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Rechercher : un économiste pour moi inconnu

  • Surmoi, narcissisme et sentiment de toute puissance.

    Nous ne sommes rien si nous nous pensons être tout.

    Tout autant à ce que la société dedans laquelle nous vivons aussi que ce que nous vivons ait du sens, ce sont les limites en toutes choses bien comprises qui peuvent nous permettre, en cherchant à les dépasser, de grandir, de nous épanouir.

    Et cela a un nom, le surmoi et ses deux instances sociales que sont la morale et l'éthique, le premier désignant ce qui est bien et mal dans l'action sociale du tout les jours, le second relevant de ce qui est, dans ses choix, collectivement constructeur ou destructeur, au sein d'un corps social quelconque de toutes dimensions, surtout professionnel.

    La question n'est pas dans le fait que l'individu soit aujourd'hui reconnu en tant que personne, cela est définitivement posé et fait parti, dorénavant, de nos évidences partagées.P1030727.JPG

    Bien qu'il subsiste de très larges part d'ombre là-dessus fortement hypocrite, à l'exemple du: "Il y a ceux qui ne sont rien et ceux qui sont tout..." d'un Emmanuel Macron souffrant d'un infantilisme forcené.

    Cette reconnaissance là est d'importance dans notre modernité, du-moins elle ne doit être en rien empreinte de ce même infantilisme.

    La question, dès lors, se trouve à se poser de nos responsabilités envers nos semblables, donc de ce que l'on peut faire et ne pas faire en société.

    Tout autant que de comprendre que ce n'est pas ce surmoi, la morale qu'il nous faudrait dissoudre, dont nous ne devrions plus en être astreint, de comprendre que cette amoralité ne peut être le fait que de personnalités psychiquement instables.

    De saisir en plein que pour pouvoir nous développer, tant individuellement que collectivement, il nous faut savoir mettre momentanément en veilleuse ces mêmes interdits, de devoir être ponctuellement un instant dans l'inconvenance, en en conservant toute conscience, le temps, pour nous, d'être dans un processus d'invention, de création et de découverte.

    P1030699.JPGEt puis, n'y a-t-il pas plaisir, par exemple, à être dans l'humour grivois au risque d'une lourdeur rigolarde entre gens de bonne compagnie, grisés d'un doux breuvage alcoolisé?

    Or et j'y reviens, c'est la pensée correctement développée qui, en aiguisant nos capacités d'observation par son effet de développer notre conscience et, par delà, notre intelligence qui, à la suite de l'éducation de notre enfance, verra morale et éthique complétés tout au long de notre vie;

    D'en trouver tout autant leurs limites pour éviter un carcan trop pesant nous empêchant toute création et découverte.

    Ainsi ne découvrirait-on pas que si, ce qui existe de fait et pourrait être observé et que nous ne voyions pas, aveuglé par cet interdit de ne pouvoir voir la nouveauté, nouveauté qui se révélerait en nous dès que nous remettrions en question les connaissances de l'époque en écartant pour un temps ces mêmes interdits?

    N'en serait-il pas de même pour toute réelle création et œuvre artistique?

    Plus encore, si ce surmoi se trouve trop affaibli, si nous nous retrouvons à n'avoir que trop peu de ce sens de la limite, nous nous serions mis de fait au-devant d'un vide de nous même nous empêchant plus encore de concevoir la possibilité desdites nouveautés et créations.P1030701.JPG

    De plus, comment pourrions-nous apprendre, comprendre et être curieux si notre surmoi ne nous imposait pas d'être attentif au monde pour recueillir tout cet entendement en notre cerveau comme une sorte de réceptacle mental, comment le verre pourrait-il être rempli si son fond est percé?

    Comment sinon notre cognition pourrait-elle être effective?

    Il ne s'agit pas là de gaver comme une oie sa mémoire de savoirs incompris mais bien plutôt de saisir au mieux ceux-ci pour ensuite le reformuler en soi pour développer une pensée éclairante, de se le rendre utile et utilisable à vie.

    De plus, comment pouvoir Être si nous ne mettons pas de barrière entre le Moi et le Nous, si nous ne savons pas faire preuve de ce tact posant le respect dû à autrui, de le reconnaître en tant que tel?

    Comment pouvoir être vraiment à l'écoute de notre vis-à-vis sinon?

    Ce qui n'empêche en rien une provocation douce, légère, si la nécessité s'en révèle, ni même la colère légitime.

    La pensée a un  absolu besoin de cette limite, c'est pourquoi, pour être déterminé tant dans le temps, dans notre être comme dans nos actions, il nous faut savoir ce P1030739.JPGqui est bien et ce qui est mal en comprenant les raisons d'être desdites limites, de ce que l'on doit, l'on peut faire ou ne pas faire.

    Tout comme la maison a besoin de murs et d'un toit pour exister, pour y loger et y vivre.

    Sinon nous nous annihilerions dans un angoissant bâillement d'ennui avec, pour seuls viatiques d'existence, en un narcissisme et un ego dévoyés remplissant ce vide béant, prenant forme d'une méchanceté multiforme et difforme doublé du partage d'un monde imaginaire avec tous ceux qui, similairement que nous, se trouveraient à ne pas avoir cet obstacle à surmonter qu'est cette clôture sociale: le surmoi.

    Si ce ne sont pas les anxiolytiques, les drogues, l'alcoolisme et toutes les autres pulsions autodestructrices qui ravagent tant les corps que les psychismes, prenant la place de notre Être pour oublier de ne savoir qui être.

    Parce que le suicide est l'acte social ultime de se sentir, à tort ou à raison, rejeté par la société, mais toujours d'être socialisé, est encore le signe d'existence d'être Soi en tant qu'Être sociale.

    Quand, à l'inverse, celui qui ne se sent plus, ne se sentit jamais avoir été Soi-même ne se suicide pas mais vivote dans son vide de vie puisque n'ayant pas en lui-mêmeP1030708.JPG cette enceinte mentale déterminant sa réelle socialité.

    De se sentir, même entouré de monde, même d'être en famille, mais seul, terriblement seul de ne pas savoir ce qu'est qu'être Soi, de ne savoir pas reconnaître en cet autre comme étant autant semblable que différent que Soi.

    Ô il est vrai, d'avoir l'impression, le sentiment de ne pas avoir de limite en rien peut donner la sensation d'être tout puissant, mais toujours, toujours la réalité rattrape le quidam ayant cette perception plaisante, fausse et infantile.

    Chacun en effet sait ou apprend que ce n'est pas de savoir agir et penser d'une sorte, sur un sujet, qui peut vouloir dire de pouvoir le faire d'une autre sorte, d'un tout autre sujet, c'est en cela aussi que de reconnaître ses forces et ses faiblesses, ses facilités et ses difficultés, ses facultés et ses impuissances, montre à chacun d'entre-nous ses propres limites: personne n'est tout puissant, personne ne sait tout faire, jamais.

    C'est en cela que nous sommes tous complémentaires.

    Du-moins faut-il pour cela réduire autant que faire se peut un quelconque complexe d'infériorité (j'en sais quelque chose) que d'un hubris plus néfaste encore.

    P1030699.JPGLe savoir-vivre, la bienséance, la délicatesse, la vertus, la finesse, l'élégance.., voici six de ces maîtres mots désignant la noblesse, autant celle du cœur que de l'esprit, qui ne doivent en rien faire oublier la rigueur de la réponse à toute forme d'agression.

    Cette noblesse ne désigne plus une aristocratie, ce gouvernement des meilleurs, depuis plus de deux siècles, mais celles et ceux qui sont d'envie de devenir au mieux Être Humain en parcourant le chemin sans fin de ce devenir.

    N'est pas obligatoirement noble celui et celle au plus haut de la hiérarchie sociale, ce serait presque une forfaiture que de le croire, une terrible erreur, cela ne dépend pas non plus d'un quotient quelconque, intellectuel, émotionnel ou autre.

    Il s'agit juste de savoir qui nous sommes, de l'identité de authenticité de notre entité, de se comprendre en Soi, du-moins de se vouloir être dans cette dynamique là, aussi que  de connaître les règles sociales qui nous animes, de les respecter autant que de savoir y déroger avec toute la raison nécessaire.

    ( Notre monde n'est pas fou, il a juste sa structure interne terne devenu incompréhensible par l'égarement de ce que peut vouloir dire en France d'être français, en Pologne d'être polonais, en Chine d'être chinois, en Espagne d'êtreP1030738.JPG espagnole, en Grande-Bretagne d'être britannique, en Californie d'être californien, en Allemagne d'être allemand..., en Europe d'être européen, ce dernier n'étant ni un pays, ni un état, ni une nation, mais juste une union décidée par la thalassocratie impériale étasunienne.

    Souvent, si nos gouvernements ne savent pas ce qu'ils font c'est parce qu'ils ne savent pas qui ils sont, plongés qu'ils sont dans leur sentiment de toute puissance et dans leur monde imaginaire, seuls, ensembles, parce que indéterminés par leur manque cruel de limite.

    Leur narcissisme et leur ego blessés d'une incommensurable boursouflure venu de ce vide du manque de démarcation, de frontière, psychique autant que physique, les rendant, de plus, totalement aveugles à eux-même et aux autres, dans la plus totale incapacité de pouvoir se projeter dans le temps, ne pouvant pas conceptualiser les effets de leurs actions passées autant que présentes.

    Et, comme des gamins capricieux, accusant les autres, n'importe qui, de leurs propres manquements et grandes insuffisances.

    S'insinuant, de plus, au sein de leurs groupes, quelques malfaisants pervers, au narcissique dévoyé et malade, les enfonçant toujours plus en leur croyance fausse en P1030688.JPGleur inégalable efficience.

    Je ne les excuse en rien mais juste pense tenter de donner du sens à ce qui semble ne pas en avoir. )

    Ainsi nous faut-il autant cultiver notre pensée que notre détermination en déterminant au mieux nos limites, notre façon d'y déroger, tout en définissant au mieux notre identité individuelle et collective.

    Ce n'est pas seulement notre monde qui attend que nous recouvrions notre intelligence, c'est l'univers qui, lui, attend de nous que nous le découvrions en son infinie aventure.

    Parce que que peut être l'Être Humain si l'aventure ne lui tend pas les bras, sinon qu'une ombre, l'ombre de lui-même.

    Et que peut-être la noblesse sans cette double aventure, celle de la découverte de l'infini de l'univers et l'infinité de ce que nous sommes nous-mêmes?

    La noblesse ne se trouve plus en l'aristocratie mais  peut émerger en chacun d'entre-nous, et de cette noblesse découverte, la sagesse nous guette.

     

     

    THEURICP1030739.JPG

  • Auriez-vous dit élections?

    Avant-Propos:

    je peux donner l'impression de me répéter sur différents sujets quand, en réalité, je les explore sous des angles divers.

    Ici il s'agit de la fausse écologie qui a remporté une victoire à la Pyrrhus lors de ces élections municipales.

    Posant mes réflexions sur sa nature, je ne peux que me répéter autant en ce qui concerne l'union que du réchauffement climatique anthropogénique, entre-autre.

    Je peux, lors de cet avant-propos, donner le sentiment de me justifier quand je ne fais que d'anticiper un possible compréhensible agacement de votre part, amis lecteurs.

     

    Le problème d'une période telle que la nôtre, pour les dirigeants quand ils sontP1040752.JPG stupides, c'est que les porteurs de nouvelle mentent pour éviter de perdre leur emploi et, ce, avec raison (il y a quelques bons siècles ils auraient été tués, c'est ça la modernité, auparavant c'était la mort physique, aujourd'hui elle est sociale).

    Ainsi, si les équipes de Messieurs Macron, notre godelureau national, & Philippe, qui recherche son Havre de paix, une ville c'est plus simple qu'un pays, ont annoncé l'organisation d'un "forum de l'écologie" qui rendra sa copie dès la fin des élections municipales, c'est parce que les instituts de sondage avaient bien relevé que les écologistes gnangnans et leurs petits toutous de ce qui fut la gauche y remporteraient dès lors un joli score.

    Mais les-dits instituts avaient-ils également relevé la très faible future participation à ce deuxième tour?

    Je ne le pense pas.

    Son taux ne fut que de 41,6% quand cette votation fut de tous temps, au regard de toutes les autres, celle où l'abstention fut la plus faible

    Or, désormais, c'est cela qui importe.

    Que 58,4% des électeurs, soit une écrasante majorité, ne se soient pas déplacés pour ce devoir civique ne pouvant que démontrer combien la population ne croit plus guère au magistère des partis politiques officiels, voire même les rejettent.

    P1040811.JPGCeci sans compter les personnes qui, comme moi, vivant dans une ville moyenne, préférèrent voter soit pour quelqu'un de sérieux qu'elles connaissent, soit pour le maire précédent, soit, comme je l'ai fait, en jaugeant la personnalité de chacun suivant la photo des prétendants sans grand faire cas du parti politique de celui ou celle choisi.

    Tout ceci signant, à mon sens, une bientôt recomposition politique du pays.

    Alors, pourquoi donc les écolo gnangnans ont-ils remporté un tel succès?

    Simplement parce que les plus crétins des électeurs ce sont, justement, les écologistes et, en raison d'un même manque cruel de jugeote de l'équipe gouvernemental ne prenant pas en compte là où se trouve la réelle majorité, elle croit collectivement que la France entière suit aveuglement les préceptes stupides, ruineux, polluants et potentiellement meurtriers d'EELV et de ses bons toutous.

    (Pauvres communistes et faux insoumis, traîtres de leur cause!)

    -Parce que de croire ou faire croire qu'il est possible de réformer une Union-européenne triplement verrouillée, institutionnellement, idéologiquement et politiquement ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire qu'il est possible de mener une quelconqueP1040902.JPG politique nationale et souveraine au sein de l'union, quand celle-ci, dans lesdits traités irréformables, prône une concurrence libre et non faussée, ainsi qu'une libre circulation des biens, des capitaux et des personnes, ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire cette fausseté qui est que les éoliennes, les panneaux photovoltaïques et les batteries sont non polluants tant en fabrication qu'en démantèlement, sans vouloir savoir que ces moulins-à-vent tuent oiseaux, insectes et chauves-souries (eux qui se disent préoccupés par la baisse de la bio-diversité, cherchez l'erreur), ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire que ces énergies intermittentes peuvent largement remplacer les centrales nucléaires sans hausse du prix de l'énergie importantes, ce qui est factuellement faux (l'Allemagne et le Japon en étant les deux exemples) forçant de fait les gens à se chauffer moins, voire de ne plus se chauffer (ce qui est déjà le cas par ailleurs mais ce qui accroîtra grandement ce phénomène) en remettant en cause la salubrité des habitations en hivers et donc augmentera la mortalité de tous, même des enfants, et menant à des crises épidémiques, ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    -Parce que de croire ou de faire croire que le gaz carbonique produit par l'Homme P1040740.JPGserait polluant et réchaufferait l'atmosphère nous conduisant à une catastrophe est, là encore, factuellement faux, autant parce que:

    I)-Nous nous dirigeons vers un refroidissement climatique dû à la diminution de l'irradiance solaire;

    II)-Nous avons un réchauffement du noyau de notre planète, augmentant de un degrés la température globale des océans, ce qui est énorme, même à grande profondeur (ce que l'atmosphère ne peut faire), produisant un dégazage de ce CO2 et ne pouvant qu'accroître leur évaporation, les séismes et les éruptions volcanique à terme;

    III)-La végétation n'a pas suffisamment de ce CO2 pour croître convenablement, plus de ce gaz ne pouvant que conduire à une production agricole supérieure, permettant de fait de mieux nourrir les populations (il serait sain de doubler son taux, vive l'essence, à-bas le sac plastique);

    IV)-Un réchauffement climatique, un optimum climatique, a toujours conduit historiquement à un meilleurs niveau de vie des peuples et à son dynamisme, son refroidissement, un mini âge glacière, à une diminution du nombre de ses habitants par les guerres, famines et pandémies, que les écolos gnangnans soient conscient qu'ils peuvent mener au massacre des populations;

    V)-Les océans et les mers froids absorbent le CO2, les périodes glaciaires, pour relâcher ce gaz lors de leur réchauffement, les périodes interglaciaires dont nousP1040863.JPG sommes depuis environ 15 000 ans, étant entendu qu'ils ont une inertie calorique très importante se comptant en millénaires;

    VI)-Le taux de CO2 actuel est de 416,21 PPM, soit parti par million (416,21 sur 1 000 000), de molécules atmosphériques, cela va de soit, ce qui donne en pourcentage, en en retirant quatre zéro et donc en divisant par dix mille, 10 000: 0, 041621%, ce qui est ridiculement bas (hier j'avais dit à des dames que c'était 0,4...%, leur donnant mon pseudo pour qu'elles trouvent mon site, d'où cette correction).

    Vous remarquerez que sur ce site officiel le pourcentage n'y est pas donné, demandez-vous donc pourquoi cela.

    Sur celui-ci est indiqué que ce taux d'aujourd'hui est le plus haut depuis le pliocène, il y a environ 3 millions d'années, sans que ne soit donné le chiffre de l'époque, soit juste avant le début des grandes glaciations à l'échelle géologique, à la limite pliocène/quaternaire il y a environ, là encore, 2,59 millions d'années.

    Remarquons également que, en toute bonne cohérence, pour les raisons expliquées plus haut, la première glaciation du début du quaternaire ne pu se faire que lors d'une période chaude, dès lors que la hausse et la baisse dudit taux suivent toujours et ne précède jamais les réchauffements et les refroidissements.

    P1040783.JPGC'est pourquoi j'affirme que de croire ou de faire croire à ces élucubrations ne peut qu'être que le fait de menteurs, de naïfs ignares ou d'imbéciles;

    VII)-comment voulez-vous avoir confiance en ce qu'il se dit à la télévision où les invités sont choisi pour leur suivisme aux dogmes obligés, où ceux qui les remettent en question sont injuriés, ceux qui les remettent en cause, invisibles des médiats, ne sont pas invités et où, quand ne se fait pas silence des informations importantes, celles-ci sont caviardées en y contant l'inverse de la réalité?

    Notre problème étant que la science, tout comme il peut en être de toutes les autres institutions sociales, dont celles, entre-autre, dédiées à la politique, au journalisme et aux arts, sont phagocytés par un cancer sociétal: le monétarisme néolibéral, ceci accompagné de divers productions inconscientes telles que celles que déversent ces écologistes de pacotille: le réchauffement représentant l'enfer du diable, devinez qui il est, et la chaleur notre colère.

    Ainsi, qui de ceux nommés des végans parce que végétaliens (à ne pas confondre avec végétarien provenant de la philosophie platonicienne), savent-ils qu'Hitler s'y adonnait aussi?

    Et qu'à son début le nazisme prônait le retour à la nature, honorait l'animal et vénérait la jeunesse?P1040910.JPG

    Les écologistes politique extrémistes savent-ils qu'ils sont de cette filiation là, eux se disant de gauche?

    Je ne suis en rien contre l'écologie, qu'elle soit scientifique, sociale comme politique, mais il est patent qu'elle ne doit en aucun cas être sujet à des croyances mais s'appuyer sur des sources sérieuses qui, cela est un fait, s'amenuisent ou, sinon, sont conçus pour faire croire l'inverse de la réalité pour coller aux doxas (év)angéliques que l'on veut nous faire ingurgiter.

    Bien entendu que de ne plus utiliser de sac en plastique ne peut qu'être que bénéfique, de ce que les produits chimiques se doivent d'être analyser de manière honnête et neutre et non pas au bénéfice de je ne sais quels intérêts géopolitiques ou économiques comme en ce moment.

    Sachant de plus que la nature sait parfaitement générer de la pollution et qu'il existe un très grand nombre de plantes toxiques et  vénéneuses, pouvant détruire, de plus, ses voisines, plus même que de champignons dangereux ou mortels.

    Un écologiste affirmé qui n'a pas de connaissance scientifique étendue traitant de tous les sujets qui y seraient liés ne peut qu'être qu'un imbécile ou un petit profiteur.

    P1040871.JPGCelui de ceux-là qui a un vélo ou une auto électrique sans se demander si le pays à la capacité de produire suffisamment d'énergie pour tous ses semblables et le degrés de pollution nécessaire pour fabriquer et retraiter chaque batterie est un âne, comment donc pourrais-je le dire autrement?

    Quand à ceux qui ne savent même pas la dangerosité des éoliennes pour toutes les faunes ailées, sans qu'ils ne prennent en compte les effets qu'elles ne peuvent qu'avoir sur les mouvements de l'air, soit de dérégler et déréguler le vent, voire, si  elles sont trop nombreuses, le climat, tout en réclamant une stabilité du milieu naturel, quand tout cela se déduit logiquement, qu'en penser?

    Et je me moque comme d'une guigne de savoir le milieu social, culturel et le niveau du cursus de chacun...

    Ainsi, il ne sert à rien de répéter en mantras ce qui est colporté par la propagande médiatique qui, cela est aussi grandement visible, raconte n'importe quoi suivant les intérêts de leurs donneurs d'ordre, mais il faut apprendre à penser par soi-même.

  • Le mur de Pierre et autres galéjades.

    Il me semble, chers lecteurs, que ces poème vous nécessiteront un travail de décryptage, le sujet traitant du mur qu'il est toujours possible de contourner ou gravir d'une manière ou d'une autre.

    Écrits il y a de cela d'années passées, je les republie maintenant, accompagné d'un nouveau, ceci sentant le vent tourner.

     

    Bonne lecture, amis lecteurs.

     

    Disposer de l'âme d'autrui par machinerie

    C'est de s'indisposer

    L'esprit.

     

    Aux superbes d'importance

     

    Voici que par trois fois mon  âme sensible

    Perçut, en bel instinct, le risque d'aléas

    D'algorithmes voyeurs m'en faisant la cible,

    De quelconque guêpier, peut-être lauréat.

     

    Ces triples recensions séant, ma foi, le requiers: 

    D'opprobre de ceux-là dont je conte la course

    De leur saugrenuité au fiel ordinaire 

    Minant tous les péquins, flétrir leurs ressources.

     

    Le doigt de l'index, là, sur toutes proses posé

    Nous mène qu'à gauchir cette Anastasie,

    De tâcher bien faire net en traits déposés

    Pour pourvoir en plis ce risque d'aphasie.

     

    L'automate se perd en ces mots si retords,

    Le cuistre s'égare de son impéritie:

    Ce dédale ci façonne pléthore

    De termes abscons en très larges glacis.

     

    Du bon mot, contrepet et autres à-peu-près,

    Boutades, galéjades ainsi qu'évocations 

    Ne peuvent que vaquer, de trames aux apprêts,

    A clamer, manifeste, humeur, rescisions.

     

    Je rime en quatrain, une geste malicieuse,

    Ce verbe si désuet pour empaumer le fat,

    Sentir ce baragouin est action malgracieuse, 

    D'entortiller ces buses, mais quelle nouba!

     

    PS: Sans être un sonnet en est alexandrins.

           Vous est recommandé le dictionnaire en main.

                                                 ...................................................

     

     Quand on a plus que patates

           Pour toute votation,

    Il n'y a plus que cornichons

     

     

     

    Le vote des légumes

     

    Dans le potager d'une humble chaumière,

    Une élection s'y fait affin d'élire

    Quelle plante parmi celle à choisir

    Serait la plus belle, serait première.

     

    Toutes en sont à extrapoler en son mieux

    Celle qui, de ces fruits, aurait le plus beau bleu,

    Celle qui, lors, serait d'un bleuir si radieux.

     

    Elles furent deux premières, morbleu,

    Ni persil, ni radis, ni chou, si chatouilleux,

    Ne surent arbitrer ces produits fabuleux.

     

    Ce fut le bel azur d'un cucurbitacée,

    Un beau pied de courge qui en reçut ce prix

    Et un framboisier d'un cyan qui surprit.

    L'humus qu'ils obtinrent fut leur panacée.

                                                          ------------------------------------

     

    D'une raillerie facétieuse

    J'en fis cette fable

    Narquoise et affable

     

    Le paysan et les grandes oreilles

     

    Jamais de machine ne doit faire sa loi,

    Nul humain ne doit lui obéir:

    Voilà qu'une affaire ayant beaucoup fait rire

    Montra, de sa raison, le vrai de son éclat.

     

    En province lointaine du monde parisien,

    Là où vit encore le fermier ancien,

    Un rural habitant, humble cultivateur,

    Voyant frimas venir, s'amener la fraîcheur,

    Voulu faire un stock de bois de chauffage.

    En allant rechercher ses quelques outillages,

    Il prévint sa femme vers où il cheminait,

    De son bigophone, il lui téléphonait:

    "Voici, mon adorée, je me rends en scierie."

    Aussitôt raccrocha et chemin poursuivit,

    Ne pensant pas à mal, de cette courte phrase,

    En échanges communs des rives ardéchoises.

    Lors, dans quelques coins aux obscures secrets,

    Un computer vaste, juste un grand objet,

    Machine sans esprit et sans intelligence,

    Servant à écouter malandrins et engeances,

    Assassins, criminels et autres scélérats,

    Mais parfois, tout autant, ceux qui gène l'état,

    Confondit, sans âme, le nom de l'établi

    Avec l'autre, lointain, celui de ce pays

    D'où se réclamaient les auteurs de tueries

    Et d'une religion trahie par ces sicaires:

    Syrie ou bien scierie, le son est similaire...

    Et voici que le robot alarma tout à trac,

    Sans que nul ne saisisse cet absurde couac,

    Le ban et l'arrière ban de la maréchaussée,

    Aussi les pandores et autres policiers.

    L'homme désigné des foudres automates

    Se retrouva séant en sombres casemates

    Par des gendarmes honteux demandant l'indulgence

    A celui qui, des heures, vécu cette démence.

    Si peu d'écho se fit de cette rigolade:

    Les agents remisèrent leur panier à salade

    Et leur hiérarchie furent d'infinies pudeurs,

    Jurant, je l'escompte, d'être seuls commandeurs

    Du simple instrument de télédétection,

    D'espionnage et autres intoxications.

     

    Une machinerie, quelque-en soit sa puissance,

    N'a pas de jugeote et aucune vaillance:

    De la vouloir humaine est là faute bien grave,

    La vouloir plus qu'humaine c'est s'en faire l'esclave!

                                       --------------------------------

     

    Le renouveau est chansons

    De l'aube au couchant

    Éternellement

     

    Le printemps

     

    Voilà, le soleil montre son visage,

    Haussant son zénith en son suave réveil,

    Délaissant les frimas en vagues usages

    Il échauffe le temps, la terre, la fleur et l'abeille.

     

    Dedans de chez moi j'entends bruire gentes ailées,

    Pépiant à qui mieux-mieux en un joyeux regain.

    Qui construit son nid, qui cherche l'arbre percé,

    Briguant leur possession en ces si beaux refrains.

     

    Les ventres gros des bourgeons laissent deviner,

    Des arborescences aux moindres arbustes,

    Les feuillages futurs, les fleurs bientôt nées,

    Plein de promesses d'une vie robuste.

     

    Au ciel se perçoit chanter les oies qui rentre

    De leur lointain voyage tout au loin au sud,

    Elles volent et chantent comme d'enjoués chantres

    Heureuses de rallier l'aire d'habitude.

     

    Hommes et femmes délaissent leur lourds manteaux,

    Les belles dévoilent leurs ronde sublimes

    Aux messieurs extasiés de tant de douces peaux

    Que peignent ces habits que leur pas animent.

     

    Les amoureux s'émeuvent de leurs chauds baisés,

    Main dans la main cheminent de même foulée,

    Ont corps léger des éteintes apaisées

    D'une nuit secrète de passion étoilées.

     

    L'hiver s'est absenté le printemps revenu,

  • A la recherche du sens perdu.

    Avant-propos:

    Je n'émets pas de théorie ni n'effectue de travail théorique, je fais de la philosophie en tant que penseur brut, ce qui est tout à fait différent mais qui, aux horizons de la bêtise ambiante, sont tous trois confondus, nous ne devons absolument pas, de plus, les confondre d'avec la technologie qui est, elle aussi, différente de cet ensemble:

    -Une théorie est la résultante d'un travail scientifique en amont, parfois durant des décennies, faite de recherches par divers moyens suivant la science dont il est sujet et lui étant explicatif de sa nature, recherches effectuées suivant la situation, l'urgence ou non, les capacités du moment, elle n'est jamais absolue parce que réfutable, mais, de par le principe de parcimonie, elle se doit d'être la plus simple au regard de toutes les information disponible sur ledit sujet donné et, enfin, se doit de déterminer réellement sa valeur par son caractère prédictif;

    -Un travail théorique est de définir une série d'hypothèses sur un sujet donné, or,P1040601.JPG l'hypothèse se devrait de rester juste un premier jet réflexif sur ledit sujet, que cela soit le fait de scientifique ou non, et se devrait de rester tel et d'être affirmé ainsi tant qu'aucune preuve tangible telle que définie plus haut n'y est apporté qui, sinon, d'hypothèse, la ferait porté au niveau de la théorie;

    -Une réflexion philosophique est elle proche de la métaphysique en ce sens où elle est la résultante d'observations, de recherche, de compréhension et de méditations tant de soi que du milieu dedans lequel la personne, philosophe de métier ou non, vit, sa finalité se devrait d'être d'organiser la pensée de chacun et, dès lors, de développer sa propre conscience de la réalité de Soi comme du Monde, elle ne saurait être absolue puisque elle se bâtie au sein d'une société donné et, de ce fait même, ne peut qu'être composé d'un ensemble de vérités relatives à elles-mêmes, de la personne singulière comme de ladite société donnée, quand bien même a-t-elle deux buts communs d'avec la théorie scientifique, celle d'être dans la quête ainsi que de définir au mieux cette nature de la réalité.

     

    Nous avions rangé notre intelligence à la cave, du-moins ceci était le fait de nos aïeux qui, toutefois, nous avaient montré l'endroit où ils l'y avaient remisée, et, maintenant, nous commençons tout juste à nous apercevoir, une fois que nous l'avons ressorti de sa malle déposée dans la cave, qu'elle est sale, poussiéreuse et mitée de mythes vaporeux.

    P1040463.JPGCe phénomène est déterminé, à mon sens, par deux processus historique aux origines passées s'activant en ce moment même, ceci simultanément d'une troisième, moins ancienne, tous trois s'activent, donc, depuis quelques décennies déjà.

    Ensemble dont je vais tenter de faire la démonstration.

    Démonstration qui, je le répète, bien que donnant du sens aux événements et/ou aux fait produits, n'en apporte en rien une preuve absolue, mais est juste le développement au plus juste d'un ensemble de considérations explicatives tentant de rendre compte au plus près à ce qui semble incohérent, sans en avoir de preuve concrète mais conformes aux présomptions perceptibles.

    Du moins cela permettrait-il d'amorcer des recherches, pour celui ou ceux qui en auraient l'attrait, desquels je n'ai aucun outil conceptuel me permettant de les effectuer, étant donné que mon cursus ne fut que peut développé, ni en ayant les capacités d'ailleurs de montrer en quoi je pourrais en avoir tort ou raison.

    Alors même que je suis sûr de leur réalité.

    Voici donc ces trois processus, aux portes de la métaphysique, que j'ai conçu de manière purement intuitive et dont je vous avais déjà fait cas auparavant et qui, je le conçois, pourraient être considérés, pour toutes ces raisons même, comme relevant de l'ordre de la magie puisque ne semblant pas corrélés par des mécanismes deP1040447.JPG causalité tels que je les avais exploré avec vous dans mes troisièmes aphorismes en fin de page, bien que j'en pense le contraire:

    1-une rétrogression historique nous faisant remonter anthropologiquement aux alentours de la deuxième moitié au troisième tiers du XIX° siècle jusqu'au début du XX°;

    2-une compulsion de répétition nous conduisant à une période s'étendant de 1917 et la révolution d'Octobre menant à la création de l'URSS, jusqu'au tout début de la guerre froide, soit à la toute fin de la seconde guerre mondiale, ceci maintenant sous une forme économique et non plus militaire;

    3-un effondrement impérial de la thalassocratie US, similaire, mais en un effet miroir gauche/droite-droite/gauche, de celui qui survint pour la Russie en 1991 qui vit la fin de l'Union-Soviétique, ceci accompagné d'un autre effondrement, celui-ci idéologique, accompagné naturellement de celui politique, phénomènes quasiment d'échelle internationale.

    Tous trois sont intimement liés et, telles des poupées gigognes, s'emboîtent temporellement l'un dans l'autre, c'est pourquoi, donc, nous ne pouvons pas comprendre ce qu'il se passe aujourd'hui sans que nous ne prenions en compte ces trois mécanismes.

    P1040704.JPGEnfin, je dois préciser que j'avais déjà écrit sur ces trois thèmes dans mon blog sans jamais ne les avoir rapprochés.

     

    I-) La rétrogression historique:

    Vu que je fais remonter nos difficultés actuelles à la prise de pouvoir de Louis-Napoléon Bonaparte en 1848 en tant que président de la II° République, suivit de son coup d'état de 1850 menant  au second empire sous l'égide de Napoléon III de 1852 qui s'acheva par la défaite de la France face à la puissance prussienne en 1870 (qui deviendra l'Allemagne pour cette occasion à Versailles, décision prussienne hautement symbolique).

    Parce que la première guerre mondiale est indéfectiblement liée à celle de 1870, qu'elle détermina tout ce qu'il se passa par la suite jusqu'à maintenant, je considère dès lors que c'est cette période qui est constituante de l'histoire mondiale dès le moment de ladite défaite jusqu'à aujourd'hui, c'est cela qui mène à ce que nous vivons une rétrogression historique.

    Les raisons originelles en sont de deux mensonges et deux trahisons qui, parce qu'ils permirent, pour les premières, aux acteurs de l'époque d’asseoir leur politique avec efficacité, et aux secondes que l'idéologie valait mieux que la valeur humaine, qui mena, du fait de cette misanthropie constitutive, à un désenchantement du monde conduisant à une façon de crétinisation des hautes hiérarchies sociales qui, parP1040529.JPG ruissellement, détermina celle d'une part de la population.

    (Il y eut depuis longtemps, sinon de tous temps, des mensonges et des trahisons tout au long de l'histoire, la particularité de ceux-là vient de ce qu'ils déterminèrent tous le XX° siècle et ce début de XXI° et c'est cela qui, pour nous, nous importe.)

    A) Ce premier mensonge fut du fait que Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III,qui  fut présenté à la population comme étant un génie du même ordre que son oncle, Napoléon 1er, lui qui en réalité était considéré par les gouvernements européens, à peu de chose près, d'une manière similaire à notre Macron au sein de l'Europe et au-delà: un niais.

    Ainsi, pour Otto Von Bismarck, le chancelier prussien : « L’empereur est une grande incapacité méconnue. »

    Quand Victor Hugo disait de lui : « Louis Bonaparte est un homme de moyenne taille, froid, pâle, lent, qui a l’air de n’être pas tout à fait réveillé […] Les chefs de la droite disaient volontiers de Louis Bonaparte : C’est un idiot. Ils se trompaient. C’est un livre où il y a des pages arrachées. À tout moment quelque chose manque. Louis Bonaparte a une idée fixe, mais une idée fixe n’est pas l’idiotisme. »

    Tout ceci ne vous ferait-il pas penser quelques-uns d'un certain gouvernement, voire même d'une union?

    B) Le second mensonge, lié au premier, fut la "dépêche d'Ems", faux diplomatique que le même premier ministre prussien avait créé pour que, la France déclarant la P1040560.JPGguerre, il puisse achever l'unification de ce qui deviendra l'Allemagne de par le conflit que cela générerait entre ces deux pays et de la victoire germanique quasiment assuré dès son début.

    La double trahison est de la même époque.

    A) Ce fut Louis-Napoléon Bonaparte qui fomenta un coup d'état en tant que président élu en reversant la deuxième république, trahissant par là même ceux qui l’élurent à ce poste, quand bien ce fut par un plébiscite qu'il en avait reçu l'approbation du peuple en 1851, ce fut de fait une trahison, puis en 1852 il devint l'empereur de tous les français sous le nom de Napoléon III à la suite d'intenses tricheries de toutes sortes, son régime s'appelant donc le second empire.

    B) Ce fut la trahison du peuple parisien par la troisième république naissante dès lors qu'à la suite de la capture de l'empereur Napoléon III ladite république fut proclamée en 1871 par Adolphe (déjà) Thiers qui conduisit à la Commune de Paris.

    Après l'armistice signé par le nouveau gouvernement élu de la troisième république, dans la crainte de la grande bourgeoisie, toujours royaliste, en la population parisienne républicaine qui, à la suite de la multitude de leurs trahisons ( des ancêtres de nos oligarques stato-financiers, sinon de sang, du-moins d'esprit ) aidant hypocritement les armées prussiennes durant cette guerre, qui, après les deux mois de famine des parisiens due au siège de Paris par les troupes germaniques du 20 Septembre 1870 jusqu'au 28 Janvier 1871,  fut tenté de confisquer les canons que,P1040491.JPG pour parti, les parisiens avaient eux-même acheté par souscription, qui dès lors se révoltèrent.

    Ce fut ladite Commune de Paris qui dura du 18 Mars au 28 Mai 1871 mené par les socialiste révolutionnaires, dont Louise Michel est l'une des figures les plus connues.

    Ce sont donc ces événements qui, dans le même temps, déterminèrent, à mon sens, le XX° siècle et ce début du XXI° et qui mène aujourd'hui à cet étonnant retour anthropologique en arrière qu'est notre rétrogression historique.

    En effet, ce furent les trucages de cette période que furent ces mensonges et trahisons, qui, de Paris, de la France, menèrent aux événements mondiaux jusqu'à aujourd'hui: les Etats-Unis seraient-ils devenus empire thalassocratique, maintenant en déclin,  si les deux guerres mondiales n'avaient pas eu lieu?

    La Russie soviétique serait-elle apparue si la première guerre mondiale n'était pas advenue.

    Et celle-ci se serait-elle produite si l'Alsace et la Lorraine n'avait pas été confisqué à la France par l'Allemagne devenu alors?

    N'y avait-il pas un esprit de revanche en France après que les prussiens se soient P1040609.JPGinstallés si longuement au  château de Versailles?

    Lesdits trucages s 'étaient révélé efficaces et, dès lors, bien plus que par le passé, mensonge et trahison, dont l'empire US furent et sont toujours les champions, devinrent l'habitude, certes dans les populations, mais de manière bien moindre que dans la haute hiérarchie des pays (c'est l'un des gestes majeurs de Monsieur Poutine d'en renverser la tendance).

    Cette façon de faire menant à ce que les peuples en viennent à ne plus croire en des dirigeants politiques qui, de mensonge en trahison, en sont venu, de génération en génération, à refouler le fait même qu'ils puissent mentir et trahir éhontément, n'en étant même plus conscient.

  • Lettre à Tatiana Ventôse.

    Oups, je me suis aperçu que je n'avais pas copier/coller tout le texte que je devais mettre dans ce billet que j'avais publié le 24 Octobre, me semble-t-il.

    En deux parties, la première provient de: "La catastrophe économique qui vient" datant du 30 Mai 2017, c'est elle qui était incomplète, de la seconde, en revanche, je n'en retrouve plus le document original et ne peux pas, dès lors, en vous donner la date.

    Qu'importe, le principal étant que cela soit publié.

    Personne ne peut dire (oui, je sais, je rabâche) quand le système va exploser, celui-ci ayant montré des capacités de résilience véritablement extraordinaire, mais il explosera, de cela,  j'en suis sûr.

     

    Chère mademoiselle,

     

    Si c'est à vous que j'adresse cette lettre c'est autant parce que j'apprécie votre travaille, la fougue que vous y portez , votre profond esprit démocratique que de votre intérêt à la chose publique, à la république, ce qui n'est plus grand cas pour bien du monde.

    J'abonde dans votre sens au  sujet des derniers écarts de Monsieur Mélenchon lors des perquisitions dans les locaux de la France-Insoumise (insoumise, le terme étant peut-être quelque peu excessif, il y eu, par le passé, des insoumissions plus catégorique et flamboyante que celle porté par les adhérents de son parti et par lui, ne trouvez-vous pas?), écart qui risqueraient forts de se renouveler, du-moins en fais-je le pari, j'y reviendrai.

