Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • De l'effondrement monétaire qui vient!

    Il ne s’agit pas ici d’une crise mais d’une catastrophe.

    De plus, l’économie réelle est déjà dans son processus d’effondrement par la désindustrialisation généralisée.

    Donc, dorénavant, ce ne sera pas cette économie réelle qui se délitera puisqu’elle est déjà en plein délitement, mais celle de la monnaie et des crédits, ou des dettes, ce qui revient au même.

    De plus, nombre d'économistes sont eux aussi dépassés et ne se rendent pas compte de la réalité de ce processus en cours: l’économie réelle est entrainée à la faillite par l’économie monétariste ou virtuelle qui lui aspire ses richesses par l’entremise de la dette et des Q.E., ces derniers en raison de la perte de valeur des monnaies, ce qui entraine le monétarisme vers sa banqueroute par l’arrêt de la circulation monétaire.

    Le tout étant de savoir quel est le taux de ralentissement de circulation monétaire qu’il faut pour que toute cette machinerie s’effondre et, dès lors, quel est le niveau de désindustrialisation mondialisé faut-il atteindre pour que le circuit monétaire aboutisse à son arrêt.

    C'est cela que je vais tenter de développer plus avant, non pas de ce taux précité, je n'ai ni le savoir, ni la possibilité de le calculer, mais les mécanismes qui me font dire que nous connaîtrons un arrêt soudain de la circulation monétaire.

    P1000143.JPG

    Donc, je ne peux pas faire autrement que d'en reparler, la situation pouvant dégénérer avec une telle rapidité que cela pourrait mener à un brusque arrêt de tout le commerce international dû à la cessation de toute circulation monétaire, même, et peut-être surtout, au sein de l'Union-Européenne et de la zone euro.

    Il s'agira, spécifiquement, d'un effondrement monétaire et non pas purement économique, ceci, tout simplement, parce que le système économique réel, soit la constitution des produits fabriqués puis leurs échanges marchands, est dès maintenant en pleine déconfiture.

    C'est d'ailleurs cette économie réelle qui est en train de mener la financiarisation à sa perte et, ce, depuis 2008, bien que ce processus ait démarré des décennies auparavant, comme j'ai pu l'expliquer antérieurement ici ( les-liens-entre-economie-virtuelle-et-economie-reelle-5892056.html ).

    C'est parce que, me semble-t-il, ce sujet appartient dorénavant au domaine de l'urgence qui me  fait ne pas écrire sur les élections présidentielles qui viennent (j'en toucherais deux, trois mots) mais, plutôt, de vous entretenir, une fois encore, il est vrai, de ce qu'il faut bien appeler une catastrophe économique de grande ampleur (de tous les français, ouarf).P1000848.JPG

    Donc, à l'effondrement économique actuel, la désindustrialisation, se succèdera un second effondrement, monétaire celui-là, soit tout ce qui concerne, certes les banques, les sociétés de crédit et d'assurance, mais aussi les bourses, les fonds de placement, soit l'ensemble des retraites par capitalisation, ce qui touchera au moins la moitié de l'U-E, la valorisation des monnaies les unes, les autres, ainsi que, comme je l'ai dit, les commerces internationaux aériens, maritimes et routiers, la fourniture en matières premières et, également, en produits de première nécessité importés (j'ai du de plus en oublier dans ma liste).

    Les raisons, multiples, sont en fait assez simples à comprendre:

    1) pour tenter de sauver les banques et autres sociétés financières, il fut, par les banques centrales, produit une quantité monstrueuse de monnaies, les Q.E. officiels et officieux, ce qui leur à fait perdre quasiment toute valeur;

    2) pour tenter de remédier et, ce, depuis fort longtemps, à la perte des industries en Occident ainsi qu'à la mise au chômage et baisse des salaires des salariés, les crédits se sont largement ouvert tant aux ménages qu'aux états, ces derniers appauvris par le manque cruel d'impôt, ce qui a conduit, aux U.S.A., à la crise des subprimes, robinet aux crédits qui, depuis, ne s'est pas refermé mais, au contraire, s'est encore plus ouvert.

    IMGP0200.JPGIl est à noter, à ce sujet, qu'un prêt fait à un tiers et une dette contractée sont une création monétaire de même type que les Q.E., dans la situation internationale qui nous occupe, mais là générés principalement dans et par la sphère privée, étant donné qu'ils sont liés à cette tentative maladroite de faire perdurer l'enrichissement des grandes fortunes.

    Il est à noter également que, toujours dans notre situation présente, la dette des états est de même nature que la dette des particuliers puisque ce sont les populations qui s'en retrouvent garantes de la première.

    Enfin, sur ce sujet, ce ne sont pas seulement les particuliers et les états qui sont endettés mais aussi tout le milieu monétariste, les banques, les sociétés financières et tutti quanti;

    3) une large part des monnaies hyper-produites furent déversées au sein des  échanges boursiers, faisant grimper le prix des actions d'entreprises qui, en réalité, n'ont cessé de voir baisser leur chiffre d'affaire, d'où la relative stagnation des cours de bourse fluctuant au plus haut, le déversement d'argent venant compenser la perte de valeur des-dites actions.

    Il est à remarquer que maintenant ce sont les banques centrales qui injectent directement leur monnaie dans les jeux boursiers, ceci, par un processus complexe d'automation informatique, pour tenter d'empêcher les traders traideurs de prendre le moindre bénéfice de leurs achats et ventes afin d'éviter une panique boursière;P1000748.JPG

    4) les directions d'entreprises cotés, pour accroitre leurs fortunes personnelles, réduisent le nombre des actions mises en bourse, actions qui, au total, conserve la même valeur, ceci pour que les leurs propres, d'actions, aient un prix accru à la revente;

    5) l'ensemble de ces déséquilibres convergent vers les banques, les assurances et ce qu'il reste des sociétés financières et fonds de pensions qui, pour essayer de se renflouer, vont dans divers paradis fiscaux et financiers pour spéculer de manière opaque, ce qui aggrave bien entendu les risques qu'ils prennent tout en fragilisant encore plus l'ensemble de ce système

    6) l'origine en étant la concurrence salariale entre les nations les plus riches et celles les plus pauvres, dont l'Union-Européenne est la caricature grimaçante, par l'expatriation et la délocalisation des entreprises là où les émoluments sont les plus faibles, nous pouvons voir là que ce ralentissement monétaire a commencé il y a de longues décennies;

    7) à tout cela y faut y rajouter le fait que les banques centrales, pour éviter que les banques dites systémiques ne fassent faillite, font tout pour ralentir le flux monétaire, mais tout en produisant toujours plus de monnaies pour maintenir les bourses et les prix des matières premières dans une certaine stabilité (voir en fin de phrase) afin de rassurer les traideurs et éviter ce crash boursier (c'est pourquoi le prix des carburants stagne, hier entre 53 et 55$, maintenant dans une fluctuation plus étendue, entre 46 et aux P1000839.JPGenvirons des 55/56$, ce qui montre que cette fluctuation s'accroit en raison de la baisse d'utilisation de produits pétroliers: désindustrialisation= baisse d'utilisation= baisse des prix, puis injection de monnaie = hausse des prix, puis ça recommence).

    Tout ceci, et j'ai dû en oublier là encore, ne peut que mener, à un moment impossible à préciser, à ce qu'une panique, une frayeur, un effroi, une terreur gagne, pour un événement qui sinon serait bénin, l'ensemble des acteurs de cette tragédie future.

    Mais la cause réelle, comme je l'ai raconté en préambule, est le ralentissement puis l'arrêt de la circulation monétaire et, ce, à tous les niveaux, régionaux, nationaux et mondiaux.

    Ralentissement qui, dès à présent, tend à s'accélérer, dans des pays tels que les U.S.A. au premier chef, mais aussi l'Algérie, la Turquie, le Brésil, l'Afrique-du-Sud, la Tunisie, la Chine, l'Inde, la France, la Grèce (la pauvre), l'Espagne, le Portugal, le Japon, la Grande-Bretagne, même si son brexit lui évite le pire, la Belgique..., ...., et même la Suisse et l'Allemagne le subissent de plein fouet [vous trouverez là où je puise ces déductions ( http://www.businessbourse.com/ )].

    Une fois cet faillite de l'économie-monde survenue, ensuite le rétablissement de cette circulation monétaire sera plus aisé à réaliser dans les pays de taille petite à moyenne, telle que la France, contrairement à ceux de dimension importante comme il en est de la Chine, de l'Inde, de la Russie (qui en souffrira moins), du Brésil, des États-Unis-d'Amérique et... de l'Union-P1000825.JPGEuropéenne......

    Il est en effet plus aisé d'organiser et de rétablir une fonctionnalité monétaire sur une petite étendu territoriale que dans un territoire de grande superficie, ne serait-ce qu'en raison des transports, n'oublions pas que l'arrêt du commerce international voudra aussi dire arrêt d'approvisionnement en hydrocarbure.

    De ce fait et également, la qualité des infrastructures et de l'équipe gouvernementale de chacun d'entre-eux étant également d'une importance vitale.

    C'est, comme j'ai pu l'exposer, l'une des deux raisons pour laquelle je voterais pour Monsieur Asselineau et pour son équipe aux prochaines élections, présidentielle et législative, la seconde étant leur volonté pleine et entière, sans faux-fuyant, à ce que la France sorte de manière résolue de toute domination étrangère sous quelque forme que ce soit, soit, dans l'instant présent, des U.E.€./O.T.A.N..

    A remarquer Madame Le Pen qui, elle, après avoir espéré recevoir la bénédiction de Monsieur Trump peu de temps après son élection, en la tour portant son nom, vint rendre ses hommages féodaux à Monsieur Poutine et à la Douma, l'assemblée constituante russe, en d'autres temps il eut fait mention de traitrise à la patrie pour bien moins que cela!

    Mais revenons au sujet de ce libellé.

    Lorsque surviendra cet arrêt de circulation monétaire, qui, rappelons-le, sera P1000812.JPGprovisoire, mais qui s'étendra sur une période indéterminée, toutes les fortunes, petites et grandes, qui auront essentiellement une forme monétaire, électronique, soit virtuelle, ou physique, par monnaie papier et métal, perdront mécaniquement toute valeur en raison même de leur hyper-production.

    (Oubliez le bite-coin ou toute autre monnaie de même type, aucun état sensé ne laissera une telle monstruosité monétaire se mettre en place, les U.S.A. ont déjà commencé à y mettre un terme).

    Pour nous, du moins pour la population française, tout dépendra de qui sera élu, soit Monsieur Asselineau, soit n'importe qui d'autre, étant donné la connaissance que ce monsieur a du fonctionnement de notre pays et de l'économie.

    Mais quoi qu'il en soit nous nous retrouverons en but à deux problèmes centraux, celui du manque de monnaie puisque les banques seront ruinées, nationalisées ou détruites suivant qui gouvernera (en cela Monsieur Mélenchon les nationalisera sans problème idéologique majeur), et celui de notre approvisionnement, de nourriture, certes, mais aussi de quasiment tout le reste.

    En effet, tout ce qui n'est plus fabriqué en France aura disparu de la vente, hormis, bien sûr, le troc toujours possible.

    J'avais, en Janvier 2016, écrit un texte où déjà j'y exposais mes craintes d'unP1000436.JPG effondrement économique violent, thème, je l'avoue, qui a traversé mon blog depuis des années.

    Celui-ci fut suivi de la présentation d'une vidéo d'un économiste que j'avais découvert lors de mes pérégrinations sur internet et qui avait été publiée sur la toile deux mois auparavant.

    Les explications que j'y proposais de cette faillite généralisée venant sont quelque peu dépassés, en revanche les conseils que j'y donne ainsi que la vidéo de André-Jacques Holbecq sont d'autant plus d'actualité.

    Une fois avoir visionné ce film, vous comprendrez pourquoi j’exhorte autant que faire se peut à voter pour Monsieur Asselineau puis les représentants de l'U.P.R. aux votations prochaines.

    Alors, faites comme moi, vos réserves et exhortez, exhortez, exhortez, autant que faire vous pouvez.

    P1000190.JPG

     

    THEURIC

  • Effets de la crise qui vient et quelques conseils.

    Et voilà, nous sommes arrivés en fin de course, notre pays et le monde sont ruinés même si nous avons encore l'impression que tout va bien et les bourses resplendissantes.

    Une idéologie, le néolibéralisme, une union, l'Union-Européenne, un pays central dans cette union, l'Allemagne, une monnaie, l'euro, un empire finissant, les États-Unis-d'Amérique et surtout, surtout, la bêtise crasse, l'incompétence, la veulerie, l'égoïsme, le lucre d'une si grande, si large part de nos décideurs des administrations, de la politique, des banques et autres fonds d'investissement, des journalistes en vu et de tous leurs sous-fifres nous ont tous ruiné.

    Je me dois de souligner que le gouvernement de la France est de moins en moins une démocratie mais que nous semblons être sous le joug mou d'un totalitarisme d'opérette bâtie sur une V° République qui fut l'erreur magistrale de De Gaulle, progressivement pervertie par nombre de gens choisis pour leur obéissance servile.

    Cette déjà pauvre démocratie se trouve maintenant entièrement aux mains d'une ploutocratie soumise aux étasuniens, trouillarde et sotte haïssant et le peuple, et leur pays.

    Il est ainsi inutile et même contre-productif de taper sur notre Président de la République qui n'est aujourd'hui que le paravent bouc-émissaire de ces ploutocrates prenant leurs ordres aux Amériques et en Allemagne.

    Cette alliance obligée d'avec des néonazis ukrainiens que l'Europe à conclu sur ordre des U.S.A. nous montre que c'est l'ensemble des pays de l'U.E. qui ont définitivement quitté l'idée même de démocratie, bien qu'ils puissent tous en avoir le mot en bouche.

    Ne serait-ce donc le vrai visage étasunien?

    Ainsi, n'allez pas dire que la démocratie serait le réel le discours tenu par Madame Le Pen, elle qui ne paraît ne sembler n'être qu'un agent de contrôle empressé dont le rôle pourrait consister, justement, à reprendre les discours de tous les partis politique de quelque radicalité que ce soit.

    Cela se ferait-il pour les empêcher de pouvoir s'exprimer en donnant l'illusion que ce ne sont que des discours d'une droite de la droite de la droite de la droite de la droite...?

    Ainsi dit-elle une chose aujourd'hui quand, hier, elle exprimait l'idée totalement inverse.....

    Pourrions-nous considérer tout cela comme un virage à la droite extrême de l'Union-Européenne et de notre ploutocratie nationale?

    L'Ukraine en ferait-il foi?

    U.E., F.N., ...et... U.M.P. seraient-ils de même combat?

    La notion d'extrême droite serait-elle relative à la situation politique du moment?

    Combien reste-t-il de gens sérieux hormis, en politique, Monsieur Mélenchon et son Parti de Gauche, Monsieur Dupont-Aignan et Debout la République à droite, Monsieur Asselineau et l'Union Populaire Républicaine à gauche et à droite, quelque économistes, des journalistes qui se taisent au risque du chômage, de banquiers à la retraite... et, contre toute attente, peut-être, de notre Président de la République, bien mal entouré de ces représentants sensément de gauche englués, flétris par leur bienpensance et par des décennies de propagandes médiatiques et intellectuelles qu'ils subirent et firent subir par de continuels bourrages de crânes...?

    Il y a peu, ces peu sérieux y croyaient encore, qu'en est-il aujourd'hui?

    Non, Monsieur le Président, le néolibéralisme n'existe plus et n'a même jamais été qu'un songe.

    Mais le pire ce sont tous ces décideurs perdus de ne savoir que faire, se jetant dans les bras de celui qui a un semblant de début d'idée..., du moment qu'il ne remette pas en cause ni l'euro, ni l'Union-Européenne.

    Vœux pieux mais impossibles: l'euro et l'U.E. sont tous deux moribonds.

    Dès lors, ami lecteur, si cela peut vous rassurer, nous ne sommes pas les seuls en union-Européenne, loin de là, à être aujourd'hui ainsi ruinés et rares seront les pays qui, dans peu de temps, en Europe et même ailleurs, ne se retrouveront pas dans des difficultés économiques dantesques, gigantesques, pire que présentement.

    Au-moins ces difficultés nous débarrassera-t-il de ces descendants décatis des bourgeois-capitalistes d'hier.

    Quand aux U.S.A., le peuple y vivra la pire période de son histoire d'avoir trop écouter ces sirènes qui chantaient la richesse et qui l'ont ruiné.

    Dans ce pays, tout pourrait y être envisageable, coup d'état, militaire ou non, totale désagrégation, guerre civile, sécession, absorption de certains états par le Mexique et/ou le Canada ou, pourquoi pas, mise en place d'un régime communiste...

    L'Allemagne, également, est bien plus malade que ses dirigeants et son peuple l'envisagent, sans or ou presque, avec une agriculture trop intensive, une industrie qu'elle s'est empressée de placer dans les ex-pays de l'est en se désindustrialisant, des banques plus fragilisées encore qu'en Europe du Sud et en France, elle pourrait bien suivre les Amériques dans les enfers en ayant le sentiment que ce serait nous qui la tirerions vers le bas.

    L'Angleterre n'est pas mieux lotie et son futur est assez simple à percevoir, plus de bourse, plus d'Angleterre.

    Elle ne pourra rien faire d'autre que de se  tourner résolument vers la France, ne serait-ce que pour ne pas mourir de faim, son seul atout est sa famille royale qui sera contrainte et forcée de diriger le pays, ses élites politiques étant majoritairement des fondamentalistes néolibéraux.

    Son virage de réindustrialisation a été pris trop tardivement en conservant,  toujours, la doxa néolibérale et, comme l'Allemagne, garde des liens bien trop puissants avec les U.S.A..

    Sa mono-industrie boursière est nouée à Wall Street en un nœud gordien, si ce nœud est tranché, et ce nœud sera tranché, ce sera le pays tout entier qui sombrera, seules les cordes devenues ténues et allant en s'effilochant de la bourse permettent à cette nation d'encore subsister.

     

    Il faut bien comprendre qu'en France ce sera la société toute entière qui sera désorganisée, la capacité de riposte gouvernementale ou son remplacement dépendra de notre Président de la République, de sa compréhension de la situation, de sa dose de dogmatisme et de sa vitesse, rigueur et vigueur de réaction.

    Dans les premiers temps nous pourrons voir s'affoler l'ensemble des auxiliaires du néolibéralisme américanolâtres et fanatiques, ils diront et feront n'importe quoi en un délire grandissant au fur et à mesure que l'économie mondiale et celle des U.S.A. s'annihileront: journalistes affolés de la bienpensance médiatique, économistes perdus sans leur doxa néolibérale, hommes et femmes politiques effarés, égarés dans un discours qui ne voudra plus rien dire, Patrons du C.A.C. 40 et du M.E.D.E.F. hystérique qui verront s'envoler leurs puissances et leurs richesses...

    Quand chacun d'entre eux ne seraient pas pétrifiés, atterrés, sidérés en un effet semblable à un stress post-traumatique.

    Ils auront tous le sentiment de ne plus servir à rien, en cela ils pourraient devenir dangereux.

    Quoi qu'il en soit, nous assisterons à cette vacuité grandissante.

    Pendant ce temps là l'Union-Européenne se videra de sa substance, chaque état reprenant ses droits, non pas par plaisir mais juste par esprit de survie, il faudra que chaque gouvernement commence par nationaliser ses banques et ses dernières industries faillies ou il sera renversé.

    Les pays des anciens empires centraux resteront peut-être dans l'euro mais n'est pas sûr que l'Allemagne supportera longtemps une Europe du Sud, une France et une Angleterre vidés de leurs richesses.

    Cela ne m'étonnerais donc pas qu'elle  nous aide à reprendre nos monnaies respectives et nous montre d'un doigt condescendant la porte de sortie de l'union.

    Ce sera sont erreur fatale et notre plus grande chance.

    Si elle ne le fait pas, il nous faudra l'y forcer.

    La faillite universelle approche à grand pas.

    Ce sera notre chance, à nous de la saisir.

     

    Ceci dit, voici ces conseils:

    Si vous avez quelque argent devant vous, il vous sera possible d'aller voir des conseillers sérieux qui vous permettront de ne pas trop perdre de vos valeurs et argents, sortez toutefois, immédiatement, de tout placement spéculatif, quel qu'il soit.

    En revanche, ceux qui tirent le diable par la queue, n'ont pas trop le sou ou n'en ont pas du tout, ceux-là se devront de se préparer à biens des difficultés.

    Comme je fais parti de ces peu argentés je me permets de vous donner quelques conseils qui vous serviront à traverser cette épreuve, je l'espère, sans trop de casse.

    D'abord, conservez chez vous quelques centaines d'euros, dans un coin, bien au chaud, cela vous permettra de tenir avec un peu de liquide le temps que l'état nationalise les banques ruinées et que vous puissiez retirer un peu d'argent.

    Si le gouvernement ne fait pas cela rapidement, alors, quoi qu'il en sera, pauvre de nous.

    Comptez de trois semaines à un mois.

    Il vous faut aussi une réserve de nourriture suffisante pour le même laps de temps, remplissez les placards et les congélateurs.

    Faites des réserves de produits d'entretien, de shampoing, de savons, d'éponge, de batterie de téléphone, d'ampoules, de piles, de papier, d'enveloppe et de toutes ces petites choses qui s'usent régulièrement et  donc nous avons tous besoin, pour tout cela, comptez des réserves pour un ans.

    Soit le temps qu'il faudra pour que des usines pour ces chimies et petits objets pas trop compliquées à fabriquer soient rebâties et misent en marche.

    Conservez également de petites ou grandes choses pour le troc, papier, stylo, vêtement,...,..., n'importe quoi de nécessaire que vous puissiez échanger.

    Si vous avez un magasin, faites des stocks et si vous le pouvez, suivant ce que vous vendez, comptez plusieurs années, l'informatique, les plastiques, les tissus, les papiers et les métaux seront les plus recherchés.

    Il serait possible mais pas certain, les banques et assurances ayant failli, que les crédits soient suspendus, ne comptez tout de même pas là-dessus.

    Les jeunes qui ont reçu une formation de comptable, de commercial, de banquier et d'autres de ce type devrons s'attendre à changer de métier, en effet, les métiers de vente et d'argent vont tous peu ou prou disparaître, à l'exemple de l'immobilier qui, depuis trois décennies, au moins, s'est installé sur une bulle immobilière qui n'attend que l'explosion de la bulle du dollar pour exploser aussi en accompagnement des banques.

    En revanche, tous ceux qui ont reçu une formation manuelle de haute qualification, d'ingénierie, d'architecture..., voire ceux qui ont étudié les science ou la littérature par exemple..., en bac plus tant, seront, avec le temps, de plus en plus courtisés quand ce ne sera pas d'eux-mêmes qu'ils prendront les choses en main.

    (Il en faudra de l'imagination pour rouvrir des mines et en extraire minerais et charbon en préservant l'environnement, réindustrialiser le pays avec un minimum de pollution, explorer de nouvelles façon de produire de l'énergie, parce que l'effondrement de l'économie-monde sera aussi celui du commerce international et que le carburant viendra sûrement à manquer.)

    Les personnes qualifiées au chômage seront  également demandés, réclamées, même.

    Les retraités risqueraient bien d'être appelés à la rescousse pour former de métiers oubliés mais nécessaires cette immensité de jeunes et de moins jeunes qui n'aurons aucune réelle qualification.

    Il faudra que chacun prenne les affaires en main de manière aussi bien individuel que collectif, l'entraide se devra d'être centrale.

    Surtout, nous devrons profiter de cette remise à plat de toute notre industrie pour repenser chacune de nos approches en en étudiant tous ses aspects bénéfique et néfastes.

    L'agriculture sera aussi touchée, ne serait-ce qu'en raison d'une diminution, voire d'une disparition des produits phytosanitaires.

    Toujours, en effet, la question de ce qui se produit en France et dans les proches pays.

    Nous risquons d'avoir  une agriculture bio contrainte et forcée avec des hectares de sol délavés d'avoir été de trop traités, trop peu productifs.

    Le problème en sera la baisse de production et, dès lors, la hausse du prix de la nourriture.

    Le défrichage s'avèrera nécessaire.

    Le manque de carburant sera là encore crucial, autant pour les machines agricoles que pour le transport, les trois grandes agglomérations, Paris, Marseille, Lyon, seront touchées par une diminution de l'arrivée de nourriture et pourquoi pas d'une disette pour les plus pauvres.

    Faudra-t-il aménager des trains  voyageurs, voire des T.G.V.s pour remplacer la myriade de camions qui ne pourront plus rouler?

    Serons-nous contraint à un retour de certains travaux agricoles manuels?

    Ce manque de carburant génèrera la ruine d'un certain

  • Diverses réflexions autour du vilain virus.

    Si j'ai retiré mon dernier billet c'est que j'avais oublié qu'il n'y a pas qu'une seule sorte de patriotisme quand, de fait, il est multiforme (ce qui sera peut-être la base d'une réflexion future), c'est pourquoi il pouvait être dangereux, non pas en ce qui me concerne, mais pour nombre de mes lecteurs qui considèrent mes libelles comme décrivant une évidence quand, en fait, ils font surtout preuve de ma sincérité réflexive.

    Ce qui pouvait psychologiquement les troubler: nous en sommes tous à rechercher du sens à ce qu'il se passe en ce moment, mais que celui-ci, s'il est présenté de manière abrupte, peut ne pas s'accorder à la personnalité et aux penchants de certains peut leur être préjudiciable.

    Étant donné que les événements sont, en raison de leurs complexités, de type chaotiques, soient sensibles aux conditions initiales, c'est-à-dire imprévisible dans le temps, tant en ce qui concerne les choix de chacun que de leurs effets, bien que nousP1030471.JPG verrons plus loin qu'il est possible d'en délimiter, pour parties plus ou moins importantes, leurs natures.

    Il serait possible de dégager un certain nombre de positions et de supputations de compréhension desdits événements.

    Par exemple, Bernard-Henri Levy, qui est à la philosophie ce que les jeux de construction pour enfant sont à la maçonnerie, a dit qu'un virus "c'est con, c'est bête, ça n'envoie pas de message".

    Dans le fond il a certes raison, toutefois s'il considère démocrates les néonazis ukrainiens qu'il était venu saluer après leur coup d'état dans leur pays, ceci à la vue de ses origines, je doute qu'il puisse saisir ce que veut dire la nature de la démocratie, de l'histoire tout comme de ce que peut être qu'un message.

    Une crise, ici sanitaire et pandémique, est un révélateur d'instabilités de toutes sortes, mais aussi peut faire apparaître un processus que Carl Gustav Jung et Wolfgang Pauli nommait synchronicité, c'est à dire, de la définition qu'ils en donnaient: "... est l'occurrence simultanée d'au moins deux événements qui ne présentent pas de lien de causalité, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit" (définition empruntée à Wikipédia).

    J'imagine que notre boite de mécano de la philosophie doit connaître cela tout en P1030138.JPGn'ayant pas les capacités de le percevoir ici.

    C'est ce processus que j'ai étendu à des populations entières en perte d'identité pour de nombreuses raisons et qu'elles redécouvrent lors de leur claustration, là se trouverait ce message qui,  en ce cas, provient purement du plus profond de notre psyché et non pas de ce virus qui n'en est que l'élément déclencheur.

    Ce n'est pas par lui que s'est généré ce message mais bien par notre inconscient collectif qui se serait mis en phase avec celui sociale.

    Un autre exemple, venant en écho du séisme de Maastricht le 14 Avril 1992, suivant la signature du traité du même nom le 7 Février de la même année, c'est celui qui advint en Italie du nord le 16 Avril 2020 qui, comme il en fut du précédent, fut ressenti en France, et qui annonce, à mon sens, une détermination nouvelle chez-nous comme pour nos voisins, ceci en un même phénomène de synchronicité.

    (J'écris ça,  mais je ne pense pas qu'il lise mes lignes, ça me fais tout de même plaisir de montrer les limitations de ce monsieur m'as-tu-vu, remplit à raz bord d'emphase, souvent va-t-en-guerre, aux notions démocratiques plus qu'étriquées et seulement verbeuses.)

    C'est fou ce qu'il peut se dire sur le WEB et, en cela, nous pouvons en apprendre plus sur la position de l'Allemagne et de la Hollande au sujet des coronabonds, surtout, en filigrane du visionnage de ces deux vidéos (et des bas) ici puis , nous faitP1030246.JPG comprendre autant leur réelle raison d'être et leur refus par ces deux pays, mais surtout ce que cela exprime.

    Ces coronabonds, donc, furent présentés, sur une idée italienne et française, par les européistes eurolâtres pour empêcher les nations composant l'Union-Européenne de la quitter en rendant impossible de déterminer qui détient les dettes de qui en UE.

    L'Allemagne, la Hollande et l'Autriche en refusent l'idée parce que, se dit-il, elles ne veulent pas prendre lesdites dettes à leur charge.

    Mais sachant que leur retraites sont par capitalisation (la nôtre est par répartition), et que les pays sud-européens sont ruinés, j'en déduit donc que la spéculation par leurs fonds de retraites (Blakrock et autres...) ne peut plus engranger suffisamment d'argent pour pouvoir payer leurs retraités, puisqu'ils nous ont pompé toutes, ou presque, de nos richesses, aux français, aux italiens, aux espagnoles, aux portugais et aux grecs.

    Ce qui pourrait aussi expliquer pourquoi l'union, aujourd'hui tenue par les allemands, n'a que très très peut agi tout au long de cette épidémie et que, de plus, elle appelle à ce que toutes ces dettes accumulées par le sud soient remboursées au plus vite:

    P1030652.JPGL'idée que j'y développe ici c'est que les trois états sus-nommés ne veulent pas que l'UE€ soit détruit par eux-même mais, voulant en sortir, font de manière à ce que ce soit ceux du sud qui l'anéantissent en s'en retirant, écœurées, la France et l'Italie suffisant pour cela.

    D'ailleurs nous pourrions nous demander pourquoi le gouvernement de ces deux derniers pays ne se sont-il pas préparés dès Novembre dernier à cette pandémie, puisque l'OTAN en avait été averti dès cette date par les forces US, ne serait-ce qu'en en prédisposant, dès avant, le terrain?

    Il est vrai que celui français gesticulait et n'avait d'objectif que de la réforme des retraites en ne voyant rien d'autre, puisqu'il n'était et n'est composé que de neuneus, tout comme peut l'être notre état profond, notre oligarchie strato-financière, comme les dénomme Emmanuel Todd.

    Comme je l'avais expliqué auparavant, ce sont les paradoxes relevés qui  peuvent nous montrer au mieux la réalité quand celle-ci nous est cachée.

    Ainsi revoyons-nous poindre Madame Buzyn au centre d'un nouveau scandale, cette dame, toujours autant visible, faisant perdre patience à ses confrères du REM (toujours des radioéléments) à force de montrer part trop les petites manigances ayant lieu au plus haut de l'état, disant, volubile, ce qu'il faudrait taire pour ne pasP1030636.JPG accentuer la colère populaire.

