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Rechercher : troisièmes aphorismes

  • De la régénération.

    Assurément aucune société ne peut être fleurissante et heureuse si la partie de loin la plus grande de ses membres est pauvre et misérable.

    Adam Smith.

     

    Nous nous retrouvons aujourd'hui en une situation étrange.

    Si en 2008 le système économiste monétariste avait, dès cette époque, cessé de fonctionner, la majorité de la population mondiale n'aurait absolument pas compris ce qu'il se serait passé.

    En retour, nous aurions eu une bien plus grande facilité, et pas seulement en Europe et en Occident, pour repartir rapidement  sur des bases infiniment plus  saines.

    Depuis lors, tous les quatre ans environ, nous nous retrouvons à devoir faire face àP1020814.JPG une accentuation des tensions économiques globales provenant de l'appauvrissement continuelle de toutes les classes-moyennes, mais aussi des plus pauvres.

    L'origine s'en trouvant que, pour pouvoir sauver le-dit système, les gouvernements présents à chaque période se retrouvent contraints de devoir tous les ponctionner de leurs richesses, souvent déjà réduites, à chaque crise cyclique de 4 ans.

    Ce qui mène à ce que cet appauvrissement génère des dégâts progressifs sur le tissu industriel international, conduisant inéluctablement à une nouvelle crise, discrète, dissimulée, omise, qui suit ces quatre années passées à ces délitements, puis ce cycle reprend, paupérisant chaque fois d'autant plus les populations.

    Après celles de 2012 puis de 2016, nous parvenons maintenant à 2020 où s'y discute, du-moins en France de ce que j'en sais, d'une possible, voire d'une probable faillite mondialisée.

    Là se situe de cette étrangeté, bien compréhensible, de notre situation présente: autant ces dégâts occasionnés en bientôt douze ans n'ont fait que grandement s'accentuer, autant la part de la population qui en saisit le fait augmente, c'est normal, elle s'appauvrit plus à chaque fois.

    En outre, ce que nous explique Monsieur Sannat ici c'est que les bourses peuvent fonctionner sans trop de problèmes encore longtemps, tout en ce que ces P1020939.JPGinstabilités sociale et industrielles continuent de s'enfler à la même cadence que les bulles spéculatives.

    Pour comprendre ce que je veux expliquer il me faut rajouter, en plus de l'économie monétariste des oligarques de toutes nationalités, et de celle réelle, industries, fabriques, mines et agricultures, une troisième partie participe de cet ensemble, celle de la politique et donc des peuples.

    Ce qui, en quelque sorte, est la réalité pleine et entière de l'économie réelle puisque, en toute fin, toute économie fonctionnelle ne peut avoir d'existence que pour et par le peuple.

    C'est cela, bien que ce ne soit pas formulé, que la population française commence à comprendre.

    Il y a donc trois composantes en présence, l'économie monétariste oligarchique d'un coté, les nations continuellement appauvries et dès lors les pays de l'autre, tous deux aux intérêts divergents et, au milieu, l'économie réelle qui se délite.

    Sachant que, dans l'ensemble, la plupart des gouvernements sont, de manière plus ou moins formelle, assujettis aux oligarchies.

    Même la Chine semble, en raison de ses décisions, dans une situation analogue, quand bien même de ses riches quitte ce pays, Xi Jinping parait être, par idéologie ou par pression, empreint des mêmes contraintes qu'ici.

    Il y a désindustrialisation, le signe le plus juste en cela c'est de remarquer que l'IranP1030007.JPG et le Vénézuéla, au moins, sont en interdiction de commercer avec le reste du monde par ordre des États-Unis-d'Amérique et, donc, que 40 à 60% du pétrole mondiale se retrouve de fait en situation de blocage d'exportation, le prix du pétrole, et dès lors de celui de l'essence et du gasoil qui devraient tous exploser, ne se retrouvent pas à avoir un coût si exorbitant que cela, voire, même, il stagne.

    La raison de cette interdiction en étant pour les USA de pouvoir vendre son pétrole de schiste à un prix raisonnable.

    Il eut été une autre époque où une telle restriction des carburants aurait fait flamber leurs prix en une inflation très importante.

    Comme nous l'avons vu au début de ce billet, la spéculation monétariste, les bourses, voire même le système monétaire international, peuvent perdurer pendant encore longtemps, pour ce dernier la raison en étant que ce sont toutes les monnaies qui se dévaluent en même temps, ce que vous percevrez comme moi dans cet audio vers les 15mn., du même intervenant qu'indiqué plus haut (sauf de la Russie et de l'Islande, je ne sais pas comment ils maintiennent leur monnaie dont la valeur se devrait de s'enfler puisque toutes les autres s’atténuent, sauf à ce qu'ils vivent en semi-autarcie).

    Par conséquent les instabilités de ce système tendent toujours plus à s'accroitre, à cause de cette désindustrialisation mondiale provenant de l'appauvrissement des classes-moyennes de tous pays, via les ponctions monétaires oligarchique par le biais des impôts, des privatisations, augmentations des prix, productions monétaires, crédits/dettes pour tous et autres subterfuges (même les USA trumpiennes n'y échappent pas).

    P1020488.JPGIl est à remarquer que de plus en plus de peuples tendent à se révolter contre leur gouvernement, tous attendaient que la France se réveillât pour se faire.

    Cela provient autant de leurs difficultés grandissantes, de leur prise de conscience de leurs provenances, même si celle-ci est quelque peu indéfinie, que de la fragilité progressive des-dites oligarchies et, dès lors, de ces gouvernements sous leur autorité.

    C'est pourquoi je dis qu'il y a le retour de la politique.

    Pour le moins, chaque peuple choisit normalement celui de gouvernement qui lui convient, sauf quand une force supérieur au-dit peuple, ici ploutocratique, y met à la place un fantoche à sa botte, celui des macronniaiseux en étant l'exemple typique, il en est de même de celui merkellien en Allemagne.

    Or, de 2008 à bientôt 2020, le rapport de force tend à s'équilibrer entre un pouvoir oligarchique, anciennement puissant et désormais déclinant, et la prise de conscience populaire montante, continuelle, des raisons de la situation économique nationale et internationale.

    Ce mouvement est, actuellement, entrain de se croiser, d'où ce retour à la politique de la population, puis, à un moment donné, ce rapport de force, momentanément égal, s'inversera.

    Il m'est de prudence que de vouloir considérer que ce phénomène d'inversement de ces forces puisse être déjà  pleinement présent aux USA, ainsi de ne rester qu'uneP1030286.JPG idée seulement potentiel tant qu'aucune preuve formelle ne vienne l'étayer, il est toutefois à remarquer que ce pays a, depuis 7 décennies, une avance évolutive d'une dizaine d'années sur les pays européens, donc sur la France.

    A ceci j'y rajoute mon hypothèse (puisque elle n'est pas également vérifiée totalement par des faits) que la déchéance des deux empires, URSS/USA, à trente ans intervalle, s'effectue suivant un processus inversé en miroir.

    Partant de cette idée, je considère qu'il est fortement probable que ce sera à cause de mécanismes politiques US, dès lors provenant du peuple, que le système économique monétariste mondialisé s'effondrera.

    Si j'y fait intervenir une autre de mes idées, celle, en postulat, voulant qu'il n'est pas possible de réformer une organisation politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, sauf à l'auto-détruire.

    Et que des trois composantes en jeu en temps de réforme autodestructrice d'une telle organisation, j'en rajoute une quatrième, nouvelle, concernant l'empire US, mais aussi sa perle coloniale qu'est l'Union-Européenne:

    1)-la première critique et réformatrice, l'équipe trumpienne et ses affidés;

    2)-la seconde conservatrice, l'état profond et ses affidés;

    P1030531.JPG3)-la troisième subversive et dissolvante, d'un ensemble d'obédiences complexes d'une forme de sociale-démocratie jusqu'à un socialisme libertaire radical, en passant par un communisme à l'ancienne;

    4)-cette quatrième composante serait faite, donc, suivant cette perspective, d'un nationalisme d'état se développant au sein de  l'union Outre-atlantique, au Texas notamment;

    Nous pourrions considérer comme hypothèse, que je pense solide, la séparation de plusieurs de ces états des Etasunis qui remettraient en cause l'existence du dollar US en mettant en place une nouvelle monnaie nationale.

    Il n'est pas possible, en effet, que de telles instabilités économiques et politiques partout dans le monde et qui ne font que s'accroitre, ne génèrent un phénomène de rupture à un moment ou à un autre.

    Son centre de gravité, aux deux sens du terme, se trouvant au pays de Tonton Sam et du dollar US, puisque c'est là que s'y trouvent les tensions les plus fortes, comme de plus il y a des désaccords idéologiques de ces deux premières composantes entre la plupart des états des États-Unis et que des forces sécessionnistes s'y développent au sein de certains d'entre-eux.P1030098.JPG

    J'émets donc cette hypothèse, une de plus, que cette nouvelle dissidence pourrait être la raison pour laquelle ce système économique monétariste international s'effondrerait, un début de sécession précédant l'éclatement des USA.

    Aucune de celles que je vous avais déjà proposé par le passé à votre réflexion ne me paraissent pleinement satisfaisantes, celle-ci, du-moins, bien que surprenante, au parfum, je l'avoue, quelque peu fantasque, me semble être la plus solide de toutes, même si je n'en ai pas non plus une pleine satisfaction.

    Cela voudrait dire en effet que ces quelques états seraient en phase discrète de mise en œuvre de cette indépendance et, ce, de tous points de vues, politique, économique entre-autre, sans être repéré par le pouvoir central.

     

    Mais pourquoi  donc donner comme titre de ce billet: De la régénération?

    C'est parce que je sens l'envie populaire grandissante d'un renouveau de la connaissance, de l'érudition et de la critique des croyances, chose que je ressens en France, ben oui, c'est mon pays, sinon, aussi, je n'en serais pas à écrire ces lignes, de vouloir comprendre la réalité des causes de notre situation, de vous en P1020207.JPGexposer mes réflexions.

    Lié à la monté puissante du sentiment patriotique que les gilettistes nous ont montré, faisant la preuve que notre indétermination d'Être, notre perte d'identité, s'efface à  son rythme, ce qui ne peut que nous conduire à la régénération de notre pays, du-moins à ses débuts.

    Parce que, aussi, je ne vois pas comment les USA pourraient se sortir autrement du bourbiers dedans lequel ils se sont mis et nous ont mis à leur suite, des forces  contraires qui s'y confrontent de plus en plus, ainsi que de l'affaiblissement continu de leur état profond et du pouvoir central.

    Que si je suis logiquement cette hypothèse d'un effondrement inverse des USA par rapport à ce qu'il s'était passé en URSS, où, pour ce second, l'éclatement de cette union à fait suite à sa dissolution, je peux donc postuler que pour le premier cet éclatement

  • Voici venir le temps de la radicalisation.

    Oui, voici venir le temps de la radicalisation.

    Ô, bien sûr, je peut faire erreur, ne pas avoir compris ce qu'il se passe, ne pas avoir compris ce que je ressens, ne pas avoir compris les dynamiques de l'époque.

    Mais je ne serais pas étonné qu'à ces élections européennes de bonnes surprises éclairent les visages de messieurs Mélenchon, Dupont-Aignan et Asselineau.

    Certes, nous fut bombardé, pour ces élections, d'inconnus groupuscules tel que Espéranto et d'autres aussi ridicules, plus ridicules, même, qui sauront piocher quelques voix par-ci, par-là pour affaiblir ces trois partis que sont le Front-de-Gauche, Debout la République et l'Union Populaire Républicaine.

    Alors, si votre cœur penche à gauche, votez pour le premier.

    Si vous êtes gaulliste, comment ne pas mettre son bulletin de vote pour le second.

    Et si vous pensez qu'il faut définitivement abolir l'Union-Européenne, le troisième ne pourra qu'être votre choix.

    Enfin, si vous pensez que cette Union-Européenne ne peut qu'être que la seule solution à tous nos problème, trois autre possibilités s'offrent à vous: P.S., U.D.I., U.M.P..

    Le F.N.?

    Quel importance a ce parti sinon celle qu'il se donne en faisant continuellement le jeu de l'U.E. en nous faisant croire du contraire, en essayant de mimer ses viles et exécrables ancêtres et surtout, en tremblant devant le risque de disparition de son réel chef et créateur, Jean-Marie Le Pen.

    Oui, voilà le temps venu où les radicalités s'exprimeront.

    Il y a eu trop de mensonges, trop de trahisons, trop de cachoteries, y furent-ils forcés, peut-être, mais quand bien même, les résultats sont là, plus personne ne veut plus de la classe politique actuelle.

    Qui veut, en vrai,  encore de l'Union-Européenne sinon ceux qui ont peur de ce qui arriverait si elle disparaissait, sinon ceux qui y ont quelques intérêts, sinon ceux qui ont l'impression qu'ils pourraient en avoir quelques intérêt, sinon ceux qui ne pensent pas que l'Europe puisse exister sans son union, sinon ceux qui ne comprennent pas que ce que l'Union-Européenne leur permet de faire pourrait se faire sans elle?

    Ce qui pourrait nous fasciner le plus c'est cette unanimité de nos décideurs euromaniaques, leurs discours semblables si bien partagés, de ce sentiment donné d'une similarité de pensée et de conception, c'est partout dans les gouvernements de cette union, mais surtout au sein même de l'Union-Européenne.

    Or cela ne peut être que d'une unanimité de façade, parce que l'histoire le montre et notre psychologie si humaine aussi.

    Principalement quand un groupe de personnes dirige un pays, une union ou n'importe quoi d'autre sans en être élu et n'a pas un réel chef sur qui s'appuyer, se référer et obéir, toujours les intérêts divergents, les intrigues et les cabales se mettent en place et les complots s'installent.

    Et même si une puissance étrangère chapeaute ce groupe, chacun, chaque clan, chaque coterie fera tout pour tirer le plus d'avantage pour lui seul.

    Il ne peut en être différemment pour une bureaucratie d'une union sans réels élus pour les maintenir à leur juste place, quand des chefs de gouvernement ne leur rendent visite que parce qu'il le faut bien ou qu'ils ne se retrouvent entre eux que pour se disputer de tel ou tel problème les laissant toujours en désaccord.

    Alors seule cette administration tranche, elle tranche n'importe comment en laissant tous les gouvernements dans les pires des mélasses, hormis celui qui a pu se désigner comme dirigeant en chef, ici l'Allemagne, elle a pu se désigner, elle l'a fait, elle ne pouvait pas faire autrement, elle n'a pas eu tord bien qu'elle en ruine tous ses voisins.

    Alors parfois, alors souvent, c'est elle qui tranche, pour ses propres intérêts, ses seuls intérêts, ce qui n'est pas normal mais logique.

    Et si, de plus, cette union est décorée d'une assemblée fantoche... mais qu'il faut tout de même élire.., ne faudrait-il pas, absolument, qu'elle fasse le plein d'élus empêchant cette administration inepte de faire ce que bon lui semble?

    Ne devrions pas déposer notre bulletin de vote au nom de l'un de ces trois partis sus-nommé?

    Parce qu'une administration comme celle-là est-elle digne d'être désignée comme telle, fait-elle preuve d'une quelconque efficacité, est-elle probe et honnête?

    Alors, revenons à ces coteries, à ces clans et à ces individualités aux recherches de privilèges et de faveurs.

    Toujours, c'est lorsque se fragilise ce qui leur permet d'obtenir leurs prébendes aux désavantages de ce pays, de cette union, de ce n'importe quoi d'autre, que les désaccords, les querelles, les intrigues, les cabales, les complots deviennent les plus virulents et violents, que les haines deviennent les plus tenaces.

    Cela fait fuir l'homme de bien qui, de toute bonne foi, fait son travail au mieux en servant ce pays, cette union ou ce n'importe quoi d'autre.

    Ne reste plus là que les gens aux intrigues et complots qui intriguent et complotent les uns contre les autres.

    Mais restent leurs ennemis, tous ceux qui veulent leur retirer ce qui fait leurs privilèges et leurs faveurs qu'ils haïssent et craignent à la fois.

    Ceux que nous devons élire!

    Alors, de tous ceux-là de cette administration, quel sera celui, quel sera le clan, quelle sera la coterie qui, par ses agissements, ses décisions, ses folies détruira le pays, l'union ou le n'importe quoi d'autre qu'il avait sous une responsabilité qu'il a abusé et leurré pour de ses seuls avantages?

    Quel sera ce plus fou que les autres pour détruire ce qui le nourrissait?

    C'est cela que nous montre l'histoire et cette psychologie si humaine et ces deux unions de chaque bord de l'Atlantique, en relation de subordination, souffriraient-elles toutes deux des mêmes maux?

    Lequel pourrait détruire l'autre, pas par vilénie mais par appât du gain et plus encore, par pure sottise, ou alors cela ne viendrait-il de cette banque ou d'une autre où ne pourraient qu'exister, sûrement, les mêmes faiblesses?

    Ou bien tous trois ne s'effondreront-ils pas par le propre poids de tant de temps passé à autant de fadaises, d'inepties et d'incompétences, ne mourront-ils pas de leur belle mort d'avoir accumuler autant d'inconsistance, que du vent, certes, mais soufflant encore avec un peu de force?

    Sont-ils encore aussi dangereux que cela?

    Peut-on faire des paris de savoir lequel des trois en premier rendra son dernier soupire, d'où sortira le dernier râle?

    Qu'en cela et en d'autres j'aie tord ou raison.

     

     

    THEURIC

  • Questionnement d'un béotien sur l'économie:

    Quelqu’un pourrait-il m’expliquer à quoi pourrait bien servir qu’il y n'y ait plus, ou presque, que du travail à bas salaire ou du chômage quand cela ne permet plus, à ces travailleurs, que de survivre et, dès lors, ne peuvent plus qu’acheter que le minimum vital?


    Est-ce cela qui fait fonctionner une économie?


    Quelqu’un peut-il me dire si poursuivre la course après le pouvoir d’achat ne serait pas une façon de courir après la déflation, de la faire enfler, puisque de ne parler que de cela ne veut dire que de conseiller d'acheter les mêmes choses moins cher et, dès lors, en fin de compte, ne peut qu'à terme faire baisser les salaires?


    Cela fait depuis combien de temps que l’on nous parle que de pouvoir d’achat mais jamais de salaire?


    Quelqu’un pourrait-il me dire qu’elle est la limite aux baisses de salaires et ce quelque soit la forme que ce salaire prend (salaire + sécurité sociale, assurance chômage, retraite…)?


    Ne pourrait-on pas trouver un pays où les émoluments sont plus bas que dans n’importe quel autre pays?

    Quelle est la limite des baisses de salaires?


    Quelqu’un pourrait-il me dire si il ne serait pas possible de trouver un pays pouvant fabriquer n’importe quoi, ou presque, à un coût plus bas que dans n’importe quel autre pays?


    Mais cette fabrique de ce n’importe quoi à un coût de plus en plus bas ailleurs ne génèrerait-il pas un nombre de plus en plus important de chômeurs et de baisses de salaires ici, dans les pays qui, à l’origine, fabriquaient ce même n’importe quoi?

    Et n'est-ce pas que dans ces seuls pays là, en occident, que sont vendu ce tas de n"importe quoi, de moins en moins cher, fabriqué ailleurs?

    En Chine, des entreprises ne ferment-elles pas parce que les salaires y sont déjà considérés comme trop importants?

    Trop importants pour qui?

    Ces chômeurs et salariés avec leurs rétributions en baisse, ici, peuvent-ils toujours acheter ce même tout et n’importe quoi ou ne peuvent-ils qu'acheter le nécessaire?


    Et puis, à quoi servent les frontières?


    Combien sont ceux, qui nous gouvernent ou nous médiatisent, pouvant répondre à ces questions, simples dans leurs énonciations, qui ne devraient pas être trop ardues dans leurs réponses?


    Être pour des frontières ne serait-il pas la réponse logique d’une réelle gauche démocrate-républicaine telle qu’elle existait à l’entrée du XX° siècle et qu’elle devrait se revivre?

    Ne devrions-nous pas redevenir, nous gens de gauche, démocrates -républicains et refermer les frontières?

    (Pourquoi dans les villes de France n'y a-t-il pas ou si peu de place, passage, rue, boulevard, avenue de la démocratie?

    République est-elle Démocratie?

    Démocratie est-il un mot tabou?)

    Dès lors, que se passe-t-il lorsque la logique d’un système met ce même système dans une situation de déséquilibre n’allant qu’en s’accentuant, sinon que ce système ne peut aller qu’à son auto-destruction?


    Pour qu’une entreprise fasse des bénéfices il faut qu’elle vende sa production.


    Logiquement il faudrait que les personnes travaillant dans les autres entreprises gagnent suffisamment pour pouvoir acheter ce que produis la-dite entreprise et réciproquement.


    Si il y a baisse des revenus ou disparition, par le chômage, d’un nombre de plus en plus important de personnes travaillant dans d’autres entreprises, l’entreprise sus-nommée ne pourra plus vendre ce qu’elle produit, me semble-t-il.


    Ou alors elle-même se débarrassera d’un certain nombre de ses employés ou fera de manière à ce que gagnent ses employés comme salaire baisse, quitte, pour cela, à ce que cette entreprise fabrique là ou les payes sont médiocres.


    Si, de plus, le taux de ce que cette entreprise doit rembourser du crédit qu’elle avait perçu par la bourse, par la banque, par les investisseurs augmente, elle sera doublement dans la nécessité de faire baisser les émoluments de ses employés ou de les mettre au chômage.


    Ce qui, naturellement, obligera les autres entreprises de faire de même puisque ces employés gagneront moins.


    Que cela soit fait à l’échelle nationale, régionale ou internationale.


    Mais alors, les questions que quasiment personne ne pose:


    -Qui achète en Occident et qui achète ailleurs???


    La deuxième question, liée à la première:


    Les investisseurs qui avaient prêté à ces entreprises, sous quelque forme que ce soit, ont aussi prêté aux particuliers qui sont les employés de moins en moins payés, grâce aux banques, et ont fait des crédits aux états pour qu'ils puissent combler le manque d'entrée d'impôts, dû à  l'augmentation des chômeurs et à la fermeture des entreprises (mais est-ce aux banques privées ou à la banque d'état de prêter aux états?).

    -Ces investisseurs pourront-ils être remboursés de ce qu’ils ont prêté du fait de cette baisse d’émolument dû aux réductions salariales et montés du chômage qui ont elles-mêmes généré cette baisse de capacité d’achat et d'entrée d'impôts?

    Étant donné que ces investisseurs en viennent à prêter aux autres investisseurs, cela en inter-réciprocité et que les bourses et les investisseurs eux-mêmes sont coté en bourse, chacun, de plus, faisant crédit à l'autre, tous sont donc créditeurs et débiteurs de tous les autres.

    Dès lors, voici la troisième question:

    -Que se passera-t-il lorsque un ou plusieurs ce ces investisseurs feront défaut et ne pourrons rembourser leur créditeurs, soit à leurs collègues investisseurs?


    Quatrième question:


    -Que se passera-t-il quand le plafond des crédits impayés est atteint, dépassé et maintenant largement crevé?

    Cinquième question:

    -Ne serions-nous pas, depuis longtemps, à l'échelle mondiale, dans une discrète mais réelle et forte déflation?

    De quelle façon doit-on considérer les économistes, hommes et femmes politiques et journalistes qui n'abordent jamais vraiment ces thèmes là ou, quand ils le font, ne les évoquent que sur l'air de l’ironie et du dédain?

    Doit-on avoir encore confiance en eux?

    Et que se passera-t-il lorsque notre pays et l'Europe, pour une raison ou une autre, ne recevront plus toutes les marchandises qui jusqu'à présent nous parviennent d'ailleurs?

    Pourquoi si peu de personne n'abordent ces sujets là???

     

     

    THEURIC

  • Vision d'une métaphisique politique de notre situation.

    De tout temps il y eût autant de révolutions technologiques qui menèrent à de fulgurantes transformations sociales que des invariances indépassables qui, bien que sous des formes différentes, n'en demeurèrent et n'en demeurent pas moins des permanences inconscientes incontournables.

    C'est au centre de ces deux mouvements que se trouvèrent confrontées les sociétés humaines de 1918, voire bien avant, jusqu'à 1991: la lutte farouche entre la fulgurante transformation de notre technologie et  notre inconscient collectif.

    Mais maintenant nous en sommes à ce que de cette fulgurante avancée passée, nous vivons une révolution technologique plus inouïe encore, celle de l'informatique, sous tous ses aspects, c'est de cela qui fait que les sociétés tremblent infiniment plus sous leurs bases, bien que chacun en use et parfois abuse de l'outil, prises entre ces deux feux naturels aux Hommes que sont l'allant et l'élan vers la modernité et le frein conservateur constitutif de ce qui a fait société.

    P1000825.JPGC'est à cela auquel nous assistons en tant qu'acteur.

    Comprenez bien que ces forces monétaires, au nom de néolibérales, faute de mieux, sont aux prises, elles aussi, à ces doubles contraintes mortifères, c'est cela qui les détruit, étant entendu que je ne pardonne en rien de ces paroles, ne voulant juste que poser un regard attentif autant sur notre présent que sur notre devenir.

    L'aveuglement, notre aveuglement, puisque c'est de cela qu'il s'agit, est devenu si puissant, cela en raison de la violence de la transition mutagène que nous vivons, que nous nous murons au-dedans du vain espoir de recouvrer la simple réalité de nos aïeux.

    Celle de ce dualisme complexe du siècle dernier, de ce capitalisme de grand-papa, aujourd'hui devenu fou d'une modernité qu'elle ne comprend qu'à peine, à un communisme désormais forclos de n'avoir existé qu'en contrepoint d'une bourgeoisie en déshérence, en n'oubliant pas les extrêmes d'une droite, hier bestiale et criminelle, maintenant faite de potiches aux ordres de qui paiera au mieux et d'un gauchisme divagant au fil de l'histoire n'étant plus que l'ombre de son ombre.

    Or, c'est devenu impossible, nous ne pouvons pas revenir en arrière, les principes de l'évolution le veulent ainsi, que voulez-vous, les temps changent, internet en fait foi.

    Alors, que faisons-nous, coincés entre ce modernisme nous poussant dans les bras d'un renouveau social que nous craignons et refusons tant parce que inconnu, et d'un arrêt sociétal total impossible parce que l'arrêt d'évolution est la non vie, estP1000895.JPG l'angoisse du désir de mort en face de cette violente évolution que nous réfutons bien que nous la vivons?

    Comment régler cette complexe contradiction angoissante devenue impossible?

    Comme cela n'est pas collectivement pensé, alors ce sera la nature, notre nature, qui guidera nos choix.

    Or, que dit-elle, sinon que pour palier notre paralysie due à cette immensément puissante angoisse, ce seront de nos plus anciens réflexes sociétaux, ce sont déjà de nos plus anciens réflexes sociétaux qui reprendront, reprennent déjà cours, ceux de nos religions partagées, de nos ardeurs patriotiques, de nos désirs de puissance, de ces visions politiques aussi anciennes que celles des deuxièmes et troisièmes républiques, des relations homme/femme antérieures, d'une vie d'un XIXème siècle imaginé, cru et fantasmé bien qu'ignorées...

    Ce ne sera pas un réel retour en arrière, non, ce sera la redécouverte inconsciente du socle ancien sur lequel repose toujours nos pieds mais que nous avons écarté avec dédain, nous et nos anciens, au-devant de ces terribles traumatismes que furent deux guerres mondiales précédées et suivies d'autres conflagrations tout autant P1000866.JPGterrifiant et de la culpabilité des colonisations.

    Nous qui crûmes en écarter la commotion, le trauma, la blessure en laissant, antérieurement à d'autres, si proches et si lointains, russe et américain, le soin de nous guider, en une infantile béatitude, vers le non-être édénique d'une paix éternelle.

    Nous qui nous sommes placés sous le joug paraissant parental et bienveillant, bien que tyrannique, d'une Union-Européenne désormais haïe et rejetée.

    Elle qui n'est pas la cause mais bien l'un des multiples effets de notre désir passé de ne plus exister, elle qui n'est que l'ultime résultat de cette scission névrotique que fut la guerre froide, cette réunion mortifère de ces deux anciennes Europe de l'est et de l'ouest, cette pauvre créature d'un empire U.S. las de ses cendres, las de sa puissance, las de ses nuisances.

    Cet aveuglement dû à ce refus d'une modernité incontournable, cet aveuglement dûPICT0111.JPG à notre refus de penser cette modernité nous guide vers ce nécessaire archaïsme collectif, parce que nous n'avons pas d'autre choix, nous n'avons plus d'autre choix.

    Parce que seul cet archaïsme nous fera enfin accepter ce que cette modernité engendrera et ne peut encore pas générer: non pas le bonheur mais l'aventure, celle de notre humanité.

    L'Europe, fille de Zeus, n'est pas éteinte, n'est pas morte, ne décline pas.

    Contre sa volonté elle se trouve désormais au centre du monde, elle ne le veut pas, regimbe, rue, mord la poussière de se vouloir à terre, trépigne, fait refus d'avancer, s'assoit quand ce monde tourne autour d'elle, mais elle est là et elle le sait, nous le savons tous.

    C'est cet appel que nous refusons, l'appel à l'histoire que nous voudrions sans nous, rêvant encore à nos gesticulations passées, à ces joutes dérisoires par empires interposés.

    Anges et démons, nous mènerons cette modernité à son terme, pour le pire ou pour P1000831.JPGle meilleurs, que nous le voulions ou non, non pas parce que nous le souhaitons mais bien parce que le monde entier nous en fait l'appel.

    Et de l'Europe, au centre, se trouve la France.

    Et elle aussi, à l'encontre de son fort intérieur, de ses rêveries juvéniles, se trouve déjà au centre de tous les désirs.

    Le monde nous attend, ne le décevons pas!

     

     

    THEURIC

  • D'où la peur vient-elle au sujet du COVID-19 ?

    Il s'agit là autant de la peur naturelle des simples citoyens que nous sommes d'attraper une maladie mortelle, aussi que de celle, plus complexe, en raison de leurs décisions, des gouvernants ou, du-moins, de ceux qui sont censés l'être. 

    Cette peur, autant de la nôtre que des gouvernements provient du fait qu'il n'est pas possible de dire quelle est l'exacte proportion de gens infectés par ce virus au vu du nombre de malade et, dès lors, de décès, ce dernier pourcentage étant le seul clairement visible.

    Combien en effet sont ceux ayant attrapé ce virus et combien sont ceux qui, les ayant croisé, en sont eux-mêmes impactés.

    Une personne en contamine-t-elle 2, 3, 4, 5, voire plus ou moins et en combien de temps?

    Ceux des malades représentent-ils 2%, 5% 10%, 20%, 30%, ou plus ou moins, des quidams qui seraient atteints de ce COVID-19?P1020071.JPG

    Quelle proportion de gens n'en seront-ils jamais infecté, leur système immunitaire le rejetant automatiquement?

    Combien de ces porteurs sains sont-ils qui contaminent autour d'eux sans même être malade, ou d'un rhume vite passé?

    Pour le savoir vraiment, il faudrait tester un très grand nombre d'individus d'une agglomération assez populeuse et cela demanderait autant de temps, d'argent, de matériel et du personnel qui est déjà, quoi qu'il en soit, nécessaire ailleurs, soit dans les hôpitaux.

    Imaginez, par exemple, qu'une personne contagieuse offre monsieur Coronavirus à 2 voisins, puis qu'eux même le refile à 2 autres chaque jours et ainsi de suite, ceci en une simple expérience de pensée, cela ferait: 2, 4, 8, 16, 36, 64, 128, 256, 512, 1 024, 2 048, 4 096, 8 192, 16 384 personnes infectées en deux semaines.

    Ceci sans compter les transports bondés, les marchés surpeuplés, les villes touristiques grandement visitées, les magasins encombrés...

    C'est pourquoi la Chine, puis l'Italie ont pu décider d'endiguer cette propagation exponentielle en confinant leur population chez elle et le gouvernement français, P1030314.JPGmême après ses atermoiements actuels, sera bientôt contraint d'agir de la même façon que notre voisin outre-alpin, comme tous les autres pays de l'Union-européenne d'ailleurs à un moment ou à un autre.

    Ceci parce qu'il est impossible de prévoir ni le nombre de malade, ni le nombre de décès dû à ce virus qui, si rien n'est fait, ne pourra que se révéler pire encore.

     

    Cette situation montre, part ailleurs, que l'Union-Européenne est dans l'incapacité pleine et entière d'être un acteur valable dans cette crise sanitaire, la preuve en est en ce qui concerne l'Italie ou il a fallu que cette dernière fasse appel à la Chine pour qu'enfin l'union se bouge un peu le cul.

    Le gigote légèrement.

    La raison en étant qu'en plus de l'incompétence de ses dirigeants, choisis pour cette raison, son triple verrouillage, institutionnel, politique et idéologique, fait qu'en cas de crise elle ne sert à rien, ou plutôt à des effets néfastes en tentant de la faire perdurer, en essayant de contrecarrer les décisions gouvernementales qui se révéleraient contraire à son dogme constitutif.

    En effet, dès lors que le barrage à tout changement qu'est ledit triple verrouillage commence à se fissurer de manière importante, c'est toute son architecture politique qui ne peut que s'effondrer, emporté par le flot tempétueux de la réalité.P1020170.JPG

    Je crains qu'en France le confinement de la population ne se produise qu'après les élections municipales, or, nous l'avons vu,  le nombre de malade ne pourra, à ce moment là, que s'être grandement accru.

    Ce qui est une erreur politique majeur, bon ou mauvais résultat électoral, le REM des radioéléments et le gouvernement seront grandement affectés de leur manque de réactivité au vu du nombre de malades et de morts futurs dû à cette virose et, dès lors, atteindrait par là même l'UE si des mesures drastiques ne sont pas prises au plus tôt.

    Or, ce n'est pas seulement notre petit président de la république qui, s'il est en faute, ce n'est que de manquer grandement d'autorité autant que de caractère, ce sont, d'après le site Les Crises, Laurent Fabius et Gérard Larcher qui en sont les co-responsables.

    Voilà, tous ont choisi Emmanuel Macron comme président, nous l'ont vanté et vendu comme un paquet de lessive dans tous les médiats pour qu'il soit élu, aidé en cela par le RN et Marine Le Pen, aucun ne remettant en cause l'Union-européenne, et ils ne pensent ces abrutis, à de rares exceptions près, qu'aux élections municipales...

    P1030280.JPGCes gens sont franchement inconséquents.

    Car tout dépend désormais de la France et de ce tout petit bonhomme à la tête de son état.

    Voici la situation de cette infection dans les pays les plus atteints le 13 Mars 2020, l'Allemagne étant encore plus touchée que la France.

     

    L'économie mondialisée aussi est gravement mal-en-point, les déséquilibres entre pays producteurs et consommateurs ne peuvent qu'être que trop importants pour pouvoir supporter sans encombre une si violente pandémie.

    Que ce soit tant sur le plan économique, politique, géopolitique et géostratégique, il ne peut qu'y avoir, dès maintenant, l'avant et après COVID-19.

    Déjà l'union se délite, chaque pays refermant ses frontières pour éviter que plus de malades n'y entrent.

    Je ne sais pas si les États-Unis-d'Amérique survivront tel quel à cela, toutefois ils en sortiront très affaibli s'ils ne disparaissent pas.

    Devenus les héros de lutte contre ce virus, les chinois, après l'appel de l'Italie, ont obtenu une place européenne et internationale centrale, ce qui éloigne, de fait, leP1030550.JPG risque d'une troisième guerre mondiale: c'est, pour elle aujourd'hui, l'Occident qui a perdu la face.

    La Russie restant discrète.

    De plus, à la vue de l'impéritie, tant   économique, politique que sanitaire de l'union et des pays la composant, je pense que, désormais, c'est bien toutes les nations du monde qui la veut voir disparaître, même celles qui en font parti.

    Toutes ont et auront eu trop peur à cause d'elle, elle qui deviendra, sous peu, le bouc-émissaire idéal et historique sur lequel se déversera, avec raison, toutes les rancœurs.

    Malheur par qui le scandale arrive, dut-elle être institution.

     

     

    THEURIC

  • Un livre, trois vidéos, un texte.

    Je ne peux être le seul à fureter deci delà dedans un internet proposant tout un ensemble de points de vu sur toutes sortes et sur tous sujets.

    Tout autant nombre de lecteurs doit, comme moi, tomber sur des livres passionnants que chacun voudrait partager tout autant de billets parfois captivants découverts dans tel ou tel blog.

    Je vais donc ici vous présenter un livre présentant l'histoire de façon succincte mais chronologique, puis proposer à vos réflexions ce que j'ai pu découvrir sur la toile au gré de mes pérégrinations, soient trois film puis un libellé.

     

    Je commencerais par vous révéler un petit ouvrage qui, je le pense, captivera des jeunes aux moins jeunes qui n'ont, de l'histoire, que de vagues notions, égarés qu'ils sont dans ce manque de chronologie que l'école offre en instruction aux enfants.

    Les quinze aux quarante-cinq ans ne pouvant qu'y trouver, voire à y découvrir l'ordre temporel qui leur manque si cruellement, les autres y plongeant dans ce délice de la révision rapide.P1010448.JPG

    "Toute l'histoire du monde, de la préhistoire à nos jours" de Jean-Claude Barreau & Guillaume Bigot, collection Livre de Poche, Fayard, publié en 2005.