    Mais au-delà de ces louanges, dont je ne vous fait montre que d'un sommaire P1020251.JPGrésumé, que vous pouvez, sans hésitation, partager avec vos amis du Fil-d'Actu, permettez que j'exprime ici un certain nombre de désaccord que je peux avoir tant avec vous qu'avec vos compagnons vidéophiles (néologisme préférable à youtubeur, faisant de la réclame pour une industrie n'en ayant aucunement besoin).

    Mais aussi de vous apporter ma vision politique des derniers événements qui, décidément, n'ont que de cesse de nous porter à la réflexion, ce qui m'est d'un contentement intellectuel de tous les instants.

    Une autre raison pour laquelle ce billet vous est adressé provient de ce qu'il est possible que, par vous, par votre pseudonyme tapé en recherche sur internet, je puisse prévenir votre fraternité de la vidéophilie de la situation pour le moins préoccupante de l'économie mondialisée.

    Ceci ne pouvant que nous conduire à une crise économique, infiniment plus proche d'un effondrement désastreux que de l'une de ces récessions que nous vécûmes avec régularité depuis l'achèvement des années quatre-vingt.

     

     

    Il est de fait que les réactions de Jean-Luc Mélenchon et de ses proches, lors de cetteP1020055.JPG perquisition, furent à la limite de l'indécence démocratique et d'une brutalité qui, personnellement, me laissa pantois.

    Était-ce parce que l'ampleur de la-dite perquisition fut considérée comme étant disproportionnée eu égard à ce que la  justice lui reprochait ou était-ce pour une toute autre raison?

    Partant de ce questionnement je ne peux que me demander ce que cache le premier secrétaire de la France Insoumise pour avoir eu une réaction de cette ampleur (de tous les flançais).

    Je ne peux pas ne pas non plus me questionner sur les causes qui font que cette enquête judiciaire ait débuté maintenant, à quelque mois des élections européenne.

    Pour cette seconde interrogation, la réponse vient d'elle-même: le R.E.M., le parti des radios-éléments du président Macron, étant à un tel point décrié, seule une désaffection, même limitée, des électeurs de F .I., mais aussi du Rassemblement National, pourrait permettre au parti majoritaire, lors de ces prochaines élections, d'avoir un résultat pas trop modique et même d'espérer d'y avoir des élus.

    Cette affaire ne pourra que conduire progressivement la pseudo-gauche mélenchonniste à se scinder entre ceux qui s'en écarteront (ce qui pourrait se révéler profitable à  l'U.P.R.) et ceux qui se radicaliseront.

    J'avais expliqué dans "Retour à la politique" (en fin de page) que les raisons pour lesquelles un système politique triplement verrouillé comme l'est l'Union-Européenne, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, ne peut être P1020189.JPGréformé au risque, sinon de le détruire, ceci en en montrant les mécanismes.

    Je pensais à l'époque, au mois d'Août, que ces trois forces destructrices: conservatrice (le R.E.M. et les partis classiques), critique et réformatrice (F.I. & R.N.) et subversive et dissolvante (l'U.P.R.) ne s'exprimaient surtout qu'au niveau des états de l'U.E. et que  fort peu à l'échelle des nations.

    Or, il est bien possible que ce que nous pourrions appeler dorénavant l'affaire Mélenchon soit le début du basculement de la France dedans un processus de cet ordre menant, à terme, à une destruction/disparition de l'union par un processus de provocations suivit de contre-provocations allant crescendo, ceci menant à une violence politique redoublée.

    Sauf à ce que Monsieur Mélenchon et ses proches prennent peur au-devant de la justice et se voient contraints de se calmer.

    De fait, que cela ait été le résultat d'une manipulation ou du simple processus judiciaire, tout ce beau monde aurait bien mieux fait de se montrer calme en faisant le dos rond, puis de répondre, en choisissant le bon moment, point par point autant dans les médiats que devant les juges, puisque ils affirment que la France-Insoumise n'a rien à se reprocher lors des dernières élections nationales.

    Mais la question, quoi qu'il en soit, reste à poser: pourquoi cet affolement?

    Au sujet de cette manipulation, il se fait dire qu'une officine interne à l'U.E. serait mise en place pour lutter contre les partis dits populistes, ou dits extrême (d'une extrémité toute relative s'entend).

     

    Je reviens sur le présupposé réchauffement climatique anthropogénique, bien que j'aie déjà abordé de nombreuses fois ce sujet.P1020206.JPG

    Ce qui fut le thème de votre dernier Fil-d'Actu.

    Je vous laisse, outre mes nombreux écrits et renvois sur cela tout au long de mon site, ceci étudié sous des angles divers,  l'adresse de cette vidéo qui, il est vrai, fait de la contre-propagande bien que ceci soit factuel, j'y rajoute aussi l'adresse d'un certain Jacqueshenry d'une teneur infiniment plus scientifique, bien que je ne sois pas toujours d'accord avec lui, ne serait-ce qu'en ce qui concerne la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, situé sur une dangereuse faille sismique.

    Ce que je peux toutefois rajouter pour en compléter ces réflexions, c'est que notre société a atteint son niveau actuel grâce à une énergie abondante, pas chère et d'usage facile, surtout pour ce qu'il en est des énergies chimiques donc carbonées, dès lors de ceux pétroliers.

    Pensez-y, rien que nos retraites et le bon fonctionnement de l'état proviennent, normalement, de la plus-value dégagée par les extractions minières, les productions agricoles et industrielles, soit les diverses transformations progressives d'un produit brut extrait du sol en celui d'usage et, ce, grâce à cette même énergie.

    Or, si la société française s'effondre en ce moment, c'est certes en raison de notre appartenance à l'Union-Européenne, de notre domination étasunienne et germanique, et de la pression de nos oligarques rapaces, dont Macron n'est qu'un quelconque employé, mais aussi à ce que les plus-values dégagées par le passée, dues aux mines, industries et agricultures, furent remplacées par des crédits de toutes sortes déversés autant aux particuliers, à l'état et aux sociétés spéculatives, dont aux banques, et aux hyper-productions monétaires, en franc d'abord de manière restreinte, en euro aujourd'hui au-delà de l'abondant.

    ( Pour faire vite, les usines et fabriques, ainsi que les mines, fermèrent en France et P1020170.JPGen Occident pour que la même chose soit extraite et/ou usiné et fabriquée ailleurs, là où les salaires sont plus bas, pour être revendu là où ces usines, fabriques et mines ont fermé, soit dans ce même Occident.

    Phénomène débuté dès la fin des années 70, il y mena progressivement à une monté du chômage et baisse des émoluments, puis à un accroissement de la masse des crédits de toutes sortes, ceci fut grandement accéléré dès l'émergence de l'U.E., puis de l'euro.

    Dans le même temps, les propriétaires d'usines cherchèrent les pays aux payes les plus basses, Afrique-du-Nord, puis Asie, maintenant les pays africains sub-sahariens, le bout du bout de la médiocrité salariale.

    Comme vous pouvez le constater, cette déflation, puisque cela fait perdre aux produits vendus leur valeur intrinsèque, d'abord occidentale, touche aujourd'hui tous les pays mondiaux, sauf la Russie et ses proches alliés en raison des embargos U.S. les rendant autosuffisants.

    Ce qui mène aujourd'hui à une désindustrialisation mondiale puisque de moins en moins de gens peuvent acheter ce qui est produit, ce dynamisme étant accru à cause de la transformation de l'économie réelle, productive, en l'économie monétariste néolibérale par le processus de : crédit ⇒ dette ⇒ remboursement des intérêts & du capital, ce qui appauvrit d'autant les gens, les états et les entreprises.

    Ce qui nous conduit, ceci lié aux hyper-productions monétaires, directement à un effondrement catastrophique de l'économie-monde, thème que j'aborderai plus bas. )

    Sachant qu'une monnaie perd une valeur égale à sa production dès que celle-ci dépasse sa représentativité relative de la richesse présente et potentiellement future du pays émetteur.P1020443.JPG

    Phénomène limité longtemps à l'Occident s'étendant désormais à quasiment tous les pays.

    Ceci sachant que depuis la fin des trente glorieuses, lors du premier choc pétrolier en 1973, la population mondiale avoisinait les 4 milliards d'habitants quand, aujourd'hui, en 45 ans, nous en sommes à 7,6 milliards environ.

    Si vous réduisez la part de flux d'énergie, quelle qu'en soit la nature, et celle due au vent et au soleil est très largement réduite, 2% pour le premier, je vous renvoie à la vidéo et au site cité plus haut, vous pourrez dire adieu aux déplacement faciles par automobiles, cars, bus et camions, nous reviendrions au train, il est vrai, mais aussi au vélo, même à la campagne et en montagne, à la péniche à traction animale (pour remonter le courant) et à la diligence.

    Si vous comptabilisez, en terme d'énergie électrique, le chauffage, les ordinateurs de toutes tailles, les téléphones de toutes sortes, les éclairages publics, les télévisions, les appareils électroménagers, les matériels médicaux et tutti quanti, si nous nous retrouvions à devoir, de plus, recharger les batteries automobiles, je ne pense pas que toutes nos centrales y suffiraient, il faudrait, dans ce cas, que nous fassions des choix plus que cornéliens.

    Ceci d'autant plus que la fabrication des-dites batteries, mais aussi des éoliennes et des panneaux photovoltaïques, demandent, tout compris, une grande quantité d'énergie, mais aussi pour le retraitement des premiers, hautement polluants.

    Déjà  que ce problème se retrouvera amplifié quand il s'agira, pour nous, de réindustrialiser notre pays, je vous en expliquerai les raisons plus bas, tant que nous restons sur les mêmes bases scientifiques, en science fondamentale s'entend, P1020145.JPGdatant, pour les moins anciennes, des années trente à cinquante (physique quantique, chimie du carbone, lois sur l'électromagnétisme et de la thermodynamique pour l'essentielle), nous devrons de considérer le charbon, le pétrole et le gaz comme nous étant toujours d'une nécessité absolue.

    (Pourquoi Poutine tirent des kilomètre de gazoducs partout en Europe à votre avis?)

    Donc, en toute logique et quel que soit l'angle avec lequel il est possible d'aborder cette question, ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique se révèle être, au mieux la pire des foutaises ou une manipulation impériale de grande envergure, au pire la résultante symbolique des graves désordres psychologique des oligarques de tous poils et de tous lieux.

    En revanche, il y a des scientifiques, ils sont peu ce qui est navrant, qui travaillent en ce moment même sur une production d'électricité qui génèrerait, aux premières sources, qu'une moindre pollution, voire pas de pollution du tout: la fusion-froide.

    En France, c'est Jean-Paul Bibérian, aujourd'hui à la retraite, qui travaille sur ce sujet, je vous laisse un certain nombre d'adresses de sites traitant de cela: ici, , là-bas, ailleurs, pourquoi pas à cet endroit et plus si affinité.

    Il ne s'agit pas de croyance, bien que la question bien entendu se pose: cela fonctionnerait-il ou ne fonctionnerait-il pas, je vous laisse le soin de vous y pencher, bien que personnellement je considère l’honnêteté intellectuelle de ce monsieur de bon aloi.

    Il faut, se dit-il en science, 80 années pour qu'une idée nouvelle soit accepté par la majorité des savants, or nous n'avons pas 60 ans devant nous et, hormis le charbon, les autres énergies chimiques, gaz et pétrole, tendent à s'amenuiser (les histoire de réchauffement climatique anthropogénique c'est de l'abrutissement propagandiste,P1020090.JPG de la pleine crétinerie et de la frivole ânerie).

    Sans compter que la filière nucléaire actuelle, à l'uranium, nous pose d'immenses difficultés et, potentiellement, des dangers véritables.

    Au risque de me répéter, nous ne pouvons pas nous passer, dans l'immédiat, des  sources énergétiques classiques, sauf à ce que nous subissions une très importante morbidité de la population mondiale, et ce ne sont pas les éoliennes tueuses d'oiseaux et les cellules photovoltaïques,  largement inefficace, qui y changeront quoi que ce soit (ainsi devant chez moi vois-je une magnifique brume d'hiver).

     

  • Indétermination, suite et fin.

    Je me suis aperçu que ce thème de détermination/indétermination n'était pas vraiment complet, je vous soumets donc l'achèvement d'une réflexion.

    Il me semble normal que je puisse être critiqué, que des désaccords, pourquoi pas absolus, se soulèvent, des précisions soient menées par d'autres, ou une refondation sur ma perception de la chose.

    En revanche, ce qui me chagrinerait ce serait qu'il y aurait réaction sans qu'il n'y ait eu compréhension.

    Quoi qu'il en soit, chacun à le droit de s'exprimer ou de ne pas le faire.

    Bon , quand à moi, je vais prendre un bon bouquin et lire un peu, ça me reposera, je corrigerais plus tard.

    C'est fou comme une longue concentration me fatigue et, ça, depuis que je suis petit, je pense que c'est pour cela que ne fus pas un élève assidu.

    Ceci dit, bonne lecture à tous, je vous conseille de commencer par le premier de ces textes, puis le second et enfin celui-ci, mais vous pouvez faire comme bon vous semble.

     

    P1010042.JPG

    Suite, donc, des deux libelles précédents, par ordre chronologique celui-ci puis celui-là.

    L'un des effets les plus délétère de l'indétermination d'Être, avec la perte d'identité, est celle de la temporalité.

    Or, qui lit mes lignes depuis quelques temps y a vu mon article sur la nature de la pensée y observera qu'à mon sens celle-ci, en scindant conscient et inconscient, en a fait émergé le sentiment de temporalité humaine.

    Le fait remarquable d'aujourd'hui est cette rupture plus ou moins importante d'avec la-dite temporalité que notre modernité présente (modernité qui ne fait que s'appeler telle mais n'est, en réalité, que technologique) a fait surgir.

    Ce n'est pas tant que les gens aient oublié que la S.N.C.F. et le système hospitalier fonctionnaient infiniment mieux il y a ne serait-ce qu'une vingtaine d'années auparavant, mais qu'ils ont perdu le contact d'avec ce passé en raison de l'affaiblissement de cette fonction psychique qu'est la pensée.

    P1010129.JPGCertes, l'histoire telle qu'elle est enseignée actuellement semble être, de ce que je m'en suis laissé dire, du grand n'importe quoi.

    Mais là il s'agit de se qui se relève que d'une génération antérieure, vingt ans, c'est à dire rien à l'échelle d'une vie.

    Nos anciens et nos ancêtres avaient, en cela, une mémoire infiniment plus longue que nos contemporains: ainsi, pendant moult génération, chacun savait, en plaine ou à la montagne, qu'il ne fallait pas construire de maison en un endroit précis, en raison d'une crue ou d'une avalanche possible.

    Ces connaissances se passaient de générations en générations de bouches à oreilles, vaille que vaille, même si parfois il y pouvait y avoir des oublis et des erreurs.

    Je ne dis pas que le passé était idyllique, loin s'en faut, n'oublions pas, justement, que la dernière grande guerre française fut celle d'Algérie qui ne s'acheva qu'en 1962, que la dernière grande famine en Europe-de-l'Ouest eut lieu en Irlande à la moitié du XIX° siècle et qu'en Ukraine, celle qui avait sévi au début des années trente fit de 2 à 5 millions de morts.

    Quand aux siècles d'avant, point n'est besoin de s'appesantir sur leurs cruautés, il n'est qu'à penser aux pandémies qui s'y étaient développées, la dernière, celle de la grippe dite espagnole de 1917, fit plus de mort que la première guerre mondiale...

    De fait, ce que je veux exprimer ici c'est que notre modernité contemporaine n'enP1010113.JPG est qu'un succédané, une apparence, une virtualité, se basant, pour l'essentiel, que sur une technologie informatique qui, il faut le remarquer, marque un temps d'arrêt évolutif depuis une à une décennie et demi.

    La raison en étant, entre-autre, de cette perte de détermination d'une bonne proportion de la population et, ce, à tous les niveaux des hiérarchies sociales, ce phénomène en touchant infiniment plus fortement les échelons supérieurs.

    En cela, je suis un progressiste, en renouant avec une tradition française ancienne, d'où l'intitulé de mon blog: une nouvelle renaissance, en un appel à sa réémergence.

    Revenons, je vous prie, au thème de ce billet et, surtout, de sa raison d'être.

    Il est remarquable que ceux, nos chers oligarques, qui, après moult manipulations et autres propagandes, voudraient prendre le contrôle, entre-autre, de ces deux services publiques sus-nommés, les services hospitaliers et les chemins-de-fer français, grâce au blanc-seing de l'U.E., ne se rendent pas compte des dangers auxquelles ils s'exposent.

    Privatiser et/ou mettre en concurrence le second ne peut pas mener à une meilleurs efficacité du service rendu à un moindre coût, tout au contraire, cela ne pourra que P1010146.JPGproduire sa défaillance, allant jusqu'à des accidents mortels, et à une augmentation du prix du voyage.

    Les britanniques s'y sont essayés bien avant tout le monde et nous ont montré, par les accidents, vétusté des infrastructures, retards récurant et hausses des prix des billets, que ce choix ne pouvait qu'être qu'une fausse bonne idée, voire un délire (j'aborderais ce thème important des services publiques en réseau un autre jour).

    Ce fut l'une des raisons pour lesquelles le référendum sur le brexit emporta une majorité des votants, d'ailleurs les britanniques veulent, désormais majoritairement, que leur chemin-de-fer soit renationalisé.

    Ce qui ne peut que fragiliser l'oligarchie anglaise par la perte de confiance qu'en a la population.

    Affaiblir les hôpitaux par leur privatisation larvée est encore pire puisque là il s'agit d'un risque fort de pandémie qui ne pourra être contenu en France, dans l'U.E. et dans le monde et, ce, toujours pour les mêmes raisons: vétusté des infrastructures, réduction du nombre de médecins et infirmiers, hausse du prix des soins, affaiblissement de la sécurité sociale..., tout cela étant déjà en cours.

    Nos gros nababs imbéciles, ne percevant que leurs picotins de milliardaires de courte vue, ne pouvant pas comprendre, étant dans la plus totale incapacité de pouvoir comprendre quoi que ce soit, d'ailleurs, que d'affaiblir, amoindrir, rendre partiellement inopérant un service de santé fiable pour tous, mènera inéluctablement à ce qu'une pandémie de grande ampleur tuera certes les petitesPhoto0016.jpg gens, mais ravagera tout autant leurs rangs.

    Et ils auront beau mettre en place la censure qu'ils veulent, cela ne changera rien à l'affaire, il y aura autant de mort chez eux que chez nous, en proportion, cela va de soi, la maladie n'a que faire de la censure, au contraire, elle en profite par le silence des médiats.

    Et il n'est que de regarder les vidéos de monseigneur Gattaz pour percevoir que son état de santé ne doit pas être au mieux.

    Là encore, par ces deux seuls exemples, nous pouvons percevoir combien nos élites et leurs zélotes zélés sont dans l'impossibilité de se projeter dans un futur possible ou probable, leur rejet populaire en cours, voire leur décès par pandémie, parce que leur indétermination d'Être, menant à leur perte d'identité, affaibli leurs pensées à un point tel qu'ils se retrouve déconnecté autant de leur passé que de leur futur.

    De sorte qu'ils ne peuvent plus planifier quoi que ce soit.

    C'est pourquoi Monsieur macron provient d'une banque étasunienne, Rothschild, et qu'ils suivent tous toutes les directives de l'Union-Européenne dont l'essence doctrinal provient de l'empire U.S. et, maintenant, d'une Allemagne souffrant, à n'en pas douter, des même maux que nous, et, de ce fait, ne font qu'appliquer le P1000883.JPGmême dogme néolibéral mortifère.

    Il est à remarquer que le brexit du Royaume-Uni et l'élection de Monsieur Trump à la présidence étasunienne montre que, dorénavant, les anglo-saxons retrouvent progressivement, collectivement, leur détermination d'Être à toutes les strates sociales.

    Sauf, aux U.S.A., une bonne part de leurs oligarques et de toute la mouvance des idiots utiles qui, comme ici, croient dure comme fer à leur futur paradis néolibéral fantasmatique, ceux que l'équipe de Monsieur Trump veut, je n'en doute pas, réduire à rien.

    Pour finir sur ce sujet, quand le système économique monétariste globalisé se sera effondré, tous ceux qui, à divers degrés, auront pris pour eux une partie ou tous les bobards (inconscients) néolibéraux déversés dans nos médiats et considérés comme des vérités ultimes, se retrouveront à faire face à un choc émotionnel égal à la part de ces élucubrations qu'ils auront adoptés.

    Il en est, toujours les mêmes et caricaturaux exemples, de ce réchauffement climatique anthropogénique ou de l'indépassabilité de l'existence de l'Union-Européenne, ainsi que de tout un tas de croyances qui y sont liés, comme ce qui se fait appelé la théorie du genre ou du délire économique dit de la décroissance...

    Tous ceux, donc, qui sont pour ou disent lutter contre le néolibéralisme en un total inverse, se retrouvent dès lors en parti pris à l'intérieur de la même machinerie néolibérale en un recto-verso obscurantiste.P1010160.JPG

    (Vouloir l'exact inverse d'une idéologie c'est n'avoir d'existence politique et, dès lors, pour partie sociale, qu'au regard de la masse doctrinale de cette idéologie, ainsi beaucoup de monde dit vouloir "sauver la planète" et lutte contre le "réchauffement de la planète", les néolibéraux et les anti-néolibéraux, qui tous passent à la télé, preuve s'il en est.)

    Ce choc psychologique sera pour tous violent, pouvant mener, pour certains, à de fortes crises psychologiques, puisqu'ils se retrouveront à faire face à leur indétermination, sans avoir cette idéologie en pour ou en contre comme béquille.

    C'est pour cela que j'écris ces lignes, pour prévenir d'un futur choc émotionnel, enfin, pour tenter d'en prévenir de la forte éventualité.

    Ou du-moins de ne pas être surpris d'en voir les effets chez le voisin ou en soi-même.

     

     

    P1010040.JPGTHEURIC

  • Drôle échéance, drôle de drame.

    En 2022, dans deux ans et demi aura lieu, si aucun événement ne vient en troubler l'échéance, de nouvelles élections présidentielles et législatives.

    Or, de 2022, nous ne pouvons pas savoir où nous en serons.

    Les instabilités de toutes sortes s'accroissent et non pas seulement en France, en Europe, en Occident et dans le monde, partout le désordre des bulles et des égarements sévit.

    Nous nous retrouvons donc devant trois énigmes:

    1) à quel moment le système cessera de fonctionner;

    2) quel en sera l'élément déclencheur;

    3) combien de temps en durera la transition entre sa fin et les réorganisations pays par pays prenant corps ensuite.P1030065.JPG

    En réalité, et là je me montre véritablement provocateur et, ce, à escient, presque (rajout du lendemain) tout le monde craint la disparition des U.S.A. et tout ce que cela sous-entend.

    J'oserais même dire que si cet empire continue d'exister c'est en raison de cette angoisse générale, il se doit de se comprendre que je ne fais pas seulement allusion aux français, aux européens et au occidentaux, mais bien à une grande majorité de la population mondiale, mais surtout aux décideurs internationaux, l'Amérique-Latine, la Chine, l'Iran et la Russie comprises.

    Revisitez l'histoire proche de la disparition de l'URSS et vous y verrez que hormis quelques loustics tel qu'Emmanuel Todd, personne n'avait prévu cette échéance de 1991, non pas que ce n'était pas prévisible mais bien parce que tout le monde avait peur de cet événement, même si ensuite les gens furent heureux de son avènement.

    Aujourd'hui, même si la date ne peut naturellement pas être prévue, du-moins est-il possible d'en comprendre puis d'en conceptualiser le moment de basculement et la transition de phase qui s'en suivra.

    Comprenez bien que quoi que nous en disions, la perpétuation de l'empire US arrange presque tout le monde, même une bonne part de ceux qui luttent contre lui ou qui le conspue, comme il en fut hier de celui romain.

    Et le choc sera grand quand celui-ci disparaîtra de manière formelle, bien qu'au vu P1020872.JPGde sa situation il en est de se demander si, déjà, il ne serait plus que l'ombre de son ombre.

    Pensez-vous que Macron et consorts de l'Union-Européenne subsisteraient après?

    Personnellement j'en doute.

    Pourquoi, à votre avis, un nombre non négligeable de l'élite britannique a tout fait pour que le brexit ait lieu et, quand on y réfléchit bien, nous ne pouvons que percevoir qu'il s'agit là d'une action commencée bien avant le référendum british.

    Penser maintenant cette disparition prochaine, même si cela est douloureux, nous permettrait de réduire ce temps de transition dès lors que les États-Unis-d'Amérique ne seront plus, de nous y préparer par avance, au moins psychologiquement.

    En commençant de ne plus accepter ses fadaises.

    D'une telle destruction et autodestruction que menèrent et mènent les USA et l'UE,  rien qu'en France le travail à déployer pour tout reconstruire sera prodigieux, j'oserais même dire qu'il sera égal, voire supérieur à celui de nos anciens dès 1945, ne serait-ce que de seulement former des jeunes à des métiers industriels laissé en jachère et de remplacer une hiérarchie administrative incompétente n'en seront que deux minuscules des ouvrages que nous aurons à traiter.

    Il se dit aussi que, certes, le système économique globalisé, l'empire décati et son dollar sont au plus mal et qu'ils disparaîtrons un jour, oui, dans dix ou vingt ans, à la SainteP1020490.JPG Trinité ou à la saint glinglin, et ça fait bien plus de dix ans que j'entends ce discours, alors de dix ans en dix ans les USA se révèleraient-Il éternel?

    L'éternité c'est long, très long, pour un  empire à l'agonie, surtout vers sa fin.

    Il se dit aussi qu'ils vont faire la guerre aux chinois, aux iraniens, aux coréens du nord et à je ne sais plus à qui d'autre, mais ils ne sont même plus foutu de fabriquer en grand nombre des canons, leurs avions battent de l'aile, leurs navires sont dépassés et Trump se démène comme un beau diable pour réindustrialiser son pays à n'importe quel prix, même au pire, quoi que nous puissions penser de lui part ailleurs.

    J'en comprends la démarche mais ne l'accepte en rien!

    Non, si je crains 2022 ce n'est pas en raison de la reconduction de Macron ou de son clone à la présidence de la république, dut-il être femme, un vrai clone quoi, ni même de la disparition de l'empire, ce qui m'inspire de cette crainte c'est le fait que personne ne veut ni, souvent, ne peut concevoir qu'avant même cette échéance, ou au pire après, Tonton Sam trépasse et se dissipe vaporeux dans les vents de P1020963.JPGl'histoire, nous laissant orphelin d'un univers où, bon an mal an, chacun avait sa place.

    Moi qui, comme bien d'autres (rajout du lendemain), suis déjà ailleurs que dans ces fols égarements, l'esprit à l'endroit.

    Parce que c'est ça le pire, que nous l'aimions béatement ou que nous le détestions cordialement, quand il ne sera plus, plus personne ne saura où il pourra s'assoir, aveugle d'y avoir perdu son siège.

    Sachez qui vous êtes, nous ne sommes pas américains mais d'abord et avant tout français!

     

     

    THEURIC

    PS: Je ne suis pas le seul à remettre véritablement en cause notre domination par l'empire, c'est pourquoi j'ai corrigé cette erreur provenant d'un allant provocateur trop prononcé quelque peu narcissique qui, si je n'avais pas agi ainsi ce jour, serait ainsi de fait devenue une grosse bêtise.

    Publié à l'origine le 30/08/19 à 1h 57mn, il l'est de nouveau le même jour à 15h 34mn.

  • Du monde et son origine.

    Avant-propos:

     

    J'ai, tel il m'en fut pour vous-autres, amis lecteurs, suivit et poursuivit cette trame étrange qui, pendant plusieurs mois nous mirent en émoi, c'est pourquoi je ne pus poursuivre ici mon oeuvre.

     

    Je pense savoir de quoi il s'agissais mais, pour l'instant, je me dois d'attendre  que l’astrophysicien Jean-Pierre Petit en relate ladite trame pour en vérifier une réalité qui, si j'ai raison, se révélerait scientifiquement révolutionnaire.

     

    Je ne connais en rien les mathématiques et, en cela, en ai juste déduit cette réalité par de pures réflexions philosophiques intuitives, toutefois et, ce, par recoupement de ce que j'ai pu en voir, je pense que la ville de Sens 89 100, France, en fut le point névralgique, sans que je ne puisse en déterminer les raisons.

     

    En attendant que nous EN ayons plus d'information, je vous propose une nouvelle série de mes tendre petites poésies.

     

     

     

        L'âme matoise se dupe

    De ne se vouloir rechercher

      Qu'une image profitable.

     

     

    L'origine du monde

     

    Appréhendez-vous « L'origine du monde » ?

    Le tableau de ce peintre, Gustave Courbet,

    D'où, de l'époque, la bassesse abonde

    De bourgeois avares à l'âme au rabais.

     

    Ce clan pudibond, qui fleurait l'hypocrisie,

    Mettait l'interdit à ses femmes de jouir

    Tout en cherchant au lupanar l'ambroisie

    Du plaisir sexuel de putes sans plaisir.

     

    Or, ce tableau honore ces femmes de rien

    En fêtant la vie de toutes autres dames,

    Qui portent ensemble les enfants en leur sein

    Pour donner l'existence jusqu'à chaque âme.

     

    Cette belle œuvre nous rappelle ainsi

    Que la sensualité n'est pas obscénité :

    La féminité n'est pas du pain moisi

    Mais de la force de vie de toute éternité.

                                 --------------------------------

     

     

    Jeu de main

    Jeu de vilain,

    Jeu de mot

    Jeu d'idiot.

     

    La femme presbyte

     

    Une femme presbyte a un mari volage

    Que s'en serait presque du marivaudage :

    Le moindre des fessiers, charme d'une belle,

    Il vient faire la cour à ces demoiselles.

     

    Madame n'est pas contente, veut se venger,

    Découvrant d'être gourmande de ces messieurs,

    Collectionnant de fait les vits peu vidangés.

     

    De bouche en bouche, donnant plaisir précieux

    Aux hommes abandonnés de femmes rangées

    De ces plaisirs charnels leur semblant vicieux.

     

    De talions en talions de corps généreux,

    Ils errèrent, tous deux, loin de leurs amours ;

    Se cherchant, lors, en cabotages glamours,

    Puis se retrouvèrent enfin si aimant et heureux.

                                     -------------------------------

     

     

      Nos comptines d'enfant

    Sont nos tendres souvenirs

         Des sourires passés.

     

    Violon, camion, avion

     

    Trois violons dans un camion

    Voudraient être dans un avion

    Mais si l'avion ne volent pas

    Les violons jouent et font hourra :

     

    Deux, quatre, huit,

    Nous mangeons des huîtres !

    Beurk...

     

    Trois, neuf, dix-huit,

    Il ne faut pas que ça s'ébruite,

    Nous aimons manger des frites,

    Et YOUPIII...

     

    Cinq, vingt-cinq et cent vingt-cinq

    C'est un drôle d'ornithorynque !

     

    Un deux trois ce sera toi

    Qui n'le sera pas,

    Deux, trois, quatre, ça fait des fuites,

    Ce sera toi qui fera la suite !

     

    Et deux, et quatre, et six, et

    HOURRA !

                        ------------------

     

    Faire outrage aux enfants

     C'est leur faire l'affront

        De leur déchéance.

     

    Les amours plaisent aux cieux

     

    L'intelligence a de ce besoin d'amour

    D'où le corps et l'esprit viennent se transcender :

    Sa finesse et la libido sont soudés

    L'un à l'autre, entièrement, en tout entour.

     

    Flétrir l'un en une ignoble bassesse

    Est l'injure vrai à toute l'humanité :

    Pour hommes et femmes il n'est que détresse !

     

    Quand l'enfant est meurtri, violé, flétri, heurté,

    Que son sexe, son mental sans caresse

    Sont offensés d'outrages tant exécutés :

     

    Cette vilenie impie corrompt l'affection

    Qu'il se devrait de posséder en bien précieux :

    Une psyché profonde de toute perfection

    Et d'une joie du corps plaisant à tous les cieux.

                                   -----------------------------

     

     

    De nos doigts audacieux,

    De notre corps, nos lèvres,

    Et notre sexe délicieux.

     

    Elle se pâme !

     

    Ses seins chaviraient sous mes douces caresses,

    Ses tétons vibraient de mes humides lèvres.

    Mes mains descendaient, en fine hardiesse,

    Jusqu'à ses hanches tremblant de tant de fièvre.

     

    Mes mains s'y glissèrent, du ventre aux nombril,

    S'y arrêtant, de mes tendres cajoleries,

    Puis frôlèrent ses babines volubiles

    D'allées-retours en maintes harcéleries.

     

    Mon doigt pénétra son antre délicieux,

    Courtisant sa divine turgescence

    En assauts tout autant vaillants qu'audacieux

    Qu'en joie, la belle, en sublima ses sens.

     

     

    THEURIC

  • Courtes et multiples réflexions.

    Je vais ici proposer un vaste panorama de ce qu'il me semble de notre présent et proche futur.

    Je me dois de souligner me moquer éperdument d’optimisme ou de pessimisme, considérations basées sur la seule émotivité rendant plus ardues une réflexion profonde sur une situation donnée, ici nationale et internationale, situation complexe pouvant déboucher, dans un relativement proche futur, sur des conjonctures dangereuses.

    J'aborderai divers sujets dont quelques-uns sortant, pour le moins, de l'ordinaire.

    Je commencerais par deux de mes relatives erreurs.

     

     

    Réalité du crash économique présent:

    Ma première erreur fut de ne pas comprendre la réelle nature de la bulle spéculative à laquelle nous avons aujourd'hui affaire.

    Il y a deux façon d'aborder ce crash économique, soit ne pas en croire la possibilité en raison du nombre de gens y faisant état sans que personne n'en perçoive un quelconque effet, soit, justement, d'en pronostiquer l'avènement prochain sans que rien ne semble se passer.

    Or, tous, ainsi que moi-même, considérions, avec méprise, que ce crash aurait la même configuration que ceux des années passées, qu'elle soit boursière, bancaire et/ou de crédit, technologique ou de toutes ces autres raisons qui causèrent des dégâts plus ou moins importants dans l'économie mondiale ou, pour le moins, dans celle de telle ou telle région du monde.

    De fait, si rien ne paraît de la réalité de ce crash actuelle, ce n'est pas parce qu'il ne surviendra pas ou que, comme je l'avais envisager précédemment, divers mécanismes mis en place en retarderaient la survenue mais bien parce que celui-ci nous est invisible: il est d'une nature toute autre que de tous ceux qui se sont, les uns après les autres, succédé.

    En effet, cette bulle spéculative est de deux types, complémentaires, et éclate sous nos yeux:

    -   Bulle industriel: la désindustrialisation occidentale (U.S.A., Canada, Europe de l'ouest et Japon pour l'essentiel) qui perdure depuis maintenant près de quarante ans, qui vit les usines s'expatrier là où les salaires sont au plus bas coût pour vendre ces mêmes produits là où ces fabriques ont fermé, s'accentue autant en Occident que dans ces pays aux médiocres émoluments car plus aucun fabriquant ne trouve acheteur de ce qu'il s'usine.

    Il s'agit bien là de la fermeture accélérée d'industries, générant un chômage monstre aux quatre coins de la planète et d'une baisse des salaires occidentaux de même étendue, hormis quelques nations aux rétributions déjà des plus modiques comme en Europe de l'est, et encore, ce qui ne peut pas ne pas s'accompagner d'un ralentissement progressif des échanges commerciaux internationaux, aérien et maritime, et d'une déstabilisation politique croissante des pays;

    -   Bulle monétaire: non pas par la disparition des quatre monnaies que sont $, £, €, ¥, mais de la simple perte de valeur dû à la dantesque surproduction de ces monnaies, totalement déconnectée d'un quelconque réalisme économique et s'amplifiant au fur et à mesure que ces quatre pays et unions, États-Unis-d'Amérique, Angleterre, Union-Européenne, Japon, se désindustrialisent et s'appauvrissent.

    Cette hyper-production monétaire étant dû, à l'origine, pour tenter, dès 2008, de relancer les économies et les industries de ces quatre régions et de sauver des banques qui furent les artisans principaux de cette, déjà, catastrophe économique, avec l'appui aveugle des banques centrales de ces états ainsi que d'un personnel politique incompétent, d'un dogmatisme dangereux, inflexible et extravagant.

    Ces deux bulles spéculatives sont intimement liées en raison de frontières depuis longtemps plus que perméables, béantes, entrainant l'accélération de la fuite et/ou de la ruine des entreprises occidentales, de la monté du chômage ou baisse des salaires par cette concurrence des nations à faibles coûts, suivi de la baisse des bénéfices réels de ces entreprises et dès lors, théoriquement, de celles des bourses si elles n'étaient pas soutenues par ce déferlement de monnaie et de l'achat d'actions par les banques centrales.

    Il y a un renchérissement de cette hyper-production monétaire versée  aux banques, aux bourses et, par delà, aux fonds spéculatifs sous autorité étasunienne: il ne s'agit plus de les sauver mais de retarder le plus longtemps possible leur inévitable banqueroute, conduisant à la ruine universelle mais, surtout, de différer une faillite U.S. déjà effective.

    Hyper-production permettant de prêter aux pays de l'U.E., prêts qu'ils remboursent grâce à  nos propres impôts versés ainsi, indirectement, à ces banques et fonds spéculateurs sans que les états puissent investir dans quoi que ce soit, ce qui ruine d'autant les économies occidentales.

    Nous avons là le plus bel exemple de privatisation de fait des impôts et de la privation du citoyen et de l'état de ses biens puisque, normalement, c'est à la banque centrale de prêter à la patrie.

    Ces crédits aux états sont des vols purs et simples!

    A ce mécanisme vient se surajouter toutes les autres bulles spéculatives qui, à des degrés divers, noyautent et pourrissent l'ensemble des économies mondialisées dont celles de l'immobilier et du crédit sont les plus visibles, comme en Chine ou en France.

     

    L'apparition d'enjeux géostratégiques:

     Ma deuxième erreur est liée à la précédente.

    Elle fut de concevoir que les grands enjeux géostratégiques ne deviendraient centraux que quand l'effondrement boursier en en amorcerait le processus.

    Or, nous sommes dores et déjà entré dans un mécanisme d'éclatement de bulles spéculatives tel que je l'ai précédemment défini et les événements ukrainiens nous montrent combien ces enjeux prennent  de l'importance (étant entendu que dorénavant les enjeux géostratégiques sont essentiellement commandés par des intérêts nationaux et non plus idéologiques).

    Ces événements ukrainiens montrent à tous, d’abord et avant tout, les immenses faiblesses occidentales, tant économiques, politiques, gouvernementales, morales que militaires.

    Plusieurs observations peuvent être faites, entre-autres:

    -la prise de distance progressive de l'Angleterre autant de son allié étasunien que de l'Union-Européenne, sinon son gouvernement n'aurait jamais menacé l'U.E. de faire un référendum pour ou contre la sortie de l'union;

    -la distance prise par la Turquie d'avec l'U.E. et les U.S.A. qui la fait se rapprocher de la Russie;

    -la puissance montante et maintenant incontournable de ces pays qu'avec condescendance l'Occident nomme les B.R.I.C.s;

    -les, pour le moins, déficiences politiques et institutionnelles de l'Union-Européenne, sa gouvernance impossible entre une assemblée sans pouvoir ou en ayant si peu, un conseils européen et des conseils des ministres  inutiles en raison du principe d'unanimité rendant de réelles décisions politiques improbables et la commission européenne, le gouvernement de l'union, aux membres choisis pour leurs mollesses et lacunes.

