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Rechercher : indétermination de soi

  • Appel à une nouvelle renaissance 1): De notre situation présente!

     

    Chaque époque fit apparaître les outils intellectuels nécessaires pour accompagner et donner sens aux nouveautés émergentes.

    Qu'ils soient philosophiques, politiques, religieux, scientifiques, technologiques, économiques..., ces outils offrent, en plus d'un discernement du présent, les options évolutives charpentant les réflexions futurs.

    Je suis souvent surpris par la vétusté de la majorité des concepts contemporains incapables de rendre compte des profondes métamorphoses actuelles.

    Nous mutons! Cette mutation, amorcée depuis plus de 10 000 ans, en lien intangible avec l'agriculture et l'élevage, nous fait définitivement quitter les époques lithiques, temps des chasses et des cueillettes, de la simple naïveté tribale, pour entrer, sans retour, dans une nouveauté encore sans nom.

    Combien de passions, de cris, d'amours et de tourments, combien d'esprits, d'études et d'inventions, combien de sottises, d'ignorances et de perversions menèrent, amenèrent, transmutèrent le monde.

    En croissances continues et discontinues l'humanité arrive, enfin, au début de son histoire, de son ère. La roue, la métallurgie, les religions, l'agriculture, l'élevage, l'écriture..., la liste est longue de ces inventions qui apportèrent, chacun, sa contribution aux secrets développements de nos intellects.

    Et nous en contemplons, là, la fin de son commencement!

    Nous éveillâmes progressivement, en nous, les capacités d'actions et d'abstractions qui fondent notre essence profonde et y abandonnâmes, peut-être avec regret, une infantile innocence en une perte fertile et incontournable comme l'adolescence éveille, en l'humain, l'adulte, en une perte définitive de ses puérils fondements.

    Certes, aujourd'hui, sommes nous sûrement face aux périls les plus grands que notre espèce ait à affronter, or, ce n'est pas en ressassant éternellement nos lointaines antiennes, ces nécessités passée, tant utiles et bénéfiques à nos si barbares ancêtres, mais inadaptées aux réalités contemporaines, incapables de rendre compte des circonstances présentes, à l'image , entre autre, des religions ou de la grande part des idéologies politiques ou économique..., que nous comprendrons et nous nous adapterons à ces vicissitudes. J'en appelle donc à une évolution, une mutation de la pensée, à un saut qualitatif et quantitatif de notre représentation du monde!

    C'est pourquoi j'en appelle à une nouvelle renaissance !

     

    Nous délaissons, donc, la sécurité des temps anciens.

    Ce n'est pas tant que tous les ordres du passé s'abolissent, viennent s'y juxtaposer nombre d'innovations en une complexité jamais atteinte.

    Ces nouvelles dispositions, nouveaux discernements, nouvelles contraintes et libertés, nouvelles capacités de réflexions, d'actions, nouvelles relations à soi, aux autres, au monde, de fait, nous mènent à de nouvelles aptitudes.

    Plus encore, nous sommes au-devant d'un changement, d'un intense chamboulement dont le cœur se trouve, dans l’immédiat, au-dedans de ce saut technologique que sont les outils de l'information, aboutissement provisoire de ces cinq bons siècles d'évolutions occidentales appelés renaissance suivit de la révolution industriel, cela faisant suite aux dix à vingt millénaires d'évolution humaine que furent notre histoire depuis que s'amorça le néolithique, voire des quasi deux cent mille ans qui nous séparent de l'apparition du premier Homo Sapiens, si ce n'est des près de deux à trois millions d'années qui virent paraître l'originel représentant du genre Homo, chamboulement, donc, qui, vaille que vaille, se fît dans chaque recoin de notre planète où notre humanité pu s’installer.

    Cette révolution atteint, aujourd'hui, le point critique d'une crise majeur non pas en raison d'une présupposée perversité de notre intelligence si humaine mais parce que notre psyché, notre esprit qui s'est, pour un large essentiel, bâti lors de ces centaines de milliers d'années faites de chasses et de cueillettes, s'est vu, ensuite, incomplètement éveillé, élevé, muri par la quinzaine de millénaires que fut le néolithique.

     

    Le chamboulement que fut l’émergence de cette chose inouï que peut-être l'esprit de notre race au sein de la nature est possiblement égale à ce que put être l'apparition des premières bactéries productrices d'oxygène, premier champignon xylophage ou du carnivore initial, c'est à dire que, comme à ces époques reculées où l'apparition de tels êtres dû produire, sur le vivant du moment, de grands ébranlements, nos capacités ne peuvent pas, dès maintenant, ne pas occasionner d'intenses convulsions sur les écosystèmes.

    Aujourd'hui, nous sommes à l'ère d'une fantastique accélération de ce processus, la pollution vient, justement, de ce que nous restons principalement sur les fondements des XIX° et première moité du XX° siècle et que nos modes de penser n'ont que peu évolués depuis la fin du paléolithique.

    Pour les mêmes raisons, nos sociétés subissent commotions, troubles et convulsions venant de forces antagonistes qui nous secouent, la principale étant, en Occident (Japon compris), une infinie faim en une modernité redoublée contrée par une considérable fatigue de vivre l'histoire et d'un obscurantisme obtus et sot dont le lucre d'argent, ses thuriféraires néolibéraux et les adeptes aux délirantes ivresses religieuses n'en sont que les pauvres et dangereux représentants caricaturaux et outranciers.

    Les pays dits émergents (expression ô combien méprisante) subissent, eux, ce que nos aïeux subirent il y a plus d'un siècle : une industrialisation prodigieusement rapide doublée d'une montée en puissance de la formation de tout ce qui fait les hautes études : ingénieries, sciences, hautes administrations, etc... .

     

  • Marianne se sauve grâce à l'imbécilité de ses tortionnaires.

    ( Chère Tatiana Ventôse,

    Ce papier (ce qui est marrant face à un écran) vous est adressé.

    Je ne vous connais pas et ne réagirais pas à votre intervention youtubesque sur vos positions politiques par quelque vidéo que ce soi.

    La raison en est que je sais quelles réactions cela va générer chez tout un chacun: diverses formes de refus à ce que je puisse exprimer la moindre pensée valide, dire l'inverse que ce que je peux exprimer, négation net de sa logique..., pouvant mener à une agressivité à mon égard.

    Ce phénomène, que j'ai pu connaître aussi loin que je peux remonter dans mes souvenirs, m'est encore difficile à appréhender, trouvant sûrement sa source d'aujourd'hui en ce que je tiens un discourt discordant de ceux qui sont tenus habituellement, mettant bien sûr mes réflexions de ses origines hors du champ des échanges sociaux.

    Dedans ce qui s'appelle mon soi jardin secret.

    Cela s'appelle, paraît-il, le syndrome de Cassandre, je vais prendre la peine de l'analyser, je sens qu'une fois encore je vais m'amuser.

    C'est pourquoi c'est par ce blog (en raison aussi de ce que je ne veux fournir qu'au minimum mes informations personnelles sur ce net pas toujours bien net, hi, hi, hi) que je vous expliquerais, en première partie, les raisons pour lesquelles vous doutez de la profondeur du programme de l'U.P.R., ce que vous sentez P1020030.JPGconfusément sans réellement en saisir le pourquoi, là se trouve, à mon sens, vos approximations à ce sujet,  je vous exposerai après les raisons pour lesquelles j'ai moi-même adhéré à ce parti sans en être militant (vous en avez déjà une approche partielle par mes quelques lignes plus haut).

    Ensuite, en seconde partie, je montrerai que désormais la France est sortie d'affaire, certes, cela ne sera pas un petit chemin qui sent la noisette, mais mieux que bien d'autres, notre pays, contrairement à ce que certains voudraient nous le faire croire (les services britanniques?), va sous peu recouvrer ce dynamisme flamboyant et désordonné qui fait son charme et sa puissance.

    Ce que nos manipulateurs patentés et discrets ne comprennent pas, c'est que dès que la racine des croyances que ces opérateurs ont insinuées dans les esprits, quelle qu'en soit la technique, se sera écartée, que ces manipulateurs auront disparu, l'évidence de la réalité des faits deviendra éclatante pour la majorité de nos concitoyens.

    Et je puis vous assurer que j'en connais quelque chose.)

    La réponse critique la plus habituelle qui vous est faite au sujet de l'U.P.R., thème que vous avez abordé lors de cette vidéo au titre de: "Mes opinions politiques: je vous dis tout", est qu'il nous faut d'abord retrouver notre souveraineté avant que nous ne puissions espérer reprendre une vie politique et idéologique normale auP1020077.JPG sein d'une démocratie adulte.

    Que cela soit la nécessité première avant toute autre prise de position idéologique que ce soit, avant tout programme électoral débattu et disputé.

    A ceci est rajouté lé fait que, dans l'ensemble, ce programme U.P.R. offre une première mouture organisationnelle structurée.

    Ne nous le cachons pas, cette approche est logique et cohérente, sauf si nous nous retrouvions à nous confronter à un effondrement de l'économie globalisée menant, à sa suite, à celui politique de tout ce qui compose l'Union-Européenne, ce que je ne cesse de traiter ici même.

    Le choc psychologique que cela représentera pour tous ceux qui en ont adopté la doxa eurolâtre et américanolâtre sera telle qu'ils ne pourrons faire autrement, soit de décompenser gravement, ce que j'avais montré dans mon billet précédent, soit de se réfugier, comme une majorité de nos concitoyens, psychologiquement s'entend, au-dedans d'une idéologie passée, un patriotisme, une religiosité, un nationalisme échevelé, voire même, rarement, pour certain, à une forme ou une autre d'anarchisme, soit tout simplement de se défaire de toute pensée idéologique de quelle que nature que ce soi.

    Or, dans le même temps où un nombre important de ceux qui organisent la vie sociale, politique et structurent l'administration de la nation se retrouveront en débandade, nous nous devrons de gérer une calamité économique qui, à y regarder de près, rendra notre existence des plus compliquées.

    Pour résumer rapidement, nous manquerons de monnaie, de combustible, de nourriture et de matériels de première nécessité, en ces deux simples exemples, les P1020021.JPGréfrigérateur et ordinateur nous seront absents, sans compter les matières premières et les médicaments..., j'en ai évoqué les raisons dans des textes précédents.

    J'émets l'idée, mais peut-être, bien sûr, en aurais-je tort, que, confusément, vous pressentiriez que là se situerait les limites programmatique du parti de François Asselineau et que la désintégration de l'euro, ce que lui-même et son équipe ne cessent de souligner, signerait, à mon avis, celle du dollar, de l'U.E. puis, à leur suite, de la mondialisation monétariste, ce à quoi ils ne semblent pas songer.

    Les causes en sont faciles à définir: réformer, même à la marge, un système politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, comme l'est notre union et l'était l'U.R.S.S., ne peut que le détruire (il va falloir, un de ces quatre, que j'en explique le pourquoi), or l'euro en est inextricablement lié (tricher avec ces mêmes institutions ne lui étant en rien préjudiciable puisque c'est un phénomène différent, la triple composante sus-nommée de l'U.E. restant en l'état).

    De plus cette monnaie et les banques afférentes, européennes, si fragiles, sont, d'une manière ou d'une autre, enchaînées au dollar et aux banques de l'empire U.S., c'est pourquoi les entreprises européennes quitte l'Iran au plus vite.

    Dollar lui-même, en situation de non-valeur réelle à cause des Q.E., qui se retrouve à être la monnaie de réserve à l'international, ceci doublé de l'immensité desP1020025.JPG créations monétaires quasiment généralisées, mène à ce que si l'euro explose, ce sera donc l'Union-Européenne qui le suivra, puis logiquement par le dollar, ensuite les U.S.A. et enfin l'économie mondiale.

    (  C'est l'un des multiples scenarii possibles de l'explosion de l'économie-monde, bien d'autres sont envisageables, la faillite d'une banque ou d'une assurance trop grosse pour être faillie, le début d'une guerre civile aux U.S.A., l'effondrement d'une place boursière, en Europe ou en Chine par exemple, voire même un événement insignifiant mais significatif des instabilités économiques internationales......  )

    Nous plongeant dès lors dans ce chaos économique semblable à celui dû à une guerre de grande ampleur (de tous les flançais) qu'il me semble que vous entraperceviez, pouvant même nous conduire au retour général à la disette et aux tickets de rationnement, c'est pourquoi je ne cesse de donner ce conseil: faites vos réserves.

    Dès lors, je ne vois pas qui, lorsque surviendra cette faillite de l'économie-monde, des hommes et des femmes politiques actuelles, pourrait géré une telle situation, sinon un personnage tel que Monsieur Asselineau détenant, en lui, l'ensemble des outils institutionnels, administratifs et politiques pour en avoir une vision d'ensemble.

    C'est le motif principal pour lequel j'ai adhéré à son parti (n'allez pas croire que je P1010825.JPGvoudrais que vous fassiez de même, là n'est pas la question, je ne fais pas du prosélytisme pour l'U.P.R., et, en aucun, cas je ne vous ferais cette sotte injure, je respecte part trop votre intelligence pour agir ainsi).

    Or, et c'est cela qui me fait dire que le-dit programme ne pourra pas être en plein suivit,  ce sera à cause des très nombreuses urgences auxquelles le gouvernement d'alors se devra de faire face au devant de cette crise première, que seules les mesures les plus symboliques et utilitaires seront prise.

    Il en sera ainsi de la renationalisation des services publics, ce qui sera aisé puisque leurs possesseurs actuels seront tous ruinés et, pour une large part, disparus, du retour au franc, du déblayage des lois, constitutionnelles ou pas, liées à  une U.E. vidée, elle aussi, de son substrat et détruite, et aux oligarques néolibéraux eurolâtres et américanolâtres ruinés, puis à la votation rapide de nouvelles règles comme peut l'être le référendum d'essence populaire.

    (  Étant entendu que, bien sûr, il faudrait qu'à ce moment là François Asselineau et l'U.P.R. prennent le pouvoir.

    Il serait à penser que quand le système de globalisation heureuse ne sera plus, la majorité des élus du R.E.M., idéologiquement fragiles, fuiront et que leP1020011.JPG gouvernement de la France se sera vidé se sa substance, hormis quelques personnalités aujourd'hui des plus discrètes.

    Quand à notre président, je crains qu'il subisse un choc psychologique violent dû à la surprise, lui qui, en cela, est d'une grande fragilité, d'autant plus que nous pouvons facilement supputer (bonjour madame) qu'en raison de ce que j'appelle un effet Peter généralisé, il ne doit recevoir que des informations tronquées, voire fausses.

    Suivra donc un moment de chaos ou ne subsisteront qu'une partie des députés, là nous pourrons percevoir qui est sérieux à l'Assemblée Nationale, le sénat, par contre, restant, dans sa grande majorité, présente.

    Suivant la loi, si le Président de la République disparait de son poste avant la fin de son mandat, c'est le président du sénat qui se retrouve à gérer les affaires courantes, le temps d'organiser de nouvelles élections.

    Des partis politiques restant à peu près valides, Je n'en vois que peu: l'U.D.I., la F.I. et l'U.P.R., tous les autres auront explosé en vol, Monsieur Mélenchon, quand à lui, pouvant gravement décompenser.

    Les effets de cette banqueroute généralisée seront gravissimes, en un premier jet  j'en avais conceptualisé ceux me semblant les plus destructeurs ici.

    Le mieux serait, dès lors que ce chaos total se sera installé, chaos largement incompris par une bonne part de la population, à ce que de nouvelles élections présidentielles et législatives s'effectuent.

    P1020045.JPGMais l'état, à ce moment là, en aura-t-il les capacités ou le président du sénat devra-t-il  nommer un gouvernement provisoire de quelques mois le temps que la situation  commence à se rétablir?

    Je ne saurais le dire.  )

    C'est donc, à mon sens, cela que, confusément, vous pressentez, sans que vous ne l'ayez clairement conceptualisé, ce serait dès lors pourquoi vous avez considéré comme limité l'ensemble programmatique de l'U.P.R..

    Ce que je vous propose, si tant est que vous lisiez ces lignes, c'est  que, vous et de vos amis qui comprendraient la difficile situation future dedans laquelle nous nous retrouverons tantôt, vous réfléchissiez de votre coté aux considérables implications que mènera cette banqueroute généralisée (ce qui est bien c'est qu'il est possible de le dire de diverses façons).

    Parce que, voyez-vous, de ne faire que penser seul à cela ne peut que restreindre ma perception de la chose.

    Maintenant allons voir ce qui me fais dire que, dorénavant, la France est sauvée des multiples et destructeurs effets de l'imbécile néolibéralisme sous égide finissant de l'empire U.S., des oligarques nationaux et internationaux, de sa perle coloniale racornie qu'est l'Union-Européenne et

    Il est des choses étranges dans la vie, ainsi, parfois, notre pire ennemi peut nous sauver et notre meilleurs ami nous perdre.

    Tel en est le macronisme-philippard et les radios-élément du R.E.M., héritiers des deux dernières législatures qui en avaient préalablement déblayé le terrain, aussi et surtout d'une pensée politique qui se révèle en réalité gravement archaïque et n'en est qu'à n'en exprimer que les mêmes ânonnements de ceux-là qui, le temps passant, en sont devenus vieillards: Attali, Cohn-Bendit, B.H. Levy, Gattaz, Le Pen, même combat!

    Et oui, Monsieur Macron comme tous ceux qui l'entourent, comme l'a très bien dit Emmanuel Todd, ont une pensée de vieillard et ne sont en rien dans la modernité.

    Mais bon, il n'est plus le moment de penser un présent qui peut rapidement passer au passé, est venu celui où nous devons réfléchir à un effondrement économique qui, reculé depuis 2008, a accentué tellement les déséquilibres de toutes sortes que ses effets en seront terribles.

    Or, la France est prête autant qu'elle pourrait l'être si nous songeons aux décisions absurdes que l'équipe de pieds nickelés nous servant de gouvernement prend.

    Mais pourquoi donc considérerions-nous pouvoir gérer au mieux une telle catastrophe future, dont il est impossible de déterminer la date, le processus et ses effets réels?

    Parce que nos oligarques et leurs séides nous servent sur un plateau la peur, chez les classes-moyennes intermédiaires à hautes, qu'engendre l'action gouvernementaleP1020077.JPG directement lié aux G.O.P.E. de l'U.E., peur, angoisses même de déclassement en raison de ce néolibéralisme forcené de ceux-ci.

    Classes-moyennes intermédiaires à hautes qui sont le socle sur lequel repose leur puissance et qui s'évanouit au même rythme que les élus du R.E.M. fuient à grand pas les bancs de l'Assemblée-Nationale.

    Classes-moyennes qui même si elles furent abruties par la masse propagandiste à laquelle elles furent exposées, n'en restent pas moins la nouvelle et future élite du pays, ce qu'elle avait inconsciemment compris lors de la manifestation suivant l'attentat du Bataclan et de Charly Hebdo.

    La peur leur devenant ainsi bonne conseillère, elles en viennent déjà à douter du bienfondé de ce qui se fait appelé la construction européenne, en ne se laissant plus bercer par les petites historiettes qui leur sont contées à ravir par des médiats télés et radios en venant à être, comme les journaux, de plus en plus déconsidérés.

    Et oui, nos bonimenteurs patentés en sont devenus à se caricaturer eux-mêmes, devenus sourds et aveugles aux soubresauts économiques et politiques, ne faisant que débattre de thèmes à mille lieues des nécessités de la population, de toute la population, ainsi que de la terrible épreuve qui se profile à l'horizon.

    Ils rêvent, pour les raisons indiquées aux textes précédents, et ne peuvent parler de l'Union-Européenne sans que leur idolâtrie ne les trahisse.

    Mais ce n'est pas seulement ce réveil des classes-moyennes qui me fait dire que la France est dorénavant sauvée, bien que cela soit d'un premier point d'importance dans l'idée que j'exprime ici: la France n'est pas morte.

    P1020109.JPGD'une certaine façon, la vente internationale à vil prix de notre savoir-faire et de nos usines nous met dans une autre nécessité, celle de devoir réinventer l'industrie.

    Deuxième point également centrale dans ces réflexions.

    En fait, notre désindustrialisation ne peut qu'être pour nous une chance, la même que pour la Russie d'aujourd'hui, pays dont nous sommes très proche.

    Ne nous le cachons pas, reconstruire un tissu industriel dynamique ne sera pas une mince affaire, et s'il n'y avait seulement que l'industrie, ça irait encore, mais les chantiers qu'il faudra ouvrir seront nombreux et divers, dont celui d'un renouvellement du journalisme dont vous et vos amis, mam'zelle Tatiana, participez, comme d'autres, à la reconstitution.

    La simple existence de personnes comme vous montre, justement, que les germes de cette reconstruction sont déjà présentes, ce qui rend évident ce second point positif sur le sujet qui nous intéresse ici.

    Le troisième point est que, dorénavant une recomposition politique, qui ne peut qu'être que provisoire, se met en place, avec des débats, il est vrai, essentiellement centré sur la nature et les instabilités de l'Union-Européenne.

    En cela il y a cinq pôles:

    1) L'U.E. est indépassable telle qu'elle existe, position de l'équipe macronienne, des partis politiques, journalistes et autres experts officiels;

    2) L'U.E. est mal construite et doit être réformée et si cela ne peut pas se faire, il faut, au bout du bout, en sortir, ce qui est la position de F.I.;P1020105.JPG

    3) l'U.E. est une mauvaise chose en soi et le pays doit en sortir au plus vite par l'activation de l'article 50 du traité de l'union, ce qui est la position de l'U.P.R.;

    4) Il existe aussi, partant de ce principe, ceux qui préfèreraient une sortie sèche de l'union, à la hussarde si je puis dire;

    5) Il y a ceux qui, comme moi, pronostique un effondrement catastrophique de l'économie globalisée qui ne pourra qu'emporter cette union dans sa tombe.

    La dernière position n'ayant quasiment pas d'écho, ce qui est logique.

    Déjà que toutes les autres positions se pensent dans un monde inchangé, imaginer qu'il serait possible qu'il disparaisse d'un coup est, pour une majorité de gens, très, très, très dérangeant, j'en ai encore fait l'expérience juste hier.

    Je n'ai lu de texte de ce type que d'une seule personne, un certain Dimitri Orlov, un américain né en Russie soviétique expliquant les processus d'effondrement, traduit par le site Dedefensa, où j'y trouve trois confirmations de ce que j'affirme depuis quelques temps:

    -Les U.S.A. se replient sur leurs bases antérieures d'avant 1945;

    -Ils craignent une guerre civile;

    -Ils veulent détruire l'Union-Européenne.

    Le fait que ce pays puisse devenir communiste, même sous une forme atténuée, je l'avais suggéré dans plusieurs de mes textes, il y a longtemps et je ne me souviens plus où.

    P1020029.JPGMonsieur Orlov ne parlant, pour l'essentiel, que de la Russie et des Etasunis, en comparant la situation passée du premier à celle présentement du second.

    Quoi qu'il en soit, je n'ai pas, pour l'instant, trouvé nul part de site qui, comme je le fais, en analyserait les effets en France, dont celui de la destruction consécutive de l'U.E. après, voire avant celle de la globalisation monétariste joyeuse.

    Bref, ces débats laissent à prévoir une reformulation politique que Marianne ne peut qu'approuver.

    Artistiquement, il y a un frémissement, je le sens encore largement en jachère, mais ça frémit, et ça c'est un quatrième point d'une grande importance.

    Bien que gravement affaiblis, la police, l'hôpital, l'armée, l'université, la science et, pour partie, l'administration, tiennent encore, parfois avec des bouts de ficelles mais ils tiennent, c'est le cinquième point qui importe aussi.

    En sixième point, le maillage communal des mairie et aussi des départements n'est pas encore détruit par l'Union-européenne, parce que lors de cet effondrement, ce sera là que se situera les premières adaptations à la nouvelle situation: le maire d'abord, le préfet en prenant la suite.

    Septième point et toujours autant d'importance, le retour au patriotisme, et n'allez pas croire que celui-ci ne se résumera aux seuls français de souche, loin de là.

    Ce retour je l'ai senti lors de vos interventions vidéos et il est logique et naturel.

    Enfin voilà, nous pouvons considérer Marianne sauvée, la France se reconstruira, avec moult difficultés, il est vrai, mais elle n'a pas disparue, elle n'est pas défunte, et, sous peu, elle réémergera de nouveau, différente que par le passé, c'est évident.

    Contrairement à ce que les fâcheux voudraient nous faire croire.

    Mais cela ne veut pas dire que nous ne devrions pas faire nos réserves, tout auP1020107.JPG contraire...

     

     

    THEURIC

  • Ce n'est pas la fin de quelque chose mais son début!

    Veuillez me pardonner de mon erreur de manipulation menant à la publication intempestive de ce billet avant qu'il ne soit achevé.

     

    Il ne peut qu'y avoir nombre de sites qui montrent et démontrent l'inanité du gouvernement, de l'administration bruxelloise, voire des assemblées délibératives et des médiats, en relevant des faits et des paroles inutiles ou néfastes, des messages incongrus, des ordres contradictoires, des silences nuisibles ou odieux, des mensonges éhontés...

    Combien y aurait-il, combien resterait-il de gens sérieux à l'assemblée Nationale et au Sénat, un tiers à un quart pour le premier, une moitié pour le second?

    Combien se comptent-ils dans notre gouvernement?

    Il y en aurait-il?

    Mais quoi qu'il en soit de ce bien réel et malheureux état de fait, un danger nous guette et un travail nous attend, le second, de plus, résolvant le premier.P1030042.JPG

    Quel serait donc, avec le COVID-19, cet autre péril qui nous menacerait.

    C'est l'ennui, qui fut pour Charles Beaudelaire le thème d'une magnifique déclaration Au lecteur en en rendant la définition aussi belle que juste.

    N'allez pas croire, au-delà de ce trait, que je ne sois pas sérieux, l'ennui, en effet, peut être tout autant constructeur que destructeur pour l'esprit et plus nous avançons dans l'âge, plus sont grandissant les risques qu'il nous fait prendre.

    Jusqu'à souffrir d'angoisse, d'état dépressif, d'un stress post-traumatique ou mener à un usage immodéré de sucre, d'alcool ou de toutes autres substances psychogènes.

    Or, nous avons dès maintenant un travail urgent à effectuer: commencer à concevoir et conceptualiser la reconstruction industriel, agricole, minier aussi, tout autant que politique du pays.

    Mais pour cela il faut commencer par un début logique: ne pas se laisser aller, surtout si l'on vit seul.

    Bien manger, se laver, s'habiller, faire de l'exercice même sans sortir, faire son ménage (qui est pour moi une difficulté), téléphoner à la famille, aux amis, continuer de vivre, donc...

    N'attendons rien de ces ribouldingues qui censément gouvernent et font nos lois, ils nous montrèrent qu'ils sont dans la plus absolue incapacité de penser, prévoir et P1020964.JPGgérer une crise sanitaire qui, même si elle est grave, aurait pu se révéler infiniment pire.

    Alors il ne peut qu'être cohérent de considérer que les mêmes ne puissent pas officier avec ardeur et vivacité pour cette reconstitution, cette reconstruction, eux qui, jusqu'à présent, prirent du retard sur ladite crise que parce qu'ils ne prévoyaient et ne concevaient, par obéissance aux GOPE de l'UE, que de passer leur 49.3 à l'Assemblée Nationale au sujet du projet de loi dédié aux retraites, dans leur impossibilité première de pouvoir imaginer qu'ils puissent être atteint par Monsieur Coronavirus (le vit russe, hi, hi, hi).

    Tout le reste ne leur semblant que secondaire.

    Eux qui ne voit d'horizon que la ligne bleue étoilée d'or de la construction européenne, paniquent et plus encore, ébahis et transis, divaguent à l'idée que leur construction européenne chérie se délite au-devant de leurs yeux.

    Ils ne sont plus rien que de leurs rêves brisés!

    Lesquels peuvent-ils être considérer comme étant les plus sérieux?

    Ceux qui resteront à leur poste, quand bien même se confineront-ils chez-eux, n'en poursuivront pas moins leur métier d'élu.

    Il n'est plus que les imbéciles pour encore croire aux autres.

    ( Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en P1030242.JPGFrance au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur serait Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    Allemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1P1030049.JPG

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie réelle, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne et la République Tchèque est le plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est le plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est le plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Note à 19 h 30, ces mêmes tchèques ont détourné 680 000 masques et respirateurs aux italiens que la Chine leur destinait.

    Vous savez quoi, le premier qui me dit que l'UE  est une bonne chose, je le traite de débile, en son sens médical du terme!)

    Alors, quel est ce travail que je vous propose que nous effectuons tous, chacun muni P1020057.JPGde ses capacités, de ses talents et de ses connaissances?

    De commencer dès maintenant à concevoir comment rebâtir au mieux et au plus vite le tissu industriel, minier et agricole  de la France, économique donc, de l'économie réelle, mais aussi politique.

    Ceci en attendant d'agir au mieux suivant les dispositions de chacun.

    ( Quand à notre gouvernement, il risque fort de sauter comme sur une mine s'il continue de se conduire d'une manière aussi infantile, s'il poursuit son affligeante impéritie.

    D'avoir de plus conduit une violence policière dirigée envers tous manifestants, dont entre-autre les pompiers et le personnel médical qui aujourd'hui, hypocritement, sont encensés par ces mêmes donneurs d'ordre.

    Que les ministres comprennent, le sieur Macron m'en paraissant incapable, que,  suivant Monsieur Sapir, autant un coup de force, comme celui qui avait mené au pouvoir le général De Gaulle, mène à une continuité politique de l'état;

    Autant un coup d'état ou une révolution ne peut que conduire à une remise en cause de la constitution d'auparavant, ce qui veut dire qu'à ce moment là leur vie même pourrait se révéler être en jeu.

    Je leur conseillerais donc à vivement à se remuer le popotin, d'arrêter de se justifier en accusant Pierre, Paul, Jacques de leurs propres stupidités et manquement  et deP1020445.JPG cesser séant toutes leurs autres gamineries ridicules.

    N'est-ce pas messieurs-dames les faiseurs.

    En nous montrant et démontrant jusqu'à présent ainsi à tous une insigne faiblesse mentale, pour dire le moins, qui, si cette crise perdure, ne pourra qu'obliger quelques forces ou d'autres de vous renverser.

    Mais je ne pense pas que vous puissiez agir de la meilleurs des façons, vous qui craignez plus que tout la disparition de l'Union-européenne, vous qui n'êtes habités que de cette petite angoisse là!

    Et ne percevez le reste que comme grandement secondaire, sauf si cela génère des perturbations que vous ne savez gérer que par la force policière, les autres éléments d'action vous étant totalement abscons.

    D'où vos errements sans fin dans cette crise sanitaire.

    Si, l'autre chose dont vous êtes capable, profiter de votre situation pour vos petites agapes. )

    Mais quoi qu'il en soit de ce travail, la condition sine qua non  de son effectivité ne peut qu'être de n'être plus au sein de l'Union-européenne qui, de part les traités, son idéologie dont sont empreints la majorité du personnel politique, en empêche tout développement.

    C'est pourquoi, au minimum, votez pour l'UPR.

    P1020279.JPGNous ne pouvons plus nous permettre, en effet, de rester dedans cette union et de continu

  • L'Union-européenne: l'angoisse de la séparation.

    Certains psychiatres pensent que l'inconscient n'existe pas.

    D'une certaine façon c'est vrai, mais d'une autre c'est faux.

    Nous donnons en effet des noms à des processus psychiques qui, de fait, sont globaux, et tous ceux qui ne sont pas conscients, c'est à dire qui ne franchissent pas la frontière de la pensée, comme étant inconscient.

    Mais en ce cas qu'est-ce que la conscience?

    Ne serait-ce donc pas ce qui détermine, en nous, notre présence en tant qu'Être par nous-mêmes de par nos pensées, c'est ainsi que j'ai compris cette avancée majeur de la philosophie: "Je pense donc je suis!".

    Mais cette pensée consciente, ce qu'elle est toujours, est comme la fine surface d'eau nous cachant les profondes abysses qu'est cet inconscient complexe, démesuré et de structure fractale.P1020168.JPG

    De fait, la pensée, qui  nous a permis de nous abstraire de la composante psychique archaïque de la préhistoire, séparant conscient et inconscient telle une fine membrane semi-poreuse entre l'un et l'autre, nous donne facilement l'illusion d'être à elle seule le réservoir de notre psyché, quand sa fonction ne consiste qu'à composer notre conscience en l'organisant et en l'harmonisant d'avec le reste des constituants de notre esprit qui, eux, sont majoritairement inconscient.

    Dont la résultante du travail ainsi réalisé, mémoriel compris, remonte à la surface, si je puis le dire ainsi, suivant les besoins momentanés de chacun, sauf à ce qu'ils ne soient refoulés, c'est à dire interdit, momentanément ou, parfois, définitivement, de rejoindre la conscience, de traverser ladite membrane semi-poreuse  qu'est la pensée, d'en remonter à son seuil.

    Là se trouve les origines  des névroses, voire de certaines psychoses telle que la perversité narcissique.

    Or, tout refoulement va conduire à une cascade de processus mnésiques conduisant à des biais cognitifs plus ou moins graves suivant leur importance, d'agir de façon dérisoire, puérile, néfaste et/ou perverse pour soi et/ou à l'endroit de tiers, menant à ce que le sujet n'en vient plus à expliquer ses démarches mais à les justifier puisque n'étant plus que le jouet somnambule de son inconscient.

    Etant entendu que d'être déjà conscient desdits refoulements, sans en comprendre lesquels, ne peut P1020446.JPGqu'en atténuer plus ou moins les effets.

    C'est en cela qu'il nous faut comprendre le pourquoi véritable de nos actes, actions et agissements, ainsi, souvent, ce n'est pas notre façon d'agir qui importe mais bien plutôt leurs raisons d'être.

    Nous pouvons observer en cela que notre pensée, qui est une avancée évolutive majeur pour notre espèce, n'en est pas moins, du fait de son jeune âge en terme d'évolution, d'une grande fragilité, ce que seule une éducation suivit d'une instruction harmonieuse peut aider à bâtir.

    Ce long préambule, présenté ici en préalable, est là pour vous faire mieux comprendre, amis lecteurs, les soucis que pose, en ce moment même, l'idée d'un France-quitte qui, parce que refoulé par, à mon sens, un très grand nombre de français, bien plus que majoritaire, mène la France à des difficultés jusqu'au sein même du parti politique qui le réclame: l'UPR.

    C'est, en vrai, la fragilité extrême de l'Union-Européenne et de l'euro, la réalité de leur inanité face à une quelconque crise, les coups de butoir de plus en plus violent qu'ils subissent, l'autodestruction de la monnaie commune par son hyper-production et les emprunts à taux négatifs par les états, qui, définissent leur fin prochaine désormais évidente.

    Sinon demain, du-moins dans un laps de temps relativement court, pouvant toutefois s'établir encore sur quelques années.

    C'est cette perception généralisée qui produit ainsi autant le déni de son existence pour un ensemble large du peuple, mais plus encore en la sphère médiatique, économique et politique, qui mène aussi aux troubles qui traversent en ce moment l'Union-Populaire-Républicaine.P1020133.JPG

    A un point telle que, moi-même, en ressens l'inquiétude à mesure que j'écris ces lignes.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, en ressentez-vous l’oppressante âpreté angoissante obscurcissant autant la raison que la cognition?

    Que ressentez-vous quand vous imaginez en vrai la France hors de l'Union-européenne et que, désormais, de ne plus parler de la puissance US que comme une vieille relique (ce qu'elle est déjà)? 

    Que vous sentiez en vous-même que l'Union-européenne ne soit plus, que les médiats ne parlent plus que des relations véritables entre les états européens, de devoir avoir votre passeport en poche pour franchir les frontières voisines et de faire, avant, un change monétaire?

    De ne plus à apprendre la langue anglaise devenue une comme toutes les autres.

    En sentez-vous la tension monté du ventre?

    Ce furent deux vidéos qui me conduisirent à cette réflexion, celle-ci de Fabien Sémat puis celle-là de Jean-Batiste Baron.

    De la première j'en avais fait une brève remarque le 13 Mai (en PS. en fin de texte) que je ne peux que corriger après avoir vu la seconde, découverte ensuite.

    De cette seconde je reste toutefois prudent, étant donné que son témoignage, indirecte, est de deuxième main, toutefois si ce qu'il raconte est faux il sait parfaitement qu'il pourrait très bien se retrouver devant la justice.

    Ces deux films montrent des personnes raisonnables et intègres qui racontent ce qu'ils savent de cette affaire en un double point de vu contradictoire mais, de ce qu'il me semble, complémentaire, en ce sens où, justement, les événements qu'ils décrivent montrent, à mon sens, un phénomène d'affolement mental collectif.

    Et la cause en serait cette angoisse quasiment généralisée, en France pour le moins, due à ce que l'Union-européenne, l'euro, mais aussi les Etats-Unis-d'Amérique, comme l'explique Charles Gave, se trouvent tous trois en grande situation de détresse., l'OTAN n'en étant que leur extension sans, ici, réelle importance.

    Au début, dès que j'appris ces événements, n'en ayant que l'avis d'une seule partie, je P1020266.JPGne pensais juste qu'il s'agissait d'une tentative classique en politique de renversement de Mr. Asselineau, bien que la présence de Mr. Brousseau au sein des conjurés me laissait perplexe, ayant soupesé la forte mais discrète personnalité du bonhomme.

    Puis, à la suite de l'intervention de Mr. Baron, considérant la manière absurde et perverse avec laquelle François Asselineau se serait conduit, si celui-là a bien relaté les faits tels qu'ils se sont produits, alors je ne peux pas ne pas considérer que, de fait, la même angoisse telle que décrite plus haut étreint le président de l'UPR.

    Possiblement en ce cas le but inconscient serait de défaire ce qu'il a lui-même construit en raison de ladite angoisse décrite auparavant. 

    Celle-ci le conduisant de plus à des erreurs politiques majeures, tel que de ne cesser de faire états des incohérences du Président de la République, bien réels il est vrai, sans pour cela viser au plus juste là où se trouve le nœud du problème électoral du pays, le Rassemblement National et son chef, Madame Le Pen, qui servent de repoussoir pour faire élire le prétendant oligarchique à la magistrature suprême, et pourquoi non plus de faire de même pour la France Insoumise.

