir P1030257.JPGexécutif, qu'en cela le gouvernement ne pouvait faire autrement que de suivre les mêmes actions que celui chinois puis italien, il est percevable qu'un archétype ici est en œuvre en un mouvement profond de notre inconscient collectif.

    C'est au redressement de cette sottise collective relevée au plus haut de notre société, comme le montre et le révèle Monsieur Todd, mais agissant aussi en toutes ses strates dont des plus basses, que notre esprit le plus profond aspire et se devrait de nous inspirer: elle nous est infiniment plus néfaste que cette épidémie et, ce, de tout points de vues.

    Sinon pourquoi la stratégie de ce traitement, proposé par le Docteur Didier Raoult et son équipe, peu cher (peuchère), qui a été testé par les chinois et les coréens avec efficacité et succès, n'est pas rapidement adopté quand nous savons à quel point l'arrêt de la machinerie économique mondiale met en péril quasiment toutes les monnaies et tout ce que cela entend en tant que banque, société spéculative, assurance et autre...

    Mais aussi que la fermeture des frontières au sein de l'Union-européenne la détruit bien plus avec, de plus, une rapidité accrue, que ce qu'il pourrait en être de l'après-brexit, ceci suivant l'inactivité grandement voyante de l'union pour aider les états la composant à gérer cette nouvelle maladie.

    Cela provenant de gouvernements occidentaux pour qui l'idéologie néolibérale et européiste est centrale, ceci en une contradiction majeur bien proche d'un magistral paradoxe.

    Nous pouvons nous demander, en effet, du pourquoi les médiats officiels ne font-ilsP1000768 - Copie.JPG que peu de cas de cette prophylaxie médicale marseillaise, ne serait-ce pour calmer les acteurs de l'économie monétariste de leur panique? 

    Certes, nos instances dirigeantes pourrait être, à bon doit, considérées comme racialistes en considérant les chinois comme des crétins, cet épidémiologiste être rejeté par ceux de ses confrères bien-pensants.

    Cela ne retire en rien du fait qu'ainsi c'est leur monde qu'ils détruisent en mettant l'économie nationale et européenne au ralenti forcé pour un temps indéterminé et, de part l'immobilisme des eurocrates, en laissant se déstructurer les conformités structurelles institutionnelles de l'UE par l'irrespect des traités par tous les pays.

    (Je me demande si nombre de ceux-ci ne profiteraient pas de cette crise pour s’affranchir de cette union qui tend à les conduire, d'une manière ou d'une autre, dans le mur.)

    Quand il nous faudrait au plus vite sortir de cet état s'ils ne veulent pas que cela arrive.

    D'où mon hypothèse que nous soyons animé par des puissances inconscientes désirant que nous retrouvions de ces capacités mentales que nous avons égarées d'avoir voulu devenir ce que  nous serons jamais, des étasuniens.

     

    P1020243.JPGIl est vrai que cet abêtissement ne se trouve pas seulement à l'intérieur des cénacles politiques et de certaines pontes médicales qui y sont liés.

    Plus encore, d'autres strates sociales en sont tout autant atteintes dont celles des sciences.

    Je passe rapidement sur la question de ce fameux réchauffement climatique anthropogénique et vous trouverez dans ce billet de Dmitri Orlov au doux titre évocateur de "culte apocalyptique du réchauffement climatique", où son approche  de son origine psychologique est proche de la mienne, lui qui est ingénieur de formation, toute les informations nécessaire pour en saisir l'absolue inanité scientifique.

     

    Nous pouvons percevoir que les astronomes paraissent tout autant touchés par ce même mal.

    Un certain Jean-Pierre Petit, dont je vous ai déjà parlé, a formulé une théorie scientifique astronomique qu'il nomme: "L'univers Janus", Janus étant le dieu romain autant du passé que du présent.

    ( Du fait de mon approche quand à la nature de la pensée, de ce que ce soit elle quiP1030024.JPG nous permet, entre-autre, de nous repérer temporellement, tout comme de son origine, soit juste suivant l'avènement du néolithique, ne peut que me laisser supposer que Janus puisse être sa représentation divine. )

    Je n'ai aucune compétence pour juger de son travaille mathématiquement théorique, je ne peux juste que reconnaître qu'il avait prévu, suivant ses études, que certaines expériences menées ne devaient donner aucun résultat, ce qui fut vérifié.