    L'ensemble de ces déficiences rendant  l'Union-Européenne impossible à gouverner et à réformer, il n'est plus que de la dissoudre..., si elle ne se dissout pas d'elle-même;

    -la détestation montante des peuples de l'U.E. pour cette union qui, en vérité, n'a jamais rien pu leur apporter que le contraire de ce qu'elle leur avait promis: de paix elle ne cherche que la guerre, ici contre la Russie (U.E. étant sans arme, sans munition, sans armée), de richesse elle n'a amené que pauvreté, chômage, ruine, déprédation et désolation, de démocratie elle ne fut qu'autocratie, ploutocratie, aristocratie en ne respectant que toujours moins le vote de ses citoyens, d'égalité entre les peuples elle n'est que domination de l'Allemagne et des U.S.A.;

    -La totale incroyance de nos édiles pour une quelconque valeur de l'Union-européenne, en cela j'en donne trois exemples:

          -Jamais, pendant les jeux olympiques, ne sont décomptés, dans les médiats, les médailles remportées par l'Union-Européenne, jamais aucun athlète ne s'est réclamé de l'union, jamais une personnalité politique de l'U.E. ne s'est, devant les caméra, enorgueillit du résultat de l'ensemble des sportifs européens;

          -La météorologie présentée à la télévision  ne fait nul part mention, hormis sur france24 d'ambition internationale, du temps qu'il peut faire ne serait-ce que chez nos proches voisins, Belgique, Espagne ou Italie;

          -Seules deux élections européennes font cas lors des journaux télévisés, celles d'Angleterre et d'Allemagne, mais quand elles ont lieu aux États-Unis-d'Amérique, le temps d'antenne dépasse, et de loin, ceux des précédentes.

    Cela nous montre bien que l'Union-Européenne n'est qu'une farce dont personne n'accorde foi, même aux plus hautes fonctions et qu'elle n'est que la pauvre résultante de la colonisation de l'Ouest-Eurasie par les étasuniens (parler anglais, hormis pour les scientifiques, la langue anglaise étant devenue langue savante, revient de reconnaitre sa position de colonisé);

    -les puissances régionales montantes, faisant ou non parti des B.R.I.C.s, comme le Brésil ou l'Afrique-du-Sud, poseront, sous peu, le problème de nombreux conflits potentiels;

    -surtout, l'incontournable Russie, détenant des ressources en matière première et en intelligence, ce qui, ironie de l'histoire, la rend centrale en remplacement de U.E.A., elle qui agit avec une grande subtilité et finesse dans sa confrontation ukrainienne avec un gouvernement étasunien ayant perdu toute mesure, esprit et force d'âme et une européenne union ne faisant que suivre les moindre de ses désidératas;

    -je me dois de rajouter une rapide note au sujet d'Israël, sujet sensible s'il en est, proche d'une dynamite de l'écrit et de la parole, quand bien même serais-je juif de par ce qu'il en est dit, d'us ashkenaze athée loin de toute religion et tradition, comme Marx, Freud et Einstein.

    Cette région a été, depuis toujours, d'un intérêt géostratégique majeur et il serait de l'avantage des israéliens et des palestiniens que, dès que la disparition de l'empire U.S. deviendra d'évidence, un terrain d'entente soit trouvé pour éviter que le conflit israélo-palestinien ne devienne, pour de proches ou lointains voisins, la bonne cause pour occuper une position stratégique de première importance (sans compter que cette situation pourrit chaque jour un peu plus l'ambiance en Europe et en France et je ne veux en aucun cas me retrouver face à des difficultés en raison de causes psycho-anthropologiques profondes et logiques que chacun des belligérants feraient bien de rechercher).

    La découverte de gaz et de pétrole au large des côtes Israéliennes et un fonctionnement psychosocial proche de celui des Anglo-saxons pourrait peut-être, aussi, en faire sens.

     

    Fin des Amériques en tant qu'union:

    La Disparition des U.S.A. représentera un problème géopolitique essentiellement en Europe, au Canada et, bien entendu, pour les étasuniens, le reste du monde se préparant déjà, parfois contraint et forcé, à cette échéance.

    Pour les européens et pas seulement les décideurs, ce sera une réelle catastrophe idéologique, bien pire que ce que put être l'achèvement du communisme et la disparition de l'U.R.S.S..

    Bien que certains pays de l'union en viennent à s'écarter de l'empire U.S., en raison de la situation en Ukraine pour l'Allemagne et, dans une moindre mesure, pour la France ou d'une Angleterre, comme je l'ai montré plus haut, qui, comprenant les faiblesses aujourd'hui patentes des U.S.A. et de l'U.E., en est à vouloir reprendre son indépendance, le centre physique et symbolique du néolibéralisme se trouve, dans l'imaginaire euromaniaque, dans les bureaux de la Maison Blanche et le long des allées de Wall Street.

    En réalité c'est l'Europe qui est la mère de cette doxa devenue extravagante, c'est l'ordre bourgeois européen, en perdant le contrôle du capitalisme depuis les cent ans nous séparant de la première guerre mondiale et en l'ayant exporté dans les Amériques depuis plus longtemps encore qui a le plus à perdre de cette fin prochaine, parce que cet ordre bourgeois est devenu ce que précédemment il haïssait le plus: d'une avidité et d'une lésinerie au-delà de toute retenue tenant lieu de toute valeur morale et de culture.

  • Retour sur mes prévisions.

    L'abeille charpentière ou Xylocope Bleue (Xylocopa Violacea), solitaire.

     

    Mes problèmes familiaux décroissent, ce qui va me permettre, après deux mois d'absence, de vous abreuver de ma prose.

    Je vous remercie de votre patience, et puis nous allons recommencer à nous amuser de faire de l'agitation neuronale...

     

    Cher Juan Branco,

    Comme j'ai déjà pu la faire pour une certaine Tatiana Ventôse, vidéophile de son état, participant à un journal vidéo "Le fil d'actu" et organisatrice d'un nouveau IMGP0107.JPGparti politique avec quelques amis,  je m'adresse à vous en espérant que vous me lisiez.

    Je suis déjà heureux de constater que, désormais, une fois encore, j'ai la preuve de par votre seule présence que se renouvelle autant une intelligentsia qui était devenue neurasthénique que d'une réflexion et d'une position politique qui manquait cruellement : je suis adhérent à l'U.P.R.,   le parti anti-U.E. et anti-oligarchique le plus puissant, mais je sais la nécessité de contrepouvoir dès qu'il aura pris la direction du pays (qui d'autre sinon?).

    J'apprécie votre double travail, celui consistant a redonner une dynamique à un mouvement en une formulation politique intéressante, celui des gilets jaunes, mouvement devenant naturellement poli-forme, et aussi de montrer les mécanismes internes de l'oligarchie française.

    (Il est à relever le retour d'une furia francese qui, que l'on l'apprécie ou qu'on le déplore, fut réveillée par les folle décisions que prirent l'U.E. et les oligarques français, européens et U.S., ce que j'avais vu venir il y a quelques années sans pouvoir en définir la forme gilettiste.)

    Au-delà de cela, mon blog a un double but (tout va par deux en ce moment), montrer que chacun d'entre-nous peut avoir une part de réflexion sur le sujet de son choix et, également et peut-être surtout, de prévenir de l'effondrementabeille.jpg économique en cours, système monétariste qui, à un moment donné que personne ne peut définir, cessera totalement tout fonctionnement et, ce, pour un laps de temps qu'il n'est pas possible de déterminer.

    Je passe rapidement sur les questions que pose l'Union-Européenne et, dès lors, l'Allemagne, des deux choix possibles pour en sortir, par le fameux article cinquante de la pseudo-constitution ou par une sortie sèche en en récusant l'appartenance du pays (je ne me souviens plus du terme exacte).

    (Bien qu'il soit également possible que cette cessation de fonctionnement de l'économie monétariste mondialisé en soit le ferment, quoi qu'il en soit l'un et l'autre surviendront inéluctablement.)

    Que vous en aviez ou non parlé dans votre bouquin, que je n'ai pas lu, peu importe, le principal étant cette énorme pierre que vous apportez à la compréhension des citoyens du fonctionnement interne au plus haut de la pyramide hiérarchique politique et économique de la France.

    Si vous en avez le loisir vous pouvez parcourir les pages de mon blog, étant donné que, quand bien même je traite des événements qui se présentent, je m'essaie aussi d'en dégager un certain nombre d'idées, hypothèses, voire de théories.

    P1010825.JPGEn fait mon blog est comme un puzzle composé de concepts divers dont je serais bien en peine de réunir les morceaux pour en faire un tout cohérent, du-moins pour l'instant, je verrai plus tard.

    Dans ce billet je reviens sur certaines de mes prédictions qui se sont avérées exactes, m'appuyant autant sur mon intuition que sur des développements logiques (intuition qui était incapable de pressentir l'émergence des gilets jaunes, oh la vilaine).

    Vous y trouverez aussi quelques idées telles que: l’Étrange Attraction des Peuples pour leur Inconscient Social, la Composition de Sens et la Structure de Socialité, la Rétrogression Historique, une redéfinition des notions de gauche et de droite sur sa base historique ancienne, celle d'effondrement idéologique et quelques autres.

    Vous y trouverez aussi quelques poésies, une fable et trois séries d'aphorisme de mon cru.

    Dans le billet que j'avais adressé à Tatiana Ventôse je montrais les effets délétères de cet effondrement économique définitif contre quoi nous nous retrouverons et qui, à mon sens, pourrait se montrer aussi meurtrier qu'une guerre ou d'une pandémie de grande envergure, ceci d'échelle mondiale.

    C'est pourquoi je souhaiterais que vous me lisiez, l'écrit m'étant infiniment plus P1020003.JPGfacile que l'oral et, de plus, je crains de ne pas être écouté lors d'une intervention audio ou vidéo en raison de mécanisme psychologique que je n'ai pas encore entièrement démêlé.

    Je ne suis en rien survivaliste, nous ne vivons pas aux U.S.A. où cet catastrophe planétaire se révèlera des plus destructrice, mais vous trouverez dans le billet dédié à Mademoiselle Tatiana quelques conseilles me paraissant de bon sens.

    Pour finir cette longue introduction qui vous est destiné, j'avais, je ne sais plus où là encore, postulé du fait que, dorénavant, l'oligarchie française se trouve scindée en deux entre ceux qui sont pour l'empire U.S. et ceux qui ont plutôt des accointances avec la Germanie, si vous avez quelques réflexions là-dessus vous pouvez laisser en commentaire si oui ou non les choses s'y passent bien ainsi.

    Bien à vous.

    Allez, que je me gonfle un petit peu les chevilles, j'avais prévu de petits événements bien que pour d'autres j'aie pu faire erreur.

    Nous ne pouvons avoir raison sur tout, n'est-ce pas?

    Ces prédictions se fondant sur une réflexion de la dynamique historique en cours à l'époque où j'ai pu les écrire, elles peuvent être parfois relativement précises tout comme elles peuvent ne pas l'être, mais surtout elles sont souvent décalées dans le P1010178.JPGtemps, ce que je me suis tenté d'expliquer en fin de page.

     

    J'avais par exemple expliqué par le passé qu'il était folie que de croire que les partis politiques qui sont pour l'Union-européenne (de gauche à droite: P.C.F. / F.I. / P.S. / U.D.I. / L.R. / R.N. pour l'essentiel), qui dès lors se retrouvent être des alliés de fait des oligarques français, européens et étasuniens, de croire, donc, que de tels partis prendront la sécurité des classes-moyennes intermédiaires à hautes comme leur étant d'une absolue nécessité.

    J'avais aussi démontré que pour les-dits oligarques, qu'importe si les bâtiments des grandes métropoles, là où se trouvent les électeurs de leurs hérauts, que peuvent être Macron ou Hidalgo, s'effondrent ou explosent par le gaz.

    J'avais aussi montré que de mettre en concurrence ou de privatiser un service public, d'autant plus s'il est en réseau et de santé, l'affaiblirait gravement et finirait par le déstabiliser puis par le rendre inopérant.

    Or, ce qui devait arrivé arriva, dans la nuit du Dimanche 14 au Lundi 15 Avril, un immeuble vient d'exploser à Paris en raison d'une fuite de gaz.

    Sachez, Messieurs-Mesdames les parisiens qui ont élu Madame Hidalgo comme maire de la capitale et Monsieur Macron comme Président de la République, que vous êtes tous en grand danger: quel immeuble, demain, à Paris, à Marseille, àP1020020.JPG Toulouse ou ailleurs sera brusquement détruit par explosion en raison d'un manque d'entretien du réseau de gaz?

    Comme j'ai pu l'écrire auparavant, les oligarques, les nababs qui nous dirigent réellement se foutent comme d'une guigne que votre habitation soit détruite à cause de la privatisation de G.D.F. ou pour toute autre raison, quand bien même logeriez-vous dans le 16ème arrondissement.

    Pour eux vous n'êtes qu'un électeur bien obéissant, un client solvable joliment manipulable, un bon toutou qu'il suffit de caresser dans le sens du poil et rien de plus!

     

    J'avais également annoncé que l'église catholique ne pouvait pas être la seule à abriter en son sein des pervers narcissiques et que, bientôt, nous apprendrions la présence de tels perfides personnages en d'autres lieux de pouvoir.

    J'avais écrit ici ceci :

    C'est pourquoi, si une église quelconque, quelle que soit la religion, ne fait pas attention, peut s'y glisser nombre de pervers narcissiques qui y trouveront là bonne figure avec, de plus, des proies à foison chez des fidèles rendus naïfs en raison de la place qu'ils occupent.

    P1020022.JPGC'est à cela que l'église catholique se confronte, mais soyez sûrs que d'autres se cachent en d'autres religions et que des affaires similaires surgiront ailleurs.

    Or et toujours dans le journal W.E.B. Sputnik, que voulez-vous, nos médiats adorent l'Islam mais détestent le christianisme, qu'un muezzin et un Imam furent, au Maroc, à la date du 13 Mars 2019, accusé pour le premier, condamné pour le second, pour détournement de mineur.

    C'est le silence qui fonde leur pouvoir, que ce soit au sein de la famille, dans un parti politique, à l'intérieur d'une religion, ou n'importe où d'autre, je pense qu'un test psychologique suffirait à les débusquer, voire, tout simplement, de repérer leurs actes déviants et perfides s’avérant, avec le temps, de perceptible à visible.

    Étant entendu que certains de ces personnages peuvent manipuler de leurs victimes pour qu'elles agissent à leur place.

     

    En revanche, certaines de ces prédictions ne peuvent en aucun cas prévoir la forme que cela prendra.

    Il en est ainsi de l'empire U.S. duquel j'annonce depuis des années la situation déplorable et sa déliquescence avancée, lui qui n'arrive plus à faire baisser son chômageIMGP0195.JPG structurel composé de 102 million de personnes, Monsieur Trump ne pouvant que limiter cette casse sociale.

    La preuve en est : l'empire ne sait même plus fabriquer ses avions, qu'ils soient civile, ainsi du Boeing 737 M.A.X. 8 qui se révèle d'une si grande dangerosité que partout dans le monde il est interdit de vol.

    Mais aussi militaire, ainsi ce fameux nouveau F35 qui se révèle grandement problématique, si ce n'est pire

    Avion que, part ailleurs, nombre de pays européens achètent à Tonton Sam, ces bons toutous gouvernementaux à la solde unioniste et otanesque ont acquis, vont acquérir pour leur pays un zinc qui, se dit-il, est plus proche du fer à repasser que de l'élégant albatros.

     

    Ainsi avais-je également présagé il y a près de cinq ans le retour du fait politique en un geste, à l'époque, poétique, d'une poésie en prose, dont je reproduis en copier/coller le texte ci-dessous, n'en étant pas mécontent, bien que l'ai légèrement retravaillé.

    IMGP0447.JPGAurais-je pu imaginer, à l'époque, que des gens vêtus d'un simple gilet jaune  en viennent à confirmer ce que je ne percevais à l'époque que par des signes si ténus que seules mon intuition alliée de mon imagination m'avaient permis de le pressentir?

    Bien entendu que non, d'ailleurs il n'y a personne qui aurait pu le deviner, même ceux qui, tous les Samedi, descendent en ce moment dans la rue, auraient traité de fou celui qui en aurait formuler la possibilité du bout des lèvres à l'époque.

     

    Voici venir le temps ou la politique reprend ses droits.

    Ne la croyez pas bardée de certitudes, elle ne se montre ainsi qu'aux benêts, c'est justement en cela que se prouve sa puissance.

    Elle qui fut, pendant près d'un siècle, voire doublement plus, abaissée et meurtrie d'avoir été remplacée par des idéologies ne plaçant que l'économie comme seul vecteur de convictions, reprend une place qui ne lui aurait jamais dû lui être ôtée: celle de la gouvernance.

    Ô certes, nous voyons, ici et ailleurs, se débattre tous ces idéologues, ces songe-creux tenter désespérément de sauver une doctrine moribonde d'un monde qui désormais se refuse à eux: la ruine universelle est à notre porte, pour notre plusP1000637.JPG grand bien, nos plus grandes des difficultés, mais pour leur plus absolu malheur.

    Il est sot de penser que ces misères économique ne concerne que la France, ou l'Allemagne, ou l'Europe et sa pauvre union, non, cette misère s'étend à la Terre entière, s'insinue jusqu'au moindre interstice de la plus infime richesse perdue dans le plus petit des ignorés recoins.

    Comme un monstre blessé à mort, un sanglier sentant sa fin prochaine, un lion d'avant son agonie chargeant une dernière fois ses chasseurs...

    Comme cette étoile titanesque tentant de survivre en brulant en son sein un carbone qui ne fera plus que fer avant qu'elle ne se fasse supernova en une implosion, explosion gargantuesque, en illumination des cieux d'une déflagration dantesque, éclairant de sa mort jusqu'aux confins de l'univers, n'en restant plus, ensuite, que les scories, les restes fumants d'une grosse boule faite de neutrons tournant en toupie folle...

    Comme tout cela, les néolibéraux, les petits et les grands, s'enflent d'aigreur et de violence autant que s'enflent ces monnaies produites ne valant plus pipette d'en avoir tant fait paraître, autant que s'enfle le nombre de ces gens entrant au chômage pareil qu'hier leurs aïeux entraient dans les tranchées pour se faire massacrer sur les sols boueux de cadavres de la Marne, de la Somme, de Verdun.

    P1000646.JPGNos pauvres avares, pauvres fortunés, nos pauvres rapiats, pauvres grippes-sous, ces pauvres fesse-mathieu en sont, de ne demeurer si peu de temps encore maître des monnaies, maître des fortunes, de se croire maître de l'humanité, en sont à vouloir nous confisquer, à tous nous confisquer le pain et le toit, ce pain et ce toit de chacun des humains, sans comprendre que chaque dollar, chaque euro, chaque yen, chaque livre sterling, chaque yuan, chaque billet produit, chaque zéro de plus sur un écran est une pelletée de plus du creusement du trou de leur tombe, que chaque usine fermée forge leur cercueil.

    Ils luttent à mort contre la simple réalité de leur prochaine ruine, c'est elle qui déjà les tue, les détruit, les submerge, c'est contre elle qu'ils ruent, contre elle qu'ils se révoltent, aidés en cela par toutes ces petites mains ne voulant que donner le saint baisé à la bague d'abondante gloutonnerie que porte ces nababs, en pâle imitation des catholiques embrassant pieusement l'anneau papal du pêcheur.

    Lutte entre l'apparence et le concret, entre le m'a-tu-vu et l'existant, entre le paraître et l'être, l'Être, entre la beauté de façade et la simple élégance, entre la simpliste évidence et la complexe complexité comprise, entre l'illusoire et le réel, entre l'ostentatoire infamie de la béance narcissique d'un ego boursouffléP1000770 - Copie.JPG et la discrète splendeur de l'intime lumineux.

    Lutte, surtout, entre l'individu toujours et à jamais humain, si humain, du pire au meilleurs, se sachant à jamais différent de l'autre si différent de lui, et le rêve fou, délirant, aliéné des adeptes et apôtres de ce néolibéralisme des marchés et fonds de tous types rêvant de rendre chaque semblable semblable à son semblable, clones universels n'achetant jusqu'à plus soif que du tout et n'importe quoi, du moment qu'il achète en pauvre marionnette et robot.

    Lutte enfin de chacun contre chacun en une concurrence devenue rance à force de rendre ennemi le moindre des voisins, tous partagés entre pigeons, loups et hyènes, en un jeu fait de mensonges et de triches ou il ne s'agit pas de vendre de la qualité à son juste prix mais de faire croire le médiocre de qualité pour le vendre au-delà du plus cher, de ne plus vendre que du médiocre à force de ne vouloir fabriquer qu'aux prix les plus bas, les plus vils.

    Cette lutte paraissant prendre fin dans cet espace semblant ouvert d'une planète sans frontière ou une économie reine s’annihile, en vrai, du mirage de tous ses simulacres et affole de son affaiblissement, de sa prochaine chute, tous les prétendants à sa dote ultime et ridicule: le commandement du monde par la richesse absolue et suprême.

    P1000813.JPGCe monde sans temps, sans passé, sans présent, sans futur, aux commémorations vides de sens, où seul l'achat, la vente et le P.I.B. font réels débats, gouverné d'une ploutocratie mondiale, invisible et voilé, alliée, d'un bord, d'une myriade de commerciaux besogneux et soumis, de l'autre, de gouvernances, élues ou pas, et journalistes chroniqueurs complices de ce monde, oui, ce monde, dis-je, qui se brise sous les coups vigoureux de leur propres manquements, leur propres forfaitures.

  • Marianne se sauve grâce à l'imbécilité de ses tortionnaires.

    ( Chère Tatiana Ventôse,

    Ce papier (ce qui est marrant face à un écran) vous est adressé.

    Je ne vous connais pas et ne réagirais pas à votre intervention youtubesque sur vos positions politiques par quelque vidéo que ce soi.

    La raison en est que je sais quelles réactions cela va générer chez tout un chacun: diverses formes de refus à ce que je puisse exprimer la moindre pensée valide, dire l'inverse que ce que je peux exprimer, négation net de sa logique..., pouvant mener à une agressivité à mon égard.

    Ce phénomène, que j'ai pu connaître aussi loin que je peux remonter dans mes souvenirs, m'est encore difficile à appréhender, trouvant sûrement sa source d'aujourd'hui en ce que je tiens un discourt discordant de ceux qui sont tenus habituellement, mettant bien sûr mes réflexions de ses origines hors du champ des échanges sociaux.

    Dedans ce qui s'appelle mon soi jardin secret.

    Cela s'appelle, paraît-il, le syndrome de Cassandre, je vais prendre la peine de l'analyser, je sens qu'une fois encore je vais m'amuser.

    C'est pourquoi c'est par ce blog (en raison aussi de ce que je ne veux fournir qu'au minimum mes informations personnelles sur ce net pas toujours bien net, hi, hi, hi) que je vous expliquerais, en première partie, les raisons pour lesquelles vous doutez de la profondeur du programme de l'U.P.R., ce que vous sentez P1020030.JPGconfusément sans réellement en saisir le pourquoi, là se trouve, à mon sens, vos approximations à ce sujet,  je vous exposerai après les raisons pour lesquelles j'ai moi-même adhéré à ce parti sans en être militant (vous en avez déjà une approche partielle par mes quelques lignes plus haut).

    Ensuite, en seconde partie, je montrerai que désormais la France est sortie d'affaire, certes, cela ne sera pas un petit chemin qui sent la noisette, mais mieux que bien d'autres, notre pays, contrairement à ce que certains voudraient nous le faire croire (les services britanniques?), va sous peu recouvrer ce dynamisme flamboyant et désordonné qui fait son charme et sa puissance.

    Ce que nos manipulateurs patentés et discrets ne comprennent pas, c'est que dès que la racine des croyances que ces opérateurs ont insinuées dans les esprits, quelle qu'en soit la technique, se sera écartée, que ces manipulateurs auront disparu, l'évidence de la réalité des faits deviendra éclatante pour la majorité de nos concitoyens.

    Et je puis vous assurer que j'en connais quelque chose.)

    La réponse critique la plus habituelle qui vous est faite au sujet de l'U.P.R., thème que vous avez abordé lors de cette vidéo au titre de: "Mes opinions politiques: je vous dis tout", est qu'il nous faut d'abord retrouver notre souveraineté avant que nous ne puissions espérer reprendre une vie politique et idéologique normale auP1020077.JPG sein d'une démocratie adulte.

    Que cela soit la nécessité première avant toute autre prise de position idéologique que ce soit, avant tout programme électoral débattu et disputé.

    A ceci est rajouté lé fait que, dans l'ensemble, ce programme U.P.R. offre une première mouture organisationnelle structurée.

    Ne nous le cachons pas, cette approche est logique et cohérente, sauf si nous nous retrouvions à nous confronter à un effondrement de l'économie globalisée menant, à sa suite, à celui politique de tout ce qui compose l'Union-Européenne, ce que je ne cesse de traiter ici même.

    Le choc psychologique que cela représentera pour tous ceux qui en ont adopté la doxa eurolâtre et américanolâtre sera telle qu'ils ne pourrons faire autrement, soit de décompenser gravement, ce que j'avais montré dans mon billet précédent, soit de se réfugier, comme une majorité de nos concitoyens, psychologiquement s'entend, au-dedans d'une idéologie passée, un patriotisme, une religiosité, un nationalisme échevelé, voire même, rarement, pour certain, à une forme ou une autre d'anarchisme, soit tout simplement de se défaire de toute pensée idéologique de quelle que nature que ce soi.

    Or, dans le même temps où un nombre important de ceux qui organisent la vie sociale, politique et structurent l'administration de la nation se retrouveront en débandade, nous nous devrons de gérer une calamité économique qui, à y regarder de près, rendra notre existence des plus compliquées.

    Pour résumer rapidement, nous manquerons de monnaie, de combustible, de nourriture et de matériels de première nécessité, en ces deux simples exemples, les P1020021.JPGréfrigérateur et ordinateur nous seront absents, sans compter les matières premières et les médicaments..., j'en ai évoqué les raisons dans des textes précédents.

    J'émets l'idée, mais peut-être, bien sûr, en aurais-je tort, que, confusément, vous pressentiriez que là se situerait les limites programmatique du parti de François Asselineau et que la désintégration de l'euro, ce que lui-même et son équipe ne cessent de souligner, signerait, à mon avis, celle du dollar, de l'U.E. puis, à leur suite, de la mondialisation monétariste, ce à quoi ils ne semblent pas songer.

    Les causes en sont faciles à définir: réformer, même à la marge, un système politique triplement verrouillé, institutionnellement, politiquement et idéologiquement, comme l'est notre union et l'était l'U.R.S.S., ne peut que le détruire (il va falloir, un de ces quatre, que j'en explique le pourquoi), or l'euro en est inextricablement lié (tricher avec ces mêmes institutions ne lui étant en rien préjudiciable puisque c'est un phénomène différent, la triple composante sus-nommée de l'U.E. restant en l'état).

    De plus cette monnaie et les banques afférentes, européennes, si fragiles, sont, d'une manière ou d'une autre, enchaînées au dollar et aux banques de l'empire U.S., c'est pourquoi les entreprises européennes quitte l'Iran au plus vite.

    Dollar lui-même, en situation de non-valeur réelle à cause des Q.E., qui se retrouve à être la monnaie de réserve à l'international, ceci doublé de l'immensité desP1020025.JPG créations monétaires quasiment généralisées, mène à ce que si l'euro explose, ce sera donc l'Union-Européenne qui le suivra, puis logiquement par le dollar, ensuite les U.S.A. et enfin l'économie mondiale.

    (  C'est l'un des multiples scenarii possibles de l'explosion de l'économie-monde, bien d'autres sont envisageables, la faillite d'une banque ou d'une assurance trop grosse pour être faillie, le début d'une guerre civile aux U.S.A., l'effondrement d'une place boursière, en Europe ou en Chine par exemple, voire même un événement insignifiant mais significatif des instabilités économiques internationales......  )

    Nous plongeant dès lors dans ce chaos économique semblable à celui dû à une guerre de grande ampleur (de tous les flançais) qu'il me semble que vous entraperceviez, pouvant même nous conduire au retour général à la disette et aux tickets de rationnement, c'est pourquoi je ne cesse de donner ce conseil: faites vos réserves.

    Dès lors, je ne vois pas qui, lorsque surviendra cette faillite de l'économie-monde, des hommes et des femmes politiques actuelles, pourrait géré une telle situation, sinon un personnage tel que Monsieur Asselineau détenant, en lui, l'ensemble des outils institutionnels, administratifs et politiques pour en avoir une vision d'ensemble.

    C'est le motif principal pour lequel j'ai adhéré à son parti (n'allez pas croire que je P1010825.JPGvoudrais que vous fassiez de même, là n'est pas la question, je ne fais pas du prosélytisme pour l'U.P.R., et, en aucun, cas je ne vous ferais cette sotte injure, je respecte part trop votre intelligence pour agir ainsi).

    Or, et c'est cela qui me fait dire que le-dit programme ne pourra pas être en plein suivit,  ce sera à cause des très nombreuses urgences auxquelles le gouvernement d'alors se devra de faire face au devant de cette crise première, que seules les mesures les plus symboliques et utilitaires seront prise.

    Il en sera ainsi de la renationalisation des services publics, ce qui sera aisé puisque leurs possesseurs actuels seront tous ruinés et, pour une large part, disparus, du retour au franc, du déblayage des lois, constitutionnelles ou pas, liées à  une U.E. vidée, elle aussi, de son substrat et détruite, et aux oligarques néolibéraux eurolâtres et américanolâtres ruinés, puis à la votation rapide de nouvelles règles comme peut l'être le référendum d'essence populaire.

    (  Étant entendu que, bien sûr, il faudrait qu'à ce moment là François Asselineau et l'U.P.R. prennent le pouvoir.

    Il serait à penser que quand le système de globalisation heureuse ne sera plus, la majorité des élus du R.E.M., idéologiquement fragiles, fuiront et que leP1020011.JPG gouvernement de la France se sera vidé se sa substance, hormis quelques personnalités aujourd'hui des plus discrètes.

    Quand à notre président, je crains qu'il subisse un choc psychologique violent dû à la surprise, lui qui, en cela, est d'une grande fragilité, d'autant plus que nous pouvons facilement supputer (bonjour madame) qu'en raison de ce que j'appelle un effet Peter généralisé, il ne doit recevoir que des informations tronquées, voire fausses.

    Suivra donc un moment de chaos ou ne subsisteront qu'une partie des députés, là nous pourrons percevoir qui est sérieux à l'Assemblée Nationale, le sénat, par contre, restant, dans sa grande majorité, présente.

    Suivant la loi, si le Président de la République disparait de son poste avant la fin de son mandat, c'est le président du sénat qui se retrouve à gérer les affaires courantes, le temps d'organiser de nouvelles élections.

    Des partis politiques restant à peu près valides, Je n'en vois que peu: l'U.D.I., la F.I. et l'U.P.R., tous les autres auront explosé en vol, Monsieur Mélenchon, quand à lui, pouvant gravement décompenser.

    Les effets de cette banqueroute généralisée seront gravissimes, en un premier jet  j'en avais conceptualisé ceux me semblant les plus destructeurs ici.

    Le mieux serait, dès lors que ce chaos total se sera installé, chaos largement incompris par une bonne part de la population, à ce que de nouvelles élections présidentielles et législatives s'effectuent.

    P1020045.JPGMais l'état, à ce moment là, en aura-t-il les capacités ou le président du sénat devra-t-il  nommer un gouvernement provisoire de quelques mois le temps que la situation  commence à se rétablir?

    Je ne saurais le dire.  )

    C'est donc, à mon sens, cela que, confusément, vous pressentez, sans que vous ne l'ayez clairement conceptualisé, ce serait dès lors pourquoi vous avez considéré comme limité l'ensemble programmatique de l'U.P.R..

    Ce que je vous propose, si tant est que vous lisiez ces lignes, c'est  que, vous et de vos amis qui comprendraient la difficile situation future dedans laquelle nous nous retrouverons tantôt, vous réfléchissiez de votre coté aux considérables implications que mènera cette banqueroute généralisée (ce qui est bien c'est qu'il est possible de le dire de diverses façons).

    Parce que, voyez-vous, de ne faire que penser seul à cela ne peut que restreindre ma perception de la chose.

    Maintenant allons voir ce qui me fais dire que, dorénavant, la France est sauvée des multiples et destructeurs effets de l'imbécile néolibéralisme sous égide finissant de l'empire U.S., des oligarques nationaux et internationaux, de sa perle coloniale racornie qu'est l'Union-Européenne et

    Il est des choses étranges dans la vie, ainsi, parfois, notre pire ennemi peut nous sauver et notre meilleurs ami nous perdre.

    Tel en est le macronisme-philippard et les radios-élément du R.E.M., héritiers des deux dernières législatures qui en avaient préalablement déblayé le terrain, aussi et surtout d'une pensée politique qui se révèle en réalité gravement archaïque et n'en est qu'à n'en exprimer que les mêmes ânonnements de ceux-là qui, le temps passant, en sont devenus vieillards: Attali, Cohn-Bendit, B.H. Levy, Gattaz, Le Pen, même combat!

    Et oui, Monsieur Macron comme tous ceux qui l'entourent, comme l'a très bien dit Emmanuel Todd, ont une pensée de vieillard et ne sont en rien dans la modernité.

    Mais bon, il n'est plus le moment de penser un présent qui peut rapidement passer au passé, est venu celui où nous devons réfléchir à un effondrement économique qui, reculé depuis 2008, a accentué tellement les déséquilibres de toutes sortes que ses effets en seront terribles.

    Or, la France est prête autant qu'elle pourrait l'être si nous songeons aux décisions absurdes que l'équipe de pieds nickelés nous servant de gouvernement prend.

    Mais pourquoi donc considérerions-nous pouvoir gérer au mieux une telle catastrophe future, dont il est impossible de déterminer la date, le processus et ses effets réels?

    Parce que nos oligarques et leurs séides nous servent sur un plateau la peur, chez les classes-moyennes intermédiaires à hautes, qu'engendre l'action gouvernementaleP1020077.JPG directement lié aux G.O.P.E. de l'U.E., peur, angoisses même de déclassement en raison de ce néolibéralisme forcené de ceux-ci.

    Classes-moyennes intermédiaires à hautes qui sont le socle sur lequel repose leur puissance et qui s'évanouit au même rythme que les élus du R.E.M. fuient à grand pas les bancs de l'Assemblée-Nationale.

    Classes-moyennes qui même si elles furent abruties par la masse propagandiste à laquelle elles furent exposées, n'en restent pas moins la nouvelle et future élite du pays, ce qu'elle avait inconsciemment compris lors de la manifestation suivant l'attentat du Bataclan et de Charly Hebdo.

    La peur leur devenant ainsi bonne conseillère, elles en viennent déjà à douter du bienfondé de ce qui se fait appelé la construction européenne, en ne se laissant plus bercer par les petites historiettes qui leur sont contées à ravir par des médiats télés et radios en venant à être, comme les journaux, de plus en plus déconsidérés.

    Et oui, nos bonimenteurs patentés en sont devenus à se caricaturer eux-mêmes, devenus sourds et aveugles aux soubresauts économiques et politiques, ne faisant que débattre de thèmes à mille lieues des nécessités de la population, de toute la population, ainsi que de la terrible épreuve qui se profile à l'horizon.

    Ils rêvent, pour les raisons indiquées aux textes précédents, et ne peuvent parler de l'Union-Européenne sans que leur idolâtrie ne les trahisse.

    Mais ce n'est pas seulement ce réveil des classes-moyennes qui me fait dire que la France est dorénavant sauvée, bien que cela soit d'un premier point d'importance dans l'idée que j'exprime ici: la France n'est pas morte.

    P1020109.JPGD'une certaine façon, la vente internationale à vil prix de notre savoir-faire et de nos usines nous met dans une autre nécessité, celle de devoir réinventer l'industrie.

    Deuxième point également centrale dans ces réflexions.

    En fait, notre désindustrialisation ne peut qu'être pour nous une chance, la même que pour la Russie d'aujourd'hui, pays dont nous sommes très proche.

    Ne nous le cachons pas, reconstruire un tissu industriel dynamique ne sera pas une mince affaire, et s'il n'y avait seulement que l'industrie, ça irait encore, mais les chantiers qu'il faudra ouvrir seront nombreux et divers, dont celui d'un renouvellement du journalisme dont vous et vos amis, mam'zelle Tatiana, participez, comme d'autres, à la reconstitution.

    La simple existence de personnes comme vous montre, justement, que les germes de cette reconstruction sont déjà présentes, ce qui rend évident ce second point positif sur le sujet qui nous intéresse ici.

    Le troisième point est que, dorénavant une recomposition politique, qui ne peut qu'être que provisoire, se met en place, avec des débats, il est vrai, essentiellement centré sur la nature et les instabilités de l'Union-Européenne.

    En cela il y a cinq pôles:

    1) L'U.E. est indépassable telle qu'elle existe, position de l'équipe macronienne, des partis politiques, journalistes et autres experts officiels;

    2) L'U.E. est mal construite et doit être réformée et si cela ne peut pas se faire, il faut, au bout du bout, en sortir, ce qui est la position de F.I.;P1020105.JPG

    3) l'U.E. est une mauvaise chose en soi et le pays doit en sortir au plus vite par l'activation de l'article 50 du traité de l'union, ce qui est la position de l'U.P.R.;

    4) Il existe aussi, partant de ce principe, ceux qui préfèreraient une sortie sèche de l'union, à la hussarde si je puis dire;

    5) Il y a ceux qui, comme moi, pronostique un effondrement catastrophique de l'économie globalisée qui ne pourra qu'emporter cette union dans sa tombe.

    La dernière position n'ayant quasiment pas d'écho, ce qui est logique.

    Déjà que toutes les autres positions se pensent dans un monde inchangé, imaginer qu'il serait possible qu'il disparaisse d'un coup est, pour une majorité de gens, très, très, très dérangeant, j'en ai encore fait l'expérience juste hier.

    Je n'ai lu de texte de ce type que d'une seule personne, un certain Dimitri Orlov, un américain né en Russie soviétique expliquant les processus d'effondrement, traduit par le site Dedefensa, où j'y trouve trois confirmations de ce que j'affirme depuis quelques temps:

    -Les U.S.A. se replient sur leurs bases antérieures d'avant 1945;

    -Ils craignent une guerre civile;

    -Ils veulent détruire l'Union-Européenne.

    Le fait que ce pays puisse devenir communiste, même sous une forme atténuée, je l'avais suggéré dans plusieurs de mes textes, il y a longtemps et je ne me souviens plus où.

    P1020029.JPGMonsieur Orlov ne parlant, pour l'essentiel, que de la Russie et des Etasunis, en comparant la situation passée du premier à celle présentement du second.

    Quoi qu'il en soit, je n'ai pas, pour l'instant, trouvé nul part de site qui, comme je le fais, en analyserait les effets en France, dont celui de la destruction consécutive de l'U.E. après, voire avant celle de la globalisation monétariste joyeuse.

    Bref, ces débats laissent à prévoir une reformulation politique que Marianne ne peut qu'approuver.

    Artistiquement, il y a un frémissement, je le sens encore largement en jachère, mais ça frémit, et ça c'est un quatrième point d'une grande importance.

    Bien que gravement affaiblis, la police, l'hôpital, l'armée, l'université, la science et, pour partie, l'administration, tiennent encore, parfois avec des bouts de ficelles mais ils tiennent, c'est le cinquième point qui importe aussi.

    En sixième point, le maillage communal des mairie et aussi des départements n'est pas encore détruit par l'Union-européenne, parce que lors de cet effondrement, ce sera là que se situera les premières adaptations à la nouvelle situation: le maire d'abord, le préfet en prenant la suite.

    Septième point et toujours autant d'importance, le retour au patriotisme, et n'allez pas croire que celui-ci ne se résumera aux seuls français de souche, loin de là.

    Ce retour je l'ai senti lors de vos interventions vidéos et il est logique et naturel.

    Enfin voilà, nous pouvons considérer Marianne sauvée, la France se reconstruira, avec moult difficultés, il est vrai, mais elle n'a pas disparue, elle n'est pas défunte, et, sous peu, elle réémergera de nouveau, différente que par le passé, c'est évident.

    Contrairement à ce que les fâcheux voudraient nous faire croire.

    Mais cela ne veut pas dire que nous ne devrions pas faire nos réserves, tout auP1020107.JPG contraire...

     

     

    THEURIC

  • Le néolibéralisme n'est plus!

    "Mais non," diraient certains, "l'économie se porte parfaitement bien, il ne serait qu'à contempler", rajouteraient-ils, " la magnificence de la bourse!"

    Baliverne, nous sommes aux portes de la plus terrible faillite que le monde humain n'ait jamais connu.

    La France, notre pays, ainsi que de tous les pays d'où francophones et francophiles me lisent, doivent s'attendre à une déflagration implosive de toute cette économie mondialisée qui sera, sous peu, rendue à moins que rien.

