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appel à une nouvelle renaissance - Page 7

  • De la chaleur climatique fantasmatique aux égarements psychologique collectifs.

    (Mon blog a bogué, le voici remis à l'endroit.)

    (Psychologique et non pas spychologique, j'en fais un beau, de spychologuqe, hé, banane, et la banane, c'est moi!)

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique est, à mon sens, ni une théorie, ni une hypothèse, ni même une vague idée, mais juste l'une des nombreuses résultantes d'une grave instabilité psychologique collective.

    En cela, cette chimère exprime quelque chose.

    Cette chose ne se situant pas dans le domaine de la science climatique mais dans la profondeur de notre psyché.

    D'autres signes le montre, comme il peut en être de l'amour immodéré des puissances monétaristes au sein des gouvernements de l'union et de l'Union-Européenne elle-même, dont les banques Rothschild et Goldman abeille.jpgSachs, grands pourvoyeurs et employeurs de nos élites zélées (macron en sortirait), sont les plus puissantes, visibles et nuisibles.

    Il en est de même d'une représentation exagéré des États-Unis-d'Amérique en tant que parangon de modernité, de puissance et de démocratie et symbole de la vertu.

    Si Monsieur Trump est haï c'est surtout que de part sa simple présence en tant que président de l'empire U.S., il montre et démontre, en raison de sa vulgarité naturelle, que la représentation qu'il se fait en Europe et en France de cette nation n'est pas telle qu'elle peut généralement se fantasmer.

    L'indépassabilité de la construction européenne et la négation de son triple verrouillage, politique, idéologique et institutionnelle, et ses effets autodestructeurs font également partie des symptômes de cette instabilité émotionnelle collective européenne.

    La détestation de la Russie fait également parti de ces obsessions, où il est possible d'entendre que le froid auquel nous nous confrontons aujourd'hui proviendrait de là-bas, par une vague Moscou/Paris, comme une sorte d'accusation, un reproche voilée.

    Sans compter tout ce qui peut se raconter au sujet de Monsieur Poutine et de ses services.

    Mais là où nous pouvons, sans hésitation, parler de délire, c'est quand nous apprenons que des nazis sont au gouvernement ukrainien, auquel l'O.T.A.N., donc la France, est allié, quand dans le même temps de longues émissions télés se font sur la Shoas.DSC_9621.JPG

    Ou quand, dans  nos mêmes médiats, se poussent de hauts cris au sujet du bombardement de la Goutha par le gouvernement syrien, où des extrémistes islamistes lié à Al Qaïda, se terrent, extrémistes que l'O.T.A.N., dont fait, là encore, parti la France, a armé, et qui, peut-être, put téléguidé l'un ou l'autre des attentats qui eurent lieu dans notre pays.

    Ces quelques exemples montrent cette instabilité psychologique, d'une partie de la population, certes, mais surtout d'une immense majorité de l'élite économique, politique et journalistique française, européenne et étasunienne.

    C'est donc de cette instabilité là que je me vais tenter d'analyser en m'appuyant sur la moins que supputation de ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique (un refroidissement serait en tous points infiniment plus destructeur et meurtrier et ce serait vers quoi nous nous dirigeons).

    P1000816.JPGCe texte plus avant que je vous propose est le copié-collé retravaillé d'un commentaire que j'avais laissé ici .

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  • Peut-on tirer sur l'ambulance?

    P1010142.JPG

    Enfin, plutôt qu'ambulance, la question serait : Peut-on tirer sur le corbillard?

    Que serait-il ce corbillard?

    Ben, le gouvernement macronnien, ou plutôt macronniaisien, et ses députés radio-actif du R.E.M. (parce que nous les entendons partout), tiens, la bonne blague (à tabac, ce qu'ils font d'ailleurs, un tabac, nous qui les aimons tant).

    Mais je vous avoue que je ne sais plus vraiment ce qu'ils enterrent, ces chers ineptes dans leur pays d'Absurdie, sinon eux-mêmes.

    Et oui, eux n'habitent ni ne gouvernent la France, ce beau pays qui fleure bon le fromage, le contrepet (c'est ainsi que Macron et Philippe me brouillent l'écoute), l'imparfait du subjonctif (que rares sont ceux sachant en faire usage), les vieilles P1000753.JPGéglises et les cathédrales gothiques (qui se rempliront bientôt), les troupeaux de vaches regardant les trains passer (sauf celles des usines à lait) et les merdes de chien dans Paris...

    Et oui, eux ne gouvernent pas la France mais l'Absurdie.

    La preuve en est, ils se justifient, et en politique on peut mentir, tricher, manipuler, cacher et tout un tas d'autre choses encore que la morale réprouve (avez-vous remarqué que la morale, autre nom du surmoi, réprouve toujours quelque chose?), mais jamais ô grand jamais, en politique, on ne se justifie, jamais.

    Pourquoi?

    Mais tout simplement parce que c'est le signe infaillible d'une faiblesse insigne.

    Or, que firent nos ministre patentés, ainsi que Madame le Maire de Paris, Madame Hidalgo, après les immenses et interminables bouchons dus à la neige?

    Ils se sont justifié: "Ce n'est pas de notre faute, nous ne pouvions pas prévoir, comment voulez-vous déneiger avec tant d'automobile sur les routes, et blablabla, et blablabla....".

    Et pourquoi donc furent-ils pris ainsi de court?

    En raison de cette absurdité qu'est le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, auquel ils croient tous comme un seul homme et femme, tout comme l'équipe zarkosienne et hollandienne d'ailleurs, ainsi que leur économies de bouts de chandelles passées, présentes et futures, qui firent que depuis des lustresP1010077.JPG (un lustre, cinq années d'éclairage) les équipes de la D.D.E. virent leur nombre décroitre, et celles dédiées au déneigement ne purent qu'en être les premières touchées.

    (Je vais y rajouter une petite histoire:

    Jeune homme je fut jardinier dans l'équipe municipale d'une ville de banlieue.

    Pendant les quelques années où j'y œuvrais, il y eut, un hiver, de la neige, comme c'est étonnant.

    Et la saleuse que j'y vit était juste l'un des camions-benne avec, à l'arrière, un appareil qui ventilait sur la route le mélange de sel et de sable, un collègue se chargeant, de sa pelle, de remplir cette petite machine régulièrement.

    Les autres camions faisant la même chose.

    Le véhicule vide, ils allaient le remplir de nouveau à l'entrepôt, le conducteur aidant, pour cela, bien entendu, celui qui pelletait.

    Une fois le camion-benne acheté, le reste ne coûtait pas grand chose, hormis une main-d’œuvre qui, quoi qu'il en soit, était payée, en heure supplémentaire si c'était les jours de repos ou de nuit, et cette petite machine de la taille d'une tondeuse à gazon usuelle.

    Il me fut raconté que deux ans avant que je ne soit embauché, il fut demandé à plusieurs des employés de venir rapidement vers les 2 heures du matin pour saler les rues, il commençait tout juste de neiger.

    Mais çà, ça pouvait se faire avant que la mode des privatisations et la ponction par P1010143.JPGl'état des subsides municipaux pour rembourser des dettes qui ne se devraient pas d'être, ne vide les villes de leurs employés.)

    Mais dans ce jeu subtile de savoir qui sera le plus absurde de tous, Madame De Montchalin, cette experte en accommodement bancaire et aujourd'hui députée, semble bien vouloir prendre la tête de cette lutte féroce.

    Certes, Madame Borne, à qui ne manque plus que l'accent aigu, ci-devant ministre des transports, après avoir débuté le démembrement de la R.A.T.P. en tant que P.D.G., fit fort en se justifiant de l'impéritie des services de déneigement, elle aurait pu tout simplement accuser ses prédécesseurs, pour cela il aurait fallu qu'elle en ait le réflexe.

    Surtout, cela aurait mis en cause la sacro-sainte Union-Européenne, cause d'une majorité de ces ruineuses galéjades, qu'il fallait qu'elle protège.

    Mais la précédente nommée, De Montchatin, là, chapeau bas, question absurdité elle est de première force: Elle ne propose pas moins aux banques de recevoir l'autorisation de ponctionner les comptes des épargnants et même les comptes courants ( bon, la vidéo vers laquelle je vous renvoie, signé le "vaillant petit économiste", oublie un petit peu trop vite que la responsabilité première de tout ce foutoir revient à une Union-européenne qui, quoi qu'elle fasse, ne peut que recevoir la palme hors toute catégorie de l'absurdité pleine et entière).

    Mais il y a mieux encore, dans la série: "Je fais tout ce que je peux pour battre mon petit copain et ma petite copine à ce concours hors pair: qui sera le plus absurde desP1010083.JPG ministres, députés ou président de la V° république d'aujourd'hui?"

    Un député radio-actif du R.E.M., oui, encore un, avait lâché, à un motard en colère en raison du passage progressif à 80 km./h. sur les routes de France (autre absurdité au demeurant qui génèrera encore plus de CO2 puisque les véhicules seront soit en sous-régime, soit en sur-régime): "Si t'es pas content de ton pays, tu te barre!"

    Vous remarquerez le charmant tutoiement montrant, à n'en pas douter, qu'ils élevèrent des cochons ensemble et, surtout, le tact et la subtilité, là encore, de ce représentant de la chambre basse, faisant preuve d'une tenue et d'une retenue seyant au représentant du peuple qu'il est, enfin non, qu'il croit être.

    Mais ces loyaux serviteurs des oligarques français, de l'Union-Européenne, de la Germanie et de l'empire U.S., n'en restent pas là, loin s'en faut, ils commencent à mettre en place ce qu'ils appellent, dans leur jargon novlanguesque de marionnettistes, la modernisation de l'administration française, ce qui dans leur bouche veut autant dire l'affaiblissement de la fonction publique que de sa déstabilisation par de dérisoire économie et par sa privatisation larvée.

    Ces domestiques des puissants, donc, annoncent une nouvelle vague de "réforme de l'état", ce que le premier d'entre-eux, Monsieur Macron, avait promis lors de sa P1010100.JPGcompagne électorale, il est vrai.

    Monsieur Darmanin, ministre de l'(in)action et des (dé)comptes publics en serait le maître d’œuvre, paraît-il, la petite main de Macron et de Philippe (dit le fantôme de l’Élysée) en quelque sorte.

    Mais surtout l'obéissant transi, comme tous, aux petits désirs des croquemitaines de l'U.E. (Union-Extravagante), autrement appelé G.O.P.E., le chef-d’œuvre de l'absurde, le nirvana de l'ineptie, le joyau d'inconséquence.

    Ainsi peu furent les pays, les peuples et les unions qui, tout au long de l'histoire, réussirent à amasser une si vertigineuse pile d'absurdité que cette extravagante union, et pourtant il y en eut et de belles, je pense même qu'ils sont en train de remporter haut la main ce trophée sur l'U.R.S.S. défunte.

    Mais ce ministre du président de l'Absurdie va-t-il faire le lien entre la débandade routière du 6 Février 2018 et l'affaiblissement continuel de l'état?

    Bien sûr que non, il le veut, lui aussi, le gagner ce concourt du plus absurde de la radio-activité en marche, enfin, radio-activité, faut voir, ce n'est pas de l'uranium ou du strontium mais plutôt du baba-au-rhum faisandé qui nous gouverne.

    Enfin bref, ces gonzes et gonzesses vont encore tailler des croupières à tout ce qui fait état et bouge encore, 120 000 fonctionnaires, sans vraiment y réfléchir, puisqu'ils  obéissent tous à l'Extravagante, sauf à s'essayer de faire de manière à ce que cela ne leur pose pas de trop d’ébullition populaire.P1010147.JPG

    C'est qu'en plus ils en ont peur, du peuple, de la populace comme certains semblent le penser, allez donc savoir pourquoi...

    Enfin, la cerise sur le gâteau en revient bien entendu au chef de cette bande de mousquetaires des banques, du roi Junker et de la reine Merkel (ils feraient un joli couple tous les deux, non?).

    Voilà-t-y pas en effet que notre monseigneur national, que tout le monde nous envi avec sa gueule de jeune premier et qui fait se pâmer nombre de femmes sexagénaires et plus au vu de l'âge de son épouse, voilà-t-y pas, donc, que notre cher godelureau propose 200 millions d'euro en faveur du partenariat mondiale pour l'éducation pendant que les écoles françaises de l'étranger ne reçoivent quasiment plus de subside de l'état.

    Voici un magnifique exemple de ridicule auquel nos ministres et autres députés se devraient bien de s'inspirer.

    Quel maestria dans le saugrenu, quel jeu de jambe dans le dérisoire, quelle beauté du geste dans le pathétique, quelle inspiration dans la loufoquerie, quelle splendeur dans l'incohérence.

     

    Je voudrais juste rajouter une petite note (tout fut petit dans ce texte, allez savoir P1010158.JPGpourquoi), tirer à bout portant sur ce corbillard déguisé en ambulance:

    La France, pendant la seconde guerre mondiale, peut s’enorgueillir d'avoir été le pays envahi par l'Allemagne nazi où il y eut le moins, en pourcentage, de juifs déportés., ce ne fut en rien du fait du pouvoir politique et économique de l'époque mais bien du fait de celui de la population!

    D'ailleurs Pétain était déjà considéré comme défaitiste bien avant, en 1917 par Georges Clemenceau.

    Ce que je voudrais montrer là c'est que, d'une certaine façon et toute proportion gardée, nous nous retrouvons à faire face à quelque chose d'approchant.

    Certes, aucune population n'est massacrée, mais la volonté de détruire les pays, aujourd'hui par cette loufoquerie des euro-régions, reste la même.

    Surtout, le processus de collaboration (avez-vous remarqué comment nos grands industriels appellent leurs employés? Des collaborateurs, ce qui montre un mécanisme inconscient de compulsion de répétitivité remarquable qui ne peut que faire sens), ce processus, donc, se retrouve facilement par les choix, souvent à terme infiniment contreproductifs, de nos grands argentiers et autres banquiers d'aujourd'hui, ainsi que par la classe politique officiel, ce qui est désormais devenu évident.

    Il en fut telle lors de l'acceptation, par l'Union-Européenne, certains pays trainant des pieds, des sanctions imbéciles que décidèrent les étasuniens envers la Russie (ce qui montre bien que nous restons une colonie U.S.), ce qui lui fit perdre 40 milliards d'euro rien que pour l'agriculture.Photo0001.jpg

    Mais l'Allemagne grogne contre de nouvelles, ce qui fait que maintenant tous les autres pays grognent, même l'U.E. émet son petit feulement, tout petit, petit, petit, petit, à sa taille véritable quoi, d'un délicat miaulement.

    Parce que, en réalité, peu leur importe, aux collaborateurs de l'U.E. (les grands (dés)industriels ayant fait perdre à ce mot son caractère péjoratif, je l'emploie sans vergogne) d'obéir en disant yes ou ja du moment qu'ils obéissent à quelqu'un, d'autres avant eux étaient passés du ja au yes sans que cela ne les perturbe le moins du monde.

    La raison en est que, je le conçois, réfléchir et décider fatigue et fait peur à nos pauvres milliardaires, et puis, du moment qu'ils perçoivent leurs juteuses commissions et qu'ils peuvent, en toute légalité, faire mumuse avec l'argent des autres et de l'état, pourquoi s'en priveraient-ils?

    Ce qu'ils ne comprennent pas, ce qu'ils ne peuvent pas comprendre, ce qu'ils sont dans l'incapacité structurelle de comprendre, c'est que leurs ubuesques désinvoltures économiques et monétaires mène l'Europe, le Monde et eux mêmes à la pire des déroutes financières que l'humanité n'ait jamais connue.

    Et tout comme leur aïeux, plus même qu'eux, ils subiront une humiliation de la dimension de leurs égarements.

     

    P1010163.JPG 

    THEURIC

  • De la désagrégation de l'Union-Européenne.

    Ce n'est pas tant que déteste l'Union-européenne.

    En vrai, si je n'étais pas français, je n'aurais de cette union ridicule et des pays et peuples la composant, que la vision que doivent en avoir les populations et leurs représentants de bien d'autres nations:

    P1000680.JPGSoit d'être affligé de voir combien cette région du monde, l'Europe, qui a su tout de même être les premières puissances au siècle dernier, avant que les délires allemands ne viennent tout renverser, et lancer la plus formidable des révolutions, celle de l'invention et de l'élaboration de nouvelles techniques scientifiques, artistiques et philosophiques.

    Europe, dis-je, qui, en union, désormais, patauge dans la plus insane des médiocrités.

    Je n'aurais donc, pour elle, que de ce dédain que mérite la vulgarité dans laquelle l'européenne union la vautre.

    Mais je suis français et, à ce titre, je n'ai pas le droit d'enfiler ces perles flasques de détestation de son pays, cette boue dedans lesquelles tellement de mes compatriotes aiment tant à gadouiller.

    Je ne vais pas, non plus, déverser ici une exécration, une aigreur, une fureur pour une U.E. qui, ma foi, n'est que la résultante d'une guerre froide passée entre les U.S.A. et l'U.R.S.S. et qui, à la disparition du second, devint la perle coloniale des premières.

    Je vais faire pire, du moins en ce qui concerne les oligarques euro-atlantistes, devenus germanophiles, leurs serviteurs zélés et le politburo de l'union: je vais montrer que l'Union-Européenne, en réalité, est sur la voie d'une désagrégation avancée, avec, il est vrai, de la raillerie, de la dérision et du sarcasme...

    Quels en sont les signes?

    En vérité, ils sont, je le reconnais, bien minces.P1000758.JPG

    Certes, nous vivons au sein d'une union composée de 27 pays, moins un, la Grande-Bretagne, mais bien peu d'informations traversent les frontières de ses états membres.

    Les événements des États-Unis-d'Amérique paraissent, pour les journalistes bien en vue de nos chères médiats achetés et aux ordres de nos oligarques, infiniment plus importants que ce qu'il pourrait se passer en Pologne, en Grèce, en Hongrie ou en Lituanie.....

    Il est vrai que l'extrême pauvreté de certaines des populations ne fait pas bon genre, la quasi destruction de l'économie grecque, par exemple, ne doit pas se dire, que les grecs crèvent, oui, mais en silence.

    D'autant plus que la responsabilité en incombe d'abord et avant toute chose au Bureau-Européen, ce machin jamais élu avec Monsieur Junker comme président, l'homme adorateur de Bacchus, et à la Banque Centrale Européenne qui produit des euros en tel grand nombre que cette monnaie en a perdu toute sa valeur.

    Mais il est vrai que l'on ne critique pas ces deux vaux-d'or, d'autant plus que le premier arbore un beau drapeau bleu et ses douze étoiles dorées sur tranche d'un symbolisme chrétien que personne, en sein de cette  institution, ne respecte!

    Hypocrisie, quand tu nous tiens...