    Ce qui, en outre, de taper continuellement dessus permettrait de se défaire définitivement de la sotte considération journalistique d'une impossible alliance desP1010743.JPG partis qui, pour ces deux-là, se diraient souverainistes, ce qui génère en moi autant d'agacement que de rigolade..

    En effet, éreinter le président du RN permettrait d'éviter que se poursuive la farce d'une extrême droite qui, si nous nous penchons de ce qu'elle a pu signifier par le passé, tant en acte, en destruction qu'en parole, n'en est plus, à l'image du PCF/FI d'aujourd'hui pour une gauche radicale, qu'une pâle copie de ce qu'elle fut d'antan, une ombre fantomatique en quelque sorte.

    De se défaire d'autre part de cette sérénade journalistique voulant que, suivant le médiat, l'UPR serait de mêmes eaux que le RN ou la FI.

    Ni l'un ni les autres ne voulant, en vérité, que la nation recouvre son indépendance pleine et entière, comme tous les autres partis siégeant dans les chambres délibératives, toujours à cause des mêmes mécanismes.

    Je ne pensais pas, en effet, que Mr. Asselineau put, tout autant que la majorité des français, souffrir ainsi inconsciemment de l'idée même de cette triple disparition qui, antérieurement fortement probable, n'en est pas moins devenue depuis lors certaines.

    Lorsque l'on sait que c'est lui qui avait mis en place ce mouvement de plus une décennie maintenant, il est incompréhensible de ce qu'il puisse agir de la sorte, sauf si des mécanismes irréfléchis et inconsidérés soient à l'oeuvre en une perte logique, en ce cas, de lucidité.

    Si l'on remonte dans le temps, je supposerais que leur commencement dateraient véritablement d'il y a deux à trois ans, quand l'euro tendit à perdre de sa valeur et P1020178.JPGque QE et emprunts à taux positifs commençaient à se mettre en place en UE.

    Sans compter d'une possible désorganisation de l'union encore discrète dont nous n'avons pas encore le compte-rendu mais dont les personnalités au fait de ce qu'il s'y passe connaissent et qui, pour la majorité d'entre-nous, est devenu visible dès le début de la crise sanitaire actuelle de part son inaction totale, d'où cette monté supérieure d'anxiété.

    Ainsi en ces choses de l'esprit nous ne devons surtout pas écarter ce qui pourrait sembler être des invraisemblances.

    Quand il est encombré de pulsions, de mémorisations, de structures, d'émotions, de tensions contradictoires indéfinies parce que refoulées, alors il faut envisager que les paradoxes actifs sont là parce que des mécanismes inconscients sont en jeu.

    Il en est, par exemple, d'hommes ou de femmes qui, aimant véritablement leur compagne ou leur compagnon, la ou le fuient d'une manière ou d'une autre dès lors que leur situation devient sérieuse, en refusant un mariage au dernier moment ou en ne voulant pas s'installer à demeure chez son amour au risque qu'elle ou il le ou la quitte...

    J'avais, il y a peu, envisagé que cette angoisse due à ladite triple disparition UE/€/USA, ad minima en tant qu'empire pour ce dernier, mènerait à des réactions excessives, contradictoires, de déni, hystériques ou pire..., plus ou moins enP1030063.JPG déconnexion d'avec la réalité.

    J'avais même suggéré que ce phénomène toucherait tout autant des adhérents de l'UPR, il est probable même que cela ait atteint les deux camps de ce conflit.

    Si cela se révélerait exact, alors cela voudrait dire que la proportion de français qui, d'une manière ou d'une autre, sont tourmentés par ce fait dudit triple affaiblissement présageant la disparition des deux unions et de cette monnaie, dès lors d'un France-quitte automatique, serait alors énorme et bien plus que majoritaire.

    Il est même, en ce cas, probable que la sixième république survienne, comme il en fut pour la troisième, plus par surprise que par un choix délibéré et lucide du peuple et d'une partie de ses élites, voire à ce que cela se fasse dans le bricolage le plus total, en une rétrogression que, jusqu'à présent, nous poursuivons avec une sorte de méticulosité logique collective nous faisant remonté au temps de la guerre de 1870 et de ses effets nombreux.

    Ce conflit au sein même de l'UPR  montre dès lors que notre position à tous sur l'existence de l'union et de ce qu

  • Presque une petite pose en politique en une réflexion de nos origines.

    Bon, en ce moment je me sens en verve, trois billets quasiment à la suite, ça faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

    Le sujet que je vais aborder aujourd'hui traitera autant de l'origine d'Homo Sapiens Sapiens que de celle du singe, des ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres, de nos ancêtres en quelque sorte.

    Pour le reste, je vais ici donner ici un bref aperçu de ce qu'il se passe tant en politique qu'en économie (je vous renvoie à mes deux derniers textes pour ceux ne les ayant pas encore lus):

    P1000696.JPG

    Après que Monsieur Poutine ait donné le baisé de la mort à Madame Le Pen (l'avoir invité chez lui), la Russie se tourne vers le P.C.F. et Les Insoumis, ces derniers étant les plus réactifs.

    Il est à penser que, comme le veut les principes de la politique, l'unilatéralité idéologique d'Emmanuel 1er et des macronistes mènera inéluctablement ces deux partis à la radicalité.

    La police et l'armée, toutes deux épuisées, auront toutes les peines du monde pour réduire la violence sociale qui, de plus en plus, vient en réponse de la violence économique et politique de nos oligarques.

    Il y aura des morts dans la rue.

    Pendant ce temps là, l'U.P.R. qui, pour l'équipe philipparde, est en voie de marginalisation, se retrouvera devant un large boulevard puisque oublié par l'oligarchie et ces représentants (de commerce), ce qui lui permettra de se développer à l’abri de cette violence populaire et d'état qui vient, du-moins pour un temps.

    Dans l'empire U.S., Monsieur Trump n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie de son pays, pour cela il lui faut faire exploser le dollar et Wall Street.

    C'est pourquoi son armée ne cesse d'agacer la Chine et la Russie, ceci pour que ces nations en viennent à vendre en masse leurs bons du trésor U.S..

    En Grande-Bretagne, après que Madame May ait écarté les eurolâtre du parlement britannique lors de leurs dernières élections législatives, propose déjà à sa nation un brexit dur à cause de l'inflexibilité de l'U.E., ce qui ne pourra que mener à une déstabilisation accrue de l'union.

    Pendant ce temps là, la désindustrialisation internationale perdure et s'amplifie.

    Le signe le plus évident se trouve dans le prix de l'essence qui n'arrête pas de descendre.

    Il est à remarquer ce début de tendance, pour les grands-magasins, d'avoir des difficultés de réapprovisionnement.

    Je ne le répèterais jamais assez, faites vos réserves.

    Après six mois environ de tergiversations des russes et des étasuniens de savoir si oui ou non il fallait faire perdurer cet étrange expérience qu'est l'U.E., la décision de détruire l'U.E. paraît être définitivement prise.

    Le plan consisterait, me semble-t-il, à ruiner les banques et les oligarques français par la cessation de paiement du pays en rendant insolvable les habitants (monté des impôts et des intérêts des découverts) et, dans le même temps, à instrumentaliser leur colère logique et normal, au travers des syndicats notamment.

    D'où le cadeau que fit Monsieur Macron aux banques, sur les conseils de je ne sais qui travaillant pour je ne sais qui, en leur octroyant 5,75% d'intérêts en plus des 1% que le pays devrait normalement verser, faux cadeau qui, en réalité, est là pour générer la banqueroute des banques françaises trop grosses pour faire faillite, puisque les acheteurs potentiels disparaîtront.

    Nous pouvons percevoir là la naïveté, pour dire le moindre, de Monsieur Macron et de son équipe, Mitterrand en dirait qu'on y voit déjà à travers.

    Une fois l'une d'entre-elles faillit, c'est toute la chaîne des banques européennes qui suivra et, donc, en fin de course, la Deutsche-Bank, aussitôt et inéluctablement suivie des banques étasuniennes, un tel plan tordu ne pouvant être signé que par les anglais.

    Il est à noter que la lutte sourde que se mènent Goldman-Sachs et Roltschild en Europe continue (Macron, Attali, Minc sont les émanations de cette dernière), la seconde ayant pris pied en France, l'Union-Européenne, créature de la première, par l'entremise du Luxembourg, tente de l'y déloger par une accusation de blanchiment d'argent sale, sûrement avec raison du reste.

    Mais bon, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, non?

    Une dernière chose:

    La désintégration du Front-National mène à ce que les plus extrémistes de ce parti, jusqu'à présent maintenus fermement par Le Pen père puis fille, tendent désormais à prendre leur indépendance et à agir par la violence.

    Encore peu structurés politiquement, ils représenteront, sous peu, avec, à l'autre extrême, la minorité des anarchistes, violents ceux-là (la majorité de ces derniers vivant en quasi autarcie), un danger supplémentaire pour le gouvernement.

    PICT0295.JPG

    Bon, tout ceci dit, je vous présente, comme promis, en seconde partie de ce libelle, une réflexion sur nos origine en posant deux simples questions: pourquoi les hominidés, dont nous sommes avec les chimpanzés, n'ont pas de queue et pourquoi l'existence des ongles et quels en furent leurs effets:

    Il est des sujets aussi sérieux et passionnant que la politique et l'économie où il est possible de se montrer tout autant provocateur, comme il peut en être de l'origine et de l'évolution de l'espèce humaine.

    P1000787.JPGEn fait, non, je ne suis pas vraiment provocateur en ce sens où je ne recherche pas la provocation, sinon j'aurais abordé ce thème et bien d'autres depuis fort longtemps.

    Ce qui est donc provocateur dans les idées que je peux exprimer est essentiellement le fait que je remets en question la structure doctrinale de notre époque.

    En cela je ne suis pas le seul, loin de là, que ce soit Madame Deloison, de son livre: "Préhistoire du piéton: les origines de l'homme basées sur l'anatomie comparée des hominoïdes." ( la-prehistoire-du-pieton.php ) ou de celui de Madame Morgan: "Les cicatrices de l'évolution" ( 2910030113 ), le questionnement de cette structure doctrinale, sur ce simple sujet de notre évolution au fil est ères, n'est donc pas de mon simple fait.

    En revanche, que cela puisse venir de quelqu'un qui, comme moi, est simple employé (conducteur de bus, mais chuuut, faut pas le dire) à la retraite, ne peut que plus encore déstabiliser, de cela j'en suis parfaitement conscient.

    C'est pourquoi j'ai tant attendu avant d'exposer cet ensemble d'hypothèses.

    Or donc, voici ce premier sujet, peut-être moins polémique: pourquoi les hominidés que nous sommes, nous les Êtres Humains, avec les gorilles, les chimpanzés, les orangs-outans et les feus australopithèques, n'avons-nous pas de queue?

    La réponse m'en fut donné lorsque je vis un reportage sur les singes magots vivantP1000702.JPG dans les montagnes d'Algérie et du Maroc, ainsi que sur le rocher de Gibraltar, comme le dit Wikipédia ( Macaque_de_Barbarie ), en fait, là-bas il peut y faire très froid et donc les queues risquent de se congeler, ce qui, vous en conviendrez, ferait mauvais genre.

    Mais il y en a un autre, de macaque, qui préfère lui aussi ne se geler que les miches et non pas un long appendice caudal pouvant se glacer qui, dès lors, a disparu, c'est celui vivant au japon ( Macaque_japonais ).

    Cela voudrait-il dire que les hominidés actuels que nous sommes auraient d'ancêtre un singe qui aurait vécu dans une région suffisamment froide pour que sa queue ait disparu, il y aurait de cela quelques dizaines de millions d'années?

    Ma foi, j'y répondrais par l'affirmative, mais où donc, alors là, je serais bien en peine de vous le dire.

    Une autre question me turlupine, celle de l'existence de nos ongles.

    Bon, c'est vrai, pour nous les Hommes, avoir des ongles plutôt que des griffes, ben, ça a tout de même quelques avantages, ne serait-ce pour mettre nos chaussures ou mettre le doigt dans l'oreille, mais pour les singes, tous les singes, des petits comme des grands, quelles poisse de ne pas en avoir, de griffe.

    Vous imaginez-vous les trésors d'inventivité qu'il a fallu à l'évolution pour palier à P1000850.JPGce manque pour grimper aux arbres, voire même tout simplement pour courir?

    Queue préhensible pour ceux vivant dans les Amériques, système de blocage de la main pour les chimpanzés et les gorilles pour se tenir aux branches, ce qui les oblige à s'appuyer sur leurs phalanges lorsqu'il se déplacent à quatre pattes, j'en passe et des meilleurs, enfin, la vie évolutive ne leur fut pas bien rose, non?

    Et puis, avoir des papattes bien griffues pour courir vite sur la terre ferme, ça ne serait pas si mal que ça, parce que la griffe, elle, elle aide à la course, permet de bien se tenir au sol pour fuir le vilain prédateur, ou être soi-même chasseur, s'accroche aussi au tronc d'arbre pour y grimper.

    Pour fouir et creuser un bon et profond terrier bien douillet elle en est même, la griffe, indispensable, qui a déjà vu un singe se la jouer terrassier, personne, ainsi la griffe est-elle ô combien utile, alors pourquoi s'en débarrasser?

    Demandez donc ce qu'ils préfèreraient de l'ongle ou de la griffe, à l'écureuil de la forêt d'à coté, au suricate des prairies africaines, au chat de la voisine et à votre Médor adoré, vous verrez ce qu'ils vous répondront.

    D'ailleurs, peut-être est-ce cette bizarrerie ongulesque du simiesque commun d'antan qui fit que notre pied a, aujourd'hui, cette forme si commune et que notre main aurait conservé sa forme primitive des pattes des paléo-mammaliens?P1000803.JPG

    De la perpétuation du déplacement à quatre pattes (jusqu'à nos ancêtres, ben oui), le premier, le pied, se serait allongé et élargi pour offrir une meilleurs base d'appui ainsi qu'une meilleurs adhérence à la course et la seconde, la main, pour les mêmes raisons, aurait gardé cette forme étoilée aux cinq doigts, si je puis dire, que l'on retrouve chez les aïeux les plus lointains des mammifères, avec la paume et les doigts souples pour un bon et puissant développé (et puis compter sur les doigts, mais çà, ça se fera plus tard).

    Alors, pourquoi l'ongle plutôt que la griffe?

    J'aurais bien une réponse, une hypothèse, mais alors là, c'est vachement osé, plutôt gonflé, même.

    Ç’aurait été pour éviter de griffer et blesser le dinosaure lorsque le paléo des paléo-singes aurait épouillé ces énormes grosses bêbêtes qui devaient être recouvert d'un tas de bestioles et de végétaux sur leur immense corps, ce qui, ma foi, devait offrir le gite et le couvert à peu de frais à ce futur singe.

    Et oui, nous pourrions très bien imaginer que leur peau, à ces monstrueux ancêtres des oiseaux, réagissaient par des mouvements ondulatoires assez violents si quoi que ce soit se mettrait à les chatouiller d'un peu de trop, comme un coup de griffe, par exemple.

    P1000191.JPGCette habitude de l'épouillage, nombre de singes l'ont conservé, mais elle a changé de fonction et d'utilité, comme il en est de coutume dans les processus évolutifs, n'est-ce pas?

    (D'où aussi, pour les Hommes que nous sommes, le symbole du dragon ou du serpent à plume, qui s'exprime différemment suivant les régions du monde, puissance en Asie, saint-Georges et Saint-Michel tuant le dragon pour les chrétiens, Quetzalcoat en Amérique du Sud précolombienne..., comme quoi, la mémoire peut prendre bien des formes, ici celles des symboles humains.).

    Ce serait aussi pourquoi nous serions toujours omnivore, nous autres, homo Sapiens Sapiens, même les bonobos le sont, c'est pour tout dire (et pour la bagatelle, mazette).

    Çà me fait penser à ces petits poissons qui, dans les océans, viennent débarrasser de leurs vermines et leur déchets des repas précédents de gros poissons comme les mérous et autres requins du coin (coin coin, ça, c'est le canard).

    Et puis, après que la météorite d'il y a 65 millions d'années ait exterminé ces énormes bestioles à la peau garde-manger, d'une grosse papatte d'un brontosaure à un arbre, y grimper aurait comme de la ressemblance, non?

    P1000660.JPGMême si certains choisirent plutôt le plancher des vaches, il est vrai que les arbres mirent du temps pour ensuite repousser.

    Et puis plouf et glouglou, quelques dizaines de millions d'années plus tard, nos ancêtres à nous seraient allé à la baille, auraient perdu leur poils , se serait redressé, pour marcher dans la mangrove et nager, aurait perdu son os pénien, ce qui n'empêche en rien monsieur de redresser la riquette devant madame, suerait tout leur eau et leur sel par chaud soleil...etc...etc...etc..., pour le reste, je vous renvoie aux livres des auteP1000480.JPGures sus-nommés.

    Enfin, bref, tous ces petits accommodements dus à notre redressement sur deux pieds, qui nous amusent tant et fait dire que celui qui, après cinquante ans, n'a pas mal quelque part en se réveillant et se levant bon matin, c'est qu'il est mort (et que dire du mal de dos, mal du siècle, non, de l'espèce!).

    Allez, encore une supposition, pour la route.

    Et si le fait que nous ayons un langage articulé provenait, justement, du fait que nos très, très très anciens ancêtres, plus anciens que ça, même, dont nous n'avons gardé aucune photo, vivaient dans une dense mangrove et nageaient sous l'eau.

    Nous pourrions nous demander, dès lors, si les langues à clics, dite khoïsan ( Langues_kho%C3%AFsan ), n'auraient pas, d'origine, ce fait que, sous l'eau, ce serait des sons qui s'entendraient fort bien, puis des clics aux consonnes il n'y aurait qu'un pas, si je puis dire, comme les voyelles, d'ailleurs, faites l'expérience en piscine, vous verrez, c'est amusant.

    Et puis écoutez les dauphins, les voyelles et les clics, ils les connaissent très bien.

     

    Donc, en reprenant plus sérieusement ces hypothèses, l'origine des ongles P1000791.JPGproviendrait de ce que, il y a bien plus que 65 millions d'années, bien avant que la fameuse météorite pulvérise 70% de la vie terrestre, un mammifère, ressemblant peut-être aux suricates en plus archaïques, serait venu se nourrir des animaux et plantes parasites et saprophytes recouvrant le corps des plus gros des dinosaures.

    A l'exemple des poissons et crevettes mutualistes qui, dans les océans, font de même aujourd'hui.

    Pour éviter de blesser leurs hôtes ou tout simplement leurs réactions réflexes d'ondulation de leur peau, les griffes de nos ancêtres de nos ancêtres se seraient, progressivement, transformées en ongles.

    Pour prendre place sur le dos de ces géants, il leur fallait soit de grimper d'abord sur un arbre, soit monter sur leur énormes pattes, ce qui leur nécessitait une bonne agilité.

    Du fait que l'ongle offre un point d'ancrage sur le sol nul, contrairement au sabot ou à la griffe, pour courir notamment, le pied se devait de s'allonger, comme aujourd'hui celui du babouin ( http://www.photodenature.fr/babouin/photo-babouin-9/ ) et du mandrill ( ?p=68161 ), et la main conserver sa forme archaïque avec ses cinq doigts en étoile offrant une bonne stabilité.

    Ceci explique tout un ensemble de fait remarquable que nous ne retrouvons queP1000855.JPG chez les singes, il n'existe pas, par exemple, de singe fouisseur, soient ils grimpent aux arbres, soient sont d'excellents coursiers, avec des capacités de préhension manuelles bien plus efficace que quasiment tous les autres genres.

    Ceci expliquant également l'épouillage qui serait, à mon sens, des restes de réflexes instinctifs antédiluviens.

    Ensuite le manque de queue chez les hominidés, autre énigme, s'expliquerait, comme écrit plus haut, par le fait que le paléo-hominidé vivait dans une région, sinon froide, plutôt tempérée, avec des hivers suffisamment vigoureux pour que l’appendice caudal en vienne à disparaître.

    Enfin, les capacités humaines d'émettre des sons articulés et complexes proviendraient de ce que, avant même que le genre Homo n'apparaisse, un descendant de ces paléo-hominidés se soient retrouvés à vivre dans une mangrove et, avec le temps, à devoir échanger avec ses congénère sous l'eau, pour chasser le poisson, ramasser les fruits de mer ou pour fuir un prédateur, par exemple.

    Pour plus d'explications sur l'origine de la bipédie humaine et la théorie du primate aquatique, je vous renvoie aux deux ouvrages suscités.

    Toutefois, la forme spécifique du pied des primates quadrupèdes tels que le babouin et le mandrill expliquent, me semble-t-il, l'érection humaine vers sa position P
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  • Qu'il est donc étrange de vivre une période pré-révolutionnaire!

    Oui, qu'il est donc étrange de vivre une période pré-révolutionnaire!

    De voir l'histoire se faire devant soi, au-devant de soi, de contempler ce moment inouï où se renversent tables et chaises dans un accord de tous avec tous.

    Et là-bas, et ailleurs, tout le monde de guetter les moindres soubresaut d'un pays qui ne peut faire autrement que de faire ce que tous les autres peuples lui demande de faire: renverser tables et chaises.

    Jusqu'aux décisions politiques les plus absurdes, d'hier comme d'aujourd'hui, jusqu'aux larmoyantes plainte d'une opposition qui, il y a si peu, prenait des décisions absurdes sous les cris larmoyants d'une opposition aujourd'hui majorité, jusqu'aux inepties proférées par la majorité et l'opposition, jusqu'au silence lâche d'une Union-Européenne, ses élus et non élus, qui laisse au gouvernants de ce pays, la France, le soin de calmer un peuple aux abois en raison de ses décisions imbéciles, peuple qui se demande encore si ou quand il va renverser chaises et tables, jusqu'aux peuples de l'Union-Européenne qui n'attend qu'une seule chose, que le peuple de France ne renverse tables et chaises pour les renverser à leur tour, jusqu'à une Union-Européenne qui ne comprend pas qu'elle risque de faire l'Europe contre elle et non pas avec elle, jusqu'à un front-national pris dans la tourmente de leur propres contradictions, de leurs propres délires, de leurs propres jeux avec une Union-Européenne qu'il aide en toute connaissance de cause, jusqu'à un front de gauche qui ne comprend pas, qui ne comprend plus qu'il doit renverser les chaises et les tables de ses idéologies.

    Voilà, nous sommes au porte d'une révolution mais personne ne sait vers où, mais personne ne sait vers quoi, mais personne ne sait qu'une chose: contre qui.

    Révolution?

    Pour ceux qui me lisent, l'idée, la théorie de la rétrogression leur est connue, c'est le retour adaptatif, inconscient et psycho-social, au moment qui fut l'origine du blocage présent, c'est "l'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social."

    J'avais pensé que cette rétrogression s'effectuerait par un retour de la fin du XIX° siècle, j'ai bien peur d'avoir eu tord, nous rétrogressons jusqu'à la période de la fin du XVIII° siècle et de la révolution française.

    Tout est là: une aristocratie, hier d'épée, aujourd'hui de finance, un pouvoir politique pas loin de la démence, un pays ruiné comme tous ceux d'à coté, des mesures dérisoire de fin de royauté, le déni, aujourd'hui, de la démocratie qui frise parfois la sotte autocratie, notre état, hier, qui sauve l'Amérique en mettant nos finances en crédits chimériques, Un peuple en chaud bouillonnement s'approchant, doucement, de son déchaînement, l'armée, la police s'approchant des rétifs, pas encore mutin mais interrogatif...

    Alors, pourquoi ne pas remplir des cahiers de doléances et les faire parvenir à notre roi républicain?

    Et demander, sous une forme moderne, la réunion du tiers état?

    Je ne plaisante pas: que s'emplissent les cahiers de doléances!


    THEURIC

     


  • U.R.S.S. / U.S.A., d'un empire à l'autre.

    Avant que je ne développe le thème du titre de ce billet, je ne peux pas faire autrement que de porter, sur cette première page, mes observations au sujet du dernier scandale élyséen: l'affaire Benalla.

    L'un et l'autre de ces thèmes ont un lien, celui portant sur le fait que je montre qu'il est possible d'avoir un regard sur un avenir qui, naturellement, ne peut qu'être que grandement incertain (bien que pour le second je ne fasse pas de prédiction).

    Or, bien que de toute prévision future nous ne pouvons en établir les détails, il est possible de saisir ce qui fait la dynamique historique du moment, en politique et en économie notamment, puis d'en extrapoler, il est vrai grossièrement, une suite logique et cohérente.

    Ceci tant que cette dynamique ne se retrouve pas dans un processus de rupture événementiel menant à une situation chaotique toujours momentané.

    Ce que je vous expose repose donc sur un ensemble d'hypothèses conceptuelles que je vous décris en même temps que de vous en proposer le résultat de ces réflexions.

    P1000719.JPGAussi que sur une compréhension intuitive de la politique et de la psychologie humaine (dont nous sommes tous possesseurs) qui ne peuvent qu'être qu'intimement liées.

    Ce sont ces trois socles qui composent cet ensemble réflexif, l'écrire me permettant de le développer.

    Le syndrome de Cassandre ne provenant que du fait qu'un certain nombre de personnalités, dotées d'une intelligence souvent particulière (et non pas plus importante, juste différente bien que plus ouverte), dites à hauts-potentiels en raison du fait qu'elles n'ont pas, au contraire de la majorité des Êtres-Humains, que quelques centres d'intérêts, mais sont animé d'une curiosité multiforme, perçoivent et déduisent, plus ou moins inconsciemment, les liens qui s'établissent entre des circonstances passées, présentes et dès lors, pour elles,  futures;

    Il y a syndrome de Cassandre, donc, parce que ces personnes ne pouvant pas se faire entendre, souffrent souvent de cette frustration.

    Je vous propose donc cette première partie:

    En ce début de grandes vacances scolaires, les événements se suivent à bonne allure et, contrairement à ce qu'il pouvait se passer il y a ne serait-ce que cinq ans, la population part infiniment moins hors de chez-elle ou ne va pas plus loin que de rendre visite à sa famille, les scandales d'été en ayant dès lors un écho autrement plus important qu'antérieurement puisque les gens regardent plus la télévision qu'avant.

    Il est symptomatique que l'affaire Benalla, (un autre compère, un certain VincentP1010481 - Copie.JPG Crase, plus ou moins officier de la gendarmerie, ce ne serait pas clair, ferait aussi parti de cette violente mascarade) un conseiller du président de la République qui aurait tabassé un homme et rudoyé une femme le 1er Mai de cette année, ait été révélé par le journal Le Monde, jusqu'à présent le chantre du macronisme-philippard, étant d'une eurolâtrie américanolâtre, d'une pensée néolibérale, ainsi que d'une miso-Russie (de miso-, qui hait) jusqu'à présent irréductible (Le Parisien menant sa propre enquête, journal bien moins macroniste que le précédent).

    D'autant plus quand nous savons que c'est grâce, entre autre, aux Manœuvres de Monsieur Macron, avec l'aide l'Alain Minc, que ses propriétaires actuels ont pu l'acquérir.

    Mais que faisait donc ces deux gugusses  auprès de la police?

    A mon sens ils jouaient au gendarme et au voleur comme Macron a joué aux soldats de plomb lors de sa rencontre avec les hauts gradés militaires.

    Le Président ayant ainsi fait un petit cadeau à deux de ses protégés.

    Ce Monsieur Benalla commençant à être considéré comme étant le mignon d'Emmanuel macron, ce qui pourrait être possible vu que la femme de ce dernier avait organisé quelque chose comme une gay pride à l’Élysée le 21 Juin dernier lors de la fête de la musique, ce n'est pas tant que cela puisse exister qui me pose problème mais plutôt qu'un tel événement, tout de même d'une éminente vulgarité, ait pu se produire dans le palais de l’Élysée.

    Si notre président se veut d'être vulgaire, et bien soit, il nous l'a déjà montré mainte fois par le passé, mais auquel cas qu'il aille faire ça ailleurs et non pas au centre même du lieu symbolisant le pays, la nation et l'état et là où se décide l'avenir des français..

    Ce qui est notable c'est que l'oligarchie nationale et européenne n'ait pu que ne P1010448.JPGnous présenter que çà comme président en 2017, ceci après moult manipulations, soit quelqu'un purement à leur image: le ci-devant Macron.

    Non pas une personne médiocre comme le sont Messieurs Sarkozy et Hollande, bien qu'ils soient tous deux pourvu d'une certaine intelligence.

    Mais plutôt une personnalité sans grande personnalité, psychologiquement instable, ayant un âge mental réduit, aux pulsions et jouissances infantiles, facilement manipulable, n'ayant de la politique qu'une vision superficielle et fantasmatique et, surtout, au grand surtout, ne se rendant pas compte de la porté de ses actes, peut-être bien comme il peut en être de sa femme d'ailleurs.

    C'est pourquoi je suppute plus loin un profond désaccord au sein même de cette oligarchie, certains s'éloignant, rejetant(?) ce groupe informel, et, dès lors, a lieu une scission ne pouvant qu'être suivit d'une sourde lutte interne dont nous pourrions en percevoir les commencements aujourd'hui, cette fête électro antérieure n'en ayant été que l'élément déclencheur.

    Quand bien même je prends grand soin à analyser plus bas toutes les possibilités des raisons de la remonté de ce scandale.  )

    J'avais annoncé il y a quelques temps, en Septembre 2017, que les oppositions deP1010450.JPG (la pseudo)gauche et de (la pseudo)droite n'attendait que le bon moment pour commencer à déchiqueter les députés du R.E.M., le gouvernement  et ses radios-éléments à pleines dents,  n'ayant su dire, naturellement, quelle serait la cause du déclenchement de cet hallali, peut-être en serions-nous là.

    Mais au-delà de ce satisfécit personnel, quand bien même en attendrais-je les preuves formelles (ne sommes-nous pas mieux servis que par nous-mêmes?), il est remarquable de constater le possible magnifique changement d'opinion de ce journal et, donc, de ses propriétaires, Messieurs Pigasse et Niel.

    Si c'est bien cela qu'il se passe, alors nous pourrions prévoir d'autres scandales qui surgiraient de manière impromptue en un crescendo continu, et il faudrait, en ce cas, relever de quel médiat cela proviendrait, ceux qui en amplifieraient l'impact, mais aussi ceux qui tenteraient d'en amoindrir les effets, pour savoir qui est avec qui.

    C'est cela qui est le fait le plus important d'une histoire qui aurait pu, sinon, se diluer dans l'indifférence générale, ce qui semblait être le cas jusqu'à présent.

    Cependant, que cette révélation ait été publiée peu de temps après le 14 Juillet, le 18 du mois, époque où un grand nombre de vacanciers part vers d'autres cieux, incident qui, c'est à noter, avait eu lieu deux mois et demi auparavant, pourrait très bien vouloir dire qu'il ne s'agirait que d'une manière, pour certains P1010665 - Copie.JPGoligarques, de faire pression sur le président, sans prendre en compte la forte diminution des départs en vacance.

    Toujours est-il que cet événement marque, à n'en pas douter, deux choses:

    -la première est qu'il y aurait possiblement des dissensions entre le gouvernement et l'oligarchie nationale, voire, plus sûrement, au sein même de l'oligarchie: toucher et fragiliser le pilier véritable de leur puissance, le pouvoir politique, marque à n'en  pas douter  un puissant mouvement interne de notre ploutocratie;

    -la deuxième phénomène, là encore remarquable, est la prise de distance des ministres d'avec leur président, vu lors d'une question à l'une d'entre eux par un journaliste de B.F.M.télé, signe de l'affaiblissement considérable de la présidence.

    Je ne serais pas surpris que ce neutre éloignement ait été décidé collégialement avec le premier d'entre-eux, Monsieur Philippe, bien qu'il soit possible, aussi, que commence, au-dedans de chaque ministère, une façon ou une autre de sauve-qui-peut bien plus anarchique.

    Quoi qu'il soit de l'une ou l'autre de toutes ces possibilités, nous pouvons percevoir dès à présent que le délitement du R.E.M. et ce qui y est lié, est dorénavant avancé, ce qui ne peut que vouloir dire que celui-ci préexistait depuis quelques temps déjà, tout ceci advenant tout de même un tout petit peu plus d'un an après les élections législatives de Juin 2017, ce qui est peu, très peu même.

    Preuve s'il en est d'une profonde fragilité originelle et multifactorielle de la P1010748.JPGRépublique En Marche, ne tenant son pouvoir véritable, jusqu'à présent, que grâce à une sphère médiatique à son service qui, pour une partie d'entre-elle, semble se liguer désormais contre ce parti (écoutez et regardez comment en parle Dominique Rizet, lui qui fut si longtemps l'avocat convaincu du macronisme: là c'est un flingage absolu).

    Comme de naturel, les oppositions ne peuvent que profiter d'une telle faiblesse d'un  pouvoir en place, d'autant plus si, collectivement, les-dites oppositions ont une terrible aversion pour celui-ci, ce qui ne peut que le conduire progressivement à la panique, le menant ensuite à des erreurs répétées, sujets à de nouveaux scandales.

    Quand, dans le même temps, si ce processus perdure, ne peut que générer un éloignement des députés et des ministres du R.E.M. de leur poste, voire, pour les plus sérieux d'entre-eux, à une révolte telle que cela ne pourra qu'être relayé par les médiats.

    Tout ceci ne pouvant que mettre toutes les composantes de l'Union-Européenne dans un grand embarra, jusqu'à ce que, à un moment donné, elles en viennent à craindre, avec raison, une instabilité politique totale de la France dont elles ne pourraient rien et qui pourrait bien dissoudre l'union comme dans un bain d'acide.

    P1010538.JPGDe fait et pour finir là-dessus, a été lancé un mécanisme qui, s'il perdure trop longtemps, ne pourra pas être arrêté, puisque celui-ci s'est infiltré au sein d'une tension sociale déjà importante, ce qui, peut-être, est le but recherché.

    Je ne sais pas comment l'affaire Benalla se terminera, cela peut s'achever dans un flop discret ou à ce que s'accroisse ces tensions populaires jusqu'à ce que le gouvernement d'aujourd'hui se démette, voire à se que le président démissionne.

    Comme vous le voyez, ce n'est pas tant le manque d'information qui est ici problématique, mais à ce que nous devons attendre des éléments suivant pour nous faire une idée exacte de ce qu'il se passe à l'intérieur de l'oligarchie, de ses déchirements et scissions internes et, ce, de par ce qu'il se dira dans les médiats et ce qu'il se passera dans le gouvernement et à l'Assemblée Nationale.

    Toutefois j'émets une hypothèse: tout comme il en est en Grande-Bretagne et dans les États-Unis-d'A

    Il y a 27 ans disparaissait l'U.R.S.S..

    Ce fut l'un des faits majeurs de cette époque.

    Il est toutefois à remarquer une chose: il se passe aux U.S.A. des événements ressemblant bougrement à ceux qui avaient précédé cet effondrement de 1991 en Russie.

    Comme j'ai pu l'exprimer déjà sur ce blog, Monsieur Trump est, dans le même temps, le réformateur impérial comme il y en a eu de nombreux dans la Rome antique, avec Roosevelt, c'est le second que je connaisse de l'empire U.S., mais aussi le reflet inversé de Monsieur Gorbatchev, le dernier dirigeant de l'U.R.S.S. de 1985 à 1991.

    Ce reflet inversé (comme tout reflet) s'exprime de différentes façons, ici, politiquement, cela se perçoit dans la personnalité de ces deux personnage.

    Par exemple Monsieur Gorbatchev avait et a toujours (il n'est pas mort) une certaine distinction et élégance, avec un respect scrupuleux des convenances internationales..

    Donald Trump, quand à lui, fait preuve d'une superbe ostentatoire, est plutôt vulgaire et se moque comme de sa première chemise d'une quelconque bienséance, ainsi a-t-il fait attendre la reine du Royaume-Uni lors de sa dernière visite protocolaire et avait rudement rudoyé ses partenaires lors de la dernière réunion du G.7.

    Mais tous deux font preuve de la même subtile intelligence.P1010527.JPG

    Comme en politique, l'économie de ces deux pays font montre de ce reflet inversé à trois décennies intervalles.

    Tout comme il en fut de la Russie soviétique de cette époque, les Etasunis se trouvent dans une situation économiquement déplorable.

    Mais autant dans le premier chacun travaillait et gagnait son salaire, avait de quoi se loger, mais ne trouvait sur les étals des magasins que très peu pour pouvoir subvenir à ses besoins quotidiens (chacun se bricolait son potager), ou alors à un prix exorbitant (il se racontait, par exemple, que les boutiques de chaussure de tout un chacun ne recevaient des souliers que d'un seul pied, gauche ou droite, c'était selon, ou d'une seule pointure).

    Autant dans les États-Unis-d'Amérique les magasins ferment les uns après les autres et les sans-abris, donc sans logement, fleurissent sur les trottoirs.

    Nous pouvons percevoir ici une même pénurie mais leurs causes et leurs effets sont, là encore, inverses.

    En U.R.S.S. il y avait une désorganisation de la société et si des chaussures étaient commandées par un magasin, peu importait qu'elles soient toutes de même pointure ou d'un seul pied, la seule chose qui importait c'est qu'il en soit livré le bon nombre, et encore, mais celles-ci  étaient fabriquées dans le pays même.

    Aux U.S.A. l'immense majorité des chaussures sont fabriquées hors du pays, comme quasiment tout les biens manufacturiers, ce qui fait qu'il n'y en a quasiment plus P1010461.JPGd'usinées sur son propre sol (s'il y en a), dès lors les anciens ouvriers qui les fabriquaient sont de fait, pour la plupart, au chômage, les autre faisant de petits boulots mal payés, et dès lors tout le monde se retrouve à la rue ou habite des lieux insalubres (près de 40 % de chômeurs U.S.).

    Tous deux se sont embourbés en Afghanistan, le premier s'en est retiré, le second remplace son armée de métier par ses mercenaires nationaux.

    Tous deux ont un président tentant de réformer leur pays, provenant de leur oligarchie, politique pour le premier, économique pour le second.

    Tous deux se retirent de l'Europe (bien que la Russie en fasse parti), le pacte de Varsovie fut délité par les populations, l'Union-Européenne se décompose par un désordre économique grandissant, avec des banques en voie de banqueroute, et un ensemble de désordres politiques (Ce qu'il se passe en France en étant caricatural).