    Ce seront l'ensemble des monnaies qui seront touchées en raison du nombre incalculable de bulles spéculatives qui ont enflé, centrées majoritairement sur des banques qui furent laissées libres de leurs décisions et de paradis bancaires et fiscaux que tous les décideurs décrient mais qu'aucun ne veut réduire.

    Alors, comment feront ces monnaies pour s'évaluer les unes, les autres?

    Certes, il y a des pays tels que la Chine ou l'Inde qui ont accumulé une importante masse d'or (quand notre ancien Président de la République, Monsieur Nicolas Sarkozy, dit l'américain, à vendu une partie du nôtre contre des dollars qui ne valaient déjà plus rien), mais même de remplir les coffres des banques centrales de métaux précieux empêchera-t-il le chaos monétaire?

    L'or lui-même aura-t-il une valeur d'échange lors de cet effondrement?

    C'est pourquoi il me paraît évident que le commerce international sera largement immobilisé pour une période ne pouvant être conjecturée: les banques disparues ou nationalisées par des états en grandes faiblesses, les bourses revenues à des valeurs du plus d'un siècle passée et toutes les monnaies sans valeur relatives aux autres monnaies, pas grand chose pourra soutenir un transport maritime et aérien n'ayant plus que très peu de clients.

    Les notions d'inflation et de déflation pourraient même n'être que de peu d'intérêt.

    Les seules valeurs auxquelles pourraient prétendre chaque nation seront celles de leurs patrimoines agricoles, industriels et intellectuels.

    Je vous conseillerais, ainsi, cher lecteur, de ne partir, pour les prochaines vacances, que dans des pays pas trop éloignés du vôtre, voire même, par prudence, de ne pas trop vous éloigner de votre habitation.

    Parce que cette interruption des transports pourrait générer une paralysie de nos importations en carburant.

    Et que cette faillite universelle peut survenir n'importe quand, le système économique mondial pouvant, toutefois, tenir quelques mois encore.

    Nous devrons faire face à d'autres difficultés et il en est une qui, bien que discrète, n'en est pas moins redoutable.

    Que ce soit chez nos décideurs et gouvernants ou dans l'ensemble de la population, un déficit de maturité psychologique, ainsi que culturel et conceptuel grave, multifactoriel, s'est mis progressivement en place depuis bon nombre de décennies.

    Tout ce qui, de près ou de loin, peut ressembler à des concepts et idées un tant soit peu complexes sont rejetés, parfois avec violence, d'autres fois silence.

    Lorsque surviennent des époques telle que celle que nous vivrons sous peu, c'est l'adaptabilité de chacun et, dès lors, celle de l'ensemble de la population qui compte.

    Or, nous nous retrouverons devant des difficultés telles et elles seront à ce point inédites que ce sera à chacun d'entre-nous de faire preuve de cette adaptabilité nécessaire.

    Mais cette faiblesse, cette médiocrité de notre époque tend à réduire les capacités d’abstraction de chacun et c'est l'aristocratie d'argent ainsi que ceux les accompagnant au sein de cette doxa minimaliste, personnel politique et journalistes en vu, qui paraissent être les plus atteint de cette indolence doctrinale.

    Les commentateurs télévisuels et radiophoniques nous en fournissent tous les jours le triste exemple où, à une grande ignorance, se conjugue l'arrogance et l'outrecuidance lorsqu'ils se retrouvent au-devant d'une personnalité dont la pensée dépasse, si facilement, leurs capacités d'abstractions.

    Il est vrai que la télévision désorganise, avec le temps, le narcissisme de la personne la plus raisonnable (celle-ci sait la caméra être un miroir dont elle ne reçoit aucun reflet mais qui se divulgue sur une myriade de lucarnes en autant de fragments d'images invisibles, ne prenant vie que devant des téléspectateurs eux-mêmes ignorés).

    Cette déculturation, doublée d'une culpabilité toujours présente, héritage  dû aux deux guerres mondiales, ceci amplifiée par une manipulation culturelle étasunienne continue datant des années cinquante a provoqué une ankylose de l'envie du savoir et de la connaissance.

    L'Europe de l'ouest et l'Amérique du nord en sont les plus touchées parce qu'ils ont régressé quand  tous les autres ont progressé.

    C'est pourquoi je crains qu'il ne nous faille quelque temps, avant que des personnels qualifiés puissent prendre la relève d'un pouvoir qui sera parti à vau l'eau.

    C'est pourquoi je crains aussi et surtout des réactions violentes là où cette déculturation est la plus importante.

    C'est pourquoi, amis lecteurs, je vous ai également donné ces quelques conseils que vous pouvez trouver dans le texte précédent.

    Ceux qui, par désinvolture et dédain, sont appelés les bobos et qui, aujourd'hui, s'approprient ce terme dans ce processus naturel de reconnaissance et de différentiation  d'un mot d'abord empreint du mépris du réactionnaire et/ou raciste pour ensuite être adopté par ceux-là même pour qui c'était une injure (comme il en est pour celui de Kanak), ce seront ces bobos, donc, la nouvelle élite montante, à qui reviendra la difficile tâche de prendre et d'apprendre une gouvernance dont l'état, à ce moment là, pourrait se trouver entre une déliquescence avancée et une efficacité toute relative (toujours possible).

    Quoi qu'il en soit, cet ensemble informel fait d'individualités divers a de trait marquant et partagé cette nécessité, ce besoin de culture et de savoir qui manque cruellement ailleurs.

    Parce que se confrontant aujourd'hui à des contradictions sociales importantes ("La république bobo" de Laure Watrin & Thomas Legrand), de nature inventive, cette unité d'affinités collective, venant d'origines professionnelles, culturelles et d'échelles sociales variées est, surtout en France (Emmanuel Todd), la seule réelle puissance pouvant remplacer nos élites du temps en fin de course et gérer cet immense chantier que sera la refondation d'une société pérenne sur des bases démocratiques convenables.

    N'oublions pas le paradoxe qu'est l'économie qui est qu'elle ne se développe véritablement qu'une fois que l'ensemble les organisations, sociétés d'état et infrastructures nécessaires sont mises en place, que l'efficacité économique est donc la résultante de décisions politiques prises en amont, d'abord et avant toute chose pour que se mette en place le bon fonctionnement de la société.

    Cette bonne économie est donc une nécessité absolue pour toute société mais se doit d'être pensée comme faisant parti d'un ensemble dont la société est le centre, c'est là son paradoxe et la difficulté de sa mise en place: elle doit être pensée comme étant le résultat d'une bonne politique et, en même temps, être l'outil nécessaire pour mener toute bonne politique, cela comme œuf et poule confondus.

    C'est à la puissance publique, dès lors, de conserver l'entière maîtrise des puissances économiques et il en est de même des forces armées, militaires et policières, les trois pôles régaliens.

    Il est à noter l'affaiblissement déconcertant que ces dernières ont subit au moment même où, à l'intérieur comme à l'extérieur de nos frontières, surgissent déjà d'intenses tensions (les événements ukrainiens n'étant là que des peccadilles).

    L'accroissement des voles avec arme et/ou violence dans de petites boutiques de quartier montrent, ainsi, autant la pauvreté de jugeote de nos bandits de grands chemins que la monté de la sotte et dangereuse agressivité d'une population pauvre de raison et d'argent, ce n'est pas dans les petits commerces que se trouve la moindre valeur.

    Les conflits maliens et centrafricains nous montrent également, de par la totale indigence de notre armée et en raison de la nécessité absolue, pour l'armée française, la première d'Europe, rappelons-le (qu'en est-il pour nos voisins?), d'agir pour protéger nos intérêts méditerranéens, combien furent, pour le moins, inconséquents nos dirigeants des dix années passés.

    L'affaiblissement de la science et de l'université européenne et, dès lors, française, est tout autant débilitant pour notre pays.

    Surtout, c'est l'amoindrissement collective des connaissances et instructions qui pose la plus claire des questions.

    Toutefois, la question reste entière de savoir si il faut choisir entre un peuple instruit découvrant sa pleine liberté de conscience et son indépendance d'esprit, toujours complexe à gouverner, ou un peuple ignorant facile à manœuvré mais toujours prompt à adopter une idéologie simpliste pouvant se révéler d'une immense dangerosité.

    En ce choix, ne serait-ce pas dans la solution la plus complexe qui, à terme, ne se révèlerait pas la plus facile à vivre et qui, aujourd'hui, nous aurait permis d'éviter nos infinies difficultés économiques?

    La situation déplorable de l'économie globalisée ne viendrait-elle pas, justement, de la sottise de nos élites globalisées?

     

     

    THEURIC

  • Ce que nous cache la crise.

    La croyance en la toute puissance d'une pensée économique de gauche à droite sensée, en des utopies édéniques, résoudre tous les affres que l'humanité a cru transcender tous les problèmes, toutes les traverses, nous a ébloui tant de temps que nous en avons tous perdu l'habitude de nous interroger sur sa valeur.

    Elle ne fut que celle du rêve, de celui qui fait l'histoire.

    Aujourd'hui, en dernier rejeton, le néolibéralisme, en sa fin prochaine, nous montre l'achèvement de cette époque qui, en près de deux cents ans, a rythmé le monde.


    Sachez, lecteur, que plus personne ou presque ne croit en ce néolibéralisme et le communisme, quand il n'est pas oublié, ne fait plus que fantasmer.

    Ici, en sa gouvernance, l'Union-Européenne n'a plus que des comédiens ne faisant que semblant et de rares et derniers acteurs, derniers à encore agir, pour le bien de tous croient-ils, pauvre d'eux lorsque leur univers explosera.

    L'Amérique, elle, se noie et dans son effroi de sa mort prochaine, appuie la tête sous l'eau de tous ceux voulant l'aider, jusqu'à ses diplomates et son présidents ne pouvant retenir les mots de dédain et d'injure à l'endroit de l'Europe, de la France, de l'Angleterre.

    Ailleurs, partout dans le reste du monde, les fils d'épées s'aiguisent, les ententes futures se nouent, le jeu complexe des forces débute, la politique, si longtemps refroidie, se rallume et vite s'échauffe à l'approche de la fin du dernier des géants, du dernier empire, de l'empire ultime et finissant: l'U.S..


    Ensuite, déjà, la première ronde du temps va bientôt se refermer sur notre espèce encore enfant, ce qui a commencé il y a deux cent mille ans s'achèvera en quelque décennies, lisez Pierre Grou ("les arbres de l'évolution" P.grou, J. Chaline, L. Nottale), vous comprendrez, un monde nouveau s'ouvre.

    Ou nous ne serons plus.


    D'ici peu ces puissantes forces de la politique vont reprendre leurs danses, bénéfiques et macabres.

    Avant que n'émerge, en nous, une moderne humanité de laquelle nous ne savons encore rien, les folles passions retentirons du plus profond des gorges d'Homo Sapiens Sapiens.

    L'Europe, la France, bien qu'aujourd'hui reniflant le fondement de ses dominateurs en sa crainte d'elle-même, de sa fureur meurtrière, de ses passés délires sanglants, l'Europe, bientôt plus, bientôt désagrégée (nul ne peut diriger une nation hors l'assentiment du peuple sans un jour disparaître) peut seule, de son Paris central, endiguer ces passions.

    Mais pour cela il lui faudra puissance et probité.

    Ainsi, dans peu de temps, il nous faudra, il faudra que chacun d'entre nous participe au relèvement de notre pays, de l'Europe mais au-delà nous allons devoir réinvestir et reprendre les chantiers que nos anciens avaient laissés en plan dans leurs lubies de la pure économie: la connaissance, le savoir, la conquête du doute et, surtout, la pratique, la mise en pratique, l'application de la probité.


    Certes nombreux sont ceux croyant que nous avons atteint le summum de notre intelligence, que toute découverte ne peut qu'être close, que notre monde est fini, compris, découvert.

    Or, même si la question du comment fut si bien reconnu, celle du pourquoi n'a pas toujours sa réponse et c'est le pourquoi qui dit de la cause à l'effet, du causal à l'effet:

    Idée n° 10) Essai de réflexion sur la causalité.

    Or ce n'est là que le fruit de l'apparence qui s'habille toujours du parfum de vérité pour nous cacher ces bribes de réalité que nous nous devons, nous, êtres humains, nous, Homo Sapiens Sapiens, découvrir pas à pas: de comprendre que répondre au comment n'est pas de même que de répondre au pourquoi.

    Nous cherchons souvent les chemins des certitudes en ceux des apparences en nous égarant au-dedans des labyrinthes de nos dogmes, certitude et apparence sont frères.


    Ainsi sommes-nous.


    Et le paradoxe nous en montre le chemin, lui qui n'est, en vrai, qu'une vérité en devenir.


    Si le contraire d'une vérité profonde est une autre vérité profonde, chaque vérité n'est que l'étape transitoire vers la compréhension d'une nouvelle vérité, toujours plus proche du réel.

    Parce que ce qui compte c'est le réel, et plus nous nous approchons de lui, plus il nous abreuve de questions, toujours plus ardues, toujours plus complexes, c'est cela la vie d'un être humain: l'aventure de soi avec les autres êtres humains de rendre intelligible le monde.


    Cela n'est pas l'individualisme, l'individualisme est l'état transitoire de notre humanité pour lui permettre de grandir, une adolescence, une ébauche de reconnaissance de soi, par soi et par les autres.


    Cela, c'est l'individualité qui est la volonté inextinguible de vouloir apprendre à vivre le savoir vivre.

    Et "croire - ne pas croire" ne seraient-ils pas de même essence, de même matière, chacun disant oui ou non sans savoir vraiment de quoi il s'agit, si vraiment cela existe, si ce que nous percevons est une cause ou un effet?

    Ou si cela existe vraiment, ou si c'est autre chose que ce que nos sens discernent, découvrent, éprouvent, si cela était d'un sens autre?

    Croire ou savoir, il faut choisir, si nous savons, nous savons, si nous croyons, nous croyons mais nous pouvons savoir que nous ignorons, là nous ne croyons plus, du-moins éloignons-nous de la croyance.


    Parce que, en cela, un cerveau humain peut-il vivre sans croire?


    Je suis athée, d'aucune religion, d'aucune philosophie, je ne crois en rien si ce n'est de croire que je ne crois en rien, en mien paradoxe, et je souffre de savoir le bientôt malheur de l'homme.


    Je sais aussi que notre esprit est bâti pour la catastrophe, la vie elle-même s'est bâtie le long des catastrophes, elles, elles sont l'un des piliers, l'un des moteurs incontournable de l'évolution et rien ni personne ne peut y interférer, même les plus grands saints, même les plus grands sages.

    Mais il est possible d'en limiter les ravages, autant que faire se peut, en ne voulant que ce que l'on peut.


    Ce bouleversement en marche nous atteint déjà tous et l'ignorance est une façon dérisoire de s'en protéger et pire que tout, de vouloir ignorer que nous sommes ignorants, je suis un ignorant qui s'ignore, nous sommes tous des ignorants qui s'ignorent.


    Comme nos sens ne perçoivent qu'un fin filet du cours impétueux et irrésistible des informations qui nous traversent, la compréhension que nous en avons en est presque autant limitée..., presque, voilà le mot, c'est ce presque qui fait le sage et le fou.


    Alors, faites ce que vous avez à faire mais faites le bien, personne ne vous jugera sauf vous-même, mais ce juge est le plus terrible qu'il soit, surtout si il se tait, surtout si il est inconscient.


    Connais-toi toi même disait Socrate, rien ne peut être la cause de lui-même disait Bouddha, aime ton prochain comme toi-même disait Jésus, voilà le temps qui passe et ces leçons commencent à être comprises, sont enfin comprises.


    Vous ne vous rendez pas compte que l'époque n'est plus celle d'hier mais elle vous a changé, m'en suis-je vraiment rendu compte moi-même, elle nous change tous, sinon écrirais-je cela?.


    Nous sommes à l'aube du temps, à l'aube de l'histoire, hier encore c'était la préhistoire, notre devenir est entre nos mains à tous, notre responsabilité est grande, ne la gâchons pas.

    L'époque est incertaine, commençons par le commencement, comprenons la!

     

    THEURIC

  • La règle de trois: du gâteau!

    Je m'étais déjà essayé de vous raconter ce qu'est que la règle-de-trois et, ce me semble, je m'en étais complètement emberlificoté les ripatons, je vais donc, une nouvelle fois, vous l'en conter par le menu d'un exemple: une bonne pâtisserie.

     

    Elle n'est plus enseigné depuis longtemps, ce qui est bien dommage mais, surtout, dommageable.

     

    Or, ce petit mécanisme mathématique sert pour tout et tous, tout autant pour les scientifiques, les ingénieurs de toutes sortes, les agriculteurs, les charpentiers, les commerçants, les mathématiciens et j'en passe des métiers qui en font l'appel...

     

    Elle fut remplacée par les fractions qui ne sont, si on y regarde de près, que des mécanismes de division quand, là, il s'agit d'une multiplication doublée d'une division, et puis,  allez donc les diviser ou les multiplier lesdites fractions, c'est un véritable casse-tête-chinois.

     

    Voici comment cela se présente:

     

    La fraction:

     

                          A

                          _   =  C

                          B

     

    Vous remarquerez qu'il ne s'agit que, comme écrit plus haut, d'une division.

     

    La règle-de-trois, quand à elle, se note ainsi:       

     

                          A x B

                      ______   =  D

                             C

     

    Vous pouvez même en faire des constructions de cette sorte, par exemple:

     

                                              A x B

                                           ______   

                                                 C                   

                                       __________     x E  =  F

                                                 

     

     Bon, maintenant, allons voir de ce qu'il pourrait en être pour un gâteau, un cake aux fruit pour illustrer cette affaire (je m'en suis fait de ces régalades que je vous n'en dise que cela).

     

    J'ai, quand à moi-même, ma recette pour 6 personnes composée de: 200 gramme de farine, 70 gramme de sucre ou de miel, 125 gramme de beurre, 4 œufs (les blancs montés en neige et les jaunes blanchis au sucre ou au miel), deux cuillères à soupe d'un alcool parfumé (du rhume blanc antillais sans mouchoir ni de foin par exemple), 1/2 sachet de levure (de 15 g / 2 = 7,5 g) et des fruits à sa convenance ainsi qu'à l'humeur du moment.             

     

    Et puis, et puis, crac boum hue (comme le joujou extra), c'est l’anniversaire de quelqu'un et, plutôt que six il y aura 15 invités à cette fête, alors, comment faire?

     

    Il suffira juste d'utiliser ladite règle de trois pour cela (poils aux doigts..........de pieds, poils au nez):

     

    Farine:                     200 x 15

                                      ______  =  500 g

                                            6

     

    Sucre:                        70 x 15

                                      ______  = 175 g

                                           6

     

    Beurre:                      125 x 15

                                       ______ = 312,5 g

                                           6

     

    Oeufs:                            4 x 15

                                       ______  = 10 œufs 

                                             6

     

    Levure:                      7,5 x 15                       

                                      ______ = 18, 75 g

                                             6

     

    Les fruits, tant en leur quantité qu'en leur sorte, ce sera suivant, hein, j'aime particulièrement quand il y en a beaucoup autant qu'en mélange, mais ça, c'est un choix personnel.

     

    Bon, pour le four, 180 degrés pendant une trentaine de minute environ,  piquez le avec un couteau pointu pour savoir s'il est cuit, ricuicuit, ou attendez dix minutes de plus.

     

    Voilà donc la règle-de-trois par l'exemple.

     

    Je dois aussi vous prévenir de la chose suivant:

     

    Vous ne devez surtout pas la confondre, cette règle, avec la ville éponyme du Péloponnèse dont la guerre du même nom fit d’Ulysse le héro et le cheval de Troie l'une des premières ruse de guerre, ni de celle, de ville, Troyes, se trouvant dans le département de l'Yonne.

     

    A ce sujet, le bilboquet qui est un jeu entièrement français se joue à trois, un, deux et trois, le premier prend la lance et la boule, le second prend la boule et la lance, que fait le troisième?

     

    Je ne sais pas pourquoi mais il me semble que cela n'a rien à voir.

     

     

    THEURIC

     

    Ps : la réponse en cette question épineuse au sujet du bilboquet se trouve au-dedans de la question-réponse qui suit:

     

    Pourquoi casquette de chauffeur de taxi? Parce que rame de métro!

  • Pourquoi ai-je tenté de prévenir, ici, des suites possibles de la catastrophe économique future telle que je les perçois

     

    Parce que je me doute que quasiment personne n'en puisse appréhender toutes les conséquences, en considérer, dès aujourd'hui, toute la frénésie, en comprendre les périls.

    Je crains, en effet, que les évènements à venir ne soient bien pires que ce que j'ai bien pu en dire.

    Mais la question titre de ce texte reste : connaître les raisons pour lesquelles je ne consacre l'essentiel de mes écrits qu'aux contingences avenir, ne pas faire comme beaucoup de relayer, par exemple, les informations recueillies ça et là sur le ouèbe (web) ou mes réactions à chaque actualité (bien qu'il m'ait pu arrivé de le faire de temps en temps).

    Étant donné que beaucoup d'autres le font bien mieux que moi, il est inutile que je me plie à un exercice entrant discrètement dans le domaine de la seule mode.

    Quel est le message principal que j'ai voulu faire passer ?

    Non pas d'y dire que notre monde, notre humanité change, mais essayer d'y montrer que ce changement ne se fera pas n'importe comment et qu'il sera chèrement, très chèrement payé tant en vies humaines qu'en traumatismes de toutes sortes !

    J'ai voulu prévenir le plus de gens, tout le monde du pire mais je crains que ce pire ne toque à notre porte !

    C'est l'ébauche d'une analyse géostratégique, d'un début de réflexion d'un renouvellement de la pensée politique ainsi que d'une observation de la nature humaine que j'ai fait en cet essai là, en ce blog, de faire cette prospective avec, de plus, la récurrence de certains messages dû à la structure de ce que peut être un blog imposant aux lecteurs de ne se pencher qu'aux derniers libellés.

    C'est donc la recherche de concepts novateurs me permettant d'au mieux percevoir un devenir restant, par nature, flou, qui fait le centre de mes méditations, la difficulté m'étant autant de l'exposer intelligiblement qu'ensuite d'en faire passer le message.

    La mise en parallèle du communisme et du néolibéralisme, notamment, dans ce que j'appelle « l'économisme », c'est à dire de ne considérer comme primordiales que la seule l'économie, et ce hormis toutes autres considérations, lors d'intentions, de dispositions et de choix politiques en Europe et ailleurs sont, aujourd'hui, sous forme de ce néolibéralisme, les fondements évidents de la débâcle économique et sociale de la France aussi bien que de tous les autres pays européens de même que celle, bientôt patente, des États-Unis-d'Amérique non moins que de l’ensemble de toutes les autres nations humaines, comme hier le communisme fut le tombeau d'une Russie et d'un est-européen dans la pleine puissance de leur âge.

    De considérer ensuite, après avoir fait cette observation là, comme certitude le retour en force d'une pensée purement politique, pensée déstructurée, toutefois, car déconsidérée et négligée parce que devenue négligeable, négligence, déviance anormale et amorale, voire rendue quasiment tabou et donc inhabituelle et lors irraisonnée, naïve et incontrôlable, de considérer cela me fait dire l’immense dangerosité des décennies avenirs.

    Ce qui parlera là, ce qui fera acte seront les vieux réflexes de nos histoires communes !

    L'attraction des peuples pour leur inconscient social !

    C'est vrai, nous n'allons pas rejouer, en France, la haine de la « perfide Albion » ou la détestation de l'Allemand, nous n'allons pas revoir rouler des De-Dion-Bouton ou des Pahard-Levassor, les trains resteront électriques, l'avion sera toujours à réaction et l'informatique aura une présence de plus en plus marqué mais nos automatismes, nos décisions, nos jugements collectifs, eux, seront, reviendront à ceux, quasi ataviques, de la fin du XIX°, début du XX° siècle sauf pour de rares hommes et femmes qui sauront conserver un tant soit peu de leur indépendance d'esprit.

    Nous voyons bien poindre, comme à l'époque, comme sur la pointe des pieds mais avec force, une sorte de retour « aux temps bénis des colonies », une police redevenue inefficace et, lié, un retour d'un banditisme dû au manque de moyen judiciaire et à la pauvreté ouvrière, un racisme idiot, sinistre et primitif, une inculture crasse touchant (dès maintenant) toutes les classes de la société, jusqu'à nos élites et, surtout, leurs enfants: nous reverrons revenir les jugements de classe...

    Bientôt les bals reprendrons du flambeau tout autant que les marches militaires, les drapeaux bleu-blanc-rouge agrémenteront les balcons, les apaches d'aujourd'hui seront de chair à canon de demain ou pourriront dans une façon de bagne en Creuse, dans les Cévennes ou ailleurs..., le (déjà) retour des maladies vénériennes, de la tuberculose, de l'alcoolisme et du manque d'hygiène verront renaître résolutions et décrets en prophylaxie, salubrité et assainissement, l'Europe, première puissance navale et militaire marchera au pas, en cadence et la fleur au fusil… .

    Mais surtout, surtout tous ceux qui œuvrèrent, en toute bonne fois, pour la construction européenne telle quelle s'est construite ce jour dans la crainte essentielle, existentielle d'une présupposée nouvelle guerre mondiale si l'Union-Européenne disparaissait, ceux-là seront les principaux, sinon les uniques responsables des risques prochains devant lesquels sera notre continent, eux qui, déjà, ont LA responsabilité majeur des destructions économiques d'une bonne partie de l'Union-Européenne !

    Ils voulurent nous éviter la haine et la guerre grâce à un présupposé enrichissement infini que l'évangile libre-échangiste disait pourvoir et n'ont, n'auront que pauvreté, haine et guerre comme seules conclusions à leurs confusions!

    Du-moins, en tout cela, y aura-t-il le vaste versant positif d'une inventivité exacerbé, d'une science en recherche de nouveaux fondamentaux, d'un art en création quittant toutes les redites actuelles, les rabâchage du présents et la vulgate vulgarité vomissive d'une pseudo splendeur en starification, pseudo-art médiatiques cachant mal la pauvreté d'un monceau d'abrutissantes créations en déshérences étouffant jusqu'à la moindre parcelle d'âme, aussi la philosophie recommencera, enfin, à redevenir elle-même en provoquant les valeurs les plus sûres, en les questionnant, les secouant, parfois en les mettant en cause, les infrastructures et service publiques recommenceront à remplir leurs rôles et redevenir efficaces, je l'espère, également, les tricheurs de tout acabit seront enfin châtiés selon leurs dûs...!

    Mais ce qui se passera là ne concernera que l'Europe et surtout la France.

    Que puis-je dire, décrire d'autre sans me faire incendier ?

    Puis-je écrire que l'Islam ne vit plus que ces derniers instants sans être blasphématoire bien que les blasphèmes survivent encore en terre d'Islam, que les juifs religieux sont en train, là-bas, de tuer Israël en y étouffant les intelligences, que le Catholicisme se développera avec ou sans le Pape, en Inde, mais pas seulement, en y accompagnant la progression du judaïsme, que les U.S.A. sera le pays, si tant est qu'il soit encore pays, de l'athéisme, suivit en cela par la Russie, que l'athéisme anarchisant sera très puissant chez les anciens musulmans, que la Chine deviendra lamaïste, que l'Europe verra se ré-remplir les églises mais que l'église ne sera plus ce qu'elle est aujourd'hui et se verra pencher autant vers Bouddha que vers le Christ, que les Tibétains seront les parias de demain comme hier le furent les juifs ou que le judaïsme sera de moins en moins sémite... ?

    Puis-je écrire le désir des pays d'Afrique d'être reconquis par leurs anciens maîtres, l'éclatement de l'Europe pour une nouvelle Europe, bien plus politique mais bien plus guerrière aussi, plus dangereuse, un Canada et une Australie qui ne comprendront absolument pas ce qu'il se passera dans le monde et qui, vaille que vaille, comme deux somnambules, traverseront l'histoire en dormant, un Québec devenant pays, état et nation, les bédouins de la péninsule arabique retournant à leurs tentes et à leur sable avec la fin annoncée de leur pétrole et une Mecque perdant de ses pèlerins, l'Irak morcelé, démembré, démantelé par ses voisins, la Turquie, Israël, la Russie, l'Iran, l'Egypte et peut-être l'Europe cherchant à assoir leur pouvoir au Proche-Orient, Proche-Orient au centre de tous les enjeux, verrou du monde (?) et que les palestiniens seront considérés, par tous, que comme des empêcheurs de faire de la politique entre soit... ?

    Puis-je écrire que les U.S.A. perdrons bientôt, plus que ruinées, ses avoirs, ses pouvoirs, ses savoirs par la fuite en avant de ses élites politico-économique et le départ de ses intellectuels et savants, que l'Amérique-du-Sud et centrale, tous pays confondus, se voudront César à la place de César, Amérique à la place de l'Amérique et, le Brésil le premier, tenteront de faire à leurs voisins ce qu'eux-mêmes ont subi d'antan, que l'Asie, comme je l'ai déjà raconté, se verra contrainte par l'animosité que ses deux géants que sont l'Inde et la Chine ont l'un contre l'autre... ?

    Puis-je écrire que dans peu nous verrons, en Europe, un étrange et soudain renoncement aux dogmes néolibéraux par ceux-là même qui en étaient les prescripteurs les plus zélés... ?

    Puis-je écrire, enfin, que nous contemplerons dans peu de temps, médusés, ébahis, effrayés, ce qui nous semblera la rapide et brusque désagrégation U.S., désagrégation, en vérité, déjà depuis longtemps en cours, n'était que notre aveuglement de ne pas nous en apercevoir et, à l'instar de ces tragédies grecques toujours présentes à nos esprits, tous les acteurs étaient, depuis des années, en place pour que ce drame se joue... ?

    Chut !

    Écoutez, de ses trois coups, battre le brigadier, le rideau se lève, le publique applaudit, le premier acte va commencer, la scène est là devant nous... !

    C'est maintenant que tout commence!

    MAINTENANT !


    THEURIC

  • De la chaleur climatique fantasmatique aux égarements psychologique collectifs.

    (Mon blog a bogué, le voici remis à l'endroit.)

    (Psychologique et non pas spychologique, j'en fais un beau, de spychologuqe, hé, banane, et la banane, c'est moi!)

    Le présupposé réchauffement climatique anthropogénique est, à mon sens, ni une théorie, ni une hypothèse, ni même une vague idée, mais juste l'une des nombreuses résultantes d'une grave instabilité psychologique collective.

    En cela, cette chimère exprime quelque chose.

    Cette chose ne se situant pas dans le domaine de la science climatique mais dans la profondeur de notre psyché.

    D'autres signes le montre, comme il peut en être de l'amour immodéré des puissances monétaristes au sein des gouvernements de l'union et de l'Union-Européenne elle-même, dont les banques Rothschild et Goldman abeille.jpgSachs, grands pourvoyeurs et employeurs de nos élites zélées (macron en sortirait), sont les plus puissantes, visibles et nuisibles.

    Il en est de même d'une représentation exagéré des États-Unis-d'Amérique en tant que parangon de modernité, de puissance et de démocratie et symbole de la vertu.

    Si Monsieur Trump est haï c'est surtout que de part sa simple présence en tant que président de l'empire U.S., il montre et démontre, en raison de sa vulgarité naturelle, que la représentation qu'il se fait en Europe et en France de cette nation n'est pas telle qu'elle peut généralement se fantasmer.

    L'indépassabilité de la construction européenne et la négation de son triple verrouillage, politique, idéologique et institutionnelle, et ses effets autodestructeurs font également partie des symptômes de cette instabilité émotionnelle collective européenne.

    La détestation de la Russie fait également parti de ces obsessions, où il est possible d'entendre que le froid auquel nous nous confrontons aujourd'hui proviendrait de là-bas, par une vague Moscou/Paris, comme une sorte d'accusation, un reproche voilée.

    Sans compter tout ce qui peut se raconter au sujet de Monsieur Poutine et de ses services.

    Mais là où nous pouvons, sans hésitation, parler de délire, c'est quand nous apprenons que des nazis sont au gouvernement ukrainien, auquel l'O.T.A.N., donc la France, est allié, quand dans le même temps de longues émissions télés se font sur la Shoas.DSC_9621.JPG

    Ou quand, dans  nos mêmes médiats, se poussent de hauts cris au sujet du bombardement de la Goutha par le gouvernement syrien, où des extrémistes islamistes lié à Al Qaïda, se terrent, extrémistes que l'O.T.A.N., dont fait, là encore, parti la France, a armé, et qui, peut-être, put téléguidé l'un ou l'autre des attentats qui eurent lieu dans notre pays.

    Ces quelques exemples montrent cette instabilité psychologique, d'une partie de la population, certes, mais surtout d'une immense majorité de l'élite économique, politique et journalistique française, européenne et étasunienne.

    C'est donc de cette instabilité là que je me vais tenter d'analyser en m'appuyant sur la moins que supputation de ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique (un refroidissement serait en tous points infiniment plus destructeur et meurtrier et ce serait vers quoi nous nous dirigeons).

    P1000816.JPGCe texte plus avant que je vous propose est le copié-collé retravaillé d'un commentaire que j'avais laissé ici .

    Qu'est-ce que sont les symboles, sinon les images archaïques inconscientes, un pré-câblage neuronale en quelque sorte, qui s'expriment, entre-autres, lors de nos rêves pour nous aider à donner sens à ce que nous vivons et avons vécu, ou qui peuvent nous faire prendre des décisions, bonne ou mauvaise, peu importe, sans que nous ne nous en rendions toujours compte, ce sont les archétypes.

    Ces symboles s'expriment aussi lorsqu'il y a dissensions entre ce qui nous fait humain et le vécu, ils permettent ainsi, vaille que vaille, à ce que la personne, le groupe et/ou la société s'adaptent à leur propre civilisation.

    Collectivement cela peut s'exprimer de diverses façons, cheminsP1000859.JPG initiatiques, prières, rites, etc...

    Ça c'est le fait religieux (je suis athée...) ce qui est autre chose que la foi (...métaphysicien).

    La particularité de notre époque est que tout valant tout, nous nous retrouvons à faire face à une indétermination conceptuelle de la valeur de nos actes et actions, de nos pensées, de notre  socialité et sociabilité, de notre fonction et métier, de notre identité, tant sexuée, sociale, familiale, de la nôtre propre, donc psychique aussi et surtout.....

    Et qu'à ceci soit triplé d'un violent effondrement idéologique et d'un long éloignement à la religion, sans que rien ne soit venu pour en combler ce vide psychologique, ce sont les archétypes qui, si je puis dire, en sont venu à prendre les décisions pour combler cette indétermination mortifère, cette béance laissé, ce délaissement de soi, hormis dans la seule apparence.

    Ce vide est celui du sens, donc celui de la vie.

    En fait, ce à quoi nous assistons c'est, par ce fantasme d'un réchauffement climatique anthropogénique, la tentative désespérée de notre psyché profonde collective, donc de l'addition de celle d'une large majorité d'entre-nous, de retrouver une harmonie entre pensée, conscient et inconscient, de retrouver un tant soit peu du sens de l'existence et de l'existant.

    P1000753 - Copie.JPGIl est à remarquer la culpabilité sous-jacente, la haute chaleur ayant trait à l'enfer des pécheurs, qu'il y a de considérer que ce soit l'Être Humain qui est en train de détruire la planète, je ne fais là que traduire l'expression: "il faut sauver la planète!".

    Penser cette culpabilité (d'autres aussi nous travaillent de l'intérieur, dont deux guerres mondiales), dont là encore l'origine archétypale est notable, démontre une responsabilité, moderne au demeurant, de notre espèce envers la vie, oui, mais de quelle vie s'agit-il?

    Celle de la planète, de la vie, de sa vie ou de la vie psychique?

    Je dirais surtout que c'est d'abord de cette dernière que notre inconscient collectif nous montre, en raison même de notre malsaine indétermination.

    Nous ne pouvons en effet faire sens du monde et du vécu si nous ne commençons pas par faire sens d'abord en nous, de nous comprendre de ce que et de qui nous sommes, de saisir la responsabilité de comprendre le sens de notre humanité, ad minima de faire la démarche d'être dans la décision de vouloir comprendre cela (de toute façon c'est un cheminement quasiment sans fin).

    Ou du-moins, comme nos anciens, de vivre le ce que et qui nous sommes, il est vrai sans vraiment le comprendre, mais de le vivre vraiment au travers des diverses rites religieux ou par l'adoption d'un rigorisme P1000889.JPGpolitique il est vrai souvent dangereux.

    Cela venant, entre-autre, de ce que nous confondons individualisme, qui est la recherche des seuls plaisirs et pouvoirs, avec individualité qui est la responsabilité d'être en tant qu'Être Humain, responsabilité individuelle autant que collective.

    Il s'agit donc de la compensation collective d'une instabilité psychologique grave due à une modernité que nous ne comprenons pas parce que celle-ci nous a conduit à une acculturation plus ou moins importante suivant les pays, les peuples et leur liens, aussi, entre leur passé et leur présent (ce à quoi les russes se sont éloignés, d'où la haine envers la Russie).

    Parce que c'est une compensation psychique, vouloir montrer l'inanité de l'idée même de cet insane présupposé réchauffement, qui entre en contradiction formelle d'avec la réalité scientifique, ne peut que générer une angoisse importante.

    D'où la violence avec laquelle les porteurs de cette inexistante abstraction réagissent, en projetant leur malêtre intérieur, leurs profondes angoisses existentielles, sur leurs contradicteurs, allant jusqu'à l'injure en s'empêchant encore à la violence physique.

    P1000896.JPGToutefois nous pouvons observer la puissante censure sur ce sujet et sur bien d'autres, ainsi avons-nous vu deux journalistes météos être chassés des chaînes publiques pour avoir simplement eu l’audace de simplement questionner la réalité de cette abstraction.

    Pourquoi donc fais-je le lien entre le dit supposé réchauffement et la béatitude, pour ne pas dire l'exaltation envers le monde américain et l'Union-Européenne, ainsi que tout ce qui les entoure, entre-autre l'imbécile théorie du genre, qui éprend autant l'élite politique, journalistique qu'économique et, ce, même si c'est, à terme, évidemment, à leur propre dépend?

    En raison même de ce vide de sens mortifère provenant de cette indétermination psychique qui est leur, processus qui s'est aussi, en un degrés moindre, répandu dans la classe-moyenne haute et intermédiaire, même chez des universitaires et scientifiques hautement instruits (le reste de la population étant infiniment moins touché par ces errements).

    Classe-moyenne, d'ailleurs, qui en vient à se détourner progressivement de cet ensemble de chimères, si je puis dire, morceau par morceau, certains rejetant les unes tout en approuvant les autres et vice et versa.

    Dans leur recherche d'une identité pour fuir leur indétermination psychique, ces élites oligarchiques se voudraient américains, c'est pourquoi elles obéissent autant aux désidératas étasuniens que du bureau deP1010129.JPG l'Union-Européenne, le second représentant les États-Unis-d'Amérique fantasmé.

    Bureau de l'U.E. ainsi que toute son administration, la majorité des élus de l'assemblée européenne aussi que les gouvernements des pays de l'U.E. se pensant eux-mêmes détenteurs des États-Unis-d'Europe en une illusion plus ou moins inconsciente, d'où leur appropriation pleine et entière, plus même, caricaturale, de l'idéologie néolibérale anglo-saxonne que les britanniques et une majorité d'étasuniens remettent désormais en question, voire en cause.

    C'est sur ce terreau fertile quasiment hallucinatoire que s'assoie l’hégémonie impériale U.S. sur l'Europe et, ce, depuis des décennies.

    Oligarchie U.S. en proie aux mêmes tourments, c'est la raison même pour laquelle elle refuse toute tentative de réforme de l'empire, son sentiment de domination impériale lui donnant l'impression, fausse, d'avoir une identité, d'où sa haine envers Monsieur Trump, représentant, de plus, à leur idée, le peuple, voire la masse populacière (ce que nos propres oligarques considèrent également, d'où aussi leur détestation du président étasunien et celle de leur population).

    P1010109.JPGDorénavant l'oligarchie européenne et française se retrouve entre deux feux, d'un coté les conservateurs réactionnaires U.S. qui considèrent comme justifié que l'empire vole les richesses européennes, donc celles de cette oligarchie naïve, et, ce, à n'importe quel prix.