    Vous pouvez aussi trouver ce livre en P.D.F.. )

    Ils y montrent entre-autre que la défaite de 1940 ne fut que le fait de la bêtise et de l'incompétence des généraux, maréchaux et personnel politique qui ne voulurent jamais écouter le capitaine De Gaulle et qui restèrent ancrés dans une guerre 14/18 largement dépassée, dont au premier chef le maréchal Pétain.

    Cette phrase est  ô combien explicite en étant toujours totalement d'actualité, page 336, dernière ligne:

    "Le mépris du peuple est toujours la tentation et l'excuse des dirigeants défaillants."

     

    Voici ensuite un   film audio plutôt qu'une vidéo d'une vingtaine de minutes, où nous y entendons Monsieur Asselineau expliquer bien mieux que je ne saurais le faire la cause de cette désindustrialisation occidentale.

    Signé "Pascal P.", vous trouverez là l'ensemble de son travail.

    P1010789.JPG

     

    Ce second film est celui d'un policier, Alexandre Langlois, qui fut puni par sa hiérarchie pour avoir voulu informer le public des nombreuses et terribles dérives de la polices française sous la direction de Monsieur Castaner.

    Il y propose ici de débattre avec le ministre de l'intérieur qui ne lui répondra jamais.

    Une remarque au sujet de cette vidéo, il sera simple de savoir qui renvoyer de cette administration une fois que le système économique et l'Union-Européenne auront explosé, ce seront ceux qui auront reçu une médaille par ce ministre sans avoir su retourner leur veste avant (retourner sa veste à temps étant tout de même la preuve d'une certaine intelligence et d'une certaine indépendance d'esprit).

     

    Le troisième concerne le réchauffement climatique anthropogénique, sous forme d'une conférence d'une heure, en France, à l'invitation d'une association se nommant les Climato-réalistes, où un scientifique étasunien, dont voici la brève présentation: "... par John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires", y a présenté son travail.

    Il est à noter que cette conférence fut traduite pour ceux qui, comme moi, ne sontP1010824.JPG pas anglophone, ce qui montre le respect plein et entier de cette association pour la population, dont part ailleurs j'ignorais l'existence jusqu'à hier.

    Ce que j'apprécie surtout ce fut la pondération de ses réflexions où, par exemple, il y explique qu'en effet le CO² a bien mené un accroissement de température atmosphérique mais extrêmement réduit.

    Ce monsieur représente les U.S.A. inventifs et honnête que nous ne pouvons qu’apprécier et non pas de son coté obscure que nos élites adore tant.

     

    Enfin le texte se trouve sur le site de l'U.P.R., pour ceux qui le connaîtraient pas en voici l'adresse.

    Sous le titre: "LA « START-UP NATION » ? Ça marche si l’on respecte le génie français ! " ce billet de Paul Vallier, plein d’optimisme est vraiment rafraichissant mais, surtout, montre ce que je ne cesse d'écrire: notre situation est loin d'être catastrophique, même si nous aurons à traverser une période difficile.

    Et qu'en dix ans nous recomposerons un tissu industriel et agricole complet, mais ceci ne pourra s'effectuer qu'à partir du moment où nous aurons quitté cette satanée Union-européenne, soit de notre fait par l'élection de François Asselineau à la présidence de la république, soit en raison de la désagrégation de cette union mortifère.

    P1020167.JPGUn petit trait historique en passant, le terme bien français de "système D", D pour démerde, fut inventé par les poilus de la guerre de 14/18.

    Bon visionnage et bonne lecture à tous.

     

     

     

    THEURIC

  • Trump, d'empire à colonie, suite...

    Ce texte fait suite à celui précédent au même titre ( trump-d-empire-a-colonie-5877267.html ) où j'y explorais les interrelations de dominant à dominé dans une situation coloniale telle que la nôtre.

    Tous deux furent écrit en commentaire sur le site Businessbourse, me semble-t-il (en vrai, je ne me souviens plus exactement où), le premier fut copié-collé tel quel, le second est remanié afin d'y préciser certaines de mes réflexions.

    Mon approche est simple et prend son point d'appui sur le fait que les États-Unis-d'Amérique se trouvent dans une situation de délabrement telle qu'ils ne peuvent progressivement plus assurer leur domination impériale.

    Ce qu'une partie de l'élite britannique a  fort bien saisi, d'où le référendum de Grande-Bretagne d'un brexit qui fut, à mon sens, la conclusion d'une stratégie discrète étendue sur des années.

    Pour nous, français, ainsi que pour les peuples toujours sous le joug de l'oligarchie impériale U.S., il est d'une extrême importance de saisir en plein notre condition de captivité économique, politique et culturelle qui, à y regarder de près, se révèle être de plusieurs niveaux, pour la France, nous pouvons la percevoir comme d'échelle nationale, européenne, étasunienne et internationale.

    En effet, il s'agit  bien d'un ensemble d'oligarques, plus ou moins en accord, au moins sur l'essentiel, plus ou moins en désaccord de qui s'approprie quoi, mais qui, bon an mal an, ne peuvent pas ne pas se connaître et se reconnaître les uns les autres.

    Pour assoir leur pouvoir, ils surent prendre le contrôle de l'administration européenne, des banques et du flux monétaire communautaire, du pouvoir politique des états ainsi que d'une large majorité des médiats.

    DSC_9562.JPG

    Nous en connaissons tous quelques-uns par leur nom, ad-minima de notre propre nation, tel que Bernard Arnaud et Pierre Gattaz en France, chaque pays ayant les siens, partageant, en Union-Européenne, une perception aristocratique de leur position sociale de domination sur la population et de leurs pleins droit, quasi divin, sur elle ainsi que sur l'économie nationale et européenne.

    C'est bien sur l'oligarchie impériale qu'ils se sont jusqu'à maintenant appuyé pour maintenir cette domination.

    D'où leurs angoisses existentielles, bien compréhensibles, lors de ce brexit et au vu de l'affaissement continuel de l'économie européenne et internationale, ne pouvant que conduire à l'effondrement des trois dimension de la globalisation économique, monétaire et bancaire, commercial, routier, maritime et aérien, et industriel.

    Mais ce n'est pas sur ce sujet que porte le texte qui suit.

    Il porte sur la responsabilité qui, désormais, nous échoit, autant en tant que citoyen électeur que de bientôt ancien colonisé, soit la vision que nous devons porter sur l'impérium américanum ainsi que de sa nouvelle évolution politique et économique (l'élection de Monsieur Trump).

    Il porte aussi sur le degré d'importance que nous devons accorder à cette évolution.

    Pour le reste, soit l'oligarchie nationale et européenne, elle n'a d'importance qu'en raison même de la puissance de celle outre-Atlantique et de l'efficience du monétarisme boursier et spéculatif.

    Que l'un des deux disparaisse, ou mieux encore, que ces deux là se retrouvent anéantis et ils ne pourrons qu'inéluctablement les suivre dans cette déroute.

    C'est pourquoi je ne fait qu'aborder ce thème qu'ici-même et non pas à sa suite.

    PICT0286.JPGIl est illusoire de penser que Trump soit réformateur pour notre propre intérêt, il l'est, soit, mais essentiellement pour celui de son pays.

    C'est pourquoi mon texte précédent montrait la responsabilité qui nous incombe, nous, colonisés, de penser notre position de dominés.

    Il y a historiquement, si je ne fais pas erreur, huit raisons pour lesquelles un peuple se débarrasse d'une domination impériale, et la plupart du temps elles se conjuguent toutes l'une l'autre:

    -L'affaiblissement économique de l'empire dû à l'autophagie de son oligarchie, soit l’absorption, par elle, des richesses de sa population et de celles de ses possessions;

    -L'affaiblissement militaire de l'empire, pour les mêmes raisons;

    -Affaiblissement politique -idem-;

    -Le prix de ces colonies rapportant moins que ce qu'elles ne coûtent-idem-;

    -L'intervention d'une ou de plusieurs puissances montantes-idem-;

    -La décision des colonies de se débarrasser du colonisateur-idem-;

    -Le recentrage du pays colonisateur au sein de ses frontières, dû à son appauvrissement -idem-;

    -Et au pire, déstabilisation du pays colonisateur telle qu'il peut en venir à se désagréger et disparaître et ce, toujours pour les mêmes raisons.

    Ainsi, les États-Unis-d'Amérique sont aujourd'hui dans une situation déplorable, je me suis amusé, ici même, si je puis dire, à reprendre deux chiffres fournis sur Businessbourse, celui du nombre de ses habitants et celui du chômage qui y sévit et ai recalculé le pourcentage de chômeur qui y prévaut, une simple règle de trois suffis ( reflexion-mathematique-sur-le-pourcentage-de-chomeurs-aux-u-5861010.html ).

    D'une population d'un petit peu plus que 324 millions, moins vingt pourcent dePICT0374.JPG personnes n'ayant pas l'âge de travailler, sur 102 millions de chômeurs, j'en suis arrivé à près de 40% de chômage, bien loin des 5% officiels et des 23% officieux annoncés et claironnés par les chroniqueurs et commentateurs économiques.

    La conclusion se fait d'elle-même, ce pays est exsangue et n'est plus en mesure de quoi que ce soit, sauf à de la gesticulation ou de la fuite en avant, d'où la nécessité pour les électeurs étasuniens d'écarter Madame Clinton (j'y reviendrais).

    Une fois cela fait et au vu de cette situation U.S. déplorable tant en tant qu'empire que de  nation, c'est à nous de nous prendre en main, le reste ne nous concernant plus, c'est leur problème, pas le nôtre!

    Sauf à vouloir rester sous le giron étasunien, ce qui, là encore, est un processus historique redondant et naturel.

    Mais c'est là que se situe l'importance de nos aspirations, c'est de cela que nous devons impérativement prendre conscience:

    L'empire U.S. n'est plus que son ombre, presque un cadavre, nous n'avons plus à en suivre les ordres, ni ses modes, ni ses exigences, ni ses multiples vexations dont nous sommes tellement habitués que nous ne les voyons plus, ni même ses rodomontades et ses manipulations multiples et dérisoires.

    Toutefois, trois pièges nous attendent encore.

    -Le premier consisterait à rechercher un nouvel empire de remplacement, ce que firent les anciens pays de l'est sous domination soviétique qui allèrent tout droit, dès que l'U.R.S.S. eût disparu, présenter leurs hommages aux U.S.A. qui les placèrent aussitôt sous la dépendance de  l'U.E.€./O.T.A.N..

    P1000622.JPGCe que nous pouvons dès maintenant percevoir au travers des œillades appuyées de Messieurs Fillon, Junker, Phillippot et de Madame Le Pen, à l'endroit de la Russie poutinienne.

    -Le deuxième serait le délitement du pays, ce que risque l'Allemagne, beaucoup moins la France.

    La très ancienne tradition jacobine de notre pays, de nature régulatrice, empêche en effet que ses populations diverses le composant aient, au fond d'elles-mêmes, une réelle volonté de se diviser.

    En revanche, la Germanie, qui elle s'était déjà désagrégée au XVIII° siècle lorsque le Saint-Empire-Romain-Germanique perdait de sa substance, et il n'eut ensuite besoin, à Napoléon 1er., que de peu d'effort pour faire disparaître définitivement l'Empire de Charles Quint, pourrait facilement disparaître en tant qu'Allemagne unifiée.

    -Le troisième piège serait de vouloir devenir empire à la place de l'empire.

    Ainsi ce même Saint-Empire-Romain-Germanique était devenu tel en référence à l'empire romain qui avait disparu, en remplacement, en quelque sorte.

    Cette tendance pouvant être bien plus dangereuse que les deux précédentes.

     

    Quoi qu'il en soit, par nature, les empires ne peuvent pas durer, ceci étant dû à ce que sa création nécessite l'existence d'une oligarchie, et si elle n'existe pas lors du début du développement impérial, celui-ci la génèrera, du-dedans comme au-dehors de ses frontières.

    Et elle, cette oligarchie impériale, n'existe et se développe que grâce aux richesses qu'elle tire de ses possessions nouvelles provenant de l'expansion coloniale.

    Mais dès que le-dit empire a atteint ses limites en fonction des capacités dePICT0296.JPG déplacement de l'époque, à pied, à cheval, en voiture, en bateau, en avion, la-dite oligarchie, parce qu'elle conserve son dynamisme, son désir, voire son besoin existentiel de domination et de richesse, commence à absorber les avoirs à l'intérieur même de l'empire, ceux de son propre peuple comme ceux des peuples conquis et soumis.

    Cela nécessitant le contrôle hégémonique de la politique, de la puissance publique et, aujourd'hui, des médiats.

    Ce qui conduit également à l'affaiblissement continuelle de ses forces armées, fer de lance de son dynamisme, de leur désorganisation les conduisant à une faiblesse devenant à la fin tragique, face à d'autres forces militaires.

    Là commence le délitement impérial jusqu'à que cela l'affaiblisse à un tel point qu'il finît par disparaître.

     

    Les U.S.A. furent l'empire ultime parce que les moyens de déplacements modernes sont devenus tellement rapide que les étasuniens en ont conquis la planète entière, sous une forme ou une autre, dès la disparition de l'U.R.S.S. (1991) et, ce, pendant dix ans environ, pour ensuite commencer doucement à sombrer dès l'entrée dans le XXI° siècle.

    Là où commença les crises économiques les plus graves (1999/2001), ceci expliquant cela.

    Trump comme Clinton font certes parti de cette oligarchie, le premier à un coté autocratique qui me déplait.

    Hormis cela, quand une personnalité à la volonté de vouloir prendre le pouvoir à 70 ans, c'est qu'il est soit fou, soit sage, la question restant de savoir quelle est réellement la constitution psychologique du nouveau président des E.U.A..

    La seconde, Madame Clinton, paraissant malade, aux agissements plus que douteux, aux malversations paraissant aussi nombreuses que diverses et, surtout, tendant, dans ses discours, à nous mener vers une guerre d'avec la Russie, évidemment désastreuse pour tous, devait absolument être écartée de tout pouvoir de nuisance.

    Mais lui, Monsieur Trump, comme tellement d'autres, ici comme là-bas, ne veulent tant pas voir l'effondrement économique qui vient, qu'ici comme là-bas, lui comme la plupart des responsables politiques et économiques, seront débordés par un tel basculement.

    IMGP0478.JPGEt cet effondrement de la globalisation provient des causes que j'ai montré plus haut, c'est pourquoi tant de pays se désolidarisent du dollar et, pour certains, comme l'Arabie-Séoudite, nous les refourguent en achetant tous ce qui passe à leur porté avec cette monnaie sans valeur que, part ailleurs, ils ne savent plus que faire.

     

    De fait, l'empire n'est déjà plus, c'est cela aussi et même surtout que nous devons penser, le reste ne les concernant qu'eux, les Amériques et les américains, pour nous, tout ce qui concerne leur nation sont leurs problèmes, pas le nôtre.

    Sauf en ce qui intéresse nos relations avec eux, notre décolonisation sur tous les plans, politiques, économiques, culturels, les échanges naturels entre des états matures et indépendants, les débats, nos désaccords, eux aussi naturels.

    Mais, et en cela ce texte peut sembler paradoxal, notre question centrale devrait être désormais: comment faire après la disparition de cet empire, de l'Union-Européenne, de l'euro et de toute une classe politique, journalistique et économique nous dominant et dominée par l'empire, habituée à lui obéir, qui ne comprend déjà plus rien à rien et qui se tiennent tous la main?

    Je me répète, les affaires américaines ne nous concernent plus, d'où les crises d'hystérie de toutes sortes de nos élites et édiles, jouant en interne à notre pays à l'américanisation outrancière, ainsi, pour moi, ces primaires françaises imbéciles ne sont que des crises d'hystéries de notre classe dirigeante éreintée et rien d'autre.

    Là nous échoit notre première responsabilité, soit de ne plus considérer les États-Unis-d'Amérique que comme un pays comme un autre, pas plus ni moins, pouvant disparaître du jour au lendemain.

    Notre deuxième responsabilité est de recouvrer et retrouver notre culture, quand bien même celle-ci sera naturellement coloriée, bigarrée, entremêlée de celle étasunienne, mais faire en sorte qu'elle ne nous étouffe plus sous son offre si facile tout autant, maintenant, qu'affligeante et infantilisante.

    Notre troisième responsabilité se doit d''être, dès à présent, philosophique et historique, parce que avant même de toute mise en œuvre, toute refonte politique, il faut d'abord penser notre position d'ancien dominé, la comprendre, tirer toute la substance de cette expérience collective s'étendant sur plus de 70 ans, voire du siècle.

    Enfin, reprendre en main la vie de notre nation, de notre état, de la politique de notre pays, de notre destin de peuple souverain, de nos frontières, de notre volonté collective, de retrouver et recouvrer notre indépendance se doit de devenir notre quatrième responsabilité, peut-être la plus importante d'entre toutes, parce que c'est cela, la politique souveraine du peuple, qui mène capturées 2006-8-1 00004.JPG les populations, les pays, les nations, les états, vers leur futur.

    Et non pas une quelconque domination de qui que ce soit sur qui que ce soit, pouvant conduire au pires des situations et des mésaventures, les empires en déliquescence furent, sont et seront toujours un danger pour les nations colonisées, leur survie impériale en dépendant.

    Voyez l'histoire proche et lointaine.

     

    Ainsi, quand bien même Monsieur Trump tenterait de réformer son pays de telle façon que celui-ci retrouve sa vigueur d'antan, qu'il le puisse ou n'arriverait à rien, cela ne nous concerne plus en rien, du-moins en tant que peuple dominé.

    Quand bien même Monsieur Trump voulait tenter de faire se per

  • Du macronisme philippard en marche: en route pour les dérives.

    Je me fais penser au sieur tirant sur l'ambulance, mais que voulez-vous, ce qui était prévisible survient: nos zélés zélotes du macronisme philippard que sont les députés de la République En Marche font tout pour.

    Certes, je ne vais pas jeter le bébé avec l'eau du bain, certains ne peuvent qu'être que d’honnêtes et intelligents élus qui, bon an mal an, désirent remplir au mieux leur fonction électif, quand bien même je ne suis absolument pas d'accord avec leurs présupposés idéologiques.

    P1010080.JPGMais comment considérer avec sérieux ces derniers lorsque l'on connaît les dérives que certains de ceux-ci commettent.

    Bon, passons rapidement sur les, euh, imperfections (?) de certaines des candidates de ce parti lors de ces élections législatives ( video-une-candidate-en-marche-se-ridiculise-sur-internet-84991 ), ( video-performance-desastreuse-dune-candidate-en-marche-sur-france-3-84729 ), ( video-la-candidate-en-marche-dans-le-rhone-expose-son-incompetence-la-television-84949 ),  j'en comprends que personne ne leur a donné la possibilité ni le temps de s'instruire un minimum de ce que peut être la communication politique.

    Ces trois dames avaient juste voulu faire preuve d'un petit peu de langue de bois, malheureusement, çà, ça s'apprend, parler pour ne rien dire est un exercice difficile, même avec une anti-sèche devant soi, et qui, comme tout, doit s'enseigner, faites l'expérience, amis lecteurs, en vous essayant au gromelot, vous verrez, ce n'est pas si évident que ça.

    Cela ne peut que vouloir dire que celles-ci furent envoyées devant les caméras sans qu'elles aient reçu la moindre formation initiale, jetées en pâture devant les médias sans filet qu'elles ont été, comme le taureau dans l'arène, le lapin devant le furet.

    En fait, nos propagandistes en chef furent tellement assurés que leurs manipulations mentales fonctionneraient qu'ils n'ont même pas pris la peine deP1010046.JPG former leurs futurs élus.

    De plus, cela ne veut que dire que seul le formatage idéologique suffisait à ces propagandistes, du reste, ils s'en foutaient complètement, elles auraient pu bêler que c’eût été, pour eux, du pareil au même.

    Le principal ayant été que Monsieur Macron obtienne la majorité à l'Assemblée-Nationale, quelle que puisse être la personne qui serait élue du moment qu'elle obéirait aveuglément aux décisions de l'oligarchie.

    Or, comme écrit plus haut, ce qui était prévisible survient et les débordements de ces zélés zélotes se suivent, sans se ressembler, heureusement, pour eux, du-moins (et puis ça nous donne l'occasion de rigoler un peu).

    Ainsi a-t-on appris, il y a peu, qu'un de ceux-là, Monsieur El Guerrab, aurait tabasser l'un de ses anciens camarade du P.S., cadre de ce parti de son état, Monsieur Faure.

    J'en ai lu quelques articles et, ma foi, il est visible que les journalistes doivent vraiment ramer pour justifier cette agression, en  accusant, à demi-mots, la victime d'avoir été le premier agresseur.

    Elle aurait ainsi tenu le poignet de l'assaillant en le traitant de "sale arabe", plus P1000758.JPGquelques mots d'oiseaux, pourquoi ce dernier n'a-t-il pas porté plainte plutôt que de le frapper, avec son casque, au demeurant, l'envoyant à l'hôpital, manquant autant de jugeote que de contrôle.

    Croyez-vous vraiment qu'un homme politique d'expérience laisserait passer une pareille aubaine, un coup sur la tête et il peut dire n'importe quoi, perte d'équilibre, douleurs aux cervicales, troubles du sommeil, ça ne peut pas se prouver?

    Croyez-vous aussi vraiment que les gens du P.S., enfin ceux qui reste, n'ont pas l'envie vibrante de se venger?

    D'ailleurs, comme je l'ai déjà dit, ils ne sont pas les seuls, ceux de L.R. aussi doivent attendre les marcheurs à reculons au coin du bois.

    Pour l'instant, ils patientent, et vous allez voir un de ces quatre, quand les R.E.M.s ne s'y attendront pas, quand ils seront bien fragilisés, comment ces vieux de la vieille de ces anciens partis politiques vont te les piéger, comment ils vont te les éparpiller façon puzzle, et tous ensemble iront à l'hallali en plus, P.S. & L.R..

    "Sus au macronisme", qu'ils diront, "taïaut, taïaut, taïaut et Monjoie! Saint-Denis!"

    L'ennemi de mon ennemi est mon ami, n'est-ce pas?P1000879.JPG

    Enfin  bref, il aurait pu, si ces injures sont réels, ce qui reste à prouver, attendre, comme l'ont fait maints politiques, pour se venger plus tard, ou même, à l'ancienne, dans un style troisième république, proposer un duel à l'épée comme l'avait fait Gaston Defferre et René Ribière il y a une soixantaine d'année.

    Au moins aurions-nous rigolé un peu et ridicule pour ridicule, Monsieur El Gerrab aurait certes perdu également la face au-devant de ses électeurs, mais avec élégance.

    Il aurait même pu user d'humour, comme Monsieur Chirac en son temps qui avait répondu, en tendant la main à un quidam qui l'apostrophait en criant: "enculé: "Moi c'est Chirac, enchanté."

    Donc, il a certes été mis en examen par le juge d'instruction et, de ce fait, démissionné de R.E.M. mais devinez quoi, il se retrouve maintenant à la commission de la défense ( #more-106802 ).

    Comme quoi dorénavant les élus de R.E.M. ne peuvent que se sentir intouchables.

    Un autre cas, montrant et démontrant le sentiment d'impunité de ces élus, me paraît révélateur de l'incroyable impudence de ces gens.

    Madame Pascale Fontenel-Personne, propriétaire d'une agence de voyage dans la P1010071.JPGSartre, organisait de petites visites de l'Assemblée-Nationale, contre la somme sonnante et trébuchante de 119€ que, bien entendu, elle conservait ( visites-payantes-a-l-assemblee-que-risque-la-deputee-pascale-fontenel-personne_2363377.html ).

    Il n'y  a pas de petits bénéfices, n'est-ce pas?

    Sans comprendre le sens de sa fonction élective, de ses responsabilités majeurs face à ses concitoyens, de la représentativité qui est sienne face à la nation, de son simple sens du devoir, cette façon de faire éclaire de manière incontestable que pour une partie de ceux de R.E.M. (le rem est l'unité de mesure nationale des effets biologique de la radioactivité, à l'international c'est le sievert, comme quoi nous comprenons cette propagande, les R.E.M.s sont radio-actifs, hi, hi, hi) qui se devraient d'élaborer et de voter les lois, ne perçoivent, de leurs fonctions, que leurs intérêts propres.

    Et les autres, tous les autres qui y croient, et ben, ils commencent tout juste à comprendre qu'ils se sont fait couillonner dans les grandes largeurs.

    Je suis allé voir le site C.A.M.E.M. ( https://www.camem.org/ ), association des adhérents en désaccord avec la direction de la République en Marche sans démarche.

    Quels naïfs, mais quels naïfs ils font, il se font balader comme des gamins, n'ont rien compris de ce qu'ils représentent réellement (rien) et, surtout, à qui ils ont affaire.

    D'ailleurs, il doit en être de même de quelques députés d'E.M., comme ce P1010058.JPGmathématicien, Cédric Villani, loin d'être sot mais qui n'a pas saisi que ni la politique, ni l'économie, du reste, ne sont des sciences réellement mathématisables.

    Sciences humaines, oui, du domaine de la sociologie, c'est vrai, mais tout autant de l'anthropologie, de l'histoire, de l'organisation, de la philosophie et de bien d'autres domaines qui ne peuvent être ceux ayant trait aux mathématiques, ou à la marge.

    Pour l'instant tout est beau, tout est rose, mais bientôt les oligarques leurs montreront leur visage grimaçant et les lois qu'ils auront à voter se révèleront de plus en plus souvent autant absurdes que contrintuitives, voire parfois ubuesques et destructrice.

    Et alors là, cette bleusaille si naïve en politique, qui se rêvait de tracer la voie pour la modernisation de la France, qui se rêvait fondatrice d'un lendemain qui chante, pourra se dire honteux et confus: "Mais mon dieu, qu'ai-je fait dans cette galère!".

    "Tout beau parleur vit au dépend de celui qui l'écoute", disait d'antan Lafontaine par le  bec du corbeau.

    Cette leçon leur vaudra plus qu'un fromage, sans doute, parce que ce n'est pas un renard qu'ils ont ouï mais bien des loups, ressemblant à ceux qui, d'antan, étaient déjà entrés dans Paris.

     

     

    P1010040.JPGTHEURIC

  • Considérations diverses.

    Bonjour chers lecteurs,

    C'est vrai, je ne vous avais jamais présenté mes salutations auparavant en entête des billets, je vais m'essayer de perpétuer cela, ce sera plus accueillant.

    Ici j'ai réuni 14 23 textes et vidéos que je commenterai, certains me paraissant appuyer certaines idées que je développe depuis, pour certaines, longtemps.

                                                         ______________________

    Il ne peut qu'être plaisant pour chacun d'entre-nous d'avoir confirmation d'une hypothèse.

    Ainsi  je n'ai eu que de cesse d'affirmer que, comme l'URSS, l'UE ne peut pas être réformée et, ce, pour des raisons semblables.

    Bien que cela soit d'évidence en ce qui concerne l'union puisqu'il faut l'accord deP1040862.JPG tous les gouvernements et des parlements des pays la composant pour faire évoluer la moindre virgule des traités, qu'elle est dès lors triplement verrouillée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement, je n'avais pas de preuve en ce qu'il en fut de l'Union-Soviétique, n'en ayant qu'une approche intuitive.

    Or, le journal internet Sputnik, le 5/7/2020, sous le titre: "Poutine explique quelle bombe à retardement contenait la constitution de l'URSS", venait me confirmer ce que je pressentais, l'URSS était, elle aussi, pareillement triplement verrouillée.

    Vous y remarquerez cette phrase du président russe: " Lorsque il [le parti communiste, ndlr] a commencé à se disloquer de l’intérieur, sans aucun impact extérieur, le pays a commencé à lui emboîter le pas. "

    Ceci venant en écho au paragraphe suivant.

                                                          _____________________

    La différence entre l'Union-européenne et l'Union-Soviétique se trouve en ce que la première fut créé à sortie de la seconde guerre mondiale par un empire thassocratique en expansion, les USA, quand la seconde fut la résultante, en 1921, d'une révolution, dite d'Octobre ou bolchevique, ayant eu lieu en 1917 par son propre peuple, suite aux dégâts due à la guerre 14/18 en Russie et des pénuries qui les accompagnèrent.

    Notre union est donc une créature US et la France en son sein est à l'image de ce que fut le Vietnam au-dedans de l'Indochine de l'empire français d'alors.

    ( Suivant toujours les ordres donnés par nos bons maîtres, la preuve du suivisme grandement naïf de nos censément dirigeants, en belle obéissance aux étasuniens voulant renverser le gouvernement du Venezuela. )

    Or, dès son début, vers 1948 ce me semble, ce fut ce qui était alors l'Allemagne-de-l'Ouest qui, choisie par les USA, en devint son nœud géopolitique stabilisant.

    P1050025.JPGDès lors que ledit empire thalassocratique US montra de grandes faiblesses dès le début du XXI° siècle, la Germanie prit progressivement l'ascendant sur l'union à mesure de cet affaiblissement.

    Le fait dès lors que Madame Merkel déclare que: "L'Europe doit considérer une nouvelle réalité sans leadership US...", puis que Gerhard Schröder, ancien chancelier allemand (premier ministre), en vienne à défendre le projet Nord Stream 2, soit la pose d'un gazoduc de Russie jusqu'en l'Allemagne, réactions allant à l'encontre d'un projet de loi étasunien pour de nouvelles sanctions portés pour contrer son installation (vous en trouverez l'explication dans le site d'Observatus Politicus: Chronique du grand jeu);

    Alors cela ne peut que vouloir dire que, désormais, un conflit ouvert, bien que discret, ne peut que s'être désormais mis en place entre les USA et la Germanie.

    D'ailleurs même certains de nos voisins d'outre-Rhin envisagent la disparition de l'union.

    Quand, dans le même temps, l'Italie commence à sérieusement regimber face aux velléités de dominations germaniques.

    La fragilité tant politique qu'économique de la France nous mettant, alors, au centreP1040599.JPG dudit conflit sous forme de processus de déstabilisation, puisque sans notre pays l'union ne peut survivre, au même titre que sans la Pologne le pacte de Varsovie ne pouvait perdurer.

    Il est en effet possible d'imaginer que quelques pays de l'union, telle que ladite Pologne, demeurent en lieu et place sous la domination US, l'UE ayant disparu.

    Cela présageant aussi la possible tentative d'éclatement de l'Allemagne par l'imperium.

    Cette fragilité française étant le thème prochain de ce billet.

                                                            ___________________

    De ceux qui se devraient être les élites de la nation semble perdre toute raison.

    Il en est quelques exemples croquignolets.

    Messieurs Aphatie à "Valeur Actuelle" & Ayrault au "Monde", ainsi que Madame Traoré paraîtraient  facilement être manipulés par l'état profond US dont le but serait, en ce cas, de faire monter le terrorisme d'extrême droite, auxquels les étasuniens se sont déjà allié, en Ukraine et dans certains pays baltes par exemple.

    Les deux premiers font à l'évidence de l'anachronisme autant sentencieux  que consciencieux et sous ordre, grâce à deux journaux qui, cela est à signaler, appartiennent à des oligarques français, de mêmes naïfs tout aussi obéissants

    Si en effet nos hommes d'état d'antan faisaient preuve de racisme, alors savent-ils, tous ces braves gens, ce que leurs ancêtres pensaient des personnes différentes d'eux, africains, asiatiques, voire allemands ou polonais?

    P1040584.JPGSûrement était-ce la même chose que ce qu'il en fut de nos figures tutélaires, alors, ne se devraient-ils pas de se couvrir la tête de cendre et de se mettre à genou, les mains jointes, en signe de repentance?

    La troisième a reçu un prix oligarchique de notre bon maître.

    Je fus surpris de la remarque de Roselyne Bachelot, elle qui, au début de la crise pandémique avait raconté qu'elle avait de la rage au sujet du manque de masque et qui, aujourd'hui, dit que le pays, visant essentiellement les équipes soignantes hospitalières, était infantilisé, ne sachant se débrouiller pour remplacer le matériel médical manquant.

    Mais quelle est donc cette mouche qui l'aurait ainsi piquée?

    Répétant à l'envie qu'au grand jamais elle ne referait de politique et, ce, depuis 2012, la revoici aujourd'hui, allant rechercher son petit coin ministérielle, de la culture, autre temps, autre mœurs.

    Qu'il y aurait-il de mieux pour elle que de fustiger ainsi médecins, infirmières et aides-médicales pour montrer toute sa soumission au président et au premier ministre?

    Ce même gouvernement ou, du-moins, le précédent, cela risque de ne pas changer pas grand chose, offre nos données médicales à Microsoft, ce qui démonte encore  une fois cette faiblesse à tous.P1040671.JPG

    Mieux encore de ces égarements, ne voila t'y pas que la marque Loréal a décidé de retirer les mots tels que blanc, blanchissant et clair de ses cosmétiques, sûrement provenant de communicants dont on se demande ce qu'ils font à leur poste, qui croyaient ainsi naviguer sur la mode des français tous racistes.

    Vulgarité de cette médiocre intelligentsia française publicitaire, ces gens ne se sont pas rendu compte que cela mettait beaucoup de personnes en colère.

    Un certain Vikash Dhorasoo, footballeur de son état, dénonce la colonisation, ce qui serait certes heureux s'il s'agissait de celle moderne de l'Europe par les Etats-Unis-d'Amérique qu'il doit adoré, sait-il, notre sportif, que les indiens vinrent dans les département et territoires d'outre-mer librement, pour y suppléer au manque de main-d'oeuvre?

    Ses parents et grands-parent n'ayant jamais été colonisés, ou si, ces derniers par les britanniques, lui veut remplacer les statues des colonisateurs par celles de Zidane et Mbappé, où l'on peut percevoir son niveau de jugeote.

    Au fait, à  combien remonte sa fortune d'avoir joué toute sa vie à la balle et combien gagne une infirmière?

    Et son peuple originel ont-il ou non été des envahisseurs d'autres peuples par le passé, des colonisateurs?

    A ces faillites suivent d'autres, les fils et filles de  classes-moyennes supérieures, écolos gnangnans, faisant manifestation interdite pour le climat, sans être tabassés contrairement aux gilettistes, même s'ils bloquent la rue, au moment où ce qui chauffe le plus et est le plus pollué ce sont les esprits?

                                                                _________________

    Voici une autre confirmation, celle de mon hypothèse d'une compulsion de répétition collective centrée sur la seconde guerre mondiale: "Les américains vont débarquer à la Rochelle..." titre Sputnik.

    Quelle qu'en soit les raisons et quand bien même serait-ce pour se rendre en Pologne, toujours est-il que les USA débarquent en France plutôt qu'en tout autre port plus au nord qui aurait pu très bien les accueillir.

    Cela ne faisant qu'accroître le coût de ce débarquement, n'est-il pas?

  • Charles Sannat et l'inflation.

    Avant-propos:

     

    J'ai d'autres chats à fouetter que de répondre aux élucubrations de Monsieur Sannat, j'ai un petit meuble de salle de bain à finir de construire, suivit d'achever le dessin puis l'achat du bois pour celui, plus grand et complexe, de la cuisine.

     

    Mais aussi d'écrire les poèmes pour que, dès que j'en aurai suffisamment, je les proposerai à un éditeur.

     

    Mais je ne peux pas laisser passer les béances conceptuelles que ce Monsieur déblatère, donc, je ne peux pas faire autrement que de lui répondre rapidement.

     

    Oui Monsieur, vous êtes dans l'erreur la plus totale et cruelle! 

     

    Vous ne voyez d'inflation que de celle des étals populaires, or vous oubliez que celle-ci est bien présente, non pas chez les particuliers mais dans les opérations spéculatives, entre-autre boursière, c'est pourquoi Wall-Street et le CAC40 sont au plus hauts, d'entreprises qui, pour beaucoup, sont dans une situation déplorable.

     

    Alors, que cela veut-il dire que le nouveau gouvernement US va remonter ladite inflation US dans ce pays gravement quasiment désindustrialisé?

     

    Tout simplement qu'en plus de déverser un tombereau de monnaie dans les places financières, nos olibrius outre-atlantique vont faire de même pour sa population et, là, vous pouvez être sûr que vous y aurez une inflation pour ce peuple égale à la masse monétaire qui y sera déversée.

     

    Parce que voyez-vous, mon bon Monsieur, la vrai, la bonne inflation, située entre 5 à 7 % provient de la plus-value dégagée grâce aux transformation des matières brutes ou première en produit finis vendus, ensuite, à la population, le reste, services et monnaies compris, n'étant que les composants nécessaires au bon fonctionnement d'un pays.

     

    Cette inflation n'étant que l'entropie d'une économie pérenne, le reste n'étant que de la pire des sottises!

     

    C'est pourquoi vous avez perçu l'existence de cette inflation dans cette période appelée les trente  glorieuses: et oui, nos usines, fabriques, agricultures, mines étaient présentes en France lors de cette période, parce que notre pays avait ses frontières à demis poreuses et que notre économie se faisait sur notre sol!

     

    D'ailleurs, voici ce que j'écrivait sur ce thème en 2018, :

     

    ( Pour faire vite, les usines et fabriques, ainsi que les mines, fermèrent en France et en Occident pour que la même chose soit extraite et/ou usiné et fabriquée ailleurs, là où les salaires sont plus bas, pour être revendu là où ces usines, fabriques et mines ont fermé, soit dans ce même Occident.