    Faut-il que ce soit un certain Philippe Murer, économiste de son état, qui, il n'y a pas, comme d'autres, ce fit avoir par les sons mélodieux de la sirène Le Pen et RN, qui, comme cette dame à la logique approximative, est contre l'euro mais pour l'union, ce qui est en soi contradictoire puisque il n'y a pas de processus pour se défaire du premier sans quitter le second (sachant qu'elle est avocate et que lui est économiste, ne pourrions-nous pas nous interroger d'une certains hypocrisie ou d'une toute bête naïveté? );

    Faut-il, dis-je, que ce soit ce monsieur qui nous informe que Madame Buzyn, comme d'autres médecins, soigne des gens à l'hydroxychloroquine en raison de leur célébrité quand, dans le même temps, ce traitement est, normalement, interdit pour le reste de la population?

    Mais bon, la question véritable n'est pas de savoir qui la présente et, de fait, qu'importe de qui provient cette information, le principale étant qu'elle nous parvienne et d'en percevoir les soubassements politiques (toutefois sans le Rassemblement National Macron n'aurait jamais été élu, la se trouve le macro-lepénisme).

    Pour en comprendre la trame il me faut faire un bref retour  à l'une de mes hypothèses qui, de plus en plus, apporte son lot de confirmations, la rétrogression historique.

    Nous vivons aujourd'hui une façon de coup d'état discret qui avait commencé sous Hollande au moins (ce qui montre que ce ne sont plus nos présidents ni les premiers P1010524.JPGministres qui dirigent la France, eux qui ne sont plus que des DRH), en effet, il n'est plus le moment de la troupe tirant sur les foules comme lors du coup d'état de 1851 par Louis-Napoléon Bonaparte, aujourd'hui Monsieur Macron et son équipe se contentent juste de rendre impossible tout mouvement de foule de type de celui des gilettistes par leur confinement ou, auparavant, en mutilant et gazant (tiens, tiens) des manifestants.

    D'où leurs freins à tout rompre de la fourniture de test et d'un traitement efficace pour toute la population.

    De laisser mourir les vieux dans les EHPAD n'étant qu'un moyen de faire des économies, sur une idée de Jacques Attali, comme je l'avais expliqué le 14 de ce mois dans mon billet précédent:

    Et demandez-vous si nos vieux placés en EHPAD sont laissés en plan à crever autant de maladie que de solitude de ne pas voir leurs proches, ce ne serait pas sous le conseil malfaisant de cet hurluberlu de Jacques Attali qui, je l'avait raconté à mon billet précédent, avait doctement expliqué que "les vieux coûtes chers parce que non solvable", rajoutant que "l' euthanasie sera un instrument essentiel pour nos sociétés futurs".

    Mais de maintenir chez-eux les gens par ledit confinement mène à un arrêt drastique de l'économie, ce qui y génère de très gros dégâts, ceci d'autant plus queP1030325.JPG nos voisins, eux, ne vont pas tarder à déconfiner les leurs populations.

    D'où le projet de Mr. Macron, Emmanuel 1er, de débuter celui-ci dès le 11 Mai, ce qui est le lendemain  de la date anniversaire du début de l'attaque allemande de 1940, comme le fit remarquer François Asselineau.

    (Nous sommes entrés, au moins en Europe, dans une dynamique historique complexe où y interviennent divers processus dont voici à mon sens la liste que j'ai déjà étudié avec vous le long de ce blog:

    -à cette rétrogression historique dont je situe le début, donc, dorénavant, à la seconde moitié du XIX° siècle;

    -s'y rajoute la perte d'identité des populations multifactorielle et sa ré-émergence actuelle par l'apparition synchronique de cette pandémie au COVID-19 conduisant à notre confinement pour cela nécessaire;

    -la levée du brouillard conceptuel qui avait commencé à recouvrir le monde depuis la moitié de années 1980 environ;

    -la disparition progressive de l'économie-monde monétariste par la faillite des monnaies;

    -l'effondrement progressif de l'empire thalassocratique que sont les États-Unis-d'Amérique en un reflet inversée de ce que fut la disparition de l'Union-des-Républiques-Socialistes-Soviétiques en 1991, vous remarquerez que cette dernière disparition fut accompagnée par l'apparition de ce brouillard;

    P1030641.JPG-et, c'est ce qui nous intéresse ici, l'achèvement en cours de la compulsion de répétitivité que je situe, là, de la fin de la guerre de 14/18 jusqu'au début de la guerre froide vers 1950 qui, plutôt que de conflit armé, sauf de faibles intensités dans différentes parties du monde, il s'agit le plus souvent de rapports de forces économiques.

  • La tête à l'envers.

    Le monde, notre Monde a la tête à l'envers.

    Ce n'est même plus de la folie ni du délire, non, c'est de l'extravagance, de la rêvasserie collective, ridicule mais dangereuse, de la bizarrerie obsessionnelle, de la tocade absurde, du grand n'importe quoi porté P1020060.JPGau pinacle, de la fantaisie niaiseuse que des enfants de vingt à quarante ans au moins s'amusent à colporter en y croyant comme on croit aux fées, aux gnomes et aux croquemitaines.

    Des exemples j'en ai plein ma besace et je vous en ai déjà conté quelques-uns.

    Il en est un qui n'est pas piqué des vers, il s'agit de ce moulin-à-vent appelé pompeusement éolienne, ce qui fait moderne coco.

    Un mathématicien a écrit aux maires sur ce sujet en y rajoutant quelques petites choses, bien qu'il ait omis de faire cas du fait que ces engins tuent oiseaux et chauves-souries, ce qui est largement oublié par nos écologistes ignares.

    Mais faisons lui grâce de cela, lui-même rajoutant dans ce dossier déjà lourdement à charge une note des plus cocasses, les éoliennes sont plus polluantes que les centrales thermiques, voyez-vous ça, en causant, de plus, de très graves problèmes de santé pour leur voisinage (je vous renvoie aux adresses soulignés).

    En voilà un infiniment moins sot qu'un certain Villani...

    Un autre exemple que vous attendez sûrement de vos vœux, la crétinerie de nos P1010844.JPGéconomistes.

    Là je vais parler des moins imbéciles de ceux-là et de beaucoup.

    Un certain Charles Sannat que vous connaissez sûrement mais aussi les éconoclastes, ils disent tous: "Nous courrons vers la faillite généralisée!".

    C'est bien, non, non, c'est vrai, c'est très bien de nous en avertir ainsi, mais qui de ces professionnels vont réfléchir aux effets de cette catastrophe?

    A première vue personne.

    Il faut que ce soit moi qui m'y colle le 31 Octobre 2018 dans mon papier adressé à Tatiana Ventôse, petit employé à la retraite, avec mon C.A.P. horticole et mes 25 ans de conduite d'un bus à Paris, métier qui rend fou, ceci expliquant peut-être cela.

    Il y a bien Mr. Delamarche qui ne cesse de répéter: "débancarisez-vous, sinon on vous piquera tout votre pognon!", c'est un bon conseil, non, non, c'est vrai, c'est très très bien, oui mais quoi faire de son argent quand on en a plein?

    Personnellement je dirais d'acheter des terres agricoles bien grasse, puis de la mettre en fermage en y aidant l'agriculteur le temps que le système se casse la figure.

    Ou alors de petites usines en choisissant judicieusement ce qui y est produit, du papier, du tissu, du savon, de l'eau-de-Javel, des vêtements par exemple, que vous soutiendrez aussi, il ne suffit que de se demander ce dont auront besoin les gens et laP1010663 - Copie.JPG société à ce moment là pour savoir quoi trouver, voire à mettre en place, auquel cas n'oubliez pas l'indispensable ingénieur si vous ne l'êtes pas vous-même.

    Vous pouvez avoir aussi un peu d'or, mais il ne sera utile que quand la monnaie reviendra, alors faites également des réserves de nourriture pour vous, votre famille et vos salariés.

    Il est vrai, ce ne sont pas des placements pour demain mais ainsi ne vous perdrez rien de vos économies, et même à terme vous les accroitrez.

    Pour ceux qui ont un peu de sou de coté, de quoi manger pour quelques mois, de faire le ménage et de se laver, plus de quoi faire du troc serait de bon aloi.

    Mais revenons voulez-vous à ce cher Sannat à qui fut posé la question suivante: "Que deviendront mes dettes quand l'économie sera en crise?"

    Il répondit que quoi qu'il se passe les banques tiendront parce que les banques centrales les inonderont de monnaies, ce qui est vrai et c'est très, très, très bien de le dire, oui mais, parce qu'il y a un mais, un tout petit mais.

    La monnaie ce n'est pas l'économie, elle permet certes de la faire fonctionner, mais elle n'est pas et ne sera jamais l'économie, et vous auriez beau vous taper le cul par terre en criant "vive l'empereur", cela ne changerait rien à l'affaire, l'économie ce sont: les usines, fabriques, mines, exploitations agricoles, des infrastructures efficaces pour tous, une administration efficiente et un état de droit, donc un réelle démocratie, et non pas celle totalement dévoyée d'aujourd'hui.

    P1010619 - Copie.JPGLa monnaie, quand à elle, servant à faire tourner le tout et de le développer, théoriquement de manière efficace, le reste c'est de la connerie, de la pure connerie!

    Les banques quand à elles, s'il y a désindustrialisation et il y a désindustrialisation, vous aurez beau lui déverser un Himalaya de monnaie, si l'économie réelle telle que je l'ai rapidement décrite est détruite, ce qui est entrain, elles couleront inéluctablement et ce seront les monnaies trop produites qui les y accompagneront, soit presque toutes.

    Puis in fine, elles seront nationalisées et les monnaies remplacées, mais pour ça il faudra du temps, quand aux dettes, elles seront purement et simplement annulées, tous les gouvernements n'auront pas d'autre choix puisqu'il faudra repartir de zéro, surtout en zone euro, zone zéro euro, ou mieux encore avec la liaison, zones zéros euro, ça sonne bien non?

    Un conseil, conservez précieusement vos relevés de compte parce qu'il serait toujours envisageable que quand redémarrera l'économie du pays, quand une nouvelle monnaie sera produite et les banques nationalisée, un petit peu de vos économies vous soient remises.

    Et merde, fait chier, il faut que ce soit moi qui m'y cogne, et pourtant ça en crève les yeux tellement c'est visible, il suffit juste d'avoir un tout petit peu de jugeote, ce n'est pourtant pas beaucoup demander: "Eh les pros, c'est quand est-ce que vous vous mettrez à penser, des fois?"!

    Et que dire de ces  classes-moyennes hautement supérieurs, les 3/4 tout de même,P1010646.JPG qui se laissent empapaouter de première par le macronisme-philippard, ces demi-sels, avec joie, plaisir et bonheur, et ils en redemandent, à croire que nos têtes pensantes sont masochistes, eux qui adorent leurs petits serviteurs noirs et arabes (seraient-ils leurs esclaves?) mais qui crachent sur 80 pourcent de la population qui par l'action ou de cœur ont enfilé un gilet jaune?

    Tout en versant une petite larme sur les ours blancs qui ont bien du malheur, ce qui est faux part ailleurs, et qui se foutent comme d'une guigne de l'agriculteur qui se suicide parce que l'Union-Européenne met en compétition notre agriculture de qualité avec celle d'autres pays européens aux moindres coûts salariaux dont cette qualité reste à voir, et, suite à des accords de libre échange, avec des pays où cette même qualité passe bien après la quantité, en saupoudrant le tout d'un beau paquet de produits chimiques bien gras.

    Mangez bio qu'ils disent et laissez le reste aux indigents, pauvres imbéciles, et ça se dit intellectuels...

    Vous savez quoi, bien pire que l'effondrement économique, c'est bien cette basse crétinerie d'un bon peu de ces futures classes dirigeantes, en remplacement de la grande bourgeoisie décrépie, qui accroitra extraordinairement les problèmes que nous devrons affronter.

    Je comprends beaucoup plus le reste du peuple qui lui est abreuvé jour et nuit d'une mascarade manipulatrice, sans avoir les outils d'un long cursus qui normalement P1020776.JPGdevrait aider à percevoir où se trouve la fausseté dans les informations transmises, cette population moins bien formée à qui il y est dit que quitter cette union mortifère serait catastrophique, sans percevoir que c'est l'Union-Européenne qui l'est de fait et de jure, catastrophique.

    Il lui est difficile de percevoir l'immense masse mensongère des médiats, sûrement même pire que celle qui sévissait en Union-Soviétique, pays qui avait payé le plus lourd tribu pendant la seconde guerre mondiale, et oui, même là-dessus  on nous raconte des mensonges.

    Les étasuniens ayant tranquillement attendu que les britanniques aient affaibli l'armée de l'air allemande, puis que l'U.R.S.S. aient fait de même pour le reste des forces combattantes germaniques, pour ensuite entrer dans la danse.

    Si les américains n'étaient pas intervenus, nous n'aurions pas parlé allemand mais plutôt russe, ou peut-être un anglais d'Oxford, sait-on jamais, et non pas ce globish nauséabond.

    En fait que je vous explique l'échelle hiérarchique du système:

    Notre gouvernement et nos chambres d'enregistrement de délibération obéissent à nos oligarques, qui obéissent à l'Union-Européenne, qui obéit à l'Allemagne, qui obéit aux États-Unis-d'Amérique qui, je l'ai dit, veut se réindustrialiser sous la présidence de Trump, c'est pourquoi ils nous piquent toutes nos richesses.

    Et sauf si l'économie internationale se casse la figure avant, les étasuniens se débarrasseront de nous après nous avoir copieusement ruiné, tout nous voler pourP1020120.JPG après faire exploser l'U.E. en coulant une banque allemande ou française, juste crachoteront-ils les quelques pépins qui resteront collées entre leurs dents, pour le reste ils nous boufferont tout cru jusqu'à la moelle et goulument en plus.

    Sauf si nous quittons l'Union-Européenne avant, alors, merde pour merde, votons U.P.R. pour le France-quitte l'année prochaine, non? Dans la merde, nous l'y serons bien moins dedans en en sortant.

    Dirais-je ainsi que d'être dans l'U.E. serait la même chose que d'être dans la merde?

    Tout de même, tout de même, ne perdons pas notre sang froid que diable...

     

     

    THEURIC

    (P.S.: Si quelqu'un me dit d'extrême-droite ou fasciste en raison de cet appel au vote, qu'il me laisse ses explications ici, que nous rigolions un peu, s'il en a le courage bien sûr, vous verrez, par écrit j'ai de la verve.)

  • Billet d'une heure: la logique en lutte contre l'angoisse.

    Guêpe commune, que je vous avais déjà présenté sur une autre photo.

    Je suis particulièrement fière de l'avoir prise en plein vol, quand bien même cela ne fut dû qu'au seul hasard ou au plaisir de l'animal de poser pour moi, sans que je ne le lui aie demandé, au demeurant.

    Bonjour tout le monde,

    En fait d'une heure, ce billet m'en a pris trois à écrire...

    De la rétrogression historique:

    Je les apprécie ces jeunes qui, utilisant un outil, l'informatique, qui me reste pour parti abscons, ceci via internet, retrouvent les allants politiques de cette époque lointaine des débuts de la troisième république.

    Ainsi, sur ce qui se fait appeler la toile, le royalisme recommence à s'y faire un débat ayant sa cohérence.

    Mais aussi les libéraux économiques nous y montrant qu'ils redécouvrent la valeur des frontières, bien que ceux-là ne soient pas tous  de la toute première jeunesseP1050989.JPG, loin de là, à l'exemple de Charles Gave.

    Le site de ce Monsieur, jeunot (je le taquine) au pseudonyme d'Akina, du A entouré d'un cercle, symbole de l'anarchie, à la vision censée au sujet de la gestion gouvernementale passée comme présente de la pandémie au SRAS-COV2, expose ce retour d'un anarchisme autant militant qu'intelligent qui avait disparu de la scène en même temps que Georges Brassens, quand il s'en alla en son long repos sur les hauteurs de la plage de Sète.

    Et nous avons tout autant l'émergence de ce mouvement républicain rude, voire pouvant être dure, d'une probité absolue, de ce républicanisme patriote dont George Clemenceau fut la figure de proue et que, quand bien même en pousseraient-ils de hauts cris, Tatiana Ventôse et ses confrères du Fil d'Actu retrouvent progressivement toutes les marques, jusqu'à ces nécessités frontalières auxquelles ils ne pourrons, un jour ou l'autre, que concevoir.

    Ne nous reste plus qu'à percevoir qui, dans cette recomposition politique rétrogressive, représentera la mouvance d'un socialisme vrai et humaniste dont les détenteurs du nom sont, aujourd'hui, les traîtres déclaré de ce que fut un Jaurès qu'ils honorent, de cette hypocrisie que le vice rend à la vertus, à l'exemple caricatural d'un François Hollande bouffi de sa suffisance.

    P1060261.JPGAinsi cette rétrogression historique, en France, poursuit sa route.

     

    Covid, angoisses et violences:

    Ce que j'ai pu le plus apprécier chez Akina (bien que peu s'en faut qu'à la suite il puisse m'agacer) fut d'observer que les messages gouvernementaux au sujet du vilain virus, qui n'en fini pas de s'affaiblir, nous en verrons plus tard la suite.

    Ce que j'ai pu le plus apprécier, dis-je, chez-lui, ce fut de montrer que lesdits messages gouvernementaux là-dessus sont continuellement contradictoires,ce qui mène la population à subir des doubles contraintes continuelles.

    Or, il s'agit là d'une torture ( je pèse mes mots) psychologique d'une violence première: le cerveau humain ayant les plus grandes difficultés à gérer de telles injonctions paradoxales, cela ne peut que rendre psychiquement malade un nombre très important de français.

    D'où l'angoisse des franciliens lorsqu'un avion, dépassant le mur du son, avait émis ce bang caractéristique, pensant qu'il s'agissait d'un attentat ou d'un grave accident industriel (moi-même, en région parisienne Mercredi, entendant ce bruit, ne pensait pas qu'il pût y être ainsi question du son émis par un aéroplane volant à grande vitesse).

    Les violences gratuites en accroissement, ayant surtout lieu dans les grandes métropoles, dont nous entendons parler de manière récurrente, ne peuvent que venir de là, ceci suivant nos trois longs mois de confinement qui, déjà, fut grandement perturbateur.P1060033.JPG

    Ce fait est l'une des perfidies de notre gouvernement, il est à noter que les pervers narcissique usent et abusent, eux aussi, de tels expédiant.

     

    Une débilité de plus: le grand reset.

    Nous entendons nombre d'économistes parler de ce fameux grand reset, soit la remise à zéro de l'économie mondiale.

    Si vous écoutez ce Monsieur parlant (de chez lui) depuis le site Planète 360, vous comprendrez que le sujet consiste, pour nos grands financiers internationaux, de prendre le contrôle des monnaies mondiales pour tenter de sauver leur fortune.

    Ce truc de ces bons messieurs et bonnes femmes de l'oligarchie mondialisée est d'une absurdité sans borne, ceci pour une simple raison: la monnaie n'est pas l'économie à elle seule, mais permet, par son existence, à ce qu'une économie pérenne se développe, soit la croissance des usines, fabriques, cultures agricoles et exploitation  minières en des frontières semi-poreuses pays par pays.

    Ce fantasme des gens de Davos, s'ils le mettaient en place, ne faisant qu'accélérer la désindustrialisation en cours, ne les mèneraient qu'à une ruine plus rapide.

    A croire qu'à son époque Monsieur Brassens, au-delà des décennies, leur avait dès l'abord adressé cette chanson.

     

    P1050505.JPGLes USA ruinés, notre état voudrait que nous leur ressemblions:

    Il est de fait que les Etats-Unis-d'Amérique sont dans une situation économiquement catastrophique.

    Ceci est compréhensible, ils ont commencé leur désindustrialisation dix à quinze ans avant nous, soit dans les années cinquante à soixante.

    Que ce soit, en France, non pas toutes, il est vrai et heureusement, des sommités économiques du pays, de sa haute administration et de sa classe politique siégeant au gouvernement, dans les chambres délibératives et à certains postes électifs des grandes villes, départements et régions, il est loisir d'observer que, sûrement inconsciemment, ils agissent de manière à ce que notre nation puisse rattraper l'empire US dans son délabrement.

    Ainsi voyons-nous le macronisme niaiseux vendre, presque aux moins offrants, nos dernières entreprises, nos derniers fleurons, tout en menant une politique sanitaire telle qu'un nombre important de PME/PMI ne peuvent que fermer, mises, par leur gesticulations et inactions gouvernementales, en faillite.

    Conduisant inéluctablement à ce que la pauvreté y augmente de manière spectaculaire.

    Différentes raisons, cela est à concevoir, ne peuvent qu'être également soulevées pour comprendre la nature du résonnement conscient et inconscient en jeu chez tous ces ribouldingues, en plus de celui montré plus haut, ceci en une liste à la Prévert:

    1) De croire que c'est la même politique néolibérale, menée pendant des décennies, qui nous a conduit à ce fiasco funeste, qui pourrait résoudre nos problèmes;

    2) De ne pas vouloir voir, en un déni pathétique, que ladite politique mène l'économie mondialisée vers son arrêt totale, à la faillite US ainsi qu'à l'effondrement monétaire généralisé, de nous empêcher de le leur dire, de le clamer (c'estP1060186.JPG pourquoi je parle d'actions inconscientes);

    3) De ne pas vouloir assumer leurs fautes multi-décennales en une fuite en avant névrotique;

    4) De vouloir résolument placer un vaccin ou un traitement cher à la place de celui de l'équipe du professeur Raoult ayant fait ses preuves et peu onéreux;

    5) D'empêcher la population de se révolter en la traumatisant;

    6) D'obéir aux puissances économique mondialisées en nous menant à la crise économique dans ce fantasme montré plus haut;

    7) Enfin, pour la bonne bouche, en montrant au peuple que, ce coup-ci, nos baltringues agissent maintenant de manière concrète pour le protéger d'une pandémie qui, au fil du temps qui passe en ce début d'Automne plutôt frais, ne se révèle qu'encore moins dangereux qu'auparavant.

    Danger, encore potentiel, définitivement écarté si ce fameux traitement à l'hydroxychloroquine était généralisé.

     

    Ni angoisse, ni panique mais être prêt à tout:

    Il est de fait que nous nous devons de nous préparer, dès l'avant, de tout ce qu'il va se passer dans le futur, quoi qu'il puisse advenir.

    Il y a des événements évidents que nous pouvons prévoir, tel que cet effondrement fortement probable des monnaies, avec tout ce que cela entend.

    D'autres sont imprévisibles par nature, soit parce que nous n'y songeons pas, soit parce que leur survenue ne peut pas être conjecturée.

    Il nous faut donc nous sentir suffisamment adaptatif, quoi qu'il surviendra, et, surtout, d'être dans la démarche d'en saisir l'essence pour agir au mieux.

    Imaginez, par exemple, que comme la majorité de ce qui compose le WEB et le NET P1040871.JPGse trouve aux USA, si ce pays se retrouve à devoir faire face à une catastrophe de type d'une guerre civile, il est imaginable de considérer qu'internet cesserait tout fonctionnement, pour un temps plus ou moins long.

    Ceci avec tous les désordres que cela pourrait représenter.

    Et n'allez pas croire que nous nous retrouverions juste au-devant d'une sorte de totalitarisme internationale des oligarques monétaristes mondiaux, ce qui est, pour nous tous, une manière de considérer comme possible un semblant d'organisation.

    On s'en fout de ces crétins, ils n'en sont pas capable ou sinon pour un temps bref.

    Il va nous falloir reconstruire le pays et cela se doit d'être pensé dès maintenant et sur tous les plans, ça c'est mon travail de vous l'affirmer!

    Il n'est plus le temps des rêveries mais il faut regarder les choses en face, même si cela fait peur, même si c'est angoissant.

    Parce que sinon ce sera la panique qui envahira les esprits, et la panique conduit toujours au pire plutôt qu'au meilleurs.

    Alors, commencez par le commencement, amis lecteurs, pour ceux qui ne l'on encore pas fait: faites vos réserves, et si de vos connaissances sont de même avis, discutez entre-vous de nos risques potentiels et de comment les résoudre.

    Soyons logique, que diable, restons logique, faisons preuve de raison!

    Ah, j'oubliais de préciser: certes une guerre civile en France pourrait avoir quelques toutes petites plausibilité, à laquelle je ne crois guère, mais, surtout, c'est cette crainte, réaliste celle-la, qu'elle advienne dans l'empire US qui nous fait croire qu'elle puisse survenir ici, par notre projection de ce qu'il se passe là-bas, nous croyant nous-même énième état des Etats-Unis-d'Amérique.

  • Chères classes-moyennes hautes à supérieures.

    Me voici donc tranquillement installé derrière mon ordinateur à écrire à une foultitude de gens dont je ne dois connaître que quelques représentants, et encore, c'est du passé.

    Il y en a eu d'autres que moi qui, en des périodes troublées comme il en est aujourd'hui, s'adressaient pas écrit au monde dans la douce quiétude de leur chez-soi, tel un Marat par exemple.

    A contrario je ne suis en rien belliciste ni ne passe ma vie dans ma baignoire, faisant juste œuvre de philosophe en tant que penseur brut.

    Mais qu'êtes-vous?

    Je fais la part entre les classes-moyennes intellectuelles et économiques, bien que de bien nombreux métiers réunissent l'une et l'autre de ces deux composantes.

    Vous êtes architectes, ingénieurs, juristes de toutes sortes, scientifiques et P1030049.JPGchercheurs, cadres administratifs, artistes, journalistes et de beaucoup d'autres fonctions qui se devrait de permettre au pays de se construire et de fonctionner au mieux.

    Je m'adresse à vous que, souffrez Messieurs-mesdames que je vous le dise ainsi crument, l'on prend pour des cons en vous faisant croire en la bénédiction d'une union intangible et sensée, et vous en redemandez.

    Éprouvez que je vous gronde, nigauds que vous êtes.

    Car croyant comme évangile que l'Union-Européenne existera jusqu'à la fin des temps, qu'elle génèrerait paix et prospérité au sein de l'OTAN et que c'est une amicale de pays européens, en lutte contre l'empire US (belle contradiction), qui s'entraident tous au  moindre souci de l'un d'eux et qui se défendent contre les vilains russes, indiens et chinois.

    Ce qui est la foutaise la plus incroyable qui a pu être raconté aux foules et, ce, de toutes époques confondues,  parce que, en plus d'être faux, ceux qui inventèrent cette calembredaine n'y croient pas le moins du monde.

    Je m'adresse, dis-je, à vous, la fraction de cette classe sociale qui se fait escroquer à longueur de temps par l’esbroufe gesticulatoire des agents médiatiques et politiques grassement payés pour vous faire perdre toute confiance en vous, vous empêcher de P1030151.JPGpenser, vous voler votre argent, mais surtout pour vous faire croire que l'Union-Européenne détiendrait les réponses en tous problèmes.

    Quand, en fait, alliée aux oligarques, les thuriféraires de cette union et l'union elle-même font tous partis de nos problèmes, sont même les problèmes numéro 1 de la France, Mr. Macron et ses suivant, ainsi que tous les partis politiques officiels cas médiatisés, dont ceux dits réformateurs ou souverainistes mais passant dans ces médiats, et tous, même le REM, se voulant de vous le faire croire, n'en étant en vrai que les valais empressés, des laquais péremptoires de cette minuscule caste, infime minorité de milliardaires rigolards de vos errements.

    S'il se dit que le nationalisme c'est la guerre, alors ces européistes sont des nationalistes européens de première bourre, voyez ce qu'il se passe en Syrie en ce moment et où se trouvent nos troupes.

    Que vous vous disiez de droite ou de gauche, peu importe, vos désidératas sont les mêmes, faire perdurer cette organisation euro-atlantiste, cette colonie, dont l'Allemagne est le PDG bien fragile, l'administration, le fer de lance, et les États-Unis-d'Amérique le créateur avec l'aide d'anciens nazis, autant que le propriétaire.

    Sinon pourquoi voudriez-vous que le Danemark, l'Italie, La Hollande, la Grande-Bretagne, la Belgique et la Pologne aient acheté un F35 US, volant aussi bien que le P1020977.JPGplus beau et inutile des fers-à-repasser?

    Parlez-moi donc d'intérêts convergents des pays de l'union, c'est du plus pur style de foutage de gueule, et Dassault alors, fabriquerait-il des avions en papier?

    Alors, croyant qu'ils vous sortiront d'affaire, vous vous jetez dans les bras d'un Mélenchon, d'un Jacob, voire de celui ou celle, puisque Attali avait affirmé que notre prochain président serait une femme, qui remplacera le sieur Macron, que je n'hésite pas à surnommer le génie des alpages.

    Et pourquoi donc votre nouvelle égérie, remplaçant votre héro fatigué, ne serait-elle pas un Le Pen, Marine ou Marion, peu importe, le principal étant que ce nouveau président (comme c'est une fonction, sa dénomination est neutre et, dès lors, on y utilise le masculin, comme écrivain, pourquoi  ne dit-on pas sage-homme quand l'homme remplit la fonction de sage-femme?) obéisse aux puissants.

    ( Je me doit de préciser ce point précis de français puisque vous avez perdu une partie de vos capacités réflexives. )

    Vous verrez,  elle vous sera vendu et vous assisterez, pantelants, éblouis, ébaubis et ravis à ses rassemblement, sans que vous réalisiez qu'une fois encore vous vous serez fait avoir par les mêmes qui, aujourd'hui, font tout pour s'enrichir sur votre dos, comme il en est pour P1030112.JPGtous les français, et perpétuer une union qui, comme pour vous, nous conduit dans la misère.

    Comme ces mêmes, que vous dites va-nu-pied, de gilettistes que vous vilipendez chaque Samedi, comme ces cheminots qui font grève pour tenter de sauver ce service public qu'est le Chemin-de-fer et qui, en raison des folies destructrices du néolibéralisme de l'UE, voit son réseau ne plus être convenablement entretenu.

    Et l'on vous voit à la télé faire vos petits caprices infantiles en trépignant parce que votre train sera en retard ou ne roule, sans vouloir comprendre les raisons de leurs actions, puisque pour vous c'est Moi d'abord, des autres je m'en fous en chantant : "No futur!".

    En fait, de ne pas vouloir comprendre tout cela et bien d'autres choses, messieurs-mesdames, si facilement aveuglés par cette propagande médiatique aux ordres de notre ploutocratie nationale, vous en êtes pitoyables.

    Demandez-vous donc pourquoi lors des explosions de gaz à Paris, dont l'une à tout de même ravagé un quartier, l'effondrement d'un immeuble à Marseille, et lors des incendies de la cathédrale de Paris et de l'usine Lubrizol de Rouen aucun plan ORSEC ne fut déclenché.P1020963.JPG

    Et là vous comprendrez que c'est parce que les GOPE de l'Union-Européenne demande instamment au gouvernement de la France depuis deux décennies, à tous ceux que vous avez élu, de faire des économie dans l'administration du pays, que donc cet organisme n'existe plus hormis sous forme de traces volubiles, si aucun préfet ne l'avait activé à l'époque c'est qu'il ne doit plus être là que sous la forme d'un fantôme.