    De l'autre les réformateurs U.S. qui, voulant abattre les précédents dans leur intention de réformes impériales, ne peuvent que rechercher à les atteindre en menant à la faillite des banques européennes trop grosses pour faire faillite, celles qui ont des liens trop étroits avec les deux banques U.S. sus-nommées, Rothschild et Goldman Sachs (je ne peux pas dire lesquelles, j'espère que celle où j'ai mon compte n'est pas de celles-là).

    Toujours est-il que cette lutte interne à l'empire peut être le déclencheur de cette faillite mondiale cataclysmique dont je fais état depuis tant de temps.

    Cet effondrement économique international ne pouvant que mener autant à la disparition de l'Union-Européenne qu'à celle de cet ensemble hétéroclite de dogmes et à leurs porteurs les plus intransigeants.

    Ce qui ne pourra que mener à un nouveau vide puisque cet ensemble dogmatique, ainsi que ce qui soutient ceux bataillant contre, disparaîtra avec inéluctablement.P1010035.JPG

    Ce qui mènera à ce que j'appelle une rétrogression historique (j'en donne la définition en bas de cette page), processus d'ailleurs en ce moment en cours, la floraison des barbes, similaires à celles qui avaient cours lors de la troisième république, et Monsieur Macron agissant, à son insu, d'une manière semblable à Napoléon III, n'en étant que l'une des preuves.

    C'est pourquoi que les églises, dans le futur, se remplissent de nouveau ne serait pas quelque chose qui me surprendrait, je trouverais ça logique et même cohérent.

    Que le patriotisme (la terre), que Monsieur Asselineau et son parti, l'U.P.R., représente d'ores et déjà, et même le nationalisme (le peuple), jusqu'au plus échevelé, revienne sur le devant de la scène me parais aussi du plus pur des naturels.

    Que l'anarchisme, déjà en voie de développement, en vienne à s'étendre me semble également dans l'ordre du probable.

    Ceci étant dû à ce que le néolibéralisme, la masse dogmatique qui l'accompagne et sa couverture culpabilisante, le réchauffement climatique anthropogénique, qui couvraient le vide psychologique dû à l'indétermination du sens du vécu, aura entièrement, ou presque, disparu.

    P1010126.JPGUn tel vide ne pouvant que demander à être comblé par autre chose, or, puisque aucune doctrine nouvelle ne vient donner du sens à cette vacuité, ce ne pourra qu'être celles anciennes qui viendront assouvir ce manque cruel.

    Cruauté en raison de la douleur psychique intense que ce sentiment de néant donne, douleur insensible mais bien là, compensée par tout ce tas de trucs et de machins que nous connaissons si bien et dont je viens de relater de ce qui en est, à mon avis, de son origine.

    En effet, d'autres, et nombreux, symptômes de ce mal étrange nous assaillent encore, mais ce présupposé réchauffement climatique anthropogénique est peut-être l'un de ceux, voire celui des plus importants, tant dans sa fonction de compensation psychique, que dans celle symbolique.

     

     

    THEURICP1010164.JPG

  • De l'urgence de comprendre.

    Dans le vieux garage de la maison de feue ma mère,  où les fenêtres de la portes étaient cassées, une abeille charpentière " Xylocopa violacea " avait fait, d'un vieux tuyau en acier qui y traînait, son nid pour ses futures larves.

    Celle-ci butine un muflier gueule de loup (muflier ↦ mufle ↦ museau et, par extension, pour le second, grossier et rustre, intéressant non?) "Antirrhinum majus".

     

    Préambule:

    Si mes derniers billets vous semblent anxiogène c'est que j'émets de tels avis qui viennent contrecarrer ceux déversés par les médiats en les amoindrissant et les contredisant.

    P1050397.JPG

    Avant-propos:

    Pour pouvoir agir au mieux, il est d'urgence de comprendre ce à quoi nous nous confrontons, c'est à cela, avec plus ou moins d'efficacité, que je m'emploie: le rendre intelligible.

    Il ne s'agit pas seulement de concevoir cela sur de seule matière économique, politique ou sanitaire..., mais de percevoir, d'une manière multifactorielle, quels sont les éléments qui génèrent notre situation.

    Le principal, dès lors, étant de s'essayer d'en débusquer les bas-fonds, de percevoir le ou les éléments qui, plus que tout autre chose, déterminent les raisons déraisonnables qui, depuis longtemps, nous mènent là où nous en sommes, en somme.

    J'en ai, il est vrai, exploré plusieurs, l'effondrement des USA en reflet inversé d'avec l'URSS, la rétrogression historique nous faisant revivre une façon de second empire jusqu'à sa fin, la compulsion de répétition nous reconduisant autour de 1917 à 1950, tout cela sous des formes différentes de ce que nos aïeux ont pu vivre, mais sous un fond similaire.

    Il en est aussi de notre domination par un empire thalassocratique grandement P1060852.JPGdéclinant, au bord de la guerre civile, les Etats-Unis-d'Amérique, dont l'Union-européenne est la créature triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement  et idéologiquement, l'empêchant à toute réelle évolution, ne pouvant dès lors être réformée, l'effondrement idéologique et politique qui y est lié, menant à une quasi unilatéralité décisionnelle des partis officiels et des discours similaires des médiats en place.

    Mais, d'une manière factuelle, un facteur important que je vous avais déjà présenté, me semble primordiale à développer ici pour que vous compreniez, amis lecteurs, quels sont les points faibles du pouvoir en place en France, ainsi que du pourquoi il tend à ce totalitarisme que les allemands disent avec raison être de l'absurdie (bien que leur gouvernement, comme bien d'autres européens, tendent, eux aussi, aux mêmes tentations absolutistes).

    J'avais, sur le bureau de mon ordinateur, accumulé toute un ensemble d'adresses traitant de sujets dont le but aurait été d'appuyer mon propos, mais, en fait, saisissant l'urgence de la situation, je préfère effectuer ici une démonstration sans prendre le temps de prouver ce que je vais avancer.

    Ceci, de plus, que je ne pense pas qu'il y en ai vraiment besoin, nous sentons tous quelque chose de l'ordre d'un mouvement de fond: les mensonges qui nous sont contés prennent de moins en moins.P1060323.JPG

    En effet, ce qui se fait appeler de l'ingénierie sociale, ce qui n'est que de la manipulation, dénomination existant pour nous faire croire que ceux qui en usent sont intelligents, or je puis vous affirmer de par mon expérience qu'un manipulateur est toujours un crétin, s'il ne l'est il le deviendra.

    Cette pseudo-ingénierie, donc, finit par ne plus fonctionner pour deux raisons, la première est que les populations finissent par générer une résistance psychique à ses mécanismes, puis par les rejeter.

    En second lieu parce que la réalité de ce qui est vécu au jour le jour étant inverse à ce qui est faussement dépeint fini, au fil du temps, par représenter des contradictions majeures et cette fausseté à être réfuté puis rejeté en tant que mensonge.

    Ce que nous vivons aujourd'hui est ce que nous pourrions nommer un despotisme médiocratique, soit un coup d'état par des médiocres, c'est cela que je vais tenter de démontrer, sachant que cette bande de guignolos sont très contents que l'on puisse les considérer comme ayant de la jugeote.

    P1050462.JPG

    La fatalité des médiocrates:

    Ont-ils voulu que nous en arrivions là où nous en sommes?

    Je ne le pense pas.

    Ne serait-ce pour une bonne raison: ils sont tous, ou le sont devenus, dans l'incapacité de pouvoir prévoir quoi que ce soit à long terme et ne font que réagir à leurs angoisses et aux pressions qu'il subissent.

    Ils, j'entends, par ce pronom, ceux du gouvernement, de la majorité des cadres des partis politiques officiels, d'une partie de la haute administration, les propriétaires et dirigeants des médiats en vu, ainsi que du reste de cette mouvance détenant le même dogme et intérêts que ceux-là.

    Ils, donc, se retrouvent dans une situation qu'ils n'avaient pas recherché, celle des pleins pouvoirs dits sanitaires que les députés du REM, les radioéléments, offrent à l'exécutif, ce à quoi l'opposition droite et gauche n'oppose qu'une opposition, à de rares exceptions près, autant inconsistante que fugace.

    Il faut dire que nous nous retrouvons maintenant dans une position dont la résultante est à rechercher des décennies en arrière, où nous vîmes une baisse de capacité intellectuelle régulière tant de nos élites que de nos élus.

    Ainsi, les freins des gouvernements antérieurs portés à l'encontre des obligations deP1060277.JPG l'Union-Européenne via les GOPE, qui obligent des économies toujours plus drastiques de l'état et à la privatisation de nos services publics, s'amenuisant au fil du temps, nous nous retrouvons aujourd'hui devant un gouvernement où ces obligations fondent toutes leurs décisions.

    L'existence même de l'euro conduisant à la désindustrialisation de la France, nos usines allant usiner dans les anciens pays de l'est aux payes misérables (dû aussi à la libre circulation des capitaux, des personnes et des biens, dont les impôts des GAFAM, les usines et les immigrés), cette monnaie amenant de plus une concurrence totalement déséquilibrée entre ceux du nord et du sud, en  un avantage absolu pour les premiers.

    Ces exigences, dis-je, sont les réels ferments de la paupérisation autant du pays que des français, générant la colère populaire, d'où l'érection du mouvement gilettiste.

    L'oligarchie française et européenne, les bons pigeons au grain dont raffolent celle étasunienne contrôlant le parti démocrate, celui républicain profitant tout autant de ces ramiers, ainsi que de son état-profond, mirent en place, à l'intérieur des partis politiques officiels, des personnalités de plus en plus falotes ou contrôlent celles qui ont quelques secrets inavouables, le REM, bricolé en toute hâte de bric et de broc, en en étant la consécration aboutie.

    P1060223.JPGN'oublions pas que Macron fait parti des "jeunes dirigeants" formés par les agences étasuniennes, qu'il fut déniché par le patron d'AXA de l'époque, désigné par Mr. Attali comme étant notre futur président et visité par un représentant desdites agences,  par celui de l'union ainsi que par Mme. Merkel.

    Totalement obéissants aux injonctions de l'UE et obnubilés par la vulgate idéologique néolibérale monétariste US absurde, ce président, son gouvernement, son parti, ainsi que la majorité des autres siégeant ou non dans les chambres délibératives, pris dans cette fièvre hallucinatoire, n'eurent que de cesse que de suivre les oukases unionistes et étasuniennes (d'où la vente, sans grande réaction passée et présente, de nos fleurons industriels nationaux aux potentats américains).

    ( Vous remarquerez toutefois l'extrême amateurisme des triches électorales des démocrates, qui se dirait provenant de la CIA, ce qui marque là encore la médiocrité grandissante de Tonton Sam. )

    Ceci sous la justification des journaliste cornichons de nos médiats détenus par nos pigeons gros, gras au grain et au gril recto-verso.

    Puis, et puis, juste après que le mouvement des gilets jaunes finit par se calmer à laP1060185.JPG suite des exactions policières et des mensonges et silences journalistiques, deux événements survinrent qui fracassèrent le tout: la pandémie et l'élection US, dont nos génies ne surent aucunement prévoir ni l'une, ni l'autre.

    Entre leur imprévoyance de la première, qui montra à la face du monde leur incompétence pleine et entière, et l'ubuesque réaction hystérique des masses médiats, de la classe politique et des chroniqueurs de tous poils, qui, suivant chacun, nous exhortèrent quasiment à voter pour l'un ou l'autre candidat de ces élections US, il nous est désormais loisir d'observer leur, à tous, situation lamentable.

    Et, en cela, si ça peut vous rassurer, amis lecteurs, n'allez pas croire que seule la France détiendrait de telles équipes éreintée, hormis certains pays de l'est telles que la Pologne et la Hongrie qui amassent le plus de richesse possible de ceux de l'ouest, en payant le moins possible, et qui, dès que la situation de l'UE deviendra intenable, la quittera sans préavis, tous les autres sont dotés du même type d’énergumènes.

    J'émettrais même l'idée que cela concerne, plus ou moins et de diverses façons, quasiment tous les gouvernements mondiaux.

     

    Dictateurs à l'insu de leur plein gré:

    P1060092.JPGOnt-ils voulu, ont-ils l'intention, veulent-ils mettre en place un régime totalitaire?

    Je ne pense pas qu'ils aient été de cette volonté là, ni il y a trois ans, ni même aujourd'hui, de fait ils pensent tous avoir raison et se conçoivent eux-même comme étant de la plus pure essence démocratique, ne voyant dans le peuple que du populisme fascisant puisque celui-ci récuse de plus en plus notre appartenance à l'union ainsi que tout ce que cela entend.

    Et même s'ils réduisent avec le temps les libertés publiques, ils ne le font, le conçoivent-ils ainsi, que pour le bien de la nation, de la république et, et, de la démocratie.

    Certes et de cela je me dois, maintenant, de le préciser:

    Tous ces acteurs que je désigne sous le vocable de ce pronom personnel sujet de la troisième personne du pluriel "ils" ne pensent pas tous la même chose, très loin de là, certain même doivent être ulcérés par ce qu'il se passe, à l'exemple de Jean Quatremer, l'eurolâtre fébrile, qui se révolte contre les mesures du dernier confinement.

    Il doit même s'y produire de nombreuses scissions à l'intérieurs, parfois virulentes, mais quel parti politique a-t-il appelé à une vigoureuse manifestation pour faire pression sur le gouvernement affin de l'empêcher d'activer ce coup d'état larvé?

    Hormis ceux qui sont écartés par cette mouvance et de suivants qui ne la suivent pas puisque s'en étant éloignés, l'ensemble restant partage, sans en douter, les mêmes approches idéologiques et de semblables perceptions des événement nationaux,P1050571.JPG européens et mondiaux, leurs différences de conceptions n'étant plus que de l'ordre du détail.

    Détails qui, par ailleurs, doivent créer les plus intenses disputes, voire même conduire à des haines farouches: il faut à chacun évacuer le stress qui est sien.

    Je désigne, donc, comme d'autres avant moi, m'en inspirant, cette mouvance comme étant une médiocratie.

    C'est dans l'idée de montrer que leurs décisions et manques de volonté, la demande électoraliste de certains partis à beaucoup plus de rigueur envers le peuple rétif, ou d'obéissance au gouvernement plus ou moins formelle pour d'autres, leur mensonges pléthoriques,  n'est pas la résultante d'un froid et supérieur calcul mais n'est juste que leurs réaction à leur pulsions personnelles.

    Ce qui les mène à des réactions toujours plus absurdes, à leur manque de réactivité, à leurs discours hors du champ de leurs principes affichés et/ou à leurs desseins déraisonna

  • L'américanolâtrie(ne) dans tous ses états.

    Avant propos:

    Ce billet vient en complément de celui deuxième précédent.

    Mon but est de montrer les effets psychologiques de notre domination ancienne suivit de la désormais fragilité de la construction  européenne venant de celle des Etats-Unis, puisqu'elle en est sa créature.

    Plus de gens deviendront conscient de cette double disparition inéluctable, moins sera ceux pour qui cela générera et génère déjà un état mental pitoyable.

    Nous fûmes tous manœuvrés, suggestionnés pour plus qu'adorer, révérer ces deux unions et, ce, depuis des décennies, 1944 en ayant été le commencement.

    Se débarrasser ainsi de 141 lustres de manipulation mentale ne peut pas être chose aisée et faire appel, pour cela, à la seule lucidité de chacun ne peut que prendre du temps.P1040681.JPG

    Personne ne pouvant dire de combien de ce temps il nous reste pour cela.

    Songez simplement au fait que ce qui fut les pays de l'est jusqu'en 1991 n'ont pas du-tout envie de rester au sein de l'Union-Européenne et de se retrouver entraînés par la faillite bancaire de ceux de l'ouest.

    A ceci s'y rajoutant le fait que les peuples de ces dernières nations, ruinées d'avoir claquemuré leur population, ne peuvent plus être acheteur de ce que les premiers fabriquent et que, pour continuer à faire tourner leurs usines délocalisées chez-eux, ils doivent pouvoir vendre leurs objets manufacturés à leur propre peuple et, donc, augmenter leurs salaires.

    Et pour cela il n'y a qu'une seule solution: activer l'article 50 pour sortir de l'union.

     

    Il est des événements qui me paraissent bien exprimer une situation: en Syrie, il y avait une patrouille russe que des militaires étasuniens étaient chargés de bloquer et qui ne le purent en raison d'une panne de leur véhicule.

    Il règne comme un délabrement accompagné d'un doux parfum de delirium très mince mortifère chez notre nôtre si tant tellement aimé tonton Sam que, du fait de cet amour transi les euronounouilles en suivent jusqu'en leur moindres travers, d'en déposer même le genou à terre.

    P1040610.JPGIl est dommage que nos bon maîtres ne se soit pas mis une plume dans le cul, sinon nous aurions bien ri lors des dernières manifestations parisiennes.

    Un homme ou une femme ne devrait pas mourir d'une interpellation, quoi qu'il ai pu faire part ailleurs et quelle que soit ses origines, couleur de peau, religion ou idéologie politique, ceci est de l'ordre de l'évidence.

    De même, les policiers et les gendarmes, tout comme il se devrait d'en être des juges ou des instituteurs entre-autres, se devrait d'avoir une formation suffisamment longue et complète, se devrait d'avoir été choisi, à la suite de tests psychologiques ad oc, suivant détenir une bonne composition psychologique et d'être pourvu de tout le matériel et infrastructure nécessaire pour accomplir leurs missions.

    Dix mois seulement ne peuvent qu'être que trop court pour une telle formation, trois ans pour cela me semblant nécessaires et, à la suite, qu'ils la poursuivent tout au long de leur carrière, ceci parce que c'est le type même de métier qui nécessiterait, en ce seul exemple, une connaissance approfondie des sciences humaines.

    De plus, il me semble que diverses formes d'art de combat à main nue pourraient permettre de contrôler un individu dangereux sans que ne soit utiliser de technique d'étranglement sauf si, vraiment, la personne est incontrôlable, qui, cela ne peut qu'aller de soit, peut se révéler mortelle si celle-ci est mal faite.

    Mais un tel entrainement ne peut que s'établir que sur le temps long et coûte cher, or, nos euronouilles gouvernementaux n'ont eu que de cesse d'obéir aux GOPE et deP1040491.JPG rechercher à faire des économies partout suivant les demandes expresses de l'Union-européenne, ruinant donc la police, les services de santé et de sécurité, pompiers, hôpitaux, les administrations, l'instruction nationale, de privatiser nos services publiques...

    ( Visionnez donc cette vidéo du Fil d'Actu que je conçois comme étant la plus proche de la réalité des faits, hormis que, comme d'habitude, n'y est pas fait mention des obligations des GOPE de l'union, central pour ce qui nous concerne tous en réalité.

    C'est de ce tabou là, devenu inconscient pour tous, que je vais, avec un autre sujet central, traité ici. )

    Sous les vivats de la bien-pensance de l'amécicanolâtrie(ne) infantile qui, nous pouvons le percevoir aujourd'hui en France, a toutes les couleurs de peau possibles, et si chacun traite l'autre de raciste, ils ne s'en réclament pas moins tous de la même crétinerie d'adoration absolue pour les USA, notre gouvernement à la Marx, non pas Karl mais plutôt Brothers, n'en étant pas en reste.

    Comment en effet considérer cette crise d'hystérie collective française où il fallu retrouver l'événement d'un décès suite à une intervention de la gendarmerie vieux de quatre ans d'un délinquant récidiviste pour tenter de ressembler aux noirs américain, d'un George  Floyd d'aujourd'hui à P1040605.JPGun Adama Traoré que quasiment tout le monde avait oublié.

    Que soit réclamé une juste justice pour cette mort, certes, si une faute fut commise, mais de mener, maintenant, à des manifestations à Paris qui n'avaient pas eut lieu à l'époque, hormis celles de banlieue, ne peut que me conduire à m'interroger.

    Mais, de ces deux affaires, étasuniennes et françaises, tout à fait différentes, je peux aussi faire la liste de toutes les étranges déraisons de notre époque, en France notamment, et la liste, longue, est très loin d'être complète.

    Parce que, en plus d'être entraînés à agir de la même façon que les ricains, cela tend nos américanolâtres de toutes sortes à nous faire montre une telle flamboyante bêtise que rarement dans l'histoire il en fut d'aussi belle.

     

    Ainsi:

    La virulence réelle du SRAS-COV-2, semblant être bien moindre que ce qu'il s'en était dit, sinon en violence du moins en nombre d'atteint, pour ceux qui le furent et sont malades, tout âge confondu, il se révèle être d'une pure vacherie, mais pour la grande majorité d'entre-nous il n'en fut rien.

    Notre claustration forcée due pour l'essentiel aux extraordinaires faiblesses duP1040599.JPG système de santé français en raison des obligation de l'UE€ via les GOPEs, du clair manque de masque et de test, de l'interdiction d'un traitement certes controversé mais que les médecins sérieux prescrivent en l'affirmant efficace (dont Madame Buzzin, ancienne ministre qui l'avait mis en semi-indexe, qu'elle donna seulement au sein de sa caste), du manque criant de matériel médical et de protection ainsi de la cruauté doublée de l'incompétence naturelle des quatre pouvoirs, exécutif, législatif, judiciaire (partiel pour ce dernier) et médiatique.

    Cette claustration mène à leur destruction de tous quatre par la ruine du pays, de l'Europe et de l'Occident, et cela ne peut que poser question: ne serions-nous dirigés et informés que par de seuls crétins, dussent-ils être diplômés?

    Que les experts officiels n'ont que de cesse de craindre un retour de la pandémie en France à cause du déconfinement tout en nous donnant, via ces médiats, des chiffres du nombre de malade au COVID machin en voie de diminution, ce que le Professeur Raoult avait prévu (lui l'intuitif qui ne veut pas se reconnaître tel) ne peut que démontrer que quelque chose ne va pas dans notre société.

    ( Vous remarquerez deux fait informationnels:

    -n'est pas fait la distinction, en ce qui concerne les pays étrangers, entre le nombre de personnes atteintes du virus et celui de ceux qui en sont P1040354.JPGvéritablement malade;

    -ne semble pas avoir été pris en compte, en France, de ceux qui sont malades du vilain virus, non testés et soignés chez-eux.

    C'est aussi cette béance qui se devrait de nous faire sens: idiotie ou manipulation? )

    Le fait que l'entreprise Renault délocalise ses usines hors de France dans l'idée de faire des économies, ne faisant que gonfler le chômage réduisant de fait le nombre d'acheteur d'auto, au  risque même de voire ses usines nationalisées si la Pologne sort de l'union, ne peut que nous faire montre de l'incroyable sottise de cette coterie, de la grave ignorance en économie et politique des cadres qui la dirigent, plutôt que d’exiger la sortie de la France de l'UE.

    A ce sujet, le fait de vouloir substituer la voiture à moteur à explosion à celle électrique, sachant que la majorité des batteries sont produites en chine, que leur distance parcourue après chaque recharge n'est que de 300 km., que leur chauffage n'est qu'électrique (qu'en sera-t-il s'il fait -10° Celsius), que la production  d'énergie nucléaire est diminuée et que lesdites batteries sont gravement polluantes, marque, là encore, la crétinerie dérisoire mais dangereuse de nos élites en carton pâte.

    Ces deux faits, économique et sanitaire, ne pouvant qu'appauvrir encore plus la France, que tout le monde considère encore comme la deuxième puissance économique de l'Union-Européenne, ce qui est devenu faux, je l'ai démontré par leP1040582.JPG passé, ne peut qu'accentuer gravement une instabilité économique mondiale qui était déjà en voie de délitement dès Août/Septembre 2019.

    N'oublions pas non plus que celle d'appauvrissement de la Grèce en 2012 conduisit à l'époque à un ralentissement de l'économie-monde sensible par la baisse de production pétrolière, ceci venant en réponse à la diminution de son prix, ne pouvant qu'être révélateur du ralentissement industriel mondial, provenant de ce que les biens manufacturés ne pouvaient que moins se vendre.

    Aussi, deux mots, de plus, utilisé je le pense inconsciemment en économie ne peut que montrer son aspect perverti:

    -Business qui, il y a une quarantaine d'année, était utilisé par les vendeurs de drogue pour leur commerce, nous ne pouvons donc qu'en conclure que, dorénavant, la pensée du commerciale ne consiste pas à l'honorable travail de la vente de la meilleurs marchandise à un prix convenable, mais bien plutôt à la truanderie légale, quand bien même ne peut qu'exister des commerciaux grandement honnêtes;

    - Collaborateur qui désigne dans les entreprise, maintenant, les  employés, en une novlang hypocrite mais, surtout, qui renvoie tout de même à la seconde guerre mondiale, les collabos étaient ceux qui travaillaient pour l'envahisseur nazi, nazi P1040609.JPGeux-mêmes, ce qui ne peut que nous intriguer de la manière avec laquelle certains chefs d'entreprises considèrent autant leur travail, celui de leurs employés, de leur rôle véritable ainsi que de leur position sociale et politique.

    Aussi, en une autre petite suite non exhaustive, résumée celle-là, des extravagances de notre époque qu'il est possible de constater:

    -des intellectuels d

  • 14 juillet 2020, la fin des cycles.

    Bonjour chers  lecteurs,

    Certes, ce que je vais développer ici ce ne sont pas de bonnes nouvelles, de celles qui remplissent le cœur de joie.

    Mais ne vaut-il pas mieux que nous soyons conscient des multiples difficultés que nous risquerions fort de rencontrer, plutôt que de nous laisser aller à écouter des sirènes médiatiques qui, pour le moins, n'en racontent pas de plus bonnes n'en restant pas moins fausses?

    Je peux, comme je l'écris souvent, faire erreur, mais ma quête est et reste mordicus celle de percevoir et comprendre la réalité, puis de vous présenter les résultats de ces réflexions.

    Là se trouve la besogne que je me suis fixé.

    A vous ensuite d'en faire ce à quoi bon vous semble.

     

    J'écrirai, en toute fin de texte, pourquoi.P1050166.JPG

     

    Un cycle historique est un ensemble d'événements plus ou moins longs, intrinsèquement liés par une même teneur de volonté de tous les acteurs au cours du temps.

    Dès que ledit cycle s'achève, la dynamique historique prend, dès lors, une nouvelle direction.

    Celui-ci se définissant en tant que cycle parce que s'y montre toujours un début, suivit d'une monté en puissance, puis d'un déclin progressif et enfin de son achèvement, déterminé en sa forme similaire à son début.

    Au fil des époques il est possible de les percevoir, guerre de cent ans, guerre de religion, révolution française & premier empire, pour ces quelques menus exemples.

    Ceux qui vont disparaître (nous sommes riches de plusieurs s'étant activés à des moments différents, a la richesse qui peut, n'est-ce pas?) sont subordonnés par celui qui nous mène vers une rétrogression historique, la période de la guerre franco-prussienne de 1870, je vous en avais fait état ainsi que de vous entretenir des effets que je suppute (bonjour madame) de leur achèvement, le 7 Juin (A la recherche du sens perdu)  puis le 16 du même mois (L'américanolâtrie(ne) dans tous ses états).

    P1050011.JPGBien que j'aie traité ces thèmes ici depuis longtemps.

     

    Comme cela était à prévoir et j'ai pu le pressentir, telles des fourmis affolées, les thuriféraires de ce bloc idéologique composé autant de l'adoration des Etats-Unis-d'Amérique, de l'Allemagne (ce qui ne peut que les mener à des conflits), de l'Union-Européenne, de l'euro et du néolibéralisme monétariste, paniquent, ne comprenant plus du tout ce qu'il se passe.

    Mais qui le comprend-il?

    La pandémie au SRAS-COV-2 n'ayant été que l'accélérateur, l'enzyme précipitant ce phénomène d'effondrement autant de l'empire thalassocratique US en miroir inversé de celui de l'URSS, de l'idéologie de l'économisme dogmatique, économie d'état/économie privée, soit de ne mettre au centre des réflexions politiques que l'économie et de sa scission communisme/capitalisme, dont l'origine se trouve en la France du XIX° siècle, la Commune de Paris de 1871 (commune, communisme), d'où ladite nôtre rétrogression;

    Et enfin une compulsion de répétition d'avec une période s'étendant environ entre 1920 jusqu'en 1948, provenant de ce que les pays européens n'ont pas pu se remettre anthropologiquement par eux-mêmes des effets des deux guerres mondiales, enP1040621.JPG raison de la monté de celle froide ayant débuté dès la fin des années 40 entre l'URSS et les USA et la séparation de l'Europe en deux bloc imperméables est et ouest.

    En effet, c'est cette Commune de Paris qui détermina d'advenue du communisme, nommé auparavant socialisme révolutionnaire, du fait que Karl Marx, témoin de ces événements, qui l'analysa pour, ensuite, en formaliser ses propres théories politiques, donnant naissance audit communisme.

    Ainsi, au risque de surprendre, je pense que la ridicule kermesse du 14 Juillet, à la place d'un défilé qui, au fil des années, se réduisait comme peau de chagrin, où nous vîmes que, bon an mal an, les membres du gouvernement n'en avaient rien à faire, signe, justement, en raison de ce simulacre de défilé, de l'achèvement de ces cycles et de la bientôt reconstruction de notre pays qui ne pourra qu'être précédé d'une  phase de chaos que je considère intuitivement relativement limité;

    De par cette caricature de la représentation de la nation par ledit simili défilé.

    Et les questions posées par la façon avec laquelle cette pandémie fut gérée n'étant, à mon sens, qu'une preuve de l'absurdité du dogmatisme néolibéral voulant, d'après ceux qui en soutiennent l'idéologie, que ni les pays, ni les peuples n'existent, seuls, comme l'affirmait Madame Thatcher en un dogme fantasmatique débilitant, les individus et leur famille consommateurs subsisteraient, affirmation contraire qui se renouvelait à chaque 14 Juillet en France par son affirmation de l'existence de la Nation en un  rite d'appartenance d'une religiosité certaine (de ce qui relie).

    Quand bien même suffisamment de tests, de masque avaient dès le début été présent et le traitement proposé par le Professeur Roult utilisé à foison par les P1050137.JPGmédecins, si même, mieux encore, cela avait été mis en place dès notre déconfinement, cette fête nationale aurait-elle pu se faire normalement?

    ( Pour cela il aurait fallu que nous ayons, à la place d'un gouvernement et de propriétaires des médiats pleutres, sots, incompétents et obéissants, des personnalités intelligentes et courageuses qui, en plus d'avoir su pourvoir à la fourniture de matériel avant l'advenue de la pandémie, de ne pas mentir au sujet du traitement, d'avoir un minimum de capacité d'organisation et de ne pas suivre les injonctions d'entreprise pharmaceutique quelconque.

    Et oui, nos oligarque ne sont que les petits sous-fifres de ceux étasuniens. )

    Nous pourrions même imaginer que ledit défilé se fasse et que les rangs des troupes soient juste un peu plus espacés.

    Mais, à l'inverse, il est plus juste de remarquer que le COVID-19 ne fut qu'un  ridicule prétexte pour cette mascarade, ceci parce qu'aucun ne comprend et, surtout, ne veut comprendre son sens symbolique et historique,  ils en sont tous incapables, n'en prenant en compte que le coût, se mettant par eux-mêmes en grands dangers, la colère des peuples prend son temps pour se déclarer, mais ensuite peut devenir inextinguible.

    Vous ferais-je remarquer que les militaires ont défilé, vers la fin, les rangs bien serrés les uns contre les autres...FullSizeRender.jpg

    ( Quand à l’hommage de la nation pour les soignants, cela participe à cette hypocrite vulgarité de la nature de notre personnel politique, ce ne sont que des commerciaux pour qui tout est bon à dire et à faire pour se vendre et se bien faire voir, eux qui les ont fait tabasser par la police avant la pandémie. )

    Combien de français ont dû, d'une certaine façon, envier celui de défilé russe, fêtant la fin de la grande guerre patriotique (39/45) à Moscou?

    Cette indécente vulgarité gouvernementale et oligarchique, que l'on retrouve similaire, voire en pire, dans les salons feutrés de l'Union-Européenne, faite autant d'irresponsabilités, d'approximations intellectuelles, d'incapacités multiples, de mensonges, dont d'état, de préceptes absurdes et de fadaises infantiles, voire même de probables prévarications, accrue par cette autre carence signalée plus haut, désormais proprement visible, ne peut que conduire la bande à croncron ainsi que sa pseudo opposition, aussi que les agences bruxelloises non élues, menée par notre godelureau national et les chambres d'enregistrement délibératives et par la très germanique Madame Von Der Leyen, à leur évanouissement.

    En effet, leurs faiblesses à tous ne peut que les faire disparaître de la scène publique dès lors qu'une nouvelle crise, de quelle que nature qu'elle soit, surviendra.

    De plus, on ne joue pas impunément avec la frustration d'un peuple, ceci d'autant plus si celle-ci est largement inconsciente.

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    Nous aboutissons donc au lent achèvement de ces trois cycles intimement liés,  débuté en France, cet ensemble de processus s'achèvera sûrement au même lieux, à Paris.

    C'est en cela que notre pays est devenu, à mon sens, mondialement central.

     

    Alors, ne serait-il pas temps de remettre en cause l'ensemble de ces absurdités, de celles-ci comme de tant d'autres desquelles je vous entretiens, qui, de toutes forces de nous les avoir enfoncé dans le crâne depuis tant de temps, en sont devenus des croyances crues d'en devenir, pour tant de gens, de fausses réalités contraires à tout bon sens?

    Il en serait temps parce que dès lors que la réalité pleine et entière surgira de sa boite, le choc en sera violent et l'incrédulité immense.

    C'est pourquoi, amis lecteurs, je n'ai que de cesse de tenter de la percevoir puis de vous la démontrer affin que ce choc, survenant maintenant, avant que l'histoire ne nous conduise vers de nouveaux horizons, vous ne souffriez que peu de cette nouvelle bifurcation.

     

    Contrairement à ce que des imbéciles peuvent dire, la France n'est pas en déclin, elle est désorganisée, ce qui est tout à fait différent et plutôt rassurant.

    Cette désorganisation provenant de ce que ceux dont ce serait le rôle de mener laP1020930.JPG nation, économiquement, politiquement, médiatiquement, intellectuellement n'ont eu, pour la plupart, que de cesse de croire en toutes les fadaises dogmatiques qui nous conduit là où nous en sommes ainsi que de nous entraîner dedans leurs égarements.

    C'est pourquoi furent nommés au nouveau gouvernement les fossoyeurs de l'hôpital publique, Madame Bachelot, si fière de sa vulgarité d'en devenir ministre de la culture, et, en tant que premier ministre, Monsieur Castex, maire d'une petite ville, n'étant pas capable de faire plus, que je soupçonne, en sus, d'être atteint d'un début de maladie neurodégénérative (mon père en fut décédé et j'y ai perçu ce même regard hagard).

    Comment voulez-vous que l'incompétent désigne plus compétent que lui pour le seconder, ne lui préférera-il pas plutôt le plus sot?

    Ils n'ont qu'une idée: faire de l'hôpital, faire du pays une société anonyme, une entreprise, une société privé (de tout à terme), tout comme en URSS et les pays de l'est se devait d'être, en son inverse, entreprise d'état, même le moindre artisanat.

    Ceci avec un ministre de l'économie reconduit, Monsieur Lemaire, qui, il y a peu, avouait être mauvais en mathématique, lui s'occupant des comptes publics.

    Et avant même d'avoir à gérer cette gabegie qu'ont donc mis en place pour que cette gestion hospitalière en devienne ainsi calamiteuse, ceci depuis ces décennies, nos P1050105.JPGévaporés du  bulbe et leurs même prédécesseurs?

    Une administration hopitalière pléthorique, inepte et onéreuse (il ne peut que subsister quelques exceptions éparses à ce type de règle), et il serait logique de considérer que celle-ci ne soit composée que d'incompétence plus importante encore, la médiocrité ne cessant d

  • Il va nous falloir gérer l'urgence portée par l'époque.

    Guêpe jaune ou commune: Dolichovespula arenaria

    Je vous salue, chers lecteurs,

    Avant que vous ne lisiez ce  billet, je vous convie à parcourir celui-ci provenant du journal en ligne: "France-Soir".

    Si feus mon père et ma mère, vieux communistes, avaient lu ma référence à ce journal, plutôt que j'aille chercher celle de l'Humanité, ils en auraient fait une jaunisse, autre temps, autre mœurs, le communisme n'est plus ce qu'il était...

    Il va donc falloir que chacun d'entre-nous se prenne par la main, mais aussi que débute une entraide collective puisque, pour l'instant, nous ne pouvons décemment pas avoir confiance dans cette équipe gouvernementale pour gérer les immenses difficultés qui foncent sur nous à grand galop.

    Mais aussi de celles qui surviennent en ce moment même.P1060195.JPG

    C'est en cela qu'il nous faut commencer: à gérer les urgences tant économiques que psychologiques en concevant les priorités que nous nous devons et devrons affronter.

    Cela signifie, pour commencer, à concevoir l'ordre desdites priorités pour chacun d'entre-nous, tant individuellement que collectivement, sur le plan matériel comme mental.

    Notre long confinement, grandement angoissant, tant en terme d'ennui, de confrontation, parfois, d'avec son époux ou épouse, d'avec ses enfants, d'un sentiment plus ou moins conscient d'une rupture brusque, peut-être violente d'avec la vie passée..., menant, de plus, pour nombre d'entre-nous au chômage;

    Puis, cet été, le port de ce masque incohérent, hier interdit, devenu aujourd'hui obligatoire, accompagné de mesures policières absurdes conduisant les agents à des actes insensés.

    L'ensemble ne peut que conduire nombre de personnes à un état d'angoisse important, voire même celui dépressif, ou, pire, à un stress post-traumatique.

    Je vais donc commencer par là, c'est à dire, pour ceux qui en souffrent, ce qui n'empêche en rien les traitements médicaux, de vous donner quelques conseils simples.

    P1050306.JPGIl y a ceux qui sont vraiment seuls, ceux en famille et ceux qui ont une vie de groupe enrichissante, pour chacun la situation est différente.

    Ceux vivant seuls ne doivent pas rester chez eux mais il leur faut en sortir tous les jours, ne serait-ce pour aller marcher, quand bien même de se traîner à  chaque pas (j'ai connu ça).

    Engager la conversation avec des personnes croisées en cours de promenade, de manière aimable et affable, de parler de la pluie et du beau temps, ne serait-ce pour avoir un contact humain, même fugace.

    De ne pas parler aux autre de manière larmoyantes de ce qui trouble mais, si cela est possible, de manière apaisée (ce n'est pas bon de continuellement ressasser les mêmes choses sans les comprendre, ce n'est qu'une fois qu'elles sont vraiment comprises qu'en diminuent leurs aspects nocifs),  ou alors, de préférence, de ce qui intéresse chacun en soi, de quoi que cela soit.

    Chez-soi il est bon d'écouter de la musique douce, il faut en éviter l'écoute d'une trop tonique et dynamique, choisir Mozart plutôt que Beethoven par exemple, ceci sur le canapé ou dans le fauteuil, en se relaxant en se concentrant sur chaque partie du corps, et si une pensée vient à l'esprit, il ne faut ni la repousser, ni la retenir mais la laisser venir puis passer en l'observant.

    Il faut comprendre, là je parle de mon vécu, qu'un état dépressif c'est le cerveau quiP1050262.JPG bogue en faisant tourner en rond le même ensemble d'idées, une douce musique accompagnée de cette relaxation ne peut qu'aider à ce que les pensées génératrices de cet état dépressif, plus ou moins grave, prennent leur place réelle dans ledit cerveau, ce qui apaise la personne, en laissant progressivement la place à la créativité retrouvée.

    Le soir il faut privilégier, devant la télé ou l'écran de l'ordinateur, tout ce qui est comique: il ne faut surtout pas hésiter aux bonnes pintes de rires, même si au début il n'y a pas même d'une ride de sourire.

    Construire dans le temps ce triple programme du tous les jours et aussi de la semaine, qui doit pouvoir s'adapter aux nécessités du moment, permet à chacun de se retrouver en soi-même, mais il ne faut pas s'en vouloir si cela est difficile à tenir, ça peut ne pas pouvoir se mettre en place aussitôt, seule la détermination dans le temps compte vraiment, mais il faut être content des évolutions de chaque jour.