     

    Phénomène débuté dès la fin des années 70, il y mena progressivement à une monté du chômage et baisse des émoluments, puis à un accroissement de la masse des crédits de toutes sortes, ceci fut grandement accéléré dès l'émergence de l'U.E., puis de l'euro.

     

    Dans le même temps, les propriétaires d'usines cherchèrent les pays aux payes les plus basses, Afrique-du-Nord, puis Asie, maintenant les pays africains sub-sahariens, le bout du bout de la médiocrité salariale.

     

    Comme vous pouvez le constater, cette déflation, puisque cela fait perdre aux produits vendus leur valeur intrinsèque, d'abord occidentale, touche aujourd'hui tous les pays mondiaux, sauf la Russie et ses proches alliés en raison des embargos U.S. les rendant autosuffisants.

     

    Ce qui mène aujourd'hui à une désindustrialisation mondiale puisque de moins en moins de gens peuvent acheter ce qui est produit, ce dynamisme étant accru à cause de la transformation de l'économie réelle, productive, en l'économie monétariste néolibérale par le processus de : crédit ⇒ dette ⇒ remboursement des intérêts & du capital, ce qui appauvrit d'autant les gens, les états et les entreprises.

     

    Ce qui nous conduit, ceci lié aux hyper-productions monétaires, directement à un effondrement catastrophique de l'économie-monde. )

     

    Partant de cette idée, je vous renvoie cette autre annotation, déjà un copier-coller datant de Mai 2020 sur la proportion d'ouvrier de 14 pays de l'union:

     

    ( Je fais un copier d'une partie de texte écrit ici:

    Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en France au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur est Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels, soit de cette économie dite réelle, en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    Allemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne ou de la République Tchèque est la plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est la plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est la plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Quels sont les pays véritablement ruinés? )

     

    Pour le reste et si tant est que vous me lisiez, il est à mon sens dommageable que vous entraîniez ainsi des gens à vous suivre dedans cette perdition.

     

    Vous trouverez toutefois toutes ces explication dans mes textes précédents, ne retrouvant pas celui traitant plus longuement de ladite plus-value.

     

    Mais bon, chacun est libre de dire et/ou écouter ce qu'il souhaite, toutefois que quiconque ne vienne pleurer de ses propres égarements.

     

    Mais bon sang, qu'il est donc terrible d'entendre et lire de telles ruineuses âneries, et oui, cher Monsieur, vous aussi êtes directement responsable de tant de malheur chez les français de par cette désindustrialisation du pays et de notre domination d'une union antidémocratique et d'un euro ruineux des nations!

     

    Vous aimez les Etats-Unis-d'Amérique, grand bien vous fasse!

     

    Mais quand vous reconnaîtrez vos fautes et cesserez de rêvasser, il sera bien trop tard.

     

    Bien à vous,

     

     

     

    THEURIC

     

    PS: Bon, ben, à partir de maintenant, je ne publierai plus que de la poésie, sauf que c'est plus long à produire...

  • La règle de trois: du gâteau!

    Je m'étais déjà essayé de vous raconter ce qu'est que la règle-de-trois et, ce me semble, je m'en étais complètement emberlificoté les ripatons, je vais donc, une nouvelle fois, vous l'en conter par le menu d'un exemple: une bonne pâtisserie.

     

    Elle n'est plus enseigné depuis longtemps, ce qui est bien dommage mais, surtout, dommageable.

     

    Or, ce petit mécanisme mathématique sert pour tout et tous, tout autant pour les scientifiques, les ingénieurs de toutes sortes, les agriculteurs, les charpentiers, les commerçants, les mathématiciens et j'en passe des métiers qui en font l'appel...

     

    Elle fut remplacée par les fractions qui ne sont, si on y regarde de près, que des mécanismes de division quand, là, il s'agit d'une multiplication doublée d'une division, et puis,  allez donc les diviser ou les multiplier lesdites fractions, c'est un véritable casse-tête-chinois.

     

    Voici comment cela se présente:

     

    La fraction:

     

                          A

                          _   =  C

                          B

     

    Vous remarquerez qu'il ne s'agit que, comme écrit plus haut, d'une division.

     

    La règle-de-trois, quand à elle, se note ainsi:       

     

                          A x B

                      ______   =  D

                             C

     

    Vous pouvez même en faire des constructions de cette sorte, par exemple:

     

                                              A x B

                                           ______   

                                                 C                   

                                       __________     x E  =  F

                                                 

     

     Bon, maintenant, allons voir de ce qu'il pourrait en être pour un gâteau, un cake aux fruit pour illustrer cette affaire (je m'en suis fait de ces régalades que je vous n'en dise que cela).

     

    J'ai, quand à moi-même, ma recette pour 6 personnes composée de: 200 gramme de farine, 70 gramme de sucre ou de miel, 125 gramme de beurre, 4 œufs (les blancs montés en neige et les jaunes blanchis au sucre ou au miel), deux cuillères à soupe d'un alcool parfumé (du rhume blanc antillais sans mouchoir ni de foin par exemple), 1/2 sachet de levure (de 15 g / 2 = 7,5 g) et des fruits à sa convenance ainsi qu'à l'humeur du moment.             

     

    Et puis, et puis, crac boum hue (comme le joujou extra), c'est l’anniversaire de quelqu'un et, plutôt que six il y aura 15 invités à cette fête, alors, comment faire?

     

    Il suffira juste d'utiliser ladite règle de trois pour cela (poils aux doigts..........de pieds, poils au nez):

     

    Farine:                     200 x 15

                                      ______  =  500 g

                                            6

     

    Sucre:                        70 x 15

                                      ______  = 175 g

                                           6

     

    Beurre:                      125 x 15

                                       ______ = 312,5 g

                                           6

     

    Oeufs:                            4 x 15

                                       ______  = 10 œufs 

                                             6

     

    Levure:                      7,5 x 15                       

                                      ______ = 18, 75 g

                                             6

     

    Les fruits, tant en leur quantité qu'en leur sorte, ce sera suivant, hein, j'aime particulièrement quand il y en a beaucoup autant qu'en mélange, mais ça, c'est un choix personnel.

     

    Bon, pour le four, 180 degrés pendant une trentaine de minute environ,  piquez le avec un couteau pointu pour savoir s'il est cuit, ricuicuit, ou attendez dix minutes de plus.

     

    Voilà donc la règle-de-trois par l'exemple.

     

    Je dois aussi vous prévenir de la chose suivant:

     

    Vous ne devez surtout pas la confondre, cette règle, avec la ville éponyme du Péloponnèse dont la guerre du même nom fit d’Ulysse le héro et le cheval de Troie l'une des premières ruse de guerre, ni de celle, de ville, Troyes, se trouvant dans le département de l'Yonne.

     

    A ce sujet, le bilboquet qui est un jeu entièrement français se joue à trois, un, deux et trois, le premier prend la lance et la boule, le second prend la boule et la lance, que fait le troisième?

     

    Je ne sais pas pourquoi mais il me semble que cela n'a rien à voir.

     

     

    THEURIC

     

    Ps : la réponse en cette question épineuse au sujet du bilboquet se trouve au-dedans de la question-réponse qui suit:

     

    Pourquoi casquette de chauffeur de taxi? Parce que rame de métro!

  • Que faire au-devant d'une crise ultime et dès lors inévitable?

    Rien d'autre que de s'y préparer, c'est tout!

    Mais avant toute chose je me dois de définir ce que peut être une crise et une crise ultime.

    Tout le monde à vécu des période où, progressivement, la situation antérieur se détériorait de plus en plus, ceci accompagnée de façons répétées de moments d'accélérations voyant se cristalliser cette détérioration, suivit peu après d'instants de stabilisations, voire d'un léger retour à la situation antérieur, en raison d'aménagements léger que chacun fit, laissant à penser que la rupture qui était en ferment n'était qu'une impression jusqu'au jour où, parfois pour des raisons insignifiantes, de manière soudaine, nous tombait dessus la rupture définitive.

    Or cette soudaineté n'est qu'apparence et que ce soit une séparation ou un divorce, un accident ferroviaire ou aérien, un conflit armé entre nations ou tout autres événements à l'avènement brutal, toujours les signes annonciateurs en préparation peuvent se lire.

    Ce sont les crises, en vérité simples crises secondaires, qui sont, en amont, les signes de cette crise ultime.

    Cette suite de crises suivit de la crise ultime vient des conditions originelles des relations entre les acteurs: dès le commencement, les fondements sont pernicieusement et discrètement déséquilibrées aboutissant, au bout d'un certain temps, à une rupture violente.

    Plus la crise ultime met de temps à se produire, plus violente sera la-dite crise ultime, lorsque, de plus, toute la palette des solutions non essentielles de "sortie de crise" (secondaire) sont utilisées, cela ne fait que retarder la survenue de la crise ultime en rendant celle-ci progressivement irréversible dans  une conflagration d'une dimension incontrôlable et chaotique.

    Effectivement, la suite des crises secondaires réglées provisoirement par des solutions non essentielles ont eu pour effet d'amplifier chaque fois un peu plus l'ensemble des déséquilibres précédents.

    Les solutions de crises consisteraient donc, en fait, en des actions énergiques consistant à percevoir et réduire les causes profondes et dès lors premières qui mènent aux crises avant que la situation ne devienne l'irréversible crise ultime.

    "-J'appelle principe de rupture endogame une crise ultime survenant en raison de désordres internes au sujet en relation avec son milieu ou aux relations établies entre différents sujets, cela s'étendant à certains processus évolutifs du monde vivant, d'une espère ou entre espèces aux relations plus ou moins étroites.

    -J'appelle principe de rupture exogame une crise survenant à cause d'une catastrophe totalement indépendante des processus évolutifs des sujets, l'exemple en est la météorite qui, il y a soixante cinq million d'années, s'est abattue sur le Yucatán et fit disparaître les dinosaures.

    -La série de crise suivie de sa crise ultime est un processus naturel d'évolution."

    Pourquoi ai-je dit plus haut que nous ne pouvons plus, dès à présent, faire grand chose lors de la survenue d'une crise ultime hormis nous y préparer?

    Étant donné, comme je l'ai expliqué plus haut, qu'une crise ultime, de nature irréversible, survient à la suite d'une désorganisation régulière et continuelle de la situation, ceci ponctuée de crises secondaires présageant et accélérant celle-ci, si il n'y a pas de véritables solutions adoptées et décisions prises régulant et/ou réglant, en amont, avant l'avènement de la-dite crise ultime, la décomposition, juste avant la survenue de cette crise ultime, est telle que chaque décisions prises, à partir de ce moment là, ne fera qu'en amplifier les effets, c'est ce que nous vivons actuellement.

    De plus, comme chaque crises secondaires ne dégénérant pas, du-moins le donnèrent-elles à penser, en désordres majeur, le sentiment de continuité dans la situation passée perdure sans que le ou les acteurs ne prennent conscience de la gravité de la conjoncture, croyant, le plus souvent de bonne fois, qu'il sera possible, comme auparavant, de trouver la solution qui permettra de stabiliser une fois encore l'état des choses sans comprendre qu'au moment de la survenue de cette crise ultime les conditions passées auront irrémédiablement disparu (parce que une crise ultime ressemble beaucoup à ses crises constitutives les plus proches, d'autant plus à celle qui l'a précédée).

    La gravité d'une crise ultime provient de ce que, justement, comme les conditions passées ne sont plus mais que dans le même temps ne sont pas encore apparu, pour les acteurs (êtres humains, sociétés, pays ou autres...) les nouvelles conditions, dispositions et constitutions régulant de nouveau leurs existences, leur situation s'en trouvent désorganisés à l'extrême les mettant dans un état de perte de sens, de biens, de repères, voire dans un état de chaos.

    Subsiste, cependant, des dispositions qui furent moins ou pas du tout concernées par la-dite crise ultime, capacités encore valide pouvant aider et permettre la recomposition de la situation des acteurs sur de nouvelle bases.

    Ce sont ces dispositions, ces qualités qui fondent les facultés centrales sur lesquelles s'appuyer pour le redressement futur, souvent celles-ci sont oubliées, parfois rejetées, il faut donc aller les puiser là où elles se trouvent: dans la mémoire.

    J'en fait ponctuellement mention dans les divers textes de ce blog.

    D'où le titre de celui-ci: "Appel à une nouvelle renaissance".

    Renaissance qui doit être la reprise et reconnaissance commentée, analytique, critique, sérieux et contradictoire des anciens et non pas le rêve fantasmatique d'un retour à un passé glorieux et paradisiaque.

    Pour l'affaire qui nous préoccupe tous, soit la disparition des États-Unis-d'Amérique (sous une forme ou une autre) et l'effondrement de l'économie monde, nous nous demandons tous si, dans les jours, semaines ou mois qui suivent, nous y assisterons et en vivrons la crise ultime ou si, une fois encore, par quelques décisions hasardeuse que ce soit, l'échéance en sera une fois encore ajournée.

    Ce sera pour nous une bien mauvaise nouvelle mais je n'y crois guère, au vrai je n'y crois pas du tout, mais sait-on jamais...

    La question est donc de savoir si nous entrons dans une phase de crise ultime ou si ce n'est que l'une des multiples crises secondaires que nous avons déjà vécu par le passé, à n'en pas douter les U.S.A. ne sont plus, maintenant, la puissance d'empire qu'ils ont pu représenter et le moindre amoindrissement de leurs capacités en diminuera encore d'autant leur domination, la surproduction délirante de dollar, livre sterling, yen et euro a fragilisé les américains à l’excès (plus que les européens ou les japonais, me semble-t-il, du-moins), Wall Street est monté jusqu'à des hauteurs infinies sans qu'une réelle efficience économique puisse en être la raison, tout au contraire, l'élection par deux fois de Bush fils et surtout la perpétuation, pendant huit ans, de l'équipe de loufoques dangereux gravitant autour de lui ne peut qu'avoir gravement affaiblit leur armée parce que l'homme compétent, surtout haut gradé, se révolte toujours contre les crétins et que les incompétents ne supportent pas plus intelligents qu'eux sauf quand ils peuvent les écraser (plusieurs officiers de haut rang furent mis à la retraite d'office), leurs industries sont exsangues contrairement à ce qu'il peut s'en dire, l'Arabie Saoudite, l'Angleterre, le Japon, voire Israël et l'Union-Européenne prennent, à leur rythme, leur indépendance, le gaz et le pétrole de schiste ne paraît pas aussi avantageux que ce qui en est dit, la bulle des crédits aux étudiants d'aujourd'hui y ressemblent à la bulle des crédits immobiliers d'hier, la faim s'y propage, les amérindiens commencent à revendiquer leur terres autrefois spoliées preuve de la faiblesse de la gouvernance, ..., ...!

    Ce ne sont là que quelques et divers informations glanées ça et là en précisant que je ne suis pas anglophone.

    Mais la question de l'économie-monde est aussi d'importance, peut-elle perdurer à la chute de l'empire américain, d'autres pays, tel que la Chine, le Brésil, l'Inde et/ou la Russie peuvent-ils, veulent-ils prendre la relève de ce géant agonisant et  si oui sous quel risque, la puissance d'argent qu'est l'économie-monde va-t-elle réellement disparaître, jusqu'à quel taux les bourses mondiales baisseront-elles, les usines réparties un peu partout dans le monde pourront-elles écouler leurs stokes et à qui, le commerce international fonctionnera-t-il encore et à quel point, qu'en sera-t-il de la marine marchande, jusqu'où ira la réduction des vols commerciaux, combien d'avion survoleront le territoire américain, le nord de l'Atlantique, survoleront le monde, qu'en sera-t-il des pays ayant tout misé sur la monoculture, ..., ...?

    Les questions sont innombrables aussi nombreuses que celles concernant l'Europe et la France.

    Ainsi: l'euro va-t-il pouvoir survivre au dollar, l'Union-Européenne va-t-elle pouvoir survivre à l'effondrement de l'empire américain, comment le monde politique européen va-t-il réagir à la disparition de leur mentor et maître, comprendra-t-il réellement ce qu'il se passe, comment réagiront les peuples, ceux du sud, du nord, de l'est et de l'ouest, y aura-t-il une révolution et si oui, où, quel est l'état de l'industrie en France et en Europe, quelle est la réserve d'or de notre pays et de l'U.E., tous les pays européens ont-ils une production agricole suffisante pour vivre en autarcie en nourrissant tout le monde au moins pendant un an, quels sont les biens qui nous parviendrons encore puisque tant et tant ont été délocalisés parfois très loin, ..., ...?

    J'ai fait quelques réserves de produits d’entretien ainsi que de toilette et acheté trois batteries de téléphone en espérant que ma machine à laver, mon automobile ou mon réfrigérateur ne tomberont pas en panne, je n'ai pas de jardin mais ai accumulé quelques petites choses pouvant se revendre, c'est là le minimum que je me devais faire.

    Surtout, j'écris dans ce blog.

    Le reste ne dépend plus d'aucun d'entre nous, le reste ne dépend plus de qui que ce soit, les événements présents et futurs sont à ce point arrivés à un tel degré de complexités, d'irréversibilité que plus personne ne peut plus faire quoi que ce soit pour en renverser la vapeur que d'attendre et de se préparer.

    Ce sera lorsque ces forces puissamment destructrices de la crise ultime se mettront en branle que chacun d'entre nous se devra d'agir, suivant sa conscience, suivant son savoir, suivant ses capacités, suivant ses possibilités, ce sera le moment mais pas avant, sauf, bien sûr, les manifestations montrant que, tout de même, le peuple n'est plus un mouton.

    Si au moment de cette crise ultime là nos gouvernants ne prennent pas, en plus de la pleine mesure de la situation d'alors, toutes les décisions de sauvegarde du pays, la décision d'explorer par la justice les livres de comptes de toutes les banques et autres fonds d'investissement ruinés ou en difficultés économiques ainsi que de faire que nous puissions avoir de l'argent liquide en poche et de quoi payer les loyers, puis pendant les six mois suivant tout faire pour que reparte la machine économique, alors, si cela n'est pas fait ad minima et que la tentative ne perdure de nous égarer dans des palabres inutiles et sans fin pour des sujets futile comme le mariage pour tous, si cela n'est pas fait alors nous aurons à redouter des emportements, fureurs et frénésies inextinguibles.

    Déjà, il y a peu de temps des policiers italiens ont retiré leur casque en signe d'entente avec les manifestants, pour les militaires cela s'appelle mettre crosse en l'air.

    Messieurs, mesdames les socialistes, je vous en conjure, arrêtez vos simagrées inutiles de mariage pour tous et autres fadaises, nous n'avons pas à rembourser des dettes à des créanciers bientôt ruinés ou nationalisés, nous n'avons pas à obéir à une instance européenne n'ayant aucun lien avec des électeurs, à un Barroso, le pauvre, mais où l'avez-vous trouvé, celui-là?

    Obéir à Barroso, quelle dérision!

    Tout accord entre état à la valeur que chacun lui donne, surtout à propos de l'article 50: en quoi un état ne pourrait-il pas, lors d'une crise ultime ou même avant, décider de faire cavalier seul, un état n'est-il donc plus maître chez lui?

    Un peuple n'est-il plus maître chez lui?

    Est-ce l'éléphant ou le moustique qui résiste le mieux à la pression de l'homme, sont-ce les petites ou grandes structures qui résistent le mieux à une crise, surtout ultime?

    Avez-vous donc si peur d'un retour à la guerre mondiale européenne pour que vous nous liiez ainsi tant les pieds et les mains que vous nous conduisez inéluctablement vers une troisième guerre mondiale?

    Mais lisez donc Machiavel, il vous l'écrit, lui, ce que vaut un traité (dans l'idée): "Ne le respectez que tant que c'est à votre avantage!"

    C'est simple, non?




    THEURIC

  • idée n° 7): Les dualités complexes: l'économisme dogmatique.

    (Texte publié le 2 Avril 2012, imprécis et bâclé, réécrit et largement remanié ce jour.)

    Il est dans la nature maints exemples de relations duales, que ce soit dans le monde de l'énergie, plus, moins pour la charge électrique, chaud, froid pour la température (relatif à une moyenne), dans le monde des particules, l'atome composé d'un noyau positif et d'électrons négatifs, dans le monde du vivant, mâle et femelle pour la reproduction, végétaux, herbivores puis herbivores, carnivores pour la prédation au sein des animaux supérieurs, le lichen, cette symbiose entre un champignon et une algue en exemple d'un lien symbiotique, la tique et son hôte en exemple de parasitisme... .

    Mais bien entendu, quelque soit les divers échelles, et natures de notre univers, l'entrelacement des relations entre les différentes parties le composant est ô combien plus complexe que de simples dualités, mais peut-être pourrions-nous nous demander si ces relations duales ne seraient pas la plus petite dimension inter-relationnelle entre deux composantes de la nature, une unité inter-relationnelle?

    Nous retrouvons de même types d'unités dans les sociétés humaines, notamment la représentation opposée et duale d'un même dogme ordinairement en constante confrontation.

    J'émets l'idée que, bien avant la guerre froide, une idéologie s'est progressivement développée en Europe puis dans le monde, mettant au-dessus de toute autre représentation sociale l'économie sous les deux formalismes que furent le libéralisme économique et le communisme et, ce, sous des formes variées et changeantes suivant les époques et les pays: l'économisme dogmatique.

    La deuxième idée émise est que cet économisme dogmatique n'est en rien lié à la manière de gouvernance qu'est la démocratie mais, bien qu'ils aient cru en concomitance, sont d'essence dissemblable puisque le premier est d'une considération purement économique et la seconde une façon autant de régenter une société que de réguler l'ensemble des rapports de forces sociales et politiques.

    Notre malheur d'aujourd'hui vient de ce que dès le XIX° siècle et peut-être avant la puissance d'argent (la bourgeoisie d'alors, devenant plus tard le capitalisme et pour ensuite, ce jour, se transformer, un petit peu avant la chute de l'U.R.S.S., en néolibéralisme) et son idéologie encore balbutiante d'économie libérale que nous pouvons nommer l'économisme de droite a commencé à prendre de l'ascendance et de l’influence sur les autres corps sociaux en en appauvrissant les strates les plus fragiles des sociétés, le prolétariat, et entrainer certains gouvernements à la colonisation (bien que les causes de cette colonisation soit sûrement plus complexe que cela), ce qui, en réaction, à fait émergé un économisme de gauche sous la forme, d'abord du socialisme puis, à son extrême, du communisme.

    La démocratie libérale aux États-Unis, le communisme en U.R.S.S. se sont développés, le premier dès la fin du XVIII° siècle, 1776, lors de la fin sa guerre d'indépendance contre les Anglais (advenue en raison du refus de taxes), le second en 1917 et la révolution bolchevik, c'est, dès 1946, la froide confrontation de ces deux bloques qui a cristallisé cette scission duale et tendue qui s'est étendue à l'ensemble de la planète.

    Après la fin de la seconde guerre mondiale et le début de la guerre froide s'est construit, en Europe de l'ouest, la sociale-démocratie, dans une tentative d'harmoniser le capitalisme en piochant dans ces deux puissances antagonistes les éléments les plus efficaces.

    Elle a  ainsi émergé sous des formes multiples suivant les sociétés et n'a pu être que différente suivant les nations, qu'ils soient pays nordiques, germaniques ou latins.

    Ce fut pendant la même période que la Communauté-Européenne se construisit sous l'ascendance progressive des États-Unis-d'Amérique.

    En cette période nous avions donc trois types de démocraties, libérale, populaire et, en leur centre, sociale.

    (Les extrémismes de droite qui furent au centre de la deuxième guerre mondiale, nazisme et fascisme ainsi que le pétainisme, ne furent que la tentative psychopathique et meurtrière de replacer la société allemande et italienne ainsi que française dans son état originel, d'où l'aversion de ses fanatiques pour les démocraties, quelles qu'elles soient.)

    Mais, et je le répète, ce terme de démocratie était déjà pour partie usurpé puisque ces trois gouvernances, même si personne n'en avait conscience, étaient pour l'essentiel sous la gouverne de la doctrine de l'économisme, c'est de cela que des hommes tel que De Gaulle voulaient nous prévenir dans les années soixante, la politique devenant avec le temps subsidiaire, la dépendance de l'Union-Européenne à l'asservissement américain ne faisant que s'accroitre et s'étendre pour aujourd'hui être devenu une colonie en déshérence de comprendre la prochaine disparition de son maître.

    La raison pour laquelle je parle ainsi de dualité complexe vient de ce que cette dualité qu'a représenté la confrontation est/ouest lors de la guerre froide, et même avant, ne s'est pas faite au travers de seulement deux forces antagonistes mais, au contraire, que cette opposition s'est établie dans un complexe rapport de force où, mis à part les deux belligérants principaux et dans une moindre mesure leur peuple, chaque pays, chaque société, chaque individu, même, définissaient un entre-deux composite souvent enchevêtré et parfois réagissaient par un rejet plus ou moins formel sur des bases archaïques, c'est cet ensemble idéologique que j'appelle "l'économisme dogmatique".

    Maintenant que nous avons vu, en bousculant quelque peu les conceptions préétablies de ce que chacun d'entre nous pouvions avoir de ces trois types de sociétés, que démocratie libérale, populaire et sociale sont de même ordre, voyons maintenant pourquoi, dès les années 1980, la folie néolibérale, sous toutes ses formes, s'est emparée autant des sociétés que des esprits.

    Pour cela je me dois, là encore, de renverser les notions usuelles telles qu'elles nous le sont démontrées continuellement: mon avis est que les U.S.A. se sont effondrés en même temps que l'U.R.S.S. mais pas de la même façon!

    Le début du basculement qui allait conduire irrémédiablement au futur désastre de l'économie mondiale ne se situe pas au début des années 90  mais bien 80 et si Madame Thatcher, Premier Ministre d'Angleterre et Monsieur Reagan, Président des États-Unis-d'Amérique prirent tous deux les décisions de libéralisation boursière qui furent aux origines de la bientôt débâcle économique, ce fut bien en raison de la lente dégradation d'alors de ces deux pays.

    Le reste de l'Europe, aussi, en connaissait déjà les prémisses, il m'était arrivé, dès la fin des années 70, de rencontrer un entrepreneur en confection désirant, dès cette époque, de faire fabriquer sa lingerie de l'autre coté de la Méditerranée.

    De fait, c'était en réponse à la déchéance économique de l'Occident que tout cela fut décidé, dans le souci de maintenir notre dynamisme, en France, il en est de même sauf que ces décisions furent d'un autre ordre, plus étatique, ce fut le "programme commun de la gauche" mis en place lors de l'élection de Monsieur François Mitterrand et dont le plan consistait en une relance de l'économie par la consommation, ce qui devait faire repartir les entreprises de la nation, d'où l'embauche d'employés dans les services publiques et autres entreprises d'état, ce qui devait naturellement s'accompagner de la nationalisation des banques puisque il n'était plus possible, depuis 1973, d'emprunter à la banque de France, l'état empruntait donc directement aux banques.

    Ce fut un échec parce qu'il aurait fallu fermer les frontières pour permettre à nos marchandises d'être compétitives, au moins dans le pays et alors, adieu l'Europe (du-moins est-ce ce que j'ai déduit des différentes informations que j'ai pu glaner).

    Ensuite, le gouvernement Mitterrand fit, à l'époque, ce que les allemands firent quelque vingt ans plus tard: une dévaluation compétitive en faisant baisser les salaires et les prestations sociales pour retrouver une compétitivité à l'exportation.

    Seul problème, et de taille, qui rare est soulevé et peut être formulé d'une phrase: il est toujours possible de trouver plus compétitif quelque part.

    En effet, nous aurons beau faire baisser salaires, prestations sociale, administrations publiques et n'importe quoi d'autre, appauvrir des légions d'habitants, ruiner les commerces de centre ville, diminuer drastiquement le nombre de militaires, de policiers, de médecins, de postiers, de professeurs, de scientifiques il sera toujours possible, facile, même, de trouver un pays, quelque part, où une paye de moins du dixième du S.M.I.C. sera considéré comme considérable.

    Ce qui engendre un deuxième problème là encore résumé simplement: ensuite, qui va acheter?

    Aujourd'hui nous en sommes là, une économie saine est celle où tout le monde peu acheter parce que gagnant suffisamment, si le chômage monte et que les salaires descendent, les gens achètent de moins en moins, donc les usines ferment pour ouvrir ailleurs, là où les salaires sont au plus bas, pour vendre cette marchandise là où les usines ont fermé et les salaires baissé, donc il faut encore baisser les prix, donc déménager les usines dans des pays encore plus pauvre, etc...etc...etc... .

    Les américains avaient, depuis trente ans, trouvé le truc, eux qui, bien avant nous, s'étaient, petit à petit, débarrassé de leurs usines (sauf militaires): faire des crédits, à tous et pour tous, d'abord pour ceux qui travaillaient et avaient quelques fonds en banque, puis, au début de ce siècle, à toutes les classes de richesse, appuyés sur le prix de l'immobilier qui, là-bas, ne cessait de grimper, maisons que chacun achetait et mettait en hypothèque, avec des histoires de taux de base du crédits au plus bas (je vous laisse vous renseigner la-dessus), comme est pris en compte, dans le P.I.B., qui représente, paraît-il, la richesse, l'achat de bien de consommation même importé autant que les productions et ventes des entreprises même en disparition, tout allait bien, il nous était dit que l'U.S. était riche surtout que le dollar en tant que monnaie de change ultime pouvait permettre à l'Oncle Sam d'acheter ses marchandises et ses guerres à crédit, ce pays ne produit plus rien mais achetait à crédit et ce depuis les années 80, de plus en plus, comme les anglais et après chaque crise la folie du crédit augmentait encore jusqu'en 2008.

    Badaboum, le prix des maisons commença à chuter et nous avec.

    Ce bref résumé pour vous expliquer que maintenant tous les décideurs, sauf les imbéciles et ils sont nombreux, comprennent que nous sommes au bord du gouffre parce que, pour soutenir les banques, il a fallu que tous les pays mettent les milliard sur la table (paraît même que les cartels de la drogue en firent autant) mais milliard qui ne valent rien puisque les pays occidentaux n'ont quasiment plus d'usine et que l'usine est la réelle valeur d'un pays (quand il vend les marchandises d'abord chez lui) et que, maintenant, arrêter le robinet à dollar, livre, yen, euro et d'autres ferait véritablement exploser toutes les bulles spéculatives existantes à l'échelle mondiale, surtout que de nouvelles apparaissent.

    C'est pourquoi nous sommes ponctionnés, pour empêcher la machine de périr, il faut rembourser encore et encore, nourrir la bête sinon elle meurt.

    Et là c'est le troisième problème, incontournable: la bête mourra, bientôt, d'une indigestion de dettes!

    Mais pourquoi ai-je dit plus haut que les U.S.A. se sont effondrés en même temps que l'U.R.S.S.?

    Parce que leur effondrement a pris la forme de la dette, de toutes leurs dettes, colossales et qu'ils nous y ont entrainé, yen, livre sterling, euro et d'autres, nous ployons tous sous des tombereaux de dettes.

    En 1991 les U.S.A. en étaient déjà pourri, aujourd'hui c'est la gangrène et ils en ont infecté l'ensemble des pays, qui soit sont endettés, soit fabrique des produits qu'ils ne peuvent que de moins en moins vendre à qui que ce soit à bon prix et un jour, ne vendrons plus à personne.

    U.R.S.S., U.S.A., tous deux se sont ruinés à force de forger des armes toujours plus puissantes ainsi que de vouloir prendre l'ascendant sur l'autre, le premier en ponctionnant son pays et ceux sous sa domination, le second en générant une chaîne de montagne de dette, tout le monde à cru que les américains avaient vaincu par K.O., c'était faux, ils étaient tout simplement dopés à la dette.

    Je finirais par une remarque, un outil intellectuel sert, entre autre, à définir l'événement, dès que s'amorce une nouvelle découverte fondamentale, c'est le regard porté sur l'événement qui évolue, de plus, ce regard évoluant est plus à même de porter plus loin, de mieux comprendre ce qui suivra, d'avoir une portée prédictive plus efficace.

    Mais ces nouveaux outils portent en eux-mêmes un risque, celui de marginaliser celui qui l'utilise et/ou qui en fait la recherche.

    Ce risque, ne serait-il temps que nous le prenions, en fin de compte, que risquons-nous?

     


       

     THEURIC

  • Ce que Mr. Coronavirus montre mais ne dit pas.

    Comme j'ai pu l'exprimer auparavant, je n'avais que peu envisagé une pandémie, telle que celle qui sévit aujourd'hui, comme cause d'un possible effondrement de l'économie-monde monétariste.

    Sauf de mettre en garde, sur mon blog, notre oligarchie et notre personnel politique officiel du fait que d'affaiblir le service de santé français continuellement les conduit à un risque physique important si nous avions affaire à ce type de mésaventure.

    Ce qui est le cas actuellement, grâce au ci-devant Covid-19 et de l'âge avancé de nos olibrius sus-nommés.

    Cette petite bêbête s'attrape, si j'ai bien compris la chose, plus facilement que la plupart des grippes, tout en rendant beaucoup moins souvent malade avec une mortalité, pour ceux qui en souffrent, touchant P1030094.JPGsurtout les plus de 60 ans, avec un accroissement de ce phénomène morbide pour ceux les plus vieux, ce qui est grandissant avec la monté en âge (et non pas en nage, hi, hi, hi), auquel il faut rajouter, en tant que facteur aggravant, la fragilité médicale des personnes.

    Ce qui est le cas de nombre de nos oligarques, de ce personnel politique des partis officiel et/ou de leurs ascendants.

    Voyez la vieillesse de gens comme Attali, Cohn-Bendit, BHL et Minc, et aussi de la majorité des élus des chambres délibératives, en ces seuls reflets de cette situation.

    La question dès lors judicieuse à se poser c'est : pourquoi donc se sont-ils tous conduits de telle sorte qu'ils en arrivent aujourd'hui à se mettre physiquement en danger de mort et, de plus, aux portes de leur faillite?

    Seraient-ils suicidaires?

    Non pas, ils sont tous, ou quasiment, dans l'incapacité foncière de pouvoir prévoir les effets futurs des décisions prises par l'Union-européenne dans le cadre des GOPE et qu'ils appliquent résolument, sans état d'âme, certes, mais surtout sans réelle capacité d'en prévoir les résultats.

    P1020235.JPG(Que ce soit en Chine, en Italie, en Corée du sud, entre-autre, et, je le suppute (bonjour madame) bientôt ailleurs, il est observable que nombre de gouvernement surjouent des effets de cette maladie puisque les professionnels, eux, sont plutôt rassurants, regardez cette vidéo jusqu'au bout, la leçon donnée est magistrale.

    J'en vois trois raisons, la première est due à la sénescence de nos dirigeants, ce qui génère chez-eux de la panique.

    La seconde  en étant leur grande fragilité politique les menant à de la manipulation,  en instrumentalisant ladite épidémie, de redorer leur blason en affirmant, à tort ou à raison (?), d'avoir correctement géré cette pas encore pandémie.

    Vous remarquerez que même si Monsieur Macron n'a pas à se soucier vraiment de cette épidémie, sa femme, elle, le peut...

    La troisième étant que ces pouvoirs fragiles n'aimeraient pas trop se retrouver à gérer une surmortalité de personnes âgées ne pouvant qu'être socialement déstabilisante.

    Sinon nous pouvons sans hésitation affirmer que cette crise peut, comme j'ai pu l'expliquer précédemment, mener à une autre, économique celle-là, pouvant conduire à une morbidité infiniment plus importante.)P1020504.JPG

    On ne peut penser lorsqu'on obéit, on suit les ordres, on s'y soumet, voire on les devance, le seul souci de tout ce joli monde ne consiste qu'à faire de manière à ce que la population accepte les termes des GOPE, ou du-moins ne réagisse que peu lors de leur mise en place, c'est tout.

    L'incompétence formelle de notre gouvernement actuel ne tient que du fait qu'il n'a même pas cette capacité pour nous faire passer ces pilules amères, cancres qu'ils sont.

    Ce qui est à noter c'est que tous les représentants des partis politiques siégeant à l'Assemblée-Nationale et au sénat sont responsables de cet affaiblissement tragique de nos services de santé, dont l'origine se trouve en leur servilité pleine et entière à l'administration bruxelloise.

    Et encore, il est loisir d'observer sa relative bénignité, du-moins en cela soyons prudent pour l'instant, mais que serait-il advenu si nous avions eu affaire à une pandémie infiniment plus violente, à une véritable catastrophe sanitaire, avec une moitié de la population, voire plus, de touchée, d'un grand nombre de gens fortement malade et, lié, touchés par une très grande mortalité?

    Comment, avec un service de santé tant fragilisé aurions-nous pu faire face?

    P1030532.JPGComment voudriez-vous, de fait, que je ne les considère pas comme des imbéciles, je sais que je ne saurais être à leur place, je ne me présenterais dès lors jamais à une élection, alors, s'ils sont incompétents, si tant est qu'ils le comprennent, ils ne peuvent qu'avoir une saine action à accomplir et qui les grandirait: démissionner!

    La même responsabilité se trouve également chez cette oligarchie française détenant  la quasi majorité de nos médiats.

    Ceux dont l'origine proviendrait majoritairement, suivant les explications qui en sont données par Emmanuel Todd dans son dernier ouvrage : "les luttes de classes en France au XXI° siècle", de cette porosité malsaine entre la haute fonction publique et les milieux affairistes, bancaires et spéculatifs.