    ( Bien que sur ce sujet vous remarquerez que l'Allemagne en soit toujours au centre, mais encore une fois d'une manière différente. )

    A chacune de ces époques, les présidents soviétique et U.S. d'abord, Messieurs Gorbatchev et Reagan, puis russe et étasunien ensuite, Messieurs Poutine et Trump ensuite, se rencontrent en générant à chaque fois interrogations et reproches (non pas comme je l'avais sottement suggéré en une façon de nouveaux Yalta, mais plutôt, à mon sens, pour discuter du retrait des U.S.A. de ses possessions, comme il en fut à la fin des années 80 pour l'U.R.S.S.).

    Il est à remarquer que comme il en fut de certaines régions anciennement soviétiques, telles que la Biélorussie et l'Ukraine, qui prirent leur indépendance dès que se fût évanoui l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques, des états U.S. ont aussi des velléités d'indépendance, comme il en est pour le Texas par exemple.

    Notons également que comme il se trouvait des pays neutre entre le glacis Europe de l'est / Europe de l'ouest pendant la guerre froide, mais penchant plutôt vers laP1010498.JPG première qu'à l'endroit de la seconde, à l'image de l'Autriche et de ce qui fut la Yougoslavie, la Suisse, du coté ouest, reste d'une relative neutralité face à une Union-Européenne qui, désormais, se retrouvant sans maître véritable, en vient, comme je l'ai dit, à se déliter.

    Observons enfin que comme la Russie et la Chine d'aujourd'hui se sont reconverties à un capitalisme exacerbé, le socialisme américain, proche en vérité de ce que fut le communisme européen, est en train de prendre une densité populaire importante, au moment même où les U.S.A. ne sont pas loin de leur annihilation.

    Ce qui est intéressant dans tout cela c'est de comprendre pourquoi nous nous retrouvons à faire face à ce reflet inversé qui, que nous le voulions ou non, traverse toujours tout autant la France et l'Europe, mais aussi quasiment toutes les régions du monde.

    Pour en comprendre les mécanismes, je me suis souvenu de ce que Carl Gustave Jung disait dans le livre :"Un Mythe Moderne": il y avait, et il y a encore, un lien symbolique existant entre la survenue d'O.V.N.I. aux formes rondes (les soucoupes volantes, le cercle étant le symbole de totalité), que ce phénomène ne soit qu'une hallucination ou qu'il soit réel, au même moment que la guerre froide a généré un phénomène de scission névrotique des Êtres Humains en cette époque, en raison de ce double système politique, collectiviste, communiste, représenté par le bloc de l'est, et un autre individualiste, capitaliste, représenté par le bloc de l'ouest.

    Deux des fondements importants de notre détermination d'Être, j'écrivais antérieurement ceci sur ce sujet: " Notre détermination d'existence en tant qu'Être Humain se construisant pas à pas à deux niveaux intimement liés: individuelle (le qui je suis) et collective (le ce que je suis) et, ce, dès notre naissance.   " .

    Chaque partie s'arcboutant sur son dogme, parfois devenu intransigeant, ne tournant qu'autour d'un même présupposé, celui voulant que l'économie ne peut qu'être que centrale à toute autre pensée et organisation politique, en intériorisant ce qui, en soi, était, suivant la doctrine adoptée, bon et mauvais.

    Mais en fait aucun Être-Humain ne peut vivre l'un sans l'autre, sans individualité ou sans communautisme (néologisme nécessaire pour rendre compte de cette notion), chacun a son existence propre au titre que nous sommes tous différents les uns des P1010042.JPGautres avec une conscience aigüe de notre particularité d'être, tout comme nous vivons tous au sein d'un ensemble social, devenu il est vrai complexe, dans sa patrie, dans sa famille, au travail, dans ses loisirs, plongé dedans une composition de codes qui fait notre existence sociétale dans lequel nous nous reconnaissons.

    Si l'un de ces deux composants indispensables au bon fonctionnement de notre psyché en vient à être diminué, individuellement ou collectivement, quelles qu'en soient les raisons, cela génère une indétermination de la personne ou de la société lui faisant perdre tout ou partie de son identité et donc de son intelligence.

    Là se trouve l'origine de la monté en puissance d'une sottise collective, provenant de la médiocrité de l'époque, s'exprimant de diverses manières et dont Monsieur Macron est l'un des effets des plus caricaturaux en un exemple parmi tant d'autres.

    Étant donné que certains pays et donc leur population sont allés dans un sens ou dans un autre, il ne peuvent, pour tenter de retrouver leur stabilité psychosociologique, que d'adopter l'idéologie inverse dès que l'intransigeance doctrinale de leur crédo aura conduit leur société à la faillite.

    La particularité des pays européens c'est que les populations, d'une manière ou d'une autre suivant qu'ils se trouvèrent dans le bloc de l'est ou de l'ouest, se sont confrontées à ces deux doctrines contraires et en ont vécu, parfois dans leur chair, les limites intrinsèques et leur aspect débilitant, d'où cet effondrement idéologique en cours.

    A ces effets mécaniques, si je puis dire, notre séparation d'avec les images symboliques due à leur utilitarisme et surexploitation propagandiste, politique et économique, publicitaire, d'un coté comme de l'autre, ainsi que de l'émergence de la recherche d'une pensée cohérente quand à nos origines et celle de l'univers, encore largement incomplète, mirent de coté les mythes et récits de la création en mettantP1010499.JPG dans un tout et rejetant nos symboles qui sont, en réalité, l'expression de notre structure mentale la plus profonde.

    Celle qui fonde la première constitution de la contexture de notre esprit et, ce, dès notre naissance et qui, tout au long de notre vie, en protège le fonctionnement par un ensemble d'expressions imagées, les-dits symboles, en une compensation continuelle des nombreuses instabilités que chacun d'entre-nous ne peut que vivre tout au long de son existence.

    Ainsi que des tensions que génère en nous, depuis longtemps, une forme ou une autre de société, en contradiction plus ou moins importante d'avec notre fonctionnement originel d'Homo Sapiens, Sapiens.

    Tensions qui s’adoucissent et se consolent, par le corps ou par l'esprit, lors d'un rite religieux, après un rêve lorsqu'en est saisi le sens, une méditation, une promenade en un lieu nous renouant à nos lointains ancêtres, en racontant une histoire, par la parole ou l'écrit, imaginée ou vécue, en la lisant ou l'écoutant, etc..., et où ces symboles se déversent et nous relient à notre profondeur instinctuelle.

    C'est bien parce que nous avons écarté, pour les raisons évoquées, ces constitutions archétypales que sont les symboles, ceci lié à cette scission névrotique montrée plus haut, que nous nous retrouvons perdus dans un univers devenu incompréhensible, en ayant gravement affaibli notre conscience et dès lors notre pensée.

    Ce phénomène étant particulièrement puissant au plus haut de la hiérarchie des nations occidentales.

    C'est pourquoi quelqu'un comme Emmanuel Macron fut élu, grâce à un ensemble de subterfuges et de techniques manipulatrices, ne pouvant qu'être que la représentation de ce que sont ceux qui firent tout pour le mettre en place à la magistrature suprême.

    P1010577.JPGC'est pourquoi également ceux des oligarques qui, comme les patrons du Monde, ont su commencer à s'éloigner tout doucement de cette masse de croyances informes qui constitue ce que, faute de mieux, nous appelons le néolibéralisme, ne pourront que se sentir, au fur et à mesure qu'ils comprendront enfin les fondements de ce qui les animent, un apaisement égale à cette compréhension.

    En tous cas, c'est le bien que je leur souhaite, à eux et à tout Être-Humain, surtout aux occidentaux et, bien sûr, ainsi qu'aux français, cela va de soi.

     

     

    THEURICP1010537.JPG

  • De la Grèce!

    Voilà, les grecs ont voté.

    L'économie-monde, est dans un état similaire de ce que pourrait être une surfusion ( https://sciencetonnante.wordpress.com/2011/04/11/la-surfusion-de-leau-cest-supercool/ et surfusion.htm ) et va bientôt entrer dans une période appelée "transition de phase", qui est le moment ou un système passe d'un état à un autre, ce qui, pour nous, prendra la forme de la crise catastrophique qui vient.

    Ce sera donc l'ensemble des sociétés mondiales qui, d'un façon ou d'une autre, subira de profondes mutations et transmutations, après avoir vécu un effondrement global de l'économie international puis plusieurs décennies de terribles convulsions, voire probablement pires.

    Mais, pour l'instant, une sorte de stabilité économique universelle s'est établie depuis quelques années et, comme j'ai pu l'expliquer auparavant ( search?s=surfusion&search-submit-box-search-16212=OK ), cela est autant du à la rapidité avec laquelle cette économie internationale se décompose que des multiples et approximatifs rééquilibrages qui y sont effectués ne faisant, en même temps, qu'accentuer les déséquilibres.

    C'est cela même qui plonge le monde dans cette, pour l'instant, lente et continuelle asphyxie industrielle, commerciale, bancaire et monétaire: les bourses, fonds de pensions et sociétés spéculatives étranglent l'humanité, comme un boa étouffe progressivement sa proie, en suçant littéralement le plus possible des richesse des pays et des peuples par la dette, ceci pour tenter de survivre encore un tant soit peu de temps.

    Cela se faisant avec la complicité d'un personnel politique qui, de l'Occident au Japon, de l'Afrique à l'Asie, s'essaie de conserver une doctrine économico-politique, dite néolibérale, dans leur sentiment illusoire que seule celle-ci détient la vérité d'une légitime gouvernance et la solution à tous nos problèmes.

    Or, les déséquilibres grandissant au sein de cette économie globalisée la rend chaque jour plus fragile et n'est plus, maintenant, qu'un événement secondaire, comme la sortie de l'euro, voire de l'Union-Européenne, ou simplement la crainte en cette sortie possible, d'un pays pourvu d'une économie de faible ampleur comme l'est la Grèce (2% du P.I.B. de l'U.E.), pour que cet événement déclenche toute une cascade de réactions d'échelles nationales, continentales et mondiales conduisant à cette faillite universelle dont je ne cesse de vous mettre en garde.

    Et donc, voilà, les grecs ont voté non.

    Ce référendum, présenté par son gouvernement, n'avait pas pour but de proposer une sortie de la monnaie unique et encore moins de celle de l'union, il n'y était question que de savoir si les électeurs voulaient ou non poursuivre sur la voie qui est proposée par le triumvirat, commission européenne, banque centrale européenne et fond monétaire international, auquel il ne faut pas oublier de rajouter les divers intervenants allemands, Madame Merkel, la Bundesbank ainsi que le ministre de l'économie, Monsieur Gabriel.

    C'est cette voie, celle d'une récession perpétuelle, qui fut rejetée en masse par le peuple hellénique.

    Et quand bien même cette votation, à terme, conduisait au départ de la Grèce de l'U.E. et de l'euro, cela ne devrait pas, en temps normal, conduire à de quelconque effet désastreux, mais, tout au plus, à quelques remuements boursiers ainsi que d'ajustements monétaires et comptables relativement mineurs.

    Mais nous ne sommes plus en un temps normal.

    Déjà, de nombreux soubresauts frappent à nos portes:

    -La Chine s'effraie de sa gigantesque bulle immobilière faisant passer celle de l'Espagne pour une ridicule bulle de savon, elle qui arrive à peine à contenir un peuple qui, naguère, crut pouvoir s'enrichir de la désindustrialisation occidentale et qui, aujourd'hui, suit le même chemin de son appauvrissement;

    -Les étasuniens, eux, s'enfoncent jour après jour dans une pauvreté les faisant s'approcher des habitants de pays de misères, sans compter les armes à foison que beaucoup détiennent rendant les États-Unis-d'Amérique à l'orée du chaos, un personnel politique inepte à l'idéologie purement individualiste et des institutions gouvernementales aussi que les états tendant à leur indépendance d'un pouvoir fédéral finissant;

    -Toute l'Asie se désespère de ne pouvoir plus trouver preneur de leurs marchandises produites et voit, avec effarement, les délires des européistes unionistes germanolâtres ruiner encore plus leurs populations, les seuls clients encore à peu près solvables pour l'est eurasiatique;

    -L'est et l'ouest-africain, le proche et le Moyen-Orient se déchire toujours plus et Turquie, Iran, Arabie-Séoudite, Égypte, Israël ainsi que d'autres n'attendent que le signal de la ruine universelle pour se plonger avec délectation dans les affres d'une guerre indicible, meurtrière et générale;

    -La Russie et les pays d'Amérique-du-Sud, eux, patientent cette ruine universelle en se préparant à une momentanée vie en autarcie;

    -Et l'Europe, cette pauvre Europe, saccagée par des décennies de colonisation discrète U.S. et maintenant par une stupide et acerbe domination allemande, s'égare d'un monde politique, d'une puissance publique, de peuples divers et variés croyant avoir enfin trouvé la paix dans une union dissonante, dominée par un Tonton Sam déliquescent et une Germanie redevenue folle, se perd dans une déferlante idéologique néolibérale lui permettant, en un antédiluvien réflexe, de toujours nourrir, de toujours gaver la dernière aristocratie en date, encore pour quelque temps vivante, celle, bourgeoise, de l'argent.

    Elle qui ne sut, pendant bien plus de deux millénaires, que se faire des guerre incessantes reprend, par les armes de la monnaie, au sein de l'Union-Européenne, ses éternels conflits, retrouvant ses anciennes manies des haines et de la cruauté, guidée par une Allemagne sortie d'outre-tombe et qui, bientôt, se décomposera de nouveau, comme hier ce le fut pour le Saint-Empire-Romain-Germanique, de ne plus vouloir vivre d'avoir abouti à son seul et unique désir: dominer l'Europe.

    La France, quand à elle, se pourrit ne n'avoir pu remplacer des élites incultes, vieillissantes et harassées qui, une fois encore et depuis des siècles, trahit régulièrement leur peuple et leur pays, tant ils haïssent et l'un, et l'autre, au profit d'une Germanie qu'ils adulent en idolâtres transis.

    Ces élites, qui ont fait des Amériques, de l'Allemagne, de l'Union-Européenne et de l'euro l'horizon indépassable de leur imagination, savent inconsciemment les français devenu ces savants que dorénavant elles ne sauraient plus être, savent proche leur fin quand sonnera le glas de l'économie-monde, savent leurs remplaçants déjà présents bien que pas encore prêts, savent qu'elles disparaîtront bientôt, naturellement, sans même que le moindre frémissement d'aigreur et de manifestation ne vienne troubler la béatitude de leurs rêves eurolâtres, savent que le temps leur est maintenant compté.

    C'est cela qu'est devenue l'Union-Européenne, un désert dont les peuples, du nord au sud, de l'est à l'ouest, ne veulent plus, dirigée par une Allemagne suicidaire jouant sa survie, poursuivit par une France craintives aux élites décriées et suivit de loin en loin par une nation U.S. dont on ne peut plus contempler que les os (les accords de libre-échange ne sont pas un danger, un mourant est-il dangereux?).

    C'est cela que combattent les grecs, ces grecs qui, par ce seul référendum, vont peut-être, de domino en domino, faire s'effondrer ce château de sable fragile, évanescent, éthéré qu'est devenu une économie mondiale atteinte depuis si longtemps d'un délire monomaniaque fait de dettes infinies.

    Cette démence de dettes qui fait que plus personne ne sait qui doit quoi à qui, qui a tant et tant fragilisé les banques et les assurances qu'elles cachent à tous leur situation réellement désespérée, qui mène les fonds de pensions à bientôt ne plus pouvoir payer leurs retraités et fortunés, qui va sous peu conduire les bourses à un niveau proche du zéro, qui fera s'autodétruire toutes ces monnaies tellement surproduites qu'elles n'ont depuis longtemps plus de valeur, qui verra les états être contraint de nationaliser banques, assurances et entreprises multinationales, qui verra quasiment disparaître tout le commerce international, aérien et maritime, qui verra se refermer les frontières de tous les états-nations et qui, cerise sur le gâteau, ruinera aussi définitivement les divers maffias s'égrainant partout sur Terre......

    C'est cela que la votation de la Grèce pourrait bien avoir produit, quand bien même son gouvernement en viendrait à trahir ses électeurs, si cela commence, si cela a déjà commencé, cela s'achèvera implacablement.

    Quoi qu'il en soit, quand ce processus de transition de phase, similaire à celui qui advient lorsque l'eau devient glace, se mettra en branle, rien ni personne ne pourra l'arrêter, ni l'empêcher et deviendra totalement indépendant de toute volonté humaine.

    Aucune décision et action n'aurai prise sur un tel processus qui se développera inexorablement, les déséquilibres étant dorénavant bien trop importants, ses mécanismes destructeurs se poursuivront inéluctablement jusqu'à ce qu'un nouvel équilibre soit trouvé de façon naturel.

    Cela voudra dire qu'aucune démarche humaine de quel que sorte que ce soit n'y aura un effet quelconque, ce processus se poursuivra jusqu'à son achèvement.

    Quel niveau faudra-t-il atteindre pour que nous arrivions à ce nouvel équilibre?

    Personne ne peut le dire!

    Ne serait-ce qu'en raison de l'opacité incroyable de ce système d'endettement et de création monétaire faisant que les différents acteurs, pour certains inconnus et/ou tricheurs, pourraient très bien, par exemple, créer de la monnaie ex nihilo pour la transformer, pourquoi pas  ensuite, en or physique, cacher des dettes supplémentaires dans quelques paradis financiers, falsifier les comptes de concurrents ou, simplement, être parti avec la caisse électronique de leur société...

    C'est pourquoi ce sera terrifiant et extrêmement rapide!

    (J'oubliais de préciser que plus nous avançons dans le temps, moins de gens pensent qu'un tel processus systémique d'ampleur international soit possible et puisse survenir, surtout dans un avenir si proche.

    Et il en est de même pour nombre de mes lecteurs dont, nécessairement, vous êtes.

    Or, il est pour moi inévitable et logique.

    L'instabilité du système économico-politique ne peut que converger vers sa rapide déchéance.

    Cette instabilité est arrivée aujourd'hui à un point de rupture important, mais elle peut se poursuivre encore quelque temps.

    Certes, il y a quelques années, certains, dont je suis, pronostiquaient déjà que cela adviendrait, ce qui fut l'une des causes de cette dénégation.

    Mais la raison essentielle du sentiment que la majorité de la population mondiale a de l'impossibilité qu'un tel avènement puisse survenir se trouve autre-part.

    C'est la nécessité, pour cette majorité, de faire perdurer une structure idéologico-mentale, autrement nommée champs idéologique, sous une forme ou une autre, mais n'ayant plus maintenant de représentant que sous la forme du néolibéralisme, qu'il soit apprécié ou honni, qui forge réellement cette dénégation.

    Il me faut également préciser  que l'essai que je viens de faire de montrer l'aspect logique de ce processus peut également désorienter.

    L'obscurantisme du temps a fait se développer une pensée magique, c'est à dire dénuée de toute relation de la cause et de ses effets ( idee-n-10-essai-de-reflexion-sur-la-causalite.html ).

    Cela mène à divers égarements dont le plus sérieux consiste à considérer que ce qu'il se passe actuellement et se passera dans le proche futur est le résultat de plans complexes ourdis par je ne sais quels démiurges géniaux.

    Certains feraient même intervenir des extra-terrestres, je ne dis pas qu'ils n'existent pas, tout au contraire, mais le simple fait de l'incompétence de nos représentants et autres professionnels suffi largement pour expliquer notre situation déplorable.

    Bien sûr, il est possible de connaître des mécanismes mis en place par les États-Unis-d'Amérique depuis 70 ans au moins pour contrôler, contraindre et dominer les européens, mais il est à remarquer la perte progressive par les élites de ce pays, tout comme des nôtres, de tout esprit de raison, d'éthique et de culture, soit d'intelligence.

    Et je verrais difficilement les hurluberlus actuels, d'un bord à l'autre de l'océan Atlantique, continuer de fomenter quelque plan suffisamment bien conçu, l'Ukraine en est, pour moi, la preuve la plus frappante.

    Oserais le dire, ce à quoi nous assistons et bientôt vivrons, n'est pas autre chose qu'un déroulement naturel et, je le répète, logique, de mécanismes mis en marche depuis longtemps, que je situerais au début de la guerre du Vietnam (1955/1975) qui obligea le Président Nixon à désindexer le dollar de l'or en 1971.

    Étant entendu que nous pourrions faire remonter l'origine de ce mécanisme plus loin encore.

    Maintenant, à chacun d'entre-vous de faire, des idées transmises par ce texte, ce quoi bon vous semble, de pensée comme d'action, cela, naturellement, ne peut être aucunement de mon ressort.

    Du-moins ai-je tenter de prévenir du mieux que j'ai pu de la catastrophe qui vient.

    Mais ai-je été entendu?)

    [Je tiens à souligner la chose suivante: je me suis aperçu que l'I.N.S.E.E. a cessé de produire son indice des prix des matières premières depuis Mai 2015, sauf pour le pétrole brut, ( theme.asp?id=18 ) et France-inflation sur celui du pétrole brut depuis Février de la même année ( graph_oil.php )!

    Ce dernier ayant pu faire faillite, sait-on jamais...

     

     

    THEURIC

  • De mes poésies

    En bien comme en mal

    Tout passe!

    Ma grand-mère.

     

    Avis

     

    Voici, je vous offre de toute ma poésie,

    Art que j'avais cessé pour vous conter, présent,

    De ces passions cruelles tendant aux frénésies

    Pouvant mener séant à de vils tourments.

     

    Ces poèmes sont de peu, moins de vingt, le crains.

    Certains sont déjà lus, d'autres inconnus,

    Nombre en alexandrins, trois sonnets adjoins,

    Quelques vers libres, une prose connue...

     

    De mon esprit léger vous les ainsi confiés.

    Laissez-vous amener vers ce monde charmant

    D'un hymne à l'amour en air calligraphié

    Où les mots nous chantent ce si beau chatoiement.

     

    Allez, assez de ces sottises que cotisent les fats,

    Nous sommes de bien plus qu'ils n'osent de le croire !

    Faisons chanter le trait, éblouissons l'immédiat

    Faisons fit des fatras, vie n'est pas cauchemar !

                            -------------------------

     

     

     

    De notre humanité, je fuis les marécages 

    Et pleure de dépit le vide des regards,

    Éperdu.

     

     

    Aux élites cachées

     

    Il est, de par le monde, des personnalités d'importances, invisibles, inconnues, marginales.

     

    Est-ce véritablement par choix que ceux-ci vivent, ainsi, dans cette discrète clandestinité, dans ce refus d'un monde qui les refuse?

     

    Insoupçonnées nébuleuses, ces véritables humanistes badaudent, certains en groupes informels, d'autres seuls, dans l'insatisfaction de l'ivresse inutile et sans joie de la fuite de la médiocrité du temps, la petitesse de leurs contemporains, la référence au confortable conformisme, découvrant, effarés, que, partout, sévit la même insignifiance des sombres orthodoxies.

     

    Ceux, aussi, qui, environnés de benêts, plongés dans les tristes conventions du travail, de la famille, des associations, des églises et chapelles, de la politique..., s'assèchent, se noient, parfois ploient, plongés dans cette chape et font semblant, sans être dupe, d'une douce vie dans l'attente, illusoire, d'être reconnu.

     

    Tous s'étourdissent, s'enivrent d'arts, d'études, de voyages, d'amitiés, d'amours, de sexes, de révoltes, d'angoisses, de nourritures, d'alcools, de drogues sans véritablement prendre part à l'excellence tout en en ayant, au- delà, même, de tout autre, les facultés, le talent.

     

    Comme une élite cachée, lâches dans la conscience en leurs capacités, ils fuient le néant mortifère de leurs contemporains, catégoriquement résolus à n'être ni dominants, ni dominés.

                                        ---------------------------------- 

     

     

     

    Le mot, la phrase, le verbe,

    sont sources de vertus

    et chemin de raison.

     

     

    Aux jeunes lecteurs

     

     

    Porter l'amour des mot m'est plaisir intense.

    D'en faire vers et quatrains un bonheur sans nom.

    Et ces rimes font chanson en leur seules consistance

    D'une douce cadence, d'une satisfaction.

     

    Mais ce verbe français s'est perdu, éperdu,

    Dans les méandres vils d'un obscurantisme

    Y menant l'école n'instruire qu'en résidu

    La parole ancienne en seul ringardisme.

     

    Or, si ces mots nous sont dit parfois si retords,

    N'en sont pas moins jouissifs de l'esprit, détenu

    Par leurs sens recelés au-delà de l'abord,

    Fondant l'intelligence de tout individu.

     

    Alors, ici, de ces sons tant abandonnés,

    Sans faire injure au moindre lecteur,

    Je vous vais les chanter, vous les poétiser,

    Pour que de leur air en soyez laudateur.

                          ------------------------

     

     

     

    Que de patiences et de tendresses données

    A tant de cœurs abandonnés

    Du matin jusqu'au soir.

     

     

    mémoires



    Qu'est donc l'appris, le su, sur le front de l'oubli ?
    Qu'est donc l'aperçu des âges de l'histoire ?
    Les blanchis cheminant en ces ères vieillis
    Se sont-ils affranchis de passer la mémoire ?

    Les jeunes éperdus de perdre la liaison
    Pleurent et rient, flétris de ne pouvoir savoir
    Les lointains passages de ces fonds d'horizons
    Que connaît cet âge ayant passé le soir.

    Et ces vies anciennes, aux milles chants perdus,
    Riches de tant de siens, tant d'expériences,
    Ivres d'abandonner à de jeunes assidus
    Tout ce temps façonné durant tant d'ans intenses :

    « Ancien, racontes moi », demande ce gamin.
    Et le verbe en émoi, l'ancien lui raconte,
    « Voici, ce fut ma vie ! », et les photos en main
    Il narre, à l'envie, cette saga, il conte... .

    Ces mondes s'éprouvent, le jeune et le vieux,
    Se parlent, se trouvent, découvrent, hors du temps
    Cet instant complice du récit merveilleux,
    Boivent le calice de ce moment pressant.

    Puis fusent, abondant, en gerbes incessantes,
    D'un verbe déroulant un trop plein d'émotion,
    Les questions du cadet, de ces questions ferventes,
    Auxquelles l’aïeul répond en faim de confession.

    Dès lors, de ce  passé passé en un présent présent
    Offert en donation et reçu en offrande
    Est cet ultime don du récit apaisant
    Du doux héritage que le futur mande.

                                        -----------------------------------------

     

     

     

    Déposer enfin ses valises

    C'est se décharger d'inutile,

    Au loin.

     

     

     LE PARDON                                                                           

     

    L'injure abattu à l'angle de l'esprit  

    Ruine les desseins en songe de mépris:                               

    Voilà, l'ombre indu maintenant s'épanche,                                

    Envahit les humains, soude les revanches.                                        &n

  • De la trahison et de la faillite généralisée!

    Allez, ne nous le cachons pas, nous tous, autant que nous sommes, nous nous sentons trahi par le revirement du gouvernement grec et du parti Syriza.

    Mais bon, cet erreur de jugement a-t-elle de l'importance?

    Elle l'est grandement pour moi, parce que j'avais oublié ce que j'avais pu écrire auparavant, soit que c'est l'ensemble des partis politique européens anciens qui ont perdu leur propre socle idéologique pour ne plus adopter que le néolibéralisme et son pendant allemand de l'ordolibéralisme.

    Cet économisme dogmatique, réunissant tous les composants des doxas anciennes sous cette unique forme, ne pourra que se fracasser contre le mur du délitement économique global.

    Mais, surtout, il rend déjà totalement inapte ses adeptes à une adaptation rapide à un brusque changement de conjoncture comme peut l'être un effondrement global de l'économie.

    Certes, la colère que je peux ressentir à l'annonce de ce revirement de Monsieur Tsipras me fait me délecter par avance des nombreux égarements et délires, autant de ceux qui nous gouvernent que de ceux qui, innombrables, de part les peuples des pays européens, croient toujours mordicus que seul le monétarisme et la comptabilité des états et des sociétés peuvent avoir une valeur politique quelconque.

    Mais il me paraît que cette manipulation, quelle qu'en ait été son origine, était une erreur.

    Elle met en effet à bas tous les partis politiques officiels, de la droite extrême nazi, fascisme et pétainisme, jusqu'à un Front de Gauche et ses semblables européens qui, de ne pas être d'une gauche réellement radicale, loin de là, n'en est pas moins son représentant le plus à son opposé.

    En passant, bien sûr, par tous les partis politiques officiels de l'U.E., dits de droite, du centre et des pseudo-gauches et écologistes inclus.

    En réalité n'existe plus qu'un seul et unique parti politique officiel, celui des européistes et eurolâtres.

    Nous sommes donc bien entré dans une ère d'un totalitarisme mou à parti unique, de type U.R.S.S., dans une version néolibérale, et dirigé par une oligarchie financière et une administration d'état, là européenne.

    Ne restent plus que des mouvements épars, seuls se déclarant lutter contre l'Union-Européenne, et voulant soit en sortir leur pays, soit même la détruire (ce qui serait une faute, ne serait-ce qu'en raison de sa puissante inertie idéologique, politique et institutionnelle).

    Je le redis, une structure étatique telle que l'est l'U.E. bloquée institutionnellement, politiquement et idéologiquement ne peut pas être réformé ou détruite, quelle que soit la volonté et l'action de chacun, quelle que soit l'intégrité de celui ou ceux en en ayant la résolution et le courage.

    Nous ne pouvons qu'attendre que cette tyrannie s'anéantisse par elle-même.

    Cet événement ne pouvant que survenir que quand l'économie-monde, nos grands argentiers et les États-Unis-d'Amérique auront définitivement fait faillite.

    Je dois toutefois faire observer que deux organismes officiels qui, jusqu'à présent, exposaient, sur internet, divers graphiques à l'international, sur les prix des matières premières par l'I.N.S.E.E. ( theme.asp?id=18 ) et le seul prix des carburants par France-Inflation ( graph_oil.php ), ont cessé de délivrer leurs informations depuis le mois de Mai pour le premier et Février pour le second.

    L'interprétation que j'ai de cet arrêt c'est que ces informations divulguées par ces deux institutions, qui permettaient de visualiser dans le temps l'évolution de l'économie internationale, montreraient, depuis quelques mois, le redémarrage de la désindustrialisation mondiale qui ne peut qu'être, à mon sens, que le signe de cette bientôt ruine universelle (pour quand? Je n'en sais toujours rien).

    Ce qu'il faut, pour notre gouvernement et nos oligarques, à tous prix dissimuler!

    Bien que France-Inflation continue de donner le prix de l'essence et du gasoil en France, chose qu'il n'est pas possible de cacher pour quiconque ( prix-carburants.php ).

    Vous remarquerez la pente redescendante de ceux-ci après une brève remonté de Janvier à Mai, logique si nous songeons qu'à la lente baisse de 2014, marquant, justement, cette désindustrialisation mondiale, fut suivi, début 2015, d'une brève remonté, montrant une diminution de la production pétrolière des producteurs.

    L'inertie à la baisse des prix des pays consommateurs de carburants étant due à leur réserves stratégiques, les entreprises en avaient repris leurs activités, mais ne trouvant pas preneur de leur marchandises, les nations occidentales étant peu ou prou ruinées, les-dites entreprises réduisent maintenant leurs productions ou ferment, d'où cette baisse actuelle du prix de l'essence et du gasoil.

    C'est pourquoi cette manipulation des grecs est doublement dommageable, politiquement d'abord, comme je viens de le montrer, économiquement ensuite puisque de ruiner ainsi les européens, ou simplement de le leur faire craindre, les incitant à thésauriser, ruine, par là même, le monde entier, puisque nous étions il y a quelque temps encore les derniers clients des entreprises internationales encore à peu près valides, n'achetant plus aujourd'hui que de moins en moins de choses.

    C'est pourquoi nous retrouvions, dans les mesures de l'I.N.S.E.E., une remonté du prix des métaux d'Avril à Mai, celui de la nourriture, quand à elle, continuant sa dépréciation, ce qui montrait que la population mondiale s'appauvrissait déjà continuellement, à un point tel qu'elle en rognait dès cette époque sur sa pitance.

    Je conçois que mettre en parallèle la trahison de Syriza, totale ou partielle, et la prochaine ruine universelle, peut paraître osé, mais à y regarder de près nous pouvons comprendre que ce coup manipulateur du peuple grec, que je reconnais comme étant un coup de maître, est une opération de la dernière chance pour les instances dirigeantes de l'Union-Européenne et, surtout, pour  notre maître colonisateur étasunien.

    Mais cette opération leur est à plus d'un titre, à terme, néfaste.

    Les peuples européens ne donnant dorénavant plus leur confiance aux partis réformateurs, de type Front de Gauche, ils vont naturellement se tourner vers ceux de ces partis qui sont contre l'union.

    Il est vrai que ceux d'extrême droite s'affichent tous comme tel, mais vu que le gouvernement grec s'est maintenant allié, pour l'accord très néolibéral paraissant définitif avec l'Union-Européenne, en plus des partis "classiques", à un autre de même base idéologique que notre Front National, il sera facile pour les partis anti-U.E., de France, de Navarre et d'ailleurs, de dénoncer cette collusion.

    Cela à rajouter à celle d'avec les médiats, ceux-ci ayant montré en France, lors des dernières élection, sa prédilection pour le-dit Front National sur tous les autres.

    Si cette opération est tant néfaste pour l'Union-Européenne, c'est parce que les populations n'auront, progressivement, définitivement plus confiance dans les partis politiques passant dans les médiats et seuls ceux qui sont marginalisés en raison de leurs positions anti-U.E., comme l'est l'U.P.R., ne pouvant s'exprimer que sur internet, obtiendront une écoute croissante.

    Lors de la ruine universelle et des multiples et longs égarement de nos élites politiques et de nos oligarques, ce seront ces nouveaux mouvements, aujourd'hui écartés, qui, naturellement, prendront la relève de cette coterie de partis politiques qui, certes, eurent leur utilité par le passé, mais qui maintenant s'égare, chez les plus honnêtes, dans des perspectives impossibles ou, pour la majorité d'entre-eux, n'agissent plus que pour leurs propres bénéfices et prébendes.

     

    N'oubliez pas, amis lecteur, que toute soumission s'établit sur de la peur et de la colère refoulés.

    Que plus cette peur et cette colère sont refoulées, plus la soumissions est puissante.

    Que toute soumission génère la perversité ainsi que ses doubles rejetons: le pervers-narcissique et le psychopathe.

    Que la soumission nécessite, pour exister, une échelle hiérarchique avec, aux derniers barreaux, les proscrits, naturellement considérés comme boucs-émissaires, et/ou les femmes et/ou les enfants, sur lesquels peut se projeter et s'épancher la colère.

    Supprimez l'une de ces deux émotions, la colère ou la peur, ou mieux encore, elles deux, et il n'y aura plus de soumission qui puisse tenir.

    N'oubliez pas: soumission = peur + colère!

    Restez conscients!

     

     

    THEURIC

  • De la rétrogression historique à Macron: l'empereur sera-t-il bientôt déchu?

    A l'introduction qui vient, je le fais précéder de ce petit préambule de dernière minute qui me semble nécessaire.

    Ce fut hier, en effet, d'abord en regardant une vidéo de Monsieur Biberian que je ne retrouve pas, datant d'un mois (je vous conseille celle-ci pour celui qui ne connais pas grand chose aux atomes et de leur fusion et fission) traitant, lors d'une conférence, de la fusion froide, où il  y expliquait le conservatisme de ses paires face aux idées nouvelles.

    Puis c'est en songeant à l'accueil possible du billet que je vous propose aujourd'hui, que je me suis rendu compte que mon problème principal est que je sors doublement du cadre de référence conceptuel social de notre époque.

    Déjà en raison de mon statut auquel je ne fais que peu de cachotteries, j'ai le Certificat d’Étude Primaire en sa dernière année d'existence (allez-y voir, les jeunes, de quoi il en retourne), un C.A.P. horticole, été deux ans jardinier communal, pendant 25 ans conducteur de bus à la R.A.T.P. et entre les deux fait plein de petits boulots.

    DSC00065.JPGMais aussi du fait que je ne porte pas un regard habituel sur les événements et prend souvent des positions largement différentes de ce qu'il se dit sur tout un ensemble de sujets.

    Je sors donc doublement de ce cadre de référence et, en cela, je me retrouve à être provocateur sans que cela soit recherché de quelle que manière que ce soit.

    Si, ma seule provocation, si tant est que ça en soit une, est de montrer qu'il est possible de penser par soi-même quel que soit le niveau d'étude de chacun, le principal étant de s'instruire continuellement.

    Je conçois parfaitement que d'aborder des sujets comme il peut en être de l'évolution des ancêtres des singes ou de la présence des extraterrestres, que je nomme les E.I.N.T., les Être Intelligents Non Terrestres, peut surprendre, voire choquer.

    Mais je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas écrire sur ces thèmes qui sont tout aussi sérieux que bien d'autres.

    Le cadre de référence conceptuel social étant l'horizon collectif de ce qui fait sens.P1000898.JPG

    Je ne vais pas m'appesantir la-dessus, vous laissant aux deux lectures suivantes.

     

    J'avais largement commencé à écrire ce texte avant de retrouver le précédent dans mes archives, puis de vous le proposer avant-hier.

    Or, il s'est révélé ces deux-ci sont intimement liés.

    Cette rétrogression historique (en  fin de page), dont je vous avais déjà fait part à plusieurs reprises, entre-autre en vous faisant remarquer le retour de la barbe et la ressemblance entre le burkini et les vêtements de bain que portaient les femmes françaises à la fin du XIX° siècle, pourrait, là encore, s'exprimer par la confrontation, aujourd'hui seulement économique et politique, entre un diablement dérisoire Macron se prenant désormais pour une sorte de Napoléon III dit, par Victor Hugo, le petit, et une Madame Merkel très loin de ce que fut Bismarck.

    Certes, il n'y a rien à voir entre la Prusse de l'époque qui, grâce à Otto Von Bismarck, sut recomposer, de 1862 à 1871, le Saint-Empire-Romain-Germanique défunt sous la forme de l'Allemagne, ainsi que Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon Ier, aventurier qui tenta un coup d'état en 1840, fut élu Président de la II° République en 1848 et, en 1852, fut sacré empereur sous le nom de Napoléon P1010318.JPGIII, puis qui abdiqua lors de la guerre de 1870 après la défaite de Sedan.