    Bien que, naturellement, chaque étape d'avancée ne peut qu'être que suivit d'une de recule, toujours plus légère, il faut de cela rester conscient.

    Toutefois, s'asseoir à écouter de la musique en laissant son esprit se concentrer sur son corps, se nourrir au mieux, sortir, marcher, discuter avec des gens croisés sur le chemin, écouter et observer les oiseaux, les fleurs et les couchés du soleil..., puis regarder les émissions comique, ceci en ayant le but de retrouver son dynamisme et ses envies, ceci pour permettre à son cerveau de se réinitialiser, tout cela est simple,  ne demande pas de grands efforts de mise en place, c'est pourquoi je vous le P1050333.JPGpropose.

    Il est impératif de se passer d'alcool ou de drogue qui, bien qu'ils soulageraient légèrement sur le moment en mettant le cerveau en croix, ne feront qu'accroître plus tard cette détresse, et quand bien même une larme se mettrait à couler, et bien, qu'elle coule si cela lui chante.

    Pour ceux dont les efforts physiques sont important, il ne faut surtout pas les cesser, cela peut aussi faire parti du remède.

    Il ne sert à rien de vouloir secouer celui ou celle se trouvant dans cette situation, il faut plutôt les accompagner dans cette triple mise en place, ceci en évitant qu'il ou elle se trouve dans une sorte de confort dépressif.

    Dans un couple, il faut sentir, ce qui n'est pas évident, quand il faut être présent ou absent de son conjoint, mais aussi de savoir s'éloigner quand cela devient insupportable, il n'est pas la peine de se retrouver épuisé.

    Les ami(e)s sont là pour soutenir l'ami(e), à le pousser à participer, à s'animer mais avec souplesse.

    Surtout il faut éviter la critique inutile du style scatologique du: "Mais bouge toi le cul, tu fais chier, merde!", qui est totalement improductif.

    Il s'agit d'une maladie comme il peut en être de tout-autre.P1050064.JPG

    Pour les enfants, il faut absolument calmer leurs angoisses, déjà en se sentant en confiance à la maison pour qu'ils le soient auprès de leurs parents, y être rassuré.

    Le sentiment donné  par ce foutu gouvernement que le masque et la pandémie va duré ad vitam aeternam leur est alarmant, ce qui est normal, vous pouvez dire entre-vous, en leur présence, que c'est un mensonge insupportable, sans s'adresser à eux directement, est, ce me semble, le plus efficace.

    En revanche il est possible d'en rigoler avec eux, voire de fabriquer des masques de carnaval, de dessiner sur les leurs ou le vôtre, de toutes façons il n'ont pas à en porter.

    Vous trouverez ici un complément de ces conseilles de quand les causes de ce  stress s'éloigne.

    ( Il est à noter que cette angoisse génère, chez la jeunesse la plus fragile, la moins structurée mentalement, une tendance à la violence autant gratuite qu'absurde, seule façon, pour elle, d'extérioriser, d'évacuer autant leur stress que leur état dépressif.

    Etant entendu que je ne relativise, ni n'absous, ni n'excuse leurs actes, je ne fais que remarquer que cette augmentation de la violence sociale est à relier à notre P1040789.JPGclaustration, aux tentatives gouvernementales de nous museler et aux discours effrayants, voire paniquants de nos journalistes officiels qui les mènent aux portes de la folie.

    La prison, face auxdits actes, ne pouvant que devenir leur lieu de rédemption. )

     

    Maintenant voyons l'intendance qu'il faut mettre en place pour gérer la masse de problèmes que nous allons rencontrer, ceci en un premier jet, c'est à chacun d'entre-vous de concevoir ce qui serait le meilleurs pour vous dans le temps.

    Si cela est possible, en raison des difficultés économiques qui viennent, mettre de coté de la nourriture, pour deux mois au moins, pour la famille et les proches, voire les voisins,, des produits d'entretien de la maison, des du soin pour le corps ainsi que de la monnaie, ne pas accumuler de billet au-delà de vingt euros, plus de quoi faire du troc.

    Ceux se retrouvant au chômage, le travail au noir n'est certes pas une sinécure mais, faute de moyen, cela permet tout de même d'avoir de quoi manger.

    Pour ceux qui ont un jardin, il serait bien de commencer dès maintenant à le préparer pour un potager, plus quelques poules ne serait-ce pour les œufs.

    Garder ses pots de yaourt pour y faire les semis tôt sur le printemps, les graines sont moins chers que les plans, de tomate et de courgette par exemple, les salades,P1040690.JPG carottes et autres se semant sur place, ces pots seront percés de 3/4 petits trous, remplis de terre, trois graines qui y sont semées, les pots placés de préférence au sud devant la fenêtre,  arroser tous les jours, ne conserver que le plan le plus robuste puis compter 4 à 5 feuilles pour les mettre en terre, ou d'attendre la fin des gelées.

    Un potager collectif peut aussi être bien, pouvant même nourrir un quartier ou un village.

    N'oubliez pas que l'entraide est, dans une situation comme la nôtre, primordiale.

     

    Il y a longtemps, je ne sais pas si j'ai conservé les textes où je l'avais écrit, j'avais annoncé que toutes les bêtises qu'il ne fallait pas faire seront faites, puis que nos entreprises seront vendues aux plus offrants, vendus à l’encan, voilà, nous y sommes. 

    Il est vrai que nous allons traverser une période difficile, que notre pays est autant désorganisé que désindustrialisé, sans compter nos désormais faiblesses agricoles.

    Le politique officiel, surtout celui au national et unioniste, est composé de personnalités intellectuellement affligeant ne voyant, comme ligne d'horizon, que l'Union-Européenne, l'euro/dollar et les Etats-Unis-d'Amérique, ne pouvant, P1050366.JPGsurtout, de concevoir l'existence d'un futur, ils ne vivent tous que dans le présent ou le lendemain, sans plus, le passé et l'avenir leur étant absent.

    Même Monsieur Mélenchon, anciennement professeur d'histoire, ne s'en montre plus capable.

    C'est pourquoi tout ce petit monde sautera lorsque le système économique international se retrouvera forclos, ce qui redoublera nos problèmes d'alors.

    Ce ne sont pas les décisions économiques gouvernementales qui changeront grand chose à la super-crise économique qui vient, puisque tant que nos frontières seront béantes, toute injection de monnaie dans le pays ne servira qu'aux pays exportateurs de l'UE, soit les anciens pays de l'est, nous-mêmes n'étant devenus que quasiment purement importateurs puisque désindustrialisés.

    C'est ce problème là qui nous est économiquement central de comprendre, au niveau de l'union comme de celui mondial, le reste n'est qu'essentiellement secondaire.

    Va suivre, ensuite, la logique du processus, c'est à dire qu'il y aura une accélération de la production monétaire générant une inflation égale à cette production, là où celle-ci sera déversée, dans la population et/ou les sociétés spéculative

  • A l'adresse des ingénieurs.

    Chers ingénieurs,

    Il n'est pas la peine de vous cacher derrière votre petit doigt, vous faites parti des élites du pays, d'ailleurs qui se souvient du nom du président de la république de l'époque où la tour Eiffel fut bâtie?

    D'autant plus avez-vous, de formation de base, une similaire d'avec les scientifiques, en mathématique notamment, la différence fondamentale étant, entre eux et vous, qu'eux-même cherchent à comprendre comment fonctionne l'univers et que vous, vous vous échinez soit de mettre au point une nouvelle machinerie, une nouvelle idée ou une nouvelle création, soit de résoudre à toutes fins un problème industrielle se présentant.

    En ne pouvant faire autrement que d'en trouver la solution dans l'obligation de sa meilleurs résolution.P1030534.JPG

    Que ce soit pour une novation ou pour comprendre et résoudre une panne, il vous faut saisir les différentes forces physiques en présence, de savoir le fonctionnement de la machinerie en place ou de la créer en en conceptualisant le but poursuivi.

    Or, vous remarquerez que la France, dans son ensemble, se retrouve à faire face à une multiplicité de difficultés sociaux, politiques, économiques..., en un double processus d'un arrêt évolutif de la société et d'une désorganisation d'icelle allant s'amplifiant.

    Thème que j'ai déjà abordé par ailleurs sur ce blog de multiples façons.

    Il ne suffit, pour le percevoir, que de faire un bref rebours historique de quelques dizaine d'années.

    Vous remarquerez, en ces deux simples exemples, que notre pays ne sait même plus faire les soudures nécessaires pour le bon fonctionnement d'une centrale nucléaire en construction et que nos ponts, allant s'effondrant comme en Italie, se retrouvent à n'être que peu ou pas entretenus.

    Et vous savez très bien, en raison du poste de responsabilité qui vous incombe, que P1030202.JPGla cause première d'une telle situation provient, le plus souvent, du plus haut de la pyramide hiérarchique.

    Mais aussi qu'une malfonction quelconque a une origine et que de vouloir la réparer nécessite d'aller voir où s'en trouve ses fondements, quitte, ensuite, à en transformer l'ensemble pour qu'il fonctionne au mieux.

    Or, vous observerez que la France est en cet état qui lui demanderait une série de réparation d'urgence suivit d'une reconstruction structurée.

    Le tout s'agissant d'en découvrir ce qui fait cette panne dantesque de notre nation pour en extirper les pièces défectueuses et de les remplacer.

    Certes, il serait aisé de voir en Monsieur Macron et de son équipe de bras cassés la base de nos-dites actuelles difficultés, mais vous remarquerez  que cela n'avait pas commencé il y deux à trois ans mais date largement de plusieurs décennies., soit depuis même avant le gouvernement de Jacques Chirac en ses commencements.

    Le point d'accélération ce fut lors de l'apparition de l'euro en 2001 (à cette époque je disais, par ironie, qu'il n'y avait pas eu d'inflation due à cette monnaie puisque la baguette de pain de 1 franc était revenu rapidement à 1 euro, 1 €, 00 = 6 FF, 56, soit 656% d'inflation), suivi du référendum sur la pseudo-constitution sur l'Union-P1030483.JPGEuropéenne en 2005 ou la majorité des votants avait voté non, ensuite venant le traité de Lisbonne, en tous points semblable au précédent, signé, lui, par la grande part des parlementaires en 2007 sous la présidence de Sarkozy.

    Preuve s'il en est que l'effondrement idéologique et politique était, dès cette époque, déjà pleinement présent.

    La concomitance des dates devrait, me paraît-il, faire réfléchir les ingénieurs que vous êtes, du-moins, si mon approche s'avère, pour vous, illogique, pourrions-nous en discuter ici même.

    Permettez-moi, tout de même, de prolonger mon point de vu.

    De la France vendue à la découpe, comme hier il en fut d’abord de notre tissu industriel, trois forces se conjuguent pour que cela advienne:

    - Le formalisme du-dit traité de Lisbonne laissant toute liberté de circulation des personnes, des monnaies et des biens autant entre les pays de l'union que hors de celle-ci, avec tout ce que cela entend d'effets de toutes sortes;

    - Une oligarchie nationale, en une alliance plus ou moins importante avec celle du reste de l'UE, sous domination des Amériques, détenant quasiment  l'ensemble de P1030458.JPGnos médiats et de notre monnaie;

    - Un gouvernement et une présidence hautement dogmatique, néolibéral, et composé d'incompétents formels, à la flemme conceptuelle visible puisque ne faisant qu'obéir aux injonctions de l'Union-Européenne sous sa forme des traités et des GOPE, qui fut mis en place grâce aux deux précédents, preuve en étant du nombre de page de journaux et de temps d'antenne radio et télé dont ils ont bénéficié pendant les campagnes électorales des présidentielles et législatives (dont ils bénéficient toujours), ceci au regard de celui de toutes les autres composantes politiques du pays.

    (Vous remarquerez que toutes les tentatives gouvernementales pour réformer l'Union-européenne ne furent, pour chacun d'entre-eux, qu'une succession d'échecs cuisants, du gouvernement Jospin à celui d'aujourd'hui, ceci parce que l'union est triplement verrouillé, institutionnellement, idéologiquement et politiquement.

    De plus, lorsque les intitulés des traités ne furent pas respectés ce ne fut pas pour sauver tel ou tel pays de la ruine mais bien pour sauver et l'union, et l'euro, à l'exemple de ce qu'il se passa en Grèce, notamment.)

    Pensant de plus, comme il se conçoit dans de nombreuses quelconques écoles de commerces (à fuir comme de la peste), que leur verbe, qu'il est aisé de définirP1030833.JPG comme verbeux, suffit pour qu'ils prouvent le bienfondé de leurs suivismes décisions.

    En effet, ce qui fait actualité aujourd'hui, la transformation réactionnaire des retraites, et non pas leur réforme, n'est que la résultante des-dits GOPE, vous remarquerez, sur ce sujet, qu'il s'agit des "recommandations des orientations de politiques économiques", verbiage dilatoire, pour ne pas dire faux, puisque ces censées recommandations sont obligatoires au risque sinon de sanctions pécuniaires.

    Il est dit que l'une des composantes premières des système politiques totalitaires c'est de toujours utiliser des mots et des expressions dénués de sens ou à  contrario de leur lexicographie, tel que celui du: "Il faut sauver la planète!" ou du"pragmatisme politique de notre gouvernement".

    Vous l'aurez compris, ce billet n'a de but que de vous montrer ce qui me paraît être l'origine de nos problèmes: l'Union-Européenne, sous l'empire US, et tout ce qui satellite autour, pour l'essentiel l'oligarchie nationale et européenne et les classes-moyennes hautes à supérieures dont vous êtes.

    Ce sont ces premiers, et non pas vous, qui profitent de nos béances frontalières en vendant à l’encan pour leur propre profit provisoire tout ce qui peut avoir de la valeur dans notre pays en échange de pure monnaie (ce qui est économiquement suicidaire), générant une ruée des acheteurs provenant de partout dans le monde, P1030558.JPGentre-autre des chinois et des étasuniens.

    (Quand bien même quitteriez-vous votre pays pour un autre où vous gagneriez mieux votre vie ou ne serez pas au chômage, ne serait-il pas mieux que notre France, pays de notre enfance, recouvre sa douceur?)

    Là, vous pouvez percevoir la masse mensongère, propagandiste, qui est déversé par nos médiats puisque y est affirmé que l'union nous permettrait de contenir la puissance chinoise et américaine, ce qui à l'évidence est faux.

    Je vous laisse maintenant, après vous avoir donné mon avis des raisons qui font que notre pays est formellement en panne à tous les niveaux, en vous demandant que vous utilisiez vos outils conceptuels pour que vous déterminiez par vous-mêmes les causes première de cette panne multifactorielle et des solutions qui vous paraîtraient idoines pour le réparer.

    Bien que personnellement je pense que l'UPR soit la solution politique à ce problème vital en une solution légaliste: l'activation de l'article 50 du traité de Lisbonne pour que la France quitte l'union, je vous laisse donc à vos choix réflexifs.

    A mon sens, tout comme il peut en être d'une machine, n'hésitez pas à aller au-delà des apparences dans vos analyses, ce que, par expérience, vous savez fort bien faire.

    Songez toutefois que c'est d'appauvrir constamment les classes-moyennes de tousP1030315.JPG les niveaux, de les mettre au chômage, qui vous appauvrira, vous et vos enfants, à votre tour à un moment ou à un autre, mais aussi à ce que ceci ne peut que conduire inexorablement ce système économique mondialisée à cesser de fonctionner, sachant que désormais la France n'est plus en capacité de nourrir sa population...

    Parce que, à mon sens, c'est bien l'Union-Européenne qui entraine le monde entier dans sa perdition!

     

     

    THEURIC

  • Les choses de l'esprit: de la sottise en héritage.

    Il est bien de rechercher les causes premières antérieures aux difficultés que nous pouvons rencontrer.

    Ainsi, la sottise tant de nos élites politiques, économiques qu'intellectuelles et artistiques, bien que n'étant pas totale, loin de là, n'en est pas moins majoritaire, ceci d'autant plus que c'est cette majorité qui détient la direction politique,  économique, intellectuelle et artistique de la France.

    De plus, ce processus ne concerne pas seulement notre petit hexagone mais quasiment toute l'Europe mais de manière moindre, sauf à quelques exceptions près la Russie, la Suisse, plus un ou deux pays nordiques et quelques-uns des anciens de l'est qui réagirent avec infiniment plus d'efficacité.

    Et c'est bien l'ouest européen qui en est le plus atteint, d'autant plus, d'une façon caricaturale, la France.

    Mais d'où se tirerait donc l'origine de cet abêtissement d'une partie non restreinte deP1030018.JPG ce qui devrait être la fine fleur de la nation?

    D'une question existentielle qu'il se posait dès la sortie de la seconde guerre mondiale et qui, ne recevant de réponse concrète jusqu'à aujourd'hui, réponse formulée maintenant par Emmanuel Todd*, en est venu à pervertir l'intelligence des plus hautes classes sociales: "Comment se fait-il que l'un des peuples le plus civilisé au monde (l'Allemagne) en ait pu en arriver à de telles atrocité (les exterminations massives)?"

    *( La réponde de Mr. Todd  étant qu'il y a un moment de rupture culturelle pouvant s'exprimer violemment dès lors que la religiosité d'un peuple descend en-dessous d'un certain seuil, ce qui était le cas pour les français de la grande région parisienne au XVIII° siècle et pour la Germanie du début du XX°. )

    De cette sottise collégiale, que, jusqu'à présent, je ne faisais qu'intuitivement supposer, je peux, dorénavant, la démontrer au sujet de notre oligarchie strato-financière et de notre gouvernement.

    Etant entendu qu'une démonstration ne peut en rien être une preuve directe, toutefois celle-ci permet-elle d'avancer des pistes de recherche, ici historique, en psychologie des groupes et anthropologique.

    Alors, quelle est cette réflexion me permettant de faire une telle démonstration?

    Elle m'est venue cette nuit où, me réveillant, m'est venu cette idée: nos oligarques n'avaient et n'ont aucun intérêt à empêcher le traitement, d'hydroxychloroquine doublé de l'azithromycine proposé par de Professeur Raoult pour lutter contre le P1030256.JPGSRAS-COV-2 et de soutenir mordicus sa dangerosité, ce qui est le mensonge d'état le plus  incroyable de notre modernité, tout cela via le gouvernement, les médiats et les institutions de recherche médicale, empêchant les médecins d'effectuer tant des tests de la population que ce traitement pour la soigner.

    Ceci en l'attente de l'évaluation de l'efficacité du remdésivir du laboratoire étasunien Gilead qui se révélera totalement déficient.

    Dont personne ou presque en France n'aurait pu tirer, quoi qu'il en soit, de quelconque bénéfice, là se trouve la folie de cette histoire et ma base réflexive.

    Tout cela en une forfaiture de première importance qui n'a servi que de faire monter une incroyable colère populaire.

    Or, hormis quelques-uns d'entre-eux qui auraient eu un petit peu d'actions dudit laboratoire, pourquoi donc leur faut-il refuser par tout les moyens, tant du fait du gouvernement aux ordres oligarchiques que de celui des médiats, que les français soient soignés de cette façon?

    Il n'y en a aucune raison probante.

    Qu'ils se retrouvent dès lors contraints de nous cloîtrer chez-nous, menant alors le pays à d'ahurissantes complications économique pouvant mener à une crise d'une telle violence que cela pourrait bien nous conduire, effectivement, à la disparition de l'euro, détruisant de là même l'Union-européenne (ce dont même Georges Sorros s’inquiète), tout autant que de leur fortune d'ailleurs.

    Nous menant de plus à une crise économique d'une telle violence que nous risquerions de nous retrouver à faire face à cette disette et famine que nous ne connaissions plus depuis près de deux siècles.P1030166.JPG

    Claustration déstabilisant jusqu'à l'Allemagne.

    Dès lors que nous prenons en compte cette question évoquée plus haut, toutes les affirmations dérisoires, les empêchements scientifiques, intellectuels, philosophiques, les errances politiques, économiques, artistiques deviennent compréhensible par ce simple fait qu'en réponse à celle-ci, fut formulé inconsciemment ce qui suit:

    " Puisque d'être détenteur d'une haute culture, d'un tel degrés de civilisation, mène aux atrocités de l'Allemagne nazi (ce qui, nous l'avons vu, est faux), alors pour être civilisé il faut ne pas être cultivé et donc de devenir de parfais imbéciles en redevenant des sauvages."

    Dès lors que ce paradoxe conceptuel s'est mis progressivement en place, gravement accentué par notre imprégnation de la basse culture de l'empire US, notre colonisateur, alors tout le reste  des imbécillités de notre époque, dont je n'ai eu de cesse que d'en donner des exemples, en découle.

    La perte d'identité des classes sociales les plus hautes venant accentuer d'autant cette situation déjà calamiteuse, peut-être même l'une se déduisant de l'autre.

    Là où la pandémie actuelle est révélatrice, bien plus qu'il pourrait en être de toutes autres billevesées et autres sornettes hypothétiques si nombreuses qui sont exprimées, ce révélateur, donc, se comptabiliserait, donc, au taux de mort qui, dans chaque pays du monde, mais surtout dans ceux occidentaux, s'égrainent en raison P1020047.JPGde cette maladie au vilain virus, c'est le niveau de perte civilisationnelle, culturelle, d'humanisme, d'intelligence, donc, des élites de chacun d'entre-eux que cela révélerait.

    Ce manque d'humanité que démontre le docteur Gérard Delépine lors de son intervention dans le site vidéo Putsch Live: "Le confinement répond à un désir d'humilier la population".

    En cela, cette avanie collective est, à mon sens, le marqueur le plus fiable de l'affaiblissement tant de la pensée, de la raison, des connaissances, de la perception temporelle, tant historique que du futur, et, dès lors, d'intelligence, d'humanité, de leur identité et de leur détermination d'Être de cette majorité des élites des nations où le plus de décès dû au COVID-19 est à déploré.

    Bien qu'il se doit toutefois de relativiser cette vision, puisque certains de nos voisins, le gouvernement italien surtout, surent réagir avec cette humanité et cette vigueur, sans fausse honte, contrairement à ce qu'il peut en être de notre gouvernement, en appelant à l'aide tous les états en capacité d'aider le peuple, Chine, Russie, Cuba, Egypte..., contrairement de ce qu'il en fut pour ceux de l'Union-Européenne dont les italiens ne reçurent nulle réponse à leurs SOS, quand bien même au début de cette crise sanitaire celui-ci commença par de mêmes erreurs que nos macronistes-philippards de tous poils.

    Reconnaître ses erreurs, ainsi que le fit le gouvernement britannique qui, après s'être rendu compte que son service médical ne pouvait absorber le choc du nombre de malades, se retrouva devant confiner, lui aussi, sa population, mais en le lui annonçant sans lui mentir des raisons, sans prendre les britanniques pour desP1030447.JPG enfants, est, pour moi, l'une des preuves, sinon la preuve la plus éblouissante, que cet esprit de raison que nous a légué nos anciens n'est en rien laissé lettre morte.

    C'est pourquoi je dis et affirme résolument que là où sévit le plus important abrutissement au plus haut de la hiérarchie sociale c'est aux Etats-Unis-d'Amérique, en France et peut-être même en Espagne.

    Aux USA, justement, où il est loisir d'y observer, via les vidéos, des événements plus que curieux, le particulier prenant sa voiture, parfois de bonne facture, pour aller chercher de quoi se nourrir..., montrant la situation désespérante de ce pays (je conseillerais à ceux de nos compatriotes qui y sont expatriés de revenir en France au plus vite si possible).

    C'est à nous, gens du commun, désormais, aidés en cela par ceux qui, du plus haut de cette hiérarchie sociale, ne souffrent que de peu ou pas de cet abêtissement, qu'il nous revient de recouvrer cette flamme faite d'humanité et du plaisir de la curiosité, de la découverte et du savoir qui manque tant à la tête de notre état.

     

     

    THEURIC       

    P1010503 - Copie.JPGPS: Une ridicule tentative de putsch  eut lieu à l'UPR en l'essai de renverser François Asselineau.

    Je m'attendais à quelque chose de cette sorte mais ne m'en avais pas exprimé, pensant que son président en avait pris les devants.

    De fait, en une façon de leçon salvatrice, il vaut mieux que cela survienne maintenant plutôt que dès lors que ce parti politique atteigne un niveau de popularité plus important qui lui permettra de prendre le pouvoir.

    Cette tentative fleure bon le pervers narcissique, tant de son culot, de la stupidité de sa mise en oeuvre, de la manière avec laquelle certains cadres de ce parti furent manipulés que de sa non prise en compte de la force de caractère de son président.

    Il est à considérer, comme me confortant dans cette appréciation, que les accusations proférées par le fomenteur de ce complot soient à l'image de sa propre conduite, ceci conté par Fabien Sémat, qui en est cadre, justement, en ces deux mêmes vidéos, la plus courte, la plus longue.

     

    PS2: Une odeur de souffre fut sentie à Paris et sa banlieue le 10 Mai, soit à la date anniversaire du début de déclenchement de l'offensive allemande sur la France en 1940, qui conduisit, après cette défaite française, à ce que le gouvernement de Pétain fut mis en place à Vichy, inféodé à l'Allemagne hitlérienne.

    Qui survint la veille aussi du début du commencement du déconfinement de laP1030280.JPG population.

    Le souffre représentant le diable dans l'iconographie de l'époque médiévale, également que l'expression "sentir le souffre" renvoie autant à une situation semblant prendre mauvaise tournure que d'une personne dont on ne peut pas avoir confiance.

    De part cette triple symbolique, ce phénomène ne peut pas être anodin et ne peut qu'exprimer, à mon sens, soit une mise en garde d'une catastrophe quelconque, soit l'annonce de difficultés avenir pour des franciliens, soit un événement important survenant en Île-de-France, soit un chamboulement rapide, pourquoi pas politique, soit un mixe complexe de ces quatre éventualités.

  • Essai de réflexion sur les origines d'Homo Sapiens Sapiens.

    Je vous avais conté, amis lecteurs, de ce que je pense des origines du singe ici et là j'y avais exposé ce que je pensais de la nature de la pensée.

    Je vais, derechef, faire cet exercice périlleux consistant à m'essayer de concevoir notre passé lointain, soit ici l'origine de notre langage complexe et notre démarche si intrigante, deux des attributs spécifiques de notre condition humaine.

    Pour cela je vais reprendre comme base réflexive, une fois encore, la théorie du primate aquatique chère à Elaine Morgan (ici vous en trouverez un bref résumé en pour et en contre), que vous retrouverez dans "Les cicatrices de l'évolution", toutefois il me semble que l'explication qu'elle avait fourni pour expliquer l'évolution des pattes arrières de nos ancêtres en jambe fut un petit peu trop rapidement conceptualisée.

    Le livre d'Yvette Déloison: "La préhistoire du Piéton" est également d'une grande importance dans ma réflexion, je vous le conseille également, je suis juste en désaccord avec elle quand elle affirme que la position debout existerait déjà chez le proto-singe, ce qui ne colle pas avec mes propres pensées.

    Quand à l'origine de notre capacité d'échanger oralement, je fais l'essai d'en concevoir les premières évolutions en m'inspirant des échanges sonores des cétacés.

    Il est vrai que cette théorie du primate aquatique n'est pas validée par les paléoanthropologues.

    Celle-ci se dit hypothèse, ce qui en soit c'est logique, souvenons-nous de cet aphorisme de mon cru: "Une théorie n'a de valeur que par son caractère prédictif."P1010624 - Copie.JPG

    Or, toutes les théories, sans une exception, sur l'origine de notre espèce si particulière posent d'infinis tracas conceptuels, c'est pourquoi plutôt que théories, parlons (c'est le cas de le dire), pour l'ensemble de celles-ci, d'hypothèses.

    Une évolution ne peut se faire que si l'espèce a, en elle-même, le potentiel pour que cette évolution se fasse, et une fois celle-ci faite il est (quasiment?) impossible pour elle de revenir en arrière, sauf si elle a conservé en elle des traces archaïque.

    Ainsi, nous ne sommes pas si glabre que cela, nos poils sont juste devenus minuscules, s'il y a nécessité, une longue période glacière de plus d'une centaine de millier d'année par exemple, ce qui fut le cas d'Homo Sapiens Neandertalensis qui lui en avait traversé plusieurs, ceux-ci pourraient très bien, si je puis dire, reprendre du poil de la bête et se redévelopper, il est ainsi possible de représenter Neandertal hirsute, ce qui me semblerait logique.

    Mais une longue pilosité nécessite une  énergie supplémentaire que le métabolisme se devra de fournir, or, l'une des nombreuses particularités humaine c'est d'avoir un cerveau qui, de ses 2% me masse corporelle en moyenne, utilise 20% de l'énergie que le corps produit.

    Ce cerveau a donc, ainsi, un coût énergétique énorme et son évolution ne peut s'être fait que de par la nécessité que cela se produise, ceci doublé de ce potentiel qui rendit ceci possible.

    Il en est du cerveau comme de notre bipédie et de notre langage complexe.

    P1010666 - Copie.JPGDe cette nécessité évolutive due à un nouveau milieu et des contraintes qui y sont liées, au potentiel évolutif de l'espèce antérieur, il faut y rajouter le fait que ce milieu puisse offrir le cadre indispensable pour que la-dite évolution puisse se produire.

    Ce sont, à mon sens, ces trois simultanéité qu'il faut rassembler pour construire un ensemble théorique cohérent et dynamique pour saisir ce qui fait de nous, aujourd'hui, ce que nous sommes: le potentiel, les contraintes et les possibilités.

    Mais à quoi cela pourrait-il servir?

    Tout simplement de nous comprendre dans ce qu'il y a de plus profond dans notre psyché, ce que peut recéler de plus ancien de notre inconscient, nos pulsions instinctuelles d'Être Humain qui peuvent, si nous n'en prenons pas conscience, prendre une place part trop considérable dans notre vie du tous les jours.

    Je vous propose donc que nous fassions ce voyage dans le temps de nos ancêtres d'il y a plusieurs millions d'années passés.P1010577.JPG

     Comprendre le pourquoi de nos facultés à la parole et de notre marche debout, sur nos deux pieds, sans queue servant de balancier, est loin d'être les moindres de nos difficultés.

    N'oublions pas que toute évolution nécessite, comme je l'ai dit plus haut, une dépense, tant en énergie qu'en potentiel évolutif, et une fois ce potentiel épuisé, la forme de vie, le morphogène, disparaitra dès qu'une transformation de l'habitat plus ou moins violente et rapide demanderait de nouvelles adaptations ou que cette dernière parviendra à un sens unique débilitant.

    Songeons simplement au guépard et au panda qui, l'un et l'autre, en raison, entre-autre, de leurs difficultés reproductrices et de leur hyper-spécialisation, sont au bord de l'extinction.

    Donc, notre langage, ou plutôt notre proto-langage, est apparu dès que cette nécessité se fit jour.

    Il ne peut en être autrement pour notre station verticale.

    P1010712.JPGEnsuite ces deux traits ont évolué suivant les acclimatations et les besoins adaptatif à la survie que les représentants de notre proto-espèce et de ceux antérieurs rencontrèrent.

    A ce propos, la première question à se poser serait celle de savoir si nos capacités d'élocution seraient ou non apparues en même temps que notre érection (sans connotation sexuée, hi, hi, hi).

    A cette-dite nécessité évolutive, donc, il faut aussi y adjoindre la possibilité pour que ce soit l'ensemble de la forme de l'espèce qui évolue en même temps, ce qui n'est toutefois pas une obligation mais qui là est essentiel.

    Un autre point important auquel il faut songer c'est que notre cerveau est un ogre d'énergie, de 2% du poids de notre corps, il en consomme, suivant les informations que j'ai recueilli, entre 20 et 25% (toujours cette sacrée énergie sans quoi rien n'existerait).

    De ce fait, je vous propose également cette vidéo où Madame Herculano-Houzel (pas mal ce nom au scrable mais trop long et interdit par les règles du jeu) expose la particularité des cerveaux simiesques et du lien du développement de celui du genre Homo d'avec sa découverte de la maîtrise du feu par Homo Erectus il y a de cela de 400 000 à 800 000 ans.

    Je commence donc par résumer l'idée de Madame Morgan: le milieu semi-aquatique des mangroves, ici celui disparu situé dans le rift africain (ici aussi) à l'est du continent, souvent riches en matière nutritive, fruits des arbres et fruits de mer,P1010759.JPG sans compter les poissons sûrement pêchés par nos lointains ancêtres, une bonne part de ces espèces n'ayant pu, depuis, que s'être éteint avec la disparition de cette mer antédiluvienne, ce milieu semi-aquatique serait donc le moteur de l'érection de l'humain très archaïque.

    Mais si nos aïeux les plus lointains se sont retrouvés, dans le même temps, à nager, entre-autre sous l'eau, et à marcher en même temps dans l'eau et sur la terre ferme, c'est qu'il y avait une nécessité, comme je l'ai dit, il ne saurait y avoir d'évolution sans qu'il n'y en ai eu de nécessité.

    Sinon, se retrouvant hors de l'eau, ils se seraient remis naturellement à se déplacer à quatre pattes.

    Et il en est de même de notre langage parlé.

    Pour explorer cette double nécessité, je vais employer deux outils, celui de causalité tel que je l'avais exposé antérieurement (vous le trouverez en fin de page), et la loi de Dollo qui stipule qu'il n'est pas possible pour un morphogène de revenir sur une évolution passée, qu'il n'y a pas, en cela, de retour en arrière possible, enfin presque.

    Dès lors, commençons par une réflexion sur cette intrigante position debout.

    Pour qui a vu une mangrove et leurs palétuviers à la télé ou de visu, ce qui fut mon cas en Martinique, aura sûrement été surpris d'observer ces racines creuses qui montent à la verticale, des pneumatophores.

    Leur raison d'être est de fournir de l'oxygène aux racines des arbres dans un sol très P1010498.JPGpeu oxygéné, sujet aux marées.

    Or, vous remarquerez, sur la photo du site vers lequel je vous renvoie, la bonne taille des-dits pneumatophore et qu'à certains endroits ils peuvent être très serrés les uns des autres.

    Si nous rejoignons l'hypothèse émise par Madame Morgan que le proto-homo était un être infiniment plus archaïque que les singes que nous pouvons contempler dans les zoos, bonobos compris, ce que la forme indifférenciée et non spécialisée de notre main démontre.

    Celle-ci conserve, en effet, la même forme en étoile des quadrupèdes originel, ce que nous retrouvons chez le lézard par exemple, contrairement à la majorité des mammifères.

    En revanche, notre pied, à l'opposé de la main, se révèle, lui, hautement spécialisé pour la marche.

    Si vous allez voir ou avez lu le billet ou j'aborde la question de l'origine du singe, indéfectiblement lié à celle de l'ongle, vous y verriez que, selon moi, le pied avait commencé à prendre sa forme en raison de cet ongle qui, contrairement à la griffe, ne permet pas une bonne accroche au sol pour courir à quatre pattes.

    Ce proto-pied, relativement allongé, conservait toujours ses cinq doigts, sûrement bien plus aligné à la paume qu'à l'origine mais conservant la souplesse et la puissance nécessaire à la course.

    N'oublions pas que, suivant mes hypothèses, ce qui deviendra des pieds et des mains ont pris cette forme, à l'origine, pour courir et aussi, en même temps, pour saisir en ce qui concerne la main, très tôt chez le proto-primate, c'en serait même P1010631.JPGune évolution consubstantiel.

    Une information à prendre également en compte est de savoir combien de temps nous sépare des grands singes, suivant les chercheurs cela s'étalerait entre 7 et 13 millions d'années, ce qui laisse une large palette d'approximation.

    Mais aussi matière à réflexion puisque cela donne du relief à cette évolution progressive du pied d'une position  quadrupède à celle bipède.

    Revenons à la mangrove, voulez-vous (et si vous ne le voulez pas, ce sera pareil).

    Où donc ce ou ces mangroves se sont-elles formées dans cette région du rift africain?

    N'étant ni géophysicien, ni géologue, je ne pourrais vous le dire, en revanche il est possible d'imaginer, en plus d'un flux et reflux de la mer au fil des ères, suivant les mouvement tectoniques et maritimes de la région (pour ces derniers suivant les différentes phases glaciaires et interglaciaires du quaternaire, débutés il y a 2, 58 millions d'années), que des mangroves se soient développées en plusieurs endroits, séparées par des bras de mer, et que, suivant les époques, celles-ci étaient plus ou moins développées et dense.

    Ce long préambule fait, voyons pourquoi  nous marchons sur deux pieds, enfin, plutôt ce que j'en pense:

    P1010609.JPGPour le dire vite: pour enjamber les pneumatophores.

    Pour comprendre ce que je veux dire, laissez-vous aller à votre imagination, scenario se passant pendant des millions d'années.

    Il y a très longtemps, un petit animal, un singe plutôt archaïque, très proche de ce qu'était celui que je décrivais dans mon texte sur l'origine des ongles, très peu spécialisé, s'était installé un petit peu partout dans le monde en se diversifiant suivant l'habitat où il se trouvait.

    Dans certains endroits plutôt froid, il y en eut qui perdirent leur queue, par évolution pour éviter, si je puis dire, qu'elle ne se gèle, comme il peut en être pour le lynx par exemple.

    L'un de ceux-là devint l'ancêtre de la grande famille des hominoïdes dont  nous sommes avec les chimpanzés, les orangs-outans, les gorilles et les bonobos.

    D'avoir semer tout un tas d'espèces en Afrique et en Asie, il y en a un qui s'était retrouvé bloqué quelque part dans le rift est-africain il y a, donc, entre 7 à 13 millions d'années, à l'intérieur d'une mangrove.

    Pour se nourrir, il y trouvait les fruits des arbres, peut-être des feuilles, et, de plus, tout un tas de fruits de mer, connaissant même les capacités des bonobos et chimpanzés à confectionner des outils et donc potentiellement des armes, le poisson dû être rapidement à sa portée lors de l'invention du premier harpon.P1010474.JPG

    Notre ancêtre commençait donc à pêcher et à cueillir, en ayant souvent la tête sous l'eau, il pouvait peut-être manger tout ça sur place, mais ça ne devait pas être très pratique dans la mer ou au milieu des pneumatophores.

    Il lui fallait donc remonter son petit butin jusqu'à la terre ferme pour déguster le tout avec ses potes et sa copine, et les mains, dans ce cas là, étaient bien  pratiques.

    Alors il devait aller traverser toute cette mangrove d'aplomb, déjà pour tenir sa cueillette, ensuite pour enjamber les pneumatophores, ce qui avait nécessité aussi qu'il grandisse progressivement.

    Et oui, s'il grimpait dans les arbres, ses mimines lui étaient indispensables, il lui aurait donc fallu tout lâcher, ce qui aurait été absurde: il n'est pas bon de grimper aux arbres le ventre vide.

    Vous remarquerez une chose: du fait qu'il pouvait traverser les pneumatophores et, de la mer, regagner la mangrove, il pouvait facilement échapper aux prédateurs, c'est pourquoi il put, puis dut, au fil des myriades de générations, conserver cette position debout, même si cela le conduisait à être infiniment moins prompt que les carnivores.

    P1010561 - Copie.JPGEt oui, face à un quadrupède prédateur qui ne peut qu'être que plus rapide que lui, ou à un requin affamé à la nage tout aussi véloce, sa disposition verticale ne peut que lui être salvatrice.

    C'est pourquoi il pu se redresser progressivement et conserver cette position originale: cette érection, au début utile juste pour se nourrir, lui devenant nécessaire à sa survie, ce qui ne pu que la renforcer en une série d'effets de rétroaction.

    Ceci d'autant plus que, pour nager et n'ayant pas de queue, comme le castor ou la loutre, les jambes et des pieds, sûrement plus souples et plus musclés que les nôtre, pouvaient servir d'organe natatoire primitif.

    Ce furent soit une relative explosion démographique, soit un assèchement de la région par le reflux marin, voire les deux à la fois, qui firent que, sporadiquement, un certain nombre d'individus partirent au loin chercher leur pitance, ce qui fait que les paléoanthropologues retrouvent de nos ancêtres à des évolutions différentes disséminés çà et là, Homo Habilis et Homo Erectus surtout.

    De plus, sa nourriture, fruits de mer et des arbres, poissons, feuilles, algues, ainsi que des insectes et de petits a

  • Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille.

    Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille.

    Je fais parti de ceux qui veulent montrer que la réalité se trouve au-delà des apparences, que ce dans quoi nous nageons n'est pas tel qu'il s'en dit habituellement.