    De toutes ces personnalités faisant le va-et-vient entre leur administration et ce secteur privé, ceci ne fait que de pervertir ces deux institutions, l'administration et les banques/assurances par cette collusion d'intérêts de courte vue consistant à n'avoir de volonté que de vouloir remplir leur compte en banque.

    Profitant en fait au mieux des folies dogmatiques d'une union dont les acteurs sont totalement déconnectés de toute réalité.

    C'est pourquoi la France se retrouve en une situation de désindustrialisationP1030034.JPG gravissime telle que le montre fort bien Jacques Sapir : ils vident le pays de tout ce qui a la moindre valeur en les vendant à l’encan à n'importe qui, parfois même à des escrocs, comme j'ai pu le prévoir il y a longtemps sur ce blog je ne sais plus où.

    Ainsi ces olibrius qui nous dirigent n'eurent que de cesse que de désindustrialiser le pays parce que n'ayant pas compris ce qu'est le libéralisme économique, le tout pour la seule raison, à mon sens, que de vouloir ressembler aux anglo-saxons, de vouloir les singer.

    Pensant, comme aux USA d'avant Trump et la Grande-Bretagne d'avant le brexit, que la société de service pourrait remplacer les mines, industries, fabriques et entreprises agricoles pour mener à la richesse de leur nation.

    Ce tout industriel ayant été repris par les pays de l'UE anciennement de l'est et, pour les vingt pour-cent mondiaux, par la Chine.

    (Elle et l'Inde étant devenu les plus grands producteurs des matières de base de la fabrication de médicament, mais aussi de celles dédiés à la majorité des objets manufacturés, telles que les puces informatiques en ce petit exemple.)

    Et c'est pourquoi, la France s'appauvrissant, l'UE exigea que nous fassions ces économies menant à la destruction de nos services de santé, en les mettant, de plus, tout comme il en est de nos services publics, en une concurrence imbécile et, là encore, destructrice.

    P1030749.JPG(Encore un train qui déraille, un TGV cette fois, comme j'avais pu en expliquer les mécanismes il y a deux ans de cela, ce qui, à mon sens, valide mon hypothèse de travail au sujet des services publics en réseau.)

    Administration de l'UE remplie en gens aux facultés mentales toutes autant réduites que dans la haute hiérarchie politique et économique de chez-nous, part ailleurs.

    Que je vous explique cela:

    Là encore vous pourrez observer que mes réflexions sur la nature de la pensée montrant que c'est celle-ci qui nous permet, entre-autre, de projeter notre réflexion sur les effets de nos actions dans le futur, peut se percevoir également.

    Car si nos élus, personnels de la haute administration et autres richissimes avaient été pourvu d'un système de penser performant ils auraient, depuis longtemps, conceptualisé cet ensemble destructeur, compris le danger vital que représente dorénavant l'union, pour le peuple comme pour eux, tant pour leur santé que pour leur fortune, et en aurait déjà pris la décision nécessaire: faire tout pour que la France quitte ce machin morbide.

    Souvenez-vous aussi de ce que j'y expliquais au sujet de ladite pensée, son P1020249.JPGémergence est, de nature, directement liée au développement cognitif de nos anciens et donc, en amont, de leur intelligence.

    Dès lors, en toute logique, l'impossibilité pour les mêmes de pouvoir concevoir par avance les effets de leurs actions, quelles qu'en soient leurs origines, démontre donc une baisse dramatique de leurs capacités mentales.

    Si de plus des pervers narcissiques se sont immiscés en ce groupe plus ou moins formel, alors cela ne peut qu'avoir accru de manière gravissime leur impéritie collective, ceci d'autant plus si ce même phénomène a lieu au sein de l'administration de l'Union-Européenne, ce qui ne peut que facilement se concevoir.

    Il est tout autant légitime d'admettre qu'il puisse en être de même, de cet ensemble de réflexion, dans la majorité des autre pays de l'union, Allemagne comprise.

    Tout autant dans ceux anglo-saxon, Royaume-Uni et États-Unis-d'Amérique en un ad minima, jusqu'à ce que Messieurs Johnson et Trump prennent le pouvoir dans leur nation respective.

    Je me demande même si, dans certaines organisations internationale, un processus similaire ne se serait pas produit.....

    P1010825.JPGCette imprévoyance absolue tant dans la sphère économique, administrative que politique de notre patrie me mène donc à considérer la majorité de ceux qui sont au sommet de leur hiérarchie souffrent, pour des raisons et d'autres, de graves troubles d'intelligence ne pouvant que les mener à être dans une capacité très réduite, voire inexistante pour certains, de prévoir par avance les effets des décisions prises, quoi qu'il soit de quelles sources elles proviennent.

    Cela a débuté il y a de cela au moins deux à trois décennies, voire quatre.

    Vous remarquerez que, comme à chaque crise, de quelle que nature qu'elle soit, l'Union-européenne, ce néant mortifère, en est le grand absent.

    Nulle capacité organisationnelle, rien ne s'y dit, rien ne s'y fait, hormis ceux qui y travaille devant serrer des fesses dans la crainte d'y perdre leur petits avantages pécuniaires, leur travail de fainéant.

    Alors, France-quitte ou non pas France-quitte?

    Songez qu'il nous serait plus aisé de nous défaire de cette union avant qu'une autre crise ne la détruise définitivement, si tant est que celle-ci ne le fasse avant, et qu'il nous faudrait, en ce cas, de gérer cette débandade en catastrophe.

    Il n'est d'autre urgence, pour chacun d'entre nous, pour le pays, notre patrie, la P1020188.JPGFrance, que d'en sortir, ensuite et ensuite seulement nous

  • Ce n'est pas la fin de quelque chose mais son début!

    Veuillez me pardonner de mon erreur de manipulation menant à la publication intempestive de ce billet avant qu'il ne soit achevé.

     

    Il ne peut qu'y avoir nombre de sites qui montrent et démontrent l'inanité du gouvernement, de l'administration bruxelloise, voire des assemblées délibératives et des médiats, en relevant des faits et des paroles inutiles ou néfastes, des messages incongrus, des ordres contradictoires, des silences nuisibles ou odieux, des mensonges éhontés...

    Combien y aurait-il, combien resterait-il de gens sérieux à l'assemblée Nationale et au Sénat, un tiers à un quart pour le premier, une moitié pour le second?

    Combien se comptent-ils dans notre gouvernement?

    Il y en aurait-il?

    Mais quoi qu'il en soit de ce bien réel et malheureux état de fait, un danger nous guette et un travail nous attend, le second, de plus, résolvant le premier.P1030042.JPG

    Quel serait donc, avec le COVID-19, cet autre péril qui nous menacerait.

    C'est l'ennui, qui fut pour Charles Beaudelaire le thème d'une magnifique déclaration Au lecteur en en rendant la définition aussi belle que juste.

    N'allez pas croire, au-delà de ce trait, que je ne sois pas sérieux, l'ennui, en effet, peut être tout autant constructeur que destructeur pour l'esprit et plus nous avançons dans l'âge, plus sont grandissant les risques qu'il nous fait prendre.

    Jusqu'à souffrir d'angoisse, d'état dépressif, d'un stress post-traumatique ou mener à un usage immodéré de sucre, d'alcool ou de toutes autres substances psychogènes.

    Or, nous avons dès maintenant un travail urgent à effectuer: commencer à concevoir et conceptualiser la reconstruction industriel, agricole, minier aussi, tout autant que politique du pays.

    Mais pour cela il faut commencer par un début logique: ne pas se laisser aller, surtout si l'on vit seul.

    Bien manger, se laver, s'habiller, faire de l'exercice même sans sortir, faire son ménage (qui est pour moi une difficulté), téléphoner à la famille, aux amis, continuer de vivre, donc...

    N'attendons rien de ces ribouldingues qui censément gouvernent et font nos lois, ils nous montrèrent qu'ils sont dans la plus absolue incapacité de penser, prévoir et P1020964.JPGgérer une crise sanitaire qui, même si elle est grave, aurait pu se révéler infiniment pire.

    Alors il ne peut qu'être cohérent de considérer que les mêmes ne puissent pas officier avec ardeur et vivacité pour cette reconstitution, cette reconstruction, eux qui, jusqu'à présent, prirent du retard sur ladite crise que parce qu'ils ne prévoyaient et ne concevaient, par obéissance aux GOPE de l'UE, que de passer leur 49.3 à l'Assemblée Nationale au sujet du projet de loi dédié aux retraites, dans leur impossibilité première de pouvoir imaginer qu'ils puissent être atteint par Monsieur Coronavirus (le vit russe, hi, hi, hi).

    Tout le reste ne leur semblant que secondaire.

    Eux qui ne voit d'horizon que la ligne bleue étoilée d'or de la construction européenne, paniquent et plus encore, ébahis et transis, divaguent à l'idée que leur construction européenne chérie se délite au-devant de leurs yeux.

    Ils ne sont plus rien que de leurs rêves brisés!

    Lesquels peuvent-ils être considérer comme étant les plus sérieux?

    Ceux qui resteront à leur poste, quand bien même se confineront-ils chez-eux, n'en poursuivront pas moins leur métier d'élu.

    Il n'est plus que les imbéciles pour encore croire aux autres.

    ( Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en P1030242.JPGFrance au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur serait Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    Allemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1P1030049.JPG

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie réelle, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne et la République Tchèque est le plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est le plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est le plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Note à 19 h 30, ces mêmes tchèques ont détourné 680 000 masques et respirateurs aux italiens que la Chine leur destinait.

    Vous savez quoi, le premier qui me dit que l'UE  est une bonne chose, je le traite de débile, en son sens médical du terme!)

    Alors, quel est ce travail que je vous propose que nous effectuons tous, chacun muni P1020057.JPGde ses capacités, de ses talents et de ses connaissances?

    De commencer dès maintenant à concevoir comment rebâtir au mieux et au plus vite le tissu industriel, minier et agricole  de la France, économique donc, de l'économie réelle, mais aussi politique.

    Ceci en attendant d'agir au mieux suivant les dispositions de chacun.

    ( Quand à notre gouvernement, il risque fort de sauter comme sur une mine s'il continue de se conduire d'une manière aussi infantile, s'il poursuit son affligeante impéritie.

    D'avoir de plus conduit une violence policière dirigée envers tous manifestants, dont entre-autre les pompiers et le personnel médical qui aujourd'hui, hypocritement, sont encensés par ces mêmes donneurs d'ordre.

    Que les ministres comprennent, le sieur Macron m'en paraissant incapable, que,  suivant Monsieur Sapir, autant un coup de force, comme celui qui avait mené au pouvoir le général De Gaulle, mène à une continuité politique de l'état;

    Autant un coup d'état ou une révolution ne peut que conduire à une remise en cause de la constitution d'auparavant, ce qui veut dire qu'à ce moment là leur vie même pourrait se révéler être en jeu.

    Je leur conseillerais donc à vivement à se remuer le popotin, d'arrêter de se justifier en accusant Pierre, Paul, Jacques de leurs propres stupidités et manquement  et deP1020445.JPG cesser séant toutes leurs autres gamineries ridicules.

    N'est-ce pas messieurs-dames les faiseurs.

    En nous montrant et démontrant jusqu'à présent ainsi à tous une insigne faiblesse mentale, pour dire le moins, qui, si cette crise perdure, ne pourra qu'obliger quelques forces ou d'autres de vous renverser.

    Mais je ne pense pas que vous puissiez agir de la meilleurs des façons, vous qui craignez plus que tout la disparition de l'Union-européenne, vous qui n'êtes habités que de cette petite angoisse là!

    Et ne percevez le reste que comme grandement secondaire, sauf si cela génère des perturbations que vous ne savez gérer que par la force policière, les autres éléments d'action vous étant totalement abscons.

    D'où vos errements sans fin dans cette crise sanitaire.

    Si, l'autre chose dont vous êtes capable, profiter de votre situation pour vos petites agapes. )

    Mais quoi qu'il en soit de ce travail, la condition sine qua non  de son effectivité ne peut qu'être de n'être plus au sein de l'Union-européenne qui, de part les traités, son idéologie dont sont empreints la majorité du personnel politique, en empêche tout développement.

    C'est pourquoi, au minimum, votez pour l'UPR.

    P1020279.JPGNous ne pouvons plus nous permettre, en effet, de rester dedans cette union et de continu

  • De la perception du temps par l'exemple.

    En Décembre 2017, il y a déjà deux ans de cela, j'avais, avec vous, exploré quelle est, à mon sens, que la nature de la pensée.

    Thème qui, à faire erreur, ne fut que rarement abordé par les professionnels de l'esprit, des philosophes aux neurologues en passant par les psychanalystes.

    J'y avais posé d'axiome, dans ce billet, que cette pensée, jeune dans son apparition de quelques dizaines de milliers d'années seulement, avait entre-autre de nature que de faire une démarcation entre conscient et inconscient et de permettre à l'Être-Humain de conceptualisé le temps en une séparation entre le passé, le présent et le futur.

    J'en avais tout autant, il est vrai rapidement, exploré d'autres attributs tel que l'imagination ainsi que l'expression de l'égo et du narcissisme dans leurs multiples intrications et, matière que j'avais aussi abordé dans d'autres textes (regroupés ici), P1030516.JPGde la perception de notre identité par le fait d'humainement nous déterminer tant individuellement que collectivement.

    En revanche, ce à quoi je n'avait jusqu'alors songé, c'est ce lien indéfectible entre la pensée temporalisée, la compréhension de la notion de causalité, quelle soit structurée ou pas, non moins que de pouvoir dès lors concevoir, même succinctement, les conséquences, certes de nos actions, mais aussi de nos pensées, pouvant générer, en une boucle de rétroaction, un ensemble d'effets s'effectuant lentement autant sur notre propre personne que dans notre milieu social.

    C'est pourquoi il serait bien que chacun d'entre-nous se connaisse au mieux.

    Or, il est de fait qu'en raison de notre perte, avérée bien que partielle et momentanée, de notre détermination d'être, aux origines multifactorielles, nous menant à une identité floutée et parfois grandement parcellaire, lesdites causalité et temporalité, dès lors de nos capacités de conceptualiser les conséquences tant de nos actes que de nos pensées, nous sont devenus grandement réduites, voire même, pour certains d'entre-nous, quasiment impossibles.

    En une époque où l'évolution de nos sociétés aurait dû, à tout l'inverse, nous conduire d'en développer le substrat bien au-delà de ce qu'il nous serait capable de s'en représenter la trame.

    P1030572.JPGC'est en cela que je définirais au mieux cet arrêt progressif des progrès de tous niveaux, tant de nos facultés mentales que de ce qui nous fait société, ceci nous menant  à un état de décrépitude intellectif collectif avancée.

    Étant entendu qu'il serais malsain de considérer ça comme étant une faute puisque cela mènerait à une culpabilité malséante, inutile et autodestructrice quand, ici, je me force et m'efforce de montrer que de faute il n'en est point, nos responsabilités étant de contrevenir à cet état de fait en nous réappropriant notre identité et, par delà, notre curiosité, nos questionnements du monde, nos savoirs, nos connaissances, notre inventivité... pour que  nous puissions rebondir puis reprendre la croissance naturelle de notre humanité, ne serait-ce qu'en en commençant en France le métier.

    Ce que les russes entreprennent actuellement en plein et ce que les britanniques débutent en ce moment même.

     

    Les facteurs de cette déchéance ne pouvant être que provisoire sont multiples et j'ai, depuis des années, essayé d'en définir les traits les plus importants:

     

    -Traumatismes dus à deux guerres mondiales:P1030666.JPG

    Thème que Monsieur Zemmour avait relevé lors de son débat avec Monsieur Asselineau le 19 Novembre 2019 mais dont je pense qu'il n'en ait en rien saisi la profondeur, le concevant dans l'incapacité formelle d'aller au-delà de cette simple remarque pour les raisons évoquées plus haut.

    ( Je me demande d'ailleurs si ledit débat n'aurait pas eu lieu en raison du factum que j'avais publié sur mon site à son endroit le 8 de ce mois, soit à peine plus de la semaine suivante. )

    S'il faut, en effet, trois générations pour qu'un trauma mène à un désordre psychique pour le descendant de celui qui l'a subit, alors nous pouvons considérer que la quatrième, elle, n'a plus à en souffrir, le temps en ayant passé.

    Nous pourrions même en conclure qu'au même titre que 70 ans environ après la création de l'URSS cette union ne fut plus;

    Il serait logique de considérer, de la même façon, que, des tous débuts de l'Union-européenne sous sa forme de 1952, la Communauté européenne du Fer et du Charbon, jusqu'à aujourd'hui, les mêmes 70 années d'existence ne peuvent que signer une similaire échéance d'une même déchéance.

    Certes, ce sont  bien ces deux guerres qui conduisirent à ce que, sous l'égide d'un Tonton Sam impérial, les nations européennes décidèrent inconsciemment de tenter de se retirer de l'histoire, mais diantre ce que nos jeunes sont d'un appétit d'y P1030459.JPGretourner s'y frotter!

    C'est bien, à cause de ces deux chocs violents, d'avoir voulu se retirer ainsi des affaires du monde dans le désir infantile et archétypal de bâtir le même paradis sur Terre sous la même forme unioniste que l'Union-Soviétique, en une totale inversion idéologique , qui nous mena à cette terrible diminution de notre raison.

    Et c'est cela qui maintenant s'achève.

     

    -Notre domination par les États-Unis-d'Amérique:

    Voici le déni le plus surprenant, celui de notre domination par un empire non européen grandement déclinant.

    Et pourtant une multitude d'exemples passés et présents, pour qui veut bien s'y pencher, ne peuvent que nous en démontrer la véracité du fait.

    Il est à remarquer que nous suivons de peu le même déclin intellectuel que notre malveillante tutelle, ceci en la seule et unique raison de leur imitation, ni plus, ni moins.

    Les causes de ce déclin sont intéressant à étudier, ce sur quoi je n'ai pas encore songé, toutefois quelqu'un comme Dimitri Orlov offre, dans ses rubriques, un P1030226.JPGensemble de réflexions sur ce sujet.

    Sachez, en ce seul exemple, que des médecins étasuniens craignent que la peste, cette maladie qui avait éradiqué du tiers à la moitié de la population européenne au XIV° siècle, ne soit dores et déjà présente au pays de Tonton Sam.

     

    -Nos oublis et parfois nos rejets culturels:

    Je pense que le fait qu'il soit devenu de plus en plus ardu, pour la majorité de la population, de monter dans l'ordre hiérarchique en soit l'une des origines principales, ce qui conduit au manque de régénération des créations de toutes natures.

    Ainsi que du sentiment, ici des classes-moyennes hautes à supérieures, de leur inaliénable compétence et de leur bon droit  de connaître le bon et le beau de ce qu'il est nécessaire pour le pays, ceci par l'articulation du dogme euro-atlantiste ne pouvant que nous démontrer toutes ses défaillances.

    Ce double phénomène étant, là encore, entrain de se réduire en conséquence des faiblesses insignes de toutes sortes des trois dernières législatures présidentielles, la dernière en en étant en tous points caricaturales.

    La seconde raison en étant notre perte d'intelligibilité du monde par celle de notre P1030095.JPGidentité, due pour une grande part aux béances frontalières et à la diminution de la qualité de notre langage, je vous renvoie de cela à la première partie de ce billet.

    L'usage d'anglicismes infondés et plutôt stupides en étant la troisième, dans une tentative désespérée de se montrer à la hauteur de cette intelligence égarée et dans l'angoisse existentielle de comprendre, sans se l'avouer, la profonde déliquescence impériale, empire garant, à ces yeux égarés et éperdus, de cet utopie édénique unioniste.

    Enfin en une quatrième cause principale en une liste non close, la monté en puissance d'une oligarchie ploutocratique, sotte et toute puissante, à la culture d'une basse faiblesse endémique qui, tels des rats devant un morceau de fromage, se rue sur tout ce qui pourrait être comptable d'une parcelle de richesse;

    Et qui, dans leur crainte maladive de percevoir la moindre once d'intelligence du peuple, n'ont que de cesse de pervertir son entendement par tous les médiats interposés, en alliant autant le mensonge, la promotion d'un art abrutissant qu'elle en vient à apprécier que de la médiocrité programmatique médiatique.

    Je n'oublie en rien que notre nation et notre état est englué dedans une union-Européenne totalement déconnectée de toute réalité et ne désirant qu'une seule chose et une seule: mettre en place le programme qui est à la base de son existence: P1020251.JPGcelui que l'empire US lui a laissé à sa charge, soit la destruction des états-nations.

    Tout autant que je n'oublie en rien les faiblesses mentales des pervers narcissiques telles que j'ai pu les exposer auparavant et qui, en raison de leur aliénation vicieuse, sont dans la plus absolue incapacité de conceptualiser les résultantes de leur actions malveillantes.

     

    Notre éloignement de notre mémoire collective: l'histoire:

    C'est un phénomène sciemment voulu et décidé par notre maître étasunien pour pouvoir nous maintenir dans son corset qu'est l'Union-européenne: oublier son histoire c'est perdre son identité.

    En une continuité constitutive, nos  élites zélées à l'esprit vaporeux, devenues elles aussi, elles surtout grandement sottes, perpétuent jusqu'à l’écœurement cette P1030147.JPGtendance généralisée à la médiocrité, ne voyant rien de mal à ce que leurs enfants et petits enfants, que les enfants et petits enfants de la population toute entière ne puisent représenter qu'une masse traumatique parce que ignorante.

    "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre.” Karl Marx (Manifeste du partie communiste.(1847) ou "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre." Wiston Churchill, maximes similaires de deux personnages historiques aux antipodes idéologiques, ce qu'il vous reste, messieurs-mesdames, à méditer.

     

    Après ce rapide tour d'horizon des raisons qui font que, de notre perte d'intelligence, en advienne celle de nos capacités à anticiper les effets de nos décisions, je vous propose de vous en montrer cinq (erreur) trois exemples.

     

    Le projet de loi des retraites:

    Je ne reviens pas sur ce projet lui-même, la grande part en étant débattue tant dans les médiats, sur le web, chez les grévistes, au sein des syndicats comme dans les partis politiques.

  • Cher Charles Sannat, lequel de l'état ou de l'union serait-il notre vampire?

    Ce billet a de base un commentaire que j'avait déposé sur le site "Vu du droit" dont j'ai partiellement changé le sens originel ainsi que le développé.

     

    Suite à l'un de vos derniers billets relayé par Businessbourse, je vous propose que nous fassions de la politique voulez-vous, cher Charles Sannat, en analysions la situation de ce seul fait et, ici, je vais revenir sur ce sujet en résumant notre véritable situation que j'ai pu traiter  tout au long de mes pages.

    Je vous apprécie, cher Monsieur, oui, oui, je vous apprécie, vous qui, à mon sens, êtes de ceux qui, en dynamique sociale, la sent le mieux et, en économie, ne dit pas trop de sottise.

    Mais, comme aussi la majorité de tous ceux faisant votre métier, vous oubliez cette moindre petite chose qu'est l'existence d'un fatras fait d'une union, d'un euro, d'un empire thalassocratique US et d'une oligarchie française que Monsieur Todd ditP1020964.JPG strato (c'était une bévue) stato-financière.

    Pourquoi, plutôt que de critiquer un état et son administration asservis, facilement remplaçable pour le premier, ne le faites-vous pas au sujet de nos maîtres?

    Pourquoi ne rendez-vous pas compte des fortunes que doit verser la France à une union où chacun de ses acteurs se paie grassement ainsi sur notre dos, elle qui, de plus, montre une criarde inefficacité dès lors que la moindre crise survient.

    ( Je fais un copier d'une partie de texte écrit ici:

    Voici un tableau relevé dans le livre d'Emmanuel Todd: "Les luttes des classes en France au XXI° siècle" page 55, dont la source de l'auteur est Eurostat :

    14 des pays de l'Union-Européenne en première colonne, en seconde, les emplois industriels, soit de cette économie dite réelle, en pourcentage % de la population active totale:

    République tchèque       /      30,6

    Slovénie                            /      27,4

    Slovaquie                         /      27,3

    Hongrie                            /      24,0

    Pologne                            /      23,8

    P1010457.JPGAllemagne                       /      20,7

    Italie                                 /      20,0

    Autriche                           /      17,3

    Finlande                          /      14,8

    Espagne                           /      13,8

    France                              /      13,6

    Danemark                       /      12,9

    Suède                               /      11,4

    Royaume-Uni                 /      11,1

    Il y a plusieurs observations à y faire:

    Nous comprenons pourquoi les britanniques ont voulu quitter l'union.

    A la vue des pourcentages des employés industriels et, dès lors, de la puissance en terme d'économie, usines et fabriques, pour chacun des pays:

    Qui de l'Allemagne ou de la République Tchèque est la plus riche?

    Qui de la France ou de la Pologne est la plus riche?

    Qui de l'Italie ou de la Hongrie est la plus riche?

    l'Allemagne est-elle vraiment la première puissance économique de l'union?P1030298.JPG

    La France est-elle vraiment la seconde puissance économique de l'union?

    L'Italie est-elle vraiment la troisième puissance économique de l'union?

    Sachant de plus que l'Allemagne, la France et l'Italie verse des subsides, via l'UE, à la République Tchèque, à la Pologne et à la Hongrie.

    L'Union-européenne est-elle vraiment une construction sérieuse?

    Quels sont les pays véritablement ruinés? )

    Certes, nos impôts sont devenus des tonneaux des Danaïdes, mais, justement, pourquoi ne pas aller au cœur des problèmes et de ne pas en montrer les pourquoi véritables, autant de cette gabegie que de cette flemme d'une administration devenue, pour l'essentiel, que de celle coloniale de nos dominants, comme il en fut de celle indienne quand l'Inde était une colonie britannique.

    Ils ne font rien, certes, pour beaucoup d'entre-eux, mais c'est parce qu'aucun n'a à décider, ou en des marges si réduites, qu'ils ne songent plus qu'à leur carrière et à leur compte en banque plutôt que de leurs responsabilités devenues du néant.

    Ainsi, nous ne pouvons pas poursuivre une quelconque politique économique de la nation sans P1020910.JPGque notre souveraineté pleine et entière soit rétablie au sein de nos frontières, ce qui est loin d’être d’évidence pour tous, là s'en trouve le pire.

    L'est-ce pour vous-même?

    La libre circulation des biens, capitaux et personnes, en étroite corrélation d’avec les traités définissant l’Union-européenne, rien que cela, déjà, nous en empêche.

    Ceci accentué dans le même temps, en plus desdits traités, d'un ensemble idéologique ordo et néolibéral accepté par tous les partis politiques siégeant dans les assemblées délibératives, plus les GOPEs devenus obligatoires depuis quelques années au risque sinon d’amendes importantes pour les pays qui ne les respecteraient pas, sans compter un euro qui, du fait de son formalisme, accentue plus que de raison nos difficultés.

    D'évidence, parce qu’il faut l’accord de tous les chefs d’état et de gouvernement pour réformer l’union, celle-ci est, de facto, irréformable et, en raison même de ce fait, vouloir la réformer et en être dans la capacité ne peut que mener mécaniquement à son autodestruction en raison des désaccords tant politique, économiques, monétaires, géopolitique et géostratégique qui ne peuvent que survenir en ce cas entre les pays de l'union.

    C’est bien parce que Monsieur Gorbatchev avait voulu amender l’Union-Soviétique que l’URSS explosa en vol, ceci en raison d’un mécanisme purement automatique.P1030473.JPG

    Pour faire vite, trois forces apparaissent et se combattent, réformatrice, conservatrice et contestataire du système, ce dernier, en raison des tensions politiques s’accumulant provenant des deux autres, tendant à devenir extrêmes, prend de la puissance puis en vient à détruire ce système politique devenu fragile, si ce ne sont pas les deux belligérants qui en viennent à l'anéantir par leurs conflits.

    Mais faudrait-il encore reconnaître ce fait pour que nous nous en dégagions: nous sommes sous le joug de l'Union-Européenne et de ses formalisme abscons et stupides, dirigée en même temps par les Etats-Unis-d'Amérique ainsi que par l'Allemagne, qui se combattant tous deux en secret, et tous nos problèmes viennent de là!

    Dès lors, soit l’on veut que le pays reste dans l’UE, mais en ce cas les questions économiques, législatives, d'impôts et de tant d'autres ne se posent plus, sauf à ce que l’on reste dans la rêvasserie ou le mensonge, soit l’on veut vraiment régler toutes les questions qui se posent à nous, auquel cas il ne peut y avoir d’autre moyen que d’en sortir.

    Pour l’instant, toute autre prise de position sur ce sujet ne peut que se retrouver, en toute logique, caduque.

    Je me dois de préciser la chose suivante:

    P1030257.JPGA cause de l’unilatéralité idéologique de la classe politique officielle, soit celle siégeant à l’Assemblée Nationale et au Sénat, à quelques détailles près, cela va de soi, les notions de gauche et de droite, qui, historiquement, sont liées à la relation au pouvoir du temps, royauté, bourgeoisie, religions, militarisme, capitalisme et autres… n’ont plus cours tant que nous ne retrouvons pas notre souveraineté, puisque le pouvoir d'aujourd'hui c'est l'union.

    C'est pourquoi je dis depuis des années qu'en France au moins il s'est produit un effondrement idéologique et, dès lors, politique.

    Les droites étant définies dès le début comme appuyant ledit pouvoir, la gauche luttant contre, le centre étant la recherche d’équilibre entre ces deux perceptions sociétales, à l’image de la sociale-démocratie d’antan.

    Puisque considérant que, désormais, c’est l’Union-Européenne qui détient les pouvoirs sur la nation, à quelques détailles près là encore, et qu’elle est de fait irréformable, sauf à la détruire, que, de plus, ne siègent aux assemblées délibératives que des personnes ne remettant pas en cause l’union, puisque la remettre en question lui serait destructeur, ce que, de plus, chacun déclame, soit vouloir la réformer, sans jamais vraiment y joindre du geste à la parole, sachant que cela est, en vrai, irréaliste.

    ( Le pouvoir grec actuelle, celui de Mr. Tsipras, en étant l'exemple le plus frappant depuis 2012, lui qui cru pourvoir, justement, réformer l'UE s'y est cassé les dents avec logique: cette organisation savait très bien que si cela survenait elle se déliterait inéluctablement. )

    Ainsi et du fait de cette impossibilité de sa régénération, mais aussi du déni de son existence par l'élite de la nation, qui suit dans le même temps les ordres de l'UE viaP1030098.JPG les GOPEs (ce qui montre chez-eux un collectif grave biais cognitif) nous ne pouvons donc en conclure que tous ces partis politiques que nous pouvons dire officiels sont de droite (ce qui a une certaine saveur), ceci d’autant plus de leur unilatéralité doctrinale les rende tous soumis, soit, du RN au PCF en passant par FI le PS, EELV, l’UDI, LR et bien sûr le REM des radioéléments.

    Tout les autres partis politiques voulant que le

  • L'Union-européenne: l'angoisse de la séparation.

    Certains psychiatres pensent que l'inconscient n'existe pas.

    D'une certaine façon c'est vrai, mais d'une autre c'est faux.

    Nous donnons en effet des noms à des processus psychiques qui, de fait, sont globaux, et tous ceux qui ne sont pas conscients, c'est à dire qui ne franchissent pas la frontière de la pensée, comme étant inconscient.

    Mais en ce cas qu'est-ce que la conscience?

    Ne serait-ce donc pas ce qui détermine, en nous, notre présence en tant qu'Être par nous-mêmes de par nos pensées, c'est ainsi que j'ai compris cette avancée majeur de la philosophie: "Je pense donc je suis!".

    Mais cette pensée consciente, ce qu'elle est toujours, est comme la fine surface d'eau nous cachant les profondes abysses qu'est cet inconscient complexe, démesuré et de structure fractale.P1020168.JPG

    De fait, la pensée, qui  nous a permis de nous abstraire de la composante psychique archaïque de la préhistoire, séparant conscient et inconscient telle une fine membrane semi-poreuse entre l'un et l'autre, nous donne facilement l'illusion d'être à elle seule le réservoir de notre psyché, quand sa fonction ne consiste qu'à composer notre conscience en l'organisant et en l'harmonisant d'avec le reste des constituants de notre esprit qui, eux, sont majoritairement inconscient.

    Dont la résultante du travail ainsi réalisé, mémoriel compris, remonte à la surface, si je puis le dire ainsi, suivant les besoins momentanés de chacun, sauf à ce qu'ils ne soient refoulés, c'est à dire interdit, momentanément ou, parfois, définitivement, de rejoindre la conscience, de traverser ladite membrane semi-poreuse  qu'est la pensée, d'en remonter à son seuil.

    Là se trouve les origines  des névroses, voire de certaines psychoses telle que la perversité narcissique.

    Or, tout refoulement va conduire à une cascade de processus mnésiques conduisant à des biais cognitifs plus ou moins graves suivant leur importance, d'agir de façon dérisoire, puérile, néfaste et/ou perverse pour soi et/ou à l'endroit de tiers, menant à ce que le sujet n'en vient plus à expliquer ses démarches mais à les justifier puisque n'étant plus que le jouet somnambule de son inconscient.

    Etant entendu que d'être déjà conscient desdits refoulements, sans en comprendre lesquels, ne peut P1020446.JPGqu'en atténuer plus ou moins les effets.

    C'est en cela qu'il nous faut comprendre le pourquoi véritable de nos actes, actions et agissements, ainsi, souvent, ce n'est pas notre façon d'agir qui importe mais bien plutôt leurs raisons d'être.

    Nous pouvons observer en cela que notre pensée, qui est une avancée évolutive majeur pour notre espèce, n'en est pas moins, du fait de son jeune âge en terme d'évolution, d'une grande fragilité, ce que seule une éducation suivit d'une instruction harmonieuse peut aider à bâtir.

    Ce long préambule, présenté ici en préalable, est là pour vous faire mieux comprendre, amis lecteurs, les soucis que pose, en ce moment même, l'idée d'un France-quitte qui, parce que refoulé par, à mon sens, un très grand nombre de français, bien plus que majoritaire, mène la France à des difficultés jusqu'au sein même du parti politique qui le réclame: l'UPR.

    C'est, en vrai, la fragilité extrême de l'Union-Européenne et de l'euro, la réalité de leur inanité face à une quelconque crise, les coups de butoir de plus en plus violent qu'ils subissent, l'autodestruction de la monnaie commune par son hyper-production et les emprunts à taux négatifs par les états, qui, définissent leur fin prochaine désormais évidente.

    Sinon demain, du-moins dans un laps de temps relativement court, pouvant toutefois s'établir encore sur quelques années.

    C'est cette perception généralisée qui produit ainsi autant le déni de son existence pour un ensemble large du peuple, mais plus encore en la sphère médiatique, économique et politique, qui mène aussi aux troubles qui traversent en ce moment l'Union-Populaire-Républicaine.P1020133.JPG

    A un point telle que, moi-même, en ressens l'inquiétude à mesure que j'écris ces lignes.

    Et vous-mêmes, amis lecteurs, en ressentez-vous l’oppressante âpreté angoissante obscurcissant autant la raison que la cognition?

    Que ressentez-vous quand vous imaginez en vrai la France hors de l'Union-européenne et que, désormais, de ne plus parler de la puissance US que comme une vieille relique (ce qu'elle est déjà)? 

    Que vous sentiez en vous-même que l'Union-européenne ne soit plus, que les médiats ne parlent plus que des relations véritables entre les états européens, de devoir avoir votre passeport en poche pour franchir les frontières voisines et de faire, avant, un change monétaire?

    De ne plus à apprendre la langue anglaise devenue une comme toutes les autres.

    En sentez-vous la tension monté du ventre?

    Ce furent deux vidéos qui me conduisirent à cette réflexion, celle-ci de Fabien Sémat puis celle-là de Jean-Batiste Baron.

    De la première j'en avais fait une brève remarque le 13 Mai (en PS. en fin de texte) que je ne peux que corriger après avoir vu la seconde, découverte ensuite.

    De cette seconde je reste toutefois prudent, étant donné que son témoignage, indirecte, est de deuxième main, toutefois si ce qu'il raconte est faux il sait parfaitement qu'il pourrait très bien se retrouver devant la justice.

    Ces deux films montrent des personnes raisonnables et intègres qui racontent ce qu'ils savent de cette affaire en un double point de vu contradictoire mais, de ce qu'il me semble, complémentaire, en ce sens où, justement, les événements qu'ils décrivent montrent, à mon sens, un phénomène d'affolement mental collectif.

    Et la cause en serait cette angoisse quasiment généralisée, en France pour le moins, due à ce que l'Union-européenne, l'euro, mais aussi les Etats-Unis-d'Amérique, comme l'explique Charles Gave, se trouvent tous trois en grande situation de détresse., l'OTAN n'en étant que leur extension sans, ici, réelle importance.

    Au début, dès que j'appris ces événements, n'en ayant que l'avis d'une seule partie, je P1020266.JPGne pensais juste qu'il s'agissait d'une tentative classique en politique de renversement de Mr. Asselineau, bien que la présence de Mr. Brousseau au sein des conjurés me laissait perplexe, ayant soupesé la forte mais discrète personnalité du bonhomme.

    Puis, à la suite de l'intervention de Mr. Baron, considérant la manière absurde et perverse avec laquelle François Asselineau se serait conduit, si celui-là a bien relaté les faits tels qu'ils se sont produits, alors je ne peux pas ne pas considérer que, de fait, la même angoisse telle que décrite plus haut étreint le président de l'UPR.