    Et l'époque actuelle où, de Bismarck nous avons, en Allemagne, Madame Merkel, et en France, de Napoléon III nous en sommes revenu à ce pauvre Monsieur Macron, grandeur et décadence.

    Mais ce qui est remarquable c'est la singulière similitude qui semble prendre corps entre la fin de ce troisième quart du XIX° siècle et l'achèvement de la deuxième décennies du XXI°.

    Bon, bon, je sais, cette similitude paraît tirée par les cheveux, d'autant plus que rien pour l'instant n'est réellement en place, comme souvent je fais ici de la prédictivité en partant du principe que nous sommes entrés dans une phase de rétrogression historique avec, lié, une manière de répétitivité historique.

    Ce fut le refus du Gouvernement allemand de participer aux (petites) frappes en Syrie qui me fit me demander si, par hasard, la Germanie n'aurait pas saisi le repli stratégique qu'effectue l'empire étasunien (là encore, je n'en ai que des preuves peu assurées).

    Mais cela me paraît logique au vu de la situation économique catastrophique dedans laquelle se retrouve les États-Unis-d'Amérique et, comme le firent les romains en leur temps en Bretagne (la Grande-Bretagne d'aujourd'hui), les américains retirent discrètement leurs troupes de l'Europe, mais pas seulement de là.

    C'est pour cela que ce sont les forces spéciales françaises qui furent envoyées aiderP1010087.JPG les kurdes pro-américains à lutter contre l'armée turque, plutôt que celles étasuniennes.

    Donc, bientôt, la France et l'Allemagne vont se retrouver à se regarder en chien de faïence au sein de l'Union-Européenne.

    Allemagne qui semble vouloir quitter une Union-Européenne débutant sa débandade, ceci du fait de l'éloignement progressif de Tonton Sam, mais surtout de percevoir la faiblesse montante de l'empire.

    Elle ne peut donc, à mon sens, que de décider de reprendre sa souveraineté, d'autant plus que l'U.E. la met au-devant de risques économiques ne pouvant que s'aggraver avec le temps (Target 2).

    Mais son problème est que, même si une bonne part de sa population ne serait pas vraiment contre, son oligarchie, elle, ne peut que rester, au moins pour partie, résolument unioniste.

    De l'autre coté du Rhin nous avons le gouvernement Macron et son  président (allez jusqu'à la rose rose pour savoir comment je le perçois) qui de Zeus en fut devenu roi, puis de roi en est maintenant à prendre des allures impériales, décidant de tout, même des actions militaires.

    C'est pourquoi il en vient à être comparé à Napoléon III.

    Ce qui correspond à ce que j'affirme depuis quelques temps, nous entrons dans une P1010215.JPGphase de rétrogression historique, en voici, me semble-t-il, les mécanismes politique qui l'y accompagnent.

    Je laisse à d'autres, qui le font bien mieux que moi, ici, , et encore en cet endroit (portez attention après 3mn 07, le sujet est d'importance et j'y reviendrai plus loin), en cette petite liste non exhaustive, le soin de développer leur réflexion sur les dernières événements syriens.

    Quand à ce qu'il en est des miennes, de réflexion, je les porterai sur ces effets de retour sociétaux passé, cette moderne rétrogression historique, que ces affaires ridicules et contreproductives syriennes (tout dépend pour qui) ne peut qu'avoir accéléré en France.

    Et oui, c'est qu'à force d'agacer l'ours russe, à cause de l'empressement à l'obéissance de notre gouvernement, la population française en est venu à avoir une trouille bleue des zèles guerriers de notre cher président.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, combien d'entre-vous n'ont-ils pas craint qu'à cause  des gesticulations militaristes de notre tout petit empereur national, notre pays ne se retrouve à se confronter avec une Russie qui, lorsqu'elle est attaquée, sait montrer des ressources insoupçonnées?

    Dès lors, comme affirmé plus haut, si je reprends ma théorie de la rétrogression historique, Monsieur Macron ne peut pas ne pas être comparé à un Napoléon III proche (déjà) de son abdication  avec, comme cour, ses ministres et notre oligarchie décatie à laquelle il semble ne plus vouloir se soumettre: ses maîtres ont perdu le contrôle de leur créature .

    A la place, il suit, avec l'appétit d'un enfant devant un monceau de soldats de plomb, les directives intéressés de Madame May (au joli mois), je ne trouve pas la vidéo, mais je me souviens de l'avoir vu, aux informations télé, entouré de gens si sérieux, regarder la caméra avec ce sourire enfantin aux lèvres du gamin qui va jouer à la guerre.

    Je me demande donc si, en réalité, lui, le nain politique, ne serait pas devenu le dindon d'une farce dont le but serait d'accentuer la déstabilisation de la France.

    C'est que sa position politique s'est plus que fragilisé, à ce Napoléon le tout petit, petit, petit, petit.

    Comment, déjà, croyez-vous que va réagir le peuple après une telle frayeur, juste au moment ou les grèves commencent à embraser le pays et que deux à trois milliersP1010118.JPG de policiers n'arrivent pas à calmer une poignée de zadiste?

    Et surtout, comment doivent déjà réagir les radio-éléments du R.E.M. de l'Assemblée-Nationale, qui doivent avoir en main bien plus d'informations que nous-autres, pauvres manants, ne pourrions jamais obtenir?

    Il se dit que des missiles envoyés par la tripartie U.S., R.U. et France sur la Syrie, 68% pour les russes, 69% pour des militaires étasuniens, furent descendus par de vieux anti-missiles modernisés fournis aux syriens par les  russes, des antiquités améliorées, soit plus des trois-cinquièmes des bombinettes dézinguées, mazette...

    Certes, il y a, chez les élus du parti macronien offert gracieusement à notre généralissime, certains qui doivent, dur comme fer, considérer que notre impérial président dit et agit avec la grâce du génie et de la lumière divine.

    Mais les autres, tous les autres, ne commencent-ils pas à se poser de sérieuses questions?

    Au début, soit maintenant, ils doivent juste ronchonner dans leur coin, s'interroger de savoir si Monsieur Macron ne risquerait pas de nous mener à une guerre qui ne pourrait qu'être désastreuse pour notre pays, se dire que leur chef n'est pas à sa place, qu'il est dangereux de suivre les recommandations empressées des U.S.A. et des britanniques, que lui-même serait dangereux.

    P1010376.JPGPuis, petit à petit, bientôt, plus tard, bruisseront des chuchotis dans les allées de l'Assemblée-Nationale, de se demander si cet homme est vraiment un démocrate, si, en vrai, il ne les conduirait pas à leur débâcle, si se qu'il se dit serait vrai, qu'il aurait la trahison dans la peau, que ce ne serait qu'un pantin, puis un minus et enfin un raté et un traitre.

    C'est fou ce que la peur peut générer de réactions.

    Dans la population il ne peut qu'en être de même, mais en pire.

    Tout le monde à pu voir à la télé son niais sourire quand il était entouré de ses conseillés militaires, celui d'un gamin qui fait joujou avec tous ses pouvoirs.

    Je vous l'ai dit auparavant, il prend son pied.

    Il n'est pas besoin d'être grand clerc pour imaginer ce qu'une multitude de gens doit penser dorénavant de lui en nombre noms d'oiseaux.

    Les citoyens ont eu trop peur, trop d'angoisses, furent part trop effrayés, que ce soit consciemment ou inconsciemment, et, quoi qu'il se passe et se passera à partir de maintenant, ils considèreront que celui qui est la cause de cette peur, de cette angoisse, de cette frayeur, que la raison de cette terrible douleur psychique et de tout ce qui la représente doit disparaître.

    (Étant entendu que je décris là un mécanisme de survie instinctuelle, primitive et le plus souvent inconsciente, les français ne vont pas tous se ruer du jour au P1010040.JPGlendemain à l’Élisée, à l'Assemblée-Nationale ou chez Monsieur Attali les armes à la main, bien sûr que non.

    Mais que maintenant que le tocsin a sonné dans leur tête,  même s'il ne tinte désormais plus du haut des clochers des églises, même si cela n'est pas conscient, même si les explications qui en sont et seront données n'aurions rien à voir avec ces événements, leur haine pour tous ceux qui suivirent et surtout suivent encore ce capitaine de bateau ivre va devenir inextinguible.

    Les citoyens ont eu trop peur, parce que cela à réveillé en eux une mémoire profondément enfouie depuis deux, trois, quatre générations qui a resurgi d'un coup en les traumatisant sans même qu'ils ne s'en soient rendu compte.

    Et oui, l'inconscient sociale conserve en lui de très lointains souvenir, infiniment plus anciens encore.

    On ne réveille pas ainsi des monstres enfermés au plus profond de la mémoire des population sans effet.

    Malheur, se dit-il, par qui le scandale arrive.)

    Je me suis demandé, hier, si ce ne serait pas ces mécanismes mentaux collectifs qui auraient été recherché par un empire U.S. qui, désormais, joue autant sa survie impériale que de l'existence même de son pays.

    P1010204.JPGAinsi ai-je supposé, puisque n'en ayant que peu de preuves, que les U.S.A. rapatrient discrètement leurs soldats se trouvant dans les nombreuses casernes se situant hors de leur frontières (toutefois ce qu'a annoncé Monsieur Béchade dans la vidéo sus-avant aux 3mn.07, soit que les troupes américaines se désengage de la Syrie, me laisse entrevoir que je n'ai pas tort), la raison en serait une insécurité politique grandissante provenant de la population étasunienne, ce qui est compréhensible à près de  40% de chômage réel, mais aussi la recherche fébrile d'économie.

    De la même façon, j'ai présumé qu'ils chercheraient à se débarrasser d'une Union-Européenne qui, maintenant, tend à l'entrainer dans sa faillite, du-moins en ont-ils le sentiment (en fait, chacun entrainant l'autre dans sa banqueroute, mais ça c'est une autre histoire), et d'une Allemagne qui, comprenant les faiblesses impériales, elle qui déjà lui taille des croupières économiques, prend depuis déjà quelque temps le contrôle de l'union pour son propre compte.

    Allemagne qui, de par sa contexture sociologique plus stable, est moins facilement atteignable qu'une France naturellement instable.

    En fait, ses bases militaires coûte un bras à Tonton Sam qui s'en passerait bien, et, sur ce site, découvert aujourd'hui même et que j'ai rapidement parcouru, j'y ai trouvé ces deux textes en tous points révélateurs (je suis content, mon intuition ne m'a pas trahi):

    " ... Jamais dans l’histoire de l’humanité on a vu une nation exercer un tel pouvoir sur le reste du globe ou en tirer d’énormes avantages économiques. Ces politiquesP1010129.JPG hégémoniques ne peuvent probablement pas être soutenues pendant encore longtemps, car elles sont extrêmement coûteuses et provoquent des défis politiques et militaires permanents ... ".

    Traduit de ce site par le précédent.

    Puis, du même endroit, plus loin:

    Le Pentagone a annoncé son intention de fermer 15 bases militaires en Europe dans un effort pour économiser environ 500 millions de dollars par an. Alors il y aura seulement une légère réduction des niveaux de forces globaux. Les critiques craignent que cette décision arrive exactement au mauvais moment où l’Europe est confrontée à la perspective d’une nouvelle agression russe en Ukraine " (la Russie à bon dos, ce qui est à la mode en ce moment).

    Ces deux extraits date de 2015, soit sous l'ère Obama, et quand bien même Monsieur Trump voudrait renouveler la puissance impériale Étasunienne, le fait est là, ce pays, en quasi banqueroute, ne survit plus que grâce à la nécessité de passer par le dollar et le pétrodollar pour tous échanges internationaux.

    Quand bien même la dédollarisation commencée par la Chine et la Russie en réduise l'hégémonie, la monnaie U.S. reste inévitable pour le commerce mondial.

    P1010143.JPGQuoi qu'il en soit, le gouvernement fédéral des États-Unis-d'Amérique cherche à tous prix de faire des économies et, à mon sens, se replie dorénavant sur ses bases arrière, soit sur les Amériques nord et sud.

    Le problème restant que les hyper-productions monétaires leur ont fait perdre à toutes leur valeur intrinsèque, dont le dollar qui ne vaut plus que peau de balle et balais de crin, que dalle, quoi, tout comme l'euro, le yen, la livre sterling, le yuan  et bien d'autres.

    Que les bourses de Wall Street tendent à s'évaporer par leur boursoufflures et records à la hausse ne provenant que de l'injection continuelle de ces masses de monnaies ne valant plus rien.

    Et que les états U.S. et l'état central sont tous endettés à un point tel que tout les prêteurs savent pertinemment qu'ils ne seront jamais remboursés, mais font semblant et ferment les yeux, personne ne sachant ce qu'il se passera dès que la banqueroute généralisée aura montré à tous sa terrible morsure.

    Le problème supplémentaire devant lequel les américains se retrouve maintenant c'est que les allemands ont compris que Monsieur Macron est, à son insu, le cheval de Troie impérial, que son élection n'a eu, de but, que de désorganiser suffisamment l'Union-Européenne par l'instabilité politique qu'il génère en France, pour que l'U.E. et l'euro éclate en mille morceaux en raison du France-quitte.P1010176.JPG

    Il est probable que l'Allemagne, quand à elle, comprenne qu'il lui est nécessaire que l'U.E. disparaisse, tout simplement parce que tous les richissimes des pays de l'union pauvres et endettés préfèrent mettre leur argent là où la situation économie est la meilleurs, dès lors dans les banques germaniques, ce qui met la Germanie dans une mouscaille incommensurable.

    Ceci parce que chaque fois que de l'euro sort d'une nation, en vrai ce n'est pas de l'euro mais plutôt de l'euro-franc, de l'euro-lire (italienne), de l'euro-peseta (espagnole) ou de l'euro-drachme (grecque)...., dès lors la banque centrale du pays d'où cet euro provient doit à l'Allemagne cette somme.

  • Pour qui je conseillerais de voter et DE ne pas voter?

    Il y a quatre partis politiques pour qui il ne faut surtout pas voter:

    -Le Parti Socialiste (c'est un crève cœur que de l'écrire);

    -L'union des Démocrates et Indépendants;

    -L'Union pour un Mouvement Populaire;

    -Le Front National.

    Sauf à considérer que l'Union-Européenne et la gouvernance actuelle  a une quelconque valeur, ce qui est le droit le plus strict de chacun.

    Mais n'oubliez pas que l'U.E. est, de jure et de fait, chapeauté par notre bien trop cher Oncle-Sam aux embrassades étouffantes et une Allemagne aux tendances bismarkiennes d'antan, le marteau et l'enclume quoi.

    Il y a trois partis politiques qui, chacun à sa façon, lutte contre l'Union-Européenne:

    -Le Parti de Gauche;

    -Debout la République;

    -L'Union Populaire Républicaine.

    Personnellement j'ai un certain attrait pour ce dernier mais je trouve que ces trois partis se complète bien.

    Il est à remarquer que les deux derniers sont d'essence gaulliste bien que le troisième soit, à mon sens, plus radical, plus bonapartiste dans le meilleurs des tendances.

    Chacun de ces trois partis ont leur blog nominatif:

    -Monsieur Jean-Luc Mélenchon;

    -Monsieur Nicolas Dupont-Aignan;

    -Monsieur François Asselineau.

    Je visite régulièrement chacun de ces trois blogs, ils sont tous fortement instructifs et, là encore, se complètent bien.

    Il est a remarquer que Monsieur Asselineau n'est pas présenté sur Wikipédia en français mais en anglais, en allemand, en espagnol et... devinez quoi... en espéranto.

    La censure serait passée par là mais chuuut, il n'y aurait pas de censure, nous serions en démocratie..., ce ne serait qu'un vaporeux fantôme, hou, hou.

    Je vous l'ai dit, l'U.P.R. est le plus radical et vous verrez qui se présente pour ce parti aux prochaines élections européennes, une surprise, et j'ai eu la même pour le D.R..

     

     

    THEURIC

  • Début de réflexion sur les leçon de la pandémie au COVID-19.

    Parce que nos sociétés deviennent autant complexes que fragiles, étant entendu que complexité et fragilité sociale pourraient ne pas aller de paire, nous ne pouvons plus nous permettre d'élire des imbéciles à la tête de nos états.

    Nous avons tous une responsabilité collective, de fait, en France, d'avoir élu ces équipes incompétentes qui, depuis des décennies, de GOPE en GOPE, par vile, obtuse et flemmarde obéissance à l'Union-européenne, ont ruiné notre pays, détruit nos infrastructures, déstabilisé gravement l'état, désindustrialise la nation, appauvrit la population, toute la population, et affadit ce qui fait la politique, la république, la chose publique.

    Parce que nous sommes tous responsables d'avoir écouté sans cesse des médiats dogmatiques et aux ordres qui n'ont que de cesse que de nous plonger dans l'angoisse, la seule façon pour eux de conserver leur pouvoir sur nous, en désignant nos amis comme étant nos ennemis, la Russie, et nos ennemis comme étant nos amis, l'Allemagne et l'administration bruxelloise, Bruxelles prenant des relents de laP1020930.JPG Vichy d'antan.

    Mais aussi en nous déversant de fausses informations créant inquiétude et tourment, à l'exemple de ce qu'il se raconte d'un réchauffement de l’atmosphère dû aux 0,5 % de CO2 dans l'air, je pense que nos descendants se foutront de nos gueules.

    (Je vous conseillerais d'aller y voir cette vidéo de François Asselineau qui, bien que partisane, mais qui ne le serait pas au sujet de l'UE, n'en est pas moins informative, et je suis sûr que des professionnels des questions juridiques et monétaires, après quelques recherches, n'y trouverons rien à en redire, quel que soit leur approche politique.

    Vous y comprendrez que l'annonce faite par Bruno Lemaire, notre censément ministre de l'économie, d'un déblocage de 500 milliards d'euros par l'UE, n'est que la poudre aux yeux (bien que j'y préfère le terme de miroir aux alouettes, vieille réminiscence de mes lectures de BD enfant: Zor et Mlouf contre 333, celui qui connait ça soit à plus de 60 ans et lisait Vaillant, l'ancêtre de Pif Gadget, soit est un rare vrai fana de BD).

    il fallait que l'union ponde un truc qui ne recevrait pas un veto de l'Allemagne et de la Hollande, d'où cette mouture tarabiscotée qui ne fera que renforcer l'opinion publique, surtout italienne et de plus en plus française, que, définitivement, ladite union ne sert à rien qu'à ruiner les peuples européens et à empêcher les états de conduire leur propre P1010844.JPGpolitique.)

    Prenons enfin les leçons de la chose: nous nous devons de nous éloigner définitivement d'une union débilitante qui, d'avoir été une créature impériale des États-Unis-d'Amérique, n'en devient pas moins celle d'une Germanie y prenant le pouvoir au fur et à mesure que la thalassocratie outre-atlantique s'affaiblie.

    Cela fait des siècle qu'elle nous emmerde, l'Allemagne, disons-lui au-revoir et laissons là à ses rêves infantiles de toute puissance, qu'elle s'y épuise toute seule, comme une grande, et tournons  nous résolument vers le monde, l'UE tendant à nous en isoler.

    Quittons aussi l'OTAN qui, de guerre en guerre, mène nos troupes, aux effectifs de plus en plus réduits et aux armements vieillissant, dans des aventures dont nous n'avons que faire.

    Et quelle catastrophe cela nous coûterait-il de retrouver notre indépendance au jour où nous nous apercevons, en Italie entre-autre, qu'aucune promesse tenue par les promoteurs unionistes ne sont valide?

    Certes, les premiers temps seront compliqués, il nous faudra réindustrialiser notre nation, retendre un tissu agricole convenable, rouvrir des mines, refaire une monnaie, un nouveau franc, recomposer notre administration désorganisée par les olibrius aux commandes, réparer nos infrastructures...

    Mais qu'est-il préférable, laisser ces crétins d'unioniste, ces demis-fascistes, tous partis confondus, désagréger la France jusqu'à ce que nous devenions un peuple enP1020251.JPG voie de développement, ou partir de ce machin inutile, destructeur et dangereux, retrousser nos manches, fermer nos frontières comme le font les suisses et ne plus jamais laisser quiconque nous dicter nos orientations politiques?

    REM, PS, LR, EELV, PCF (c'est ça le pire)... ne seraient-ils pas tous d'un même combat: soutenir et obéir à l'Union-européenne en toutes choses, même aux pires, par idéologie pure, par opportunisme, par dogmatisme niais?

    Sans jamais, au grand jamais oser faire la moindre référence à l'union et de nos obligations d'y obéir, parce que sans elle ils ne seraient plus rien qu'une ombre fantomatique, ne deviendraient plus que quelques mots dans les livres d'histoire, disparaîtraient pour toujours de la scène politique.

    Eux et leurs agents propagandistes des médiats officiels, audio, télés et papiers, ne peuvent faire que mentir, comment pourraient-ils faire autrement pour se justifier de leurs manques, autant d'intelligence, de jugeote, de vertu que de caractère?

    Nous n'avons plus que des êtres falots dans ces médiats, sur les bancs de l'Assemblée Nationale et au pouvoir exécutif, la preuve en est devenue flagrante depuis le début du mouvement des gilettistes, évidente depuis le début de la pandémie mondiale au coronavirus.

    P1020775.JPGParce qu'il faut être bête et méchant pour obéir à l'union, les autres de nos élus, les plus subtils et perspicaces, s'étant réfugié dans les communes, départements et régions.

    Ces bêtas sont tous, ou presque, devenus des macro-lepennistes!

     

    Il nous faut donc chasser cette caste éreintée, chasser notre état profond, l'oligarchie strato-financière, cette haute administration à la morale évanescente, dont Attali, leur chef en pensée, ce vieillard qui disait, il y a encore quelques années, qu'il serait bien que les sociétés éradiquent leurs vieillards, cet homme aux idées folles qui nous conduisit à toutes les perditions, n'est plus devenu, lui aussi, que l'ombre de lui-même.

    La France est une gérontocratie, le gouvernement des vieillard, sinon du corps, du-moins d'esprit.

    Personnellement, comme j'ai pu le raconter part ailleurs, je suis adhérent et vote, dès lors d'évidence, pour l'Union Populaire Républicaine, que les journalistes cornichons dit facho quand, rarement, ils parlent de lui, mais qu'importe.

    Il y a de forte probabilité que l'union se délitera d'elle-même, d'un coup, en surprenant tout le monde, et tel il en fut de la troisième république en ses débuts, il y aura une recomposition politique qui se fera d'urgence, tout comme il en sera d'ailleurs de celle d'un tissu industriel, agricole et minier.

    Ceci sans compter un nombre inconnu de gens qui, en raison même de cetteP1030461.JPG disparition, pourrait fort bien souffrir d'un stress post-traumatique pour certains violent, ce qui est déjà visible de par des réactions excessives et injurieuses de quelques commentateurs et autres experts d'opérette.

    Tout comme il est possible de l'observer de la part de membres de la bande à croncron.

    Cela en réaction directe à l'objective et absolue faiblesse de l'union face au vilain virus, doublée des insuffisances tangibles du gouvernement étasunien au-devant des mêmes agressions virales.

    Monsieur Trump ayant, sûrement avec raison, beaucoup plus peur de la crise économique qui arrive, pouvant se révéler bien plus meurtrière que de cette pandémie au coronavirus, ad minima aux USA (l'épidémie d'obésité qui y sévit pourrait bien aussi s'y révéler désastreuse et, ce, sur ces deux tableaux).

     

    En ces temps de confinement et puisque personne ne peut véritablement dire comment tout cela peut évoluer en ce moment, je conseillerais, aux partis politiques sérieux, aux mairie si possible, ainsi qu'aux groupes de gens plus ou moins formels au sein d'associations ou de cercle de vidéophiles traitant des informations notamment, de réunir quatre équipes complémentaires échangeant continuellement:

    -La première s'occupant de formaliser les différents scenarii du probable au possible qui pourraient avoir lieu;

    P1030187.JPG-La seconde ayant pour tâche de rassembler le plus d'informations possible tant à l'échelle nationale qu'internationale quelle fournirait à la première;

    -La troisième devant d'y apporter des réponses au plus juste de ce qu'il faudrait faire ainsi que de quelles décisions prendre au regard de ce qui sera rapporté des deux équipes  précédentes;

    -La quatrième, enfin, sera là pour explorer les éventualités les plus surprenantes, ceci affin de ce que personne ne puisse se retrouver déconcerté par quelque événement que ce soit, sachant qu'en cela une nouvelle circonstance, non envisagé, peut très bien survenir à tout moment.

    Les deux points forts, en cela, de l'UPR, réside tout autant des qualités professionnelles multiforme que recèle ce parti politique que de l'esprit indépendant, de libre penseur de ceux qui le compose puisque, pour nombre d'entre-eux, ils doivent se confronter aux jugements de valeur de leurs proches et de leur milieu, voire parfois, ce que j'espère rarement, à un rejet, en raison de leur adhésion à icelui.

    Songez simplement au fait que Monsieur Asselineau connaît parfaitement les rouage de l'administration française et que Monsieur Brousseau est l'un de ceux qui, au monde, comprend en la façon la plus fine la nature de la monnaie, ceci au moment où, de leur hyper-production, leur grande majorité perd de leur valeur au même rythme que de leur dite production.P1030139.JPG

     

    Je ne saurait clore ce billet sans aborder le registre du développement décisionnel de l'équipe dirigeante de la France, dite la bande à croncron.

    Ses acteurs à la petite tête tendent à s'installer dans un mécanisme rassurant d'une sorte de routine confortable où, à leur sens, il ne suffit, maintenant, que de poursuivre la marche à suivre pour réduire la pandémie de COVID-19, puis, ensuite, une fois que cette affaire sera résolue, de continuer la même politique qu'auparavant.

    Tous étant dans l'incapacité de pouvoir conceptualiser les événements futurs, comme j'ai pu l'expliquer en des billets précédents.

    Qu'il arrive n'importe quoi, quoi que ce soit de nouveau et ils seront pris à contre-pied et, là, leur panique sera plus intense encore que précédemment.

    Or, cette affaire laissera d'importantes traces de toutes sortes et, comme il se dit dans les médiats, pour une fois avec raison, le monde, la France s'en sortira différente de ce qu'elle fut avant, nécessairement.

    Comment leur faire confiance quand, de l'hypocrisie se croise la pauvre sottise, Madame Ndiaye réussissant, à l'image de son chef, l’exploit de les réunir, ce qui, P1020873.JPGpour ses confrères, doit être considéré comme une qualité.

    De cette vive incapacité foncière qu'ils nous démontrèrent dès le début de cette crise sanitaire, ce qu'ils remplacèrent par un infini déversement verbeux n'ayant de sens que d'essayer de se justifier de leur incompétence outrancière, nous ne pouvons qu'être de bon droit de considérer qu'il leur sera  de plus, dans l'impossibilité la plus entière de pouvoir en gérer une autre, de crise, celle-là économique et financière.

    Que nous en soyons conscient dès maintenant nous permettant de nous en prémunir un minimum en nous y préparant par quelques réserves de vivres, produit d'entretien et soin du corps, quelques argents plus de quoi faire un peu de troc.

     

    Enfin, en achèvement de ce billet, je vous propose deux sujets plus psychologiques, voire pour le premier, métaphysique, dont la trame centrale est une forme d'ennui inconscient provenant du tréfonds de notre âme.

    J'émets l'hypothèse, qui ne pourra qu'être controversé, que j'avais déjà déposé dans mon blog, que notre espèce, qui est la résultante de l'évolution de la vie datant de milliards d'années sur terre, c'étant v

  • De la PMA à une prise de conscience.

    Chère Agnès Thill,

    Je viens de regarder la vidéo ou vous fûtes interrogée à TV Liberté (je la fais débuter après la présentation d'une, future, de Jean-Marie Le Pen qui m'insupporte, le plus amusant c'est que sûrement va-t-il affaiblir discrètement le RN, mais ceci est une autre histoire).

    De la loi entrain d'être votée sur la PMA, je n'en aurais que peu à dire de plus que vous, hormis le fait qu'elle promet des lendemain qui chante autant aux parents qui vont élever cet enfant que pour l'enfant lui-même.

    C'est simple à comprendre, acheter une personne pour son seul désir, dut-elle être nouveau-né, c'est la considérer comme étant, au mieux un esclave, au pire un objet.

    Et même si cela est tu, voire même surtout si cela est tu, cela va générer une angoisse existentielle de la personne ainsi vendue puisque achetée, que même la recherche de sa filiation de sa mère-porteuse ne pourra résoudre puisqueP1030126.JPG inconsciemment elle se considèrera comme une chose et non pas être un Être Pensant.

    Quoi que puisse en penser et en dire part ailleurs Boris Cyrulnik, que je trouve quelque peu léger sur ce sujet: il sert à quoi de générer des angoisses et des névroses à quelqu'un même pas encore né.

    Tout cela pour assouvir les petits caprices de personnalités qui, dans leur sentiment profond de ne pas être normaux (je ne porte pas ici de jugement de valeur de choix sexuels quelconques, je décris un mécanisme psychique inconscient), veulent à toute fin montrer à la face du monde une normalité qui, de ce fait même d'avoir eu un enfant de cette façon, leur montrera à leur propres yeux leurs ambiguïtés, ce qui accroitra les instabilités psychologiques de tous.

    Et comment se débrouilleront ces femmes qui, en raison d'un trauma d'une relation forcée avec un homme, soit avant l'âge adulte, soit par violence, en est venue à n'avoir de relation qu'avec des femmes dans sa peur et dégoût des hommes, devra élever un garçon?

    Ce sera à l'adolescence que l'explosion d'angoisse sera, pour le-dit enfant, déterminant, et les conduites suicidaires y seront grandement possibles, et sinon ce sera à la troisième génération que cette explosion se fera.

    N'y a-t-il pas déjà suffisamment comme ça de gens au psychisme instable en France pour en rajouter inutilement, mais il est vrai qu'à l'heure de la marchandisation du tout et du n'importe quoi, considérer un Être Humain comme étant un bibelot comme un autre n'est que de la mode du temps, il est bien fait mention, pour quelqu'un cherchant un emploi, qu'il doit savoir se vendre.

    Être un vendu c'est dans l'air du temps.

     

    Mais en fait, Chère Madame Thill, ce billet n'a pas de but de disserter sur cela, ma P1020035.JPGfoi, de cette PMA qui désigne aussi, et ceci est délicieux (c'est un copié/collé) : " Pays les moins développés socio-économiquement (parmi les pays en voie de développement) " (tapez PMA sur votre moteur de recherche et vous trouverez çà).

    En fait ce petit texte n'a de but que de vous montrer, sans ironie aucune, la fantastique naïveté dont vous aviez fait preuve quand vous aviez décidé de vous présenter à la députation au sein du REM, dit des radioéléments, ainsi que d'avoir suivi le sieur Macron, le beau parleur, et pardonnez-moi de cette once de vulgarité, mais vous vous étiez faite empapaouter de première, et profond de plus.

    Du fromage du corbeau de la fable, Madame, les renards vous l'ont volé.

    Vous trouverez plus loin, dans ce blog, une infinité de mes réflexions qui  vous montreront que ceux que vous aviez aidés & accompagnés ne sont pas ce qu'ils disaient être, pourquoi ils furent justement choisis et par qui, mais aussi pourquoi nombre de ceux avec qui vous siégiez sont loin d'avoir cette stabilité mentale menant à ce minimum de probité que réclame une telle fonction.

    Surtout les raisons qui font que ceux qui se révèlent n'être que de vils malandrins ne sont en aucun cas chassés de leur charges électives.

    Peut-être y comprendrez-vous également en quoi vous, comme Monsieur Villani, fûtes utiles à cette coterie qui se cache derrière ce mouvement que vous avez quitté.

    Le puzzle conceptuel qu'est mon blog, j'avoue que les idées s'y développent au fur et à mesure qu'elles me viennent à l'esprit, vous permettra, quoi qu'il en soit, de saisirP1020956.JPG la nature de ceux qui vous ont manipulée, comme nombre de ceux des classes-moyennes hautes à supérieur que je ne cesse, pour cette raison, de vilipender.

    Ceci en en montrant les raisons.

    Mais surtout vous fera saisir les réels enjeux d'aujourd'hui, ce qui pose cette ridicule loi sur la PMA que comme n'étant que les derniers instants d'un monde politico-économique bientôt forclos et devenu, de ce fait, complètement fou.

    Toutefois, que vous souteniez encore un peu Monsieur Macron est tout à fait normal et j'en comprends d'autant plus les mécanismes que moi-même aie vécu quelque chose d'analogue, ce que vous découvrirez à la suite.

    Il est vrai que si vous voulez vous faire votre idée de l'ensemble, le temps long ne peut qu'être que nécessaire, mais vous y trouverez aussi quelques poésies ainsi que des aphorismes de mon cru dont, pour certains, je suis particulièrement content,  qui vous permettrons de vous égayer en un ailleurs momentané.

    Vous êtes loin d'être la seule personne à enfin ouvrir les yeux et de commencer à poser un regard conséquent sur notre réalité, il serait bien en revanche que vous ne vous égariez pas une fois encore au sein d'un autre de ces partis politiques que je dis officiels P1020147.JPGpuisque passant dans les médiats.

    En ce moment, ainsi, le réel aspect contestataire d'un parti est inversement proportionnel au temps que passe ses représentants dans ces-dits médiats.

    Vous y trouverez, aussi, une définition précise de la nature de la gauche et de la droite, ceci considéré de sa base historique.

    Que je vous en prévienne, mes développements sont en plein iconoclastes et risquent de questionner quelque-peu nombre de vos conceptions les plus assurées, et si vous n'êtes pas en accord avec des de mes idées, ce serais pour moi du plus pur du naturel.

    Bien à vous,

     

     

    THEURIC

  • De l'urgence de comprendre.

    Dans le vieux garage de la maison de feue ma mère,  où les fenêtres de la portes étaient cassées, une abeille charpentière " Xylocopa violacea " avait fait, d'un vieux tuyau en acier qui y traînait, son nid pour ses futures larves.

    Celle-ci butine un muflier gueule de loup (muflier ↦ mufle ↦ museau et, par extension, pour le second, grossier et rustre, intéressant non?) "Antirrhinum majus".

     

    Préambule:

    Si mes derniers billets vous semblent anxiogène c'est que j'émets de tels avis qui viennent contrecarrer ceux déversés par les médiats en les amoindrissant et les contredisant.

    P1050397.JPG

    Avant-propos:

    Pour pouvoir agir au mieux, il est d'urgence de comprendre ce à quoi nous nous confrontons, c'est à cela, avec plus ou moins d'efficacité, que je m'emploie: le rendre intelligible.

    Il ne s'agit pas seulement de concevoir cela sur de seule matière économique, politique ou sanitaire..., mais de percevoir, d'une manière multifactorielle, quels sont les éléments qui génèrent notre situation.

    Le principal, dès lors, étant de s'essayer d'en débusquer les bas-fonds, de percevoir le ou les éléments qui, plus que tout autre chose, déterminent les raisons déraisonnables qui, depuis longtemps, nous mènent là où nous en sommes, en somme.

    J'en ai, il est vrai, exploré plusieurs, l'effondrement des USA en reflet inversé d'avec l'URSS, la rétrogression historique nous faisant revivre une façon de second empire jusqu'à sa fin, la compulsion de répétition nous reconduisant autour de 1917 à 1950, tout cela sous des formes différentes de ce que nos aïeux ont pu vivre, mais sous un fond similaire.

    Il en est aussi de notre domination par un empire thalassocratique grandement P1060852.JPGdéclinant, au bord de la guerre civile, les Etats-Unis-d'Amérique, dont l'Union-européenne est la créature triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement  et idéologiquement, l'empêchant à toute réelle évolution, ne pouvant dès lors être réformée, l'effondrement idéologique et politique qui y est lié, menant à une quasi unilatéralité décisionnelle des partis officiels et des discours similaires des médiats en place.

    Mais, d'une manière factuelle, un facteur important que je vous avais déjà présenté, me semble primordiale à développer ici pour que vous compreniez, amis lecteurs, quels sont les points faibles du pouvoir en place en France, ainsi que du pourquoi il tend à ce totalitarisme que les allemands disent avec raison être de l'absurdie (bien que leur gouvernement, comme bien d'autres européens, tendent, eux aussi, aux mêmes tentations absolutistes).

    J'avais, sur le bureau de mon ordinateur, accumulé toute un ensemble d'adresses traitant de sujets dont le but aurait été d'appuyer mon propos, mais, en fait, saisissant l'urgence de la situation, je préfère effectuer ici une démonstration sans prendre le temps de prouver ce que je vais avancer.

    Ceci, de plus, que je ne pense pas qu'il y en ai vraiment besoin, nous sentons tous quelque chose de l'ordre d'un mouvement de fond: les mensonges qui nous sont contés prennent de moins en moins.P1060323.JPG

    En effet, ce qui se fait appeler de l'ingénierie sociale, ce qui n'est que de la manipulation, dénomination existant pour nous faire croire que ceux qui en usent sont intelligents, or je puis vous affirmer de par mon expérience qu'un manipulateur est toujours un crétin, s'il ne l'est il le deviendra.

    Cette pseudo-ingénierie, donc, finit par ne plus fonctionner pour deux raisons, la première est que les populations finissent par générer une résistance psychique à ses mécanismes, puis par les rejeter.

    En second lieu parce que la réalité de ce qui est vécu au jour le jour étant inverse à ce qui est faussement dépeint fini, au fil du temps, par représenter des contradictions majeures et cette fausseté à être réfuté puis rejeté en tant que mensonge.

    Ce que nous vivons aujourd'hui est ce que nous pourrions nommer un despotisme médiocratique, soit un coup d'état par des médiocres, c'est cela que je vais tenter de démontrer, sachant que cette bande de guignolos sont très contents que l'on puisse les considérer comme ayant de la jugeote.

    P1050462.JPG

    La fatalité des médiocrates:

    Ont-ils voulu que nous en arrivions là où nous en sommes?

    Je ne le pense pas.

    Ne serait-ce pour une bonne raison: ils sont tous, ou le sont devenus, dans l'incapacité de pouvoir prévoir quoi que ce soit à long terme et ne font que réagir à leurs angoisses et aux pressions qu'il subissent.

    Ils, j'entends, par ce pronom, ceux du gouvernement, de la majorité des cadres des partis politiques officiels, d'une partie de la haute administration, les propriétaires et dirigeants des médiats en vu, ainsi que du reste de cette mouvance détenant le même dogme et intérêts que ceux-là.