    Écoutez Monsieur Asselineau, lors de ses conférences, c'est ce qu'il nous conte.

    La réalité n'est pas une maîtresse affable, elle ne raconte pas ce que nous voudrions entendre, mais elle montre ce qui est, sans fard, sans mensonge, sans façade, parfois tellement discrètement qu'il en est ardue de la comprendre, parfois d'une telle évidence que cela en éclaire la nuit la plus sombre.

    Il n'est point de la vouloir croire mais juste d'en saisir la vérité complexe au-delà de toute rêverie.

    Et en ces temps où l'ingénue se laisse porté par les cauchemardesques trilles des hérauts d'oligarques évanescents, il n'est plus que temps d'aller rencontrer cetteP1020008.JPG éternelle maîtresse d'école de la vie.

    Dépeint-elle l'enfer ou la paradis, ni l'un ni l'autre, juste la vie, notre vie, et l'existence du monde, de son cours, de ses joies et de ses tourments, de l'infinité de l'être.

    Nous vivons un trouble et nous ne voyons plus rien, or la réalité nous appelle, elle nous requière toujours à elle, en son principe, alors, écoutons là, elle a tellement de choses à nous dire.

    Parce que si nous lui restons sourds elle nous rappellera à  l'ordre sans ménagement.

    C'est ainsi.

    Combien ai-je de lecteurs?

    Un, ce jeune dont le pseudonyme est Hadès, dix, cent, mille, dix-mille ou plus, qu'en sais-je, je suis bien incapable de le dire, n'ayant pas trouvé moyen d'en avoir le chiffre, de comprendre comment fonctionne ce truc, d'autant plus que Hautetfort ne fait plus ce décompte, que voulez-vous, je suis de la génération de la télévision et du téléphone à cadran.

    Bien que cela me soit un tout petit peu frustrant, ce n'est pas pour cela qu'il faudrait me laisser un commentaire rien que pour me faire plaisir, en cela qu'importe, mon travail se poursuit.

    Mais quel est-il?

    P1010840.JPGD'expliquer que l'univers dedans lequel nous vivons est infiniment plus complexe que le sens que nous en donnons, que notre "entendement collectif du monde" est, en raison même de notre nature, limité et que le brouillard conceptuel qui nous englobe en pervertit le sens.

    Bien entendu que je fais des erreurs de perception et de conception, j'en ai fait, j'en fais et j'en ferai de nombreuses, mais c'est bien parce que je m'essaie de percevoir au-delà de ce qu'il se dit que, souvent, quand je parle, nombre de gens tendent à me fuir d'une manière ou d'une autre.

    Sauf si ce que je dis tend à répondre à des interrogations présentes et formelles et sans révéler mon identité sociale hiérarchique, soit mon cursus et mes emplois passés.

    C'est pourquoi également, même si j'ai de nombreux lecteurs, très rares sont les réactions et commentaires, ce en quoi je ne porte pas ombrage, c'est un fait, c'est tout.

    Dès lors, je ne m'en désole que très peu, pour la raison même que j'en comprends le sens.

    Comprenez bien que je ne me glorifie de quoi que ce soit ni ne pense avoir raison sur tout contre tous, je montre juste un phénomène que j'ai pu observer depuis bien longtemps.

    La raison en est simple à définir : je sors de la grille de lecture, sociale habituelle certes, mais aussi des certitudes communes.

    Lorsque, par exemple, je pose des réflexions sur des thèmes aussi différents que peuvent l'être la nature de la pensée, l'évolution d'Homo Sapiens Sapiens, explique les raisons mécaniques pour lesquelles il est impossible de privatiser un serviceP1010609.JPG publique, sinon de gravement l'affecter, ou celles qui fait qu'il est chimérique de vouloir réformer un système politique triplement verrouillé, comme l'est l'U.E., sauf à irrémédiablement le détruire, tout en donnant une définition de la monnaie...., ceci, de plus, en tant qu'employé d'une société de transport en commun à la retraite, conducteur de bus, et en abordant tellement de thèmes différents, je remets, non pas seulement en question, mais bien en cause notre structure sociale.

    En fait, la plupart du temps la lecture de la politique m'est plutôt simple, il en est ainsi du dernier petit billet de Donald Trump à son sortir de l'avion présidentiel, un touite de ce qu'il se dit, est facilement compréhensible.

    Il y disait en substance que, pour lui, il était insultant que Monsieur Macron puisse proposer la constitution d'une armée européenne, ce dernier lui ayant répondu que c'était ses conseillés qui avaient mal compris ce que le président français voulait exprimer.

    Ce qui pourrait ressembler à une réponse manquant singulièrement de courage, pas très maline ni subtile, mais bon, passons, la question n'est pas là.

    Il faut comprendre que les États-Unis-d'Amérique sont agités de deux émotions envers l'Europe, la jalousie et la peur.

    Sans elle, sans la France et l'Espagne ils ne seraient rien qu'une vague colonie britannique, comme le sont encore un peu, sinon dans les faits, du-moins dans l'esprit, le Canada et l'Australie.

    Leur statue de la liberté dont ils s’enorgueillissent, rien qu'elle, fut conçue et construite en France, sans compter que la fusée, la bombe atomique, l'automobile, P1010824.JPGla machine à vapeur et bien d'autres choses encore furent, elles aussi, conçues et mises au point en Europe.

    Sans les allemands qui, en masse, se sont émigrés aux U.S.A. son peuplement n'aurait jamais atteint celui d'aujourd'hui.

    Leur science, leur technologie, leur art étant, à la base, européenne, même le jazz et le blues, le meilleurs de leur musique, est la résultante du croisement des musiques classiques et traditionnelles européennes et africaines.

    En réalité, l'existence même des pays européens remet en cause l'exceptionnalisme messianique, plus ou moins teinté de religiosité, des U.S.A., qui n'est que la tentative collective de se persuader de leur propre existence en tant que peuple, là se trouve la raison essentielle, bien qu'inconsciente, de la construction de l'Union-Européenne sous égide impériale, leur volonté de notre destruction, dont l'origine provient de cette jalousie haineuse inconsciente de l'empire à notre égard.

    Parce que du fait de notre existence, de notre simple présence, ils ont le sentiment de n'être rien, du vide, du vent, du néant.

    A cette jalousie s'y rajoute la peur, et oui les étasuniens nous craignent au-delà de tout.

    Il se fait que leur armée n'est pas vraiment performante, il se disait même, au temps de la guerre froide, que l'Allemagne de l'ouest n'en avait pas confiance, leur préférant mille fois ses propres troupes et celles françaises et britanniques.P1020050.JPG

    Ainsi, quand on m'affirma que si les américains n'avaient pas débarqué en Normandie en 1944 nous parlerions allemand, je répondit que non, nous parlerions russe, la guerre n'aurait pas alors cessé en 1945 mais plus probablement en 1947, 48.

    Ce ne fut qu'en raison de la résistance anglaise lors du blitz de 1940, ce qui détruisit une bonne part de l'aviation germanique, puis des défaites allemandes en Afrique-du-Nord par les britanniques (quand les étasuniens y arrivèrent ce leur fut catastrophique), en Russie, lors des batailles de Moscou, Stalingrad puis du chaudron de Koursk, qui permit ces deux débarquements, Normandie puis Provence, mené, pour le second, par les troupes françaises, raison pour laquelle on n'en entend que peu parler, leur narcissisme flamboyant, leur nombrilisme, centripète, aussi, montre et démontre leurs immenses faiblesses.

    Sinon les forces anglo-saxonnes auraient été rejetées à la mer dès leur tentative normande.

    Il n'est qu'à voir ce que fut, pour eux, la guerre du Vietnam, la pire des avanie, la puissance de leur armée au regard de ce qu'était celle du Nord-Vietnam nous en montre tout.

    Et s'ils purent battre les japonais à la même période ce fut grâce à leur puissance industrielle et au nombre d'hommes à leur disposition, bien qu'il soit vrai que P1020102.JPGquelques bons stratèges de leur camp n'y furent pas non plus pour rien.

    Sans compter leurs déboires en Irak et en Afghanistan.

    C'est pourquoi les étasuniens, dès que la guerre froide s'achevât, n'eurent de cesse que de détruire les armées européennes, de les corseter au-dedans l'O.T.A.N., du fait de cette angoisse délirante et fantasmatique d'être envahi.

    C'est pourquoi, bizarrement, Monsieur Trump fit état de son drôle de sentiment d'être injurié par le président français, quand celui-ci ne fait que poursuivre, vaille que vaille, son étrange programme: continuer une construction européenne, dont les U.S.A. furent, ce qui est cocasse, à l'origine, que rares en Europe sont ceux voulant aujourd'hui conduire à son terme, hormis les esprits chagrins eurolâtres de plus en plus minoritaires.

    D'où cette sotte proposition d'une armée européenne et cette réponse cinglante, bien que surprenante, du président U.S. (notre pauvre Macron qui ne fait que répéter ce qu'il entend et qui, à chaque fois, se prend une baffe monumentale, d'ailleurs je me demande si certains ne s'en amuseraient pas, voire même en feraient des paris).

    Il est à remarquer que la Grande-Bretagne quitte certes l'Union-Européenne tout en restant dans l'O.T.A.N., la raison en étant encore une fois multifactorielle, toutefois ce pays considère que rester proche des U.S.A. est plus prudent, cela restant à voir.

    En réalité, je me demande si ma façon de fonctionner ne proviendrait pas du faitP1020065.JPG que mon système de croyance ne serait que peu développé, une façon d'infirmité sociale en quelque sorte.

    Il m'a fallu, avec le temps, apprendre toutes les lois non-dites de la société, d'ailleurs je n'hésite pas à sourire dans la rue, ce qui, je l'ai compris, n'est pas toujours bien vu.

    En revanche la nature humaine m'est infiniment plus facile, même si, pour la comprendre, il me faille me concentrer, mon problème venant de ce que, bien que ressentant mes émotions, je ne sais pas toujours laquelle s'anime, et cette compréhension de l'autre ne provient pas de saisir les évidences des expressions faciales et physiques, mais des sensations ressentis au plus profond de moi, parfois à me tordre de douleur.

    Ce qui fait que je ne sais pas toujours si ce sont mes émotions propres ou celles de mes vis-à-vis, c'est en cela que je suis une éponge à émotivité, enfin, avec l'âge cela s'est relativement radouci.

    Tout ça fait que je n'ai jamais vécu cette évidence sociale que vit la majorité des gens, ce que sont les croyances partagées.

    Sinon, mon enfance a été une masse d'incompréhensions rêveuses, mon adolescence fut un enfer, d'une solitude entière et mes gaffes magistrales.

    Bon, d'avoir été manipulé par un pseudo-pote pervers-narcissique pendant plus de trois décennies n'a pas été pour arranger les choses, il a d'ailleurs de la chance, je P1010531.JPGsuis dans la plus totale incapacité de lui en vouloir, c'est constitutif à ma structure mentale, si je lui ai envoyé une lettre déstabilisante c'est juste pour qu'il me foute la paix et, surtout, qu'il ne fasse plus de mal à quiconque, dans deux mois environ il craquera et libèrera celui ou ceux qui sont toujours sous son emprise.

    Le plus amusant c'est qu'il doit lire ces lignes et je ne pense pas qu'il y comprenne grand-chose, sauf inconsciemment; il pourrait guérir, même de son état psychotique de moins en moins latent, mais pour cela il lui faudrait, même à son âge, partir au loin, en Australie par exemple, pour rompre avec les rites qu'il doit dorénavant mettre en place pour tenter de sauver son mental défaillant, le choc civilisationnel le sauverait, mais je ne l'en pense pas capable.

    Enfin, c'est son affaire, par le mien, j'ai de la compassion pour lui, de la pitié, aucune.

    (La pitié est agissante, on souffre pour l'autre alors le devoir, la passion est d'agir pour l'amoindrir, la compassion, elle, n'est que la souffrance accompagnante, sans jugement mais aussi sans action pour en diminuer les effets.)

    Quoi qu'il en soit, depuis que j'ai un ordinateur je fais ce que j'ai toujours voulu faire: écrire pour déverser mes pensées qui, sinon, encombreraient ma cervelle.

    Et vous, amis lecteurs, vous devez vous demander, au-delà de cet épanchement, le pourquoi du titre de ce billet: "Je suis le poisson qui dit que l'eau mouille".P1010746.JPG

    C'est que le poisson ne sait pas que l'eau existe puisqu'il vit dedans, tout comme l'Être-Humain dut attendre Lavoisier pour comprendre qu'il vit dans une atmosphère faite majoritairement d'oxygène, d'azote, d'eau sous forme gazeuse (sauf quand il pleut), de gaz carbonique et de méthane, plus quelques bidules qui trainent çà et là.

    Et notre problème du moment c'est que nous sommes comme le poisson dans l'eau, nous ne comprenons pas ou peu le monde dans lequel nous vivons, nous en avons la sensation, nous sentons bien qu'il y a une multitude de choses qui clochent, mais nous n'en saisissons pas bien la nature, parce que nous barbotons dedans.

    Alors on imagine...

    Or la réalité est là, au-devant des immenses et très nombreuses difficultés de toutes sortes qui s'amoncellent en face de nous, ardues à percevoi

  • De la perception du temps par l'exemple.

    En Décembre 2017, il y a déjà deux ans de cela, j'avais, avec vous, exploré quelle est, à mon sens, que la nature de la pensée.

    Thème qui, à faire erreur, ne fut que rarement abordé par les professionnels de l'esprit, des philosophes aux neurologues en passant par les psychanalystes.

    J'y avais posé d'axiome, dans ce billet, que cette pensée, jeune dans son apparition de quelques dizaines de milliers d'années seulement, avait entre-autre de nature que de faire une démarcation entre conscient et inconscient et de permettre à l'Être-Humain de conceptualisé le temps en une séparation entre le passé, le présent et le futur.

    J'en avais tout autant, il est vrai rapidement, exploré d'autres attributs tel que l'imagination ainsi que l'expression de l'égo et du narcissisme dans leurs multiples intrications et, matière que j'avais aussi abordé dans d'autres textes (regroupés ici), P1030516.JPGde la perception de notre identité par le fait d'humainement nous déterminer tant individuellement que collectivement.

    En revanche, ce à quoi je n'avait jusqu'alors songé, c'est ce lien indéfectible entre la pensée temporalisée, la compréhension de la notion de causalité, quelle soit structurée ou pas, non moins que de pouvoir dès lors concevoir, même succinctement, les conséquences, certes de nos actions, mais aussi de nos pensées, pouvant générer, en une boucle de rétroaction, un ensemble d'effets s'effectuant lentement autant sur notre propre personne que dans notre milieu social.

    C'est pourquoi il serait bien que chacun d'entre-nous se connaisse au mieux.

    Or, il est de fait qu'en raison de notre perte, avérée bien que partielle et momentanée, de notre détermination d'être, aux origines multifactorielles, nous menant à une identité floutée et parfois grandement parcellaire, lesdites causalité et temporalité, dès lors de nos capacités de conceptualiser les conséquences tant de nos actes que de nos pensées, nous sont devenus grandement réduites, voire même, pour certains d'entre-nous, quasiment impossibles.

    En une époque où l'évolution de nos sociétés aurait dû, à tout l'inverse, nous conduire d'en développer le substrat bien au-delà de ce qu'il nous serait capable de s'en représenter la trame.

    P1030572.JPGC'est en cela que je définirais au mieux cet arrêt progressif des progrès de tous niveaux, tant de nos facultés mentales que de ce qui nous fait société, ceci nous menant  à un état de décrépitude intellectif collectif avancée.

    Étant entendu qu'il serais malsain de considérer ça comme étant une faute puisque cela mènerait à une culpabilité malséante, inutile et autodestructrice quand, ici, je me force et m'efforce de montrer que de faute il n'en est point, nos responsabilités étant de contrevenir à cet état de fait en nous réappropriant notre identité et, par delà, notre curiosité, nos questionnements du monde, nos savoirs, nos connaissances, notre inventivité... pour que  nous puissions rebondir puis reprendre la croissance naturelle de notre humanité, ne serait-ce qu'en en commençant en France le métier.

    Ce que les russes entreprennent actuellement en plein et ce que les britanniques débutent en ce moment même.

     

    Les facteurs de cette déchéance ne pouvant être que provisoire sont multiples et j'ai, depuis des années, essayé d'en définir les traits les plus importants:

     

    -Traumatismes dus à deux guerres mondiales:P1030666.JPG

    Thème que Monsieur Zemmour avait relevé lors de son débat avec Monsieur Asselineau le 19 Novembre 2019 mais dont je pense qu'il n'en ait en rien saisi la profondeur, le concevant dans l'incapacité formelle d'aller au-delà de cette simple remarque pour les raisons évoquées plus haut.

    ( Je me demande d'ailleurs si ledit débat n'aurait pas eu lieu en raison du factum que j'avais publié sur mon site à son endroit le 8 de ce mois, soit à peine plus de la semaine suivante. )

    S'il faut, en effet, trois générations pour qu'un trauma mène à un désordre psychique pour le descendant de celui qui l'a subit, alors nous pouvons considérer que la quatrième, elle, n'a plus à en souffrir, le temps en ayant passé.

    Nous pourrions même en conclure qu'au même titre que 70 ans environ après la création de l'URSS cette union ne fut plus;

    Il serait logique de considérer, de la même façon, que, des tous débuts de l'Union-européenne sous sa forme de 1952, la Communauté européenne du Fer et du Charbon, jusqu'à aujourd'hui, les mêmes 70 années d'existence ne peuvent que signer une similaire échéance d'une même déchéance.

    Certes, ce sont  bien ces deux guerres qui conduisirent à ce que, sous l'égide d'un Tonton Sam impérial, les nations européennes décidèrent inconsciemment de tenter de se retirer de l'histoire, mais diantre ce que nos jeunes sont d'un appétit d'y P1030459.JPGretourner s'y frotter!

    C'est bien, à cause de ces deux chocs violents, d'avoir voulu se retirer ainsi des affaires du monde dans le désir infantile et archétypal de bâtir le même paradis sur Terre sous la même forme unioniste que l'Union-Soviétique, en une totale inversion idéologique , qui nous mena à cette terrible diminution de notre raison.

    Et c'est cela qui maintenant s'achève.

     

    -Notre domination par les États-Unis-d'Amérique:

    Voici le déni le plus surprenant, celui de notre domination par un empire non européen grandement déclinant.

    Et pourtant une multitude d'exemples passés et présents, pour qui veut bien s'y pencher, ne peuvent que nous en démontrer la véracité du fait.

    Il est à remarquer que nous suivons de peu le même déclin intellectuel que notre malveillante tutelle, ceci en la seule et unique raison de leur imitation, ni plus, ni moins.

    Les causes de ce déclin sont intéressant à étudier, ce sur quoi je n'ai pas encore songé, toutefois quelqu'un comme Dimitri Orlov offre, dans ses rubriques, un P1030226.JPGensemble de réflexions sur ce sujet.

    Sachez, en ce seul exemple, que des médecins étasuniens craignent que la peste, cette maladie qui avait éradiqué du tiers à la moitié de la population européenne au XIV° siècle, ne soit dores et déjà présente au pays de Tonton Sam.

     

    -Nos oublis et parfois nos rejets culturels:

    Je pense que le fait qu'il soit devenu de plus en plus ardu, pour la majorité de la population, de monter dans l'ordre hiérarchique en soit l'une des origines principales, ce qui conduit au manque de régénération des créations de toutes natures.

    Ainsi que du sentiment, ici des classes-moyennes hautes à supérieures, de leur inaliénable compétence et de leur bon droit  de connaître le bon et le beau de ce qu'il est nécessaire pour le pays, ceci par l'articulation du dogme euro-atlantiste ne pouvant que nous démontrer toutes ses défaillances.

    Ce double phénomène étant, là encore, entrain de se réduire en conséquence des faiblesses insignes de toutes sortes des trois dernières législatures présidentielles, la dernière en en étant en tous points caricaturales.

    La seconde raison en étant notre perte d'intelligibilité du monde par celle de notre P1030095.JPGidentité, due pour une grande part aux béances frontalières et à la diminution de la qualité de notre langage, je vous renvoie de cela à la première partie de ce billet.

    L'usage d'anglicismes infondés et plutôt stupides en étant la troisième, dans une tentative désespérée de se montrer à la hauteur de cette intelligence égarée et dans l'angoisse existentielle de comprendre, sans se l'avouer, la profonde déliquescence impériale, empire garant, à ces yeux égarés et éperdus, de cet utopie édénique unioniste.

    Enfin en une quatrième cause principale en une liste non close, la monté en puissance d'une oligarchie ploutocratique, sotte et toute puissante, à la culture d'une basse faiblesse endémique qui, tels des rats devant un morceau de fromage, se rue sur tout ce qui pourrait être comptable d'une parcelle de richesse;

    Et qui, dans leur crainte maladive de percevoir la moindre once d'intelligence du peuple, n'ont que de cesse de pervertir son entendement par tous les médiats interposés, en alliant autant le mensonge, la promotion d'un art abrutissant qu'elle en vient à apprécier que de la médiocrité programmatique médiatique.

    Je n'oublie en rien que notre nation et notre état est englué dedans une union-Européenne totalement déconnectée de toute réalité et ne désirant qu'une seule chose et une seule: mettre en place le programme qui est à la base de son existence: P1020251.JPGcelui que l'empire US lui a laissé à sa charge, soit la destruction des états-nations.

    Tout autant que je n'oublie en rien les faiblesses mentales des pervers narcissiques telles que j'ai pu les exposer auparavant et qui, en raison de leur aliénation vicieuse, sont dans la plus absolue incapacité de conceptualiser les résultantes de leur actions malveillantes.

     

    Notre éloignement de notre mémoire collective: l'histoire:

    C'est un phénomène sciemment voulu et décidé par notre maître étasunien pour pouvoir nous maintenir dans son corset qu'est l'Union-européenne: oublier son histoire c'est perdre son identité.

    En une continuité constitutive, nos  élites zélées à l'esprit vaporeux, devenues elles aussi, elles surtout grandement sottes, perpétuent jusqu'à l’écœurement cette P1030147.JPGtendance généralisée à la médiocrité, ne voyant rien de mal à ce que leurs enfants et petits enfants, que les enfants et petits enfants de la population toute entière ne puisent représenter qu'une masse traumatique parce que ignorante.

    "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre.” Karl Marx (Manifeste du partie communiste.(1847) ou "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre." Wiston Churchill, maximes similaires de deux personnages historiques aux antipodes idéologiques, ce qu'il vous reste, messieurs-mesdames, à méditer.

     

    Après ce rapide tour d'horizon des raisons qui font que, de notre perte d'intelligence, en advienne celle de nos capacités à anticiper les effets de nos décisions, je vous propose de vous en montrer cinq (erreur) trois exemples.

     

    Le projet de loi des retraites:

    Je ne reviens pas sur ce projet lui-même, la grande part en étant débattue tant dans les médiats, sur le web, chez les grévistes, au sein des syndicats comme dans les partis politiques.

  • De la désagrégation de l'Union-Européenne.

    Ce n'est pas tant que déteste l'Union-européenne.

    En vrai, si je n'étais pas français, je n'aurais de cette union ridicule et des pays et peuples la composant, que la vision que doivent en avoir les populations et leurs représentants de bien d'autres nations:

    P1000680.JPGSoit d'être affligé de voir combien cette région du monde, l'Europe, qui a su tout de même être les premières puissances au siècle dernier, avant que les délires allemands ne viennent tout renverser, et lancer la plus formidable des révolutions, celle de l'invention et de l'élaboration de nouvelles techniques scientifiques, artistiques et philosophiques.

    Europe, dis-je, qui, en union, désormais, patauge dans la plus insane des médiocrités.

    Je n'aurais donc, pour elle, que de ce dédain que mérite la vulgarité dans laquelle l'européenne union la vautre.

    Mais je suis français et, à ce titre, je n'ai pas le droit d'enfiler ces perles flasques de détestation de son pays, cette boue dedans lesquelles tellement de mes compatriotes aiment tant à gadouiller.

    Je ne vais pas, non plus, déverser ici une exécration, une aigreur, une fureur pour une U.E. qui, ma foi, n'est que la résultante d'une guerre froide passée entre les U.S.A. et l'U.R.S.S. et qui, à la disparition du second, devint la perle coloniale des premières.

    Je vais faire pire, du moins en ce qui concerne les oligarques euro-atlantistes, devenus germanophiles, leurs serviteurs zélés et le politburo de l'union: je vais montrer que l'Union-Européenne, en réalité, est sur la voie d'une désagrégation avancée, avec, il est vrai, de la raillerie, de la dérision et du sarcasme...

    Quels en sont les signes?

    En vérité, ils sont, je le reconnais, bien minces.P1000758.JPG

    Certes, nous vivons au sein d'une union composée de 27 pays, moins un, la Grande-Bretagne, mais bien peu d'informations traversent les frontières de ses états membres.

    Les événements des États-Unis-d'Amérique paraissent, pour les journalistes bien en vue de nos chères médiats achetés et aux ordres de nos oligarques, infiniment plus importants que ce qu'il pourrait se passer en Pologne, en Grèce, en Hongrie ou en Lituanie.....

    Il est vrai que l'extrême pauvreté de certaines des populations ne fait pas bon genre, la quasi destruction de l'économie grecque, par exemple, ne doit pas se dire, que les grecs crèvent, oui, mais en silence.

    D'autant plus que la responsabilité en incombe d'abord et avant toute chose au Bureau-Européen, ce machin jamais élu avec Monsieur Junker comme président, l'homme adorateur de Bacchus, et à la Banque Centrale Européenne qui produit des euros en tel grand nombre que cette monnaie en a perdu toute sa valeur.

    Mais il est vrai que l'on ne critique pas ces deux vaux-d'or, d'autant plus que le premier arbore un beau drapeau bleu et ses douze étoiles dorées sur tranche d'un symbolisme chrétien que personne, en sein de cette  institution, ne respecte!

    Hypocrisie, quand tu nous tiens...

    Ainsi punissent-ils les grecs d'avoir voulu quitter cette union fantasque en les P1000839.JPGruinant, d'offrir, dans le même temps, à l'Allemagne et aux banques, leurs richesses, faire peur aux autres peuples européens montrant des velléités d'indépendance et ne firent, ces sots, que de détruire à petit feu l'économie du continent et, cerise sur le gâteau, celle du reste du monde.

    Et oui, ces crétins arrivèrent à cette extraordinaire réussite d'avoir amorcé la désindustrialisation internationale et d'avoir gravement affaibli des banques de l'union déjà infiniment en peine.

    Bravo les artistes, même le F.M.I., qui avait participé à hallali, avait avoué, mais un peu tard, que tout cela n'était que d'une immense sottise!

    Et c'est qu'ils tentent de se justifier, ces gonzes, allez voir sur internet et vous verrez combien d'article chantent les louanges de cette ignominie.

    Cela juste pour vous montrer, amis lecteurs, comment cette union peut être considérer: comme du grand n'importe quoi!

    Mais il faut la sauver, cette union, et, ce, à n'importe quel prix, quitte pour cela à conduire les populations à leur faillite intellectuelle, morale et politique, l'économie, quand à elle, étant déjà dans une situation déplorable.

    Les G.O.P.E. ne faisant qu'accélérer et accentuer la faillite généralisée de l'Europe, nos croquemitaines européistes, ne voyant pas plus loin que leur idéologie débilitante et nécrosante néolibérale, étant dans leur plus totale incapacité de comprendre que chacune de leurs actions et décisions creuse un peu plus la tombeP1000753 - Copie.JPG de leur union chérie, en entrainant avec elle le monde entier dans une faillite généralisée.

    Alors, ces génies des alpages censurent et désinforment, assènent à longueur de temps une propagande d'une violence inouïe, tronquent la réalité des faits et le plus souvent cachent aux population toute information qui pourrait montrer aux gens l'inanité de leurs gesticulations destructrices.

    C'est ainsi que Monsieur Macron fut installé au poste prestigieux de Président de la République par nos oligarques nationaux et impériaux (même Madame Merkel alla voir qui était ce bonhomme, vérifiant même, une fois qu'il fut élu, l'un de ses discours), ils firent là une terrible erreur dans le casting:

    Ils crurent mettre en place un petit mouton bien docile et placèrent au contraire une personnalité infantile, instable, fantasque, hâbleuse et terriblement fragile.

    Mais surtout pourvu d'un orgueil démesuré.

    C'est que, l'année dernière, ils nous ont bien bourré le mou, nos journalistes eurocratiques, manipulant à qui mieux mieux, persifflant continuellement sur les candidats les plus gênant, Monsieur Asselineau en subissant les pires des affronts.

    La propagande pro Macron fut dantesque, ridicule mais dantesque, la preuve en est, il fut élu, nos journalistes guignolesques ayant bien fait leur travail.

    Mais revenons à Emmanuel Macron, voulez-vous, et voyons en quoi ce choix de nos oligarques ne peut qu'être, pour eux, désastreux.

    Je vous propose, pour commencer, ces deux textes, le premier traitant de la vente P1010032.JPGdu journal Le Monde à laquelle il participa, le second à l'hypothèse psychanalytique voulant que notre président serait, non pas psychopathe, mais pervers narcissique.

    Je pars en effet du principe que monsieur Macron n'est ni psychopathe, ni pervers narcissique, mais soufrerait d'un mal psychologique, bien que moins profond, n'en serait pas moins préjudiciable à la bonne mené de son mandat, même si cette mené n'aurait d'intérêt, non pas du pays et du peuple, mais pour celui de la minorité oligarchique eurolâtre.

    Pour cette explication, je vais devoir faire un détour sur une hypothèse que j'ai, peut-être, déjà abordé ici, si c'est le cas, je n'en ai rien retrouvé.

    Le pervers narcissique ainsi que le psychopathe souffriraient de cette pathologie parce qu'ils furent confrontés, sûrement lors de leur tendre enfance, à un ou un ensemble d'événements aux charges émotionnelles d'une infinie puissance ayant généré une culpabilité d'une violence et d'une douleur telle que, pour survivre psychiquement, le sujet  n'eut d'autre choix, si je puis dire, que de refouler totalement tout ce qui était lié à ce traumatisme, souvenirs, culpabilité et émotions.

    Ceci tout en ayant pris plaisir à ce trauma et de tout ce qui l'accompagna et, culpabilité devenue inconsciente oblige, à en chercher à en être puni.

    C'est pourquoi il y a, en même temps, la détermination inconsciente de laP1010055.JPG réitération de cette culpabilité en une quête continuelle de cette jouissance morbide (jouir de revivre la même chose) et l' insensibilité émotionnelle de ces sujets.

    Si les hauts potentiels sont souvent les victimes des pervers narcissiques, c'est justement parce que leurs capacités peuvent leur permettre de les punir, ce que ces seconds recherchent pour, d'une certaine façon, être guéris de leur souffrance (ce qui peut psychiquement les détruire).

    S'ils souffrent toujours, alors ils seront, pour leur souffre douleur, d'une cruauté égale à cette douleur culpabilisante inconsciente.

    De même, le psychopathe, lui, recherche la punition sociale, soit le plus souvent la prison, la perte de pouvoir et/ou la ruine.

    L’insensibilité émotionnelle menant l'un et l'autre de ces malades, au-demeurant parfaitement bien adaptés à notre société, à cette unilatéralité doctrinale remarquable qui, aujourd'hui, mène le monde à la banqueroute.

    Banqueroute vers laquelle nous allons allègrement, ce qui pose en même temps la question de savoir quel est l'équilibre psychologique de la majorité de nos oligarques (de l'origine de leurs traumas anciens) que de l'essence et du caractère réel des présupposés idéologiques sur lesquels ils s'appuient pour faire mener, par nos élus fantoches, les politiques actuelles. )

    Donc, si vous avez lu le premier article proposé plus haut, vous comprendrez que de dire Monsieur Macron pervers narcissique ou psychopathe ne tient pas.

    Tout simplement, comme vous l'avez lu comme moi, parce qu'il avait fui la présence de Monsieur De Tricornot pour ne pas faire face à sa propre culpabilité due à sa P1010087.JPGtrahison de ce journaliste lors de la vente du journal Le Monde.

    Là où je ne suis pas d'accord avec certains psys (voir le second texte proposé) sur la nature de notre président réside dans le fait qu'il n'ait pas eu affaire à une mère incestueuse mais à une confrontation entre la grand-mère et la mère pour la possession du fils aîné, ce qui change tout.

    Il s'agit ici en effet d'une jalousie, plus mème, une rivalité entre mère et fille au sujet du premier né auquel celui-ci ne put que participer et prendre plaisir au fil du temps et de l'âge, puisque son existence émotionnelle tournait autour de cette confrontation.

    D'autant plus que cela aurait pu commencer très tôt, possiblement dès le berceau.

    C'est cette rivalité possessive maternelle qui a empêché Monsieur Macron d'atteindre sa pleine maturation psychique d'homme adulte en lui faisant conserver intacte son infantilité antérieur, d'où son choix d'une femme de plus de deux décennies que lui en tant qu'épouse.

    Une nouvelle maman, en quelque sorte.

    Plaisir infantile, donc, retrouvé lorsque Monsieur Macron, adolescent (âge de la maturité sexuée mais aussi du début de la maturation psychique adulte), rencontra Brigitte Trogneux, ce qui lui permit de renouveler cette relation tumultueuse, là entre la femme et la mère, toutes deux quasiment du même âge.

    Puis, devenu président, se présenta à lui une conjoncture similaire entre sa femme et la chancelière allemande, Madame Merkel, auquel j'avais fait état je ne s

  • Réflexions sur la fin des empires.

    Voici un texte que j'avais publié pile-poil en Avril 2014, comme le temps passe (s'il repassait, ce serait bien pour mon linge), et, à l'aune de 2018, celui-ci me semble d'autant plus pertinent.

    Je le reprends donc et vais le retravailler pour le rendre plus précis.

    Mais, dans l'idée, je ne rejette rien des hypothèses de base que j'avais posé du processus en cours dans les Amériques.

    Ce pays, les États-Unis-d'Amérique, se trouve dorénavant en but à son déclin avancé, et si Monsieur Trump y fut élu en tant que président c'est en raison même de cette situation.

    Certes, ce billet est un essai consistant à démontrer (poil au nez) que ce qu'il se passe en ce moment, les égarements multiples en Syrie et en Ukraine notamment, n'est en rien surprenant mais est la résultante de la décadence impériale.

    Cependant nous, en tant que colonisés sous la bannière de l'Union-Européenne, nous nous devons impérativement de nous débarrasser des sédiments culturels P1010325.JPGU.S. qui, depuis de longues décennies, se sont largement stratifiés en générant, en nous, un état d'acculturation prononcé.

    Ceci étant d'une nécessité absolu (poil au...dessus) ou, sinon, nous nous retrouverions, lorsque le système économique U.S., et dès lors mondialisé, aura cessé tout fonctionnement, au-devant d'immenses difficultés psychosociales, ceci parce que notre libération du joug étasunien ne proviendrait pas d'une décision suivit d'une action collective, mais de la simple survenue d'aléas se situant hors de notre volonté.

    Ce que nous pouvons déjà percevoir dans le milieu oligarchique national et européen où, par exemple, aucune réaction ne s'y fait montre lorsque les bourses U.S., pour se renflouer, ponctionnent, sans vergogne aucune, les richesses du C.A.C.40 français ou du D.A.X. allemand (je ne retrouve plus la vidéo qui, sur Businessbourse, en faisant état).

    Ce manque de réaction est compréhensible en raison même de l'angoisse montante chez nos élites économiques, mais aussi politique et journalistique, en raison de leur confuse compréhension de cette fin prochaine.

    N'oublions pas, en effet, que, si chacun de nous et aussi collectivement nous agissions sur notre milieu (poil aux yeux, cil), le milieu, par nature, agit tout autant sur nous en un échange continuel.

    Une domination telle que peut l'être celle impériale structure autant les sociétés asservies que chacun des individus qui les composent, au même titre que l'empire et sa population en viennent à être ordonnancé, de moindre façon, par les peuples dominés.P1010362.JPG

    Ces élites des pays colonisés ont, plus que tout autre, la crainte en une disparition impériale puisque leur pouvoir ne s'assoie désormais que par sa seule existence: l'empire ne peut exister que si et seulement si il est aidé par l'autorité en place, ou du-moins se disant telle, cette dernière en en tirant tout son bénéfice.

    C'est pourquoi les oligarques eurolâtres, mais surtout américanolâtre, se laisse piller sans que nul ne moufte: ils savent que la disparition de l'impérium signera de manière définitive leur hégémonie sur leur nation, ainsi payent-ils le prix de leur survie.

    Mécanisme que nous pouvons, là encore, remarquer tout au long de l'histoire.

    Un dernier point remarquable en ce préambule, l'extraordinaire ressemblance entre ce que fut l'empire (poêle à frire) romain et celui américain, surtout dans cette relation que le premier avait établi avec la Grèce antique et celle que le second a construit avec l'Europe et peut-être d'avec la Russie qui se considère toujours comme la descendante de l'Empire-Romain-d'Orient, de Byzance.

    Or, tout comme l'empire romain le fit en son époque, l'empire américain est en train de se replier sur ses bases arrières, ce qui est l'une des raisons, la principale peut-être, pour laquelle elle est en train de déstabiliser la France pour qu'elle en vienne au France-quitte, ceci dans l'esprit de détruire l'Union-Européenne.

    Ce que l'Allemagne, désormais, sait pertinemment et qui serait à son relatif avantage.

    D'ailleurs, l'une des raisons pour lesquelles il y eut ce bombardement en Syrie, à cause d'un supposé usage de gaz de combat de la part de l'armée syrienne qui ne tient pas la route, fut justement d'affaiblir grandement un Monsieur Macron qui, décidément ne comprend rien à la nature de la politique et qui a pris là des risques incommensurable, sur les bons conseils de Madame May (au joli mois, poil aux doigts).

    Le texte, donc, que je vous propose en seconde partie, consiste à une explication des raisons pour lesquelles un empire est, par nature, mortel.

    Parce que, en toute chose, il est bien de détenir une compréhension théorique du contexte de la complexité qui nous confronte pour résoudre au mieux les problèmes qu'il peut nous causer, bien que, bien sûr, il puisse être possible de s'en passer, ce qui serait dommage puisque cela P1010412.JPGnous permettrait de nous en faciliter la tâche.

    C’est vrai, les institutions de l'Union-Européenne sont faites et bloquées de telles sortes, les pressions sur les élus sont d’une telle violence, le médiocre envahissement culturel américain est d’une telle puissance, et ici je ne désigne pas le jazz mais le rap et les feuilletons télés, les médiats officiels sont à ce point verrouillés, la doxa dogmatique du néolibéralisme à conquis à un tel point les esprits et les cœurs que nombreux sont ceux ne voyant pas comment nous pourrions nous débarrasser de tout ce fatras sans que nous ne devions attendre sa fin prochaine, la fin prochaine des U.S.A., soit la ruine universelle!

    Alors, me diriez-vous, il n’y aurait-il rien à faire?

    il me semble que si, il nous reste l’immense, l’incommensurable travail de préparer cette échéance, mieux encore, d'en devancer l'avènement.

    Mais ce système, se dit-il, est bien trop solide, bien trop socialement et politiquement ancré dans notre société pour que nous puissions envisager sa disparition, son effacement, et puis, comment voulez-vous qu’il soit possible qu’un empire comme celui qu’est l’Amérique puisse disparaître?P1010378.JPG

    Je vous répondrais que tout empire ne peut que disparaître pour deux raisons:

    1) Par son propre poids dû à la puissance de son oligarchie:

    Il y a délitement progressif de la raison même qui fait l’émergence d’un empire, la recherche du pouvoir et de la richesse économique de son oligarchie, cela facilité par un ensemble culturel, militaire et/ou guerrier et institutionnel efficace et agressif.

    Cet ensemble ayant d'origine une structure anthropologique relativement archaïque.

    Pourquoi cette recherche infini de pouvoir et de richesse de la part de l'oligarchie (qui se développe soit avant, soit pendant l'expansion coloniale) d’un empire en construction?

    Parce que, quelle que soit l’époque, le monde est toujours fini et qu'en chaque pays ces richesses sont d'autant plus limitées, d'où le développement de cet empire: .