    Possiblement en ce cas le but inconscient serait de défaire ce qu'il a lui-même construit en raison de ladite angoisse décrite auparavant. 

    Celle-ci le conduisant de plus à des erreurs politiques majeures, tel que de ne cesser de faire états des incohérences du Président de la République, bien réels il est vrai, sans pour cela viser au plus juste là où se trouve le nœud du problème électoral du pays, le Rassemblement National et son chef, Madame Le Pen, qui servent de repoussoir pour faire élire le prétendant oligarchique à la magistrature suprême, et pourquoi non plus de faire de même pour la France Insoumise.

    Ce qui, en outre, de taper continuellement dessus permettrait de se défaire définitivement de la sotte considération journalistique d'une impossible alliance desP1010743.JPG partis qui, pour ces deux-là, se diraient souverainistes, ce qui génère en moi autant d'agacement que de rigolade..

    En effet, éreinter le président du RN permettrait d'éviter que se poursuive la farce d'une extrême droite qui, si nous nous penchons de ce qu'elle a pu signifier par le passé, tant en acte, en destruction qu'en parole, n'en est plus, à l'image du PCF/FI d'aujourd'hui pour une gauche radicale, qu'une pâle copie de ce qu'elle fut d'antan, une ombre fantomatique en quelque sorte.

    De se défaire d'autre part de cette sérénade journalistique voulant que, suivant le médiat, l'UPR serait de mêmes eaux que le RN ou la FI.

    Ni l'un ni les autres ne voulant, en vérité, que la nation recouvre son indépendance pleine et entière, comme tous les autres partis siégeant dans les chambres délibératives, toujours à cause des mêmes mécanismes.

    Je ne pensais pas, en effet, que Mr. Asselineau put, tout autant que la majorité des français, souffrir ainsi inconsciemment de l'idée même de cette triple disparition qui, antérieurement fortement probable, n'en est pas moins devenue depuis lors certaines.

    Lorsque l'on sait que c'est lui qui avait mis en place ce mouvement de plus une décennie maintenant, il est incompréhensible de ce qu'il puisse agir de la sorte, sauf si des mécanismes irréfléchis et inconsidérés soient à l'oeuvre en une perte logique, en ce cas, de lucidité.

    Si l'on remonte dans le temps, je supposerais que leur commencement dateraient véritablement d'il y a deux à trois ans, quand l'euro tendit à perdre de sa valeur et P1020178.JPGque QE et emprunts à taux positifs commençaient à se mettre en place en UE.

    Sans compter d'une possible désorganisation de l'union encore discrète dont nous n'avons pas encore le compte-rendu mais dont les personnalités au fait de ce qu'il s'y passe connaissent et qui, pour la majorité d'entre-nous, est devenu visible dès le début de la crise sanitaire actuelle de part son inaction totale, d'où cette monté supérieure d'anxiété.

    Ainsi en ces choses de l'esprit nous ne devons surtout pas écarter ce qui pourrait sembler être des invraisemblances.

    Quand il est encombré de pulsions, de mémorisations, de structures, d'émotions, de tensions contradictoires indéfinies parce que refoulées, alors il faut envisager que les paradoxes actifs sont là parce que des mécanismes inconscients sont en jeu.

    Il en est, par exemple, d'hommes ou de femmes qui, aimant véritablement leur compagne ou leur compagnon, la ou le fuient d'une manière ou d'une autre dès lors que leur situation devient sérieuse, en refusant un mariage au dernier moment ou en ne voulant pas s'installer à demeure chez son amour au risque qu'elle ou il le ou la quitte...

    J'avais, il y a peu, envisagé que cette angoisse due à ladite triple disparition UE/€/USA, ad minima en tant qu'empire pour ce dernier, mènerait à des réactions excessives, contradictoires, de déni, hystériques ou pire..., plus ou moins enP1030063.JPG déconnexion d'avec la réalité.

    J'avais même suggéré que ce phénomène toucherait tout autant des adhérents de l'UPR, il est probable même que cela ait atteint les deux camps de ce conflit.

    Si cela se révélerait exact, alors cela voudrait dire que la proportion de français qui, d'une manière ou d'une autre, sont tourmentés par ce fait dudit triple affaiblissement présageant la disparition des deux unions et de cette monnaie, dès lors d'un France-quitte automatique, serait alors énorme et bien plus que majoritaire.

    Il est même, en ce cas, probable que la sixième république survienne, comme il en fut pour la troisième, plus par surprise que par un choix délibéré et lucide du peuple et d'une partie de ses élites, voire à ce que cela se fasse dans le bricolage le plus total, en une rétrogression que, jusqu'à présent, nous poursuivons avec une sorte de méticulosité logique collective nous faisant remonté au temps de la guerre de 1870 et de ses effets nombreux.

    Ce conflit au sein même de l'UPR  montre dès lors que notre position à tous sur l'existence de l'union et de ce qu

  • Le moment de basculement.

    Lorsque une idée nouvelle survient ou qu'un ou plusieurs événements arrivent ayant de mêmes formes, en politique notamment, je m'essaie d'y formuler la dénomination la plus juste pour en montrer au mieux le sens.

    Celui que je vous propose aujourd'hui, "le moment de basculement", désigne l'instant où, d'un système social quelconque, d'un couple à un pays ou à une union, voyant ses instabilités s'accroitre régulièrement en sa dynamique propre, jusqu'à ce que, quand la-dite instabilité atteint un certain niveau, celui-ci passe à un état transitoire, lui aussi dynamique mais de nature différente, précédent un nouvel état lui aussi ayant sa dynamique particulière mais étant une stabilité convenable.

    Cette transition étant très courte au regard de la situation précédent et celle suivante.

    Ces trois phases étant intrinsèquement liées mais sont de propriétés dissemblables, puisque l'essence de la situation qui prévalait en la première partie mute profondément lors de l'avènement du basculement et,P1030194.JPG ensuite, que celle suivant la-dite transition sera en tout points différents des deux précédentes.

    Ceci parce que cette transition entre l'achèvement de la phase du premier jusqu'au début de celle troisième mène en même temps à une accélération du rythme des événements, à ce que ceux-ci, de ce fait, échappent et entrainent les différents acteurs, ce qui les contraint de prendre des décisions dans l'urgence, accentuant continuellement le chaos préexistent et, ce, en une suite soutenue pour tous.

    Tout ceci accroissant les instabilités sans cesse, jusqu'à ce que ce  nouveau stade plus stable s'installe.

    Étant entendu, dans les cas les plus extrêmes, que, d'une certaine manière, une guerre peut être considéré comme ayant sa forme de stabilité, jusqu'à ce qu'un moment de basculement se produise menant à une victoire de l'un ou l'autre des belligérants et/ou à ce qu'une paix soit signée.  )

    A l'exemple, plus ou moins simple suivant qu'il y ait des enfants ou non, du couple où les désaccords de l'un, de l'autre ou des deux conjoints s'enflent, les instabilité en son sein s'accroissent, puis, parfois après une dispute anodine, se séparant, l'un ou l'autre quitte le foyer, suite ou non à un divorce, ce qui est cette période de transition, puis, au bout d'un certain temps, chacun en vient à vivre sa vie avec plus ou moins de fortune et un nouvel état d'existence.

    Je pense qu'il en est de même dans les sociétés et, me semble-t-il, que ce soit en P1020538.JPGFrance ou aux États-Unis-d'Amérique, il serait bien possible que ces deux pays soient entrés dans une telle sorte de basculement.

     

    En France, commençons par notre beau pays, ce sont 2 catastrophes qui m'en montre la forte possibilité en raison de la perte désormais totale de confiance de l'ensemble de la population pour le gouvernement, ce qui rend déjà visible la primauté des décisions de l'Union-Européenne sur celle des choix politiques du pays, les affaiblissant supérieurement dès lors, l'administration de l'un et le gouvernement de l'autre.

    UE que, jusqu'à présent, les trois dernières magistratures et législatures au moins, celle macronienne comprise, occultait, autant en raison du silence des médiats là-dessus que des discours gouvernementaux, de ceux des responsables politiques des partis officiels que de ceux des syndicats affiliés au CES, la confédération des syndicats européens.

    De ces deux catastrophes sont, pour la première, l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen (il est de constater que ceux qui en parlent le mieux c'est le WSWS étasunien et l'UPR  France-quitte, par la voix de  Mr. Asselineau, pour le second c'est oh combien plus logique).

    Pour la seconde, quand à elle, il s'agit de l'attentat ayant eu lieu à  la préfecture de Paris et qui a fait 5 morts, dont l'assassin, plus un blessé grave (il est à noter, là encore, que Tatiana Ventôse, dans cette vidéo, c'est montrée,  quant à elle, en même temps mesurée etP1030229.JPG subtile).

    Ce ne sont pas tant ces événements qui importent ici mais leurs effets sur la population, toute classe sociale confondue, dès lors de l'achèvement de la délégitimation du gouvernement qui avait débuté lors de la gay-pride de l’Élysée du 22 Juin 2018 , ayant contribué à considérer Mr. Macron, à tort ou à raison, comme étant un être sans virilité et, donc, sans caractère, ce qui semble avoir été confirmé par la suite.

    Il est à remarquer deux faits importants:

    1) Aucun des responsables, qu'ils soient ministres, préfet, hauts cadres de la police et élus de la république ne reconnaissent leurs responsabilités dans ces deux affaires en tentant de se justifier, ce qui en politique est une faute gravissime;

    2) Ils se couvrent tous mutuellement à tous les niveaux hiérarchiques, phénomène que j'avais déjà observé quand je travaillais à la RATP et qui signe, à mon sens, leur incompétence pleine et entière.

    Ce qui proviendrait d'un double sentiment contradictoire, celui de reconnaître plus ou moins consciemment leur-dite incompétence tout en considérant simultanément tout le reste du personnel, ou, là, la population, comme leur étant un danger parce que plus intelligent et sérieux qu'eux et, à l'inverse et par compensation psychique, comme faisant preuve d'une grande sottise.

    P1030120.JPGCe qui ne peut que les conduire à un état névrotique plus ou moins prononcé suivant les cas.

    Mine de rien et à mon sens, ces deux affaires survenues à une semaine d’intervalle est égal à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl du 26 Avril 1986 qui sonna définitivement le glas de l'URSS, de ce qu'en dit Gorbatchev avec raison.

    Cela mettra du temps pour que ça s'exprime, tout comme il fallu du temps pour que d'une gay-pride ridicule les gilettiste en viennent à scander: "Macron démission!"

     

    L'autre pays où un tel moment de basculement est possiblement présent ce sont donc les USA.

    Cela est dû à la tentative des démocrates de renverser Donald Trump et des tendances de ce dernier à avoir une réaction agressive lors de toute négociation, voire même en face d'une attaque, ce qui est le cas ici.

    Que je vous résume donc ce que j'ai compris de cette affaire.

    Après un coup de téléphone que D. Trump avait donné au nouveau président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pour éclairer une affaire de corruption dont un étasunien, le fils d'un certain Joe Biden sénateur démocrate, Hunter, serait mêlé à tel point a cette affaire que le-dit sénateur avait, il y a trois ans, fait pression sur le président d'Ukraine d'alors, Petro Porochenko, pour que celui-ci chasse le procureur qui enquêtait sur ces malversations, ici et .P1030088.JPG

    Mr. Biden, sûrement pour protéger son fistounet autant maladroit que malandrin, lança, avec ses collègues, qui eux aussi doivent avoir quelques casseroles au derrière, lancèrent donc le processus de destitution du président US, sous l'accusation d'avoir voulu prendre des renseignements d'un haut responsable US auprès d'un chef d'état étranger (remarquez l'hypocrisie de la chose).

    Il eut été possible pour Maître Coincoin de se taire en attendant que ça passe, bien que je ne pense pas qu'il soit du genre à faire amende honorable, mais sûrement en raison d'un sentiment de puissance, il n'en fit rien et téléphona derechef, là au premier ministre chinois, Xi Jinping, pour  savoir si ce dernier ne connaîtrait pas quelques autres affaires croustillantes au sujet du Joe, cela en l'annonçant à la presse, ce qui, d'après Philippe Béchade, a affaibli grandement sa position.

    Bien que vulgaire, je le pense très loin d'être sot, et s'il a mis ainsi le feu au poudre c'est  qu'il savais très bien ce qu'il faisait (en politique, il ne faut jamais confondre vulgarité, grossièreté et sottise, ce serait d'une immense erreur).

    Il a montré à ses soutiens,  surtout populaires, que ce soit réel ou non, généralisé ou non, que les élus US qui  veulent le destituer sont en même temps menteurs et P1030151.JPGtricheurs, faisant pire que ce que lui-même fait, ceci en toute impunité, pour lui peu importe que la classe politique soit majoritairement honnête ou non, le principal, pour lui, c'est que ces sous-entendus aient fait leurs effets.

    S'il agit de la sorte ce ne peut qu'être que parce qu'il se sent en situation de force et, les connaissant bien, sachant cette classe politique, pour la majorité d'entre-elle, sûrement plutôt lâche, il ira jusqu'au bout, quitte à lancer un touite d'appel aux armes, ce qui ne m'étonnerais pas.

    Je vous renvoie, à ce sujet, à ce que j'avais écrit le 21 Septembre.

    Là encore nous pouvons percevoir un moment de basculement, parce que soit Trump gagne son pari sous forme de ce qu'il faut bien nommer un coup de force, auquel cas les chambres délibératives US se retrouveront à être sous sa botte et il pourra continuer son programme.

    Mais si cela ne  se passe pas ainsi, cela voudra dire que ceux qui sont désignés sous le sobriquet de faucons ou d'état profond, ainsi que l'oligarchie financière, ne se plieront pas à sa volonté, ceci pouvant aller jusqu'à une tentative de coup d'état ou d'assassinat.

    Ceci pouvant même mener à une réelle guerre civile comme je vous en avais déjà P1020252.JPGcausé part ailleurs.

     

    Comme vous le voyez, l'empire US, lui aussi, semble être entré dans un moment de basculement.

    Vous remarquerez son aspect non prédictif où il devient difficile de prévoir les effets des événements présents, en France comme aux USA, ceci étant dû à ce que ce futur dépend maintenant de tous les acteurs en présence, même le plus insignifiant, qui ne peuvent qu'être que très nombreux, ou alors d'une conjecture anodine.

    Il se dit que les gens du nord de l'Union-européenne râle de penser que les taux d'emprunts négatifs des pays ne sont là que pour tenter de renflouer le sud au détriment de leurs économies, quand en vrai ils n'existent que pour tenter de sauver l'euro.

    Bien que cela affaiblit gravement les banques allemandes, françaises, belges, hollandaises, italiennes et d'autres...

    Mais là encore qu'importe, ce sont les sentiments des populations qui doivent entrer en ligne de compte et non pas la réalité puisque celle-ci est tue, caviardée ou tronquée et, comme l'explique fort bien Tatiana Ventôse dans sa dernière vidéo, P1030276.JPGc'est parce que les peuples ne comprennent pas ce qu'il se passe puisque l'on  leur cache qu'ils interprètent les faits suivant leurs opinions.

  • De notre perte intellectuelle.

    Une structure politique est naturellement intimement liée à sa société, sauf dans les moments historiques où une puissance supérieurs, le plus souvent impériale et/ou hégémonique, force la-dite société militairement, culturellement, économiquement et/ou par tout autre moyen.

    Une fois ce processus de domination mis en place, l'élite de cette ou ces sociétés perpétue cette domination en influant sa population puisque celle-là se retrouve à subordonner son existence à l'impérium sous lequel elle est elle-même sous le joug.

    L'élite de ces colonies ayant dès lors tendance à suivre les mêmes biais, en positifs ou en négatifs, de celle du pays colonisateur.

    Ainsi avons-nous pu voir émerger dans les années trente à cinquante un ensemble d'intellectuels de très haut niveau provenant des colonies françaises, à l'exemple d'Ho-Chi-Minh et de Félix Éboué, ceci en écho de la vigueur de l'intelligentsia française de l'époque, en un même phénomène de ce qu'il se passait dans lesP1020190.JPG possessions de l'empire britannique.

    Il est d'ailleurs à se demander si ce penchant imitatif ne serait pas l'un des signes annonçant un achèvement de l'action colonisatrice impériale et de sa prochaine disparition, ce à quoi je pense.

    Or il est à remarquer que ce même cas se retrouve aujourd'hui dans les pays européens colonisés par les États-Unis-d'Amérique sous la forme de l'Union-européenne.

    Sauf que contrairement à ce qu'il se passait à cette époque devenant lointaine, nous ne voyons pas se développer une même intelligentsia européenne mais, à l'inverse, prendre place une semblable médiocratie que celle qui a cours chez notre dominateur outre-atlantique.

    Non pas qu'il n'y ai pas de tête pensante de qualité chez nous autres les colonisés, ainsi que chez notre colonisateur, mais bien plutôt que ceux qui sont maintenant honorés à l'aune de leurs créations, ici comme là-bas, ne sont pas de ceux qui font preuve d'une grande inventivité remettant en question les concepts du temps, mais, tout au contraire, suivent et développent avec déférence et obséquiosité les moindres des chimères de l'air du temps.

    P1020165.JPGIl n'est en outre que d'observer qui, aujourd'hui, dirige la France, l'Union-Européenne, Ursula Von Der Leyen, proposée par notre cher Macron (tout y est dit), tout comme il en est de Christine Lagarde, nouvelle dirigeant de la banque centrale européenne, plus étasunienne que vraiment française (nos travailleurs immigrés l'étant infiniment plus qu'elle).

    Quand à nos réels intellectuels, ils se retrouvent dorénavant censurés dans les médiats, hormis de très rares exceptions.

    Cette monté en force de la vulgarité, aussi que de la sottise, facilement compréhensible si nous effectuons la simple comparaison de ces  deux réformateurs impériaux U.S. que sont Roosevelt et Trump, ce dernier infiniment plus intelligent qu'Obama, ne peut qu'être que le révélateur de cette déchéance impériale naturellement accompagnée par celle de ses colonies que sont les pays de l'U.E..

    L'art aussi en est un révélateur primordiale où, là encore, il ne suffit que de ne comparer ce que fut le Jazz des années 40 avec ce que peut être le rap d'aujourd'hui tout comme il en est de la musique classique composée il y a encore 70 ans et celle dite contemporaine manquant de toute structure (non, tout ne vaut pas tout, autre croyance débilitante accompagnant notre époque).

    Ou entre la statuaire en création par ce passé et celle reconnue d'aujourd'hui ressemblant à des bonbons acidulés.

    Quand tout ce qui se fait de qualité est toujours écarté, il en devient ardu de l'apprécier, ainsi a-t-il fallu qu'une chanteuse, Marguerite, et son mari compositeur fassent une chanson sur les gilettistes pour enfin être vraiment connue.P1020779.JPG

    Comme j'ai pu déjà l'expliquer, ce fait n'est que transitoire et sous peu disparaîtra, du-moins en Europe.

    Mais ce qu'il est le plus intéressant c'est d'en définir le soubassement idéologique.

    Je le perçois à trois niveaux intimement liés:

    Le premier concerne le violent conformisme qui fait que la classe sociale supérieur, suivit par une partie de la population, rejette automatiquement toute opinion, quel que soit le domaine évoqué, sortant des fantasmagories, des approches, des hypothèses, des analyses et théories actuellement acceptées.

    Le second, toujours dans le même milieu, fait que ne soit plus considéré comme progrès que les seules créations et fabrications des objets manufacturés, ceci en la fable d'un rejet en rien factuel et, ce, dans le même temps, quelque peu hypocrite.

    Le troisième  qu'il m'a déjà été donné d'évoquer, fait se confondre les causes et les effets et, encore une fois, les-dites classes supérieurs emmènent, en cet P1010725.JPGembrouillamini, une bonne part de la population.

    C'est Charles Sannat qui, dans l'une de ses interventions vidéos, vers 3mn. 36s., m'a fait comprendre, bien malgré lui, ce triple mécanisme où, après qu'il ait donné la définition économique du progrès, m'a fait me lever de mon siège comme un beau diable en disant: " Mais ce n'est pas ça le progrès!" (j'aime bien soliloquer, je me suis un excellant compagnon de conversation, d'ailleurs, là, j'ai failli sursauter de surprise, me retournant et me regardant droit dans les yeux en m'entendant m'exclamer de la sorte).

    De fait, il ne peut y avoir de progrès matériel tant que le psychisme n'a pas atteint lui-même un niveau collectif le lui permettant, ce qui mène à des qualités mentales présentement quelque peu oubliées.

    Un louis XVI dépressif, laissant Marie-Antoinette prendre les manettes du pouvoir (l'une des causes de la réussite de la révolution républicaine de la France) parce que sa fille chérie était  morte en bas âge était plutôt inenvisageable des siècles plus tôt où la vie et la mort étaient considérées comme allant de soi.

    ( Tout du-moins, auparavant, les enfants étaient-ils baptisés dès leur naissance pour que Dieu puisse les reconnaître au Paradis, ce qui, déjà, montrait une avancée conceptuelle par rapport au passé. )

    Ce fut à la même  époque où les révolutionnaires considérèrent que la  guillotineP1020490.JPG était une condamnation à mort plus humaine que d'être roué vif pour vol ou d'écartelé sur place publique, après moult  torture, pour avoir voulu tuer le roi, comme il en fut 142 ans plus tôt lors de l'attentat de 1757 de Damien contre Louis  XV.

    Faire preuve d'humanité envers ses proches et ses semblables est, à mon sens, l'un des effets de ce développement mental, tout comme il en fut de l'inventivité de la première machine à vapeur, le fardier de Cugnot, ou de la première montgolfière des frères Montgolfier en 1782, par exemple.

    Ce furent les réflexions et évolutions humanistes, mathématiques, philosophiques, politiques, artistiques, économiques, technologiques..., du proche moyen-âge à la renaissance, de la renaissance au siècle des lumières, de ces lumières à la révolution, suivit de la révolution industrielle mais aussi scientifique qui complexifia progressivement la sensibilité humaine.

    N'empêchant en rien l'esclavagisme et la colonisation il est vrai, mais nous ne devons surtout pas faire d'anachronisme, ce processus fut lent et nous pouvons même considérer qu'il en fut l'un des effets paradoxal de ce progrès antérieur, n'ayant pris fin que quand la machine à vapeur, l'usage de l'énergie chimique, devint efficace.

    P1020108.JPGCe qui, de même, engendra au XX° siècle deux guerres mondiales en raison des troubles que cela généraient chez nos anciens et ancêtres.

    Et c'est bien cet esprit de progrès qui régressa à la suite de quatre formidables et violents coups de butoirs, ces deux guerres mondiales, la guerre froide angoissante et, enfin, notre domination pleine et entière par un empire devenu vacillant dès le début du XXI° siècle, les États-Unis-d'Amérique, sous l'égide d'une philosophie économique absurde, avilissante et ruineuse, le néolibéralisme, impérium lui-même en une défaillance multifactorielle montrant un affaiblissement constant de cet esprit l'amenant aujourd'hui en un état de décrépitude avancé.

    Défaillance dedans laquelle il nous entraine plus encore dans la mesure où, justement, nous nous retrouvions à être auparavant psychiquement gravement diminués et perturbés, mais aussi parce que nous souffrons aussi de cette même inadaptation sociale au grand nombre d'habitants, la surpopulation, et à un accroissement du nombre de vieillard.

    Ce brusque arrêt graduel de l'évolution du-dit esprit de progrès des nations européennes, débuté dès l'achèvement de la grande guerre, soit il y a un siècle, mène aujourd'hui à un phénomène que j'appelle "une phase historique inachevée" qui fait que, comme son intitulé le montre, les peuples européens n'ont pas accompli leur évolution progressiste, que ce progrès a été stoppé net, en quelques décennies, et qu'une tension croissante à sa reprise est dores et déjà présente.P1010654 - Copie.JPG

    (  Contrairement à ce qu'il peut en être des U.S.A. qui, eux, entrent en un même mécanisme que ce qu'il se passait lors de la disparition de l'empire romain d'occident, soit leur entrée dans une époque semblable de ce qui fut pour nos ancêtres ces deux périodes dites des grandes invasions puis du haut moyen-âge, ne sachant quelle forme cela prendra ni pour combien de temps.   )

    Les russes se retrouvant dès lors à être précurseurs de ce retour au-dit progrès en raison de la disparition de l'U.R.S.S. il y a déjà 37 ans quand, sous le joug de l'Union-Européenne germanico-étasunienne, le reste de l'Europe régresse encore.

    La disparition de notre cher oncle, tonton Sam, aura le même effet sur les populations qu'un ressort qui se détend après qu'il ait été étendu à son maximum, un retour rapide vers ce qui faisait la réelle puissance européenne, l'idée et le goût au progrès, ceci accompagné d'une rétrogression historique  dont je vous avais déjà fait cas, plus les autres processus en cours auxquels je vous avais aussi entretenus.

    Le siècle qui vient sera européen, d'abord français, britannique et italien, les trois peuples qui, dès maintenant, ne sont pas loin de quitter cette union d'une façon ou d'une autre, en tous cas qui n'en veulent plus.

    Bien entendu et c'est devenu traditionnel en ouest-eurasiatique, c'est la Grande-Bretagne qui est la première en cela, elle sera rapidement suivie par la France et l'Italie juste avant que cette construction politique crétine ne s'évanouisse dans le néant.

    P1010804.JPGLa reprise de l'esprit de progrès ne pouvant qu'être accompagnée tout autant d'une très forte natalité, de celui du retour à la terre d'un grand nombre d'agriculteurs, mais aussi, momentané, de celui des structures familiales antérieures.

    Il est toutefois fortement possible que dans certains pays il y ait, peu de temps après la disparition de l'U.E., des massacres populaires de travailleurs provenant de l'immigration.

    Ce ne sont, je vous l'accorde, qu'un ensemble d'hypothèses qui se doivent d'être confirmés par des faits.

     

     

     

    THEURIC

  • Réflexions philosophiques : de l'accélération des conjonctures.

    Il ne suffit que de se pencher un tant soit peu sur les événements qu'il nous est possible d'appréhender pour percevoir que ceux-ci tendent à se suivre à une vitesse allant s'accélérant, les rendant difficilement compréhensibles.

    Ce processus n'est pas fortuit et ne peut qu'être la résultante des mécanismes sociétaux déstabilisateurs tel que celle d'une surpopulation, d'une modernité informatique et électronique incomprise, d'une baisse de natalité plus ou moins liée à une monté du vieillissement, le tout duquel aucunes sociétés humaines n'étaient préparées.

    Rien que cela mène déjà à ce que l'esprit de chacun soit embué, rendant la pensée difficile, ce à quoi se rajoute le brouillard conceptuel dont je vous ai déjà raconté la trame, ensemble qui tend à perturber nos fonctions mentales, dès lors ceux pour qui la fonction consiste à décider, en tant que banquier, ministre ou autre, agissent à la-vite, maladroitement, sans pouvoir prévoir les effets de leurs actions.P1020120.JPG

    ( Étant entendu que je ne porte pas ici de jugement de valeur ou de moral sur cet état de fait mais tente de démêler les causes internes, premières, qui, avec l'indépassable dogme néolibéral, génèrent tous les errements actuels à toutes les échelles hiérarchiques des nations.

    Il n'est que de lire mon billet précédent pour comprendre que je considère aussi les rêveries gravement réactionnaires, voire totalisantes, des Extinctions-Rébellions, d'une anti-modernité toute relative de plus, n'est que l'un de ces multi-signes de ces divagations collectives. )

    Ce qui accroit d'autant plus ce phénomène, c'est cette accélération des processus sociaux et politiques, se produisant dans le même temps qu'une tendance générique au blocage intellectuel menant à amplifier cet appauvrissement des capacité mentales d'une part non négligeable des populations et, ce, à  tous les niveaux des hiérarchies sociétales.

    Ce à quoi nous pouvons rajouter l'établissement multidécennal d'une perte de mémoire sociale et d'un déni, plus ou moins puissant, d'une part des classes-moyennes hautes à supérieurs, autant des conditions du pays, de celle de sa position géopolitique que de chacun d'entre-nous, tous tendant à se dégrader, c'est ce que j'observe en France.

    P1030231.JPGSi, de plus, nous y rajoutons ce double mouvement qu'est cette unilatéralité idéologique d'un bon nombre d'acteurs de hauts niveaux, lié à cet effondrement idéologique dont je vous avais déjà fait cas, et de cette tendance d'une partie d'entre-eux à oublier leur responsabilité, du sens comme du bien commun, dont en France le macronisme et son chef en est l'exemple caricatural, ceci pour leur seul profit de très courte vue.

    Cet ensemble formant un chaos rendant un grand nombre de circonstances ardues à comprendre.

    il est à relever que cette déchéance tend à s'amoindrir lentement, ce brouillard tendant à se lever, mais, et ceci non pas seulement en Union-Européenne ou en Occident, ceux étant aux manettes du pouvoir, ainsi que leurs serviables agents, en sont souvent atteints bien plus que pour le reste des peuples.

    La Russie et l'Islande en restant les principales exceptions.

    Mais quels seraient donc les liens entre cette accélération croissante des conjonctures, de la difficulté d'en saisir leur logique interne et la baisse qualitative et quantitative multifactorielle de l'intelligence des acteurs principaux, politiques et économiques pour l'essentiel, bien que ce phénomène, d'une moindre façon, se soit plus ou moins étendu à l'ensemble des sphères professionnelles?P1030302.JPG

    Quand la situation, en effet, tend à devenir complexe, chacun des décideurs, pour tenter d'en reprendre les commandes, font des choix qui, en raison même de  cette diminution de leurs capacités mentales, ne se révèlent que modérément efficaces, voire totalement inefficaces.

    Ceci d'autant plus que ces  choix sont intimement liés à leur idéologie pour eux inaliénable et que chacun y recherche ses propres prébendes et autres avantages.

    Ce qui en accroit d'autant les instabilités du système sur lequel ils agissent et dont l'origine se trouve au cœur même de la-dite idéologie néolibérale, le rendant d'autant plus impénétrable, accroissant également sa vitesse de dégradation.

    Il est vrai que d'autres de ces acteurs essaient dans l'ombre de corriger les-dits systèmes, en économie notamment où cela se révèle à peine visible, presque inaudible (mais je les sens pleinement agissants), ou en politique où Mr. Trump aux USA tente vaillamment tout autant que vainement de redonner à son pays sa puissance industrielle d'antan.

     

    Un exemple intéressant est cette sorte de mixe entre guerre et batailles que mènent les turques à l'endroit des kurdes syriens.

    Il est déjà de s'interroger du fait que ce Rojava est d’obédience communiste tout en étant autant allié aux États-Unis-d'Amérique qu'à l'Union-Européenne.

    P1030135.JPGComme quoi mon hypothèse d'un effondrement idéologique allant au-delà de la seule UE se confirme, mais aussi que c'est ce type même de phénomène qui nous rend les faits peu compréhensibles.

    Vous pourrez, amis lecteurs, en apprendre beaucoup dans le site : "Chronique du grand jeu" où, des six derniers billet d'Observatus Politicus (à lire absolument pour comprendre la suite, au moins des trois derniers) , vous pourrez en comprendre la substantifique moelle, mais aussi des réactions des commentateurs, dont certains à la pointe de la connaissance de leur sujet, la plupart du temps complémentaires du billet d'origine.

    Vous observerez également que ce qu'il s'y raconte est le plus souvent contraire que de ce que nos journaux oligarchiques du privé comme du public, peuvent nous en conter.

    Autre phénomène rendant, là encore, les événements pour nous incohérents.

    De ces libelles jusqu'aux nombreuses interventions des commentateurs, le sens de ces événements s'éclaircit sérieusement par la cohérence qui y est apporté.

    Mais vous remarquerez aussi la rapidité avec laquelle ces événements eurent lieu, ce qui explique en grande partie les raisons qui fondent de ce que nous ne comprenons plus vraiment ce qu'il se passe.

    C'est pourquoi justement nos journalistes et autres chroniqueurs-spécialistes perpétuent, quoi qu'il se passe, la légende de "l'Amérique sauvant la paix et lesP1030017.JPG kurdes luttant contre les islamistes", en oubliant au passage que les turques, nos alliés directes par OTAN interposée et ayant un pas au sein de l'UE, emploient ces mêmes islamistes qu'à une époque ces journalistes disaient modérés, de ceux qu'il est imaginable que certains soient instigateurs des attentats qui ensanglantèrent la France.

    C'est bien parce qu'ils nous mettent au milieu de leur incompétence, leurs silences et mensonges dus à leur idéologie et leur intelligence limitée qui nous mène à ne pas y comprendre grand chose, d'en avoir une idée vague et, avouons-le nous, de s'en foutre complètement.

    Or il y a eu des morts parmi les troupes d'élites françaises, nos forces spéciales, et je ne pense pas qu'ils aient apprécié les reculades de notre gouvernement, vous remarquerez que sur ce sujet Jean-Luc Mélenchon jette de l'huile sur le feu, tout en oubliant certains des détailles les plus importants que je vais résumer pour vous plus bas.

    Il est déjà à noter que cette alliance contre-nature des kurdes syriens d’obédience communiste avec l'empire US est à mettre en parallèle avec le fait que la France-Insoumise ne veut  sortir ni de l'Union-Européenne, ni de l'euro, ni de l'OTAN, en disant vouloir les réformer, ce qui est impossible, je l'ai montré maintes fois.

    Alors allons voir ce qu'il à pu en être de la suite des événements possibles, je remplis P1030481.JPGles vides d'information par imagination:

    -annonce de Mr. Trump du retrait de ses troupes de Syrie;

    -profitant de cette aubaine, tentative de Mr. Erdogan de reprendre de l'ascendance présidentielle en Turquie (il avait perdu ses dernières élections) par l'ouverture d'un conflit d'avec le Rojava kurde syrien, l'accusant d'être terroriste, ceci avec l'alliance, c'est un  comble, des milices musulmanes extrémistes, ce qui est important de le souligner;

    -blanc-seing donné par Donald Trump Coincoin aux turcs de se lancer dans cette folle aventure;

    -forces turques dépassant les capacités de résistance kurde, appels de détresse de ces derniers à l'endroit de la Syrie et de la Russie qui viennent à leur secours;

    -recul dès lors sur tous les fronts des turcs, Turquie qui est au centre stratégique de l'OTAN et qui a aussi sur son sol une quarantaine de bombes atomiques US, fait également d'importance;

    -affolement du président US qui craint que ce pays ne s'en voit gravement déstabilisé mais aussi que la Syrie ne se retrouve à recouvrer l'entièreté de son territoire;

    -peut-être aussi un appel au-secours d'Erdogan aux étasuniens;P1030195.JPG

    -bricolage vite fait d'un accord de cesser-le-feu de cinq jour entre les belligérants par le gouvernement US, sauvant par là, au moins momentanément, le président turc;

    -signé par ceux-ci, contre, il est possible de l'imaginer pour les dirigeants kurdes, quelques avantages juteux;

    -accord qui ne peut que permettre aux troupes d'Erdogan de se rééquiper et de se regrouper, c'est pourquoi, de la part des gouvernants kurdes, de l'avoir signé est tactiquement absurde;

    -tout ceci s'étant passé en neuf jours seulement.

    Là nous entrons dans le flou mais essayons de l'éclaircir.

    En effet ni les russes, ni les syriens,  ni même les troupes kurdes ne doivent apprécier ce revirement de dernière minute des dirigeants de ces derniers.

    De plus, il est facile d'imaginer que personne ne soit dupe de tout cela.

    Mais ce qui est le plus remarquable c'est la folle impréparation de chacun des acteurs, hormis, ceci est à souligner, les syriens et les russes qui surent réagir rapidement, signe sûrement que ces événements avaient été prévus par avance.

    P1020151.JPGSurtout, les forces russo-syriennes se retrouvent maintenant en position de force, ceci d'autant plus que les étasuniens, comme les français, ont terminé de retirer en catastrophe leurs militaires du Rojava pendant cette bataille, faisant quoi qu'il en soit pensé à une fuite en une preuve de faiblesse.

    Le président turc se retrouve coincé, s'il se retire de Syrie il perdra l'estime de sa population, s'il continue cette guerre il est sûr de la perdre et si ses troupes restent là où elles sont actuellement cela génèrera des pôles de tensions très importantes pouvant se propager jusqu'au Kurdistan turc.

    Le président Trump, lui aussi, est en mauvaise posture dans son propre pays où l'état profond se fait les gorges chaudes de son amateurisme.

    Les musulmans modérément modérés (comme les appelle Observatus) de la milice d'Erdogan que, peut-être, il aurait aimé voir, peut-être non pas de disparaître, mais d'être grandement affaiblie, n'ont pas dû voir leurs effectifs si affectées que cela en un temps si court, ce qui serait un troisième échec pour lui.

    Là, vous pouvez voir que tout s'éclaire et que nous pouvons en tirer des conclusions partielles:

    -les militaires français n'ont plus aucune confiance en notre gouvernement;P1020899.JPG

  • A vous les jeunes!

    J'ai soixante ans et, à la suite de mes nombreux billets, il me semble qu'il soit temps pour moi de m'adresser tout spécialement à vous.

    Nous vivons une période tout autant dangereuse, ne nous le cachons pas, spécifique à toute autre ère et pour le moins impénétrable.

    Or c'est à vous que va se révéler la tâche de rendre intelligible ce qui ne l'est pas, inventif face à ce qui n'est, en ce moment, qu'un rabâchage ennuyeux, ruineux, imbécile et, surtout, obscurantiste.