    Ainsi punissent-ils les grecs d'avoir voulu quitter cette union fantasque en les P1000839.JPGruinant, d'offrir, dans le même temps, à l'Allemagne et aux banques, leurs richesses, faire peur aux autres peuples européens montrant des velléités d'indépendance et ne firent, ces sots, que de détruire à petit feu l'économie du continent et, cerise sur le gâteau, celle du reste du monde.

    Et oui, ces crétins arrivèrent à cette extraordinaire réussite d'avoir amorcé la désindustrialisation internationale et d'avoir gravement affaibli des banques de l'union déjà infiniment en peine.

    Bravo les artistes, même le F.M.I., qui avait participé à hallali, avait avoué, mais un peu tard, que tout cela n'était que d'une immense sottise!

    Et c'est qu'ils tentent de se justifier, ces gonzes, allez voir sur internet et vous verrez combien d'article chantent les louanges de cette ignominie.

    Cela juste pour vous montrer, amis lecteurs, comment cette union peut être considérer: comme du grand n'importe quoi!

    Mais il faut la sauver, cette union, et, ce, à n'importe quel prix, quitte pour cela à conduire les populations à leur faillite intellectuelle, morale et politique, l'économie, quand à elle, étant déjà dans une situation déplorable.

    Les G.O.P.E. ne faisant qu'accélérer et accentuer la faillite généralisée de l'Europe, nos croquemitaines européistes, ne voyant pas plus loin que leur idéologie débilitante et nécrosante néolibérale, étant dans leur plus totale incapacité de comprendre que chacune de leurs actions et décisions creuse un peu plus la tombeP1000753 - Copie.JPG de leur union chérie, en entrainant avec elle le monde entier dans une faillite généralisée.

    Alors, ces génies des alpages censurent et désinforment, assènent à longueur de temps une propagande d'une violence inouïe, tronquent la réalité des faits et le plus souvent cachent aux population toute information qui pourrait montrer aux gens l'inanité de leurs gesticulations destructrices.

    C'est ainsi que Monsieur Macron fut installé au poste prestigieux de Président de la République par nos oligarques nationaux et impériaux (même Madame Merkel alla voir qui était ce bonhomme, vérifiant même, une fois qu'il fut élu, l'un de ses discours), ils firent là une terrible erreur dans le casting:

    Ils crurent mettre en place un petit mouton bien docile et placèrent au contraire une personnalité infantile, instable, fantasque, hâbleuse et terriblement fragile.

    Mais surtout pourvu d'un orgueil démesuré.

    C'est que, l'année dernière, ils nous ont bien bourré le mou, nos journalistes eurocratiques, manipulant à qui mieux mieux, persifflant continuellement sur les candidats les plus gênant, Monsieur Asselineau en subissant les pires des affronts.

    La propagande pro Macron fut dantesque, ridicule mais dantesque, la preuve en est, il fut élu, nos journalistes guignolesques ayant bien fait leur travail.

    Mais revenons à Emmanuel Macron, voulez-vous, et voyons en quoi ce choix de nos oligarques ne peut qu'être, pour eux, désastreux.

    Je vous propose, pour commencer, ces deux textes, le premier traitant de la vente P1010032.JPGdu journal Le Monde à laquelle il participa, le second à l'hypothèse psychanalytique voulant que notre président serait, non pas psychopathe, mais pervers narcissique.

    Je pars en effet du principe que monsieur Macron n'est ni psychopathe, ni pervers narcissique, mais soufrerait d'un mal psychologique, bien que moins profond, n'en serait pas moins préjudiciable à la bonne mené de son mandat, même si cette mené n'aurait d'intérêt, non pas du pays et du peuple, mais pour celui de la minorité oligarchique eurolâtre.

    Pour cette explication, je vais devoir faire un détour sur une hypothèse que j'ai, peut-être, déjà abordé ici, si c'est le cas, je n'en ai rien retrouvé.

    Le pervers narcissique ainsi que le psychopathe souffriraient de cette pathologie parce qu'ils furent confrontés, sûrement lors de leur tendre enfance, à un ou un ensemble d'événements aux charges émotionnelles d'une infinie puissance ayant généré une culpabilité d'une violence et d'une douleur telle que, pour survivre psychiquement, le sujet  n'eut d'autre choix, si je puis dire, que de refouler totalement tout ce qui était lié à ce traumatisme, souvenirs, culpabilité et émotions.

    Ceci tout en ayant pris plaisir à ce trauma et de tout ce qui l'accompagna et, culpabilité devenue inconsciente oblige, à en chercher à en être puni.

    C'est pourquoi il y a, en même temps, la détermination inconsciente de laP1010055.JPG réitération de cette culpabilité en une quête continuelle de cette jouissance morbide (jouir de revivre la même chose) et l' insensibilité émotionnelle de ces sujets.

    Si les hauts potentiels sont souvent les victimes des pervers narcissiques, c'est justement parce que leurs capacités peuvent leur permettre de les punir, ce que ces seconds recherchent pour, d'une certaine façon, être guéris de leur souffrance (ce qui peut psychiquement les détruire).

    S'ils souffrent toujours, alors ils seront, pour leur souffre douleur, d'une cruauté égale à cette douleur culpabilisante inconsciente.

    De même, le psychopathe, lui, recherche la punition sociale, soit le plus souvent la prison, la perte de pouvoir et/ou la ruine.

    L’insensibilité émotionnelle menant l'un et l'autre de ces malades, au-demeurant parfaitement bien adaptés à notre société, à cette unilatéralité doctrinale remarquable qui, aujourd'hui, mène le monde à la banqueroute.

    Banqueroute vers laquelle nous allons allègrement, ce qui pose en même temps la question de savoir quel est l'équilibre psychologique de la majorité de nos oligarques (de l'origine de leurs traumas anciens) que de l'essence et du caractère réel des présupposés idéologiques sur lesquels ils s'appuient pour faire mener, par nos élus fantoches, les politiques actuelles. )

    Donc, si vous avez lu le premier article proposé plus haut, vous comprendrez que de dire Monsieur Macron pervers narcissique ou psychopathe ne tient pas.

    Tout simplement, comme vous l'avez lu comme moi, parce qu'il avait fui la présence de Monsieur De Tricornot pour ne pas faire face à sa propre culpabilité due à sa P1010087.JPGtrahison de ce journaliste lors de la vente du journal Le Monde.

    Là où je ne suis pas d'accord avec certains psys (voir le second texte proposé) sur la nature de notre président réside dans le fait qu'il n'ait pas eu affaire à une mère incestueuse mais à une confrontation entre la grand-mère et la mère pour la possession du fils aîné, ce qui change tout.

    Il s'agit ici en effet d'une jalousie, plus mème, une rivalité entre mère et fille au sujet du premier né auquel celui-ci ne put que participer et prendre plaisir au fil du temps et de l'âge, puisque son existence émotionnelle tournait autour de cette confrontation.

    D'autant plus que cela aurait pu commencer très tôt, possiblement dès le berceau.

    C'est cette rivalité possessive maternelle qui a empêché Monsieur Macron d'atteindre sa pleine maturation psychique d'homme adulte en lui faisant conserver intacte son infantilité antérieur, d'où son choix d'une femme de plus de deux décennies que lui en tant qu'épouse.

    Une nouvelle maman, en quelque sorte.

    Plaisir infantile, donc, retrouvé lorsque Monsieur Macron, adolescent (âge de la maturité sexuée mais aussi du début de la maturation psychique adulte), rencontra Brigitte Trogneux, ce qui lui permit de renouveler cette relation tumultueuse, là entre la femme et la mère, toutes deux quasiment du même âge.

    Puis, devenu président, se présenta à lui une conjoncture similaire entre sa femme et la chancelière allemande, Madame Merkel, auquel j'avais fait état je ne sais plus où, celle-ci, bien sûr, n'ayant vu en lui que le petit jeunot sans expérience politiqueP1010141.JPG et non pas la complexité psychologique du personnage.

    Lui qui se fit vérifier l'un de ses discours par Angela Merkel, personne ne sachant si c'était à sa demande, comme le faisait, naguère, Brigitte Macron lorsque son mari était encore lycéen puis bachelier.

    Comme vous le voyez, il y a là encore recherche de la réitération jouissive de cette rivale confrontation entre ses femmes.

    Enfin, pour la bonne bouche, et c'est là où je voulais en  venir, il rencontra le 18 Janvier de cette année, le premier ministre britannique, Madame May, et cette dame est d'une toute autre dimension, eh oui, elle est anglaise et çà, ça change tout.

    Sacrée perfide Albion qui renoue désormais avec ses vieux réflexes.

    Et voilà donc que le Président Macron, lors du sommet de Sandhurst, a proposé aux britanniques de leur prêter la tapisserie de Bayeux aux alentours de 2020.

    Ce qui a dû affoler un petit peu tout le monde, des chancelleries aux oligarques: qu'a donc pu proposer Thérésa May pour qu'Emmanuel Macron lui ait fait une offre si alléchante?

    Quel accord secret cela peut-il bien cacher?

    P1000880.JPGEn fait, aucun, c'est tout juste que l'enfant Macron a voulu une fois encore générer une dispute entre ses femmes, entre sa mère et sa grand-mère ou entre les premiers ministres anglo-germaniques.

    Il s'est une fois encore laissé mené du bout du nez par son inconscient pervertit par une rivalité si vieille que même la dernière protagoniste originelle, sa vrai mère, en a peut-être bien oublié tous les composants.

    Cet événement a semé la confusion un petit peu partout, déjà en Grande-Bretagne ou Boris Johnson, personnage original et excentrique (comme on aime les anglais, quoi), sûrement quelque peu troublé par cette nouvelle, proposa de concevoir un pont au-dessus de la Manche...

    Je ne serais pas le moins du monde surpris qu'en Russie, aux U.S.A. et partout en Europe, même dans les salons feutrés de Bruxelles, bruissent des interrogations sur l'offre de Macron aux britanniques.

    Quand ce n'est juste que le petit Emmanuel, blotti au fin fond de sa psyché présidentielle,  qui avait réanimé cette flamme intérieur de jouissance sexuée et de domination du féminin, en un réflexe puérile, par sa participation à la rivalité des femelles adultes dominatrices au sein de la famille.

    Là, il ne s'agissait que d'attiser la jalousie entre Merkel et May, rien de plus ni de moins...

    Et nos chers et si malins marionnettistes, les Minc, Attali, patrons d'Axa et de la banques Rothschild et d'autres, tant d'autres, auront beau faire, ils ont mis le ver dans le fruit et seront contraints de le bouffer jusqu'au trognon.

    Si tant est qu'ils aient compris quoi que ce soit de cette misérable aventure.P1010127.JPG

    Ils pourront toujours lui mettre un cerbère derrière lui, écouter derrière sa porte, mettre son téléphone sur écoute, rien n'y fera, un haussement de sourcil, une œillade attendrie , un léger sourire à l'une et à l'autre ne pourra, à terme, que semer la discorde entre ces dames et mettre le feu à l'Union-Européenne (sauf si elles lisent ces lignes, bien sûr).

    ( Dernière minute, j'écris ce texte le dimanche 21 Janvier, je le publierai sûrement demain.

    En plus de tenter de mettre le feu entre Mesdames May et Merkel, le jouvenceau Macron s'en est laisser aller à révéler ce qu'il devait impérativement taire.

    Voilà t'y pas qu'Emmanuel 1er a dit, lors d'un entretien à la B.B.C., que le frexit, ou plus précisément le France-quitte, serait majoritaire en France.

    RRRRRoooooo, le gaffeur, oh le délire, mieux que le Gaston, le gonze.

    Ce type n'est même pas capable de tenir sa langue, c'est qu'il divulguerait un jour un secret d'état, voire plus grave, et ça se dit politique.

    Mais çà, ça veut dire deux choses, lui a les résultats de sondages non bidouillés (paraît-il qu'il y aurait un fils de sa femme là-dedans, vrai ou faux, là, ne serais-je P1000851.JPGpas trop médisant, non?) et les médiats ne nous racontent que des tartuferies!

    Bouh, j'en ris encore......  )

    Et dire que ce serait ces incapables d'oligarques qui, paraîtrait-il, nous prépareraient je ne sais quelle plan grandiose et machiavélique contre les peuples, eux qui ne savent même pas choisir l'homme ou la femme approprié pour gouverner la France ou l'Union-Européenne, même si c'est à notre préjudice et pour leurs très juteux avantages.

    Il n'est qu'à voir ce qu'est Monsieur junker, autre choix, autres problèmes, et il est loin d'être le seul...

    Ce serait eux, donc, qui commanderaient l'économie de la France, de l'Union-Européenne et des États-Unis-d'Amérique, çà en serait presque hilarant si cette bêtise collective ne nous conduisait pas vers la pire des crises économique de tous les temps.

    Donc:

    Ruiner la Grèce n'amenant que la faillite du reste du monde, choisir un Emmanuel Macron incapable et gaffeur en tant que président, pouvant mener à un conflit de rivalité entre les dirigeantes de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne, inventer des G.O.P.E. détruisant les économies de l'Union-Européenne, voilà, en trois seuls exemples, de quoi sont susceptible d'accomplir nos maîtres des banques et desP1010117.JPG grosses fortunes euro-atlantistes: courir à leur propre banqueroute par la faillite généralisée.

    C'est pourquoi, de leurs capacités si limités (je me demande si l'actuel président du conseil italien ne fut pas, aussi, une erreur de casting, lui qui veut que son pays se débarrasse de l'euro), me font affirmer leurs lourds handicapes réflexifs.

    Ce qui rend compréhensible leur quasi faillite de 2008, eux qui furent sauvés de justesse grâce à l'intelligence britannique (ce sont eux qui eurent l'idée des Q.E.) et les gesticulations de Monsieur Sarkozy qui, pour une fois, servirent à quelque chose: reculer l'année de l'effondrement de l'économie-monde pour mieux faire sauter la planète finance dix ans après.

    Ce phénomène, ce manque cruciale de jugeote, de culture, d'esprit, de raison ne peut que se retrouver partout en Union-Européenne, dans tous les pays , chez tous les peuples, plus ou moins, certes, mais cela ne peut qu'être qu'un phénomène général.

    Mais j'ai montré ici combien il est extraordinairement plus important encore au plus haut hiérarchique des sociétés composants l'Union-Européenne et au-dedans le l'administration de l'union elle-même.

    Il est vrai que ce phénomène d'incompétence généralisé est compréhensible: l'incompétent ne nommera jamais plus compétent, voire aussi compétent que lui P1000886.JPGen tant que subalterne, et Messieurs Macron et Junker ne sont juste que des subalternes, comme beaucoup de ministres et de chefs de gouvernements.

    La raison en étant simplement la crainte que ressent cet incompétent d'être évincer par celui-là même qu'il avait préalablement nommé.

    Et quand cela atteint le plus haut de la hiérarchie d'un groupe social quelconque, entreprise, pays ou club sportif, peu importe, ça ne fera que pourrir de l'intérieur le-dit groupe, et je parle ici de l'économie internationale mais aussi toute l'infrastructure de l'U.E..

    C'était l'une des causes principales de l'autodestruction de l'U.R.S.S..

    C'est pourquoi, entre-autre, la Grande-Bretagne a entrepris le brexit.

    Quoi qu'il en soit, de mode affolement, les acteurs européens sont passés, je le pense, en mode panique.

    La raison en étant que les acteurs principaux ont le sentiment de perdre le contrôle de tout ce qui compose l'U.E. et de l'économie monétariste ( Il faut dire qu'avec un Macron à la tête de la France, deuxième puissance européenne, hi, hi, hi... ).

    C'est pourquoi, en ce moment, la censure revient au galop.

    C'est pourquoi aussi les informations audio-visuelles deviennent si dérisoirement plat et il en sera de même progressivement dans les médiats papiers ( mieux vaut, P1010110.JPGpour eux, ne rien dire que de dire des mensonges, ça évite les gaffe ), sauf là où le propriétaire, moins sot que les autres, décidera de retourner sa veste, ce qui, ma foi, serait du bon moment.

    Ce silence assourdissant sur tout ce qui fait sujet de société est inquiétant, surtout en ce qui concerne l'économie et, également, les mouvements sociaux.

    Les composantes du gouvernement français et les députés doivent commencer à se poser, aussi, de sérieuses questions.

    Pour l'instant, il ny a que des interrogations, à l'Assemblée Nationale et à Matignon aussi les informations doivent avoir des difficultés à passer, mais mieux que partout ailleurs, elles passent, même au compte goutte.

    Nous n'en sommes qu'en mode panique, pas de quoi encore paniquer (hi, hi, hi), ce sera quand l'effroi se lira dans les yeux des commentateurs, quand tel journaliste T.V. connu prendra une année sabbatique, que tel député du R.E.M. ira approfondir ses relations avec les concitoyens de son département, que tel ministre se dira gravement malade, que nous-mêmes devrons nous en poser de sérieuses, de ces questions....

    P1010042.JPGEn attendant, je réitère mes conseilles: faites vos réserves (vous trouverez ces informations en fin de page)!

     

     

    THEURIC

  • De la nature de la pensée.

    Voilà une chose bien mystérieuse de ce que peut être que la nature de la pensée.

    Alors, en attendant que pour nous s'apaisent les tensions du système à notre endroit, je vous propose de vous confier ce que, de la pensée, j'ai pu en concevoir.

    Ben oui, que voulez-vous, mes doigts s'agaçaient de ne pas clavioter (pas mal ce néologisme, non?) sur mon blog.

    Alors, plutôt qu'ils ne se morfondent et se chagrinent, je me vais me pencher sur ce sujet, mais je vous préviens, ceci n'en est qu'une ébauche.

    Allons camarades, à chacun d'en compléter la trame:

    Lire la suite

  • Du macronisme philippard en marche: en route pour les dérives.

    Je me fais penser au sieur tirant sur l'ambulance, mais que voulez-vous, ce qui était prévisible survient: nos zélés zélotes du macronisme philippard que sont les députés de la République En Marche font tout pour.

    Certes, je ne vais pas jeter le bébé avec l'eau du bain, certains ne peuvent qu'être que d’honnêtes et intelligents élus qui, bon an mal an, désirent remplir au mieux leur fonction électif, quand bien même je ne suis absolument pas d'accord avec leurs présupposés idéologiques.

    P1010080.JPGMais comment considérer avec sérieux ces derniers lorsque l'on connaît les dérives que certains de ceux-ci commettent.

    Bon, passons rapidement sur les, euh, imperfections (?) de certaines des candidates de ce parti lors de ces élections législatives ( video-une-candidate-en-marche-se-ridiculise-sur-internet-84991 ), ( video-performance-desastreuse-dune-candidate-en-marche-sur-france-3-84729 ), ( video-la-candidate-en-marche-dans-le-rhone-expose-son-incompetence-la-television-84949 ),  j'en comprends que personne ne leur a donné la possibilité ni le temps de s'instruire un minimum de ce que peut être la communication politique.