    Il existe certes encore dans les textes, mais quid de sa réalité organisationnelle et fonctionnelle?

    Pourquoi ne vous êtes vous pas posé cette question, vous, si savant?

     

    Alors Vous, vous avez deux choix, soit de continuer de rêver d'une Union-Européenne néolibérale qui n'est pas ce qu'elle dit être, soit de participer à la lutte, avec le peuple provincial et des banlieues, pour en sortir.

    Mais si c'est le premier que vous agréez, alors assumez-en le fait et si vous faites parti des journalistes et personnels politiques, affirmez-le sans ambage sans plus jouer les faux-culs, dites-le, hurlez-le: "Que vivent les GOPE !".

    Pourquoi donc aucun médiat officiel ni de parti politique médiatique n'en parle, seriez-vous naïfs à ce point de ne point vous en questionner?

    ( Si la curiosité vous anime, vous pourrez trouver sur mon site une série de P1020202.JPGréflexions portant sur l'impossibilité de réformer l'UE, sauf à la conduire vers son autodestruction, phénomène similaire à ce qu'il s'était passé en URSS et en ce moment aux USA. )

    En revanche, si votre décision se porte pour le second, trois autres choix se portent à vous suivant ce que vous entendez d'une sortie de l'UE:

    -Soi par une sortie sèche sans activation de l'article 50, à la hussarde si je puis dire, pour l'instant largement minoritaire mais qui, en raison même des difficultés rencontrées par le premier ministre britannique, Boris Johnson, de mettre en place le brexit, pourrait rencontrer une écoute populaire attentive en ce moment, au sein du PRCF par exemple, toutefois ses adhérents arrachent et déchirent les affiches du suivant, l'UPR, ce qui démontre une certaine légèreté intellectuelle de leur part;

    -Soit par l'activation de ce même article, ce que j'approuve, son représentant principal, sinon unique, étant l'UPR dirigé par François Asselineau, dont je suis adhérent, notez que cet homme connaît ces dossiers comme il se plait de le dire, ce que vous devriez apprécier vous qui avez mené de longues études;

    -Soit de considérer, avec François Boulot, que l'urgence serait d'abord de convaincre la majorité des français que de sortir de l'union ne serait pas, en soi, un drame et que, tout au contraire, ce serait une bénédiction, avant qu'une action quelconqueP1020251.JPG d'en sortir soit entreprise, vous remarquerez que cette approche lui offre l'avantage de pouvoir passer dans les médiats mais sans plus.

    ( Vous remarquerez aussi que Tatiana ventôse critique vertement les décisions politiques des macroniaiseux sans s'en prendre à cette union, même  si, avec ses acolytes, elle l'avait infiltré en en montrant le dogmatisme obtus mortifère et tricheur, je pense qu'elle agit de la sorte pour ne pas choquer ses parents qu'elle sait fragiles et qui, sinon, seraient heurtés et ne la comprendrait pas, ce tact est tout à son honneur. )

     

    En plus d'une société française non loin de l'explosion, le système économique mondialisé monétariste, lui, est en voie prononcé de délitement.

    Quand bien même des équipes d'économistes plus ou moins mondialisées tentent  de le sauver, je crains fort que, comme il peut en être de celle trumpienne de réindustrialiser sa nation, il ne soit trop tard, ses instabilités internes sont trop importantes.

    A ceci s'y rajoutant que l'Union-Européenne, à cause de ses décisions ubuesques et de sa domination par une oligarchie autant nationale qu'européiste d'un pur P1020513.JPGégoïsme, tend à en accélérer la déchéance.

    Ce qui  fait qu'il est fortement possible que ce système disparaisse avant que tout France-quitte ne s'effectue sous une forme ou une autre, laissant une importante béance industrielle, agricole et politique en notre pays qui devra se reconstruire, sachant qu'une telle disparition ne pourra que détruire de l'intérieur la-dite Union-Européenne déjà extrêmement instable.

    La nation aura donc, dès lors, besoin de vous,  de vos savoirs et savoir-faire.

    C'est pourquoi il serait bien que la part de votre classe sociale toujours  empreint de cette idéologie mortifère euro-atlantiste néolibérale ploutocratique se réveille enfin à la réalité, dut-elle être différente que ce vous pouvez imaginez.

    Mais ne serait-ce pas ça que de se frotter au principe de réalité en quittant celui, enfantin, du seul plaisir?

    Mais surtout, cessez de croire à toutes les sornettes qui nous sont serinées à longueur de temps, ce n'est pas parce qu'une idée nous est répétée cent mille fois que celle-ci représente le réel, il en est de ce fameux réchauffement climatique anthropogénique comme de tant d'autres choses.

    Que diantre, commencez-donc à penser par vous-mêmes!P1020912.JPG

    Non l'Être Humain, non l'homme n'est pas un démon, ni un ange d'ailleurs, comme on voudrait nous le faire croire au sujet des femmes, ceci est absurde.

    Oui une petite fille au nom de Greta Thunberg, que l'on dit autiste asperger léger, est traumatisée pour les trente ans qui suivent en raison des crasses imbécilités qui lui sont demandé de lire et auxquelles elle croit, ceci pour vous manipuler comme les gamins que vous êtes!

    Alors, devenez adultes, vous verrez, c'est épatant.

     

     

  • Deux textes vite faits.

    Je vous propose aujourd'hui deux textes plutôt courts, le premier portant sur la désindustrialisation mondiale, le second d'une réflexion de la politique française lorsque cette catastrophe  aura lieu.

    Désindustrialisation et fragilisation bancaire:

    IMGP0046.JPG

    D'aller voir mes textes antérieur, je me suis aperçu qu'en Mai je pensais que le  système  économique recommençait à se réindustrialiser, or, à l'époque, ce  fut une énorme erreur de jugement, celle-ci était bel et en dans une phase de repos jusqu'au début du mois d'Août, ceci parce que, comme je l'avais toutefois souligné, les gens  qui avaient un petit peu de sous dans leur compte en banque, ne voulaient pas, avec raison, que cet établissement leur confisquât leurs pécules.

    Ceci grâce aux amicales recommandation de l'Union-Européenne aussitôt entériné par des lois votées illico presto par les pays de l'union, voulant qu'une  banque  avait l'autorisation de confisquer les avoirs des particuliers si celle-ci était en position difficile (état dans lequel elles sont déjà toutes, mais pas officiellement).

    Oubliant imprudemment ce texte de Mai, j'ai toutefois, en maints commentaires, expliqué ailleurs, dont à Businessbourse ( http://www.businessbourse.com/2016/08/06/le-nouvel-effondrement-du-cours-du-petrole-est-une-tres-tres-mauvaise-nouvelle-pour-leconomie-americaine/ ), le processus en cours.

    DSC00093.JPGCelui-ci se décompose en trois temps:

    1) De Janvier à mars la population instruite et/ou au fait des médias, ayant quelques économies en banque, comprennent  qu'elles risquent de tout perdre en raison des lois votées;

    2) D'Avril à Juin elle dépense son argent par l'achat de divers biens et commande travaux, cadeaux à la famille et autre, en conservant de quoi se payer des vacances convenables;

    3) Vacances puis arrêt plus ou moins total de toute dépense, avec peut-être aussi prise de monnaies conservées chez soi.

    Cela ne pu que fragiliser la situation bancaire puisque ces établissements se retrouvent, de fait, dans une situation comptable bien plus délicate qu'auparavant.

    Cela se passant, bien sûr, non seulement en France mais aussi partout dans le monde où ce type de décision gouvernementale fut prise.

    Ce fut, comme je l'ai dit, la raison pour laquelle il y eut un regain d'activité économique, la remonté des prix des matières premières et de l'énergie ainsi qu'une amélioration de la situation des transports internationaux.

    Maintenant les cours des matières premières tendent de nouveau à la baisse, avec le pétrole redescendu à environ 40 dollar le baril.

    Cela ne pouvant que prendre les décideurs économiques et les responsables politiques à contrepied, eux qui pensaient, depuis le début de l'été, que cette descente en était arrivée à sa fin.

    Je me dois de vous raconter deux anecdote qui, ma foi, paraissent montrer cetteIMGP0205.JPG extrême fragilité bancaire et, également, commerciale.

    La première fait suite à l'appel du responsable du compte en banque de ma mère et du rendez-vous pris avec lui.

    Celui-ci voulait de toute force que son petit pécule soit placé en sa moitié sur son assurance-vie en faisant valoir sa meilleurs rémunération, ce à quoi j'ai mis le hola, y sentant le vent mauvais.

    Je vous conseillerais, messieurs-dames lecteurs, de retirer tous vos  sous de ce type de compte au plus tôt, y pressentant qu'un phénomène de cavalerie pourrait bien s'y être mis en place dans un nombre indéterminé d'établissements.

    Le second à trait de ce que j'ai pu voir comme publicité sur la parking d'un grand magasin provincial et d'un autre de la région parisienne vers le quinze du mois dernier: Faites un chèque aujourd'hui, il ne vous sera  facturé qu'au début du mois prochain.

    Cela ne peut  que montrer l'appauvrissement des populations et, suivant, de la situation quasiment catastrophique des super-marchés, étant entendu que les petits commerces ne sont pas loin de la faillite, quand ils ne le sont pas  déjà, d'où le vide grandissant des centres-commerciaux et des centres-villes.

    IMGP0347.JPGPour finir, je vous propose de retourner voir ce petit billet où je vous donnait quelques conseils, même si celui-ci peut être un peu dépassé, les conseils, eux, ne le sont pas: ( petite-video-d-un-economiste-pour-moi-inconnu-5740090.html ).

    Quelle réaction aura le personnel politique lorsque cet effondrement de l'économie mondialisée aura lieu? 

    Franchement, je suis là dans la plus absolue des expectatives, ne sachant pas vraiment comment les choses pourraient se passer.

    Nécessairement les banques auront fait faillite et les scandales seront nombreux.

    Certes, l'Union-Européenne se terminera dans le grand-guignolesque.

    Bien sûr, les équipes gouvernementale et des partis officiels dits d'oppositions, L.R. et F.N. pour l'essentiel, seront totalement perdus et affolés par les événements à venir.

    Mais pour le reste, parce que ceux sus-cités n'auront à ce moment là plus grande  importance je vous avoue ne pas très bien saisir les dynamiques en cours, sachant toutefois que la politique est, contrairement à l'économie, beaucoup plus difficile à en apprécier le développement.

    La simple raison en étant  qu'en économie il est facile d'en délimiter les fragilités, ici l'industrie, les banques et les fonds spéculatifs internationaux, et donc d'en porter conjecture des effets, quand, en politique, s'y mêlent autant les silences, les buts et stratégies, les croyances etP1000130.JPG présupposés, les relations humaines exacerbées par le pouvoir et sa recherche, les idéologies, ..., enfin bref, la politique est bien moins prédictive que l'économie, surtout quand cette dernière est en train de se désagréger et que le monde politique est déjà dans un certain chaos.

    Ainsi,  qu'en sera-t-il des réactions de notre Président de la République, personne ne peut le dire, même si le Premier Ministre et celui de l'économie, Messieurs Valls et Macron, pourraient très bien l'un et l'autre se retrouver en grave crise psychologique?

    Quels seront les réactions des cadres et dirigeant du parti (les) Républicain(s) et du  Front-(pseudo)National, pas grand monde peut en avoir l'idée, nient-ils ou pas les fragilités de l'économie-monde, qui et en quel nombre, ont-ils ou non la conscience collective de la désindustrialisation actuelle, comment le savoir?

    Monsieur Mélenchon a, il est vrai, démontré dans l'une de ses conférences, cet extrême fragilité de la globalisation monétariste, mais en a-t-il pris toutes les mesures logique au sein de son parti?

    Monsieur Asselineau est entouré de gens compétents, a déjà abordé ces questions de fragilité économique, mais, hormis sa préparation des prochaines élections, a-t-il mis en place un suivit de cette dégradation actuelle?

    P1000445.JPGQuand aux verts, n'en parlons même pas, de petits ils sont devenus lilliputiens en passant leur temps à se chamailler.

    Je l'ai dit, la France est le sujet aujourd'hui central de toutes les chancelleries ayant quelque dimension, ne pas, pour elles, y avoir un pied d'une manière ou d'une autre ne peut qu'être une preuve de la faiblesse d'un pays.

    Ceci rajoutant à la complexité politique actuelle.

    Alors, qu'en pense les journalistes, ceux en vu et bien vu, et les autres, craignant le chômage et ainsi en obéissance forcée?

    Et puis, qu'en pense la population?

    Quel en est le pourcentage qui a pris les dispositions adéquates?

    Naguère, Nagui, présentateur télé bien connu, a, à demi-mot, dit la prochaine faillite des assurances, les banques, non-nommées, ne pouvant que s'en rapproché, il en fut applaudit par les spectateurs.

    Cela prouvant au moins que les gens sont dorénavant plutôt conscient de la situation économique réelle dedans laquelle nous sommes.

    Je conçois  que faire un texte en y disant: "je ne sais pas", peut sembler inutile, mais cela me parais nécessaire puisque pour l'instant, la situation en devenant imprévisible, la seule chose  qu'il nous reste à faire est d'observer les événement, jusqu'aux peu visibles signes ultérieurs, tout en gardant notre sang-froid.

    Et  puis, de délimiter les contours de notre ignorance n'est-ce pas de commencer à mettre nos idées au clair?

    D'autant plus que cette faillite universelle s'approche à grands pas.

    DSC_9610.JPG

     

    THEURIC

     

     

     

  • Réflexion pamphlétaire sur la décroissance et ses partisans

     

    Il y a beaucoup de personnes, oserais-je dire pour être à la mode, qui se proposent de faire de la nouveauté dans le retour en arrière, la belle affaire!

    La décroissance, c'est moderne, coco et puis cela ne demande pas de longs questionnements.

    La paupérisation des peuples c'est de la décroissance et nous l’avons, nous la vivons ici sous forme d'une déflation récurante et ce depuis trente ans : vous ferais-je remarquer cette évolution qui fait que le statut des plus pauvres (et des classes moyennes) des pays les plus riches rejoint le statut des plus pauvres des pays les plus pauvres tout comme le statut des plus pauvres des pays les plus pauvres rejoint le statut des plus pauvres (et des classes moyennes) des pays les plus riches?

    En fait, ceux qui prônent la décroissance ne font rien d’autre, ne pensent à rien d’autre que ce que font et pensent les néo-libéraux et les communistes des temps anciens: de l’économie-politique, n’ont, donc, de pensées, que des pensées essentiellement basées que sur de l’économisme dans un sens ô combien trivial et en ce sens fort simpliste.

    Ce que je propose, en revanche, c’est de renverser cette pensée dominante par une pensée essentiellement politique, c’est à dire de donner la priorité, les prérogatives pour tous projets, actions, valeurs, décisions, visions, même, à la chose publique et qu'est ce que la chose publique sinon, évidemment, la politique.

    L’économie, tout comme les forces armées, militaires et policiers, entrant alors dans le giron des pouvoirs régaliens qui ne peuvent être que l’apanage de la force publique.

    L’importance de la démocratie se trouve dans cette nécessité: le pouvoir politique se trouve, en vrai, dans une situation de pouvoir absolu et il n’y a que le peuple souverain d’en contrebalancer les méfaits de par la possibilité, le droit, le devoir de remplacer continuellement les hommes au pouvoir par la votation.

    L’économie-politique n'est que du passé, la décroissance n’a pas de sens sauf à considérer le Cambodge de Pol-Pot que comme une petite promenade de santé !

    Parce que, quasiment personne ne voulant de décroissance, dans les pays émergeants comme en Occident (Japon compris), personne, donc, n'en voulant, ceux qui la prônent se devront de la faire accepter de force, de plus, une économie étant par nature un processus dynamique, décroitre voudra dire stopper la-dite économie et dès-lors son dynamisme et même si je demande que nous revenions à des considérarions prioritairement politiques, je reconnais que, sans la vitalité d'une économie bien faite, les sociétés ne peuvent que souffrir de déclin et de dépérissement.

    Mais pourquoi faut-il donc que, toujours, il faille rechercher les idées là où elles ne se trouvent pas, pourquoi donc, continuellement rejouer cette mascarade???

    Ce n’est pas repenser l’économie qu’il nous faut mais repenser la politique, mais qui aurait ce courage de remettre en question les vérités établies?

    Qui donc oserait de remettre en question la notion d'économie politique pour donner une substance moderne à celle de politique économique?

    Pour tout dire, il y a peu, même un ministère s’appelait un marocain!

    C’est facile de se dire: « puisque notre situation vient de ce que nous avons bien trop cru et cru que devoir croitre nous rendrait heureux, faisons le contraire: décroissons! »

    Ce serait comme de se dire: « Diantre, que ne me suis-je donc tant fatigué de courir droit devant moi, lors, pour que je puisse me reposer, vais-je courir à reculons. »

    Je ne dis pas que l’économie n’est pas importante pour le bon fonctionnement des affaires humaines, je dis que ce qui les domine c’est la politique et tout comme les forces armées furent mises sous le contrôle du politique, comme le furent aussi, en Europe, les religions, l’économie se doit de l'être également.

    En fait, il n’y a pas de différence philosophique notable entre les tenants à la décroissance et les néolibéraux, ils sont de même essence, ils croient que l'économie est au centre du monde.

    Baliverne!!!

    N'ont-ils jamais imaginé, ces apôtres du décroissement, qu'une autre vision de notre humanité nous offrirait une perception différente de ce que pourrait être une sortie élégante de nos difficultés actuelles, une perception différente  de ce pourrait être un (proche?) futur enthousiasmant, une perception vivifiante de notre avenir?

    Nous sommes, nous Homo Sapiens Sapiens, sur Terre depuis deux cent mille ans environ et cette planète fut notre berceau, l'humanité ne va tout de même pas rester de tout temps dans un nid qui, bien que douillet, n'en reste pas moins qu'un nid, nid, de plus, de plus en plus étroit !

    « Mais nous ne pouvons pas voyager plus vite que la lumière, ouininin! », dit avec des larmes de crocodile ce quidam écolo-décroisseur n'ayant pas l'imagination plus loin que le bout de son nez, s'il en a, du nez.

    Qu'en sait-il, qu'en savons-nous ?

    Sait-il pourquoi la physique quantique fonctionne et ce que peuvent être matière noire ou énergie sombre ?

    Moi pas, mais quand nous le saurons alors saurons-nous peut-être aussi si oui ou non nous pouvons voyager au-delà de notre système solaire.

    Parce que ce n'est pas tant la vie sur Terre qu'il aime et qu'il veut sauver, ce n'est pas tant la Terre qu'il aime et qu'il veut sauver (vouloir sauver la planète, quelle absurdité!), ce n'est pas tant notre espèce, son espèce qu'il aime et veut sauver, c'est l'humain, tout le genre humain qu'il voudrait, secrètement, voir disparaître, voir annihiler !

    La vie comme la Terre, Gaïa, elle, se moque, comme de sa première chemise de la pollution et de la disparition des espèces, elle en a vu bien d'autres et de bien plus terribles.

    La décroissance, cette théorie économique (une de plus), est le plus grand mépris qu'il puisse exister tant des êtres humains que de leurs intelligences, c'est la plus belle et grossière insulte faite à nos capacités (et pourtant il y en a eu beaucoup d'autres, et croquignolettes), l'injure la plus méprisante pour la noblesse de notre esprit d'aventure, pour la noblesse de notre esprit, de notre psyché et en ses facultés, talents, dispositions!

    Et, pire que tout, elle est vulgaire!

    Notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, mérite mieux, comme futur, que de rester à vivoter, la tête vide, sur son petit carré de jardin bio.

    Elle a le flamboyant privilège de vouloir et pouvoir un jour partir visiter les contrée lointaines et inconnues des espaces infinis, de vivre l'aventure exaltante de découvertes somptueuses, de s'épandre et ensemencer des planètes vierges de toute vie, de trembler face à l'effroi du mystèrieux, de l'énigmatique, de l'étranger...

    Rester pour toujours sur Terre serait pareil que notre mort, pareil que notre disparition, serait pareil qu'une extinction nucléaire!

    Notre espèce, Homo Sapiens Sapiens, a plus que le droit, le devoir de vivre!

     

  • Second exercice de style.

    Comme il en fut précédemment fin Juillet, pris par le temps, ici après avoir débuté un long texte qui, comme de nombreux autres, se retrouvera à la poubelle, je vais rapidement traiter de divers sujets en ne faisant que changer de couleur conjointement au nouveau thème.

    Ceux-ci porteront sur la violence à l'école, la conduite suicidaire de notre gouvernement, de la situation déplorable de l'Union-Européenne, de la disparition prochaine de l'oligarchie mondialisée et, pour finir, je reviendrai sur les pervers narcissiques.

    Je finirai en vous proposant quelques poèmes que j'avais, il y a longtemps, déjà publié ici et que je fais remonter du tréfonds de ce site.P1010654.JPG

     

     

    Les violences dans les écoles autant que celles, générales, des jeunes montrent, à qui veut bien y regarder, deux choses complémentaires, la perte de repère de cette jeunesse provenant de leur acculturation importante, mais aussi le refus des classes dirigeantes de percevoir les résultantes de leurs décisions multidécennales.

    De fait et à mon sens, ils sont la résultante de sept décennies de domination étasunienne sur la France, les uns par l'abaissement continuel de leur niveau culturel, de l'abrutissement incessant de ces jeunes par tout un ensemble de processus propagandistes remettant en cause leur identité, jusqu'à celle sexuée.

    Pour les autres, ce fut d'avoir choisi, pour pouvoir dominer la France, des plus sots aux plus corrompus de nos dirigeants tout en leur laissant à croire qu'ils sont les véritables élites du pays, parce qu'ils furent choisis par l'empire, ceux qui se font appeler les youngs leaders.

    Quand bien même seraient-ils gonflés d’orgueil, c'est en vrai autant pour leur obéissance servile que pour leur immense bêtise que le choix se fut porté sur eux (des êtres intelligents, doués de raison, hormis ceux souffrant d'une soumission pathologique, en viennent à se révolter dès lors que des décisions se révèlent par trop absurdes), ceux-là même qui, de plus, se retrouve aussi à diriger l'économie du pays en raison de la porosité substantielle qui existe entre le monde public et privé, il n'est qu'à voir ce que fut la vie professionnelle de Macron.

    C'est dès lors parce qu'ils craignent que ne soient découverts les effets désastreux de leurs décisions, ou plutôt de leur manque de volonté puisqu'ils ne font tous qu'obéir, mais aussi et peut-être surtout parce qu'ils ont peurs que si la population P1020059.JPGcomprenait ce qu'il se passe réellement elle ne se révoltât, que notre pseudo-élite cache ainsi la situation désastreuse dedans laquelle se retrouve le pays.

    Il en est ainsi de la violence multiforme de cette jeunesse égarée que du nombre réel de chômeurs, de la vrai situation économique de la nation que de l'état déplorable de nos forces armées, des pompiers et de la police, aussi que de tout un ensemble d'autres facteurs tous autant déplorables les uns que les autres.

    Que savons-nous donc de ce qu'il se passe dans les campagnes sinon pas grand chose?

    Ces gens n'ayant d'horizon que des banlieues.

     

    Je suis fasciné par l'espèce de conduite suicidaire de notre gouvernement.

    Depuis Juillet et le développement de l'affaire Bennala, le Président de la République et son gouvernement se retrouvent à tel point affaibli que deux ministres, et non des moindres, ont démissionné, Messieurs Hulot et Collomb, les rats quittant ce navire sur la voie du naufrage ( d'autres en sont sortis bien avant, comprenant rapidement que tout cela ne pouvait que les mener à la débâcle ).

    Or et comme de si rien n'était, le président, les ministres restants, les masochistes et les naïfs, ainsi que les élus du R.E.M. toujours en poste à l'Assemblée Nationale, ditsP1020008.JPG les radios-éléments puisque toujours devant les médiats, continuent tous leur politique comme si de rien n'était.

    Il y a ce quelque chose d'inconséquent dans cette façon de faire où, plutôt que d'attendre, même quelques mois, que la population s'apaise, ils continuent donc de force de perpétuer leur politique de démembrement du pays.

    En fait ils ont, pour l'instant, cette chance folle que la majorité du peuple soit infiniment plus démocrate qu'eux-mêmes.

    Là, le 17 Novembre, un Samedi, les automobilistes vont manifester en raison de la monté des taxes des carburants, ceci en bloquant les routes, ce qui ne servira à rien, nos olibrius gouvernementaux n'en auront rien à foutre.

    Ce qui est de fait une belle erreur.

    En effet, les contrepouvoirs français étant largement viciés et donc décriés puisque subventionnés par l'Union-Européenne, comme il en est des syndicats français faisant parti de celui européen, la C.E.S. (et vu aussi que les plus remuant des premiers secrétaires sont chassés par leur bons "camarades", comme il en fut à F.O. dernièrement), ces contrepouvoirs ne sont plus là pour tenir les gens, ce qui fait que, dorénavant, plus rien n'empêche la population à la révolte.

    Le 17 Novembre prochain personne ne peut dire comment cela va se finir, peut-être chacun rentrera chez lui en ayant le sentiment d'avoir essayé de se faire entendre de P1010829.JPGce pouvoir sourd, aveugle et muet, sauf pour dire des âneries.

    Mais il est aussi possible que cela ne se transforme en un état insurrectionnel que quiconque ne pourra faire cesser.

    Dans tous les cas la macronnie finira mal, très mal.

     

    L'Union-Européenne est au-dedans d'une situation déplorable.

    Les raisons en sont simples : l'empire U.S. avait bâti cette union avec l'aide d'une Allemagne qui en était l'encadrement principal.

    Et puis progressivement, la puissance impériale diminuant, la Germanie se retrouva à la diriger seule, sans les ordres provenant des ricains, sauf quelques fonds vautours qui trouvent toujours de veules gouvernements pour leur vendre les bijoux de familles de leur pays, comme Alstom en France, ou d'autre pour acheter des avions de chasse mal conçus, comme le F.35 par la Belgique.

    Du fait de l'éloignement des U.S.A. des affaires européennes, ne contrôlant plus dès lors les gouvernements, chaque pays de l'union tire dorénavant à hue et à dia pour les intérêt bien compris de leur propre pays, n'étant que la phobie de ceux du nord-ouest pour la Russie qui permet, un petit peu, d'aménager les susceptibilités de chacun d'entre-eux, et encore.

    Cela mène à ce que l'Allemagne redécouvre son très vieux fantasme d'une domination de l'Europe, d'une administration de l'Union-Européenne poursuivant,P1020056.JPG tambour battant, son programme originel, c'est à dire le démembrement des états-nations, l'Italie ayant débuté sa tentative réformatrice de l'U.E. par ses dernières provocations, à ce qu'en France la révolte gronde.

    Ce qui est le plus risible dans cette histoire c'est que dans nombre de pays il y  ait à la tête de ces états des pouvoirs qui, paraît-il, serait extrémistes et populistes, qui se diraient d'extrême droite, quand nous savons que, de fait, les pays de l'union sont très proches du gouvernement ukrainien s'affirmant néonazi, mis en place par ce qui se fait appeler l'état-profond U.S., leurs oligarques, quoi.

    Aucun ne remettant en cause l'existence de l'U.E. nous pouvons en conclure de ce que peut être la nature de cette union tout comme de ce qu'il peut en être les oligarchies euro-atlantistes, étasunienne comme européenne.

     

    Les oligarchies mondialisées se meurent.

    Ce ne sont pas tant les violentes baisses boursières qui les ruinent que de la désindustrialisation généralisée, qui en est la véritable première des causes.

    La preuve en est là: la baisse du prix des métaux industriels.

    Bien sûr qu'il y a la hausse du prix des carburants, la raison en étant que la P1020030.JPGspéculation se retire des bourses pour fondre sur les matières premières.

    D'ailleurs les moins sots achètent de l'or et les banques centrale, en cela, ne sont pas en reste, sauf en ce qu'il en est de nos guignoles qui nous gouvernent.

    En fait, c'est tout le système qui commence à s'écrouler et nombre de facteurs aggravant, comme la hausse des taux de la F.E.D. et des attaques contre l'euro, ne font qu'en accélérer le processus.

    Vous trouverez, bien sûr, un ensemble de réflexions là-dessus dans mon billet précédent.

    J'avoue que de vivre cela ne me lasse pas de m'intriguer.

    Né en 1958,  j'ai connu la fin des trente glorieuses et leur lente agonie, mais ce que je découvre au  fil des jours depuis une demi-douzaine d'années environ ne me lasse pas de me troubler.

    Qu'il m'ait fallu déterminer par moi-même la nature de la monnaie quand, dans le même temps, nombre d'économistes n'ont pas l'air d'en saisir la moindre trame m'est singulier.

    C'est pourquoi je ne cesse de m'essayer de comprendre la nature de ce délire collectif, ici même, dans ce blog.

    De tenter de saisir le pourquoi de ces gens qui détiennent tant de pouvoir et de tellesP1010746.JPG fortunes, censément sensés, enfin, semblent s'en donner l'air, prennent des décisions qui, à terme, ne peuvent que les mener à leur propre banqueroute.

    Certes, les causes à cela peuvent être évoquées facilement : surpopulation, explosion scientifique et technologique débutée il n'y a que seulement deux cent cinquante années d'âge environ, domination, pendant dix ans à peu près, de 1991 à 2001, par l'empire ultime que sont les États-Unis-d'Amérique de quasiment tous les pays, traumatismes multiples des peuples en raison de colonisations, de crises économiques et de guerres de grandes envergures tout au long du XX° siècle, transformations radicales de toutes les sociétés... pour les plus essentielles.

    Mais quoi qu'il en soit, cette perte de raison à toutes les strates sociales reste singulière et, à mon sens plus que de toutes autres choses, doit être impérativement étudiée.

     

    Vous trouverez ici la meilleurs vidéo sur la nature de la perversité narcissique que j'ai pu trouver jusqu'à présent.

    D'avoir été pote avec un pendant 35 ans j'ai pu l'étudier de visu et ai remarqué qu'il suffit de tendre l'oreille pour percevoir qu'il dit, au fil du temps, tout sur lui, tout simplement parce qu'il ne cesse de projeter sur les autres sa propre aliénation.

    Il est donc possible de percevoir quel a été l'élément déclencheur de sa maladie mentale et où se situe ses délires hallucinatoires, puisque toutes ses proies y P1020143.JPGbaignent sous la forme d'un brouillard conceptuel.

    Il faut toutefois faire attention puisque, en même temps, ce monde imaginaire dedans lequel il vit n'est, en aucun cas, le reflet de son vécu concret et réel, mais représente les réaménagements de ses malversations et de ses difficultés passées pour se donner bon visage, ceci pour être le centre de son monde, pour sauver son narcissisme grandement dégradé.

    Ce sont donc aux projections auxquelles il faut porter attention, soit tout ce qu'il dit de tous les autres, du moindre passant aux gens de sa famille, même et surtout ce qu'il exprime envers sa ou ses victimes, et non pas à ses récits romancés qu'il porte en Moi-Je.