    Beaucoup d'entre-vous recherchent désespérément une raison d'action sociale dans ce chaos mortifère, en la trouvant dedans des problèmes écologistes désignés par ceux-là même qui génèrent cette confusion collective, soit les médiats officiels.

    Comme je pus l'être à vos âges, vous êtes facilement manipulable.

    De ce fameux réchauffement climatique anthropogénique qui en constitue la trameP1030162.JPG première, cachant là où se situent les réels enjeux, réchauffement qu'il y a beau jeu d'observer en toutes faces, sa vérité est ainsi: cette théorie scientifique, ou se voulant se dire tel, n'en est pas une.

    Pour cela il n'est que de reprendre la science à sa base: Une théorie scientifique, en plus de n'avoir de valeur que par son caractère prédictif, se doit d'être réfutable, c'est à dire de pouvoir être remise en question.

    Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une théorie, ni même d'une hypothèse qui, normalement, se doit de prendre en compte l'ensemble des éléments pour se formuler, mais tout juste une croyance ordinairement sans grande importance.

    Vous remarquerez ainsi que nos journalistes et chroniqueurs bienséants ne présentent jamais quiconque, climatologue ou physicien (puisque les questions du climat relèvent surtout de la physique la plus pointue), venant critiquer cette nunucherie.

    Sachant qu'il n'existe pas, en science, d'unanimité, cela n'existe pas et est le mensonge le plus grossier qu'il soit: oui nos journalistes et nos élus sont soient des imbéciles, soient des naïfs, soient des menteurs ( je vous revoie une fois encore vers ce site où tout cela est, au fil des billets, montré de toutes sortes de façons ).

    P1030306.JPGQu'est-ce qu'un Nagui, un philosophe lambda un intervenant quelconque ou un journaliste du 20 heure connaissent là-dessus, sûrement bien moins que moi  qui n'en comprends juste que les bases.

    Mais me penchant au-dessus de ses dimensions politiques, il me deviens évident que tout cela n'est que de la communication faite pour éviter que vous regardiez là où se trouve les réels sujets: la pire des vilénies de nos oligarques, de l'Union-Européenne dans son entier, de l'OTAN et du néolibéralisme économique.

    Bien que cela fasse intervenir aussi l'un des nos archétypes les plus puissant, le mythe  de la destruction du monde par Dieu suivit de son rétablissement, mais vous remarquerez que Dieu, ici, c'est nous, l'Être Humain, se prendraient-ils, nous prendrions-nous pour dieu lui-même?

    Redescendons donc de ce piédestal stupide et angoissant ( même des enfants en feraient des cauchemars ) et demandons-nous donc pourquoi aucun débats avec des professionnels du pour et du contre de cette fadaise n'est jamais médiatiquement organisé.

    Pourquoi des historiens n'y viennent-ils plus pour nous montrer qu'au moyen-âge et plus encore sous l'empire romain le climat était infiniment plus chaud qu'aujourd'hui, qu'aucun climatologue ne nous y montreraient-ils pas, de plus, enP1030789.JPG combien de temps cette chaleur d'antan prit corps ( l'une des réponses qui m'en fut rapporté en effet, au-devant de mon plus que scepticisme: que ce qui serait catastrophique ce serait la vitesse d'avènement de la-dite chaleur, ce qui reste part ailleurs à montrer )?

    Tout juste sais-je que, de tout temps et toute ère, la monté du taux de CO² suivit et non  pas précéda cette hausse des température, article trouvé sur Science-et-vie datant de trois décennies environ.

    Ceci avant que, comme toutes les publications, ils n'en deviennent à être contraints de suivre, entre-autre, cette pauvre superstition au risque, sinon de se retrouver, pour ses gazetiers, au chômage, comme il failli arriver à ces deux journalistes météos, Messieurs Verdier et Cabrol, dont je vous avais déjà narré les mésaventures.

    Mais pourquoi donc m'appesantirais-je encore une fois sur ce sujet que j'ai de maintes manières déjà abordé?

    Pour vous montrer, chère jeunesse, que nous sommes en plein dans une période d'obscurantisme obtus et que c'est à vous, dorénavant, de reprendre le flambeau de la découverte intellectuelle en toutes les fonctions qui font sociétés.

    Si vous pensez réellement qu'aucune place ne vous est accordée, détrompez-vous, vous avez en réalité celle la plus noble et remarquable de toutes: réamorcer la soif de P1030616.JPGla découverte, de l'inventivité, du désaccord et de la querelle théorique, de la recherche véritable, de la philosophie novatrice, des nouveaux concepts et conceptions, de l'étude des anciens, de leur critique et réexamen... .

    Mais aussi pour  concevoir de nouvelles technologies, nouveaux abords politiques, économiques, sociaux, professionnels, artistiques, nouvelles techniques de conceptions d'usines et de fabriques, de vision de l'état de droit, de la démocratie, des services  sociaux et publics, de la médecine dans toutes ses dimensions...

    Enfin bref, de tout ce qui fait la-dite société et qui, aujourd'hui, part à vau l'eau.

    Et je puis vous affirmer que vous avez loin d'avoir toute une vie pour ce travail admirable, il n'est dès lors plus que temps, pour vous, de ne plus vous laisser entrainer dans les méandres malsains et pervers des mensonges qui vous sont déversé par multitude.

    Alors instruisez-vous et je puis vous assurer que bien des textes jusqu'aux années 80, voire 90, se révèleront, pour vous, fort précieux.

    En revanche c'est en cette époque que se développèrent les bases nauséabondes du délitement intellectuelle actuel, alors faites toutefois attention aux ouvrages queP1030365.JPG vous choisirez et montrez-vous analyste sensible aux contradictions internes des sujets abordés.

    Soyez examinateurs passionnés mais scrupuleux des notions exposées par les penseurs anciens, ce n'est pas parce que c'est vieux que c'est bien, ce n'est pas parce que c'est moderne que c'est mauvais, à vous d'en peser et soupeser tout le pour et le contre, seules la raison, la logique et la cohérence vous le démontreront.

     

    Pour ceux ayant eu le temps et le courage de parcourir une bonne partie de mon blog, ce seront aperçu que j'ai pu aborder certains sujets, dont celui de l'apparition de l'ancêtre du singe, de celle du premier du genre Homo, notre très lointain aïeul, de la nature de la pensée, ainsi que de tout un ensemble de thèmes différents.

    Ce n'était pas dans le but de vous démontrer la faisabilité de remettre en question, voir parfois en cause, les hypothèse posées actuellement, mais tout simplement pour m'en exprimer, pour y exposer mes idées: comment voudriez-vous que, sinon, je puisse me faire entendre autrement du haut de mon faible cursus et classe sociale?

    Combien longtemps ai-je été inconsciemment jalousé sans même que mon vis-à-vis et moi-même n'en percevions le trait, ce qui  fonde aussi ma prudence.

    Parce qu'il est terriblement douloureux de percevoir des biais sociaux là où ils se trouvent, de comprendre certaines choses et de ne pouvoir les partager avec P1030271.JPGquiconque, sachant que je remets en cause en cela bien des préceptes sociétaux non-dits.

    Certes, depuis ces tant d'années j'ai pu faire des erreurs conceptuels, voire prévu des événements qui n'eurent pas lieu ou qui arriveront que bien plus tardivement, mais je n'ai eu que de cesse de corriger ces-dites erreurs et faire preuve de bien plus de prudence, de retenue et de mesure dans mes prévisions.

    Il faut en effet être son pire objecteur pour pouvoir développer au mieux sa pensée.

     

    Dans ce monde incompréhensible, ou du-moins aux sens discrets, il n'est pas facile d'y trouver sa place, phénomène renforcé par l'union-européenne et son ensemble idéologique ad oc mélangeant le pire au meilleurs, rendant la notion d'identité floue, nous faisant confondre loup, chèvre et chou nous faisant perdre toutes les notions du commun et nous égarant dans l'infinité de l'illimité, nous laissant, pantelant, dedans la béance de l'infantile infertilité.

    Alors,  pour s'échapper aux angoisses de ces égarements de ne plus se sentir déterminé, tant dans l'action que de son identité, diverses stratégies psychologiques s'y côtoient.

    Il y a par exemple d'inscrire sur sa peau sa marque identitaire pour qu'en cela savoirP1030550.JPG par la douleur du piercing et/ou de celle du tatouage, de son souvenir, où se trouve la limite du corps, de part sa peau tracer une frontière entre le monde et Soi.

    Il peut aussi y avoir les beaux habits et beaux maquillages, avoir la parole haute, de se muscler indéfiniment, de se filmer sur un ordiphone, divaguer sur des réseaux dits sociaux, de se montrer en réel ou en virtuel, pour dire: "J'existe!", de l'affirmer ou de tenter de le faire.

    Ce sentiment de ne pas exister en raison de limites peu ou non formulées, du sentiment de se perdre dans un grand tout où chacun aurait le sentiment de n'être que poussière perdu dans l'univers, de celui de n'avoir qu'une identité de Soi comme de celle sociale confuse, nébuleuse, mène à une souffrance psychique à peine audible que seule la boule à la gorge permet de retenir et de percevoir.

    Cette douleur mentale silencieuse conduisant à la recherche de l'oubli, de l'hébétude, de la folle frénésie dans toutes sortes d'intempérances enivrantes.

    Des drogues, il y en a de trois sortes: celles menant à de l'ivresse, celles excitantes et les hallucinogènes.

    L' alcool, le hachich, les opioïdes sont des premier, la cocaïne, les amphétamine et P1030165.JPGméthamphétamines sont des seconds, quant aux troisièmes ils se trouvent dans les alcaloïdes de certains champignons.

    ( Le tabac est spécifique, peu ou non enivrant ni  excitant, il a de fonction de faire baisser le taux d'agressivité, de réduire le sentiment d'ennui, de diminuer la timidité et de combler une béance affective, mais c'est l'une des drogues dont il est le plus ardu de se débarrasser. )

    Toutes les drogues ont des effets néfastes autant sur l'organisme que sur le cerveau.

    Il y a des drogues qui, d'une manière ou d'une autre, sont acceptées et contrôlées socialement en raison de la multitude des générations qui s'y sont confrontées,, le vin en France, en Allemagne la bière, les alcools en Occident donc, l'opium dans certaines régions orientales, le hachich réservé (normalement) à des situations et rites  religieux ou spirituels, en Inde notamment.

    En revanche toutes les drogues de synthèse, comme celles installées dans des pays hors de leur contextes anthropologiques, sont d'autant dangereuses de tous points de vu que les corps sociaux n'en ont construit aucune appropriation, ni cultuelle, ni culturelle, ni même de restriction formelle par un surmoi collectif conscient et inconscient.

    Soyez  au fait, donc, de ces causes qui font cet attrait, seul ou en commité, pour une ivresse dépassant largement le seul plaisir de se retrouver grisé au milieu des amis,P1030104.JPG en partageant le vin pendant le repas en devisant gaiment en bonne compagnie, de danser aussi, de chanter à tue-tête.

     

    Je me suis moi-même diagnostiqué pseudo-asperger, qui est un mixe de haut-potentiel ou de sur-doué avec un état autistique plus ou moins léger.

    Son origine, je le pense fortement

  • De la chaleur climatique fantasmatique aux égarements psychologique collectifs.

    (Mon blog a bogué, le voici remis à l'endroit.)

    (Psychologique et non pas spychologique, j'en fais un beau, de spychologuqe, hé, banane, et la banane, c'est moi!)

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique est, à mon sens, ni une théorie, ni une hypothèse, ni même une vague idée, mais juste l'une des nombreuses résultantes d'une grave instabilité psychologique collective.

    En cela, cette chimère exprime quelque chose.

    Cette chose ne se situant pas dans le domaine de la science climatique mais dans la profondeur de notre psyché.

    D'autres signes le montre, comme il peut en être de l'amour immodéré des puissances monétaristes au sein des gouvernements de l'union et de l'Union-Européenne elle-même, dont les banques Rothschild et Goldman abeille.jpgSachs, grands pourvoyeurs et employeurs de nos élites zélées (macron en sortirait), sont les plus puissantes, visibles et nuisibles.

    Il en est de même d'une représentation exagéré des États-Unis-d'Amérique en tant que parangon de modernité, de puissance et de démocratie et symbole de la vertu.

    Si Monsieur Trump est haï c'est surtout que de part sa simple présence en tant que président de l'empire U.S., il montre et démontre, en raison de sa vulgarité naturelle, que la représentation qu'il se fait en Europe et en France de cette nation n'est pas telle qu'elle peut généralement se fantasmer.

    L'indépassabilité de la construction européenne et la négation de son triple verrouillage, politique, idéologique et institutionnelle, et ses effets autodestructeurs font également partie des symptômes de cette instabilité émotionnelle collective européenne.

    La détestation de la Russie fait également parti de ces obsessions, où il est possible d'entendre que le froid auquel nous nous confrontons aujourd'hui proviendrait de là-bas, par une vague Moscou/Paris, comme une sorte d'accusation, un reproche voilée.

    Sans compter tout ce qui peut se raconter au sujet de Monsieur Poutine et de ses services.

    Mais là où nous pouvons, sans hésitation, parler de délire, c'est quand nous apprenons que des nazis sont au gouvernement ukrainien, auquel l'O.T.A.N., donc la France, est allié, quand dans le même temps de longues émissions télés se font sur la Shoas.DSC_9621.JPG

    Ou quand, dans  nos mêmes médiats, se poussent de hauts cris au sujet du bombardement de la Goutha par le gouvernement syrien, où des extrémistes islamistes lié à Al Qaïda, se terrent, extrémistes que l'O.T.A.N., dont fait, là encore, parti la France, a armé, et qui, peut-être, put téléguidé l'un ou l'autre des attentats qui eurent lieu dans notre pays.

    Ces quelques exemples montrent cette instabilité psychologique, d'une partie de la population, certes, mais surtout d'une immense majorité de l'élite économique, politique et journalistique française, européenne et étasunienne.

    C'est donc de cette instabilité là que je me vais tenter d'analyser en m'appuyant sur la moins que supputation de ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique (un refroidissement serait en tous points infiniment plus destructeur et meurtrier et ce serait vers quoi nous nous dirigeons).

    P1000816.JPGCe texte plus avant que je vous propose est le copié-collé retravaillé d'un commentaire que j'avais laissé ici .

    Qu'est-ce que sont les symboles, sinon les images archaïques inconscientes, un pré-câblage neuronale en quelque sorte, qui s'expriment, entre-autres, lors de nos rêves pour nous aider à donner sens à ce que nous vivons et avons vécu, ou qui peuvent nous faire prendre des décisions, bonne ou mauvaise, peu importe, sans que nous ne nous en rendions toujours compte, ce sont les archétypes.

    Ces symboles s'expriment aussi lorsqu'il y a dissensions entre ce qui nous fait humain et le vécu, ils permettent ainsi, vaille que vaille, à ce que la personne, le groupe et/ou la société s'adaptent à leur propre civilisation.

    Collectivement cela peut s'exprimer de diverses façons, cheminsP1000859.JPG initiatiques, prières, rites, etc...

    Ça c'est le fait religieux (je suis athée...) ce qui est autre chose que la foi (...métaphysicien).

    La particularité de notre époque est que tout valant tout, nous nous retrouvons à faire face à une indétermination conceptuelle de la valeur de nos actes et actions, de nos pensées, de notre  socialité et sociabilité, de notre fonction et métier, de notre identité, tant sexuée, sociale, familiale, de la nôtre propre, donc psychique aussi et surtout.....

    Et qu'à ceci soit triplé d'un violent effondrement idéologique et d'un long éloignement à la religion, sans que rien ne soit venu pour en combler ce vide psychologique, ce sont les archétypes qui, si je puis dire, en sont venu à prendre les décisions pour combler cette indétermination mortifère, cette béance laissé, ce délaissement de soi, hormis dans la seule apparence.

    Ce vide est celui du sens, donc celui de la vie.

    En fait, ce à quoi nous assistons c'est, par ce fantasme d'un réchauffement climatique anthropogénique, la tentative désespérée de notre psyché profonde collective, donc de l'addition de celle d'une large majorité d'entre-nous, de retrouver une harmonie entre pensée, conscient et inconscient, de retrouver un tant soit peu du sens de l'existence et de l'existant.

    P1000753 - Copie.JPGIl est à remarquer la culpabilité sous-jacente, la haute chaleur ayant trait à l'enfer des pécheurs, qu'il y a de considérer que ce soit l'Être Humain qui est en train de détruire la planète, je ne fais là que traduire l'expression: "il faut sauver la planète!".

    Penser cette culpabilité (d'autres aussi nous travaillent de l'intérieur, dont deux guerres mondiales), dont là encore l'origine archétypale est notable, démontre une responsabilité, moderne au demeurant, de notre espèce envers la vie, oui, mais de quelle vie s'agit-il?

    Celle de la planète, de la vie, de sa vie ou de la vie psychique?

    Je dirais surtout que c'est d'abord de cette dernière que notre inconscient collectif nous montre, en raison même de notre malsaine indétermination.

    Nous ne pouvons en effet faire sens du monde et du vécu si nous ne commençons pas par faire sens d'abord en nous, de nous comprendre de ce que et de qui nous sommes, de saisir la responsabilité de comprendre le sens de notre humanité, ad minima de faire la démarche d'être dans la décision de vouloir comprendre cela (de toute façon c'est un cheminement quasiment sans fin).

    Ou du-moins, comme nos anciens, de vivre le ce que et qui nous sommes, il est vrai sans vraiment le comprendre, mais de le vivre vraiment au travers des diverses rites religieux ou par l'adoption d'un rigorisme P1000889.JPGpolitique il est vrai souvent dangereux.

    Cela venant, entre-autre, de ce que nous confondons individualisme, qui est la recherche des seuls plaisirs et pouvoirs, avec individualité qui est la responsabilité d'être en tant qu'Être Humain, responsabilité individuelle autant que collective.

    Il s'agit donc de la compensation collective d'une instabilité psychologique grave due à une modernité que nous ne comprenons pas parce que celle-ci nous a conduit à une acculturation plus ou moins importante suivant les pays, les peuples et leur liens, aussi, entre leur passé et leur présent (ce à quoi les russes se sont éloignés, d'où la haine envers la Russie).

    Parce que c'est une compensation psychique, vouloir montrer l'inanité de l'idée même de cet insane présupposé réchauffement, qui entre en contradiction formelle d'avec la réalité scientifique, ne peut que générer une angoisse importante.

    D'où la violence avec laquelle les porteurs de cette inexistante abstraction réagissent, en projetant leur malêtre intérieur, leurs profondes angoisses existentielles, sur leurs contradicteurs, allant jusqu'à l'injure en s'empêchant encore à la violence physique.

    P1000896.JPGToutefois nous pouvons observer la puissante censure sur ce sujet et sur bien d'autres, ainsi avons-nous vu deux journalistes météos être chassés des chaînes publiques pour avoir simplement eu l’audace de simplement questionner la réalité de cette abstraction.

    Pourquoi donc fais-je le lien entre le dit supposé réchauffement et la béatitude, pour ne pas dire l'exaltation envers le monde américain et l'Union-Européenne, ainsi que tout ce qui les entoure, entre-autre l'imbécile théorie du genre, qui éprend autant l'élite politique, journalistique qu'économique et, ce, même si c'est, à terme, évidemment, à leur propre dépend?

    En raison même de ce vide de sens mortifère provenant de cette indétermination psychique qui est leur, processus qui s'est aussi, en un degrés moindre, répandu dans la classe-moyenne haute et intermédiaire, même chez des universitaires et scientifiques hautement instruits (le reste de la population étant infiniment moins touché par ces errements).

    Classe-moyenne, d'ailleurs, qui en vient à se détourner progressivement de cet ensemble de chimères, si je puis dire, morceau par morceau, certains rejetant les unes tout en approuvant les autres et vice et versa.

    Dans leur recherche d'une identité pour fuir leur indétermination psychique, ces élites oligarchiques se voudraient américains, c'est pourquoi elles obéissent autant aux désidératas étasuniens que du bureau deP1010129.JPG l'Union-Européenne, le second représentant les États-Unis-d'Amérique fantasmé.

    Bureau de l'U.E. ainsi que toute son administration, la majorité des élus de l'assemblée européenne aussi que les gouvernements des pays de l'U.E. se pensant eux-mêmes détenteurs des États-Unis-d'Europe en une illusion plus ou moins inconsciente, d'où leur appropriation pleine et entière, plus même, caricaturale, de l'idéologie néolibérale anglo-saxonne que les britanniques et une majorité d'étasuniens remettent désormais en question, voire en cause.

    C'est sur ce terreau fertile quasiment hallucinatoire que s'assoie l’hégémonie impériale U.S. sur l'Europe et, ce, depuis des décennies.

    Oligarchie U.S. en proie aux mêmes tourments, c'est la raison même pour laquelle elle refuse toute tentative de réforme de l'empire, son sentiment de domination impériale lui donnant l'impression, fausse, d'avoir une identité, d'où sa haine envers Monsieur Trump, représentant, de plus, à leur idée, le peuple, voire la masse populacière (ce que nos propres oligarques considèrent également, d'où aussi leur détestation du président étasunien et celle de leur population).

    P1010109.JPGDorénavant l'oligarchie européenne et française se retrouve entre deux feux, d'un coté les conservateurs réactionnaires U.S. qui considèrent comme justifié que l'empire vole les richesses européennes, donc celles de cette oligarchie naïve, et, ce, à n'importe quel prix.

    De l'autre les réformateurs U.S. qui, voulant abattre les précédents dans leur intention de réformes impériales, ne peuvent que rechercher à les atteindre en menant à la faillite des banques européennes trop grosses pour faire faillite, celles qui ont des liens trop étroits avec les deux banques U.S. sus-nommées, Rothschild et Goldman Sachs (je ne peux pas dire lesquelles, j'espère que celle où j'ai mon compte n'est pas de celles-là).

    Toujours est-il que cette lutte interne à l'empire peut être le déclencheur de cette faillite mondiale cataclysmique dont je fais état depuis tant de temps.

    Cet effondrement économique international ne pouvant que mener autant à la disparition de l'Union-Européenne qu'à celle de cet ensemble hétéroclite de dogmes et à leurs porteurs les plus intransigeants.

    Ce qui ne pourra que mener à un nouveau vide puisque cet ensemble dogmatique, ainsi que ce qui soutient ceux bataillant contre, disparaîtra avec inéluctablement.P1010035.JPG

    Ce qui mènera à ce que j'appelle une rétrogression historique (j'en donne la définition en bas de cette page), processus d'ailleurs en ce moment en cours, la floraison des barbes, similaires à celles qui avaient cours lors de la troisième république, et Monsieur Macron agissant, à son insu, d'une manière semblable à Napoléon III, n'en étant que l'une des preuves.

    C'est pourquoi que les églises, dans le futur, se remplissent de nouveau ne serait pas quelque chose qui me surprendrait, je trouverais ça logique et même cohérent.

    Que le patriotisme (la terre), que Monsieur Asselineau et son parti, l'U.P.R., représente d'ores et déjà, et même le nationalisme (le peuple), jusqu'au plus échevelé, revienne sur le devant de la scène me parais aussi du plus pur des naturels.

    Que l'anarchisme, déjà en voie de développement, en vienne à s'étendre me semble également dans l'ordre du probable.

    Ceci étant dû à ce que le néolibéralisme, la masse dogmatique qui l'accompagne et sa couverture culpabilisante, le réchauffement climatique anthropogénique, qui couvraient le vide psychologique dû à l'indétermination du sens du vécu, aura entièrement, ou presque, disparu.

    P1010126.JPGUn tel vide ne pouvant que demander à être comblé par autre chose, or, puisque aucune doctrine nouvelle ne vient donner du sens à cette vacuité, ce ne pourra qu'être celles anciennes qui viendront assouvir ce manque cruel.

    Cruauté en raison de la douleur psychique intense que ce sentiment de néant donne, douleur insensible mais bien là, compensée par tout ce tas de trucs et de machins que nous connaissons si bien et dont je viens de relater de ce qui en est, à mon avis, de son origine.

    En effet, d'autres, et nombreux, symptômes de ce mal étrange nous assaillent encore, mais ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique est peut-être l'un de ceux, voire celui des plus importants, tant dans sa fonction de compensation psychique, que dans celle symbolique.

     

     

    THEURICP1010164.JPG

  • De l'urgence de comprendre.

    Dans le vieux garage de la maison de feue ma mère,  où les fenêtres de la portes étaient cassées, une abeille charpentière " Xylocopa violacea " avait fait, d'un vieux tuyau en acier qui y traînait, son nid pour ses futures larves.

    Celle-ci butine un muflier gueule de loup (muflier ↦ mufle ↦ museau et, par extension, pour le second, grossier et rustre, intéressant non?) "Antirrhinum majus".

     

    Préambule:

    Si mes derniers billets vous semblent anxiogène c'est que j'émets de tels avis qui viennent contrecarrer ceux déversés par les médiats en les amoindrissant et les contredisant.

    P1050397.JPG

    Avant-propos:

    Pour pouvoir agir au mieux, il est d'urgence de comprendre ce à quoi nous nous confrontons, c'est à cela, avec plus ou moins d'efficacité, que je m'emploie: le rendre intelligible.

    Il ne s'agit pas seulement de concevoir cela sur de seule matière économique, politique ou sanitaire..., mais de percevoir, d'une manière multifactorielle, quels sont les éléments qui génèrent notre situation.

    Le principal, dès lors, étant de s'essayer d'en débusquer les bas-fonds, de percevoir le ou les éléments qui, plus que tout autre chose, déterminent les raisons déraisonnables qui, depuis longtemps, nous mènent là où nous en sommes, en somme.

    J'en ai, il est vrai, exploré plusieurs, l'effondrement des USA en reflet inversé d'avec l'URSS, la rétrogression historique nous faisant revivre une façon de second empire jusqu'à sa fin, la compulsion de répétition nous reconduisant autour de 1917 à 1950, tout cela sous des formes différentes de ce que nos aïeux ont pu vivre, mais sous un fond similaire.

    Il en est aussi de notre domination par un empire thalassocratique grandement P1060852.JPGdéclinant, au bord de la guerre civile, les Etats-Unis-d'Amérique, dont l'Union-européenne est la créature triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement  et idéologiquement, l'empêchant à toute réelle évolution, ne pouvant dès lors être réformée, l'effondrement idéologique et politique qui y est lié, menant à une quasi unilatéralité décisionnelle des partis officiels et des discours similaires des médiats en place.

    Mais, d'une manière factuelle, un facteur important que je vous avais déjà présenté, me semble primordiale à développer ici pour que vous compreniez, amis lecteurs, quels sont les points faibles du pouvoir en place en France, ainsi que du pourquoi il tend à ce totalitarisme que les allemands disent avec raison être de l'absurdie (bien que leur gouvernement, comme bien d'autres européens, tendent, eux aussi, aux mêmes tentations absolutistes).

    J'avais, sur le bureau de mon ordinateur, accumulé toute un ensemble d'adresses traitant de sujets dont le but aurait été d'appuyer mon propos, mais, en fait, saisissant l'urgence de la situation, je préfère effectuer ici une démonstration sans prendre le temps de prouver ce que je vais avancer.

    Ceci, de plus, que je ne pense pas qu'il y en ai vraiment besoin, nous sentons tous quelque chose de l'ordre d'un mouvement de fond: les mensonges qui nous sont contés prennent de moins en moins.P1060323.JPG

    En effet, ce qui se fait appeler de l'ingénierie sociale, ce qui n'est que de la manipulation, dénomination existant pour nous faire croire que ceux qui en usent sont intelligents, or je puis vous affirmer de par mon expérience qu'un manipulateur est toujours un crétin, s'il ne l'est il le deviendra.

    Cette pseudo-ingénierie, donc, finit par ne plus fonctionner pour deux raisons, la première est que les populations finissent par générer une résistance psychique à ses mécanismes, puis par les rejeter.

    En second lieu parce que la réalité de ce qui est vécu au jour le jour étant inverse à ce qui est faussement dépeint fini, au fil du temps, par représenter des contradictions majeures et cette fausseté à être réfuté puis rejeté en tant que mensonge.

    Ce que nous vivons aujourd'hui est ce que nous pourrions nommer un despotisme médiocratique, soit un coup d'état par des médiocres, c'est cela que je vais tenter de démontrer, sachant que cette bande de guignolos sont très contents que l'on puisse les considérer comme ayant de la jugeote.

    P1050462.JPG

    La fatalité des médiocrates:

    Ont-ils voulu que nous en arrivions là où nous en sommes?

    Je ne le pense pas.

    Ne serait-ce pour une bonne raison: ils sont tous, ou le sont devenus, dans l'incapacité de pouvoir prévoir quoi que ce soit à long terme et ne font que réagir à leurs angoisses et aux pressions qu'il subissent.

    Ils, j'entends, par ce pronom, ceux du gouvernement, de la majorité des cadres des partis politiques officiels, d'une partie de la haute administration, les propriétaires et dirigeants des médiats en vu, ainsi que du reste de cette mouvance détenant le même dogme et intérêts que ceux-là.

    Ils, donc, se retrouvent dans une situation qu'ils n'avaient pas recherché, celle des pleins pouvoirs dits sanitaires que les députés du REM, les radioéléments, offrent à l'exécutif, ce à quoi l'opposition droite et gauche n'oppose qu'une opposition, à de rares exceptions près, autant inconsistante que fugace.

    Il faut dire que nous nous retrouvons maintenant dans une position dont la résultante est à rechercher des décennies en arrière, où nous vîmes une baisse de capacité intellectuelle régulière tant de nos élites que de nos élus.

    Ainsi, les freins des gouvernements antérieurs portés à l'encontre des obligations deP1060277.JPG l'Union-Européenne via les GOPE, qui obligent des économies toujours plus drastiques de l'état et à la privatisation de nos services publics, s'amenuisant au fil du temps, nous nous retrouvons aujourd'hui devant un gouvernement où ces obligations fondent toutes leurs décisions.

    L'existence même de l'euro conduisant à la désindustrialisation de la France, nos usines allant usiner dans les anciens pays de l'est aux payes misérables (dû aussi à la libre circulation des capitaux, des personnes et des biens, dont les impôts des GAFAM, les usines et les immigrés), cette monnaie amenant de plus une concurrence totalement déséquilibrée entre ceux du nord et du sud, en  un avantage absolu pour les premiers.

    Ces exigences, dis-je, sont les réels ferments de la paupérisation autant du pays que des français, générant la colère populaire, d'où l'érection du mouvement gilettiste.

    L'oligarchie française et européenne, les bons pigeons au grain dont raffolent celle étasunienne contrôlant le parti démocrate, celui républicain profitant tout autant de ces ramiers, ainsi que de son état-profond, mirent en place, à l'intérieur des partis politiques officiels, des personnalités de plus en plus falotes ou contrôlent celles qui ont quelques secrets inavouables, le REM, bricolé en toute hâte de bric et de broc, en en étant la consécration aboutie.

    P1060223.JPGN'oublions pas que Macron fait parti des "jeunes dirigeants" formés par les agences étasuniennes, qu'il fut déniché par le patron d'AXA de l'époque, désigné par Mr. Attali comme étant notre futur président et visité par un représentant desdites agences,  par celui de l'union ainsi que par Mme. Merkel.

    Totalement obéissants aux injonctions de l'UE et obnubilés par la vulgate idéologique néolibérale monétariste US absurde, ce président, son gouvernement, son parti, ainsi que la majorité des autres siégeant ou non dans les chambres délibératives, pris dans cette fièvre hallucinatoire, n'eurent que de cesse que de suivre les oukases unionistes et étasuniennes (d'où la vente, sans grande réaction passée et présente, de nos fleurons industriels nationaux aux potentats américains).

    ( Vous remarquerez toutefois l'extrême amateurisme des triches électorales des démocrates, qui se dirait provenant de la CIA, ce qui marque là encore la médiocrité grandissante de Tonton Sam. )

    Ceci sous la justification des journaliste cornichons de nos médiats détenus par nos pigeons gros, gras au grain et au gril recto-verso.

    Puis, et puis, juste après que le mouvement des gilets jaunes finit par se calmer à laP1060185.JPG suite des exactions policières et des mensonges et silences journalistiques, deux événements survinrent qui fracassèrent le tout: la pandémie et l'élection US, dont nos génies ne surent aucunement prévoir ni l'une, ni l'autre.

    Entre leur imprévoyance de la première, qui montra à la face du monde leur incompétence pleine et entière, et l'ubuesque réaction hystérique des masses médiats, de la classe politique et des chroniqueurs de tous poils, qui, suivant chacun, nous exhortèrent quasiment à voter pour l'un ou l'autre candidat de ces élections US, il nous est désormais loisir d'observer leur, à tous, situation lamentable.

    Et, en cela, si ça peut vous rassurer, amis lecteurs, n'allez pas croire que seule la France détiendrait de telles équipes éreintée, hormis certains pays de l'est telles que la Pologne et la Hongrie qui amassent le plus de richesse possible de ceux de l'ouest, en payant le moins possible, et qui, dès que la situation de l'UE deviendra intenable, la quittera sans préavis, tous les autres sont dotés du même type d’énergumènes.

    J'émettrais même l'idée que cela concerne, plus ou moins et de diverses façons, quasiment tous les gouvernements mondiaux.

     

    Dictateurs à l'insu de leur plein gré:

    P1060092.JPGOnt-ils voulu, ont-ils l'intention, veulent-ils mettre en place un régime totalitaire?

    Je ne pense pas qu'ils aient été de cette volonté là, ni il y a trois ans, ni même aujourd'hui, de fait ils pensent tous avoir raison et se conçoivent eux-même comme étant de la plus pure essence démocratique, ne voyant dans le peuple que du populisme fascisant puisque celui-ci récuse de plus en plus notre appartenance à l'union ainsi que tout ce que cela entend.

    Et même s'ils réduisent avec le temps les libertés publiques, ils ne le font, le conçoivent-ils ainsi, que pour le bien de la nation, de la république et, et, de la démocratie.

    Certes et de cela je me dois, maintenant, de le préciser:

    Tous ces acteurs que je désigne sous le vocable de ce pronom personnel sujet de la troisième personne du pluriel "ils" ne pensent pas tous la même chose, très loin de là, certain même doivent être ulcérés par ce qu'il se passe, à l'exemple de Jean Quatremer, l'eurolâtre fébrile, qui se révolte contre les mesures du dernier confinement.

    Il doit même s'y produire de nombreuses scissions à l'intérieurs, parfois virulentes, mais quel parti politique a-t-il appelé à une vigoureuse manifestation pour faire pression sur le gouvernement affin de l'empêcher d'activer ce coup d'état larvé?

    Hormis ceux qui sont écartés par cette mouvance et de suivants qui ne la suivent pas puisque s'en étant éloignés, l'ensemble restant partage, sans en douter, les mêmes approches idéologiques et de semblables perceptions des événement nationaux,P1050571.JPG européens et mondiaux, leurs différences de conceptions n'étant plus que de l'ordre du détail.

    Détails qui, par ailleurs, doivent créer les plus intenses disputes, voire même conduire à des haines farouches: il faut à chacun évacuer le stress qui est sien.

    Je désigne, donc, comme d'autres avant moi, m'en inspirant, cette mouvance comme étant une médiocratie.

    C'est dans l'idée de montrer que leurs décisions et manques de volonté, la demande électoraliste de certains partis à beaucoup plus de rigueur envers le peuple rétif, ou d'obéissance au gouvernement plus ou moins formelle pour d'autres, leur mensonges pléthoriques,  n'est pas la résultante d'un froid et supérieur calcul mais n'est juste que leurs réaction à leur pulsions personnelles.

    Ce qui les mène à des réactions toujours plus absurdes, à leur manque de réactivité, à leurs discours hors du champ de leurs principes affichés et/ou à leurs desseins déraisonna

  • Billet d'une heure: la logique en lutte contre l'angoisse.

    Guêpe commune, que je vous avais déjà présenté sur une autre photo.

    Je suis particulièrement fière de l'avoir prise en plein vol, quand bien même cela ne fut dû qu'au seul hasard ou au plaisir de l'animal de poser pour moi, sans que je ne le lui aie demandé, au demeurant.

    Bonjour tout le monde,

    En fait d'une heure, ce billet m'en a pris trois à écrire...

    De la rétrogression historique:

    Je les apprécie ces jeunes qui, utilisant un outil, l'informatique, qui me reste pour parti abscons, ceci via internet, retrouvent les allants politiques de cette époque lointaine des débuts de la troisième république.

    Ainsi, sur ce qui se fait appeler la toile, le royalisme recommence à s'y faire un débat ayant sa cohérence.

    Mais aussi les libéraux économiques nous y montrant qu'ils redécouvrent la valeur des frontières, bien que ceux-là ne soient pas tous  de la toute première jeunesseP1050989.JPG, loin de là, à l'exemple de Charles Gave.

    Le site de ce Monsieur, jeunot (je le taquine) au pseudonyme d'Akina, du A entouré d'un cercle, symbole de l'anarchie, à la vision censée au sujet de la gestion gouvernementale passée comme présente de la pandémie au SRAS-COV2, expose ce retour d'un anarchisme autant militant qu'intelligent qui avait disparu de la scène en même temps que Georges Brassens, quand il s'en alla en son long repos sur les hauteurs de la plage de Sète.