    Ces trois dames avaient juste voulu faire preuve d'un petit peu de langue de bois, malheureusement, çà, ça s'apprend, parler pour ne rien dire est un exercice difficile, même avec une anti-sèche devant soi, et qui, comme tout, doit s'enseigner, faites l'expérience, amis lecteurs, en vous essayant au gromelot, vous verrez, ce n'est pas si évident que ça.

    Cela ne peut que vouloir dire que celles-ci furent envoyées devant les caméras sans qu'elles aient reçu la moindre formation initiale, jetées en pâture devant les médias sans filet qu'elles ont été, comme le taureau dans l'arène, le lapin devant le furet.

    En fait, nos propagandistes en chef furent tellement assurés que leurs manipulations mentales fonctionneraient qu'ils n'ont même pas pris la peine deP1010046.JPG former leurs futurs élus.

    De plus, cela ne veut que dire que seul le formatage idéologique suffisait à ces propagandistes, du reste, ils s'en foutaient complètement, elles auraient pu bêler que c’eût été, pour eux, du pareil au même.

    Le principal ayant été que Monsieur Macron obtienne la majorité à l'Assemblée-Nationale, quelle que puisse être la personne qui serait élue du moment qu'elle obéirait aveuglément aux décisions de l'oligarchie.

    Or, comme écrit plus haut, ce qui était prévisible survient et les débordements de ces zélés zélotes se suivent, sans se ressembler, heureusement, pour eux, du-moins (et puis ça nous donne l'occasion de rigoler un peu).

    Ainsi a-t-on appris, il y a peu, qu'un de ceux-là, Monsieur El Guerrab, aurait tabasser l'un de ses anciens camarade du P.S., cadre de ce parti de son état, Monsieur Faure.

    J'en ai lu quelques articles et, ma foi, il est visible que les journalistes doivent vraiment ramer pour justifier cette agression, en  accusant, à demi-mots, la victime d'avoir été le premier agresseur.

    Elle aurait ainsi tenu le poignet de l'assaillant en le traitant de "sale arabe", plus P1000758.JPGquelques mots d'oiseaux, pourquoi ce dernier n'a-t-il pas porté plainte plutôt que de le frapper, avec son casque, au demeurant, l'envoyant à l'hôpital, manquant autant de jugeote que de contrôle.

    Croyez-vous vraiment qu'un homme politique d'expérience laisserait passer une pareille aubaine, un coup sur la tête et il peut dire n'importe quoi, perte d'équilibre, douleurs aux cervicales, troubles du sommeil, ça ne peut pas se prouver?

    Croyez-vous aussi vraiment que les gens du P.S., enfin ceux qui reste, n'ont pas l'envie vibrante de se venger?

    D'ailleurs, comme je l'ai déjà dit, ils ne sont pas les seuls, ceux de L.R. aussi doivent attendre les marcheurs à reculons au coin du bois.

    Pour l'instant, ils patientent, et vous allez voir un de ces quatre, quand les R.E.M.s ne s'y attendront pas, quand ils seront bien fragilisés, comment ces vieux de la vieille de ces anciens partis politiques vont te les piéger, comment ils vont te les éparpiller façon puzzle, et tous ensemble iront à l'hallali en plus, P.S. & L.R..

    "Sus au macronisme", qu'ils diront, "taïaut, taïaut, taïaut et Monjoie! Saint-Denis!"

    L'ennemi de mon ennemi est mon ami, n'est-ce pas?P1000879.JPG

    Enfin  bref, il aurait pu, si ces injures sont réels, ce qui reste à prouver, attendre, comme l'ont fait maints politiques, pour se venger plus tard, ou même, à l'ancienne, dans un style troisième république, proposer un duel à l'épée comme l'avait fait Gaston Defferre et René Ribière il y a une soixantaine d'année.

    Au moins aurions-nous rigolé un peu et ridicule pour ridicule, Monsieur El Gerrab aurait certes perdu également la face au-devant de ses électeurs, mais avec élégance.

    Il aurait même pu user d'humour, comme Monsieur Chirac en son temps qui avait répondu, en tendant la main à un quidam qui l'apostrophait en criant: "enculé: "Moi c'est Chirac, enchanté."

    Donc, il a certes été mis en examen par le juge d'instruction et, de ce fait, démissionné de R.E.M. mais devinez quoi, il se retrouve maintenant à la commission de la défense ( #more-106802 ).

    Comme quoi dorénavant les élus de R.E.M. ne peuvent que se sentir intouchables.

    Un autre cas, montrant et démontrant le sentiment d'impunité de ces élus, me paraît révélateur de l'incroyable impudence de ces gens.

    Madame Pascale Fontenel-Personne, propriétaire d'une agence de voyage dans la P1010071.JPGSartre, organisait de petites visites de l'Assemblée-Nationale, contre la somme sonnante et trébuchante de 119€ que, bien entendu, elle conservait ( visites-payantes-a-l-assemblee-que-risque-la-deputee-pascale-fontenel-personne_2363377.html ).

    Il n'y  a pas de petits bénéfices, n'est-ce pas?

    Sans comprendre le sens de sa fonction élective, de ses responsabilités majeurs face à ses concitoyens, de la représentativité qui est sienne face à la nation, de son simple sens du devoir, cette façon de faire éclaire de manière incontestable que pour une partie de ceux de R.E.M. (le rem est l'unité de mesure nationale des effets biologique de la radioactivité, à l'international c'est le sievert, comme quoi nous comprenons cette propagande, les R.E.M.s sont radio-actifs, hi, hi, hi) qui se devraient d'élaborer et de voter les lois, ne perçoivent, de leurs fonctions, que leurs intérêts propres.

    Et les autres, tous les autres qui y croient, et ben, ils commencent tout juste à comprendre qu'ils se sont fait couillonner dans les grandes largeurs.

    Je suis allé voir le site C.A.M.E.M. ( https://www.camem.org/ ), association des adhérents en désaccord avec la direction de la République en Marche sans démarche.

    Quels naïfs, mais quels naïfs ils font, il se font balader comme des gamins, n'ont rien compris de ce qu'ils représentent réellement (rien) et, surtout, à qui ils ont affaire.

    D'ailleurs, il doit en être de même de quelques députés d'E.M., comme ce P1010058.JPGmathématicien, Cédric Villani, loin d'être sot mais qui n'a pas saisi que ni la politique, ni l'économie, du reste, ne sont des sciences réellement mathématisables.

    Sciences humaines, oui, du domaine de la sociologie, c'est vrai, mais tout autant de l'anthropologie, de l'histoire, de l'organisation, de la philosophie et de bien d'autres domaines qui ne peuvent être ceux ayant trait aux mathématiques, ou à la marge.

    Pour l'instant tout est beau, tout est rose, mais bientôt les oligarques leurs montreront leur visage grimaçant et les lois qu'ils auront à voter se révèleront de plus en plus souvent autant absurdes que contrintuitives, voire parfois ubuesques et destructrice.

    Et alors là, cette bleusaille si naïve en politique, qui se rêvait de tracer la voie pour la modernisation de la France, qui se rêvait fondatrice d'un lendemain qui chante, pourra se dire honteux et confus: "Mais mon dieu, qu'ai-je fait dans cette galère!".

    "Tout beau parleur vit au dépend de celui qui l'écoute", disait d'antan Lafontaine par le  bec du corbeau.

    Cette leçon leur vaudra plus qu'un fromage, sans doute, parce que ce n'est pas un renard qu'ils ont ouï mais bien des loups, ressemblant à ceux qui, d'antan, étaient déjà entrés dans Paris.

     

     

    P1010040.JPGTHEURIC

  • Il a marché dans notre futur et ça n'a pas marché!

    Voilà une courte vidéo que j'avais déjà regardé et qui, aujourd'hui, m'a fait rire ( https://lesmoutonsenrages.fr/ ).

    Un certain Vladimir Boukovski, ancien dissident soviétique de son état, nous avait prévenu, il y a quelques années, combien les liens de parenté entre l'U.R.S.S. d'hier et l'U.E. d'aujourd'hui sont flagrants (je remercie "Les Moutons Enragés" de l'avoir remonté à la surface).

    P1010108.JPGCeci me permet d'appuyer ce que j'ai pu déjà expliqué par ailleurs, soit que le capitalisme et le communisme soviétique d'alors étaient les deux représentations en inverse d'un formalisme idéologique semblable, auquel j'ai donné le nom d'économisme dogmatique.

    Qui est, comme j'ai pu déjà le montrer, de mettre, en tant que référence indépassable, l'économie au-devant de toute autre considération politique.

    "Mais alors", me demanderiez-vous, "pourquoi l'Union-Européenne a-t-elle développée ses pires travers après la disparition de  l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques et non pas avant?"

    C'est justement la disparition de l'U.R.S.S. qui généra le déséquilibre qui, dans l'inconscient social des technocrates de Bruxelles et des responsables politiques des pays de la C.E.E., les poussèrent à créer ce monstre imbécile, aidés en cela par l'empire U.S., bien sûr, ses représentants, eux-mêmes, empreints des mêmes contraintes inconscientes.

    Ceci étant dû à ce que cette dualité que représentait la froide opposition hostile antérieur (la guerre froide), idéologique, géostratégique, géopolitique et, surtout, d'une base doctrinale en son inverse: économico-politique, U.S.A./U.R.S.S., se retrouva déstabilisé, d'où l'apparition, par un mécanisme de compensation, d'unP1010054.JPG système politique semblable à ce que fut l'Union-Soviétique: l'Union-Européenne.

    Vous remarquerez la concordance des dates: 1991 disparition de l'U.R.S.S., deux ans seulement après, 1993, création de l'U.E..

    D'ailleurs il était dit, à l'époque, que cette union avait de but de contrecarrer la puissance étasunienne, ce qui était faux par ailleurs.

    De fait, c'est donc cette déstabilisation de l'idéologie économie-dogmatique qui a généré l'émergence de l'U.E. en une ressemblance d'U.R.S.S..

    Il est à noter que les B.R.I.C.A. tendent à créer un système de libre échange, thème d'un papier précédent ( b-r-i-c-a-et-coquin-de-sort-neoliberalisme-quand-tu-nous-5968733.html ).

    Or, le libre échange, soit l'effacement commercial et monétaire des frontières, est la condition incontournable à l'existence du néolibéralisme.

    Que la Russie et la Chine, le premier anciennement communiste, le second qui devrait censément l'être puisqu'en portant le nom (Démocratie Populaire de Chine), puissent ainsi résolument se tourner vers un système capitalistique des plus caricaturaux pourrait paraître étrange.

    Ceci au moment même où Monsieur Trump, toujours en conflit semi-ouvert, semi-P1000879.JPGlarvé d'avec ses oligarques néocons (néoconservateurs, hi, hi, hi), tente de réformer son pays en voulant même, peu ou prou, refermer ses frontières, au moins partiellement, comme il le proclamait dans son programme d'élection.

    Nous voyons donc là une inversion, bien que partielle, des structures idéologiques Russie-Chine/Etasunis en un espace de 26 années.

    Quand à l'Europe, auparavant scindée en deux, elle se trouve toujours au centre de cette dualité.

    Hier sociale-démocrate et déjà créature de l'empire U.S. à l'ouest lors de la guerre-froide et de la confrontation est/ouest,  à l'est sous la direction soviétique du pacte de Varsovie, nous pouvons  percevoir qu'en fait et comme dit plus haut, c'est bien l'effondrement du bloc soviétique qui fit émerger l'Union-Européenne sous une structure semblable de ce que fut l'U.R.S.S..

    Ceci par l'inversion rapide, bien que partielle, de la dualité soviético-étasunienne/communisto-capitalistique.

    Certes, l'Union-Soviétique a disparu en 1991, mais ce basculement débuta plus tôt, à la toute fin des années 70 et début des années 80, avec les arrivées au pouvoir de Madame Thatcher en Grande-Bretagne (1979), de Messieurs Reagan aux U.S.A. P1010093.JPG(1981) et Deng Xiaoping en Chine (1978), de Monsieur Gorbatchev en U.R.S.S. (1985) en, enfin, de Messieurs Mitterrand en France (1981) et Kohl en Allemagne (1982).

    Ce sont ces personnages, devenus historiques, qui, de gré ou de force, menèrent leur pays respectif puis le reste du monde vers ce néolibéralisme qui, je le répète, est le dernier avatar de l'économisme-dogmatique.

    Cette doctrine binaire conduisit et structura les peuples et leur politique pendant tout le XX° siècle réel, soit de 1914 jusqu'à aujourd'hui, et en arrive maintenant à son aboutissement ultime, soit sa disparition par son effondrement en raison de son impossibilité de s'adapter à une évolution interne devenue trop rapide pour elle.

    Maintenant je vous propose d'observer ce que peut être le néolibéralisme sous l'optique de cet effondrement de cette dualité confrontante multi-décennale.

    Il est possible de percevoir cinq mouvements politiques simultanés importants depuis la disparition de l'U.R.S.S.:

    1) Création, donc, de l'Union-Européenne;

    P1010050.JPG2) Entrée du capitalisme néolibéral dans le fonctionnement économique, organisationnel et politique de la Russie et de la Chine (pour les trois autres pays, c'est quelque chose de plus logique);

    3) Faillite du bloc occidental, surtout des U.S.A. et de l'U.E. et endettement généralisé des pays, des peuples et de quasiment l'ensemble des institutions nationales et internationales, privées comme publiques;

    4) Effondrement mondial des frontières, ad minima pour le flux des marchandises et des monnaies;

    5) Véritable explosion technologique via l'informatique sous toutes ses formes.

    Il est loisible d'observer cet étrangeté qu'est un retour actuel à une guerre froide.

    L'agressivité de l'empire U.S. à l'endroit de la Russie et de la Chine, par la Corée du nord pour la seconde, est compréhensible si nous faisons référence à l'histoire.

    En effet, nombre d'empires en fin d'existence tendent à accentuer leur agressivité envers leurs voisins tout en étant de moins en moins dans la capacité de supporter un conflit ouvert.

    Je soupçonne, de plus, et de ça je vous en ai déjà parlé, que Monsieur Trump agasse ainsi ces deux géants afin qu'ils vendent leurs bons du trésor américain, mais bon, en réalité cela reste un soupçon, une  hypothèse de travail.

    En revanche, ce qu'il se passe au Vénézuéla est, en cela, intéressant.P1010133.JPG

    Je suis donc allé voir ce que détenait le Brésil en terme de bon du trésor américain ici ( news-dette-americaine-bonds-tresor-argent-chine-pays-japon-sannat ) et bingo, le Brésil est le pays qui en détenait le plus en 2015.

    Ce qui pourrait être une confirmation indirecte qu'en effet le gouvernement fédéral U.S. pousse les détenteurs de ces fameux bons à les revendre, ce qu'ils font déjà tous, même le Japon s'y met, hormis bien sûr les occidentaux, et encore.

    Ainsi, déjà en Janvier 2017, les pays détenteurs, se disait-il, vendaient une partie des bons qu'ils détenaient ( 22367-123-ECH_les-grands-creanciers-de-l-amerique-reduisent-leur-stock-de-bons-du-tresor.htm ).

    En fait, ce qui est le plus dangereux pour l'économie U.S. et les oligarques ce ne sont pas ces ventes mais la vitesse avec laquelle elles se font.

    Parce que plus elles sont rapide, plus cela risque de déstabiliser les équilibres précaires de l'économie U.S..

    De fait, politiquement, Monsieur Trump n'a plus le choix, soit il réduit ses oligarques, soit il est contraint de leur obéir et, en ce cas, il ne pourra pas réformer son pays, ce qui est tout de même son dessein.

    P1010086.JPG

     

    THEURIC

  • B.R.I.C.A. et coquin de sort: néolibéralisme, quand tu nous tiens.

    Comme les médiats officiels français tendent au vide cosmique, cosmétique, parfois même comique, je suis allé voir ce que Sputnik pouvait avoir à raconter par les temps qui courent.

    Je suis tombé là-dessus ( https://fr.sputniknews.com/international/201708041032519401-brics-plan-essor-industrie/ ) où y était expliqué que les ministres de l'industrie brésilien, russe, indien, chinois et sud-africain s'étaient réunis pour, ont-ils dit, "adopter un plan pour favoriser l'essor industriel".

    Rrrraaa lovely, comme aurait dit Super-Dupont de Gotlib, pourquoi donc ces pays ne reprendraient pas les recettes néolibérales qui conduisirent les européens, les étasuniens et autre occidentaux à leur ruine.

    Ben oui, pourquoi pas...

    Certes, cela semble se passer en une belle entente entre ces cinq états discutant enP1000749.JPG toute égalité: "Les B.R.I.C.A. font un pas en avant vers la mondialisation et le libre commerce..." y est-il explicité, la belle affaire.

    Les mêmes causes faisant les mêmes effets, cet accord ne pourra que mener ces pays qu'à leur ruine: le plus gros et le plus dynamique mangera les plus fragiles par la concurrence débridée, comme l'Allemagne le fit en Union-Européenne, qui ne leur vend désormais plus rien puisque le reste des nations de l'U.E. ont ainsi été ruinées.

    D'ailleurs c'est le but des accords de libre échange entre la même U.E. et le Canada, les allemands veulent manger les canadiens et les canadiens manger l'U.E..

    Si tant est que le système économique globalisé n'explose pas avant, bien sûr.

    Et après ça les imbéciles crieront: il faut faire des économies pour rembourser nos dettes, dettes que les mêmes, ou leurs semblables, ou ceux qui voudraient l'être (imbéciles, peut-être) ont générées ou ont accepté qu'elles le soient, d'ailleurs.

    Les états font des dettes parce que l'impôt diminue, sinon ils ne fonctionneraient plus, l'impôt diminue parce que des entreprises ferment (montée du chômage) et que les gens s'appauvrissent puisqu'il y a baisse des émoluments, il y a fermeture P1000865.JPGd'entreprises et baisse des émoluments parce qu'il y a la monté de la concurrence sans régulation entre les entreprises des différents pays et que, surtout, l'état ne peut pas soutenir les domaines où le pays est le plus fragile.

    En fait, si accords il y a entre les états, ce doit être au niveau de la régulation et de la légitimation de l'aide aux domaines faibles au sein de chacun des pays et non pas ouvrir les frontières à grands vents comme c'est la mode aujourd'hui.

    Ensuite nous pourrons dire: "Que le meilleurs gagne", mais pas avant!

    Ceci dit pour montrer que chacun des B.R.I.C.A. n'auront pas d'autres choix, à un moment ou à un autre, que de faire, pour chaque nation, pour les raison exposées plus haut, de la compétition salariale face aux autres pays, soit de faire baisser les émoluments de ceux qui sont en haut (pas trop haut tout de même), au milieu et en bas de l'échelle des payes.

    Ce qui entrainera la diminution des capacités d'achat des populations et la faillite des entreprises puisque, je le répète, les plus gros, les plus dynamiques, et/ou les plus malins, mangerons les plus petits ou les plus faibles et que les états auront de moins en moins les capacités d'action sur l'économie réelle de leur pays.