  • Versifier en bagatelle..., mais aussi en politique.

    Légère préface

     

    Voici, je recommence à vous présenter mes vers

    Et pour les présenter ce tout petit quatrain

    Que je laisse en à-propos, pour vous, ouvert

    Aux délices des mots à lire avec entrain.

     

    (Y'a intérêt sinon je râle, poil au râble)

                                                  -----------------------------------------

     

         En odes et stances

          Conter l'existence

    De la recherche de beauté

     

     

    L'amour des vers et des quatrains

     

    De fait, là, que je ne le vous cache en rien,

    Écrire en poésie m'est, plus qu'autre chose,

    Ce plaisir intense qui ne peut qu'être bien,

    Même s'il m'est plaisant de poser la prose.

     

    Les rimes me viennent comme ondes charnelles,

    Sublimant les mots en verbe me bondissant

    A l'esprit telles des sylphes passionnelles

    Me parcourant séant en forts flux scintillants.

     

    Ainsi, pour moi, il ne m'est point de fatigue

    Quand je rythme en quatrain le beau vocable.

    Reproduisant d'envie de ce don prodigue

    A tous ceux pour qui cela est agréable.

     

    Comme de tout art je versifie pour l'autre,

    De l'inconnu badin en découvrant ce chant

    A m'amour absolu pour qui çà devient nôtre,

    Jusqu'à des fervent en mes vers aguichants.

     

    Sa graphie surannée, mesures de douze pieds,

    Oubliée de modernes, tant obscurantistes

    De l'expression, en devinrent si estropiés

    Qu'ils ânonnent péniblement en casuistes.

     

    Oserais-je l'avouer, il m'est d'aussi de joie

    D'asticoter ces innocents d'alexandrins,

    De cet air charmant se faisant autrefois

    Et que je reprends, ici, avec grand entrain.

     

    Se peut d'autres peut-être, d'autres assurément,

    Font aussi strophe de syllabes en compte,

    De mêmes déclamations, d'hymnes d'agrément,

    Faire mélodie de ce que l'âme conte.

     

    Alors, chacun, je les salue, ces compagnons,

    Ignorés confrères en odes et stances,

    Nous sachant ardu quand en beauté nous guignons :

    Nourrir le langage, raconter l'existence.

                                                      -----------------------------------------

     

     

    L'existence nous sourit

                De naître

                  A la vie

     

     

    Naissance

     

    En un jour comme un autre, combien semblable

    A tant d'autres jours, pourtant remarquable

    Pour cet enfant naissant et une mère, enfin,

    Des neufs mois attendus du futur couffin.

     

    De vie en devenir, entrée en existence,

    Ses trois kilo cinq cents passés juste à téter...

    Et ses deux parents l'aimant en bienveillance.

     

    Le chérubin, nu, bien nourri à satiété,

    Sur les seins de maman pleine de confiance

    Dort, fatigué d'être né, sur ce flanc ouaté.

     

    Sa mère repose de tout ce temps passées

    En cette délivrance du poupon défroissé.

    Ce couple géniteur de ce beau nourrisson

    Se savent ainsi essentiel pour l'enfançon.

                                            --------------------------------------

     

     

        Agir en noblesse

     C'est faire l'élégance

    En simples réflexions

     

     

    Vers politiques

     

    La politique, tout autant, peut se versifier,

    Hugo, en son époque, put nous le prouver :

    Il n'est, en l'histoire, pour nous de certifier

    Qu'en l'hémicycle bruissaient ses vers éprouvés.

     

    Politique prurit faites l'élégance :

    De rimes en rythmes qu'en viennent flagrance

    Des enjeux malheureux ou de malveillance

    Qui, aujourd'hui, submerge jusqu'à la France.

     

    Du banal, exception, l'exception fait règle.

    Sont honnis des gens se révélant intègres.

    Le faux fait croire vrai d'une pensée aigre

    De ceux-là parlant comme pisse-vinaigre.

     

    Un vent lourd de bêtise souffle sur le pays,

    Ne faudrait-il pas autant qu'il ne s'allège ?

    Qu'à ces faibles fictions devenues fouillis

    Soient balayés tout ce pauvre florilège.

     

    Faisons œuvre en parlant de ces actes

    De belle manière en vidant tout à trac

    L'abject purin emplissant l'havresac

    Des hideux cocos n'étant que des réacs.

     

    Mais quoi que nous fassions, menons en distinction,

    Habilité, finesse toutes nos décisions :

    Conduisons-nous donc, en nos envisageables actions,

    Tel qu'il se doit en notre civilisation.

                                            ----------------------------------

     

     

                     Légère bagatelle,

                        Belle frivolité,

    Grandeur voluptueuse et sensuelle

     

     

    Charnel

     

    Être coquin en diable, ma foi, je l'assume

    Et d'aimer les femmes ne peut être funeste,

    Pour l'homme bien né l'est que manifeste :

    Faire œuvre libertine de sa plume :

     

    Ses pétales dorés déposaient en mes lèvres

    Son pistil vibrant en grande langueur

    Qui offraient à son corps de forts sauts de fièvre

    En un puissant vibrato d'une vigueur

    Me menant à parfaire, tel un orfèvre,

    L'œuvre fugace de l'humble fignoleur.

     

    Cette plume oisive un temps, légère,

    Telle l'abeille entrant dans la corolle,

    De l'oriflamme devenu banderole,

    Fit lueur, éclats, braises, feux, flashs, éclairs.

                                           ---------------------------------------

     

     

    Petite promenade

            D'un mot

              Oublié

     

  • Rencontre du troisième type sympa

    J'étais tranquillement installé dans mon canapé quand, soudain, j'entendis :

    « Psst, hep, psst ! »

    Surpris de cet appel, moi qui vis seul, je me retournais et répondis :

    « Ah ! À qui ai-je l'honneur, serait-ce toi, Évelyne ? Tu rentre bien tard ! »

    -Mais non, c'est moi, Moi, bien sûr.

    -Comment-ça, qui ça moi ?»

    Répondis-je.

    « Ben Moi, un Unvoyageurdelaudelàdelà, un extraterrestre, donc, car je suis le Unvoyageurdelaudelàdelà Moi et non pas toi qui est un Terrien quinevapaspourlinstantaudelàdechezlui.

    -Donc toi ce n'est pas moi mais c'est Moi.

    -C'est ça, Je suis moi Moi et je ne suis pas toi.

    -Bon, d'accord, mais alors, que me vaut que toi, Moi, tu m'appelle ?

    -Pour cela, ce sera Toi qui va t'en parler tout de suite.

    -Comment ça, moi ?

    -Non pas toi mais moi Toi qui te parle maintenant, parce que moi c'est Toi et toi t'est toi.

    -Ha, j'ai compris, moi c'est moi et toi t'est Toi.

    -C'est pourquoi, moi Toi, vais te parler.

    -Et lui, Moi, pourquoi ne me dit-il rien de cela ?

    -Ben en raison du fait que lui Moi n'est pas moi Toi, mais, si tu le veux, je peux demander à elle Lui si elle veux bien t'instruire de ce que moi, Toi, a à te dire.

    -Donc vous êtes à trois ! », dis-je.

    -Non, nous sommes pas à Troyes mais dans l'espace, et elle, Trois, non, elle ne le peut pas, elle mange.

    -Seriez-vous quatre alors ?

    -Bien sûr que non, nous sommes plus nombreux, mais Quatre est restée à la maison, elle un amant, vois-tu.

    -Alors toi Toi, qu'a-tu à me dire.

    -Nous avons une mission pour toi.

    -Pour moi, Toi, me dis-tu, j'aurais une mission, de laquelle s'agit-il ?

    -Il te faudra sauver l'univers.

    -Que dois-je faire pour cela ?

    -Rien ! Parce que tout cela n'existe pas, coucou, c'est moi, Évelyne...

     

     

    THEURIC

  • Les liens entre économie virtuelle et économie réelle.

    Bon an mal an, une grande majorité d'entre-nous a l'impression que le système économique globalisé, bien que d'une extrême fragilité, ne peut, contrairement à ce que je le prétends, s'effondrer, ou si ça se passe, se dit-il, cela ne se fera que dans un temps long, de l'ordre de plusieurs année, voire d'une décennie.

    Et je vous avoue que pendant longtemps je butais, en tout silence, sur  ce paradoxe, pour moi maintenant disparu, d'une économie monétariste devenue totalement folle, aujourd'hui d'une déficience morbide et présentant tous les signes d'une autodestruction rapide, semblant totalement déconnecté d'une réalité économique en totale déliquescence, mais qui paraissait résister vaille que vaille, de toute éternité, à sa propre déchéance.

    De fait, ça devrait faire depuis bien plus de huit longues années qu'elle aurait dû rendre l'âme, or, jusqu'à présent il n'en est rien.

    Wall Street caracole au-delà de tous ses record passé, les prix des carburants remontent, les banques centrales abandonnent leurs taux négatifs pour revenir progressivement à des taux positifs (d'emprunt aux banques et assurances),..., enfin quoi, la vie est belle.

    ...suite...

    IMGP0119.JPG

    En fait non, tout cela annonce juste que les acteurs de cette gabegie monétaire ne savent plus à quel saint se vouer, ne savent plus que faire, rafistolent le système, tentent de le faire tenir encore un peu, comme il en fut de l'autorisation des banques de confisquer les avoirs de leurs clients si elles se trouvent en grandes difficultés (ce qui mena les-dits clients ayant quelques économies bancaires, à dépenser leurs sous, raison pour laquelle la globalisation tient encore).

    En ce moment, c’est en effet l’économie réelle, soit l’industrie et le commerce mondial,IMGP0055.JPG qui s’effondre, et entre les délires monétaires du gouvernement indien (la disparition des plus gros billets, la confiscation de l'or et l'obligation du compte bancaire dans un pays ou l'habitude est l'usage de l'argent liquide et de l'or), la baisse mondiale de production pétrolière, donc cette hausse du prix des carburant, le très fort risque pour que la guerre daeshique s’exporte en l'Arabie-Séoudite, le pays du pétrole, sans compter sur une inflation qui parait s'amener jusqu'à nos portes, ..., ne peuvent que mener à un accroissement de la vitesse de la désindustrialisation en cours.

    La question étant dès lors de savoir si cet effondrement industriel va ou non entraîner l’économie virtuelle et monétaire à sa suite, ou à ce que cette dernière se désagrège avant que la désindustrialisation ne se retrouve en cessation de fonctionnement.

    La question étant laquelle des deux va entraîner l'autre dans le gouffre.

    Pour ma part, je pense que ce sera la dite désindustrialisation qui mènera, en un temps relativement court, à l’anéantissement brusque de toutes les masses monétaires produites, quelles qu’en soient leurs formes.

     Il est vrai que les bourses, les opérations spéculatives et les monnaies furent à peu près totalement déconnectées de l’économie réelle, d’ailleurs c’est pourquoi nombre de pays poussent à ce que la monnaie électronique devienne la seule valeur d’échange, du bite-en-coin à la carte de paiement ( l'autre raison en étant de protéger les banques d'une panique populaire voyant un grand nombre de gens vouloir sortir leur argent des guichets bancaires, un bank run, lors d'un crash boursier par exemple) .

    Ces mécanismes furent mis en place pour, justement, protéger avant tout les banques, sauvéEs, souvenez-vous, de la banqueroute en 2008, ces banques dites trop grosses pour faire faillite.

    IMGP0140.JPGMais ce que les économistes en chef de tout ce capharnaüm n’ont pas ou peu perçu, c’est qu’il existe une perméabilité incontournable entre cette économie monétariste et l'économie réelle: les crédits, origine même de ces énormes bulles spéculatives qui s'égrainent un peu partout dans le monde, causes incontournables de toutes les bulles spéculatives.

     Ne serait-ce qu’au travers des états et des particuliers, les dettes accumulées ne peuvent pas être déconnectées de cette économie purement monétaire, dès lors virtuelle tout autant que destructrice.

    Or, ce lien indéfectible que la dette établit entre l'économie monétariste et économie réelle est l'un des deux points sur lequel s’appuie l’économie monétaire pour exister et survivre.

    Le second étant les hyper-productions monétaires dites Q.E., qu'ils soient officiels comme officieux, ceux-là mêmes qui génèrent de l'hyper-inflation boursière, raison pour laquelle le prix des actions ne cessent de s'envoler (En fait non, ils ne s'envolent pas, ils stagnent, la raison en étant que les entreprises que ces actions se devraient de coter perdent de la valeur au même rythme que leur achat et échange grâce à ces Q.E.)

    [ La valeur d'une monnaie étant égale à sa masse produite au regard de la réalité de la richesse de l'état du pays émetteur .]

    (De plus, les masses monétaires hyper-produites ne permettent que de donner, en réalité, l’illusion d’une efficience boursière et d’une relative santé bancaire, ni plus, niIMGP0139.JPG moins, si je puis dire, pour ne seulement que ne donner le change, un malade dopé, en quelque sorte.).

     Il est à remarquer que, pour l'instant, l'hyper-production monétaire ne mène pas à une hyper-inflation sur l'étal de nos magasins, ceci pour deux raisons, ce découplement entre économie monétariste et économie réelle, et aussi la désindustrialisation internationale de nature déflationniste venant compenser l'inflation monétariste, bien qu'il me semble avoir noté une monté des prix depuis quelques mois.

    Pour en revenir aux crédits, fondement des bulles spéculatives (c'est quand les gens ne peuvent plus rembourser leurs emprunts que le système saute), ils s’étendent dorénavant autant à l’ensemble du système économique réel: particuliers, états, banques centrales, commerces nationaux et internationaux, maritime, aérien et routier, entreprises, producteurs de matières premières et de carburants, matières fissiles comprises, etc…, tout comme à l'économie virtuel (dénomination faute de mieux): les banques, les bourses, les fonds de pension, les fonds d’investissement et purement spéculatif, etc… .

    Ces bulles spéculatives ayant d’origine, par la perversion de l'emprunt, l’absorption, par l’économie virtuelle, de l’économie réelle.

    L'explication en étant que les dette accumulées par les seconds permettent, via les intérêts déversées aux premiers (les actions jouant, depuis deux ou trois décennies, également ce rôle), cette absorption des richesses des peuples, états-nations, entreprises, mais aussi des banques, des assurances etc…

    En fait et là se trouve le piège dans lequel se sont enferrés autant les peuples, les gouvernements, les banquiers que les monétaristes de tous crins: les Q.E. et autres petites ruses monétaires et bancaires qui furent mis en place, ne nous ont que donné l'impression mensongère mais rassurante que ce système monétariste, relativement IMGP0317.JPGdébranché de la réalité économique, pourrait durer et perdurer en toute éternité, ce qu'il y a rien de plus faux: ils n'ont juste fait que leur donner un petit moment de répit.

    Il n'y a rien, en effet pour une banque centrale, de plus facile que de faire tourner la planche à billet à tout va et de croire que les industries d'une économie productive reviendraient comme par miracle par l'inflation ainsi produite.

    Or, comme nous l'avons vu, cette inflation ne se produit que dans les processus spéculatifs et non pas industriels, industries qui, tout au contraire, tendent à être phagocytées et détruites par cette spéculation, par l'enflement des dettes accumulées.

    De fait, ce qui fait l’économie d’une nation ce sont les industries au sein de pays aux frontières semi-poreuses, de quelle que nature que soient ces industries, ainsi que les payes que reçoivent les travailleurs leur permettant d'acheter ce qui est produit, base évidente de ce qui fait tourner le commerce et, dès lors, l'économie.

    L'inflation que génère une telle économie réelle dynamique est due à ce qu'une petite partie de la "plus-value" (dont je ne retiendrait ici qu'une seule définition d'après le C.N.R.T.L. du C.N.R.S. plus-value ] :Augmentation de la valeur d'un bien consécutive à une amélioration qui lui a été apportée.) d'un bien produit, quel qu'en soit la nature, est naturellement détruite sous la forme de cette inflation, autour de 5% environ, le reste devant se partager entre les créanciers, s'il y en a, le propriétaire de la fabrique, du terrain agricole, de la mine etc... et tous ceux qui participèrent à la production et/ou fabrication de ce bien.

    Dès lors qu'une partie trop importante de cette plus-value est confisquée au profit d'une infime minorité de la population, suivant les dénomination, les ploutocrates ou les oligarques, c'est l'ensemble du système économique qui s'en trouve affaibli jusqu'à ce que des crises économiques à répétition en viennent à en déliter les fondements.P1000307.JPG

    Depuis le milieu des années 70, cette confiscation de la plus-value s'effectua sous la forme des délocalisations industrielles, d'abord des pays occidentaux via leurs proches voisins, puis vers les pays où les coûts salariaux étaient de plus en plus bas, aujourd'hui, après la Chine, l'Afrique-Subsaharienne ou certains pays est-européens comme la Roumanie.

    Cette recherche de ces bas coûts salariaux viennent de ce que les acheteurs furent et sont toujours majoritairement occidentaux, occidentaux qui, en raison même de ces longues délocalisations, ont progressivement été ruinés par le chômage et les baisses salariales que cela a induit.

    Dès lors, après que les ploutocrates tentèrent maladroitement de compenser le manque de revenu des populations occidentales par leur octroi de crédits sans limite, comme il en fut au début des années 2 000 aux U.S.A. et comme il en est toujours dans ce beau pays de Tonton Sam, en pire.

    Après que les états tentèrent, là aussi maladroitement, de sauver les banques et autres institutions spéculatives par une profusion de production monétaire, les Q.E..

    Nous faisons bien face maintenant à une accélération vertigineuse, bien que discrète, de ce délitement et destruction des fondements du tissu industriel, agricole et minier d'échelle mondiale, détruisant pareillement tout ce qui a trait au commerce, soit le PICT0351.JPGtransport, aérien, maritime et routier, ainsi que les magasins de toutes tailles et fonctions.

    Le repli des masses monétaires boursières, en raison de manipulations diverses qui s'y produisent, vers des opérations spéculatives centrées sur les matières premières, même si pour l'instant ces opérations ne font que débuter et sont donc relativement limitées, ne pourront, sous peu, qu'accélérer ce délitement industriel, agricole et minier par la hausse des coût de production que cela génèrera.

    L'autre phénomène accélérant est la baisse de production pétrolière ne pouvant qu'avoir le même effet.

    Il est à noter, enfin, que l'angoisse qui fut créé chez les petits spéculateurs internationaux par des informations alarmistes, bien que réelles, de la situation déplorable des banques européennes, ceci autant pour cacher la même situation déplorable des banques U.S., mais aussi pour que ces spéculateurs vendent leurs euro au bénéfice du dollar, ne peut que déstabiliser encore plus une Union-Européenne déjà en but à sa propre faillite, politique, économique, morale, philosophique et intellectuelle.

    L'amusant étant que les puissants liens de toutes sortes tissés entre l'Union-européenne et les États-Unis-d'Amérique, ainsi que ceux établis entre l'euro et le dollar, font que cette déstabilisation de l'union ne peut que mener à celle de cet empire U.S. dont les faiblesses constitutives emmènent le monde à la banqueroute universelle.

    (En fait, plus rapidement cette banqueroute surviendra, moins ses effets seront sévères, nous n'avons que trop attendu, il n'est plus que temps quelle survienne.)PICT0426.JPG

     

     

     

     

     

     

     

     

    THEURIC

  • Les stigmates de la déchéance néolibérale.

    Il est de fait que le monde dedans lequel nous vivons semble nébuleux, confus, embrouillé, flou, obscur, filandreux, désordonné, enfin bref, que nous avons le sentiment de ne rien y comprendre.

    Je me suis donné le travail de le rendre compréhensible, de dégager de tout ce fatras le socle solide suffisant, au fur et à mesure que je le découvre, pour que vous, amis lecteurs, puissiez, comme moi, commencer à percevoir la claire réalité au-dedans de ce capharnaüm.

    Il s'agit donc de donner du sens à ce qui n'en a pas.

    Au début de ce billet je vous renvoie vers une adresse où il vous sera possible d'observer que ce cloaque social a, entre-autre, d'origine un empire aujourd'hui déclinant, les États-Unis-d'Amérique, ceci pour prendre le contrôle de la population européenne.

    Afin que, comme je l'ai fait, vous puissiez remonter aux origines, à l'une des causesP1030095.JPG premières, peut-être la principale, de nos difficulté: le besoin impérial des U.S.A. d'agrandir ses possessions après avoir conquis l'Amérique-du-Sud et, ce, dès les années 50 à la suite de la guerre 39/45.

    Mais ce système est progressivement devenu fou car à force de rendre crétines les populations, les descendants de nos crétinisateurs (néologisme) en sont devenus plus stupides encore.

    A ceci il faut y rajouter le fait de l'existence d'une union, l'Union-européenne, que, quand elle n'est pas dissimulée, est présentée comme ne pouvant pas être quittée au risque, sinon, des pires malheurs, sans que quiconque, vous le remarquerez, ne puisse en expliquer les mécanismes.

    Il se dit ainsi que de refermer les frontière mènerait à la guerre, à la pauvreté, au chaos politique..., pourquoi, comment, par quels mécanismes, personne ne peut le moins du monde l'expliquer, ce qui est normal puisque il ne s'agit que de faire peur au peuple.

    Quand en fait quasiment toutes nos difficultés proviennent de notre appartenance à l'U.E., et que l'on vienne tenter de me prouver le contraire que je m'amuse...

    Les questions écologiques par groupes de pression interposés sont de même ordre.

    P1020446.JPGDéjà, combien d'écologistes déclarés se sont instruits des bases scientifiques nécessaires pour les comprendre?

    Physique, chimie, biologie, minéralogie, préhistoire, climatologie, logique philosophique, connaître et reconnaître un nombre minimal de plantes et d'arbres, d'animaux, insectes, oiseaux, reptiles, mammifères, de champignons, ..., la liste est très longue de ce que le moindre adhérent à l'un des partis se devrait de s'instruire, au risque sinon de se laisser manipuler et berner par des oligarques anglo-saxons.

    Ne penser qu'à ce fumeux réchauffement climatique anthropogénique, par exemple, ne peut qu'empêcher que de véritables et graves problèmes écologiques ne soit perçus, tel que l'existence des plastiques inutiles (les pailles et coton-tige entre tant d'autres) ou les effets de la 4G sur les insectes et les éoliennes sur les oiseaux.

    Tout cela et le reste, que vous aurez le plaisir de découvrir, le long de mes pages, de ce que la bienpensance absurde déverse en vomissure dans les médiats officiels trouble naturellement nos esprit puisque cela entre en dissonance d'avec la réalité, cela parce qu'il y a toujours une petite voix qui nous susurre au fond de nous même: "C'est faux ce que l'on te raconte, c'est totalement faux!", quand bien même n'en aurions-nous pas conscience.

    C'est pourquoi certains en viennent à réfuter tout et n'importe quoi, allant jusqu'à arguer que la Terre est plate ou n'importe quelle sottise de cette sorte.

    Vous remarquerez que les médiats français ne cessent de critiquer la Russie et la Chine de la façon dont ils gèrent les manifestations populaires quand, envers les P1020793.JPGgilettistes, la police française en fit, en cela, soit autant, soit infiniment pire.

    Cet aspect psychotique du journalisme officiel montre, là encore, le désordre mental collectif dedans lequel se trouve les trois quarts de la classe-moyenne supérieur, celle qui est la plus mentalement touchée par cette perte de cohérence des concepts sociaux.

     

    Et c'est bien parce que  nombre de gens parlent de déclins de la France, de l'Europe, de l'Occident et de que sais-je encore, que je fais ici plutôt état d'une déchéance, celle du néolibéralisme, de l'empire étasunien et de leurs porteurs.

    Avant que vous ne poursuiviez cette lecture, je vous recommanderais celle-ci qui bien qu'elle soit longue et qu'il faille en rester un petit peu prudent, montre toutefois une hypothèse intéressante aux origines de notre abrutissement et qui remonte aux années 50.

    Moi-même pensant que cet arrêt de notre intérêt pour la découverte et la monté de la crétinerie a commencé à la même période mais pour des raisons complémentaires, traumas social suite à deux guerres mondiales, surpopulation non préparée par des sociétés humaines inadaptées et, là, ça devient intéressant, notre domination par un empire, les États-Unis-d'Amérique, qui en aurait accru le processus par une P1030111.JPGmanipulation de la population sur le temps long d'après ce billet, ce qui me paraît d'une certaine cohérence, au vu par exemple des spectacles débiles US proposés à la télévision.

    Vous remarquerez que les inventeurs de ce système sont soit devenus très vieux, soit devenus très morts.

    Mais venons-en à l'intitulé de ce papier.

    Il y a un an de cela, j'avais publié un libelé (à la belle fleur de pissenlit) traitant de la ressemblance entre ce que furent les dernières années de l'URSS et ce qu'il est possible d'observer du délitement grandissant des USA, ceci corroboré par moult vidéos comme celle-ci aux U.S.A..

    Mais à cette réflexion purement intellectuelle, je viens ici y apporter quelques observations.

    La semaine dernière, donc, je suis parti en des vacances autant délicieuses que nécessaires dans le sud de la France, dans une région de basses montagnes où, à la forêt remplaçant les prés et les champs d'antan (ça faisait des années que je n'y étais pas allé et la paysannerie, là-bas, s'y meurt), des routes sinueuses y relient maisons seules, petits villages et gros bourgs.

    A l'abord de l'une de celle-ci, quelle ne fut pas ma surprise d'y voir un panneau y étant écrit "attention, route gravillonnée".

    En soi il n'y a pas là grand mal, sauf que cela me faisait me souvenir quand, vers 14P1030113.JPG ans, j'avais accompagné mes parents en Allemagne-de-l'Est (RDA ou DDR) dans les années 70, et où, sur les routes, le même type d'avertissement était loin d'être rare.

    Il revient en effet infiniment moins cher de répandre de petits cailloux sur la chaussée en périodes chaudes que de les ré-goudronner.

    Il est à souligner que 25 000 ponts en France sont en mauvais état sur 240 000 environ et c'est le journal Le Monde qui l'affirme, ceci en faisant référence à celui qui s'était effondré en Italie, sans faire le rapprochement, vous le remarquerez, entre cette catastrophe italienne, la situation française et notre appartenance à l'Union-Européenne.

    Nous ne pouvons pas tout demander à un tel quotidien, n'est-ce pas?

    Ceci sans compter la décrépitude du réseau ferré dont j'avais déjà expliqué le mécanisme dans: "Des services publics et ceux en réseaux" écrit en Mai 2018, dont déjà en 2005 il y avait été fait cas dans les médias, sans que rien ne semble avoir été effectué de réparation majeur jusqu'à présent.

    Il est à remarquer la double tendance de justification et de dissimulation des différents acteurs, ceci pour cacher  la réelle et triple origine de ces problèmes, l'idéologie, ce dogme religieux néolibérale eurolâtre, l'incompétence au plus haut de P1020917.JPGla direction et notre appartenance à l'union mortifère.

     

    Il n'est pas seulement du chemin-de-fer et des route qui nous montre la déliquescence de l'européisme béat, des signes plus subtiles l'indiquent aussi.

    Ainsi, fumeur, ai-je découvert une marque de cigarette, d'autant plus française, ayant, d'après le buraliste, beaucoup moins de produit chimique que celle que je fumais  habituellement.

    Voulant en avoir le cœur net, j'ai voulu comparer la composition de ces deux marques d'herbe de Nicot en tube papier.

    Las, je me suis aperçu que depuis l'obligation légale de remplacer les logos de ces paquets par des photos imbéciles montrant des gens dans  la souffrance d'un abus tabagique, cette liste approximative des produits chimiques avait disparu, ce qui, vous en conviendrez, est contradictoire si, comme c'était annoncé à l'époque, c'était dans la volonté de diminuer le nombre de fumeur.

    Alors je me suis demandé s'il ne s'agissait pas là d'une sottise ou d'une escroquerie du pouvoir exécutif, sachant que les ligues de vertu anti-tabac n'en ont rien dit, ce qui en dit long de leur nature.

    Parce qu'il y a en cela trois possibilités:P1030091.JPG

    -Soit ce ne fut fait que pour supprimer cette liste de composition sous couvert de santé publique, ceci pour que les tabatiers puissent y mettre n'importe quelle substance en n'importe quelle quantité (ce qui voudrait dire au pire de la prévarication ou au mieux(?) de la faiblesse politique);

    -Soit c'est le résultat de la stupidité du ministre qui, à l'époque, avait mis ces paquets en place sans songer un instant à cette liste dans le texte du décret puis, ensuite, aurait laissé faire pour ne pas perdre la face;

    -Soit ce serait parce que ces gens nous prennent pour des crétins en pensant que l'émotion générée par ces photos serait plus importante que l’intellect, en ce dernier cas cela aurait voulu dire d'obliger les fabricants, par la loi, d'une énumération exhaustive, écrite en gros, des produits mélangés au-dit tabac.

    Quoi qu'il en soit, cette affaire démontre, là encore, le terrible délitement au plus haut de la société française.

     

    Mais revenons un instant, je vous prie, au parallèle entre la fin du bloc de l'est et notre situation présente.

    P1030166.JPGQuand le pacte de Varsovie se trouva définitivement forclos en 1989, les économistes invités à la télévision ne cessaient tous de disserter sur la situation déplorable d'une majorité des entreprises de ces pays qui, de fait, n'étaient, pour beaucoup, pas rentables.

    Je ne sais plus si elles étaient dites zombies mais l'idée était là.

    Or, justement, un nombre sûrement important des entreprises occidentales sont désignées par ce sobriquet en raison de leur facilité pour obtenir du crédit et de leur fragilité affligeante.

    Autant à l'époque la déficience de ces usines est-européennes provenait du fait que c'était l'état qui se chargeait de renflo

  • Troisièmes aphorismes et quelques billevesées.

    Voici la troisième série d'aphorismes que je fais remonter des limbes du passé.

    Je laisse pour partie le préambule d'origine, vais un petit peu réorganisé ce billet puis corriger la définition que j'avais donné de ce que peut être que la valeur d'une monnaie.

    J'y rajoute, de plus, quelques définitions, plus un approfondissement d'une série d'hypothèses sur la causalité, thème que j'avais déjà abordé il y a quelques années.

    Que j'aie tord ou raison importe peu, l'importance étant que mes diverses approches puisse faire réfléchir chacun d'entre-vous, amis lecteurs.

    Ainsi, toutes publications, telles que celles ici même, n'appartiennent plus à l'écrivain dès lors que le premier lecteur en prend plus que connaissance, se l'approprie de par sa lecture.

    Ce n'est pas que je me débarrasse de mes idées, tout au contraire,  je les partage, là se trouve le secret de toute écriture, quelle soit matériellement publiée sur papier ou au sein  de quelques mémoires virtuelles, virtuelles parce qu'étant la résultante de flux électroniques et de processus mémoriels établis au-dedans de mécanismes quantiques et purement mathématiques et, ce, sur des matériaux aussi infiniment P1020429 - Copie.JPGpetits que complexes.