    Il est remarquable de constater l'interdit dont il est sujet dans son milieu, non pas parce que les autres théories se révéleraient valables, toutes se montrent, de ce fait, plus hypothétique que la sienne puisqu'il a su prévoir la non efficience de certaines des expériences menées pour en prouver la validité.

    Tout du moins la sienne, purement mathématique, n'a pas encore porté la preuve de sa validité par l'expérimentation, bien qu'elle semble apporter une explication plus précise sur la nature de la structure de l'univers, ce manque ne pouvant que conduire à ce que scelle-ci reste tout de même une hypothèse toutefois bien plus aboutie que toutes les autres.

    Mais alors pourquoi ne sont-il pas admis, lui et ses travaux, dans son milieu?

    Pour deux raisons à mon sens intimement liées:

    P1020881.JPG1) Il propose la possibilité de pouvoir voyager au-delà de la vitesse de la lumière, soit à plus de 300 000 km/s, en se déplaçant dans cet univers jumeau, or le dogme scientifique affirme que cela est impossible, dès lors accepter ce Monsieur au sein de ce milieu astronomique reviendrait à en admettre au moins la plausibilité, ce qui remettrait en cause ce dogme collectif;

    2) Il affirme avoir été en contact épistolaire avec des extraterrestres, des Êtres Intelligents Non terrestres, qui se nomment les Ummos.

    En ce cas soyons logiques, soit en effet il est possible de circuler dans l'espace en cette très grande vitesse et dès lors que nous soyons visité par de tels Êtres n'a rien de rédhibitoire et serait même logique.

    Soit cela est impossible, auquel cas il serait bien qu'une théorie ad oc voit le jour qui arriverait enfin à être expérimentalement vérifiée, ce qui ne me semble pas encore du fait.

    En revanche, que les militaires se demandent si, par hasard, Mr. Petit avait raison, et s'il ne serait pas possible de pouvoir émettre et recevoir des ondes radios par le truchement de cet univers jumeau, ce qui rendrait leur messages totalement indétectables.

     

    Ce monde scientifique dédié à l'astronomie n'est pas le seul à souffrir de ce mal sus-P1030298.JPGcité, nous retrouvons ça  aussi auprès des physiciens.

    Connaissez-vous un certain Jean-Paul Bibérian?

    Celui-ci, retraité, fait des recherches en fusion-froide, soit de pouvoir dégager plus d'énergie dans une fiole remplie d'un liquide que celle de l'électricité qui y est injectée, vous trouverez un certain nombre de vidéo là-dessus, celle-ci me semblant la moins ancienne.

    Là encore je ne suis pas entrain d'en affirmer la pleine et entière réalité, n'ayant aucune des qualités pour cela, en revanche il est patent que de faire des recherches sur ce sujet coûterait moins cher que la pose de moulins-à-vent et de panneaux photo-voltaïque polluants et inefficaces au moment où le charbon risquerait, dans peu de temps, de devenir le seul combustible restants.

    Mais pourquoi donc autant de ses confrères ne viennent pas voir de ce qu'il en est?

    Eux pourraient en juger autant de la probité scientifique de ce Monsieur tout comme de l'exactitude, sur sa paillasse même, de ce qu'il avance comme résultat de ses expériences.

    Mais dès le début certains de ceux-ci déclarèrent que cela ne pouvait qu'être impossible, dès lors le débat était clos, quant bien même en verraient-ils la véracité P1030192.JPGqu'ils en nieraient le fait jusqu'au bout.

    Cela ne ferait, sinon, que de générer, dans la structure psychique de toute cette haute hiérarchie, une violente angoisse due à la déstabilisation autant de leur composition de sens que de leur structure de socialité, d'où ce conformisme devenu délétère pour tous.

     

    C'est de cela que nous devons méditer en profitant de ce silence de l'entre-soi, là se trouve cet appel de notre inconscient collectif.

    De cette activation d'un processus mental venu des profondeurs de notre esprit qui nous demande de nous questionner sur nous-même.

    Les gouvernements occidentaux, mais aussi chinois et coréens ent