    N'oublions pas que seules les classes-moyennes font fonctionner la machinerie économique à l'intérieur des frontières d'un pays, et plus il y a de classes-moyennes, intellectuelles et/ou économique, mieux l'économie nationale fonctionne et, ceriseP1000718.JPG sur le gâteau, moins il y a de pauvre et de milliardaire.

    Appauvrir et déclasser les classes-moyennes ne mène, à terme, qu'à un seul effet: la ruine de tous, banques et milliardaires compris.

    C'est ce dont l'Occident et les pays pauvres crèvent!

    Mais pourquoi donc perpétuer des frontières à l'heure de la mondialisation?

    Bonne question à l'heure où la propagande néolibérale n'a même plus besoin de s'exercer.

    En fait, si les frontières deviennent si poreuses que la souveraineté économique s'en trouve tant affaiblie que l'état et son administration ne sait plus vraiment ce qui rentre et sort du pays, il n'y a plus échange entre état mais juste des mouvements de marchandise et d'argent entre particuliers, commerces, entreprises et banques.

    Et cette hyper-concurrence, qui ne pourra que monter en puissance, fera qu'à un moment donné seul une minorité des établissements subsisteront, les autres disparaîtrons inéluctablement.

    Des impôts peuvent certes être perçus, mais cet accroissement de la puissance des plus imposantes de ces entreprises, banques comprises, fera qu'il leur sera possible soit de soudoyer le personnel politique et administratif, soit de faire passer, via la P1000698.JPGpropagande, leur doctrine sur laquelle s'appuie leur puissance, soit, le plus souvent, ces deux actions simultanément.

    Ce qui fera que ces entreprises survivantes pourrons échapper à l'impôt en raison même de leur puissance.

    Elles deviendront, non pas un état dans l'état, mais d'une position mondiale au-dessus des états.

    Comme les gens, appauvris, auront de moins en moins la capacité d'acheter et que les états seront dans la situation de ne plus pouvoir fonctionner, la seule chose qui leur restera sera de contracter des crédits à certaines sociétés, soient aux banques, soient aux commerces de type hypermarchés.

    Pour les états, il en sera de même, sauf que, bien entendu, ils n'emprunteront pas aux hypermarchés, mais aux banques, aux assurances, aux sociétés spéculatives et à d'autres états, puis commenceront à échanger, via leur banque centrale, de l'argent papier ou électronique des Q.E. contre des reconnaissances de dettes qui s'appellent des bons du trésor.

    En fait, c'est plutôt imprécis, ce n'est pas comme ça que ça se passe et c'est beaucoup plus délirant, les banques-centrales des états prêtent de l'argent aux banques qui ensuite prêtent ce même argent aux états contre ces reconnaissances de dette bon du trésor qui, si j'ai bien compris, sont rachetés, pour partie, par les mêmes banques-centrales, avec un bénéfice pour les banques.

    Argent des Q.E. qui, rappelons le, ne vaut plus pipette puisque excessivement produit en rapport avec l'effondrement industriel du pays émetteur.

    Je crois que Pignouf n'aurait pas imaginé mieux, ou Quiri le clown ou n'importe quel comique troupier...

    Mais ces dettes, ben, il faut les rembourser, et ce remboursement fait que c'est de l'argent en moins pour pouvoir acheter ce qui est produit pour les particulier, mais aussi pour les états (le militaire, la police, la justice, l'instruction publique, ...etc, etc..., etc...).

    Phénomène qui appauvrit les entreprises puisqu'il y a moins à vendre, ce qui fait donc monter la concurrence inter-entreprise, et le cycle recommence (entre chaqueP1000878.JPG crise), jusqu'à ce que, à un moment donné, tout s'arrête.

    Je pose donc le postulat que ce sont donc les béances frontalières, accompagnées, il est vrai, de la charge doctrinale ad oc, le néolibéralisme, qui est la cause première de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le monde d'aujourd'hui.

    Sans compté les délires dont je ne viens de ne vous montrer qu'un tout petit exemple.

    En France, ce processus a pris plus de quarante années pour que nous en arrivions à la situation industrielle actuelle, sans l'Union-Européenne fascisante telle qu'elle est, plus que néolibérale, voire sans Union-Européenne du tout, nous n'en serions pas là, il est vrai, mais le chômage, avec ce néolibéralisme, bien que moindre, serait, je le pense, néanmoins bien présent.

    Et au niveau mondial la situation, bien moins catastrophique, serait tout de même préoccupante si les étasuniens n'avaient pas ouvert leurs frontières aux quatre vents mais juste de trois.

    Donc, la décision des B.R.I.C.A. est une erreur, compréhensible si nous songeons qu'elle a d'origine de pouvoir contourner la prédominance, la suprématie du dollar pour tout échange marchand international.

    Et puis, des pays comme la Chine et l'Inde purent se développer rapidement grâce, justement, à cette béance frontalière occidentale et aux faibles revenus de leur P1000724.JPGpopulation, qui aujourd'hui s'accroissent.

    Mais l'un comme l'autre, ainsi que les trois autres participants, hormis peut-être la Russie, se trouvent dans une situation difficile puisque l'appauvrissement continuelle des occidentaux fait que le nombre de leurs clients diminue, encore plus depuis 2008, ce qui ne peut que les appauvrir également.

    Or, ce fait ne peut que mener qu'à une scission de leur peuple d'avec l'état puisque celui-ci peut de moins en moins leur offrir ce rêve de classe-moyenne que chaque citoyen de ces pays commençait à voir venir sur le pas de sa porte.

    Et puis, l'appauvrissement de la population veut dire aussi appauvrissement de ces états, avec tous les dangers que cela comporte dont je vous ai entretenus plus haut.

    D'où leur nécessité de trouver une réponse rapide à cet affaiblissement étatique, ce qu'offre cette décision néolibérale d'accord qui ressemble infiniment, à s'y méprendre, à du libre-échange.

    En est puisqu'en porte de nom.

    De fait et par ce simple exemple, nous pouvons voir que tout le monde est piégé par un système économique qui, bien que totalement délirant, n'en est pas moins devenu absolument incontournable.

    Et cela n'ayant d'effet que de déstabiliser un petit peu plus un système économique globalisé déjà au seuil de son implosion.P1000879.JPG

     

     

    THEURIC

  • De l'agitation intellectuelle à la provocation.

    L'oligarchie française et européenne, terme que j'ai choisie en raison de l'écho auquel cela renvoie, soit l'époque Eltsine dans laquelle fut plongée la Russie d'alors, nous qui, à l'époque, en France, nous nous délections des mésaventures russes dues à la toute sotte puissance de ces nouveaux fortunés moscovites.

    IMGP0198.JPG

    Notre oligarchie, dis-je, qui nous confronte en usant et abusant de la formidable puissance de la propagande d'aujourd'hui, est, en réalité, bien que redoutable, d'une sottise sans nom.

    En cela ne croyez pas que celle-ci soit au-dessus de ce que peut être la moyenne de l'intelligence des français ( baisse-vertigineuse-qi-moyen-occident-etudes-tirent-sonnette-dalarme-nindiquent-dou-vient-cette-chute ), je me demande même, parfois, si elle se situerait pas en-dessous.

    Ce jugement, bien que sévère, doit être pesé et soupesé afin de se poser au plus proche de la réalité, que ce soit pour la population comme pour ceux qui la dirige réellement, soit la-dite oligarchie.

    D'ailleurs, ne nous y trompons pas, si Monsieur Macron, que, par ironie, je désigne  du sobriquet d'Emmanuel 1er, ainsi que ceux qui l'entourent, furent choisis par nos IMGP0088.JPGploutocrates, ce fut, entre-autre, en raison de leur peu de jugeote.

    Comprenez bien que si nous faisons référence de ce que fut l'ancien président Valérie Giscard-d’Estaing, lui-même lié à la banque Rothschild, tout comme il en est pour le président actuel, nous pouvons percevoir combien nos maîtres milliardaires, français, européens et étasuniens, ont perdu de leurs capacités intellectuelles.

    Du flonflon de l'accordéon que nous accordait ce maintenant vieillard il y a une quarantaine d'année, nous en sommes arrivés en notre temps à de la pauvre et sirupeuse macroniaiserie.

    En fait, ces deux comparses peuvent être comparés à un écho d'une époque, de ce que peut être l'esprit de ceux-là qui, hier, ne voulaient que contrôler les flux économiques des pays ouest-européen et qui, aujourd'hui, se pensent désormais les maîtres du monde.

    Descendants héritiers de personnages d'antan, certes sans vergogne, mais ayant encore de la sagacité, ils ne sont plus, à tout prendre, que leur pâle reflet, tout juste capable d'utiliser des outils de manipulation des peuples qui furent formalisés par le passé, par d'autres, scientifiques des sciences sociales et autres neurologues sans qui, en vrai, ils ne seraient rien.

    Ce n'est pas, donc, contre eux, contre la fatuité de cette aristocratie d'argent, ou, oserais-je le dire, contre çà, qu'il nous faut lutter prioritairement, mais contre cette inintelligence d'une part de la population provenant du rejet, plus ou moins exprimé, du plaisir et de l’appétence de comprendre le monde, de s'instruire de tout, de l'invention et de la découverte, ainsi que de l'apprentissage à la révélation duIMGP0202.JPG bien et du beau.

    Ce plaisir, bien que refoulé, est, en réalité, au plus profond de chacun d'entre-nous, blottit, parfois, au milieu de ce marasme de médiocrité qui nous est déversé à longueur de temps dans les médiats télévisuels et radiophoniques.

    Mais il est là et bien là parce que au cœur de ce qui fait de nous Homo Sapiens Sapiens et que j'appelle l'adanthropisme.

    (De ad-, qui va vers, et -Anthropos, l'Homme, que je définirais comme étant la tendance naturelle et inconsciente de chaque Être-Humain à être humain par, entre-autre, l'acquisition du savoir et des connaissances de ses pairs, des notables et de ses géniteurs, parents et anciens, par imitation et désir d'être l'égale à celui et ceux lui semblant éminents.

    C'est, ce me semble, ce plus que réflexe, cet archétype, peut-être le plus puissant qu'il soit, qui pousse l'enfant de bas âge à vouloir marcher, parler, savoir, comprendre, s'ériger en tant qu'homme ou femme futur, à devenir et être humain. )

    Pour redresser cet état de fait déplorable, il nous faut donc faire de l'agitation intellectuelle, faire preuve, chacun selon ses moyens, ses capacités et ses possibilités puisque nous aussi, à un degré moindre, sommes plongé dans ce marasme, d'imagination et d'humour, d'esprit et de raison, de curiosité et de sagacité et, surtout, de provoquer l'intelligence de celui qui est en P1000726.JPGface, ou lit, ou écoute, ou regarde et voit.

    Ce que Monsieur Asselineau nous montre à chacune de ses interventions.

    Le seul de la classe politique qui, de la provocation qu'il génère en notre intellect, de fait, ne nous prend pas pour des cons!

     

     

    THEURIC

  • Presque une petite pose en politique en une réflexion de nos origines.

    Bon, en ce moment je me sens en verve, trois billets quasiment à la suite, ça faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

    Le sujet que je vais aborder aujourd'hui traitera autant de l'origine d'Homo Sapiens Sapiens que de celle du singe, des ancêtres de nos ancêtres de nos ancêtres, de nos ancêtres en quelque sorte.

    Pour le reste, je vais ici donner ici un bref aperçu de ce qu'il se passe tant en politique qu'en économie (je vous renvoie à mes deux derniers textes pour ceux ne les ayant pas encore lus):

    P1000696.JPG

    Après que Monsieur Poutine ait donné le baisé de la mort à Madame Le Pen (l'avoir invité chez lui), la Russie se tourne vers le P.C.F. et Les Insoumis, ces derniers étant les plus réactifs.

    Il est à penser que, comme le veut les principes de la politique, l'unilatéralité idéologique d'Emmanuel 1er et des macronistes mènera inéluctablement ces deux partis à la radicalité.

    La police et l'armée, toutes deux épuisées, auront toutes les peines du monde pour réduire la violence sociale qui, de plus en plus, vient en réponse de la violence économique et politique de nos oligarques.

    Il y aura des morts dans la rue.

    Pendant ce temps là, l'U.P.R. qui, pour l'équipe philipparde, est en voie de marginalisation, se retrouvera devant un large boulevard puisque oublié par l'oligarchie et ces représentants (de commerce), ce qui lui permettra de se développer à l’abri de cette violence populaire et d'état qui vient, du-moins pour un temps.

    Dans l'empire U.S., Monsieur Trump n'a plus d'autre choix que de détruire l'oligarchie de son pays, pour cela il lui faut faire exploser le dollar et Wall Street.

    C'est pourquoi son armée ne cesse d'agacer la Chine et la Russie, ceci pour que ces nations en viennent à vendre en masse leurs bons du trésor U.S..

    En Grande-Bretagne, après que Madame May ait écarté les eurolâtre du parlement britannique lors de leurs dernières élections législatives, propose déjà à sa nation un brexit dur à cause de l'inflexibilité de l'U.E., ce qui ne pourra que mener à une déstabilisation accrue de l'union.

    Pendant ce temps là, la désindustrialisation internationale perdure et s'amplifie.

    Le signe le plus évident se trouve dans le prix de l'essence qui n'arrête pas de descendre.

    Il est à remarquer ce début de tendance, pour les grands-magasins, d'avoir des difficultés de réapprovisionnement.

    Je ne le répèterais jamais assez, faites vos réserves.

    Après six mois environ de tergiversations des russes et des étasuniens de savoir si oui ou non il fallait faire perdurer cet étrange expérience qu'est l'U.E., la décision de détruire l'U.E. paraît être définitivement prise.

    Le plan consisterait, me semble-t-il, à ruiner les banques et les oligarques français par la cessation de paiement du pays en rendant insolvable les habitants (monté des impôts et des intérêts des découverts) et, dans le même temps, à instrumentaliser leur colère logique et normal, au travers des syndicats notamment.

    D'où le cadeau que fit Monsieur Macron aux banques, sur les conseils de je ne sais qui travaillant pour je ne sais qui, en leur octroyant 5,75% d'intérêts en plus des 1% que le pays devrait normalement verser, faux cadeau qui, en réalité, est là pour générer la banqueroute des banques françaises trop grosses pour faire faillite, puisque les acheteurs potentiels disparaîtront.

    Nous pouvons percevoir là la naïveté, pour dire le moindre, de Monsieur Macron et de son équipe, Mitterrand en dirait qu'on y voit déjà à travers.

    Une fois l'une d'entre-elles faillit, c'est toute la chaîne des banques européennes qui suivra et, donc, en fin de course, la Deutsche-Bank, aussitôt et inéluctablement suivie des banques étasuniennes, un tel plan tordu ne pouvant être signé que par les anglais.

    Il est à noter que la lutte sourde que se mènent Goldman-Sachs et Roltschild en Europe continue (Macron, Attali, Minc sont les émanations de cette dernière), la seconde ayant pris pied en France, l'Union-Européenne, créature de la première, par l'entremise du Luxembourg, tente de l'y déloger par une accusation de blanchiment d'argent sale, sûrement avec raison du reste.

    Mais bon, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, non?

    Une dernière chose:

    La désintégration du Front-National mène à ce que les plus extrémistes de ce parti, jusqu'à présent maintenus fermement par Le Pen père puis fille, tendent désormais à prendre leur indépendance et à agir par la violence.

    Encore peu structurés politiquement, ils représenteront, sous peu, avec, à l'autre extrême, la minorité des anarchistes, violents ceux-là (la majorité de ces derniers vivant en quasi autarcie), un danger supplémentaire pour le gouvernement.

    PICT0295.JPG

    Bon, tout ceci dit, je vous présente, comme promis, en seconde partie de ce libelle, une réflexion sur nos origine en posant deux simples questions: pourquoi les hominidés, dont nous sommes avec les chimpanzés, n'ont pas de queue et pourquoi l'existence des ongles et quels en furent leurs effets:

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  • La qualité génère de la qualité, la médiocrité génère de la médiocrité.

    Ce nouvel aphorisme, de mon cru, qui fait le titre de ce libelle, représente, à mon sens, l'époque particulière qui, en France, amorce un renouveau sociétal débuté dès que la campagne électorale des présidentielles officielles fut entamée.

    La modestie de Monsieur Asselineau dut-elle en souffrir, C'est autant sa P1000674.JPGdétermination, son intelligence humaine qu'intellectuelle qui permit à un pays au bord du chaos, la France, de commencer à se redresser en comprenant confusément le jeu particulièrement idiot et dangereux que ses élites, devenues d'une débilitante vulgarité, faisait jouer jusqu'à présent à sa population perdue de tout repère.

    Or, ce que montre et démontre les élections suivantes, législatives, par la démesure de l'abstention des premier et deuxième tour, ce fut bien la compréhension, encore indistincte, encore inconsciente, que ce qui nous était décrit par les médiats officiels était loin de représenter la réalité politique de la nation, en était même, sur de bien nombreux points, voire de la majorité des faits, l'exact inverse.

    Certes, les candidats de l'U.P.R. lors de ces élections eurent eux aussi à subir le délaissement populaire pour leur devoir civique et démocratique.

    Mais au-delà de la propagande éhonté qui fut exécuté à l'endroit de Monsieur Macron ainsi que pour son parti, dont ignominieuse marche future sera bien plus destructrice pour ses mandataires, laudateurs et serviteurs zélés que pour le reste de la population.

    Au-delà de cette propagande, dis-je, et de ses effets de court terme, ce fut bien cette émergence d'un désir profond de renouveau qui anima l'électeur et qui le fit, ainsi,P1000758.JPG momentanément se détourner d'enjeux démocratiques qui n'en ont plus, pour l'instant, qu'un reflet distant et déformé.

    C'est le germe de ce désir profond que Monsieur Asselineau commença à faire éclore en chacun de nous et qui se développera à son rythme suivant les événements qui ne sauront pas ne pas advenir.

    Ce germe ne concerne pas seulement la seule politique, loin de là, mais bien la substance même de ce qui compose l'intelligence humaine dans toutes ses dimensions, ce à quoi je fais référence dans l'intitulé de mon blog: "Appel à une nouvelle renaissance".

    En attendant, peu se faut pour que, demain, ce dédain populaire pour cette classe politique éreintée évolue sous forme de dégoût, voire de haine.

    Et ce d'autant plus que le système économique globalisé montre des signes de faiblesses d'une grande morbidité, or, je ne pense pas que l'actuel gouvernement serait dans la capacité de réagir avec la vigueur et la présence d'esprit nécessaire lors d'une catastrophe économique de cet ordre ( de-la-catastrophe-economique-qui-vient-5946580.html ).

    Craignant de plus que beaucoup de nos ministres et de nos députés, surtout provenant de la R.E.M. aient plutôt un réflexe de fuite, emprunts qu'ils sont de cette P1000722.JPGvision infantile du monde que crée l'individualisme forcené provenant de cette idéologie néolibérale monétarisme mondialisé.