     

    Il y a quatre sortes de libertés, la liberté d'action qui génère toujours la loi du plus fort, la liberté de penser qui réclame toujours celle d'expression, la liberté de posséder qui, si elle n'est pas contrainte, crée toujours des riches, des pauvres puis, à la fin, les ruineront tous et, enfin, la liberté d'être qui ne concerne que soi.

    Une horloge c'est comme l'argent :

    -la première ne fait que décompter le temps qui passe mais n'est pas le temps lui-même ;

    -le second ne fait que compter la richesse potentiel que l'on détient mais ne saurait être la richesse elle-même.

    Quand je contemple le ciel, les étoiles, la nuit, comment ne pourrais-je pas rêver à l'infinité des peuples divers qui traversent sans bruit le sombre, éclatant et démesuré espace qui fonde l'univers ?

    Être ni heureux ni malheureux serait-il le bonheur ?IMGP0086.JPG

    La joie c'est de marcher dedans une merde de chien du pied gauche en se disant que ça porte chance.

    La réelle liberté est de comprendre ses propres contraintes.

    Toute haine n’est jamais réellement la haine de l’autre mais toujours la haine inconsciente d’une partie de soi-même, détestée et rejetée, puis refoulé et projeté, parfois travesti, sur un être différent et/ou plus faible que soi, représentant symboliquement cette partie de soi que l’on rejette et hait.

    Il est bon d’aimer les plaisirs de la vie pour apprécier le plaisir de vivre mais il est malsain de ne faire d’horizon de la vie que des seuls plaisirs.

    Ne vivre que d'apparence nuit au sentiment que nous avons de la réalité de notre existence, ne faire que paraître est une manière de se faire oublier, de s'oublier soi-même et une façon de ne pas se vouloir être.

    Faire un choix c'est agir, sinon nous ne faisons que réagir.

    Devoir choisir veut dire avoir affaire à deux alternatives au moins, ce n'est que quand de telles alternatives surviennent que nous nous retrouvons à faire un choix, sinon, le reste du temps, ce choix fait, nous ne faisons plus que de suivre le cours naturel des événements.

    P1020251.JPGLes peuples détestent, avant tout, être trahis par leurs dirigeants, même si il leur faut une incroyable dose de temps et de trahison avant qu'ils ne réagissent, leur patience envers ceux qui les gouvernent est immense mais jamais infini.

     Les deux jambes de la pensée sont la raison et l'intuition, la première repose sur la logique et la recherche de cohérence, la seconde s'entend d'avoir une approche globale à toutes questions.

    Toute soumission s'appuie sur deux émotion primaires, la peur et la colère, supprimez l'une des deux et vous supprimerez toutes soumissions ; Plus cette soumission s’établira tôt, plus elle sera puissante et réflexe.

    Toutes victoires d'une guerre économique ne sont que de Pyrrhus.

    Tout empire finissant génère son ultime réformateur annonçant sa disparition prochaine.

    La différence entre le communisme et le capitalisme c'est que le premier nivelle culturellement par le haut, c'est à l'état de dire ce qui est bien et beau, phénomène qui fait stagner la société ; le second nivelle par le bas parce qu'il faut plaire au plus grand nombre afin de lui vendre le plus possible, même la pire des inutilités et la pire des sottises, ce qui fait baisser le niveau culturel de la société, jusqu'à ce que le vendeur lui-même en vienne à en apprécier ses propres crétineries et qu'acheteurs et vendeurs en deviennent tous deux les pires des crétins.

    Le degré d'instabilité d'une organisation ou d'une société, quelle que soit saIMGP0207.JPG dimension, est directement proportionnel du niveau d'incompétence du plus haut de sa hiérarchie.

    L’Éden existe et a duré pour chaque être humain neuf mois.

    L’Éden, pour toute l'humanité, a existé et est appelé paléolithique.

    Une idée est l'amorce d'une pensée.

    Les vérités n'ont de valeur que quand elles s'appuient sur la réalité.

    La réalité est le monde tel qu'il est, tant du nôtre propre de la profondeur de notre psyché que de celui dans lequel nous vivons, nous pouvons ne pas la percevoir, nous pouvons ne pas la comprendre, mais elle est telle qu'en elle-même, elle agit sur nous tout comme nous agissons sur elle parce que nous participons à son épanouissement.

    Le réel est la réalité telle qu'elle fut, telle qu'elle est et telle qu'elle sera, en cela le réel est d'un infini infiniment plus grand que la réalité.

    La vérité est l'expression du sentiment du sens que nous donnons de notre perception du monde.

    L'esprit de magie consiste toujours de considérer les liens de cause à effet comme n'ayant pas lieu d'être.

    La haine vient de ce que nous aimons trop notre reflet.

    L'ennui est le fils aîné de la frustration.

    P1020490.JPGUne bulle spéculative consiste à croire qu'il serait possible de se faire beaucoup d'argent quand tout le monde se fait beaucoup d'argent sans se demander d'où cet argent provient et sans songer au risque évident de tout perdre.

     Il est rassurant de suivre la majorité, la preuve, les moutons font la même chose.

     Il y a deux sortes de passions, les passions individuelles et les passions collectives, les premières sont plus puissantes que les secondes tant que ces dernières n'ont pas inondé la pensée de la majorité de la population de son  unicité, ensuite, pauvre de nous.

     Ce qui est le plus ardu pour tout observateur n'est pas l'observation en elle-même, mais de pouvoir écarter ses préjugés sur le sujet étudié ou, mieux encore, de ne pas en avoir, ceci afin d'éviter le risque de rechercher, lors de la-dite observation, la preuve que ses présupposés décrivait une réalité qui pourrait très bien ne se révéler, dans les faits, qu'illusoire, si ce préjugé se révèle faux.

    PICT0295.JPG

    L'étrange attraction des peuples pour leur inconscient social : Tendance naturelle d'un peuple, d'une population, d'une nation, de revivre les périodes passées favorables et/ou critiques lorsque le-dit peuple, population, nation en est venu à oublier son histoire et, ce, quelles qu'en soient les raisons.

    Étrange parce que tous ces petits morceaux inconscients du passé du pays dans lequel nous sommes nés et avons vécu, et dont nous avons chacun une partie en nous, se recompose en un tout collectif, puis remonte à la surface et ré-existe, visible sous des formes parfois semblables, parfois étonnamment voisines.

     

    PICT0233.JPG

    Rétrogression historique : retour momentané partiel, ou total, suivant la violence du traumatisme subit, d’un peuple, d’un pays, d’une nation, sur une base sociologique et/ou anthropologique passée, en raison d’une catastrophe de grande ampleur et/ou d'un intense stress social et, ce, quelle qu’en soit la nature.

    PICT0264.JPG

    Valeur d'une monnaie : la valeur nominale d'une monnaie est proportionnelle à la richesse présente, potentiellement future et des réserves d'état faites de métaux précieux, or, argent, platine, du pays émetteur, au regard de la quantité qui en est conçue sous quelle que forme que ce soit.

    PICT0374.JPG

    Réflexions sur la causalité

     

    Principes 0):

    A) Rien ne peut être la cause de son propre effet, ce sont les effets qui génèrent les causes composant leur causal, générant ses effets, infiniment.

    B) Tout effet ne peut provenir que d'un causal résultant de la conjonction d'un certain nombre de causes ne pouvant que provenir que hors de lui-même.

    C) La magie n'existe pas, c'est à dire qu'aucun effet ne peut être de sa propre cause, rien ne peut se créer de et par lui-même que cette cause soit connue ou inconnue, que les lois de la nature qui sous- tendent la cause et ses effets soit connues ou inconnues sinon ce serait remettre en cause l'entropie, les moteurs à explosion et l'existence de la vie en elle-même...

    D) Toute causalité survient que parce qu'il y a interaction entre des éléments divers et différents et l'intensité de cette causalité dépend de la richesse des interactions entre ces divers et différents éléments.

     

    1) J'appelle un « causal » l'ensemble des relations entre les causes et leurs effets, c'est l'unité de causalité.

    2) Les causals sont simples.

    3) Leurs effets sont complexes.

    4) Les effets cachent, avec le temps, les causals et leurs causes.

    5) On ne peut véritablement comprendre un effet qu'en en comprenant son causal et ses causes.

    6 ) Un causal génère toujours des effets multiples.

    7) Un causal est une singularité événementielle venant toujours de la conjonction de causes venant d'effets divers provenant de causals dissemblables.

    8) La durée d'un causal est directement proportionnel au temps moyen d'existence des principales causes venant d'effets divers initiateurs de ce causal.

    9) Le sentiment que nous avons de la durée d'un causal est directement relatif à l'éloignement temporel et/ou spatial que le ou les observateurs ont de ce causal.

    10) Un effet ne peut provenir de causals multiples.

  • De la régénération.

    Assurément aucune société ne peut être fleurissante et heureuse si la partie de loin la plus grande de ses membres est pauvre et misérable.

    Adam Smith.

     

    Nous nous retrouvons aujourd'hui en une situation étrange.

    Si en 2008 le système économiste monétariste avait, dès cette époque, cessé de fonctionner, la majorité de la population mondiale n'aurait absolument pas compris ce qu'il se serait passé.

    En retour, nous aurions eu une bien plus grande facilité, et pas seulement en Europe et en Occident, pour repartir rapidement  sur des bases infiniment plus  saines.

    Depuis lors, tous les quatre ans environ, nous nous retrouvons à devoir faire face àP1020814.JPG une accentuation des tensions économiques globales provenant de l'appauvrissement continuelle de toutes les classes-moyennes, mais aussi des plus pauvres.

    L'origine s'en trouvant que, pour pouvoir sauver le-dit système, les gouvernements présents à chaque période se retrouvent contraints de devoir tous les ponctionner de leurs richesses, souvent déjà réduites, à chaque crise cyclique de 4 ans.

    Ce qui mène à ce que cet appauvrissement génère des dégâts progressifs sur le tissu industriel international, conduisant inéluctablement à une nouvelle crise, discrète, dissimulée, omise, qui suit ces quatre années passées à ces délitements, puis ce cycle reprend, paupérisant chaque fois d'autant plus les populations.

    Après celles de 2012 puis de 2016, nous parvenons maintenant à 2020 où s'y discute, du-moins en France de ce que j'en sais, d'une possible, voire d'une probable faillite mondialisée.

    Là se situe de cette étrangeté, bien compréhensible, de notre situation présente: autant ces dégâts occasionnés en bientôt douze ans n'ont fait que grandement s'accentuer, autant la part de la population qui en saisit le fait augmente, c'est normal, elle s'appauvrit plus à chaque fois.

    En outre, ce que nous explique Monsieur Sannat ici c'est que les bourses peuvent fonctionner sans trop de problèmes encore longtemps, tout en ce que ces P1020939.JPGinstabilités sociale et industrielles continuent de s'enfler à la même cadence que les bulles spéculatives.

    Pour comprendre ce que je veux expliquer il me faut rajouter, en plus de l'économie monétariste des oligarques de toutes nationalités, et de celle réelle, industries, fabriques, mines et agricultures, une troisième partie participe de cet ensemble, celle de la politique et donc des peuples.

    Ce qui, en quelque sorte, est la réalité pleine et entière de l'économie réelle puisque, en toute fin, toute économie fonctionnelle ne peut avoir d'existence que pour et par le peuple.

    C'est cela, bien que ce ne soit pas formulé, que la population française commence à comprendre.

    Il y a donc trois composantes en présence, l'économie monétariste oligarchique d'un coté, les nations continuellement appauvries et dès lors les pays de l'autre, tous deux aux intérêts divergents et, au milieu, l'économie réelle qui se délite.

    Sachant que, dans l'ensemble, la plupart des gouvernements sont, de manière plus ou moins formelle, assujettis aux oligarchies.

    Même la Chine semble, en raison de ses décisions, dans une situation analogue, quand bien même de ses riches quitte ce pays, Xi Jinping parait être, par idéologie ou par pression, empreint des mêmes contraintes qu'ici.

    Il y a désindustrialisation, le signe le plus juste en cela c'est de remarquer que l'IranP1030007.JPG et le Vénézuéla, au moins, sont en interdiction de commercer avec le reste du monde par ordre des États-Unis-d'Amérique et, donc, que 40 à 60% du pétrole mondiale se retrouve de fait en situation de blocage d'exportation, le prix du pétrole, et dès lors de celui de l'essence et du gasoil qui devraient tous exploser, ne se retrouvent pas à avoir un coût si exorbitant que cela, voire, même, il stagne.

    La raison de cette interdiction en étant pour les USA de pouvoir vendre son pétrole de schiste à un prix raisonnable.

    Il eut été une autre époque où une telle restriction des carburants aurait fait flamber leurs prix en une inflation très importante.

    Comme nous l'avons vu au début de ce billet, la spéculation monétariste, les bourses, voire même le système monétaire international, peuvent perdurer pendant encore longtemps, pour ce dernier la raison en étant que ce sont toutes les monnaies qui se dévaluent en même temps, ce que vous percevrez comme moi dans cet audio vers les 15mn., du même intervenant qu'indiqué plus haut (sauf de la Russie et de l'Islande, je ne sais pas comment ils maintiennent leur monnaie dont la valeur se devrait de s'enfler puisque toutes les autres s’atténuent, sauf à ce qu'ils vivent en semi-autarcie).

    Par conséquent les instabilités de ce système tendent toujours plus à s'accroitre, à cause de cette désindustrialisation mondiale provenant de l'appauvrissement des classes-moyennes de tous pays, via les ponctions monétaires oligarchique par le biais des impôts, des privatisations, augmentations des prix, productions monétaires, crédits/dettes pour tous et autres subterfuges (même les USA trumpiennes n'y échappent pas).

    P1020488.JPGIl est à remarquer que de plus en plus de peuples tendent à se révolter contre leur gouvernement, tous attendaient que la France se réveillât pour se faire.

    Cela provient autant de leurs difficultés grandissantes, de leur prise de conscience de leurs provenances, même si celle-ci est quelque peu indéfinie, que de la fragilité progressive des-dites oligarchies et, dès lors, de ces gouvernements sous leur autorité.

    C'est pourquoi je dis qu'il y a le retour de la politique.

    Pour le moins, chaque peuple choisit normalement celui de gouvernement qui lui convient, sauf quand une force supérieur au-dit peuple, ici ploutocratique, y met à la place un fantoche à sa botte, celui des macronniaiseux en étant l'exemple typique, il en est de même de celui merkellien en Allemagne.

    Or, de 2008 à bientôt 2020, le rapport de force tend à s'équilibrer entre un pouvoir oligarchique, anciennement puissant et désormais déclinant, et la prise de conscience populaire montante, continuelle, des raisons de la situation économique nationale et internationale.

    Ce mouvement est, actuellement, entrain de se croiser, d'où ce retour à la politique de la population, puis, à un moment donné, ce rapport de force, momentanément égal, s'inversera.

    Il m'est de prudence que de vouloir considérer que ce phénomène d'inversement de ces forces puisse être déjà  pleinement présent aux USA, ainsi de ne rester qu'uneP1030286.JPG idée seulement potentiel tant qu'aucune preuve formelle ne vienne l'étayer, il est toutefois à remarquer que ce pays a, depuis 7 décennies, une avance évolutive d'une dizaine d'années sur les pays européens, donc sur la France.

    A ceci j'y rajoute mon hypothèse (puisque elle n'est pas également vérifiée totalement par des faits) que la déchéance des deux empires, URSS/USA, à trente ans intervalle, s'effectue suivant un processus inversé en miroir.

    Partant de cette idée, je considère qu'il est fortement probable que ce sera à cause de mécanismes politiques US, dès lors provenant du peuple, que le système économique monétariste mondialisé s'effondrera.

    Si j'y fait intervenir une autre de mes idées, celle, en postulat, voulant qu'il n'est pas possible de réformer une organisation politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, sauf à l'auto-détruire.

    Et que des trois composantes en jeu en temps de réforme autodestructrice d'une telle organisation, j'en rajoute une quatrième, nouvelle, concernant l'empire US, mais aussi sa perle coloniale qu'est l'Union-Européenne:

    1)-la première critique et réformatrice, l'équipe trumpienne et ses affidés;

    2)-la seconde conservatrice, l'état profond et ses affidés;

    P1030531.JPG3)-la troisième subversive et dissolvante, d'un ensemble d'obédiences complexes d'une forme de sociale-démocratie jusqu'à un socialisme libertaire radical, en passant par un communisme à l'ancienne;

    4)-cette quatrième composante serait faite, donc, suivant cette perspective, d'un nationalisme d'état se développant au sein de  l'union Outre-atlantique, au Texas notamment;

    Nous pourrions considérer comme hypothèse, que je pense solide, la séparation de plusieurs de ces états des Etasunis qui remettraient en cause l'existence du dollar US en mettant en place une nouvelle monnaie nationale.

    Il n'est pas possible, en effet, que de telles instabilités économiques et politiques partout dans le monde et qui ne font que s'accroitre, ne génèrent un phénomène de rupture à un moment ou à un autre.

    Son centre de gravité, aux deux sens du terme, se trouvant au pays de Tonton Sam et du dollar US, puisque c'est là que s'y trouvent les tensions les plus fortes, comme de plus il y a des désaccords idéologiques de ces deux premières composantes entre la plupart des états des États-Unis et que des forces sécessionnistes s'y développent au sein de certains d'entre-eux.P1030098.JPG

    J'émets donc cette hypothèse, une de plus, que cette nouvelle dissidence pourrait être la raison pour laquelle ce système économique monétariste international s'effondrerait, un début de sécession précédant l'éclatement des USA.

    Aucune de celles que je vous avais déjà proposé par le passé à votre réflexion ne me paraissent pleinement satisfaisantes, celle-ci, du-moins, bien que surprenante, au parfum, je l'avoue, quelque peu fantasque, me semble être la plus solide de toutes, même si je n'en ai pas non plus une pleine satisfaction.

    Cela voudrait dire en effet que ces quelques états seraient en phase discrète de mise en œuvre de cette indépendance et, ce, de tous points de vues, politique, économique entre-autre, sans être repéré par le pouvoir central.

     

    Mais pourquoi  donc donner comme titre de ce billet: De la régénération?

    C'est parce que je sens l'envie populaire grandissante d'un renouveau de la connaissance, de l'érudition et de la critique des croyances, chose que je ressens en France, ben oui, c'est mon pays, sinon, aussi, je n'en serais pas à écrire ces lignes, de vouloir comprendre la réalité des causes de notre situation, de vous en P1020207.JPGexposer mes réflexions.

    Lié à la monté puissante du sentiment patriotique que les gilettistes nous ont montré, faisant la preuve que notre indétermination d'Être, notre perte d'identité, s'efface à  son rythme, ce qui ne peut que nous conduire à la régénération de notre pays, du-moins à ses débuts.

    Parce que, aussi, je ne vois pas comment les USA pourraient se sortir autrement du bourbiers dedans lequel ils se sont mis et nous ont mis à leur suite, des forces  contraires qui s'y confrontent de plus en plus, ainsi que de l'affaiblissement continu de leur état profond et du pouvoir central.

    Que si je suis logiquement cette hypothèse d'un effondrement inverse des USA par rapport à ce qu'il s'était passé en URSS, où, pour ce second, l'éclatement de cette union à fait suite à sa dissolution, je peux donc postuler que pour le premier cet éclatement

  • Angoisses et déconfinement.

    P1020193.JPGJe vous avoue que, personnellement, le confinement que nous vivons actuellement m'est bénéfique.

    Je savais pertinemment qu'une fois que je ne verrais plus (depuis il y a un ans et demi environ) ce malade mental qu'est ce faux ami pervers narcissique qui m'avais éloigné de mes connaissances et amis antérieurs ainsi que de possibles nouveaux, ceci pendant 35 années ( vous retrouverez trois billets traitant de ce sujet vers Septembre, Octobre 2018), puis que ma mère décéderait (il y a un an), dont je m'occupais une semaine sur deux en faisant des allers-retours de chez-moi à chez-elle, ceci suivit des longues affaires de sa succession, étant donné que, de plus, je n'aurais pas tout-à-fait achevé ma grave décompensation nerveuse, ma dépression de fatigue due à 25 ans de conduite d'un bus dans Paris (débuté il y a douze ans, juste avant mon départ à la retraite);

    Etant donné tout cela en effet et du fait d'une solitude constitutive de cet ensemble dont j'avais conscience, je savais très bien que pendant deux à trois ans je me retrouverais seul à faire un travail de construction et constitution d'une nouvelle vie, ceci en achevant une auto-analyse me montrant le sens dudit ensemble au plus proche de ce que fut la réalité le plus profonde de mon existence, jusqu'à mes 61 ans d'aujourd'hui.

    C'est, à mon sens, en fait, de comprendre les causes premières des événements passés et présents, en les réunissant en un ensemble causal structuré, qui permet ensuite d'en saisir au mieux le sens de ces effets, toutefois pour cela il faut d'abord, P1030774.JPGla majorité du temps, appréhender au mieux ces derniers en remontant progressivement vers le passé, afin d'en retrouver ensuite la ou, le plus souvent, les sources, ces causes premières, pouvant se retrouver pour partie au sein des deux à trois générations antérieures.

    Donc, de ce fait, sachant où j'en étais lors du début de ce confinement dû à mon isolement social constitutif, qui, pour ma part, s'effectuait déjà, si je puis le dire ainsi, depuis quelques mois déjà, je ne ressens pas la même gêne, contrairement à ce que nous vivons pour la majorité d'entre-nous.

    Je le vis, en quelque sorte, l'esprit libre, puisque m'y ayant préparé depuis des années et m'y retrouvant d'une manière cohérente, non point forcé mais en un achèvement personnel d'une époque passée, contrairement à ce que arrive pour une très large part de mes concitoyens.

    Or, en toutes ces raisons d'avoir traversé toute une partie de ma vie aux tensions importantes, j'ai acquis une certaine expérience en ce qui concerne les phénomènes d'angoisse, de compensation, de décompensation... qui peuvent s'exprimer différemment suivant la nature psychologique, physique et réactive de chacun.

    Là je perçois, pour l'instant, neuf sujets d'inquiétude et d'angoisse, en une liste non exhaustive, pouvant mener à une compensation plus ou moins importante, ceci pour éviter les douleurs neuronales dues à ce stress, conduisant possiblement: soit dés à présent àP1020902.JPG une décompensation pour les personnalités les plus fragiles, soit à ce qu'elle advienne dès lors que le déconfinement surviendra, voire même bien après, dont l'ampleur dépendra du niveau d'inconscience à laquelle cette anxiété se trouvera:

    -Notre manque de confiance quasi absolu, collectif, compréhensible, en notre équipe gouvernementale qui est consubstantiel de ses errements, contradictions, mensonges, gabegies et graves impérities que nous pourrions tous détailler en une très longue litanie (c'est en effet en 2003 que le Dr. Raoult prévenait les autorités que le pays n'était pas prêt pour affronter une pandémie, montrant de fait que cette sottise collective est ancienne, puis, dès novembre 2019 que les services secrets US avait averti Israël et l'OTAN, donc la France, d'une probable épidémie en Chine, ce à quoi Mr. Philippe n'avait pas trouvé de mieux à dire le 29 Novembre que: « Je vous informe que nous n’avons pas de plan pour la fin du monde à Matignon » propos bien que prémonitoires, plutôt stupides et impudents);

    -Nos difficultés, bien que les scientifiques internationaux travaillent dessus, de comprendre la nature du SRAS-COV-2, de ses capacités de nuisances, de son évolution et de ses rebonds futurs, bénéfiques ou  maléfiques, supposés, plausibles, possibles, probables à d'évidences, mais aussi de ses origines, deux étant envisageables pour l'instant, chinoise ou étasunienne:

    -Comment se passera ce déconfinement où, une fois encore, nous ne voyons pas poindre une grande efficacité gouvernementale tant dans le discours comme dans l'action présente tout autant que préparatoire, vous y trouverez, dans cette vidéo, P1010825.JPGquelques éléments de réflexion;

    -La survivance de l'union-européenne dont, je l'ai dit, la disparition prochaine vraisemblable ne peut que tourmenter beaucoup de gens qui, pour différentes raisons, sont pour son existence, ce qui peut aussi atteindre ceux qui sont pour le France-quitte, ceci parce qu'être contre quelque chose peut vouloir dire de maintenir un lien inconscient et constitutif avec celle-ci et que, si, ou plutôt quand elle disparaîtra, de ne savoir plus contre quoi lutter, de se retrouver ainsi, pour l'un qui est pour comme pour l'autre qui est contre, dedans un monde inconnu parce que n'étant pas encore là, donc angoissant de la craindre que cela ne survienne;

    -La disparition des USA et du néolibéralisme autour desquelles tournent bon nombre de positions politiques et économiques, que ce soit conscient ou non, empire qui a structuré, aussi, toute notre existence, de notre vie télévisuelle et artistique, jusqu'à celle scientifique et commerciale, menant à un état semblable au précédent cas pour les mêmes raisons (Mr. Trump est un vieil homme qui n'a qu'une seule chose en tête à en être entêté: réindustrialiser son pays à tous prix, je vous revoie à ce que j'avais écrit en Juillet 2018 sous le titre: URSS/USA, d'un empire à l'autre, en seconde partie au niveau de la fleur de pissenlit);

    -La crise économique déjà là, qui risquerait bien ensuite de se révéler d'être très violente, et que tout le monde pressent, est multiforme: industrielle et agricole, bancaire et boursière, monétaire et spéculative, même si cela fait peur et avec raison, à  bien y réfléchir cela pourrait se découvrir être une bénédiction dès lors que nos neuneus politiques, économiques, de la haute administration et journalismes cornichons auront disparus de la scène, ainsi que notre union mortifère (notre gouvernement, encore lui, laissant se vendre nos réserves de blé, pouvant nousP1030431.JPG mener à une disette, ainsi s'affirme ce que je vous expliquais plusieurs fois, il est composé de personnes ne pouvant pas se projeter dans le temps, dès lors de ne pas pouvoir considérer les effets de leurs décision et actions, puisque ayant perdu leur identité et sont donc en eux-mêmes psychiquement indéterminé, dès lors ne pouvant avoir de limite sociale, de morale, par un manque cruel des interdits du surmoi, vous trouverez ici une série de textes traitant de ces sujets, il y en a d'autres);

    -Une nouvelle société que cette pandémie annonce, en raison même des bouleversement qu'elle génère, et que personne ne peut définir, ceci d'autant  plus qu'à cause de nos évolutions sociétales, paradoxalement, c'est la grande majorité de la population française qui, elle, est dans la capacité de prévoir ces bouleversements futures, contrairement à la minorité que sont nos élites, or, de ne pas pouvoir considérer la structure de ce futur bien qu'en comprenant que ne pouvant qu'advenir est angoissant;

    -Nous vivons donc  une bifurcation anthropologique généralisé de grande dimension, ce que tout le monde présage et entrevoit, là encore, sans pouvoir le nommer, d'où ce stress que nous pourrions considérer comme extrêmement partagé à l'international;

    -De ne pouvoir agir, pour la plupart d'entre-nous, nous mène également à une détresse déstabilisante d'avoir comme le sentiment d'être pris dans un piège dont nous ne pouvons sortir, ce à quoi les agriculteurs, les soignants et les policiers, par P1030654.JPGexemple, réchappent.

    A ce stress correspond une compensation psychique et corporelle d'égale niveau qui, suivant chacun, peut mener à une décompensation pouvant s'exprimer de diverses manières, au mieux en un sentiment de mal-être tout juste gênant, au pire à une crise psychotique, violente ou non, pour les plus fragiles d'entre-nous, voire à une maladie grave de type cancer, ou même d'attraper le vilain virus, d'en décéder ou d'en devenir infirme (infirmer un fait étant de le récuser).

    Voire même à un désir de vengeance envers ceux qui se montrèrent si incompétent tout en étant tant péremptoire, accentuant par leurs discours et leurs actions nos difficultés actuelles, quand, en cela, la simple justice suffit, puisque la faire passer au plus juste en  terme de justesse serait la preuve de notre bon niveau civilisationnel.

    Autant pour les enfants, qui ne peuvent que sentir l'angoisse de ses parents et des gens croisés dans la rue, ce qu'ils ne comprennent pas et, du-fait, auxquels il est possible d'expliquer simplement ce qu'il se passe sans blabla inutile, que pour les adultes en une introspection nécessaire, de conversations et échanges entre gens, de recherches dans les médiats et le net (c'est du propre), d'être et de rester lucide autant des événements comme des effets que cela produit en nous est d'importance pour ne pas nous laisser emporter par des pulsions et/ou un effondrement nerveux ou physique qui nous déborderaient.

    C'est la différence qui fait la différence, je vous laisse, de cet aphorisme aucunement P1030242.JPGde ma création, à vos méditations.

     

     

    THEURIC

  • Aux élites cachées

     

    De notre humanité, je fuis les marécages et pleure de dépit le vide des regards, éperdu.

    Il est, de par le monde, des personnalités d'importances, invisibles, inconnues, marginales.

    Est-ce véritablement par choix que ceux-ci vivent, ainsi, dans cette discrète clandestinité, dans ce refus d'un monde qui les refuse?

    Insoupçonnées nébuleuses, ces véritables humanistes badaudent, certains en groupes informels, d'autres seuls, dans l'insatisfaction de l'ivresse inutile et sans joie de la fuite de la médiocrité du temps, la petitesse de leurs contemporains, la référence au confortable conformisme, découvrant, effarés, que, partout, sévit la même insignifiance des sombres orthodoxies.

    Ceux, aussi, qui, environnés de benêts, plongés dans les tristes conventions du travail, de la famille, des associations, des églises et chapelles, de la politique..., s'assèchent, se noient, parfois ploient, plongés dans cette chape et font semblant, sans être dupe, d'une douce vie dans attente, illusoire, d'être reconnu.

    Tous s'étourdissent, s'enivrent d'arts, d'études, de voyages, d'amitiés, d'amours, de sexes, de révoltes, d'angoisses, de nourritures, d'alcools, de drogues sans véritablement prendre part à l'excellence tout en en ayant, au- delà, même, de tout autre, les facultés, le talent.

    Comme une élite cachée, lâches dans la conscience en leurs capacités, ils fuient le néant mortifère de leurs contemporains, catégoriquement résolus à n'être ni dominants, ni dominés.

    Ils fuient, ainsi, sans comprendre que c'est en eux et, peut-être, en eux seuls, que se trouvent les ressources nous permettant de surmonter les immenses défis du temps. C'est pour eux que je dédie ces lignes!

    THEURIC

  • Crise à l'UPR: le choc des mondes.

    Nous vivons une époque étonnante à plus d'un titre.

    Je rencontre des jeunes, que je considère ainsi du haut de mes 61 ans, qui comprennent, à une vitesse qui me stupéfie, des notions psychologiques, politiques, économiques complexes que je mis des décennies à saisir véritablement, quand ceux de ma génération fuient de telles considérations lorsqu'elles  sortent de leur sens commun.