    Ils, donc, se retrouvent dans une situation qu'ils n'avaient pas recherché, celle des pleins pouvoirs dits sanitaires que les députés du REM, les radioéléments, offrent à l'exécutif, ce à quoi l'opposition droite et gauche n'oppose qu'une opposition, à de rares exceptions près, autant inconsistante que fugace.

    Il faut dire que nous nous retrouvons maintenant dans une position dont la résultante est à rechercher des décennies en arrière, où nous vîmes une baisse de capacité intellectuelle régulière tant de nos élites que de nos élus.

    Ainsi, les freins des gouvernements antérieurs portés à l'encontre des obligations deP1060277.JPG l'Union-Européenne via les GOPE, qui obligent des économies toujours plus drastiques de l'état et à la privatisation de nos services publics, s'amenuisant au fil du temps, nous nous retrouvons aujourd'hui devant un gouvernement où ces obligations fondent toutes leurs décisions.

    L'existence même de l'euro conduisant à la désindustrialisation de la France, nos usines allant usiner dans les anciens pays de l'est aux payes misérables (dû aussi à la libre circulation des capitaux, des personnes et des biens, dont les impôts des GAFAM, les usines et les immigrés), cette monnaie amenant de plus une concurrence totalement déséquilibrée entre ceux du nord et du sud, en  un avantage absolu pour les premiers.

    Ces exigences, dis-je, sont les réels ferments de la paupérisation autant du pays que des français, générant la colère populaire, d'où l'érection du mouvement gilettiste.

    L'oligarchie française et européenne, les bons pigeons au grain dont raffolent celle étasunienne contrôlant le parti démocrate, celui républicain profitant tout autant de ces ramiers, ainsi que de son état-profond, mirent en place, à l'intérieur des partis politiques officiels, des personnalités de plus en plus falotes ou contrôlent celles qui ont quelques secrets inavouables, le REM, bricolé en toute hâte de bric et de broc, en en étant la consécration aboutie.

    P1060223.JPGN'oublions pas que Macron fait parti des "jeunes dirigeants" formés par les agences étasuniennes, qu'il fut déniché par le patron d'AXA de l'époque, désigné par Mr. Attali comme étant notre futur président et visité par un représentant desdites agences,  par celui de l'union ainsi que par Mme. Merkel.

    Totalement obéissants aux injonctions de l'UE et obnubilés par la vulgate idéologique néolibérale monétariste US absurde, ce président, son gouvernement, son parti, ainsi que la majorité des autres siégeant ou non dans les chambres délibératives, pris dans cette fièvre hallucinatoire, n'eurent que de cesse que de suivre les oukases unionistes et étasuniennes (d'où la vente, sans grande réaction passée et présente, de nos fleurons industriels nationaux aux potentats américains).

    ( Vous remarquerez toutefois l'extrême amateurisme des triches électorales des démocrates, qui se dirait provenant de la CIA, ce qui marque là encore la médiocrité grandissante de Tonton Sam. )

    Ceci sous la justification des journaliste cornichons de nos médiats détenus par nos pigeons gros, gras au grain et au gril recto-verso.

    Puis, et puis, juste après que le mouvement des gilets jaunes finit par se calmer à laP1060185.JPG suite des exactions policières et des mensonges et silences journalistiques, deux événements survinrent qui fracassèrent le tout: la pandémie et l'élection US, dont nos génies ne surent aucunement prévoir ni l'une, ni l'autre.

    Entre leur imprévoyance de la première, qui montra à la face du monde leur incompétence pleine et entière, et l'ubuesque réaction hystérique des masses médiats, de la classe politique et des chroniqueurs de tous poils, qui, suivant chacun, nous exhortèrent quasiment à voter pour l'un ou l'autre candidat de ces élections US, il nous est désormais loisir d'observer leur, à tous, situation lamentable.

    Et, en cela, si ça peut vous rassurer, amis lecteurs, n'allez pas croire que seule la France détiendrait de telles équipes éreintée, hormis certains pays de l'est telles que la Pologne et la Hongrie qui amassent le plus de richesse possible de ceux de l'ouest, en payant le moins possible, et qui, dès que la situation de l'UE deviendra intenable, la quittera sans préavis, tous les autres sont dotés du même type d’énergumènes.

    J'émettrais même l'idée que cela concerne, plus ou moins et de diverses façons, quasiment tous les gouvernements mondiaux.

     

    Dictateurs à l'insu de leur plein gré:

    P1060092.JPGOnt-ils voulu, ont-ils l'intention, veulent-ils mettre en place un régime totalitaire?

    Je ne pense pas qu'ils aient été de cette volonté là, ni il y a trois ans, ni même aujourd'hui, de fait ils pensent tous avoir raison et se conçoivent eux-même comme étant de la plus pure essence démocratique, ne voyant dans le peuple que du populisme fascisant puisque celui-ci récuse de plus en plus notre appartenance à l'union ainsi que tout ce que cela entend.

    Et même s'ils réduisent avec le temps les libertés publiques, ils ne le font, le conçoivent-ils ainsi, que pour le bien de la nation, de la république et, et, de la démocratie.

    Certes et de cela je me dois, maintenant, de le préciser:

    Tous ces acteurs que je désigne sous le vocable de ce pronom personnel sujet de la troisième personne du pluriel "ils" ne pensent pas tous la même chose, très loin de là, certain même doivent être ulcérés par ce qu'il se passe, à l'exemple de Jean Quatremer, l'eurolâtre fébrile, qui se révolte contre les mesures du dernier confinement.

    Il doit même s'y produire de nombreuses scissions à l'intérieurs, parfois virulentes, mais quel parti politique a-t-il appelé à une vigoureuse manifestation pour faire pression sur le gouvernement affin de l'empêcher d'activer ce coup d'état larvé?

    Hormis ceux qui sont écartés par cette mouvance et de suivants qui ne la suivent pas puisque s'en étant éloignés, l'ensemble restant partage, sans en douter, les mêmes approches idéologiques et de semblables perceptions des événement nationaux,P1050571.JPG européens et mondiaux, leurs différences de conceptions n'étant plus que de l'ordre du détail.

    Détails qui, par ailleurs, doivent créer les plus intenses disputes, voire même conduire à des haines farouches: il faut à chacun évacuer le stress qui est sien.

    Je désigne, donc, comme d'autres avant moi, m'en inspirant, cette mouvance comme étant une médiocratie.

    C'est dans l'idée de montrer que leurs décisions et manques de volonté, la demande électoraliste de certains partis à beaucoup plus de rigueur envers le peuple rétif, ou d'obéissance au gouvernement plus ou moins formelle pour d'autres, leur mensonges pléthoriques,  n'est pas la résultante d'un froid et supérieur calcul mais n'est juste que leurs réaction à leur pulsions personnelles.

    Ce qui les mène à des réactions toujours plus absurdes, à leur manque de réactivité, à leurs discours hors du champ de leurs principes affichés et/ou à leurs desseins déraisonna

  • De la désagrégation de l'Union-Européenne.

    Ce n'est pas tant que déteste l'Union-européenne.

    En vrai, si je n'étais pas français, je n'aurais de cette union ridicule et des pays et peuples la composant, que la vision que doivent en avoir les populations et leurs représentants de bien d'autres nations:

    P1000680.JPGSoit d'être affligé de voir combien cette région du monde, l'Europe, qui a su tout de même être les premières puissances au siècle dernier, avant que les délires allemands ne viennent tout renverser, et lancer la plus formidable des révolutions, celle de l'invention et de l'élaboration de nouvelles techniques scientifiques, artistiques et philosophiques.

    Europe, dis-je, qui, en union, désormais, patauge dans la plus insane des médiocrités.

    Je n'aurais donc, pour elle, que de ce dédain que mérite la vulgarité dans laquelle l'européenne union la vautre.

    Mais je suis français et, à ce titre, je n'ai pas le droit d'enfiler ces perles flasques de détestation de son pays, cette boue dedans lesquelles tellement de mes compatriotes aiment tant à gadouiller.

    Je ne vais pas, non plus, déverser ici une exécration, une aigreur, une fureur pour une U.E. qui, ma foi, n'est que la résultante d'une guerre froide passée entre les U.S.A. et l'U.R.S.S. et qui, à la disparition du second, devint la perle coloniale des premières.

    Je vais faire pire, du moins en ce qui concerne les oligarques euro-atlantistes, devenus germanophiles, leurs serviteurs zélés et le politburo de l'union: je vais montrer que l'Union-Européenne, en réalité, est sur la voie d'une désagrégation avancée, avec, il est vrai, de la raillerie, de la dérision et du sarcasme...

    Quels en sont les signes?

    En vérité, ils sont, je le reconnais, bien minces.P1000758.JPG

    Certes, nous vivons au sein d'une union composée de 27 pays, moins un, la Grande-Bretagne, mais bien peu d'informations traversent les frontières de ses états membres.

    Les événements des États-Unis-d'Amérique paraissent, pour les journalistes bien en vue de nos chères médiats achetés et aux ordres de nos oligarques, infiniment plus importants que ce qu'il pourrait se passer en Pologne, en Grèce, en Hongrie ou en Lituanie.....

    Il est vrai que l'extrême pauvreté de certaines des populations ne fait pas bon genre, la quasi destruction de l'économie grecque, par exemple, ne doit pas se dire, que les grecs crèvent, oui, mais en silence.

    D'autant plus que la responsabilité en incombe d'abord et avant toute chose au Bureau-Européen, ce machin jamais élu avec Monsieur Junker comme président, l'homme adorateur de Bacchus, et à la Banque Centrale Européenne qui produit des euros en tel grand nombre que cette monnaie en a perdu toute sa valeur.

    Mais il est vrai que l'on ne critique pas ces deux vaux-d'or, d'autant plus que le premier arbore un beau drapeau bleu et ses douze étoiles dorées sur tranche d'un symbolisme chrétien que personne, en sein de cette  institution, ne respecte!

    Hypocrisie, quand tu nous tiens...

    Ainsi punissent-ils les grecs d'avoir voulu quitter cette union fantasque en les P1000839.JPGruinant, d'offrir, dans le même temps, à l'Allemagne et aux banques, leurs richesses, faire peur aux autres peuples européens montrant des velléités d'indépendance et ne firent, ces sots, que de détruire à petit feu l'économie du continent et, cerise sur le gâteau, celle du reste du monde.

    Et oui, ces crétins arrivèrent à cette extraordinaire réussite d'avoir amorcé la désindustrialisation internationale et d'avoir gravement affaibli des banques de l'union déjà infiniment en peine.

    Bravo les artistes, même le F.M.I., qui avait participé à hallali, avait avoué, mais un peu tard, que tout cela n'était que d'une immense sottise!

    Et c'est qu'ils tentent de se justifier, ces gonzes, allez voir sur internet et vous verrez combien d'article chantent les louanges de cette ignominie.

    Cela juste pour vous montrer, amis lecteurs, comment cette union peut être considérer: comme du grand n'importe quoi!

    Mais il faut la sauver, cette union, et, ce, à n'importe quel prix, quitte pour cela à conduire les populations à leur faillite intellectuelle, morale et politique, l'économie, quand à elle, étant déjà dans une situation déplorable.

    Les G.O.P.E. ne faisant qu'accélérer et accentuer la faillite généralisée de l'Europe, nos croquemitaines européistes, ne voyant pas plus loin que leur idéologie débilitante et nécrosante néolibérale, étant dans leur plus totale incapacité de comprendre que chacune de leurs actions et décisions creuse un peu plus la tombeP1000753 - Copie.JPG de leur union chérie, en entrainant avec elle le monde entier dans une faillite généralisée.

    Alors, ces génies des alpages censurent et désinforment, assènent à longueur de temps une propagande d'une violence inouïe, tronquent la réalité des faits et le plus souvent cachent aux population toute information qui pourrait montrer aux gens l'inanité de leurs gesticulations destructrices.

    C'est ainsi que Monsieur Macron fut installé au poste prestigieux de Président de la République par nos oligarques nationaux et impériaux (même Madame Merkel alla voir qui était ce bonhomme, vérifiant même, une fois qu'il fut élu, l'un de ses discours), ils firent là une terrible erreur dans le casting:

    Ils crurent mettre en place un petit mouton bien docile et placèrent au contraire une personnalité infantile, instable, fantasque, hâbleuse et terriblement fragile.

    Mais surtout pourvu d'un orgueil démesuré.

    C'est que, l'année dernière, ils nous ont bien bourré le mou, nos journalistes eurocratiques, manipulant à qui mieux mieux, persifflant continuellement sur les candidats les plus gênant, Monsieur Asselineau en subissant les pires des affronts.

    La propagande pro Macron fut dantesque, ridicule mais dantesque, la preuve en est, il fut élu, nos journalistes guignolesques ayant bien fait leur travail.

    Mais revenons à Emmanuel Macron, voulez-vous, et voyons en quoi ce choix de nos oligarques ne peut qu'être, pour eux, désastreux.

    Je vous propose, pour commencer, ces deux textes, le premier traitant de la vente P1010032.JPGdu journal Le Monde à laquelle il participa, le second à l'hypothèse psychanalytique voulant que notre président serait, non pas psychopathe, mais pervers narcissique.

    Je pars en effet du principe que monsieur Macron n'est ni psychopathe, ni pervers narcissique, mais soufrerait d'un mal psychologique, bien que moins profond, n'en serait pas moins préjudiciable à la bonne mené de son mandat, même si cette mené n'aurait d'intérêt, non pas du pays et du peuple, mais pour celui de la minorité oligarchique eurolâtre.

    Pour cette explication, je vais devoir faire un détour sur une hypothèse que j'ai, peut-être, déjà abordé ici, si c'est le cas, je n'en ai rien retrouvé.

    Le pervers narcissique ainsi que le psychopathe souffriraient de cette pathologie parce qu'ils furent confrontés, sûrement lors de leur tendre enfance, à un ou un ensemble d'événements aux charges émotionnelles d'une infinie puissance ayant généré une culpabilité d'une violence et d'une douleur telle que, pour survivre psychiquement, le sujet  n'eut d'autre choix, si je puis dire, que de refouler totalement tout ce qui était lié à ce traumatisme, souvenirs, culpabilité et émotions.

    Ceci tout en ayant pris plaisir à ce trauma et de tout ce qui l'accompagna et, culpabilité devenue inconsciente oblige, à en chercher à en être puni.

    C'est pourquoi il y a, en même temps, la détermination inconsciente de laP1010055.JPG réitération de cette culpabilité en une quête continuelle de cette jouissance morbide (jouir de revivre la même chose) et l' insensibilité émotionnelle de ces sujets.

    Si les hauts potentiels sont souvent les victimes des pervers narcissiques, c'est justement parce que leurs capacités peuvent leur permettre de les punir, ce que ces seconds recherchent pour, d'une certaine façon, être guéris de leur souffrance (ce qui peut psychiquement les détruire).

    S'ils souffrent toujours, alors ils seront, pour leur souffre douleur, d'une cruauté égale à cette douleur culpabilisante inconsciente.

    De même, le psychopathe, lui, recherche la punition sociale, soit le plus souvent la prison, la perte de pouvoir et/ou la ruine.

    L’insensibilité émotionnelle menant l'un et l'autre de ces malades, au-demeurant parfaitement bien adaptés à notre société, à cette unilatéralité doctrinale remarquable qui, aujourd'hui, mène le monde à la banqueroute.

    Banqueroute vers laquelle nous allons allègrement, ce qui pose en même temps la question de savoir quel est l'équilibre psychologique de la majorité de nos oligarques (de l'origine de leurs traumas anciens) que de l'essence et du caractère réel des présupposés idéologiques sur lesquels ils s'appuient pour faire mener, par nos élus fantoches, les politiques actuelles. )

    Donc, si vous avez lu le premier article proposé plus haut, vous comprendrez que de dire Monsieur Macron pervers narcissique ou psychopathe ne tient pas.

    Tout simplement, comme vous l'avez lu comme moi, parce qu'il avait fui la présence de Monsieur De Tricornot pour ne pas faire face à sa propre culpabilité due à sa P1010087.JPGtrahison de ce journaliste lors de la vente du journal Le Monde.

    Là où je ne suis pas d'accord avec certains psys (voir le second texte proposé) sur la nature de notre président réside dans le fait qu'il n'ait pas eu affaire à une mère incestueuse mais à une confrontation entre la grand-mère et la mère pour la possession du fils aîné, ce qui change tout.

    Il s'agit ici en effet d'une jalousie, plus mème, une rivalité entre mère et fille au sujet du premier né auquel celui-ci ne put que participer et prendre plaisir au fil du temps et de l'âge, puisque son existence émotionnelle tournait autour de cette confrontation.

    D'autant plus que cela aurait pu commencer très tôt, possiblement dès le berceau.

    C'est cette rivalité possessive maternelle qui a empêché Monsieur Macron d'atteindre sa pleine maturation psychique d'homme adulte en lui faisant conserver intacte son infantilité antérieur, d'où son choix d'une femme de plus de deux décennies que lui en tant qu'épouse.

    Une nouvelle maman, en quelque sorte.

    Plaisir infantile, donc, retrouvé lorsque Monsieur Macron, adolescent (âge de la maturité sexuée mais aussi du début de la maturation psychique adulte), rencontra Brigitte Trogneux, ce qui lui permit de renouveler cette relation tumultueuse, là entre la femme et la mère, toutes deux quasiment du même âge.

    Puis, devenu président, se présenta à lui une conjoncture similaire entre sa femme et la chancelière allemande, Madame Merkel, auquel j'avais fait état je ne s

  • Verre d'eau, pensée, inconscient et identification.

    Choses promises, choses dues, comme il se disait d'antan: je me présente à vous avec mon verre d'eau.

    "A quoi se rapporte-t-il?" Me demanderiez-vous.

    De montrer les limites de toutes choses dans un sens comme dans l'autre.

    Prenez un verre d'eau et, ayant soif portez-le à vos lèvres, vous pouvez boire en toute quiétude la quantité qui vous agrée.

    Maintenant prenez la même quantité d'eau et versez la au sol, je dirais qu'ensuite il vous sera, ainsi, devenu infiniment plus ardu d'étancher une même soif.

    La psyché est comme l'eau, elle a besoin d'un contenant pour que notre esprit puisse se bâtir, d'une structure qui, comme le verre  nous permettant de boire de l'eau, fait que l'intelligence se construise en toute grâce.

    Ce contenant à deux noms complémentaires:P1030589.JPG

    -l'éducation qui conduit, normalement, à offrir les premières bases à l'enfant puis à l'adolescent devenu d'une vie sociale la mieux adaptée possible, par les jalons qui lui sont posés de ce qui est correcte et incorrecte de faire;

    -l'instruction qui se devrait de permettre à ces jeunes de développer leurs capacités physique, intellectuelles et morales pour qu'ils deviennent des homme et des femmes instruits, autonomes et indépendants ainsi que des citoyens de raison, c'est à dire  aptes à comprendre le monde, d'y agir au mieux et à faire des choix.

    Mais aussi de ce qu'ils puissent faire œuvre d'invention et d'innovation en sachant s'écarter suffisamment des interdits du surmoi mis en place par l'éducation, ceci tout en en ayant conscience.

    Le tout en un juste milieu constructif.

    Or si, après un certain âge, le conscient est affaibli en raison de la dégradation ou la non mise en place de cet ensemble, c'est l'inconscient, avec toutes ses complexes composantes, qui  prendra, si je puis dire, les commandes décisionnelles de la personne, sans que le filtre, il est vrai imprécis, de la pensée consciente ne puisse venir à en ordonnancer les décisions et actions.

    P1030608.JPGAvec, lié, une difficulté, au pire absolue, d'extrapoler les conséquences futures des-dites décisions et actions.

    Mais ce verre c'est aussi la frontière qui nous permet de porter de l'eau à notre bouche, le-dit verre étant la représentation de la limite entre le dedans et le dehors, de ce contenant que l'on peut remplir à loisir et vider selon nos besoins.

    S'il est scellé l'eau ne pourra pas tarir notre pépie, si elle est vidé par terre notre boisson ne servira non plus à rien, nous ne pourront plus que de laper ce que nous pouvons, comme un chien pourrait le faire.

    Il en est de même d'un pays et de ses frontières trop refermées, celui-ci conserve son peuple en l'état  en en ralentissant grandement son évolution naturelle, ce qui était le cas dans les pays de l'est à l'époque, si elles sont ouvertes en béance, comme il en est aujourd'hui, les forces vives de la nation se répandent comme le jus de fruit sur le parquet, ne nous restant plus que des  gouttelettes que nous lécherions à  quatre pattes, si nous nous laissions aller à nous rabaisser ainsi qu'un animal.

    Ainsi la France a-t-elle vu se répandre partout dans le monde ce qui faisait d'antan son économie, les  usines et fabriques, et disparaître une à une ses mines et ses terre agricole redevenues forêts, disparaissant de chez-nous comme de l'eau s’épandant sur le sable (saviez-vous qu'il y a encore 3 décennies environ notre pays était encore le producteur quasi exclusif des terres rares?)

    Ceci aggravé par une éducation et une instruction limitées générant, en France notamment, un ensauvagement de la population, ceci touchant toutes les strates de P1030674.JPGla société.

    Phénomène pour l'instant bien moins important en province.

    ( Je l'ai dit, si nos gouvernants actuels, politiques et économiques, continuent de vouloir l'accroitre qu'ils ne soient pas surpris de se retrouver un jour la tête au bout d'une pique. )

    Réduire la pensée en abêtissant l'école et la langue et dès lors le langage de la population, d'autant plus des moins âgés, réduit d'autant la pensée, c'est pourquoi nombre de jeunes n'arrivent même plus à exprimer une idée un tant soit peu complexe, comme l'explique très bien Madame Nogaret dans cette vidéo.

    Comme j'ai pu l'exprimer en Décembre 2017 dans un billet au titre de: "De la nature de la pensée", il y a un lien logique entre le niveau d'intelligence, la vigueur de la conscience et de la pensée, la capacité de se projeter dans le temps en concevant les effets futurs des décisions et actions de chacun, mais aussi de la puissance de notre raison et d'un surmoi harmonieux et bien proportionné pouvant se façonner au fil de la vie.

    Cela se  constitue grâce à une éducation, dont la première provient de la mère, suivit de celle du père, et d'une instruction, donc d'une école bien faite.

    Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui et dont la cause première se trouve dans les P1030502.JPGhautes instances du pays ayant perdu la part la plus importante et essentielle de leurs facultés, ceci par identification à l'empire US, il n'est qu'à voir ce qu'est Mr. Macron, qui l'a choisi et qui a voté pour lui (j'y reviendrai à la fin de ce libelle).

    Ceux qui, par leur famille, reçurent une éducation convenable peuvent palier à leurs manques d'instruction le temps passant, mais ceux qui, pour une cause quelconque, n'en reçurent pas une telle bien édifiée, ceci lié à cette instruction défectueuse (je ne jette pas la pierre aux instituteurs et aux professeurs qui font ce qu'ils peuvent avec ce qui leur est institué comme formation), se retrouvent à ne plus avoir une pensée solide et efficiente et à ce que leurs pulsions ne soient que peu, voire pas soumises par le surmoi.

    De n'avoir pas été structurée correctement, leur intelligence s'est répandue au sol et n'est, de ce fait, pas en capacité de mettre en place une pensée féconde, ne restant plus que cet ensauvagement mortifère.

    Mais en quoi l'identification multidécennal à l'empire d'une partie importante de la haute hiérarchie  sociale aurait-il mené à cette insane situation?

    Parce que la plupart de la haute hiérarchie française a de tout temps considéré, à tort ou à raison, que les étasuniens sont des imbéciles et que son identification, en tant que colonisé, a fait que, pour pouvoir ressembler aux étasuniens, il lui fallaitP1030571.JPG elle-même atteindre un niveau de  sottise égale, voire supérieur, à son maître.

    Ceci accentué, bien entendu, par le déversement sans limite d'un art provenant de la sphère impériale en décadence progressive ( j'adore le jazz, surtout celui des années 40 à 70), art qui du-moins, de lui-seul, se disant comme tel, dont l'abêtissement  est devenu égal à l'abrutissement, et à une idéologie nombriliste et infantilisante tendant autant à l'égoïsme qu'à la méchante veulerie.

    Ainsi que de leur perte d'identité provenant de leur indétermination d'Être telle que je l'ai étudié par trois fois, en cet endroit, puis ici et , montrant que les français, surtout en ce plus haut hiérarchique, ne savent plus qui ils sont, s'ils sont français, allemands, étasuniens, unionistes européens, savent-ils même s'ils sont humains, s'ils sont quelque chose ou rien?

    Cette insigne faiblesse mentale constitutive de notre domination impériale outre-atlantique, se répandant dans la population de haut en bas, ne pouvant que faire remonter les archétypes les plus anciens, dont celui du mythe de destruction du monde suivit de son rétablissement qui a de nom moderne de réchauffement climatique anthropogénique.

    P1030598.JPGMais pour que cette élite mentalement décatie, l'oligarchie, puisse entrainer à sa suite l'ensemble du peuple, encore faut-il que les instituteurs et professeurs soient en tous points pervertis par cette perte de nos potentiels réflexifs, d'où cette baisse continuelle de la-leur formation au professorat, et pour cela ne leur reste plus qu'à choisir les plus sots et obéissants de nos prochains élus pour qu'ils formulassent les lois éducatives ad oc.

    Or, pour que cela se fasse il leur fallait contrôler les médiats et chasser les journalistes les plus intelligents et indépendants d'esprit, écoutez donc le langage de ceux officiants, ainsi que de la majorité du personnel politique du REM, il est affligeant en tous points.

    C'est ainsi que les lois élaborées depuis des décennies par nos gouvernements soient proviennent de l'UE, ce qui ne leur nécessite aucune réflexion, hormis de faire passer la pilule amer à la population tout en lui en cachant l'origine, soient sont sujette à des effets pervers qu'ils sont dans l'impossibilité de conceptualiser, l'incendie de Rouen de la société Lubrizol serait, se dit-il, de ce cas là.

    C'est pourquoi deux journalistes météos remettant en question ce fameux réchauffement furent virés de France-télévision et rembauchés par des chaînes privées, à la conditions sine qua non qu'ils taisent leurs compréhensibles doutes sur ce sujet.P1030652.JPG

    Pour ces médiocres, savoir réfléchir c'est déjà leur être ennemi.

    En fait, ce que nous observons depuis de mêmes décennies, c'est que nos-dites élites, pour pouvoir être dominés par les oligarques des États-Unis-d'Amérique qu'ils considéraient comme étant autant le summum de la modernité que comme les plus vils des crétins d'une grande avarice.

    Et parce qu'elles perdait leur détermination d'Être, se devaient de devenir à l'image de leurs maîtres tels qu'ils les concevaient, soit des imbéciles et des crétins se pâmant pour ce qui pourrait ressembler à du modernisme, d'où leur amour immodéré pour la langue anglo-américaine qu'ils balbutient et de leur même avarice.

    Dans leur fantasme, il veulent être américains et que la France devienne le 51ème état des USA.

    Mais ils ne pouvaient concevoir que le peuple qu'elles dominent puisse les surpasser, elles n'ont donc eu que de cesse que de vouloir baisser le  niveau scolaire des enfants, cela en engageant, comme futurs élus et cadres des institutions du pays, que des gens sous leur domination et, donc, à leur image.

    P1030534.JPGAujourd'hui nous en sommes là et il est à craindre que la disparition des USA, de l'UE et la faillite économique généralisée ne les conduise à en être gravement perturbés, pouvant aller, pour certains, à de graves crises psychotiques.

    Il n'est de voir l'affolement, pour ne pas dire la panique, de par la simple existence d'un président US s'appelant Donald Trump, cela déjà palpable dans cette vidéo en ce simple exemple.

    Ce n'est pas tant leur disparition qui posera problème que de remplacer toutes ces personnes qui, pour ces raisons, ne sont pas à leur place, et aussi de reformer une institution de l'instruction publique grandement mise à mal.

    C'est pourquoi aussi depuis tant de temps j'annonce le retour à la religion séculière de notre nation, le catholicisme, ainsi que du patriotisme qui, pour certains, prendra la forme d'un nationalisme échevelé.

    Il n'est pas étonnant ainsi que ce soit la Marseillaise qui, chez les gilettistes, soit la chanson de ralliement, eux qui surprirent nos chroniqueurs et autres relatifs spécialistes médiatiques d'être intelligents.

    Alors, vers quoi allons-nous pour un temps?

    Vers quelque chose comme çà en

  • Essai de réflexion sur le néolibéralisme.

    Il ne s’agit plus de savoir si il faut ou non sortir du capitalisme, il s’agit de savoir si le capitalisme, ou plutôt son aspect pervers et grimaçant qu’est le néolibéralisme, va ou non exploser, et ce avec sa suite logique: la ruine universelle!

    Nous ne sommes plus en 1929, 2014 n’a absolument rien à voir avec cette période, elle est pire, infiniment pire.

    Plus encore, elle est autre.

    Ce qui est le plus remarquable de ce néolibéralisme, c'est le total manque de planification dont il est porteur, aucun de ses représentants n'a une quelconque idée de ce que peut être une projection dans le temps.

    Ainsi, la doxa néolibérale ignore totalement ce que pourrait être une stratégie, c'est à dire d'avoir une vision portée vers un but futur et la réflexion sur les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir.

    C'est toute réelle approche stratégique qui manque, donc, aux néolibéraux avec ce que cela pourrait entendre de planification et de logistique et même si leurs représentants, qu'ils soient banquiers, politiques, gestionnaires de fonds, journalistes en vu et tous les autres acteurs peuvent laisser à penser une conduite planifiée, ce ne sont que des  calculs à courtes échéances et des tentatives pour corriger des excès qui, de ce fait, ne peuvent que cycliquement revenir.

    Jusqu'à ce que ces dérèglements ne conduisent à l'effondrement de l'économie-monde.

    Deux exemples symptomatiques en sont:

    -Le bricolage fait dans l'urgence lors de la quasi banqueroute mondiale en 2008 par ponction sur les impôts européens et étasuniens (je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres régions du monde) pour renflouer les banques.

    Ponctions et, dès lors, appauvrissement accru des peuples et des états, ce qui empêche de renouveler cette opération et conduira, par là même, à une catastrophe lors de la prochaine déroute économique;

    -La pantalonnade ukrainienne où les U.S.A. et l'U.E., dont la France, l'Allemagne et la Pologne, nous ont montré leur amateurisme, voire leur insuffisance en n'osant pas dire sottise, autant d'une pensée à long terme mais, surtout, d'une action dans le très court terme.

    Ce qui permettra à la Russie de Monsieur Poutine d'engranger, dans quelque temps, bons nombres d'avantages géostratégiques pour la Russie mais, surtout, géopolitiques, lui laissant, à terme, totalement libre le passage de la Mer Noire à la Méditerranée et le respect dû aux plus puissants de la part des anciens pays de l'est.

    Sur ce sujet, n'allez pas croire la désinformation, la propagande de nos médiats officiels, eux qui s'égarèrent, au début de cette crise, en invitant des gens sérieux qui comprenaient et nous montraient vraiment la situation, ces médiats qui maintenant n'invitent quasiment plus que des brèles ne répétant que de la bien pensance, ces chers médiats qui, encore maintenant, oublient de révéler la réelle nature du pouvoir ukrainien actuel: nazi.

    En observant cela, nous comprenons facilement cette rengaine médiatique, leur propagande effrénée pro-Front-National, de même puissance que celle menée pour nous faire croire le gouvernement provisoire de Kiev démocratique, lui qui est composé pour 1/3 de nazis, leur étrange haine viscérale pour la gouvernance russe, leurs cachotteries au sujets les délires et contradictoires égarements diplomatiques américano-européens.

    Allez voir, sur l'Ukraine, l’excellent blog de Monsieur Berruyer, vous y trouverez des informations des plus captivantes:

    http://www.les-crises.fr/

    Nous pouvons nous demander, encore une fois, si le Front-National est l'allié objectif des néolibéraux!

    Et Monsieur Poutine se devrait d'être un réel démocrate pour être haït à ce point!

    [Tous les homme et les femmes politique français qui ne disent rien sur ces sujets ne sont plus d'aucun intérêt pour notre nation, sauf ceux qui, dans le temps le plus proche, exprimeront les raisons de ces empêchements (une manipulation?), il en est de même pour les partis politiques P.S., U.D.I. et U.M.P. ainsi que leur supplétif F.N. .

    Cette faiblesse constitutive du néolibéralisme et de ses représentants, leur impossibilité de se projeter dans l'avenir en bâtissant une stratégie, montre une psychologie particulière, infantile, immature qui se doit d'être impérativement étudiée.]

    Étudions maintenant la tactique néolibérale.

    Une tactique, normalement, doit appuyer une stratégie en raison sa souplesse.

    C'est cette souplesse tactique qui permet à une stratégie de s'adapter à l'évolution des événements.

    Une tactique est donc l'action du moment en réaction à un événement présent, il s'agit donc d'un ajustement aux circonstances, qu'il soit ou non adapté.

    Une tactique est donc réactive à la conjoncture quand la stratégie est active puisque pensée en aval de cette conjoncture, voire bâtisseuse de cette conjoncture ou structurant et/ou simplifiant un ensemble complexe de conjectures.

    Mais lorsqu'il n'y a plus de stratégie, de cette projection de l'action pour un but futur, n'en restera-t-il donc que la seule tactique?

    En fait, la stratégie existe toujours mais, si elle n'est pas reconnue pour ce qu'elle est, elle devient inconsciente et, de ce fait, pulsionnelle.

    (Hormis pour de rares sages laissant à leur inconscient le soin de cette projection vers un but et ses actions afférentes en une confiance absolue en eux-mêmes.)

    C'est pourquoi il est dit qu'un menteur est sans mémoire, le menteur compulsif, sans stratégie d'action d'ensemble, l'est, menteur, pour contrebalancer ce manque de structure psychique et, dès lors, d'action.

     C'est cette inconsciente stratégie qui fait le danger de l'époque actuelle et, surtout, m'assure du prochain effondrement économique mondial.

    Nous devons également tenir compte d'un deuxième facteur, le même qui a définitivement et irrémédiablement détruit l'U.R.S.S. que j'ai appelé le "Principe de Peter Ultime" et que j'ai défini ainsi:« Dans une hiérarchie où, au plus haut niveau, l'incompétence domine, ce sont tous les échelons hiérarchiques qui se trouvent progressivement être accaparés par des incompétents ».

    Réflexions multiples sur la géopolitique et réfutation d'un risque de complôt ainsi que de la théorie du complôt.

    Comment voulez-vous que des incompétents aient une stratégie quelconque?

    Comment voulez-vous que des personnalités, parfois intelligente, ayant laissées à leur seul inconscient le soin de la stratégie sans être pourvues de la sagesse suffisante, puissent avoir la moindre des stratégies et donc la moindre vision d'avenir?

    Les incohérences et égarements destructeurs et quasiment suicidaires de nos décideurs deviennent ainsi compréhensible et même logiques.

    L'aspect enfantin, capricieux des réactions des élites économiques aussi.

    Ainsi, nous pouvons nous demander si le seul but des américains n'aurait pas été "d'emprunter" l'or ukrainien avec un jeu qui les aurait dépassé.

    Si les cinquante milliards d'économie ne seraient pas qu'une vue réduite de ce que peut être une économie et une société et si cela ne risquerait pas de renverser le régime actuel.

    Si l'aide des médiats pour le Front-National et ce qui ressemble à une alliance de ce parti avec l'Union-Européenne ne montrerait qu'un même fonctionnement mental de leurs élites: néolibéraux.

    Si nos deux derniers Présidents de la République n'auraient pas été adoubés par les "investisseurs" pour n'être que rejetés ensuite, comme un enfant jette son jouet de lassitude et par caprice (Monsieur Sarkozy a tout de même reçu quelque subsides de Goldman Sash après une allocution).

    Si la "constitution européenne" n'avait pas été conçu pour empêcher, par avance, toute réforme du fonctionnement de l'U.E. sans percevoir que cela ne pourra que générer des frictions entre les gouvernants et les gouvernés et, surtout, ne risquerait pas la disparition pure et simple de l'U.E..

    Si toutes les privatisations, dans notre pays, n'avaient été, là encore, que de vagues caprices de nos argentiers relayé par nos politiques aux ordres.

    Si les revendications ahurissantes et délirantes du M.E.D.E.F. ainsi que de ses semblables n'étaient pas que des enfantillages d'enfant gâtés et capricieux de personnes ne connaissant plus aucune limite.

    Si plus personne, de nos responsables politiques des partis dit de gouvernement plus F.N., ne croient plus en une quelconque idéologie, hormis celle de la seule comptabilité, en disant et faisant n'importe quoi sans vraiment se soucier des résultats calamiteux de leurs paroles et de leurs actes.

    Si les jeux extrêmement dangereux joués dans les bourses internationales ne serait pas, là encore, l'impossibilité totale des investisseurs pour comprendre qu'il puisse y avoir des conséquences de leurs actes, cela leur est totalement impossible comme cela peut l'être pour un jeune enfant.

    Il en est de même des salaire que les P.D.G. de banques, de grands groupes industriels et de fonds-d'investissement qui sont inversement proportionnels aux résultats de leurs entreprises sans qu'aucune personnalité politique d'envergure ne réagisse, seraient-ils complices?.

    Les exemples peuvent se poursuivre à l'infini et chacun d'entre vous peut en trouver de nombreux marquant cette impossibilité intrinsèque qui est leur de comprendre la finalité de leurs actes et toutes les petites mains qui gravitent autour d'eux, tels que les commerciaux, sont structurés et éduqués de la même façon.

    De plus, ils sont absolument déconnecté de tout esprit de culpabilité puisqu'ils se jugent de leur bon droit, eux qui trahissent et leurs fonctions, et les personnes ayant leur confiance.

    Ces gens immatures auxquels nous avons donné  tout pouvoir, et là se trouve notre responsabilité à tous, sont hors de toute pensée adulte mais font preuve, paradoxalement, d'une forme de sincérité de part leur fonctionnement infantile.

    Et comme des enfants, ils ne comprendront rien lorsque leur jouet, l'économie mondiale, disparaîtra.

    Ils poursuivrons leurs actions amorales et anti-éthiques tant que nous ne serons pas parvenus à la ruine universelle.

    Ensuite, ce sera à nous de tout reconstruire et de les mettre en prison.

    Mais peut-être serait-ce cela qu'ils recherchent?