    Sans compter les représentants du Parti des Insoumis qui, vaille que vaille, ne cesseront de jeter de l'huile sur un feu populaire ne faisant pour l'instant que couver.

    Des Républicain qui n'arrêteront pas de subrepticement glisser diverses chausse-trapes à la majorité, eux qui furent frustrés de n'avoir pas été choisi par l'oligarchie pour gouverner la France.

    (Ce qui, me semble-t-il, aurait dû être le cas pour les cinq ans à venir, mais le brexit la força à accélérer le processus de macronisation politique avec des personnages qui soient furent choisis faute de mieux à la va-vite, soient n'étaient en aucun cas prêts, leur manquant ces quintuples années de formation et de formatage, et, de plus, une (pseudo)droite française qui, pendant ce temps, se serait retrouvée détruite, ce qui n'est pas vraiment le cas actuellement.)

    Et pendant que le Front-National continuera de se ronger de l'intérieur, aidé en cela par un Le Pen père qui y donnera des coups de butoir tant qu'il vivra encore,  les restes fumant du P.S. termineront leur déliquescence en retournant au néant groupusculaire de ce qu'était, jadis, le P.S.U., et duquel l'avait tiré, d'antan, François Mitterrand.

    Voilà, c'est de cette qualité intellectuel retrouvé dont je remercie FrançoisP1000730.JPG Asselineau.

    Plus encore que de nous avoir proposé une position politique efficace face aux envies impériales de tous bords qui, de l'Union-Européenne Aux États-Unis-d'Amérique, de la Russie à la Chine, en passant par l'Arabie-Séoudite et le Qatar,..., ..., ne cessent, comme autant de vampires, de nous piller de notre substance économique et politique.

    Ceci parce que la qualité génère toujours la qualité et la médiocrité génère inéluctablement de la médiocrité, votre précieux verbe, Monsieur, qu'inconsciemment nous attendions tous, que nous appelions de nos vœux, nous est précieux au-delà même de ce que vous pourriez soupçonner.

     

     

    THEURIC

  • De la catastrophe économique qui vient.

    Ce libellé manquant singulièrement de structure, je l'ai retiré hier pour le corriger et l'améliorer.

    P1000752 - Copie.JPGDe plus, je vais rajouter un long préambule à l'avant propos ci-après.

    La folie collective de l'époque n'est certes pas vraiment pire de celle qui a pu se prévaloir par le passé, les deux guerres mondiales sont là pour nous le démontrer.

    Mais bien que différente, elle ne peut que laisser l'Homme de bien intrigué par les diverses incohérences qu'elle ne se lasse d'insuffler dans l'esprit de chacun.

    Les exemples sont multiples des croyances de l'époque que les professionnels sérieux n'ont que de cesse de tenter d'en démontrer l'inanité.

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, la validité et l'efficacité de l'euro, la nécessité et l'impérieux besoin géopolitique de l'Union-Européenne pour faire face aux géants que sont la Russie, la Chine et d'autres, la possibilité de réformer la même union, l'économie comme étant l'élément primordial et quasiment unique pour toute politique, l'Union-Européenne comme étant d'essence démocratique, le calcul du P.I.B. comme étant d'une bonne efficience économique, le chômage funeste pour l'économie et non pas les très très bas salaires qui eux lui seraient bénéfique du moment qu'ils feraint baisser ce chômage...etc...etc....

    Ces quelques illustrations ne pouvant que nous montrer combien ces croyances sont autant délirantes, fallacieuses que dangereuses.

    Mais plus encore, pour l'immense majorité des gens professant ces allégations fausses, dominant partout dans le monde et, ce, à toutes les échelles hiérarchiques des sociétés humaines, il s'agit de concepts inconscients ne renvoyant à aucune observation empirique et/ou d'expérimentale.

    Tout au contraire, les études pondérées et soigneuses faites sur ces sujets et sur bien d'autres montrent et démontrent que ces concepts faux expriment l'inverseP1000831.JPG que ce que peuvent révéler ces études.

    C'est cette dichotomie entre la réalité et cet ensemble de fantasmes collectifs qui révèle cette époque de transition que j'avais précédemment évoqué ( transition-5920286.html ) et que, déjà, dans les années 50, C.G. Jung décelait dans le livre "Présent et avenir" ( present_et_avenir_poche.htm ).

    Il s'agit, en réalité, d'une scission névrotique collective entre les couches profondes et structurantes inconscientes des Êtres Humains, symboliques et archétypales, soit notre inconscient collectif, et la réalité technologique et culturelle, bâtie sur une base d'acculturation profonde, des sociétés.

    Ceci explique pourquoi nous pouvons nous confronter à des réactions parfois violente lorsque nous abordons l'un des multiples thème structurant ce vide symbolique actuel en les remettant en question, même de manière modérée.

    Si, par exemple et de la même façon, telle ou telle décision semble être prise consciemment pour tenter de ralentir l'effondrement de cette globalisation économique si malade, n'en croyez rien, il s'agira juste de décisions inconscientes pour que perdure ce système de pensée plus que de celui de l'économie, inconscient qui, dans le même temps, offrira à la conscience de ces acteurs la justification de leurs actes, qu'elle soit logique ou qu'elle ne le soit pas.

    Justification reprise en cœur par les chroniqueurs des médiats officiels, se déchargeant là à bon compte d'un poids d'incohérence intellectuel trop pesant.

    Comprenez bien que je ne suis pas quelqu'un pensant que nous devrions revenir aux temps passés, à la voiture à cheval, à la bougie et à la prière du dimanche..., pour ce dernier n'ayant rien pour ni contre le retour au catholicisme.

    De plus je suis athée dans le sens premier du terme, soit qui n'a pas de dieu.

    Toutefois cette scission névrotique devrait, en Europe, se résoudre peu ou prou par un renouveau de la religion originel de chacun des peuples, sous une forme différente à celle passée, cela va de soit.

    Mais en attendant, la catastrophe économique qui se développe, sujet de ce rédigé, ne peut être prise en considération que par une minorité de personnes et, ce, pour les raisons invoquées plus haut.

    IMGP0198.JPGCe sera le choc dû à ce phénomène qui, progressivement, renouera, sous une forme ou une autre, nos liens d'avec les profondeurs structurantes et originelles de notre psyché.

    Et qu'ensuite, plus tard, se reformulera, évoluera cet ensemble d'expression symbolique d'antan plus à même de nous offrir à nous autres, Homo Sapiens Sapiens, les capacités de nous adapter au mieux à des transformations sociétales qui n'en sont, aujourd'hui, qu'à leur tout début.

    Il est à noter que ceux saisissant cela aujourd'hui sont les précurseurs d'un mouvement qui deviendra général, bien qu'une infime minorité en ont et en auront pleinement conscience, il n'est pas à en tirer gloriole et de se penser élite au-dessus de la masse, il s'agit là d'un mécanisme humain tout à fait naturel.

    De plus, chacun de ces précurseurs, dont nous sommes, amis lecteurs, conservent pour l'instant, sans le savoir, une partie, même infime, de cette masse de croyances actuelles, sans quoi ils seraient totalement asociaux, leur, notre survie sociale est à ce prix, du-moins pouvons-nous ne pas en être dupes.

     

    Il est nul besoin de s'affoler lorsqu'un événement catastrophique mais prévisible est annoncé, s'y préparer au mieux, calmement, méticuleusement, ne peut qu'en être la meilleurs des réponses.

    Il en est ainsi dans les régions où sévissent régulièrement des cyclones ou des tremblements de terre par exemple.

    Il en est de même pour l'actuel effondrement progressif et dramatique de l'économie globalisée.

    Pour ce qu'il en est des causes, j'en ai déjà discuté maintes fois ici, elles sont multiples et plutôt simples à définir: Désindustrialisation occidentale dès les années 70, suivit maintenant par les pays dits émergents, monté en puissance des crédits et des dettes de tous pour tous (avec le P.I.B. comme  tromperie universelle) pour tenter de faire survivre les états et les banques, ouverture puis béance des frontières, appauvrissement puis déclassement des classes-moyennes, monstrueux enflement des bourses, hyper-productions monétaires...etc...etc... .

    P1000866.JPG

    Toutes ces causes tendent aujourd'hui à accélérer leur développement, ce qui montre que ce processus de faillite généralisée se rapproche de nous.

    Lorsque cela surviendra, ses effets primaires seront, me semble-t-il, facile, là encore, à identifier, thème sur lequel, là aussi, je vous ai également entretenu: Les monnaies auront perdu leur valeur intrinsèque, impossibilité de les apprécier les unes, les autres et, ce, à l'international et au régional, arrêt quasiment total des transports mondiaux, aérien, maritime et terrestre, arrêt concomitant des usines et fabriques, surtout celles spécialisées essentiellement pour l'exportation...

    En revanche, les effets secondaires, ceux qui, somme toute, nous intéresseront au premier chef puisque ce seront eux qui nous toucheront de plein fouet, sont plus ardus à définir, d'autant plus qu'ils auront tendance à évoluer le temps passant.

    Ce sont eux que j'ai décidé d'étudier avec vous aujourd'hui, eut égard au fait que je peux avoir oublié tel ou tel de ces effets futurs, bien sûr.

    PICT0111.JPGAlors, allons y voir.

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  • Il dansent, dansent, nos eurocrates, oui, sur un volcan.

    Élections verrouillées, médiats verrouillés, gouvernement verrouillé, assemblées législatives verrouillées, lois verrouillées, justice verrouillée, voilà ce qu'est la situation institutionnelle de la France.

    Et oui, je crains qu'une puissante fraude ait eu lieu lors de ces élections, les doublons de cartes d'électeurs et les très nombreuses radiations sans même que les gens n'en aient été prévenu n'ayant été créé que pour faire diversion.

    C'est pourquoi j'ai envoyé ce petit laïus ( citoyens-electeurs-comptons-nous-5936325.html ) là ou je le pouvais, en encourageant ceux le lisant de le divulguer au maximum.

    Il est même possible que Monsieur Asselineau ait été gentiment prévenu que s'il en disait quoi que ce soit, de gros problèmes de santé et morts soudaines pourraient survenir à quelques personne de sa famille.

    Mais bon, moi, en pervers, je voterais Macron, juste parce que chaque décision qu'il prendra ne pourra qu'accélérer l'effondrement de l'économie-monde.

    De fait et en réalité, ce duopole électif du 2ème tour, Macron/Le Pen, est, pour le président de l'U.P.R. une bénédiction, ceci parce que la France-quitte ne pouvait que conduire à cet effondrement définitif de l'économie par le délitement de l'Union-Européenne, quoi qu'il en soit inéluctable.

    Ce que, bien sûr, tout le monde lui aurait reproché.

    Maintenant il n'a plus que deux choses à faire, préparer les élections législatives puis, ensuite, attendre et voir en préparant la suite en sous-main.

    Mais ce texte n'a pas le but de m'épancher la-dessus, non pas que cela ne soit pas d'importance mais juste que ce deuxième tour, voire même les législatives n'ont, en soit, pas grand intérêt, les jeux sont quasiment faits, en revanche, leurs suites, elles, ne peuvent que nous interpeler, ainsi que quelques considérations géopolitiques inextricablement liés.

    Ce sont donc ces derniers sujets que je me propose d'aborder ici.

    FullSizeRender.jpg

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  • Suite au texte précédent, je renouvelle mes conseils.

    Certes, le pauvre sir qu'est Macron ou la prêtresse de Poutine, la mère Le Pen, sera sûrement élu, mais basta, le raz de marrée monétaire balaiera toute cette fange oligarchique par la ruine universelle vers laquelle cela nous conduit.

    Alors, ayez à l'esprit qu'au-delà de ces élections, importantes bien sûr, d'où mon texte précédent que vous devriez lire, nous nous devons de nous préserver de cette déferlante monétaire.

    P1000747 - Copie.JPGC'est pourquoi je copie-colle une série de conseils que je vous avais préalablement servi.

    les voici:

     

    Faites donc des réserves, ayant moi-même compté au minimum:

    -quelques jours, voire deux semaines de menues monnaies, ne serait-ce que pour quelques courses, le pain, notamment, ceci étant dû au fait que les banques ayant fait faillite, il faudra du temps pour que le gouvernement réagisse ou ne soit renversé, pour qu'enfin celles-ci soient nationalisées (il en sera de même pour les assurances, il vous faudra être prudent);

    -si vous avez des économies dans une même banque, répartissez dès aujourd'hui cette somme dans plusieurs autres, l'une peu disparaître mais pas l'autre;

    -trois mois de nourritures pouvant se conserver, pâtes, riz, plutôt complet, légumes voire fruits secs, farine, sucre, huile, beurre, ...,plus des conserves si vous en avez la place, du café aussi, le temps que les acheminements de vivres reprennent, l'agriculture française existant encore (pour combien de temps?);

    -faites un potager, vous pouvez dès maintenant acheter les outils, des graines au plus tôt, faites le bêchage de printemps, semez  des tomates par exemple, pour avoirP1000816.JPG votre récolte au plus tôt;

    -ayez des poules pour les œufs puis la viande, pour vous et aussi pour du troc;

    -comptez un an de produit de première nécessité, pour le corps (savon, shampoing...) comme pour la maison (javel ou vinaigre blanc, lessive, P.Q....), songez à ce que quasiment plus rien n'est produit en France;

    -ayez de quoi faire du troc pour deux à trois ans de ce qui n'est plus produit sur notre sol, soit presque tout, tout pourra faire l'affaire, des cigarettes pour les non fumeurs (les autres les fumeront), du chocolat, du café (là encore il sera dur de ne pas résister), mais aussi du papier, du cirage, du savon en rab, de la peinture, du bois de chauffe, des piles, des lampes..., etc..., enfin,  de tout ce dont nous avons tous besoin au jour le jour et dont nous ne faisons que des réserves limités;

    P1000749.JPG-le vélo et/ou le vélomoteur (le plus économe en essence), surtout si vous habitez loin des gares, le train continuant sûrement de rouler, seront une valeur sûre, songez que l'arrêt des transports internationaux signera celui des produits pétroliers, votre voiture restera donc au garage et les bus et cars au dépôt, l'essence et le gasoil sera réservé aux véhicules prioritaires et aux armées;

    -commandez un, voire deux chéquiers, les paiements électroniques pouvant cesser à un moment ou à un autre, rapidement (?) le chèque pourrait devenir le seul moyen de paiement pour un temps indéterminé, dès que le gouvernement d'alors auront rouvert les banques;

    -conservez convenablement tous vos papiers, attendez-vous, aussi, au moins à un ralentissement d'internet, les administrations, les banques et les assurances, aussi, pouvant les égarer lors de cette catastrophe, voire perdre leurs informations informatiques;

    -dès que les signes les plus évidents et marquants, pour ne pas dire angoissants, seront là, allez voir votre maire pour lui expliquer ce qu'il se passe, parce qu'il y a de fortes chance qu'il n'y comprenne rien, ceci pour qu'il commence à organiser autantP1000886.JPG les pénuries que les risques de désordres et débordements.

    C'est, en effet, dans les débuts de cet effondrement, au local, que l'organisation sera, dans un premier temps, le plus efficace.

    Je vous encourage à agir au plus vite, ces événements pouvant survenir à n'importe quel instant, demain comme dans un mois, mais probablement moins d'échelle d'une année, bien que le système économique globalisé montre, depuis trois ans au moins, d'incroyables et dangereuses capacités de résiliences.

     

     

    THEURIC

  • De l'effondrement monétaire qui vient!

    Il ne s’agit pas ici d’une crise mais d’une catastrophe.

    De plus, l’économie réelle est déjà dans son processus d’effondrement par la désindustrialisation généralisée.

    Donc, dorénavant, ce ne sera pas cette économie réelle qui se délitera puisqu’elle est déjà en plein délitement, mais celle de la monnaie et des crédits, ou des dettes, ce qui revient au même.

    De plus, nombre d'économistes sont eux aussi dépassés et ne se rendent pas compte de la réalité de ce processus en cours: l’économie réelle est entrainée à la faillite par l’économie monétariste ou virtuelle qui lui aspire ses richesses par l’entremise de la dette et des Q.E., ces derniers en raison de la perte de valeur des monnaies, ce qui entraine le monétarisme vers sa banqueroute par l’arrêt de la circulation monétaire.

    Le tout étant de savoir quel est le taux de ralentissement de circulation monétaire qu’il faut pour que toute cette machinerie s’effondre et, dès lors, quel est le niveau de désindustrialisation mondialisé faut-il atteindre pour que le circuit monétaire aboutisse à son arrêt.

    C'est cela que je vais tenter de développer plus avant, non pas de ce taux précité, je n'ai ni le savoir, ni la possibilité de le calculer, mais les mécanismes qui me font dire que nous connaîtrons un arrêt soudain de la circulation monétaire.

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  • Trump, d'empire à colonie, fin...

    L'empire américain s'en va silencieusement, nous quitte sur la pointe des pieds, file à l'anglaise.

    Son repli sur soi affole la foule des eurolâtres et les américanolâtres tremblent de ne plus avoir de modèle à vénérer.

    Dorénavant ils se retrouvent seuls, sans maître pour dire le vrai et le faux, pour obéir comme les bons garçons et filles qu'ils sont, et errent sans but dans leur délire montant.

    Déjà les signes se font sentir de leur terrifiante détresse et la classe pathétique des chroniqueurs médiatiques officiels, d'un personnel politique au aboi et de la puissance monétaire épouvantée de sa crainte de perdre son bon argent commence à ravir l'homme et la femme de bien.

    P1000790.JPG

    Plus encore, les deux géants géopolitiques, la Russie et les États-Unis-d'Amérique, s'entendent désormais comme larron en foire et ne sont plus que les petites mesquineries des néocons U.S. pour retenir encore un temps la grosse papatte de Monsieur Trump, lui qui n'attend plus que de serrer  la paluche de Monsieur Poutine.

    Mais diantre, que j'ai pu faire d'erreurs d'appréciations sur trois des sujets les plus importants.

    Je crus ainsi que le nouveau président des Etasunis  était un pure isolationniste, ce qu'il n'est pas.

    Je crus aussi que la Russie de Poutine ne pourrait pas supporter que la France soit dirigée par une Marine Le Pen et que, surtout, que le président russe ferait tout pour que l'Union-européenne disparaisse, or les faits montrent l'inverse, ceci expliquant cela.

    Je crus également que l'équipe poutinienne de gouvernement avait compris que le système économique globalisé touchait à sa fin, contrairement à celle de Trump et de la majorité des chancelleries, alors que des signes ténus montrent que ce serait plutôt aux U.S.A. que cette conjecture se saisit, même si je doute de cela dans son administration centrale.

    Donc, je vais devoir revoir ma copie, repenser ma perception de la dynamique historique actuelle.