    Ils utilisent l'informatique de toutes tailles comme je peux le faire d'un marteau quand, vers mes quinze ans, l'un de mes frères avait travaillé dans une entreprise informatique de grosses machines qui utilisaient des bandes magnétique comme mémoire, puis à l'âge de trente environ j'avais vu le fonctionnement d'un micro-ordinateur (nom de l'époque des machines personnelles) où, sans sourie, il fallait une demie-heure pour y rentrer un programme d'horlogerie où seule l’aiguille des secondes apparut sur l'écran noire et blanc. P1010619.JPG

    Ainsi feue ma mère, me racontait-elle, n'a eu de l'eau coulant dans son évier que vers l'âge de la trentaine d'année, elle qui vécu jusque là à Paris pour s'installer, ensuite, avec toute sa famille à ma naissance, en banlieue, mon père étant chef de station dans le métro, métier qui n'existe plus.

    Cette période d'après guerres (celle d'Algérie ayant cessé en 1962) des années 60 à 70 n'avait rien à voir avec celle d'aujourd'hui, l'un de nos voisins était moderne, il avait le téléphone et roulait en DS, il fallu à mes parents attendre des mois pour l'obtenir bien plus tard et leur première automobile fut une 2CV que mon père seul conduisait, il avait même, par la suite, acheté une 203 Peugeot en fin de vie, la voiture et non  pas mon père.

    J'avais même eu, en CE2, comme institutrice l'une des dernières représentantes des hussards noirs de la III° république.

    De fait, le monde a tourné autour de la France, autour de l'Europe, autour de l'Occident sans que vraiment ceux qui nous gouvernent et dirigent aient vu passer le temps, l'aient vu évoluer.

    Repliés dans leur quant-à-soi surtout parisien, eux et une partie de leur enfants et petits-enfants n'ont pas compris qu'il avait ainsi tellement changé, eux qui, en Europe de l'ouest, l'ont imaginé, l'ont fantasmé, ayant détruit, en ce qui nous concerne, la France sans l'avoir véritablement compris, en la désindustrialisant, en y détériorant gravement l'agriculture, en fermant les mines, se reconvertissant en une P1010727.JPGécologie et une économie monétariste contradictoires dont ils ne comprennent rien, à l'exemple caricatural de Mr. Hulot.

    Surpris dès la survenue du mouvement des gilettiste mais, surtout, que de ce que contrairement à ce que leur susurrait leur imaginaire, ce peuple révolté est intelligent.

    Et ce choc là leur a été majeur.

    La population française n'est plus cet être primaire dont ils se plaisaient tant à la concevoir et sa jeunesse, bien que naïve comme il en est de toutes jeunesses en tous temps, même si leur esprit n'a pas la tête bien pleine, n'en est pas moins, pour moi étonnamment, dotée d'une tête bien faite.

    Et même ceux qui, ayant vécu moult difficultés dans leur enfance dont il leur est ardu de se sortir, n'en saisissent pas moins des mécanismes mentaux délicat dès lors qu'ils leurs sont exposés dans l'évidence de leur simplicité.

    C'est cette confrontation d'avec des français jeunes et moins jeunes qu'il a découvert aux antipodes intellectuelles de ce qu'il concevait qui mena Monsieur Asselineau, de même génération que moi, aux excès qui sont décrits par Mathias Masclet dans cette vidéo.

    Ceci précédant et se surajoutant à son angoisse inconsciente, là également, de ce que l'UE€/USA puissent disparaître, comme j'ai pu l'expliquer dans mon billetP1020135.JPG précédent.

    Cet homme qui, contrairement à tous ses condisciples de la haute administration, avait remis en cause l'éternelle inaltérabilité de l'euro lors d'un rapport remis au président de l'époque, Mr. Sarkozy, se retrouvant dès lors dans un beau  placard.

    Puis qui créa un parti politique, l'UPR, parce que se rendant compte, après recherche des origines de l'union, que celle-ci fut créée par des officines secrètes US pour dominer l'Europe de l'ouest lors de la guerre froide, aidés en cela par d'anciens nazis reconvertis, puis de son ensemble européen dès 1991, pensait véritablement que les français, s'ils n'étaient pas des vaux, n'en étaient pas moins des sots ignares, se rendit ensuite compte qu'il n'en était rien.

    Ses conférences sur ce sujet n'en furent pas moins nécessaires, la constitution puis la contribution de l'UPR à faire connaître le France-quitte aussi, toutefois ce choc qu'il dut subir à se confronter à des personnalités dont l'intelligence le dépassait, lui qui se pensait au-dessus du lot parce que surplombant intellectuellement ses collègues, eux-mêmes se sentant comme le gratin intellectuel de la nation, ce qu'il recevait en confirmation en se confrontant aux journalistes cornichons et au personnel politique lambda, ne put que souffrir d'un trauma allant s'accroissant de sa relation au reste de la population.

    Ne comprenant pas que ses grandes capacités de mémorisation, sa culture, sa facilité P1010221.JPGà déchiffrer un rapport ainsi que d'en composer, est d'essence différente que d'aborder un problème complexe connu ou inconnu, d'en comprendre la nature et de s'y adapter au mieux suivant les circonstances, ceci en allant chercher les informations premières sans vraiment en creuser tous les enchevêtrements.

    Mais en les recomposant en un tout exploitable puis d'agir au mieux suivant les circonstances.

    Ceci différemment, bien sûr, suivant les approches de chacun, mais, ce qui est visible dans les vidéos, en osant la dispute de désaccords parfois irréductibles mais ce dont chacun convient avec autant de grasse que de mécontentement.

    C'est cela qui avait généré ce mouvement unifié, en ses débuts ce qui est normal, des gilets jaunes.

    De fait, sa confrontation d'avec un peuple qu'il ne connaissait pas, qui, sans le mépriser, le considérait très en-deçà de ce qu'il est en réalité, le conduisit à une rupture d'entendement dès lors qu'il se retrouva en sa présence, ceci d'autant plus que ceux auxquels il avait dès lors affaire étaient, pour la plupart, d'une classe-moyenne intermédiaire à haute cultivée au moins suffisamment pour savoir faire la part des choses et être en capacité d'une inventivité qui, là encore, le dépasse.

    Cette rupture d'entendement l'a progressivement déstabilisé, mais il aurait pu, le supputerais-je, s'y accorder avec le temps, sûrement avec difficulté il est vrai.

    Puis, peut-être plus avant qu'il y a deux à trois ans comme je le supposaisP1020279.JPG précédemment, aux alentours de 2012 et les événement grecs du gouvernement Tsipras voulant réformer l'euro, en but avec la troïka européiste, il avait compris que l'Union-Européenne s'autodétruisait, puis n'a pu que psychologiquement le refouler parce que, de ma même génération mais trop idéologiquement structuré, il ne pouvait pas imaginer l'échéance de sa disparition.

    Je conçois qu'il puisse être contradictoire de considérer Monsieur Asselineau comme ne pouvant pas accepter ce fait, or il s'agit là d'une confrontation entre une pensée consciente, la volonté de sortir le pays de l'UE, et un processus inconscient, celui de considérer l'union comme étant un projet glorieux dont l'existence ne peut être remise en question et encore moins en cause, ceci en une double contrainte.

    Du fait donc de ce double stress, UE et peuple français, il y a eu une opposition conflictuelle montante entre sa pensée logique et sa composition de sens, ce qui lui donne sens du monde en psychiquement le lui rendant compte, ce qui a généré en lui une anxiété allant grandissante, réduisant progressivement les mécanismes de ladite pensée et, du fait de cette mise en place automatique de sauvegarde de son cerveau, tout un ensemble d'action ne pouvant que conduire à la destruction de l'UPR qu'il considère, de fait, comme le pire ennemi, en France, de l'Union-européenne, puisque organisée.

    Mais aussi parce que c'est sa création et qu'il a une haute idée de lui-même et donc P1020242.JPGde son parti.

    Quand bien même cela le conduirait en  prison, pour le métabolisme de son encéphale il ne s'agit là que d'un seul but, sa propre sauvegarde en raison de cet immense stress que cela occasionne,  quels qu'en soient les effets à posteriori pour la personne, en un même mécanisme qui fait que nous risquons de nous endormir au volants d'avoir trop conduit puisque cela fragilise à la longue le fonctionnement des neurones.

    Vous remarquerez, par exemple, que sur le site de l'UPR n'est plus fait mention de l'union, des Amériques ou du reste de l'Europe et du monde où il y aurait beaucoup à en dire, mais seulement de Mr. Macron et du REM, ce qui est, pour son parti, absurde, ce serait comme si il fallait au plus vite faire changer de trajectoire à celui-ci avant le 28 Juin, jour de l'assemblée générale.

    Si ce que raconte Mr. Masclet est vrai et je ne vois pas quel serait son intérêt de raconter de ce qu'il a fait cas à l'UPR en tant qu'ancien membre du bureau national, ceci d'autant plus que lui et Mr. Baron n'ont à aucun moment exprimé un désaccord idéologique d'avec ledit parti;

    Alors je pense que les raison profondes qui font que Mr. Asselineau ait agit de la sorte sont celles dont j'ai fait état, sinon il y aurait trop de contradictions entre les décisions de le créer en 2008 avec tout ce que cela entend de difficultés de tous ordres que cela ne put que lui générer et ses actions présentes.P1000842.JPG

    Quand quelqu'un en chie pour constituer un parti politique à partir de rien, qu'il s'éloigne de fait avec son milieu pour cette raison même, il fait tout, normalement, pour qu'il se développe et pour parvenir à ses buts, et il ne le pourrit pas par des enfantillages, la vexation de ses cadres et des exactions stupides, ceci en le vidant de ses forces vives.

    Peut-être y aurait-il d'autres raisons que celles-ci, c'est possible, je suis ouvert à toutes autres possibilités, du-moins, je le répète, je ne me pose pas en juge et s'il doit passer devant un tribunal je ne serais en rien contre, mais m'essaie de donner du sens à ce qu'il paraît ici insensé.

    Quoi qu'il en soit, l'idée même d'un ou de plusieurs partis politiques France-quitte ne peut qu'être que la bonne, bien qu'une unification des volontés ne peut qu'être en tous points avantageuse.

    Mais il est possible maintenant que l'Union-Européenne se dissolve d'elle-même avec toutes les difficultés que cela entend, d'en préparer l'éventualité est tout autant souhaitable, ceci d'autant plus que nos élites zélées risqueraient fort, pour une majorité d'entre-elles, de décompenser plus gravement encore que ce qu'il en est pour le président de l'UPR.

    Imaginez alors le truc.

    Songez simplement à leurs très violentes réactions collectives à l'émergence des gilettistes, tant surprises de leur intelligence ont-elles elles-mêmes déclaré.

    Nous avons, d'une certaine manière, une double chance, Asselineau pète un câble et P1010616.JPGla pandémie au SRAS-COV-2 ne fut pas, pour la grande majorité de la population, si dangereuse que cela, bien qu'elle ait été extrêmement agressive pour la minorité qui en fut atteinte.

    Elle aurait pu être bien plus terrible que cela.

    Cette double leçon se doit d'être prise en compte.

    Et pour chacun d'entre-vous: faites vos réserves, l'économie aussi est en berne, comme le dirait un suisse.

     

     

    THEURIC

  • Mon intention.

    Je ne recherche, en soi, aucune gloire, tout juste  aimerais-je être reconnu pour la production de mes d'idées, mais, de cela, je le sais impossible.

    Cette solitude qui, peut-être à un moment ou à un autre de ma vie, cessera, ne peut qu'être que pesante, mais suis-je en droit de cesser de poser sur ces pages de ce que je comprends d'un futur qui sera pour nous en tous points difficile?

    De faire comprendre au mieux à mes semblables les durs temps qui viennent.

    De guerre lasse, je fus tenté hier de provoquer mes lecteurs en allant au plus profond du piège logique dedans lequel nombre d'européens et d'étasuniens sont plongés, et puis ce matin je me suis ravisé, ce serait contreproductif.

    En fait la propagande des États-Unis-d'Amérique repose, en Europe, sur quatre piliers distincts, qui furent toujours faux et/ou d'une grande perversité:

    1) La toute puissance de l'empire US liée à l'idéologie néolibérale monétariste;P1030021.JPG

    2) L'inéluctable nécessité de la construction européenne sur de mêmes bases idéologiques utopiques;

    3) le présupposé réchauffement climatique anthropogénique;

    4) la désexualisation des peuples européens et leur infantilisation.

    Ceci sous l'égide d'une domination impériale multidécennale, culturelle, médiatique, symbolique, artistique, politique, historique, géographique, sociologique, diplomatique, médiatique, scientifique, économique, électorale, scolaire, militaire d'une moindre façon, ceci par le biais d'officines de pression pour lesquelles sont autorisées toutes les subversions totalitaires et perverses, toutes les entorses à la moindre des moralités, mais discrètes, et dont l'Union-Européenne n'est que la pure créature, l’œuvre malfaisante et ultime.

    La France serait ainsi en droit de vouloir récupérer sa statue de la liberté que depuis des lustres notre cher Toton Sam n'a cessé de piétiner allègrement chez lui comme chez nous.

    Tout ceci générant un état de soumission doublé d'une sidération importante des peuples, dont des français, qu'il est ardu de réduire, parce que la peur que tout cela s'arrête d'un coup est plus importante que de la lente décrépitude de la société qui, P1030151.JPGquoi qu'il en soit, ne pourra qu'être plus importante en terme de destruction que de ce qu'il pourrait en être de ce brusque effondrement.

    Pour la simple et bonne raison que les instabilités sociétales de toutes sortes s'accroissent jour après jour.

    Dès lors, que l'un de ces quatre piliers en vienne à se rompre et ce serait tout l'édifice qui s'effondrerait définitivement.

    Mais en revanche, si tous périclitaient en même temps, nous devrions faire face à une réaction de type stress post-traumatique d'une portion non négligeable de la population.

    Et, suivant le fait que depuis des décennies ces-dites instabilités du système dans son ensemble, économique, certes, mais aussi politique, médiatique, philosophique, artistique, scientifique, etc... tendent à s'accroitre, il y a de forts risques pour que ce pire n'advienne.

    Tout mon travail ne consistant alors qu'à essayer de prévenir  au mieux des effets probables que cela génèrera.

    Le point névralgique, la terrible faiblesse de tout ce système de domination c'est l'économie, occidentale, certes, mais aussi mondiale, au centre duquel se trouve le dollar et un euro qui n'en est qu'une pâle et artificielle copie, le tout se trouvant dansP1030177.JPG une épouvantable situation.

    Il s'agit donc de s'y préparer au mieux, tant psychologiquement que matériellement, mais pour cela encore faut-il en être conscient.

    Mais, pour les raisons évoquées plus haut, il est visible que sa simple évocation met en émoi les gens, crée une angoisse d'une grande violence puisque à ce monde connu et reconnu dedans lequel tous s'y reconnaissent, nous plongerons dès lors dans celui inconnu d'un socle conceptuel et perceptif naturellement énigmatique et incertain.

    C'est pourquoi je ne serais pas surpris d'apprendre un jour que la plupart de mes lecteurs découvrant mon site n'en lisent que deux à trois pages puis, ensuite, en viennent à en oublier tout autant l'intitulé que l'adresse.

    Tout en se surprenant ensuite de faire quelques réserves en nourriture et produit d'entretien.

    Le principal se trouvant là, bien sûr.

    Quand à ce qu'il pourrait en être de ce que j'y exprimerais oralement de ma perception de la chose, mon expérience me montre de la fuite, sous une forme ou une autre, à chaque fois de mon interlocuteur, que je ne peux y espérer une écoute meilleurs que de ce qu'il peut en être de l'écrit.

    P1030199.JPGSachant qu'aux deux extrêmes de la perception de cet achèvement de notre domination impériale euro-atlantiste, mais aussi oligarchique, et de cet effondrement économique inévitable, tous trois complémentaires, s'y trouvent largement majoritaire ceux qui en ont un déni plus ou moins important, tout comme ceux qui en sur-exagèrent les effets, ceux que l'on appelle les survivalistes.

    En une dernière tentative, pour ces derniers, de conserver un contact, même symbolique, d'avec la puissance impériale largement déclinante, parce qu'il est vrai qu'au-delà de l'océan Atlantique, ce sera là que cette crise inouïe sera la plus importante.

    Un effondrement n'est que ce qu'il est et ne peut se faire que sur les bases de ses vulnérabilités, détériorations et de ses faiblesses grandissantes: si un pont s'écroule, il est vrai que personne ne pourrait en définir la date par avance, en revanche il est possible de dire, au vu de son état de délabrement, où il serait le plus manifeste que la cassure se produise.

    Là, pour ce qui nous occupe, il n'en est pas différemment.

    Mais cette commotion de la population pourrait être évité si, auparavant, l'UPR prenait le pouvoir en devenant électoralement majoritaire dans le pays et que François Asselineau en devenait le nouveau président, conduisant le France-quitte de cette Union-européenne mortifère, comme, aujourd'hui, le fait la Grande-Bretagne de son brexit.

    Certes, les eurolâtres nous créeraient de nombreuses difficultés, les premiers tempsP1030038.JPG nous seraient compliqués, mais plus vite cela arriverait et mieux la nation s'en porterait.

    Et qu'ainsi rapidement se conduise une reconstruction industrielle et agricole dont tous nous avons infiniment besoin.

    Si ce n'étaient les journalistes cornichons qui, dans les médiats officiels, n'ont que de cesse de mentir  éhontément sur toutes sortes de  sujets et, entre-autre, sur ce parti politique, sur son président et sur ce projet logique et sain de sortir de cette union dont le but n'est que de détruire les pays pour en asservir les peuples à un empire U.S. dont le déclin n'est pas loin de son achèvement par sa disparition prochaine.

    Parce que de toute la chaîne de responsabilité de cette gabegie  absolue, ces journalistes cornichons se trouvent, de fait, en première ligne, et chacun d'entre-eux se devrait de se demander si, entre lui et ses donneurs d'ordre milliardaire ou ministre, lequel aura le plus à souffrir de la disparition de l' UE€ et de leurs maîtres étasuniens.

    Ce sont en effet le plus souvent les sous-fifres qui paient le plus les pots cassés.

     

    Lutter de toutes forces contre cette inertie populaire compréhensible serait, de ma part, absurde.

    Du-moins aurais-je tout fait pour en réduire la violence de ce choc avenir, la banqueroute généralisée et la disparition de notre cher oncle si tant et tellement incivile qui se plait de détruire là d'où il provient, l'Europe.

    Ce choc n'en serait qu'infiniment plus réduit si l'UPR devenait majoritaire.

    Après je sais que, hormis de rares cas, même mes lecteurs assidus, qui ne doivent P1030246.JPGpas être très nombreux, m'oublieront dans la tourmente du France-quitte ou, sinon, des effets de cette débâcle multifactorielle.

    Et moi je commencerai à produire mes œuvres poétiques.

     

     

    THEURIC

    PS: Je vais progressivement m’éloigner de la politique, non pas qu'elle ne m'intéresse plus mais que, plutôt, j'ai dis ce que j'avais à en dire.

  • Essai de réflexion sur la pensée globale.

    Ce qui est symptomatique de notre époque est la parcellisation de la pensée.

    Il est en effet remarquable d'observer combien la réflexion sur un sujet donné n'est pas intégré dans un ensemble cohérent, à l'heure où les sociétés humaines se sont rapidement grandement complexifiées.

    Les domaines sont nombreux où cette complexité n'est que peu abordée et,  j'en pose l'axiome, serait la source première des difficultés économiques, sociales et politiques auxquelles nous nous confrontons au jour le jour.

    Ainsi Monsieur Macron, le royal serviteur de l'oligarchie qui nous gouverne, le génie des Carpates, a, par les lois, ordonnances et autres décrets qu'il a, lui et son gouvernement, promulgué, haussé nombre de taxes et, surtout, la C.S.G. pour tenter de faire survivre encore un peu un système économique international et européen en effondrement industriel et monétaire lent.

    P1000880.JPGCe qui bien sûr pâtit aux faibles salaires et aux retraites, ce qui ne peut que réduire d'autant le pouvoir d'achat de tous ( pouvoir d'achat qui, en réalité, n'est qu'une immense fumisterie présente pour cacher la fermeture des usines et entreprises agricoles, envoyant les gens au chômage).

    Pour le remonter, ce pouvoir d'achat, la taxe d'habitation va être progressivement supprimée, ce qui appauvrit les communes.

    (Reconnaissons que, dans l'esprit de notre Président de la République, ce serait une tentative, vaine il est vrai, de faire repartir une machinerie industrielle française grandement en souffrance en redonnant du "pouvoir d'achat" aux ménages, sans penser une seule seconde que ce ne seront pas les industries nationales qui en profiteront mais celles d'Allemagne de Chine et d'ailleurs.)

    Pour que les communes ne s'appauvrissent pas de trop, pour que les maires ne se révoltent que modérément (déjà que les regroupements de communes indignent les édiles communales...), mais surtout pour que les petites gens puissent continuer d'acheter, l'échange marchand étant le nerf de la guerre du libéralisme économique, qu'il soit néo ou pas, les municipalités, donc, je le conjecture, auront bientôt le droit de décider par elles-mêmes du taux de la taxe foncière (ce en quoi je peux faire erreur, une autre mesure, de même type, pourrait être prise, voireP1010080.JPG même aucune décision de ce genre être décidée, mais cette décision serait dans la logique de la pratique gouvernementale actuelle).

    Ce qui, bien sûr, mènera à son augmentation, ce qui pénalisera les propriétaires qui risquent de mettre en vente le foncier qu'ils louent, ceci pouvant générer un crash immobilier pouvant entrainer l'économie mondiale à sa faillite.

    Pour éviter ce phénomène pervers, cela conduira inéluctablement le gouvernement à libéraliser les prix des loyers.

    Ce qui pénalisera, devinez qui, les plus pauvres, chômeurs, retraités et travailleurs pauvres.

    Et la boucle sera bouclée, boucle de rétroaction s'entend.

    Bon, ne leur demandons pas grand  chose, aux macronnistes-philippards, même ceux sortant des universités ne saisissent rien à la politique, ni à l'économie, d'ailleurs.

    Mais vous pouvez, amis lecteurs, observer cette parcellisation de leur pensée les conduisant à cette ahurissante et illogique tentative de rééquilibrage d'une instabilité économique qu'ils ont eux-mêmes créé, montrant de manière P1010151.JPGcaricaturale leur impossibilité totale d'avoir une vision globale de la situation.

    Les conduisant, de plus, à accroitre le ressentiment populaire à leur égard.

    Je vous avoue ne pas avoir vraiment conceptualisé ce que peut être une pensée globale, cette idée ne me restant, pour l'essentiel, que purement intuitive puisqu'elle m'est quasiment naturelle, toutefois j'y jetterais, au-dedans de ce billet, les premières bases réflexives.

    Je vais surtout donner ici un exemple basé sur un ensemble d'informations présentes et prendre grand soin de montrer que cet outil conceptuel ne peut être en rien une panacée, celui-ci pouvant se révéler faux en nous forçant de mettre dans un même ensemble des événements qui, en réalité, n'ont pas de réels liens entre-eux.

    Mais même si cet outil ne peut être d'une sûreté absolu, il n'en reste pas moins d'une grande utilité conceptuelle.P1010026.JPG

    Quand bien même en avant-propos j'ai pu mettre en garde de ce qu'une trop grande généralisation de l'emploi d'une pensée globale pouvait égarer une réflexion sur un sujet donné, les actuelles et éparses péripéties politiques et sociales, en France et ailleurs, peuvent laisser à penser que les mouvements de déstabilisation de l'état français ont désormais commencé.

    Bien que les informations qu'il nous soient possibles de percevoir sont dispersées de telles sortes qu'elles paraissent n'avoir aucune relation entre-elles, sauf à poser le postulat qu'en effet l'existence même de l'Union-européenne est remise en cause par son créateur: l'empire des États-Unis-d'Amérique.

    Thème que j'avais déjà abordé par avant en Septembre de l'année dernière, (en fin de texte) où j'y montrais, déjà, que nombre de pays qui comptent, les U.S.A., certes, mais aussi la Russie, le Royaume-Uni et, dans une moindre mesure, la Chine et l'Iran, sont dans la volonté de détruire l'U.E. par la déstabilisation de la France.

    Mais avant que je ne vous propose de vous confier mon opinion sur des événements ne semblant pas avoir des liens entre-eux, permettez-moi de commencer par définir au mieux ce que j'entends par la "Pensée Globale".

    P1010088.JPGJ'appelle donc "pensée globale" une façon de donner sens à une situation ou un événement complexe, constitué de plusieurs composants, ne semblant pas, pour certains d'entre-eux, liés aux autres, mais dont ces liens s'expliquent par des paradoxes émergents s'ils ne sont pas compris dans l'ensemble ainsi constitué.

    Ces multiples composants, dont la réunion pourrait s'appeler "Sujet d'ensemble" pouvant avoir des liens temporels et de lieux divers.

    Cette situation ou événement ne pouvant être saisi en plein que du moment où cet ensemble de composants est donc réuni en un tout cohérent, le rendant ainsi intelligible.

    Il est à noter qu'il n'est pas toujours besoin d'aller rechercher les constituants les plus complexes de ces différentes composantes, et que cela peu même parfois égarer la réflexion sur ce  sujet d'ensemble.

    Je tiens, une fois encore, a mettre en garde de ne pas se précipiter à réunir des informations éparses qui ne se révèleraient pas liés les uns aux autres, seule l'attente et l'observation des événements passés, présents et futurs peuvent permettre d'en saisir la dynamique complexe et d'en écarter, si besoin est, les informations non pertinentes.

    Le hasard, l'incident, la péripétie peuvent provenir de circonstances autres que ce qui nous occupe sur le moment, voire à ce qu'une conjoncture soit indépendant de toute autre et n'ai de sens que par elle-même en un développement linéaire et P1000753.JPGunique, même si cette conjoncture est d'essence complexe.

    Ceci dit, revenons à ces événements politiques et sociaux présents.

    Commençons par les paradoxes et les contradictions, ensuite j'aborderais les concomitances.

    Le principale concerne les syndicats.

    Jusqu'à présent ceux-ci perdaient, depuis trois bonnes décennies, progressivement leur rôle de contrepouvoir et, ce, pour diverses raisons.

    La plus importante et la plus proche de nous étant que tous, ou quasiment (C.F.D.T., C.F.T.C., C.G.T., F.O. et U.N.S.A.), adhérèrent à la confédération européennes des syndicats (le C.E.S.), étaient donc subventionnés par l'Union-Européenne.

    C'est pourquoi tous ne montraient que peu d'empressement à défendre les salariés face aux G.O.P.E., en niaient l'existence et même souvent n'agissaient que pour rendre les revendications inaudibles et les mouvements revendicatifs inefficaces.

    Or, il n'est que de constater qu'à présent ils se montrent tous d'une vigueur et d'une efficience plutôt remarquable (même si cela ne peut que gêner nombre de particuliers, dans les transports notamment).

    L'empoisonnement de Monsieur Skripal et de sa fille dans une petite ville du sud de la Grande-Bretagne fait également parti de ces incongruités qui ne peuvent que nous laisser nous interroger.

    Je ne vois pas vraiment qui pourrait avoir l'intérêt d'attenter à la vie d'un P1000866.JPGpersonnage, plutôt médiocre dans le milieu des services secrets, qui, si j'ai bien compris, était désormais sous une forme de retraite.

    En tout cas personne n'a fait mention que cette personne ait eu un rôle, si petit soit-il, au sein de l'administration britannique.

    Il est toujours possible que ç'ait été sa fille qui ait été visée, elle qui venait de Russie, et de brouiller les pistes en faisant de manière à ce que cela se passe au Royaume-Uni, mouai..., ou, comme il se dit, serait-ce un message (à l'adresse de qui?) provenant de la maffia russe, bof... .

    Pourquoi attendre que la fifille se rapproche de son père pour tenter de la tuer et pourquoi cette réaction si rapide du gouvernement anglais, deviendraient dès lors les questions logiques à se poser.

    Comme vous le voyez, il s'agit ici de deux incohérences qui, de plus, surviennent en un laps de temps plutôt court.

    Et si nous faisons la liste des concomitances politiques, là, les questions ne peuvent que se poser.

    Le 13 Mars, Monsieur Trump remplace Rex Tillerson, ancien P.D.G. d'Exxonmobil (dès lors pouvant être considéré comme faisant parti des oligarques de l'empire U.S.) , par  Mike Pompeo, l'ancien directeur de la C.I.A., au poste de secrétaire d'état, le ministre des affaire extérieur U.S..

    Auparavant, en France, fin Février, le gouvernement veut légiférer par ordonnanceP1000878.JPG le changement de statut de la S.N.C.F., sachant la majorité écrasante du R.E.M., les radios-éléments, à l'Assemblée Nationale, pourquoi donc cette soudaine frénésie, cette précipitation, qui ne pouvait que mettre le feu aux poudres?

    Que dire ainsi de l'annonce faite, à la même période, de ce fond spéculatif, les plus important au monde paraît-il, Bridgewater , qui a posé sur la table 22 milliards de dollars pour jouer contre l'Union-européenne et l'euro.

    Questionnons-nous de cette visite de l'ex-conseillé de Monsieur Trump, Steve Banon, rendue à Madame Le Pen lors du congrès du Front-National du 11 Mars, qui changea de nom pour le "Rassemblement National".

    Marine Le Pen qui, peut de temps après, appela à voter pour le candidat de Les Républicains, Elad Chakrina, lors des législatives partielles de Mayotte du 18 Mars, ce qui met à mal le fameux U.M.P.S. que les caciques du feue F.N. ne cessaient de déverser sur les ondes.

    (Le F.N., pardon, le R.N., champion de France du retournement de veste, sous les ordres de l'empire américain, pourrions-nous ajouter: gaaaarde-à-vous, fixe!)

    Pourquoi les syndicats ont-ils choisi le 22 Mars pour leur manifestation, cinquantième anniversaire de Mai 68 qui vit des avancées sociales sans équivalence depuis?

    Pourquoi cette réaction syndicale survient-elle très peu de temps après que Madame Merkel ait retrouvé son poste de chancelière (premier ministre) d'Allemagne (sachant que c'est ce pays qui domine l'Union-Européenne et est, pour cela, en P1010067.JPGconfrontation larvée d'avec les U.S.A., U.E. qui se trouve de fait avec une direction quasiment tricéphale si nous y comptons son administration, chacun de ces trois acteurs ayant leurs intérêts propres, dès lors contradictoires et donc conflictuels)?

    Nous ne pouvons donc éviter de nous demander si cela a à voir avec un article du journal allemand Die Welt, traitant d'une réflexion d'économistes germaniques des effets pour leur pays de la disparition de l'euro.

    Et, comme c'est bizarre, de ce terroriste se réclamant de ce D.A.E.S.H. dont il se dit téléguidé par l'empire U.S. via la C.I.A. et l'Arabie-Séoudite, qui a semé la mort à Carcassonne et Trèbes, terminant sa route meurtrière dans le super U de cette dernière ville.

    Enfin, cerise sur le gâteau, les manifestations et grèves en France se produisent très peu de temps après que Monsieur Poutine ait été réélu président de la Confédération de Russie.

    Alors, que dire de cette liste d'événements?