    Ensuite survient l'épuisement:

    Que ce soit celle de l’empire romain, des empires coloniaux européens, de la duale guerre froide entre les deux empires U.S.A./U.R.S.S. ou de l’empire américain tel P1010395.JPGque nous le vivons depuis le début des années 90, cette accumulation de richesse d’un empire arrive toujours à la limite de capacité de production de son peuple propre et des peuples mis sous son joug dû à la finitude du monde conquis: il ne peut plus y avoir d'expansion.

    Parce que un empire ne vit et, surtout, ne survit que grâce à son expansion, cette expansion dépendant étroitement des capacités de déplacement de l'époque, à pied, à cheval, en bateau à voile ou en voiture et aéroplane.

    Une fois les limites dues à ce mode de déplacement atteintes, le processus d'expansion cesse puis, progressivement, vient le déclin suivit de la disparition de l'empire, inexorablement.

    C'est le paradoxe d'expansion devant lequel ne peut que se retrouver tout empire.

    C’est cette limite qui va progressivement déliter le-dit empire et conduire aux divers processus suicidaires qui ont prévalu à la fin de chacun d'entre-eux.

    La raison en étant que son oligarchie, ne se développant qu'en raison de son appropriation des richesses des peuples nouvellement conquis, n'en trouvant plus suffisamment pour suffire à son opulence dès le maximum de l'expansion impériale atteinte, n'a plus d'autre solution existentielle que de se retourner contre son peuple et les peuples colonisés pour en absorber le plus possible des ressources.

    ( C'est pourquoi il est dit que les empires européens coûtaient plus chers, peu de temps avant leur disparition, aux nations conquérantes que ce que leurs coloniesP1010381.JPG rapportaient, les oligarques insatiables se servaient amplement, il est à remarquer qu'en raison des faits historiques, nos oligarques d'aujourd'hui, logiquement eurolâtres et américanolâtres, sont les descendant directes de ceux des empires européens. )

    Ce que nous pourrions appeler "l'autophagie impériale".

    Ce phénomène, que nous pouvons parfaitement voir à l’œuvre actuellement aux U.S.A. et dans l'U.E., et dont les effets se font ressentir par l'appauvrissement continuel des populations, se double d'un second, intimement lié au premier, et que nous pouvons facilement nommer la faillite intellectuelle et morale impériale.

    2) La faillite intellectuelle et morale des oligarques impériaux:

    (Faillite morale bien entendu accompagné de l'épuisement éthique, la morale concernant l'espace des interdits en lisière entre l'individu et la société pour devenir, pour le premier, surmoi lorsque cela concerne la personne en propre.

    L'éthique, elle, concerne toutes les structures professionnelles, économies ou non, légales ou non, de ce que je nomme les "entités sociales" et se rapporte aux mécanismes de bons fonctionnements internes de chacune des-dites entités P1010360.JPGsociales.

    Lorsqu'il y a manquement d'éthique, par exemple, la banque-centrale qui produit tant de monnaie que cela lui fait perdre toute valeur nominale intrinsèque, ou le journal préférant divulguer de la propagande d'état ou oligarchique plutôt que d'informer véritablement les lecteurs ou les téléspectateurs, il y a de l'anti-éthique;

    Quand cet anti-éthique devient institutionnel et se généralise, l'entité sociale non-éthique se dégrade progressivement en entrainant avec elle toutes les autres entités sociales qui lui sont liés, ce manquement d'éthique provenant de cette déchéance morale et intellectuelle que j'étudie ci-dessous.)

    Et d’où provient cette faillite intellectuelle et morale?

    En raison même de l’épuisement des ressources de cet empire, le mettant de ce fait en danger,  son oligarchie comprend plus ou moins consciemment sa prochaine disparition ce qui, dès lors, la place dans un ensemble de mécanisme de survie avec tout ce que cela entend d’agressivité, de trahison et de vilénies tournée autant envers son peuple que sur ceux étant sous sa domination.

    Agressivité tournée même vers ses voisins non dominés, d'où les défaites de fin d'empire remplissant l'histoire.

    Surtout, dans ces mécanismes de survie, ces élites ne recherchent plus un quelconque dynamisme d’expansion, ce qui lui est dorénavant impossible, dynamisme qui était auparavant suivit de son corolaire intellectuel, donc éthique,P1010219.JPG suivant la définition que j'en ai donné, lui montrant ce qu’il peut et comment le faire, et moral, qui lui déterminait ses limites.

    ( Il est à remarquer la baisse de qualité des manipulations impériales en raison de cette baisse de puissance intellectuelle, et, logiquement, de l'infantilisation oligarchique par la réduction progressive de cette structure psychique particulière qu'est le Surmoi, substrat essentiel à toute morale, étant entendu que les oligarques européens ne dominent leur pays respectif et l'Union-Européenne que par la grâce de notre maître étasunien et doivent donc leur être soumis, or l'intelligence ne peut être soumise, sauf à se qu'elle se restreigne à la mesure de cette soumission.

    Nous voyons également le lien entre l'intellect et la morale, liés l'un l'autre dans l'action et la réflexion par le couple faisabilité/limite, il est à remarquer que l'inventivité nécessite un affaiblissement du surmoi et donc de la morale, l'affaiblissement intellectuel des élites étasuniennes fait que leurs coups géopolitiques, bien que restant inventifs, n'aboutissent à rien du fait de cet affaiblissement intellectuel.

    Je dois rajouter que la personne amorale, par nature créatrice, connait les interdits, dès lors le surmoi et la morale, mais sait s'en écarter suffisamment pour libérer sa créativité, il est possible aussi qu'elle établisse sa propre morale pouvant, parfois, avoir plus de valeur humaine que celle collective.

    P1010269.JPGLa personne immorale est immature et infantile, elle a un surmoi très faible et fragile, a des difficultés, voire une impossibilité, pour reconnaître la valeur de la morale et peut s'en écarter à en devenir un parfais asocial, si ce n'est un psychopathe.)

    Pourquoi cette faillite intellectuelle et morale?

    Parce que le premier montre l'inéluctabilité de l'effondrement de l'empire et que le second révèle la plus totale amoralité des actions menées pour faire survivre cet empire et donc ces élites.

    C’est pourquoi les étasuniens actuels font n’importe quoi, n’importe comment.

    Ce processus ne faisant qu’accélérer et accentuer le délitement de cet empire.

    L’assassinat d’Aetius, le vainqueur des champs Catalauniques, par l’empereur Valentin III est de même nature et signait déjà la fin de la Rome impériale.

    Les deux guerres mondiales européennes aussi annoncèrent les décolonisations.

    Cette déchéance morale et intellectuelle se développant au même rythme que la déliquescence de cet empire.

    Ensuite survient le basculement ou effondrement de celui-ci qui prend toujours la forme de ce qui fut sa puissance première, ce sur quoi il s’était assis, son type principal d'organisation pour développer son hégémonie, ce grâce à quoi il put devenir la puissance majeur d'une époque et, suivant les capacités de déplacement de la période, d'une région.

    Ce fut pour les  européens la guerre, pour les romains leurs institutions et, aujourd'hui, pour les américains, bientôt l'économie.

    Pour l’empire chinois, sa spécificité fut qu’il a toujours tout géré en interne, étant, P1010389.JPGd’une certaine façon et grâce à sa dimension et son unité géographique, même relative, refermé sur lui-même, ses réguliers effondrements lui ont donc permis de renouveler, avec le temps, simplement ses élites, elle sut se libérer par elle-même des européens et des japonais.

    Toutefois elle se nomme elle-même "Empire du Milieu"...

    L'inde est surtout une unité géographique, se considère, avec raison, comme étant un pays jeune et complexe, et ne fut unifiée que par les armes britanniques dont elle sut, elle aussi, s'en libérer du joug.

    La Russie, d'empire est devenue confédération, ce qui fut une décision d'une grande sagesse.

    L'Union-Européenne, de sa construction progressive, n'a d'existence que de la volonté et la domination étasunienne, des faiblesses mortifères de ses élites et de ses oligarques, du désir des peuples de vivre en paix et de ne plus crever de faim; son effondrement mènera à une séparation stricte des pays (avec des alliances probables et nécessaires avec les voisins proches ou lointains), effondrement évident puisque contradictoire d'avec les discours tenus: son existence mène en effet à des risques de guerre (à cause de la Syrie et de l'Ukraine notamment), au retour, sinon de la faim, du-moins à la pauvreté et, dans certains états, je le suppute (bonjour madame), au retour de la disette.

    Quand aux États-Unis-d'Amérique, ils sont aujourd'hui au bord de leur banqueroute, c’est pourquoi il est impératif d’envisager cette ruine prochaine, leur P1010206.JPGdisparition et à toutes les symboliques auxquelles cet empire nous a lié.

    Ou peut-être avant, avec l'aide impériale, ce qui serait pour le moins coquasse, à ce que nous quittions cette union par nous-mêmes, elle si ubuesque, tyrannique, dangereuse, stupide et mortifère, ce qui serait dès lors pour nous du plus grand des bienfaits.

  • Vous les croyez menteurs, ils sont délirants...

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui, droit dans les yeux vous mente ou celui qui, quel que soit le délire qu'il puisse proférer, y croit dure comme fer?

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui professe la pire absurdité en étant sûr de ce qu'il déblatère, même si c'est en contradiction d'avec la simple réalité, ou celui qui, contraint et forcé ou dans la crainte et la peur, doit raconter cette absurdité, même s'il sait que c'est faux?

    Qu'est-il le pire, est-ce celui qui, quoi qu'il puisse se passer, prend des décisions allant à l'encontre des intérêts de tous, même des siennes propres, en ne prenant pas en compte la simple réalité des faits parce qu'il en est incapable, ou celui qui a les capacités de percevoir, par une objective observation empirique, ceci en  raison même de son long cursus, cette même réalité, mais qui n'en veut ou n'en peut aucunement percevoir le moindre trait à cause d'un dogmatisme bien trop obtus?

    P1020908.JPGPoser la question c'est déjà y répondre.

    Certes nos chers oligarques nous haïssent, nous, le bas peuple, d'une haine farouche, totale, absolue, mais ils ne seraient rien si tant de gens dans la classe-moyenne la plus supérieure n'en étaient pas venu à penser à l'encontre de leurs propres intérêts futurs et également présents.

    Si ceux-ci n'étaient pas tant épris de cette idéologie néolibérale européiste qu'ils en oublient de simplement regarder ce qu'il s'était passé dans le monde anglo-saxon, aux U.S.A. surtout, et de voir l'abyssale pauvreté vers quoi cela conduit.

    Si, d'avoir oublié ce que peut être l'esprit de logique une fois quitté les bancs de l'école, dut-elle être haute, par paresse intellectuelle ou de se délecter du semblant de pouvoir que leur confère leur longues années d'étude, ne les avait pas abruti à un point tel qu'ils en ont perdu leur capacité d’abstraction.

    Que de se croire supérieur aux gens du commun que nous sommes ne leur avait pas faire perdre ce minimum de réflexion qui fait comprendre, aux gilets jaunes entre-autre, que de vider le pays de ses entreprises et de mettre tout le monde au chômage, conduira inéluctablement vers la faillite de tous.

    Et les conduira eux aussi, ainsi que leurs enfant, à se retrouver également sans emploi.

    A la limite, que l'oligarchie soit stupide ou puisse souffrir de maux mentaux, soit, c'est un phénomène qui a ponctué l'histoire depuis des temps immémoriaux, maisP1020915.JPG que la classe sociale se trouvant juste en-dessous d'elle, surtout celle intellectuelle, nous montre tout-autant un même abrutissement ne peut que désespérer l'Homme de bien.

    Mais le pire du pire c'est lorsqu'ils se justifient en déclarant que leurs propres insuffisances ne sont jamais de leur fait, mais de celui de ceux qui, dans les provinces et dans les banlieues des grandes villes, souffrent de leur aveuglement.

    Alors, permettez, messieurs-mesdames au si long cursus, que le penseur brut que je suis vous montre en quoi un si grand nombre de vos présupposés sont d'une parfaite fausseté et que leur raison d'être vient de ce que vous avez perdu tout contacte à la réalité.

    Qu'un seul d'entre-vous puisse encore voter pour l'un de ces nombreux partis politiques qui, d'une manière ou d'une autre, veulent que la France reste au sein de l'Union-Européenne est, déjà en soi, d'une pauvre conception de ce qui fait société et démontre votre incapacité, j'espère provisoire, à concevoir ce que peut être la politique.

    Je ne pense pas que beaucoup d'entre-vous se soit penché autant au-dessus de vers quoi mène notre appartenance à cette union débile, du peu de cas que l'oligarchie peut avoir pour vous, de la malveillance à terme de notre gouvernement à votre P1020963.JPGégard et des forces prodigieuses qui, désormais, s'accumulent pour détruire ces trois socles constitutifs de la politique et de l'économie d'aujourd'hui de notre patrie et, surtout, de l'U.E..

    Et pourtant, il ne suffit que d'examiner, très légèrement examiner, les proches événements passés pour comprendre ce vers quoi nous allons, je n'en prendrai qu'un seul exemple.

    Écoutez ce que monsieur Porcher raconte juste quelques mois avant la survenue des gilettistes, c'est très bien, sauf qu'il oublie une petite chose, c'est que le problème, logique, de l'Union-Européenne, qui est dorénavant à la base de quasiment toutes les décision politiques et économiques du pays, est aisée à définir: puisque triplement verrouillée, institutionnellement, politiquement et idéologiquement,  si vous voulez la réformer vous la détruirez irrémédiablement, ceci d'autant plus qu'il faut l'accord de tous les états pour ça, et, de cela, tous ceux y travaillent et en vivent le savent, surtout les allemands.

    Parce que, sachez le, sans elle l'Allemagne disparaîtrait immanquablement.

    Comme vous ne semblez pas en comprendre les raisons, je vais vous l'expliquer, vous allez voir, c'est simple et ça se passe à deux niveaux, j'avais abordé le sujet de l'un d'entre-eux dans un texte précédent ayant pour titre: "Retour à la politique" et dont voici le copier/coller ( en vert dans le billet vers lequel je vous renvoie).

    Les raisons en sont qu'à ce moment là trois forces fortement antagonistes apparaissent:P1010824.JPG

    -la première critique et réformatrice;

    -la seconde conservatrice;

    -la troisième subversive et dissolvante.

    Ceci accompagné d'une grave perturbation du fonctionnement de ce système politique.

    Cette troisième est, au début, relativement discrète, probablement ne se reconnaissant pas comme telle et est même plutôt faible, se trouvant fortement décalée du centre du pouvoir.

    Les luttes internes des deux autres forces tendent à désorganiser le fonctionnement du-dit système, les affaiblissent l'une et l'autre et, surtout, en rendent visibles les incohérences structurelles aux populations et, dès lors, en en accroissant le rejet.

    [C'est pourquoi en France nous n'avons que peu d'information sur ce qu'il se passe dans les autres pays de l'union et de  son administration, et quand nous en avons elles sont tronquées, caviardées, transformées, voire carrément fausses.]

    Tout cela mène à une instabilité organisationnelle de ce système politique qui s'affaiblit mécaniquement.

    Ceci accompagné de la monté en puissance de la force subversive qui, en raison même de cette instabilité, toujours génératrice d'une forme ou d'une autre de violence, se radicalise puis prend le pouvoir, soit en achevant la destruction de ce P1010832.JPGsystème, soit après que celui-ci se soit autodétruit.

    C'est, je le pense, ce processus là qui avait permis à Eltsine de prendre le pouvoir, peut-être bien aidé en cela par quelques officines étasuniennes (dans le désordre):

    -cette troisième force, dissolvante, ayant été en U.R.S.S. l'oligarchie russe représentée par Eltsine;

    -la première, réformiste, Mr. Gorbatchev et ses proches;

    -la seconde, conservatrice, l'administration du pays.

    En Union-européenne ces trois forces sont représentées par:

    -la première ceux qui veulent réformer l'U.E. en sortant de l'euro, du peu que nous en savons (de Marseille) sont les seuls gouvernements allemand et italien, qui sont, ne l'oublions pas, les puissances économiques 1 et 3 de l'union;

    -la seconde sont représentés par  l'oligarchie euro-atlantiste, les pays où l'euro leur sont d'un grand bénéfice et l'administration de l'U.E.;

    -la troisième par les forces réellement patriotiques en chaque nation, en France l'U.P.R. (avec raison Mr. Asselineau considère ni vouloir dissoudre l'U.E., ni la détruire, simplement la quitter, mais ce simple fait, la France, 2ème économie de l'U.E., quittant ce rafiot unioniste, le détruira inéluctablement) plus quelques partis très peu visibles, d'autres devant exister çà et là dans un certain nombre de nations de l'union (il est à noter le Party brexit de Nigel Farage qui,  plus encore que l'U.P.R., en vient à dominer la vie politique de Grande-Bretagne).P1010532.JPG

    Notre situation à l'intérieur de l'U.E. n'est pas, bien entendu, similaire à celle qui prévalait en Russie-Soviétique, les deux pouvoirs centraux sont différents, l'économie y est inverse, la vision qu'en ont les populations en est distincte, mais la recherche, par ces deux gouvernement, germanique et italien, de se débarrasser de l'euro conduirait à une situation  analogue telle que décrite plus haut.

    Il n'est à voir la désaffection du peuple français pour les partis pro-U.E., ceux passant dans les médiats, c'est à cela qu'on les reconnait, bien que F.I. et R.N. puissent être un petit peu classés comme faisant parti de la première catégorie en tant que réformateurs à la Tsipras, mais ceux-ci ne servent que de repoussoirs pour faire élire les candidats les plus oligarchiques, à l'exemple de Macron qui ne put devenir Président de la République que grâce à la présence de Madame Le Pen au second tour.

    Il ne s'agit donc pas d'une déstabilisation provenant du cœur du système, comme il en était en U.R.S.S., mais plutôt de celle provenant de différents pays, chacun choisissant son camp, en France le gouvernement étant d'un pro-U.E.€.O.T.A.N. absolu.

    L'autre différence d'avec l'U.R..S.S. est que nous pourrions très bien, avant que l'U..E. ne se soit décomposé à tel point qu'elle se dissolve, nous confronter à ce fameux effondrement économique généralisé, ce qui ne pourrait que l'emporter dans cette tourmente.

    Ce qui est frappant en cela c'est que nous n'avons que deux exemples historiques de ce type de système politique, l'U.E. et, auparavant, l'U.R.S.S., cela étant sûrement dû à notre modernité, en revanche leurs P1010839.JPGmécanismes politiques et institutionnelles internes similaires rendent, je le pense, opérante la réflexion que je viens d'y porter.

    Toutefois dans l'empire U.S., quelque chose de semblable semble s'être mis en place puisque nous avons les conservateurs, ceux appelés l'état profond, nous avons les réformateurs, l'équipe trumpienne, mais aussi les subversifs et les dissolvants, une mouvance pas vraiment structurée entre un socialisme et un communisme qui serait, pour nous, de grand-papa.

     

    Ce deuxième niveau, tout aussi logique, est là encore facile à comprendre:

    Réformer les institutions de l'U.E. veut dire faire évoluer la fameuse et fumeuse constitution pour laquelle les français et les hollandais avaient voté contre lors d'un référendum.

    Si cette idée devenait, dans l'union, une idée à débattre dans un nombre représentatif de gouvernements, ce qui est loin d'être le cas, toutes les insatisfactions de chacun des pays remonteraient à la surface et commenceraient à être discutées.

    Progressivement les désaccords, exprimés au début avec calme et tact, génèreraient des inimitiés, puis dégénéreraient en disputes pouvant conduire à des conflits, ceci parce que les institutions de l'U.E. sont verrouillées, jusqu'au moment où chacun reprendrait son indépendance, avec ou sans l'article 50 dont Monsieur Asselineau a, de maintes fois, fait cas.P1020930.JPG

    C'est pourquoi plusieurs fois l'oligarchie unioniste fit tout pour renverser tout gouvernement européen montrant des velléités d'indépendance, en Italie et en Pologne notamment, montrant son total déni de démocratie, seriez-vous, vous aussi, de cette idéologie là?

    C'est pourquoi aussi Juncker put dire: "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens!", ceci pour affirmer la domination de l'Union-Européenne sur les états-nations et les mettre en garde des sanctions qui pleuvront sur tout pays ayant des velléités d'en sortir.

    Donc, tous ceux qui, de gauche à droite et de haut en bas, en viennent à proposer une autre Europe sont soient des imbéciles naïfs soient des menteurs, de quel que parti politique qu'ils soient, en cela nous pouvons déclarer: Mélenchon, Le Pen même combat.

     

    Comme vous pouvez ici le percevoir, messieurs-mesdames, penser qu'il puisse être possible d'imaginer le moindre instant une réforme quelconque des institutions et dès lors de la constitution de l'Union-Européenne c'est, pour dire le moins, faire preuve d'une naïveté incroyable.

    P1020964.JPGQue de ne pas pouvoir ou vouloir percevoir l'aspect dissolvant et destructeur, au sens propre du terme, de la politique tout azimut de l'Union-Européenne, et que, de plus, cela soit le fait, entre-autre, de scientifiques et d'intellectuels de hauts niveaux, comme il en est de ce mathématicien, Cédric Villani, embrigadé, de plus, chez les macronniaiseux, ne peut que me paraître ahurissant.

    Eux qui, de plus, ont en main tous les outils conceptuels pour appréhender les fragilités structurelles, politiques, économiques, idéologiques de cette union montre à nous tous, gens du commun, que la haute spécialisation n'empêche en rien de ne pas pouvoir comprendre d'autre logique que de la sienne propre, celle de son groupe constitué.

    D'ailleurs, il est vraisemblable qu'il lui ait été confié, à ce monsieur le mathématicien qui ne fut que la caution intellectuelle et scientifique d'un parti politique, le R.E.M. à qui manque bougrement de l'un comme de l'autre, de faire un rapport pour l'écarter du travail de l'Assemblée Nationale devenu depuis des décennies qu'une simple chambre d'enregistrement de l'Union-Européenne, à l'exemple de ce qu'était une Douma régionale à l'époque soviétique, et oui, cet homme s’aperçut, mais, un peu tard, qu'il fut pris pour un crétin de gogo, lui qui rêvassait, son réveil n'en fut que plus dur et il devait commencer à ruer dans les brancards pour être écarté de la sorte en lui donnant une sucette à la sortie.

    Mais ce qui me surprend le plus dans le monde de la science et de la philosophie ce sont les sujets tabous, repérables à ce que les idées novatrices, plus encore que de les critiquer et les réfuter, ce qui serait tout de même honorable, sont tout simplement ignorés, mis sous le boisseau, c'est bien  simple, surtout il ne faut pas y penser etP1020956.JPG encore moins en parler.

  • La basse-court et autres (dé)notes...

    Il y a tant d'américanolâtrie en France et en Union-Européenne que si les américains avaient une plume dans le cul, beaucoup de français et d'européens s'y planteraient un plumeau.

    Çà ferait une belle une basse-court.

    Cot, cot, cot, où se trouve les renards?

     

    Les chinois et les allemands devraient se méfier, chaque fois que notre pays se découvre un modèle, celui-ci trouve le moyen d'être ruiné ou proche de l'être.

    Les exemples sont nombreux, la Hollande, l'Angleterre, l'Irlande, l'Islande, le Japon, les États-Unis-d'Amérique, la Corée-du-Sud (tiens, celui-là tient le coup)... etc...

    C'est bizarre tout de même que nos gourous de l'économie aient ce génie de repérer les nations les plus fragiles et, surtout, de nous les servir en exemple.

    (Je viens d'apprendre qu'il y a eu une sorte de coup d'état des partis de gouvernement en Suède, ce pays qui était, parait-il, un parangon de vertu démocratique.

    Encore un modèle de perdu, zut alors!)

     

    Beaucoup de nos sportifs sont noirs, est-ce parce qu'ils sont bons en sport ou pour que la France ressemble aux États-Unis?

     

    La police française porte une casquette à la place du képi, qu'elle est laide!

    Que ne ferait-on pas pour devenir le cinquante-et-unième état des États-Unis-d'Amérique?

     

    Notre gouvernement n'a que deux solutions:

    -soit obéir aux désidératas de la ploutocratie internationale, étasunienne et allemande:

    -soit lui désobéir et dire adieu à l'Union-Européenne et à l'économie néolibérale mondialisée.

    Mais en ce cas, malheur par qui le scandale arrive!

    La Grèce nous a précédé en n'ayant même pas le temps de détruire l'U.E., les U.S.A. s'en chargent très bien aujourd'hui et il n'y aura pas que ces deux unions qui seront ruinés, mais elles disparaitront.

     

    Il est imbécile de vouloir manipuler un peuple dans l'affolement et la précipitation, quels qu'en soit les raisons, cela génère souvent des effets contraires.

    La patience et la subtilité, en ces choses et en d'autres, sont de bonnes politiques.

    Laissons le temps au temps!

     

    Les États-Unis-d'Amérique haïssent l'Europe, et plus les pays ont fourni d'immigrants, plus ils sont haïs.

    En France, jusqu'à que nous soyons ruinés par la doxa de la concurrence libre et non faussée, il y faisait bon vivre, à quoi bon s'installer ailleurs où les pâturages sont moins vert?

     

    Le traité de Verdun en 843 partagea l'empire Franc en trois parties:

    -La Francie Occidentale qui deviendra la France;

    -La Lotharingie qui deviendra la Lorraine;

    -La Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire-Romain-Germanique puis l'Allemagne.

    Depuis, le fantasme inconscient fut de recréer cet ancien Empire Franc.

    Cela ne nous rajeunit pas, non?

     

    Ah, l'Empire Romain, tellement rêvé que les U.S.A. surent en prendre le modèle, à tout point de vu.

    L'Europe y joue le rôle de la Grèce antique et les pays d'Amérique -du-Sud, celui de la Gaule.

    Mais eux n'ont pas de Pape pour remplacer l'empereur, ou leur président en tant qu'empereur électif.

    Mais ils surent, en revanche, les éliminer, de leurs présidents les plus gênants, tout comme le firent les romains.

    Mais où se trouve Byzance?

     

    Si nous suivons l'idée de ce qui est écrit dans la Bible, tous les pays et les villes où se sont bâties des tours de Babel seraient un jour anéanties.

    Aujourd'hui nous appelons cela des grattes-ciel.

    Hi, hi, hi, hi, hi, ça chatouille...

     

    Les journalistes télévisuels aiment et adorent les représentants du Front-National.

    Chacun a les amours qu'il peut.

     

    Notre cher Monsieur Juncker, président de l'Union-Européenne est d'un humour irrésistible et n'a pu s'empêcher de laisser cette petite phrase à la postérité:

    "Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens."

    Est-ce une honnêteté foncière, de la vantardise, de l'inconséquence ou de l'inconscience?

    Certes, il faut choisir les plus inconsistants pour ce poste, mais là, c'est de la gourmandise.

     

    J'aime la règle de trois, enfant je l'avais apprise dans toute sa complexité, j'en ai depuis oublié beaucoup.

    Elle est, entre-autre, utile pour calculer les pourcentages.

    Ceux liés à la sécurité routière sont ainsi intéressants, surtout celui concernant le nombre de morts dû aux accidents de la route.

    Pour faire ce calcul, c'est très simple, on prend le nombre de mort à une année donnée, ici en 2014, il y en a eu environ 3478.

    Environ parce que un mort sur la route se comptabilise après un mois d'attente, le nombre exacte se saura fin Janvier 2015 (tiens, c'est vrai, nous y sommes).

    Ce nombre de 3478, allez, disons 3 480, il sera tout rond comme ça, donc, de ce 3480, nous le divisons par le nombre d'habitant dans notre beau pays, soit 66 317 994, arrondissons, là encore, à 66 318 000, une naissance de plus ou de moins, personne n'y verra que du feu.

    Cela donne: 3 480 / 66 318 000 = 0,0000525.

    Puis il n'y a plus qu'à multiplier le résultat par 100.

    Ce qui donne: 0,0000525 x 100 = 0,00525 % de morts sur l'ensemble de la population française.

    C'est tout bête, non?

    Faisons le même calcul pour savoir ce que représente, allez, disons 15 % de mort de plus sur la route sur une année, en partant de ce nombre de 3480.

    Et nous entendrions moult cris et pleurs dans nos médiats, nous les verrions même trépigner de résignation dépités de notre manque de sens civique à tous, snif, j'en ai déjà la larme à l’œil.

    Là, le calcul est encore plus ballot à faire, il suffit de multiplier 3480 par 15, puis de le diviser par 100.

    Alors, 3480 x 15 = 52 200 / 100 = 522 morts de plus en France.

    Si nous additionnons le nombre de mort en 2014, 3480 et notre présupposé augmentation, 522:

    3480 + 522 = 4002 morts présupposés, à comparer au nombre d'habitant, soit 66 318 000, plus les cacahouètes dues aux naissances de 2015 (j'aime bien les cacahouète à l'apéro).

    Bon, certes, ça fait peut-être beaucoup, mais en proportion, tout de même pas grand chose, et alors, si nous l'évaluons au nombre de mort moyen par journée lors de la guerre 14/18 ou celle de 39/45, là, franchement, ça fait ridicule.

    C'est quand même beau les mathématiques, non?

    3480 morts pour une population de 66 318 000, presque autant de chance que de gagner au loto.

    Eh, eh, là on inverse le calcul: 66 318 000 / 3480 = 19 056, 8966, cela fait que chacun d'entre nous avait eu une chance sur 19 057 d'avoir eu un accident en 2014.

    Au tirage comme au grattage, croisons des doigts pour que cela ne nous arrive pas.

    C'est vrai, quoi, c'est pas pour ça qu'il faut rouler comme des crétins, nous pourrions nous retrouver face à face!

     

    Nous vivons une époque formidable.

    Seule l'effondrement des bourses sonnera le glas de l'économie mondiale mais tout est fait pour en retarder l'échéance.

    Pendant ce temps là l'économie réelle se désagrège mollement dans tous les pays, il faut être sot pour ne regarder que ce qu'il se passe en France, partout ailleurs c'est la même chose, en Asie, dans les Amériques, en Afrique, en Océanie, seul le continent Antarctique n'est pas concerné, la glace, ça jette un froid et refroidit les ardeurs...

    Jusqu'à présent cette désintégration lente renforçait chaque fois Wall Street.

    Mais bon, cela durera qu'un temps.

    En fait, tout ça pourrait être comparé à une maison qui se désagrègerait déjà toute seule et serait prête à s'écrouler.

    Des travaux y sont effectués, mais à chaque fois cela ne fait qu'en affaiblir les murs.

    Sur le toit plus que poreux (Wall Street et les autres bourses) y sont rajouté tous les gravas, des tonnes et des tonnes de gravas, provenant de ces travaux.

    Alors nous, qui sommes dedans, nous entendons la maison qui grince sans nous affoler, en croyant que ce sont des oiseaux qui chantent.

    Nous voyons bien que des morceaux de plafond et de mur, parfois très gros, tombent de temps en temps et de plus en plus souvent, et nous nous disons que, décidément, il faut continuer à les faire, ces travaux.

    Et plus des fragments de mur et de plafond dégringolent, plus nous nous efforçons, hardiment, de faire ces travaux qui ne font qu'affaiblir encore et encore cette maison.

    Tout en retirant les étais qui soutenaient le peu qui résistait encore à cette destruction...

    Et les autres couillons qui croient que c'est en montant sur le toit de cette bicoque qu'ils éviterons son effondrement, et en plus, ils dansent dessus.

    J'ai l'impression qu'ils tomberont de haut...

    "Eh, les amis, mettez vos casques, ou mieux, allons dans la cave!"

     

    Il est des expressions que j'aime bien.

    Faire des plans sur la comète, par exemple.

    J'imagine le gugusse avec son mètre et sa craie, tout encaparaçonné de son scaphandre, en train de tracer des lignes sur son petit bout de roche.

    A quelque chose près, je ressens la même chose quand j'entends tel spécialiste, ou mieux, tel homme politique nous expliquant, doctement, comme quoi les décisions économiques donneront des résultats d'ici 2016 ou 2018, ou même, seront prisent à cette date.

    Laissons à chacun sa comète, non?

  • Fiction n° 9) Nouvelles brèves de cette semaine :

     

    États-Unis-d'Amériques : Le « conseil des nations amérindiennes des États-Unis-d'Amériques », a dépêché la semaine dernière le général Charles Géronimo, ex-cadre de l'U.S. Army, au Japon pour discuter avec le gouvernement japonais du rapatriement des troupes américaines restées présentes dans les bases nippones, la ruine des U.S.A. ayant empêché leur retour. Dès demain il poursuivra sa mission en Australie. Auparavant il se rendit en Corée du sud.

    Le ministre japonais de la défense a proposé, aux militaires américains le désirant ainsi qu'à leur famille, de rester sur le sol de l'empire du soleil levant et de servir dans l'armée japonaise en tant que « conseiller militaire ».

    Pékin a réagi vivement en déclarant : « qu'il n'était pas sain pour l'équilibre et les enjeux asiatiques que d'anciens militaires américains soient engagés au Japon en tant que mercenaires ! »

     

    États-Unis-d'Amériques : Le président des États-Unis-d'Amérique, Monsieur Adam Smith, a déclaré, hier soir, après le vote d'approbation du parlement et du sénat qu'« étant donné la disparition de fait du dollar américain il levait toute restriction de création de monnaie et d'une banque centrale d'état par chaque état de l'union. »

    C'est une dernière tentative de contrôler une réalité indéniable : la création monétaire explose aux U.S.A. où plus d'une centaine de devises différentes sont dors et déjà en circulation et voit l'apparition d'une nouvelle tous les mois.

     

    Japon : Hier monsieur Fumitoki Sakamoto, premier ministre du Japon, s'est rendu en Inde pour une visite diplomatique et fut reçu avec tous les honneurs par son homologue indien Radjen Chakor.

    Selon nos sources, leurs discutions ont pour but la signature d'accords bilatéraux portant autant sur des traités économiques que sur une alliance militaire de défense commune.

    Cette visite fait suite à celle qui fut effectuée pour les mêmes raison en Corée du sud où messieurs Sakamoto et Géronimo se rencontrèrent une première fois.

     

    Canada : Le premier ministre canadien, monsieur John Lapierre, a déclaré, la veille au soir, que son pays quittait définitivement le Commonwealth.

    « Un président sera élu par le parlement canadien dans la semaine. » A-t-il précisé dans la même allocution.

    Madame Brigitte Hautehaie, première ministre du Québec, annonce, dans l'heure suivant cette déclaration, l'indépendance pleine et entière de son pays et, dit-elle, « ...fera appel au peuple québécois pour qu'il élise une assemblée constituante dès la semaine prochaine. »

     

    Amérique du Sud : Divers différents frontaliers entre pays hispanophones s'envenimant souvent en incidents frontaliers armés, le Brésil a pris la décision unilatérale de créer une force d'interposition en Amérique du Sud.

    L’Argentine a voulu saisir l'O.N.U. mais son secrétaire général a fait part au premier ministre argentin, monsieur Philippé Klein, qu'en raison des difficultés qu'il rencontrait pour réunir l'ensemble de ses participants, il lui serait impossible que des délibérations puissent avoir lieu : « L'O.N.U. n'est plus qu'un antre vide peuplé que de fantôme ! » Aurait-il déclaré en français aux quelques journalistes encore présents.

     

    Proche-Orient : L'Irak n'existe plus.

    Suite à des accords secrets signés entre la Turquie, l'Iran et l'Arabie Saoudite, l'Irak a été annexée militairement hier matin par ces trois pays et des frontières ont été matérialisés par des fils de fer barbelés en trois parties égales de l'Irak.

    Des mouvements de populations importantes se sont fait jour rapidement après cette partition.

    Des tirs d'armes et des explosions ont été entendu.

     

    Proche-Orient : Des accords de « défense solidaire » ont été signés conjointement par Israël, la Libye, l’Égypte et la Jordanie.

    Des confidences ont laissé entendre que la Turquie a également signé ce traité mais ne pouvait pas le rendre officiel tant que la partition de l'Irak n'était pas achevée.

     

    Proche-Orient : Une base militaire chinoise a été installé au Koweït.

    Les Émirats-Arabes-Unis ainsi que l'Arabie Saoudite ont énergiquement protesté et renvoyé l'ambassadeur chinois et koweïtien dans leur pays.

     

    Afrique : Le parlement d'Afrique du Sud à voté une loi décrétant le pays « ange gardien » de l'Afrique Subsaharienne.

    Il y est notifié que « ...toute guerre y sera dorénavant prohibée et devra cessée par la force armée s'il cela se révèle nécessaire... ».

     

    Europe : Une dizaine de personnes sont morte de faim depuis le début de la semaine dans plusieurs petites ville du nord de l'Angleterre.

    Le prince Charles, lors d'une allocution télévisée, à déclaré que le pays, au-devant d'un péril majeur, était en état de « catastrophe naturelle et morale nationale » et que le gouvernement se doit de tout faire pour que de tels malheurs n'arrivent plus.

    Il a également annoncé qu'en accord avec ses fils et sa mère, la reine Élisabeth II, à la mort de celle-ci la république serait déclarée et une assemblée constituante élue.

    Une manifestation spontanée a eu lieu à Londres où l'on vit une immense foule en pleur scander le nom de la reine devant le palais de Buckingham.

     

    Europe : Il y eut une brève et violente escarmouche entre des navires chinois et indiens, au large des cotes algériennes, au milieux de laquelle se trouvait, par hasard, un bateau de la marine nationale.

    De par et d'autre des dégâts sont à déploré, nous ne pouvons dire si chinois et indiens ont des blessé ou des mort.

    En revanche deux de nos marins furent légèrement blessés et le navire n'eut que des avaries mineures.

    Nous devons à l'intelligence tactique et au sang-froid du capitaine de L’Éclair, l'officier Martine Lecousin, fille du ministre de la défense, qu'il n'y ai pas eu plus de dégât.

    Demain le président de la République remettra au nom de la France une médailles à cet officier ainsi qu'à plusieurs marins.

    Une protestation énergique fut envoyée aux ambassadeurs chinois et indiens qui présentèrent des excuses officielles.

     

    Europe : Suite à l'annonce de l'élection d'une assemblée constituante européenne conjointement par la commission européenne et le conseille de l'union européenne, après leur accord, l'ensemble des anciens pays de l'est, sous la conduite de l'Autriche, la Hongrie et la Pologne, ont décidé de quitter l'Union-Européenne.

    Sous le nom de Union-des-États-Est-Européen, ils ont constitué une gouvernance très proche de ce qu'a pu être celle de l'Union-Européenne et ont conservé l'euro comme monnaie, sa première décision fut de confisquer l'ensemble des entreprises sises sur son sol et de les distribuer aux entrepreneurs des états la composant.

    Les contestations officielles n'eurent aucun effet et cela ruinât nombre d'entrepreneurs et d'entreprises.

    Par mesure de rétorsion la commission européenne a elle-même confisqué les avoirs provenant de ces pays.

    Le ministre de l'économie polonais aurait déclaré : « Cela ne nous fait ni chaud, ni froid, cet échange est à notre avantage ! ».

    Otto stücberg, ministre des affaires étrangère allemand aurait, quand à lui, en latiniste qu'il est, dit :  « Ô temporas ! Ô mores » ce qui voudrait dire : Ô temps ! Ô mœurs.

    Il est dit, dans les milieux autorisés, que cela fut discrètement téléguidé par la Russie.

     

    Europe : La cité Montmerveille, en région parisienne, transformée en prison pour y accueillir les nombreux condamnés pour malversation suite aux enquêtes menées dans la haute finance et sa sphère politico-journalistique après l'effondrement de l'économie mondiale a subi, ce matin, un attentat à l'explosif de la part d'un groupuscule d'extrême-gauche qui se fait appeler « les vengeurs ».

    La section antiterroriste est diligentée par le gouvernement pour que ce groupe soit démantelé.

     

    Afrique du Nord : Des manifestations d'organisations anarchistes eurent lieu à Alger, Tunis et Rabas au cri de « vive la liberté de penser ». Chacune réunissait plusieurs dizaine de millie

Nous avons tous la responsabilité d'être, avec nos faiblesses et nos forces, mais nous devons, dès maintenant, lutter contre cet obscurantisme béat qui nous enserre et nous étouffe. Seul le questionnement de notre monde, de ses vérités, nous le permet.