    Alors, allons voir de ce qu'il en est.

    PICT0111.JPG

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  • Transition!

    En ce moment nous vivons un processus de transition, ce nous entendant l'espèce humaine dans son entier.

    P1000753 - Copie.JPGUne transition est l'instant de rupture entre la forme que pouvait prendre un système évolutif passé (telle que celle d'une espèce animale ou végétale) et celui futur.

    De fait, cette transition avait débuté, pour Homo Sapiens Sapiens, dès le tout début du néolithique, soit il y a, suivant les chercheurs, de dix à quinze milles ans et, aujourd'hui,  nous parvenons à l'achèvement de ce processus.

    Il est vrai que ce qui nous occupe et préoccupe actuellement c'est bien ce que nous vivons, soit l'achèvement de ce mouvement naturel qui se trouve en une phase d'accroissement de son accélération.

    Ainsi, même les plus jeunes ne peuvent pas ne pas remarquer la-dite accélération constante de l'évolution sociale que nous subissons, que nous l'aimions, l'acceptions ou la rejetions.

    Certes, le progrès technologique en est la marque la plus visible et, ce, au travers de l'informatique sous toutes les formes que ce soient.

    Mais plus encore, si cette évolution technologique est présente c'est bien parce qu'une autre évolution la soutient, celle de notre représentation du monde, de nos conceptions, de nos concepts, voire même de nos capacités mentales et de notre inconscient collectif, mais cette évolution est loin d'être achevée, infiniment loin de là.

    Il est vrai que, collectivement, nous avons subi et subissons toujours une perteP1000831.JPG des-dites capacités, perceptible lors de tests de quotient intellectuel en Europe, de quelques points de ce qu'il en est paru.

    Là encore nous pouvons facilement suggérer que cette diminution fait, elle aussi, parti de cette période de transition, puisque nous sommes en train de transformer nos représentations passées, en vrai elles se transforment d'elles-mêmes, sans que celles nouvelles n'aient encore pleinement émergé, voire même n'en seraient qu'en leur ébauche.

    D'une certaine façon, l'humanité serait dans la situation de ce crabe en pleine mue, fragile de s'être débarrassé de sa carapace antérieur sans ne l'avoir encore pas remplacé par la suivante.

    C'est donc autant nos antédiluviens réflexes de chasseur-cueilleur que de ceux de l'agriculteur-éleveur qui sont en train de disparaître en nous sans que nous n'ayons encore acquis et bâti cette modernité mentale que nous lèguerons ensuite à notre descendance.

    Nous essuyons les plâtres de l'évolution, en quelques sortes.

    D'où nos difficultés actuelles qui ne pourrons aller qu'en s'amplifiant tant que cette mutation ne se sera pas achevée, ce qui ne pourra que naturellement prendre du temps.

    P1000873.JPGIl est remarquable que la-dite mutation prenne la forme, en Occident, surtout en Europe, aux États-Unis-d'Amérique et au Japon, d'un mécanisme de répétitivité (mécanisme et non pas compulsion) d'essence purement économique, d'avec la période s'étendant de 1929 à 1991, soit le crash de Wall Street jusqu'à la toute fin de la guerre froide.

    Quand bien même ces événements semblables à ceux passés surviennent éparpillés, si nous faisons la sommes de ceux-ci ressemblant à ceux antérieurs, nous pouvons percevoir leur cohérence intérieure, en quelques exemples:

    -Ruine de la Grèce par l'Allemagne et par les anglo-saxons, par les armes avant, par la faillite généralisé ici;

    -Domination de l'Allemagne sur le reste de l'Europe (depuis l'affaiblissement U.S. d'aujourd'hui), avec une seule monnaie et la France ayant un gouvernement inféodé à icelui (je mets de coté la réalité de la domination coloniale étasunienne sur l'U.E., en voie de disparition depuis l'élection de Trump);

    -Libération progressive de la France par les actions  anglo-saxonnes, brexit britannique et élection de Trump actuels, débarquement de Normandie hier;

    -Destruction du Japon, par bombardements passés, par perte de valeur du yenP1000667.JPG maintenant;

    -Monté d'un pouvoir autocratique en Italie, Espagne, Portugal (Mussolini, Franco, Salazar), puis renversement politique de cette première.

    -Crise économique d'échelle mondiale dont 1929 est le critère de correspondance, avec un mécanisme similaire aux deux périodes, même si les effets actuels sont bien pire qu'auparavant......

    Cherchez  bien et vous trouverez nombre d'exemples similaires.

    Cela étant dû, à mon sens, à l'intense traumatisme que furent les deux guerres mondiales, mais bien plus étendu et violente lors de la seconde.

    "Il faut trois générations pour faire un schizophrène", disent les psychiatres, or, si c'est aujourd'hui que ce mécanisme de répétitivité sociale survient, c'est bien parce que les générations étant passées, le temps est venu d'un renouveau politique et social.

    Ces deux processus, la transition évolutive et le mécanisme de répétitivité, sont tous deux intimement liés et s'achèveront en même temps dans quelques décennies.

    Le second risque fort de se déplacer d'un ensemble de régions, l'Occident, vers un P1000903.JPGautre ensemble, l'Orient.

    C'est pourquoi je crains un embrasement futur entre l'Inde et la chine pouvant fort bien se muer en un, international.

    De plus, la mutation progressive de notre inconscient collectif précédent, vieux tout de même de plusieurs centaine de milliers d'années, voire de millions d'années, depuis au moins l'avènement du genre Homo, et qui avait évolué à son rythme pendant tout ce temps long, ne peut se faire sans soubresauts violents, ceci n'est pas possible autrement.

    Notre mutation mentale est trop rapide pour que cela se fasse différemment.

    Cela ne pouvant que nous entrainer vers l'émergence de passions inconscientes sociales et collectives d'une puissance inouïe qui pourraient nous entrainer tous vers les pires des conflagrations généralisées.

    C'est pourquoi je vous exhorte, amis lecteurs, de conserver en vous votre pleine conscience en restant lucide des inimaginables forces communes pouvant se déverser et se partager en chacun de nos esprits.

    Pour l'instant encore relativement restreintes, elles prendront bientôt une ampleur incommensurable, et ce sera l'ensemble du genre humain qui sera entrainé par elle.P1000880.JPG

    Cette transition, en un processus naturel, ne sera pas la traversée d'un jardin d'enfant mais l'une des pires expériences que notre espèce aura à vivre.

    Un dure chemin initiatique collectif que nous devrons tous sillonner et que nous ne pouvons ni ne pourrons éviter.

    Cette expérience sera tout autant magnifique, terrible que dangereuse.

    C'est ce processus, qui a déjà débuté, qui nous entraine depuis des années dans des chemins conceptuels multiples, nous menant continuellement dans un sens ou dans un autre sans que nous en sentions de direction précise, sans que nous en pressentions la logique interne,sans même que nous le percevions, justement parce que le sens de toute choses en vient, en nous, à s'évanouir.

    C'est pourquoi, également, nous nous retrouvons à vivre cette rétrogression historique dont je vous ai entretenu auparavant (voyez les barbes fleurir comme à la belle époque de la III° république).

    Ce socle passé vers lequel nous nous dirigeons étant devenu la matrice inconsciente rassurante, le socle solide sur laquelle il nous sera possible de reposer notre esprit sociétal tant tourneboulé.

    Observez cela, amis lecteurs, parce que c'est cette seule observation, sans colère, P1000883.JPGreproche, dégoût ni irritation, qui permettra à chacun de conserver un tant soit peu de cette indépendance d'esprit qui fonde et forge notre liberté de penser  et notre indépendance d'être.

    Seule source du choix possible en face de cette vie tumultueuse future.

     

     

    THEURIC

  • Petites réflexions géopolitiques, et géostratégiques pendant qu'on y est.

    Je vous propose que nous explorions aujourd'hui les relations entre les U.S.A. et la Russie, surtout en Europe et en mer Méditerranée.

    D'autant plus que des événements s'y surviennent ne paraissant d'une logique clairement formelle mais qui pourraient devenir cohérents si nous nous essayons de définir les intérêts de chacun de ces acteurs.

    Pour ce qu'il peut en être de la France, le nôtre est de la limpidité de l'évidence: il nous faut impérativement quitter ce bourbier sans nom qu'est l'Union-européenne.

    Pour cela, et au risque de me répéter en paraissant un tant soit peu lourdingue, je vous conseillerais de voter, pour les prochaines élections, pour François Asselineau lors des présidentielles, puis pour les représentants de son parti aux législatives.

    Vous verrez, plus bas, que les deux puissances sus-nommées agitent en tous sens notre pays et ceux composant l'Union-Européenne et, ce, sans que nous n'ayons, nous et notre gouvernement, le moindre mot à en dire.

    A mon sens, il faut bien se fier à quelqu'un en cette ère où le reste du monde politique n'est plus que poupée de chiffon que chacun est libre d'agiter dans un sens comme dans un autre, pouvant nous conduire à toutes les mésaventures (déjà qu'avec la mère Clinton nous faillîmes une nouvelle guerre mondiale).

    Il nous faut donc recouvrer l'indépendance de notre pays, le temps n'est plus où nous pouvions faire joujou à nous faire peur, d'autant plus qu'un travail immense nous attend: refonder notre industrie et notre agriculture après des décennies de délires néolibéraux et, ce, juste au moment où se profile à l'horizon la plus terrible des crises économique de la période moderne.

    1929, par rapport, ressemblera à une petite promenade de santé.

    Mais pour comprendre tout cela plus avant, je vous propose de mes réflexions faisant suite à l'ensemble des informations que j'ai pu glaner çà et là.

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  • Vision d'une métaphisique politique de notre situation.

    De tout temps il y eût autant de révolutions technologiques qui menèrent à de fulgurantes transformations sociales que des invariances indépassables qui, bien que sous des formes différentes, n'en demeurèrent et n'en demeurent pas moins des permanences inconscientes incontournables.

    C'est au centre de ces deux mouvements que se trouvèrent confrontées les sociétés humaines de 1918, voire bien avant, jusqu'à 1991: la lutte farouche entre la fulgurante transformation de notre technologie et  notre inconscient collectif.

    Mais maintenant nous en sommes à ce que de cette fulgurante avancée passée, nous vivons une révolution technologique plus inouïe encore, celle de l'informatique, sous tous ses aspects, c'est de cela qui fait que les sociétés tremblent infiniment plus sous leurs bases, bien que chacun en use et parfois abuse de l'outil, prises entre ces deux feux naturels aux Hommes que sont l'allant et l'élan vers la modernité et le frein conservateur constitutif de ce qui a fait société.

    P1000825.JPGC'est à cela auquel nous assistons en tant qu'acteur.

    Comprenez bien que ces forces monétaires, au nom de néolibérales, faute de mieux, sont aux prises, elles aussi, à ces doubles contraintes mortifères, c'est cela qui les détruit, étant entendu que je ne pardonne en rien de ces paroles, ne voulant juste que poser un regard attentif autant sur notre présent que sur notre devenir.

    L'aveuglement, notre aveuglement, puisque c'est de cela qu'il s'agit, est devenu si puissant, cela en raison de la violence de la transition mutagène que nous vivons, que nous nous murons au-dedans du vain espoir de recouvrer la simple réalité de nos aïeux.

    Celle de ce dualisme complexe du siècle dernier, de ce capitalisme de grand-papa, aujourd'hui devenu fou d'une modernité qu'elle ne comprend qu'à peine, à un communisme désormais forclos de n'avoir existé qu'en contrepoint d'une bourgeoisie en déshérence, en n'oubliant pas les extrêmes d'une droite, hier bestiale et criminelle, maintenant faite de potiches aux ordres de qui paiera au mieux et d'un gauchisme divagant au fil de l'histoire n'étant plus que l'ombre de son ombre.

    Or, c'est devenu impossible, nous ne pouvons pas revenir en arrière, les principes de l'évolution le veulent ainsi, que voulez-vous, les temps changent, internet en fait foi.

    Alors, que faisons-nous, coincés entre ce modernisme nous poussant dans les bras d'un renouveau social que nous craignons et refusons tant parce que inconnu, et d'un arrêt sociétal total impossible parce que l'arrêt d'évolution est la non vie, estP1000895.JPG l'angoisse du désir de mort en face de cette violente évolution que nous réfutons bien que nous la vivons?

    Comment régler cette complexe contradiction angoissante devenue impossible?

    Comme cela n'est pas collectivement pensé, alors ce sera la nature, notre nature, qui guidera nos choix.

    Or, que dit-elle, sinon que pour palier notre paralysie due à cette immensément puissante angoisse, ce seront de nos plus anciens réflexes sociétaux, ce sont déjà de nos plus anciens réflexes sociétaux qui reprendront, reprennent déjà cours, ceux de nos religions partagées, de nos ardeurs patriotiques, de nos désirs de puissance, de ces visions politiques aussi anciennes que celles des deuxièmes et troisièmes républiques, des relations homme/femme antérieures, d'une vie d'un XIXème siècle imaginé, cru et fantasmé bien qu'ignorées...

    Ce ne sera pas un réel retour en arrière, non, ce sera la redécouverte inconsciente du socle ancien sur lequel repose toujours nos pieds mais que nous avons écarté avec dédain, nous et nos anciens, au-devant de ces terribles traumatismes que furent deux guerres mondiales précédées et suivies d'autres conflagrations tout autant P1000866.JPGterrifiant et de la culpabilité des colonisations.

    Nous qui crûmes en écarter la commotion, le trauma, la blessure en laissant, antérieurement à d'autres, si proches et si lointains, russe et américain, le soin de nous guider, en une infantile béatitude, vers le non-être édénique d'une paix éternelle.

    Nous qui nous sommes placés sous le joug paraissant parental et bienveillant, bien que tyrannique, d'une Union-Européenne désormais haïe et rejetée.

    Elle qui n'est pas la cause mais bien l'un des multiples effets de notre désir passé de ne plus exister, elle qui n'est que l'ultime résultat de cette scission névrotique que fut la guerre froide, cette réunion mortifère de ces deux anciennes Europe de l'est et de l'ouest, cette pauvre créature d'un empire U.S. las de ses cendres, las de sa puissance, las de ses nuisances.

    Cet aveuglement dû à ce refus d'une modernité incontournable, cet aveuglement dûPICT0111.JPG à notre refus de penser cette modernité nous guide vers ce nécessaire archaïsme collectif, parce que nous n'avons pas d'autre choix, nous n'avons plus d'autre choix.

    Parce que seul cet archaïsme nous fera enfin accepter ce que cette modernité engendrera et ne peut encore pas générer: non pas le bonheur mais l'aventure, celle de notre humanité.

    L'Europe, fille de Zeus, n'est pas éteinte, n'est pas morte, ne décline pas.

    Contre sa volonté elle se trouve désormais au centre du monde, elle ne le veut pas, regimbe, rue, mord la poussière de se vouloir à terre, trépigne, fait refus d'avancer, s'assoit quand ce monde tourne autour d'elle, mais elle est là et elle le sait, nous le savons tous.

    C'est cet appel que nous refusons, l'appel à l'histoire que nous voudrions sans nous, rêvant encore à nos gesticulations passées, à ces joutes dérisoires par empires interposés.

    Anges et démons, nous mènerons cette modernité à son terme, pour le pire ou pour P1000831.JPGle meilleurs, que nous le voulions ou non, non pas parce que nous le souhaitons mais bien parce que le monde entier nous en fait l'appel.

    Et de l'Europe, au centre, se trouve la France.

    Et elle aussi, à l'encontre de son fort intérieur, de ses rêveries juvéniles, se trouve déjà au centre de tous les désirs.

    Le monde nous attend, ne le décevons pas!

     

     

    THEURIC

  • Les liens entre économie virtuelle et économie réelle.

    Bon an mal an, une grande majorité d'entre-nous a l'impression que le système économique globalisé, bien que d'une extrême fragilité, ne peut, contrairement à ce que je le prétends, s'effondrer, ou si ça se passe, se dit-il, cela ne se fera que dans un temps long, de l'ordre de plusieurs année, voire d'une décennie.

    Et je vous avoue que pendant longtemps je butais, en tout silence, sur  ce paradoxe, pour moi maintenant disparu, d'une économie monétariste devenue totalement folle, aujourd'hui d'une déficience morbide et présentant tous les signes d'une autodestruction rapide, semblant totalement déconnecté d'une réalité économique en totale déliquescence, mais qui paraissait résister vaille que vaille, de toute éternité, à sa propre déchéance.

    De fait, ça devrait faire depuis bien plus de huit longues années qu'elle aurait dû rendre l'âme, or, jusqu'à présent il n'en est rien.

    Wall Street caracole au-delà de tous ses record passé, les prix des carburants remontent, les banques centrales abandonnent leurs taux négatifs pour revenir progressivement à des taux positifs (d'emprunt aux banques et assurances),..., enfin quoi, la vie est belle.

    ...suite...

    IMGP0119.JPG

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  • Trump, d'empire à colonie, suite...

    Ce texte fait suite à celui précédent au même titre ( trump-d-empire-a-colonie-5877267.html ) où j'y explorais les interrelations de dominant à dominé dans une situation coloniale telle que la nôtre.

    Tous deux furent écrit en commentaire sur le site Businessbourse, me semble-t-il (en vrai, je ne me souviens plus exactement où), le premier fut copié-collé tel quel, le second est remanié afin d'y préciser certaines de mes réflexions.

    Mon approche est simple et prend son point d'appui sur le fait que les États-Unis-d'Amérique se trouvent dans une situation de délabrement telle qu'ils ne peuvent progressivement plus assurer leur domination impériale.

    Ce qu'une partie de l'élite britannique a  fort bien saisi, d'où le référendum de Grande-Bretagne d'un brexit qui fut, à mon sens, la conclusion d'une stratégie discrète étendue sur des années.

    Pour nous, français, ainsi que pour les peuples toujours sous le joug de l'oligarchie impériale U.S., il est d'une extrême importance de saisir en plein notre condition de captivité économique, politique et culturelle qui, à y regarder de près, se révèle être de plusieurs niveaux, pour la France, nous pouvons la percevoir comme d'échelle nationale, européenne, étasunienne et internationale.

    En effet, il s'agit  bien d'un ensemble d'oligarques, plus ou moins en accord, au moins sur l'essentiel, plus ou moins en désaccord de qui s'approprie quoi, mais qui, bon an mal an, ne peuvent pas ne pas se connaître et se reconnaître les uns les autres.

    Pour assoir leur pouvoir, ils surent prendre le contrôle de l'administration européenne, des banques et du flux monétaire communautaire, du pouvoir politique des états ainsi que d'une large majorité des médiats.

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    Nous en connaissons tous quelques-uns par leur nom, ad-minima de notre propre nation, tel que Bernard Arnaud et Pierre Gattaz en France, chaque pays ayant les siens, partageant, en Union-Européenne, une perception aristocratique de leur position sociale de domination sur la population et de leurs pleins droit, quasi divin, sur elle ainsi que sur l'économie nationale et européenne.