    Certes, il est tout à fait possible de considérer que ceux-ci n'ont pas de liens entre-eux et ne sont que la résultante de l'instabilité grandissante de l'Union-Européenne et de la France, le reste n'étant que le produit du seul destin.P1010107.JPG

    Mais souvenez-vous qu'auparavant j'avais expliqué qu'à mon sens l'Union-européenne se retrouvait être un boulet pour le reste du monde, U.S.A. compris, eux qui ont besoin, de plus, de mettre leurs oligarques aux pas, comme le fit Monsieur Poutine en son temps, et que, même à l'intérieur de l'U.E., de nombreuses forces centrifuges s'y exerçaient.

    Que, de plus, à une Allemagne bien que dominatrice dans l'union mais plus difficile à déstabiliser, la France, de caractère plus instable, serait infiniment plus facile à être le vecteur d'une dissolution de l'U.E..

    Nous ne pouvons pas ne pas nous demander si, partant de cette idée d'une opération de déstabilisation de la France, cet ensemble de faits ne représenteraient pas la forte présomption que la-dite opération aurait commencé depuis un bon mois déjà.

    Ainsi ces événements prendraient une cohérence en une unité explicative.

    Reprenons une à une ces informations suivant ce postulat en un ordre relativement temporel:

    P1000903.JPG1) Le gouvernement veut légiférer par ordonnance au sujet du changement de statut de la S.N.C.F., ôtant ainsi toute possibilité de dialogue syndical, ce qui ne peut que représenter une provocation pour ses agents, la question étant: qui a proposé cela et à qui, pour qui cette personne travaille-t-elle?

    2) De quelles informations l'agence Bridgewater détient-elle pour avoir mis une telle somme en jeu, 22 milliards de dollars, ce n'est pas rien, en pariant d'un effondrement prochain de l'Union-Européenne et de l'euro.

    Est-ce la recherche d'un effet d'annonce en une prophétie autoréalisatrice, sur la demande d'une officine U.S. plus ou moins officielle ou secrète ou tout simplement parce qu'elle aurait obtenu des informations sur ce qu'il se tramerait en Europe?

    3) Est-ce sur ordre de Monsieur Banon, qui rendit visite à Madame Le Pen lors du congrès du F.N. qui vit en changer le nom de ce parti, que cette dernière appela au soutien du candidat de Les Républicains lors des législatives partielles à Mayotte (on eut voulu briser ce nouveau Rassemblement National et Les Républicains qu'on ne s'en serait pas pris autrement, auquel cas, que fut-il promis à Madame Le Pen?)?

    4) Quel est cette nouvelle fougue syndicale d'aujourd'hui, quasi unitaire, eux qui surent si bien pourrir les manifestations contre la fameuse loi travail, dite El Khomri, qui se terminèrent par tourner en rond autour du bassin de l’Arsenal à Paris le 23 Juin 2016, ce à quoi ils acceptèrent de bonne grâce?P1000850.JPG

    Pourquoi d'autres appels à la grève et aux manifestations unitaires, dont à Air France et dans les hôpitaux, furent-ils lancés en même temps?

    Pourquoi ces syndicats n'ont-ils plus peur de perdre leurs subsides provenant de l'Union-Européenne?

    5) Il-y-a-t'il un lien entre ces événements qui se passent en France et la décision de Monsieur Trump d'engager le patron de la C.I.A. en tant que ministre des affaires extérieures et la réélection de Monsieur Poutine à la présidence de la Confédération de Russie?

    6

  • idée n°4: l'impermanence

     

               Rien ne se fini, rien n'est achevé, tout est en devenir.

    Grande est la difficulté de sentir le monde changer sous nos pas.

    Bien qu'inéluctables, ces changements, inhérents à l'univers et à ce qui le compose, provoque souvent malaises, inquiétudes, peines, angoisses, douleurs même.

    C'est cela le deuil!

    Cette transformation perpétuelle de notre environnement, vécu, fréquemment, comme une altérité, une brisure, est la simple condition de l'existence.

    L'être tant aimé, le somptueux objet d'art, le plus utile des outils, la vérité intense, essentielle, les hommes, les femmes, les sociétés, les espèces, la Terre et que sais-je encore quoi d'autre, les planètes, les étoiles, les galaxies..., tout ce qui existe, connu et inconnu, ne restera jamais égal à ce qu'il à bien pu être dans le passé, pas plus qu'il ne le reste dans le présent.

    C'est dans le fonctionnement du cerveau, dans sa structure, que se discerne le refus et/ou le rejet de la nouveauté.

    Ce trait, au nom de misonéisme, trouve son origine dans ce même processus de deuil.

    Le réajustement synaptique que cela demande génère une souffrance telle que de la violence ou du désespoir en est, fréquemment, engendrée et ceci parce que notre encéphale, dans un processus de concervation, de protection, fait barage à cette nouveauté.

    Tournée vers soi au travers d'une maladie, d'une dépression à la perte d'un être cher, d'une guerre pour une société en plein chamboulement (guerre de 14/18), ou bien à l'endroit du porteur du message de ce changement (Giordano Bruno), ou de celui, de ceux qui représentent cette transformation (les musulmans en Europe, les américains en Orient, les juifs en Occident et au Proche-Orient, les arabes en Israël, les bouddhistes tibétains en Chine, les noirs pour les non noir...), cette agressivité montre que nous avons encore, nous, êtres humains, à un haut degré, des inclinations à d'antédiluviens réflexes.

    THEURIC

  • idée n° 8) bis: Essai de début de réflexion sur le temps présent et notre proche avenir.

    Mon intuition, ce processus de création et d’entendement inconscient, me susurre des difficultés immense pour l'Europe, étant entendu que l’intuition se doit de se nourrir de connaissances ad oc et d’inventions d’outils complémentaires.


    Ceci dit, les États-Unis sont, dès à présent, finis, ce pays a un tel taux de désorganisation que la disparition de sa monnaie le fera s’effondrer.


    Trois institutions m'y semblent encore plus ou moins vaillantes: les universités, mais pas toutes, l’armée, bien que dans un sale état et quelques entreprises telles que certaines de celles liées à l’informatique ou celles liées à la production de combustible schisteux.


    Le reste s’écroulera à la suite du dollar.


    La pensée politique purement économiste trouve ses origines plus de deux siècles antérieur à notre époque et s’est progressivement développée jusqu’à nos jours pour devenir maintenant prépondérante, or, ce à quoi nous assistons aujourd’hui c’est à un retour en force de la pensée essentiellement politique avec tout ce que cela entend de formalisme et, surtout, de passion.


    Ainsi, les démocraties populaires et les démocraties libérales, dites communistes et néo-libérales, sont du même esprit d’une conception du monde fondamentalement portée que sur la seule économie.


    C’est leur froide confrontation de 1945 à 1991 qui nous a évité des conflits plus sévères en gelant le dynamisme, parfois tragique, des peuples, le négoce n’aime pas les surprises et les heurs sont toujours des surprises.


    Mais depuis la disparition de l’U.R.S.S. vient le retour du jeu tortueux des états et des nations, c’est ce à quoi nous assistons, la disparition des U.S.A. ne venant qu’achever de libérer l’énergie vitale de l’humanité depuis si longtemps comprimée, toute son énergie vitale.


    L’Europe, elle, est dans son vieillissement autant physique que, évidemment, mental.


    Le sens que je donne à la baisse mortifère de la natalité européenne est la culpabilité dû aux atrocités des deux guerres mondiales (je considère en effet l’inconscient social comme étant d’une temporalité bien plus importante que celle d’un individu, pouvant s’étendre sur plusieurs siècles, voire, peut-être, millénaires), or la culpabilité peut générer deux effet contraires et extrême: la dépressions auto-condamnatoire ou l’agressivité pervers.


    Présentement l’ouest de l’Eurasie est quasiment vidé de sa substance, à l’exemple de la France ne produisant plus d’acier, peu de gasoil ou d’essence…, en cas de cessation de l’économie mondiale, il nous faudra du temps pour remettre en route une production sérieuse de tout un ensemble de substances, éléments et matériaux dont toutes sociétés ont un besoin vital.


    Parce que ceux des pays appelés aujourd’hui B.R.I.C. seront bientôt soit dans l’effritement, soit dans une confrontation plus ou moins directe, ce ne sera que par portions congrues que nous pourrons nous approvisionner ailleurs de ce qui, si tragiquement, nous manquera.


    Cinq, dix ans, voire plus nous serons nécessaires pour que nous puissions entrer dans ce qui sera le concert des nations, plutôt concert free jazz sauf si…


    Sauf à remplacer quasiment totalement les équipes dirigeantes des pays de l’union et ceux de l’Union-Européenne, vu que ceux-ci s’arc-boutent sur cette même philosophie néo-libérale, mais en ce cas je ne vois pas comment l’euro pourrait survivre à pareil commotion, du-moins l’euro en tant que monnaie.


    Le Japon et la Chine, bien entendu, mais plus encore l’Inde et la Chine serons les ferments de nos craintes prochaines, deux voisins, deux géants se toisant à l’envi aux tensions internes tant démesurées…


    Theuric

  • Appel à une nouvelle renaissance 1): De notre situation présente! (suite)

     

    (...Suite du précédent, voir en-dessous...)

     

     C'est donc l'humanité dans son entier qui vit, en ce moment, cette transformation radicale, cette mutation, cela ne peut que chambouler jusqu'aux fondements de toutes les sociétés, d'autant plus brutalement que celles-ci n'étaient que peu préparées à de telles mutations.

    Or, il est à remarquer que même en Occident ce chamboulement n'est que rarement pensé dans sa globalité dû, sans doute, à ce que nous subissons un coup d'arrêt de nos capacités inventives.

    Ce frein provenant, sans doute, en Europe, de ce que nous éprouvons toujours le traumatisme colossal que furent les deux guerres mondiales, traumatisme sensible dans la baisse mortifère de la natalité, baisse essentiellement différente dans ses causes de celles, éminemment plus sage, vécue dans le reste du monde et dont l'origine viendrait, là, de l'apprentissage et du  partage des connaissances des garçons et, surtout, des filles.



    Nous nous devons, donc, de faire renaître ce dynamisme majeur que fut la Renaissance, non pas pour revenir aux gloires et puissances du passé mais pour que nous puissions traverser, sans trop de dommages, (ravages) les dangereuses décennies devant lesquelles nous sommes.

    Ces périls sont légions: manque de matières premières, crise des communications (dû autant aux insuffisances en énergie pour les moyens de transport qu'aux limites aussi bien dans les capacités du réseau mondial de lignes téléphoniques à absorber l'ensemble des échanges, de la saturation avenir des bandes passantes du téléphone cellulaire, du seuil de compréhension de programmes informatiques de plus en plus obscures dédiés à des systèmes complexes, de l'abandon prononcé de la distribution du courrier papier, à l'abandon à de rares pays du transport maritime...), risques d'épidémies dû à l'affaiblissement du réseau sanitaire, possibles conflits entre états ou guerres civiles,... .

    Nous plongeons, en Europe, dans l'incertain pour deux principales raisons:

    1) Quasiment toutes les gouvernes politiques, économique et symboliques ont été confisquées par la classe dirigeante actuelle, celle-là même qui nous montre, jour après jour, une incapacité de même ampleur que de sa vanité. Son impuissance foncière de comprendre les véritables enjeux politiques et géopolitiques, et donc de saisir les transformations sociales de notre société tendant vers une complexité encore accrue et de l'évolution des rapports de forces internationaux, cela en raison d'une pensée pûrement économiste et de son besoin pressant, pour toute prise de décision de quelque ampleur, dans un puéril sentiment d'inhibition, de faire appel à notre cher oncle Sam américain (ou parfois d'un bouffon du roi comme B.H.L.);

    2) L'impossibilité d'une majorité de personne de comprendre les réelles complications vers lesquelles nous allons, même de la part d'intellectuels et d'esprits éminents, soit par insouciance, soit par ignorance, le plus souvent parce que la lassitude de l'histoire et la crainte des lendemains leur font avoir la volonté inconsciente de l'aveuglement. Ceci est doublé d'une déficience informative d'une majorité de médias, par veulerie, dédain des personnes et/ou désinvolte frivolité nous empêchant d'avoir en main les informations nécessaires pour comprendre la marche du monde.

    Le premier ébranlement, quand il surviendra, produira dans le même temps nonchalance et réponses inadéquates. Ce premier ébranlement verra l'effondrement définitif du dollar et la disparition des U.S.A.. Le second est difficilement discernable, il concernera sûrement tout l'ouest pacifique mais cela n'est pas assuré.

    Heureusement pour nous, la situation géopolitiquement isolée et décalée de l'Europe, sise tout à l'ouest de Eurasie et au nord-est de l'océan Atlantique nous protègera pendant quelque temps, ne nous attendons pas, en effet, à une fulgurance géniale de nos élites actuelle, il est même à prévoir une période de latence pendant laquelle tergiversations sans fin, réponses inappropriées et inadéquates seront de mises.

    Mais cela n'aura qu'un temps, le jeu puissant et complexe de la géostratégie internationale nous rattrapera quelque part dans les Balkans entre l’Ukraine et la Grèce, si ce n'est en Méditerranée où le canal de Suez ne manquera pas de jouer un rôle majeur.

    Dès maintenant, notre souci principal c'est une grande part de nos élites politico-économico-médiatiques et nous aurons la plus grande peine du monde à nous en dépêtrer, nous ne pourrons les écarter que si des personnalités sérieuses et reconnues de tous nous instruisent au plus tôt des défis au-devant desquelles nous ne pourrons pas ne pas nous retrouver.


    THEURIC



  • De mes poésies

    En bien comme en mal

    Tout passe!

    Ma grand-mère.

     

    Avis

     

    Voici, je vous offre de toute ma poésie,

    Art que j'avais cessé pour vous conter, présent,

    De ces passions cruelles tendant aux frénésies

    Pouvant mener séant à de vils tourments.

     

    Ces poèmes sont de peu, moins de vingt, le crains.

    Certains sont déjà lus, d'autres inconnus,

    Nombre en alexandrins, trois sonnets adjoins,

    Quelques vers libres, une prose connue...

     

    De mon esprit léger vous les ainsi confiés.

    Laissez-vous amener vers ce monde charmant

    D'un hymne à l'amour en air calligraphié

    Où les mots nous chantent ce si beau chatoiement.

     

    Allez, assez de ces sottises que cotisent les fats,

    Nous sommes de bien plus qu'ils n'osent de le croire !

    Faisons chanter le trait, éblouissons l'immédiat

    Faisons fit des fatras, vie n'est pas cauchemar !

                            -------------------------

     

     

     

    De notre humanité, je fuis les marécages 

    Et pleure de dépit le vide des regards,

    Éperdu.

     

     

    Aux élites cachées

     

    Il est, de par le monde, des personnalités d'importances, invisibles, inconnues, marginales.

     

    Est-ce véritablement par choix que ceux-ci vivent, ainsi, dans cette discrète clandestinité, dans ce refus d'un monde qui les refuse?

     

    Insoupçonnées nébuleuses, ces véritables humanistes badaudent, certains en groupes informels, d'autres seuls, dans l'insatisfaction de l'ivresse inutile et sans joie de la fuite de la médiocrité du temps, la petitesse de leurs contemporains, la référence au confortable conformisme, découvrant, effarés, que, partout, sévit la même insignifiance des sombres orthodoxies.

     

    Ceux, aussi, qui, environnés de benêts, plongés dans les tristes conventions du travail, de la famille, des associations, des églises et chapelles, de la politique..., s'assèchent, se noient, parfois ploient, plongés dans cette chape et font semblant, sans être dupe, d'une douce vie dans l'attente, illusoire, d'être reconnu.

     

    Tous s'étourdissent, s'enivrent d'arts, d'études, de voyages, d'amitiés, d'amours, de sexes, de révoltes, d'angoisses, de nourritures, d'alcools, de drogues sans véritablement prendre part à l'excellence tout en en ayant, au- delà, même, de tout autre, les facultés, le talent.

     

    Comme une élite cachée, lâches dans la conscience en leurs capacités, ils fuient le néant mortifère de leurs contemporains, catégoriquement résolus à n'être ni dominants, ni dominés.

                                        ---------------------------------- 

     

     

     

    Le mot, la phrase, le verbe,

    sont sources de vertus

    et chemin de raison.

     

     

    Aux jeunes lecteurs

     

     

    Porter l'amour des mot m'est plaisir intense.

    D'en faire vers et quatrains un bonheur sans nom.

    Et ces rimes font chanson en leur seules consistance

    D'une douce cadence, d'une satisfaction.

     

    Mais ce verbe français s'est perdu, éperdu,

    Dans les méandres vils d'un obscurantisme

    Y menant l'école n'instruire qu'en résidu

    La parole ancienne en seul ringardisme.

     

    Or, si ces mots nous sont dit parfois si retords,

    N'en sont pas moins jouissifs de l'esprit, détenu

    Par leurs sens recelés au-delà de l'abord,

    Fondant l'intelligence de tout individu.

     

    Alors, ici, de ces sons tant abandonnés,

    Sans faire injure au moindre lecteur,

    Je vous vais les chanter, vous les poétiser,

    Pour que de leur air en soyez laudateur.

                          ------------------------

     

     

     

    Que de patiences et de tendresses données

    A tant de cœurs abandonnés

    Du matin jusqu'au soir.

     

     

    mémoires



    Qu'est donc l'appris, le su, sur le front de l'oubli ?
    Qu'est donc l'aperçu des âges de l'histoire ?
    Les blanchis cheminant en ces ères vieillis
    Se sont-ils affranchis de passer la mémoire ?

    Les jeunes éperdus de perdre la liaison
    Pleurent et rient, flétris de ne pouvoir savoir
    Les lointains passages de ces fonds d'horizons
    Que connaît cet âge ayant passé le soir.

    Et ces vies anciennes, aux milles chants perdus,
    Riches de tant de siens, tant d'expériences,
    Ivres d'abandonner à de jeunes assidus
    Tout ce temps façonné durant tant d'ans intenses :

    « Ancien, racontes moi », demande ce gamin.
    Et le verbe en émoi, l'ancien lui raconte,
    « Voici, ce fut ma vie ! », et les photos en main
    Il narre, à l'envie, cette saga, il conte... .

    Ces mondes s'éprouvent, le jeune et le vieux,
    Se parlent, se trouvent, découvrent, hors du temps
    Cet instant complice du récit merveilleux,
    Boivent le calice de ce moment pressant.

    Puis fusent, abondant, en gerbes incessantes,
    D'un verbe déroulant un trop plein d'émotion,
    Les questions du cadet, de ces questions ferventes,
    Auxquelles l’aïeul répond en faim de confession.

    Dès lors, de ce  passé passé en un présent présent
    Offert en donation et reçu en offrande
    Est cet ultime don du récit apaisant
    Du doux héritage que le futur mande.

                                        -----------------------------------------

     

     

     

    Déposer enfin ses valises

    C'est se décharger d'inutile,

    Au loin.

     

     

     LE PARDON                                                                           

     

    L'injure abattu à l'angle de l'esprit  

    Ruine les desseins en songe de mépris:                               

    Voilà, l'ombre indu maintenant s'épanche,                                

    Envahit les humains, soude les revanches.                                        &n

  • Trump: d'empire à colonie.

    Je ne sais pas si, toute proportion gardé, Monsieur Trump peut être comparé à Constantin 1er ou à Aétius, le vainqueur d'Attila, si comme le premier ce sera un réformateur ou si comme le second il n'arrivera jamais à atteindre le pouvoir,capturées 2006-6-28 00003.JPG assassiné avant.

    Quoi qu'il en soit et quoi qu'il lui arrive, c'est déjà un personnage historique dans le sens où ce qu'il représente est bien plus qu'il n'est en réalité.

    Ce nouveau président des Etasunis est un réformateurs, c'est à dire qu'il entend insuffler une dynamique nouvelle à son pays, quoi que nous puissions en penser part ailleurs.

    Nous ne la connaîtrons qu'une fois les décisions prises et que leur mises en œuvres commenceront à porter leurs effets.

    Si cela nous concerne, ce ne peut qu'être en raison des liens étroits, d'empire à colonie, qui nous unis, le reste ne devrait pas être notre affaire.

    En plus de ces deux inconnues déjà importantes, l'effondrement en cours de l'économie-monde, tendant à une accélération régulière, va avoir des conséquences que personne ne peut prévoir, hormis, bien sûr, les ruptures d'approvisionnement, avec ce que cela comporte d'infinis problèmes, et de la qualité des politiques de reconstruction qui seront mises en place par les différents états, dépendant des hommes en place sur le moment.

    Pour résumer, Monsieur Trump à trois défis à relever, sa survie, la refondation de son pays et la gestion d'une crise sans précédent.

    Nous devons aussi tenir compte des tendances centrifuges se manifestant en ce moment aux U.S.A., du peu que j'en sais, et elles ont l'air de prendre de l'ampleur (de tous les français).

    Enfin bref, le phénomène Trump est certes important mais ne devrait nous concerner que ce pourquoi nous avons des intérêts, soit pour notre pays et pour nous même, le reste ne pouvant avoir d'importance que pour notre seule curiosité naturelle et rien de plus, bien que cela soit d'importance mais d'un autre domaine.DSC_9621.JPG

    Sinon cela ne peut que montrer que nous ne nous sommes pas encore affranchi de ce joug impérial.

    Toute rupture de domination doit d'abord commencer par la compréhension de son essence même, pas tant de cet empire, soit du dominateur, mais bien de celle du dominé, quel qu'en soit le caractère.

    Il s'agit donc pour ce dominé d'en saisir le plein sens intérieur, parce que seul cela devrait lui importer, le reste restant du domaine du dominant, c'est son problème, sauf en ce qui intéresse sa résistance à l'émancipation du colonisé nécessitant, pour ce dernier, la réaction la mieux adaptée à la situation créée par la-dit résistance.

    Ainsi la place du dominant est tel que parce que le dominé a aussi la sienne propre, il s'agit donc d'une relation réciproque à intérêts commun en miroir, générant un confort à chacun de ces partenaires, même si cela mène, en réalité, à un mal-être du dominé.

    C'est ce confort de la situation établie qu'il s'agit de briser, mais c'est bien parce que le dominant a une situation privilégiée sur le dominé que celui-ci se doit de faire le travail en amont sus-décrit.

    IMGP0079 - Copie.JPGC'est logique, il est difficile, pour le dominateur de se débarrasser de ses petits avantages, surtout si ils sont nombreux et juteux, quand l'asservi, lui, n'a de seul profit que celui de la confortable obéissance infantile, soit n'avoir aucune responsabilité.

    Là seulement existent les intérêts de chacun d'eux et nulle part ailleurs.

     

     

    THEURIC

  • Quelques nouvelles idées en passant.

    Bien entendu, je vais un petit peu commenter les événements se passant en France, mais je vous propose aussi quelques idées, dont une ou deux, je le conçois, risque de surprendre.

    PICT0264.JPG

    Triple remarque sur les processus probables  de l'inconscient individualiste:

     

    Certes, l'individualisme c'est cette idéologie infantile considérant la jouissance égoïste infini comme étant d'importance primordiale pour tout Être Humain.

    Nous pouvons aussi percevoir cette doctrine comme étant la résultante historique d'une "démocratisation des signes de pouvoir, de puissance et de richesse", soit que chacun d'entre-nous puisse agir de même sorte que l'imagerie ordinaire montre des seigneurs et rois d'antan, puis des bourgeois, se faisant servir par nombre de serviteurs, et luttant tous contre tous pour un peu plus de pouvoir, un peu plus de richesse.

    Ce que nous pouvons encore voir lors des gesticulations des richissimes rachetant par ci, revendant par là, qui un morceau d'entreprise, qui des dettes d'état, dans ce besoin irrépressible de montrer à ses paires une fortune inutile mais bien plus grosse que le voisin.

    La démocratisation des signes de pouvoir, de puissance et de richesse se montrant, ici, entre-autre, par le remplacement des serviteurs de ces seigneurs et bourgeois passés, par l'achat, la possession et l'usage de "biens de consommation" succédant, sensément, aux-dits serviteurs, sous forme de machines, robots, aspirateurs automates..., jusqu'aux automobiles qui prenaient, antérieurement, la place des carrosses et autres nobles voitures hippomobiles, mais qui, aujourd'hui, sont devenues totalement indispensables pour le déplacement de chacun.

    Même lien que nous pouvons faire avec les produits stupéfiant, hier réservés aux classes aisées dominantes et maintenant pouvant être utilisés par n'importe qui, en voici donc une démocratisation stupéfiante.

    Mais il me paraît important que nous portions aussi notre attention sur deux autres causes de cet individualisme actuel.

    Le premier en étant  nos habitats, que ce soit le pavillon refermé sur lui-même et ceinturé de murs ou l'appartement d'où personne ne connaît aucun voisin une fois la porte de palier fermée, habitats situés le plus souvent dans des villes d'importance, forçant chacun d'entre-nous à rester centré, solitaire, essentiellement sur notre moi-je, notre seul entourage proche, famille et amis, quand nous en avons.

    Enfin, il y a la grave mais logique acculturation, provenant de ce que les sociétés humaines furent contraintes de s'expatrier dans des villes plus ou moins grandes, générant plus ou moins d'isolement, quand il y a peu encore, moins de cent ans en Europe et en Occident, moins de trois décennies ailleurs, nos ancêtres étaient pour une large majorité d'entre-eux, d'humbles paysans vivant dans de petits villages où chacun connaissait chacun, au moins de vue.

    Acculturation provenant de cette rupture humaine d'avec ce passé proche, d'avec son ordre, ses habitus, ses us, ses fêtes, ses croyances, d'une révolution des sociétés des hommes sans que les esprits n'aient eu le temps de s'y adapter, à la recherche d'une modernité dont la seule qui fut servie fut celle propagée par des médiats souffrant souvent des mêmes maux,  l'individualisme, mais en pire.

     

    DSC00103.JPG

     

    Réflexion sur des intelligences non terrestres, si elles nous rendent bien visite:

     

    Je le conçois, faire sujet de ce thème peut paraître osé, mais si des militaires français en firent un rapport sérieux à bien des égards, c'est que de se pencher sur cette matière ce n'est pas faire preuve de loufoquerie, de chimère ou d'attrait pour le surnaturel (à ce propos, le terme même de surnaturel est idiot puisque ce qui existe est naturel par essence, même les productions humaines, ou n'existe tout simplement pas) mais bien avoir une approche réaliste de notre monde.

    Pour qui suit de temps en temps des émissions ou articles là-dessus ou se promène sur internet, peut percevoir qu'il y a un nombre important de formes d'O.V.N.I. différentes, dans l'ensemble elles peuvent se catégoriser en trois, en un long tube, en une soucoupe, en un chevron ou un triangle.

    D'autant plus que chacune de ces formes peuvent se conjuguer de différentes manières, eut égard tout de même, des canulars, illusions et autres erreurs de jugement.

    Cela ne pouvant que vouloir dire que deux choses, soit il s'agit de peuples différents, peut-être nombreux, soit ces visiteurs sont d'une seule espèce, et se retrouveraient dans une phase de transition sociétale où une technologie est en train d'en remplacer une autre pour eux sur la voie de l'obsolescence.

    Toujours est-il que ces visites doivent être, pour eux, d'importance, pour nous étudier, évidemment, mais cette étude pourrait s'effectuer par un nombre restreint d'engins, or il semble ne rien en être.

    D'autant plus que, pour toute société technologique, plus encore que le matériel, le coût en énergie est d'une importance fondamentale, c'est ce quoi fait et forge une économie, et quand bien même ces êtres auraient une science inconnue pour nous et seraient capable de voyager à une vitesse bien au-delà de celle de la lumière (300 000 KM./S, tout de même), l'énergie dépensée devrait être considérable et les questions d'infrastructure et d'intendance complexes (même à cette vitesse, il faut tout de même du temps pour aller d'un point à un autre).

    Selon l'un des principes de la vie, du-moins telle que nous la percevons sur Terre, rien ne se fait sans intérêt, je ne pense pas qu'il en soit différemment sur d'autres planètes aux formes de vies divers et autres, même intelligentes, surtout intelligentes, les intérêts devenant de fait plus nombreuses et complexes.

    J'émets même l'idée que les intérêts d'une espèce, tant en nombre qu'en complexité, sont directement proportionnelle avec son degrés d'intelligence.

    Alors, me semble-t-il, les questions fondamentales que nous devrions nous poser à leur propos devrait être: quel est leur intérêt à ainsi se montrer régulièrement à nous, par incident, par volonté, par ruse ou pour toutes autres raisons?

    Et également: combien d'êtres différents est-il possible de décompter?

    Cela ne pouvant se faire qu'en relevant l'ensemble des observations sérieuses de par le monde, la forme des engins, leur moyens de propulsions visibles ou inconnus...etc...

    Ce qui me surprend le plus c'est que les seuls êtres répertoriés auraient deux bras, deux jambes, une tête, deux yeux, qu'ils aient de formes très "humaines", donc, humanomorphe, cela ne correspondant en rien de ce que nous savons des processus évolutifs, beaucoup plus imaginatifs que cela.

    C'est ça, plus que tout autre choses, qui me fait dire que, si ils existent et nous rendent visite, et il y a de très forte chance que ce soit le cas, ceux de ces êtres qui ainsi se baladent au-dessus de nos têtes ne peuvent qu'être multiples aux formes différentes, à la biologie et la structure mentale tout autant, alors, les a-t-on envoyé comme éclaireurs, ces humanomorphes, pour ne pas nous effrayer?

    Mais je suis certains qu'il ne peut qu'y avoir des invariants chez toutes ces races intelligente non humaines, la capacité d'agir sur son milieu (comme pour nous les mains)  et celle de pouvoir communiquer et échanger avec ses semblables (nos langages) seraient, à mes yeux, les plus important parce que le ferment de toute société constituées.

    De plus, peuvent-ils échapper aux relations de pouvoir, aux rapports de force, aux questions d'organisations et d'intendances, aux conflits et à leur résolutions, aux processus décisionnels, aux problèmes des échanges à l'intérieur des sociétés de chacune de ces races et entre inter-espèces?

    En fait, peuvent-ils faire l'économie de la politique, de la guerre et de l'économie?

     

    P1000767 - Copie.JPG

     

    Petite approche d'une stratégie spatial:

     

    Au vu des rapides évolutions qui déterminèrent nos sociétés depuis deux à trois siècles, et les guerres de grande ampleur en furent, quoi que nous en disons, d'incroyables accélérateurs, la prochaine qui se profile déjà, même si nous ne pouvons pas savoir exactement quelle forme elle prendra ni quels en seront, précisément, les belligérants, l'espace sera, à n'en pas douter, la quatrième arme qui apparaîtra inéluctablement, après celles de terre, mer et air.

    Suis-je belliciste?

    Non, tout au contraire, ne faisant que considérer le stress social intense d'échelle planétaire provenant de l'explosion technologique, de l'acculturation puissante des sociétés, de l'incroyable surpopulation actuelle (7 300 000 000 d'Êtres Humains sur Terre, environ), des nombreuses empreintes anthropiques dont les pollutions ne sont pas les moindres et de cette faillite universelle dont je ne cesse de vous mettre en garde, tout cela ne pouvant que conduire à  une conflagration qui se pourrait bien se révéler être d'échelle mondiale.