     

     

    THEURIC

  • De la suite dans les idées.

    Avant-propos:

     

    Je vais faire un petit travail de flemmard en copiant/collant quelques textes que j'ai pu laissé en commentaire sur le site de Monsieur Lordon ( -La-pompe-a-phynance- ) dont les thèmes centraux tournent autour de la plus que crise mondiale qui se développe, des derniers événements grecs et de deux partis politiques, l'U.P.R. de Monsieur Asselineau et le P.G. de Monsieur Mélenchon en faisant également un bref détour autour de la nation et de la patrie.

     

     

    De la nation et de la patrie

     

    En fait, nous nous retrouvons en but avec divers pièges historiques et celui dû à la notion de nation est de première importance.

    Déjà, je fais la part entre nation et patrie la notion de patrie me semble également importante, cela parce que, me semble-t-il, patrie et nation semblent se confondre.

    Mon intuition ne me trompais pas, les origines de ces deux mots sont différents bien que tous deux soient latines :

    - Nation : du latin "natio", dérivé de ("nasci", naître), "ensemble d’individus nés en même temps ou dans le même lieu, nation", ( 1789 dep. la Révolution : « personne juridique constituée par l’ensemble des individus composant l’État... ), (définition emprunté là : [ http://www.cnrtl.fr/etymologie/nation ], étant entendu que les définitions que j’en copie ici comme en-dessous sont moindre que celles proposées sur le site du C.N.R.T.L., lié au C.N.R.S. ;

    - Patrie : du latin classique "patria",« pays natal, sol natal », ( 1770 la patrie de « le pays, le lieu où l’on rencontre par excellence certaines choses, certaines personnes, etc. » (Buffon, Hist. nat. des oiseaux, t.1, p.438). ), ( 1516 « nation, communauté politique à laquelle on appartient ou à laquelle on a le sentiment d’appartenir » ), ( http://www.cnrtl.fr/etymologie/patrie ), idem.

    Comme nous pouvons le voir, nation et patrie renvoient au peuple pour le premier, au sol pour le second, bien que pour ce dernier cela ait été, durant l’histoire, moins flagrant.

    Il est tout de même un fait que les latinistes, nombreux aux XVIII° et XIX° siècles, faisaient, étymologiquement, une net distinction entre le premier et le second mot.

    Alors, je pose la question, qu’est-ce qui est le plus dangereux, la notion de nation ou de patrie, le peuple ou le sol, nasci ou patria (autrement dit la terre du "pater", du père [ça c’est une traduction de mon propre chef, mais tellement tentante]) ?

    N'est-il  pas dit que le nationalisme c'est la guerre?

    De ce fait, je me demande si, par hasard, cette notion de nation ne fut pas instrumentalisée, même inconsciemment, quand, dans le même temps, celle de patrie est elle totalement étouffée, pourtant la relations entre la nation et la patrie se devraient d’être philosophiquement approfondis, non ?

    Je pourrais rechercher, pour cette double mise sous le boisseau, de quelconques origines manipulatrices, mais je n’y crois guère.

    Je pencherais plutôt vers un processus naturel de la nécessité inconsciente d’écarter, sous une forme et une autre, ces deux importantes notions pour pouvoir mettre en place le rêve d’une Europe à l’américaine, ceci sensible à la lecture du sigle de l’euro comparé à celui du dollar : ( € ) : ( $ ), où nous pouvons remarquer le trait supplémentaire barrant la lettre symbole de ces deux monnaies, barre se retrouvant dans le "y" du yen ( ¥ ) et, plus amusant encore, dans le "L" de la livre sterling ( £ ).

    Ainsi, je pose ces deux notions symboliques que sont la nation, plutôt républicaine et dès lors d’une gauche à l’ancienne, et celle de patrie, plutôt bonapartiste, d’une droite renouvelée comme étant de nature universelle.

    Je conjecture également que le rejet de ceux-ci est dû à ces deux illusions que sont cette monnaie bringuebalante, j’ai-nommé l’euro, et une Union-Européenne mourante bien que toujours toute puissante, chapeautés par un empire U.S. se désintégrant et une Allemagne vieillisante.

    Mais allons plus loin dans la recherche de ces pièges historiques qui, aujourd’hui encore et de plus en plus, nous empêche d’avancer.

    Ainsi, si nous observons bien la large époque ayant accouchée de la révolution française puis des V républiques (en tant que démocrate j’en appelle à une VI° permettant aux assemblées délibératives, au peuple et aux populations un plus large droit de décision, soit de devenir une réelle et adulte démocratie) et en cela en nous aidant des écrits de Monsieur Todd, pour qui la démocratie émerge, plus ou moins violemment, lorsqu’une proportion non négligeable de la population est alphabétisée.

    Prenant en considération de ce qui me parais être un fait, je me suis demandé si, en fin de compte, la révolution française ne fut pas, en réalité, une double révolution, celle des deux tiers du peuple, celle du grand bassin parisien et du sud-est (toujours Emmanuel Todd) et, dans le même temps, celle du pouvoir d’argent de l’époque, soit la bourgeoisie.

    D’une certaine façon, celle de Robespierre se confrontant à celle de Danton, et ce serait cela qui fit que cette révolution mangeât ses enfants, puisque celle-ci fut, en réalité, en confrontation duale.

    Que la bourgeoisie d’il y a deux siècle ait historiquement repris et instrumentalisé les conceptions de nation puis celle de patrie n’est plus, dès lors, à m’émouvoir, qu'elles soient rejetées aujourd'hui non plus.

    C'est pourquoi je peux affirmer que le nationalisme et le patriotisme ne sont pas la guerre mais qu'ils peuvent être facilement outils de propagandes et de manipulations

    Mais, plus avant, partant de ce principe de dualité, nous pourrions nous demander si, dans le fatras idéologique qui émergeait au XIX° siècle, deux mouvements distincts ne pourraient pas être distingués, ceux intrinsèquement liés à la révolution ainsi que les réflexions qui y sont liés, d’où, entre autre, sont sorti le socialisme libertaire qui donna l’anarchisme, et aussi un républicanisme vrai et un bonapartisme affaiblit d’avoir porté Napoléon III.

    Mais, tout autant, tout un ensemble de mouvements se sont également développés accompagnant la monté en puissance irrésistible de la bourgeoisie, soit en pour, soit en contre, en une pensée tournée vers la prépondérance de l’économie sur toute autre considération, même politique, qui se sont cristallisés dès le début du XX° siècle par les divers partis politiques qui ont agité ce siècle, soit, aujourd’hui, tous les partis, hormis, de ceux les plus connus, l’U.P.R. et, dans une dynamique de refondation, le P.G..

    Tous les autres disparaîtrons à leur rythme dès que le système s’effondrera sous le poids de ses infinis paradoxes.

    Ces partis politiques "officiels", du P.C. au F.N., en passant par Lutte-Ouvrière, le P.S., l’U.D.I. et l’U.M.P..., se sont tous historiquement construit autour des mêmes présupposés, ne posant pour seule légitimité que celle économique, en positif ou en négatif, sous une forme, le libéralisme, ou une autre, le communisme, ainsi que toutes leurs variantes, dorénavant, qui ne représentent plus qu’un même amalgame, complexe bien que plus semblable que différent, puisque ce qui les sous-tendait, soit une survalorisation d’une pensée centrée sur l’économie, n’est plus représenté que par le seul néolibéralisme.

    Vous faisant remarquer que celui-ci ne pose aucun problème à une Chine qui, en vrai, reste communiste, puisque le communisme et le néolibéralisme sont de même essence, mais qu’en revanche, nombre de pays d’Amérique-du-Sud ainsi que la Russie, eux, ayant fait le tour de l’ensemble de ces idéologies économistes, ont tendance à s’éloigner de ce formalisme dogmatique.

    Il est aussi à noter l’unité de discours officiel qu’il est possible de surprendre entre celui, passé, de l’U.R.S.S. et celui, présent, de l’U.E., unité dont le sens devient évident si nous considérons que cette unité de discours entend, en réalité, une unité dogmatique historique représentant les deux faces d’une même médaille.

     

    De la pensée sur l'Union-Européenne:

     

    En cet heure d’obscurantisme béa où tout se confond avec tout, où le progrès n’a d’horizon que le porte-feuille boursier et la raison celle du plus fort et du plus riche, où art se conjugue avec vulgarité et sottise avec intelligence, désirer comprendre la réalité dans sa complexité c’est être considérer comme un fou, un ennemi de l’état ou, au mieux, comme un doux rêveur.

    La réalité est que nombre de gens qui, jusqu’à présent, étaient juste réservés au sujet de l’euro et de l’économie mondiale, ne voyaient pas les États-Unis-d’Amérique et l’Allemagne comme deux réels soucis pour les équilibres mondiaux, ne concevaient pas la situation économique internationale comme étant calamiteuse, aujourd’hui se radicalisent à tel point qu’ils font passer Monsieur Mélenchon pour un gentil social-démocrate à peine réformiste.

    La vérité, en cela est simple: sont considérés comme extrémistes, droite ou gauche, ceux affirmant vouloir que leur pays se débarrasse de l’U.E., l'€. et l'O.T.A.N. et sont jugés à tord radicaux ceux voulant réformer l’Union-Européenne (il est de ces paris stupides...).

    Syriza radical de gauche est l’une des plus belle ânerie qui fut proférée par une majorité de journaliste qui, à longueur de temps, en déblatèrent pourtant de joliment sévères.

    Leur suffisance n’a d’égale que de leurs insuffisances.

    Or, quand un pays se trouve à lentement se détruire au sein d’un système, ici une union, d’un tel triple blocage, institutionnel, idéologique et politique, cela ne peut que conduire un état sérieux, à un personnel politique raisonnable au pouvoir qu’à deux solutions et deux seulement :

    - Soit quitter le-dit système ;

    - Soit attendre qu’il s’effondre et de s’y préparer, discrètement si cela s’avère nécessaire.

    De plus, maintenant la question n’est pas de savoir si l’Union-Européenne peut s’effondrer mais quand il le sera.

    Il faut savoir que jamais cette union n’aurait pu se construire sans sa domination totale des U.S.A., elle est sa chose, sa créature, comme le Front-National est celle de Jean-Marie Le Pen.

    La disparition, voire simplement le fort affaiblissement, de ce pays ne pouvant que signer l’inéluctable fin de cette supercherie qu’est l’U.E.€..

    Or, les dernier événement grecs ont montré, pour ceux qui y ont porté un œil un tant soit peu attentif, que cette défaite du gouvernement hellénique fut, surtout, plus encore,  celle terrible de celui des étasuniens.

    Encore faut-il se souvenir de la Supplique de Monsieur Obama envers la Troïka de ne pas plus ruiner la Grèce, de la laisser respirer.

    Lui qui fut contraint, ensuite, d’appuyer la même pour convaincre Monsieur Tsipras d’accepter sa reddition sans condition.

    Là il est loisir de comprendre que le gouvernement U.S. avait perdu la face, l’avant-dernière petite chose qu’il conservait encore de son pouvoir passé.

    Sa monnaie et son armée n’ayant désormais plus la puissance sur laquelle il pouvait auparavant compter.

    Ne lui reste plus que Wall Street, la rue du mur, au-delà de laquelle, il y a longtemps, se vendait les esclaves.

    Plus vraiment de respectabilité, d’armée, de monnaie, d’industrie, lorsque sa bourse flanchera, s’en sera fini des U.S.A. et l’Union-Européenne ainsi que l’O.T.A.N. suivront.

    Accompagnés d’une économie mondiale montrant déjà des signes de déliquescence avancée.

    Alors, à ce moment là, quels seront les réactions de nos responsables économico-politiques ?

    Il faut, là encore, bien comprendre que, contrairement à l’ancien bloc de l’est où il devenait commun de ne plus croire au paradis futur du socialisme, la croyance américanolâtre, capitalinolâtre, eurolâtre et uniolâtre reste aujourd’hui encore puissante en Europe, hormis chez les petites gens et la basse classe-moyenne, ceux qui souffrent le plus des délires ordo et néolibéraux (bien qu'une évolution en ce sens puisse commencer à fortement se sentir dans l'intermédiaire à haute classe-moyenne).

    En France, ne sachant pas de ce qu’il en est des autres pays, les classes-moyennes intermédiaires et hautes fantasment toujours, pour une bonne partie, d’un Éden à venir grâce au capitalisme libéral et d'une paix éternelle sous le joug bienveillant d'une sage Union-Européenne, ou pour le moins d’une U.E. réformable et, dès lors, réformée en sociale-démocratie pour un lendemain incertain et indéfini (autre pari stupide), quel qu’en soit le prix.

  • De petites idées en goguette...

    Bon ben, je suis allé voir le graphique de l'évolution des prix des matières premières produit par l'I.N.S.E.E. et, comme je l'avais supputé précédemment, ils recommencent à descendre ( theme.asp?id=18 ).

    Ce qui veut dire que la désindustrialisation reprend son cours après la brève accalmie du printemps et du début d'été.

    Ceci dit, ne m’appesantissant pas réellement directement sur des questions économique désormais inéluctables, soit l'effondrement de la globalisation économique, thème que j'ai déjà mainte fois traités, mais je vais ici m'essayer de préciser ma pensée sur des sujets parallèles, ceci pour  affiner notre perception de cet effondrement de l'économie-monde.

    Je vous propose aussi que nous allions rapidement nous balader sur les chemins sinueux de la géostratégie, puis d'aller faire une promenade, toujours aussi rapide, au sein de l'empire U.S. et de sa colonie principale, l'U.E., ensuite, nous verrons bien les thèmes qui émergeront, pour l'instant, je n'en sais pas, en cela, plus que vous...

    P1000840.JPG

    Les composants de la ruine universelle:

     

    C'est hier au soir, en allant me coucher, que je me suis demandé si je ne devais pas, pour comprendre ce processus de ruine universelle et tenter d'en percevoir l'évolution, commencer par décomposer ce système en ses composants les plus importants.

    J'en ai décompté huit: les états et unions, les banques centrales, les hypers-productions monétaire, la désindustrialisation internationale, les banques et fonds spéculatifs et de pensions, les crédits, les bourses et actions spéculatives, et enfin, les bulles spéculatives.

    En fait, je ne me soucie plus des acteurs puisque ceux-ci n'agissent plus mais ne font que réagir aux événements, quand bien même certains tenteraient une quelconque action pour tenter de redresser la situation déplorable dans laquelle se trouve le système économique globalisé, ils ne feraient qu'en accélérer l'échéance funeste.

    1) Les états et unions: pour pouvoir rembourser leurs dettes, ils font naturellement monter les impôts et baisser leurs dépensent, ce qui accélère la désindustrialisation.

    Dans le même temps ils emprunte en négatif, ce qui veut dire que ceux leur prêtant de l'argent doivent en plus leur en donner, ce qui pose d'énormes soucis aux assurances-vies et autres fonds de pensions qui auparavant versaient les intérêts de leurs fonds grâce à ceux des prêts faits aux états, comme ceux des retraités, merci à notre retraite par répartition (voir aussi à quelle date apparue en France les assurances-vies et les retraites complémentaires par capitalisation, il me semble qu'une partie de nos dettes d'états se trouvent dans nos poches).

    De plus, pour sauver leurs banques, ils ont  autorisé celles-ci à IMGP0447.JPGponctionner les comptes des particuliers si elles se trouvaient en mauvaise posture, ce qui ne  saurait tarder, ce qui a fait que nombre de gens ont utilisé leurs économies pendant le printemps et, de façon moindre, en ce moment pour les vacances, d'où le renouveau de la baisse des prix des matières première après leur légère remonté printanier.

    Ils ont aussi créé de toute pièce des banques poubelles pour y jeter toutes les crasses qu'ont accumulé les établissements bancaires tels que des crédits, créances titres titrisés et autres joyeusetés dans l'espoir illusoire que seules ces banques poubelles feront faillite.

    2) Les banques centrales: elles inondent le monde de monnaies, autant pour tenter de renflouer les banques que pour acheter les actions qui se cassent la figure (ce qui est une nationalisation larvée) et, cerise  sur le gâteau, elles vont distribuer de ces monnaies hyper-produites aux populations.

    Tout cela étant naturellement hyper-inflationniste là où cette monnaie parvient, puisque la valeur d'une monnaie est directement proportionnelle à la masse monétaire en regard de la richesse du pays ou de l'union qui l'émet, P.N.B. et non pas P.I.B. bien sûr.

    C'est pourquoi,  si il y a un hélicoptère monétaire, comme il se ditP1000668.JPG sottement dans ce milieu, soit la distribution pour tous de cet argent gratuit, dépensez tout le plus rapidement possible parce que rapidement il ne vaudra plus rien, comme vos paies, retraites et autres émoluments et aides.

    De plus elles prêtent cet argent aux banques à 0% d'intérêt, ce qui montre bien qu'il n'a plus de valeur.

    3) Les hyper-productions monétaire: en faisant perdre aux monnaies leur valeur intrinsèque, cela génère une inflation égale à leur production là où elles sont utilisées.

    De plus, cela encourage certaines entreprises spéculatives de racheter des entreprises avec cette monnaie de singe pour en pomper leurs richesses, ce qui accélère la désindustrialisation mondiale.

    4) La désindustrialisation internationale: sujet abordé maintes fois ici, débuté lors du rapport de force entre l'U.E. et la Grèce qui a amené à l'appauvrissement de cette dernière, ce qui a largement  suffit à littéralement vider les entreprises de leurs clients.

    En fait, ce processus n'attendait, si je puis dire, qu'un événement relativement mineur survienne pour débuter, même si, pour les grecs, leur ruine n'est pas un événement mineur, cela va de soit.

    P1000896.JPGSon origine est à rechercher  dans le déclassement et l'appauvrissement des ouvriers et classes-moyennes dû à la fermeture et/ou exportation des entreprises dès la fin des années 70.

    5) Les banques, fonds spéculatifs et de pensions: Tous sont ruinés, officieusement mais pas encore officiellement, tout le monde le sait, du-moins ceux se trouvant aux manettes politiques et économiques des pays.

    Sinon les Q.E. n'auraient jamais existé.

    Nous pouvons les voir s'agiter en tous sens pour tenter de sauver leur existence, jusqu'à, il y a peu de temps, une proposition de crédit à la consommation, de je ne sais plus laquelle, à 0,5% d'intérêt.

    6) Les crédits: en fait, ce qui est rigolo dans cette  histoire c'est que tout le monde a des dettes, du particulier aux états, des banques aux assurances, des fonds machin chose aux industries..., enfin, tout le monde, quoi.

    7) Les bourses et autres actions spéculatives: plus rien ne vaut quoi que ce soit, gangréné par les surproductions monétaires, les planches àP1000812.JPG billets, puisque plus personne ne connait la valeur réelle des actions achetées grâce aux hyper-productions monétaires sus-cités, ceci dues, à l'origine, à ce que, en 2008, il fallait bien les sauver, leurs directoires desquelles ayant pleurés dans le giron des gouvernements et de leur chef pour que ceux-ci sauve leur cul.

    Ce sont ces mêmes banquiers, qui avaient conduit leur banque et le monde à la banqueroute et qui  avaient fait l’aumône aux états, qui, aujourd'hui, accusent les  banques centrales de ruiner le monde de leurs hyper-productions monétaires.

    Ces hypocrites, parfaitement incompétents pour la plupart, paieront un jour leur forfaitures de leur ruine..., mais aussi de la nôtre.

    Enfin, là encore, le fait amusant est que le rachat par les banques centrales des actions génère une nationalisation qui ne dit pas son nom, même si c'est grâce à la planche à billet.

    8) Les bulles spéculatives: la plus belle est celle industrielle, mais celle-là n'a rien à voir avec celles qui ont traversé ce début de XXI° siècle, en fait, je devrais plutôt parler de bulle des baisses salariales.

    Parce que, en fin de compte, ce sont les salaires des gens, les bénéfice des P.M.E./P.M.I. et des grandes entreprises qui font fonctionner l'économie et non pas les énooormes fortunes qui, elles, les détruisent.

    P1000130.JPGLes autres bulles, gigantesques, imploseront/exploseront lorsque la désindustrialisation mondiale sera arrivé à un point tel que cela stoppera totalement toutes les activités économiques, régionales, nationales et mondiales.

    Ensuite la reprise se fera d'abord régionalement, puis nationalement et enfin à l'échelle internationale, il est à craindre que la remilitarisation du monde en deviendra l'un des ferments les plus puissants.

     

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    Champ idéologique et économisme dogmatique:

     

    Un champ idéologique est un système doctrinal complexe composé d'une doctrine de base, de son inverse et d'un ensemble de nombreux composants gravitant autour de ses deux fondements en des positions subtiles, contradictoires et complémentaires.

    Il est difficile de s'abstraire de celui-ci et ceux qui le font, par nature ou par réflexion, seront irrémédiablement chassés de la sphère des conversations et des  questionnements collectifs, non pas par méchanceté mais plus sûrement par incompréhension.

    Un champs idéologique, et non pas un mème, bien plus restrictif, est donc, dans leP1000771 - Copie.JPG même temps, un phénomène individuel et collectif puisque c'est autour de quoi va se structurer la pensée commune mais aussi la position politique, religieuse, économique, scientifique, artistique...etc... de chacun.

    Nous pouvons donc spéculer du fait qu'un champ idéologique est fait de la somme des croyances d'une époque et d'un lieu donné en un tout dual et composite en une dualité contradictoire et complexe, dont la remise en question ne peut que se révéler difficilement envisageable.

    De plus, s'y intègre, lorsqu'il atteint sa toutes puissance, l'ensemble des connaissances et savoirs sociétaux, ce qui fait  que c'est le-dit champ qui définira pour tous la réalité de ce qui est compris et su.

    C'est cette complexité du champ idéologique, toujours largement majoritaire, qui le rend difficilement discernable pour celui le vivant en son lieu et son époque, ne serait-ce du fait qu'il soit quasiment impossible de le questionner publiquement, même lors de discussion informelle entre amis.

    Un champ idéologique, tout comme un mème qui n'est, après tout, que le nom donné aux composantes de celui-ci en tant que croyance constitutif au-dit champ, a une  existence propre en ceci qu'il nait, évolue puis s'intègre, avec le temps, à l'inconscient social ou disparaît totalement.

    Celui dont nous causons ici nous concerne directement puisque c'est sous son emprise que nous vivons et  que je nomme l'économisme dogmatique.

    P1000825.JPG

    L'économisme dogmatique est le champ idéologique faisant considérer l'économie comme étant la composante essentielle de toute société moderne et démocratique (ce que nous pouvons voir comme étant faux, démocratie et économie de marché étant deux choses tout à fait différents) au-delà de tout autre domaine et composante de la vie sociale.

    Nous pouvons remarquer que celui-ci s'exprime de manière différente suivant les lieux, les milieux, les thèmes abordés mais que diverses mèmes le composant seront niés ou affirmés suivant la personne avec qui nous pouvons échanger.

    Mais, au total de l'ensemble de ces  discours paraissant contradictoires se révèle,  en fond complémentaire, de même schème.

    La particularité de notre époque, et ceci en raison de l'effondrement idéologique ne se produisant pas seulement en France mais  bien partout dans le monde, est que le champ idéologique existant, l'économisme dogmatique, tend à réduire son  ensemble conceptuel en y intégrant les traits les plus représentatifs des structures d'états du XX° siècle, à l'exemple du fonctionnement institutionnel de l'Union-Européenne ressemblant à s'y méprendre à celui de l'Union-des-Républiques-Socialiste-Soviétique, de cette alliance de l'U.E., des U.S.A. et de l'O.T.A.N. avec les nazis ukrainiens ou du rejet de 70% de la jeunesse étasunienne de la société de marché, centre  doctrinal, depuis ses origines, du fonctionnement des Etasunis...

    Ce sont ces signes, avec d'autres, qui me permettent de conjecturer cet 100_1633.JPGeffondrement idéologique actuel, et son inintelligibilité quasiment total rend son processus invisible.

    C'est bien d'être parvenu à la fin de son dynamisme évolutif qui génère son effondrement de part son autodestruction, tant doctrinal qu'effectif, c'est pourquoi considérer, comme je le fais, l'économie monde comme étant en plein dans un mécanisme de délitement ne pouvant que conduire, d'abord à son arrêt total dans un laps de temps proche, puis, par  phases successives et au  fil des années et de  quelques décennies, à l'anéantissement définitif de ce-dit champ idéologique et des bribes d'économie globalisées subsistant encore, ne me peut que me paraître de la plus pure des logiques.

     

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    Rapide visite en terre géostratégique:

     

    Je soupçonne, comme j'ai pu déjà l'écrire, l'empire U.S. de vouloir démembrer l'Union-Européenne, ce qui a déjà commencé lors du référendum britannique (et qui rend compréhensible les étranges erreurs de Monsieur Obama consistant à s'en mêler en en intervenant au pire moment pour les eurolâtres anglais).

    L'attente annoncée du gouvernement de sa très gracieuse majesté de déposer sa demande de sortie de l'U.E. par l'article 50 de sa pseudo-constitution serait, à mon sens, un moyen de désorganiser l'union en laissant sa direction dans l'expectative.

    Si en cela  j'ai raison, alors cette demande sera déposée à un moment où personne ne s'y attend.

    De plus, cela ne pourra pas ne pas s'accompagner d'un début de IMGP0335.JPGdéstabilisation des partis de gouvernements français, P.S./U.D.I./L.R./F.N., ceci a fin de rendre éligibles les courants anti-U.E. lors des élections présidentielles, ce qui, en ce cas, ne devrait pas tarder à survenir.

    Les raisons pour lesquelles les Etasunis

  • De la catastrophe économique qui vient.

    Ce libellé manquant singulièrement de structure, je l'ai retiré hier pour le corriger et l'améliorer.

    P1000752 - Copie.JPGDe plus, je vais rajouter un long préambule à l'avant propos ci-après.

    La folie collective de l'époque n'est certes pas vraiment pire de celle qui a pu se prévaloir par le passé, les deux guerres mondiales sont là pour nous le démontrer.

    Mais bien que différente, elle ne peut que laisser l'Homme de bien intrigué par les diverses incohérences qu'elle ne se lasse d'insuffler dans l'esprit de chacun.

    Les exemples sont multiples des croyances de l'époque que les professionnels sérieux n'ont que de cesse de tenter d'en démontrer l'inanité.

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, la validité et l'efficacité de l'euro, la nécessité et l'impérieux besoin géopolitique de l'Union-Européenne pour faire face aux géants que sont la Russie, la Chine et d'autres, la possibilité de réformer la même union, l'économie comme étant l'élément primordial et quasiment unique pour toute politique, l'Union-Européenne comme étant d'essence démocratique, le calcul du P.I.B. comme étant d'une bonne efficience économique, le chômage funeste pour l'économie et non pas les très très bas salaires qui eux lui seraient bénéfique du moment qu'ils feraint baisser ce chômage...etc...etc....

    Ces quelques illustrations ne pouvant que nous montrer combien ces croyances sont autant délirantes, fallacieuses que dangereuses.

    Mais plus encore, pour l'immense majorité des gens professant ces allégations fausses, dominant partout dans le monde et, ce, à toutes les échelles hiérarchiques des sociétés humaines, il s'agit de concepts inconscients ne renvoyant à aucune observation empirique et/ou d'expérimentale.

    Tout au contraire, les études pondérées et soigneuses faites sur ces sujets et sur bien d'autres montrent et démontrent que ces concepts faux expriment l'inverseP1000831.JPG que ce que peuvent révéler ces études.

    C'est cette dichotomie entre la réalité et cet ensemble de fantasmes collectifs qui révèle cette époque de transition que j'avais précédemment évoqué ( transition-5920286.html ) et que, déjà, dans les années 50, C.G. Jung décelait dans le livre "Présent et avenir" ( present_et_avenir_poche.htm ).

    Il s'agit, en réalité, d'une scission névrotique collective entre les couches profondes et structurantes inconscientes des Êtres Humains, symboliques et archétypales, soit notre inconscient collectif, et la réalité technologique et culturelle, bâtie sur une base d'acculturation profonde, des sociétés.

    Ceci explique pourquoi nous pouvons nous confronter à des réactions parfois violente lorsque nous abordons l'un des multiples thème structurant ce vide symbolique actuel en les remettant en question, même de manière modérée.

    Si, par exemple et de la même façon, telle ou telle décision semble être prise consciemment pour tenter de ralentir l'effondrement de cette globalisation économique si malade, n'en croyez rien, il s'agira juste de décisions inconscientes pour que perdure ce système de pensée plus que de celui de l'économie, inconscient qui, dans le même temps, offrira à la conscience de ces acteurs la justification de leurs actes, qu'elle soit logique ou qu'elle ne le soit pas.

    Justification reprise en cœur par les chroniqueurs des médiats officiels, se déchargeant là à bon compte d'un poids d'incohérence intellectuel trop pesant.

    Comprenez bien que je ne suis pas quelqu'un pensant que nous devrions revenir aux temps passés, à la voiture à cheval, à la bougie et à la prière du dimanche..., pour ce dernier n'ayant rien pour ni contre le retour au catholicisme.

    De plus je suis athée dans le sens premier du terme, soit qui n'a pas de dieu.

    Toutefois cette scission névrotique devrait, en Europe, se résoudre peu ou prou par un renouveau de la religion originel de chacun des peuples, sous une forme différente à celle passée, cela va de soit.

    Mais en attendant, la catastrophe économique qui se développe, sujet de ce rédigé, ne peut être prise en considération que par une minorité de personnes et, ce, pour les raisons invoquées plus haut.

    IMGP0198.JPGCe sera le choc dû à ce phénomène qui, progressivement, renouera, sous une forme ou une autre, nos liens d'avec les profondeurs structurantes et originelles de notre psyché.

    Et qu'ensuite, plus tard, se reformulera, évoluera cet ensemble d'expression symbolique d'antan plus à même de nous offrir à nous autres, Homo Sapiens Sapiens, les capacités de nous adapter au mieux à des transformations sociétales qui n'en sont, aujourd'hui, qu'à leur tout début.

    Il est à noter que ceux saisissant cela aujourd'hui sont les précurseurs d'un mouvement qui deviendra général, bien qu'une infime minorité en ont et en auront pleinement conscience, il n'est pas à en tirer gloriole et de se penser élite au-dessus de la masse, il s'agit là d'un mécanisme humain tout à fait naturel.

    De plus, chacun de ces précurseurs, dont nous sommes, amis lecteurs, conservent pour l'instant, sans le savoir, une partie, même infime, de cette masse de croyances actuelles, sans quoi ils seraient totalement asociaux, leur, notre survie sociale est à ce prix, du-moins pouvons-nous ne pas en être dupes.

     

    Il est nul besoin de s'affoler lorsqu'un événement catastrophique mais prévisible est annoncé, s'y préparer au mieux, calmement, méticuleusement, ne peut qu'en être la meilleurs des réponses.

    Il en est ainsi dans les régions où sévissent régulièrement des cyclones ou des tremblements de terre par exemple.

    Il en est de même pour l'actuel effondrement progressif et dramatique de l'économie globalisée.

    Pour ce qu'il en est des causes, j'en ai déjà discuté maintes fois ici, elles sont multiples et plutôt simples à définir: Désindustrialisation occidentale dès les années 70, suivit maintenant par les pays dits émergents, monté en puissance des crédits et des dettes de tous pour tous (avec le P.I.B. comme  tromperie universelle) pour tenter de faire survivre les états et les banques, ouverture puis béance des frontières, appauvrissement puis déclassement des classes-moyennes, monstrueux enflement des bourses, hyper-productions monétaires...etc...etc... .

    P1000866.JPG

    Toutes ces causes tendent aujourd'hui à accélérer leur développement, ce qui montre que ce processus de faillite généralisée se rapproche de nous.

    Lorsque cela surviendra, ses effets primaires seront, me semble-t-il, facile, là encore, à identifier, thème sur lequel, là aussi, je vous ai également entretenu: Les monnaies auront perdu leur valeur intrinsèque, impossibilité de les apprécier les unes, les autres et, ce, à l'international et au régional, arrêt quasiment total des transports mondiaux, aérien, maritime et terrestre, arrêt concomitant des usines et fabriques, surtout celles spécialisées essentiellement pour l'exportation...

    En revanche, les effets secondaires, ceux qui, somme toute, nous intéresseront au premier chef puisque ce seront eux qui nous toucheront de plein fouet, sont plus ardus à définir, d'autant plus qu'ils auront tendance à évoluer le temps passant.

    Ce sont eux que j'ai décidé d'étudier avec vous aujourd'hui, eut égard au fait que je peux avoir oublié tel ou tel de ces effets futurs, bien sûr.

    PICT0111.JPGAlors, allons y voir.

    Pour le moins, les banques françaises, européennes, étasuniennes ainsi que les oligarques des mêmes lieux furent fort mal avisés d'avoir choisi l'infant Macron pour succéder au mol Hollande à la Présidence de la République.

    Certes, lui et son cerbère Philippe rempliront scrupuleusement le contrat qu'ils passèrent avec eux, sans prendre en compte la psychosociologie particulière du peuple français, prompt à la sédition, à la révolte et à la révolution dès lors qu'il a le sentiment d'avoir été trahi par ceux qui le gouvernent.

    Et peut-être même de l'avoir fait élire mènera définitivement le monde de la financeP1000753 - Copie.JPG à sa banqueroute du fait de l'ingouvernabilité (néologisme) du pays vers laquelle cette simple élection mène déjà.

    Ceci dit, analysons donc les fameux effets secondaires de cette totale banqueroute dès lors qu'elle se présentera à nous.

    Au tout début, les prix des carburants baisseront avec une telle rapidité que la hausse de leurs taxes ne viendra pas contrebalancer cette baisse des tarifs.

    Cet effet sera probablement l'un des plus visibles avec, aussi, la difficulté qu'auront les grands-magasins de renouveler leur stock de marchandise, ce qui laissera nombre de rayon progressivement s'évider, là encore, ce phénomène pourrait très bien être si abrupt que leurs responsables n'auront pas le temps de reconfigurer leur magasin.

    (D'ailleurs nous vîmes quelque chose de semblable l'été dernier lors du début de déroute de la bourse chinoise, qui pris fin dès que la Chine fit ses propres Q.E..)

    Dans le même temps, nous apprendront que les banques centrales de quasiment tous les pays inonderont le monde de leurs hyper-productions monétaires.

    Simultanément, les gouvernements débuteront ce qui se fait appelé des hélicoptères monétaires, soit des Q.E. tournés vers les particuliers que nous sommes.

    En un mot comme en cent, on nous refilera de l'argent pour un rien, comme ça, IMGP0088.JPGpour nos beaux yeux.

    Lorsque ça arrivera, si, bien entendu, cela arrive, sait-on jamais, ces gens sont peut-être moins sot qu'ils en ont l'air, alors et quoi qu'il en soit, ça signera le début de la fin pour le système économique globalisé.

    La raison de cette décision, cet hélicoptère monétaire, est très simple à comprendre: voyant que l'industrie mondiale se ralentit fortement, l'oligarchie fera cette folie pour tenter de la faire repartir, sans comprendre que si ce système se grippe c'est en raison des béances frontalières de l'immense majorité des pays et de la ponction des richesses des populations et des pays au travers des bulles spéculatives, phénomène toujours liés aux crédits, et, donc, des intérêts dus par les emprunteurs à leurs créanciers (sachant que la majorité des créanciers sont tout autant emprunteurs).

    Donc sa seule résultante sera que l'inflation ne sera plus cantonné aux seuls jeux spéculatifs et boursiers, via les banques recevant ce pactole (d'où l'apparente stabilité des-dites bourses, même si une quantité phénoménale de monnaie y fut introduite: elle y fut immédiatement détruite aussitôt placée), mais adviendra également dans la vie réelle pour le moindre des particuliers, c'est pourquoi il sera  urgent de dépenser tout cet argent le plus rapidement possible (l'autre solution serait que personne n'utilise cet argent, ce qui bien  sûr est impossible).

    (Il est à noter que l'inflation provient d'une trop grande production monétaire eutP1000755.JPG égard à la richesse réelle et du dynamisme économique du pays émetteur et qu'elle tend à se développer là où ces fonds surnuméraires sont introduits et utilisés.)

    Au début, ce subterfuge fonctionnera à peu près, c'est à dire que la désindustrialisation mondiale ralentira, puis, par la suite, elle ne pourra que reprendre de plus belle.

    Cela étant dû à ce que l'arrivée d'une telle masse monétaire dans les poches des particuliers fera grimpé les prix à un taux égale à cette masse monétaire introduite (les commerces en grandes difficultés feront remonter leurs prix), du fait de sa perte mécanique de sa valeur: il en faudra plus pour acheter la même chose, d'où l'inflation.

    Comprenant confusément l'inanité de leur planche à billet mais se retrouvant dans l'impossibilité de cesser leur création fiduciaire (mot voulant dire à l'origine confiance), puisque sinon c'est l'ensemble du système économique qui s'effondre, les banques centrales n'auront, dès lors, plus d'autre choix que d'amplifier, puis accroitre leurs Q.E., argent qui sera toujours distribué autant aux banques qu'aux particuliers, sans que cela ne sert à quoi que ce soit, pour inutilement tenter de faire repartir une industrie mondialisée désormais atone.

    Au même rythme que se passera cette hyper-production d'espèce, métal, papier et/ou électronique, le système économique globalisé cessera progressivement de fonctionner, autant par le ralentissement rédhibitoire de la circulation monétaire (puisque les gens ne pourrons que de moins en moins acheter par la baisse salariale et la monté du chômage et puisque que les hélicoptères monétaires mèneront à l'inflation puis l'hyperinflation), par la perte de confiance P1000814.JPGgénéralisée dans la valeur des monnaies que par une désindustrialisation arrivée désormais en dessous de son seuil d'échange marchand efficace et bénéficiaire.

    Puis viendra le moment où le commerce international aura arrêté de fonctionner, ce qui fera que tout ce qui n'est pas fabriqué en France ne se trouvera plus en magasin.

    Ce qui nous posera dès lors d'incommensurables problèmes.

    De ces problèmes, cinq me semblent les plus centraux en raison des privations dangereuses pour la population qu'ils produiront.

    Ce seront les carburants, les médicaments,  la monnaie, les communications: internet et le commerce national & international, aérien, routier et maritime, et enfin (si je puis dire) la nourriture, du reste nous pouvons tous nous en passer, du moins momentanément.