    C'est bien sur l'oligarchie impériale qu'ils se sont jusqu'à maintenant appuyé pour maintenir cette domination.

    D'où leurs angoisses existentielles, bien compréhensibles, lors de ce brexit et au vu de l'affaissement continuel de l'économie européenne et internationale, ne pouvant que conduire à l'effondrement des trois dimension de la globalisation économique, monétaire et bancaire, commercial, routier, maritime et aérien, et industriel.

    Mais ce n'est pas sur ce sujet que porte le texte qui suit.

    Il porte sur la responsabilité qui, désormais, nous échoit, autant en tant que citoyen électeur que de bientôt ancien colonisé, soit la vision que nous devons porter sur l'impérium américanum ainsi que de sa nouvelle évolution politique et économique (l'élection de Monsieur Trump).

    Il porte aussi sur le degré d'importance que nous devons accorder à cette évolution.

    Pour le reste, soit l'oligarchie nationale et européenne, elle n'a d'importance qu'en raison même de la puissance de celle outre-Atlantique et de l'efficience du monétarisme boursier et spéculatif.

    Que l'un des deux disparaisse, ou mieux encore, que ces deux là se retrouvent anéantis et ils ne pourrons qu'inéluctablement les suivre dans cette déroute.

    C'est pourquoi je ne fait qu'aborder ce thème qu'ici-même et non pas à sa suite.

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  • Trump: d'empire à colonie.

    Je ne sais pas si, toute proportion gardé, Monsieur Trump peut être comparé à Constantin 1er ou à Aétius, le vainqueur d'Attila, si comme le premier ce sera un réformateur ou si comme le second il n'arrivera jamais à atteindre le pouvoir,capturées 2006-6-28 00003.JPG assassiné avant.

    Quoi qu'il en soit et quoi qu'il lui arrive, c'est déjà un personnage historique dans le sens où ce qu'il représente est bien plus qu'il n'est en réalité.

    Ce nouveau président des Etasunis est un réformateurs, c'est à dire qu'il entend insuffler une dynamique nouvelle à son pays, quoi que nous puissions en penser part ailleurs.

    Nous ne la connaîtrons qu'une fois les décisions prises et que leur mises en œuvres commenceront à porter leurs effets.

    Si cela nous concerne, ce ne peut qu'être en raison des liens étroits, d'empire à colonie, qui nous unis, le reste ne devrait pas être notre affaire.

    En plus de ces deux inconnues déjà importantes, l'effondrement en cours de l'économie-monde, tendant à une accélération régulière, va avoir des conséquences que personne ne peut prévoir, hormis, bien sûr, les ruptures d'approvisionnement, avec ce que cela comporte d'infinis problèmes, et de la qualité des politiques de reconstruction qui seront mises en place par les différents états, dépendant des hommes en place sur le moment.

    Pour résumer, Monsieur Trump à trois défis à relever, sa survie, la refondation de son pays et la gestion d'une crise sans précédent.

    Nous devons aussi tenir compte des tendances centrifuges se manifestant en ce moment aux U.S.A., du peu que j'en sais, et elles ont l'air de prendre de l'ampleur (de tous les français).

    Enfin bref, le phénomène Trump est certes important mais ne devrait nous concerner que ce pourquoi nous avons des intérêts, soit pour notre pays et pour nous même, le reste ne pouvant avoir d'importance que pour notre seule curiosité naturelle et rien de plus, bien que cela soit d'importance mais d'un autre domaine.DSC_9621.JPG

    Sinon cela ne peut que montrer que nous ne nous sommes pas encore affranchi de ce joug impérial.

    Toute rupture de domination doit d'abord commencer par la compréhension de son essence même, pas tant de cet empire, soit du dominateur, mais bien de celle du dominé, quel qu'en soit le caractère.

    Il s'agit donc pour ce dominé d'en saisir le plein sens intérieur, parce que seul cela devrait lui importer, le reste restant du domaine du dominant, c'est son problème, sauf en ce qui intéresse sa résistance à l'émancipation du colonisé nécessitant, pour ce dernier, la réaction la mieux adaptée à la situation créée par la-dit résistance.

    Ainsi la place du dominant est tel que parce que le dominé a aussi la sienne propre, il s'agit donc d'une relation réciproque à intérêts commun en miroir, générant un confort à chacun de ces partenaires, même si cela mène, en réalité, à un mal-être du dominé.

    C'est ce confort de la situation établie qu'il s'agit de briser, mais c'est bien parce que le dominant a une situation privilégiée sur le dominé que celui-ci se doit de faire le travail en amont sus-décrit.

    IMGP0079 - Copie.JPGC'est logique, il est difficile, pour le dominateur de se débarrasser de ses petits avantages, surtout si ils sont nombreux et juteux, quand l'asservi, lui, n'a de seul profit que celui de la confortable obéissance infantile, soit n'avoir aucune responsabilité.

    Là seulement existent les intérêts de chacun d'eux et nulle part ailleurs.

     

     

    THEURIC

  • Réflexion mathématique sur le pourcentage de chômeurs aux U.S.A..

    Je vous propose ici un calcul de pourcentage sur le nombre de chômeurs aux U.S.A..

    Sachant qu'instruire de la règle de trois n'est, dorénavant, plus toujours la règle à l'école, j'en profite pour en exposer au mieux les mécanismes.

    Mais il est vrai que j'ai, depuis que je suis môme, toujours bien aimé ce truc.

    Et que,  surtout, en fin de page, vous vous apercevrez que le réel pourcentage du chômage aux U.S.A. fait froid dans le dos.

    Pour ceux connaissant ce type de calcul, vous pouvez au moins voir si dans ma formulation, je suis suffisamment clair et précis, ce fut pour moi, en effet, un exercice de style.

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  • Deux textes vite faits.

    Je vous propose aujourd'hui deux textes plutôt courts, le premier portant sur la désindustrialisation mondiale, le second d'une réflexion de la politique française lorsque cette catastrophe  aura lieu.

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  • De petites idées en goguette...

    Bon ben, je suis allé voir le graphique de l'évolution des prix des matières premières produit par l'I.N.S.E.E. et, comme je l'avais supputé précédemment, ils recommencent à descendre ( theme.asp?id=18 ).

    Ce qui veut dire que la désindustrialisation reprend son cours après la brève accalmie du printemps et du début d'été.

    Ceci dit, ne m’appesantissant pas réellement directement sur des questions économique désormais inéluctables, soit l'effondrement de la globalisation économique, thème que j'ai déjà mainte fois traités, mais je vais ici m'essayer de préciser ma pensée sur des sujets parallèles, ceci pour  affiner notre perception de cet effondrement de l'économie-monde.

    Je vous propose aussi que nous allions rapidement nous balader sur les chemins sinueux de la géostratégie, puis d'aller faire une promenade, toujours aussi rapide, au sein de l'empire U.S. et de sa colonie principale, l'U.E., ensuite, nous verrons bien les thèmes qui émergeront, pour l'instant, je n'en sais pas, en cela, plus que vous...

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  • Quelques nouvelles idées en passant.

    Bien entendu, je vais un petit peu commenter les événements se passant en France, mais je vous propose aussi quelques idées, dont une ou deux, je le conçois, risque de surprendre.

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  • De la réalité des temps modernes.

    La réalité a ceci de particulier qu'elle est incontournable, elle est, par nature, et se révèle surtout à nous lorsque nous nous confrontons à elle, lorsque nous nous efforçons de tricher avec elle, lorsque nous nous efforçons de la tordre à notre volonté sans vouloir ou pouvoir en comprendre la constitution, l'essence.

    Elle n'est pas tyrannique, tous nous avons la liberté du choix, mais celui-ci ne peut se faire que dans le cadre plus ou moins étroit, plus ou moins large de la situation donné lorsque ce choix se fait.

    Il y a, ainsi, des choix plus ou moins mauvais, plus ou moins bon, plus ou moins efficace, parfois il n'y a que de mauvais choix, d'autres fois il n'y en a que d’excellents, cela dépendant essentiellement des conditions aux moment où ce choix s'effectue.

    Quand nous commençons à ressentir revenir la réalité, commençons à en ressentir la morsure, après l'avoir contourné plus ou moins longtemps pour des raisons ou d'autres, le premier geste est le plus souvent la fuite en avant, soit de continuer dans notre ancienne façon de faire, par réflexe et automatisme, anciennes manières qui, justement, nous avaient déjà conduit dans les difficultés que la réalité révèle lors de crises, ce qui accentue encore des effets déjà néfastes.

    Si nous n'y prenons garde et ne changeons pas notre façon de faire et d'agir en faisant évoluer la perception que nous avons du monde, cela nous conduira inéluctablement à la catastrophe à un moment ou à un autre.

    Généralement, cette catastrophe était prévisible par les différentes crises avant-coureuses qui se produisirent précédemment.

    Ce devrait d'être au moment de l'une de ces crises qu'il aurait fallu agir avec célérité et vigueur, cela en considérant l'importance du choix, ce qui veut dire de comprendre la situation dans son ensemble le plus précisément possible, quitte, parfois, de s'avouer nos fautes, nos faiblesses et/ou nos forfaitures ainsi que de celles de notre ou nos vis-à-vis.

    Puis de percevoir au mieux le meilleurs des choix, soit ce que devrait être l'ensemble des actions à mener, ou de non action, ce qui revient au même, qui nous permettraient d'éviter la catastrophe venant, ou du-moins, d'en limiter les effets les plus délétères

    Dès lors, nous pouvons considérer qu'une crise, ici celles passées concernant l'ensemble de l'humanité et de son économie, mais cela pouvant se révéler aussi de problème ne concernant que nous-même, voire d'un couple, d'une famille ou d'un petit groupe de personnes comme d'une entreprise, de relations amicales ou d'une association..., une crise, donc, est ce moment privilégié où il est possible de redéfinir, individuellement et/ou collectivement, notre perception de cette situation et ensuite d'en infléchir au mieux le cours.

    Or, et c'est là l'origine de ce court développement, nous pouvons tous percevoir combien, à l'échelle nationale, européenne et mondiale, les divers crises qui traversèrent les 40 dernières années ne furent que l'occasion de réflexions limités ou sinon, lorsque ces réflexions étaient plus riches et complètes, ne provenaient que de gens n'ayant qu'une audience réduite.

    Hormis, il est vrai, de ne faire que justifier les décisions qui furent prises dès cette époque par des présupposés vaguement théoriques, ce qui accoucha de ce que, faute de mieux, nous nommons en France le néolibéralisme et dans les pays anglo-saxons le néoconservatisme, ce qui donna le terme de néocon qui, en langue française, se révèle fort savoureux.

    Depuis, donc, tout ce temps, aucune réelle remise en question des présupposés ayant donné naissance à notre conjoncture actuelle ne fut entreprise (ou cela ne fut le fait que d'une infime minorité de ces gens ne pouvant pas vraiment se faire entendre).

    Crise après crise, la-dite conjoncture, nationale, européenne et internationale, s'est dégradé à un point telle que nous pouvons observer que, dorénavant, la moindre des décisions prises, la moindre des actions entreprises ne font que délabrer encore plus l'état des choses.

    C'est pourquoi je pense que nous sommes arrivés à ce moment catastrophique où la réalité, dans ce qu'elle peut avoir de plus grimaçant lorsqu'on ne tient pas compte depuis longtemps de sa nature, reprendra durement ses droits.

    Déjà, de nombreuses informations peuvent être perçues montrant, à qui veut bien l'entendre, que le système économique globalisé se désagrège.

    Ses quatre piliers, idéologique, monétaire, industriel/commerciale et ce qui soutenait l'ensemble, soit l'empire U.S., se fissurent de toutes parts.

    Et il est loisir, pour chacun d'entre-nous, de constater cette désagrégation de l'économie-monde sous ses quatre formes:

    1) l'effondrement idéologique;

    2) la perte de valeur des monnaies par leur surproduction;

    3) la désindustrialisation, la mise au chômage des peuples et l'arrêt concomitant du commerce international;

    4) la dissipation de la puissance étasunienne, l'affaissement des U.S.A. en tant qu'empire, voire la bientôt disparition de ce pays en tant qu'union.

    Pour cela, les outils que nous offrent internet sont centraux.

    Or, de paraître insatisfait, j'ai remarqué qu'en réalité les fantastiques chamboulements technologiques qu'a généré l'électronique et l'informatique jusqu'à aujourd'hui, ainsi que d'autres avancées, comme en médecine ou en science du vivant, ne furent que les prolongements de découvertes fondamentales, telle que la physique quantique ou la découverte du génome, qui se firent pendant une centaine d'années, soit entre le milieu du XIX° et celui du XX° siècle.

    Après cela, rien ou pas grand chose, si ce n'est que le développement de ces découvertes passées, mais sans chercher à les remettre véritablement en question, sauf, là encore, à de rares exceptions près, de personnes inventives souvent ostracisées.

    Pourtant, ce furent les continuelles remises en questions des savoirs de l'époque qui permirent ces remarquables découvertes fondamentales, ce fut parce que des personnalités telles que Messieurs Einstein, Marx et Pasteur questionnèrent les connaissances et les vérités de leur temps, qui leur permirent leurs magnifiques trouvailles.

    Il est à remarquer qu'il en est pareillement en science humaine, en économie notamment.

    Notre monde a changé et évolue encore à un rythme accéléré, les technologies nouvelles n'y étant pas pour rien, la vitesse des échanges, des transports, des communications ont chamboulé le monde d'une manière incroyable.

    Le fait que pendant dix ans environ ait pu exister un empire absolu (1991, fin de l'U.R.S.S., à 2001, krach technologique et attentat de New-York), celui des États-Unis-d'Amérique, que, contrairement à ce qui a pu se passer auparavant, celui-ci se soit bâtit, dès le début de la guerre froide, non pas par les armes mais par la culture et par la monnaie, ce qui était jusqu'alors inconnu (les empire coloniaux européens s'étant établis classiquement par des conquêtes armées).

    Le fait, également, qu'une virtualité (soit ce qui n'existe pas) quasiment palpable puisse exister, que ce soit sous forme de jeux, de modélisations scientifiques, de flux monétaires ou sous toutes autres formes encore, est là aussi d'une incroyable nouveauté.

    Les exemples de mêmes sortes sont nombreux mais nous sont invisibles parce qu'ils représentent la réalité présente.

    Pourrions-nous imaginer vivre sans électricité, sans eau courante chez soi, sans four miro-onde (je n'en ai pas), sans téléviseur (cela arrive chez certains), sans réfrigérateur, sans chauffage dans toutes les chambres, sans internet et ne parlons pas de l'ordinateur, sans automobile ou tout autre moyen de transport moderne, sans G.P.S., sans radio, sans téléphone, ...

    Pourrions-nous imaginer la société sans satellite, sans avion à réaction, sans machine à billet de banque, sans route goudronnée, sans plastique, sans feu rouge et panneau de signalisation, sans hôpital et son matériel ultra-moderne, ...

    Or, tout cela et beaucoup d'autres choses ont, pour les plus anciens, pas plus du siècle et demi, la plupart des personnes nées avant les années cinquante en France ont vécu sans.

    Songeons aussi que dans les années 70 vivaient 3, 5 milliards d'êtres humains quand maintenant nous en sommes à plus de 7, 3 milliards, ce fait est d'une importance capitale et est à mettre en parallèle avec nos chamboulements technologiques.

    Il est également important de penser que toutes les productions électriques, hormis celles dues aux barrages, viennent de machines à vapeur, qu'elles soient nucléaires ou fossiles (charbon, gaz, pétrole), vous imaginez-vous voyager en train à vapeur?

    Moi non, et pourtant personne ne sait encore tirer de l'énergie électrique autrement qu'en faisant chauffer de l'eau, si ce n'est celle hydroélectrique de ces mêmes barrages, ressemblant tout de même aux moulins à aubes.

    Et qu'en est-il des éoliennes qui ne sont que des moulins à vent munis d'une turbine.

    Quand aux panneaux solaires, ils sont l'une des résultantes de ces découvertes fondamentales en physique, celles des quantas...

    Je pourrais longuement égrainer la litanie d'une modernité qui, en réalité, n'en est pas tant que cela une, hormis, comme je l'ai dit plus haut, celle des communications, de l'électronique et de l'informatique.

    Ainsi la chimie, les propulsions, dont celle des fusées et des automobiles sont arrivés au maximum de leurs possibilités.

    La philosophie, le plus souvent, rabâche les mêmes antiennes dans un monde ayant largement changé, et parfois ne fait que vaguement jacasser.

    Les sciences de l'homme, celles de la matière, de la vie découvrent, c'est vrai, mais où se trouvent l'originalité, la réelle trouvaille, qui lit Madame Morgan et sa théorie d'une origine aquatique de notre humanité ou qui se penche sur la théorie des univers gémellaires porté par Monsieur Petit, plutôt que de bêtement les réfuter succinctement?

    Les arts également sont touchés par ce même travers du rabâchage et de la jacasserie, en exemple parmi tant d'autre, en musique, écoutez-donc James Brown et vous découvrirez que le rap existait déjà bien avant que l'on en connaisse le nom et Boris Vian faisait déjà de la musique planante 20 ans avant Pink floyd (personnellement j'écoute du classique, plus ancien encore, ce qui ne nous rajeunit pas, mais les compositeurs modernes manquent pour le moins de structure, ils font de la jacasserie, en quelque sorte).

    Quand à la pensée politique, elle ne patauge même plus, elle erre, sauf en Russie où y commence tout juste à en frémir d'un tout début de germination de nouveauté.

    Alors oui, si nous pouvons dire que notre société est moderne, ce n'est juste que grâce à des avancées technologiques dont les origines, parfois relativement anciennes, proviennent, pour certaines, de découvertes faites bien avant que la plupart d'entre-nous soient nés et datant, pour les autres, de nos arrières-arrières-arrières-grands-parents au moins.

    Le reste est du contemporain, d'ailleurs, c'est ainsi que se nomme notre époque.

    Voilà le diagnostique que je pose sur la réalité de notre modernité: elle butte sur une montagne de conformisme et de conservatisme tout en se pensant moderne pour avoir adopté des mesures comme le mariage pour tous, qui n'était que la résultante de l'abandon du mariage par les couple mixtes, ou pour courir derrière des avancées technologiques qui, à un moment donné, n'ont fait que miniaturiser les machines.

    Quand à l'économie et à la politique, nous retournons comme d'un seul homme à ce qu'elles furent au XIX° siècle, toujours dans l'idée que cela fait moderne.

    Ce diagnostique n'est en rien celui d'un déclin, les bouleversements technologiques et sociologiques furent tel que nous n'eûmes pas le temps d'en appréhender les dimensions, voilà la raison d'être de ce texte, déterminer nos difficultés présentes.