    Et nous avons tout autant l'émergence de ce mouvement républicain rude, voire pouvant être dure, d'une probité absolue, de ce républicanisme patriote dont George Clemenceau fut la figure de proue et que, quand bien même en pousseraient-ils de hauts cris, Tatiana Ventôse et ses confrères du Fil d'Actu retrouvent progressivement toutes les marques, jusqu'à ces nécessités frontalières auxquelles ils ne pourrons, un jour ou l'autre, que concevoir.

    Ne nous reste plus qu'à percevoir qui, dans cette recomposition politique rétrogressive, représentera la mouvance d'un socialisme vrai et humaniste dont les détenteurs du nom sont, aujourd'hui, les traîtres déclaré de ce que fut un Jaurès qu'ils honorent, de cette hypocrisie que le vice rend à la vertus, à l'exemple caricatural d'un François Hollande bouffi de sa suffisance.

    P1060261.JPGAinsi cette rétrogression historique, en France, poursuit sa route.

     

    Covid, angoisses et violences:

    Ce que j'ai pu le plus apprécier chez Akina (bien que peu s'en faut qu'à la suite il puisse m'agacer) fut d'observer que les messages gouvernementaux au sujet du vilain virus, qui n'en fini pas de s'affaiblir, nous en verrons plus tard la suite.

    Ce que j'ai pu le plus apprécier, dis-je, chez-lui, ce fut de montrer que lesdits messages gouvernementaux là-dessus sont continuellement contradictoires,ce qui mène la population à subir des doubles contraintes continuelles.

    Or, il s'agit là d'une torture ( je pèse mes mots) psychologique d'une violence première: le cerveau humain ayant les plus grandes difficultés à gérer de telles injonctions paradoxales, cela ne peut que rendre psychiquement malade un nombre très important de français.

    D'où l'angoisse des franciliens lorsqu'un avion, dépassant le mur du son, avait émis ce bang caractéristique, pensant qu'il s'agissait d'un attentat ou d'un grave accident industriel (moi-même, en région parisienne Mercredi, entendant ce bruit, ne pensait pas qu'il pût y être ainsi question du son émis par un aéroplane volant à grande vitesse).

    Les violences gratuites en accroissement, ayant surtout lieu dans les grandes métropoles, dont nous entendons parler de manière récurrente, ne peuvent que venir de là, ceci suivant nos trois longs mois de confinement qui, déjà, fut grandement perturbateur.P1060033.JPG

    Ce fait est l'une des perfidies de notre gouvernement, il est à noter que les pervers narcissique usent et abusent, eux aussi, de tels expédiant.

     

    Une débilité de plus: le grand reset.

    Nous entendons nombre d'économistes parler de ce fameux grand reset, soit la remise à zéro de l'économie mondiale.

    Si vous écoutez ce Monsieur parlant (de chez lui) depuis le site Planète 360, vous comprendrez que le sujet consiste, pour nos grands financiers internationaux, de prendre le contrôle des monnaies mondiales pour tenter de sauver leur fortune.

    Ce truc de ces bons messieurs et bonnes femmes de l'oligarchie mondialisée est d'une absurdité sans borne, ceci pour une simple raison: la monnaie n'est pas l'économie à elle seule, mais permet, par son existence, à ce qu'une économie pérenne se développe, soit la croissance des usines, fabriques, cultures agricoles et exploitation  minières en des frontières semi-poreuses pays par pays.

    Ce fantasme des gens de Davos, s'ils le mettaient en place, ne faisant qu'accélérer la désindustrialisation en cours, ne les mèneraient qu'à une ruine plus rapide.

    A croire qu'à son époque Monsieur Brassens, au-delà des décennies, leur avait dès l'abord adressé cette chanson.

     

    P1050505.JPGLes USA ruinés, notre état voudrait que nous leur ressemblions:

    Il est de fait que les Etats-Unis-d'Amérique sont dans une situation économiquement catastrophique.

    Ceci est compréhensible, ils ont commencé leur désindustrialisation dix à quinze ans avant nous, soit dans les années cinquante à soixante.

    Que ce soit, en France, non pas toutes, il est vrai et heureusement, des sommités économiques du pays, de sa haute administration et de sa classe politique siégeant au gouvernement, dans les chambres délibératives et à certains postes électifs des grandes villes, départements et régions, il est loisir d'observer que, sûrement inconsciemment, ils agissent de manière à ce que notre nation puisse rattraper l'empire US dans son délabrement.

    Ainsi voyons-nous le macronisme niaiseux vendre, presque aux moins offrants, nos dernières entreprises, nos derniers fleurons, tout en menant une politique sanitaire telle qu'un nombre important de PME/PMI ne peuvent que fermer, mises, par leur gesticulations et inactions gouvernementales, en faillite.

    Conduisant inéluctablement à ce que la pauvreté y augmente de manière spectaculaire.

    Différentes raisons, cela est à concevoir, ne peuvent qu'être également soulevées pour comprendre la nature du résonnement conscient et inconscient en jeu chez tous ces ribouldingues, en plus de celui montré plus haut, ceci en une liste à la Prévert:

    1) De croire que c'est la même politique néolibérale, menée pendant des décennies, qui nous a conduit à ce fiasco funeste, qui pourrait résoudre nos problèmes;

    2) De ne pas vouloir voir, en un déni pathétique, que ladite politique mène l'économie mondialisée vers son arrêt totale, à la faillite US ainsi qu'à l'effondrement monétaire généralisé, de nous empêcher de le leur dire, de le clamer (c'estP1060186.JPG pourquoi je parle d'actions inconscientes);

    3) De ne pas vouloir assumer leurs fautes multi-décennales en une fuite en avant névrotique;

    4) De vouloir résolument placer un vaccin ou un traitement cher à la place de celui de l'équipe du professeur Raoult ayant fait ses preuves et peu onéreux;

    5) D'empêcher la population de se révolter en la traumatisant;

    6) D'obéir aux puissances économique mondialisées en nous menant à la crise économique dans ce fantasme montré plus haut;

    7) Enfin, pour la bonne bouche, en montrant au peuple que, ce coup-ci, nos baltringues agissent maintenant de manière concrète pour le protéger d'une pandémie qui, au fil du temps qui passe en ce début d'Automne plutôt frais, ne se révèle qu'encore moins dangereux qu'auparavant.

    Danger, encore potentiel, définitivement écarté si ce fameux traitement à l'hydroxychloroquine était généralisé.

     

    Ni angoisse, ni panique mais être prêt à tout:

    Il est de fait que nous nous devons de nous préparer, dès l'avant, de tout ce qu'il va se passer dans le futur, quoi qu'il puisse advenir.

    Il y a des événements évidents que nous pouvons prévoir, tel que cet effondrement fortement probable des monnaies, avec tout ce que cela entend.

    D'autres sont imprévisibles par nature, soit parce que nous n'y songeons pas, soit parce que leur survenue ne peut pas être conjecturée.

    Il nous faut donc nous sentir suffisamment adaptatif, quoi qu'il surviendra, et, surtout, d'être dans la démarche d'en saisir l'essence pour agir au mieux.

    Imaginez, par exemple, que comme la majorité de ce qui compose le WEB et le NET P1040871.JPGse trouve aux USA, si ce pays se retrouve à devoir faire face à une catastrophe de type d'une guerre civile, il est imaginable de considérer qu'internet cesserait tout fonctionnement, pour un temps plus ou moins long.

    Ceci avec tous les désordres que cela pourrait représenter.

    Et n'allez pas croire que nous nous retrouverions juste au-devant d'une sorte de totalitarisme internationale des oligarques monétaristes mondiaux, ce qui est, pour nous tous, une manière de considérer comme possible un semblant d'organisation.

    On s'en fout de ces crétins, ils n'en sont pas capable ou sinon pour un temps bref.

    Il va nous falloir reconstruire le pays et cela se doit d'être pensé dès maintenant et sur tous les plans, ça c'est mon travail de vous l'affirmer!

    Il n'est plus le temps des rêveries mais il faut regarder les choses en face, même si cela fait peur, même si c'est angoissant.

    Parce que sinon ce sera la panique qui envahira les esprits, et la panique conduit toujours au pire plutôt qu'au meilleurs.

    Alors, commencez par le commencement, amis lecteurs, pour ceux qui ne l'on encore pas fait: faites vos réserves, et si de vos connaissances sont de même avis, discutez entre-vous de nos risques potentiels et de comment les résoudre.

    Soyons logique, que diable, restons logique, faisons preuve de raison!

    Ah, j'oubliais de préciser: certes une guerre civile en France pourrait avoir quelques toutes petites plausibilité, à laquelle je ne crois guère, mais, surtout, c'est cette crainte, réaliste celle-la, qu'elle advienne dans l'empire US qui nous fait croire qu'elle puisse survenir ici, par notre projection de ce qu'il se passe là-bas, nous croyant nous-même énième état des Etats-Unis-d'Amérique.

  • Réflexions sur notre gouvernement et ses affidés.

    Monsieur et Madame Lézard des Murailles, Podarcis muralis, nous donnent une séance porno dont sortirons ensuite des petits.

     

    Bonjour chers lecteurs,

     

    Avant-propos:

    Je tiens à rectifier une erreur faite par le passé, le néologisme complotiste renverrait à qui perçoit un complot, sinon celui qui en fomente un est un comploteur, cependant il est vrai que ce premier mot fut inventé pour dégrader le message de celui en désaccord avec le discours officiel et pour flétrir l'honorabilité de son porteur.P1000814.JPG

     

    Il est normal qu'au vu de la masse des mensonges qui peuvent nous être déversée par nos médiats aux ordres, autant que de celle qu'il nous est donnée d'entendre de part notre gouvernement, ainsi que de celle provenant de quelques médecins proche de celui de Molière, les seuls pouvant s'exprimer dorénavant à la télé.

    Il est normal, dis-je, que nous puissions les considérer comme ayant quelques problèmes mentaux collectifs.

    Or, il n'en est rien.

    Ou, si l'on peut le dire ainsi, s'ils souffrent d'un mal quelconque ce serait celui d'une idéologie bien trop prépotente, leur composition de sens leur étant verrouillé, en raison d'une stratification d'icelui, qui les rendent aveugles et sourds à tout ce qui n'entre pas dans l'ordre de leur dogme.

    Son nom, en un néologisme personnel, résume en lui seul sa nature: l'américanolâtrie.

    ( Américanolâtre est donc un néologisme basé sur idolâtre ⇒ fanatique, du nom ⇨ "Amérique" suivit du suffixe ⇨ -lâtre, montrant ici son acception péjoratif et dépréciatif, ainsi que de sa dimension quasiment religieuse.

    Un second, construit d'une base semblable, eurolâtre, entend désigner autant les amoureux transits et irréfléchis de P1000824.JPGl'Union-Européenne aussi que de l'euro, étant entendu que ces trois tendances sont intimement liées. )

    Percevant, plus ou moins confusément, que les Etats-Unis-d'Amérique tendent vers leur disparition, sinon en tant que pays, du-moins, d'évidence, en tant qu'empire, la mouvance pro-américaine européenne, en ce moindre exemple, projette par inversion ladite prochaine disparition de leur propre civilisation en une façon de fantasme, ceci en l'annonçant, soit que la civilisation européenne ne sera bientôt plus.

    Une civilisation ne disparaît pas, ou rarement, elle évolue, en revanche tous les empires se sont inéluctablement éteints pour les raisons que j'avais évoqué ici en Avril 2018 (billet, datant quelque peu, que, peut-être, je reprendrai pour le retravailler).

    N'oublions pas, comme je l'y avais écrit, que toute soumission tend à diminuer nos capacités mentales, or l'intelligence ne peut pas être soumise, sauf à se restreindre inéluctablement.

    Je vous propose ici que nous fassions l'essai de tenter de percevoir quels sont les soubassements qui entendent leurs comportements.

    Puis, en seconde partie, je déclinerais les dangers futurs potentiels desquels il est probable contre lesquels  ils se devront de se confronter, puis, en troisième, je vous exposerai quelques conseils d'actions de mon cru pour que vous, amis et invisibles lecteurs, vous ne vous laissiez en rien ni vous angoisser inutilement, sauf si, bien sûr, votre ruine advient, ni que vous soyez portés par les passions collectives futures qui, je le pressens, pourraient mener la population à quelques exactions extrêmes.P1010077.JPG

     

    Des soubassements psychologiques plausibles de nos élites nationaux et européens:

    Quand bien même fais-je état ici de la situation française, il ne m'est pas loin de considérer qu'il en est de même, voire parfois en une situation pire, dans les pays grandement assujettis à l'empire thalassocratique US.

    Leur doctrine de base c'est l'économisme dogmatique spéculateur, en un magma explicatif abscons en un exact inverse du capitalisme.

    Or, il est de fait que les événements actuels tendent vers la caricature de leur système de pensée: ledit capitalisme vrai est industriel et industrieux, l'économie proposé aujourd'hui par tous ces olibrius n'est plus que purement monétariste (j'y reviendrai).

    Notre second confinement, suivant notre désindustrialisation multidécennale, ne pouvant que mener à la faillite de l'Europe, des USA et du reste de l'Occident, voire tous les pays à l'échelle internationale.

    Leur politique monétaire détruisant les monnaies par leur hyper-production, et que, P1020088.JPGde plus, le rachat par les banques centrales des titres, actions et autres mène, à terme et de fait, les états à être les détenteurs publics des avoirs et entreprises privés.

    En une sorte d'étatisation contradictoire d'avec leur credo affiché.

    Là se trouve l'une des règles d'or de tous ceux qui décident pour la collectivité: si n'est pas pris en compte, lors de décisions, leurs effets potentiellement désastreux, les résultantes peuvent se révéler, à terme, inverses du but visé originellement.

    Si tant est qu'à l'époque, aux alentours des années 60 à 70, le moindre but n'ait été visé, déjà à ce moment-là les objectifs à atteindre ne devaient pas s'étendre à plus que de quelques petites années.

    Quoi qu'il en soit de ce passé, notre présent montre autant une accélération événementielle que de ce que cette mouvance eurolâtre et américanolâtre tend vers une grande instabilité économique, politique et, je le suggère, psychosociologique.

    Certains la dirait devenue autiste, voire folle, je parlerais plutôt d'aveuglement et de surdité dû à leur éloignement d'avec la réalité, ceci pour pouvoir rester en lien individuel et collectif d'avec leurs croyances qui, cela est visible, se délite dans les faits.

    Ainsi, il ne s'agit pas pour eux de tenter, comme le fait Monsieur Trump et sonP1030112.JPG équipe, de sauver leur nation en la réindustrialisant, mais plutôt de faire survivre leur dogme néolibéral et, intimement lié, leur adoration fanatique pour les USA, non pas dans leur réalité, mais à leurs propres yeux.

    Ceci parce qu'ils sont incapable d'agir autrement puisqu'ils sont pris entre plusieurs contraintes, celles dues à notre appartenance et à leur emprise psychologique par l'empire US démocrate, ainsi qu'à l'union en tant que la créature de ce dernier, également à leur obéissance formelle à l'un et à l'autre, à cette situation politique et économique déplorable des deux sus-cités et à l'exaspération grandissante de la population.

    ( Etant entendu  qu'aux USA, le parti démocrate exprime la mouvance similaire en son inverse, c'est lui qui incarne en effet, sous forme de leur donneur d'ordre, l'aspect oligarchique, ploutocratique, entre-autre des GAFAM,  en tant que représentant de l'angle monétariste de l'empire, celui républicain en prenant progressivement, dès l'élection de Donald Trump, une position industrielle.

    Ce sont ces deux facettes impériales, dont je ne suis ni pour l'un, ni pour l'autre, qui, en ce moment même, se disputent le pouvoir, l'état profond s'étant, quand à lui, sûrement scindé en cette double composante. )

    Les faiblesses de Tonton Sam, manifeste lors de ses élections actuelles, affolent plus que tout notre mouvance eurocratique américanolâtre, ce qui est largement perceptible de par le fait que nos médiats officiels ne nous en parlent pas, nous P1040547.JPGcachent même les fantastiques malversations desdits (pseudos)démocrates qui eurent lieux lors de ce suffrage non achevé aux Etats-Unis-d'Amérique.

    Ne nous contant que les frasques réels ou  supposés de Mr. Trump, tout en nous exhortant, d'une manière absurde, de voter pour le parti démocrate tout au long de leur campagne électorale, suivi d'une joie étrange dès lors que les médiats officiels US annoncèrent la (parait-il) victoire de Mr. Biden.

    Au-delà des journalistes qui, pour nombre d'entre-eux, doivent commencer à se poser de sérieuses questions mais n'en disent mot de peur du chômage, les propriétaires de nos médiats, tout comme notre gouvernement, ayant déjà prononcé son entière dépendance à Biden, ainsi que le firent tous les partis politiques et les chefs de gouvernement de l'union, montrent à la face du monde leur servitude pleine et entière à cette tricheuse faction.

    Mais quels sont les soubassements psychologiques de toutes leurs turpitudes aux uns comme aux autres?

    Comme je l'ai écrit plus haut, la notion d'aveuglement et de surdité y est au centre, lié à leur double contrainte de faire survivre le système monétariste et leur plate américanolâtrie, tout en niant résolument toutes les conséquences de leurs actes.

    Ceci en se pensant démocrate (non pas entièrement dans le sens parti US), bienfaisant, ne faisant qu'agir pour le bien de la société.P1050226.JPG

    Faire le bien, pour les élites françaises et européennes, consiste à acheter un vaccin US inutile (un traitement existe), nous obliger à le prendre, après nous avoir fait paniquer tout l'été, puis de nous avoir enfermé chez-nous en Septembre, en donnant plein pouvoir à l'exécutif, réduisant par là même le législatif devenu purement godillot, en détruisant d'évidence la démocratie.

    Dans leur esprit, mentir sans cesse à la population, la rendre folle de rester chez-elle, frapper et asphyxier les manifestants paisible, même les plus jeunes, causer des traumatismes aux enfants par des messages angoissants répétitif, risquer un traitement peut-être dangereux ou alors sans produit actif..., n'est en rien maléfique puisque le bien est de sauver l'empire Etats-Unis-d'Amérique, le reste ne leur étant d'aucune espèce d'importance: ils ne travaillent ni pour leur pays, ni pour l'Union-européenne.

    Ils considèrent même l'ensemble comme étant de l'ordre de la morale.

    En quelque sorte, il mentent en considérant que ce ne sont pas des mensonges puisque ce qui est bon pour l'Amérique est bon pour le monde.

    Écartent tout ce qui gêne leur fumeux évangile en ne visant, pour l'instant, que les personnalités les plus médiatiquement visibles, à l'exemple du professeur Perronne de par la fermeture de son hôpital.

    (A quand les premières arrestations politiques?)

    P1050125.JPGOnt-ils conscience d'agir comme ils le font?

    Oui, mais celle-ci est confuse, vaguement justifié par des arguties qu'ils s'échangent, peut-être même en une sorte de réitération, leur permettant de se convaincre mutuellement à leurs propres yeux de leurs biens fondés.

  • Réflexions multiples sur la géopolitique et réfutation d'un risque de complôt ainsi que de la théorie du complôt.

     Pardonnez moi pour mes difficultés à apprivoiser des traitements de textes parfois désinvoltes.

    C'est le texte le plus osé que je vous présente là, osé parce que j'y avance un certain nombre de prédictions qu'en vrai personne ne pourrait être dans la capacité d'en vérifier la véracité, hormis le temps et les événements qui le jalonnent et ponctuent.

          C'est, en effet, sur de la pure prédictivité qu'il s'appuie, ceci sur l'idée, toutefois, que lors de l'effondrement de l'économie-monde et la disparition, sous une forme ou une autre, de notre mentor et maître, les États-Unis-d'Amérique, quatre mouvements contradictoires se feront montre :

        1)Un mouvement centrifuge de rejet de l'Union-Européenne situé surtout dans le sud européen ainsi qu'en Angleterre et dans une moindre mesure en France ;

       2)Un mouvement centripète de continuation de l'intégration européenne situé dans ce qui fut, autrefois, les empires centraux d'Allemagne et d'Autriche-Hongrie ;

          3) Une crainte, voire une haine de la Russie toujours persistant dans les pays restés plus de quarante ans sous le joug de l'U.R.S.S. ;

        4) Les réalités géographiques et politiques qu'aucun acteur ne peut oublier sauf à se retrouver dans des situations ingérables, ce qui est largement possible étant donné la perte d'habitude que peuvent avoir les hommes et femmes politiques d'Europe pour tout ce qui concerne ces réalités, accoutumés qu'ils sont d'obéir et suivre les recommandations et injonction de notre seigneur et maître états-unien.

    Je vais donc penser la rupture que peut représenter la faillite universelle, rupture de ce que qu'il s'en dit, ou ne s'en dit pas, dans les médiats officiels ou non.

    Je part du postulat que ce seront surtout les élites européenne qui seront le plus affectés par cet effondrement mondial, élites économiques, médiatiques et politiques surtout et cet effroi les poussera à prendre des mesures hasardeuses contraires à leurs réels intérêts quand elles en prendrons, surtout la ruine des banques et de l'euro créera une situation possiblement explosive dans certaines nations qui contraindra leur gouvernement, sans réelle capacité de maintient de l'ordre, à prendre des mesures en divergence d'avec l'Union-Européenne, Union elle-même risquant fort d'écarter ces pays leur semblant dangereux.

    Je ne pense pas que la fin de l'économie-monde sera le fait de complotistes géniaux, américains, européens, saoudiens, israéliens, chinois ou autres, la situation est, à mon sens, bien pire puisque je considère et m'est logique que plus personne ne maîtrise la conjoncture, croire en l'existence de manipulateurs qui seraient responsables de ce qu'il se passe et se passera ne peut, pour moi, représenter la réalité, tout au plus y a-t-il des tentatives, souvent réussie de manœuvres simples, simplistes, de subordinations des élites, de politiques de canonnière économique, de présences de groupes de pressions..., mais de réels manipulateurs de grande envergure, non.

    J'écarte ainsi les questions de complots ainsi que, liée, l'idée imbécile de théorie du complot (il y a eu des complots mais rarement de hautes factures et même le plus souvent imbéciles, voir les événements de la constitution européenne, ils n'ont marché que parce nous sommes dans une période obscurantiste), tous deux sont aussi fantasmatiques l'un que l'autre, le premier pour trois raisons:

    -La première étant ce que j'appelle le « principe de Peter ultime », le principe de Peter étant : « dans une hiérarchie, tout employé aura tendance à s'élever à son niveau d'incompétence (wikipédia) », le principe de Peter ultime pouvant se définir ainsi : « dans une hiérarchie où, au plus haut niveau, l'incompétence domine, ce sont tous les échelons hiérarchiques qui se trouvent progressivement être accaparés par des incompétents », parce que l'incompétent sachant pertinemment qu'il n'est pas à sa place, dans sa crainte réelle ou imaginaire d'être remplacé par plus compétent que lui, fera tout pour chasser tous ceux, au sein de l'échelle inférieur, qui montreraient quelque efficacité que ce soit.

    Croyez-vous vraiment que de telles échelles d'incompétences seraient capables d'un complotisme subtile ?

    -La seconde pourrait se définir ainsi : « Lorsque une transmutation collective inévitable et naturelle est sur le point de se produire, le premier réflexe est d'en nier son existence, sous une forme ou une autre », cela voulant dire que redouter que cet effondrement économique ne soit le fait que de ruses et de plans froidement calculés et subtiles n'est qu'une manière de nier inconsciemment que nul ne commande le dit effondrement, cela ne voulant pas dire qu'il n'y a pas du tout de complots, il peut en survenir de multiples, mais médiocres, ces manœuvres ne pourront pas aboutir à de quelconque résultat, au contraire, elles risqueraient bien d'en aggraver les conditions, surtout pour ces complotistes.

    -La troisième est moins apparente et concerne le « conatus », concept inventé par Spinoza que me fit connaître Frédéric Lordon lors de l'écoute de l'une de ses interventions sur le net et qui dit que « toute chose qui existe effectivement fait l'effort de persévérer dans son être » et une organisation, une union, une idéologie, une société, un état sont de ces choses existantes effectivement.

    Une union d'états telle que l'Union-Européenne est toujours sous-tendue par une idéologie, là le néolibéralisme et la libre concurrence, d'autant plus que l'U.E. n'a pu se développer que grâce au patronage empressé de notre cher Oncle Sam.

    Lorsque l'économie-monde flanchera et que les États-Unis-d'Amérique ne sera plus empire ou même plus rien du tout, se posera la question, pour la gouvernance européenne, si elle veut survivre et faire survivre l'U.E. dans son actuelle conformité, de deux impossibles choix cornéliens, contradictoires et irréalisables :

    A) Soit de faire un coup d'état légaliste (elles en est habituée) ou armé pour préserver son hégémonie mais elle n'en a pas les moyens : le coût de ce type de manœuvres est élevé  surtout dans plusieurs pays à la fois, l'Europe manque de forces armées et il faudrait contrôler les citoyens surtout sud-européens, or les banque européennes et l'euro seront, à ce moment là, très très mal en point si se n'est faillis, l'Europe ayant une politique de comptable, le coût exorbitant que représente un coup de force le lui rendrait odieux ;

           B) Soit d'abandonner l'idéologie qui soutenait cette union puisque les U.S.A. et le dollar n'existeront plus, au moins en tant que quelconque puissance, cela voudrait dire de se débarrasser de l'ensemble des textes pseudo-constitutionnels qui structurent l'Union-Européenne, donc de faire disparaître de fait l'U.E. elle-même, ce qui ne pourrait être, pour la gouvernance européenne, qu'une décision "non-conatus" et dès lors impossible.

    C'est pourquoi, placée devant cette double impossibilité, un coup d'état sans puissance réelle et onéreux ou renier tout le dogmatisme qui en fait son ossature, la gouvernance européenne se montrera inactive et seuls les gouvernements de chaque pays déciderons.

    C'est pourquoi, aussi, je pense que pas grande décision ne sera prise, encore moins le moindre complot, peut-être de vaines tentatives, des techniques publicitaires seront utilisées, les médiats rabâcheront leurs formules pro-européennes, tous les moyens médiatiques seront mis à contribution (nous connaissons leur efficacité depuis le référendum sur la constitution européenne de 2005) mais, quoi qu'il en soit, tous ces décideurs, à de rares exceptions près, seront pris de stupeur, ne sachant plus quoi faire et les événements se suivrons sans que grand monde ne décide de quoi que ce soit.

    C'est pourquoi également je pense que ce seront les circonstances qui se chargeront de mener la barque, le courant du fleuve du temps, plutôt que des décisions mûrement réfléchies, pesées et soupesées, la seule chose que les hommes et femmes politiques les plus subtiles se devront de faire, parce que ne pouvant pas faire autrement, ce sera d'épouser le déroulement de ces circonstances puis, si ils en ont l'intelligence, d'en infléchir tout doucement le cours.

    C'est pourquoi, enfin, je pense qu'il y aura scission de l'Union-Européenne, scission dont nous voyons les prémisses un peu partout en U.E..

    Et ne croyez pas que des complotistes se cachent en Amérique, les américains auront déjà fort à faire avec leur propre pays et peuple, quand aux banquiers, ceux qui n'aurons pas fuit avant, et ils sont déjà nombreux à l'avoir fait, seront dans l'incapacité d'agir de quelque manière que ce soit, si ils ne se retrouvent pas emprisonnés avant.

    Quand à la théorie du complot, elle part du principe que les américains et tout ceux qui les représentes ne sont que de pures anges bien incapables de susciter la moindre malveillance et manipulation ce qui ne peut être que pure foutaise, surtout si nous comprenons les U.S.A. comme étant un empire conscient, depuis vingt ans, d'être aux abois de sa mort prochaine et si nous saisissons de ce que peuvent être les jeux et enjeux politiques.



    Voici donc ce que je pense de la question complotiste, cela pour vous expliquer que la disparition de l'Union-Européenne peut être fortement envisagée, je n'imagine pas que cette équipe de bras-cassés non-élus puisse nous mitonner quelque plans machiavéliques qui lui permettraient sa survie, imagineriez-vous, vous, un Barroso capable de cela ?

    Je le dis et le répète, en ces choses personne ne peut être sûr de rien, nous pourrions imaginer, par exemple, une Union-Européenne se délitant tout doucement jusqu'à ressembler à quelque chose comme le Saint-Empire-Romain-Germanique finissant du XVIII° siècle mais là encore je n'y crois guère... .

    Voyons maintenant quelle forme peut prendre cette disparition mais entre temps je vais vous entretenir de la Russie, du Proche-Orient et des U.S.A. :

     

    D'ici très peu de temps, dans une période où, dans le même temps, vont se cristalliser, dans le monde, toutes sortes de relations inter-étatiques déjà en situations d'ébauches , nous verrons naître de nouvelles configurations européennes et mondiales auxquelles nous ne sommes que peu habitués.

    La fin de l'économie-monde et, peut-être totalement du néolibéralisme qui en sous tend le simpliste dogme, ce sophisme; la disparition de la comptabilité politique qui ne montre, de réalité, que celle des seuls chiffres en omettant les réelles lois de la politique; l'effondrement économique états-unien et anglais qui, ironie de l'histoire, nous libérera d'une Allemagne, paraissant toute-puissance de sa doxa d'un euro fort, par la chute de ses banques dans le même temps que celles anglo-saxonnes en une étrange compulsion de répétitivité: les anglais nous sauveront de la définitive ruine en se sauvant eux-même par leur faillite et en nous sauvant de l'emprise psychologique de l'Allemagne par cette déconfiture; l'éclatement, enfin, de la zone euro et sûrement de l'Union-Européenne en raison de la trop grande révérence des gouvernances européennes autant aux États-Unis-d'Amérique qu'aux dogmatismes béats d'une libre concurrence de tous contre tous devenue délirante et débilitante feront, en Europe, les causes de transformations fulgurantes des relations que les divers pays de cette région entretiennent les uns, les autres, ce sera le retour aux complexités réelles qu'est la politique autant dans ses principes que dans son formalisme.

    Sous quelle forme?

    Il est pour le moins ardu de définir précisément par avance quelles seront ces transformations mais, pour autant, il nous est possible d’entrapercevoir les mouvements naturels qui traversent dores et déjà les relations entre les pays de l'U.E..

    L'histoire, la géographie, la politique nous en éclaire en effet la trame et les lignes de fractures, pas toujours si anciennes que cela, nous en délimitent les tracés.

    Ces failles sont au nombre de quatre mais avant de les énumérer je voudrais faire une longue aparté:

    N'oublions que l'Europe n'est pas seule (je sais, c'est une évidence), au nord la Russie, au sud méditerranéen, le Maghreb et au-delà l'Afrique-Subsaharienne, à l'est, le Proche-Orient ainsi que les immenses portions de l'est eurasiatique dont l'Europe n'est que l'infime occident et enfin, au large de l'Océan Atlantique, les États-Unis-d'Amérique, le Canada et les pays d'Amérique du Sud, toutes ces régions sont, à des degrés divers, pas toujours pour des raisons de proximité, nos voisins.

    Ainsi:

    La Russie, par exemple, a absolument besoin d'un grand bassin méditerranéen relativement apaisé, des Balkans à l'Angleterre, autant pour des questions militaires que pour le négoce, d'autant plus que le canal de Suez, le détroit de Gibraltar et le passage de la Mer Noir à la Mer méditerranée par la Turquie vont, dans peu de temps (et peut-être déjà, voir les événements Syriens), représenter un enjeu géostratégique de première importance, les climatologues de ce pays ayant pronostiqué un refroidissement climatique au moins pour les cinquante ans à venir, les ports des mers nordiques seront pour eux, le pensent-ils et moi aussi, probablement, ad minima, pour partie bloqués par les glaces et pas seulement en hiver, la reprise en main de l'Ukraine par les russes répond à ces deux impératifs: offrir un allié objectif en Mer Noir ainsi qu'un ou plusieurs ports (?), et conserver ce "grenier à grain" qu'est ce pays en prévision des intempéries futures.

    La Turquie également a amorcé une refondation de sa stratégie d'ensemble avec, central, les tensions préexistante avec l'Iran (qui peuvent d’apaiser et nous pourrions même voir des accords d'échange entre ces deux nations) et leur frontière communes avec l'Irak, c'est pourquoi la Russie aura besoin de s'allier avec des pays balkaniques, slaves ou pas, plus ou moins vassalisés, en tant qu'états tampons d'avec la Turquie pour franchir sans trop de risque l'étroit passage du détroit du Bosphore entre les mers Noir et méditerranéenne, en ces choses, toujours prévoir à l'avance les déconvenues éventuelles.

    Dès à présent un jeu géopolitique compliqué et enche

  • Nouvelle réflexions sur le temps présent.

    Le processus de désagrégation économique suis son cours et la politique reprend difficilement ses droits, entre autre en Union-Européenne.

    L'économisme échevelé, en une bête blessée à mort, rue et mord quiconque paraît lui barrer la route de sa survie.

    L'U.E. en rajoute chaque jour un peu plus pour se faire détester.

    Le gouvernement U.S. et Wall Street voient s'agrandir toujours plus le gouffre de leur décrépitude.

    Les B.R.I.C.A., souffrant de la faillite mondialisée, commencent à prendre leur place dedans un empire étasunien en déliquescence, comme au Proche-Orient.

    Alors, allons y voir.

     

    P1000445.JPG

    Deux faits majeurs doivent dorénavant être pris en compte pour celui voulant comprendre la dynamique historique en cours:

    -La faiblesse des États-Unis-d'Amérique est aujourd'hui patente et s'accentue continuellement;

    -Le système économie globalisé se fragilise au même rythme et s'approche toujours plus de son effondrement.

    Les E.U.A. montrent, en effet, depuis le début de la crise ukrainienne (qui était passée rapidement à une guerre civile), puis de la forte prise de position de la Russie en Syrie, qu'ils n'ont plus la puissance nécessaire pour être hégémonique.

    Militaire, certes, mais aussi économique et politique, cette faiblesse ne peut qu'être visible pour tous ceux sachant s'écarter de l'américanolâtrie de notre époque.

    Pour en comprendre la juste dimension, ici seulement politique, je vous propose l'extrait d'un texte de Dmitri Orlov, traduit de l'anglo-américain puis publié sur le site de Monsieur Berruyer ( http://www.les-crises.fr/lempire-le-plus-bete-du-monde-par-dmitri-orlov/ ) et appuyant mon propos:

    "Il est difficile de l’admettre, mais tout semble possible à présent. Ainsi, les États-Unis semblent ne plus avoir la moindre politique étrangère : la Maison Blanche dit une chose, le Département d’État une autre, le Pentagone une troisième ; Samantha Power, à l’ONU, fait sa propre politique étrangère viaP1000621.JPG Twitter, et le sénateur John McCain veut armer les rebelles syriens pour qu’ils descendent les avions russes (Tous les cinq ? Ne sois pas stupide, John !). En réaction face à une telle confusion, les hommes politiques à la botte des États-Unis dans l’Union Européenne commencent à s’agiter de façon incontrôlable et ne respectent plus le scénario, pour la bonne raison que le centre nerveux à Washington ne leur envoie plus de signes cohérents."

    Cette confusion du gouvernement étasunien est logique et tient en ce que celui-ci n'a plus, maintenant, ni légitimité, ni pouvoir, puisque lui-même est sous la férule des banques, fonds d'investissement et autre Wall Street.

    Cela a conduit, depuis sûrement longtemps, à la perte progressive d'influence et de contrôle du président Obama sur l'ensemble de ses administrations et ministères, chacun prenant son indépendance suivant les seuls intérêts et idéologies des groupes ou des individualités, tout en tentant de prendre l'ascendance sur les autres.

    Bien sûr, le dernier bastion, la dernière colonie américaine, l'Union-Européenne, ne peut qu'être perturbé par cet état de fait, d'où la double tentative de domination sur celle-ci, là encore logique, du bureau européen, d'une part, et de L'eurogroupe ainsi que de la B.C.E., tous deux assujettis à l'Allemagne, d'autre part.

    Sans compter sur le F.M.I. qui, lui aussi, s'écarte au même rythme de l'autorité U.S..

    Il est à noter que la F.E.D., la banque centrale étasunienne, et sa directrice, Madame Yellen, sembleraient, eux aussi, être en proie aux plus grandes confusions, ne sachant plus quelle stratégie adopter pour redresser la déplorable situation de l'économie réelle de leur pays, sachant que plutôt que des 5, 5% de chômeurs annoncés, le chiffre s'établirait, plutôt, entre 13 et 23%, ceci sans considérer la faiblesse des émoluments de ceux ayant un emploi et de la disparition dramatique des usines et fabriques.

    Le monceau de crédits de toutes sortes, immobiliers, des producteurs de gaz et pétrole de schiste, aux étudiants, par exemple, accentue cette fragilité, il en est de même de l'immense fabrication de monnaies lui faisant perdre toute valeur, ainsi que des bulles spéculatives boursière, comme celle dite des technologies ou de l'incroyable monté de Wall Street, bien au-delà du ciel, ne pouvant que conduire les U.S.A., à terme, à leur ruine, infailliblement définitive.

    Militairement aussi la situation de ce pays est déplorable et l'injection massive d'argent (de singe) dans le complexe militaro-industriel n'y change rien: plusieurs fois la Russie a montré à tous une puissance technologique qui lui est bien supérieur, que ce soit en mer Noire ou en Syrie et, ce, grâce à des crédits infiniment inférieurs.