    En eau et électricité, nous seront toujours approvisionnés, les circuits de production, de distribution et d'évacuation, bien que fragilisés en France, ne sont pas, et heureusement, dans le même état de délabrement que dans l'empire U.S..

    Bien que la question du chlore, élément central de purification de l'eau, pourrait bien se poser aussi.

    En revanche, l'arrivée du gaz et des produits pétroliers pourrait en pâtir fortement, du-moins dans un premier temps, soit dans les trois à six mois suivant cette catastrophe planétaire, voire pour plus de temps encore pour ce qui en sera du pétrole.

    Alors, je vous propose que nous les analysions, ces cinq tourments (il s'agira bien de tourments),  qui seront les effets les plus délétères de cette faillite généralisée versP1000879.JPG laquelle nous nous cheminons.

    Sachant que je ne saurais dire quel sera le degré d'intensité des problèmes posés par chacune de ces pénuries ni du temps que ces pénuries dureront.

    Cela dépendant de leur taux de carence, voire de leur manque plus ou moins totale, de la réactivité politique et de la qualité d'organisation des hommes et des femmes qui prendront les affaires en mains, que ce soient ceux actuels ou ceux remplaçant ceux qui seront chassé, du gouvernement ou d'ailleurs:

    -La monnaie: quelle soit papier, métal et électronique, nous n'en serons plus pourvu et cela pour deux raison:

                -des deux premiers par le manque des matériaux nécessaires pour leur production, comme l'encre, le papier, les métaux..., puis par les difficultés d'approvisionnement des particuliers, les banques ayant fait faillite, les distributeurs automatiques et les virements automatiques ne fonctionnant plus, il faudra acheminer ces monnaies par transporteurs, à l'ancienne, jusqu'aux plus petites communes, or, sévira le manque de carburant;

             -du second par la pane d'internet à cause de la banqueroute des États-P1000840.JPGUnis-Amérique (j'y reviendrai), c'est pourquoi les virements automatiques ne se feront plus et les machines distributrices de billets ne fonctionneront plus (à la faillite des banques, leur nationalisation y répondra logiquement, tout dépendra ensuite du temps de réponse des autorités pour que celle-ci se produise);

    Cela engendrera autant une désorganisation sociale par le retour au troc, une déstabilisation politique puisque la majorité de nos élus sont d'une idéologique monétariste, sous une forme ou une autre, la difficulté, pour les chefs d'entreprise, de payer leurs employés, sans compter que l'euro ne pourra que disparaître rapidement, mettant fin à l'existence de l'Union-Européenne.

    Les communications et les transports:

    La faillite généralisée mènera logiquement à l'arrêt des transports nationaux et internationaux, maritimes, routiers et aériens;

    Mais plus encore, vu que ce sera aux États-Unis-d'Amérique que les effets de cette faillite risquerait fort d'être les plus violents et que ce pays est, de fait, celui qui accueille la majorité des outils permettant le bon fonctionnement d'internet, la toile pourrait bien, au mieux très fortement ralentir, au pire ne plus fonctionner du tout;

    Si je les ai regroupé sous la même rubrique, c'est que ce sont ceux les deux noyaux durs de la mondialisation, ceux sans qui les échanges internationaux ne peuvent seP1000900.JPG faire;

    Comme pour ce qui concerne les monnaies et leur flux, dont celle circulant en France aujourd'hui, l'euro, les communication et les transports sont les vecteurs premier du bon fonctionnement de la globalisation;

    Or, l'effondrement des monnaies, dû à l'explosion de la multitude des bulles spéculatives, des plus énormes aux plus insignifiantes, et la désorganisation d'échelle mondiale qui s'en suivra rapidement, conduira vitement à la cessation de fonctionnement du commerce et des voyages internationaux;

    Pour le net, son ralentissement ou son arrêt pourrait bien être plus lent, bien qu'en ces choses je n'ai pas les connaissances nécessaires pour prévoir  quels seront les dégâts qu'occasionneraient, aux U.S.A., la disparition de la globalisation économique;

    Toutefois et au vu du peu que je sais de la situation politique et économique des Etasunis, sachant, de plus, que se trouvent là-bas la majorité des machines permettant le bon fonctionnement du web, internet devrait considérablement souffrir du délitement des États-Unis-d'Amérique;

    P1000129.JPGAutant les effets de la cessation d'activité des transports sont faciles à imaginer, ce sont ceux des plus nuisible que j'examinerai avec vous, amis lecteurs, ci-dessous, autant ceux dus au ralentissement, voire à l'arrêt d'internet se perçoivent comme bien moins lisibles;

    La raison en est l'intrication entre l'informatique et des autres outils de communication, du téléphone à la télévision, du courrier/courriel à la radio, de la police à l'administration, des commerces à l'agriculture...etc...etc..., les exemples sont très nombreux où il y a des liens plus ou moins lâches, plus où moins forts entre les flux du web et le reste de la société, en fait, où donc il y en a-t-il pas?

    Qui peut dire ce qu'il se passera dans les administrations, dans les entreprises, chez le particulier, dans les banques, enfin celles nationalisées, si le téléphone, portable et fixe, la radio, la télévision fonctionneront toujours, si les assurances conservent tous leurs contrats sous forme papier...etc...?

    Enfin bref, qui peut dire à présent quelle sera la résultante d'un arrêt, même partiel, d'internet?  Pas grand monde, je le crains;

    Un point toutefois est que les échanges spéculatifs tendant à ne se faire qu'au travers de la toile, par un flux monétaire, contractuel et informatif d'essence purement électronique, tout ce qui ressemble à de la dette, à de la bourse et aux autres échanges monétaire pourraient fort bien disparaître corps et bien;

    D'une certaine façon et en cela, ce sera le monde

  • De la catastrophe politique.

    De catastrophe, j'en prends la définition donnée par le CNRTL du CNRS: "Événement aux conséquences particulièrement graves, voire irréparables; état qui en résulte, ruine, désastre."

    Le sujet principal ici en étant celle politique qui, à terme, mènera à une économique.

     

    Des catastrophes aériennes à celles des chemins-de-fer, l'ingénieries nous a appris que la meilleurs manière d'éviter que d'autres événements calamiteux de même sorte n'adviennent, la meilleurs façon de faire est de les étudier le plus finement possible, d'en tirer un certain nombre de conclusions puis, en dernière étape, d'en promulguer des recommandations qui se devront de se déterminer comme autant d'impératifs.P1030265.JPG

    Or, il est de fait qu'en politique, tout comme en économie, lesdites catastrophes passées ne sont que tout juste étudiées par des historiens sans que, vraiment, les résultats de leurs réflexions soient pris en compte, quand ils n'en sont pas grandement dénaturées, empêchant par là même d'en dégager un ensemble d'expériences que les états tout autant que les populations prendraient en compte.

    Le frein principal en étant les processus psychologiques individuels et collectifs qui nous conduisent aux idéologies unilatéralistes, sous une forme ou une autre, dont nous-autres, Homo Sapiens Sapiens, avons beaucoup de difficulté de nous dégager.

    A de très rares exceptions près nous en sommes tous empreints et, le plus souvent, ceux qui s'affichent et s'affirment comme n'agissant jamais sous le coup d'une quelconque doctrine font preuve, bien plus que quiconque, d'un verrouillage d'opinion important, voire parfois absolu.

    Or, il est de fait que la nouvelle proposition de loi sur les retraites suivit des grèves quasi généralisées peuvent être considérées comme étant du domaine d'une catastrophe autant politique que, pour la suite, économique, tant pour le gouvernement de la France, certes, mais aussi à l'échelle de l'Union-Européenne et celle internationale.

    P1030250.JPGJe serais bien en peine de l'étudier d'une manière approfondie, mais juste pourrais-je en évaluer les causes de façon succincte, peut-être même superficielle.

    Tout-du-moins serait-il bien qu'un collège de professionnels des sciences humaines s'y penche et, en en étudiant aussi les origines, qui remonteraient à mon sens à au moins trois bonnes décennies pour ce qui nous occupe, ainsi que ce qu'a généré, génère et générera ces décisions étasuniennes, oligarchiques, unionistes et gouvernementales en France et dans le monde.

    Il est vrai que d'étudier un accident industriel est plus aisé, parce que plus simple par le nombre réduit de ses intervenants, qu'un désastre politique qui, lui, fait intervenir un nombre d'acteurs et de facteurs infiniment plus importants.

    Ceci d'autant plus quand cela advient en une période, comme la nôtre, où les distinctions professionnelles au plus haut des hiérarchies sociales en viennent à se disjoindre gravement alors que la domination impériale US sur l'Europe, unioniste ou non, est à son zénith, au moment même où ledit empire est en une situation de déclin plus que prononcé.

    Rendant les aléas décisionnels plus difficiles encore à définir.

    Il est toutefois à remarquer que les armées efficaces se doivent, tant pour les questions stratégiques, tactiques, d'intendances, mais aussi, en cas de conflit, P1020008.JPGindustrielles, politiques et sociétales, d'effectuer ce type d'étude en une tradition que nous pouvons faire remonter à la Rome impériale, aux grecs anciens, voire, en chine notamment, en des ères plus anciennes encore.

    Remarquons également que certains choix se fondent sur des appréciations faussées de l'histoire, ainsi les gouvernements allemands successifs considèrent-ils toujours que ce fut en raison de l'inflation des années 20 dans ce pays qui conduisit à l'avènement d'Hitler quand, en réalité, ce fut la déflation due à sa désindustrialisation en raison de la crise de 1929, qui mena à ce que le gouvernement étasunien lui retira ses avoirs, ses prêts, en dollar, au début des années 30 (thèse à laquelle la RDA, l'Allemagne-de-l'Est, adhérait également).

    Une déflation étant industriellement plus destructrice qu'une inflation, sauf si cette dernière provient d'une guerre monétaire comme celle menée par les étasuniens au Venezuela.

    Sachant que c'est la Germanie qui dirige, pour une large partie, l'union, en tant que factotum des USA.

    Nous pouvons donc considérer, me semble-t-il avec raison, que les actuels projets de loi en France, ceci faisant suite du mouvement des gilettistes, sont des catastrophes politique et, dès lors, économiques, dans le sens où leurs effets tant au niveau P1020430.JPGnational, régional et international, aujourd'hui déjà désastreux pour les pouvoirs divers qui dirigent notre pays, mais aussi pour la nation, ne peuvent  que se révéler majeur dans les années qui viennent.

    Pour le moins, comme je ne cesse de l'expliquer ici, appauvrir encore plus la population, ce à quoi nous mène les décisions gouvernementales depuis les trois derniers quinquennats, ne peut que mener et accroître cette désindustrialisation internationale dont je vous fais écho depuis quelques années déjà, ne pouvant que nous conduire à une cessation des échanges économiques mondialisés.

    Ce qui est logique puisque il y a de moins en  moins de gens qui sont dans la capacité d'acheter les objets manufacturés qui sont fabriqués dans les pays pauvres et, ce, à cause de n os béances frontalières.

    L'instabilité politique de la France devient, de fait, majeur et, pour en discuter de temps en temps avec des personnes de rencontre, l'Union-européenne leur est, pour tous, devenue clairement visible et les conséquences de ses décisions considérées désormais autant grandement mauvaises qu'indésirables.

    Les questions frontalières ne sont plus que moins taboues, ce qui, là encore, fragilise une union qui est devenue maintenant voyante, la population comprenant progressivement la nature des GOPE,  l'UE en perd mécaniquement son prestige et P1020967.JPGdès lors son pouvoir.

    Ce que nous pouvons observer là c'est qu'une catastrophe politique est, le plus souvent, un phénomène à développement lent à très lent.

    Mais aussi  qu'elle peut n'atteindre qu'une partie seulement de la société, ici une infime minorité, tendant à se restreindre, de ceux de la population qui ont intérêt à ce que la domination de notre France par ces quatre forces perdure: l'Union-européenne, l'Allemagne, l'oligarchie euro-atlantiste et les Etats-Unis-d'Amérique.

    Tout autant, cette catastrophe peut s'étendre sous forme de crise plus ou moins sévère, ce que nous pouvons facilement conjecturer aujourd'hui, au-delà des limites des frontières des états ou des unions lorsqu'ils en sont affectés, tant économiquement, comme je l'ai rapidement montré plus haut, ainsi que politiquement, ce que le mouvement gilettiste nous avait démontré.

    Le but de ce billet n'était pas de proposer une opinion sur les événements français actuels mais bien plutôt de porter une réflexion sur ce que pouvait être une catastrophe politique.

    Si je prends tout de même une position politique en ce court billet ainsi que dans d'autres, c'est surtout dans le dessein de faire de la contre-propagande en montrant la nature franchement destructrice et autodestructrice des processus mis en place par ceux qui nous dirigent, ce en ne s'appuyant que sur un verbe dévoyé et sur des P1030242.JPGartifices malveillants, pour mener un projet incohérent parce que illusoire et utopique.

    Qui ne pourra jamais, de ce fait, être amener à son terme.

    Tout autant que de montrer qu'il est possible de faire des recherches intéressantes sur ce que peut être ladite catastrophe, ce qui pourrait permettre aux responsables politiques futurs, comme il peut en être des accidents aériens, d'avoir en main les savoirs nécessaires pour éviter de semblables ensembles de décisions absurdes qui se suivent, en UE, de décennie en décennie, et mène maintenant dans le décors leurs promoteurs par le rejet populaire de quasiment toute la classe politique, de l'union, de l'oligarchie et des USA.

    Quoi qu'il en soit, plus tôt nous autres français nous en sortirons, bien mieux nous nous en porterons.

     

     

    THEURIC

  • Le moment de basculement.

    Lorsque une idée nouvelle survient ou qu'un ou plusieurs événements arrivent ayant de mêmes formes, en politique notamment, je m'essaie d'y formuler la dénomination la plus juste pour en montrer au mieux le sens.

    Celui que je vous propose aujourd'hui, "le moment de basculement", désigne l'instant où, d'un système social quelconque, d'un couple à un pays ou à une union, voyant ses instabilités s'accroitre régulièrement en sa dynamique propre, jusqu'à ce que, quand la-dite instabilité atteint un certain niveau, celui-ci passe à un état transitoire, lui aussi dynamique mais de nature différente, précédent un nouvel état lui aussi ayant sa dynamique particulière mais étant une stabilité convenable.

    Cette transition étant très courte au regard de la situation précédent et celle suivante.

    Ces trois phases étant intrinsèquement liées mais sont de propriétés dissemblables, puisque l'essence de la situation qui prévalait en la première partie mute profondément lors de l'avènement du basculement et,P1030194.JPG ensuite, que celle suivant la-dite transition sera en tout points différents des deux précédentes.

    Ceci parce que cette transition entre l'achèvement de la phase du premier jusqu'au début de celle troisième mène en même temps à une accélération du rythme des événements, à ce que ceux-ci, de ce fait, échappent et entrainent les différents acteurs, ce qui les contraint de prendre des décisions dans l'urgence, accentuant continuellement le chaos préexistent et, ce, en une suite soutenue pour tous.

    Tout ceci accroissant les instabilités sans cesse, jusqu'à ce que ce  nouveau stade plus stable s'installe.

    Étant entendu, dans les cas les plus extrêmes, que, d'une certaine manière, une guerre peut être considéré comme ayant sa forme de stabilité, jusqu'à ce qu'un moment de basculement se produise menant à une victoire de l'un ou l'autre des belligérants et/ou à ce qu'une paix soit signée.  )

    A l'exemple, plus ou moins simple suivant qu'il y ait des enfants ou non, du couple où les désaccords de l'un, de l'autre ou des deux conjoints s'enflent, les instabilité en son sein s'accroissent, puis, parfois après une dispute anodine, se séparant, l'un ou l'autre quitte le foyer, suite ou non à un divorce, ce qui est cette période de transition, puis, au bout d'un certain temps, chacun en vient à vivre sa vie avec plus ou moins de fortune et un nouvel état d'existence.

    Je pense qu'il en est de même dans les sociétés et, me semble-t-il, que ce soit en P1020538.JPGFrance ou aux États-Unis-d'Amérique, il serait bien possible que ces deux pays soient entrés dans une telle sorte de basculement.

     

    En France, commençons par notre beau pays, ce sont 2 catastrophes qui m'en montre la forte possibilité en raison de la perte désormais totale de confiance de l'ensemble de la population pour le gouvernement, ce qui rend déjà visible la primauté des décisions de l'Union-Européenne sur celle des choix politiques du pays, les affaiblissant supérieurement dès lors, l'administration de l'un et le gouvernement de l'autre.

    UE que, jusqu'à présent, les trois dernières magistratures et législatures au moins, celle macronienne comprise, occultait, autant en raison du silence des médiats là-dessus que des discours gouvernementaux, de ceux des responsables politiques des partis officiels que de ceux des syndicats affiliés au CES, la confédération des syndicats européens.

    De ces deux catastrophes sont, pour la première, l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen (il est de constater que ceux qui en parlent le mieux c'est le WSWS étasunien et l'UPR  France-quitte, par la voix de  Mr. Asselineau, pour le second c'est oh combien plus logique).

    Pour la seconde, quand à elle, il s'agit de l'attentat ayant eu lieu à  la préfecture de Paris et qui a fait 5 morts, dont l'assassin, plus un blessé grave (il est à noter, là encore, que Tatiana Ventôse, dans cette vidéo, c'est montrée,  quant à elle, en même temps mesurée etP1030229.JPG subtile).

    Ce ne sont pas tant ces événements qui importent ici mais leurs effets sur la population, toute classe sociale confondue, dès lors de l'achèvement de la délégitimation du gouvernement qui avait débuté lors de la gay-pride de l’Élysée du 22 Juin 2018 , ayant contribué à considérer Mr. Macron, à tort ou à raison, comme étant un être sans virilité et, donc, sans caractère, ce qui semble avoir été confirmé par la suite.

    Il est à remarquer deux faits importants:

    1) Aucun des responsables, qu'ils soient ministres, préfet, hauts cadres de la police et élus de la république ne reconnaissent leurs responsabilités dans ces deux affaires en tentant de se justifier, ce qui en politique est une faute gravissime;

    2) Ils se couvrent tous mutuellement à tous les niveaux hiérarchiques, phénomène que j'avais déjà observé quand je travaillais à la RATP et qui signe, à mon sens, leur incompétence pleine et entière.

    Ce qui proviendrait d'un double sentiment contradictoire, celui de reconnaître plus ou moins consciemment leur-dite incompétence tout en considérant simultanément tout le reste du personnel, ou, là, la population, comme leur étant un danger parce que plus intelligent et sérieux qu'eux et, à l'inverse et par compensation psychique, comme faisant preuve d'une grande sottise.

    P1030120.JPGCe qui ne peut que les conduire à un état névrotique plus ou moins prononcé suivant les cas.

    Mine de rien et à mon sens, ces deux affaires survenues à une semaine d’intervalle est égal à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl du 26 Avril 1986 qui sonna définitivement le glas de l'URSS, de ce qu'en dit Gorbatchev avec raison.

    Cela mettra du temps pour que ça s'exprime, tout comme il fallu du temps pour que d'une gay-pride ridicule les gilettiste en viennent à scander: "Macron démission!"

     

    L'autre pays où un tel moment de basculement est possiblement présent ce sont donc les USA.

    Cela est dû à la tentative des démocrates de renverser Donald Trump et des tendances de ce dernier à avoir une réaction agressive lors de toute négociation, voire même en face d'une attaque, ce qui est le cas ici.

    Que je vous résume donc ce que j'ai compris de cette affaire.

    Après un coup de téléphone que D. Trump avait donné au nouveau président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pour éclairer une affaire de corruption dont un étasunien, le fils d'un certain Joe Biden sénateur démocrate, Hunter, serait mêlé à tel point a cette affaire que le-dit sénateur avait, il y a trois ans, fait pression sur le président d'Ukraine d'alors, Petro Porochenko, pour que celui-ci chasse le procureur qui enquêtait sur ces malversations, ici et .P1030088.JPG

    Mr. Biden, sûrement pour protéger son fistounet autant maladroit que malandrin, lança, avec ses collègues, qui eux aussi doivent avoir quelques casseroles au derrière, lancèrent donc le processus de destitution du président US, sous l'accusation d'avoir voulu prendre des renseignements d'un haut responsable US auprès d'un chef d'état étranger (remarquez l'hypocrisie de la chose).

    Il eut été possible pour Maître Coincoin de se taire en attendant que ça passe, bien que je ne pense pas qu'il soit du genre à faire amende honorable, mais sûrement en raison d'un sentiment de puissance, il n'en fit rien et téléphona derechef, là au premier ministre chinois, Xi Jinping, pour  savoir si ce dernier ne connaîtrait pas quelques autres affaires croustillantes au sujet du Joe, cela en l'annonçant à la presse, ce qui, d'après Philippe Béchade, a affaibli grandement sa position.

    Bien que vulgaire, je le pense très loin d'être sot, et s'il a mis ainsi le feu au poudre c'est  qu'il savais très bien ce qu'il faisait (en politique, il ne faut jamais confondre vulgarité, grossièreté et sottise, ce serait d'une immense erreur).

    Il a montré à ses soutiens,  surtout populaires, que ce soit réel ou non, généralisé ou non, que les élus US qui  veulent le destituer sont en même temps menteurs et P1030151.JPGtricheurs, faisant pire que ce que lui-même fait, ceci en toute impunité, pour lui peu importe que la classe politique soit majoritairement honnête ou non, le principal, pour lui, c'est que ces sous-entendus aient fait leurs effets.

    S'il agit de la sorte ce ne peut qu'être que parce qu'il se sent en situation de force et, les connaissant bien, sachant cette classe politique, pour la majorité d'entre-elle, sûrement plutôt lâche, il ira jusqu'au bout, quitte à lancer un touite d'appel aux armes, ce qui ne m'étonnerais pas.

    Je vous renvoie, à ce sujet, à ce que j'avais écrit le 21 Septembre.

    Là encore nous pouvons percevoir un moment de basculement, parce que soit Trump gagne son pari sous forme de ce qu'il faut bien nommer un coup de force, auquel cas les chambres délibératives US se retrouveront à être sous sa botte et il pourra continuer son programme.

    Mais si cela ne  se passe pas ainsi, cela voudra dire que ceux qui sont désignés sous le sobriquet de faucons ou d'état profond, ainsi que l'oligarchie financière, ne se plieront pas à sa volonté, ceci pouvant aller jusqu'à une tentative de coup d'état ou d'assassinat.

    Ceci pouvant même mener à une réelle guerre civile comme je vous en avais déjà P1020252.JPGcausé part ailleurs.

     

    Comme vous le voyez, l'empire US, lui aussi, semble être entré dans un moment de basculement.

    Vous remarquerez son aspect non prédictif où il devient difficile de prévoir les effets des événements présents, en France comme aux USA, ceci étant dû à ce que ce futur dépend maintenant de tous les acteurs en présence, même le plus insignifiant, qui ne peuvent qu'être que très nombreux, ou alors d'une conjecture anodine.

    Il se dit que les gens du nord de l'Union-européenne râle de penser que les taux d'emprunts négatifs des pays ne sont là que pour tenter de renflouer le sud au détriment de leurs économies, quand en vrai ils n'existent que pour tenter de sauver l'euro.

    Bien que cela affaiblit gravement les banques allemandes, françaises, belges, hollandaises, italiennes et d'autres...

    Mais là encore qu'importe, ce sont les sentiments des populations qui doivent entrer en ligne de compte et non pas la réalité puisque celle-ci est tue, caviardée ou tronquée et, comme l'explique fort bien Tatiana Ventôse dans sa dernière vidéo, P1030276.JPGc'est parce que les peuples ne comprennent pas ce qu'il se passe puisque l'on  leur cache qu'ils interprètent les faits suivant leurs opinions.

  • Billet de transition.

    Je vis une période de transition, tout comme il en est de la société française, de l'économie mondialisée, de l'Europe, des États-Unis-d'Amérique, en fait, hormis la Russie et l'Islande qui ont achevé la leur, le reste du monde est en un même état de transition.

    Pour ce qui me concerne,  je ne vais plus écrire de la même manière que je l'ai fait auparavant puisque l'évolution de ma vie fait que cela ne peut que chambouler autant la façon que j'ai de m'exprimer que mon approche du monde.

    Certes, il ne s'agira pas en cela d'une rupture totale mais, plutôt, de sa complexification et de son approfondissement, ainsi que, peut-être, d'une nouvelle manière de m'exprimer.

    Et c'est bien parce que je n'ai pas considéré ce fait que mon expression manquait, dans mes deux derniers textes, autant de précision que de justesse.

    Mais qu'est-ce donc d'une période de transition?P1020169.JPG

    C'est une étape temporaire entre deux cycles d'existences, plus ou moins longue et difficile à traverser, souvent confuse, faite de différents paliers, et qui peut se révéler aussi rude que délicate à vivre parce que nous nous retrouvons avec un passé qui n'est plus et un devenir encore indéfini.

    Ceci au-dedans d'une instabilité plus ou moins importante.

    Et plus les inconstances en amont furent importantes, plus cette transition sera malaisée.

    Dans mes deux derniers libellés je fus tenté de reconduire une même manière d'écrire quand, à l'évidence, je peinais à en développer mes idées, c'est pourquoi, surtout pour le précédent, je fis montre d'une expression parfois nébuleuse.

    Je ne sais pas dans combien de temps je vais réécrire de nouveau, peut-être demain ou dans plus longtemps, mais j'ai compris que je dois accepter le fait que  la façon que j'avais d'aborder les résultats de mes réflexions ne pourra qu'être autre que ce que j'ai pu créer antérieurement.

     

    P1010376.JPGUne petite note rapide sur ce que je ressens de la suite du mouvement des gilettistes.

    A celui-ci, il est sensible qu'une opération de déstabilisation du gouvernement Macron vient de commencer s'y surajoutant, le scandale De Rougy n'en ayant été qu'un tout début et cela ira en crescendo.

    Son origine provient de la signature du "traité d'Aix-La-Chapelle" qui a su réunir contre ses signataires, les gouvernements français et allemand, tout ce qui peut compter de puissance à l'international.

    Ce double mouvement, celui des gilettistes et les opérations de déstabilisation, auquel il faut y rajouter une inconséquence propre et entière du macronisme en marche qui, par exemple, ne veut pas donner à la police la moindre aide pécuniaire quand, sans elle, il aurait été balayé par cette effervescence sociale.

    Ce double mouvement, donc, peut conduire à ce que les acteurs principaux de ces instabilités sociétales, la population de France et diverses officines d'état, mais aussi privées (la famille Rothschild), perdent le contrôle de la situation et que nous nous retrouvions au-devant du renversement de notre gouvernement sans que personne ne l'ait réellement recherché.

    Ce serait le président du sénat qui, en ce cas, s'il ne s'agissait que de la fuite duP1020166.JPG président de la république et de sa suite, gérerait les affaire de l'état et organiserait de nouvelles élections nationales.

    Si en revanche le pouvoir exécutif se retrouvait renversé, nous entrerions dans un processus révolutionnaire, auquel cas il serait ardu d'en définir, même grossièrement, le processus.

    Quoi qu'il en soit cela conduirait à la disparition de l'Union-européenne et (j'y tiens) au morcellement de l'Allemagne, ainsi qu'à l'effondrement de l'économie monde.

    Des trois scenarii que j'avais envisagé dans mon billet précédent, c'est donc une quatrième possibilité que je vous propose.

     

     

    THEURIC

  • Essai de réflexion sur la pensée globale.

    Ce qui est symptomatique de notre époque est la parcellisation de la pensée.

    Il est en effet remarquable d'observer combien la réflexion sur un sujet donné n'est pas intégré dans un ensemble cohérent, à l'heure où les sociétés humaines se sont rapidement grandement complexifiées.

    Les domaines sont nombreux où cette complexité n'est que peu abordée et,  j'en pose l'axiome, serait la source première des difficultés économiques, sociales et politiques auxquelles nous nous confrontons au jour le jour.

    Ainsi Monsieur Macron, le royal serviteur de l'oligarchie qui nous gouverne, le génie des Carpates, a, par les lois, ordonnances et autres décrets qu'il a, lui et son gouvernement, promulgué, haussé nombre de taxes et, surtout, la C.S.G. pour tenter de faire survivre encore un peu un système économique international et européen en effondrement industriel et monétaire lent.

    P1000880.JPGCe qui bien sûr pâtit aux faibles salaires et aux retraites, ce qui ne peut que réduire d'autant le pouvoir d'achat de tous ( pouvoir d'achat qui, en réalité, n'est qu'une immense fumisterie présente pour cacher la fermeture des usines et entreprises agricoles, envoyant les gens au chômage).

    Pour le remonter, ce pouvoir d'achat, la taxe d'habitation va être progressivement supprimée, ce qui appauvrit les communes.

    (Reconnaissons que, dans l'esprit de notre Président de la République, ce serait une tentative, vaine il est vrai, de faire repartir une machinerie industrielle française grandement en souffrance en redonnant du "pouvoir d'achat" aux ménages, sans penser une seule seconde que ce ne seront pas les industries nationales qui en profiteront mais celles d'Allemagne de Chine et d'ailleurs.)

    Pour que les communes ne s'appauvrissent pas de trop, pour que les maires ne se révoltent que modérément (déjà que les regroupements de communes indignent les édiles communales...), mais surtout pour que les petites gens puissent continuer d'acheter, l'échange marchand étant le nerf de la guerre du libéralisme économique, qu'il soit néo ou pas, les municipalités, donc, je le conjecture, auront bientôt le droit de décider par elles-mêmes du taux de la taxe foncière (ce en quoi je peux faire erreur, une autre mesure, de même type, pourrait être prise, voireP1010080.JPG même aucune décision de ce genre être décidée, mais cette décision serait dans la logique de la pratique gouvernementale actuelle).

    Ce qui, bien sûr, mènera à son augmentation, ce qui pénalisera les propriétaires qui risquent de mettre en vente le foncier qu'ils louent, ceci pouvant générer un crash immobilier pouvant entrainer l'économie mondiale à sa faillite.

    Pour éviter ce phénomène pervers, cela conduira inéluctablement le gouvernement à libéraliser les prix des loyers.

    Ce qui pénalisera, devinez qui, les plus pauvres, chômeurs, retraités et travailleurs pauvres.

    Et la boucle sera bouclée, boucle de rétroaction s'entend.

    Bon, ne leur demandons pas grand  chose, aux macronnistes-philippards, même ceux sortant des universités ne saisissent rien à la politique, ni à l'économie, d'ailleurs.

    Mais vous pouvez, amis lecteurs, observer cette parcellisation de leur pensée les conduisant à cette ahurissante et illogique tentative de rééquilibrage d'une instabilité économique qu'ils ont eux-mêmes créé, montrant de manière P1010151.JPGcaricaturale leur impossibilité totale d'avoir une vision globale de la situation.

    Les conduisant, de plus, à accroitre le ressentiment populaire à leur égard.

    Je vous avoue ne pas avoir vraiment conceptualisé ce que peut être une pensée globale, cette idée ne me restant, pour l'essentiel, que purement intuitive puisqu'elle m'est quasiment naturelle, toutefois j'y jetterais, au-dedans de ce billet, les premières bases réflexives.

    Je vais surtout donner ici un exemple basé sur un ensemble d'informations présentes et prendre grand soin de montrer que cet outil conceptuel ne peut être en rien une panacée, celui-ci pouvant se révéler faux en nous forçant de mettre dans un même ensemble des événements qui, en réalité, n'ont pas de réels liens entre-eux.

    Mais même si cet outil ne peut être d'une sûreté absolu, il n'en reste pas moins d'une grande utilité conceptuelle.P1010026.JPG

    Quand bien même en avant-propos j'ai pu mettre en garde de ce qu'une trop grande généralisation de l'emploi d'une pensée globale pouvait égarer une réflexion sur un sujet donné, les actuelles et éparses péripéties politiques et sociales, en France et ailleurs, peuvent laisser à penser que les mouvements de déstabilisation de l'état français ont désormais commencé.

    Bien que les informations qu'il nous soient possibles de percevoir sont dispersées de telles sortes qu'elles paraissent n'avoir aucune relation entre-elles, sauf à poser le postulat qu'en effet l'existence même de l'Union-européenne est remise en cause par son créateur: l'empire des États-Unis-d'Amérique.

    Thème que j'avais déjà abordé par avant en Septembre de l'année dernière, (en fin de texte) où j'y montrais, déjà, que nombre de pays qui comptent, les U.S.A., certes, mais aussi la Russie, le Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, la Chine et l'Iran, sont dans la volonté de détruire l'U.E. par la déstabilisation de la France.

    Mais avant que je ne vous propose de vous confier mon opinion sur des événements ne semblant pas avoir des liens entre-eux, permettez-moi de commencer par définir au mieux ce que j'entends par la "Pensée Globale".

    P1010088.JPGJ'appelle donc "pensée globale" une façon de donner sens à une situation ou un événement complexe, constitué de plusieurs composants, ne semblant pas, pour certains d'entre-eux, liés aux autres, mais dont ces liens s'expliquent par des paradoxes émergents s'ils ne sont pas compris dans l'ensemble ainsi constitué.

    Ces multiples composants, dont la réunion pourrait s'appeler "Sujet d'ensemble" pouvant avoir des liens temporels et de lieux divers.

    Cette situation ou événement ne pouvant être saisi en plein que du moment où cet ensemble de composants est donc réuni en un tout cohérent, le rendant ainsi intelligible.

    Il est à noter qu'il n'est pas toujours besoin d'aller rechercher les constituants les plus complexes de ces différentes composantes, et que cela peu même parfois égarer la réflexion sur ce  sujet d'ensemble.

    Je tiens, une fois encore, a mettre en garde de ne pas se précipiter à réunir des informations éparses qui ne se révèleraient pas liés les uns aux autres, seule l'attente et l'observation des événements passés, présents et futurs peuvent permettre d'en saisir la dynamique complexe et d'en écarter, si besoin est, les informations non pertinentes.

    Le hasard, l'incident, la péripétie peuvent provenir de circonstances autres que ce qui nous occupe sur le moment, voire à ce qu'une conjoncture soit indépendant de toute autre et n'ai de sens que par elle-même en un développement linéaire et P1000753.JPGunique, même si cette conjoncture est d'essence complexe.

    Ceci dit, revenons à ces événements politiques et sociaux présents.

    Commençons par les paradoxes et les contradictions, ensuite j'aborderais les concomitances.

    Le principale concerne les syndicats.

    Jusqu'à présent ceux-ci perdaient, depuis trois bonnes décennies, progressivement leur rôle de contrepouvoir et, ce, pour diverses raisons.

    La plus importante et la plus proche de nous étant que tous, ou quasiment (C.F.D.T., C.F.T.C., C.G.T., F.O. et U.N.S.A.), adhérèrent à la confédération européennes des syndicats (le C.E.S.), étaient donc subventionnés par l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi tous ne montraient que peu d'empressement à défendre les salariés face aux G.O.P.E., en niaient l'existence et même souvent n'agissaient que pour rendre les revendications inaudibles et les mouvements revendicatifs inefficaces.

    Or, il n'est que de constater qu'à présent ils se montrent tous d'une vigueur et d'une efficience plutôt remarquable (même si cela ne peut que gêner nombre de particuliers, dans les transports notamment).

    L'empoisonnement de Monsieur Skripal et de sa fille dans une petite ville du sud de la Grande-Bretagne fait également parti de ces incongruités qui ne peuvent que nous laisser nous interroger.

    Je ne vois pas vraiment qui pourrait avoir l'intérêt d'attenter à la vie d'un P1000866.JPGpersonnage, plutôt médiocre dans le milieu des services secrets, qui, si j'ai bien compris, était désormais sous une forme de retraite.

    En tout cas personne n'a fait mention que cette personne ait eu un rôle, si petit soit-il, au sein de l'administration britannique.

    Il est toujours possible que ç'ait été sa fille qui ait été visée, elle qui venait de Russie, et de brouiller les pistes en faisant de manière à ce que cela se passe au Royaume-Uni, mouai..., ou, comme il se dit, serait-ce un message (à l'adresse de qui?) provenant de la maffia russe, bof... .

    Pourquoi attendre que la fifille se rapproche de son père pour tenter de la tuer et pourquoi cette réaction si rapide du gouvernement anglais, deviendraient dès lors les questions logiques à se poser.

    Comme vous le voyez, il s'agit ici de deux incohérences qui, de plus, surviennent en un laps de temps plutôt court.

    Et si nous faisons la liste des concomitances politiques, là, les questions ne peuvent que se poser.

    Le 13 Mars, Monsieur Trump remplace Rex Tillerson, ancien P.D.G. d'Exxonmobil (dès lors pouvant être considéré comme faisant parti des oligarques de l'empire U.S.) , par  Mike Pompeo, l'ancien directeur de la C.I.A., au poste de secrétaire d'état, le ministre des affaire extérieur U.S..

    Auparavant, en France, fin Février, le gouvernement veut légiférer par ordonnanceP1000878.JPG le changement de statut de la S.N.C.F., sachant la majorité écrasante du R.E.M., les radios-éléments, à l'Assemblée Nationale, pourquoi donc cette soudaine frénésie, cette précipitation, qui ne pouvait que mettre le feu aux poudres?

    Que dire ainsi de l'annonce faite, à la même période, de ce fond spéculatif, les plus important au monde paraît-il, Bridgewater , qui a posé sur la table 22 milliards de dollars pour jouer contre l'Union-européenne et l'euro.

    Questionnons-nous de cette visite de l'ex-conseillé de Monsieur Trump, Steve Banon, rendue à Madame Le Pen lors du congrès du Front-National du 11 Mars, qui changea de nom pour le "Rassemblement National".

    Marine Le Pen qui, peut de temps après, appela à voter pour le candidat de Les Républicains, Elad Chakrina, lors des législatives partielles de Mayotte du 18 Mars, ce qui met à mal le fameux U.M.P.S. que les caciques du feue F.N. ne cessaient de déverser sur les ondes.

    (Le F.N., pardon, le R.N., champion de France du retournement de veste, sous les ordres de l'empire américain, pourrions-nous ajouter: gaaaarde-à-vous, fixe!)

    Pourquoi les syndicats ont-ils choisi le 22 Mars pour leur manifestation, cinquantième anniversaire de Mai 68 qui vit des avancées sociales sans équivalence depuis?