    Ainsi, la monté de l'égalité entre l'homme et la femme, provenant de leur instruction partagée et de la compréhension plus ou moins consciente que l'intelligence est asexuée (contrairement au reste de leurs différenciations biologiques), fit que le mariage, rite ô combien féminin pour conserver au sein du foyer cet homme naturellement volage, nécessaire pour une éducation harmonieuse de l'enfant, perdit progressivement sa raison d'être et, dès lors, de sa légitimité.

    De même, les montées en puissances des technologies informatiques accélérèrent les vitesses des flux de capitaux, rendant de plus en plus difficile leur contrôle par les états, ce qui permis à leur détenteurs d'acheter une part grandissante du personnel politique, ce qui ne peut qu'aboutir à un effondrement économique catastrophique d'échelle mondiale comme j'ai pu le détailler.

    Et nous pouvons également réfléchir à cet affaiblissement continuel de cet empire U.S. qui sut, d'antan, formater, par sa monnaie et par sa culture, une majorité des esprits de ce qui fut l'Europe de l'ouest de telle sorte qu'aujourd'hui un grand nombre de gens ne peut ne serait-ce qu'envisager sa monté en faiblesse, alors, sa disparition totale ne peut que leur être que hors de toute considération.

    Nous pouvons, de même, nous pencher sur les ravages que notre modernité, restée à l'orée du XX° siècle plus encore par son approche philosophique que par sa technologie, produit sur la nature des pollutions multiples et variées, tant sur les sols, les eaux et l'air, les hécatombes d'insectes causées par leur écrasement sur les automobiles ou la mortalité des oiseaux due aux éoliennes, l'usage immodéré de produit chimiques néfastes, autant dans l'agriculture que, dans la maison, pour la vie du tout les jours, le déversement continuel dans l'eau de produits mimant à s'y méprendre les hormones féminines, n'en sont que d'infimes exemples.

    C'est, et c'est là ma thèse, parce que nous n'avons pas pu et pas su penser tout cela, n'avons fait que réagir à un ensemble de stimulus sans prendre le temps de comprendre notre modernité dans son intégrité et son dynamisme, pas pu et pas su la remettre réellement en question, soit de véritablement la questionner dans toute sa complexité, de ses bons et de ses mauvais cotés.

    De n'avoir pas pu et pas su, par manque de temps, et peut être de courage, aller résolument de l'avant plutôt que de courir derrière le dernier gadget et le dernier sujet à la mode, de faire fi des barrières du conformisme et du conservatisme et de poser à plat nos connaissances pour pouvoir percevoir où se trouvent les paradoxes et les contradictions, les illusions et les certitudes bornées, les pièges et les culs-de-sac, les foutaises inutiles et dangereuses et les dangers imminents.

    Il n'est pas trop tard, il n'est jamais trop tard, soyons révolutionnaires, questionnons nos acquis, nos savoirs, nos goûts même, allons de l'avant, résolument, soyons fier de ce que nous sommes et respectons les anciens en les questionnant, allons voir ce qu'ils disaient, allons voir aussi ce que nous pouvons découvrir qui n'est pas encore compris, ce qui n'a pas encore été inventé, posons nos hypothèses, risquons la réfutation des théories majoritaires et indépassable.

    Recherchons la nouveauté dans le beau et le bon, sans le n'importe quoi mortifère, quitte à pêcher aux plus anciennes des sources, réinventons l'art quand il en a besoin, l'artiste s'apprécie à la valeur du temps.

    Soyons fous, inventons!

  • Réflexions sur le racisme et les questions juives et noires.

    Pour comprendre sur quoi s'établit ces lignes, je vous renvoie au texte présenté sur ce site: ( http://www.les-crises.fr/sanders-cachez-cet-antisemitisme-que-nous-ne-saurions-voir/ ) et, aussi, à certains de ses commentaires.

     

     

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  • Des enfants capricieux!

    Au-devant des déboires boursiers, des baisses des prix des matières premières, nos puissances d’argents et leurs affidés s’affolent, mais, pire que tout, elles ne comprennent plus le monde tel qu’il est, si tant est qu'elles ne l'aient jamais compris.

    En un mélange de déni et d’aveuglement, deux processus mentaux différents, le premier s’entendant de ne pas vouloir comprendre ce qu’il a devant les yeux en raison de ses intérêts psychologiques et sociétaux propres, le second ne pouvant pas percevoir la réalité à cause de sa structuration psychique, collectif et/ou individuel, nous pouvons voir ces acteurs se débattre, s’agiter n’importe comment, comme un homme ne sachant pas nager en train de se noyer.

    Leurs boucs-émissaires deviennent nombreux, très nombreux même, sont légions, du chômeur à l’immigré, du gouvernement, qui n’est plus composé en fait que de leurs petits bras, jusqu’aux banques centrales, ...,chacun de ces matassins recherchent avec fébrilité qui est responsable de leur ruineuse déconfiture, qui pourrait porter la responsabilité de leur ruineuse déconfiture.

    Ceci sans comprendre qu’au premier chef ce sont eux les responsables de cette débâcle économique en cours, de cette faillite universelle.

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    En fait, nous fûmes gouvernés depuis tant de décennies par des enfants capricieux, héritiers égarés et gavés d'une bourgeoisie d’antan beaucoup plus intelligente et inventive qu’eux, souvent raisonnable et parfois vertueuse, descendants qui maintenant sont dépassés par des responsabilités économiques et politiques qu’ils étaient, depuis le début, déjà tous dans l’incapacité et l'impossibilité d’assumer.

    C’est pourquoi ils rêvent tous, toujours et encore, d’Amérique, leur seul espoir de perpétuer leur place sociale dominante dès lors s’effilochant, leur dernier crédo sur quoi encore s’accrocher pour avoir l’impression de penser un peu, pour pouvoir justifier leur existence à leurs propres yeux, le néolibéralisme c'est leur Amérique à eux.

    C’est pourquoi, manipulateurs comme le sont tous les enfants capricieux, ils nous emmènent à l’adoration de tout ce qui peut ressembler aux États-Unis-d’Amérique.

    L’Union-Européenne et son euro, dont le sigle barré d’un trait supplémentaire de son E, €, ressemble à s’y méprendre au trait barrant le S représentant le dollar, $.

    Comme il en est de son drapeau et de ses douze étoiles jaunes, pareil à ceux situés dans le rectangle en haut à gauche du drapeau étasunien, non pas cinquante étoile mais douze, comme les douze apôtres, pour que Dieu sauve autant les Amériques que l’Europe, là aussi en un symbolisme enfantin, pas par esprit religieux mais juste pour copier l'empire U.S., pour fantasmer être E.U.A., d'être E.U. comme l'est presque l'U.E. en une simple inversion.

    Mais aussi de cette langue anglaise que le français baragouine comme il peut, lui qui n’est pas fait pour les langues étrangère, langue anglaise contrainte d’être parlée dans des universités françaises, extase de notre ploutocratie nationale et de ses petites mains, pour qui cela donne le sentiment tout puissant du pouvoir de dominer l’intelligence, eux qui connaissent, qui savent, qui vivent, au fin fond d’eux-mêmes, leur réelle médiocrité.

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    Contemplez aussi combien nos journalistes américanolâtres déblatèrent avec délectation sur les élections présidentielles U.S., eux qui ne surent porter qu’à peine l’attention sur nos propres élections.

    Eux aussi soulignent ainsi leur infantilisme béat, leurs petits caprices pernicieux, leurs mêmes rêveries de domination, leur même perdition.

    Parce que, pire que tout, combien voudraient-ils tous que nous pensions comme eux, comme de ces enfants capricieux voulant tant que leurs parents ne les nourrissent que de ces bombons vendus en présentoir dans les grands-magasins en ne comprenant pas les refus parentaux.

    Il en est également de ces lois qu'au regard des déclarations des droits de l'homme et du citoyen ne sont que signes de tyrannie, loi qui ne sont pas pour nous protéger d'attentats islamistes, mais pour que ces puissances d'argents se protègent de nous.

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    Parce que, comme tous les enfant capricieux, c'est surtout la peur qui les font tels qu'ils sont.

    C’est de tout cela qui fait que nous nous rapprochons de notre ruine, de ces enfants gâtés et capricieux qui ne peuvent que concevoir leur toute puissance que pour seulement cacher leur insigne défaite de leur capacité de penser, de ce manque de courage là, de cette peur d'être découverts.

     

     

    THEURIC

  • Petite vidéo d'un économiste, pour moi, inconnu.

    Je vous avoue ne pas tellement aimer faire ça, mais encore une fois je me laisse aller à vous renvoyer vers une adresse autre, bien que je vous laisse, d'abord, le résultat de mes propres réflexions.

    Ce sera la vidéo d'un économiste, Monsieur Holbecq, qui, de façon bien plus précise que je ne puis le faire, montre et démontre la fragilité du système économique en place et, surtout, de son prochain effondrement, l'un des thèmes prioritaire de ce blog.

    Je vais vous en proposer l'adresse à la fin de mon article.

    Pour ma part, je pense que ce processus est d'ores et déjà en route et que nous sommes dorénavant pris entre deux feux:

    -une monstrueuse surproduction monétaire internationale, les Q.E. et les crédits, faisant perdre aux monnaies toute valeur, avec, de plus, un effet secondaire et destructeur, lors de cet effondrement, pour celles liées, d'une manière ou d'une autre, au dollar, soit quasiment toutes: il les entrainera dans leur chute, même celles n'ayant pas pratiqué cette surproduction;

    -une désindustrialisation mondiale provenant de l'appauvrissement des trois classes-moyennes, basse, intermédiaire et haute, anciennes en Occident, nouvelle dans le reste du monde, seule classe sociale nombreuse à pouvoir véritablement acheter du superflu en quantité, ce socle économique indispensable pour la bonne marche économique d'une société ainsi que pour l'économie globalisée, désindustrialisation générant divers effets tous accélérant ce mécanisme de manière exponentielle:

       1) déflation compétitive concurrentielle des payes et des retraites de chaque nation pour pouvoir vendre ailleurs ce qu'elles produisent, puisque de moins en moins de personne ne peut acheter au sein de ses frontières en raison de cet appauvrissement (même les objets de luxe trouvent dorénavant difficilement preneur);

       2) expatriation, pour celles qui n'ont pas fermé définitivement, des usines et fabriques vers les pays en voie de développement aux salaires les plus bas, ceci pour la recherche du toujours moindre coût et donc appauvrissement et chômage des nouvelles classes-moyennes des pays émergeant;

       3) hausse logique du chômage, ici et partout ailleurs, comme quoi nos problèmes ne se résument pas à une seule question franco-française, ni même européenne;

       4) baisse progressive de qualité des productions, difficultés pour trouver des pièces de rechange;

      5) baisse des prix des matières premières touchant, là encore, certains pays occidentaux, ceux émergeant mais aussi ceux en voie de développement.

    Ces deux lourdes tendances sont inextricablement liées l'une à l'autre et génèrent, elles aussi, leur double effets pervers également accélérant qui sont:

    - Un inflation, en Occident au moins, due à ce que la surproduction monétaire, donc leur perte mécanique de valeur (puisque déconnecté de la richesse réelle des pays), est plus rapide que la désindustrialisation mondiale, elle-même naturellement déflationniste.

    Ce qui veut dire que notre argent, les monnaies, perd plus rapidement de sa valeur que ne baisse les prix à la production dans les usines et fabriques, en rajoutant à cela leur transport, d'où la réalité de cette inflation, d'où aussi l'accentuation des difficultés d'écouler les stocks produits.

    Cela non pas due à une monté des prix, qui désormais, en réalité, baissent, mais à l'effondrement ultra-rapide de la valeur des monnaies;

    - une remonté des taux directeurs de la banque centrale étasunienne, soit le taux auquel la F.E.D. prête aux banques U.S., de 0% à 0,25%, qui peut avoir trois raisons possibles, voire complémentaires, ce qui me semblerait plus logique:

      1) la crainte, pour son patron, Madame Yellen, de perdre la face puisqu'elle annonce régulièrement cette hausse depuis longtemps;

      2) le début d'une nouvelle guerre des monnaies, ceci pour attirer vers la F.E.D. les investisseurs en bons du trésor, vu que le dollar se trouve de plus en plus rejeté par les autres états et les investisseurs.

    Le danger étant qu'un grand nombre de banques centrales dans le monde ayant aussi leur taux directeurs à zéro, ce qui les pousserait à faire de même que la F.E.D. pour également attirer à eux ces mêmes investisseurs.

    Ainsi, nous risquerions de voir la monté des taux de crédit mondiaux par un effet de compétition, ce qui ne pourrait que mettre à mal tous les emprunteurs dont beaucoup se trouvent aux U.S.A. (pétrole de schiste, prêts aux étudiants, automobiles, ..., en un nouvel effet subprime, soit les crédits aux pauvres), mais aussi en Chine (bulle due à une gigantesque construction immobilière anarchique sans habitant), comme en France et en Union-Européenne, pour ces trois seuls exemples;

      3) la tentative de cacher à tous, et peut-être aussi à eux-même, en un aveuglement des décideurs politiques et économiques U.S., dont Madame Yellen, la réelle situation économique plus que déplorable des États-Unis-d'Amérique et celle mondiale.

    En tout état de cause et comme j'ai pu en parler auparavant, plus nous attendons la survenue de cet effondrement de l'économie globalisé, plus ses effets seront rapides, violents et destructeur.

    Et comme j'ai pu vous le conseiller dans des notes précédentes, faites des réserves, ayant moi-même compté:

    -quelques jours, voire deux semaines de menues monnaies, ne serait-ce que pour quelques courses, le pain, notamment, ceci étant dû au fait que les banques ayant fait faillite, il faudra du temps pour que le gouvernement réagisse ou ne soit renversé, pour qu'enfin celles-ci soient nationalisées (il en sera de même pour les assurances, il vous faudra être prudent);

    -si vous avez plus de 100 000 euro dans une même banque, répartissez dès aujourd'hui cette somme dans plusieurs autres, puisque dans un premier temps la différence vous sera confisqué en une tentative inutile et futile de les faire survivre;

    -trois mois de nourritures pouvant se conserver, pâtes, riz, plutôt complet, légumes voire fruits secs, farine, sucre, huile, beurre, ...,plus des conserves si vous en avez la place, du café aussi, le temps que les acheminements de vivres reprennent, l'agriculture française existant encore (pour combien de temps?);

    -faites un potager, vous pouvez dès maintenant acheter les outils, des graines au plus tôt, faites le bêchage d'automne tant que le sol n'est pas gelé, semez en pot en intérieur dès la fin des forts frimas, des tomates par exemple, pour avoir votre récolte au plus tôt;

    -ayez des poules pour les œufs puis la viande, pour vous et aussi pour du troc;

    -comptez un an de produit de première nécessité, pour le corps (savon, shampoing...) comme pour la maison (javel ou vinaigre blanc, lessive, P.Q....), songez à ce que quasiment plus rien n'est produit en France;

    -ayez de quoi faire du troc pour deux à trois ans de ce qui n'est plus produit sur notre sol, soit presque tout, tout pourra faire l'affaire, des cigarettes pour les non fumeurs (les autres les fumeront), du chocolat, du café (là encore il sera dur de ne pas résister), mais aussi du papier, du cirage, du savon en rab, de la peinture, du bois de chauffe, des piles, des lampes..., etc..., enfin,  de tout ce dont nous avons tous besoin au jour le jour et dont nous ne faisons que des réserves limités;

    -le vélo et/ou le vélomoteur (le plus économe en essence), surtout si vous habitez loin des gares, le train continuant sûrement de rouler, seront une valeur sûre, songez que l'arrêt des transports internationaux signera celui des produits pétroliers, votre voiture restera donc au garage et les bus et cars au dépôt, l'essence et le gasoil sera réservé aux véhicules prioritaires et aux armées;

    -commandez un, voire deux chéquiers, les paiements électroniques pouvant cesser à un moment ou à un autre, rapidement (?) le chèque pourrait devenir le seul moyen de paiement pour un temps indéterminé, dès que le gouvernement d'alors auront rouvert les banques;

    -conservez convenablement tous vos papiers, attendez-vous, aussi, au moins à un ralentissement internet, les administrations, les banques et les assurances, aussi, pouvant les égarer lors de cette catastrophe, voire perdre leurs informations informatiques;

    -dès que les signes les plus évidents et marquants, pour ne pas dire angoissants, seront là, allez voir votre maire pour lui expliquer ce qu'il se passe, parce qu'il y a de fortes chance qu'il n'y comprenne rien, ceci pour qu'il commence à organiser autant les pénuries que les risques de désordres et débordements.

    C'est, en effet, dans les débuts de cet effondrement, au local, que l'organisation sera, dans un premier temps, le plus efficace.

    Je vous encourage à agir au plus vite, ces événements pouvant survenir à n'importe quel instant, demain comme dans un mois, mais probablement moins d'échelle d'une année, bien que le système économique globalisé montre, depuis trois ans au moins, d'incroyables et dangereuses capacités de résiliences.

    Tous nous avons affaire à des proches, des amis, qui ne peuvent concevoir comme possible un tel effondrement, qui parfois, même, font preuve d’ironie et de moqueries, c'est leur problème, pas le vôtre, du-moins vous pouvez songer à eux lorsque vous ferez vos réserves, le moqueur d'aujourd'hui pourrait se révéler d'une aide précieuse demain, et puis, qui aime compte-t-il?

    Comme je l'ai déjà dit, cet effondrement pourrait se révéler extrêmement rapide, cette vidéo d'un professionnel de l'économie ne faisant que de me le confirmer, avec, de plus, l'impossibilité probable pour que, pour une période impossible à définir, la monnaie ne nous soit que peu ou pas disponible et les machines à billets à l'arrêt.

    En tout cela, je ne suis ni pessimiste, ni optimiste, mais je trouverais juste stupide, de ma part, de ne pas prendre en compte, de ne pas partager et mettre en garde d'autres, ni d'organiser ce que je considère comme inéluctable, soit un effondrement catastrophique de l'économie mondiale.

    Pour le reste, le visionnage de la vidéo de ce Monsieur vous l'expliquera de manière bien plus efficace que je ne saurais jamais le faire.

    Celle-ci dure 55mn. 57, en voici le lien:( watch?v=Z0T0zKFkAEI ).

    Soyez prudent et attentif!

     

     

    THEURIC

  • Nouvelle réflexions sur le temps présent.

    Le processus de désagrégation économique suis son cours et la politique reprend difficilement ses droits, entre autre en Union-Européenne.

    L'économisme échevelé, en une bête blessée à mort, rue et mord quiconque paraît lui barrer la route de sa survie.

    L'U.E. en rajoute chaque jour un peu plus pour se faire détester.

    Le gouvernement U.S. et Wall Street voient s'agrandir toujours plus le gouffre de leur décrépitude.

    Les B.R.I.C.A., souffrant de la faillite mondialisée, commencent à prendre leur place dedans un empire étasunien en déliquescence, comme au Proche-Orient.

    Alors, allons y voir.

     

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