    Or, les deux guerres mondiales montrèrent qu'une confrontation de très grande ampleur (de tous les français) entre des forces équivalentes, accélérerait de manière quasiment exponentielle les avancées scientifiques et, surtout, technologiques.

    Déjà la surveillance satellitaire d'une flopée d'engins spatiaux automatiques est devenue d'une importance géostratégique centrale, voire vitale, dès que tout pays a acquis une certaine puissance internationale.

    Chacun d'entre-nous fut aussi informé des divers tentatives pour détruire de ces satellites espions, de la part de nations ayant en main une expérience dans la propulsion d'engins au-delà de la stratosphère.

    Tenant cet ensemble en une cohérence réflexive, la détention de capacités de s'extraire au moindre coût de l'attraction de notre planète pour y envoyer des hommes remplacer des machines facilement destructibles, ne pourra qu'être qu'envisagé, dès le moment d'une confrontation armée mondialisée se fera jour, si, bien sûr, une telle éventualité survient.

    Logiquement, dans un premier temps, ces machines habitées n'occuperont que l'orbite basse, puis, progressivement, elles s'éloigneront jusqu'à ce que les premières stations s'installent sur la Lune et que des véhicules spatiaux occupent divers positions géostationnaires.

    En fait, tout dépendra du coût humain, énergétique et industriel pour les belligérants, ainsi que de la vitesse de déplacement de ces véhicules, ainsi que des découvertes qui se feront dès l'instant où ces lignes sont écrites.

     

    IMGP0198.JPG

     

    Brèves méditations sur les manifestations dues au rejet populaire de la loi du travail dite El Khomri:

     

    J'ai une profonde commisération pour Madame El Khomri, la même que je pourrais avoir pour tout lampiste.

    Cette petite dame a-t-elle bien conscience qu'elle fut choisie plus pour la consonance de son nom que pour ses qualités?

    Quoi qu'il en soit, personne ne peut dire jusqu'où les grèves et manifestations actuelles peuvent mener.

    Et ces événements, quels que soient leur aboutissement, ne pourrons que gravement fragiliser l'Union-Européenne.

    Il est tout de même surprenant que l'Union-Européenne s'échine ainsi à proposer aux pays sous sa coupe la même politique qui ruina le Royaume-Uni, les allemands et bientôt l'Allemagne.

    Cette tendance autodestructrice d'une fédération européenne sous l'égide germanique (vieux rêve hitlérien, déjà) et la domination étasunienne, fait qu'elle part en vrille et rien ni personne ne peut arrêter sa chute.

    Pour l'instant, tout semble simple et clair pour le gouvernement, les grèves et manifestations sont entravés de divers façons, d'ailleurs, je me demande si il n'y a pas des mouches aux Q.G. des syndicats, mais ceux-ci font montre d'une stratégie d'ensemble jamais vu jusqu'à présent.

    A croire que le syndicalisme a évolué depuis celui de grand-papa.

    En fait, dorénavant, c'est l'Allemagne qui pâtit de tout affaiblissement de l'U.E..

    Avec sa Deutschbank au bord de la crise cardiaque, sa perte de production industrielle, logique si on songe qu'elle a ruiné tous ses clients européens, son intransigeance anthropologique et délires ontologiques habituelles, sa totale mainmise sur une Union-Européenne perdue de voir son maître

  • De la réalité des temps modernes.

    La réalité a ceci de particulier qu'elle est incontournable, elle est, par nature, et se révèle surtout à nous lorsque nous nous confrontons à elle, lorsque nous nous efforçons de tricher avec elle, lorsque nous nous efforçons de la tordre à notre volonté sans vouloir ou pouvoir en comprendre la constitution, l'essence.

    Elle n'est pas tyrannique, tous nous avons la liberté du choix, mais celui-ci ne peut se faire que dans le cadre plus ou moins étroit, plus ou moins large de la situation donné lorsque ce choix se fait.

    Il y a, ainsi, des choix plus ou moins mauvais, plus ou moins bon, plus ou moins efficace, parfois il n'y a que de mauvais choix, d'autres fois il n'y en a que d’excellents, cela dépendant essentiellement des conditions aux moment où ce choix s'effectue.

    Quand nous commençons à ressentir revenir la réalité, commençons à en ressentir la morsure, après l'avoir contourné plus ou moins longtemps pour des raisons ou d'autres, le premier geste est le plus souvent la fuite en avant, soit de continuer dans notre ancienne façon de faire, par réflexe et automatisme, anciennes manières qui, justement, nous avaient déjà conduit dans les difficultés que la réalité révèle lors de crises, ce qui accentue encore des effets déjà néfastes.

    Si nous n'y prenons garde et ne changeons pas notre façon de faire et d'agir en faisant évoluer la perception que nous avons du monde, cela nous conduira inéluctablement à la catastrophe à un moment ou à un autre.

    Généralement, cette catastrophe était prévisible par les différentes crises avant-coureuses qui se produisirent précédemment.

    Ce devrait d'être au moment de l'une de ces crises qu'il aurait fallu agir avec célérité et vigueur, cela en considérant l'importance du choix, ce qui veut dire de comprendre la situation dans son ensemble le plus précisément possible, quitte, parfois, de s'avouer nos fautes, nos faiblesses et/ou nos forfaitures ainsi que de celles de notre ou nos vis-à-vis.

    Puis de percevoir au mieux le meilleurs des choix, soit ce que devrait être l'ensemble des actions à mener, ou de non action, ce qui revient au même, qui nous permettraient d'éviter la catastrophe venant, ou du-moins, d'en limiter les effets les plus délétères

    Dès lors, nous pouvons considérer qu'une crise, ici celles passées concernant l'ensemble de l'humanité et de son économie, mais cela pouvant se révéler aussi de problème ne concernant que nous-même, voire d'un couple, d'une famille ou d'un petit groupe de personnes comme d'une entreprise, de relations amicales ou d'une association..., une crise, donc, est ce moment privilégié où il est possible de redéfinir, individuellement et/ou collectivement, notre perception de cette situation et ensuite d'en infléchir au mieux le cours.

    Or, et c'est là l'origine de ce court développement, nous pouvons tous percevoir combien, à l'échelle nationale, européenne et mondiale, les divers crises qui traversèrent les 40 dernières années ne furent que l'occasion de réflexions limités ou sinon, lorsque ces réflexions étaient plus riches et complètes, ne provenaient que de gens n'ayant qu'une audience réduite.

    Hormis, il est vrai, de ne faire que justifier les décisions qui furent prises dès cette époque par des présupposés vaguement théoriques, ce qui accoucha de ce que, faute de mieux, nous nommons en France le néolibéralisme et dans les pays anglo-saxons le néoconservatisme, ce qui donna le terme de néocon qui, en langue française, se révèle fort savoureux.

    Depuis, donc, tout ce temps, aucune réelle remise en question des présupposés ayant donné naissance à notre conjoncture actuelle ne fut entreprise (ou cela ne fut le fait que d'une infime minorité de ces gens ne pouvant pas vraiment se faire entendre).

    Crise après crise, la-dite conjoncture, nationale, européenne et internationale, s'est dégradé à un point telle que nous pouvons observer que, dorénavant, la moindre des décisions prises, la moindre des actions entreprises ne font que délabrer encore plus l'état des choses.

    C'est pourquoi je pense que nous sommes arrivés à ce moment catastrophique où la réalité, dans ce qu'elle peut avoir de plus grimaçant lorsqu'on ne tient pas compte depuis longtemps de sa nature, reprendra durement ses droits.

    Déjà, de nombreuses informations peuvent être perçues montrant, à qui veut bien l'entendre, que le système économique globalisé se désagrège.

    Ses quatre piliers, idéologique, monétaire, industriel/commerciale et ce qui soutenait l'ensemble, soit l'empire U.S., se fissurent de toutes parts.

    Et il est loisir, pour chacun d'entre-nous, de constater cette désagrégation de l'économie-monde sous ses quatre formes:

    1) l'effondrement idéologique;

    2) la perte de valeur des monnaies par leur surproduction;

    3) la désindustrialisation, la mise au chômage des peuples et l'arrêt concomitant du commerce international;

    4) la dissipation de la puissance étasunienne, l'affaissement des U.S.A. en tant qu'empire, voire la bientôt disparition de ce pays en tant qu'union.

    Pour cela, les outils que nous offrent internet sont centraux.

    Or, de paraître insatisfait, j'ai remarqué qu'en réalité les fantastiques chamboulements technologiques qu'a généré l'électronique et l'informatique jusqu'à aujourd'hui, ainsi que d'autres avancées, comme en médecine ou en science du vivant, ne furent que les prolongements de découvertes fondamentales, telle que la physique quantique ou la découverte du génome, qui se firent pendant une centaine d'années, soit entre le milieu du XIX° et celui du XX° siècle.

    Après cela, rien ou pas grand chose, si ce n'est que le développement de ces découvertes passées, mais sans chercher à les remettre véritablement en question, sauf, là encore, à de rares exceptions près, de personnes inventives souvent ostracisées.

    Pourtant, ce furent les continuelles remises en questions des savoirs de l'époque qui permirent ces remarquables découvertes fondamentales, ce fut parce que des personnalités telles que Messieurs Einstein, Marx et Pasteur questionnèrent les connaissances et les vérités de leur temps, qui leur permirent leurs magnifiques trouvailles.

    Il est à remarquer qu'il en est pareillement en science humaine, en économie notamment.

    Notre monde a changé et évolue encore à un rythme accéléré, les technologies nouvelles n'y étant pas pour rien, la vitesse des échanges, des transports, des communications ont chamboulé le monde d'une manière incroyable.

    Le fait que pendant dix ans environ ait pu exister un empire absolu (1991, fin de l'U.R.S.S., à 2001, krach technologique et attentat de New-York), celui des États-Unis-d'Amérique, que, contrairement à ce qui a pu se passer auparavant, celui-ci se soit bâtit, dès le début de la guerre froide, non pas par les armes mais par la culture et par la monnaie, ce qui était jusqu'alors inconnu (les empire coloniaux européens s'étant établis classiquement par des conquêtes armées).

    Le fait, également, qu'une virtualité (soit ce qui n'existe pas) quasiment palpable puisse exister, que ce soit sous forme de jeux, de modélisations scientifiques, de flux monétaires ou sous toutes autres formes encore, est là aussi d'une incroyable nouveauté.

    Les exemples de mêmes sortes sont nombreux mais nous sont invisibles parce qu'ils représentent la réalité présente.

    Pourrions-nous imaginer vivre sans électricité, sans eau courante chez soi, sans four miro-onde (je n'en ai pas), sans téléviseur (cela arrive chez certains), sans réfrigérateur, sans chauffage dans toutes les chambres, sans internet et ne parlons pas de l'ordinateur, sans automobile ou tout autre moyen de transport moderne, sans G.P.S., sans radio, sans téléphone, ...

    Pourrions-nous imaginer la société sans satellite, sans avion à réaction, sans machine à billet de banque, sans route goudronnée, sans plastique, sans feu rouge et panneau de signalisation, sans hôpital et son matériel ultra-moderne, ...

    Or, tout cela et beaucoup d'autres choses ont, pour les plus anciens, pas plus du siècle et demi, la plupart des personnes nées avant les années cinquante en France ont vécu sans.

    Songeons aussi que dans les années 70 vivaient 3, 5 milliards d'êtres humains quand maintenant nous en sommes à plus de 7, 3 milliards, ce fait est d'une importance capitale et est à mettre en parallèle avec nos chamboulements technologiques.

    Il est également important de penser que toutes les productions électriques, hormis celles dues aux barrages, viennent de machines à vapeur, qu'elles soient nucléaires ou fossiles (charbon, gaz, pétrole), vous imaginez-vous voyager en train à vapeur?

    Moi non, et pourtant personne ne sait encore tirer de l'énergie électrique autrement qu'en faisant chauffer de l'eau, si ce n'est celle hydroélectrique de ces mêmes barrages, ressemblant tout de même aux moulins à aubes.

    Et qu'en est-il des éoliennes qui ne sont que des moulins à vent munis d'une turbine.

    Quand aux panneaux solaires, ils sont l'une des résultantes de ces découvertes fondamentales en physique, celles des quantas...

    Je pourrais longuement égrainer la litanie d'une modernité qui, en réalité, n'en est pas tant que cela une, hormis, comme je l'ai dit plus haut, celle des communications, de l'électronique et de l'informatique.

    Ainsi la chimie, les propulsions, dont celle des fusées et des automobiles sont arrivés au maximum de leurs possibilités.

    La philosophie, le plus souvent, rabâche les mêmes antiennes dans un monde ayant largement changé, et parfois ne fait que vaguement jacasser.

    Les sciences de l'homme, celles de la matière, de la vie découvrent, c'est vrai, mais où se trouvent l'originalité, la réelle trouvaille, qui lit Madame Morgan et sa théorie d'une origine aquatique de notre humanité ou qui se penche sur la théorie des univers gémellaires porté par Monsieur Petit, plutôt que de bêtement les réfuter succinctement?

    Les arts également sont touchés par ce même travers du rabâchage et de la jacasserie, en exemple parmi tant d'autre, en musique, écoutez-donc James Brown et vous découvrirez que le rap existait déjà bien avant que l'on en connaisse le nom et Boris Vian faisait déjà de la musique planante 20 ans avant Pink floyd (personnellement j'écoute du classique, plus ancien encore, ce qui ne nous rajeunit pas, mais les compositeurs modernes manquent pour le moins de structure, ils font de la jacasserie, en quelque sorte).

    Quand à la pensée politique, elle ne patauge même plus, elle erre, sauf en Russie où y commence tout juste à en frémir d'un tout début de germination de nouveauté.

    Alors oui, si nous pouvons dire que notre société est moderne, ce n'est juste que grâce à des avancées technologiques dont les origines, parfois relativement anciennes, proviennent, pour certaines, de découvertes faites bien avant que la plupart d'entre-nous soient nés et datant, pour les autres, de nos arrières-arrières-arrières-grands-parents au moins.

    Le reste est du contemporain, d'ailleurs, c'est ainsi que se nomme notre époque.

    Voilà le diagnostique que je pose sur la réalité de notre modernité: elle butte sur une montagne de conformisme et de conservatisme tout en se pensant moderne pour avoir adopté des mesures comme le mariage pour tous, qui n'était que la résultante de l'abandon du mariage par les couple mixtes, ou pour courir derrière des avancées technologiques qui, à un moment donné, n'ont fait que miniaturiser les machines.

    Quand à l'économie et à la politique, nous retournons comme d'un seul homme à ce qu'elles furent au XIX° siècle, toujours dans l'idée que cela fait moderne.

    Ce diagnostique n'est en rien celui d'un déclin, les bouleversements technologiques et sociologiques furent tel que nous n'eûmes pas le temps d'en appréhender les dimensions, voilà la raison d'être de ce texte, déterminer nos difficultés présentes.

    Ainsi, la monté de l'égalité entre l'homme et la femme, provenant de leur instruction partagée et de la compréhension plus ou moins consciente que l'intelligence est asexuée (contrairement au reste de leurs différenciations biologiques), fit que le mariage, rite ô combien féminin pour conserver au sein du foyer cet homme naturellement volage, nécessaire pour une éducation harmonieuse de l'enfant, perdit progressivement sa raison d'être et, dès lors, de sa légitimité.

    De même, les montées en puissances des technologies informatiques accélérèrent les vitesses des flux de capitaux, rendant de plus en plus difficile leur contrôle par les états, ce qui permis à leur détenteurs d'acheter une part grandissante du personnel politique, ce qui ne peut qu'aboutir à un effondrement économique catastrophique d'échelle mondiale comme j'ai pu le détailler.

    Et nous pouvons également réfléchir à cet affaiblissement continuel de cet empire U.S. qui sut, d'antan, formater, par sa monnaie et par sa culture, une majorité des esprits de ce qui fut l'Europe de l'ouest de telle sorte qu'aujourd'hui un grand nombre de gens ne peut ne serait-ce qu'envisager sa monté en faiblesse, alors, sa disparition totale ne peut que leur être que ho

  • Ouf, la relève est prête.

    2008 fut une date charnière.

    Certes, il aurait fallu que le pouvoir politique de l'époque cassât les reins des banquiers et oligarques occidentaux qui nous avaient conduit au bord de la faillite généralisée.

    En revanche personne n'était prêt à prendre la relève, en France, d'un personnel politique déjà autant inapte qu'inepte, ni de pouvoir restaurer une économie nationale, européenne et mondiale déjà au bord de l’asphyxie.

    Ni même de remplacer ce fatras d'idéologues de tous poils, surtout journalistes, P1010194.JPGpolitologues et économistes qui, obéissants autant à l'oligarchie euro-atlantiste monétaristes qu'à leurs dogmatismes néolibéraux, ne cessent, dès que la population ne réagit pas de la manière qui leur sied à telle ou telle décision gouvernementale, de se ruer en meute dans les médiats porter leurs bonnes paroles en usant tous des mêmes expressions propagandistes.

    Nous en voyons et en entendons l'exemple type en ce moment même en raison des grèves, dont les chemineaux de la S.N.C.F. sont les fers de lances, qui, progressivement, semblent se propager partout dans le pays.

    Or, aujourd'hui, il est possible d'observer sur internet un ensemble de jeunes qui, contre vents-et-marées, seuls ou en équipes, quelques-uns dans l'indigence, montrent une détermination intelligente pour renouveler une parole journalistique indépendante de toute oppression oligarchique.

    D'autres font de la politique, à l'Union-Populaire-Républicaine ou à France-Insoumise (pas si insoumis que cela, pour l'instant), renvoyant l'oligarchie à leur asile pour vieillard, sinon dans les faits, du-moins, pour l'instant, dans l'esprit et le propos.

    Certains diffusent des cours de vulgarisation sur tel ou tel point scientifique, font des recherches sur des thèmes à peine abordés, remettent en question des vérités si établies que les reposer sur la table c'est faire preuve de provocation.

    Il y en a aussi qui rénovent un art qui, en ce moment, s'est égaré au-dedans d'une vulgarité dont nous pouvons percevoir les détestables effets jusque dans la production monétaire de l'Union-Européenne (observez les billets de l'union) et de notre nation.P1010202.JPG

    Et cette jeunesse, ma foi, me ravit.

    J'étais, jusqu'il y a peu, désappointé par le fait que seuls de vieux barbons, auxquels je dois commencer à ressembler  avec mes 59 berges, seuls eux, dis-je, paraissaient avoir une libre parole, une indépendance d'esprit, une dissidence aux influences à la doxa du politiquement correcte néolibéral.

    Il n'en est rien, cela est fort bien.

    Et je me réjouis de ce renouveau.

    Il est vrai que je peux être en désaccord avec tel ou  tel, ceux soutenant l'existence d'un réchauffement climatique anthropogénique par exemple, mais qu'importe, ils pensent par eux-mêmes et c'est cela qui compte.

    Qui sont-ils?

    Je ne rends visite sur leur site qu'à peu, mais en deux exemples:

    Une Tatiana Ventôse ou à l'équipe du "fil d'actu" auquel elle participe, dont l'attention est porté de renouveler un journalisme indépendant.

    Celle-ci devant faire un boulot de manutentionnaire pour gagner sa vie, ce qui ne peut qu'être considéré que comme dérisoire au vu de sa personnalité et de son intelligence et fait comprendre la colère qui l'habite.

    P1010257.JPGOu celle dont le pseudonyme est "Vue Autrement", travaillant avec celui qui s'exprime sous le surnom de "Penseur Sauvage", la première s'étant présenté aux dernières élections législatives sous la bannière de l'U.P.R..

    Il y en a bien d'autres que j'ai pu visionné sans retenir leur nom ou leur pseudo, traitant de toutes sortes de sujets et vraiment ils font du travail de qualité avec, il faut le souligner, très peu de moyens.

    Si j'ai un reproche à leur faire, il serait de deux ordres:

    Qu'ils cessent d'user d'un anglo-américain devenu d'une vulgarité criante puisque, justement, la politique suivit en France l'est en raison même de son appartenance à la colonie de l'empire U.S. qui se fait appelé l'Union-Européenne, la France n'étant, après tout, qu'à l'image du Vietnam au sein de l'Indochine de l'époque des colonisations française.

    Cet usage, inconscient, je le conçois, affirmant par là même notre appartenance impériale, se décoloniser doit d'abord et avant tout commencer par nous détacher de notre déculturation passée.

    Étant entendu que, dorénavant, la langue anglaise est devenue le langage international comme il en fut, par le passé, du latin en Europe.

    Toutefois, il est à noter que lorsqu'un tel idiome en est venu par être partagé par tous, les élites du moment, pour conserver leur domination, même simplement intellectuelle, en viennent à utiliser une autre langue d'échange, plus complexe et ardue à apprendre.

    Et quelle langue autre que le français réunirait ces conditions, autant de par son orthographie, sa conjugaison que de sa haute précision lorsqu'il en est fait usage dans ses plus complètes délicates subtiles difficultés?

    La langue française devenant déjà, à mon sens, la langue intellectuelle internationale par excellence, comme il en fut hier du grec en Europe en réaction à ce que le "commun" de l'époque en venait à devenir, lui aussi, latiniste.

    Qu'ils évitent, aussi, autant que faire se peu, d'utiliser de la grossièreté, cette inélégance réduit d'autant la porté de leurs réflexions journalistiques, philosophique que politique.

    Sinon, à tous les autres jeunes, s'il y a un conseil que je me permettrais de vous donner, si vous êtes dans la situation de faire des études prolongées, choisissez plutôt les domaines du type de ceux de la technique, des lettres ou scientifiques.... et fuyez tout ce qui a trait au monétarisme et au commerce.P1010269.JPG

    Le premier parce qu'il disparaîtra bientôt (sans que je ne sache quand), le second parce qu'il y a pléthore de vendeurs et de commerciaux et que, quand il s'agira de rebâtir un tissu industriel dans notre pays, le technicien, le tourneur-fraiseur, l'électro-mécanicien, le charpentier, l'ingénieur, l'agriculteur et infiniment d'autres métiers de la sorte seront demandés, contrairement à ceux sus-nommés qui, par la mode de l'idéologie actuelle, deviennent majoritaires sur les bancs des université.

    Et risquent de beaucoup de devenir pour partie inutile.

     

     

    THEURIC

     

    P1010327.JPG

  • Essai de réflexion sur l'angoisse contemporaine.

    Cette angoisse est multiforme avec un soubassement symbolique toujours semblable: celle d'une fin du monde apocalyptique.

    Ce sentiment profond et réel, en ce sens où, justement, le monde ancien, agropastoral, hérité et développé pendant dix à quinze mille ans en ligne directe du néolithique, disparaît en un chaos des sociétés humaines allant en s'accroissant, en nous mettant en face d'une modernité dont nous ne sommes que très peu adaptés.

    Mais dont nous tirons des bénéfices, surtout pour ceux placés au plus haut de l'échelle hiérarchique des nations qui, du fait même de cette angoisse, en viennent à détruire le fondement même des pays dont ils se devraient d'être les garants, en Union-européenne notamment.

    A cette angoisse existentielle vient s'y surajouter un stress social considérable d'une surpopulation doublé d'un accroissement de l'âge de la mortalité humaine dont aucune civilisation n'était prête à s'adapter.P1020443.JPG

    Ces formes symboliques sont multiples:

    -faux réchauffement climatique anthropogénique et CO² censément polluant, faisant oublier, de plus, les vrai sujets de préoccupations telle que l'existence des matières plastiques pouvant être remplacés, soit quasiment toutes, nous privant de leur existence d'un carburant dont nous avons bigrement besoin;

    -l'aspect indépassable, inéluctable et éternelle d'une construction européenne en réalité autodestructrice;

    -amour immodéré pour toutes les créations artistiques provenant des États-Unis-d'Amériques, même les plus désespérantes de sottises;

    -disparition fantasmé des civilisations humaines, occidentales, française ou autres en une détestation de soi autodestructrice;

    -destruction des milieux naturelles qui serait absolu bien qu'en vrai relatif ( il est vrai qu'en certains lieux il y ait de réels problèmes sur ce sujet );

    -perte d'un langage précis dans le milieu intellectuel avec souvent un emploi des mots à contresens et une acceptation sans évaluation préalable des croyances de P1020251.JPGl'époque;

    -perte des capacités de remise en question, de débat, de différent et de querelle dans les milieux scientifiques;

    -perte d'appréciation de la beauté à tous les niveaux sociaux;

    -inversion de sens de la notion de démocratie, de l'état de droit et de la séparation des pouvoirs et effondrement du sens du bien commun des élites des pays de l'union-Européenne et des U.S.A.;

    -baisse multidécennale de l'instruction nationale (on éduque un  chien mais on ne l'instruit en rien);

    -oubli presque général de l'économie réelle par les économistes dans leurs réflexions, au bénéfice, si je puis dire, des seules approches monétaristes et bancaires;

    -réduction admise, acceptée, des capacités de concentration et de lecture des  jeunes;

    -encensement par les hautes classes-moyennes envers les immigrés en un factice humanisme et violence policière importante appréciées, quasiment militaire, envers les populations provinciales françaises de souche.....

    Il nous est donc loisir d'observer à l'envie les multiples instabilitésP1020891.JPG psychosociologiques, dont je n'ai fait que montrer quelques exemples, que génèrent ces angoisses sociales inconscientes,  et qui, plus que toutes autres, ébranlent et désorientent les classes sociales les plus hautes.

    Vous remarquerez de plus que nombre de ces faux sentiments sont paradoxaux et grandement visibles, le plus saisissable étant ce rejet des gilettistes, leurs semblables, et ce faux humaniste envers les immigrés en un doudouisme faisant montre d'un racisme irréfléchi.

    Cet ensemble de phénomènes, établi en une liste non exhaustive, loin de là, est la résultante de cette angoisse qu'il est possible de définir comme anthropologique.

    C'est bien parce que la-dite angoisse est inconsciente qu'elle mène à de tels fantasmes & débordements.

    Mon but ici est donc dès lors de ce que le plus grand nombre de gens adopte une conscience pleine et entière d'un processus de délitement mental et sociétal qui, lui, peut nous mener au chaos, ceci pour que cette conscience en devienne collective.

    Cette détestation de Soi mène à ce que à force de répéter que l'Homme est mauvais il le redevienne.

    Qu'à force de répéter que l'Humanité est un cancer pour la nature que celle-ci ne soit dégradée encore plus.

    P1020094.JPGQu'à  force de nous seriner que les immigrés sont de pauvres malheureux, ce qui est le plus souvent vrai par ailleurs, tout en oubliant que les provinciaux font face à de mêmes difficultés, c'est de préparer le terrain de haine inextinguible à leur endroit.

    Que si les journalistes, chroniqueurs, personnel politique et les 3/4 des classes-moyennes les plus hautes, européistes et eurolâtres, cessaient de croire et de faire croire à cette fausseté de dire notre pays et l'Union-européenne comme étant de réelles démocraties dotées d'une séparation des pouvoirs et d'un état de droit, cela leur permettrait d'éviter à ce qu'une révolution les mette en grand danger de mort puisque un tel évènement remettrait en cause et à bas les institutions de l'état.

    Ce à quoi il serait fortement possible que la famille Rothschild songe après la signature du traité d'Aix-La-Chapelle entre Macron et Merkel.

    Il serait ainsi infiniment mieux de laisser parler et débattre dans les médiats les représentant de l'U.P.R. et à ce que l'article 50 de la pseudo constitution européenne, définissant la sortie légale et apaisée de l'U.E., soit largement évoquée, ce qui permettrait une quiète séparation de notre pays de cette union, soit voulu par les urnes, soit en raison de la disparition de la-dite union, ce qui se ferait ainsi sans cri ni heurt, tout au plus certaines personnalités devant faire quelques années, voire décennies de prison bien méritées.

    Ainsi, plus qu'en Occident, en France nous avons déjà un double défi à relever, éteindre l'incendie de croyances obtuses et sans grand sens qui nous empêche d'avancer et faire croitre une vision apaisée de notre espèce qui, quoi qu'il en soit,P1020067.JPG est, à mon sens, d'une dimension sans égale.

    Et peut-être est-ce là que se trouve l'angoisse primordiale qui nous anime en ce moment, nous ne voyons, en la rejetant, que la bête qui s'agite en nous sans vouloir percevoir le sage qui lui aussi s'y sommeille.

    Or, à force de ne contempler que la bête il n'est que de risque qu'elle ne se réveille, et peut-être bien qu'elle s'étire déjà en baillant, et non pas du seul ennui.

     

    J'y rajouterais un mot:

    Aux scenarii que j'avais pu précédemment vous proposer d'un effondrement plus que probable du système économique mondialisé, j'ai réalisé qu'il y en avait un que je n'avais pas envisagé et qui, pourtant, pourrait se révéler probable.

    Cette autre possibilité serait que nous n'assisterions pas à une brusque cessation de fonctionnement de ce système, ni à un effet de domino rapide, U.E. d'abord suivit par les U.S.A., l'Amérique-du-Sud, les pays d'Afrique puis d'Asie, mais plutôt à ce que ce soit la politique qui l'y mènerait en un mécanisme s'étendant sur des années.

    P1020040.JPGEn ce cas ce serait l'évanouissement de l'Union-Européenne par la sortie progressive des pays la composant, la France sûrement la seconde après les britanniques, qui mènerait à un recul de cette crise économique en même temps que s'amplifieraient les instabilités politiques de l'empire U.S. et au morcellement de l'Allemagne.

    L'Europe, en tant que région du monde et non plus d'union, retrouverait dès lors progressivement un dynamisme économique par la fermeture semi-poreuse des frontières de chacune de ses nations, comme le fait la Suisse, mènerait à ce que les pays hors ouest-eurasiatique obtureraient de la même manière les leurs.

    Ce serait dès lors les fragilités bancaires et les hyper-productions monétaires qui conduiraient, suivant cette idée, à un effondrement lent de la sphère économique internationale.

    Si nos grands argentiers mondialisés n'étaient pas trop sots, pour leur survie économique, quoi qu'il en soit restant momentanée, la sortie de la France de l'U.E. et la disparition modulée de cette dernière devrait être leur objectif commun, sachant toutefois que nombre des oligarques et banquiers français se retrouveraient dès lors embastillés s'ils restaient en ce pays, ceci en raison de leurs malversations.

    Si les événements se passaient de la sorte, nous aurions infiniment moins à souffrirP1020112.JPG de la sortie de l'U.E. et nous pourrions ainsi rebâtir un tissu industriel, agricole, voire minier cohérent infiniment plus rapidement, dans les cinq à sept ans suivant notre France-quitte.

     

     

    THEURIC

  • Je fais une pause.

    Comme il m'arrive de le faire et parce que mon intuition me le conseille fortement, je fais une pause.

    Celle-ci durera un mois environ, il s'en passera des événements d'ici là, mais la prudence m'enjoint d'agir ainsi.

    Comme le dirait un chat, à la miaou, te.

     

     

    THEURIC

    P1040967.JPG