    Pourquoi cette réaction syndicale survient-elle très peu de temps après que Madame Merkel ait retrouvé son poste de chancelière (premier ministre) d'Allemagne (sachant que c'est ce pays qui domine l'Union-Européenne et est, pour cela, en P1010067.JPGconfrontation larvée d'avec les U.S.A., U.E. qui se trouve de fait avec une direction quasiment tricéphale si nous y comptons son administration, chacun de ces trois acteurs ayant leurs intérêts propres, dès lors contradictoires et donc conflictuels)?

    Nous ne pouvons donc éviter de nous demander si cela a à voir avec un article du journal allemand Die Welt, traitant d'une réflexion d'économistes germaniques des effets pour leur pays de la disparition de l'euro.

    Et, comme c'est bizarre, de ce terroriste se réclamant de ce D.A.E.S.H. dont il se dit téléguidé par l'empire U.S. via la C.I.A. et l'Arabie-Séoudite, qui a semé la mort à Carcassonne et Trèbes, terminant sa route meurtrière dans le super U de cette dernière ville.

    Enfin, cerise sur le gâteau, les manifestations et grèves en France se produisent très peu de temps après que Monsieur Poutine ait été réélu président de la Confédération de Russie.

    Alors, que dire de cette liste d'événements?

    Certes, il est tout à fait possible de considérer que ceux-ci n'ont pas de liens entre-eux et ne sont que la résultante de l'instabilité grandissante de l'Union-Européenne et de la France, le reste n'étant que le produit du seul destin.P1010107.JPG

    Mais souvenez-vous qu'auparavant j'avais expliqué qu'à mon sens l'Union-européenne se retrouvait être un boulet pour le reste du monde, U.S.A. compris, eux qui ont besoin, de plus, de mettre leurs oligarques aux pas, comme le fit Monsieur Poutine en son temps, et que, même à l'intérieur de l'U.E., de nombreuses forces centrifuges s'y exerçaient.

    Que, de plus, à une Allemagne bien que dominatrice dans l'union mais plus difficile à déstabiliser, la France, de caractère plus instable, serait infiniment plus facile à être le vecteur d'une dissolution de l'U.E..

    Nous ne pouvons pas ne pas nous demander si, partant de cette idée d'une opération de déstabilisation de la France, cet ensemble de faits ne représenteraient pas la forte présomption que la-dite opération aurait commencé depuis un bon mois déjà.

    Ainsi ces événements prendraient une cohérence en une unité explicative.

    Reprenons une à une ces informations suivant ce postulat en un ordre relativement temporel:

    P1000903.JPG1) Le gouvernement veut légiférer par ordonnance au sujet du changement de statut de la S.N.C.F., ôtant ainsi toute possibilité de dialogue syndical, ce qui ne peut que représenter une provocation pour ses agents, la question étant: qui a proposé cela et à qui, pour qui cette personne travaille-t-elle?

    2) De quelles informations l'agence Bridgewater détient-elle pour avoir mis une telle somme en jeu, 22 milliards de dollars, ce n'est pas rien, en pariant d'un effondrement prochain de l'Union-Européenne et de l'euro.

    Est-ce la recherche d'un effet d'annonce en une prophétie autoréalisatrice, sur la demande d'une officine U.S. plus ou moins officielle ou secrète ou tout simplement parce qu'elle aurait obtenu des informations sur ce qu'il se tramerait en Europe?

    3) Est-ce sur ordre de Monsieur Banon, qui rendit visite à Madame Le Pen lors du congrès du F.N. qui vit en changer le nom de ce parti, que cette dernière appela au soutien du candidat de Les Républicains lors des législatives partielles à Mayotte (on eut voulu briser ce nouveau Rassemblement National et Les Républicains qu'on ne s'en serait pas pris autrement, auquel cas, que fut-il promis à Madame Le Pen?)?

    4) Quel est cette nouvelle fougue syndicale d'aujourd'hui, quasi unitaire, eux qui surent si bien pourrir les manifestations contre la fameuse loi travail, dite El Khomri, qui se terminèrent par tourner en rond autour du bassin de l’Arsenal à Paris le 23 Juin 2016, ce à quoi ils acceptèrent de bonne grâce?P1000850.JPG

    Pourquoi d'autres appels à la grève et aux manifestations unitaires, dont à Air France et dans les hôpitaux, furent-ils lancés en même temps?

    Pourquoi ces syndicats n'ont-ils plus peur de perdre leurs subsides provenant de l'Union-Européenne?

    5) Il-y-a-t'il un lien entre ces événements qui se passent en France et la décision de Monsieur Trump d'engager le patron de la C.I.A. en tant que ministre des affaires extérieures et la réélection de Monsieur Poutine à la présidence de la Confédération de Russie?

    6

  • Exercice de style.

    Je vais m'y essayer en parlant ici de choses et d'autres sans vraiment de logique les rattachant.

    Je changerais juste de couleur du texte lorsque j'aborderai un nouveau thème.

    Par exemple, je peux vous dire que nous aurons bientôt une baisse du C.A.C.40 en raison de l'affaire Benalla, la raison en étant que le système n'aime pas trop les instabilités politiques.

    En fait cette affaire m'amuse comme un petit fou.

    Tiens, autre chose de que je peux en dire, nous ne sommes plus loin d'arriver au point de non retour, c'est à dire que le moindre élément supplémentaire sur cette affaire et plus personne ne pourra en éteindre l’incendie.

    Il faut dire que ce personnage était peut-être bien le garde-chiourme de Macron à l'Assemblée-Nationale.

    Si mon hypothèse voulant que quelqu'un est emprunt de soumission en raison deP1010709.JPG deux émotions primaires le contraignant de manière complexe face à quelqu'un le dominant: la colère et la peur, alors, logiquement, un certain nombre de député d'En-Marche ne va pas tarder à réagir vivement à l'encontre de son parti et devant micro.

    Cela en raison du fait que la disparition de Banalla des bancs de l'assemblée fera disparaître la peur qu'il générait, n'en restant plus que la colère, ceci d'autant plus que Macron se trouve maintenant gravement affaibli.

    Je lis en ce moment un bouquin sur l'émergence du langage "La langue l'Adam", de Dereck Bickerton, vaste débat.

    J'ai bien des difficultés à en poursuivre la lecture puisque, à mon sens, ses présupposés de départ sont faux, il part du principe que l'homme s'est érigé de sa station debout dans la savane, ce qui est pour moi une incongruité.

    Comme j'ai pu déjà en faire mention dans un texte précédent datant de Mai de cette année, nos ancêtres auraient plutôt évolué au sein de mangroves qui se situaient dans la dépression de l'afar ou de Danakil, ce serait la même chose, et qui, si j'ai bien compris, subit, au fil des ères, des mouvements tectoniques importants et se situe en-dessous du niveau des océans.

    Sans compter les descentes et montés des eaux suivant les périodes glacières et inter-glacières.

    P1010510.JPGPour faire rapide, nous produisons des sons parce que nos si lointains ancêtres ne pouvaient pas voir les gestes de ses potes la tête sous l'eau et que, comme les dauphins, un son modulé et des claquements, de bouche pour le paléo-Homme, se propagent facilement dans la mer.

    Ces sons émis remplacèrent progressivement l'ensemble gestuel qu'expriment les grands singes, les bonobos et les chimpanzés.

    Du fait de la richesse de la nourriture, fruits de mer et des arbres, algues, poissons, voire certaines plantes et racines, ceci doublé de la difficulté, tout de même, de trouver leur pitance et aussi pour se déplacer (trouver son chemin au milieu des photophore ne devait pas être une mince affaire), le cerveau des proto-homos a dû évoluer, jusqu'à ce qu'il découvre le moyen d'apprivoiser le feu, et là le processus s'était accéléré.

    Comme, de plus, une forêt touffue comme l'est une mangrove ne permet pas de voir ses compagnons de loin, le son a remplacé progressivement le geste dont usent nos proches cousins (pas très germains, d'ailleurs).

    Puis de sons et de cris aux sens simples, de "nourriture ici" par exemple, ils étaient passés à "crabe" ou "poisson", puis à un truc du style "par là".

    Comme de plus l'odeur et le physique de chacun était invisible aux congénères sous l'eau, chaque individu devait avoir son propre son en une sorte de paléo-nom.P1010576.JPG

    Il y a quelques temps de cela, des drones, paraît-il, auraient survolé des centrales et des sites militaires nucléaires français en 2014.

    La question, dès lors, qui importerait mais à laquelle il serait quasiment impossible de répondre, ce serait "pourquoi".

    Une réponse, que je jugerais particulièrement naïve et sotte, serait de dire: "C'est pour nous prévenir que tout cela représenterait un danger pour l'humanité."

    Il m'a été donné de la lire plusieurs fois.

    Suivant ma façon d'aborder le problème posé par les E.I.N.T., les Êtres-Intelligents-Non-Terrestres, comme je les dénomme, plutôt que de celui d'extra-terrestre que je trouve gnangnan, à l'image de Macron, aborder le sujet sur une base politique me semble le plus logique en se demandant qu'elle serait le but de ces explorations.

    Puisqu'il s'agit bien que quelque chose de cet ordre, à la place d'un:"Coucou, je suis là, fermez vos centrales nucléaires, pauvres minables humains, ou alors vous allez détruire votre planète si fragile", planète et la vie qui l'abrite qui, d'ailleurs, se foutent royalement de nos agissements, ils en ont vu tout deux de bien pire.

    Là il faut faire preuve d'imagination et songer à toutes les éventualités possibles, comme:

    P1010593.JPG-de nouveaux venus curieux de voir ce que sont ces drôles de machines et installations, peut-être accompagnés d'une ou de plusieurs autres espèces plus anciennement installées près de chez-nous et leur servant de guide (c'est fou comme le nucléaire les intéresse depuis les années cinquante);

    -une réflexion militaire d'E.I.N.T. se demandant s'ils ne trouveraient pas là des idées pour des armes efficaces;

    -une visite touristique, eh oui, pourquoi pas;

    -se renseigner avant un envahissement, bof, je ne vois pas l'intérêt d'attendre près de 70 ans pour cela;

    -faire un ensemble de recherches anthropologiques, dans le sens propre du terme, par pure curiosité ou pour toutes autre raison;

    -... etc... .

    Il est possible que l'affaire Benalla (oui, j'y reviens) soit le début d'une attaque multiforme à l'encontre de l'Union-Européenne, dès lors contre aussi l'euro et l'O.T.A.N., entrepris par un ou plusieurs pays dont celui le plus important serait les États-Unis-d'Amérique trumpiens.

    N'oublions pas que les président U.S. avait proposé à Monsieur Macron, il y a un à deux mois de cela, de se désolidariser de l'union pour faire affaire avec les U.S.A. de pays à pays.

    Ce que le nôtre, de président, a rejeter avec un grand silence.P1010781.JPG

    En fait je pense qu'il y a désormais une attaque tout azimut sur l'oligarchie mondialisée et la France, comme je le dis depuis pas mal de temps déjà, se retrouve en première ligne bien malgré elle.

    Il faut dire que les français ont la réputation d'avoir le sang chaud.

    Faisons donc la liste, non exhaustive bien sûr, de ce qu'il se passe un petit peu partout:

    -la Russie poutinienne vend ses bons du trésor américains à tout va, ici et ;

    -la .F.E.D., la banque centrale U.S. ne cesse de remonter ses taux, pour faire simple, comme les prêt aux américains sont variables, ce qui veut dire qu'ils évoluent à la hausse ou à la baisse suivant les taux directeur de la banque centrale, ce qui donc fait que si ces taux augmentent, les particuliers et les entreprises devront plus d'argent au prêteur, ce fut la raison principale qui fit que nombres de particuliers U.S. se retrouvèrent ruinés en 2008, c'était ça qui avait mis les banques en danger;

    -le gouvernement italien refuse de ratifier l'accord de l'Union-Européenne d'avec le Canada, ce qui génère une belle crise dans l'U.E., si vous rajoutez à cela l'affaire Benalla, c'en devient croquignolesque;

    -les U.S.A. font pression partout dans le monde pour obliger les entreprises à rentrer au pays, ce qui s'appelle une guerre commerciale, et nous n'en sommes qu'au début;

    -les troupes U.S. rentrent au bercail, de ça je n'en ai que très peu de preuve, mais ça P1010832.JPGme semble tellement logique...;

    -Mr. Trump c'était montré intransigeant lors du dernier G7, en refusant de signer la déclaration collective (je ne sais plus comment çà s'appelle), à croire qu'il voulait le torpiller...;

    Pour l'instant je n'ai pas grand chose d'autre à raconter là-dessus, mais nous ne sommes qu'au début du processus, alors restons à l'écoute, d'autre nouvelles arriveront.

    L'économie mondiale ne cesse de se détériorer.

    Nous ne pouvons n'en avoir que très peu de preuve tant que nos magasins seront normalement achalandés.

    Mais, de manière indirecte, il est possible de percevoir l'état industrielle générale.

    Ainsi, l'évolution du prix du cuivre à la baisse est un bon facteur pour percevoir s'il y a désindustrialisation internationale.

    Ce qui, vous le voyez, est le cas, ce qui était prévisible lors de la remonté du prix du baril de pétrole.

    Vu que cette remonté n'a rien à voir avec une croissance industrielle, alors cela veut dire qu'une partie de la masse monétaire qui se trouvait dans la spéculation boursière se déverse actuellement dans les matières premières primaires: l'énergie et la nourriture.

    Ce dont personne ne peut se passer.P1010826.JPG

    Si des fonds d'investissement et de pension, ainsi que des banques, s'éloignent de la capitalisation boursière, cela ne peut que vouloir dire qu'en réalité les bourses, dont Wall Street et la City, se retrouvent dorénavant dedans d'immenses difficultés qui, pour l'instant, ne sont perceptibles que par une très petite minorité de ses acteurs.

    Ce processus ne pourra aller qu'en s'accentuant, mais peut rester en un développement pour l'instant lent.

    Lorsque l'espèce humaine partira voyager au loin au milieu des étoiles, Homo Sapiens Sapiens divergera inéluctablement en une multitude de genres différents.

    C'est que nous sommes loin, très loin même d'avoir épuisé tout notre potentiel évolutif.

    Il est bien difficile de déterminer dès à présent toutes les formes que cela prendra.

    Mais, au sujet de l'évolution, j'ai  en moi quelques hypothèses que je vous exposerai un jour, ce sera un texte peut-être long, mais surtout complexe, le sujet n'étant pas simple à développer.

    Toutefois je vous propose les bases qui me permirent de construire cet ensemble de réflexions, et elles sont extrêmement simples: l'automobile, l'ordinateur et

  • Second exercice de style.

    Comme il en fut précédemment fin Juillet, pris par le temps, ici après avoir débuté un long texte qui, comme de nombreux autres, se retrouvera à la poubelle, je vais rapidement traiter de divers sujets en ne faisant que changer de couleur conjointement au nouveau thème.

    Ceux-ci porteront sur la violence à l'école, la conduite suicidaire de notre gouvernement, de la situation déplorable de l'Union-Européenne, de la disparition prochaine de l'oligarchie mondialisée et, pour finir, je reviendrai sur les pervers narcissiques.

    Je finirai en vous proposant quelques poèmes que j'avais, il y a longtemps, déjà publié ici et que je fais remonter du tréfonds de ce site.P1010654.JPG

     

     

    Les violences dans les écoles autant que celles, générales, des jeunes montrent, à qui veut bien y regarder, deux choses complémentaires, la perte de repère de cette jeunesse provenant de leur acculturation importante, mais aussi le refus des classes dirigeantes de percevoir les résultantes de leurs décisions multidécennales.

    De fait et à mon sens, ils sont la résultante de sept décennies de domination étasunienne sur la France, les uns par l'abaissement continuel de leur niveau culturel, de l'abrutissement incessant de ces jeunes par tout un ensemble de processus propagandistes remettant en cause leur identité, jusqu'à celle sexuée.

    Pour les autres, ce fut d'avoir choisi, pour pouvoir dominer la France, des plus sots aux plus corrompus de nos dirigeants tout en leur laissant à croire qu'ils sont les véritables élites du pays, parce qu'ils furent choisis par l'empire, ceux qui se font appeler les youngs leaders.

    Quand bien même seraient-ils gonflés d’orgueil, c'est en vrai autant pour leur obéissance servile que pour leur immense bêtise que le choix se fut porté sur eux (des êtres intelligents, doués de raison, hormis ceux souffrant d'une soumission pathologique, en viennent à se révolter dès lors que des décisions se révèlent par trop absurdes), ceux-là même qui, de plus, se retrouve aussi à diriger l'économie du pays en raison de la porosité substantielle qui existe entre le monde public et privé, il n'est qu'à voir ce que fut la vie professionnelle de Macron.

    C'est dès lors parce qu'ils craignent que ne soient découverts les effets désastreux de leurs décisions, ou plutôt de leur manque de volonté puisqu'ils ne font tous qu'obéir, mais aussi et peut-être surtout parce qu'ils ont peurs que si la population P1020059.JPGcomprenait ce qu'il se passe réellement elle ne se révoltât, que notre pseudo-élite cache ainsi la situation désastreuse dedans laquelle se retrouve le pays.

    Il en est ainsi de la violence multiforme de cette jeunesse égarée que du nombre réel de chômeurs, de la vrai situation économique de la nation que de l'état déplorable de nos forces armées, des pompiers et de la police, aussi que de tout un ensemble d'autres facteurs tous autant déplorables les uns que les autres.

    Que savons-nous donc de ce qu'il se passe dans les campagnes sinon pas grand chose?

    Ces gens n'ayant d'horizon que des banlieues.

     

    Je suis fasciné par l'espèce de conduite suicidaire de notre gouvernement.

    Depuis Juillet et le développement de l'affaire Bennala, le Président de la République et son gouvernement se retrouvent à tel point affaibli que deux ministres, et non des moindres, ont démissionné, Messieurs Hulot et Collomb, les rats quittant ce navire sur la voie du naufrage ( d'autres en sont sortis bien avant, comprenant rapidement que tout cela ne pouvait que les mener à la débâcle ).

    Or et comme de si rien n'était, le président, les ministres restants, les masochistes et les naïfs, ainsi que les élus du R.E.M. toujours en poste à l'Assemblée Nationale, ditsP1020008.JPG les radios-éléments puisque toujours devant les médiats, continuent tous leur politique comme si de rien n'était.

    Il y a ce quelque chose d'inconséquent dans cette façon de faire où, plutôt que d'attendre, même quelques mois, que la population s'apaise, ils continuent donc de force de perpétuer leur politique de démembrement du pays.

    En fait ils ont, pour l'instant, cette chance folle que la majorité du peuple soit infiniment plus démocrate qu'eux-mêmes.

    Là, le 17 Novembre, un Samedi, les automobilistes vont manifester en raison de la monté des taxes des carburants, ceci en bloquant les routes, ce qui ne servira à rien, nos olibrius gouvernementaux n'en auront rien à foutre.

    Ce qui est de fait une belle erreur.

    En effet, les contrepouvoirs français étant largement viciés et donc décriés puisque subventionnés par l'Union-Européenne, comme il en est des syndicats français faisant parti de celui européen, la C.E.S. (et vu aussi que les plus remuant des premiers secrétaires sont chassés par leur bons "camarades", comme il en fut à F.O. dernièrement), ces contrepouvoirs ne sont plus là pour tenir les gens, ce qui fait que, dorénavant, plus rien n'empêche la population à la révolte.

    Le 17 Novembre prochain personne ne peut dire comment cela va se finir, peut-être chacun rentrera chez lui en ayant le sentiment d'avoir essayé de se faire entendre de P1010829.JPGce pouvoir sourd, aveugle et muet, sauf pour dire des âneries.

    Mais il est aussi possible que cela ne se transforme en un état insurrectionnel que quiconque ne pourra faire cesser.

    Dans tous les cas la macronnie finira mal, très mal.

     

    L'Union-Européenne est au-dedans d'une situation déplorable.

    Les raisons en sont simples : l'empire U.S. avait bâti cette union avec l'aide d'une Allemagne qui en était l'encadrement principal.

    Et puis progressivement, la puissance impériale diminuant, la Germanie se retrouva à la diriger seule, sans les ordres provenant des ricains, sauf quelques fonds vautours qui trouvent toujours de veules gouvernements pour leur vendre les bijoux de familles de leur pays, comme Alstom en France, ou d'autre pour acheter des avions de chasse mal conçus, comme le F.35 par la Belgique.

    Du fait de l'éloignement des U.S.A. des affaires européennes, ne contrôlant plus dès lors les gouvernements, chaque pays de l'union tire dorénavant à hue et à dia pour les intérêt bien compris de leur propre pays, n'étant que la phobie de ceux du nord-ouest pour la Russie qui permet, un petit peu, d'aménager les susceptibilités de chacun d'entre-eux, et encore.

    Cela mène à ce que l'Allemagne redécouvre son très vieux fantasme d'une domination de l'Europe, d'une administration de l'Union-Européenne poursuivant,P1020056.JPG tambour battant, son programme originel, c'est à dire le démembrement des états-nations, l'Italie ayant débuté sa tentative réformatrice de l'U.E. par ses dernières provocations, à ce qu'en France la révolte gronde.

    Ce qui est le plus risible dans cette histoire c'est que dans nombre de pays il y  ait à la tête de ces états des pouvoirs qui, paraît-il, serait extrémistes et populistes, qui se diraient d'extrême droite, quand nous savons que, de fait, les pays de l'union sont très proches du gouvernement ukrainien s'affirmant néonazi, mis en place par ce qui se fait appeler l'état-profond U.S., leurs oligarques, quoi.

    Aucun ne remettant en cause l'existence de l'U.E. nous pouvons en conclure de ce que peut être la nature de cette union tout comme de ce qu'il peut en être les oligarchies euro-atlantistes, étasunienne comme européenne.

     

    Les oligarchies mondialisées se meurent.

    Ce ne sont pas tant les violentes baisses boursières qui les ruinent que de la désindustrialisation généralisée, qui en est la véritable première des causes.

    La preuve en est là: la baisse du prix des métaux industriels.

    Bien sûr qu'il y a la hausse du prix des carburants, la raison en étant que la P1020030.JPGspéculation se retire des bourses pour fondre sur les matières premières.

    D'ailleurs les moins sots achètent de l'or et les banques centrale, en cela, ne sont pas en reste, sauf en ce qu'il en est de nos guignoles qui nous gouvernent.

    En fait, c'est tout le système qui commence à s'écrouler et nombre de facteurs aggravant, comme la hausse des taux de la F.E.D. et des attaques contre l'euro, ne font qu'en accélérer le processus.

    Vous trouverez, bien sûr, un ensemble de réflexions là-dessus dans mon billet précédent.

    J'avoue que de vivre cela ne me lasse pas de m'intriguer.

    Né en 1958,  j'ai connu la fin des trente glorieuses et leur lente agonie, mais ce que je découvre au  fil des jours depuis une demi-douzaine d'années environ ne me lasse pas de me troubler.

    Qu'il m'ait fallu déterminer par moi-même la nature de la monnaie quand, dans le même temps, nombre d'économistes n'ont pas l'air d'en saisir la moindre trame m'est singulier.

    C'est pourquoi je ne cesse de m'essayer de comprendre la nature de ce délire collectif, ici même, dans ce blog.

    De tenter de saisir le pourquoi de ces gens qui détiennent tant de pouvoir et de tellesP1010746.JPG fortunes, censément sensés, enfin, semblent s'en donner l'air, prennent des décisions qui, à terme, ne peuvent que les mener à leur propre banqueroute.

    Certes, les causes à cela peuvent être évoquées facilement : surpopulation, explosion scientifique et technologique débutée il n'y a que seulement deux cent cinquante années d'âge environ, domination, pendant dix ans à peu près, de 1991 à 2001, par l'empire ultime que sont les États-Unis-d'Amérique de quasiment tous les pays, traumatismes multiples des peuples en raison de colonisations, de crises économiques et de guerres de grandes envergures tout au long du XX° siècle, transformations radicales de toutes les sociétés... pour les plus essentielles.

    Mais quoi qu'il en soit, cette perte de raison à toutes les strates sociales reste singulière et, à mon sens plus que de toutes autres choses, doit être impérativement étudiée.

     

    Vous trouverez ici la meilleurs vidéo sur la nature de la perversité narcissique que j'ai pu trouver jusqu'à présent.

    D'avoir été pote avec un pendant 35 ans j'ai pu l'étudier de visu et ai remarqué qu'il suffit de tendre l'oreille pour percevoir qu'il dit, au fil du temps, tout sur lui, tout simplement parce qu'il ne cesse de projeter sur les autres sa propre aliénation.

    Il est donc possible de percevoir quel a été l'élément déclencheur de sa maladie mentale et où se situe ses délires hallucinatoires, puisque toutes ses proies y P1020143.JPGbaignent sous la forme d'un brouillard conceptuel.

    Il faut toutefois faire attention puisque, en même temps, ce monde imaginaire dedans lequel il vit n'est, en aucun cas, le reflet de son vécu concret et réel, mais représente les réaménagements de ses malversations et de ses difficultés passées pour se donner bon visage, ceci pour être le centre de son monde, pour sauver son narcissisme grandement dégradé.

    Ce sont donc aux projections auxquelles il faut porter attention, soit tout ce qu'il dit de tous les autres, du moindre passant aux gens de sa famille, même et surtout ce qu'il exprime envers sa ou ses victimes, et non pas à ses récits romancés qu'il porte en Moi-Je.

  • De la stupidité faisant sa loi

    Il n'est que pire méchanceté

            Que de celle du fat

        Se croyant de la sainteté

     

     

    Bêtes et méchants

     

    Il n'est nulle différence de violence

    Entre des ados et hautes classes sociales

    Qui montrent, d'empathie, la même carence,

    En manque tant d'instruction que de morale !

     

    Journalistes hypocrites se dédouanant,

    Accusant en cela les fredaines du net,

    Sans vouloir voir les flashs permanents

    Si tant angoissant qu'ils, toujours, émettent.

     

    En larmes de crocodile, pleurent l'enfant

    Tabassé par ses pairs, qui blessé, qui tué,

    Mais s'aveuglant séant de leurs plis étouffant,

    Comme faire croire ce virus tous nous faucher.

     

    Bête immonde des tromperies éludés,

    Cuistres s'épanchant de basses inhabiletés

    En un sérieux mortel sapant des esprits

    Prenant argent comptant leurs pauvres récits.

     

    Discourant comme héro l'être malfaisant.

    Voulant pour toujours enfermer les français

    Affin qu'un vaccin d'un prix autant opulent

    Qui, de plus, pourrait mener nombre de décès.

     

    Sachant, ineptes : des traitements existent

    Peu chers, aux oligarque ne ferait leurs affaires

    Puisque ne coûtant rien, mais ne sont altruistes :

    La pharmacie, pour eux, c'est de l'argent, se faire.

     

    Cette besogne n'est pas que de tous ces niais :

    La classe politique est aussi coupable

    Qui, tous, à l'unanimité, ont mêmes biais :

    D'être patriotes, en sont incapables.

     

    Tous aiment tant l'union qu'en fin la détruisent,

    Ruinant l'ensemble de ce qu'ils peuvent toucher :

    A chaque décision qu'ils prennent épuise

    Nous autres citoyens, nous voulant voir couchés.

     

    De ceux-là, le journalisme aux ordres

    Fait pire, voulant, du réel, le tordre,

    Faire, de la vérité, que du mensonge,

    Que la réalité ne serait que songe.

                                             ----------------------------------

     

     

      Foin des puritains

    Appelons une chatte

            Une chatte

     

     

    Doux emports 

     

    Je lèche ton vagin et ton clitoris,

    Tu me suce autant le pénis que mon gland,

    Ton con m'excite, ma douce fellatrice,

    Ta bouche, tes lèvres sont douces et en allant.

     

    Ma langue caressent en délicate vigueur

    Ton bouton délicieux, tes tendres babines,

    Visitant l'un et l'autre au gré des humeurs

    De ton corps vibrant, belle gourmandine.

     

    Tu happe mon phallus en merveilleux suçoir,

    Ta lavette rappeuse m'avive le bout,

    De tes doigts frôle dessous mon étendard

    Mes couilles ravies d'un attouchement si doux.

     

    Puis je pénètre de mon sexe bien bandé

    Ta vulve humide et si accueillante.

    Mes hanches se meuvent d'un rythme bien scandé,

    Puis jouissons de ma semence extasiante.

     

     

    THEURIC

  • A ma dame de coeur

     

    Les clairs obscurs éclairent

    Les sombres sorgues manifestes

    Des volubiles étoiles.

     

    A ma chère Dame

     

     

    Madame, je ne peux vouloir de requête

    Éprendre en dépôts mes rimes replètes

    Pour que vous me pourchassiez ainsi

    D'autres accointances en maintes poésies.

     

    Je n'ai de, pour vous, que pleins d'amour des mots

    Qui, je l'avoue, se veulent raver les maux

    D'outres croix d'afflictions des âmes

    Que les Dieux pleurent en tant de larme.

     

    Voilà que ce sujet qui vaguent à l'envie

    Les choses reflétant l'encre de votre vie

    Que de vouloir marcher en ses multiples saints

    Marque vos vouloir en femme de destin.

     

    Ce sésame mystérieux qui coule en vos veines,

    En ces faux rythme soyeux de ces intrigues vaines,

    Font là ce manifeste qui, de tes vastes horizons,

    Éclaire majestueux les désolations.

     

     

    THEURIC

  • De la conduite suicidaire.

    La conduite suicidaire, autrement nommé "fuite en avant", voilà ce que plus de toutes choses au monde ne cesse de me questionner et, ce, depuis fort longtemps.

    La raison en est là, il y a les processus d'aveuglements, c'est à dire ces personnes qui ne perçoivent pas, qui ne peuvent percevoir ni concevoir, quelles qu'en soient les raisons, que la situation qu'elles vivaient auparavant se transforme et que si cette personne ne fait pas évoluer sa manière d'être et de faire, cela la conduira, à terme, à une catastrophe.

    P1000825.JPGCela à ne pas confondre avec l'adolescent, jeune ou vieux, qui prend des risques juste par manque de maturité, parce qu'il ne comprend pas la nature de ces risques.

    Tout comme les suicides, soient en raison appels au-secours qui peuvent tuer si la personne n'est pas sauvée à temps, ou le suicide vrai, de celui ou celle qui a le sentiment, réel ou supposé, qu'il n'y a plus d'existence sociale pour lui ou elle.

    Donc la conduite suicidaire existe et, là, vraiment, je me perds presque en conjecture, c'est pourquoi je me vais tenter d'en démêler les mécanismes.

    Une conduite suicidaire consiste à avoir en main toutes les informations et les capacités requise pour agir au mieux mais de ne pas en tenir compte ou, même, d'agir à l'inverse de ce qu'une action adaptée réclamerait.

    Bien évidemment, des causes psychologiques profondes sont à l’œuvre pour que le sujet prenne ainsi de mauvaises décisions, contraire à ses propres intérêts ainsi que ce ceux des responsabilités dont il a la charge.

    Ce processus, individuel et/ou collectif, ne peut avoir, en effet, d'origine que dans les basfonds de la psychologie humaine.

    Celui-ci, provenant donc d'un aveuglement, c'est à dire d'une impossibilité de percevoir la réalité, ne peut qu'être que la résultante d'une inadéquation plus ou moins totale entre ce qui est perçu et le sens qui en est donné, en une façon d'autosuggestion inconsciente.P1000896.JPG

    Nous avons tous vécu, sous une forme ou une autre, des situations analogues où nous nous retrouvions à nous débattre dans un imbroglio événementiel, parfois plus que détestable, provenant de ce que nous n'avions pas saisi, sur le moment, que nos actions étaient défectueuses parce qu'inadapté au moment vécu.

    Mais c'est lorsque la personne ou le groupe de personne, voire la société, ne perçoit pas l'imbroglio dans lequel il patauge et ne cesse de s'enferrer en continuant d'agir comme à l'accoutumé que nous pouvons parler de conduite suicidaire.

    Et il s'agit donc bien là d'un aveuglement que nous pourrions dire pathologique si la conduite inadaptée se perpétue, quand bien même les effets produits par les actions et les choix faits se révèlent inefficaces, ou pire encore, contreproductifs.

    Ce sont donc ces aveuglements qu'il s'agit ici d'analyser puisque c'est de là que proviennent les conduites suicidaires.

     

    Le cerveau humain est, de nature, extrêmement jeune à l'échelle de l'évolution, c'est pourquoi ses mécanismes de fonctionnement sont très fragiles.

    Maladies mentales nombreuses, phobies diverses, névroses multiples, perversités infinies, ..., cette fragilité de notre système nerveux centrale provient de ce qu'il dû P1000853.JPGévoluer en seulement un petit peu plus de deux millions d'années et que les mécanismes sociaux, censément faits pour aider l'enfant et le jeune adulte à le structurer, ne cesse de se transformer depuis seulement une quinzaine de millier d'années (avènement du néolithique), au même rythme rapide que celui des sociétés.

    Certes, divers mécanismes de préservation sont en place, évanouissement lors d'un choc psychologique brutal, distanciation émotionnelle pour éviter un stress trop violent, endormissement, état d'hébétude, vive colère, crise hystérique, recherche d'ivresses de toutes sortes, ..., etc..., et aveuglement psychologique, au centre de notre réflexion du jour.

    La raison en étant de protéger au mieux nos complexes et fragiles fonctionnement neuronaux à une douleur se révélant, lorsque les mécanismes de compensation psychique se retrouvent dépassés, par une situation ou un événement donné, tel que des contradictions entre les désirs et les habitus sociaux, un risque mortel, corporel ou social, passé ou présent, un rejet social, la confrontation avec un concept, voire une conjoncture contraire aux présupposés du sujet.....

    Ce qui peut, sinon, conduire, si ce mécanisme de préservation se retrouve débordé, voire déficient,  à une dépression, un état délirant, un abandon de la vie sociale, une tendance à la dépendance aux stupéfiant, de la violence souvent idiote, ..., tous ces processus mettant en lumière la déstabilisation des fonctionnements neuronaux.

    L'aveuglement psychologique, donc, est l'un de ces mécanismes salvateurs quiP1000909.JPG peuvent permettre, pour un temps, au cerveau d'éviter de se retrouver perturbé de telle sorte qu'il en vienne à dysfonctionner.

    Pour un temps seulement car la nature des faits s'accumulant en vient à déborder les capacités de négation  de la réalité du sujet, ce qui permet à celui-ci de donner du sens à ce qu'il vit se retrouvant donc, de ce fait, nié par la matérialité de ce qu'il se passe.

    De plus, au fur et à mesure que cette matérialité se fait plus présente et pressente, la négation, par le sujet, de son existence ne peut que monter en puissance, ce qui peut s'accompagner d'une reformulation de cette négation de la réalité en lui redonnant un sens différent.

    Le plus souvent sous la forme d'une radicalisation de la position prise et d'une projection sur d'autre(s) de l'inefficacité des actions menées.

    Jusqu'à ce que, les conditions évoluant continuellement, en contradiction accrue d'avec les croyances du ou des sujets, en viennent à un tel point que ceux-ci ne sont plus en capacité de nier la réalité.

    Dès ce moment, les mécanismes de compensations psychiques se retrouvent débordées et, dans l'incapacité de protéger les circuits neuronaux, cèdent, ce qui conduit à une violente décompensation psychologique de ce ou ces sujets par la P1000449.JPGdéstabilisation de leur "composition de sens" (j'appelle "composition de sens" l'ensemble des compréhensions que chacun de nous se fait du monde avec toutes ses composantes conscientes et inconscientes), menant à ces désordres mentaux dont je vous ai rapidement entretenu plus haut.

    Cet aveuglement psychologique, cette fuite en avant, est parfaitement lisible et visible dedans les décisions gouvernementales actuelles qui ne sont, en réalité, que les recommandations et demandes pressantes des oligarchies européistes germano-françaises (Merkel) et bancaires franco-allemandes, européennes et étasuniennes (de moins en moins pour ces dernières), ainsi que tous ceux qui les accompagnent en leur prêtant mainforte.

    Leur conduite suicidaire se poursuivra de tout son cours, je le pense, tel que je l'ai montré ici, jusqu'à ce que la réalité, devenue incontournable, ne vienne fracasser leurs dangereux fantasmes.

    Ainsi, à mon sens, ce n'est pas seulement l'Union-Européenne, sa soit-disant construction et l'économisme-dogmatique, idée que j'avais développé ici ( de-la-fin-de-l-economisme-dogmatique-5973481.html ), qui serait pour eux en jeu aujourd'hui, mais aussi la structure même de leur mental qui pourrait bien exploser dès que cet ensemble idéologique aura volé en éclat.P1010158.JPG

    Parce qu'autant les russes, même les plus empreints de l'idéologie communiste, à la disparition de l'U.R.S.S., purent se reposer sur un capitalisme certes violent et rapace, mais pouvant sans problème prendre la place du régime soviétique disparu.

    Autant en France et dans le reste de l'Europe, rien ne pourra remplacer la doctrine complexe de ce que ne sera bientôt plus l'économisme dogmatique, n'ayant plus qu'une seule formulation, celle du néolibéralisme en voie avancée de délitement.

    Hormis, comme j'ai déjà pu en parler, de structures politiques et/ou conventionnelles plus anciennes encore, telles que la religions traditionnelle du pays, le catholicisme en France, le patriotisme pouvant prendre forme, parfois, du nationalisme et un anarchisme multiforme.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris que les plus conscients, les plus intelligents et/ou les plus fragiles des oligarques nationaux et européens, du personnel politique qui y est lié, écologistes et F.N. compris, des journalistes officiels et de bien d'autre personnalités composant cette mouvance néolibérale aux multiples facettes doctrinales, dont celle dite du réchauffement climatique anthropogénique.

    C'est pourquoi, dis-je, je ne serais pas surprit qu'un certain nombre d'entre-eux P1000637.JPGcommencent à décompenser de la disparition prochaine de ce qui avait structuré leur mental tout au long de leur vie, sans qu'il puissent s'en soustraire et, ce, quelle qu'en soient les raisons psychologiques.

    C'est pourquoi aussi la violence d'état, en France, ne pourra que s'accroitre au même rythme que le néolibéralisme montrera ses signes de faiblesse.

     

     

     

    THEURIC

    P1000924.JPG

Nous avons tous la responsabilité d'être, avec nos faiblesses et nos forces, mais nous devons, dès maintenant, lutter contre cet obscurantisme béat qui nous enserre et nous étouffe. Seul le questionnement de notre monde, de ses vérités, nous le permet.