    Tout cela ne pourra qu'avoir des effets centrifuges sur ses états qui, d'une manière ou d'une autre, ne peuvent que prendre leur indépendance du gouvernement fédéral et conduire les U.S.A., soit à leur partition, soit à une guerre civile.

    Pour finir sur ce sujet, les tensions dites raciales dont nous avons tous entendu parler dans les médiats, des dissensions religieuses que nous pourrions très bien deviner au regard de cette situation catastrophique, des mouvements ouP1000627.JPG groupuscules politiques plus ou moins séditieux ou révolutionnaires, de droite comme de gauche, que nous pouvons, en toute logique, envisager, la grande quantité d'armes que possède une bonne part de la population, peuvent facilement renforcer le sentiment d'une prochaine disparition des E.U.A. dans la violence.

    Ainsi ce géant, le dernier empire et le seul universel, se sera lui-même et de lui-même terrassé par ses propres manquements et folies avant d'avoir pu mettre le feu au monde.

     

    L'économie-monde se trouve aussi dans un état déplorable et est aux portes de son anéantissement.

    Le déséquilibre grandissant entre la réalité de l'économie mondiale et les surproductions monétaires ainsi que de la monté vertigineuses des bourses montre, à qui le veut, que ce système ne tient plus qu'à un fil, très mince, celui du dollar.

    Or, comme nous l'avons vu, ce dernier n'est plus soutenu que par un gouvernement américain vaporeux et une F.E.D. aux abois.

    Le-dit dollar est autant la monnaie des échanges commerciaux, de remplacement des monnaies sans valeur dans les pays pauvres, de réserve dans les banques centrales que pour les marchés des changes et financiers.

    Autant dire que s'il disparaît, que quand il disparaîtra, d'une manière ou d'une autre, cela ne pourra que produire plus qu'une panique, une réelle, terrible, monstrueuse terreur, même pour ceux qui s'y sont préparés, même dans les états faisant tout pour rompre leurs liens avec lui.

    Comme je l'ai déjà raconté dans ce blog, ce sera l'ensemble de la chaîne économique et des échanges internationaux qui s'interrompront pour un temps indéterminé, des extractions minières aux récoltes, du tourisme aux autres expatriations, en passant par les usinages et fabrications, jusqu'aux transports maritimes et aériens, passagers et marchandises.

    Que les communications électroniques n'en souffrent pas trop et nous pourrons nous considérer comme chanceux.

    Sans compter, là encore, aux infiniment nombreuses bulles spéculatives parsemant le monde, dont celle, chinoise, énorme, immobilière, est la plus connue, et a, cet été, fortement ébranlé l'oligarchie économique internationale, bulles spéculatives qui ne pourront qu'éclater, rajoutant encore de défaillances à cette dévastation.

    Et les monnaies, non plus, ne pourront s'échanger puisque leurs valeurs respectives n'auront plus aucun sens et que les organismes sensément prévus pour les évaluer, soit divers fonds spéculatifs et banques, auront disparus ou seront nationalisées.

     

    Il faut bien comprendre que les situations nationales et internationales sont mises en place et déterminées par trois type de personnes:

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur et agissent et décident en conséquence, comme les dirigeants russes et chinois;

    -Celles qui comprennent ce double effondrement futur mais ne peuvent agir et décider que dans un cadre étroit en raison de contraintes liées aux trop proches relations de leur pays d'avec les U.S.A., comme il peut en être de certains chefs d'état de l'Union-Européenne;

    -Celles qui, quoi qu'il puisse se passer, ne comprendront ou ne voudront jamais comprendre que nous allons droit vers ce double effondrement futur et qui, contre vents et marrées, persistent et persisteront à agir et décider de manière nuisible pour leur pays et P1000448.JPGleur peuple, soit parce qu'ils ne peuvent pas concevoir, par aveuglements idéologiques, que les U.S.A. et la globalisation économique puissent disparaître d'un coup, soit en raison de leur espérance en des récompenses futurs sonnantes et trébuchantes ou de leur place privilégiée, alliée à leurs désirs de pouvoir, puissance et domination, les déterminent à un même aveuglement, mais, là, maladif, d'asservissement des populations et/ou de gains futurs confortables.

     

    Il est à noter qu'en France et sûrement ailleurs en Union-Européenne, divers partis politiques, jeunes pour la plupart, tel que l'U.P.R. et le (M.)P.E.P., font campagne pour que notre nation retrouve sa souveraineté, ceci en quittant définitivement, en toute clarté et logique, le bloc U.S.A./U.E./€./O.T.A.N..

    Mais qu'ils ne font jamais, également, du-moins dans leur discours officiel, allusion à la flagrance qu'est cette ruine universelle et disparition de l'empire U.S..

    Ce que je comprends fort bien, il serait terriblement difficile de se faire entendre en en mentionnant ne serait-ce que l'éventualité, d'autant plus que cela affecterait gravement leur position et leurs discours, surtout qu'une large partie de la population nie avec, parfois, une farouche vigueur, ne serait-ce que sa possibilité.

    Quoi qu'il en soit, ils devraient prendre en compte, maintenant, ce fait manifeste, quitte à le taire, ceci pour réagir au mieux dès l'instant où cela débutera.

    La position de Monsieur Mélenchon et de son parti est intéressante.

    Lui désir l'épreuve de force avec l'eurogroupe, l'Allemagne et la B.C.E., je lui fait confiance, il la gagnera, si je lui ai donné le surnom de Bulldog n'est pas pour rien, j'ai compris sa pugnacité et sa force de caractère.

    Toutefois, j'ai l'impression que lui et son parti n'ont pas compris que l'Union-Européenne et tout ce qui s'y rattache ne peuvent que disparaître en même temps que son créateur U.S. et l'économie-monde, cela en tout état de cause, ce qui ne pourra que les déstabiliser, j'espère le moins longtemps possible pour ensuite absorber ce qu'il restera du P.C.F..

    Je passe rapidement sur le sujet Vert/P.S./U.D.I./U.M.P, dit "Les Américains", ils n'ont, pour moi, plus aucune espèce importance, hormis quelque individualités qui sauront rebondir rapidement lorsque la globalisation commencera à décliner, voire, pour certains, réagir avec intelligence et vigueur, les divers verrous dus à ce bloc sus-nommé ayant sauté, ils pourront, tout à loisir, développer leur intelligenceP1000632.JPG politique.

    Le F.N. ne peut que retenir un bref instant mon attention.

    D'un discours paraissant anti-européen, ce parti et ses adeptes sont, en réalité, viscéralement eurolâtre.

    il n'est que de voir les œillades appuyées que Madame le Pen lance au petit père des peuples Juncker ou à Frau Merkel, ou bien de savoir que si Le Pen fifille devient présidente de la république elle ne fera que rediscuter les accords de l'eurogroupe, moins, en somme, que ce que fit Monsieur Tsipras et son gouvernement (nous savons tous à quoi cela a pu aboutir), nous ne pouvons que concevoir que ce mouvement n'est que l'un des chevaux de Troie à la solde des eurolâtres et américanolâtres.

    La visite de sa présidente aux États-Unis-d'Amérique, à un gala donné par les puissances d'argent de là-bas en son honneur, comme étant la femme la plus importante de l'année pour la France et l'Europe, est également la preuve que ce parti ne mange pas seulement aux râteliers de l'eurogroupe mais aussi à ceux de l'empire U.S..

    Il est des traitrises qui ne s'oublient pas!

    Tout comme celle perpétuée par Monsieur Sarkozy, lorsqu'il avait vendu l'or de la patrie au même empire, à un prix défiant toute concurrence.

    Mais lui, au moins, ne faisait pas preuve d'un tel double discours.

    Passons, là encore, le M.E.D.E.F., la C.F.D.T., comme n'ayant, non plus, aucune importance, ils seront, comme d'autres, balayés par cette prochaine déferlante.

    Les journalistes en vu dans les médiats officiels seront rapidement remplacés par des gens plus capables, sauf, peut-être, Lise Lucet, d'une certaine intelligence et finesse, si elle sait retourner à temps sa veste.

     

    J'ai déjà évoqué les tensions futures qui ne pourrons que se produire entre l'Inde et la Chine.

    Ces deux géants, en puissants voisins se toisant dans les hauteurs de l'Himalaya, ne se sont alliés, pour l'instant, au sein des B.R.I.C.A. que pour limiter le pouvoir, devenu de seul nuisance, des États-Unis-d'Amérique.

    Leur gouvernement subiront les foudres de leurs populations lorsqu'elle sentiront se retirer sous leurs pieds leur rêve occidental de classe-moyenne et de consommation de masse.

    Là se trouve, comme je l'ai déjà

  • De la catastrophe qui vient.

    J'ai, dans un premier temps, voulu montrer que ce que je pronostique depuis longtemps, soit l'effondrement de l'économie-monde, repose sur les bases d'une réflexion sensée et que, de plus, je m'appuie sur des informations sérieuses.

    Et puis, après quelque temps, je me suis aperçu que cela ne servait à rien, non pas que cela ne vous intéresserait pas, amis lecteurs, mais plutôt que je considère cela comme étant particulièrement inutile, ceci parce qu'il ne s'agit pas, ici, de faire assaut d'esprit et de connaissances mais de prévenir, autant que faire se peu, de difficultés que les populations de France, d'Europe et d'Occident n'ont plus connu depuis plus de soixante cinq ans et auxquelles quasiment personne n'est préparé.

    Mais surtout parce qu'il est maintenant moins important de savoir  par quels mécanismes cette défaite économique globalisée se parachèvera, quel événement conduira à cette grande débâcle, quel en sera le détonateur, Grèce, Chine, banque ou bourse, ..., que de songer de ce que nous devrions dès à présent faire pour nous y préparer au mieux.

    Déjà, la guerre économique que nous avons subit depuis les années 80 prend fin, ceci signé par la désindustrialisation mondialisée en cours dont le signe évident en était, jusqu'à présent, la baisse du prix des matières premières.

    Leur remonté, hormis ceux de la nourriture montrant l'insolvabilité des peuples, ne provenant que de la baisse de production pétrolières et d'une légère reprise industrielle d'échelle mondiale due à des réserves de carburants à bas coût que firent de nombreux pays.

    Ce qui montrera combien j'ai raison ou tord, sera ou non le retour rapide à une baisse du prix des matières premières prouvant que cette désindustrialisation est inéluctable et mortifère.

    C'est ainsi que dans peu de temps nous découvrirons qu'une guerre économique est tout autant destructrice qu'une guerre armée, bien qu'elle soit moins meurtrière: elle ne permet et ne permettra jamais de déterminer ni un vainqueur, ni un vaincu, mais juste des pays et des peuples anéantis de pauvreté.

    Nous percevrons, aussi, que ceux qui l'entamèrent et s'y livrèrent avec le plus d’assiduité, au premier chef les États-Unis-d'Amérique aux populations déjà dévastées, en seront les principaux perdants.

    Enfin, nous comprendrons que cette guerre entre les nations fut aussi celle d'un affrontement que livrèrent une infime minorité de personnes détenant d'immense fortune contre les peuples de la Terre entière.

    Mais ces questions hautement politique et nécessaires ne doivent pas faire oublier devant quoi, d'ici un proche avenir, nous devrons faire face, c'est la raison de ce texte.

    Souvenez-vous de ce que j'ai pu écrire auparavant, soit que les industries et commerces mondiaux seront, pour une majorité d'entre-eux, en cessation d'activité pour un temps indéterminé.

    Et qu'à ceci, déjà terrifiant, viendra s'y surajouter la disparition de l'ensemble des établissement économiques privés ainsi que de l'impossibilité d'internationalement définir la valeur des monnaies les unes par rapport aux autres, l'or, l'argent et le platine risquant également d'en éprouver les effets.

    Alors, pour nous, comment tout cela débutera?

    Dans un premier temps ce sera plutôt discret, des marchandises commenceront à manquer sur les étals et dans rayons des magasins, mais cela sera caché d'une façon ou d'une autre, surtout dans les grands établissements.

    Ensuite viendra l’éclaircissement des étalages, autant en nombre qu'en volume de produits présentés.

    Ce qui nous montrera le ralentissement du commerce et de l'industrie international.

    Les banques  seront de plus en plus réticentes de vous voir retirer  votre argent de leurs succursales et il vous faudra un temps incroyablement long pour que vous encaissiez vos chèques, cela en raison de leur débâcle en cours qu'elles veulent à tout prix cacher, surtout à des autorité politiques qui, pour la plupart, ferment les yeux.

    Les grands et petits magasins afficheront une baisse importante de leurs ventes, ceci liée à une hausse vertigineuse du chômage due au manque de débouchés pour les marchandises produites également en France.

    Les pièces détachées, automobile, informatique ou audio-vidéo, par exemple, seront progressivement en rupture de stock, même pour des marchandises de qualité et cher, il vous sera devenu impossible de les faire réparer et plus ardu pour les remplacer.

    Quand cela commencera à devenir visible, il ne nous restera que quelques semaines, tout au plus, soit pour remplir nos placards du nécessaire pour nous approvisionner au jour le jour, soit pour compléter vos réserves.

    Il serait bien, dès à présent, d'avoir de l'argent liquide chez soi, parce que quand la situation économique commencera à se dégrader, tout le monde se ruera vers les banques et sachez qu'à ce moment là, il n'y aura pas de billet pour tout le monde.

    Ce sera la première phase, assez simple, de cette catastrophe systémique.

    La seconde phase, elle, sera bien plus violente et rapide, pour tout dire, elle risquerait même d'être fulgurante.

    Certes, je ne peux être, en ces choses, que d'une sûreté relative, très relative, même, mais, quoi qu'il en soit, je pense que ce seront l'ensemble des établissements économique et monétaires, des bourses et de la valorisations des monnaies qui seront soufflés d'un coup comme peut l'être la flamme d'une bougie.

    En quinze jours, une semaine, voire moins, nous apprendrons, ébahis, que l'ensemble des établissement financiers feront faillite, et quand bien même nous apprenions, au préalable, lors de la première phase, que telles ou telles banques ou sociétés d'assurances auraient fermé leurs portes ou seraient rachetées par la concurrence, cela nous sera présenté, dans les médiats officiels, comme étant d'un événement de second ordre.

    C'est à ce moment là que la pénurie commencera graduellement, de la pièce d'un euro jusqu'à la farine pour la boulangerie, en passant par l'huile des moteurs auto et motomobiles.

    C'est pourquoi je vous en conjure, faites des réserves.

    Les pertes pour les fortunés, petits et grands, seront abyssaux beaucoup seront totalement ruinés, et dans un premier temps certaines banques disparaîtront, surtout celles dites en ligne, les autres seront nationalisés, et ces dernières n'auront tout simplement plus d'argent à distribuer.

    En raison d'une certaine inertie, le commerce international, maritime et aérien continuera, cahin caha, de fonctionner et ne cessera ses activités que progressivement, comme peut se fermer progressivement un robinet d'eau.

    Du fait d'un amoindrissement en produits pétroliers puis de leur quasi disparition, il en sera de même pour les transports routiers nationaux et internationaux.

    Pour une période plus ou moins longue et pour les mêmes raisons, les bus et les cars ne fonctionneront plus ou, au mieux, se raréfieront.

    Ne restera donc plus, pour pouvoir se déplacer, que les transports par rail, métro, train et tram, le vélo et les pieds pour certains, puis la voiture hippomobile deviendra une solution pour d'autres.

    Là, les boutiques se videront tout doucement de leurs marchandises et les particuliers, ne pouvant plus utiliser leur automobile, se replieront sur les magasins de centre-ville, ceux qui sauront s'adapter, en proposant leurs marchandises en vrac ou provenant de fermes ou d'usines proches, par exemple.

    Cela mènant inéluctablement la majorité des supermarchés à leur fermeture, souvent définitive.

    Les cartes de paiement ne fonctionneront plus en raison même de cette faillite bancaire généralisée et les assurances, si elles existent encore, ne pourront plus maintenir leurs fonctions premières.

    Sauf pour celles des banques et des assurances qui seront sauvées par l'état, nationalisées à l'euro symbolique ou pas loin.

    Alors, résumons-nous et voyons si rien ne sera oublié des dégâts innombrables que causera cet ruine universelle en France et partout en Occident, ruine provenant de la désindustrialisation occidentale et de la recherche du moindre coût salarial international qui conduit, aujourd'hui, à ce que les entreprises ne trouvent plus preneurs pour leurs productions.

    Ceci doublé d'une financiarisation à outrance qui pompa et pompe toujours, jusqu'à plus soif, la moindre goute de richesse partout dans le monde et, ce, jusqu'au moindre recoin.

    Plus de banque, de société de placement et d'assurance, sauf celles qui seront nationalisés, si, et seulement si le gouvernement alors en place, sûrement celui qui nous gouverne actuellement, réagit avec promptitude et audace, ce dont je ne suis pas sûr au vu de la médiocrité de ses ministres et élus.

    Les magasins de toutes tailles seront dégarnis, sauf de ce qui est encore produit en France, le tout convoyé par train, seul transport encore vaillant.

    Les grandes villes, surtout Paris et sa banlieue, auront des difficultés à être approvisionnées, là encore, les métros et trams pourrons suppléer au déficit de camion.

    Ailleurs, le cheval reprendra ses droits.

    Pour savoir de quoi nous manquerons, c'est très simple, promenez-vous dans un centre commercial, avec le grand magasin en son centre, rajoutez-y un garage, et dites-vous que 90 à 97 % de ce que vous voyez aura disparu de toute vente en France et partout ailleurs.

    Ne restera plus que de la nourriture produite par nos paysans, ce que fabrique les dernières usines survivantes dans notre pays ( si la matière première ne lui manque pas, ce qui n'est pas si sûr), ce que contiennent quelques entrepôts et les réserves que des personnes prévoyantes ont pu faire pour le troc, de ceux ayant un jardin et potager et du surplus de la propre consommation de chacun.

    Et ne croyez pas que nos voisins pourrons nous aider, ils seront tous dans une situation similaire, leur gouvernement essayant, comme ici, de se débrouiller avec le peu qui subsistera dans leur pays.

    Chez certains de ceux-ci, la situation sera plus catastrophique encore, et chez notre maître à tous, les États-Unis-d'Amérique, ce sera pire que tout.

    L'Allemagne sera dans un état déplorable, elle qui se fait croire puissance n'est plus que l'ombre d'elle-même.

    Il n'est aujourd'hui que le réflexe de nos élites de lui obéir et de ses capacités manœuvrières lui permettant de contrôler l'Union-Européenne, les U.S.A., le F.M.I., ainsi que d'autre organisations d'essence U.S., qui lui permettent de maintenir son autorité.

    Hormis cela, elle est au bord de la totale désintégration économique et sociale en un processus suicidaire dont elle seule détient le secret.

    Ses ouvriers appauvris, sa classe-moyenne déclassée, son gouvernement n'est plus tendu que vers une seule direction: que ses vieux, tant majoritaire en ce pays, perçoivent leur retraites provenant de ces fonts de pensions qui ne cessent de dérober les richesses du monde.

    Une agriculture intensive, tout comme son élevage, souffriront au premier chef lors de l'arrêt du commerce international, certes, elle pourra nourrir sa population mais qu'en sera-t-il de son cheptel quand le commerce international aura cessé en ne pouvant plus la fournir en fourrage?

    Mais en attendant, elle détruit la nôtre par ses prix bas et son agressivité commerciale, elle qui a déjà détruit nos usines, de même que notre société, avec l'aide bienveillante U.S..

    N'allez pas croire son industrie soit florissante, elle qui ne fait que monter ses automobiles de pièces détachées provenant d'ailleurs, de préférence des anciens pays de l'est qui lui feront payer très cher le moindre phare lorsqu'elle montrera à tous ses terribles faiblesses, si ils ne décident pas de monter eux-mêmes les voitures.

    Quand aux machines-outil, la gloire de ce pays, à quoi serviront-elles quand toutes les usines du monde auront fermé?

    Et puis, une violente symbolique la secoue, venant se surajouter de l'effet désintégrant d'une ancienne Allemagne de l'Est cherchant à se rescinder d'une Allemagne de l'ouest conquérante, hautaine et tyrannique.

    Quelle est cette symbolique?

    L'Allemagne a conquis par trois fois la France, en 1870, en 1940 et maintenant, sous l'égide de l'Union-Européenne et des États-Unis-d'Amérique, or, trois fois, c'est deux fois de trop!

    Pourquoi?

    Depuis l'an 840, il y a donc 1175 ans, la Francie Orientale, le Saint-Empire-Romain-Germanique, l'Allemagne, la Germanie n'a qu'un rêve collectif, un désir inconscient, celui de vouloir à tous prix réédifier l'empire de Charlemagne sous sa seule bannière, avec en son centre la Lotharingie, mais surtout, mettre la Francie Occidentale, la France, genou à terre.

    Or, par trois fois elle y a réussi.

    Ainsi en France, à Versailles, au château, a vu se créer la Deutschland, se couronner son empereur, se récupérer l'Alsace et la Lorraine en 1871 (Lorraine, descendante en nom de cette Lotharingie) et nous obliger à la désigner comme "Allemagne".

    En 1940 elle conquit encore une fois la France et, par la traitrise de Pétain, de son gouvernement et d'une partie de la population, elle y donna son heure et ses lois, dont celles anti-juives et tziganes, oui, nous vivons toujours à l'heure de Berlin.

    Et enfin, aujourd'hui, nous vivons sous le régime d'un Deutschemark au nom d'euro et de la loi de la Bunsdesbank et de l'Union-Européenne, quand ce n'est pas celle de la Chancelière Merkel.

    Or, de cette volonté depuis si longtemps inconsciente ayant enfin abouti et par trois fois, que lui en reste-t-il sinon que de se perdre, elle qui n'a plus aucune raison de vivre, d'exister?

    C'est pourquoi cette nation, ce pays, cet état nous montrera, nous montre déjà ses fragilités qui deviendront manifestes dès que l'économie mondialisé cessera ses activités et que l'Union-Européenne s'évanouira dans les vapeurs de sa décomposition.

    Là, les autres états de l'union reprendront, contraints et forcés, leur indépendance: ce qui n'est pas encore clairement établi, ce qui est encore empreint de tergiversations, de craintes et de louvoiement en raison des terribles coups assénés aux grecs deviendra plus qu'une obligation, plus qu'une évidence, un fait et une réalité.

    Cette ruine universelle, sa rapidité du fait, sa fulgurance, génèrera de graves perturbations vidant l'Union-Européenne de sa substance, ainsi ne soyons pas surpris lorsque des ministres ou des chefs de gouvernement ne se rendent pas à des réunions de l'euro-groupe, de rixes entre eurodéputés ou d'attitudes étranges ou déplacées provenant de responsables importants de l'U.E., comme de la grande fatigue, des frasques ou du délire, comme il en fut de la part de Monsieur Junker.

    Quand à la télévision, aux journaux et à la radio, attendez-vous de ce que l'ensemble de ces médiats appartenant à de grands groupes et grandes fortunes ne disparaissent rapidement.

    La troisième phase, quand à elle, ne sera que la longue suite logique de la deuxième.

    Il faudra, dans le même temps, reconstruire l'industrie, l'administration, la loi, la justice, l'armée, la police, le franc, la science et les université, une culture  de qualité, des relations diplomatique en Europe et hors Europe, l'instruction nationale, nourrir les jeunes enfants dans les écoles, expliquer ce qu'il s'est passé, je l'espère, sans langue de bois, réparer les infrastructures qui furent le plus longtemps abandonnés, rétablir les services publique universels (j'en oublie sûrement) et gérer les manques qui, je le répète, seront excessivement nombreux.

    Je le dis depuis longtemps, notre problème vient de ce que nous n'aurons que très peu de temps pour ce travail colossal qui, de plus, se devra d'être accompagné d'une pensée géopolitique et géostratégie renouvelée remettant en question et le plus souvent en cause, l'ordre ancien,  allemand, étasunien et eurolâtre.

    Si nous avions dix ans devant nous, ce serait le maximum, ceci en raison des graves perturbations mondiales, déjà préexistantes, ne pouvant aller qu'en s'aggravant et risquant de nous mener, nous Homo Sapiens Sapiens, à toutes et pires des  aventures.

    Ce sera la quatrième phase, la plus dangereuse et la plus passionnante aussi...

    Quand à la cinquième, elle sera dans les étoiles et le vide infini en ce voyageur impénitent que nous sommes............ou ne sera pas.

    Serais-je encore en vie?

     

     

    THEURIC

  • Retour à la politique (que je n'avais jamais quitté).

    J'avais de projet d'une longue réflexion sur le cas Attali, sujet qui, ma foi, recouvre bien des réalités politiques, psychologiques et sociologiques.

    Mais après cinq à six  heures de dur labeur, j'ai tout effacé, ce sujet pouvant se révéler dangereux et, suivant ma maxime: "Prendre un risque inutile est imbécile.",  je referme ce thème.

    De toute façon, ce personnage, qui n'a de réel intérêt que celui qu'il se porte, depuis qu'il nous avait présenté Macron comme étant notre nouveau président deux ans avant son élection, est considéré par de plus en plus de monde que comme n'étant qu'un vil malandrin aux discours fourbes et mielleux, dits d'une voix aussi douce qu'un bas de soie.

    Ce bonhomme, bien qu’agaçant, ne représente plus que l'ancien monde, ce que son petit protégé de l’Élisée et sa femme de mère, leur personnel ministériel et de l'assemblée Nationale, ainsi que leurs spadassins, dont le sieur Bennala fut le plus visible, n'ont de cesse que de le détruire, bien malgré eux, je le concède.

    De par leurs actions bêtasses et désordonnés.

    Le paysage politique français ressemble à un cimetière ou, suivant, au désert des tartares.

    P1020124.JPGQuand dans le même temps internet délire sec, enfin la plupart du temps, ou ne raconte pas grand-chose de bien intéressant.

    Alors je vous propose que du peu d'information à notre disposition, d'autant plus en ce mois d'Août vacancier, nous allions voir de ce qu'il peu en être de la situation politique en France et ailleurs.

    Ce vieux monde, perclus de rhumatismes et souffrant de fortes nécroses neuronales, se délite à son rythme, aider en cela par un Monsieur Trump qui voudrait bien jeter au plus vite l'Union-européenne dans les poubelles de l'histoire, et, dans le même temps, voudrait bien réindustrialiser son pays en déstabilisant une globalisation économique déjà en une situation largement précaire, et par nos zigotos qui, bien malgré eux, de part leur incompétence formelle, à la direction économique et politique de l'Union-Européenne et de la France, prennent tous des décisions ne menant l'économie internationale qu'à sa perte, enfin, ne font qu'en accélérer l'inéluctabilité.

    Le seul endroit, le seul pays où le président U.S. essaie à tout prix de conserver une place pour sa nation dans le pourtour méditerranéen c'est Israël, non pas pour des questions idéologiques, comme il se dit à tort, mais pour des raisons géostratégiques logiques, il ne suffit que de regarder une carte de la région pour le comprendre.P1010605 - Copie.JPG

    Vous y remarquerez que ce pays se trouve à quelques encâblures du canal de Suez, qu'à son nord-est la Syrie, l'Irak, l'Iran et, dans une moindre mesure, la Turquie, sont alliés a la Russie, ainsi que l’Égypte à son ouest, la Jordanie et le Liban essaient de toutes forces de rester neutre, de l'autre coté de la mer, au nord-ouest, la Grèce est économiquement exsangue par les actions de l'oligarchie mondialisée et européenne menées depuis 2011.

    Quand à l'Union-Européenne, elle explose lentement comme de ces gros pets que l'on essaie de réprimer et qui s'échappe en un long, bruyant et douloureux chapelet nauséabond au milieu du silence gêné de l'assemblée.

    Ne reste plus, pour cet empire U.S. moribond, qu'Israël et l'Arabie-Séoudite (par là, mec) pour conserver un semblant de possession en cette mer Méditerranéen d'une importance stratégique capitale, d'autant plus qu'il y aurait du gaz sous celle-ci entre la Grèce et Israël.

    Les actions de l'équipe trumpienne se font sur de nombreux fronts.

    Ainsi l'empire tente de reprendre pied en Amérique-du-Sud, en y ruinant les monnaies des nations les plus rétives, comme il en est du Vénézuéla, qui, de plus, détiendrait l'une des premières réserves en pétrole.

    (  Il y aurait une cause autre d'hyper-inflation que de la seule surproduction monétaire, celle d'une perte de valeur de cette monnaie par rapport à toutes les P1010743.JPGautres, quelle qu'en soit les raisons, d'autant plus si le pays émetteur, ne vivant surtout que d'importation grâce, pour le Vénézuéla, à son pétrole, ne subvient donc pas, en interne, suffisamment aux besoins minimums de sa population tant en nourriture que pour l'hygiène, ceci sachant que le dollar reste encore la monnaie des échanges commerciaux internationaux.

    Je suppute que les hyper-inflations turque et vénézuélienne proviennent d'actions répressive monétaires provenant des U.S.A., par un jeu spéculatif dont, il est vrai, j'ignore tout.

    La Turquie ayant proposé d'entrer au sein des B.R.I.C.A., c'est en effet un casus belli à l'endroit d'une puissance impériale en mode de survie, cette nation étant l'un des verrous stratégiques eurasiatique majeur de l'O.T.A.N..

    Trump aurait voulu jeter la Turquie dans les bras de la Russie qu'il ne s'en serait pas pris autrement.  )

    Pendant que ce repli étasunien, plus ou moins en bon ordre, se fait sur ses bases arrières que sont le double continent américain, nord et sud, Mrs. Trump et Poutine se rencontrent pour, comme dans les années 80 entre Gorbatchev et Reagan au sujet du recule de l'U.R.S.S., discuter aujourd'hui de celui des U..S.A., soit de la nouvelle donne géopolitique que cela entend.

    Je pense que ça concerne au premier chef  l'Europe et son union dominée par l'Allemagne partant à vau-l'eau.

    Je pensais, par le passé, que les intérêt géostratégiques de la Russie ne se portaient essentiellement que sur la Méditerranée mais, en y réfléchissant bien, elle porte aussi son attention sur l'Europe de l'est et central, soit l'ensemble de ce qui était appelé, avant 1914, les empires centraux, mais aussi les états balkaniques (qui avaient pris, peu de temps auparavant, leur indépendance d'un empire turc enP1010730.JPG déclin, conclue par deux guerres dites balkaniques 1912/1913).

    De ce qu'il peut en être des Balkans ainsi que de l'ouest et le sud européen, ce que je supposais depuis longtemps, ce rapprochement russe y est logique en raison d'une mer Noire les longeant baignant le port de Sébastopol, donnant directement dans les océans Pacifique et Atlantique via la Méditerranée, que ce pays s'intéresse aussi à l'Europe centrale m'intrigue.

    Le seul avantage que j'y perçois serait d'éviter que des désaccords ne s'y installent et ne dégénèrent en des conflits armés, ce qui fut tout le même le fait depuis bien plus de deux millénaires.

    Mais pour que ces alliances multiformes puissent se faire entre la Russie et les pays de l'ouest-eurasiatique, il lui faut attendre que l'Union-Européenne et l'empire U.S. disparaissent et que l'économie-monde fasse faillite afin que chacun retrouve ses marques politiques, culturelles, cultuelles, scientifiques, technologique et intellectuelles qui étaient les leurs par le passé.

    Le choc traumatique que cela génèrera chez les peuples européens ne pourra que leur être bénéfique, bien que les premiers temps seront très difficiles pour tous.

    Pour le reste, Mr. Poutine semble être sur la voie d'achèvement du programme qu'il me semble s'être fixé: pacification méditerranéenne et européenne, établissement d'un allié sûr en Asie, l'Inde, rapprochement d'avec le Japon, conciliation consolidée P1010575.JPGd'avec la Chine grâce à ses exportations de gaz, liens, anciens, d'avec Cuba pour une sécurisation du canal de Panama, éloignement d'avec le dollar pour réduire les effets de sa disparition, ... .

    De tous les continents, le point faible des russes c'est la grande Afrique et seules la France et la Grande-Bretagne en ont les clefs.

    La Chine, quand à elle, paraît vouloir copier les États-unis-d'Amérique en proposant à sa population une société de service qui fut il y a quelques décennies, notamment en France, l'annonce cachée de la survenue du néolibéralisme.

    Ce qui est proprement fascinant dans ce pays c'est la vitesse avec laquelle elle nous rattrape dans ce qu'il y a de plus absurde dans l'obscure idéologie contemporaine néolibérale, sans même que ses dirigeants, tout comme les nôtre au demeurant, ne s'aperçoive que deux modèles et non des moindres, les U.S.A. et la G.B., ont montré au monde la stupidité affligeante de ses présupposés et leurs effets profondément destructeurs lorsque ils sont mis en pratique.

    En France le paysage politique se délite à tout va, ne reste plus que l'U.P.R. plus quelques partis peu connus.

    L'affaire Bennala fut en tous points explosive et a accéléré une situation qui était déjà largement précaire.

    Surtout, cette affaire nous a montré l'extrême fragilité du R.E.M., les radios-P1010609 - Copie.JPGéléments (oui, je sais, je le dis à chaque fois), que nous pouvions resentir commencer à se défiler de leur mandat en plein milieu de cette tempête burlesque bennalesque, loin de se passer dans un verre d'eau.

    Autant certains élus d'autres partis, de droite comme de gauche (enfin, ce qui se fait appeler tel), pris dans une tourmente euro-atlantiste euromaniaque qui les dépasse, pourraient très bien se révéler être des gens infiniment plus responsables que ce à quoi ils se donnent l'air, lors d'une crise majeur telle que cet effondrement économique généralisé en  cour ne pouvant que se conclure que par son écroulement soudain.

    Autant ceux composant le mouvement de notre inénarrable président (s'il n'existait pas faudrait l'inventer) fuiront, à de rares exception près, comme d'un seul homme, et femme, ne soyons pas sexiste, dès qu'une difficulté réclamant un minimum de solidité psychologique et politique, ainsi que de la jugeote, survenait.

    Ce scandale d'état d'une dimension égale, voire supérieur à ce qu'avait pu être l'affaire Stavisky, a déjà des conséquences qui, bien qu'encore discrètes, génèrera des effets que personne ne peut prévoir.

    Zapouillant en toute légèreté hier soir, je suis tombé (sans me faire mal) sur un reportage montrant le prince Macron qui, pour aller saluer la toute petite foule qui l'attendait, passer, de loin, devant deux policiers lui lançant des regards peu amènes.

    Là encore le cadrage était fortement serré, preuve qu'il n'y avait pas beaucoup de personne pour l'accueillir.

    Sans compter les chroniqueurs et autres journalistes en vu qui rament, rament, P1010849.JPGrament comme des malheureux, à la télé comme à la radio, pour tenter de redorer le blason d'un Emmanuel 1er désormais totalement terni.

    Comme j'ai pu l'expliquer dans deux textes précédents, cette affaire est remonté dans les médiats pour deux raisons possibles, de celles me semblant les plus cohérentes:

    1)  l'oligarchie voulait reprendre le contrôle de leur employé, Emmanuel Macron;

    ou:

    2) l'équipe trumpienne veut dézinguer l'Union-Européenne en déstabilisant la France.

    Une troisième possibilité étant une composition complexe de ces deux éventualités.

    La question restant que ç'ait été le journal Le Monde qui avait fait ressortir cette affaire, c'est pourquoi je privilégie la première éventualité à la seconde.

    Auquel cas nous ne pouvons que souligner l'incroyable incompétence de ceux qui mirent notre président actuel à son poste puis qui le déstabilisèrent pour en reprendre le contrôle, ce qui a affaibli ce dernier  considérablement et réveillé une population quelque peu amorphe.

    Ceci étant à mon sens la preuve de cet état de délabrement intellectuel de ceux qui, normalement, devraient mener l'économie du pays à un dynamisme visiblement inexistant, nos oligarques propriétaire de nos médiats, aidé en ceci par les exigencesP1010789.JPG extravagantes de l'Union-Européenne, cause, entre-autre, de la dégradation des infrastructures de tous les pays de l'U.E. (motif essentielle pour laquelle le pont de Gène s'est effondré) et de l'appauvrissement de l'ensemble des populations.

    Il est important de souligner que la politique poursuivit par Emmanuel Macron, autant en raison des ordres strictes venant de l'U..E. que pour satisfaire la rapacité de ses maîtres oligarques, sont en tous points semblables à ce qui généra la ruine des U.S.A., avec ses près de 40% de chômeurs.

    Les médiats tentent, par une intense propagande, ce que les hurluberlus de chroniqueurs télés et les serviteurs ministériels de Macron appellent, de leur langage fleuri, faire de la pédagogie, à ce que la population approuve leur décisions.

    Nous enverrait-on un jour en camp de rééducation comme il en fut sous la Chine de Mao?

    Mais ce que tous ont peine à comprendre c'est que leurs choix furent tentés par d'autres, les U.S.A. et la G.B. entre-autres, et cela c'est révélé être un terrifiant échec.

    Nouvelle preuve, s'il en est, du bruyant silence de leur capacité mentale, au P1010481.JPGsingulier.  )

    Ce délabrement intellectuel, donc, touchant le plus haut de notre hiérarchie sociale, U.E. comprise, oligarchie européenne surtout, explique pourquoi cette mouvance oligarchique se soit fourvoyé en se fragilisant à ce point avec leur baltringue de président.

    Certes, ils peuvent sortir, de leur chapeau, quelques nouveaux intrigants prenant place d'un macronisme exsangue, il se fait dire sur internet qu'une certaine